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Flash info du 21 Joumada Al Awwal 1438

Flash info du 21 Joumada Al Awwal 1438.
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Comment annoncer sa conversion à sa famille ?
« Avant d’annoncer sa conversion à sa famille, il vaut mieux, au détour de conversations, préparer déjà le terrain et informer ses proches que, depuis peu, vous portez de l’intérêt à l’étude des religions ou de l’Islam. Cela évitera ainsi les « grandes révélations » et « les surprises » de dernière minute. Il serait également intelligent d’énoncer, au gré de ces conversations, les divers éléments qui vous ont touchés en Islam et/ou les étapes de votre réflexion intellectuelle/de votre cheminement spirituel. Cela permettra à vos proches de connaître les éventuelles raisons de votre conversion et d’être ainsi rassurés.
En outre, au moment de l’annonce de sa conversion, il est indispensable de préciser que ce choix spirituel ne remet pas en cause vos liens d’affection, vos traditions et votre identité. Conversion à l’Islam ne signifie pas adoption des us et coutumes du Maghreb ou du Machreq ! Il est également primordial, une fois cette annonce « nécessairement choquante » effectuée, et qui sera peut-être vécue comme une remise en cause de l’éducation familiale reçue, d’exceller dans votre comportement, en démultipliant les gestes d’affection, les prises de nouvelles de vos proches, etc.
Le musulman est l’ambassadeur de sa religion : il est extrêmement important de prouver à votre famille que vous êtes une meilleure personne depuis votre conversion… Seul un tel comportement sera gage de respect pour votre religion à l’avenir…
Enfin, un autre point vital, pour les personnes issues des familles les plus « traditionnelles » est de dresser des ponts entre les grands personnages chrétiens et ceux de l’Islam. Jean-Baptiste, Marie, Jésus, les apôtres, sont mentionnés à de nombreuses reprises dans le texte coranique et peuvent servir à apaiser les tensions : l’Islam devrait être présenté comme une continuation, une confirmation des enseignements de ces pieux personnages de l’ancienne religion. Des phrases du type « C’est par amour pour Jésus que je suis devenu musulman », « Je ne me suis pas converti à une autre religion, j’ai confirmé mon appartenance à la religion de Dieu et de (son prophète) Jésus » sont positives.
Enfin, si jamais vous optez pour un prénom islamique (cela n’est pas une obligation), il serait bon de ne pas le faire connaître à vos parents, car ces derniers pourraient vivre cela comme un affront. Le nom est le ferment de l’identité et vos parents ont dû porter un soin extraordinaire à vous en donner un. En évoquant un nom de conversion, vous risqueriez de leur dire implicitement : « je ne suis plus vraiment ton fils »…
Qu’Allah vous préserve et vous facilite !
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Canada : Une députée canadienne musulmane menacée : « tuez-la qu’on en finisse ».
Au Canada, la motion proposée par la députée libérale musulmane Iqra Khalid, afin de lutter davantage contre l’islamophobie, lui a valu des menaces de mort et des insultes.
« Elle est malade, déportez-la ».
Ainsi la députée a reçu des messages appelant même au meurtre : « elle est malade, déportez-la », « les vrais Canadiens vont se soulever et se débarrasser de cette saleté de musulmane », « tuez-la qu’on en finisse », « nous allons brûler vos mosquées ». Ce déferlement haineux a lieu alors que Iqra Khalid a proposé une motion au Parlement pour condamner et lutter contre l’islamophobie. Cependant l’opposition a déposé une contre-motion considérant que le premier texte faisait uniquement référence à l’islamophobie. Le but est de désigner toutes les religions sans distinction.
Le gouvernement a quant à lui déclaré qu’il fallait reconnaître l’islamophobie après l’attentat de la mosquée au Québec, ce que permet la motion de Iqra Khalid justement.
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Donald Trump compte présenter un deuxième décret anti-immigration.
Finalement le gouvernement américain ne fera pas appel devant la justice concernant le décret anti-immigration. Mais Donald Trump compte abroger le texte pour en présenter un nouveau.
Reculer pour mieux sauter ?
Aux Etats-Unis, le ministère de la Justice a fait savoir que Donald Trump souhaitait travailler un nouveau texte et non s’engager davantage sur la voie juridique. Le premier décret avait été suspendu par la justice permettant ainsi aux ressortissants des sept pays concernés de pouvoir se rendre aux Etats-Unis. Les avocats ont déclaré que le gouvernement voulait réussir à protéger immédiatement le pays. Cependant rien ne dit que le nouveau texte de Donald Trump ne subisse pas le même sort que le précédent.
Quels changements l’administration Trump compte donc apporter pour rendre ce MuslimBan plus acceptable ?
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Etats-Unis : le nombre de groupes islamophobes ont triplé en 2016.
Le Southern Poverty Law Center (SPLC), un institut qui étudie les mouvements extrémistes, estime que « l’élection de Trump a boosté la droite radicale ». Le rapport annuel du SPLC a été publié mercredi 15 février. On y apprend que le nombre de groupes haineux est passé de 892 en 2015 à 917 en 2016.
Dans le lot, les groupes islamophobes sont passés de 34 à 101. Un constat qui va dans le sens des chiffres du FBI qui relevait en 2015 une augmentation de 67 % des crimes de haine raciale. Parmi eux, 257 actes islamophobes ont été enregistrés par la police. 2001, avec la période du 11-Septembre, était la dernière année pendant laquelle les Etats-Unis ont enregistré autant d’actes hostiles aux musulmans, avec 480 agressions recensées.
Mark Potok, principal auteur de l’étude, désigne comme responsable « la rhétorique incendiaire » employée par Donald Trump lors de sa campagne. Il souligne le rôle Steve Bannon, Steven Miller et Kellyanne Conway, aujourd’hui tous hauts fonctionnaires de la Maison Blanche et qu’il identifie comme de « sérieux idéologues antimusulmans ».
Selon lui, le départ de Michael Flynn, ancien conseiller de la sécurité nationale, ne va pas réduire les effets de « l’offensive vraiment sérieuse dirigée contre les musulmans américains ».
Les dix jours qui ont suivi l’élection du nouveau président, 867 incidents à caractère haineux ont été comptabilisés, dont 300 visaient des immigrés ou des musulmans. Le SPLC rappelle qu’il se contente d’étudier les groupes qui s’expriment au travers de meetings, des distributions de tracts ou de manifestations. Ainsi, les expressions racistes sur les réseaux sociaux, largement plus importantes, ne figurent pas dans le rapport. Par ailleurs, Mark Potok pense que « Trump a coopté bon nombre des questions de la droite radicale, ce qui a pu empêcher, ou au moins ralentir la croissance de ces groupes ».
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Egypte : 144 femmes nommées prédicatrices dans les mosquées.
Le ministère égyptien des Affaires religieuses souhaite contrecarrer les discours ultraconservateurs, voire extrémistes diffusés à travers les radios et les télévisions par des prédicatrices non officielles. C’est pourquoi l’université Al-Azhar, éminente institution islamique du pays, a nommé 144 femmes pour prêcher dans les mosquées les plus importantes du pays et enseigner l’islam auprès des femmes dès le mois de mars. Une première dans ce pays.
Cette mesure a pour but de renouveler les discours religieux et d’enseigner des notions de jurisprudence islamique afin de corriger les idées fausses concernant l’islam et les femmes, selon le quotidien égyptien Asharq al-Awsat. Davantage de femmes seront nommées à l’avenir, a promis le ministère égyptien des Affaires religieuses.
Les autorités estiment que les femmes font partie des publics sensibles aux discours les plus extrémistes. En Egypte, prêcher dans une mosquée sans l’accord du ministère peut mener à une condamnation d’un an de prison et une amende de 7 000 dollars.
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Trump-Netanyahou : répondre aux fossoyeurs de la paix.
La rencontre des deux compères à Washington, le 15 février, confirme que tout est à craindre de leur collusion. Benyamin Netanyahou a bien trouvé en Donald Trump un partenaire à la fois ignorant de la réalité et décidé à marquer sa totale adhésion au projet colonial israélien.
Désormais, plus besoin pour lui de s’embarrasser de la solution à deux Etats qui était depuis plus de 20 ans la position (théorique) de l’administration américaine et qui reste celle de l’ONU, inscrite dans le droit international. La nouvelle stratégie américaine peut se résumer ainsi : la paix, peu importe sa forme, viendra d’un bon gros deal obtenu en face à face entre Israël et Palestiniens, entre une puissance occupante surarmée et un peuple occupé désarmé, prié au passage « de se débarrasser de la haine qu’on (lui) a inculqué ».
L’ignorance crasse du président américain comble un Netanyahou empêtré dans des affaires de corruption et le parti des colons qui n’ont qu’à applaudir bruyamment. Elle a une fonction : casser toute référence à la légalité internationale et ouvrir la voie à toutes les provocations au service du « Grand Israël ».
Le même jour, Saeb Erekat, secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine, rappelait une évidence : « La seule solution de rechange à une solution à deux États est un État doté de droits démocratiques égaux pour tous ».
Personne, et aucun Etat, ne peut accepter en 2017 l’institutionnalisation d’un Etat d’Apartheid entre Méditerranée et Jourdain, alors que c’est précisément en réponse à la demande de la communauté internationale que l’OLP a reconnu l’Etat d’Israël dans ses frontières de 1967 et accepté d’édifier l’Etat de Palestine sur seulement 22% du territoire de la Palestine historique.
