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Flash info du 22 Cha’ban 1438.

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WannaCryptor : 5 questions sur une cyberattaque d’une ampleur inédite.
Une vague de cyberattaques « sans précédent », selon Europol, a frappé depuis vendredi une centaine de pays dont la France. De nombreuses entreprises et organisations, comme les hôpitaux britanniques et le constructeur Renault, sont affectées. L’attaque a fait plusieurs dizaines de milliers de victimes et une enquête judiciaire a été ouverte ce samedi 13 mai en France.
Quelle est l’ampleur de l’attaque ?
L’attaque a fait « plus de 75.000 victimes », selon un bilan provisoire communiqué ce samedi par la police nationale. Le bilan « devrait très vraisemblablement s’alourdir dans les jours qui vienne », a précisé samedi à l’AFP Valérie Maldonado, adjointe à la chef de la sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité.
Parmi les organisations touchées, on trouve :
Le service public de santé britannique (NHS), qui emploie 1,7 millions de personnes,
Le groupe Renault, dont des sites de production ont été mis à l’arrêt en France et en Slovénie,
La Deutsche Bahn, la comagnie ferroviaire publique allemande,
Le groupe de livraison de colis américain FedEx,
La compagnie de télécoms espagnole Telefonica,
Plusieurs ministères russes, selon la Banque centrale russe, qui a aussi annoncé samedi que le système bancaire du pays avait été visé.
Selon la société de sécurité informatique Kaspersky, la Russie est le pays le plus touché.
Comment fonctionne-t-elle ?
L’attaque est basée sur un logiciel malveillant baptisé WanaCrypt0r 2.0, qui crypte les fichiers des utilisateurs et leur demande de payer une somme d’argent sous forme de bitcoin pour qu’ils soient restaurés. Il s’agit d’un « rançongiciel ».
Ce logiciel exploite une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l’agence de sécurité américaine NSA.
Les captures d’écran d’ordinateurs infectés du NHS britanniques montrent ainsi que les pirates demandent un paiement de 300 dollars en bitcoins. Le paiement doit intervenir dans les trois jours ou le prix double. et si l’argent n’est pas versé dans les sept jours les fichiers piratés seront effacés.
« Une fois la première machine infectée, il se propage à l’ensemble du réseau sur lequel il est connecté, paralysant ainsi tous les ordinateurs dont il chiffre les fichiers », précise la police française.
Qui est à l’origine de l’attaque ?
Selon la société Kaspersky, le logiciel malveillant a été publié en avril par le groupe de pirates « Shadow Brokers », qui affirme avoir découvert la faille informatique par la NSA.
Selon Guillaume Poupard, patron de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, interrogé par « le Monde », « tout, dans ce scénario, fait penser à une attaque criminelle ».
La propagation est-elle terminée ?
Non. Mais elle a été freinée ce samedi par accident, par un jeune chercheur en cybersécurité basé au Royaume-Uni. Souhaitant rester anonyme, il a expliqué à l’AFP :
« Généralement un logiciel malveillant est relié à un nom de domaine qui n’est pas enregistré. En enregistrant simplement ce nom de domaine, on arrive à stopper sa propagation. »
« Il a clairement réussi à enrayer la propagation », a assuré à l’AFP Marco Cova, spécialiste en cybersécurité chez Lastline.
De là à l’arrêter complètement ? Laurent Maréchal, expert en cybersécurité chez McAfee, a préféré rester prudent. « Le nom de domaine en question est-il le seul nom de domaine concerné ? Il est trop tôt pour le dire. Il se pourrait très bien que le logiciel vienne à se décliner sous d’autres formes. »
Comment se protéger ?
Les particuliers peuvent aussi être infectés.
« Pour les utilisateurs de postes Windows, il est fortement recommandé même en l’absence d’infection apparente, d’appliquer le correctif Microsoft MS 17-010 disponible à l’adresse https://technet.microsoft.com/fr-fr/library/security/ms17-017.aspx », selon le bulletin d’information et de prévention de la police nationale. Celui-ci précise :
« En cas d’infection, il est indispensable d’isoler la machine infectée en la coupant du réseau familial ou de l’entreprise, ce qui empêchera toute propagation, en éteignant de préférence l’ordinateur ou en retirant le câble réseau ou encore en désactivant l’antenne wifi. »
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Yémen: le choléra fait 115 morts en deux semaines.
Le choléra se répand rapidement depuis deux semaines dans un Yémen ravagé par la guerre.
Le Yémen est touché depuis plusieurs semaines par une grave crise de choléra. Le 9 mai, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonçait déjà le décès de 34 personnes. Le bilan s’élève aujourd’hui à 115 morts depuis le 27 avril, selon le ministère yéménite de la Santé. Plus de 8.500 cas suspects ont été recensés dans les 14 provinces du pays.
Les infrastructures hospitalières du pays ont été fortement endommagées par deux ans de guerre et où la qualité de l’hygiène s’est fortement dégradée. L’afflux des malades, souffrant de diarrhée et de vomissement, dépasse de loin les capacités d’accueil des centres hospitaliers.
« Quatre patients dans un seul lit ».
