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Flash info du 30 Joumada Al Awwal 1438.

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154 parlementaires demandent à Hollande de reconnaître (enfin) l’Etat de Palestine.
Quelque 154 députés et sénateurs français de tous les bords politiques demandent à François Hollande la reconnaissance de l’Etat de Palestine, dans un courrier transmis dimanche à l’AFP.
« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël », écrivent ces parlementaires au chef de l’Etat.
Rappelons que la reconnaissance de la Palestine faisait partie du programme électoral de Hollande en 2012. Mais près de 5 ans plus tard, le président élu n’a pas honoré son engagement, préférant un alignement à 100% sur la politique des assassins qui gouvernent Israël.
« Monsieur le président, montrez-vous à la hauteur de l’enjeu et ne manquez pas ce rendez-vous avec l’Histoire, en reconnaissant dès à présent l’Etat de Palestine », demandent les parlementaires.
La plupart des groupes politiques, de gauche comme de droite, sont représentés dans la liste des signataires. Dans celle-ci figurent notamment Gilbert Roger, sénateur PS président du groupe d’amitié France-Palestine, les communistes Marie-George Buffet et Pierre Laurent, les sénatrices écologistes Aline Archimbaud et Esther Benbassa, les socialistes Marie-Noëlle Lienemann, Mathieu Hanotin, Catherine Tasca ou les LR Jean-Luc Reitzer et Michel Voisin.
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A quoi ressemblerait la France de Marine Le Pen ?
Marine le pen a présenté son programme, dimanche 5 février, à Lyon, reprenant les thématiques traditionnelles du Front national, ainsi que de nombreuses mesures de sa campagne de 2012. Le leitmotiv est la préférence nationale, déclinée dans tous les domaines. Trois semaines plus tard, dimanche 26 février, alors que la candidate frontiste donne un grand meeting à Nantes, franceinfo imagine à quoi pourrait ressembler le pays si Marine Le Pen devenait présidente.
Vers une sortie de l’Union européenne.
C’est la priorité pour la présidente du FN, qui accuse régulièrement l’Union européenne de tous les maux : renégocier les traités européens avant d’organiser un “référendum sur l’appartenance” à l’UE. La candidate entend ainsi “rendre à la France sa souveraineté”, notamment “monétaire et législative”. Le programme ne mentionne plus explicitement la “sortie de l’euro”, une proposition qui inquiète beaucoup dans l’électorat, notamment âgé. Mais, en réalité, cette mesure est toujours à l’ordre du jour, comme l’expliquent Les Echos . Le FN parle à présent du “rétablissement d’une monnaie nationale”, sans s’étendre dans son programme sur les moyens d’y parvenir. Sur Europe 1 , Marine Le Pen assure “qu’il n’y aura pas deux monnaies en France” mais qu’“il est possible d’envisager une monnaie commune exclusivement pour l’Etat ou les grandes entreprises”.
Des mesures économiques et sociales orientées à gauche.
Les dirigeants du Front national n’en font pas mystère : c’est avant tout sur ces thématiques qu’ils doivent convaincre s’ils veulent remporter l’élection. Cette année, le FN a donc choisi de rester assez évasif sur les modalités pratiques de la sortie de l’euro. Pour le reste, Marine Le Pen présente plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des plus modestes, donnant à cette thématique une coloration de gauche. Dans Les Echos , le maire FN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, assure ainsi que “ la défense des acquis sociaux est au cœur du projet” .
La mesure la plus emblématique de ce positionnement est le retour de l’âge légal de la retraite à 60 ans, avec 40 ans de cotisations pour une retraite à taux plein. Marine Le Pen propose aussi une prime de pouvoir d’achat pour “les salariés et les retraités qui touchent moins de 1 500 euros”, financée par une taxe sur les importations, qui pourrait coûter 20 milliards d’euros. Cette prime s’élèverait à “à peu près 80 euros par mois” pour une personne gagnant 1 500 euros, a estimé la candidate lors de l’émission “Questions d’info”. L’impôt sur le revenu des trois premières tranches serait baissé de 10%. Un impôt que tous les Français devraient payer, même de façon symbolique, alors qu’aujourd’hui, un foyer sur deux s’en acquitte.
Sur les questions liées au travail, la candidate veut abroger la loi El Khomri. La durée légale du travail resterait fixée à 35 heures, mais les branches pourraient négocier des durées supérieures, à condition d’aboutir à des formules du type “39 heures payées 39”, comme Marine Le Pen l’explique dans Le Parisien . Elle veut aussi rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires, mise en place sous Nicolas Sarkozy puis supprimée par François Hollande.
Le financement de toutes ces mesures reste toutefois assez flou, estiment Les Echos . Elles se traduiraient d’abord par un accroissement du déficit à court terme, reconnaît le FN. Mais le parti compte sur la lutte contre la fraude fiscale et sociale, ainsi que sur des gains liés à la simplification administrative, deux leviers censés rapporter 60 milliards d’euros sur un quinquennat. Le magazine Challenges estime, lui, que la facture de ce programme est “délirante” .
Une France plus fermée.
C’est un incontournable des programmes du FN : une batterie de mesures censée réduire l’immigration, illégale mais aussi légale. Pour cela, Marine Le Pen veut supprimer le droit du sol et la binationalité extra-européenne. Elle compte réduire à 10 000 le solde annuel d’entrées légales sur le territoire. Le regroupement familial ne serait plus autorisé, tout comme l’acquisition automatique de la nationalité française par le mariage. Le droit d’asile serait aussi restreint. Les étrangers en situation irrégulière ne pourraient pas être régularisés ni naturalisés. La France sortirait de l’espace Schengen et instaurerait à nouveau des contrôles à ses frontières.
La candidate veut faire de la “priorité nationale” la règle pour les politiques publiques, et prévoit donc de l’inscrire dans la Constitution. Cela se traduirait, par exemple, par le fait de réserver les logements sociaux aux Français, de taxer les emplois occupés par des étrangers, ou encore d’instaurer une carence de deux ans avant d’avoir accès au système de soins ou de toucher des prestations sociales. L’aide médicale d’Etat serait supprimée.
Le rétablissement de la “souveraineté” implique aussi des mesures protectionnistes, avec une taxation, voire une interdiction des importations de certains produits. Une partie de la commande publique pourrait être réservée aux entreprises françaises. La candidate demande aussi l’abrogation de la directive européenne sur les travailleurs détachés. Enfin, l’embauche d’un salarié étranger (même européen) serait taxée à hauteur de 10%.
Côté institutions, des propositions dans la lignée de 2012.
Le FN veut faire de la proportionnelle la règle pour tous les scrutins. A l’Assemblée nationale, ce serait une proportionnelle intégrale, avec une prime de 30% pour la liste arrivée en tête. Le nombre de députés baisserait de 577 à 300. Marine Le Pen entend aussi s’attaquer au mille-feuille administratif français. Avec sa réforme territoriale, seuls trois niveaux d’administration subsisteraient : les communes, les départements et l’Etat.