La France, comme l’ensemble de la communauté internationale, doit affronter la réalité et s’opposer dans les faits à cette marche à l’abîme, reconnaître l’Etat de Palestine dans ses frontières du 4 juin 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale, interdire toute relation avec la colonisation, demander la suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël.
Avec la complicité des Etats-Unis, l’Etat d’Israël se met délibérément au ban des nations : c’est une réalité qu’il va falloir affronter avec courage et détermination. L’histoire nous a appris que les reculades et la complaisance face au déni du droit ne conduisent qu’à la catastrophe.
Le Bureau national de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS).
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Oui, la colonisation est un crime contre l’humanité.
En déclarant que “la colonisation est un crime contre l’humanité, une véritable barbarie”, Emmanuel Macron a déclenché un torrent d’indignation. On a dit que cette déclaration n’était que pur opportunisme, que le candidat d’”En marche”, comme d’habitude, disait tout et son contraire. En novembre 2016, il déclarait : “Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie”. Certes. Mais si, pour une fois, Emmanuel Macron avait eu raison ? La réaction chauvine suscitée par ses propos, en tout cas, montre que le révisionnisme colonial fait partie de l’ADN de la droite française.
Il faut les entendre fulminer, ces humanistes à géométrie variable, lorsque cette page sinistre de l’histoire de France est pointée du doigt. Pour Bernard Accoyer, secrétaire général des Républicains, “ces propos constituent une insulte à l’Histoire de France et à la mémoire de millions de Français. Ils n’honorent pas le candidat à l’élection présidentielle qui fait le choix de la repentance plutôt que celui d’une lecture objective de notre histoire. Une repentance, toujours agitée par la gauche et l’extrême-gauche, qui contribue malheureusement à la défiance d’une partie des nouvelles générations envers leur pays”.
Mais c’est tout le contraire ! Pour qu’un Français se sente insulté par cette affirmation, il faut qu’il ait une lecture étriquée du passé national. Les millions de victimes du colonialisme français depuis trois siècles seraient-elles quantité négligeable ? Faut-il, pour être patriote, adhérer à un roman colonial à l’allure de conte de fées ? Que la France se proclame de la patrie des droits de l’Homme n’interdit pas à ses citoyens de vérifier si cette promesse a été tenue au cours de son histoire. Elle leur en fait obligation. Et après examen, le verdict est sévère. Certains de vos électeurs l’ont peut-être oublié, M. Accoyer, mais la conquête de l’Algérie fut une expédition meurtrière, l’occupation de ce pays une humiliation permanente pour ses habitants et sa guerre de libération un carnage (300 000 morts) provoqué par l’obstination du colonisateur.
Mais M. Accoyer ne nous a offert que le hors d’œuvre. Parmi les nostalgiques à l’orgueil outragé, c’est la présidente du FN qui enlève le pompon. Sur sa page Facebook, elle qualifie carrément de “crime” les propos d’Emmanuel Macron. “Y a-t-il quelque chose de plus grave, quand on veut être président de la République, que d’aller à l’étranger pour accuser le pays qu’on veut diriger de crime contre l’humanité ?”, demande la candidate du FN. “En utilisant cette argumentation probablement pour des raisons bassement électoralistes, le crime, c’est M. Macron qui le commet. Il le commet contre son propre pays”. Voilà, la messe est dite. A l’unisson, la droite et l’extrême-droite assènent cette doctrine singulière selon laquelle le crime n’est pas le colonialisme, mais sa dénonciation.
Contre ces impostures réactionnaires, il faut relire ce qu’écrivait Aimé Césaire en 1955 dans son magnifique “Discours sur le colonialisme”. Il citait le colonel de Montagnac, l’un des conquérants de l’Algérie : “Pour chasser les idées qui m’assiègent quelquefois, je fais couper des têtes, non pas des têtes d’artichauts mais bien des têtes d’hommes”. Il donnait la parole au comte d’Herisson : “Il est vrai que nous rapportons un plein baril d’oreilles récoltées, paire à paire, sur les prisonniers, amis ou ennemis”. Il citait aussi Pierre Loti relatant dans “Le Figaro” la prise de Thouan-An (Indochine) en 1883 : “La grande tuerie avait commencé ! C’était plaisant de voir ces gerbes de balles, si facilement dirigeables, s’abattre sur eux deux fois par minute. On en voyait d’absolument fous, qui se relevaient pris d’un vertige de courir. Ils faisaient en zigzag et tout de travers cette course de la mort, se retroussant jusqu’aux reins d’une manière comique … et puis on s’amusait à compter les morts”. Eh oui, ces horreurs, elles aussi, font partie de notre histoire.
Partout, la conquête coloniale fut effroyable. Le colonisateur au drapeau tricolore l’a déshonoré, ce drapeau. Il l’a noyé dans le sang des peuples martyrisés par ceux qui prétendaient leur apporter la civilisation au bout du fusil. C’est pourquoi, partout, les peuples colonisés ont levé l’étendard de la révolte. Lassés d’être traités en objets, ils voulaient devenir “les sujets de leur propre histoire”, comme disait Lénine dans ses thèses prophétiques sur le droit des nations à disposer d’elles-mêmes (1916). Mais en Indochine, en Algérie, à Madagascar, au Cameroun, cette révolte populaire s’est heurtée à une répression impitoyable. Pour maintenir l’ordre ancien, la machine de guerre coloniale a perpétré des crimes de masse, elle s’est livrée à d’innombrables massacres.
Lisez donc le grand Aimé Césaire, M. Accoyer, cela vous changera du Figaro-Magazine ! “Il faudrait étudier comment la colonisation travaille à déciviliser le colonisateur, à l’abrutir au sens propre du mot, à le dégrader, à le réveiller aux instincts enfouis, à la convoitise, à la violence, à la haine raciale, au relativisme moral, et montrer que, chaque fois qu’il y a au Vietnam une tête coupée et un œil crevé et qu’en France on accepte, une fillette violée et qu’en France on accepte, un Malgache supplicié et qu’en France on accepte, il y a un acquis de la civilisation qui pèse de son poids mort, une régression universelle qui s’opère, une gangrène qui s’installe ».
Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette gangrène est toujours dans les têtes. Comme disait Marx à propos des atrocités commises par les Anglais en Inde en 1853, “L’hypocrisie profonde et la barbarie inhérente à la civilisation bourgeoise s’étalent sans voile devant nos yeux, en passant de son foyer natal, où elle assume des formes respectables, aux colonies où elle se présente sans voile”. Oui, c’est un fait, le crime colonial a fait voler en éclats les barrières morales que la classe dominante s’imposait ailleurs. Dire cette atrocité du crime colonial, c’est désigner avec les mots qui conviennent cette histoire douloureuse. Le colonialisme est une violence au carré, décuplée par le sentiment de supériorité raciale du colonisateur sur le colonisé. Perpétré sur les cinq continents, de Colomb à Netanyahou, le colonialisme est un crime contre l’humanité, car il nie l’humanité de celui qu’il opprime.
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Assad : la France est «responsable des tueries» en Syrie.
Dans une interview accordée à Europe 1 et TF1, le président syrien Bachar el-Assad a fustigé la politique extérieure de la France, qui selon lui, «consiste à soutenir les terroristes en Syrie».
Fabien Namias, directeur de l’information d’Europe 1 et Michel Scott, éditorialiste chargé de l’actualité internationale à TF1, se sont rendus récemment à Damas pour interroger Bachar el-Assad sur la Syrie, le terrorisme et le rôle des pays occidentaux dans la politique syrienne. Autre sujet abordé, la place de la France et de François Hollande dans le conflit syrien.
Dans son interview, le président syrien a fustigé les autorités françaises pour le soutien qu’elles apportent à ceux qui, selon Bachar el-Assad, ne sont rien d’autre que des terroristes.« La politique de la France, depuis le premier jour a consisté à soutenir les terroristes en Syrie, et est directement responsable des tueries dans notre pays », a déclaré M. el-Assad.
Le président syrien a présenté des arguments en faveur de cette opinion. Bachar el-Assad a rappelé l’intention de François Hollande de déclencher la guerre en Syrie il y a quatre ans. Il s’agit de la fuite d’un document « confidentiel défense » sur un projet de frappes françaises en Syrie en 2013, obtenu par des journalistes du Monde dans le cadre d’entretiens à l’Élysée avec M. Hollande.
« Ce sont eux qui le disent. Je ne les accuse pas. Ils ont dit à plusieurs reprises avoir soutenu la guerre. Ce sont eux qui ont dit qu’ils envoyaient de l’armement à ce qu’ils appellent des groupes “modérés”, et qui sont en fait des terroristes. Ce sont eux qui l’ont dit, pas moi ».
Commentant la politique de François Hollande à l’encontre de la Syrie, Bachar el-Assad a égratigné au passage le chef de l’État français.
« Je ne l’ai (François Hollande, ndlr.) jamais rencontré. Pour être franc, je ne me soucie aucunement de lui avec ses 11% de popularité, ce qui je pense s’appelle toucher le fond comme jamais aucun de ses prédécesseurs dans l’histoire de France ».
