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Flash info du 16 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 16 Joumada At-Thani 1438.
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France : Marine Le Pen veut mettre fin au regroupement familial et au droit du sol .
Lors d’une conférence de presse donnée à Paris ce lundi, Marine Le Pen s’est exprimé sur le sujet de la citoyenneté.
Ce lundi en fin d’après-midi, Marine Le Pen donnait une conférence sur le thème de la citoyenneté, à Paris. Elle a commencé par réaffirmer la centralité du sujet dans sa campagne présidentielle: « C’est la citoyenneté qui donne un sens au combat que nous allons mener pour la France. (…) Je n’accepte pas qu’être français ne veuille plus rien dire. »
Elle a fustigé « une absence de toute politique de migration » qui serait « un des plus grands dénis de démocratie subis par les Français ». Par ailleurs, la présidente du Front national et candidate à la présidentielle a assuré que silence avait été fait depuis quarante ans sur les problèmes liés à l’immigration, à l’islamisme et au terrorisme dans l’Hexagone. A cause de ce que la leader du Front national voit comme un mutisme, « la perspective de la guerre civile n’est plus un fantasme », a-t-elle avancé.
Marine Le Pen s’en prend à des « campagnes de désinformation ».
Elle est ensuite passée à une attaque contre des « campagnes de désinformation » dont auraient été victimes les Français, évoquant une « entreprise de propagande qui a utilisé tous les moyens pour faire accepter aux Français ce dont ils ne veulent pas, leur faire croire qu’ils ne sont pas ce qu’ils sont, pour faire que le mal soit bien, le bien soit mal…Ce qui est le propre des régimes totalitaires. »
Jugeant que la souveraineté française avait été mise à mal, notamment dans le domaine de la citoyenneté, Marine Le Pen a déclaré « seuls les Français décident de qui est Français » avant de développer les mesures qu’elle appelle de ses voeux. La candidate a formulé son souhait de mettre « fin au regroupement familial ainsi qu’à toutes les dispositions qui permettent l’acquisition automatique de la nationalité, et notamment le dogme du droit du sol ».
Pour elle, un accueil migratoire plus large dépend d’un redressement de la situation du pays: « Une France forte, sûre d’elle-même, est une France qui peut s’ouvrir, accueillir et qui peut faire concourir à son projet toutes celles et ceux pour lesquels France signifie ‘liberté’, ‘espoir’ et ‘poursuite du bonheur’. »
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Le monde de l’invisible : l’alimentation d’Iblis et ses alliés.
Dans le cadre de notre série de rappels intitulée « le monde de l’invisible », nous nous sommes intéressés aux anges au cours de plusieurs articles avant d’en faire de même avec les Djinns, leur habitation, leur alimentation, leur manifestation dans le monde des hommes, etc. Aujourd’hui, nous nous intéressons à l’ennemi de l’homme depuis sa création, cet être invisible mais pourtant existant : Iblis le lapidé, qu’Allah nous en préserve. Nous évoquerons son alimentation ainsi que celle de ses alliés, qu’Allah nous en éloigne.
Iblis, l’ennemi d’Adam (‘alayhi salam).
Iblis est le nom du diable, Shaytane. Il a à son service des alliés nommés shayatine ou démons et qui ont pour objectif, tout comme lui, d’inciter l’homme à commettre le mal et à s’éloigner du droit chemin. Nous connaissons tous l’histoire d’Iblis, chassé par Allah pour Lui avoir désobéi et pour s’être enflé d’orgueil devant Lui.
Lorsque notre Seigneur dit : {Et lorsque nous dîmes aux Anges: « Prosternez- vous devant Adam », ils se prosternèrent, excepté Iblis (satan) qui était du nombre des djinns et qui se révolta contre le commandement de son Seigneur. Allez-vous cependant le prendre, ainsi que sa descendance, pour alliés en dehors de Moi, alors qu’ils vous sont ennemis? Quel mauvais échange pour les injustes !} (Sourate 18 : Verset 50). Nous savons donc, chers frères et soeurs, qu’Iblis n’a jamais fait partie des anges et qu’il a refusé de se soumettre à l’ordre divin.
En effet, rappelez-vous lorsqu’il se rebella contre l’ordre d’Allah qui lui avait demandé de se prosterner devant Sa créature, Adam (‘alayhi salam) : {Je suis meilleur que lui, dit (Iblis) Tu m’ as créé de feu et Tu l’as créé d’argile} (Sourate 38 : Verset 76). En plus de s’être enflé d’orgueil devant Son seigneur, Iblis a fait en sorte d’attirer Adam (‘alayhi salam) vers la désobéissance à Allah en l’incitant à goûter de l’arbre interdit. Pour cela, il lui a insufflé de fausses idées.