En matière sécuritaire, la doctrine du FN n’a pas changé. Marine Le Pen est clairement sur un axe répressif, qui passe notamment par l’embauche de 15 000 policiers, le rétablissement des peines planchers, la suppression des remises de peine automatiques, la création de 40 000 places de prison… Le programme n’évoque cependant plus la peine de mort, remplacée par la perpétuité réelle incompressible.
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Santé : Ces sucres qui favorisent l’Alzheimer.
Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific Reports, ont montré comment un taux élevé de sucre (glucose) dans le sang pourrait être l’une des causes du développement de la maladie d’Alzheimer.
Des études ont déjà montré que les personnes diabétiques ont un risque accru de développer la maladie. Les scientifiques savaient déjà que le glucose et ses produits de dégradation peuvent endommager des protéines dans les cellules via une réaction appelée glycation. Jean van den Elsen et ses collègues des universités de Bath et King’s College London ont maintenant montré un lien entre la glycation et le développement de la maladie d’Alzheimer.
En étudiant des échantillons de cerveaux de personnes avec et sans Alzheimer, ils ont découvert que dans les stades précoces de la maladie, la glycation endommage une enzyme, la MIF (pour macrophage migration inhibitory factor), qui joue un rôle dans la réponse immunitaire et la régulation de l’insuline. La MIF est impliquée dans la réponse des cellules immunitaires gliales contre les plaques et enchevêtrements de protéines, caractéristiques de l’Alzheimer, qui endommagent progressivement les cellules nerveuses.
Les chercheurs pensent que l’inhibition et la réduction de l’activité de la MIF causée par la glycation pourraient être le « point de basculement » dans la progression de la maladie. À mesure que la maladie d’Alzheimer progresse, la glycation de ces enzymes augmente. Les chercheurs estiment que ces travaux pourront aider au diagnostic de la maladie et mener à de nouveaux traitements.
« L’excès de sucre est bien connu pour être mauvais quand il s’agit du diabète et de l’obésité, mais ce lien potentiel avec la maladie d’Alzheimer est une autre raison pour laquelle que nous devrions contrôler l’apport de sucre dans notre alimentation », souligne Omar Kassaar, coauteur.
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Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
L’institution est jugée partiale, notamment dans ses positions envers Israël, et accusée de fermer les yeux sur les pratiques de certains de ses membres, tels l’Arabie saoudite ou la Chine. Les Etats-Unis n’en sont membres que depuis 2009.
Selon le site Politico, Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. L’entourage du président américain reprocherait à l’institution d’agir de manière partiale contre l’Etat israélien, mais également de fermer les yeux sur les exactions commises par la Chine et l’Arabie saoudite.
Les Etats-Unis ne se retireraient pas dans l’immédiat – du moins pas avant la prochaine réunion du Conseil qui doit avoir lieu le 27 février. Mais le sujet aurait d’ores et déjà été abordé au cours de différentes réunions à la Maison-Blanche, comme le rapporte un ancien membre de la diplomatie américaine. «La question de l’utilité générale d’une telle institution et de la pertinence d’un maintien des Etats-Unis en son sein a été soulevée», affirme-t-il.
Lors d’une rencontre avec des membres du département d’Etat, le secrétaire d’Etat Rex Tillerson avait déjà fait part du scepticisme de son administration à l’égard de l’orientation politique présumée du Conseil, pourtant supposé neutre.
Lors de la création du Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2006, en remplacement de la Commission des droits de l’Homme jugée inefficace, George W. Bush avait refusé que les Etats-Unis y siègent. Barack Obama avait finalement décidé de rejoindre l’organisation en 2009.
Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est régulièrement accusé de se servir du prétexte de la lutte contre les violations des droits fondamentaux pour mettre en oeuvre une politique orientée. Si la Russie en a été exclue en 2016 à cause de son intervention dans le conflit syrien, la présence de la Chine, de l’Arabie Saoudite ou du Qatar, pays pourtant régulièrement accusés de violer les droits de l’Homme, suscite de vives critiques de la part de plusieurs associations.
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France : Pétition pour la réouverture de la mosquée de Lagny-sur-Marne.
Depuis le 2 décembre 2015, les musulmans de Lagny-sur-Marne qui représentent 10% de la population, sont privés de leur unique lieu de culte. Après la perquisition de la mosquée, l’assignation à résidence de quelques fidèles et la dissolution de l’association gestionnaire, une nouvelle association cultuelle a été créée dont l’objectif est la réouverture de la mosquée. Malgré les relances, le ministre de l’intérieur Bruno Le Roux refuse d’autoriser sa réouverture.
Conséquence de cette situation : les fidèles de la commune se retrouvent à prier en pleine rue. Une situation scandaleuse qui, semble-t-il ne dérange pas le gouvernement. Une pétition pour la réouverture de la mosquée a été lancée.
La nouvelle assocation Es-Salam qui représente les musulmans de la commune nous a fait parvenir le communiqué a lire sur www.mouslimradio.info.


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« Injustifiable », « inefficace » et « détourné de son objectif » : l’état d’urgence en France dans le viseur d’Amnesty International.
« Le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause », s’alarme l’ONG alors que son rapport annuel est publié, mercredi.
L’état d’urgence en France est dans le collimateur d’Amnesty International. Dans son rapport annuel, publié mercredi 22 février, l’ONG estime que les autorités françaises ont mis à mal « certains droits fondamentaux » avec les multiples prolongations de ce régime d’exception. Selon l’organisation, « le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause ».
Après avoir déjà épinglé l’état d’urgence en France, à la mi-janvier, dénonçant des mesures « discriminatoires », Amnesty international en remet une couche. Franceinfo revient sur les trois principales critiques.
Des prolongements « injustifiables » .
« Pour qu’un état d’urgence soit déclaré ou prolongé, il faut que les autorités en démontrent, à chaque fois, la nécessité », explique à franceinfo le responsable du programme « Libertés » à Amnesty International, Nicolas Krameyer. Or, notre lecture, c’est qu’il n’y a plus de nécessité de l’état d’urgence, ou que cette nécessité n’est plus du tout démontrée par les autorités, ni même par les faits avancés. »
Des experts du terrorisme, auditionnés par l’Assemblée nationale, ont indiqué que « les bénéfices de l’état d’urgence ont essentiellement été durables pendant quelques semaines, après son déclenchement en novembre 2015 », rapporte également Nicolas Krameyer.
