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Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 4 Joumada At-Thani 1438.
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France : Calais : poursuivi pour avoir aidé des migrants, il a interdiction de parler à la presse.
Mis en examen en août 2016, un homme de 42 ans a interdiction de parler à la presse. Un contrôle judiciaire à la limite de la légalité.
La décision du tribunal de Boulogne-sur-Mer est exceptionnelle. Ce serait même une première, selon Streetpress, qui a révélé l’affaire. Surnommé «Matthieu» pour préserver son anonymat, un homme de 42 ans a interdiction d’entrer en contact avec «tous journalistes» sur ordre d’un juge d’instruction.
Actif auprès des réfugiés de la «jungle» de Calais, il est mis en examen avec trois autres personnes depuis août 2016. Ils auraient aidé des migrants à traverser la Manche en canot pneumatique depuis une plage du Pas-de-Calais. La mise en examen est assortie d’un contrôle judiciaire, une procédure habituelle lorsqu’une peine de prison est encourue.
Le contrôle judiciaire permet au juge d’imposer des obligations ou des restrictions aux mis en examen. Par exemple, ne pas quitter une zone délimitée ou ne pas entrer en contact avec certaines personnes. Ce que prévoit l’article 138 du code de procédure pénale, sur lequel s’appuie le juge pour sa décision. «Matthieu» a interdiction de contacter les autres mis en examen et de s’approcher de l’ancienne «jungle». Et il est le seul, sur les quatre mis en examen, concerné par l’interdiction de parler aux journalistes, s’étonne La Voix du Nord.
Une mesure illégale?
Interrogé par Streetpress, le Syndicat de la magistrature s’étonne de cette décision, la qualifiant d’«originale». Pour Olivier Coudert, président du syndicat des avocats de France, «c’est une atteinte à la liberté. On ne peut pas interdire de voir des journalistes comme ça».
La décision peut être contestée, ce qu’aurait fait «Matthieu» sans succès, selon Streetpress. Les magistrats étant soumis au secret de l’instruction, qui est toujours en cours, ils ne sont pas en capacité de le confirmer ou de l’infirmer officiellement.
Pascal Marconville, procureur de la République de Boulogne, précise dans La Voix du Nord que «le juge doit motiver toute interdiction par des éléments qui sont en relation avec les nécessités de son dossier, ce qui devait être le cas puisqu’il l’a décidé». En clair, l’interdiction doit concerner des personnes liées à la procédure. Difficile de croire que tous les journalistes le sont.
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France : Contrôle d’identité : trois questions sur l’expérimentation des caméras-piétons pour les policiers et les gendarmes.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Des caméras-piétons obligatoires pour les policiers et les gendarmes. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, mardi 28 février, l’expérimentation pour un an de l’enregistrement vidéo obligatoire des contrôles d’identité dans 23 zones de sécurité prioritaires.
Franceinfo détaille ce dispositif inédit.
Comment ça marche ?
Chaque policier ou gendarme en patrouille sera équipé d’une caméra-piéton, fixée sur sa poitrine. Le ministre de l’Intérieur a promis des appareils « à déclenchement automatique » : ceux dont sont équipées les forces de l’ordre pour le moment sont actionnés manuellement, via une petite molette rouge. « Quand bien même une séquence d’intervention viendrait à être coupée, cela paraîtrait suspect, on n’y a aucun intérêt », expliquait le préfet des Bouches-du-Rhône, Laurent Nunez, à l’AFP à la mi-février.
Une fois l’enregistrement enclenché, la personne contrôlée voit les images grâce à l’écran qui se trouve sous l’objectif. Le son est également enregistré. Ces vidéos sont conservées de manière « très sécurisée », selon Laurent Nunez. « Il y a une traçabilité des documents (heure et lieu de l’enregistrement) qui sont transférés sur un support sécurisé au sein du service dont l’accès est limité à certaines personnes nommément désignées », détaille-t-il. Par ailleurs, la loi a prévu une destruction des images dans un délai de six mois maximum et leur consultation indirecte par les intéressés par l’intermédiaire de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Déjà testée à petite échelle, ces caméras contribuent « très largement au bon déroulement des interventions par la traçabilité qu’elles permettent », estime le ministère de l’Intérieur. La Direction générale de la police nationale avait salué « leur effet modérateur, unanimement constaté par les fonctionnaires ». Actuellement, police et gendarmerie sont équipées de 2 600 caméras-piétons. Selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, ce chiffre sera « au moins doublé ».
Quelles sont les zones concernées ?
L’expérimentation, qui débute le 1er mars, concerne 23 zones de sécurité prioritaires (ZSP). « Parmi les 23 sites retenus, figurent notamment des ZSP à Paris intra-muros, en petite et grande couronnes, ainsi que dans des départements comme la Haute-Garonne ou bien les Alpes-Maritimes », indique le ministère, sans donner de liste exhaustive.
Est-ce en lien avec l’affaire Théo ?
Si cette mesure prend une signification particulière après l’agression violente du jeune Théo par des policiers lors de son interpellation, elle est dans les tuyaux depuis plusieurs années. Après des tests menés en 2012, le gouvernement avait annoncé, en 2015, sa généralisation en cinq ans. La loi Egalité et Citoyenneté, adoptée à la fin décembre 2016, prévoit l’expérimentation annoncée mardi.
Davantage que par l’affaire Théo, l’adoption de ce dispositif semble être guidée par l’abandon du récépissé promis par François Hollande en 2012. Le 17 février, le ministre de la Jeunesse, de la Ville et des Sports, Patrick Kanner, signait une tribune dans Libération pour défendre les caméras-piétons : « Cette technique a fait ses preuves, elle est efficace. Sans doute plus efficace que le récépissé qui ne dit rien de la relation, de son déroulement. »
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Santé : Perturbateurs endocriniens : pourquoi l’Europe n’a pas le courage de les interdire.
Ce mardi 28 février aurait pu figurer comme une date importante dans l’histoire de l’écologie européenne : c’est ce jour qu’une définition satisfaisante des perturbateurs endocriniens aurait pu être donnée.
Et s’il est si crucial de définir sur le plan réglementaire ce qu’est une molécule qui, comme son nom l’indique, perturbe les hormones humaines (« endocrinien » est un synonyme d’ »hormonal »), c’est que cela aurait pu conduire à leur limitation, voire à leur interdiction totale, d’abord dans les pesticides chimiques, ensuite dans notre quotidien (plastique, cosmétiques, détergents…). Et ils y sont nombreux !
Mais une fois de plus, cette définition n’a pas été retenue par les pays, alors que les dangers de ces produits sont scientifiquement documentés. Pourquoi cet immobilisme ? Nous avons posé la question à Stéphane Horel, journaliste indépendante et auteure d’ »Intoxication » (La Découverte), enquête édifiante sur le poids du lobbying dans ce dossier.
Pourquoi ce mardi était-il une échéance importante dans le dossier des perturbateurs ?
– C’est aujourd’hui que la Commission européenne a soumis aux Etats-membres un acte d’exécution, c’est-à-dire un texte qui aménage un règlement – en l’occurrence, le règlement de 2009 sur la mise sur le marché des pesticides. Derrière cette démarche technique, se cachait une importante décision : la définition réglementaire de ce qu’est un perturbateur endocrinien. Rappelons que cette définition aurait dû être donnée en décembre 2013 par la Commission, que la Cour de justice européenne a d’ailleurs condamné ce retard, que c’était aujourd’hui la quatrième version de ce texte.
Pourquoi ce texte n’est toujours pas jugé satisfaisant par un certain nombre de pays ?
– Parce que la Commission a soumis un texte inapplicable : les critères pour définir la nocivité d’un perturbateur exigent un niveau de preuve impossible à atteindre.
On comprend que les lobbys agricoles et industriels européens, notamment l’industrie chimique, ne désirent pas que des directives soient passées pour limiter, voire interdire ces molécules. Les enjeux économiques sont trop lourds ?