Et d’ajouter: « En fait, il s’agit avant tout d’une affaire entre moi et les terroristes, et entre moi et quiconque soutient les terroristes ».
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Manuel Valls: Ce sont les juifs qui doivent commander en France.
Quand Lénine disait que le Parti était à l’avant-garde du prolétariat, cela signifiait que c’était le parti qui commandait !
Personnellement je n’ai rien contre les Juifs, mais leurs dirigeants sont sionistes. Alors j’aime pas leurs dirigeants.
Les Juifs aussi sont divisés en classes : une classe dominante, et une classe dominée. Le sionisme est avant tout l’idéologie de la classe dominante juive.
C’est aussi l’idéologie qui justifie la colonisation et le nettoyage ethnique de la Palestine. C’est l’intégrisme de la religion juive qui, prétendant que “les Juifs sont le peuple élu”, prône le “retour à la Terre promise”. Il se trouve que pour les juifs, normalement, la Terre promise est à l’intérieur de soi, c’est un symbole, c’est un peu le nirvana des juifs, ou le paradis intérieur.
Mais, par définition, les intégristes prennent littéralement les écrits au pied de la lettre. C’est ce qui permet à l’idéologie sioniste d’exister tout en étant pourtant souvent portée par des juifs athées, puisqu’elle permet de manipuler un grand nombre de juifs, en les amenant en Palestine occupée (nommée Israël par les sionistes et leurs partisans) pour combattre au service de l’impérialisme tout en croyant conquérir la “Terre promise” ; de même que les croisés étaient des chrétiens manipulés pour aller coloniser la Palestine au service de l’Occident, tout en croyant aller “libérer le tombeau du Christ”.
Aujourd’hui, le sionisme est aussi, bien entendu, l’avatar moyen-oriental de l’impérialisme américain, d’où l’expression “impérialisme américano-sioniste”.
Je vous invite à lire un petit livre, de moins de cent pages en gros caractères, qui nous vient en direct de l’ancienne Union Soviétique. Il a été écrit par N. Bolchakov et publié par Novosti en 1972. Il nous apprend beaucoup de choses sur le sionisme.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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L’Algérie réclame une indemnisation pour les tests nucléaires français dans le pays.
Alger œuvre depuis des années pour que la France indemnise les victimes des essais nucléaires qu’elle a menés dans le Sahara de 1960 à 1966. La première bombe testée en Algérie était trois fois plus puissante que celle d’Hiroshima! Selon un expert interrogé par Sputnik, un récent forum algérien était appelé à régler le problème des indemnisations.
Paris doit indemniser les Algériens touchés par les essais nucléaires français dans le Sahara, a déclaré jeudi à Sputnik le colonel Muhammed Halfawi, expert militaire algérien, à l’issue du Forum national sur les essais nucléaires français dans le Sahara algérien et leurs conséquences sur les humains et l’environnement.
« La France reconnaît avoir mené des essais nucléaires et chimiques, mais refuse de verser des compensations aux personnes touchées. Nous appelons la France à rembourser les familles des victimes de ces explosions et ceux qui souffrent des conséquences de ces tests », a indiqué M. Halfawi.
Selon lui, les Algériens œuvrent depuis longtemps pour la reconnaissance de leurs droits.
Lors du forum, l’avocate Fatima al-Zahra bin-Brahim avait annoncé que les hommes politiques français avaient considéré les tests nucléaires comme un crime dans des entretiens avec leurs collègues algériens.
« La seule reconnaissance politique est insuffisante. Il y a des familles où des personnes ont été tuées ou sont restées handicapées. Les réactions en chaîne nucléaires continueront pendant des millions d’années. La France doit reconnaître les droits de ces personnes », insiste M. Halfawi.
Il a rappelé que les films documentaires consacrés à l’organisation des tests nucléaires dans le Sahara montrent que les Français ne se rendaient pas compte de la puissance des explosions.
« Dans un film, on voit notamment des généraux quitter en hâte le lieu des tests en avion, parce que la puissance de la bombe avait largement dépassé leurs attentes », a ajouté le colonel.
Le Forum national algérien sur les tests nucléaires français dans le Sahara algérien s’est déroulé à Alger à l’occasion du 57e anniversaire du premier essai nucléaire aérien dans le Sahara algérien le 13 février 1960 dans le cadre de l’opération « Gerboise bleue ». Initialement estimée à 13 kilotonnes, la puissance de cette explosion effectuée à Hammoudia, à 50 km de Reggane, a atteint 60 ou 70 kilotonnes, soit trois fois celle de la bombe d’Hiroshima. Elle a entraîné la projection de radiations dans une zone de 200 km de large et de 100 km de long, alors que les habitations les plus proches se trouvaient à seulement 70 km.
Trois autres essais intitulés « Gerboise blanche », « rouge » et « verte » se sont déroulés dans le sud-ouest de l’Algérie en avril 1960. Plus tard, la France a mené 57 autres essais. Après l’indépendance de l’Algérie, en 1962, 13 essais souterrains ont eu lieu dans le cœur rocheux de la montagne d’In Ecker jusqu’en 1966.
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Peut-on faire la prière avec du maquillage ?
Les Louanges appartiennent à Allah.
Si, après avoir fait ses ablutions, la femme se maquille ou retouche son maquillage, cela ne fait rien et n’a aucun effet ni sur ses ablutions ni sur sa prière, à moins que la matière utilisée dans le maquillage soit impure. Car la propreté des vêtements et du corps (du fidèle) est une condition de la validité de sa prière.
Il convient de savoir qu’il n’est pas permis à la femme de se maquiller devant des hommes qui lui sont étrangers parce qu’il lui est demandé de courir son visage en leur présence et parce que le maquillage est une source de tentation.
Si toutefois, une femme se maquille et effectue sa prière, elle sera récompensée pour la prière, même si elle a commis un pêché consistant à laisser apparaître son maquillage.
La Fatwa n° 17/129 de la Commission Permanente se présente en ces termes :
« Rien n’empêche la femme de s’embellir en se maquillant, en mettant du kohl et en se coiffant d’une manière qui n’implique pas l’imitation des non musulmanes et à condition de voiler son visage en présence d’hommes qui lui sont étrangers ».
On lit encore dans la Fatwa n° 17/128 : « L’usage du kohl est autorisé. Cependant il n’est pas permis à la femme d’exposer sa parure au public, qu’elle ait utilisé du kohl ou une autre matière ; elle ne peut se présenter le visage découvert qu’à son mari et à ses proches parents, compte tenu de la parole du Très Haut : «qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris » (Coran, 24:31).
Allah le sait mieux.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Un jeune de Gaza succombe à une blessure subie en 2005
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40 000 palestiniens à la prière du vendredi à Al-Aqsa
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Un jeune palestinien de Gaza arrêté au passage d’Erez
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Les terres palestiniennes de Jaloud dans le viseur d’Israël
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Israël veut fonder une nouvelle colonie pour les colons d’Amona
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330 colons israéliens ont pris d’assaut la mosquée d’Al-Aqsa la semaine dernière
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La police des frontières israéliennes lance un raid à l’aube sur Hizma
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3 palestiniens en grève de la faim en prison israélienne
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Les négociations sont une perte de temps, selon Norman Finkelstein
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L’occupation restitue le corps du prisonnier martyr al-Jallad
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Ouverture du passage de Rafah samedi pour le retour des personnes bloquées
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Baraka reçoit une délégation du complexe du nouveau camp de Nahr al-Bared
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Le procès d’al-Qiq reporté
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La sœur de Shioukhi arrêtée pour avoir planifié un attentat
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Deux prisonniers jérusalémites en grève de la faim
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Expansion de la colonie Benjamin près de Ramallah
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

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France : Affaire Théo : « Et si on admettait qu’il arrive aux policiers de mentir ? »
Pour Laure Heinich, avocate, la justice doit reconnaître qu’il arrive aux policiers de mentir, y compris sous serment.
Laure Heinich-Luijer est avocate au barreau de Paris et ancienne Secrétaire de la Conférence. Elle est l’auteure de « Porter leur voix » (Fayard, 2014).
Est-ce qu’on pourra enfin dire devant les tribunaux qu’il arrive aux policiers de ne pas relater la vérité ? Est-ce que les justiciables pourront enfin le dire sans être interrompus par un magistrat exaspéré qu’ils puissent s’autoriser à donner une autre version ?
Aucun justiciable ne peut venir dire qu’il s’est fait insulter, matraquer sans que les juges ne les coupent immédiatement, « vous dites que les policiers mentent Monsieur ? » Les avocats finissent même par se demander si l’école de magistrature apprend aux futurs juges l’usage de cette formule, son autorité menaçante et la force qu’elle a de couper court à tout débat.
Effectivement, on ne peut rien répondre à celui qui prétend qu’aucun policier ne s’arrange jamais avec la vérité, comme s’il y avait sur terre une catégorie de gens qui ne s’arrangerait jamais avec les faits, comme si l’exercice d’un métier, d’une fonction, le port d’une arme ou d’une robe pouvait préserver un corps entier du mensonge individuel.
Depuis quelques jours, on sait très clairement que si les procès-verbaux relataient toujours la vérité, on lirait de temps en temps « après avoir traité l’individu de bamboula, le fonctionnaire de police procède à son interpellation ». Or, on ne lit jamais d’insulte non maîtrisée, jamais de coups portés.
