Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
******************************************************************

France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
Clic pour voir la Source de l’article
***

Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



Clic pour voir la Source de l’article
***

Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

Clic pour voir la Source de l’article
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
.
Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
.
Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
.
L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
.
20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
.
77 Violations contre les journalistes en Février 2017
.
L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
.
11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
.
Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
.
63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
.
Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
.
L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
.
Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
.
Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
.
Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
.
L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
.
Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.
Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 21 Joumada Al Awwal 1438

Flash info du 21 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #mouslimradio :
www.MouslimRadio.info
******************************************************************

Comment annoncer sa conversion à sa famille ?
« Avant d’annoncer sa conversion à sa famille, il vaut mieux, au détour de conversations, préparer déjà le terrain et informer ses proches que, depuis peu, vous portez de l’intérêt à l’étude des religions ou de l’Islam. Cela évitera ainsi les « grandes révélations » et « les surprises » de dernière minute. Il serait également intelligent d’énoncer, au gré de ces conversations, les divers éléments qui vous ont touchés en Islam et/ou les étapes de votre réflexion intellectuelle/de votre cheminement spirituel. Cela permettra à vos proches de connaître les éventuelles raisons de votre conversion et d’être ainsi rassurés.
En outre, au moment de l’annonce de sa conversion, il est indispensable de préciser que ce choix spirituel ne remet pas en cause vos liens d’affection, vos traditions et votre identité. Conversion à l’Islam ne signifie pas adoption des us et coutumes du Maghreb ou du Machreq ! Il est également primordial, une fois cette annonce « nécessairement choquante » effectuée, et qui sera peut-être vécue comme une remise en cause de l’éducation familiale reçue, d’exceller dans votre comportement, en démultipliant les gestes d’affection, les prises de nouvelles de vos proches, etc.
Le musulman est l’ambassadeur de sa religion : il est extrêmement important de prouver à votre famille que vous êtes une meilleure personne depuis votre conversion… Seul un tel comportement sera gage de respect pour votre religion à l’avenir…
Enfin, un autre point vital, pour les personnes issues des familles les plus « traditionnelles » est de dresser des ponts entre les grands personnages chrétiens et ceux de l’Islam. Jean-Baptiste, Marie, Jésus, les apôtres, sont mentionnés à de nombreuses reprises dans le texte coranique et peuvent servir à apaiser les tensions : l’Islam devrait être présenté comme une continuation, une confirmation des enseignements de ces pieux personnages de l’ancienne religion. Des phrases du type « C’est par amour pour Jésus que je suis devenu musulman », « Je ne me suis pas converti à une autre religion, j’ai confirmé mon appartenance à la religion de Dieu et de (son prophète) Jésus » sont positives.
Enfin, si jamais vous optez pour un prénom islamique (cela n’est pas une obligation), il serait bon de ne pas le faire connaître à vos parents, car ces derniers pourraient vivre cela comme un affront. Le nom est le ferment de l’identité et vos parents ont dû porter un soin extraordinaire à vous en donner un. En évoquant un nom de conversion, vous risqueriez de leur dire implicitement : « je ne suis plus vraiment ton fils »…
Qu’Allah vous préserve et vous facilite !
Clic pour voir la Source de l’article
***

