Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 24 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 24 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
******************************************************************


France : La religion et la laïcité prennent trop de place dans le débat public pour trois quarts des Français, selon un sondage.
La religion et la laïcité, des enjeux qui prennent trop de place dans le débat public ? C’est la conclusion d’un sondage publié mercredi 22 mars et réalisé par Game Changers, Ipsos et Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France et LCP.
En effet, seuls 14% des sondés estiment que les religions en France et la laïcité doivent occuper une place prioritaire dans la campagne électorale, tandis qu’une grande partie des Français semble réservée quand est évoquée la présence de ces enjeux dans le débat public : 77% des sondés pensent que l’on en parle trop et 72% estiment que les élus ne devraient pas évoquer leurs croyances religieuses.
La laïcité, une valeur toutefois essentielle
Une très large majorité des Français (90%) estime toutefois que la laïcité est une valeur essentielle de la République et, dans le même temps, 74% pensent qu’elle est aujourd’hui menacée, dont 92% des électeurs de Marine Le Pen.
L’enquête a été réalisée auprès de 1 000 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été interrogé sur internet les 16 et 17 mars 2017.
CLIC POUR VOIR LA SOURCE
***

Au Portugal, toutes les cantines ont désormais l’obligation légale de proposer un repas vegan.
À l’école, dans les hôpitaux et dans les prisons, il deviendra illégal au Portugal de ne pas proposer une option végétalienne. Une avancée majeure dont on espère qu’elle inspirera la France.
Une option végétalienne dans toutes les cantines publiques au Portugal : voici qui devrait ravir les non-carnivores, sans cesse obligés de se bricoler un repas à partir des seuls accompagnements mis à leur disposition.
Fraîchement approuvée (le 3 mars dernier), cette nouvelle loi oblige les cantines des écoles, universités, hôpitaux, prisons et autres structures étatiques à proposer un repas préparé sans produits d’origine animale. Elles ont six mois pour se conformer à cette législation.
À l’origine, une pétition.
C’est à la faveur d’une pétition lancée par l’association végétarienne portugaise qui a rassemblé au moins 15 000 signatures que la réflexion a été soumise à l’ordre du jour du Parlement, au début de l’année 2016. « C’est la première fois qu’une loi mentionne spécifiquement le végétarisme », se réjouit le porte-parole Nuno Alvim, dans les colonnes du journal britannique Metro.
Surtout, ce type de mesure ne s’adresse pas qu’aux végétaliens. En « favorisant la diversité des habitudes alimentaires », cette loi « encouragera davantage de pesonnes à envisager le menu végétalien », poursuit-il. Car manger de la viande demeure un réflexe normatif, dans bon nombre de cultures qui envisagent la viande comme source principale de protéine. Or, faut-il le rappeler, on trouve également des protéines dans les céréales (comme le blé, le boulgour, le riz sauvage, le quinoa…) ou encore les légumineuses (comme les fèves, les lentilles, les pois cassés, le tofu…).
Sur le long terme, on sait que les retombées sont aussi intéressantes pour les citoyens que pour l’environnement. À quand la même mesure en France ?
CLIC POUR VOIR LA SOURCE
***