« Nous sommes maintenant confrontés à une grave crise de choléra », a déclaré Dominik Stillhart, directeur des opérations du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), lors d’une conférence de presse dans la capitale Sanaa, au terme d’une mission au Yémen.
« Il y a jusqu’à quatre patients atteints du choléra dans un seul lit », a-t-il déploré. « Certains patients restent dans le jardin ou même dans des voitures avec leurs équipements de perfusion intraveineuse pendant à la fenêtre » du véhicule, a-t-il ajouté devant les journalistes à Sanaa.
Le manque d’hygiène à Sanaa, où la situation à empiré la semaine dernière avec une grève des éboueurs qui réclamaient leurs salaires impayés, « est un phénomène qui menace notre communauté », s’est inquiété un habitant cité par l’AFP, Ashraf Al-Hadi, qui en veut au gouvernement rebelle qui administre la ville.
Des tas d’ordures nauséabondes ont jonché pendant plusieurs jours les rues et les places de la capitale, contribuant à la dégradation de l’hygiène dans la ville. Après un débrayage d’une dizaine de jours, les éboueurs ont repris le travail le weekend, au grand soulagement de la population.
Un responsable local de l’OMS, Jameel Nashir, a appelé les habitants à soigner leur « hygiène personnelle » et à prendre « conscience de la dangerosité de la maladie ».
Une pénurie d’eau à Sanaa.
En outre, a-t-il ajouté, « ils devraient utiliser de l’eau provenant de sources sûres et éloignées des zones polluées », en allusion à la pénurie d’eau à Sanaa.
Dans une ville où le robinet ne coule dans certains quartiers qu’un jour par mois, les quelque 2 millions d’habitants dépendent des forages privés qui puisent l’eau dans des nappes phréatiques en voie d’épuisement et la revendent dans des camions-citernes.
Ali Al-Washali, hospitalisé pour diarrhée sévère, explique « boire depuis longtemps l’eau d’un puits artésien », servie par camion-citerne sans avoir de problème « mais de nos jours on en tombe malade ».
L’OMS classe désormais le Yémen comme l’une des plus grandes urgences humanitaires de la planète avec la Syrie, le Soudan du Sud, le Nigeria et l’Irak.
Selon cette même organisation, les combats ont fait plus de 8 000 morts et plus de 44.500 blessés depuis mars 2015. Quelque 19 millions de personnes, soit 60% de la population, vivent en situation d’insécurité alimentaire, selon l’ONU.
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Diesel : 38 000 décès imputés au trucage des moteurs en 2015.
Depuis 2015, on sait que Volkswagen et d’autres constructeurs ont utilisé des dispositifs destinés à minimiser le niveau réel des émissions d’oxyde d’azote. Des mécanismes qui ont provoqué 38 000 morts prématurées dans le monde en 2015, selon une étude parue ce lundi dans la revue Nature.
Les oxydes d’azote (NOx), en particulier le dioxyde d’azote (NO2), sont des gaz d’échappement nocifs pour le système respiratoire. Le dioxyde d’azote (NO2) contribue en outre à la formation d’ozone, un autre polluant, lors de journées chaudes et ensoleillées.
107 600 décès prématurés dans le monde.
La pollution provoquée par les émissions de NOx des véhicules diesel en circulation a été à l’origine de 107 600 décès prématurés dans le monde en 2015, indique l’étude réalisée par l’ONG ICCT (Conseil international pour des transports propres) en collaboration avec l’Université du Colorado, l’Institut de l’Environnement de Stockholm et l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués, basé aux Etats-Unis. Sur ce total, 38 000 sont imputables aux « émissions générées en excès » par rapport à celles prévues par les tests effectués en laboratoire, précisent les chercheurs.
Environ 80% de ces décès ont eu lieu dans trois régions: l’Union européenne (UE), la Chine et l’Inde, écrivent les chercheurs. Les émissions de NOx ont été les plus meurtrières en Chine, avec 31 400 morts prématurées, dont 10 700 attribuées aux émissions en excès. L’Union européenne a enregistré 28 500 morts, dont 11 500 dues aux émissions en excès et l’Inde 26 700 dont 9 400 attribuées au dépassement par rapport aux valeurs limites affichées par les constructeurs.
50% d’oxyde d’azote de plus que les limites.
Globalement, les véhicules au diesel des principaux marchés automobiles mondiaux « produisent 50% d’oxyde d’azote de plus que ce qu’indiquent les limites officiellement certifiées », affirme l’ICCT dans un communiqué.
Les chercheurs ont étudié onze marchés représentant plus de 80% des ventes de véhicules diesel neufs en 2015 (Australie, Brésil, Canada, Chine, UE, Inde, Japon, Mexique, Russie, Corée du Sud, Etats-Unis). Ces véhicules ont émis 13,2 millions de tonnes de NOx, dans les conditions de conduite réelles, soit 4,6 millions de tonnes de plus que les 8,6 millions attendus selon les tests réalisés en laboratoire. Les poids lourds et les cars sont « de loin » les véhicules ayant le plus contribué à ce dépassement, avec 76% du total des émissions en excès.
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Accusé d’obstruction à la justice, Trump risque-t-il la destitution ?