Canada : Une députée canadienne musulmane menacée : « tuez-la qu’on en finisse ».
Au Canada, la motion proposée par la députée libérale musulmane Iqra Khalid, afin de lutter davantage contre l’islamophobie, lui a valu des menaces de mort et des insultes.
« Elle est malade, déportez-la ».
Ainsi la députée a reçu des messages appelant même au meurtre : « elle est malade, déportez-la », « les vrais Canadiens vont se soulever et se débarrasser de cette saleté de musulmane », « tuez-la qu’on en finisse », « nous allons brûler vos mosquées ». Ce déferlement haineux a lieu alors que Iqra Khalid a proposé une motion au Parlement pour condamner et lutter contre l’islamophobie. Cependant l’opposition a déposé une contre-motion considérant que le premier texte faisait uniquement référence à l’islamophobie. Le but est de désigner toutes les religions sans distinction.
Le gouvernement a quant à lui déclaré qu’il fallait reconnaître l’islamophobie après l’attentat de la mosquée au Québec, ce que permet la motion de Iqra Khalid justement.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Donald Trump compte présenter un deuxième décret anti-immigration.
Finalement le gouvernement américain ne fera pas appel devant la justice concernant le décret anti-immigration. Mais Donald Trump compte abroger le texte pour en présenter un nouveau.
Reculer pour mieux sauter ?
Aux Etats-Unis, le ministère de la Justice a fait savoir que Donald Trump souhaitait travailler un nouveau texte et non s’engager davantage sur la voie juridique. Le premier décret avait été suspendu par la justice permettant ainsi aux ressortissants des sept pays concernés de pouvoir se rendre aux Etats-Unis. Les avocats ont déclaré que le gouvernement voulait réussir à protéger immédiatement le pays. Cependant rien ne dit que le nouveau texte de Donald Trump ne subisse pas le même sort que le précédent.
Quels changements l’administration Trump compte donc apporter pour rendre ce MuslimBan plus acceptable ?
Clic pour voir la Source de l’article
***

Etats-Unis : le nombre de groupes islamophobes ont triplé en 2016.
Le Southern Poverty Law Center (SPLC), un institut qui étudie les mouvements extrémistes, estime que « l’élection de Trump a boosté la droite radicale ». Le rapport annuel du SPLC a été publié mercredi 15 février. On y apprend que le nombre de groupes haineux est passé de 892 en 2015 à 917 en 2016.
Dans le lot, les groupes islamophobes sont passés de 34 à 101. Un constat qui va dans le sens des chiffres du FBI qui relevait en 2015 une augmentation de 67 % des crimes de haine raciale. Parmi eux, 257 actes islamophobes ont été enregistrés par la police. 2001, avec la période du 11-Septembre, était la dernière année pendant laquelle les Etats-Unis ont enregistré autant d’actes hostiles aux musulmans, avec 480 agressions recensées.
Mark Potok, principal auteur de l’étude, désigne comme responsable « la rhétorique incendiaire » employée par Donald Trump lors de sa campagne. Il souligne le rôle Steve Bannon, Steven Miller et Kellyanne Conway, aujourd’hui tous hauts fonctionnaires de la Maison Blanche et qu’il identifie comme de « sérieux idéologues antimusulmans ».
Selon lui, le départ de Michael Flynn, ancien conseiller de la sécurité nationale, ne va pas réduire les effets de « l’offensive vraiment sérieuse dirigée contre les musulmans américains ».
Les dix jours qui ont suivi l’élection du nouveau président, 867 incidents à caractère haineux ont été comptabilisés, dont 300 visaient des immigrés ou des musulmans. Le SPLC rappelle qu’il se contente d’étudier les groupes qui s’expriment au travers de meetings, des distributions de tracts ou de manifestations. Ainsi, les expressions racistes sur les réseaux sociaux, largement plus importantes, ne figurent pas dans le rapport. Par ailleurs, Mark Potok pense que « Trump a coopté bon nombre des questions de la droite radicale, ce qui a pu empêcher, ou au moins ralentir la croissance de ces groupes ».
Clic pour voir la Source de l’article
***

