Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 29 Ramadan 1438.

Flash info du 29 Ramadan 1438.
Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc… Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter, inch Allah… Les liens sont aussi visible sur notre site, www.mouslimradio.info.
******************************************************************


Samedi 24 juin 2017 : Nuit de l’Annonce de la célébration de l’Aïd Al Fitr.
Conformément à la tradition de l’Islam, la Nuit de l’annonce de la célébration de l’Aïd Al Fitr, aura lieu le samedi 24 juin 2017, correspondant au 29ème jour du mois de Ramadan de l’année hégirienne 1438.
Fidèle à la tradition de la Mosquée de Paris, qui remonte à sa création en 1926, comme chaque année à cette période si importante pour la vie religieuse des musulmans, une commission théologique se tiendra le samedi 24 juin 2017, à 19h00, à la Mosquée de Paris, pour déterminer le jour de l’Aïd Al Fitr.
Cette commission religieuse se tiendra en présence du président du Conseil français du culte musulman, des membres du bureau du Conseil français du culte musulman, des représentants des fédérations musulmanes, des représentants de la communauté musulmane dans toute sa diversité, des imams, des responsables de mosquées et des fidèles.
L’objectif de tous est d’unir dans une volonté commune et fraternelle l’ensemble des musulmans de France, autour d’une même date de la célébration de l’Aïd Al Fitr.
Nous implorons Allah Tout Puissant d’accepter notre jeûne
et de nous combler de Sa Clémence et de Sa Miséricorde.
Recteur Dalil Boubakeur.
Président de la Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris.
CLIC POUR VOIR LA SOURCE
***
https://sd3.ajib.fr/wp-content/uploads/2011/05/lever-du-soleil.jpg
il n’y a pas de nationalisme en Islam !
Diviser pour mieux régner est un proverbe inconnu en Islam puisque le musulman doit combattre pour éviter de diviser sa communauté.
Le nationalisme est une doctrine étrangère à notre religion car il fait partie de la jahiliya (époque d’ignorance).
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit également :
«Celui qui lutte, sous un drapeau en faveur d’une cause partisane ou qui répond à l’appel d’une cause partisane ou pour aider une cause partisane et meurt par la suite, sa mort est une mort pour la cause de la jahiliya».
Les conséquences du nationalisme sont dévastateurs puisqu’il pousse les croyants à se disputer ou à commettre des crimes.
Le Messager d’Allah (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit :
«N’est pas des nôtres celui qui appelle à al ‘assabiyah [nationalisme / tribalisme…] qui combat pour la ‘assabiyah, ou qui meurt pour la ‘assabiyah». (Rapporté par Abou Daoud).
Dans un autre hadith, le prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dit :
«Délaissez-le (l’esprit tribal, nationaliste), c’est une pourriture».
(Rapporté par Muslim et al Boukhari).
Le nationalisme entraîne de graves dissidences et accentue les défauts humains tels que l’arrogance ou la fierté.
Les musulmans doivent se considérer comme des enfants d’Adam englobés dans un corps et une structure uni dans l’adoration d’Allah (soubhanou wa ta’ala).
«Un arabe n’est pas meilleur qu’un non-arabe. De même q’un non-arabe n’est pas meilleur qu’un arabe. Un homme de race rouge n’est pas meilleur qu’un noir excepté dans la piété. L’humanité descend d’Adam et Adam a été crée d’argile».
(Rapporté par al Boukhari et Muslim d’après Abou Houraira)
Ce hadith symbolise exactement l’état d’esprit à adopter par les musulmans.
Aujourd’hui les arabes ne sont que les habitants de la péninsule arabique.
Il existe des musulmans partout dans le monde (Europe, Afrique, Asie, Amérique du Nord, Amérique du Sud etc) sans limite de frontière spirituelle avec la même foi et la même dévotion envers notre Créateur.
Aucune nation n’est souveraine ou prédominante à une autre car le Tout Puissant est Allah (soubhanou wa ta’ala).
«Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez.» (Coran, 49/13).
AJIB.FR
***

France : Le chef de la task force contre Daesh condamné pour diffamation envers un imam.
Pierre de Bousquet de Florian a été condamné, jeudi 22 juin, à une amende de 500 euros avec sursis. Récemment intronisé à la tête du Centre national de contre-terrorisme, la fameuse task force créé par Emmanuel Macron pour lutter contre l’Etat islamique, l’ancien préfet du Hérault est accusé d’avoir diffamé Mohammed Khattabi.