Critiqué pour avoir limogé le patron du FBI et dévoilé des informations confidentielles au chef de la diplomatie russe, Donald Trump est désormais accusé d’avoir tenté de mettre fin à une enquête fédérale. Les appels à lancer une procédure de destitution se multiplient.
Donald Trump ira-t-il jusqu’au bout de son mandat ? A peine quatre mois se sont écoulés depuis son investiture, mais déjà le spectre d’une destitution commence à planer au-dessus de Washington, alimenté par les scandales à répétition. Le dernier en date, révélé mardi soir par le New York Times, est sans doute le plus accablant pour le président américain. Selon le quotidien, Donald Trump aurait demandé mi-février au directeur du FBI James Comey, qu’il a brutalement limogé la semaine dernière, de mettre un terme aux investigations visant Michael Flynn, son éphémère conseiller à la sécurité nationale. «C’est quelqu’un de bien. J’espère que vous pourrez laisser tomber», aurait dit le milliardaire à James Comey. Lequel a aussitôt retranscrit la conversation dans un mémo confidentiel cité par le journal.
Toujours selon le New York Times, la scène se serait déroulée le 14 février, au lendemain de la démission de Michael Flynn. Après une réunion consacrée à l’état de la menace terroriste, Donald Trump aurait demandé à tous les participants – dont le vice-président Mike Pence et le ministre de la Justice Jeff Sessions – de quitter le bureau Ovale, à l’exception de James Comey. Une fois seul avec le patron de la police fédérale, le président aurait défendu l’ancien général Flynn, poussé à la démission pour avoir omis de révéler des contacts répétés avec l’ambassadeur russe aux Etats-Unis au cours de la période de transition. Donald Trump aurait assuré à James Comey que Flynn n’avait rien fait de mal.
Obstruction.
Si les faits sont avérés, ils pourraient constituer une possible obstruction à la justice, un crime passible de destitution pour un président américain. Consciente de la gravité des accusations, la Maison Blanche les conteste catégoriquement. «Le président n’a jamais demandé à M. Comey ou à qui que ce soit d’autre de clore une enquête, y compris toute enquête impliquant le général Flynn», a réagi l’exécutif dans un communiqué. Ajoutant : «Le président a le plus grand respect pour nos agences chargées de faire respecter la loi, et pour toutes les enquêtes. Ce n’est pas un récit fidèle de la conversation entre le président et M. Comey».
Potentiellement dévastatrices, les révélations du New York Times fragilisent encore un peu plus la Maison Blanche, secouée depuis une semaine par des affaires à répétition. Le limogeage surprise et sans ménagement de James Comey, la semaine dernière, a suscité de vives critiques, l’opposition démocrate accusant Donald Trump de chercher à étouffer les enquêtes du FBI sur le rôle de la Russie dans la campagne présidentielle. Lundi soir, l’autre quotidien américain de référence, le Washington Post, a quant à lui révélé que le président avait livré des informations ultra confidentielles au chef de la diplomatie russe, lors d’une rencontre à la Maison Blanche.
«L’histoire nous regarde».
«Trop c’est trop. Le Congrès doit aller au fond de ces questions», a tonné l’élu démocrate Adam Schiff, membre de la puissante commission du Renseignement de la Chambre. Le chef de l’opposition démocrate au Sénat, Chuck Schumer, s’est dit «secoué» par les révélations du New York Times. «C’est un test sans précédent pour le pays. Je dis à tous mes collègues du Sénat : l’histoire nous regarde», a lancé, grave, le sénateur de New York dans l’hémicycle.
«Plus que jamais, nous avons besoin d’un procureur spécial pour déterminer s’il y a eu une collusion entre la campagne Trump et la Russie», a réagi de son côté Bernie Sanders dans un communiqué. Le sénateur du Vermont a appelé en outre les républicains du Congrès à travailler avec les démocrates «pour exiger que Trump rende des comptes pour ses actions».
«Une nouvelle donne».
Si la plupart des dirigeants démocrates rechignent encore à parler ouvertement de destitution, certains élus estiment au contraire qu’un cap a été franchi. «Cela aide à sceller le dossier» de la destitution, s’est réjouie l’élue de Californie, Maxine Waters. Son collègue du Texas, Joaquin Castro, a quant à lui prédit que si les faits étaient avérés, «le Congrès prendrait probablement le chemin de la destitution». Tout aussi révélateur, les discussions sur une possible procédure de destitution visant Donald Trump ont envahi les réseaux sociaux et les plateaux de télévision. «J’ai été réfractaire aux discussions sur la destitution jusqu’à présent, mais si le mémo de Comey est véridique – et Comey est très crédible -, nous sommes dans une nouvelle donne», a tweeté David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama, qui estime que ces dernières révélations pourraient «conduire à la fin» de la présidence Trump.
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International – Le Canada va interdire le débarquement forcé de passagers d’un avion.
Suite aux images choquantes d’un passager récemment expulsé d’un avion aux Etats-Unis, le voisin canadien veut prendre des dispositions.
Quelques semaines après les images choc de l’expulsion musclée d’un voyageur sur un vol d’United Airlines aux Etats-Unis, les compagnies aériennes auront l’interdiction de débarquer des passagers en cas de surréservation au Canada. Un projet de loi déposé mardi par le gouvernement canadien dans ce but.