Egypte : 144 femmes nommées prédicatrices dans les mosquées.
Le ministère égyptien des Affaires religieuses souhaite contrecarrer les discours ultraconservateurs, voire extrémistes diffusés à travers les radios et les télévisions par des prédicatrices non officielles. C’est pourquoi l’université Al-Azhar, éminente institution islamique du pays, a nommé 144 femmes pour prêcher dans les mosquées les plus importantes du pays et enseigner l’islam auprès des femmes dès le mois de mars. Une première dans ce pays.
Cette mesure a pour but de renouveler les discours religieux et d’enseigner des notions de jurisprudence islamique afin de corriger les idées fausses concernant l’islam et les femmes, selon le quotidien égyptien Asharq al-Awsat. Davantage de femmes seront nommées à l’avenir, a promis le ministère égyptien des Affaires religieuses.
Les autorités estiment que les femmes font partie des publics sensibles aux discours les plus extrémistes. En Egypte, prêcher dans une mosquée sans l’accord du ministère peut mener à une condamnation d’un an de prison et une amende de 7 000 dollars.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Trump-Netanyahou : répondre aux fossoyeurs de la paix.
La rencontre des deux compères à Washington, le 15 février, confirme que tout est à craindre de leur collusion. Benyamin Netanyahou a bien trouvé en Donald Trump un partenaire à la fois ignorant de la réalité et décidé à marquer sa totale adhésion au projet colonial israélien.
Désormais, plus besoin pour lui de s’embarrasser de la solution à deux Etats qui était depuis plus de 20 ans la position (théorique) de l’administration américaine et qui reste celle de l’ONU, inscrite dans le droit international. La nouvelle stratégie américaine peut se résumer ainsi : la paix, peu importe sa forme, viendra d’un bon gros deal obtenu en face à face entre Israël et Palestiniens, entre une puissance occupante surarmée et un peuple occupé désarmé, prié au passage « de se débarrasser de la haine qu’on (lui) a inculqué ».
L’ignorance crasse du président américain comble un Netanyahou empêtré dans des affaires de corruption et le parti des colons qui n’ont qu’à applaudir bruyamment. Elle a une fonction : casser toute référence à la légalité internationale et ouvrir la voie à toutes les provocations au service du « Grand Israël ».
Le même jour, Saeb Erekat, secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine, rappelait une évidence : « La seule solution de rechange à une solution à deux États est un État doté de droits démocratiques égaux pour tous ».
Personne, et aucun Etat, ne peut accepter en 2017 l’institutionnalisation d’un Etat d’Apartheid entre Méditerranée et Jourdain, alors que c’est précisément en réponse à la demande de la communauté internationale que l’OLP a reconnu l’Etat d’Israël dans ses frontières de 1967 et accepté d’édifier l’Etat de Palestine sur seulement 22% du territoire de la Palestine historique.
La France, comme l’ensemble de la communauté internationale, doit affronter la réalité et s’opposer dans les faits à cette marche à l’abîme, reconnaître l’Etat de Palestine dans ses frontières du 4 juin 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale, interdire toute relation avec la colonisation, demander la suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël.
Avec la complicité des Etats-Unis, l’Etat d’Israël se met délibérément au ban des nations : c’est une réalité qu’il va falloir affronter avec courage et détermination. L’histoire nous a appris que les reculades et la complaisance face au déni du droit ne conduisent qu’à la catastrophe.
Le Bureau national de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS).
Clic pour voir la Source de l’article
***