« Nous n’avons pas à prolonger l’état d’urgence au-delà de ce qui est strictement nécessaire, mais le gouvernement considère qu’à partir du moment où il y a toujours un danger terroriste, on sera toujours sous l’état d’urgence. Donc, on peut faire comme les Egyptiens, et y être pendant cinquante ans », estime auprès de franceinfo Michel Tubiana, président d’honneur de Ligue des droits de l’Homme. Pour l’avocat de l’ONG, Patrice Spinosi, le renouvellement de l’état d’urgence est une mesure « essentiellement politique ».
A partir du moment où on a vendu aux Français que l’état d’urgence était une nécessité pour combattre le terrorisme, aucun gouvernement ne peut se permettre d’y mettre fin car ce serait prendre un risque politique considérable.
Patrice Spinosi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme,
à franceinfo
Un dispositif inefficace.
« Le gouvernement exploite la peur et ment ostensiblement quand il soutient que l’état d’urgence a une quelconque efficacité dans la lutte contre le terrorisme », lance Michel Tubiana.
Les chiffres avancés par Amnesty International sont accablants. L’ONG souligne que « de la fin 2015 à la fin 2016, seules 0,3% des mesures liées à l’état d’urgence ont débouché sur une enquête judiciaire pour faits de terrorisme ».
Dans le détail, quelque 6 500 mesures (perquisitions administratives, assignations à résidence, etc.) ont été prises dans le cadre de l’état d’urgence. Mais cela n’a débouché que sur le lancement de 20 enquêtes judiciaires et sur l’ouverture de 196 enquêtes par le parquet antiterroriste.
Derrière ces chiffres, il y a des personnes et des vies parfois en miettes. Comme celle de Julien, 31 ans, que franceinfo a rencontré au début du mois de février. Il est assigné à résidence depuis quatorze mois. Il n’a plus le droit de quitter sa commune de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) sauf pour aller pointer au commissariat de Noisiel, trois fois par jour, dimanche et jours fériés compris.
Converti à l’islam, il lui est reproché d’avoir suivi les cours d’un « militant pro jihad » et d’être en relations avec des « personnes radicalisées ». Julien fréquentait la mosquée de Lagny, présentée par le gouvernement comme un « foyer d’idéologie radicale », et fermée le 1er décembre 2015. Une assignation à résidence injustifiée pour son avocat : « Si les enquêteurs n’ont pas réussi à rassembler assez d’éléments en plus d’un an, c’est qu’il y a un problème. » Sauf qu’entre-temps, Julien a perdu son travail et que sa vie sociale est désormais quasi-inexistante.
Un texte détourné du cadre anti-terroriste.
« Si c’est la lutte antiterroriste qui a été invoquée pour déclencher l’état d’urgence, ce qui était tout à fait justifié, selon Amnesty International, en novembre 2015, il faut bien voir que la rédaction même de la loi pose problème », déclare Nicolas Krameyer.
Dans le texte, on ne parle pas de mettre en place des mesures contre des personnes suspectées d’actes terroristes ou d’intentions terroristes, mais des personnes dont le comportement est susceptible de constituer une menace pour l’ordre public.
Nicolas Krameyer, responsable du programme Libertés chez Amnesty International.
En clair, avec ce texte, il est possible de viser d’autres personnes que celles soupçonnées de préparer des attentats. Ce qui a permis au gouvernement d’interdire des manifestations de militants écologistes pendant la COP21, à la fin 2015, et pendant les débats sur la loi Travail. Ainsi, 141 manifestations ont été interdites en France à cause de l’état d’urgence pour la seule année 2016. « C’est beaucoup plus que les années précédentes, mais nous attendons encore les chiffres détaillés des autorités », précise Nicolas Krameyer.
Pour Michel Tubiana, « la situation est plus grave que ce que dit Amnesty International ». « Aujourd’hui, nous retrouvons dans la loi un certain nombre de mesures qui ont été prises sous couvert de l’état d’urgence et qui sont passées dans le droit commun : on a fait de l’exception la règle », s’inquiète-t-il.
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Santé : José Bové, Nicolas Hulot, Yann Arthus-Bertrand… Même les écolos n’échappent pas aux perturbateurs endocriniens.
L’association Générations Futures publie jeudi 23 février une étude édifiante que franceinfo s’est procurée. Les cheveux de sept personnalités de l’écologie française ont été analysés, les sept contiennent des perturbateurs endocriniens.
Personne n’échappe aux perturbateurs endocriniens, même les plus écolos d’entre nous. Ces substances chimiques qui perturbent le système hormonal s’insinuent dans notre organisme. En effet, une étude de l’association Générations Futures publiée jeudi 23 février, et que franceinfo s’est procurée, le montre.
Sept personnalités de l’écologie, dont le photographe Yann Arthus-Bertrand, l’écologiste Nicolas Hulot, ou encore la députée Delphine Batho, ont fait analyser la présence de pesticides, phtalates et autres PCB dans une mèche de cheveux, et les résultats sont édifiants.
Même des substances interdites retrouvées .
Avec le record de 68 perturbateurs endocriniens, le bonnet d’âne revient à Isabelle Autissier. L’ancienne navigatrice, présidente actuelle de WWF France était « terrifiée par ces résultats, d’autant plus que j’essaye de manger bio, je ne me mets quasiment rien sur ma figure, chez moi je n’ai pas de produits ménagers… »
Pourtant, on aurait pu croire que la vie au grand air, en pleine mer, aurait épargné Isabelle Autissier de la contamination de ses substances qui perturbent le système hormonal, mais c’est tout le contraire. « Du coup, j’ai mis cela en rapport avec le fait que j’ai travaillé dans des chantiers de construction de bateaux, raconte la navigatrice (…) où j’ai manipulé des produits qui sont très mauvais pour la santé, des colles, des peintures, des solvants… D’autant plus qu’il y a 20 ans ou plus, on ne prenait aucune précaution. »
Bisphénol, phtalate, PCB… la navigatrice fait la course en tête, y compris pour des substances interdites aujourd’hui, comme le lindane, utilisé longtemps dans le traitement anti-poux, ou le fipronil, pesticide néfaste aux abeilles.
Une petite dose suffit.
Nicolas Hulot et Yann Arthus-Bertrand se retrouvent juste derrière elle au classement, avec une cinquantaine de substances. Le pourfendeur de la « malbouffe » et député européen en a, lui, 48. José Bové n’en revient pas. « Quand j’ai regardé la liste, je me suis dit, ce n’est pas possible, décrit-t-il. Trois PCB, 11 plastifiants, des pesticides, un insecticide, alors que je n’en ai jamais utilisé sur mon exploitation agricole ! »
Il suffit qu’il y ait une bombe [d’insecticide] qui soit passée dans les moquettes au Parlement européen ou ailleurs, et pourquoi pas Radio France… Tout le monde se retrouve face à [ces substances].
José Bové, agriculteur et député européen pour EELV,
à franceinfo.