C’est ainsi qu’Allah a révélé : {Et Nous dîmes : «Ô Adam, habite le Paradis toi et ton épouse, et nourrissez-vous-en de partout à votre guise; mais n’approchez pas de l’arbre que voici : sinon vous seriez du nombre des injustes». Peu de temps après, Satan les fit glisser de là et les fit sortir du lieu où ils étaient. Et Nous dîmes: «Descendez (du Paradis); ennemis les uns des autres. Et pour vous il y aura une demeure sur la terre, et un usufruit pour un temps} (Sourate 2 : Versets 35-36). Adam (‘alayhi salam) a donc été chassé du Paradis avec son épouse (qu’Allah l’agrée), à cause des insufflations sataniques.
Iblis est donc l’ennemi d’Adam (‘alayhi salam) et de ses enfants. Il a pour unique objectif de détourner l’homme du droit chemin. Il a ainsi été banni par Allah qui lui a accordé un délai, suite à sa demande : {« Accorde-moi un délai, dit (Satan) jusqu’au jour où ils seront ressuscités. » [Allah] dit : « Tu es de ceux à qui délai est accordé. » « Puisque Tu m’as mis en erreur, dit [Satan], je m’assoirai pour eux sur Ton droit chemin, puis je les assaillirai de devant, de derrière, de leur droite et de leur gauche. Et, pour la plupart, Tu ne les trouveras pas reconnaissants. » « Sors de là », dit (Allah) banni et rejeté. « Quiconque te suit parmi eux… de vous tous, J’emplirai l’Enfer ».} (Sourate 7 : Versets 14-18).
L’alimentation d’Iblis et ses alliés.
Afin d’égarer l’homme, Iblis dispose d’alliés qu’il envoie de part et d’autre. Ainsi, Iblis et ses alliés parcourent la terre et appellent les hommes à commettre le mal. Ils s’alimentent, comme nous l’a expliqué le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Iblis se nourrit en utilisant sa main gauche, d’où l’importance pour nous de manger avec la main droite. Selon Ibn ‘Umar (qu’Allah l’agrée), le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Lorsque l’un d’entre vous mange ou boit, qu’il le fasse de la main droite, car le diable boit et mange de la main gauche » (Muslim).
Il faut également savoir chers frères et soeurs, que Iblis et ses alliés se nourrissent notamment par le biais de la nourriture de l’homme. Selon Abu Hurayra (qu’Allah l’agrée), le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le diable vous accompagne quoi que vous fassiez et il assiste même à vos repas. C’est pourquoi, quand l’un de vous laisse tomber une bouchée de nourriture, qu’il la ramasse et la nettoie ; ensuite qu’il la mange et ne l’abandonne pas au diable. Et qu’il ne s’essuie pas la main avec une serviette avant de s’être léché les doigts, car il ignore dans quelle partie du plat se trouve la bénédiction » (Muslim). Il y a donc à travers notre manière de manger, une sagesse. En effet, suivre les recommandations du Prophète (‘alayhi salat wa salam) notamment quant à la façon de s’alimenter, permet de nous éloigner de Shaytane.
Iblis se nourrit notamment des aliments sur lesquels le croyant n’a pas prononcé le nom d’Allah. Selon Jabir, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Lorsque l’un d’entre vous prononce le nom d’Allah en entrant à la maison et au moment du repas, le diable dit à ses acolytes : il n’y a pour vous ici ni gîte (endroit pour dormir), ni repas ; mais s’il rentre chez lui sans mentionner le nom d’Allah, le diable leur dit alors : vous avez trouvé un gîte pour cette nuit. Et s’il ne mentionne pas le nom d’Allah au moment du repas, le diable ajoute : vous avez trouvé le gîte et le couvert » (Muslim). Ainsi, Iblis et ses alliés se servent de la nourriture du musulman n’ayant pas dit Bismillah et s’installent aussi une nuit dans sa maison.
Retracer toutes les caractéristiques d’Iblis et ses alliés ne peut se faire en un seul rappel. Nous vous proposons donc de suivre la suite de ce rappel, lors du prochain article de notre série « Le monde de l’invisible ».
Qu’Allah nous éloigne de Shaytane et de ses alliés. Qu’Il nous préserve du mal jusqu’au Jour dernier.
AJIB.FR
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Ce qui faut savoir sur ar-riba, (l’usure).