Immigration, santé… Comment l’Amérique se révolte contre Trump.
Une révolte sans précédent se lève aux Etats-Unis. Immigration, environnement, droits civiques, santé… Au risque de perdre des subsides, villes, Etats et comtés s’organisent pour contrer la Maison-Blanche.
C’est Hawaï qui a dégainé le premier, soucieux de  » défendre sa souveraineté contre les actions illégales du président Donald J. Trump et du gouvernement fédéral « . L’Etat de Washington a embrayé dès le lendemain, rejoint par le Minnesota, l’Oregon, New York, le Massachusetts… A peine signé, le nouveau décret migratoire de Donald Trump (voir encadré ci-dessous) s’est retrouvé attaqué en justice par une ribambelle d’États. Simultanément, les législatures de Californie, du Nevada et du Nouveau-Mexique s’apprêtent à adopter des propositions de lois les déclarant  » Etats sanctuaires « , c’est-à-dire s’engageant à protéger les immigrés. Comme dans tout le pays, où plus de 300 villes et comtés ont promis d’être de tels havres de paix… C’est le cas de Phoenix, capitale de l’Arizona, où quelque 250 000 immigrés sont potentiellement menacés d’expulsion.
L’enjeu est de taille : le 25 janvier, le nouveau président a signé un décret menaçant de couper les vivres fédéraux aux collectivités  » violant la loi en essayant de protéger les étrangers en situation irrégulière de l’expulsion « . Cela pourrait représenter un trou annuel de plus de 2 milliards de dollars pour les dix plus grandes villes. A New York, rappelle le contrôleur des finances, près de 9 % du budget de la ville, soit 7,2 milliards de dollars, provient de fonds fédéraux. Logement, santé, emploi des jeunes, formation… Aucune ligne de dépenses n’est intouchable, et le choc risque d’être rude. De quoi effrayer Big Apple ? Au contraire. Non seulement le maire Bill De Blasio promet de faire de sa cité une ville sanctuaire, quitte si nécessaire à détruire le fichier des cartes d’identité municipales (délivrées aussi aux sans-papiers), mais encore l’avocat public de la ville a introduit une proposition de loi écartant des appels d’offres municipaux les entreprises qui participeraient à la construction du fameux mur avec le Mexique !
Bataille californienne.
Ce n’est pas la première fois que des États ou des villes entrent en résistance à un président. L’Amérique a déjà connu un mouvement de villes, églises ou campus sanctuaires dans les années 1980, quand l’administration Reagan avait fermé la porte aux réfugiés de pays d’Amérique centrale en proie à la guerre civile. Plus de 2 000 réfugiés avaient alors pu franchir la frontière et trouver protection dans une trentaine d’États. Sous Barack Obama, même s’il n’était pas question de villes ou États sanctuaires, le Texas a souvent donné le la de la révolte de l’Amérique républicaine aux ordres de Washington. Mais ce qui se passe actuellement est inédit : le pays n’a jamais connu une telle levée de boucliers au niveau local, à la mesure de la polarisation extrême incarnée et attisée par Donald Trump.
Il ne s’agit pas seulement d’immigration, loin de là. En Californie, le gouverneur Jerry Brown a passé contrat avec Eric Holder, l’ancien ministre de la Justice d’Obama redevenu avocat, pour que son cabinet le conseille sur  » la façon de répondre aux changements potentiels dans la loi fédérale qui pourraient affecter les résidents de Californie et les priorités politiques « . Cela va des droits civiques à l’environnement, en passant par la santé ou l’immigration.  » Nous donnons d’énormes sommes d’argent à la Californie, un Etat qui dérape à bien des égards « , menace Donald Trump. Il aura en face de lui des hommes comme Xavier Becerra, le nouveau ministre de la Justice de l’Etat. Pas de chance pour le président, il est latino et fils d’immigrés mexicains !  » Nous ne cherchons pas la bagarre, prévient-il, mais nous y sommes prêts.  »
Pression citoyenne.
La lutte promet d’être acharnée, et se déroulera largement dans les tribunaux. Exemple ? Depuis les années 1960, la Californie bénéficie d’une dérogation fédérale qui l’autorise à fixer ses propres seuils en matière d’environnement. C’est ainsi qu’elle s’est retrouvée en pointe sur les normes de consommation de carburant, adoptant des objectifs sévères qui sont devenus sous Obama la norme pour tous les Etats-Unis. Le nouveau patron de la Maison blanche et les Républicains sont dans une situation inconfortable : d’un côté, ils se font les apôtres des droits des États face à l’ogre de Washington, mais de l’autre, ils veulent débarrasser le pays des normes  » écolos gauchos  » des États des côtes Ouest et Est. Pas sûr du tout, cependant, que les tribunaux avalisent ce détricotage fédéral.
La résistance à Trump s’organise aussi sur le terrain et dans les parlements. En Caroline du Nord, qui avait voté sous l’égide des Républicains une loi controversée contre l’accès des toilettes des écoles aux élèves transgenre, le nouveau gouverneur démocrate et sa majorité se battent pour abolir ladite loi, malgré des signaux hostiles venus de Washington. Sur un tout autre sujet, le transfert de millions d’hectares de terres fédérales publiques à dix Etats de l’ouest, qui menacerait leur statut protégé, ce sont les citoyens du Montana et du Nouveau-Mexique qui ont manifesté leur mauvaise humeur et forcé le parti républicain à faire machine arrière au Congrès.
Victoires fragiles, protections précaires… Mais Donald Trump doit se rendre à l’évidence : une bonne moitié du pays qu’il prétend gouverner est debout sur les freins, décidée à ne pas le laisser avancer d’un pouce !
CLIC POUR VOIR LA SOURCE
***