Logiquement, les plus jeunes décrochent les meilleurs résultats, ou plutôt les moins mauvais : 36 perturbateurs endocriniens pour la députée Delphine Batho, 19 pour le candidat à la présidentielle d’Europe Écologie-Les Verts, Yannick Jadot. Ils ont tous accepté de participer à cette étude, parce qu’ils souhaitent l’interdiction de ces substances. Une nouvelle réunion européenne est prévue le 28 février pour définir ce qu’est un perturbateur endocrinien.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ingénieur Fatash arrêté depuis 70 jours
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Sinwar et Machaal discutent de plusieurs sujets lors d’une réunion téléphonique
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France: 154 députés appellent Hollande à reconnaître l’Etat de palestine
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Netanyahu propose de contrôler Gaza par des forces internationales
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Solidarité croissante avec les prisonniers en grève de la faim à Jérusalem
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L’occupation envahit une école à Bethléem et attaque les enseignants
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Le début de la deuxième journée de la Conférence populaire des Palestiniens à l’étranger
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Un conseiller d’Abbas: Notre bataille avec l’occupation israélienne est « intellectuelle »
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De violents affrontements avec l’occupation à Silwan
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3 palestiniens arrêtés à Azzoun à l’est de Qalqilia
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne réprime une marche contre la détention administrative à Hébron
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Tente de solidarité avec al-Qiq à Doura
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Istanbul: Le Congrès populaire des Palestiniens à l’étranger entame ses travaux
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Qaraqe: le rapport médical confirme la responsabilité de l’occupation dans la mort du prisonnier Jalad
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Ribhi Halloum: 3 messages du Congrès des Palestiniens à l’étranger
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Haniyeh : La mosquée d’al-Aqsa est le centre de notre lutte
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 14 Joumada Al Awwal 1438.

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L’utilisation de la Soutra pour la sâlat.
Disposer « une soutra » avant de prier est un acte essentiel pour espérer effectuer sa prière en toute tranquillité et quelle soit validée par Allah (subhannou wa ta’ala).
La sutra est ce que le prieur peut mettre devant lui pour se protéger d’autrui. Le but de son utilisation n’est pas qu’elle le protège totalement comme un rempart. Il suffit qu’elle soit de la hauteur de la partie postérieure de la selle d’un chameau c’est-à-dire 2/3 d’une coudée (30 cm environ), et même si on se protège avec une flèche c’est suffisant.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a montré la largeur minimum et maximum ainsi que la hauteur maximum de la sutra. Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a prié vers un mur, il a prié vers une monture, il a prié vers une petite lance plantée dans le sol devant lui, ceci nous montre que la sutra devant le prieur est quelque chose placé debout que ce soit grand ou pas, large ou fin.
Tout ceci convient donc comme sutra que ce soit un bâton, un mur, une pierre, un arbre, une selle, une lance plantée sur le sol. Si on ne trouve pas quelque chose qui tient debout.
Concernant la distance réglementé, il y avait entre l’endroit où le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) se prosternait et le mur vers lequel il priait un espace suffisant pour qu’une brebis puisse passer.
Le positionnement de la sutra avant la prière comporte de nombreux bienfaits. En effet, elle évite l’annulation de la prière causé par un passage, protège le regard du prieur, cela facilite le passage de tierce personne en évitant que celle-ci ne tombe dans un grave pêché et il s’agit surtout d’un ordre de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam).
Le musulman qui souhaite suivre la Sunna et être guidé à chaque pas place une sutra systématiquement avant l’acte de la sâlat. On rapporte d’Abî Jouhaym Ibnil Hârith (Qu’Allah l’agrée), qu’il a dit que le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a précisé: «Si celui qui passe juste devant le prieur connaissait la gravité du péché qu’il commet, il aurait préféré attendre 40 (ans), plutôt que de passer devant lui». [Hadith 180 agréé et la version citée est celle d’Al Boukhâri].
Cependant, il existe trois cas où la sutra n’a pas lieu d’être disposé avant l’exécution de la prière. Le prieur peut se passer de son placement s’il prit sur le mâtaf (déambulatoire, trajet pavé autour de la Ka’aba), pendant le tâwaf (circulation autour de la Ka’aba), et dans une mosquée s’il prit avec la présence d’un imam.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Lorsque l’un d’entre vous prie, qu’il le fasse en face d’une sutra et qu’il s’en rapproche et qu’il ne laisse personne passer entre lui et la sutra». (Rapporté par Abou Dâwoûd, Ibn Mâdjah et Ibn Khazīmah).
Les femmes sont aussi concernées par cette Sunna lorsqu’elles prient chez elles les cinq prières obligatoires.
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Amnesty International : la France ne respecte pas les droits des migrants.
Un rapport d’Amnesty International vient d’être rendu public au sujet de la France. Ce sont des violations systématiques des droits des migrants qui sont dénoncées sur le territoire français.
Des migrants renvoyés en Italie.
Amnesty International stipule des contrôles systématiques des migrants, un traitement déplorable des mineurs, une atteinte au droit d’asile. Les migrants se voyant refuser le droit de s’installer en France sont renvoyés vers l’Italie, depuis le département des Alpes-Maritimes particulièrement. Les migrants venant justement d’Italie font le voyage en train. Des contrôles ont lieu à bord, parfois même à cause de délation de la part des passagers ou du personnel. Il faut savoir qu’en France chaque migrant a droit à :
l’assistance d’un interprète,
l’accès à un appel téléphonique,
une demande d’asile,
la possibilité de recours contre la décision de refus d’entrée du territoire.
Si le droit français indique ces points, sur le terrain tout n’est pas appliqué puisque les personnes sont renvoyées vers l’Italie sans recevoir de notification écrite de refus d’entrée et d’installation en France. Ou alors le document remis n’est pas complet. D’autres migrants n’ont même pas le temps de déposer une demande.
Pourquoi bafouer les droits des migrants ? Pour les dissuader de venir en France et de s’y installer. Pourtant hommes, femmes et même enfants viennent souvent de pays en guerre, connaissant une instabilité politique, leurs vies étant même en danger.
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France : La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie « dénonce le procès politique intenté à son président Abdelaziz Chaambi ».
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie dénonce le procès politique intenté à son président Abdelaziz Chaambi pour avoir défendu la famille Msakni à qui l’Etat avait enlevé en Février 2015 ses 5 enfants, dont un nourrisson de 3 mois privé du sein de sa mère, sous le prétexte incompréhensible et injustifié de « culture radicale » des parents.
Les militants et sympathisants de CRI s’étaient mobilisés contre cette injustice et les enfants avaient rejoint le foyer familial au bout de quelques jours, et les résultats de cette mobilisation avaient déplu aux autorités administratives et judiciaires qui ont décidé deux ans après les évènements de poursuivre notre président, au titre, semble-t-il, de représailles !