L’usure (ar-riba) est le deuxième grand pêché (Al-Kabair) qui mène le musulman à sa perte. Contracter un crédit usuraire équivaut à déclarer la guerre contre Allah , Notre Créateur (soubhanou wa ta’ala).
L’acte est si grave qu’il provoque la malédiction d’Allah et de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam). Allah (soubhanou wa ta’ala) a dit: « Ô vous les croyants! Craignez Allah et renoncez à ce qu’il reste comme usure si vous êtes croyants. Si vous ne le faites pas alors recevez l’annonce d’une guerre de la part d’Allah et son Messager ». [Sourate 2 – Versets 278 et 279].
D’après Jabir Ibn ‘Abdillah (qu’Allah l’agrée), le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a maudit celui qui mange l’usure, celui qui lui fait manger, celui qui écrit et les deux témoins et il a dit: « Ils sont égaux dans le péché ». [Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°1598].
Le scepticisme ne doit gagner aucun croyant même lorsque l’obligation matérielle paraît être nécessaire. Effectivement, pratiquer ar-riba est d’une extrême gravité et toutes les justifications au recours au crédit usuraire seraient une abnégation de l’adoration d’Allah (soubhanou wa ta’ala).
Prêter de l’argent avec intérêt ou emprunter de l’argent avec intérêt, revient inévitablement à déclarer la guerre contre Allah (soubhanou wa ta’ala). Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) nous informé que ar-riba comporte 72 degrés dont le plus minime est équivalent à commettre l’acte sexuel avec sa mère.
Certains musulmans en quête de prétextes pour assouvir leurs envies matérielles évoquent les arguments de présumés « savants » ou « prêcheurs » qui tentent de justifier la pratique de Riba.
En effet, ces derniers avancent l’idée selon laquelle si la nécessité est oppressante, il faut la concrétiser même si pour cela il faut avoir accès au crédit avec intérêt.
La maison et la voiture sont souvent les biens pour lesquels le débat est rude et intense. Mais, est-ce que pour atteindre son but matériel le croyant peut passer par n’importe quel moyen, même le plus gravissime ?
Parfois, les personnes confondent la nécessité et la simple gêne matérielle ou l’envie. Ils disent « Je paie un loyer donc je préfère investir dans un bien qui m’appartient. » Le cas de la nécessité absolue (dharura) est valable en cas de danger de mort ou de famine, et dans une situation inextricable où l’interdit devient autorisé. Allah (soubhanou wa ta’ala a) dit : « Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui d’Allah, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d’une chute ou morte d’un coup de corne, et celle qu’une bête féroce a dévorée – sauf celle que vous égorgez avant qu’elle ne soit morte. (Vous sont interdits aussi la bête) qu’on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité. Aujourd’hui, les mécréants désespèrent (de vous détourner) de votre religion: ne les craignez donc pas et craignez-Moi. Aujourd’hui, J’ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J’agrée l’Islam comme religion pour vous. Si quelqu’un est contraint par la faim, sans inclination vers le péché… alors, Allah est Pardonneur et Miséricordieux ». [Sourate 5 -Verset 3].
« Qu’avez-vous à ne pas manger de ce sur quoi le nom d’Allah a été prononcé? Alors qu’Il vous a détaillé ce qu’Il vous a interdit, à moins que vous ne soyez contraints d’y recourir ». [Sourate 6 – Verset 119].
De nouvelles alternatives existent désormais pour permettre au musulman d’acquérir un bien immobilier comme le financement Murabaha dont le fil conducteur est l’éthique à sensibilité islamique. La majorité des habitants de cette terre sont locataires, pourquoi encourrir la colère d’Allah pour une simple envie d’être propriétaire?
La patience et la satisfaction de nous soumettre à notre créateur a un goût telement plus savoureux! Qu’en pensez-vous?
AJIB.FR
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Les qualités du Prophète (saws) : sa modestie et sa proximité avec les gens.
Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) est le meilleur des enfants d’Adam (‘alayhi salam). Il était doté de nombreuses qualités que nous ne pouvons recenser mais nous allons tenter de décrire certaines de ses sagesses en plusieurs parties incha Allah. Allah a dit dans le Saint Coran : {En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle à suivre} (Sourate 33 : Verset 21). Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) est notre modèle, notre exemple que nous nous devons de suivre incha Allah. Afin d’effectuer ce rappel, nous nous baserons essentiellement sur l’ouvrage « Le comportement du Prophète (‘alayhi salat wa salam) » écrit par Cheikh ‘Abd Al-Muhsin Al ‘Abbad.
Sa modestie et sa proximité avec les gens.
