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Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 22 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 22 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #mouslimradio :
www.MouslimRadio.info
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France : Paris : des bénévoles empêchés de nourrir des migrants près du centre de La Chapelle.
Le collectif « Solidarité Migrants Wilson » raconte avoir été empêché de distribuer un petit déjeuner dans des conditions normales aux abords du centre humanitaire de La Chapelle.
« Honteux ». Un collectif de bénévoles raconte avoir été empêché de distribuer un petit déjeuner à des migrants ce jeudi matin devant le centre humanitaire de la Chapelle (Paris 18e) par des policiers. « Après les retraits de couvertures, après les dispersions, après les pierres, on passe à l’étape suivante : les migrants sont empêchés de manger », raconte le collectif « Solidarité Migrants Wilson » dans un post Facebook.
« Comme tous les jours, nous nous sommes présentés devant le centre vers 8h30 », raconte une bénévole de ce collectif de riverains à « l’Obs ». « Comme d’habitude, je suis allée voir les policiers présents sur place pour nous signaler et déterminer l’endroit de la distribution. » Mais cette fois, rien ne se déroule comme prévu : « Le policier m’a répondu : ‘non c’est pas possible, on a des ordres de la préfecture’, en me brandissant un papier officiel. Il m’a détaillé tous les endroits décrits comme interdits à la distribution. »
« On est assommés ».
De retour à leur véhicule garé dans une allée en contrebas du centre, ce qui se faisait selon elle d’habitude « en accord avec la police », les bénévoles écopent de deux amendes – la cinquième d’après eux ces dernières semaines, à chaque fois 135 euros pour stationnement gênant. La distribution d’invendus de boulangerie et de quelque 45 litres de boissons chaudes est finalement assurée plus loin, sans que le collectif ne puisse avoir accès aux migrants qui restent dans la queue devant le centre afin de ne pas perdre leur place.
« Nous sommes un peu atterrés, un peu assommés », réagit la bénévole. « On a le sentiment qu’on nous met des bâtons dans les roues. Les amendes commencent à pleuvoir et pour un petit collectif comme nous, ce n’est pas tenable. »
« On parle de donner un petit déjeuner chaud à des personnes qui ont passé la nuit dehors. Certaines sont là depuis des semaines, voire des mois, on les aide à tenir le coup, ce n’est quand même pas le bout du monde ! On a le sentiment que l’on ne veut surtout pas que les migrants deviennent visibles, quitte à les empêcher de manger. »
« La solution est-elle de cesser de nourrir les gens ? »
Interrogée par « 20 Minutes », la préfecture de police (PP) réfute de son côté toute « interdiction » de distribution. « Il n’y a eu aucun arrêté pris par la préfecture de police au sujet de la distribution de nourriture. En revanche, nous demandons aux associations de se décaler pour éviter les troubles à l’ordre public », indique-t-on au site d’information au sein de la PP.
« Il n’est pas question d’interdire la distribution de nourriture. Toutefois, depuis quelque temps, on nous fait remonter un certain nombre de problèmes, notamment de tensions et d’altercations entre migrants et avec des bénévoles, à l’entrée du centre au moment de cette distribution », explique la mairie de Paris, toujours interrogée par « 20 Minutes ». Selon cette « source proche du dossier », la distribution poserait un « problème de propreté car les déchets sont jetés à terre ». « Nous réfléchissons actuellement à un aménagement spécifique sur l’espace public et à proximité pour permettre cette distribution », ajoute-t-elle.
« Je ne peux pas me prononcer pour tous les collectifs, mais nous nettoyons derrière nous ! », répond la bénévole. « Nous nous rendons sur le site avec des poubelles dans lesquelles les migrants mettent leurs déchets. La solution, s’il y a de la saleté, est-elle de cesser de nourrir les gens ? Il s’agit d’un problème d’urgence humanitaire ! Cette réponse est totalement inadaptée. »
Depuis plusieurs mois, les associations comme MSF dénoncent le « harcèlement » subi par les migrants afin d’éviter la création d’un nouveau campement à Paris, dans un contexte de pénurie des hébergements d’urgence.
L’ouverture en novembre d’un centre d’accueil, porte de la Chapelle, devait contribuer à résoudre le problème, en hébergeant les migrants avant de les orienter vers des foyers plus pérennes. Mais les places en Centres d’accueil et d’orientation (CAO), qui ont déjà hébergé plus de 5.000 personnes selon les autorités, se feraient rares.