Après avoir accusé Monsieur Chaambi de radicalisme, puis de menaces envers le Conseil Général de l’Isère, le Procureur de la République de Bourgoin Jallieu a décidé de le poursuivre le 15 Février 2017 à 14h30 pour : « outrage et atteinte à la dignité de fonctionnaires » que personne ne connait puisque Monsieur Chaambi n’avait eu aucun interlocuteur direct du Conseil Général dans cette affaire lors des différentes manifestations.
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie demande l’annulation de ce procès politique dont les objectifs évidents consistent à vouloir punir un militant et en dissuader d’autres de défendre les familles ou personnes victimes d’islamophobie et d’arbitraire d’Etat .
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Tunisie : Le ministre tunisien des Affaires étrangères justifie le décret de Trump interdisant le territoire aux ressortissants de 7 pays musulmans.
Dans une interview, le ministre tunisien des Affaires étrangères Khemaies Jhinaoui a déclaré comprendre les décrets discriminatoires pris par Donald Trump contre les ressortissants musulmans.
Le président américain a interdit l’accès aux Etats-Unis aux ressortissants de 7 pays musulmans. La Tunisie, dont énormément de ressortissant ont rejoint la Syrie pour combattre Bachar, a été épargnée. Une décision que tente d’expliquer le ministère tunisien devant les caméras russes.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Viol de Théo : Bamboula c’est convenable déclare un policier en direct à la Télévision.
Alors que les emprisonnements de révoltés se multiplient sous tous les motifs, les 4 policiers qui ont violé Théo sont eux en liberté.
Et les insultes aux populations stigmatisées ne s’arrêtent pas là. L’IGPN police des police a estimé que le « viol délibéré » était « involontaire », ce^lle-ci le requalifie donc de simple « interpellation violente »…
Dans l’émission C’est dans l’air, Luc Poignant, représentant de la police a affirmé sans sourciller :
« Bamboula c’est convenable … » en faisant référence aux insultes qu’ont proféré les policiers à Théo.
On comprend mieux désormais l’état d’esprit dans la police où le racisme est une opinion … convenable.
Pas sûr que les minorités africaines et musulmanes voient les choses de la même manière.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Aide aux migrants : 3 000 euros d’amende avec sursis pour Cédric Herrou.
Pour être venu en aide à des migrants clandestins dans la vallée franco-italienne de la Roya, Cédric Herrou a été condamné à 3 000 euros d’amende avec sursis par le tribunal correctionnel de Nice, vendredi 10 février, pour la prise en charge des migrants sur le territoire italien.
L’agriculteur a, dans le même temps, été relaxé pour l’aide au séjour et à la circulation qu’il a offert. Il était aussi poursuivi pour avoir installé, en octobre 2016, une cinquantaine d’Erythréens dans un centre de vacances désaffecté qui appartient à la SNCF, à Saint-Dalmas-de-Tende (Alpes-Maritimes).
Lors de son audience le 4 janvier à Nice, Cédric Herrou avait déclaré : « Je le fais parce qu’il y a des gens qui ont un problème. Il y a des gens qui sont morts sur l’autoroute, il y a des familles qui souffrent, il y a un Etat qui a mis des frontières en place et qui n’en gère absolument pas les conséquences. »
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Canada : des associations musulmanes exigent des mesures contre l’islamophobie .
Une semaine après le tragique attentat survenue dans une mosquée à Québec, une coalition d’une quarantaine d’associations musulmanes ont exigé des mesures concrètes contre l’islamophobie.
Plusieurs de leurs représentants ont été reçus au Parlement ce mercredi. Ils ont présenté une lettre ouverte, laquelle a été appuyée par Amnesty International et la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles. « On ne dit pas que le Canada et le Québec sont des environnements racistes. On dit qu’il y a des systèmes sexistes et des systèmes racistes et qu’il faut apporter des solutions », déclarait Haroun Bouazzi, co-président de l’Association des musulmans et des Arabes pour la laïcité (AMAL) au Québec.
Dans ses recommandations, la coalition demande trois niveaux d’interventions : au niveau municipal, l’attribution de ressources supplémentaires aux services de police locaux, notamment pour la conduite d’enquêtes sur les crimes haineux ; au niveau provincial, la création d’une direction générale de l’action contre le racisme ; et au niveau fédéral, l’adoption unanime, par tous les parlementaires, de la motion déposée par Iqra Khalid, députée de Mississauga-Erin Mills, sur les moyens de diminuer, voire d’éliminer le racisme systémique et la discrimination religieuse.
« On ne peut plus se permettre de laisser-faire ou de laisser-aller. Le laisser-aller peut coûter des vies et on l’a vu. Et ça nous fait mal et c’est fait, la douleur est là », a exprimé Sabrina Sassi, étudiante au doctorat à l’Université Laval, frappée de plein fouet par le drame au Québec. Une des victimes était chercheur rattaché à la faculté tandis que l’auteur présumé de l’attentat était un étudiant de l’université.
La coalition souhaite aussi que la date du 29 janvier – jour de l’attentat contre le CCIQ – soit retenue comme journée nationale de lutte contre l’islamophobie et qu’un cours obligatoire sur le racisme et la discrimination soit offert dans les écoles secondaires.
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France : Le profil des descendants d’immigrés en France passé au crible par l’INSEE .
En 2015, 7,3 millions de personnes nées en France ont au moins un parent immigré, soit 11 % de la population selon une étude de l’INSEE publiée mercredi 8 février (plus bas). La France compte davantage de descendants d’immigrés que d’immigrés eux-mêmes. Ils sont 5,9 millions, soit moins de 9 % de la population.
Parmi ces 7,3 millions de personnes, 45 % d’entre elles sont d’origines européennes (arrivés dans les années 1930 pour ceux venant d’Espagne et d’Italie ou vers les années 1970 pour le Portugal), tandis que 31 % sont issues de l’immigration maghrébine (Maroc, Algérie, Tunisie), 9 % d’Asie (Turquie, Laos, Vietnam et Cambodge) et 4 % viennent d’Amérique ou d’Océanie.
L’étude rappelle que les descendants d’immigrés sont plus jeunes que le reste de la population. Ainsi, 47 % d’entre eux ont moins de 25 ans contre 30 % de la population n’ayant pas de parents immigrés. Les plus jeunes descendants d’immigrés sont d’origine africaine : 42 % du Maghreb et 19 % d’Afrique subsaharienne. Aussi, la plupart vivent à Paris, 30 % des descendants d’immigrés vivent en Île-de-France, 28 % dans des agglomérations de plus de 200 000 habitants. Seulement 11 % d’entre eux vivent dans les zones rurales.
Un départ du foyer parental plus tardif pour les descendants d’immigrés.