L’imam de Montpellier avait été assigné à résidence par le préfet dans le cadre de l’état d’urgence en novembre 2015. Il reprochait à l’imam de tenir des « prêches anti-occidentaux, incitant au jihad et prônant l’usage de la violence ». Pierre de Bousquet de Florian s’était épanché sur le cas dans Le Figaro, affirmant que l’imam « a des paroles de haine contre notre mode de vie, pouvant être influentes sur les jeunes, il symbolise l’islam dont on ne veut pas dans ce pays ».
Il ajoutait en outre que la perquisition administrative du domicile de Mohammed Khattabi a permis de débusquer « le fraudeur et le tricheur ». L’imam était, selon lui, coupable d’une « fraude importante aux prestations sociales et familiales. (…) il vit en outre avec son épouse, qui touche une allocation de parent isolé ».
Le recteur de la mosquée Aïcha de Montpellier a vu son assignation à résidence abrogée par le ministère de l’intérieur dès le 11 décembre 2015. Il a en revanche été condamné en mai 2016 à six mois de prison avec sursis pour recel de fraudes aux allocations et de « travail dissimulé ». Il a fait appel de cette décision. « Aujourd’hui, l’Etat ne lui reproche aucune dangerosité et encore moins un lien avec le terrorisme », avance Arié Alimi, l’avocat de Mohammad Khattabi. Il ajoute que, « compte tenu de cette diffamation, la nouvelle task force commence un peu difficilement » sa tâche.
saphirnews.com
***

Incendie à Londres : ils ont choisi de rester avec leurs parents plutôt que de les laisser mourir seuls.
Les histoires relatives aux derniers moments vécus par les victimes de l’incendie de la tour Grenfell à Londres émergent doucement. Parmi elles, celle de la famille Miah dont cinq membres ont péri dans la nuit du 13 au 14 juin, en plein mois du Ramadan, est déchirante.
Trois jeunes adultes ont préféré mourir avec leurs parents plutôt que de les laisser mourir seuls dans leur appartement situé dans le 17e étage. Husna, 22 ans, et ses frères Hanif, 26 ans, et Hamid, 29 ans, ont choisi ce destin, préférant sacrifier leur vie que de vivre hantés le restant de leurs vies pour avoir abandonné père et mère qui n’étaient pas en capacité de s’enfuir. Kamru Miah, âgé de 82 ans, n’était en effet physiquement plus apte à marcher. Son épouse Rabeya, 65 ans, n’a pas voulu abandonner son mari.
Leurs enfants auraient pourtant pu s’en sortir, rapportent les médias britanniques. Ils avaient encore une heure devant eux avant qu’il soit impossible de sortir de la bâtisse. Conscients de l’issue fatale qui les attendait, ils ont consacré le temps qui leur restait à appeler leurs proches pour leur dire qu’ils ne pouvaient décemment pas laisser leurs parents périr seuls dans les flammes.
Samir Ahmad, un cousin de la famille, a témoigné auprès du Times que sa tante a parlé à Hanif et qu’il était « très calme » : « Il a dit que son heure est arrivée, qu’il ne fallait pas s’endeuiller pour eux et il nous a demandé de se réjouir pour eux car ils seront dans un lieu meilleur. » « La famille était très importante pour eux. Ils ont vécu ensemble et sont mort ensemble », a-t-il ajouté.
Husna Begum devait se marier à Leicester le mois prochain. Son fiancé et le reste de sa famille ont décidé de leur rendre hommage au cours d’une cérémonie de prière publique jeudi 22 juin. Parmi la fratrie, Mohammed Hakim est le seul survivant connu. Il aurait quitté l’immeuble quelques heures avant que l’incendie ne se déclare.
Le drame a provoqué la mort de 79 personnes. La Première ministre britannique Theresa May a présenté ses excuses mercredi 21 juin pour la gestion du sinistre, dénoncée par les habitants de la tour et leurs proches.
saphirnews.com
***

Victorieuse Syrie.