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France : Théo remercie ses soutiens dans une vidéo sur Facebook.
« C’est toutes vos visites qui m’ont tenu debout, c’est tout ce que vous avez fait pour moi pendant cette convalescence qui a fait qu’aujourd’hui, je suis parmi vous », déclare le jeune homme de 22 ans, grièvement blessé lors d’une violente interpellation à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
« Aujourd’hui, je suis sorti de l’hôpital et grâce à dieu, je suis sorti sur mes deux jambes. » Théo, le jeune homme de 22 ans grièvement blessé lors d’une violente interpellation à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), remercie ses soutiens dans une vidéo postée sur Facebook, jeudi 16 février.
« Je tenais à faire une vidéo pour vous dire un très très grand merci à chacun d’entre vous, dans toutes vos lettres que vous m’avez écrit, que ce soit sur Facebook, via les messages, via ma famille, via mes amis ça m’a fait un très très grand plaisir et ça m’a donné beaucoup de force », déclare le jeune homme assis sur un canapé, aux côtés de sa mère et de l’une de ses sœurs
« C’est toutes vos visites qui m’ont tenu debout, c’est tout ce que vous avez fait pour moi pendant cette convalescence qui a fait qu’aujourd’hui, je suis parmi vous et que je puisse m’exprimer à travers cette vidéo », poursuit le jeune homme, précisant avoir vu « beaucoup de messages [de soutien] de l’étranger ».
« Je suis encore très très fatigué ».
Théo revient également sur son état de santé, indiquant qu’il avait préféré quitter l’hôpital ne supportant pas l’ambiance qui y régnait. « Je suis encore très très fatigué. La blessure n’est pas encore guérie », déclare-t-il.
Mais il compte bien se remettre : « Je vais me reposer et je vais essayer de donner de mes nouvelles le plus souvent possible. Et lorsque j’irai mieux, je ferai le nécessaire pour répondre à tous vos courriers. »
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Présence d’acrylamide (cancérogène) dans des biscuits pour bébés vendus en France .
De l’acrylamide, une substance cancérogène, a été retrouvée à un niveau supérieur aux indications européennes dans des biscuits pour bébés de marque Nestlé vendus en France, et à des niveaux proches de ce seuil dans deux autres produits, selon la fondation Changing Markets.
Selon une analyse indépendante de 25 biscuits pour enfants en bas âge commercialisés en France, l’acrylamide, classée comme cancérogène probable par l’OMS, a été retrouvée à une concentration de 226,1 microgrammes par kg dans les « P’tit Biscuit texture croquante et fondante » de marque Nestlé.
La valeur maximale recommandée au niveau européen pour les biscuits pour jeunes enfants a été fixée à 200 microgrammes, rappellent Changing Markets, l’ONG environnementale WECF et le rassemblement de consommateurs SumOfUs dans un communiqué publié jeudi.
La concentration retrouvée est aussi proche de ce maximum toléré dans les biscuits bio « Mes 1ers Biscuits Orange » de Picot, marque du groupe Lactalis, (198,3 microgrammes) et dans les « biscuits junior aux pépites de chocolat » de marque Carrefour (192 microgrammes).
Tous les autres produits analysés, y compris d’autres biscuits des trois marques incriminées, sont largement en-dessous (moins de 30 à 135,5 microgrammes).
La direction de Nestlé France a fait part jeudi soir de « sa grande surprise à la vue de ces résultats ».
« Nous faisons effectuer des mesures régulières par des laboratoires indépendants et nous sommes très significativement en dessous des indicateurs européens », a déclaré à l’AFP Pierre-Alexandre Teulié, un des directeurs généraux de Nestlé France.
« Nous sommes totalement ouverts à la discussion avec SumOfUs afin de comprendre comment ils en sont arrivés à ces résultats », a-t-il dit.
La présence d’acrylamide dans certains aliments est documentée depuis 2002, particulièrement dans les aliments à base d’amidon quand ils sont frits ou cuits à haute température.
« Depuis, Nestlé travaille à réduire l’apparition d’acrylamide lors de la cuisson des produits », a indiqué M. Teulié. « La sécurité alimentaire est notre premier impératif », a-t-il ajouté.
En septembre, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), avait épinglé dans un rapport la présence de neuf polluants à des niveaux préoccupants dans l’alimentation des jeunes enfants, dont l’acrylamide.