Vérités policières.
Est-ce que les choses changeront après que « Le Monde » a publié les confidences d’un fonctionnaire de police avouant qu’il lui est arrivé de « gazer » un individu et de lui mettre « un grand coup dans la bouche » puis de se couvrir « obligé » par un collègue en indiquant faussement dans un procès-verbal que l’homme avait tenté de lui « foncer dessus » ?
Est-ce que les choses changeront maintenant qu’il est écrit noir sur blanc ce que pourtant tout le monde sait, qu’il arrive aux policiers de mentir sur leur déposition malgré leur serment ? Ou est-ce que les juges continueront de couvrir coûte que coûte cette police qui les méprise en retour en feignant notamment d’ignorer son caractère répressif et la façon qu’elle a d’être précisément fidèle aux enquêtes et vérités policières ?
Le policier qui parle de façon anonyme au « Monde » mesure-t-il que rédiger un faux procès-verbal, alors qu’il est dépositaire de l’autorité publique, est un crime puni de quinze ans de réclusion criminelle ?
Si l’on rapproche ces déclarations de celles faites par un porte-parole d’un syndicat de police à la télévision estimant que « bamboula, ça passe encore », on s’effraie de la réalité du terrain et on comprend bien que les PV soignés dont nous disposons dans les procédures sont loin de refléter la réalité. On s’effraie aussi que, par leur expression, les policiers démontrent se sentir couverts dans leur exercice par une impunité institutionnelle ou une impunité de classe.
La blessure de Théo ne mentait pas.
La question de la réalité des procès-verbaux et du traitement des versions surréalistes est au cœur de l’affaire de Théo. Alors que le jeune homme s’est vu introduire une matraque dans l’anus sur dix centimètres, provoquant une plaie longitudinale du canal anal et une section du muscle sphinctérien, l’IGPN écarte un « viol délibéré » et conclut à une blessure provoquée accidentellement… Il y aurait des viols non délibérés ?
Que dirait-on dit d’un accusé se défendant de cette manière après avoir agressé un policier ? Les collègues du fonctionnaire de police incriminé sont unanimes pour affirmer qu’il n’y avait évidemment pas d’intention de violer. Si on entend « violer » par avoir des relations sexuelles non consenties, effectivement on crédite le policier de ce qu’il n’aspirait pas à des relations sexuelles à plusieurs sur une dalle de béton. Théo non plus d’ailleurs. En revanche, si l’on qualifie le viol comme il l’est en droit français (ce qu’il faut espérer que les policiers n’ignorent pas), c’est à dire notamment la pénétration sexuelle par quelque objet que ce soit par la violence, on se rappelle qu’en matière de viol, il n’est pas question de désir ou d’absence de désir.
On se réjouira quand même de ce que le juge n’a pas demandé à Théo si la police mentait et a mis en examen le fonctionnaire pour viol et non pour un délit non intentionnel. La blessure de Théo ne mentait pas. Reste que pour contredire un policier, il faut donc l’anus transpercé.
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L’interdiction de jurer sur la création.
Pour jurer, le musulman est assujetti à de nombreuses règles bien strictes. Les oulémas divergent énormément concernant la question de jurer ou non.
Mais, nombreux sont les savants qui considèrent le fait de jurer comme nécessaire afin d’assurer la défense, la protection ou le droit des gens. Cependant, il est est interdit de jurer par autre qu’Allah (subhannou wa ta’ala). L’imam al-Nawawî a dit : «L’interdiction de jurer par une chose créée comme le Prophète, la Ka’ba, les anges, les cieux, les ancêtres…» (Riyâd Al-Sâlihîn).
Il rapporta ensuite le hadith dans lequel Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui) a rapporté que le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Allah, exalté soit-Il, vous a interdit de jurer par vos ancêtres. Que celui qui jure le fasse donc par Allah ou se taise.» (Boukhari, Mouslim).
Ainsi, le musulman ne doit jurer ni par le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam), ni par ses parents ou proches, ni par des objets associés à l’Islam comme la ka’aba, des tombes etc. Selon Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Dieu le Très-Haut vous interdit de jurer par vos pères. Que celui qui jure le fasse par Dieu ou qu’il se taise.» [Bukhari et Muslim].
Selon ‘Abd ar-Rahman Ibn Samoura (qu’Allah l’agrée) le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Ne jurez ni par les idoles, ni par vos pères.» [1708. Muslim].
Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui) rapporte : «J’ai entendu un homme dire : « Non, par la Ka’ba ! » Je lui dis alors : « Ne jure pas par un autre qu’Allah car j’ai entendu le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dire : « Celui qui jure par un autre que Dieu a fait acte de mécréance ou d’associationnisme ».» [1711.Tirmidhi].
Il est également proscrit de jurer par la foi (Amana). Selon Bourayda (Qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui jure par [le dépôt de] la foi (amana) n’est pas des nôtres.» [Abou Dawud].
Ibn Rislan a précisé l’ensemble des actes se rapportant à l’acte de foi : «La amana citée dans le hadith fait allusion aux œuvres obligatoires telles la salât, le hajj, le jeûne et autres obligations.»
Selon Bourayda (qu’Allah l’agrée) le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Quiconque jure en disant : « Si je mens, je n’ai plus rien à voir avec l’Islam ! » sera tel qu’il s’est décrit s’il s’avère menteur. Et s’il dit la vérité, il ne reviendra pas à l’islam sans en subir de conséquences.» [1710. Abou Dawud].
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Racisme, nationalisme : nous avons tous été créés de terre.
Le racisme et le nationalisme sont deux aspects que l’être humain manifeste malheureusement et qui sont détestables. Ces ressentiments sont d’autant plus condamnables dans la communauté musulmane puisqu’ils constituent un mal tant pour l’être humain que pour la vie en communauté. Pourtant, tout oppose le racisme à l’Islam de même que le nationalisme et l’Islam n’ont aucun rapport.
Le raciste regarde le visage, Allah regarde les cœurs.
Le racisme est sans doute un des aspects les plus problématiques au sein de notre communauté, notamment car ce point concerne également des personnes âgées malgré l’âge de raison ou la sagesse qu’elles sont censées manifester. Le racisme c’est dénigrer cet autre, différent de moi, le dénigrer pour sa différence qui en réalité revête toute sa richesse en tant qu’être humain.
Dans le Saint Coran, notre Seigneur aborde la question du racisme et la condamne fermement. En effet, l’homme a été créé de la terre, ce qui fait de nous les descendants d’une même matière, quelles que soient notre origine, notre culture ou notre couleur de peau. Allah a révélé : {Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand- Connaisseur}. (Sourate 49 : Verset 13). Le but de cette diversité culturelle est donc de s’entre-connaître, de se mélanger et non de se séparer, encore moins de se dénigrer ou de se détester.
Le racisme a également été interdit par le Prophète (‘alayhi salat wa salam). Il a d’ailleurs souligné le fait qu’Allah ne nous jugera pas selon notre origine mais selon nos cœurs. Comment pouvons-nous alors prêter attention à l’origine de l’autre et le juger voire le dénigrer par rapport à cela alors que Le Juge ne regardera que son cœur ? D’après Abu Houreyra (qu’Allah l’agrée), Abdour Rahmân Ibn Sakhr (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Certes, Allah ne regarde pas vos corps ni vos visages, mais Il regarde vos cœurs et vos actes ». (Rapporté par Muslim).
Lors du pèlerinage d’adieu, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a fait de nombreuses recommandations à sa communauté, dont le fait qu’aucun homme n’est supérieur à un autre, hormis par la piété : « Ô gens ! Votre Seigneur est un. Attention ! Aucun arabe n’est meilleur qu’un non arabe, aucun non arabe n’est meilleur qu’un arabe, aucun rouge n’est meilleur qu’un noir et aucun noir n’est meilleur qu’un rouge, si ce n’est par la piété ». Le seul aspect qui différencie un musulman d’un autre est donc la piété, chose dans laquelle nous devrions nous concurrencer.
Le nationaliste différencie les nations, Allah les unit sous un même nom.
Le nationalisme quant à lui, se détache totalement de l’Islam car par définition, l’Islam unit les hommes par l’adoration d’un Dieu unique. Or, le nationalisme est la division des hommes, leur séparation de par leur origine culturelle, ce qui est donc contraire à l’essence même de notre religion. Malheureusement, certains persistent dans ce nationalisme aveuglé et aveuglant.
Afin de souligner l’opposition formelle qui existe entre nationalisme et Islam, rappelons que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) s’est désavoué de ceux qui mettent en pratique ce concept. En effet, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « N’est pas des nôtres celui qui appelle à al ‘assabiyah (nationalisme/tribalisme) qui combat pour la ‘assabiyah ou qui meurt pour la ‘assabiyah » (Rapporté par Abu Daoud). Le nationalisme existait du temps du Prophète (‘alayhi salat wa salam) puisque certaines tribus en dénigraient d’autres de par cette origine qui leur était étrangère. Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a donc interdit et bannit ce concept en se désavouant de tous ceux qui le partageraient.