En ce sens, Anas (qu’Allah l’agrée) rapporte que le jour de la conquête de la Mecque, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) est entré dans les Lieux Saints en ayant le menton abaissé humblement sur sa monture. D’après ibn Ishaq (qu’Allah l’agrée), « par humilité, il a baissé la tête en faisant le constat qu’Allah l’avait honoré en lui accordant la victoire, à tel point que sa barbe touchait presque le milieu de sa monture . » Il invitait sa communauté à se parer de modestie. Parmi ses paroles relatives à l’humilité, nous pouvons citer : « Nul n’est humble devant Allah sans qu’Il ne l’élève. » (Rapporté par Muslim).
De plus, l’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) était toujours en contact avec les gens, y compris les enfants. En effet, Anas (qu’Allah l’agrée) rapporte qu’il marchait en compagnie du Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) quand celui-ci salua des enfants. Il était très proche de sa communauté : il se mêlait à ses compagnons (qu’Allah les agrée) et jouait avec les enfants en bas âge.
Par ailleurs, il ne se plaignait jamais si bien qu’Anas (qu’Allah l’agrée) a relaté : « J’ai servi pendant dix ans le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam), il ne m’a jamais dit « Ouf ! » ou bien « Pourquoi as-tu fait telle chose ? » ou encore « Pourquoi n’as-tu pas fait cela ? » ». Prenons exemple sur notre Prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam).
Sa modestie était telle qu’il inspirait un grand respect aux yeux de ses compagnons (qu’Allah les agrée). Leur respect à l’égard de l’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) était d’une telle importance qu’ils n’osaient soutenir son regard. Ainsi, ‘Amr ibn el ‘As dit : « Personne ne m’était plus cher et ne m’inspirait autant de considération que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Pourtant, je ne pouvais ouvrir grand mes yeux pour le regarder par respect envers lui. Si l’on me demandait de le décrire, je n’en étais pas capable étant donné que je ne pouvais le regarder. » Ce beau témoignage souligne par ailleurs le respect que les compagnons avaient pour le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam).
Qu’Allah fasse miséricorde aux compagnons et aux pieux prédécesseurs. Puisse-t-Il nous permettre de parfaire notre comportement afin de nous rapprocher de Son Messager (‘alayhi salat wa salam).
AJIB.FR
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France : Révélations contre la police des lycéens de Saint Denis.
On le sait depuis le viol de Théo une vaste révolte des quartiers à minorités s’est faite jour.
Les lycéens ont eux aussi fait savoir ensuite leur solidarité aux victimes des violences d’état.
Ce documentaire revient sur la répression policière discriminatoire, aveugle et féroce qui a touché les lycéens de Suger. Les révélations sont graves mais aucun média ne veut relayer cette vérité : l’état a organisé contre les minorités du 93 une politique d’intimidation et de punition collective.
Car jamais on aurait traité des lycéens de petits lycées bourgeois français de la sorte. Ce traitement est celui d’un apartheid qui veut se maintenir à tout prix en écrasant toute velléité de révolte contre un système désormais basé sur l’islamophobie et l’humiliation.
Retour donc sur la répression policière engagée à Saint-Denis, le 7 mars 2017, suite au blocus du lycée Suger.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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islametinfo.fr
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Voile en entreprise : l’Observatoire de la laïcité salue la décision de la Cour de justice de l’Union européenne .
Alors que l’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne concernant le voile dans les entreprises inquiète des associations, l’Observatoire de la laïcité a salué dans un communiqué la décision « qui, sans modifier le droit positif français, permettent de préciser l’application des restrictions à la manifestation des convictions individuelles dans le cadre de l’entreprise privée lorsqu’elle n’exerce aucune mission de service public ».
L’Observatoire, rappelant que la laïcité en France et en Belgique sont compris différemment, juge que le nouvel arrêt est fidèle à la législation en vigueur en France.
Il précise le cadre dans lequel peut s’exercer une interdiction de port de signe religieux. L’Observatoire de la laïcité met en avant que les entreprises privées doivent, selon la Cour de justice de l’Union européenne, justifier objectivement ces interdictions et que, « concernant la relation avec la clientèle, la Cour de justice de l’Union européenne rappelle qu’elle ne saurait constituer un motif à lui seul suffisant pour justifier une interdiction du port de signes convictionnels ».
Son président Jean-Louis Bianco explique que « l’entreprise n’est pas un lieu de neutralité générale et totale mais on peut pour des raisons d’hygiène, de sécurité ou au regard des intérêts économiques de l’entreprise imposer des restrictions ».
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saphirnews.com
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Egypte : six ans après sa chute, Hosni Moubarak libre .