«Nous avons tous entendu parler de mauvais traitements de passagers. De tels incidents ne seront pas tolérés au Canada», a déclaré à la presse le ministre des Transports, Marc Garneau. «Lorsque les Canadiens achètent un billet d’avion, ils s’attendent à ce que la compagnie aérienne fournisse le service pour lequel ils ont payé, et à ce qu’elle fasse preuve de respect à leur égard».
Ce projet de loi prévoit un plancher de compensations pour les passagers volontaires pour céder leur place lorsqu’un vol est surréservé, ou dont les bagages ont été égarés ou endommagés.
Des indemnisations sont également prévues en cas de retard prolongé sur le tarmac et les compagnies seraient obligées de placer un enfant près d’un parent, sans frais supplémentaires.
«Lorsque des imprévus surviennent, les voyageurs méritent une indemnisation claire, transparente, équitable et uniforme», a souligné M. Garneau.
Indignation internationale.
La loi permettrait, selon lui, d’assurer que les passagers «soient traités comme des personnes et non comme des numéros».
La loi, qui devrait entrer en vigueur en 2018, portera par ailleurs de 25 à 49% la limite de la participation étrangère au capital des compagnies aériennes canadiennes et obligera les entreprises ferroviaires à installer des enregistreurs audio-vidéo à bord des locomotives.
En avril, un passager avait été brutalement expulsé par la police de l’aéroport de Chicago d’un vol surréservé d’United Airlines, une scène filmée par d’autres passagers qui avait soulevé une vague d’indignation internationale.
L’incident avait sérieusement écorné l’image de la compagnie américaine, qui a finalement décidé de réduire la surréservation et d’offrir désormais jusqu’à 10.000 dollars à des passagers acceptant de céder leur place volontairement lorsque l’avion est plein.
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Préparons-nous à accueillir le mois de Ramadan.
Le mois du ramadan est un mois béni où tous les croyants sont invités à jeûner (à l’exception des femmes enceintes, des malades).
Il s’agit d’une période sacrée au cours de laquelle le Saint-Coran est descendu.
Le quatrième pilier de l’Islam donne une chance à tous les musulmans d’acquérir de bonnes œuvres et de montrer sa foi envers Notre Créateur.
Ainsi, accomplir je jeûne du Ramadan apporte de nombreux bénéfices, et c’est aussi l’occasion d’adopter de nouvelles habitudes et une meilleure hygiène de vie.
Le croyant peut profiter de ce mois sacré pour donner du sens à sa spiritualité.
Le musulman peut multiplier les bonnes actions en offrant de la nourriture pour les nécessiteux ou encore en distribuant la Zakât al-Fitr.
C’est un moment privilégié pour renouer avec le Coran en apprenant de nouvelles sourates et en redoublant ses lectures du Livre Saint.
D’autre part, les parents ont la tache de préparer leurs enfants pour ce mois.
Pour cela, on peut montrer notre enthousiasme à pratiquer notre jeûne en les faisant participer à la préparation des repas, leur apprendre le sens de l’entraide ou encore les éveiller lors d’activités ludiques.
Saviez-vous qu’une ‘Omra pendant le Ramadan équivaut à un Hajj avec le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) ? Les avantages d’un ramadan passé à la Mecque sont très nombreux : la récompense de la ’Omra, le bénéfice du lieu, l’ambiance exceptionnelle et des journées de jeûne plus courtes qu’en France !
Le meilleur temps pour s’acquitter de la ‘Omra est pendant le mois de Ramadan.
D’après Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée), Oum Souleym (qu’Allah l’agrée) est venue vers le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) et a dit: Abou Talha et sont fils sont partis faire le hajj et ils m’ont laissé.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit: « Ô Oum Souleym! Une ‘omra durant le ramadan équivaut à un hajj avec moi ».
(Rapporté par Ibn Hibban dans son Sahih n°3699 et authentifié par cheikh Albani dans Sahih Targhib n°1118).
AJIB.FR***

Témoignage : l’histoire d’amour improbable entre une ex-militante FN et un migrant de Calais.
Ancienne militante au FN, Béatrice Huret ne pensait jamais se rapprocher un jour d’un migrant et encore moins tomber amoureuse de l’un de « ces étrangers, si différents » comme elle les qualifiait.
L’histoire d’amour improbable.
Veuve depuis 2010 après la mort de son ancien mari policier, Béatrice a toujours été l’une des militantes du FN parce que son mari le souhaitait. L’ancienne aide-soignante a alors vu ses convictions et sa vie changer le soir où elle s’est arrêtée pour prendre en stop l’un de ces migrants qu’elle fuyait tant. Mokhtar fait partie des migrants iraniens qui s’étaient cousus la bouche en signe de protestation suite à la destruction de leurs abris à Calais. Touchée par la condition de vie des migrants qu’elle découvre, elle décide de s’engager au sein de « Belgium Kitchen », une association caritative qui distribue des repas.
« On s’est regardés et ça a fait comme un flash » : voilà comment l’ex-militante du FN décrit le début de son histoire d’amour improbable avec Mokhtar. Elle décide alors de l’accueillir lui et un autre migrant chez elle. Mais pour le jeune iranien hors de question de rester en France.