– C’est un argument brandi par les lobbys et leurs représentants. Mais l’industrie des pesticides agricoles européenne pèse 7 milliards d’euros. C’est faible à la dimension de l’Europe. Savez-vous combien coûtent aux sociétés les conséquences sanitaires de ces molécules ? 157 milliards. En raison de leur rôle de perturbation hormonale, elles sont en effet reliées à un grand nombre de pathologies : cancers du sein, de la prostate, du sein, diabète, obésité, autisme, hyperactivité, infertilité, baisse du QI… Les études scientifiques sont nombreuses et concordantes. Et naturellement, le coût économique de ces fléaux est moins important que leur coût humain.
Mais interdire les perturbateurs en Europe n’avantagerait-il pas automatiquement nos rivaux, les industries américaines ou asiatiques ?
– Pas du tout. Pour pénétrer sur le marché européen, ces produits, d’où qu’ils viennent, devront évidemment respecter les réglementations européennes, donc être soumis aux mêmes « contraintes » sanitaires.
Dans ce qui ressemble à une démission des élites européennes, quel rôle joue la France ?
– C’est la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal qui, en 2014, a tiré cette problématique du fossé d’indifférence dans laquelle l’Union européenne l’avait jetée. Et, même si l’on ne sait pas tout de ce qui se déroule en coulisses, la France compte parmi les pays (avec la Belgique, la Suède et le Danemark) qui exigent que la définition donnée par la Commission européenne soit applicable. L’Allemagne, elle, se montre depuis toujours ambiguë, à cause de la puissance de son industrie chimique, Bayer et BASF en tête.
Le fait que Benoît Hamon ait fait des perturbateurs endocriniens l’un de ses chevaux de bataille dans la présidentielle est-il révélateur d’un changement de mentalité ?
– C’est très surprenant en effet. Voilà longtemps que je pense, en tant que journaliste, qu’il faut que cette question sorte des pages « Conso » pour rejoindre les pages « Politique ». C’est chose faite, me semble-t-il, depuis que Benoît Hamon en a parlé en prime time dans une émission politique. Ne pas donner une définition satisfaisante de la nocivité des perturbateurs n’est pas un choix scientifique ou technique : c’est un choix politique.
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Internet a donné une nouvelle dimension aux suicides d’adolescents.
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Au cours des derniers mois, plusieurs drames d’adolescents et de jeunes adultes se suicidant en direct sur Internet ont tristement fait l’actualité, notamment en France et aux États-Unis.
Cette forme inédite de mise en visibilité du suicide nous interpelle avec raison. Une question apparaît alors en filigrane : quel est rôle des dispositifs techniques utilisés au cours de ces mises en scène fatales ? S’agit-il d’un phénomène nouveau en soi ou bien d’une nouvelle mise en visibilité de la souffrance ?
L’ordalie : plus qu’un appel à l’aide
Pour mieux comprendre les suicides en direct, il importe de revenir sur ce que nous connaissons des tentatives de suicide et du suicide en général. Ainsi l’ordalie est un phénomène bien connu des socio-anthropologues de l’adolescence. Cette notion parle aussi aux professionnels qui ont côtoyé des adolescents en grande souffrance. Dans les sociétés dites « traditionnelles », l’ordalie était un système de croyances qui imputait à la décision des dieux la survie d’une personne qui traversait une épreuve. En d’autres termes, celui qui bravait la mort et en revenait vivant n’était pas l’artisan de sa réussite. Une force supérieure avait décidé de cette issue, d’où le sentiment chez les survivants de mériter pleinement leur place dans la vie.
Bien que nous vivions dans des sociétés fortement sécularisées, le discours ordalique est omniprésent chez les jeunes en grande souffrance.
« C’est le hasard qui allait décider »
Dans les entretiens que les chercheurs mènent auprès des adolescents qui se sont mis en danger sous différentes formes, que ce soit, par exemple, à travers la pratique de la vitesse au volant, au risque de l’accident fatal ou de la consommation de drogue poussée jusqu’à risquer le coma, l’ordalie ressurgit sous une forme individualisée. « Ce jour-là, dira une jeune femme en parlant de ce jour funeste où elle tenta de se suicider pour la seconde fois, je me suis dit que c’est le hasard qui allait décider si je méritais ou non de vivre ».
D’autres personnes diront qu’elles s’en sont remises au destin, qu’elles ont tentées la chance ou qu’elles ont cru en leur bonne étoile.
Le discours ordalique fonctionne provisoirement aux yeux de ces personnes : pendant un moment, parce que le hasard ou le destin leur a été favorable, ils racontent s’être sentis à nouveau vivants, légitimés en quelque sorte dans leur désir de vivre encore. Mais ce sentiment est généralement provisoire : à défaut de trouver un ancrage plus solide, la récidive n’est pas rare, tentative pour retrouver un sens à leur existence. Or, cette récidive se caractérise généralement par une radicalisation de la prise de risque pendant laquelle le jeune se laisse de moins en moins de chance de survivre.
L’ordalie à l’ère du numérique
Lorsqu’elle filme en direct son suicide en mai 2016 à Évry, dans l’Essonne, une jeune fille de 19 ans devient tristement célèbre en quelques heures. Or, son cas nous rappelle l’ambivalence qui touche ces personnes en grande souffrance. Au cours des heures précédant son passage à l’acte, la jeune fille multiplie les messages en direct sur Internet. Elle s’adonne même à un échange avec certaines personnes qui comprennent le danger bien réel qui la guette. Ces événements ne sont pas anodins. Ils rappellent que, ce jour-là, des spectateurs n’ont pas seulement assisté à un suicide en direct, mais aussi à de multiples appels à l’aide.
La dimension ordalique que nous observions déjà avant l’avènement des technologies de l’information et de la communication (TIC) trouve désormais dans les espaces numériques une nouvelle expression. Elle se manifeste ici par des appels lancés auprès des internautes comme une dernière chance d’être découvert, et même d’être sauvé par la foule invisible. Les spectateurs sont anonymes et c’est donc au hasard de leur action ou de leur inaction, de leur tentative réussie ou avortée de sauver la personne en danger que l’ordalie se manifeste, illustrant une autre manière de tenter le destin, de franchir une dernière porte de sortie qui se referme de plus en plus sur elle-même.
Mais à la différence des conduites ordaliques d’autrefois, celles qui s’expriment à travers les technologies de l’image laissent des traces, ce que de précédentes manifestations du désespoir n’abandonnaient pas toujours aux vivants. En ce sens, le recours à ces technologies souligne une autre dimension, bien connue cette fois, du suicide : la volonté chez plusieurs personnes en grande souffrance de marquer la mémoire de ceux qui restent, d’abandonner une dernière trace de son existence, d’exhiber le signe ultime de sa souffrance.
La souffrance est complexe
Certes, il est impossible d’analyser succinctement les motivations d’une personne qui décide de mettre fin à ses jours dans de telles circonstances. Or, un comportement qui emprunte une forme inédite et qui trouve dans le monde des écrans de nouvelles expressions porte bien souvent en lui-même les éléments d’une souffrance dont nous connaissions déjà, en partie, les clefs d’interprétations.
À nous citoyens et internautes d’user de prudence lorsque « surgit » dans le monde des écrans des tragédies qui nous déstabilisent parce qu’elles mettent en scène la mort, ce qui peut nous amener à imputer des phénomènes à l’existence de dispositifs techniques qui en sont surtout les supports. Car derrière le visible reste toujours dissimulé l’invisibilité d’une démarche et la complexité d’une souffrance.
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Occuper les enfants pendant les vacances.
Les vacances scolaires approchent pour certains, elles se terminer pour d’autres. Pendant 15 jours nos petits bouts de choux seront à la maison et pour les occuper, parfois c’est le vrai casse tête…
D’un autre côté, les vacances ne doivent pas être pour les enfants synonyme d’insouciance et notre rôle en tant que parents musulmans est bien sur de leur donner une bonne éducation mais aussi de leur transmettre et leur enseigner l’Islam, chose qu’il n’est pas forcément facile à faire lorsqu’ils sont à l’école. Un compromis est possible, voici quelques modestes conseils que vous propose AJIB :
Les dessins animés & les jeux vidéo :
Nous commençons par cela car il est probable que c’est ce que les enfants aiment le plus, si on ne les arrêteraient pas, ils seraient capables de regarder la TV et de jouer à la console toute la journée ! En même temps, pour les parents c’est la solution facile ! pendant ce temps les enfants sont calmes, c’est l’occasion de se reposer, de ranger la maison, surfer sur AJIB.fr … mais ce n’est pas pour autant la meilleure solution.