L’ancien président égyptien Hosni Moubarak va sortir de l’hôpital militaire où il était détenu, rapporte Reuters. Agé de 88 ans, l’ancien chef de l’Etat, destitué après 30 années d’exercice suite au soulèvement populaire de 2011, va rentrer chez lui à Héliopolis dans la banlieue du Caire d’après son avocat Farid El Dib.
D’abord condamné à la prison à vie en juin 2012, la Cour de cassation avait acquitté le 2 mars dernier Hosni Moubarak des accusations de « complicité » dans la mort de 239 manifestants en janvier 2011. Il ne pourra cependant pas voyager hors du pays en raison d’une enquête de l’Organisme égyptien des gains illicites qui contrôle les fortunes accumulées de façon frauduleuse.
En janvier 2016, accusé d’avoir détournée plus de 10 millions d’euros avec ses fils Alaa et Gamal, il a été condamné à payer une amende de 15 millions d’euros et à rembourser l’Etat à haute de 2,5 millions d’euros.

saphirnews.com
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France : Quand la déradicalisation devient business : Sonia Imloul condamnée .
L’ancienne responsable d’une structure de déradicalisation a été condamnée, lundi 13 mars, par le tribunal correctionnel de Paris à quatre mois de prison avec sursis pour détournement de subventions et travail dissimulé. Elle devra en outre verser 25 000 euros de dommages et intérêts.
Sonia Imloul était poursuive pour avoir détourné, grâce à un RIB falsifié, deux subventions de 25 000 et 35 000 destinées à sa structure.
Sa « Maison de la prévention et de la famille » (MPF) accueillait et accompagnait des familles de jeunes tentés par un départ vers la Syrie pour y rejoindre des groupes armés. Cette structure basée à Aulnay-sous-Bois était l’une des première à ouvrir ses portes en France, lors de l’été 2014, après le lancement du numéro vert « Stop-Djihadisme ». Mais dès la fin de l’été 2015, le centre qui travaillait en collaboration étroite avec la préfecture de police a été fermé.
Selon les autorités, Sonia Imloul aurait employé trois personnes sans leur verser de salaires ni leur fournir de contrats de travail. Julien Revial, ancien coordinateur administratif de la MPF, a dénoncé les agissements de son ancienne patronne dans un ouvrage intitulé Cellule de déradicalisation : chronique d’une désillusion, publié en septembre 2016.
Des dizaines de millions d’euros ont été injectés dans la lutte contre la déradicalisation, devenue une priorité pour le gouvernement depuis janvier 2015, ce qui a favorisé la création de très nombreuses structures, nouvelles sur ce terrai dont les résultats, pour certaines, ne sont pas au rendez-vous. Un « gâchis d’argent public » selon un récent rapport d’une mission d’information menée par les sénatrices Esther Benbassa (EELV) et Catherine Troendlé (LR), qui ont dénoncé « l’échec » en manière de prise de charge de la déradicalisation.

saphirnews.com
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Adele embrasse la main d’une fan voilée, Samira Dandachl, lors de son concert en Australie.
Geste symboliquement fort qui a fait bourdonner et gazouiller les réseaux sociaux à l’autre bout du monde, le baiser déposé par la superstar britannique Adele sur la main d’une groupie voilée restera dans les annales du show-business, mais aussi et surtout un souvenir impérissable pour Samira Dandachl.
Venue vibrer au son de la voix puissante de sa chanteuse préférée, cette jeune Australienne de confession musulmane se faisait une joie, vendredi soir, de voir son idole en chair et en os se produire sur scène à Sydney.
Adele venait de chanter avec maestria « When we were young », quand l’une de ses fans inconditionnelles s’est subitement démarquée de la foule, hissée sur les épaules de son fiancé Adi.
A sa vue, la diva de la pop qui a récolté une moisson de récompenses lors des derniers Grammy Awards s’est avancée vers elle, souriante, en lui tendant la main, avant de se pencher, de la serrer et de l’embrasser affectueusement.
« Je pleurais et elle m’a dit ‘ne pleure pas chérie’, puis elle m’a embrassé la main », a relaté Samira Dandachl, émue aux larmes, devant des médias qui l’ont fait passer de l’ombre à la lumière en l’espace d’un week-end, tandis qu’une effervescence, saine et malsaine, gagnait la cybersphère.
Mais rien, ni aucun commentaire désobligeant ou ordurier, n’aurait pu gâcher la joie indescriptible ressentie par Samira Dandachl. « Je ne pouvais pas y croire ! C’est le plus beau jour de ma vie, je ne l’oublierai jamais », a-t-elle confié avec des étoiles plein les yeux, en se pinçant sans doute pour s’assurer qu’elle n’avait pas rêvé…
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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oumma.com
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Floride : un magasin incendié par un Américain convaincu que ses propriétaires étaient musulmans.