Arrestation et placement sous contrôle judiciaire.
En juin 2016, Mokhtar décide de rejoindre l’Angleterre où Béatrice ne pourra pas encore le suivre puisque 2 mois après elle est arrêtée, placée sous contrôle judiciaire et fichée S pour « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irrégulier d’un étranger en France en bande organisée. » L’ex-militante FN aujourd’hui en couple avec un ancien migrant de Calais risque 10 ans de prison et 750 000 euros d’amende…
Le 3 mai 2017, Béatrice publie son livre « Calais mon amour » où elle raconte son histoire d’amour improbable. Aujourd’hui, elle attend toujours la date de son procès.
katibin.fr
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France : Législatives : après Francis Lalanne, Dieudonné candidat contre Valls.
L’humoriste controversé Dieudonné réalise un nouveau coup d’éclat médiatique en présentant sa candidature dans la première circonscription de l’Essonne où candidate l’ancien Premier ministre Manuel Valls. L’information a été révélée mercredi 17 mai par Le Parisien, qui affirme que plusieurs témoins ont croisé l’humoriste à la préfecture de l’Essonne, à Evry.
En janvier 2014, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait mené une bataille judiciaire afin de faire interdire les spectacles jugés antisémites de l’inventeur de « la quenelle ».
Dieudonné ne sera pas titulaire mais seulement suppléant de Nolan Lapie, un jeune homme qui a fait le buzz après avoir giflé Manuel Valls lors d’un déplacement dans les Côtes-d’Armor, en janvier 2017. Nolan Lapie avait été condamné à trois mois de prison et 105 heures de travaux d’intérêt général.
Elu depuis 2002, l’ancien maire d’Evry aura également comme adversaire l’artiste Francis Lalanne, suppléant de Jacques Borie, candidat du mouvement 100 % la force éco-citoyenne.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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saphirnews.com
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France : GenerationLaicité : Nikola Karabatic s’engage auprès des jeunes sur la laïcité.
La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) et l’Observatoire de la Laïcité s’associent pour le projet #GenerationLaicité, à destination des collégiens. En voulant « donner des clés aux collégiens pour mieux comprendre la laïcité » selon leur communiqué, les organisations ont fait appel à Nikola Karabatic, joueur français de handball, comme figure emblématique du projet, lancé mercredi 17 mai.
« Nous avons donc développé un projet qui correspond au mode de vie et de communication des jeunes : un ton non moralisateur, la présence d’une personnalité qui apporte les éléments de réponses, des films courts, faciles à partager sur les réseaux sociaux, un site dynamique », ajoutent-elles.
En effet, le projet porte sur des mini-films pédagogiques sur Youtube d’une quarantaine de secondes chacun, dans lesquelles on voit des collégiens qui s’interrogent sur la laïcité à l’école autour de quatre grandes questions : sport et religion, le port de signes distinctifs à l’école, les fêtes religieuses et absentéisme et les repas sans porc à la cantine.
Nikola Karabic apparaît à la fin de chaque vidéo en donnant des éléments de réponse aux jeunes afin de leur permettre « d’être au top sur la laïcité ». De courtes vidéos qui terminent par un slogan : « La laïcité, c’est la liberté d’avoir des convictions et le devoir de les vivre dans le respect de celles des autres. »
Le site associé à ces vidéos est organisé de façon ludique, avec un certain nombre de questions posées dans des encadrés telles que « A-t-on le droit de parler de religions avec les copains ? Et avec les professeurs ? » ou « Est-ce que mon père peut demander à aménager ses horaires pour le Ramadan ? ». L’internaute n’a plus qu’à cliquer pour avoir une réponse détaillée. Une initiative salutaire pour permettre aux jeunes (ou non) de mieux connaître leurs droits et devoirs en matière de laïcité.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Plus de 300 boucheries signataires d’une charte contre le halal.
Plus de 300 boucheries seraient aujourd’hui titulaires du label « Viande de tradition française ». Cette étiquette a priori anodine engage ses propriétaires à ne vendre que de la viande garantie non halal.
« Aux manettes de ce label, l’association islamophobe Vigilance Halal », fondée en 2012, rapporte Streetpress mardi 16 mai. Sous couvert de préserver le bien-être animal, l’association a lancé son label en 2016 en démarchant plus de 5 000 bouchers artisanaux qui ne distribuent ni halal, ni casher. « Notre but, c’est que le non halal devienne un argument commercial. Ça incitera les abattoirs à faire de moins en moins d’abattage rituel » explique Lou Mantély, porte-parole de l’association.
Si certains bouchers n’assument pas encore leur signature de la charte, d’autres affichent ostensiblement le label « Viande de tradition française » sur la devanture de leur boutique. « Je l’ai fait pour me démarquer, il y a de la concurrence à Cannes. Pas mal de boucheries halal. Je sais que ça peut m’aider à récupérer des clients, surtout des personnes âgées », témoigne ainsi Eric, un boucher cannois.