L’INSEE relève la mixité des couples parmi les descendants d’immigrés de 25 ans ou plus. 67 % d’entre eux qui ont plus de 25 ans, vivant en couple, ont un conjoint qui n’est ni immigré ni descendant d’immigré. Ils ne sont qu’une minorité, soit 20 % à être en couple avec un conjoint immigré. « Ainsi, la mixité du couple parental semble favoriser la mixité des couples formés par leurs enfants », indique l’étude, qui relève par ailleurs que les jeunes descendants d’immigrés décohabitent plus tardivement que les autres jeunes.
77 % des descendants d’immigrés âgés de 18 à 24 ans n’ont en effet pas encore quitté le foyer parental, contre 62 % des jeunes qui ne sont ni immigrés ni descendants d’immigrés. « Ce constat général est encore plus prononcé parmi les jeunes ayant deux parents immigrés ; 85 % d’entre eux vivent encore avec leurs parents », fait part l’INSEE, soulignant que les descendants d’origine africaine ou asiatique sont plus nombreux à cohabiter avec leurs parents (respectivement 83 % et 79 %) que les descendants d’origine européenne (67 %).
« Les jeunes descendants de couples mixtes ont en revanche un comportement de décohabitation plus proche de celui des jeunes sans lien direct avec la migration », précise-t-on dans l’étude. Les jeunes descendants de 25 à 34 ans restent aussi plus longtemps chez leurs parents ; ils y vivent deux fois plus fréquemment (21 %) que ceux n’ayant pas de lien direct avec la migration (10 %).
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Le saviez-vous? Le stylo-plume inventé par Al-Mu’izz.
Les éternels clichés autour du « gouverneur musulman » ont la vie dure et ne font que considérablement augmenter aux yeux de l’occident.
Ce que beaucoup de monde ignorent, c’est que de très nombreux chefs musulmans ont non seulement défendus les avancées technologiques, mais ont également insisté pour que certaines inventions puissent voir le jour.
C’est le cas d’ Al-Muizz li-Dîn Allah, né en 932 à Kutama en Algérie et mort en 975 au Caire (Egypte). Il est le quatrième calife fatimide, successeur d’Al-Mansur en 953. Abu Mansur Nizar al-Aziz Billah qui lui succéda en 975, souhaitait avoir un moyen d’écrire sans qu’il n’ait à tâcher ses mains ou ses vêtements.
C’est à ce moment là qu’on décide de fournir à Al-Muizz li-Dîn Allah un stylo qui puise l’encre dans un réservoir pour ensuite alimenter une plume. Bien que la technique utilisée ne nous soit pas parvenue, le Qadi Al-Nu’man Banu Tamim explique dans son livre « Kitab al-Majalis wal-musayardt » que c’est à lui qui est revenu à la charge pour commander et suivre la construction de ce stylo.
Le stylo fut le résultat d’un développement progressif qui a abouti en 1884 à l‘élaboration du stylo à capillarité par Lewis Edson Waterman.
Ce qui avait attiré l’attention du calife fatimide est le fait que le stylo plume limite la direction et l’angle d’attaque de la pointe avec la feuille. Une véritable révolution en terme graphologique qui a bouleversé l’art de l’écriture à travers le monde entier.
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Etats-Unis : tué par la police, la famille d’Ezell Ford touchera 1,5 million de dollars.
En 2014, à Los Angeles, la police tuait Ezell Ford, un jeune homme noir. Le conseil municipal de la ville vient de voter le versement de 1,5 million de dollars pour sa famille.
Une interpellation sans raison valable.
Après le décès de Ezell Ford, les manifestations pour dénoncer les violences policières s’étaient multipliées. La famille de la victime avait indiqué qu’il souffrait de troubles mentaux entraînant donc un comportement ne paraissant pas « normal ». Cela avait ainsi été le cas le soir de sa mort. Suite à une enquête menée par un comité de supervision de la police, il avait été noté que les officiers concernés avaient violé les pratiques de la police de Los Angeles.
Les deux officiers ayant abattu le citoyen américain ne seront cependant pas poursuivis au pénal.
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Génocide des Rohingyas : l’ONU veut une commission d’enquête indépendante.
L’ONU souligne le manque de crédibilité du rapport rendu par la Commission d’Etat de la Birmanie concernant le génocide des Rohingyas. L’organisation mondiale demande une nouvelle commission.
La Birmanie ne mène pas d’enquête efficace.
Le Haut-commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a rendu publiques les conclusions portant sur les agressions et violences que subissent les Rohingyas en Birmanie. Les Nations Unies devaient ouvrir une enquête qui soit impartiale et indépendante. Le Haut-commissariat de l’ONU indique que les forces de sécurité birmanes commettent des viols, des massacres de bébés et d’enfants notamment. Il y a également des enlèvements de musulmans et des passages à tabac. La Birmanie ne mène pas d’enquête efficace au sujet de toutes ces violations des droits de l’homme.
L’ONU a demandé la formation d’une commission d’enquête qui soit impartiale avec des observateurs internationaux. Peut-être que cela donnera donc des résultats concrets !
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Belgique : étrangers et binationaux nés dans le pays bientôt expulsables ?
Chez nos voisins belges, un projet de loi pour faciliter l’expulsion d’étrangers mais aussi de binationaux nés dans le pays vient d’être voté.
Risque d’un abus de l’utilisation de cette loi.
Les personnes ayant des origines étrangères mais nées en Belgique ainsi que celles arrivées avant l’âge de 12 ans dans le pays pourront être expulsées si elles sont considérées comme une « menace pour l’ordre public ou la sécurité nationale ». Pour l’heure ce sont des profils liés au terrorisme et au banditisme qui seraient concernés par cette loi. Cependant les associations, tout comme les Ecologistes et les Socialistes, pointent le texte du doigt. L’écologiste Benoît Hellings a d’ailleurs déclaré : « Si une personne est réellement dangereuse, il sera plus sécurisant qu’elle soit condamnée et emprisonnée plutôt que de l’envoyer à 15 km de l’autre côté de la frontière à l’heure de Facebook, Twitter, Instagram et Telegram » . Le risque d’un abus de l’utilisation de cette loi est mis en évidence.
Emir Kir du Parti Socialiste parle également de possibles expulsions sans condamnation et sur la seule base de renseignements.
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Yusuf Islam obtient le soutien du président turc, Recep Tayyip Erdogan, pour financer une mosquée.
Le chanteur britannique Cat Stevens, alias Yusuf Islam, a rencontré le président turc Recep Tayyip Erdogan à Ankara mercredi 8 février. Ils ont tous les deux discuté du projet de construction d’une mosquée à Cambridge, dans le sud-est de l’Angleterre. Yusuf Islam a déclaré que « Cambridge est le cerveau de la société britannique », ajoutant qu’« il est très important d’avoir une mosquée qui reflète le style et la culture britanniques au centre du cœur intellectuel d’Angleterre ».