Ce que nous conseillons, c’est de délimiter un temps bien précis 1 heure, 2 heures par jour (chacun appréciera selon son point de vue) et responsabiliser vos enfants de l’arrêt de la TV en leur montrant par exemple l’horloge : « Vous pouvez regardez la tv jusqu’à ce que la petite aiguille arrive sur le 2 et la petite aiguille sur le 6 ». En parallèle, ce qu’il est possible de faire c’est de leur mettre des dessins animés islamiques sur la vie du Prophète (pbsl) , sur le tajwid, sur la vie des Prophètes…
L’ école arabe :
Pour les petits musulmans les vacances c’est aussi synonyme « d’école arabe ». Dans la plupart des mosquées en France, pendant les vacances il y a un programme sur plusieurs demi journées pour les enfants de 6 et plus, les enfants y révisent/apprennent l’arabe et les petites sourates du Coran. Ces cours sont intéressants pour les enfants et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord de par leur contenu, l’enseignement de l’arabe et du Coran. La plupart des enfants en France ont appris à lire le Coran grâce à l’école arabe. Ensuite car durant ces cours ils se retrouvent entre musulmans et c’est aussi comme cela que se construit leur identité musulmane. Cependant, rares sont les mosquées acceptant les enfants plus jeunes et c’est assez dommage car à partir de 3 ans , l’enfant sait parler et il est capable d’apprendre si la pédagogie et le rythme sont adaptés. Pour combler ce manque, il est intéressant de faire un petit programme à la maison une à deux heures par jours, en enseignant à travers le jeux, le chants…
Les activité manuelles :
Pratiquer régulièrement des activités manuelles améliore l’organisation, l’autonomie, la motricité, la concentration… et tout comme la lecture d\’une histoire avant le dodo, c’est un moment privilégié entre vous et votre enfant. Certes cela demande un peu de temps, mais ces séquences seront vraiment profitables pour vos enfants et si vous n’avez pas d’idées, rendez vous sur le blog de Materner avec un grand AIME.
Entre deux activités, proposez leur des coloriages ! Le blog à la maison avec Oummi met à disposition des coloriages islamiques (Mosquées, Calligraphies, familles…) imprimez les et amusez vos petits muslims.
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Syrie : Alep : régime, alliés, rebelles accusés de crimes de guerre par l’ONU.
La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie vient de rendre ses conclusions concernant la ville d’Alep. Sur place, aussi bien le régime que les rebelles et tous les soutiens sont accusés de crimes de guerre contre l’humanité.
De graves violations des lois humanitaires.
Selon le rapport, « toutes les parties ont commis de graves violations des lois humanitaires internationales constitutives de crimes de guerre » . Pour l’ONU, chacun doit prendre ses responsabilités et la mesure des actes perpétrés sur le terrain. L’enquête en question concerne la période de juillet 2016 au 22 décembre de la même année. Il est indiqué que les frappes aériennes russes notamment ont ciblé des écoles, des marchés, des hôpitaux. L’usage d’armes interdites est également mentionné. De plus, le régime de Damas est pointé du doigt pour avoir délibérément visé un convoi humanitaire de l’ONU et du Croissant-Rouge en septembre 2016, dans la banlieue d’Alep. Par ailleurs, les opposants à Bachar Al Assad sont aussi dans le viseur de l’ONU pour avoir bombardé Alep-Ouest depuis Alep-Est et pour avoir empêché les civils de quitter la zone.
Même l’évacuation forcée de la population de l’est est considérée comme crime de guerre alors que cet accord avait été conclu avec le soutien de la Turquie. Quelles seront donc les suites données à ce rapport alors que le conflit en Syrie ne semble pas avoir de fin, les civils étant les premières victimes ?
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France : Fin de vie : le Conseil d’Etat appelé à trancher sur le cas de Marwa.
L’histoire de Marwa Bouchenafa remet sur le devant de la scène le délicat débat autour de la fin de vie.. Cette petite fille de 15 mois, née en bonne santé avec une jumelle, souffre d’une « atteinte neurologique sévère et définitive » qui la paralyse des quatre membres. Victime d’un virus foudroyant causant de sévères troubles neurologiques et la défaillance de plusieurs organes, dont le cœur, la petite Niçoise est hospitalisée depuis le 25 septembre à l’hôpital de la Timone à Marseille, sous assistance respiratoire.
Depuis le 4 novembre, un bras de fer est engagé entre les parents de Marwa et le corps médical. A l’issue d’une réunion, les médecins ont décidé à l’unanimité de débrancher le nourrisson car ils n’entrevoient aucune chance de rétablissement. Une décision que les parents refusent, les clignements des yeux, les mouvements et les gestes de ses mains leur prouvant, selon eux, que leur enfant mérite une deuxième chance.
Mohamed Bouchenafa, père de Marwa, avait alors lancé une pétition en ligne « Jamais sans Marwa ». Cette dernière a récolté plus de 244 000 signatures et plus de 94 000 « likes » sur une page Facebook pour soutenir le nourrisson malade.
Il avait aussi saisi en novembre en référé-liberté le tribunal administratif de Marseille. Le 8 février, la justice tranchait en faveur des parents, considérant que la poursuite des soins ne relevait pas d’« une obstination déraisonnable ». La décision avait aussitôt été contestée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille qui a déposé un pourvoi devant le Conseil d’Etat.
La décision du Conseil d’Etat quant au cas de Marwa est appelée à être définitive lors une audience à huit clos jeudi 2 mars devant un juge des référés. Une marche de soutien est prévue samedi 4 mars à Marseille pour épauler la famille Bouchenafa.
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France : Fréjus : le permis de construire de la mosquée jugé caduc.
La guerre larvée entre David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, et l’association El Fath qui gère la mosquée de la ville se poursuit. Le rapporteur public a déclaré illégal le permis de construire du lieu de culte devant le tribunal administratif de Toulon, rapporte 20 Minutes mardi 28 février. Le permis avait été livré en avril 2011 et avait été « atteint par la péremption de deux ans sans le commencement d’exécution significatif de travaux », ce qui le rendait ainsi « caduc » d’après le rapporteur dont l’avis est, dans la majorité des cas, suivi par le TA.
Frédéric-Pierre Vos, avocat de la commune de Fréjus, a déclaré à la presse que « le tribunal d’Aix a désormais une preuve supplémentaire des travaux sans permis effectués par l’association El Fath ». Le maire FN David Rachline espère pouvoir obtenir la destruction de la mosquée, qui avait été rejetée en février 2016 par le tribunal de Draguignan.
Le tribunal administratif de Toulon devrait rendre son jugement d’ici trois semaines, avant l’arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence attendu pour la date du 21 mars.
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Canada : une université évacuée face à un risque d’attentat islamophobe.
L’université Concordia de Montréal a été menacée, mercredi 2 mars, par un courriel signé du « Conseil des citoyens conservateurs du Canada » adressé dans le même à plusieurs médias locaux.
Dans le mail, ce groupuscule de défense de la suprématie blanche menaçait de faire exploser plusieurs « petits engins artisanaux » au sein de l’établissement pour protester contre la présence d’étudiants de confession musulmane. « Maintenant que le président Trump est en poste au sud de la frontière, les choses ont changé. Nous ne tolérons plus votre comportement. (…) Les bombes ne sont pas destinées à tuer des gens. Le but principal est de blesser des étudiants musulmans », pouvait-on lire dans le message.