A peine 2017 avait-il pointé le bout de son nez que déjà il était émaillé de plusieurs actes islamophobes odieux dans l’Amérique de Trump, la nouvelle aurore étoilée s’avérant sombre, presque crépusculaire, pour la communauté musulmane américaine, ses fidèles et ses lieux de culte.
Le récent incendie criminel d’un magasin de Port St Lucie, en Floride, vient allonger cette liste lugubre d’agressions racistes qui culminent dans la violence extrême. L’erreur sur la personne qui en est à l’origine, poussant un homme de 64 ans à donner libre cours à ses pires pulsions, ne le rend que plus terrifiant encore.
En effet, aveuglé par la haine, Richard Lloyd, un retraité bien moins tranquille qu’il ne le laissait paraître, a pris les gérants indiens d’un commerce ayant pignon sur rue pour des Arabes. Comble de l’horreur ! Son sang n’a alors fait qu’un tour en songeant que les propriétaires prospères du magasin étaient musulmans, ces intrus indésirables à « jeter hors de son pays », selon sa prose fielleuse.
Cette perspective l’a à ce point « bouleversé », un doux euphémisme, qu’il lui fallait réduire en cendres sa vision cauchemardesque. C’est sous l’étendard de « la défense de l’Amérique », brandi fièrement, qu’il se targue d’avoir défendu sa forteresse assiégée en commettant l’irréparable.
Du côté des forces de l’ordre floridiennes, l’heure est à la tolérance zéro envers l’islamophobie violente et à la condamnation vigoureuse de ce crime de haine inqualifiable. « Nous ne tolérerons pas la violence fondée sur l’âge, la race, la couleur, l’ascendance, l’origine ethnique, la religion, l’orientation sexuelle, l’origine nationale, le statut de sans-abri, l’incapacité mentale ou physique », a déclaré Ken Mascara, le shérif du comté de St Lucie, sur un ton ferme.
Placé devant la gravité des faits qui, fort heureusement, n’ont fait aucune victime, Richard Lloyd, ce patriote mû par une fureur incendiaire, n’éprouve aucun remords, bien au contraire. C’est tout juste s’il ne s’attend pas à être décoré pour avoir « apporté sa contribution à l’Amérique » de manière plus ravageuse que foncièrement constructive…
oumma.com
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Grande première en Arabie saoudite : un concert à Riyad, le premier depuis trente ans.
Après avoir été inaudible pendant près de trente ans, la musique, connue pour adoucir les mœurs, serait-elle parvenue à assouplir l’inflexibilité de la monarchie saoudienne ?
Il faut le croire si l’on en juge par son incroyable retour sur scène à Riyad, jeudi soir dernier, dans la salle spacieuse du Centre culturel King Fahad où aucune voix mélodieuse n’avait résonné et aucun concert n’avait été donné depuis 1990, date de leur interdiction marquée du sceau royal.
Devant une large assistance exclusivement masculine, Rashed al-Majed et Mohammed Abdu, deux célèbres chanteurs saoudiens, très populaires dans le monde arabe, ont été ovationnés par quelque 2 000 spectateurs visiblement comblés par cette grande première. Le spectacle était sur scène mais aussi dans la salle, certains Saoudiens, revêtus de leurs plus beaux atours traditionnels, ne pouvant résister à la tentation de se balancer en rythme sur leurs sièges, voire même de se lever pour danser en cadence, se laissant emporter par les battements de tambour.
Alors que les autorités saoudiennes, arc-boutées sur leur conservatisme, ne badinent pas avec la mixité sociale et les divertissements, qu’ils soient à caractère ludique ou culturel, des pressions se font toutefois jour pour qu’un changement s’opère en douceur. Aussi rigoriste soit-il, le royaume wahhabite n’en est pas pour autant imperméable aux influences extérieures et ne peut décemment pas ignorer que plus de la moitié de ses sujets ont moins de 25 ans et sont hyperconnectés, pour ne pas dire littéralement accros aux réseaux sociaux.
Cette réalité n’a pas échappé au vice-prince héritier Mohammed bin Salman qui, loin d’avoir des œillères, regarde en face cette évolution inéluctable et plaide en faveur de la diversification de l’économie pétrolière et de la mise en oeuvre de réformes sociales.
oumma.com
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Palestine : Des soldats israéliens pris sur le fait en train de préparer l’assassinat d’un enfant.