Allah nous a créés de couleurs différentes tout comme Il nous a faits avec des caractères divers. C’est ainsi que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a expliqué : « Allah a créé Adam d’une poignée qu’Il a prise de toutes les substances de la Terre, c’est ainsi que les fils d’Adam se sont diversifiés proportionnellement à la Terre : Il y a parmi eux le roux, le blond, le noir. Il y a de même le doux, le dur, le vilain, et l’agréable » (Rapporté par Al Tirmidhî). La diversification culturelle, les nations et tribus ont été créées car voulues par le Créateur. Allons-nous, chers frères et soeurs, ressentir de l’aversion pour ce que Le Majestueux a créé ? Nous savons que cela n’est pas digne du comportement du musulman, qu’Allah nous en préserve !
Enfin, rappelons que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) ressentait un tel mépris pour le nationalisme qu’il l’a qualifié de manière péjorative lorsqu’il a dit : « Délaissez-le (l’esprit tribal, le nationalisme), c’est une pourriture » (Rapporté par Muslim et al Boukhari). Gardons à l’esprit que le nationalisme divise, cette division même est un des objectifs de Shaytane le lapidé : diviser les musulmans afin de les affaiblir est en effet une des ses visées. Ne tombons pas dans le piège de notre ennemi, soyons unis et plus forts par nos différences.
N’oublions pas, chers frères et soeurs que chacun d’entre nous sera rétribué en fonction des intentions et de ses actes. Nous serons tous réunis au Jour de la Résurrection pour répondre de nos actes, les premiers comme les derniers, les arabes comme les non arabes, les blancs comme les noirs, les roux comme les bruns et face à notre Seigneur, seule primera la piété. Tâchons donc d’être pieux, d’inviter nos proches à cette piété, de nous améliorer ensemble, chaque jour qu’Allah fait, car chaque jour qui passe constitue un temps qui nous paraîtra plus précieux que jamais et que nous souhaiterons rattraper, {le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d’aucune utilité}. (Sourate 26 : Verset 88).
Qu’Allah nous permette d’être bons envers nos frères et soeurs de tous horizons. Qu’Il nous éloigne du racisme, du nationalisme et de toutes ces tentations.
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Le divorce : une solution à éviter et qui pourtant ne cesse de progresser.
Le divorce est un phénomène fréquent de nos jours et qui a connu un accroissement considérable ces dernières années. Il semble important de souligner que cela touche toutes les communautés, y compris la nôtre. Bien qu’il soit légal en Islam, il est préférable d’éviter le divorce et de le considérer comme l’ultime solution. Intéressons-nous de plus près à ce phénomène d’abord avec un regard historique, puis en adoptant un point de vue islamique. Nous nous baserons essentiellement sur les ouvrages de ‘Abd al Malik al Qasim intitulé « Réfléchis avant de divorcer » et de Khalid Chayi’ nommé « Le divorce, les causes et les remèdes ».
Un peu d’histoire et de sociologie…
Comme le mariage, le divorce est une vieille institution. En effet, il a été créé durant la révolution française. Auparavant, le divorce était considéré comme une sorte de manquement à l’ordre familial. Or, depuis les années 1970, le nombre de divorces augmente considérablement. En 1975, une loi ouvre la possibilité d’un divorce par consentement mutuel. A la suite de cette loi, le nombre de divorces a été multiplié par quatre. Cette a notamment eu d’importantes conséquences morales sur la séparation. En effet, autrefois, le divorce était un échec et une sanction de vie de couple. Le divorce à consentement mutuel a éradiqué ce sentiment de culpabilité lié à la séparation.
Aujourd’hui, nous assistons donc a une banalisation des ruptures. Précisons que les probabilités de ruptures sont plus importantes pour les couples sans enfants. Nous pouvons alors nous demander si l’absence d’enfants fragilise le couple ou si c’est la fragilité du couple qui détermine l’absence d’enfants… Sans doute un peu des deux !
Par ailleurs, le divorce a augmenté car il y a une modification des modes de vie. Autrefois, on ne divorçait pas pour des raisons morales, économiques… car la femme ne travaillait pas à l’extérieur. De nos jours, il est commun de divorcer car sur le plan économique, les femmes ont une autonomie financière qu’elles ne possédaient pas auparavant. Ainsi, selon l’ined, plus de 46 mariages sur 100 finissent pas un divorce. On peut donc considérer que le divorce concerne la moitié de la population actuelle ce qui est loin d’être négligeable.
Le statut islamique du divorce.
Le taux de divorces n’augmente pas seulement pour les non musulmans mais également au sein de notre communauté. C’est ainsi que la plupart d’entre nous connaissent au moins un couple musulman qui a divorcé. Il nous faut alors rappeler que le divorce est à éviter même s’il est légal.
En effet, Allah a autorisé le divorce en ces termes : {Ô Prophète, quand vous répudiez vos femmes, faites-le en respectant leur période de viduité} (Sourate 65 : Verset 1). Ainsi, le divorce est autorisé à condition de respecter la période de viduité de la femme, autrement dit, le divorce doit être prononcé lorsque la femme est en état de pureté sans qu’il n’y ait eu de rapports depuis son dernier cycle menstruel.
Une fois que le divorce a été prononcé une seule fois, il faut attendre une certaine période durant laquelle l’homme peut revenir sur sa décision. Cette période peut s’étendre sur trois mois, neuf mois ou moins en fonction des cas. En effet, Allah a dit : {Les femmes répudiées attendront trois menstrues} (Sourate 2 : Verset 228), autrement dit environ trois mois, {Quant aux femmes enceintes, leur attente est jusqu’à ce qu’elles accouchent} (Sourate 65 : Verset 4). Ainsi, le divorce a un statut légal en Islam. Nous ne pouvons toutefois détailler les caractéristiques du divorce en Islam car le sujet est très dense et complexe.
Un acte autorisé mais à éviter…
Bien que le divorce soit légiféré, il faut tant que faire se peut, éviter d’y recourir. En effet, le divorce n’est pas une décision à prendre à la légère. Il convient de peser le pour et le contre, de bien y réfléchir et de tenter toutes les autres solutions afin de sauver sa vie de couple. Nous devons donc prendre en compte plusieurs éléments y compris la vie de famille. À titre d’exemples, les enfants se retrouvent souvent au premier rang des divorces et cela peut avoir des conséquences sur eux.
Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de couple au sein duquel les tensions ou les problèmes n’existent pas. Les épouses du meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) étaient jalouses entre elles et ne se gênaient pas pour le faire savoir. Si le couple du Prophète (‘alayhi salat wa salam) a connu de tels moments, comment nos couples pourraient en être épargnés ? Il faut considérer cela comme une épreuve de notre Seigneur face à laquelle nous devons patienter afin d’espérer une récompense. En effet, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le croyant n’est pas touché par une maladie, une peine, une tristesse, une inquiétude ou un mal – voire une épine qui l’égratigne – sans qu’Allah n’absolve, en contrepartie, certains de ses péchés » (Al Bukhari et Muslim). Les soucis qui peuvent exister dans un couple doivent donc être considérés comme un moyen d’absoudre nos péchés al hamdouliLlah. Prendre du recul sur nos problèmes de couple en méditant sur les paroles d’Allah, nous permettra d’éviter le divorce incha Allah.
De plus, chacun d’entre nous doit purifier son cœur et éviter de juger, de critiquer ou de blâmer ouvertement son conjoint. En effet, nul n’est parfait et de nombreuses erreurs peuvent être commises au sein du couple mais l’amour pour Allah doit être au-dessus de tout. Comprendre l’autre et lui pardonner ses faux pas, voilà le bon comportement à adopter envers notre conjoint incha Allah. Allah a dit au sujet des femmes : {Elles sont un vêtement pour vous et vous êtes un vêtement pour elles} (Sourate 2 : Verset 187). Par « vêtement », il faut entendre une source de tranquillité, de quiétude et de complémentarité réciproque entre les deux époux. Le but du couple est donc de vivre en ayant pour fondement la parole d’Allah et de Son Messager (‘alayhi salat wa salam).
Par ailleurs, si le couple est en danger au point où la communication est rompue, nous devons faire intervenir une personne issue des deux familles afin de remédier au problème. En effet, Allah a dit : {Si vous craignez une rupture entre eux, alors envoyez un juge de la famille de l’époux et un juge de la famille de l’épouse. Si tous deux veulent la réconciliation, Allah facilitera l’entente entre eux} (Sourate 4 : Verset 35). Sinon, il est possible de contacter des personnes de science afin de leur expliquer la situation et que ces dernières nous proposent une issue favorable à notre vie de couple.
Enfin, le divorce est à éviter autant que possible dans la mesure où l’ennemi d’Allah se réjouit de cet acte alors qu’Allah ne l’aime pas. En effet, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « La chose licite la plus détestée d’Allah est le divorce ». (Abu Dawoud et ibn Majah). Parallèlement à cela, il (‘alayhi salat wa salam) a dit : {Iblis installe son trône sur l’eau puis envoie ses troupes. Les plus proches de lui seront ceux qui auront causé le plus de mal. L’un deux vient et dit : « J’ai fait telle et telle chose ». Iblis répondra « Tu n’as rien fait ! ». Puis un autre vient et dit : « Je ne l’ai pas laissé avant de l’avoir séparé de sa femme ». Iblis le rapproche de lui et lui dit « Tu es admirable ! » ». (Muslim). Le divorce est donc l’un des actes les plus appréciés de shaytane. Cela devrait suffire afin de nous en éloigner le plus possible incha Allah.