Les auteurs de la lettre affirment avoir « vu des étudiants musulmans et leurs invités utiliser les toilettes publiques au 7e étage pour se laver les pieds dans l’évier de la salle de bain ». Ils faisaient ainsi référence aux toilettes du pavillon Hall, où se trouve la salle de prière pour les musulmans, selon le Journal de Montréal.
L’université a procédé à une évacuation d’urgence de près de 4 000 personnes. La police a organisé dans la foulée une fouille mais qui n’a révélé aucune trace d’explosif. Une « semaine de sensibilisation à l’islam » devait se tenir dans l’un des trois pavillons évacués. Le nom du groupe à l’origine du mail fait écho à celui auquel faisait référence, Dylan Roof, l’auteur de la tuerie de Charleston ayant tué neuf personnes dans une église afro-américaine en 2015. Cependant, aucun lien n’a été établi pour l’heure entre les deux groupuscules.
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Arabie saoudite : des contrebandiers utilisent des Corans pour leur trafic de drogue.
Habitués à franchir toutes les lignes jaunes, que ne feraient pas les contrebandiers qui sévissent sur la zone frontalière de la monarchie saoudienne pour déjouer la vigilance de ses forces de l’ordre et passer frauduleusement leurs marchandises au nez et à la barbe de ses douaniers ?
Ne reculant devant aucun stratagème, plus ou moins élaboré, pour parvenir à leurs fins, auraient-ils à ce point épuisé toute la panoplie de leurs ruses qu’il leur faille user d’un artifice sacrilège : glisser des substances illicites dans de vrais faux exemplaires du Coran ?
Les autorités saoudiennes croyaient avoir tout vu, entre ceux qui ingurgitent des centaines de petits paquets de drogues, au risque de mourir d’une overdose massive si jamais ils se perçaient, et ceux qui dissimulent leurs produits délictueux (alcool et récemment des comprimés de Captagon, la drogue des djihadistes) dans des intestins de mouton, des mandarines, des tomates, voire des pièces automobiles, des lampes, ou encore des livres… la liste n’est pas exhaustive.
Mais elles n’étaient pas au bout de leurs surprises en découvrant la dernière trouvaille de ces experts en dissimulation ou en grosses ficelles qui, à trop vouloir tirer sur la corde, ont fini par ce qu’elle se rompe.



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Un jeune Américain d’origine égyptienne brigue le poste très convoité de gouverneur du Michigan.
A seulement 32 ans, le Dr. Abdul El-Seyed, un fils d’immigrés égyptiens installés aux Etats-Unis depuis plus de trente ans, en quête d’un pays de cocagne, a déjà creusé profondément son sillon dans sa région natale du Michigan, ayant à son actif un brillant parcours académique et de belles réalisations qui en ont fait une notabilité locale.
Sur cette terre de contrastes mais aussi d’abondance que sont les Etats-Unis, ce fils qui fait la fierté de ses parents, titulaire d’un doctorat en médecine décroché au sein de la prestigieuse université d’Oxford grâce à la non moins très renommée et sélective bourse Rhodes (la plus ancienne bourse de recherches au monde octroyée aux étudiants les plus méritants) ne vise que l’excellence dans tout ce qu’il entreprend.
Nourrissant de grandes ambitions à l’aune de son formidable potentiel, le plus jeune directeur du département de la Santé que l’Etat du Michigan ait jamais connu a toujours placé très haut le curseur sur l’échelle de l’exigence, de la rigueur et de l’éthique, afin que le doux rêve américain ne soit pas que pure chimère mais une réalité bien tangible.
A l’âge où d’autres font leurs premières armes dans la sphère professionnelle, Abdul El-Seyed entrait il y a deux ans, à tout juste 30 ans, dans les annales de la fonction publique américaine en devenant le plus jeune directeur de la santé d’une cité phare, en l’occurrence Lensing.
Comment s’étonner dès lors qu’il voie plus grand et plus loin en briguant le siège de gouverneur ? Fort de sa notoriété grandissante et de son expérience concluante à ce poste clé de l’Etat du Michigan, il est en première ligne depuis deux ans pour observer les disparités criantes, entre riches et pauvres, qui fragilisent la cohésion sociale sur le sol de la première puissance mondiale, mais aussi pour dénoncer la stigmatisation subie par ses coreligionnaires de la part des professionnels de santé depuis le 11 septembre, dans le cadre d’un rapport circonstancié qui a connu un fort retentissement.
La victoire fracassante du populiste Trump et les premiers jours affolants de sa nouvelle administration, entamés dans le bruit et la fureur de décrets liberticides signés à tour de bras, dont son décret anti-immigration viscéralement anti-musulmans, ont précipité sa décision de se lancer en politique avec la ferme intention de ne pas faire de la figuration…
« La politique de la peur et la haine menacent de nous diviser. Nous ne sommes pas assis sur le banc de touche. Nous devons agir urgemment », a-t-il récemment déclaré au journal le plus lu de Detroit, en se sentant parfaitement légitime pour être le porte-parole des sans voix et des sans grades de l’Etat du Michigan, terre d’implantation de la plus grande mosquée des Etats-Unis, où se concentre une forte population arabo-musulmane.
« Je suis convaincu que nos administrés attendent un représentant qui leur inspire confiance et soit capable de tenir ses engagements. Je pense être celui-ci », a-t-il insisté, tandis que l’un de ses plus fervents soutiens, Jeff Maltas, un scientifique de renom vivant au Michigan, perçoit en lui l’homme providentiel. « La santé mêlée à la science, le tout combiné avec une grande humanité et le sens de l’intérêt général, voilà brossé, me semble-t-il, le portrait du candidat idéal, et c’est celui de Abdul El-Seyed », a-t-il souligné, intarissable d’éloges à son égard.
Fin prêt à se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, le Dr Abdul El-Seyed bat déjà la campagne avec de l’énergie à revendre, mû par un seul et unique objectif à l’horizon 2018 : sortir vainqueur de ce qui sera sa première grande bataille électorale pour avoir l’honneur de représenter à Washington, sous la coupole du Capitole, cette autre Amérique pointée du doigt et livrée à la vindicte, qui redoute plus que tout de voir ses droits fondamentaux sournoisement grignotés, et pire encore totalement niés, sous l’ère Trump de sinistre augure.
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Des dignitaires musulmans et chrétiens appellent à la coexistence interreligieuse au Caire.
Devant un aréopage composé de dignitaires religieux du Moyen-Orient, musulmans et chrétiens, la coexistence pacifique entre les religions dans cette région du monde minée par les conflits confessionnels a été largement débattue au Caire jusqu’à ce mercredi, dans le cadre de la conférence de haut vol initiée par Al-Azhar, la prestigieuse institution de l’islam sunnite.
A l’heure où des dizaines d’Egyptiens chrétiens ont déserté le nord de la péninsule du Sinaï, fuyant devant les offensives sanglantes conduites par Daesh, Al-Azhar redouble de virulence dans sa condamnation de la folie meurtrière de ses combattants, les accusant de « souiller l’image de l’islam », tout en se rangeant résolument du côté de ceux qui prônent un « islam modéré » et se font les chantres du dialogue avec les chrétiens et de la paix.
« Exonérer les religions du terrorisme ne suffit plus, face à ces défis barbares », a lancé le cheikh d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayeb, en tirant la sonnette d’alarme, avant d’appeler à dépasser urgemment « le manque de confiance et les tensions persistantes entre les dirigeants religieux qui n’ont plus aucune justification aujourd’hui: si la paix ne se réalise pas d’abord entre ceux qui la prêchent, ils ne peuvent pas la transmettre aux individus ».
Le pape copte orthodoxe Tawadros a, pour sa part, exhorté à « lutter contre l’idéologie extrémiste avec une idéologie éclairée ». « L’Egyte et la région ont souffert de l’idéologie extrémiste, qui résulte d’une compréhension erronée de la religion qui a conduit au terrorisme », a-t-il insisté, en présence du patriarche maronite Mgr Bechara Raï.
En Egypte, la branche locale de Daesh a plus que jamais la minorité copte dans son viseur, après avoir revendiqué, en décembre, un attentat suicide contre une église copte orthodoxe du Caire qui a coûté la vie à 29 personnes.