Un projet de réglementation sur cette substance est en cours de discussion entre la Commission européenne et les États membres, et doit faire l’objet d’un vote en mars. Mais « la proposition ne contient pas de limites contraignantes (…) et conserve des recommandations de teneurs trop élevées par rapport à ce qui peut être mis en oeuvre par les industriels », jugent les trois organisations.
« Les autorités doivent adopter un nouveau protocole qui comprend des limites contraignantes en deçà des limites actuelles et les industriels prendre ce sujet très au sérieux pour adopter les mesures nécessaires dans le processus de fabrication des produits », en particulier ceux destinés aux enfants, a réclamé Véronique Moreira, présidente de WECF France, citée dans le communiqué.
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Santé : Des traces d’iode radioactive détectées dans l’air, en France et en Europe.
Elles ont été détectées, courant janvier, un peu partout en Europe. Des traces d’iode radioactif ont été enregistrées depuis la première semaine de janvier dans plusieurs pays européens, dont la France, a affirmé l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), dans un communiqué publié lundi 13 février. L’iode 131 est un élément radioactif qui expose aux risques d’irradiation lorsqu’il est relâché à fortes doses par accident, nucléaire par exemple. Mais il est aussi utilisé à des fins médicales à plus faible dose.
L’IRSN a été alerté de cette pollution radioactive par le réseau européen Ring of Five, regroupant des organismes scientifiques en charge de la surveillance radiologique de l’atmosphère. Depuis le 9 janvier, plusieurs stations européennes ont ainsi relevé des niveaux « extrêmement faibles » de présence d’iode 131 dans l’air. Les premières traces ont été détectées en Norvège, puis en Finlande, en Pologne, en Allemagne ou encore en France. Les niveaux relevés, tous de l’ordre du microbecquerel par mètre cube, ne représentent pas de danger pour la santé, assure l’IRSN.
La piste d’un rejet industriel.
Il s’agit toutefois d’un « événement relativement exceptionnel », souligne Olivier Masson, spécialiste de la surveillance atmosphérique à l’IRSN, contacté par franceinfo. « Depuis 2010, il n’y a eu qu’une dizaine d’événements comme ça qui ont fait l’objet d’un signalement au niveau européen », rappelle ainsi le chercheur. Le dernier épisode significatif en date remonte à début 2011, en raison des retombées radioactives de l’accident de Fukushima, au Japon. A titre de comparaison, ces dernières « étaient environ 10 000 fois supérieures à celles mesurées en janvier 2017 », relève l’association Criirad dans un communiqué (PDF).
Mais alors, d’où proviennent ces mystérieuses traces décelées depuis début janvier ? Si l’IRSN attend de recevoir de nouvelles données en provenance de certains pays, l’hypothèse d’un rejet industriel semble se dessiner. « Cela ressemble plus à un rejet continu qu’à un rejet instantané, même si on a reçu des valeurs un peu plus faibles dernièrement », analyse ainsi Olivier Masson.
Pour lui, le rejet a dû se produire assez loin de la France et d’autres pays européens, « probablement hors du territoire strictement européen ». En effet, les traces ont été détectées, au niveau du continent européen, à peu près en même temps et aux mêmes niveaux. « Cela signifie que le rejet a eu le temps de se disperser », décrypte le scientifique.
Sans la météo, ce serait passé « inaperçu ».
Enfin, les conditions météorologiques, qui ont participé à l’épisode de pollution aux particules fines, ont de la même manière joué un rôle dans la détection de ces niveaux d’iode 131. « Sans cela, elles seraient passées inaperçues car on est très proche des limites de détection des appareils », assure Olivier Masson. En outre, la météo livre un nouvel indice sur la localisation : au début de l’année, « on était sous un régime de vents d’est », ce qui laisse donc à penser « que la source se situe plus à l’est qu’à l’ouest de l’Europe ».
Si la piste du rejet industriel est confirmée, l’événement rappellera un épisode similaire survenu en octobre-novembre 2011, bien après les retombées de Fukushima. Des traces d’iode 131 avaient alors été décelées dans plusieurs pays européens, un peu comme en janvier. L’enquête avait finalement permis de remonter à un institut de production de radionucléides pour des produits pharmaceutiques, situé dans la région de Budapest (Hongrie), victime d’un rejet accidentel.