Parfois, le divorce est inévitable voire obligatoire car l’un des époux s’éloigne progressivement du Coran et de la Sunna au point de délaisser des obligations religieuses. Cela s’avère être nuisible pour le couple mais également pour toute la famille, qu’Allah nous en préserve. L’ennemi d’Allah fait tout pour semer le trouble au sein du couple et il est malheureux de constater qu’il y parvient avec certains de nos frères. Cette épreuve qu’est le divorce est des plus difficiles. Ainsi, nous rappelons à tous nos frères et sœurs divorcés que « le malheur ne cesse de toucher le croyant ou la croyante dans son corps, sa famille et ses biens jusqu’à ce qu’il rencontre Allah sans avoir la moindre faute », d’après le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Ne désespérez pas de la Miséricorde d’Allah ! S’Il vous éprouve sur terre, c’est pour mieux vous récompenser dans l’au delà incha Allah car Il est le Tout Clément et Il est Capable de toute chose.
Qu’Allah préserve nos couples et nos foyers sur le droit chemin. Puisse-t-Il assister nos frères et sœurs divorcés qui en ont besoin.
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France : Le Centre d’Accueil de Jour : un petit «chez-soi» pour ceux qui n’en ont pas.
« Ici je retrouve mon humanité ».
Le Centre d’Accueil de Jour : un petit «chez-soi» pour ceux qui n’en ont pas.
« Ici, c’est calme. Le plus dur quand on vit dans la rue, ce n’est pas le froid ni la faim. On peut toujours se débrouiller. C’est le bruit et l’angoisse de se faire tabasser, ça, ça prend toute ton énergie et tout ton temps. Ici c’est calme, on peut se poser pour un moment. » Leïla*, jeune femme de 24 ans, est sans abri depuis quelques années. Comment s’est-elle retrouvée dans cette situation si jeune? « J’avais 20 ans, je refusais toute autorité, je ne m’entendais plus avec ma famille, qui m’a mise à la porte. » Nous n’en saurons pas plus sur sa famille. Elle n’est pas habituée à parler de son passé, à parler tout court. Elle semble embarrassée, presque inquiète par le fait que l’on s’intéresse à elle alors qu’elle tente, tous les jours, de passer inaperçue. Leïla vient tous les matins prendre un petit-déjeuner consistant et chaud pendant que son linge tourne dans une des machines à laver mises à la disposition des bénéficiaires: « Je croyais au début que ce centre n’était ouvert que pour les musulmans, sourit-elle un peu gênée. Mais dès que je suis arrivée, on m’a accueillie sans poser de questions. Il y a un salon, un coin Internet, des douches, des machines à laver. Je peux regarder la télé et discuter de l’actualité avec les autres personnes. »
Elles seront plus d’une centaine à passer aujourd’hui dans ce centre qui accueille une variété de personnes : suite à notre évaluation, nous avons constaté que le département de l’Essonne manquait de structures d’accueil pour les sans-abri ; seuls deux centres existaient. Depuis 2012, nous travaillons en complémentarité avec eux ainsi qu’avec le Samu social, qui nous envoient régulièrement des personnes à accueillir: sans domicile fixe, sans-abri, travailleurs pauvres, femmes, hommes seuls, mères isolées, étudiants, gens du voyage. Après un accident de vie, ils se retrouvent dans la rue, sans repère. C’est pourquoi nous avons voulu recréer l’ambiance d’un petit “chez-soi”, d’autant plus que maintenant nous avons le sésame de la vie sociale : l’agrément de domiciliation. Depuis 2013, 400 personnes reçoivent leur courrier par le biais du centre. Notre conseillère les accompagne dans leurs démarches administratives pour redémarrer progressivement une vie sociale.
Une vie sociale, c’est ce qu’est venu chercher ici Maurice*, « en plus d’avoir la sensation unique de porter des vêtements chauds et propres », confesse-t- il dans un demi-sourire. À 14 heures, Maurice savoure deux blanquettes de veau : « Je viens ici presque tous les jours. Ici, je trouve des personnes à qui parler. Je retrouve un peu de dignité. Ici, on me répond quand je pose une question; on me regarde dans les yeux; ici, je lave mon linge et fais ma toilette comme tout le monde; j’ai une opinion, une voix, un regard, un visage, je retrouve mon humanité. » Maurice était professeur dans une autre vie. « J’ai quitté mon ancienne vie par amour et cela n’a pas marché. L’amour m’a amené ici et maintenant je suis seul avec une main tendue : celle des gens du centre. » Il est 21 heures, heure à laquelle le centre ferme ses portes lorsqu’il fait très froid.
Récit à retrouver sur le site internet du Secours Islamique France.
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Allemagne : Berlin veut que Tunis rapatrie ses ressortissants sans-papiers.
Mardi 14 février, le Premier ministre tunisien Youssef Chahed était en Allemagne afin de rencontrer Angela Merkel. A l’ordre du jour, il y avait notamment la question des sans-papiers tunisiens que Berlin veut voir Tunis rapatrier au plus vite.
Allemagne et Tunisie pas d’accord sur le sujet.
Les demandeurs d’asile ayant été déboutés doivent être expulsés rapidement pour Angela Merkel. Afin d’y parvenir, la collaboration avec la Tunisie a son importance afin que le pays puisse rapatrier ses ressortissants au plus vite. Cependant sur ce point, les deux pays ne sont pas sur la même longueur d’ondes. L’attentat du 19 décembre commis par Anis Amri, ressortissant tunisien, a eu son rôle à jouer dans cette décision allemande. Mais pour Youssef Chahed, Anis Amri n’a aucun rapport avec la Tunisie et n’était d’ailleurs pas radicalisé lorsqu’il a quitté le pays.
1 500 Tunisiens seraient concernés par une procédure d’expulsion vers la Tunisie.
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France : Emmanuel Macron veut la création d’une chaîne de télévision franco-algérienne.
En campagne présidentielle, Emmanuel Macron s’est rendu en Algérie. Sur place, il a parlé de sa volonté de créer une chaîne de télévision franco-algérienne.
Une chaîne de télévision comparable à Arte .
Dans une tribune écrite dans un quotidien algérien, « Tout sur l’Algérie », Emmanuel Macron a expliqué : « En choisissant de venir en Algérie durant la campagne présidentielle française, mon ambition est de souligner l’importance de votre pays et de réaffirmer la force des liens qui nous unissent » . La culture et l’audiovisuel ont notamment un rôle à jouer. Pour cela Emmanuel Macron souhaite la création d’une chaîne de télévision qui soit comparable à la chaîne Arte, franco-allemande. Il faut noter que déjà en 2015, Rachid Arhab avait évoqué ce projet disant travailler dessus et être à la recherche de soutiens financiers.
L’idée pourrait-elle aboutir ou alors rester simplement lettre morte ?
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Sakina Voyages : 3 destinations halal à vous couper le souffle.
Sakina Voyages vous propose 3 voyages en groupe cette année.
OMAN – 18 au 25 mars 2017 au départ de Paris.
Partez à la découverte de ce merveilleux pays qu’est le Sultanat d’Oman.
Le choix de la haute saison pour partir, vous permettra de savourez pleinement votre séjour avec un climat doux. Cette période est idéale pour profiter des sorties prévues ainsi que du soleil avec des températures qui avoisineront les 25 degrés.
Un accompagnateur sera du voyage avec vous et vous profiterez de la connaissance et du savoir d’un guide francophone sur place.
Un circuit sur mesure organisé rien que pour vous avec des entrées aux visites incluses, une nuit dans le désert, 2 visites de Wadi, et assister à la prière du vendredi. Vous serez hébergés à l’hôtel en pension complète.
Toutes ces prestations vous sont proposées au meilleur prix possible, à un tarif exceptionnel défiant toute concurrence (en comparaison d’autre TO ou en vente privée). Celui-ci inclus les vols avec la compagnie Gulf Air + les hébergements dont une nuit dans un campement dans le désert + les visites des principaux sites à visiter + un accompagnateur + un guide local francophone + tous les transferts pour un montant de 1450 euros en base chambre double.
ISTANBUL – du 03 au 08 avril 2017 au départ de Paris.
Plongez dans cette ville riche en Histoire et bouillonnante de culture.
Afin de profiter pleinement de cette escapade, le vol est direct et notre accompagnateur sera à vos côtés tout au long de ce voyage pour vous assister. Un guide local francophone est également prévu pour 2 journées complètes de visites, avec au programme les monuments historiques à ne pas rater.
Vous serez hébergés en hôtel 4 étoiles au cœur de la vieille ville en formule petit-déjeuner.
Vous assisterez, si vous le souhaitez à la prière du vendredi à la Mosquée Bleue appelée également la Mosquée Souleymane. Profitez de ce séjour pour allier visites culturelles et shopping, Istanbul offre un large choix de centre commerciaux ainsi que de boutiques diverses et variées. Ce séjour vous est proposé pour 495 euros par personne en base chambre double.
ANTALYA – 3 groupes à 3 dates différentes.
du 24 au 31 octobre & du 25 octobre au 1er novembre au départ de Paris.
du 21 au 28 octobre au départ de Lyon.