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Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains.
La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.
Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.
Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.
Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.
La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.
Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un point de contrôle militaire érigé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation vise deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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20 palestiniens enlevés de la Cisjordanie dans des campagnes sionistes
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77 Violations contre les journalistes en Février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Amnesty: L’emprisonnement du journaliste al-Qiq est injuste et une honte à la justice
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63% des israéliens tiennent Netanyahou responsable de l’échec de la guerre à Gaza
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Incursion de 4 bulldozers et de véhicules militaires au nord de Gaza
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L’occupation a démoli 48 maisons et installations en Cisjordanie et Jérusalem en Février
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Liban: Le Hamas rencontre le Front de lutte populaire
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Un colon sioniste blessé dans une attaque au couteau à Hébron, l’auteur tué
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Des colons envahissent une colonie évacuée en pleine nuit
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L’occupant prétend la chute d’un missile sur le rivage d’Ashkelon (Adel)
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Une roquette aurait atterri sur le rivage d’Ashkelon, prétend l’occupation
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 28 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 28 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #mouslimradio :
www.MouslimRadio.info
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Un état Juif en Arabie Saoudite, la proposition incroyable du Dr Rothstein en 1917.
En septembre 1917, Lord Francis Berthie alors ambassadeur britannique en France aurait reçu une étrange proposition d’un certain Dr Rothstein, un russe de confession juive et vivant à Paris. Le Lord Berthie aurait alors rapporté à Lord Balfour (alors premier ministre britannique favorable à la création d’un foyer juif en Palestine) que Rothstein proposait à la Triple-Entente (alliance entre la France, le Royaume-Uni et la Russie) de mettre sur pied une armée pour « conquérir la province turque d’El Hassa et créer un état juif dans le golf persique ».
Où se situe El Hassa ?
Aujourd’hui, cette province correspond à une immense oasis (la plus grande du monde) située dans le désert saoudien à l’intérieur des terres (province d’Ach-Charqiya) et abritant une forte population chiite. En somme, une terre extrêmement fertile et propice au développement ! Tout comme la Palestine, que les côlons sionistes affirment avoir entretenue et développée au niveau de l’agriculture, à tel point qu’avant leur arrivée elle aurait été presque abandonnée…
Un plan qui glace le sang.
Rothstein explique son propos en de nombreuses lignes, effrayantes de déterminisme et bafouant toute notion de souveraineté, d’un colonialisme typique de l’époque. Il propose de rassembler d’ici l’été suivant une « armée juive de 120’000 hommes forts » qui serait doublée de l’armée de l’Entente mise à disposition. Bien qu’il admette que son plan peut paraître irréaliste, il y croit dur comme fer comme en attestent les documents mis à jour. L’armée imaginaire serait ensuite sensée gagner le Bahrein et de se réunir afin d’entrer en Arabie Saoudite et d’y créer un état juif.
Rappelons qu’à l’époque, l’Arabie Saoudite était avant tout un vaste désert peuplé de tribus bédouines, dont Abdelaziz Al Saoud a progressivement pris le contrôle à partir de 1902. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, le wali du Nejd se rapproche des britanniques et signe un traité de protection en 1915.
Profitant de la dislocation de l’Empire Ottoman et de la faiblesse des États arabes qui se constituent, il fait la conquête du Hedjaz et finit par être reconnu roi de l’ensemble du territoire. Il ne se doutait pas qu’à quelques milliers de kilomètres, un docteur juif rêvait de le déloger.
La Palestine était préférable.
Bien qu’il se décrive lui-même comme un « médecin russe », on ne sait que peu de choses sur l’illuminé Rothstein hormis qu’il avait un fils se réclamant du mouvement sioniste et fervent patriote français, mort à Verdun.
Le secrétaire privé de Lord Balfour écrivit alors à Lord Bertie en lui signalant qu’il devait signifier à l’intéressé qu’il ne pourrait être donné suite à sa requête, comme en atteste la lettre retrouvée.
En 1922, le mandat sur la Palestine remis par la Société des Nations (devenue l’ONU) aux autorités britanniques stipulera finalement qu’il faut « placer le pays dans les conditions politiques, administratives et économiques garantissant l’établissement d’un foyer national juif ».
Les archives ne manqueront pas de nous surprendre encore à l’avenir.
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Histoire : l’Islam et la tradition judéo-chrétienne auraient des points communs, vraiment ?
Il aura fallu plusieurs siècles pour que certains réalisent que le judaïsme présente d’étranges points communs avec l’Islam. De même, des historiens étudiant la Bible se sont demandés comment le Coran pouvait évoquer Jésus. Des similitudes avec l’Islam que les adeptes du judaïsme et du christianisme ont bien du mal à saisir.
Des traditions semblables.
Pour commencer, les juifs constatent que les musulmans ont des traditions semblables aux leurs : « circoncision, pèlerinage, rites d’abattage ou de pureté, et également prière », comme le relève le site Agoravox. L’auteur de l’article, tellement surpris par la ressemblance entre l’Islam et le judaïsme reprend d’ailleurs un verset du Saint Coran évoquant les juifs : {Il est, parmi les Gens de la Torah [Les Juifs] une communauté droite qui, aux heures de la nuit, récitent les versets d’Allah en se prosternant. Ils croient en Allah et au Jour dernier, ordonnent le convenable, interdisent le blâmable et concourent aux bonnes œuvres. Ceux-là sont parmi les gens de bien}. (Sourate 3 : versets 113-114). Le Coran évoquerait les Juifs ? Surprenant non ?! C’est ce qu’a « découvert » une partie de la communauté juive…
Des points communs entre la Bible et le Coran.
De la même manière, les historiens de la religion soulignent les points communs entre la Bible et le Coran. Des « spécialistes » en la matière, interrogés par l’Obs tentent d’expliquer « la présence d’emprunts bibliques dans le livre sacré des musulmans ». Il faut donc que plusieurs spécialistes, historiens et théologiens juifs et chrétiens se penchent sur la question : pourquoi autant de ressemblances entre Islam et tradition judéo-chrétienne ? Ils vont même jusqu’à parler « d’emprunts bibliques ».
L’Islam, l’unique religion monothéiste.
Cherchant désespérément des réponses à cette interrogation, ces chercheurs ne réalisent pas que l’Islam est simplement l’unique religion monothéiste, le message d’unicité envoyé à tous les peuples, la seule religion à reconnaître tous les prophètes et messagers (‘alayhoum salam). Encore faudrait-il que ces « théologiens » lisent bien d’autres versets, qu’ils les méditent et qu’ils puissent ainsi espérer ouvrir les yeux mais Allah ne guide vers la Vérité que ceux qu’Il a choisis.
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La jalousie, une maladie du coeur !
En Islam, la jalousie «Al hassad» est l’un des principaux fléaux contre lequel le musulman doit mener un combattant au quotidien. Ce défaut divise la communauté et décline le sens de la fraternité si cher à notre foi.
Dans un Hadith rapporté par Abou Houreïra (radhia Allahou ‘anhou), le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) met justement sa communauté en garde contre les principaux facteurs de scissions et de divisions. L’envoyé d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dit : «Ne vous jalousez pas et ne vous enviez pas les uns les autres, ne vous entre-haïssez pas, ne vous espionnez pas, ne vous épiez pas, ne vous trompez pas mutuellement (dans les affaires ou les autres domaines en général) et soyez, ô serviteurs de Dieu, (unis et affectueux comme) des frères.» (Sahîh Mouslim).
La jalousie et l’envie poussent l’être humain dans la mécréante puisqu’ils incitent l’Homme à vivre au-dessus de ses moyens ou même d’espérer que le malheur s’abatte sur les autres. Abou Houreïra (radhia Allahou anhou) a rapporté que le prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: «Méfiez vous de la jalousie car elle consume les bonnes œuvres comme le feu consume le bois». (Hadith recueilli par Abu Dawud).