Canada : 402 000 $ pour les familles des victimes de la Grande Mosquée de Québec.
Les 11 familles de victimes de l’attentat à la Grande Mosquée ont reçu des chèques issus d’une campagne de sociofinancement pancanadienne.
Tel un baume sur une plaie géante, les 11 familles de victimes de l’attentat à la Grande Mosquée ont reçu samedi de généreux chèques issus d’une campagne de sociofinancement pancanadienne. Ça représente 41 000 $ pour chacune des familles endeuillées et de blessés graves, ainsi que 10 000 $ pour les familles de blessés légers.
Présent dans la capitale pour remettre les dons, Taha Gayyur est touché de constater que la solidarité canadienne envers la communauté musulmane de Québec a permis d’amasser 402 000 $ en un mois par l’entremise de la plateforme gofundme.com.
Le directeur de l’organisation torontoise DawaNet, qui est responsable de la collecte de dons, est d’ailleurs fier de préciser au Soleil que 70 % des 5900 donateurs ne sont pas membres d’une communauté musulmane. «C’est complètement inattendu», dit-il, ajoutant du même souffle que les dons proviennent d’un peu partout au pays, et non pas seulement du Québec.
Les familles des six hommes décédés et des deux grièvement blessés lors de l’attentat de Québec ont reçu 41 143 $. Celles des trois hommes blessés légèrement se sont quant à elles vu remettre un peu plus que 10 000 $.
journaldumusulman.fr
***

France : Cambriolage en plein jour dans une mosquée de Rouen.
Le ou les cambrioleurs se sont introduits dans la mosquée El-Mouhsinine des Hauts de Rouen en escaladant le grillage.
Le cambriolage a eu lieu en plein jour dimanche 19 mars, entre 14 et 19 heures. Le ou les cambrioleurs se sont introduits dans la mosquée El-Mouhsinine des Hauts de Rouen en escaladant le grillage du lieu de culte musulman. Puis le ou les auteurs sont entrés dans l’édifice religieux par la porte principale qui n’était apparemment pas verrouillée.
D’après les information de France 3 Normandie, des portes ont été forcées, celle du bureau, puis celle du logement de l’imam. Un ordinateur portable, téléviseur, téléphone et plusieurs centaines d’euros en espèces ont été dérobés.
Les investigations ont été confiées à la sûreté départementale de Seine-Maritime.
journaldumusulman.fr
***

Angleterre : Détonations au Parlement britannique à Londres.
Une double attaque quasi instantanée a eu lieu mercredi 22 mars en Angleterre. Peu d’informations sont encore disponibles mais la metropolitan Police évoque déjà une attaque terroriste.
Un policier aurait été poignardé devant le Parlement britannique. Au même moment, une voiture a foncé sur des passants sur le pont de Westminster.
islametinfo.fr
***

France : Paris : 60 % de seringues usagées en moins près de la « salle de shoot » .
Moins de six mois après son lancement, la première salle de « consommation à moindre risque » montre déjà des signes positifs.
La mairie de Paris annonce, mardi 21 mars, que la salle de shoot située dans l’enceinte de l’hôpital Lariboisière dans le 18e arrondissement, a permis une réduction de 60 % du nombre de seringues à ses abords. Bernard Jomier, adjoint au maire en charge de la Santé, affirme qu’ « il y a une baisse importante de la consommation de rue ».
A titre d’exemple, sur la rue Maubeuge, dans le 10e arrondissement, 385 seringues usagées ont été ramassées entre le octobre 2016 et le 15 mars 2017 tandis qu’entre avril et septembre 2016, ce chiffre s’élevait à 1078. Cela correspond à une baisse de 65 %. La salle de shoot, ouverte tous les jours de 13h30 à 20h30, a enregistré 24 200 passages, soit 180 par jour en moyenne d’après la municipalité. Plus de 150 personnes ont été soignées ou orientées vers des traitements de substitution.
saphirnews.com
***