Le président Recep Tayyip Erdogan a tweeté une photo de lui avec la pop star convertie à l’islam en 1977. « Mon cher frère Yusuf, je te remercie pour ta visite et ta conversation sincère. Bienvenue en Turquie », peut-on y lire.
Toujours sur Twitter, le Premier ministre Numan Kurtulmus a annoncé qu’il a rencontré le chanteur et qu’il a été question de la contribution de la Diyanet, la présidence des Affaires religieuses turques, à la construction de la mosquée. Le montant de l’aide n’a pas encore été révélé pour cette mosquée qui devrait pouvoir accueillir jusqu’à 1 000 fidèles et ouvrir ses portes en novembre 2018. En 2013, Cat Stevens avait déjà rencontré Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre, au sujet du financement de ce lieu de culte.
Yusuf Islam a également salué l’engagement de la Turquie dans la crise des réfugiés. Les autorités turques disent avoir accueilli plus de 2,7 millions de réfugiés syriens et 300 000 irakiens.
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Une Canadienne musulmane, refoulée à la frontière américaine, raconte son interrogatoire brutal et humiliant.
En ces temps agités par de fortes turbulences, sur la terre ferme comme dans les airs, où le moindre mot en arabe suffit à débarquer d’un avion US, manu militari, le passager qui l’a prononcé, et où l’appartenance à la religion musulmane équivaut à un crime de lèse-majesté au pays enchanté de Trump, il faut bien plus que montrer patte blanche, quand on a pour bible le Coran, pour être autorisé à entrer sur le terrain miné que sont devenus les Etats-Unis…
Fadwa Alaoui, une Canadienne d’origine marocaine installée depuis plus de vingt ans au Québec, en a fait récemment l’amère expérience, lors de sa pérégrination mensuelle vers le Vermont pour y faire du shopping.
Alors que son aller-retour régulier s’effectue sans encombre depuis plusieurs années, trouvant devant elle, grandes ouvertes, les portes donnant accès au verdoyant Etat de l’Amérique idéalisée, quelle ne fut pas sa stupeur de se voir bloquée à la frontière, pour la première fois de sa vie, par des douaniers inquisiteurs qui l’ont interrogée sans prendre de gants, puis refoulée sans ménagement.
C’est sur les ondes de Radio Canada que Fadwa Alaoui a relaté l’ostracisme mortifiant dont elle a été victime pendant quatre heures interminables, gardant un souvenir cuisant de l’interrogatoire auquel elle a été soumise par des autorités frontalières américaines dont tout, en elles, trahissait le racisme anti-musulmans.
Après lui avoir demandé de but en blanc sa religion, chose impensable il y a peu encore, les gentils douaniers de l’ère Trump l’ont interrogée sur sa pratique religieuse, en lui lançant un regard noir, avant de lui poser une question pour le moins déstabilisante qui ne souffrait aucune dérobade, ni mutisme …
« « Vous êtes musulmane ? », m’ont-ils demandé immédiatement, sur un ton autoritaire. « Oui », leur ai-je dit. Ils ont tout de suite enchaîné : « Pratiquez-vous votre religion? ». « Oui, bien sûr », ai-je répondu, et ils ont poursuivi de plus belle : « Dans quelle mosquée allez-vous ? Quel est le nom de l’imam? Où priez-vous ? Où les femmes prient-elles ? » », a raconté Fadwa Alaoui, confiant avoir été désarçonnée par leur énième question et non des moindres : « Que pensez-vous de Donald Trump ? ».
Interloquée, celle-ci s’exclama « Quoi ? », ce à quoi son interlocuteur lui rétorqua, en haussant la voix : « Que pensez-vous de sa politique ? ». Pour être perverse, cette question piège l’était assurément, et c’est par une pirouette que Fadwa Alaoui a tenté de se sortir de ce guêpier : « Ecoutez, j’ai une vie bien remplie, je n’ai pas le temps de suivre l’actualité. Il fait ce qu’il veut dans son pays », a-t-elle répliqué.
Son téléphone portable confisqué et passé au crible, c’est une application dédiée à des psalmodies du Saint Coran qui aura achevé d’aggraver son cas, faisant d’elle une ressortissante canadienne éminemment suspecte et une intruse indésirable de l’autre côté de la frontière, dans le monde merveilleux de Trump.
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En Israël, une vaste campagne de marketing ne parvient pas à enrayer le déclin du tourisme.
La coûteuse campagne d’Israël visant à attirer plus de touristes depuis l’Europe n’a pas donné de résultat.
Le tourisme vers Israël a de nouveau chuté en 2016, poursuivant sa tendance négative entamée avec l’agression de 2014 contre Gaza, où plus de de 2200 Palestiniens ont été tués, dont 550 enfants. Les chiffres du Bureau central des statistiques d’Israël montrent que les efforts coûteux engagés pour donner au pays l’image d’une destination amusante, insouciante, surtout aux yeux des Européens, sont en train d’échouer.
Globalement, le nombre de visiteurs en Israël a chuté l’année dernière de 1,2 %. Ceci après les baisses encore plus nettes des années précédentes : – 4,4 % en 2015, et – 8,2 % en 2014.
Un gros budget.
En décembre, le quotidien de Tel Aviv, Haaretz, annonçait que le ministère du Tourisme d’Israël « s’était vu accorder l’année dernière son plus gros budget de marketing alors qu’il tentait de modifier l’image d’Israël pour en faire une destination de voyage et étendre l’offre touristique ». La campagne phare, « Deux villes, Un voyage », s’adressait aux touristes européens afin de les attirer à Tel Aviv et Jérusalem.
Elle a coûté plus de 23 millions de dollars, mais des sources au ministère ont révélé à Haaretz que la « campagne faisait un bide ».Israël a aussi fait venir des célébrités de deuxième ordre, aux frais de la princesse, dans l’espoir que leurs publications sur les médias sociaux attireraient des visiteurs. Mais le nombre de visiteurs depuis le plus gros marché d’Israël, à savoir l’Europe, a chuté de 6,5 % l’année dernière, par rapport à celui de 2015.
Pour leur majorité, les visiteurs vers Israël viennent de France – et ce nombre est tombé de 300 000 en 2015 à 293 000 l’année dernière. Il y a eu 18 000 visiteurs de moins venant d’Allemagne – une baisse de 9 %. Le nombre de visiteurs venant de Russie s’est effondré de 414 000 à 285 000.
Israël s’est rattrapé un peu avec l’Asie : il a accueilli 86 000 touristes venant de Chine, contre 52 000 en 2015. Ils étaient environ 37 000 de plus aussi à venir d’Amérique du Nord, pour la plupart, des États-Unis. Les malheurs d’Israël ne font pas exception : la Turquie, qui a connu une tentative de coup d’État militaire en juillet et subi d’atroces bombardements et attentats, a vu le nombre de ses touristes chuter de 21 % l’année dernière.