Comme par un matin calme, le paysage s’éclaircit peu à peu en Syrie. Partout à l’offensive, l’armée nationale a reconquis des milliers de kilomètres carrés de territoire à l’est d’Alep, de Homs et de Damas. Elle s’apprête à reprendre le contrôle intégral des frontières syro-jordanienne et syro-irakienne, traditionnelles voies de transit des mercenaires venus dévaster le berceau de la civilisation pour une poignée de pétrodollars. En restaurant la souveraineté de l’Etat sur le sol national, cette courageuse armée de conscrits inflige un camouflet à tous ceux qui rêvaient de détruire cet Etat récalcitrant, à tous ceux qui voulaient le mettre en charpie parce qu’il osait déjouer leurs plans néo-coloniaux.
Victorieuse sur le plan militaire depuis la libération d’Alep, la Syrie souveraine l’emporte aussi sur le plan politique. Le temps paraît lointain où “Le Monde diplomatique” pouvait prédire, sans craindre le ridicule, l’exil doré de la famille Assad quelque part en Sibérie. Ses adversaires, le président syrien les a vus défiler, qui psalmodiaient les mêmes stupidités sur un pays dont ils ignoraient tout. A en croire les Occidentaux, le départ de Bachar Al-Assad devait être un “préalable” à la solution de la crise. En réalité, c’était tout le contraire. La résistance de l’Etat syrien dont le président est la clé de voûte exigeait son maintien. Là où tant d’autres auraient pris la poudre d’escampette, le chef est resté à son poste, et il a bien fait.
Fervent admirateur d’Al-Qaida, Laurent Fabius estimait que le chef de l’Etat syrien “ne méritait pas d’être sur terre”. Mauvaise pioche ! Car si M. Fabius cultive son éthylisme mondain au Conseil constitutionnel, M. Assad, lui, est toujours aux commandes à Damas. Son armée élimine la nébuleuse de groupes sectaires dont l’ancien ministre espérait le triomphe, et le peuple syrien goûte l’espoir renaissant d’une issue à la guerre. Ce qui est frappant avec les dirigeants occidentaux, c’est leur tendance à parler trop vite. Pendant six ans, leur presse aux ordres répétait comme un mantra l’effondrement imminent du régime syrien. Heureusement pour les journalistes, ils ne sont pas payés au résultat.
Pour comprendre les raisons de cette résistance à une offensive internationale sans précédent, il suffisait de consulter des sources fiables et d’exercer son jugement critique. Les officines de propagande avaient beau prétendre qu’un peuple unanime se dressait contre le tyran, on pouvait voir sur “Al-Mayadeen”, en mars et octobre 2011, de gigantesques rassemblements populaires en faveur du “gouvernement et des réformes”. Clamant sa fidélité à l’Etat nationaliste laïc et son rejet de la charia wahhabite, la foule inondait les rues de Damas, Alep, Tartous et ailleurs. Mais les médias occidentaux préféraient braquer leurs caméras vers des attroupements de barbus en les faisant passer pour un soulèvement populaire.
Des faits majeurs, indispensables à l’intelligence des événements, ne firent donc l’objet d’aucune narration, tandis qu’on nous proposait une narration des “faits” qui consistait à les fabriquer pour les besoins de la cause. Les “rebelles modérés” massacraient les familles des fonctionnaires baasistes, par exemple, et ces horreurs étaient imputées à une armée nationale dont il était entendu qu’elle “tire sur les civils”. Les “neocons” de Washington étant à la manoeuvre, ce genre de supercherie était pourtant plus que prévisible. “Pendant que vous parlez de la réalité que nous produisons, nous produisons une nouvelle réalité”, disait Karl Rove, conseiller de George W. Bush et apôtre distingué du “chaos constructif”.
Heureusement, vient un moment où l’épreuve des faits dissipe les mensonges les plus grossiers. Difficile de répéter les sornettes habituelles lorsque les populations fuient manifestement les zones rebelles, l’armée reconquiert peu à peu le territoire national et le gouvernement syrien, à l’évidence, bénéficie du soutien sans faille de ses alliés. Après avoir renoncé à la formule rituelle sur le “régime aux abois”, la presse occidentale a fini par proscrire son ironie coutumière sur les “victoires en trompe-l’oeil” de Damas. Pour se divertir, il aurait fallu conserver les centaines d’articles expliquant que les Russes et les Iraniens allaient “lâcher Bachar”, que c’était cuit pour le “despote”, et autres prédictions dont a pu mesurer la vacuité.