Oui, la colonisation est un crime contre l’humanité.
En déclarant que “la colonisation est un crime contre l’humanité, une véritable barbarie”, Emmanuel Macron a déclenché un torrent d’indignation. On a dit que cette déclaration n’était que pur opportunisme, que le candidat d’”En marche”, comme d’habitude, disait tout et son contraire. En novembre 2016, il déclarait : “Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie”. Certes. Mais si, pour une fois, Emmanuel Macron avait eu raison ? La réaction chauvine suscitée par ses propos, en tout cas, montre que le révisionnisme colonial fait partie de l’ADN de la droite française.
Il faut les entendre fulminer, ces humanistes à géométrie variable, lorsque cette page sinistre de l’histoire de France est pointée du doigt. Pour Bernard Accoyer, secrétaire général des Républicains, “ces propos constituent une insulte à l’Histoire de France et à la mémoire de millions de Français. Ils n’honorent pas le candidat à l’élection présidentielle qui fait le choix de la repentance plutôt que celui d’une lecture objective de notre histoire. Une repentance, toujours agitée par la gauche et l’extrême-gauche, qui contribue malheureusement à la défiance d’une partie des nouvelles générations envers leur pays”.
Mais c’est tout le contraire ! Pour qu’un Français se sente insulté par cette affirmation, il faut qu’il ait une lecture étriquée du passé national. Les millions de victimes du colonialisme français depuis trois siècles seraient-elles quantité négligeable ? Faut-il, pour être patriote, adhérer à un roman colonial à l’allure de conte de fées ? Que la France se proclame de la patrie des droits de l’Homme n’interdit pas à ses citoyens de vérifier si cette promesse a été tenue au cours de son histoire. Elle leur en fait obligation. Et après examen, le verdict est sévère. Certains de vos électeurs l’ont peut-être oublié, M. Accoyer, mais la conquête de l’Algérie fut une expédition meurtrière, l’occupation de ce pays une humiliation permanente pour ses habitants et sa guerre de libération un carnage (300 000 morts) provoqué par l’obstination du colonisateur.
Mais M. Accoyer ne nous a offert que le hors d’œuvre. Parmi les nostalgiques à l’orgueil outragé, c’est la présidente du FN qui enlève le pompon. Sur sa page Facebook, elle qualifie carrément de “crime” les propos d’Emmanuel Macron. “Y a-t-il quelque chose de plus grave, quand on veut être président de la République, que d’aller à l’étranger pour accuser le pays qu’on veut diriger de crime contre l’humanité ?”, demande la candidate du FN. “En utilisant cette argumentation probablement pour des raisons bassement électoralistes, le crime, c’est M. Macron qui le commet. Il le commet contre son propre pays”. Voilà, la messe est dite. A l’unisson, la droite et l’extrême-droite assènent cette doctrine singulière selon laquelle le crime n’est pas le colonialisme, mais sa dénonciation.
Contre ces impostures réactionnaires, il faut relire ce qu’écrivait Aimé Césaire en 1955 dans son magnifique “Discours sur le colonialisme”. Il citait le colonel de Montagnac, l’un des conquérants de l’Algérie : “Pour chasser les idées qui m’assiègent quelquefois, je fais couper des têtes, non pas des têtes d’artichauts mais bien des têtes d’hommes”. Il donnait la parole au comte d’Herisson : “Il est vrai que nous rapportons un plein baril d’oreilles récoltées, paire à paire, sur les prisonniers, amis ou ennemis”. Il citait aussi Pierre Loti relatant dans “Le Figaro” la prise de Thouan-An (Indochine) en 1883 : “La grande tuerie avait commencé ! C’était plaisant de voir ces gerbes de balles, si facilement dirigeables, s’abattre sur eux deux fois par minute. On en voyait d’absolument fous, qui se relevaient pris d’un vertige de courir. Ils faisaient en zigzag et tout de travers cette course de la mort, se retroussant jusqu’aux reins d’une manière comique … et puis on s’amusait à compter les morts”. Eh oui, ces horreurs, elles aussi, font partie de notre histoire.