La jalousie peut même inciter certaines personnes a interpellé Allah (subhannou wa ta’ala) en proférant qu’il n’aurait pas été assez juste avec lui et qu’il mériterait plus (qu’Allah subhannou wa ta’ala, nous éloigne de ce genre de comportement).
«Allah a favorisé les uns d’entre vous par rapport aux autres dans [la répartition] de Ses dons.» (Sourate an Nahl, 16, verset 71).
«Ne convoitez pas les biens par lesquels Allah vous a élevés les uns au-dessus des autres. Et demandez à Allah de Ses bienfaits.» (Sourate An-Nisaa’, 4, verset 32).
La jalousie fut aussi à l’origine du premier meurtre sur terre : celui d’Abel par son frère Caïn. «Raconte-leur l’histoire des deux fils d’Âdam telle qu’elle est arrivée. Chacun des deux frères avait fait une offrande, mais celle de l’un fut agréée, alors que celle de l’autre ne le fut point. ʺ Je te tuerai ! ʺ, dit ce dernier à l’autre. Allâh n’accepte, dit l’autre, que de la part des pieux» (Sourate 5 Al-Mâ’ida – La Table servie, versets 2 à 7).
Ainsi, Abel avait donné son meilleur bélier, tandis que Caïn n’a offert, par ladrerie, que le plus mauvais de sa récolte de blé. En revanche, dans le domaine spirituel, nous devons regarder celui qui nous est supérieur, car il nous encourage à être plus pieux. C’est pourquoi le prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «L’envie est permise seulement dans deux cas : (envier) celui a qui Dieu a donné le Qur’an et qui le récite jour et nuit et l’homme qu’Allah a comblé de biens et qui les donne (en aumône) jour et nuit.»
Chaque musulman devrait cultiver l’envie de supériorité dans la foi d’Allah (subhannou wa ta’ala): «Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux.» (Sourate al Hujurat, 49, verset 13).
La bonne forme de jalousie qui consiste à voir une personne plus pieuse que nous et à désirer devenir comme elle. Pour éviter de ressentir une quelconque envie, le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: «Ne regarde pas celui qui a plus que toi. Regarde celui qui a moins que toi, car il te rappelle mieux quelles faveurs Dieu t’a accordé.»
De plus, lors d’une autre occasion toujours à propos des biens matériels, l’envoyé d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Si une personne voit quelqu’un de plus riche que lui et de mieux bâti, il doit aussi regarder ceux qui sont moins favorisé que lui.»
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France : Jean Luc Mélenchon combat « à titre individuel » le port du voile qu’il qualifie de « chiffon sur la tête ».
« En tant que militant lié au féminisme, je combats, à titre personnel, le fait de porter le voile. » a déclaré Jean Luc Mélenchon.
Interrogé lors de l’émission politique sur France 2 au sujet de sa proposition de « refuser les rencontres d’État à État avec les pays obligeant «nos ministres femmes à porter des accoutrements contraires à la dignité républicaine» », Jean Luc Mélenchon a précisé sa pensée en indiquant qu’il est question dans son programme « des ministres qui mettent des mantilles pour aller voir le pape en tant que ministre de la République » ainsi que « les personnes qui sont obligées de se mettre un voile sur la tête, pourquoi pas des gants, pour rencontrer tel ou tel ministre ».
Jean Luc Mélenchon est opposé à tous les signes religieux.
Jean Luc Mélenchon a parlé de sa « conviction personnelle » sur ces questions de laïcité. Il dit être opposé à tous les signes religieux « de la femme qui se rase la tête et qui met une perruque par dessus pour suivre les prescriptions de la bible à celle qui se met un foulard sur la tête parce que c’est un rapport avec Dieu paraît-il ». Puis le candidat de la France Insoumise a qualifié le voile de « chiffon » :
« Je ne vois pas en quoi Dieu s’intéresserait à un chiffon sur la tête? Mais c’est mon affaire à moi, je ne veux pas imposer » déclare-t-il avec avec un certain mépris.
Cependant, le candidat à l’élection présidentielle 2017 refuse l’idée d’interdire le voile à l’université :
« La loi n’a pas à imposer comment s’habiller dans la rue, à l’exception du voile intégral, que je condamne. En tant que militant lié au féminisme, je combats, à titre personnel, le fait de porter le voile. Il vaut mieux éviter les signes ostentatoires. Mais de là à commencer une police de l’habillement, ce n’est pas possible, on ne s’en sortirait pas. » a ajouté le député européen.
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Australie : Netanyahou caricaturé en Hitler par des manifestants à Sydney.
Lors de sa visite officielle en Australie, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a été accueilli par des manifestants pro-palestiniens portant une caricature d’Adolf Hitler.
Les manifestants ont scandé « nous sommes tous palestiniens » tout en portant des bannières « Netanayahou criminel de guerre ».
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Aïd et Kippour fériés ? Le CFCM refuse « une mise en concurrence des religions ».
Remplacer deux jours fériés – les lundis de Pâques et de Pentecôte – par l’instauration de l’Aïd et de Kippour dans le calendrier ? Le Conseil français du culte musulman (CFCM), par la voix de son président Anouar Kbibech, s’est étonné de cette proposition que remet sur la table le think tank Terra Nova.
« On s’étonne que cette proposition soit formulée sans aucune concertation ou discussion que ce soit sur la question des jours fériés ou de l’organisation de l’islam de France », a-t-il fait savoir sur RMC, estimant qu’il n’y a eu « aucune demande formelle des musulmans de France de bénéficier de jours fériés ». « La demande qui avait été formulée, c’est surtout d’éviter qu’il y ait des examens ou contrôles organisés ces jours-là pour éviter que les élèves musulmans soient pénalisés », déclare Anouar Kbibech.
« Nous nous étonnons aussi du timing de cette proposition à deux mois d’une élection présidentielle. Nous savons bien que ce type de sujet peut prêter à polémique et il vaut mieux en discuter à froid avec le maximum de sérénité. (…) Et dire que l’on souhaite remplacer des fêtes chrétiennes par des fêtes musulmane et juive, c’est la meilleure façon d’alimenter une polémique de la part de ceux qui prétendent qu’il y a une islamisation de la France », martèle-t-il, refusant « une mise en concurrence des religions sur les jours fériés ».
Selon lui, « la démarche sur le fond et sur la forme n’est pas opportune », d’autant que la proposition ne sera « pas suivi d’effet ». « Aujourd’hui, si l’objectif c’est d’instrumentaliser les religions pour créer des polémiques stériles, c’est la meilleure façon de procéder », conclut-il.
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Rumana Ahmed, la conseillère voilée d’Obama, témoigne : « J’étais une musulmane dans l’administration Trump ».
La seule et unique conseillère voilée de l’ère Obama, c’était elle, Rumana Ahmed, le visage radieux de la diversité au sein de l’aile l’ouest de la Maison Blanche, où ses bons et loyaux services en firent, au fil des ans, une recrue de choix du Conseil national de la sécurité.
Née à Washington, dans sa proche banlieue, de parents originaires du Bangladesh qui s’envolèrent en 1978 pour la grande Amérique, en quête d’un eldorado, Rumana Ahmed semblait prédestinée à évoluer un jour dans les antichambres du pouvoir, même si sa défiance envers la classe politique et les élites dirigeantes américaines la dissuadait d’emprunter cette voie-là.
Mais c’était sans compter le fol espoir insufflé à la jeunesse issue de l’immigration et à la jeune hijabi qu’elle était par l’euphorie Obamaniesque. En 2011, fraîche émoulue de l’université de Washington, elle esquissa, à tout juste 22 ans, ses premiers pas dans la prestigieuse enceinte de la Maison Blanche, après avoir été dûment sélectionnée pour jouer, dans l’ombre, un rôle clé dans le traitement d’informations classifiées, en liaison avec le département de l’immigration et la communauté musulmane américaine.