Victorieuse sur le plan militaire face aux milices takfiristes, soutenue par la majorité du peuple syrien qui veut en finir avec cette tragédie, confortée par un jeu d’alliances qui penche en sa faveur, la Syrie souveraine entrevoit le bout du tunnel. L’impérialisme n’ayant pas l’habitude de lâcher le morceau, la route sera encore longue, mais l’évolution favorable de la “guerre du désert” laisse augurer une accélération des événements. Combat d’arrière-garde mené par une puissance en déclin, les provocations militaires US n’y changeront rien. La dernière agression, qui a vu un SU-22 syrien abattu par un F-16 près de Raqqa, a eu pour seul effet de torpiller les velléités de coopération russo-américaine contre Daech, Moscou ayant annoncé que tout aéronef étranger serait dorénavant ciblé par la DCA russe.
Cette provocation a aussi incité les Iraniens à effectuer leur premier tir de missile en territoire syrien contre Daech, l’implication militaire de Téhéran ayant fait preuve d’une discrétion qui n’est plus de mise dès lors que le bras de fer avec Washington atteint un seuil critique. En réalité, cette montée des tensions sert Damas, qui condamne fermement la présence occidentale sur le territoire national, et dont l’allié russe joue sa crédibilité à chaque provocation US. Même s’ils prennent Raqqa, les alliés arabo-kurdes des Etats-Unis vont se retrouver le bec dans l’eau, et l’armée syrienne y retournera sous peu. Bientôt chassé de ses pseudo-capitales (Mossoul et Raqqa), privé de ses voies de ravitaillement, pris en tenailles par les forces irakiennes et syriennes, Daech est en mauvaise posture.
Mais ce n’est pas tout. Une enquête du “Wall Street Journal” vient de donner de précieuses informations sur le soutien d’Israël aux rebelles syriens qui assurent la garde rapprochée du Golan occupé. Peu préoccupé par le sort de ces supplétifs, le journal de la finance new-yorkaise ironise sur le “cash” touché par les chefs de milices. Lorsque Damas en aura fini avec Daech, ces collaborateurs de l’occupant auront du souci à se faire. Quant aux pseudo-défenseurs de la cause palestinienne qui réclamaient des armes pour la “rébellion syrienne”, ils ont l’air malin. “Provoquer la chute de Bachar al-Assad est le meilleur moyen de protéger Israël”, écrivait Hillary Clinton. Après six années de mensonges, les masques tombent. La Syrie a affronté l’envahisseur sioniste en 1948-49, 1967, 1973 et 1982, et elle n’a jamais capitulé. Aujourd’hui, l’heure de vérité approche, mais on sait déjà qui a gagné la partie.
oumma.com
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Le Hamas appelle la Nation à soutenir la cause palestinienne et la résistance
.
Le mouvement de la résistance islamique « Hamas » a appelé toute la population de la Nation Arabe à supporter la Palestine et à soutenir la résistance de son peuple qui lutte bravement pour libérer sa terre de l’occupation israélienne.
.
Al-Qassam: La nation devrait éradiquer le « cancer sioniste »
.
Des députés israéliens incitent contre le soutien turc à la mosquée Al-Aqsa
.
Incursion des bulldozers israéliens au nord de Jabalia
.
Des militants soutiennent les détenus libérés privés de leurs allocations
.
Alain Gresh : « Le mouvement palestinien organisé n’est pas antisémite »
.
7000 nouveaux logements à Jérusalem
.
5 citoyens arrêtés en Cisjordanie et Jérusalem occupée
.
Des détenus libérés sur le bord de la route…qui les défendra ?
.
Lieberman : « Abbas veut pousser le Hamas à la guerre contre Israël »
.
6 500 palestiniens croupissent dans les prisons israéliennes à la veille de l’Aid al-Fitr
.
Hamas: Les menaces de l’armée israélienne ne font pas peur à notre peuple
.
Incursion limitée à l’est de Jabalya
.
Adouane: aucune information sur l’ouverture du passage de Rafah avant l’Aid
.
Al-Quds occupé: Arrestation de trois palestiniens dont une jeune fille
.
L’occupation réduit encore son approvisionnement en électricité à Gaza
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.

Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 19 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 19 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #mouslimradio :
www.MouslimRadio.info
******************************************************************

France : Affaire Théo : « Et si on admettait qu’il arrive aux policiers de mentir ? »
Pour Laure Heinich, avocate, la justice doit reconnaître qu’il arrive aux policiers de mentir, y compris sous serment.