Surnommée la Riviera Turque avec ses belles plages, ses vestiges historiques et ses sites naturels. Nous vous y proposons un groupe avec 3 dates de départ différentes dont un départ depuis la ville de Lyon au plaisir de nos nombreux clients de provinces.
Les vols sont effectués avec la compagnie Turkish Airlines avec notre accompagnateur et vous serez hébergés en hôtel 5 étoiles en formule All Inclusive.
A ces dates les températures sont idéales pour ce séjour balnéaire.
Le séjour s’étant extrêmement bien déroulé en Octobre 2016, nous avons tenu à renouveler l’expérience en Octobre 2017 mais en y apportant un petit plus cette fois-ci… L’hôtel qui vous sera proposé cette année dispose d’une petite plage privée pour femme en plus de ses piscines extérieures pour femmes.
Les tarifs seront bientôt disponibles pour ce groupe.
N’hésitez plus, Voyages Halal vous laisse toute les clés en main pour partir à bas prix et dans un cadre respectueux de notre étique. N’oubliez pas, nous vous permettons de payer en plusieurs fois sans frais votre séjour ! Consultez notre page Facebook Voyages Halal pour avoir plus de détails sur les groupes.
Venez nombreuses et nombreux sur Voyages Halal ou appelez le 01.43.77.95.10.
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Indonésie : le gouverneur chrétien se bat pour sa réélection .
Les Indonésiens de Jakarta sont appelés aux urnes, mercredi 15 février, pour élire leur nouveau gouverneur dans un contexte relativement tendu. Une élection décisive pour Basuki Tjahaja Purnama, surnommé Ahok, gouverneur de la capitale depuis 2014 et candidat à sa succession.
Saura-t-il être reconduit à son poste ? Depuis septembre 2016, le gouverneur est au cœur d’une controverse. Il avait expliqué que l’interprétation faite par de savants musulmans d’un verset du Coran selon lequel un musulman ne doit élire qu’un dirigeant musulman était erronée. Accusé de blasphème par des groupes conservateurs, voire même radicaux, il a été présenté devant un tribunal en décembre dernier.
Malgré les excuses solennels d’Ahok, la mobilisation contre le gouverneur ne faiblit pas. Plusieurs manifestations ont été organisées ces derniers mois. En raison d’une interdiction de manifester dans les rues, près de 100 000 personnes se sont données rendez-vous, samedi 11 février, à la Grande Mosquée Istiqlal de Jakarta pour des prières où des appels à voter en faveur d’un candidat musulman pour diriger la capitale du plus grand pays musulman au monde ont été lancés.
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France : Présidentielle 2017 : Emmanuel Macron fait campagne en Algérie .
Le fondateur d’En marche a pris l’avion, direction l’Algérie. Emmanuel Macron s’est rendu lundi 13 et mardi 14 février à Alger, où il a été reçu en grande pompe par le gouvernement algérien dirigé par Abdelmalek Sellal.
Dans une tribune parue sur TSA, , il déclare vouloir « souligner l’importance de votre pays et de réaffirmer la force des liens qui nous unissent ». Evoquant les millions de familles qui « partagent une communauté de destin », il estime que les Français et les Algériens « ont vocation à écrire ensemble une nouvelle histoire ».
Encourager les relations à travers l’éducation et l’économie.
Emmanuel Macron juge qu’un seul lycée français en Algérie « n’est pas suffisant pour répondre à l’immense défi de l’éducation et de la formation » et souhaite que les deux pays travaillent de concert pour la francophonie en Afrique. Il est à noter que l’Algérie ne figure pas parmi les 54 Etats membres de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Par ailleurs, le candidat à la présidentielle propose de créer une chaîne culturelle franco-algérienne, à l’image de la collaboration franco-allemande Arte. Il promet aussi de faciliter la venue d’étudiants algériens dans l’Hexagone et la création d’un Office franco-algérien de la Jeunesse, « pour favoriser la mobilité entre les deux rives de la Méditerranée ».
L’ancien ministre de l’Economie n’oublie pas le nerf de la guerre : « L’avenir de l’industrie repose sur des productions localisées autour de quelques sites, adaptées aux conditions de travail locales et ouvertes sur de grands marchés. Autour de nos deux pays, ce sont les marchés européens et africains que nous pouvons conquérir, et au-delà, le marché mondial. »
Pour encourager l’innovation et entrepreneuriat, il désire « structurer les incubateurs franco-algériens autour de nos pôles universitaires et scientifiques et créer un véritable écosystème de l’innovation entre nos pays ». Enfin, il espère « créer une communauté économique franco-algérienne dans le secteur des (énergies) renouvelables », un marché estimé à plus de 4 milliards d’euros d’investissements pour les entreprises selon lui.
Après l’Algérie, le Maroc.
Emmanuel Macron a profité du voyage pour déposer une gerbe de fleurs, mardi 14 février, sur la tombe de Roger Hanin, comédien français natif d’Alger, décédé le 11 février 2015 et inhumé dans le cimetière juif Saint-Eugèn.
Après le Liban en janvier, Emmanuel Macron entend peaufiner sa stature internationale en se rendant en Algérie. « Il est évident que compte tenu du rôle que joue l’Algérie dans notre histoire, dans notre pays, dans notre avenir et dans celui du Maghreb, il est indispensable durant une campagne présidentielle de venir faire une telle visite », a-t-il fait savoir. Ce voyage fait suite à celui effectué en Tunisie en novembre 2016 et précède sa visite au Maroc prévu en mars.
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Sport : Lionel Messi, le grand perdant face au PSG victorieux, annule son déplacement en Egypte.
Quintuple Ballon d’Or, on ne présente plus Lionel Messi, le joueur clé du FC Barcelone, qui a été extraordinairement impuissant à éviter à son club, hier soir, la terrible humiliation de la déroute face à un PSG dans une forme olympique, auteur d’une victoire éblouissante.
Alors que le retour en Espagne s’annonce la tête basse et particulièrement houleux, les boulets rouges tirés par la presse nationale ayant remplacé les habituelles couronnes de lauriers, le célèbre attaquant argentin vient d’annuler son déplacement au Caire où sa présence était très attendue ce mercredi, soit le lendemain du « Désastre », ou encore de la « plus grande débâcle du Barça au XXIème siècle », voire du « Massacre de la Saint Valentin », selon les titres choc des grands quotidiens espagnols.
Lionel Messi, le grand perdant de cette défaite cuisante, a en effet déclaré forfait pour la campagne médicale égyptienne visant à promouvoir, ce jour, son traitement de l’hépatite C, réputé efficace et accessible à toutes les bourses, à l’échelle internationale.
Lancée officiellement en juin par le gouvernement d’Al-Sissi, cette grande opération de communication ciblant un large public, au-delà des frontières, a misé sur l’immense notoriété de Lionel Messi pour attirer des patients qui seront sensibles à la différence de coût notable entre les 100 000 euros à débourser en Europe et les moins de 4 900 euros au pays des pharaons.
Les efforts de l’Egypte dans la lutte contre la maladie ont été récompensés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après une campagne de santé publique qui a traité avec succès près d’un million d’Egyptiens atteints de l’hépatite C, entre 2015 et 2017.
Selon un communiqué officiel, la star du Barça ne pouvait pas quitter son équipe, que l’on image dévastée, après la lourde défaite à Paris, proche de la dérouillée historique… Sa visite pourrait être reportée ultérieurement, à une date qui n’a pas encore été fixée, à condition, sans doute, qu’il se remette en jambes, renoue avec le succès et ne prenne pas sa retraite anticipée, comme il l’aurait annoncé hier soir dans les vestiaires…
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Amérique : Munira Ahmed érigée en symbole de la contestation anti-Trump.
Qui aurait pu imaginer qu’une photo prise il y a dix ans, illustrant la réponse étoilée, saisissante de patriotisme, de la communauté musulmane américaine face à la diabolisation post-11 septembre qui remettait en cause sa loyauté au drapeau, serait brandie, le 21 janvier dernier, en photo emblématique de la Marche des femmes contre l’ère Trump ?
En tout cas, pas Ridwan Adhami, le talentueux artiste new-yorkais qui, armé de son objectif, avait alors apporté un sublime démenti aux Cassandre de service et autres artisans des peurs, et encore moins sa muse, la jeune Munira Ahmed, qui incarna magnifiquement l’attachement des musulmans à l’Amérique, sous son voile aux couleurs de l’étendard national.
Aucun des deux n’aurait en effet pensé que cette belle photo choc, publiée en couverture de « Illume Magazine » (un magazine destiné à un public musulman), qui frappa les esprits, générant des réactions positives en chaîne au-delà même des espérances de son concepteur, aurait traversé la décennie sans vieillir, ni sombrer dans l’oubli, pour en ressortir érigée en symbole de la contestation anti-Trump.
La jeune fille d’hier, originaire du Queens, qui fut le visage de l’affirmation des musulmans au sein de la société américaine, en tant que croyants et citoyens sans la moindre incompatibilité, a laissé place à la jeune femme d’aujourd’hui devenue, à 32 ans, l’égérie de la mobilisation des femmes américaines contre le sexisme et le racisme de leur président.
Approché par la Fondation Amplifier, chargée de la campagne événementielle de la Marche des femmes, Ridwan Adhami a donné volontiers son accord pour que sa photo la plus marquante soit retravaillée graphiquement et exposée aux yeux de tous, lors de la manifestation protestataire sans précédent qui marcha vers le centre névralgique de Washington, le lendemain de l’intronisation de Donald Trump.