Partout, la conquête coloniale fut effroyable. Le colonisateur au drapeau tricolore l’a déshonoré, ce drapeau. Il l’a noyé dans le sang des peuples martyrisés par ceux qui prétendaient leur apporter la civilisation au bout du fusil. C’est pourquoi, partout, les peuples colonisés ont levé l’étendard de la révolte. Lassés d’être traités en objets, ils voulaient devenir “les sujets de leur propre histoire”, comme disait Lénine dans ses thèses prophétiques sur le droit des nations à disposer d’elles-mêmes (1916). Mais en Indochine, en Algérie, à Madagascar, au Cameroun, cette révolte populaire s’est heurtée à une répression impitoyable. Pour maintenir l’ordre ancien, la machine de guerre coloniale a perpétré des crimes de masse, elle s’est livrée à d’innombrables massacres.
Lisez donc le grand Aimé Césaire, M. Accoyer, cela vous changera du Figaro-Magazine ! “Il faudrait étudier comment la colonisation travaille à déciviliser le colonisateur, à l’abrutir au sens propre du mot, à le dégrader, à le réveiller aux instincts enfouis, à la convoitise, à la violence, à la haine raciale, au relativisme moral, et montrer que, chaque fois qu’il y a au Vietnam une tête coupée et un œil crevé et qu’en France on accepte, une fillette violée et qu’en France on accepte, un Malgache supplicié et qu’en France on accepte, il y a un acquis de la civilisation qui pèse de son poids mort, une régression universelle qui s’opère, une gangrène qui s’installe ».
Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette gangrène est toujours dans les têtes. Comme disait Marx à propos des atrocités commises par les Anglais en Inde en 1853, “L’hypocrisie profonde et la barbarie inhérente à la civilisation bourgeoise s’étalent sans voile devant nos yeux, en passant de son foyer natal, où elle assume des formes respectables, aux colonies où elle se présente sans voile”. Oui, c’est un fait, le crime colonial a fait voler en éclats les barrières morales que la classe dominante s’imposait ailleurs. Dire cette atrocité du crime colonial, c’est désigner avec les mots qui conviennent cette histoire douloureuse. Le colonialisme est une violence au carré, décuplée par le sentiment de supériorité raciale du colonisateur sur le colonisé. Perpétré sur les cinq continents, de Colomb à Netanyahou, le colonialisme est un crime contre l’humanité, car il nie l’humanité de celui qu’il opprime.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Assad : la France est «responsable des tueries» en Syrie.
Dans une interview accordée à Europe 1 et TF1, le président syrien Bachar el-Assad a fustigé la politique extérieure de la France, qui selon lui, «consiste à soutenir les terroristes en Syrie».
Fabien Namias, directeur de l’information d’Europe 1 et Michel Scott, éditorialiste chargé de l’actualité internationale à TF1, se sont rendus récemment à Damas pour interroger Bachar el-Assad sur la Syrie, le terrorisme et le rôle des pays occidentaux dans la politique syrienne. Autre sujet abordé, la place de la France et de François Hollande dans le conflit syrien.
Dans son interview, le président syrien a fustigé les autorités françaises pour le soutien qu’elles apportent à ceux qui, selon Bachar el-Assad, ne sont rien d’autre que des terroristes.« La politique de la France, depuis le premier jour a consisté à soutenir les terroristes en Syrie, et est directement responsable des tueries dans notre pays », a déclaré M. el-Assad.
Le président syrien a présenté des arguments en faveur de cette opinion. Bachar el-Assad a rappelé l’intention de François Hollande de déclencher la guerre en Syrie il y a quatre ans. Il s’agit de la fuite d’un document « confidentiel défense » sur un projet de frappes françaises en Syrie en 2013, obtenu par des journalistes du Monde dans le cadre d’entretiens à l’Élysée avec M. Hollande.
« Ce sont eux qui le disent. Je ne les accuse pas. Ils ont dit à plusieurs reprises avoir soutenu la guerre. Ce sont eux qui ont dit qu’ils envoyaient de l’armement à ce qu’ils appellent des groupes “modérés”, et qui sont en fait des terroristes. Ce sont eux qui l’ont dit, pas moi ».
Commentant la politique de François Hollande à l’encontre de la Syrie, Bachar el-Assad a égratigné au passage le chef de l’État français.
« Je ne l’ai (François Hollande, ndlr.) jamais rencontré. Pour être franc, je ne me soucie aucunement de lui avec ses 11% de popularité, ce qui je pense s’appelle toucher le fond comme jamais aucun de ses prédécesseurs dans l’histoire de France ».
Et d’ajouter: « En fait, il s’agit avant tout d’une affaire entre moi et les terroristes, et entre moi et quiconque soutient les terroristes ».
Clic pour voir la Source de l’article
***

