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Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 30 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 30 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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154 parlementaires demandent à Hollande de reconnaître (enfin) l’Etat de Palestine.
Quelque 154 députés et sénateurs français de tous les bords politiques demandent à François Hollande la reconnaissance de l’Etat de Palestine, dans un courrier transmis dimanche à l’AFP.
« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël », écrivent ces parlementaires au chef de l’Etat.
Rappelons que la reconnaissance de la Palestine faisait partie du programme électoral de Hollande en 2012. Mais près de 5 ans plus tard, le président élu n’a pas honoré son engagement, préférant un alignement à 100% sur la politique des assassins qui gouvernent Israël.
« Monsieur le président, montrez-vous à la hauteur de l’enjeu et ne manquez pas ce rendez-vous avec l’Histoire, en reconnaissant dès à présent l’Etat de Palestine », demandent les parlementaires.
La plupart des groupes politiques, de gauche comme de droite, sont représentés dans la liste des signataires. Dans celle-ci figurent notamment Gilbert Roger, sénateur PS président du groupe d’amitié France-Palestine, les communistes Marie-George Buffet et Pierre Laurent, les sénatrices écologistes Aline Archimbaud et Esther Benbassa, les socialistes Marie-Noëlle Lienemann, Mathieu Hanotin, Catherine Tasca ou les LR Jean-Luc Reitzer et Michel Voisin.
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A quoi ressemblerait la France de Marine Le Pen ?
Marine le pen a présenté son programme, dimanche 5 février, à Lyon, reprenant les thématiques traditionnelles du Front national, ainsi que de nombreuses mesures de sa campagne de 2012. Le leitmotiv est la préférence nationale, déclinée dans tous les domaines. Trois semaines plus tard, dimanche 26 février, alors que la candidate frontiste donne un grand meeting à Nantes, franceinfo imagine à quoi pourrait ressembler le pays si Marine Le Pen devenait présidente.
Vers une sortie de l’Union européenne.
C’est la priorité pour la présidente du FN, qui accuse régulièrement l’Union européenne de tous les maux : renégocier les traités européens avant d’organiser un “référendum sur l’appartenance” à l’UE. La candidate entend ainsi “rendre à la France sa souveraineté”, notamment “monétaire et législative”. Le programme ne mentionne plus explicitement la “sortie de l’euro”, une proposition qui inquiète beaucoup dans l’électorat, notamment âgé. Mais, en réalité, cette mesure est toujours à l’ordre du jour, comme l’expliquent Les Echos . Le FN parle à présent du “rétablissement d’une monnaie nationale”, sans s’étendre dans son programme sur les moyens d’y parvenir. Sur Europe 1 , Marine Le Pen assure “qu’il n’y aura pas deux monnaies en France” mais qu’“il est possible d’envisager une monnaie commune exclusivement pour l’Etat ou les grandes entreprises”.
Des mesures économiques et sociales orientées à gauche.
Les dirigeants du Front national n’en font pas mystère : c’est avant tout sur ces thématiques qu’ils doivent convaincre s’ils veulent remporter l’élection. Cette année, le FN a donc choisi de rester assez évasif sur les modalités pratiques de la sortie de l’euro. Pour le reste, Marine Le Pen présente plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des plus modestes, donnant à cette thématique une coloration de gauche. Dans Les Echos , le maire FN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, assure ainsi que “ la défense des acquis sociaux est au cœur du projet” .
La mesure la plus emblématique de ce positionnement est le retour de l’âge légal de la retraite à 60 ans, avec 40 ans de cotisations pour une retraite à taux plein. Marine Le Pen propose aussi une prime de pouvoir d’achat pour “les salariés et les retraités qui touchent moins de 1 500 euros”, financée par une taxe sur les importations, qui pourrait coûter 20 milliards d’euros. Cette prime s’élèverait à “à peu près 80 euros par mois” pour une personne gagnant 1 500 euros, a estimé la candidate lors de l’émission “Questions d’info”. L’impôt sur le revenu des trois premières tranches serait baissé de 10%. Un impôt que tous les Français devraient payer, même de façon symbolique, alors qu’aujourd’hui, un foyer sur deux s’en acquitte.
Sur les questions liées au travail, la candidate veut abroger la loi El Khomri. La durée légale du travail resterait fixée à 35 heures, mais les branches pourraient négocier des durées supérieures, à condition d’aboutir à des formules du type “39 heures payées 39”, comme Marine Le Pen l’explique dans Le Parisien . Elle veut aussi rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires, mise en place sous Nicolas Sarkozy puis supprimée par François Hollande.