« Mon cliché correspond parfaitement à la campagne », a-t-il déclaré, heureux que son image n’ait rien perdu de sa force symbolique, tandis que celle qui lui prêta ses traits, et qui attire à nouveau tous les regards, déplore vivement que la discrimination anti-musulmans n’ait pas connu l’exact sort inverse de celui de sa photo. En d’autres termes, qu’elle n’ait pas disparu à tout jamais sans aucune possibilité de refaire surface, telle une hydre hideuse.
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La crainte de Yahya Jammeh hante encore la Gambie.
Près d’un mois après son départ de la présidence, son successeur n’a toujours pas pris possession des lieux. Même en exil, Yahya Jammeh continue d’inspirer l’effroi en Gambie, après 22 ans d’un pouvoir aussi implacable qu’imprévisible.
La peur instillée à toutes les couches de la société par le caractère arbitraire de son régime a brouillé les frontières entre réalité et fiction, alimentant les rumeurs les plus folles, dans un pays où les superstitions sont déjà vivaces.
La semaine dernière, les soldats de la force ouest-africaine chargés d’assurer la protection du nouveau président Adama Barrow, et dont le mandat vient d’être prolongé de trois mois, ont arrêté un ancien militaire armé d’un pistolet dans la mosquée où le président accomplissait la grande prière du vendredi .
L’arme a été découverte pendant la fouille des fidèles par les gendarmes sénégalais, a précisé la force de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), ajoutant que le suspect avait déclaré avoir appartenu à la garde rapprochée de l’ex-président Yahya Jammeh.
Pour des raisons encore inexpliquées, Adama Barrow, rentré en Gambie le 26 janvier, cinq jours après le départ de son prédécesseur vers la Guinée Equatoriale, ne s’est toujours pas installé à la présidence, pourtant passée au peigne fin par les troupes ouest-africaines.
Le chef de la force de la Cédéao, le général François Ndiaye, a indiqué le 30 janvier que des armements avaient été saisis dans une maison de M. Jammeh à Kanilai, son village natal, à une centaine de km à l’est de la capitale Banjul, mais affirmé que “la sécurité du pays était totalement sous contrôle”.
Le général Ndiaye a balayé les bruits sur la présence de produits toxiques dans les climatiseurs de la présidence, précisant que les seules substances chimiques retrouvées étaient des insecticides contre les termites.
Ce n’était pas la première fois que Yahya Jammeh était soupçonné de tentative d’empoisonnement.
En 2009, d’après des témoignages recueillis par l’AFP, des centaines de villageois avaient été contraints de boire des concoctions qui avaient tué plusieurs d’entre eux, lors d’une opération “anti-sorcellerie”, Yahya Jammeh imputant le récent décès de sa tante à des pratiques occultes, selon Amnesty International.
Gris-gris.
La croyance au surnaturel, notamment aux gris-gris, est très répandue en Gambie. Le chef d’état-major, Ousman Badjie, qui a prêté allégeance au président Barrow après avoir servi son prédécesseur, a ainsi été vu ces derniers mois arborant une dizaine de ces talismans, au cou et aux poignets.
“Nous cousons ce gri-gri, et il protège des armes à feu et des couteaux”, a expliqué à l’AFP Mohammed Ba, un “faraba”, ou fabricant d’amulettes, dans son échoppe de Serrekunda, près de Banjul.
La mort le 15 janvier à Banjul dans des circonstances étranges d’un jeune fils de M. Barrow – qui lui-même avait quitté le pays quelques jours auparavant, la Cédéao craignant pour sa sécurité tant que M. Jammeh était en place – a également enflammé l’imagination des Gambiens.
Un chien dont les morsures avaient provoqué le décès de l’enfant a subi une injection mortelle cinq jours après le retour du nouveau président, mais cet épilogue n’a pas totalement fait taire les rumeurs de sorcellerie.
Au-delà de la dimension parfois fantasmagorique des crimes qui lui sont attribués, si Yahya Jammeh reste redouté par de nombreux Gambiens, il le doit surtout aux violations des droits de l’homme de son régime, assumées publiquement dans son rejet systématique des protestations internationales.
“Des gens qui meurent en détention ou pendant un interrogatoire, c’est très commun. Là, une seule personne est morte et ils veulent une enquête”, déclarait-il en 2016 à l’hebdomadaire Jeune Afrique au sujet du décès de l’opposant Solo Sandeng, peu après son arrestation en avril.
Malgré des garanties offertes lors de son départ par la Cédéao, l’ONU et l’Union africaine quant au respect de ses droits “en tant que citoyen, chef de parti et ancien chef de l’Etat”, y compris à revenir en Gambie, il n’a pas obtenu d’immunité.
Le président Barrow a exclu toute “chasse aux sorcières”, privilégiant la création d’une commission Vérité et Réconciliation et accepté que Yahya Jammeh emporte tous les biens qu’il souhaitait, y compris sa collection de voitures de luxe.
Mais dans sa coalition, certains souhaitent un jugement de M. Jammeh, éventuellement devant la Cour pénale internationale. Le nouveau gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer qu’il resterait bien membre de cette Cour, revenant sur la décision de retrait annoncée l’année dernière par Yahya Jammeh.
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Belgique : Feu vert pour cinq nouvelles mosquées en Région bruxelloise et cinq en Wallonie.
30 nouvelles mosquées ont été vérifier par le ministre de la Justice. Bruxelles va reconnaître cinq d’entre elles, en Wallonie, cela prend plus de temps… Et en Flandre, la reconnaissance des mosquées a été transformée en pugilat politique par la N-VA.
La Belgique compte aujourd’hui 81 mosquées reconnues: 14 en Région bruxelloise, 39 en Wallonie et 28 en Flandre. A ce contingent-là, il faudra donc sous peu ajouter la vague des 30 mosquées qui ont reçu un blanc-seing du ministre de la Justice. à court terme, on aura donc 111 mosquées « officielles » en Belgique. C’est l’Exécutif des musulmans de Belgique qui propose les mosquées à faire reconnaître, il existe un accord politique pour reconnaître environ 80 mosquées supplémentaires sur les quatre prochaines années (2016-2019).
Des budgets ont été libérés pour faire fonctionner plus de 200 mosquées, étant donné que chaque mosquée peut compter de 1 à 3 imams payés par l’État en fonction de sa taille.
À Bruxelles, la compétence de la reconnaissance des mosquées est exercée par le ministre-président Rudi Vervoort (PS). Les 5 nouvelles mosquées qui ont reçu un avis favorable de la part du ministre de la Justice devraient sous peu être reconnues officiellement.
Les voici:
-Annasr (Koekelberg),
-Arrayane (Ville de Bruxelles, Neder-Over-Heembeek),
-Al-Inaba (Berchem-Sainte-Agathe),
-Raahma (Ville de Bruxelles),
-El Mohsinine (Saint-Gilles).
La Wallonie à la traine.
En Région wallonne, c’est une autre paire de manches. Et c’est encore plus compliqué. Malgré des demandes répétées, le cabinet du ministre Pierre-Yves Dermagne (PS) n’a pas souhaité transmettre d’informations sur les cinq mosquées en passe d’être reconnues. Car, fait valoir le cabinet du ministre, la procédure de reconnaissance doit en Wallonie recevoir l’aval… des provinces. Bref, les nouvelles mosquées wallonnes attendront encore un peu.
En Flandre, la reconnaissance des mosquées a viré au pugilat politique. La ministre flamande en charge de cette compétence, la N-VA Liesbeth Homans, a refusé de reconnaître les 20 mosquées flamandes ayant reçu un feu vert du Fédéral. L’Anversoise exige entre autres d’avoir accès aux rapports confidentiels de la Sûreté de l’État. « Je ne vais certainement pas accorder la reconnaissance aux mosquées sur base d’une petite feuille A4 de la Sûreté de l’État », pestait-elle dans le Standaard de ce mercredi. Du côté des démocrates-chrétiens flamands, on regrette que la N-VA politise un dossier a priori technique.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Jérusalem libérée est le slogan du ministère de culture israélien en 2017
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Ministère de santé: 7,8 % des cancéreux dans la Palestine sont des enfants
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Hamas: Le Fatah montre son désir de poursuivre le blocus de Gaza
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Le député arabe Ghattas de retour au tribunal
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Ayesh appelle à un projet national unifié
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Le ministère palestinien des affaires étrangères appelle à boycotter les banques d’Israel
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Le prisonnier Mohammed al-Qiq en isolement dans la prison de Jalama
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20 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et Jérusalem occupée
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Le Cheikh Raed Salah toujours interdit de voyager et d’entrer à Jérusalem
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Naplouse: l’occupation transforme une maison à Beit Fourik en centre d’interrogatoire
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Les forces de sécurité de l’AP arrêtent un prisonnier libéré à Naplouse
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L’OLP décide de recourir au Conseil de sécurité pour l’arrêt de la colonisation
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La société israélienne d’électricité menace de couper l’électricité en Cisjordanie
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Une Palestienne de l’intérieur occupé condamnée à 16 ans de prison
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110 colons font irruption dans la mosquée d’al-Aqsa
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L’UNRWA met en garde contre le blocus israélien à Gaza
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