Laure Heinich-Luijer est avocate au barreau de Paris et ancienne Secrétaire de la Conférence. Elle est l’auteure de « Porter leur voix » (Fayard, 2014).
Est-ce qu’on pourra enfin dire devant les tribunaux qu’il arrive aux policiers de ne pas relater la vérité ? Est-ce que les justiciables pourront enfin le dire sans être interrompus par un magistrat exaspéré qu’ils puissent s’autoriser à donner une autre version ?
Aucun justiciable ne peut venir dire qu’il s’est fait insulter, matraquer sans que les juges ne les coupent immédiatement, « vous dites que les policiers mentent Monsieur ? » Les avocats finissent même par se demander si l’école de magistrature apprend aux futurs juges l’usage de cette formule, son autorité menaçante et la force qu’elle a de couper court à tout débat.
Effectivement, on ne peut rien répondre à celui qui prétend qu’aucun policier ne s’arrange jamais avec la vérité, comme s’il y avait sur terre une catégorie de gens qui ne s’arrangerait jamais avec les faits, comme si l’exercice d’un métier, d’une fonction, le port d’une arme ou d’une robe pouvait préserver un corps entier du mensonge individuel.
Depuis quelques jours, on sait très clairement que si les procès-verbaux relataient toujours la vérité, on lirait de temps en temps « après avoir traité l’individu de bamboula, le fonctionnaire de police procède à son interpellation ». Or, on ne lit jamais d’insulte non maîtrisée, jamais de coups portés.
Vérités policières.
Est-ce que les choses changeront après que « Le Monde » a publié les confidences d’un fonctionnaire de police avouant qu’il lui est arrivé de « gazer » un individu et de lui mettre « un grand coup dans la bouche » puis de se couvrir « obligé » par un collègue en indiquant faussement dans un procès-verbal que l’homme avait tenté de lui « foncer dessus » ?
Est-ce que les choses changeront maintenant qu’il est écrit noir sur blanc ce que pourtant tout le monde sait, qu’il arrive aux policiers de mentir sur leur déposition malgré leur serment ? Ou est-ce que les juges continueront de couvrir coûte que coûte cette police qui les méprise en retour en feignant notamment d’ignorer son caractère répressif et la façon qu’elle a d’être précisément fidèle aux enquêtes et vérités policières ?
Le policier qui parle de façon anonyme au « Monde » mesure-t-il que rédiger un faux procès-verbal, alors qu’il est dépositaire de l’autorité publique, est un crime puni de quinze ans de réclusion criminelle ?
Si l’on rapproche ces déclarations de celles faites par un porte-parole d’un syndicat de police à la télévision estimant que « bamboula, ça passe encore », on s’effraie de la réalité du terrain et on comprend bien que les PV soignés dont nous disposons dans les procédures sont loin de refléter la réalité. On s’effraie aussi que, par leur expression, les policiers démontrent se sentir couverts dans leur exercice par une impunité institutionnelle ou une impunité de classe.
La blessure de Théo ne mentait pas.
La question de la réalité des procès-verbaux et du traitement des versions surréalistes est au cœur de l’affaire de Théo. Alors que le jeune homme s’est vu introduire une matraque dans l’anus sur dix centimètres, provoquant une plaie longitudinale du canal anal et une section du muscle sphinctérien, l’IGPN écarte un « viol délibéré » et conclut à une blessure provoquée accidentellement… Il y aurait des viols non délibérés ?
Que dirait-on dit d’un accusé se défendant de cette manière après avoir agressé un policier ? Les collègues du fonctionnaire de police incriminé sont unanimes pour affirmer qu’il n’y avait évidemment pas d’intention de violer. Si on entend « violer » par avoir des relations sexuelles non consenties, effectivement on crédite le policier de ce qu’il n’aspirait pas à des relations sexuelles à plusieurs sur une dalle de béton. Théo non plus d’ailleurs. En revanche, si l’on qualifie le viol comme il l’est en droit français (ce qu’il faut espérer que les policiers n’ignorent pas), c’est à dire notamment la pénétration sexuelle par quelque objet que ce soit par la violence, on se rappelle qu’en matière de viol, il n’est pas question de désir ou d’absence de désir.
On se réjouira quand même de ce que le juge n’a pas demandé à Théo si la police mentait et a mis en examen le fonctionnaire pour viol et non pour un délit non intentionnel. La blessure de Théo ne mentait pas. Reste que pour contredire un policier, il faut donc l’anus transpercé.