Comme le rappelle l’association Criirad, de nombreuses installations sont en effet autorisées à rejeter de l’iode 131 dans l’atmosphère, dans la limite des normes autorisées. C’est le cas des centrales électronucléaires, les usines de retraitement comme celle de La Hague (Manche) ou encore les installations liées à l’utilisation d’iode 131 dans le domaine médical. Les rejets accidentels, aussi infimes soient-ils, sont autant d’occasions de le rappeler aux Français et à leurs voisins Européens vivant à proximité.
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Voici tous les signes d’une bonne fin !
Dans l’Islam, il existe dix-neufs signes qui permettent de juger de la bonne fin de vie d’une personne et de sa possible accession au paradis. En effet, toute personne qui meurt de l’une des façon suivante, est une preuve de bonne fin.
1) Citer l’attestation de foi (al-Shahada) avant de mourir;
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: «Accédera au paradis celui dont la dernière parole est : Il n’y a de dieu qu’Allah» (rapporté par Abou Daoud).
2) Mourir en suant du front, c’est-à-dire transpirer de façon à ce que la sueur coule sur son visage.
Car Bourayda ibn al-Houssayb affirme avoir entendu le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam): «La mort du croyant s’accompagne d’une sueur au front».
3) Mourir le jour ou la nuit du vendredi.
le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Tout musulman qui meurt le vendredi sera protégé contre les épreuves de la tombe». (Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani).
4) Mourir pendant les affrontements de la guerre sainte.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui meurt sur le chemin d’Allah est aussi un martyr».
Et le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui meurt sur le chemin d’Allah est aussi un martyr». (rapporté par Mouslim, 1915).
5) Celui qui meurt en combattant sur le chemin d’Allah (subhanou wa ta’ala). Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «La peste donne le martyr à tout musulman (qui en meurt)». (Boukhari & Mouslim).
6) Mourir de la peste.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui meurt d’une maladie du ventre est un martyr». (Mouslim).
7) Mourir suite à une maladie du ventre.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Cinq sont des martyrs : celui qui meurt à cause de la peste, celui qui succombe à une maladie du ventre, le noyé, celui qui meurt dans un effondrement et celui qui meurt sur le chemin d’Allah». (Boukhari).
8) et 9) Mourir noyé et sous les décombres.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Cinq sont des martyrs : celui qui meurt à cause de la peste, celui qui succombe à une maladie du ventre, le noyé, celui qui meurt dans un effondrement et celui qui meurt sur le chemin d’Allah». (Boukhari).
10) Le décès d’une femme lors de son accouchement.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Est martyr la femme qui meurt porteuse ». Selon Al-Khattabi cela désigne la femme qui meurt enceinte». (attesté par un hadith rapporté par Abou Daoud).
11) et 12) et 13 Mourir brûlé et par la plèvre (membre thoracique) ou mourir de la tuberculose.
«Etre tué sur le chemin d’Allah est un martyr, mourir dans la peste est un martyr, mourir de noyade est un martyr, mourir des suites d’un accouchement fera que la martyr sera traînée par son enfant à l’aide du cordon ombilical». Aboul Awwam, gardien de Beyt al-Maqdis ajoute : «et celui qui meurt de brûlure ou de tuberculose».
14) Celui qui meurt en défendant ses biens.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam): «Celui qui est tué alors qu’il défend ses biens est un martyr comme celui qui est tué alors qu’il défend sa foi ou sa vie». (Majmû’ Al-Zawâ’id (2/317) et (5/301).
15) et 16) Celui qui meurt en défendant sa religion et sa personne.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui meurt en défendant ses biens meurt martyr, celui qui meurt en défendant sa famille meurt martyr, celui qui meurt en défendant sa religion meurt martyr, celui qui meurt en défendant sa personne meurt martyr». (Rapporté par Abû Dâwud (2/275), Al-Nasâ’î, At-Tirmidhi et Ahmad selon Sa’îd b. Zayd et sa chaîne de narrateurs est authentique).
17) Celui qui meurt en faisant la garde sur le sentier d’Allah, meurt martyr.
Le prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Monter la garde un jour et une nuit est meilleur que jeûner et prier tout un mois, et s’il meurt, il lui sera compté les mêmes actions que celles qu’il effectuait ; Sa subsistance lui est dispensée et il est à l’abri de l’épreuve». (Rapporté par Muslim (6/51), Al-Nasâ’î (2/63), At-Tirmidhî (18/3), Al-Hâkim (2/80), Ahmad (5/440 et 441) selon Salmân Al-Fârisî).