« C’était vraiment enthousiasmant ! J’ai participé activement à l’organisation des lftars à la Maison Blanche, et aussi loin que je me souvienne, je ne me suis jamais posé la question de savoir si ma jeunesse, mon inexpérience et mon islamité étaient des handicaps, et d’ailleurs, on ne m’a jamais fait ressentir qu’ils mettaient en cause ma crédibilité », confie-t-elle aujourd’hui à la presse américaine. Elle égrène ses souvenirs non sans un pincement au cœur, alors que l’arrivée fracassante de Trump dans le Bureau ovale et son décret anti-immigration, transpirant le racisme d’Etat, ont eu finalement raison de sa détermination à rester, fidèle au poste, coûte que coûte.
Ne se faisant plus aucune illusion sur sa capacité à faire revenir le 45ème président des Etats-Unis à de meilleurs sentiments, Rumana Ahmed a rendu son tablier, la mort dans l’âme, au terme des huit premiers jours retentissants et tumultueux de son règne implacable.
« Comme la plupart de mes concitoyens musulmans, j’ai passé une grande partie de l’année 2016 à suivre avec consternation la campagne islamophobe de Donald Trump, qui dénigrait et diabolisait continuellement notre communauté. Malgré cela, ou plutôt à cause de cela, je pensais que je devais toutefois essayer de travailler dans sa nouvelle administration, pour que le président et ses collaborateurs aient une vision plus nuancée de l’islam et des citoyens musulmans d’Amérique. J’ai tenu huit jours », explique-t-elle avec amertume, en précisant, affligée : « Lorsque Trump a signé son décret interdisant l’entrée des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans et à tous les réfugiés syriens, je savais que je n’étais plus à ma place au sein de ce gouvernement qui considère les gens comme moi, non pas comme des concitoyens, mais comme une menace ».
Son désenchantement n’en sera que plus grand, lorsqu’elle apprendra, quelques jours après avoir jeté l’éponge, que l’un des proches conseillers de Trump, Michael Anton, avec lequel elle partagea un bureau et qui était resté impassible devant son réquisitoire cinglant contre un gouvernement qui « bafoue les grands principes démocratiques et s’acharne à rabaisser et à rendre la vie impossible à des Américains comme moi », est l’auteur d’un pamphlet au vitriol vantant les vertus de l’autoritarisme, dans lequel il appelle à en finir avec le multiculturalisme, cette « faiblesse », et affirme de manière péremptoire que « l’islam est incompatible avec l’Occident moderne ».
La conseillère voilée, discrète et non moins très efficace, de Barack Obama, qui éprouvait alors de la fierté à incarner la diversité dans le saint des saints du pouvoir, riche des valeurs musulmanes que lui avaient inculquées ses parents, lesquels vécurent pleinement leur rêve américain jusqu’au décès brutal de son père dans un accident de voiture en 1995, souhaitait par-dessus tout être une source d’inspiration pour ses coreligionnaires et leur prouver qu’ils ont leur place sur le sol de la bannière étoilée.
Loin de la Maison Blanche où elle n’aura laissé que de bons souvenirs à celles et ceux qui l’on côtoyée, Rumana Ahmed doit à présent se réinventer un avenir au cœur d’une Amérique agitée par de violents soubresauts, en tentant de résister au torrent d’outrances et de haine qui n’a cessé de grossir entre 2015 et 2016, pour gagner en furie avec l’avènement du populiste Trump.
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France : Construction d’une mosquée : la mairie de Montreuil a-t-elle tenu ses engagements ?
Une mosquée flambant neuve sortira-t-elle de terre à Montreuil, sur un terrain acquis par la communauté musulmane locale, conformément à la volonté politique clairement exprimée par le maire PC de la ville, Patrice Bessac, lors de la célébration de l’Aïd el-Fitr 2016 à la mosquée Islah, rue des Sorins, devant un auditoire qui était suspendu à ses lèvres ? (voir vidéo ci-dessous)
(..) Enfin je veux vous dire que j’espère M. le recteur, j’espère mesdames et messieurs les responsables de la mosquée que nous serons dans quelque temps en mesure de donner à la communauté musulmane de Montreuil une belle mosquée dont elle pourrait être propriétaire , c’est encore beaucoup de travail pour vous et pour nous tous, mais il faudra bien le faire. Merci à vous »
Plusieurs mois se sont écoulés depuis que le premier magistrat de la cité s’est engagé à prendre le problème à bras-le-corps auprès de ses administrés de confession musulmane, sans que la « réflexion qui est en cours », comme nous l’a assuré, via un courriel, Romain Paris, directeur de l’Urbanisme et de l’Habitat, n’ait abouti favorablement.
Il est à noter que cette réponse officielle nous a été faite mercredi 22 février, à la demande expresse de Gaylord Le Chequer, candidat PC aux législatives 2017 sur la circonscription Montreuil/ Bagnolet et adjoint à l’Urbanisme, que nous avons vainement tenté de joindre au téléphone mardi après-midi.
Le premier coup de pelle, dont l’échéance n’a pas été fixée par Patrice Bessac, ne semble pas prêt d’être donné, si l’on en juge par l’état actuel du dialogue qui a « bien été entrepris entre la Ville et la communauté musulmane pour l’aider à répondre à ce besoin réel d’une mosquée dans le Bas Montreuil », selon les termes de l’email que nous a adressé Romain Paris : il est au point mort, quand il ne tourne pas au dialogue de sourds entre les deux parties.
Pour les responsables de la mosquée Islah que nous avons contactés au téléphone, la belle promesse de l’édile tarde à se matérialiser et de là à penser qu’elle n’engage que ceux qui l’ont prise pour argent comptant, en l’occurrence les musulmans de Montreuil, il n’y a qu’un pas… « Malgré nos relances de temps en temps par textos, on nous répond toujours la même chose : le terrain n’a pas encore été trouvé », s’est désolé notre interlocuteur qui continue d’espérer envers et contre tout, sans toutefois se bercer d’illusions.
Le terrain est-il le nœud gordien de cet engagement politique, ferme et néanmoins très évasif sur le plan du délai, qui a été pris devant les membres de la communauté musulmane de Montreuil ?
Il semble que oui et qu’il soit de surcroît particulièrement difficile à trancher, à la lecture de l’échange électronique que nous avons eu avec la mairie : « La possibilité de trouver un terrain adéquat dans ce secteur est au centre de la difficulté de concrétiser ce projet puisque, à notre connaissance, la communauté musulmane ne possède pas de site approprié et elle a sollicité la ville précisément pour l’aider à trouver un tel terrain ». En outre, une petite précision a été portée à notre connaissance : « Ce dossier est suivi par l’adjoint délégué aux Cultes, Monsieur Florian Vigneron ».
Une nouvelle mosquée, spacieuse et embellie, finira-t-elle par passer du stade de l’esquisse sur le papier à celui de la réalisation concrète à Montreuil ? La question se pose avec une acuité particulière et accrue, à l’approche de deux élections cruciales qui redessineront le paysage politique national pour les cinq années à venir : la présidentielle et les législatives.
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Cameroun : fuyant Boko Haram, les déplacés veulent juste “à manger”.
“Nous voulons seulement à manger. Si vous pouvez nous aider”, supplie Fadi, 17 ans, qui a fui les tueries de Boko Haram dans le nord du Cameroun, un “conflit oublié” au centre d’une conférence des donateurs à Oslo ce vendredi.
Comme Fadi, des milliers de Camerounais ont abandonné leurs villages situés le long de la frontière avec le Nigeria par peur d’être pris pour cible par le groupe jihadiste nigérian. Un exode qui touche tous les pays riverains du lac Tchad : Nigeria, Cameroun, Tchad et Niger.
Il y a un an, le mari de Fadi a été abattu par Boko Haram lors d’un assaut visant Gréa, leur village près de la frontière nigériane. “Ils sont entrés chez nous, ils l’ont tué et sont repartis”, explique Fadi qui affirme ne pas comprendre aujourd’hui encore pourquoi son mari a été exécuté. “Après l’avoir enterré, nous avons fui”.
La toute jeune veuve s’est installée à Kolofata, où les abris de fortune construits dans l’urgence à l’aide de tiges de mil et de paille s’étalent à perte de vue. Au total, des milliers de réfugiés.