Le financement de toutes ces mesures reste toutefois assez flou, estiment Les Echos . Elles se traduiraient d’abord par un accroissement du déficit à court terme, reconnaît le FN. Mais le parti compte sur la lutte contre la fraude fiscale et sociale, ainsi que sur des gains liés à la simplification administrative, deux leviers censés rapporter 60 milliards d’euros sur un quinquennat. Le magazine Challenges estime, lui, que la facture de ce programme est “délirante” .
Une France plus fermée.
C’est un incontournable des programmes du FN : une batterie de mesures censée réduire l’immigration, illégale mais aussi légale. Pour cela, Marine Le Pen veut supprimer le droit du sol et la binationalité extra-européenne. Elle compte réduire à 10 000 le solde annuel d’entrées légales sur le territoire. Le regroupement familial ne serait plus autorisé, tout comme l’acquisition automatique de la nationalité française par le mariage. Le droit d’asile serait aussi restreint. Les étrangers en situation irrégulière ne pourraient pas être régularisés ni naturalisés. La France sortirait de l’espace Schengen et instaurerait à nouveau des contrôles à ses frontières.
La candidate veut faire de la “priorité nationale” la règle pour les politiques publiques, et prévoit donc de l’inscrire dans la Constitution. Cela se traduirait, par exemple, par le fait de réserver les logements sociaux aux Français, de taxer les emplois occupés par des étrangers, ou encore d’instaurer une carence de deux ans avant d’avoir accès au système de soins ou de toucher des prestations sociales. L’aide médicale d’Etat serait supprimée.
Le rétablissement de la “souveraineté” implique aussi des mesures protectionnistes, avec une taxation, voire une interdiction des importations de certains produits. Une partie de la commande publique pourrait être réservée aux entreprises françaises. La candidate demande aussi l’abrogation de la directive européenne sur les travailleurs détachés. Enfin, l’embauche d’un salarié étranger (même européen) serait taxée à hauteur de 10%.
Côté institutions, des propositions dans la lignée de 2012.
Le FN veut faire de la proportionnelle la règle pour tous les scrutins. A l’Assemblée nationale, ce serait une proportionnelle intégrale, avec une prime de 30% pour la liste arrivée en tête. Le nombre de députés baisserait de 577 à 300. Marine Le Pen entend aussi s’attaquer au mille-feuille administratif français. Avec sa réforme territoriale, seuls trois niveaux d’administration subsisteraient : les communes, les départements et l’Etat.
En matière sécuritaire, la doctrine du FN n’a pas changé. Marine Le Pen est clairement sur un axe répressif, qui passe notamment par l’embauche de 15 000 policiers, le rétablissement des peines planchers, la suppression des remises de peine automatiques, la création de 40 000 places de prison… Le programme n’évoque cependant plus la peine de mort, remplacée par la perpétuité réelle incompressible.
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Santé : Ces sucres qui favorisent l’Alzheimer.
Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific Reports, ont montré comment un taux élevé de sucre (glucose) dans le sang pourrait être l’une des causes du développement de la maladie d’Alzheimer.
Des études ont déjà montré que les personnes diabétiques ont un risque accru de développer la maladie. Les scientifiques savaient déjà que le glucose et ses produits de dégradation peuvent endommager des protéines dans les cellules via une réaction appelée glycation. Jean van den Elsen et ses collègues des universités de Bath et King’s College London ont maintenant montré un lien entre la glycation et le développement de la maladie d’Alzheimer.
En étudiant des échantillons de cerveaux de personnes avec et sans Alzheimer, ils ont découvert que dans les stades précoces de la maladie, la glycation endommage une enzyme, la MIF (pour macrophage migration inhibitory factor), qui joue un rôle dans la réponse immunitaire et la régulation de l’insuline. La MIF est impliquée dans la réponse des cellules immunitaires gliales contre les plaques et enchevêtrements de protéines, caractéristiques de l’Alzheimer, qui endommagent progressivement les cellules nerveuses.
Les chercheurs pensent que l’inhibition et la réduction de l’activité de la MIF causée par la glycation pourraient être le « point de basculement » dans la progression de la maladie. À mesure que la maladie d’Alzheimer progresse, la glycation de ces enzymes augmente. Les chercheurs estiment que ces travaux pourront aider au diagnostic de la maladie et mener à de nouveaux traitements.