Tous les établissements labellisés sont recensés sur un site, mis en ligne en décembre 2016. Marc Lyraud, membre de Vigilance Halal, souhaite développer une application de géolocalisation qui intègrerait par ailleurs les restaurants garantis sans halal. Il espère à terme obtenir le ralliement de grandes marques, en surfant donc sur la vague islamophobe.
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Centrafrique : des centaines de civils menacés de mort exfiltrés d’une mosquée.
Plus de 2 000 civils, pris au piège dans une mosquée, une église et un hôpital de Bangassou, ont été libérés, lundi 15 mai, par la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca).
Bangassou, au sud-est de la Centrafrique, est au centre d’attaques de centaines d’hommes armés ces derniers jours. Les civils tentait d’échapper à des attaques de miliciens anti-balaka. Les personnes ont été mises à l’abri, selon France 24, sur le site de l’église qui compte en son sein 7 000 déplacés à ce jour.
« Je vous confirme que la mosquée (où se trouvaient quelque 500 civils, ndlr) est vide. Les 250 hommes qui étaient encore à l’intérieur cet après-midi ont été exfiltrés », a déclaré Hervé Verhoosel, porte-parole de la Minusca. Un camp de cette mission onusienne a aussi été pris pour cible et des casques bleus supplémentaires ont du être déployés. Six soldats de cette force, quatre Cambodgiens et deux Marocains, ont été dernièrement tués dans cette région.
Les soldats onusiens ont réussi à rétablir le calme dans une partie de la ville dans la soirée de dimanche mais des combats se poursuivaient lundi dans d’autres secteurs. « La situation est extrêmement déplorable et nous faisons tout pour reprendre rapidement le contrôle de Bangassou », a-t-il déclaré à Reuters. « Nombre de combattants sont des enfants soldats qui semblent sous l’emprise de drogues », a-t-il ajouté.
Selon l’ONU, plus 20 personnes ont été tuées en trois jours à Bangassou. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « scandalisé » par ces attaques. « Toute la lumière devra être faite sur ces actes odieux, qui peuvent constituer des crimes de guerre et dont les auteurs doivent être traduits en justice », a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay. La France a estimé qu’elles pouvaient même « constituer des crimes de guerre »
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22 ans après l’extermination de 8 000 musulmans à Srebrenica, les Serbes de Bosnie nient le génocide.
Seulement deux décennies se sont écoulées depuis l’horreur du génocide contemporain qui a fait de la ville martyre de Srebrenica un immense charnier, frappant en plein cœur un Vieux Continent qui se targuait, depuis les heures funestes du nazisme, d’avoir éradiqué en son sein la barbarie à visage humain, et déjà le déni de cette effroyable épuration ethnique et de son long cortège de victimes musulmanes (8 000 hommes) fait son chemin dans les esprits, au point d’être taraudé par une question angoissante : une telle abomination commise à nos portes, froidement et méthodiquement, pourrait-elle à nouveau survenir dans une Europe gangrenée par la résurgence des nationalismes et l’islamophobie ?
Depuis ce mois de juillet 1995 macabre, planifié et orchestré par les bouchers serbes que furent Slobodan Milošević, Radovan Karadžić et Ratko Mladić, au cours duquel 8 000 Bosniaques musulmans, jeunes et moins jeunes, furent séparés de leurs proches, emprisonnés, torturés et abattus, avant d’être jetés dans des fosses communes, parfois éloignées d’une vingtaine de kilomètres, la force dévastatrice du racisme anti-musulmans a rechargé ses accus en Serbie et contamine la Republika Srpska, cette région semi-autonome du nord et de l’est de la Bosnie-Herzégovine, passée aux mains des Serbes de Bosnie, qui comprend Srebrenica.
Placée sous le joug des Serbes de Bosnie dont l’écrasante majorité affiche fièrement son négationnisme, balayant d’un revers de main la qualification officielle de génocide qui, aux yeux du Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie, est pourtant la seule désignation appropriée à la monstruosité de ce crime de masse, Srebrenica pleure toujours ses morts après 22 ans d’un interminable deuil, rendu longtemps impossible par la recherche désespérée des dépouilles.
« Le déni du génocide nous fait mal », a confié Mejra Dzogaz, submergée par l’émotion, aux journalistes Alastair Sloane et Peter Oborne venus enquêter sur « L’histoire macabre de la dissimulation de Srebrenica ». Pour cette femme arrivée au soir de sa vie, le temps n’apaise nullement la douleur d’avoir perdu ses deux fils, assassinés dans les collines entourant Srebrenica.
« Nous espérons toujours que les négationnistes finiront par revoir leurs positions et par penser à nous et à toutes les autres mères. Mais tout ce qu’ils veulent faire, c’est nier. Si vous allumez la télévision, tout ce que vous entendez, ce sont ces personnes en train de nier. Nous pleurons encore et toujours et ils continuent de nier », s’indigne cette mère dont le cœur saigne depuis cet été mortifère de 1995. Elle décrit l’effroi qui la saisit à chaque fois qu’elle croise, au détour d’une rue, des Serbes qui ont perpétré ces massacres et qui se drapent désormais dans leur respectabilité de notables, siégeant au Conseil municipal ou occupant de hautes fonctions au sein de la police locale.