France : La mosquée du centre-ville de Clichy-la-Garenne évacuée par la police.
La police a procédé à l’évacuation de la mosquée de la rue d’Estienne-d’Orves à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) dès 8 h 30, mercredi 22 mars. « L’opération, menée par les effectifs locaux du commissariat de Clichy, a débuté dans le calme, puisqu’il n’y avait plus aucun fidèle à ce moment-là. Mais une cinquantaine de personnes, vraisemblablement des fidèles, ont ensuite forcé une porte et se sont introduits à l’intérieur de l’édifice religieux », rapporte auprès de L’Express une source de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Depuis juin 2015, le bail provisoire accordé par la municipalité à l’Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC) est expiré. Le maire Rémi Muzeau a décidé de ne pas renouveler le bail afin de mettre en place une médiathèque en lieu et place de la mosquée située rue d’Estienne d’Orves.
Le Conseil d’Etat a validé, en novembre 2016, l’ordonnance d’expulsion délivrée par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise trois mois plus tôt. Toutefois, et selon nos constatations, des fidèles mécontents ont organisé une prière de rue devant la mairie de Clichy. Des images filmées par un internaute et qui devraient faire le bonheur des identitaires en pleine période électorale.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

saphirnews.com
***

Etats-Unis et Grande-Bretagne : huit pays musulmans visés par une interdiction d’ordinateurs sur des vols.
Après le décret anti-immigration, les Etats-Unis prennent de nouvelles mesures pour les passagers des pays du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et de Turquie. Depuis mardi 21 mars, il leur est désormais interdit de monter à bord d’un avion à destination des Etats-Unis avec un appareil électronique dont la taille est supérieure à celle d’un Smartphone (tablette, ordinateur portable, appareils photo, lecteur de DVD.). Les voyageurs devront placer leurs appareils avec les bagages en soute.
Au total, une cinquantaine de vols journaliers de neuf compagnies aériennes sont concernés (Royal Jordanian, EgyptAir, Turkish Airlines, Saudi Airlines, Kuwait Airways, Royal Air Maroc, Qatar Airways, Emirates et Etihad Airways) sur dix aéroports internationaux (Amman, Le Caire, Istanbul, Jeddah, Ryad, Koweït, Doha, Dubaï, Abou Dhabi et Casablanca) de huit pays (Arabie Saoudite, Jordanie, Egypte, Emirats arabes unis, Koweït, Maroc, Qatar, Turquie).
Un responsable américain cité par RTL explique que « l’examen de renseignements indique que des groupes terroristes continuent de viser le transport aérien et cherchent de nouvelles méthodes pour perpétrer leurs attentats, comme dissimuler des explosifs dans des biens de consommation ».
Dans la foulée, Londres a décidé, mardi 21 mars, de prononcer une interdiction similaire pour les passagers en provenance de six pays : la Turquie, le Liban, la Jordanie, l’Egypte, la Tunisie et l’Arabie Saoudite.
L’explosion d’un engin à bord d’un Airbus A321 de Daallo Airlines en février 2016, revendiqué par les terroristes somaliens des Shebab, est brandi comme un prétexte pour cette nouvelle mesure du gouvernement américain, qui ont invoqué un risque d’attentats.
En France, aucune interdiction n’a été prononcée mais une « analyse du risque est en cours » a indiqué à l’AFP un porte-parole de l’aviation civile.
Cette interdiction, qui place des passagers des pays concernés au rang de présumés coupables, intervient une semaine après que la deuxième version du décret anti-immigration ait été bloquée par justice américaine.
saphirnews.com
***