« L’excès de sucre est bien connu pour être mauvais quand il s’agit du diabète et de l’obésité, mais ce lien potentiel avec la maladie d’Alzheimer est une autre raison pour laquelle que nous devrions contrôler l’apport de sucre dans notre alimentation », souligne Omar Kassaar, coauteur.
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Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
L’institution est jugée partiale, notamment dans ses positions envers Israël, et accusée de fermer les yeux sur les pratiques de certains de ses membres, tels l’Arabie saoudite ou la Chine. Les Etats-Unis n’en sont membres que depuis 2009.
Selon le site Politico, Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. L’entourage du président américain reprocherait à l’institution d’agir de manière partiale contre l’Etat israélien, mais également de fermer les yeux sur les exactions commises par la Chine et l’Arabie saoudite.
Les Etats-Unis ne se retireraient pas dans l’immédiat – du moins pas avant la prochaine réunion du Conseil qui doit avoir lieu le 27 février. Mais le sujet aurait d’ores et déjà été abordé au cours de différentes réunions à la Maison-Blanche, comme le rapporte un ancien membre de la diplomatie américaine. «La question de l’utilité générale d’une telle institution et de la pertinence d’un maintien des Etats-Unis en son sein a été soulevée», affirme-t-il.
Lors d’une rencontre avec des membres du département d’Etat, le secrétaire d’Etat Rex Tillerson avait déjà fait part du scepticisme de son administration à l’égard de l’orientation politique présumée du Conseil, pourtant supposé neutre.
Lors de la création du Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2006, en remplacement de la Commission des droits de l’Homme jugée inefficace, George W. Bush avait refusé que les Etats-Unis y siègent. Barack Obama avait finalement décidé de rejoindre l’organisation en 2009.
Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est régulièrement accusé de se servir du prétexte de la lutte contre les violations des droits fondamentaux pour mettre en oeuvre une politique orientée. Si la Russie en a été exclue en 2016 à cause de son intervention dans le conflit syrien, la présence de la Chine, de l’Arabie Saoudite ou du Qatar, pays pourtant régulièrement accusés de violer les droits de l’Homme, suscite de vives critiques de la part de plusieurs associations.
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France : Pétition pour la réouverture de la mosquée de Lagny-sur-Marne.
Depuis le 2 décembre 2015, les musulmans de Lagny-sur-Marne qui représentent 10% de la population, sont privés de leur unique lieu de culte. Après la perquisition de la mosquée, l’assignation à résidence de quelques fidèles et la dissolution de l’association gestionnaire, une nouvelle association cultuelle a été créée dont l’objectif est la réouverture de la mosquée. Malgré les relances, le ministre de l’intérieur Bruno Le Roux refuse d’autoriser sa réouverture.
Conséquence de cette situation : les fidèles de la commune se retrouvent à prier en pleine rue. Une situation scandaleuse qui, semble-t-il ne dérange pas le gouvernement. Une pétition pour la réouverture de la mosquée a été lancée.
La nouvelle assocation Es-Salam qui représente les musulmans de la commune nous a fait parvenir le communiqué a lire sur www.mouslimradio.info.


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« Injustifiable », « inefficace » et « détourné de son objectif » : l’état d’urgence en France dans le viseur d’Amnesty International.
« Le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause », s’alarme l’ONG alors que son rapport annuel est publié, mercredi.
L’état d’urgence en France est dans le collimateur d’Amnesty International. Dans son rapport annuel, publié mercredi 22 février, l’ONG estime que les autorités françaises ont mis à mal « certains droits fondamentaux » avec les multiples prolongations de ce régime d’exception. Selon l’organisation, « le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause ».
Après avoir déjà épinglé l’état d’urgence en France, à la mi-janvier, dénonçant des mesures « discriminatoires », Amnesty international en remet une couche. Franceinfo revient sur les trois principales critiques.
Des prolongements « injustifiables » .
« Pour qu’un état d’urgence soit déclaré ou prolongé, il faut que les autorités en démontrent, à chaque fois, la nécessité », explique à franceinfo le responsable du programme « Libertés » à Amnesty International, Nicolas Krameyer. Or, notre lecture, c’est qu’il n’y a plus de nécessité de l’état d’urgence, ou que cette nécessité n’est plus du tout démontrée par les autorités, ni même par les faits avancés. »
Des experts du terrorisme, auditionnés par l’Assemblée nationale, ont indiqué que « les bénéfices de l’état d’urgence ont essentiellement été durables pendant quelques semaines, après son déclenchement en novembre 2015 », rapporte également Nicolas Krameyer.