Manuel Valls: Ce sont les juifs qui doivent commander en France.
Quand Lénine disait que le Parti était à l’avant-garde du prolétariat, cela signifiait que c’était le parti qui commandait !
Personnellement je n’ai rien contre les Juifs, mais leurs dirigeants sont sionistes. Alors j’aime pas leurs dirigeants.
Les Juifs aussi sont divisés en classes : une classe dominante, et une classe dominée. Le sionisme est avant tout l’idéologie de la classe dominante juive.
C’est aussi l’idéologie qui justifie la colonisation et le nettoyage ethnique de la Palestine. C’est l’intégrisme de la religion juive qui, prétendant que “les Juifs sont le peuple élu”, prône le “retour à la Terre promise”. Il se trouve que pour les juifs, normalement, la Terre promise est à l’intérieur de soi, c’est un symbole, c’est un peu le nirvana des juifs, ou le paradis intérieur.
Mais, par définition, les intégristes prennent littéralement les écrits au pied de la lettre. C’est ce qui permet à l’idéologie sioniste d’exister tout en étant pourtant souvent portée par des juifs athées, puisqu’elle permet de manipuler un grand nombre de juifs, en les amenant en Palestine occupée (nommée Israël par les sionistes et leurs partisans) pour combattre au service de l’impérialisme tout en croyant conquérir la “Terre promise” ; de même que les croisés étaient des chrétiens manipulés pour aller coloniser la Palestine au service de l’Occident, tout en croyant aller “libérer le tombeau du Christ”.
Aujourd’hui, le sionisme est aussi, bien entendu, l’avatar moyen-oriental de l’impérialisme américain, d’où l’expression “impérialisme américano-sioniste”.
Je vous invite à lire un petit livre, de moins de cent pages en gros caractères, qui nous vient en direct de l’ancienne Union Soviétique. Il a été écrit par N. Bolchakov et publié par Novosti en 1972. Il nous apprend beaucoup de choses sur le sionisme.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