Les taxis roses à Karachi : une nécessité pour lutter contre le harcèlement sexuel.
Facilement reconnaissables à leur couleur rose associée aux valeurs féminines, les « Pink Taxis » ont éclos dans le paysage urbain de Karachi, la capitale économique et financière du Pakistan grouillante de monde, avec à leur bord des femmes et rien que des femmes, qu’elles soient au volant des véhicules, ou assises en toute tranquillité sur les sièges arrières.
Dans la mégapole tentaculaire qui compte plus de 20 millions d’habitants, se déplacer en toute quiétude, sans craindre de subir le fléau du harcèlement sexuel, n’est pas chose aisée pour la gent féminine pakistanaise et relève même d’une épreuve quotidienne, devenue insurmontable pour nombre d’entre elles.
A la lumière d’un rapport rendu public par le Centre des ressources urbaines de Karachi, il a été mis en évidence que le harcèlement sexuel contre le sexe dit faible existe bel et bien, revêtant différentes formes, et que les harceleurs sévissent particulièrement dans les transports en commun, faisant du trajet de leurs victimes un véritable calvaire.
Syed Hussain Shah Nasir, le ministre des Transports dans la province de Sindh, où se trouve Karachi, a été l’un des premiers à reconnaître le sort peu enviable infligé à ses concitoyennes dès lors qu’elles souhaitent se rendre d’un point à un autre, réprouvant sans réserve l’hostilité et le harcèlement auxquels elles sont confrontées quand elles montent à bord de bus notamment.
« Avoir un mode de transport personnalisé peut résoudre un grand nombre de leurs problèmes », a-t-il déclaré à la télévision pakistanaise, mais en faisant abstraction d’un point non négligeable : le coût que cela représente, considéré comme prohibitif pour une large partie de la population, comme l’a fait remarquer Zebunnisa Burki, un journaliste basé à Karachi, qui déplore vivement que les taxis habillés de rose soient un luxe que nombre de femmes ne peuvent se permettre.
Pour Noor Jehan, une jeune pakistanaise ayant troqué son tablier de femme de chambre pour son voile rose fuschia de conductrice d’un « Pink Taxi », cette prestation de service, assurée par et pour les femmes, était une nécessité urgente. Avec la satisfaction du devoir accompli, elle se sent investie d’une belle et noble mission en conduisant chaque jour à bon port, et sans encombres, ses clientes rassurées et visiblement plus sereines.
Loin de voir la vie en rose pour autant, la très lucide Noor Jehan sait pertinemment que l’émergence d’une flotte de taxis roses dans Karachi et ailleurs, à Lahore et Islamabad, où ils sont en passe d’essaimer d’ici à quatre mois, ne sera pas la panacée contre le harcèlement sexuel, ou alors seulement pour une clientèle ciblée, très privilégiée.
« La plupart des femmes qui vont au travail chaque matin n’ont pas les moyens de s’offrir ce service », regrette-t-elle sincèrement, en espérant toutefois que les « Pink Taxis » feront des petits dans l’ensemble du Pakistan pour qu’ils soient, un jour prochain, accessibles à toutes les bourses.
oumma.com
***