Un adolescent palestinien a échappé de peu à une exécution sommaire, alors qu’un soldat israélien venait de l’arrêter, et qu’un autre avait dans la main un couteau devant servir de prétexte à l’assassinat, rapporte l’agence Maan.
C’est sans doute uniquement parce qu’un militant a pu filmer la préparation du crime, et que la soldatesque s’en est rendue compte, que le jeune Mohamed Munif Youssef Qazzaz, 15 ans, n’a pas été abattu au nom d’une mensongère « légitime défense ».
La vidéo, filmée par Zeidan al-Sharabati, du groupe Human Rights Defenders, a pour cadre la vieille ville d’al-Khalil (Hébron), où les exécutions de jeunes Palestiniens par l’armée d’occupation ne se comptent plus.
C’est d’ailleurs à Hébron que le tristement célèbre franco-israélien Elor Azaria avait fusillé le jeune Palestinien Abdelfatah al-Sharif, gisant blessé au sol, et son crime serait resté ignoré s’il n’avait été filmé par un autre Palestinien.
Mohamed Qazzaz a été arrêté au check-point bloquant l’entrée de la rue des Martyrs dans la vieille ville d’al-Khalil sous occupation.
Photo extraite de la vidéo ; le soldat de gauche, qui n’avait pas procédé à l’arrestation du jeune, tenait depuis le début de la scène un long couteau dans sa main gauche.
Selon les Human Rights Defenders, il ne fait aucun doute que si les soldats ne l’avaient pas aperçu en train de filmer la scène, alors que l’un d’eux était en possession du couteau avant l’arrestation de l’adolescent, celui-ci aurait été tué.
Plus de 250 Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne depuis octobre 2015, notamment à Hébron et dans les localités alentour. Le nombre de ceux d’entre eux qui ont été exécutés délibérément, soit qu’ils ne présentaient pas de danger mortel pour l’armée après une attaque ou tentative d’attaque, soit qu’ils n’avaient commis aucune tentative et que des couteaux avaient été posés par l’armée à côté de leur cadavre, reste inconnu. Mais de l’avis de nombreux observateurs, il est substantiel.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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oumma.com
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Fin du suspense : François Hollande ne reconnaîtra pas la Palestine.
Répondant à une lettre ouverte de parlementaires, le président a estimé avoir tenu sa promesse de «soutenir la reconnaissance internationale de l’Etat palestinien». Reconnaître la Palestine ne servirait à rien dans le contexte actuel, estime-t-il.
François Hollande a répondu aux 154 parlementaires qui lui avaient adressé une lettre ouverte le 26 février dernier afin de lui demander de reconnaître l’Etat palestinien. Et sa réponse est négative.
«Une reconnaissance unilatérale de l’État palestinien par la France n’aurait pas aujourd’hui l’effet d’entraînement souhaité sur nos partenaires», écrit notamment le président dans sa réponse. Autrement dit, ce geste diplomatique, pour symbolique qu’il puisse être, n’aurait pas de résonance dans le contexte actuel de la politique internationale.
S’il reprend à son compte l’assertion des parlementaires selon lesquels «le peuple palestinien est fondé à se doter d’un Etat», il ne semble donc pas pour autant décidé à franchir le cap d’une reconnaissance officielle. Sa justification ne devrait pas convaincre les signataires de la lettre qui lui était adressée. Parmi eux, on trouvait une très grande majorité d’élus de gauche, dont la sénatrice écologiste Esther Benbassa, le secrétaire national du Parti communiste, Pierre Laurent, la sénatrice socialiste de Paris Marie-Noëlle Lienemann, ou encore Noël Mamère. Trois parlementaires des Républicains l’avaient également signée.
François Hollande estime avoir tenu sa promesse
François Hollande tente toutefois, dans son courrier, de rappeler les positions qu’il a prises en faveur de la Palestine au cours de son quinquennat et les tentatives de la France, sous sa présidence, pour convaincre ses partenaires de réfléchir à la question d’un Etat palestinien. Il cite en exemple la conférence internationale de Paris sur Israël et la Palestine organisée en janvier dernier. Il souligne également que la France a voté, en décembre 2015, en faveur de la résolution 2334 de l’ONUcondamnant la colonisation israélienne. «Là aussi, la France a joué son rôle», estime-t-il.
Le président a-t-il vraiment tenté d’influencer ses partenaires en faveur d’une reconnaissance de la Palestine ou essaie-t-il de faire bonne figure à l’approche de la fin de son mandat ? Pour le président de France Palestine Solidarité, Taoufiq Tahani, interrogé par Politis, cela ne fait aucun doute : il s’agit d’une tentative «pathétique de donner un vernis de cohérence à une politique sans colonne vertébrale». François Hollande a surtout, selon lui, trahi sa promesse.