Près d’un puits, des jeunes filles remontent un seau sans assez d’eau pour remplir leurs récipients. La saison sèche tarit les rivières.
A l’entrée du campement, des hommes assis à même le sol mangent dans la même assiette du couscous à base de mil. En bordure de route, deux femmes cuisent des beignets au feu de bois. “Il arrive souvent que nous dormions affamés”, glisse Fadi.
“Je veux à manger”, hurle une autre femme, Mariam Malabba, dont Boko Haram a tué plusieurs membres de la famille. Son bébé réclame le sein qu’elle s’empresse de lui donner. “Notre ration alimentaire est constituée uniquement de mil”, raconte-t-elle. “Du poisson et de la viande ? Non! Non! C’est un luxe que nous ne pouvons nous permettre”.
“Pour manger c’est difficile. La quantité de nourriture est très insuffisante”, renchérit un autre déplacé, Oumarou Abba, venu de Kerawa, à la frontière, avec ses trois femmes et leurs 18 enfants.
A quelques mètres du campement, une foule de déplacés attend devant l’entrée de l’hôpital public de Kolofata où le Comité international de la Croix-rouge (CICR) amorce une distribution alimentaire pour 2.500 ménages.
C’est la première fois que cette organisation internationale mène une telle opération dans cette ville où les humanitaires sont relativement absents depuis le déclenchement du conflit en 2014.
Juchés sur deux camions, des volontaires déchargent des sacs de riz, de farine et des cartons d’huile. Des agents de sécurité vérifient à l’aide de détecteurs de métaux si certains dans la foule ne portent pas sur eux des explosifs. Dans la région, des kamikazes de Boko Haram comettent de nombreux attentats-suicide.
Peu après avoir reçu son kit alimentaire, une vieille dame lève les deux mains vers le ciel pour remercier Dieu. Une autre attache son bébé dans le dos et charge sur sa tête un sac de 12 kilos de farine, reçu en même temps qu’un sac de riz, de haricots et des bouteilles d’huile.
Aidé par sa fille, un homme transporte péniblement sur son vélo deux sacs de riz et farine. “Nous sommes contents de cette aide. C’est la première fois”, se réjouit Madou Blama sous les applaudissements des membres de sa famille. “Maintenant, il nous faut des bâches pour faire la toiture de nos maisons”.
Si la distribution redonne du sourire aux déplacés, plusieurs autres affichent une grosse déception parce qu’ils n’ont rien eu. “Nous aidons les plus vulnérables. Nous avons des capacités et des moyens limités”, justifie Bah Ibrahima, coordinateur de la sécurité économique au CICR. “Les besoins sont énormes”.
Ce conflit qui dure depuis trois ans “a entraîné une crise humanitaire dans l’Extrême-Nord qui était déjà une des régions les plus pauvres et les moins instruites du Cameroun”, souligne un récent rapport de l’International Crisis Group.
L’organisation demande à la communauté internationale de “trouver des moyens” pour venir en aide à plus de “1,6 millions de personnes” ayant besoin d’une aide humanitaire d’urgence.
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Nigeria et Boko Haram : 14 pays promettent leur aide, pas les Etats-Unis.
Alors que des millions de personnes ont besoin d’une aide d’urgence dans la région du lac Tchad, une conférence internationale dans la capitale norvégienne a abouti à un engagement d’aide de la part de 14 pays.
Une conférence de donateurs aux victimes du groupe jihadiste Boko Haram au Nigeria et dans les pays voisins du lac Tchad, a abouti le 24 février à Oslo, à 672 millions de dollars d’engagement de 14 pays, a annoncé la Norvège.
Le montant, promis sur trois ans, est destiné à une région où, selon les Nations unies, 10,7 millions de personnes ont aujourd’hui besoin d’une aide d’urgence. Les Nations unies estimaient les besoins à quelque 1,5 milliard de dollars en 2017 pour la région du lac Tchad, bordé par le Nigeria, le Niger, le Cameroun et le Tchad.
Sur les 672 millions de dollars promis le 24 février dans la capitale norvégienne, seuls 457 millions le sont au titre de l’année 2017.
Les États-Unis, qui ont changé de président en janvier et comptent réduire leur aide internationale, n’avait pas de montant à proposer à Oslo. «Les États-Unis ont dit qu’ils communiqueraient ultérieurement leur contribution, donc elle n’est pas intégrée», a expliqué le ministre norvégien Børge Brende lors d’une conférence de presse.
Le sous-secrétaire général de l’ONU Stephen O’Brien s’est toutefois dit confiant quant à l’objectif annuel. «En une matinée nous avons levé un tiers de cela», a-t-il relevé.
Avec les montants promis, «nous ne touchons que la partie émergée des besoins. Néanmoins nous sommes immensément reconnaissants», a déclaré le ministre nigérian des Affaires étrangères Geoffrey Onyeama.
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Belgique : Le Conseil d’État émet un avis négatif pour l’interdiction de l’abattage rituel.
Le Conseil d’État estime que la proposition de décret va à l’encontre de la liberté religieuse.
Les députés wallons Christine Defraigne (MR) et Josy Arens (CDH) vont devoir retravailler leurs propositions de décret en matière d’abattage rituel.
Les deux parlementaires qui souhaitent interdire toute dérogation permettant de se passer de l’étourdissement avant abattage pour des raisons religieuses viennent d’essuyer un avis négatif du Conseil d’État. Ce dernier a en effet estimé que leur proposition de décret apporte « une restriction disproportionnée en matière de liberté de religion ».
Les députés sont donc amenés à les retravailler en y incluant des aménagements tenant compte de cette remarque. « Ce n’est pas une surprise », a commenté Christine Defraigne, par ailleurs présidente du Sénat. « Il y a dix ans, le Conseil d’État avait déjà rendu un avis très négatif et catégorique à ce sujet et il avait aussi rendu un avis similaire en Flandre », se souvient la députée libérale, qui ne compte pas abandonner sa proposition de décret pour autant.
« J’aurais préféré un avis plus volontariste mais je note tout de même un progrès sur cette question de société. Je pense que c’est une attente de la population. Les gens ne peuvent plus supporter de voir des animaux abattus dans la pire souffrance. Il faut absolument se positionner sur la question parce que la souffrance est intolérable. Je poursuis donc mon analyse en concertation avec les acteurs de terrain afin de trouver une solution d’équilibre », indique-t-elle.
La députée bénéficie du soutien de nombreuses associations de défense des animaux, dont Gaia.
D’après cette dernière, l’égorgement des animaux sans étourdissement « expose les animaux à des souffrances sévères et prolongées, pouvant dans certains cas durer jusqu’à 12 minutes ». « Ces faits contreviennent à l’obligation légale d’éviter toute douleur ou souffrance évitable au moment de la mise à mort », estime l’association.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Israël poursuit son extension des colonies dans la région de Wadi Qana
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Israël refuse de délivrer un permis de travail à Human Rights Watch
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La Cour suprême israélienne ordonne la fermeture d’une école palestinienne à Jérusalem
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Les participants affluent à Istanbul pour le Congrès des Palestiniens à l’étranger
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Israël annonce avoir abattu un drone du Hamas en provenance de Gaza
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186 millions de dollars alloués pour des projets coloniaux à Jérusalem
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Amnesty International: Israël tue des enfants, démolit des maison et tue des civils
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Une jeune fille palestinienne arrêtée à l’est de Naplouse
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Netanyahu veut gracier le soldat assassin du martyr al-Sharif
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L’occupation délivre 30 ordres de démolition près d’Hébron
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Bahar: L’occupation sera obligée de répondre aux exigences de la résistance
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Le Shin Bet traite les malades de Gaza comme un outil d’espionnage
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Shadid: Imposer la 1ere peine de prison de Barghouthi est une décision politique
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Amnesty International exige la libération du journaliste al-Qiq
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75 colons israéliens assiègent Al-Aqsa
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Libération de Mohamed Mahmoud sous conditions après 15 ans de prison
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com