18) Mourir durant l’accomplissement d’une bonne action.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui dit : « Il n’y a pas de dieu en dehors d’Allah » avec la seule intention de complaire à Allah accédera au paradis. Celui dont le dernier acte est une aumône accédera au paradis». (Rapporté par l’imam Ahmad, 22813).
19) Celui qui est tué par un dirigeant oppresseur après lui avoir donné des conseils.
Conformément à la parole du Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) qui a dit: «Hamza b. ‘Abdul-Mutalab est le maître des martyrs, et aussi toute personne qui va chez un dirigeant oppresseur pour lui ordonner (le bien) et lui interdire (le blâmable) et qui ensuite se fait tuer».
Ces signes sont de bons indices qui traduisent la bonne fin. Cependant nous n’en déduisons pas qu’une personne déterminée accédera au paradis, à moins qu’il s’agisse de quelqu’un en faveur duquel le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a fait un témoignage dans ce sens, comme c’est le cas des quatre califes rashidun (Abou Bakr As-Siddiq, Omar ibn al-Khattâb, Othmân ibn Affân , Ali ibn Abi Talib).
Qu’Allah (subhannou wa ta’ala) nous accorde une belle fin !
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France : « Les députés votent une loi qui protège les corrompus » .
uite à cette nouvelle loi qui protège les corrompus, des rassemblements citoyens sont organisés à travers toute la France. Nous partageons avec vous les villes à travers la France qui participeront à ce rassemblement contre la corruption qui aura lieu ce dimanche 19 février.
A Angers Place du Ralliement à 15h,
A Bourg-en-Bresse Place de la mairie à 15h,
A Lyon Place Bellecour à 15h,
Orléans à 15h Place du Martroi.,
A Clermont-Ferrand à 15h Place de Jaude.,
A Paris : Place de la République à 15h,
A Toulouse : Place du Capitole à 15h,
A Marseille : Devant la mairie,
A Rennes : Place de la mairie à 15h,
A Bordeaux : Place de la République à 15h,
A Montpellier : Place de la Comédie à 15h,
A La Rochelle Samedi 18 février à 16h Place de Verdun,
A Rouen : Place de l’hôtel de ville à 15h,
A Bordeaux : Place de la République à 15h,
A St-Omer : Grandplace de St-Omer à 15h,
A Sens à 11 h Place de la République,
A Toulon à 15h Place de la liberté.
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Le leader mondial des fonds indiciels basés sur l’or certifié Charia compatible.
L’agence de presse Reuters rapporte que SPDR Gold Trust vient de déclarer mercredi qu’il était certifié conforme aux principes de la finance islamique. Cette déclaration doit permettre de stimuler la demande de lingots auprès des investisseurs musulmans.
SPDR est un fonds indiciel côté en bourse, première réserve mondiale d’or privée détenant 836,7 tonnes de lingots d’une valeur de 33 milliards de dollars. Les fonds indiciels cotés ont pour caractéristique de reproduire les variations d’un indice d’actions, d’obligations ou encore de matières premières, ce qui est le cas du fonds SPDR Gold Trust qui reproduit la variation du cours de l’or.
Au 1er Janvier 2016, les banques centrales détenaient environ 20 % des réserves d’or mondiales soit exactement 32 702 tonnes d’après leurs déclarations. World Gold Trust Services, filiale du World Gold Council (WGC) qui est l’organisation chargée du développement du marché de l’industrie aurifère, a indique dans un communiqué à Reuters que le fonds avait reçu la certification de la société malaisienne Amanie Advisors, un cabinet de conseil Charia spécialisé en finance islamique. Ce fonds est donc maintenant conforme au dernier standard aurifère de l’Organisation de Comptabilité et d’Audit des Institutions Financières Islamiques (AAOIFI) récemment adopté.
Selon un rapport du WGC, l’année dernière, la demande d’investissement pour l’or a augmenté de 70 % et les fonds indiciels côtés basés sur l’or ont connu une augmentation de 532 tonnes, la deuxième meilleure année jamais enregistrée après l’augmentation de 646 tonnes en 2009.
Cependant, toujours selon le même rapport, la demande de lingots d’or et de pièces a chuté au Moyen-Orient de 71 %, en 2016, et celle des bijoux de 15,6 %. Les analystes estiment que les acheteurs du Moyen-Orient ont fait des transactions en or bien avant que le dernier standard aurifère de l’AAOIFI ne soit publié. Par conséquent, ils estiment que cette annonce ne devrait pas avoir de conséquence rapidement observable au niveau de la demande mondiale.