En effet, l’engagement 59 du programme de François Hollande en 2012 pouvait sembler clair : «Soutenir la reconnaissance internationale de l’Etat palestinien.» Il avait pu être perçu comme un engagement à reconnaître l’Etat palestinien. Rétrospectivement, la formulation donne toute la mesure de son ambiguïté, puisqu’elle n’engageait qu’à amorcer un mouvement diplomatique, ce que le président estime avoir fait – ou du moins tenté de faire.
Africa24.info
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«L’Iran veut détruire l’Etat juif», dit Netanyahou. «C’était au Ve siècle avant J-C», répond Poutine.
Lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Moscou, le Premier ministre israélien a mis en garde contre la menace que représente l’Iran qui, selon lui, serait dans la continuité de la Perse dans sa volonté de «détruire le peuple juif».
Vladimir Poutine a invité jeudi 9 mars Benjamin Netanyahou à tourner la page après que le Premier ministre israélien a évoqué la volonté ancestrale des Perses et de leurs “héritiers” iraniens de “détruire le peuple juif”. Le président russe a estimé qu’il s’agissait d’histoire ancienne.
Reçu au Kremlin, le Premier ministre israélien avait violemment critiqué l’Iran, allié de la Russie au Proche-Orient. «Il y a 2 500 ans, il y a eu une tentative en Perse de détruire le peuple juif. Cette tentative a échoué et c’est ce que nous célébrons à travers la fête» de Pourim qui aura lieu dimanche et lundi [12 et 13 mars] en Israël, a précisé Benjamin Netanyahou au chef de l’Etat russe.
La fête de Pourim célèbre, selon la tradition juive, la victoire des juifs contre Haman, un vizir de l’empire perse, au Ve siècle avant J-C.
«Voilà qu’aujourd’hui l’Iran, héritier de la Perse, poursuit cette tentative de détruire l’Etat juif. Ils le disent de la façon la plus claire, ils l’écrivent sur leurs missiles», a-t-il affirmé.
«Oui, enfin, c’était au Ve siècle avant notre ère», a répondu, ironique, le président russe. «Aujourd’hui, nous vivons dans un monde différent. Alors parlons-en», a-t-il ajouté.
L’Etat hébreu considère l’Iran comme son ennemi numéro un. La République islamique, elle, ne reconnaît pas l’existence d’Israël et n’a plus de relations diplomatiques avec les Etats-Unis depuis 1980, conséquence de la révolution islamique de 1979 et de l’attaque de l’ambassade américaine par des partisans de l’ayatollah Khomeini.
Benjamin Netanyahou dénonce régulièrement le soutien militaire de l’Iran à Bachar el-Assad dans son conflit face à la rébellion syrienne. Le 5 mars, Benjamin Netanyahou avait déclaré qu’il allait tenter de convaincre Vladimir Poutine d’empêcher l’installation d’une présence militaire iranienne permanente en Syrie.
La Russie et l’Iran, fidèles alliés de Bachar al-Assad, ainsi que la Turquie, qui soutien les rebelles syriens, sont garants du cessez-le-feu entré en vigueur en Syrie depuis la fin du mois de décembre 2 016 et parrains des négociations de paix d’Astana qui cherchent à trouver une solution politique à la crise syrienne.
Africa24.info
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Grève générale dans les écoles à Jérusalem
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Mars : 4 opérations commando et 4 blessés israéliens
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Israël veut annexer la colonie Ma’ale Adumim
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L’émissaire de Trump discute avec Netanyahu de la colonisation
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Israël ferme un bureau appartenant à la Société des Etudes Arabes
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Des milliers de manifestants à Ramallah appellent à juger Abbas
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Démolition d’un immeuble en construction au nord-est de Jérusalem
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3 citoyens arrêtés et 7 convoqués par l’Autorité Palestinienne en Cisjordanie
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Le procès de la députée Halayka reporté au 16 mars
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Hébron: L’occupation arrête des Palestiniens et attaque l’un d’entre eux
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Un jeune arrêté à son domicile dans la vallée du Jourdain
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L’occupation interroge des citoyens Palestiniens et mène une campagne d’arrestations en Cisjordanie
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Hamas: L’attaque de Jérusalem est une réponse naturelle au terrorisme israélien
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Les factions à Gaza: le Martyr al-Araj a fait chuter les piliers de son procès par sa lutte
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L’occupation prolonge la détention de Batoul Ramahi
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Redouan: Nous ne reconnaîtrons pas Israël
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com