Canada : un homme menace de faire un carnage dans une mosquée.
L’attentat terroriste meurtrier qui a fait six victimes et dix-neuf blessés dans la Grande Mosquée de Québec, lors d’un dimanche noir de fin janvier, était dans tous les esprits lorsqu’un homme a fait brutalement irruption, dimanche dernier, dans la mosquée située à London, en plein cœur de la province canadienne de l’Ontario.
Encore hantés par la tragédie, les fidèles qui venaient de se recueillir ont été saisis d’effroi en voyant cet inconnu âgé d’une vingtaine d’années, surgi de nulle part, s’agiter à l’intérieur de leur enceinte sacrée en proférant des menaces de mort à leur encontre.
« Il était extrêmement nerveux et véhément. Il cherchait à avoir de l’argent et menaçait de revenir pour tirer sur tous les membres de notre communauté », a relaté Nawaz Tahir, le porte-parole sous le choc du lieu de culte musulman, en précisant qu’un coup de fil de détresse, passé à la police locale par l’un des responsables de la mosquée ayant déjoué la vigilance de l’assaillant, les a sauvés du pire.
Arrivés rapidement sur place, toutes sirènes hurlantes, en redoutant que le scénario de l’horreur se reproduise dans leur ville de London, plus de 15 policiers ont encerclé le lieu de culte, tandis que d’autres pénétraient à l’intérieur pour mettre hors d’état de nuire le forcené, dont ils ignoraient s’il était armé ou non.
Après une interpellation musclée devant des fidèles figés sur place, il s’avérera que leur agresseur de 24 ans ne dissimulait aucune arme sur lui, n’avait aucun complice, mais que sa dangerosité était réelle.
« Nous n’envisageons pas pour l’heure de renforcer notre dispositif de sécurité », a indiqué Nawaz Tahir. Celui-ci se veut résolument confiant dans la surveillance régulière exercée par les forces de l’ordre de London aux abords de la mosquée, louant la célérité et l’efficacité dont elles ont fait preuve au cours d’un nouveau dimanche qui aurait pu, à tout instant, tourner au drame.
oumma.com
***
L’ eau sera bientôt plus précieuse que le pétrole.
A l’avenir, la pénurie d’eau est l’un des principaux défis auxquels l’industrie sera confrontée. L’eau deviendra plus précieuse que le pétrole car la demande croissante des populations, des industries et de l’agriculture menace les approvisionnements, a expliqué au Financial Times Jean-Louis Chaussade, le président directeur général de Suez.
Selon Chaussade, les industries chimiques, pharmaceutiques, minières et énergétiques vont devoir développer des solutions pour faire face à cette pénurie d’eau. Jean-Louis Chaussade estime que la valeur du marché des services d’eau industrielle est de 95 milliards d’euros. Cependant, sur le long terme, la croissance de ces services devrait augmenter à un rythme annuel de 5%.
« D’ici 2035, environ 40% de la population mondiale vivra dans des zones confrontées à une pénurie d’eau. Par conséquent, sur le plan de l’approvisionnement, les entreprises sont susceptibles d’entrer en concurrence avec la population et avec le secteur agricole » ; a expliqué Chaussade.
« Les gouvernements disent aux industries que leur activité est autorisée, mais qu’elles ne peuvent pas tirer l’eau du sous-sol. Les entreprises devront donc s’appuyer sur les usines de recyclage des eaux usées ou sur les usines de dessalement d’eau de mer. «
L’eau industrielle: une grande opportunité.
L’eau industrielle offre à Suez une plus grande opportunité que ses activités traditionnelles car les industries de ce secteur représentent un cinquième de l’utilisation mondiale d’eau, contre 5% pour la population.
Suez a récemment acquis pour 3,4 milliards de dollars l’unité d’approvisionnement en eau de General Electric. General Electric Water aide des grandes entreprises telles qu’ExxonMobil, Pfizer et Nestlé dans leur gestion et traitement de la consommation d’eau. Environ la moitié du chiffre d’affaires des entreprises américaines est réalisé aux Etats-Unis, mais, selon Chaussade, le potentiel de croissance le plus fort se situe au sein des économies en développement, en particulier la Chine.
« Toutefois, le peuple et le gouvernement chinois n’accepteront plus que de nouvelles usines soient construites sans traitement appropriés des eaux usées », ajoute Chaussade.
Africa24.info
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
.
Haniyeh: le Hamas s’attache aux principes d’Al-Yassin
.
Gaza rend hommage à la Secrétaire exécutive de la CESAO, Rima Khalaf
.
Bethléem: Répression d’une marche pacifique exigeant la récupération des corps des martyrs
.
L’Occupation arrête 3 jeunes hommes pour vol d’armes
.
Le Conseil des relations internationales endeuillé par la mort de Martin McGuinness
.
Cheikh Yassin nous a quittés il y a 13 ans
.
Invasion limitée des bulldozers sionistes à l’est de Khan Younès
.
Halabi n’a pas donné d’argent au Hamas, assure une enquête australienne
.
Les jeunes de Balata protestent contre la campagne de sécurité de l’AP
.
Pour la 12ème fois, l’occupation renouvelle l’assignation à domicile de Abdul-Latif Ghaith
.
Les forces israéliennes saisissent une voiture et un tracteur à Tubas
.
8 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem
.
Acte d’accusations contre la députée Halayka
.
Les colons attaquent les bergers de Berka à Naplouse
.
Un jeune assassiné et deux blessés par l’artillerie israélienne sur Rafah
.
L’occupation arrêté Omar Barghouti, l’un des fondateurs du mouvement BDS
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.

Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
******************************************************************

France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
Clic pour voir la Source de l’article
***

Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



Clic pour voir la Source de l’article
***

Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

Clic pour voir la Source de l’article
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
.
Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
.
Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
.
L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
.
20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
.
77 Violations contre les journalistes en Février 2017
.
L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
.
11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
.
Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
.
63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
.
Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
.
L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
.
Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
.
Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
.
Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
.
L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
.
Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.
Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com