Néanmoins, cela facilitera aux institutions financières islamiques l’accès à l’actif refuge en cas de mouvements brusques sur les marchés.
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Un érudit égyptien estime que boire de la bière n’est « pas haram ».
Peu importe la bière, pourvu qu’il n’y ait pas l’ivresse… Cette pensée pour le moins iconoclaste, mais qui se défend d’être enivrante, émane d’un éminent savant égyptien, Khaled El Gendy, un sage parmi les sages siégeant au sein du Conseil suprême des Affaires islamiques.
Pour cette grande figure de l’islam au pays des pharaons, tout est question d’interprétation quand on lit le Coran. C’est à la lueur de l’école hanafite qu’il s’éclaire pour estimer que certains alcools, telle la bière, ne tombent pas sous le coup du « haram », aussi longtemps que leurs effluves grisantes ne deviennent pas étourdissantes.
« La bière n’est pas haram, puisqu’elle n’est pas produite à partir de raisins ou de dates. Elle devient haram si elle est consommée en grande quantité, jusqu’à l’état d’ébrieté », a-t-il déclaré sur la chaîne DMC TV en se référant à un érudit et juriconsulte émérite de l’école Hanafite, Abou Hanifa un-Nu’man ibn Thābit, appelé le Grand Imam, tant il faisait autorité en matière de Charia, la législation islamique.
Devant les caméras de la chaîne égyptienne Attahir, Khaled El Gendy a étayé ses dires en s’appuyant sur un verset du Coran : « O Croyants ! N’approchez pas de la Salat alors que vous êtes ivres, jusqu’à ce que vous compreniez ce que vous dites (…) » sourate 4 « Les Femmes » – verset 43.
Tout est dans la nuance interprétative aux yeux de ce haut dignitaire religieux qui invite à ne pas prendre cette injonction divine au pied de la lettre, mais à la traduire de manière plus subtile et moins définitive. Autrement dit, si, entre l’alcool et l’ivresse, il ne fallait en blâmer qu’un, seule la deuxième serait à proscrire formellement.
De là à penser qu’il pourrait reprendre à son compte le célèbre slogan de santé publique « boire avec modération », il y a un pas que l’on ne s’autorisera pas toutefois à franchir…
En tout cas, à l’autre bout de la planète, à Sydney, la conception libérale, et non moins controversée, de l’alcool en islam à laquelle se réfère Khaled El Gendy fait écho chez un autre imam égyptien, Sheik Rashid Mustafa. Ce dernier s’en fait même le chantre, au même titre qu’il considère que le port du voile n’est pas obligatoire.
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Palestine : Le Hamas rejette l’offre d’une aide économique à Gaza proposée par Israël, en échange de l’arrêt du terrorisme.
Un responsable du Hamas a rejeté vendredi l’offre d’une aide massive à la bande de Gaza en échange du renoncement du groupe islamiste aux roquettes et aux tunnels terroristes, proposée la veille par le ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman.
« Si Gaza avait voulu être comme Singapour, il l’aurait fait déjà », a déclaré le porte-parole du Hamas Mahmoud al-Zahar, selon les médias israéliens.
Le porte-parole a également déclaré que l’appel lancé par Lieberman pour que le Hamas rende les corps des deux soldats israéliens et trois civils israéliens retenus en captivité en échange d’une prospérité économique était déplacé.
Se référant aux terroristes palestiniens détenus en Israël, Zahar a déclaré que le Hamas ne libérera les captifs que lorsqu’Israël libérera « tous les combattants héroïques palestiniens de toutes les factions ».
A l’occasion du lancement du nouveau du COGAT (Coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires), l’organisme du ministère de la Défense qui sert de liaison entre Israël et les territoires palestiniens, Lieberman a proposé aux habitants de Gaza de mettre en œuvre des moyens pour développer la prospérité économique de l’enclave palestinienne, si le Hamas renonçait à la violence contre Israël.
« Au moment où le Hamas abandonnera les tunnels et les roquettes, nous serons les premiers à investir et à construire un port maritime, un aéroport et des zones industrielles », a déclaré Lieberman. « Nous sommes en mesure de créer immédiatement environ 40.000 emplois pour les résidents de Gaza », a-t-il renchéri.