L’Égypte continue de constater une baisse à deux chiffres du nombre des visiteurs Mais le sentiment général de danger dû à la violence dans la région n’explique pas tout. La Jordanie a réussi à inverser la tendance, enregistrant une augmentation de ses arrivées touristiques de 2,6 % en 2016, selon son ministère du Tourisme. La Jordanie a attiré 3,8 millions de visiteurs, à comparer avec les un peu plus de 3 millions vers Israël.
Un message ambigu, une dure réalité.
Israël essaie de se vendre comme un lieu différent du reste de la région – un avant-poste gai, amical de la civilisation « occidentale », et un agrément dans une région tumultueuse.
Mais cette image de marque est minée par le fait qu’Israël fait régulièrement les gros titres de la presse avec sa violente occupation et sa colonisation agressive de la terre palestinienne, la violence dans les rues des grandes villes où il espère attirer les touristes, les déclarations racistes de ses politiciens et ses tentatives sournoises pour saboter le mouvement non violent de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) en faveur des droits des Palestiniens.
En effet, les dirigeants israéliens persistent à dire que le pays est assailli par des dangers qui pourraient « éliminer tous les Israéliens ». Alors que cette position cherche à gagner une sympathie politique, elle rend en fait l’endroit peu attrayant pour les gens qui voudraient venir y passer un bon moment. Et pendant ce temps, les destinations vers l’Europe du Sud, surtout vers l’Espagne, battent tous les records de tourisme.
À propos, il y a une autre tendance notable en Espagne : depuis l’agression de 2014 contre Gaza, plus de 50 villes espagnoles se sont déclarées « libérées de l’apartheid israélien ».
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Al-Qaïda : Un attentat nucléaire contre la France est imminent.
Selon une information datant de début juillet, un attentat aurait lieu dans les 90 prochains jours aux Etats-Unis, selon un ancien agent des services de renseignement israéliens.
Juval Aviv – actuellement directeur de l’entreprise de renseignement Interfor basée à New York, mais aussi « consultant spécial » pour le congrès américain – a indiqué à Fox News que cette information est basée sur des renseignements obtenus en Europe et au Moyen-orient.
Il a déclaré qu’« un attentat est imminent aux Etats-Unis, cela peut se produire demain ou dans les prochains mois. Au plus tard dans 90 jours ».
Selon Aviv, « l’attentat se produira, tout comme Londres, dans un moyen de transport de masse. Ils toucheront six, sept ou huit villes simultanément pour montrer leur sophistication afin de toucher le moral du public ».
Toujours selon Aviv, « les Américains ne sont pas préparés aux attentats comme en Israël a essayer d’identifier des gens ou des colis suspects ». Et il rajoute « que les signaux d’alerte soient vert, jaune ou rose n’ont aucune signification pour les Américains qui n’ont aucune éducation et doivent y être préparés ».
Enfin, selon Aviv, « le fait de constamment transporter avec soi une bouteille d’eau et une serviette permet, en cas d’attentat de ne pas mourir par inhalation des fumées toxiques dégagées après l’explosion en se l’appliquant sur le visage ». De même, met il en garde « si vous avez un doute quand vous prenez un bus, le métro ou l’avion, n’y mettez pas les pieds. Cela peut être inutile dans 9 cas sur 10, mais cela peut vous sauver la vie. Faites confiance à votre sixième sens ».
Cette information est corroborée par un ancien consultant du FBI qui prétend qu’Al Qaïda s’est non seulement procuré des engins nucléaires, mais qu’il les a introduit aux Etats-Unis et les utilisera dans un très proche avenir.
Paul L. Williams prétend qu’Al Qaïda aurait planifié des attentats nucléaires spectaculaires dans plusieurs villes américaines. Parmi celles-ci : Boston, Los Angeles, Chicago, Dallas, Philadelphia, Miami, Washington et Rappahannock County, Va, une petite ville de Virginie qui abrite le centre de commandement qu’utiliserait la maison blanche en cas de guerre.
Selon lui, « les attentats se produiront entre maintenant et la fin de l’année 2005 ». Il a rajouté « L’Islam prêche la patience. Ils attaqueront quand ils l’auront décidé » !
Selon une source non identifiée proche du Tom Ridge – secrétaire d’Etat à la Sécurité intérieure – les affirmations de Williams sont proches de celles des services de renseignement américains qui confirme que les terroristes ont déjà introduit des engins nucléaires aux Etats-Unis.
Il semblerait par ailleurs que suite à la chute du mur de Berlin du 9 novembre 1989 [que quelques trotskistes français nostalgiques souhaiteraient voir reconstruire…] et la déconfiture de l’empire soviétique en 1991, la mafia Tchétchène aurait vendu une dizaine de mallettes contenant des bombes nucléaires tactiques miniaturisées – initialement destinées à exploser au cœur des villes américaines en cas de conflit nucléaire américano-soviétique capable de causer autant, pour chacun d’entre elles, autant de dégâts que la bombe d’Hiroshima – aux représentants de Ben Laden contre 30 millions de dollars en espèces et 2 tonnes d’héroïne.
Aujourd’hui, une quarantaine de ces mallettes (qui pèsent moins de 20 kgs) manquent dans les stocks de l’ex Union soviétique.
L’explosion d’une seule de ces mallettes entraîneraient une boule de feu d’un diamètre de 150 mètres dégageant une chaleur de 10 millions de degrés comparés aux 5.000 degrés causés lors des attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center. De ceux qui survivraient à une telle explosion, 50% mourraient à un rythme d’environ 250.000 par jour !
Il semblerait enfin que ce soit l’argent de la drogue en Afghanistan et non pas la fortune de Ben Laden qui finance le mouvement Al-Qaïda.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Zuma : Nous continuerons à soutenir les palestiniens
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Des colons prennent d’assaut le site de Tersala à Jénine
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Tentative d’attaque à la voiture-bélier à Hébron
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3 Palestiniens assignés à résidence à Jérusalem occupée
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Arrestations et raids en Cisjordanie suite à l’attaque de Petah Tikva
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Des pêcheurs de Gaza attaqués par des canonnières israéliennes
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L’occupation ferme l’entrée principale au camp de réfugiés de Fawwar
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Le passage de Rafah sera ouvert samedi prochain dans les deux sens
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Les colons attaquent les citoyens à Hébron et l’occupation déploie ses forces à Toulkarem
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Six Israéliens blessés dans des attaques de tirs et de coups de couteau à Tel Aviv
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Israël veut empêcher l’Irlande de reconnaitre l’Etat de Palestine
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17 Conseils demandent l’annulation de la « loi de colonisation »
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Barghouthi: L’expulsion est rejetée dans un futur accord d’échange
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Une nouvelle colonie près de Naplouse et Ramallah
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Al-Ghoul: Légaliser la colonisation est raciste et illégal
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L’occupation rase une terre au centre de Jérusalem pour la deuxième fois
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