Alors que chaque année, la ville martyre de Srebrenica se rappelle à nos mémoires lors de la commémoration, poignante et solennelle, des atrocités qui l’ont à jamais marquée de leur empreinte sanglante, il se pourrait que les préparatifs soient, cette année, fortement perturbés par le nouveau maire de la ville Mladen Grujičić, un homme politique nationaliste serbe qui nie de toutes ses forces le génocide anti-musulmans, allant jusqu’à refuser d’employer le terme qui lui écorche la bouche.
« C’est une ironie cruelle de constater que l’élection à Srebrenica d’un maire qui nie le génocide n’a été rendue possible qu’en raison du nettoyage ethnique de sa population musulmane », fait observer le docteur Waqar Azmi, président de Remembering Srebrenica, une association caritative britannique.
En 2015, une enquête d’opinion terriblement édifiante révélait que 54% des personnes interrogées en Serbie reconnaissaient la brutalité du crime commis en juillet 1995, mais que 70% d’entre elles réfutaient l’idée même du génocide.
Parmi les nombreuses sources d’inquiétude nées de leur pérégrination au cœur de la Serbie d’aujourd’hui, les reporters Alastair Sloane et Peter Oborne ont été traversés par un frisson de peur en apprenant les liaisons dangereuses nouées entre l’administration Trump et les nationalistes Serbes de Bosnie, farouches tenants des thèses négationnistes.
En effet, le premier magistrat de Srebrenica, Mladen Grujičić, a eu l’insigne honneur d’être invité à participer au grand rituel du petit-déjeuner national de prière à Washington, deux semaines après l’investiture du 45ème président des Etats-Unis, se réjouissant de l’opportunité qui lui était offerte de « nouer des contacts avec des personnes importantes ».
L’inquiétude est à son comble, quand on découvre la noirceur de la pensée qui anime Milorad Dodik, le président de la Republika Srpska, au sujet du massacre génocidaire de Srebrenica : « c’est la plus grande supercherie du XXème siècle ! », assène-t-il sur un ton glacial qui trahit une haine anti-musulmans implacable.
De là à imaginer que le scénario du pire pourrait se répéter dans une Europe frappée d’amnésie et de cécité, où refont surface les vieux démons, il n’y a qu’un pas que les deux journalistes britanniques ont franchi avec une extrême anxiété.
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Tourisme Halal: Le Maroc destination Halal préférée au Maghreb.
Les vacances venues et à mesure que leur désir d’évasion s’est accru en l’espace de quelques années, les milliers de familles musulmanes disséminées à la surface du globe sont de plus en plus nombreuses à opter résolument pour le tourisme Halal, seul à même de leur offrir une parenthèse exotique enchantée, mêlant harmonieusement découverte, détente et accomplissement du devoir religieux.
Parmi les destinations phares qui attirent un nombre croissant de touristes musulmans, assurés de passer un séjour des plus agréables sans que leur éthique musulmane soit sacrifiée sur l’autel du dépaysement touristique, la Tunisie, la variété de ses paysages et ses prestations hôtelières constituent une belle invitation au voyage, susceptible de plaire aux chercheurs de sérénité comme aux curieux, avides de la visiter.
Sur les 130 pays passés au crible par l’entreprise américaine Mastercard et le leader mondial du voyage et tourisme Halal CrescentRating, la Tunisie pointe à la 19ème place d’un prestigieux classement international hiérarchisant les petits coins de paradis Halal les plus prisés par les visiteurs musulmans.
Alors que la Malaisie, les Emirats arabes unis et l’Indonésie forment un trio de tête indétrônable, le Maroc, pour sa part, demeure la destination Halal préférée au Maghreb et se classe 7ème, quant à Singapour qui ferme la marche de ce Top10, son offre touristique « halalisée » de qualité en fait le premier pays non musulman le plus attractif pour les familles musulmanes.
Pour se hisser au sommet de la pyramide des destinations Halal les plus plébiscitées, il fallait réunir 11 critères principaux classifiés comme suit : le caractère familial de la destination, la sécurité pour les voyageurs musulmans, le nombre de touristes musulmans, l’offre de dîners et d’assurances Halal, l’accès aux lieux de prières, les installations aéroportuaires, l’accès à un hébergement, la facilité de communication, la connectivité aérienne, l’accès au visa et enfin l’attractivité dans les autres pays.
Atteignant l’excellence en matière d’accès aux lieux de prière (un score de 100 pour 100), et forte de ses très bons résultats obtenus pour l’accès au visa (un score de 88 sur 100) qui lui permettent de décrocher la troisième place, juste derrière la Malaisie et l’Indonésie, et pour son offre de dîners à la sauce Halal (un score de 80 sur 100), la Tunisie parvient à contrebalancer ses failles relatives sur le plan de la sécurité, au même titre que la France, les Etats-Unis, le Pakistan ou encore l’Egypte, et de l’afflux de touristes musulmans sur son sol.
Alors que le secteur florissant du tourisme Halal a incontestablement de beaux jours devant lui, sous des latitudes d’autant plus idylliques qu’elles sont respectueuses des valeurs musulmanes, le remarquable potentiel d’attractivité de la Tunisie reste intact et lui permet de rivaliser d’attraits avec de nombreux pays, dont entre autres les Maldives, le Sultanat de Bruneï et l’Egypte.
oumma.com
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Palestine : Le courage des prisonniers politiques palestiniens.