Liberman a également déclaré que l’organisation islamiste devrait accepter de renoncer aux tunnels terroristes transfrontaliers, aux roquettes », et « bien sûr, et c’est la première étape et la plus importante, [faciliter] le retour des corps de nos soldats et des citoyens israéliens prisonniers du Hamas ».
Selon plusieurs sources, le Hamas tient en otage trois hommes israéliens qui ont traversé Gaza de leur propre gré: Avraham Mengistu, Hisham al-Sayed et Juma Ibrahim Abu Ghanima, dont la présence à Gaza n’a pas été confirmée. Le Hamas détient également les corps des soldats israéliens Oron Shaul et Hadar Goldin, morts au combat durant la guerre de Gaza de 2014.
Israël a retiré en 2005 toutes ses troupes et civils de la bande de Gaza, où vivent près de 2 millions de Palestiniens. Depuis 2007, l’enclave est gouvernée par l’organisation terroriste du Hamas après des élections et un coup de force mené contre le Fatah.
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La France coupable de crimes contre l’humanité en Algérie? La LADDH prête à porter plainte.
Alors que l’Algérie commémorait cette semaine le 57e anniversaire des premiers essais nucléaires français dans le Sahara en 1960, la LADDH (Ligue algérienne de défense des droits de l’homme) a annoncé qu’elle allait porter plainte contre la France pour crime contre l’humanité auprès de la Cour pénale internationale de La Haye.
Cette semaine l’Algérie commémore le 57e anniversaire des essais nucléaires français dans le Sahara. Pour la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), c’est aussi l’occasion d’évoquer le sujet des indemnisations qui devraient être versées par la France aux victimes des essais nucléaires. Accusant cette dernière de crime contre l’humanité, la LADDH se dit déterminée à porter plainte auprès de la Cour pénale internationale de La Haye.
« Il était temps pour notre ONG d’utiliser des armes juridiques pour défendre les droits des victimes algériennes. La LADDH porte plainte contre la France pour crimes contre l’humanité pour plusieurs raisons: les conséquences sur l’environnement et les populations, et les conséquences morales. Nous voulons que toute la lumière soit faite sur ces répercussions. Jusqu’à présent, on ne sait pas exactement ce qui ce qui se passe à Reggane et à Tamanrasset (les deux lieus des essais nucléaires, ndlr). Les radiations sont toujours actives, elles peuvent continuer pendant 3 000 à 4 000 ans. Nous saisissons donc le tribunal de La Haye pour dénoncer l’inconscience de la France », a déclaré Houari Kaddour, secrétaire national de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme dans une interview exclusive à Sputnik.
Si la question de l’indemnisation des victimes est régulièrement mise en avant, l’emploi de la notion de crime contre l’humanité à ce sujet semble, lui, relativement nouveau.
En effet, entre 1960 et 1996, la France a effectué plus de deux cents essais nucléaires, d’abord dans le désert algérien puis en Polynésie française, dont les répercussions sur les populations locales et l’environnement seraient préoccupantes: la LADDH parle de dizaines de milliers de victimes directes et même de centaines de milliers de victimes indirectes en Algérie, touchées par des cancers et des malformations. L’été dernier, des Polynésiens avaient déjà déposé une plainte similaire.
Les objectifs de cette initiative lancée par la LADDH sont à la fois concrets et symboliques:
« Le premier objectif [de cette plainte], c’est d’obtenir que l’État français [décontamine] les sites. Deuxièmement, la France doit arrêter de croire qu’elle peut commettre des crimes sans être jugée », explique M. Kaddour.
En même temps, tout en accusant la France et prônant la restitution de la justice, M. Kaddour insiste sur le fait que la LADDH ne veut pas rentrer en conflit avec la France.
« Ce qu’on veut, c’est que l’humanité vive en paix », insiste-t-il.
Récemment le candidat à la présidentielle en France, Emmanuelle Macron était en déplacement en Algérie où il a également évoqué la colonisation française en général et parlé de crime contre l’humanité.
Pour M. Kaddour, il n’y a rien d’anormal dans cette déclaration:
« Il faut que les Français fassent face à la vérité au regard de la morale et de l’histoire, pour permettre à nos deux nations, l’Algérie et la France, de vivre en paix. Je crois qu’il est temps que les Français et les Algériens abordent tous les problèmes, pas seulement le problème des essais nucléaires», conclut-il.