« Nous n’avons pas à prolonger l’état d’urgence au-delà de ce qui est strictement nécessaire, mais le gouvernement considère qu’à partir du moment où il y a toujours un danger terroriste, on sera toujours sous l’état d’urgence. Donc, on peut faire comme les Egyptiens, et y être pendant cinquante ans », estime auprès de franceinfo Michel Tubiana, président d’honneur de Ligue des droits de l’Homme. Pour l’avocat de l’ONG, Patrice Spinosi, le renouvellement de l’état d’urgence est une mesure « essentiellement politique ».
A partir du moment où on a vendu aux Français que l’état d’urgence était une nécessité pour combattre le terrorisme, aucun gouvernement ne peut se permettre d’y mettre fin car ce serait prendre un risque politique considérable.
Patrice Spinosi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme,
à franceinfo
Un dispositif inefficace.
« Le gouvernement exploite la peur et ment ostensiblement quand il soutient que l’état d’urgence a une quelconque efficacité dans la lutte contre le terrorisme », lance Michel Tubiana.
Les chiffres avancés par Amnesty International sont accablants. L’ONG souligne que « de la fin 2015 à la fin 2016, seules 0,3% des mesures liées à l’état d’urgence ont débouché sur une enquête judiciaire pour faits de terrorisme ».
Dans le détail, quelque 6 500 mesures (perquisitions administratives, assignations à résidence, etc.) ont été prises dans le cadre de l’état d’urgence. Mais cela n’a débouché que sur le lancement de 20 enquêtes judiciaires et sur l’ouverture de 196 enquêtes par le parquet antiterroriste.
Derrière ces chiffres, il y a des personnes et des vies parfois en miettes. Comme celle de Julien, 31 ans, que franceinfo a rencontré au début du mois de février. Il est assigné à résidence depuis quatorze mois. Il n’a plus le droit de quitter sa commune de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) sauf pour aller pointer au commissariat de Noisiel, trois fois par jour, dimanche et jours fériés compris.
Converti à l’islam, il lui est reproché d’avoir suivi les cours d’un « militant pro jihad » et d’être en relations avec des « personnes radicalisées ». Julien fréquentait la mosquée de Lagny, présentée par le gouvernement comme un « foyer d’idéologie radicale », et fermée le 1er décembre 2015. Une assignation à résidence injustifiée pour son avocat : « Si les enquêteurs n’ont pas réussi à rassembler assez d’éléments en plus d’un an, c’est qu’il y a un problème. » Sauf qu’entre-temps, Julien a perdu son travail et que sa vie sociale est désormais quasi-inexistante.
Un texte détourné du cadre anti-terroriste.
« Si c’est la lutte antiterroriste qui a été invoquée pour déclencher l’état d’urgence, ce qui était tout à fait justifié, selon Amnesty International, en novembre 2015, il faut bien voir que la rédaction même de la loi pose problème », déclare Nicolas Krameyer.
Dans le texte, on ne parle pas de mettre en place des mesures contre des personnes suspectées d’actes terroristes ou d’intentions terroristes, mais des personnes dont le comportement est susceptible de constituer une menace pour l’ordre public.
Nicolas Krameyer, responsable du programme Libertés chez Amnesty International.
En clair, avec ce texte, il est possible de viser d’autres personnes que celles soupçonnées de préparer des attentats. Ce qui a permis au gouvernement d’interdire des manifestations de militants écologistes pendant la COP21, à la fin 2015, et pendant les débats sur la loi Travail. Ainsi, 141 manifestations ont été interdites en France à cause de l’état d’urgence pour la seule année 2016. « C’est beaucoup plus que les années précédentes, mais nous attendons encore les chiffres détaillés des autorités », précise Nicolas Krameyer.
Pour Michel Tubiana, « la situation est plus grave que ce que dit Amnesty International ». « Aujourd’hui, nous retrouvons dans la loi un certain nombre de mesures qui ont été prises sous couvert de l’état d’urgence et qui sont passées dans le droit commun : on a fait de l’exception la règle », s’inquiète-t-il.
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Santé : José Bové, Nicolas Hulot, Yann Arthus-Bertrand… Même les écolos n’échappent pas aux perturbateurs endocriniens.