Pendant que l’opinion française se distrait avec des péripéties politiciennes, les Palestiniens, eux, vivent au rythme de la lutte engagée par un millier de prisonniers contre leurs geôliers sionistes. Leur crime ? Avoir osé résister à l’occupation militaire étrangère. Pour avoir combattu l’oppresseur, ils sont reclus dans des prisons israéliennes où les privations, les vexations et les exactions sont quotidiennes. En grève de la faim depuis le 17 avril, ces résistants ont donc décidé de se battre, de ne pas baisser les bras. Emprisonnés depuis des années, ils dénoncent désormais, à la face du monde, la scandaleuse injustice dont ils sont victimes.
On dira peut-être que ce combat engagé du fond des geôles sionistes par une poignée d’irréductibles est perdu d’avance, que c’est le pot de terre contre le pot de fer. Mais en menant cette lutte, pourtant, ils manifestent leur détermination, ils adressent au peuple palestinien un message d’espoir, ils l’invitent à suivre leur exemple. Dans une lettre diffusée hier, Marwane Barghouti incite ses compatriotes à la désobéissance civile, il rappelle que le droit au retour des réfugiés est inaliénable et qu’aucune paix n’est possible sans le démantèlement des colonies érigées sur les territoires conquis en 1967.
Chef de file du mouvement des prisonniers, le dirigeant du Fatah lance aussi un appel à la solidarité internationale. Il demande l’amplification du programme Boycott-Désinvestissement-Sanctions, qui fut initié et promu par un collectif d’associations palestiniennes. C’est ce même programme qui vaut à ses militants, en France, des intimidations et des interpellations en cascade, en application d’une circulaire du ministère de la Justice maintenue sous les deux présidences précédentes, y compris par Mme Taubira. Pendant la campagne électorale, M. Macron a également condamné BDS, estimant qu’il était totalement inopportun d’exercer des pressions sur Israël.
Un candidat investi par “En Marche” pour les législatives vient d’ailleurs de faire les frais de la ligne politique du nouveau président. “A quand la séparation du Crif et de l’État ?” demandait Christian Gerin. Dans un autre tweet, il accusait Manuel Valls d’être “viscéralement sioniste, raciste et islamophobe”, et dans un troisième, il proclamait : “une seule solution : BDS !”. Traité d’antisémite, cet impudent a été évincé à la demande expresse du CRIF. L’accusation d’antisémitisme, la “reductio ad hitlerum”, une fois de plus, est l’argument-massue employé par cette officine communautaire. On savait qu’elle était vouée à la défense d’un Etat-voyou. Désormais, on sait qu’elle est aussi chargée de faire le tri entre les bons et les mauvais candidats aux élections.
Ainsi vont les choses. Pendant que les uns se battent pour leur dignité, les autres leur tirent dans le dos. Les millions d’électeurs qui ont voté pour le commis de la finance ont aussi porté à l’Elysée un ami de l’occupant sioniste. Ils ont fourni à ce serviteur de l’Empire la caution démocratique dont il avait besoin. Les Palestiniens n’en seront pas surpris. Il y a belle lurette qu’ils n’attendent plus rien de la France. Il est loin, le temps où un président français en exercice pouvait dire : “Dans les territoires qu’il a pris, Israël a instauré une occupation qui n’ira pas sans oppression, répression et expulsions, et il se lèvera contre elle une résistance qu’il qualifiera de terrorisme” (Charles de Gaulle, conférence de presse du 27 novembre 1967).
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Ramallah: Un jeune palestinien blessé par les tirs d’un colon juif
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Ce matin mercredi, le jeune homme palestinien Ibrahim Rassem Hamed, du village de Selwad, a été blessé par les tirs d’un colon juif, tout en se trouvant sur la route coloniale N°60 près du village de Selwad à la province de Ramallah.
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Démantèlement d’une cellule qui aurait planifié des attentats, selon l’occupation
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Les colons installent 6 tentes à l’entrée du camp de Fawar à Hébron
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Un responsable de l’ONU: la situation est tragique à Gaza en raison des répercussions du blocus
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Blessés dans des affrontements avec l’occupation à Toulkarem
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Liban: La police arrête un réfugié palestinien pour le forcer à évacuer sa maison
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L’occupation blesse deux jeunes palestiniens et arrête 18 autres en Cisjordanie
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L’occupation menace l’ex-prisonnier Rizek Rajoub de la déportation ou l’assassinat
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Un tribunal américain interroge le prisonnier Abdullah Barghouti par vidéoconférence
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Les familles des prisonniers ferment le Siège de l’ONU à Ramallah
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Naplouse:Affrontements lors d’une marche en solidarité avec les prisonniers grévistes
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Bethléem: une marche enflammée par solidarité avec les grévistes de la faim
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L’occupation encercle la maison d’un militant du Hamas à Doura
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76 prisonniers transférés dans des hôpitaux et Barghouthi arrête de boire de l’eau
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L’occupation rend le corps de Fatima Hajiji
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Berri félicite Haniyeh pour son élection en tant que président du Hamas
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com