Le Forum national algérien sur les tests nucléaires français dans le Sahara algérien s’est déroulé à Alger à l’occasion du 57e anniversaire du premier essai nucléaire aérien dans le Sahara algérien le 13 février 1960 dans le cadre de l’opération « Gerboise bleue ». Initialement estimée à 13 kilotonnes, la puissance de cette explosion effectuée à Hammoudia, à 50 km de Reggane, a atteint 60-70 kilotonnes, soit trois fois celle de la bombe d’Hiroshima. Elle a entraîné la projection de radiations dans une zone de 200 km de large et de 100 km de long, alors que les habitations les plus proches se trouvaient à seulement 70 km.
Trois autres essais intitulés « Gerboise blanche », « rouge » et « verte » se sont déroulés dans le sud-ouest de l’Algérie en avril 1960. Plus tard, la France a mené 57 autres essais. Après l’indépendance de l’Algérie, en 1962, 13 essais souterrains ont eu lieu dans le cœur rocheux de la montagne d’In Ecker jusqu’en 1966.
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Belgique : Lutte antiterroriste: faut-il donner plus de pouvoir aux bourgmestres ?
La commission terroriste du Parlement propose que les bourgmestres puissent fermer les lieux publics s’ils suspectent des liens avec le terrorisme. Cela concerne notamment certaines mosquées. Certains bourgmestres estiment qu’ils n’ont pas toutes les données pour le faire et préfèrent laisser ce rôle au parquet. Un reportage de Mathieu Langer et Marc Evrard.
Les bourgmestres pourraient bientôt avoir le pouvoir de fermer des lieux publics, s’ils les soupçonnent d’être en lien avec une activité terroriste. La proposition vient de la commission terroriste du Parlement, mais ne fait pas encore consensus. Fermer un établissement qui présente un risque pour la population, le bourgmestre de Liège, Willy Demeyer, l’avoue : après avoir récolté les informations du parquet, il n’a pas pris cette décision à la légère. Hier, à l’hôtel de police, il rencontrait les membres d’une mosquée réputée pour ses prêches radicaux. « Lors de cette réunion, j’ai eu l’occasion de leur expliquer pourquoi j’avais pris cette décision. Il y avait d’abord un problème de sécurité dans le bâtiment, et une deuxième décision de fermeture pour faits liés au terrorisme », explique Willy Demeyer. Car en cas d’indice sérieux, les bourgmestres verraient leur pouvoir étendu en matière de contrôle de lieux dit suspect. Plus question de prétexter des manquements urbanistiques d’insalubrité.
Trop de responsabilités.
« On est obligés de ne pas aborder la problématique de front, et si cette proposition de loi passe ça permettra en effet de faciliter la possibilité de fermer ces lieux » dit Denis Ducarme, un membre de la commission terrorisme à la chambre. Mais pour certains bourgmestres, ces dispositions leur donnent trop de responsabilités: « Je pense que c’est le parquet qui doit prendre cette décision, parce que c’est évidemment une décision très difficile à prendre, et qui expose les bourgmestres plus que de raison. Ce serait beaucoup mieux que le parquet endosse cette responsabilité, sur base de ses propres jugements », affirme le bourgmestre de Liège. Une idée que Denis Ducarme veut contrer : « Si le bourgmestre veut se faire encadrer par un soutien de son collège pour ne pas être seul dans cette démarche, il peut le faire, et on en discutera tout à l’heure en commission ».
A Liège, si la mosquée reste fermée, d’autres rencontres avec ses membres et les autorités sont prévues dans les prochaines semaines, afin d’évaluer la situation.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Série d’événements populaires en soutien à Al-Qiq
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43 palestiniens interdits de voyager la semaine dernière
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Démolition d’une maison jérusalémite à Silwan
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Un officier de police palestinien grièvement blessé dans un accident de voiture
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L’occupation convoque le père de deux martyrs
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L’occupation prend d’assaut Ramallah et convoque 2 jeunes
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Inauguration du Forum sur Jérusalem à Gaza
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150 colons israéliens envahissent la vallée du Jourdain
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Les habitants d’Hébron demandent la levée du blocus
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L’occupation réprime les marches hebdomadaires à Na’lin et Kafr Qadoum
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Une pétition appelle la Grande-Bretagne à présenter des excuses pour Balfour
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Les colons envahissent Sebastia à Naplouse
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La situation sanitaire des prisonniers palestiniens se détériore
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L’occupation attaque le village d’Awarta au sud de Naplouse
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4 blessés dans des affrontements avec l’occupation à Tako’a
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Appels palestiniens à boycotter les produits sionistes
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