L’association Générations Futures publie jeudi 23 février une étude édifiante que franceinfo s’est procurée. Les cheveux de sept personnalités de l’écologie française ont été analysés, les sept contiennent des perturbateurs endocriniens.
Personne n’échappe aux perturbateurs endocriniens, même les plus écolos d’entre nous. Ces substances chimiques qui perturbent le système hormonal s’insinuent dans notre organisme. En effet, une étude de l’association Générations Futures publiée jeudi 23 février, et que franceinfo s’est procurée, le montre.
Sept personnalités de l’écologie, dont le photographe Yann Arthus-Bertrand, l’écologiste Nicolas Hulot, ou encore la députée Delphine Batho, ont fait analyser la présence de pesticides, phtalates et autres PCB dans une mèche de cheveux, et les résultats sont édifiants.
Même des substances interdites retrouvées .
Avec le record de 68 perturbateurs endocriniens, le bonnet d’âne revient à Isabelle Autissier. L’ancienne navigatrice, présidente actuelle de WWF France était « terrifiée par ces résultats, d’autant plus que j’essaye de manger bio, je ne me mets quasiment rien sur ma figure, chez moi je n’ai pas de produits ménagers… »
Pourtant, on aurait pu croire que la vie au grand air, en pleine mer, aurait épargné Isabelle Autissier de la contamination de ses substances qui perturbent le système hormonal, mais c’est tout le contraire. « Du coup, j’ai mis cela en rapport avec le fait que j’ai travaillé dans des chantiers de construction de bateaux, raconte la navigatrice (…) où j’ai manipulé des produits qui sont très mauvais pour la santé, des colles, des peintures, des solvants… D’autant plus qu’il y a 20 ans ou plus, on ne prenait aucune précaution. »
Bisphénol, phtalate, PCB… la navigatrice fait la course en tête, y compris pour des substances interdites aujourd’hui, comme le lindane, utilisé longtemps dans le traitement anti-poux, ou le fipronil, pesticide néfaste aux abeilles.
Une petite dose suffit.
Nicolas Hulot et Yann Arthus-Bertrand se retrouvent juste derrière elle au classement, avec une cinquantaine de substances. Le pourfendeur de la « malbouffe » et député européen en a, lui, 48. José Bové n’en revient pas. « Quand j’ai regardé la liste, je me suis dit, ce n’est pas possible, décrit-t-il. Trois PCB, 11 plastifiants, des pesticides, un insecticide, alors que je n’en ai jamais utilisé sur mon exploitation agricole ! »
Il suffit qu’il y ait une bombe [d’insecticide] qui soit passée dans les moquettes au Parlement européen ou ailleurs, et pourquoi pas Radio France… Tout le monde se retrouve face à [ces substances].
José Bové, agriculteur et député européen pour EELV,
à franceinfo.
Logiquement, les plus jeunes décrochent les meilleurs résultats, ou plutôt les moins mauvais : 36 perturbateurs endocriniens pour la députée Delphine Batho, 19 pour le candidat à la présidentielle d’Europe Écologie-Les Verts, Yannick Jadot. Ils ont tous accepté de participer à cette étude, parce qu’ils souhaitent l’interdiction de ces substances. Une nouvelle réunion européenne est prévue le 28 février pour définir ce qu’est un perturbateur endocrinien.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ingénieur Fatash arrêté depuis 70 jours
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Sinwar et Machaal discutent de plusieurs sujets lors d’une réunion téléphonique
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France: 154 députés appellent Hollande à reconnaître l’Etat de palestine
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Netanyahu propose de contrôler Gaza par des forces internationales
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Solidarité croissante avec les prisonniers en grève de la faim à Jérusalem
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L’occupation envahit une école à Bethléem et attaque les enseignants
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Le début de la deuxième journée de la Conférence populaire des Palestiniens à l’étranger
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Un conseiller d’Abbas: Notre bataille avec l’occupation israélienne est « intellectuelle »
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De violents affrontements avec l’occupation à Silwan
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3 palestiniens arrêtés à Azzoun à l’est de Qalqilia
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne réprime une marche contre la détention administrative à Hébron
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Tente de solidarité avec al-Qiq à Doura
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Istanbul: Le Congrès populaire des Palestiniens à l’étranger entame ses travaux
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Qaraqe: le rapport médical confirme la responsabilité de l’occupation dans la mort du prisonnier Jalad
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Ribhi Halloum: 3 messages du Congrès des Palestiniens à l’étranger
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Haniyeh : La mosquée d’al-Aqsa est le centre de notre lutte
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