Clic pour voir la Source de l’article
***

L’Algérie réclame une indemnisation pour les tests nucléaires français dans le pays.
Alger œuvre depuis des années pour que la France indemnise les victimes des essais nucléaires qu’elle a menés dans le Sahara de 1960 à 1966. La première bombe testée en Algérie était trois fois plus puissante que celle d’Hiroshima! Selon un expert interrogé par Sputnik, un récent forum algérien était appelé à régler le problème des indemnisations.
Paris doit indemniser les Algériens touchés par les essais nucléaires français dans le Sahara, a déclaré jeudi à Sputnik le colonel Muhammed Halfawi, expert militaire algérien, à l’issue du Forum national sur les essais nucléaires français dans le Sahara algérien et leurs conséquences sur les humains et l’environnement.
« La France reconnaît avoir mené des essais nucléaires et chimiques, mais refuse de verser des compensations aux personnes touchées. Nous appelons la France à rembourser les familles des victimes de ces explosions et ceux qui souffrent des conséquences de ces tests », a indiqué M. Halfawi.
Selon lui, les Algériens œuvrent depuis longtemps pour la reconnaissance de leurs droits.
Lors du forum, l’avocate Fatima al-Zahra bin-Brahim avait annoncé que les hommes politiques français avaient considéré les tests nucléaires comme un crime dans des entretiens avec leurs collègues algériens.
« La seule reconnaissance politique est insuffisante. Il y a des familles où des personnes ont été tuées ou sont restées handicapées. Les réactions en chaîne nucléaires continueront pendant des millions d’années. La France doit reconnaître les droits de ces personnes », insiste M. Halfawi.
Il a rappelé que les films documentaires consacrés à l’organisation des tests nucléaires dans le Sahara montrent que les Français ne se rendaient pas compte de la puissance des explosions.
« Dans un film, on voit notamment des généraux quitter en hâte le lieu des tests en avion, parce que la puissance de la bombe avait largement dépassé leurs attentes », a ajouté le colonel.
Le Forum national algérien sur les tests nucléaires français dans le Sahara algérien s’est déroulé à Alger à l’occasion du 57e anniversaire du premier essai nucléaire aérien dans le Sahara algérien le 13 février 1960 dans le cadre de l’opération « Gerboise bleue ». Initialement estimée à 13 kilotonnes, la puissance de cette explosion effectuée à Hammoudia, à 50 km de Reggane, a atteint 60 ou 70 kilotonnes, soit trois fois celle de la bombe d’Hiroshima. Elle a entraîné la projection de radiations dans une zone de 200 km de large et de 100 km de long, alors que les habitations les plus proches se trouvaient à seulement 70 km.
Trois autres essais intitulés « Gerboise blanche », « rouge » et « verte » se sont déroulés dans le sud-ouest de l’Algérie en avril 1960. Plus tard, la France a mené 57 autres essais. Après l’indépendance de l’Algérie, en 1962, 13 essais souterrains ont eu lieu dans le cœur rocheux de la montagne d’In Ecker jusqu’en 1966.
Clic pour voir la Source de l’article
***
Peut-on faire la prière avec du maquillage ?
Les Louanges appartiennent à Allah.
Si, après avoir fait ses ablutions, la femme se maquille ou retouche son maquillage, cela ne fait rien et n’a aucun effet ni sur ses ablutions ni sur sa prière, à moins que la matière utilisée dans le maquillage soit impure. Car la propreté des vêtements et du corps (du fidèle) est une condition de la validité de sa prière.
Il convient de savoir qu’il n’est pas permis à la femme de se maquiller devant des hommes qui lui sont étrangers parce qu’il lui est demandé de courir son visage en leur présence et parce que le maquillage est une source de tentation.
Si toutefois, une femme se maquille et effectue sa prière, elle sera récompensée pour la prière, même si elle a commis un pêché consistant à laisser apparaître son maquillage.
La Fatwa n° 17/129 de la Commission Permanente se présente en ces termes :
« Rien n’empêche la femme de s’embellir en se maquillant, en mettant du kohl et en se coiffant d’une manière qui n’implique pas l’imitation des non musulmanes et à condition de voiler son visage en présence d’hommes qui lui sont étrangers ».
On lit encore dans la Fatwa n° 17/128 : « L’usage du kohl est autorisé. Cependant il n’est pas permis à la femme d’exposer sa parure au public, qu’elle ait utilisé du kohl ou une autre matière ; elle ne peut se présenter le visage découvert qu’à son mari et à ses proches parents, compte tenu de la parole du Très Haut : «qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris » (Coran, 24:31).
Allah le sait mieux.
Clic pour voir la Source de l’article
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
.
Un jeune de Gaza succombe à une blessure subie en 2005
.
40 000 palestiniens à la prière du vendredi à Al-Aqsa
.
Un jeune palestinien de Gaza arrêté au passage d’Erez
.
Les terres palestiniennes de Jaloud dans le viseur d’Israël
.
Israël veut fonder une nouvelle colonie pour les colons d’Amona
.
330 colons israéliens ont pris d’assaut la mosquée d’Al-Aqsa la semaine dernière
.
La police des frontières israéliennes lance un raid à l’aube sur Hizma
.
3 palestiniens en grève de la faim en prison israélienne
.
Les négociations sont une perte de temps, selon Norman Finkelstein
.
L’occupation restitue le corps du prisonnier martyr al-Jallad
.
Ouverture du passage de Rafah samedi pour le retour des personnes bloquées
.
Baraka reçoit une délégation du complexe du nouveau camp de Nahr al-Bared
.
Le procès d’al-Qiq reporté
.
La sœur de Shioukhi arrêtée pour avoir planifié un attentat
.
Deux prisonniers jérusalémites en grève de la faim
.
Expansion de la colonie Benjamin près de Ramallah
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.
Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com