Clic pour voir la Source de l’article
***

L’interdiction de jurer sur la création.
Pour jurer, le musulman est assujetti à de nombreuses règles bien strictes. Les oulémas divergent énormément concernant la question de jurer ou non.
Mais, nombreux sont les savants qui considèrent le fait de jurer comme nécessaire afin d’assurer la défense, la protection ou le droit des gens. Cependant, il est est interdit de jurer par autre qu’Allah (subhannou wa ta’ala). L’imam al-Nawawî a dit : «L’interdiction de jurer par une chose créée comme le Prophète, la Ka’ba, les anges, les cieux, les ancêtres…» (Riyâd Al-Sâlihîn).
Il rapporta ensuite le hadith dans lequel Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui) a rapporté que le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Allah, exalté soit-Il, vous a interdit de jurer par vos ancêtres. Que celui qui jure le fasse donc par Allah ou se taise.» (Boukhari, Mouslim).
Ainsi, le musulman ne doit jurer ni par le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam), ni par ses parents ou proches, ni par des objets associés à l’Islam comme la ka’aba, des tombes etc. Selon Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Dieu le Très-Haut vous interdit de jurer par vos pères. Que celui qui jure le fasse par Dieu ou qu’il se taise.» [Bukhari et Muslim].
Selon ‘Abd ar-Rahman Ibn Samoura (qu’Allah l’agrée) le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Ne jurez ni par les idoles, ni par vos pères.» [1708. Muslim].
Ibn ‘Omar (qu’Allah soit satisfait de lui) rapporte : «J’ai entendu un homme dire : « Non, par la Ka’ba ! » Je lui dis alors : « Ne jure pas par un autre qu’Allah car j’ai entendu le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) dire : « Celui qui jure par un autre que Dieu a fait acte de mécréance ou d’associationnisme ».» [1711.Tirmidhi].
Il est également proscrit de jurer par la foi (Amana). Selon Bourayda (Qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Celui qui jure par [le dépôt de] la foi (amana) n’est pas des nôtres.» [Abou Dawud].
Ibn Rislan a précisé l’ensemble des actes se rapportant à l’acte de foi : «La amana citée dans le hadith fait allusion aux œuvres obligatoires telles la salât, le hajj, le jeûne et autres obligations.»
Selon Bourayda (qu’Allah l’agrée) le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Quiconque jure en disant : « Si je mens, je n’ai plus rien à voir avec l’Islam ! » sera tel qu’il s’est décrit s’il s’avère menteur. Et s’il dit la vérité, il ne reviendra pas à l’islam sans en subir de conséquences.» [1710. Abou Dawud].
Clic pour voir la Source de l’article
***
Racisme, nationalisme : nous avons tous été créés de terre.
Le racisme et le nationalisme sont deux aspects que l’être humain manifeste malheureusement et qui sont détestables. Ces ressentiments sont d’autant plus condamnables dans la communauté musulmane puisqu’ils constituent un mal tant pour l’être humain que pour la vie en communauté. Pourtant, tout oppose le racisme à l’Islam de même que le nationalisme et l’Islam n’ont aucun rapport.
Le raciste regarde le visage, Allah regarde les cœurs.
Le racisme est sans doute un des aspects les plus problématiques au sein de notre communauté, notamment car ce point concerne également des personnes âgées malgré l’âge de raison ou la sagesse qu’elles sont censées manifester. Le racisme c’est dénigrer cet autre, différent de moi, le dénigrer pour sa différence qui en réalité revête toute sa richesse en tant qu’être humain.
Dans le Saint Coran, notre Seigneur aborde la question du racisme et la condamne fermement. En effet, l’homme a été créé de la terre, ce qui fait de nous les descendants d’une même matière, quelles que soient notre origine, notre culture ou notre couleur de peau. Allah a révélé : {Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand- Connaisseur}. (Sourate 49 : Verset 13). Le but de cette diversité culturelle est donc de s’entre-connaître, de se mélanger et non de se séparer, encore moins de se dénigrer ou de se détester.
Le racisme a également été interdit par le Prophète (‘alayhi salat wa salam). Il a d’ailleurs souligné le fait qu’Allah ne nous jugera pas selon notre origine mais selon nos cœurs. Comment pouvons-nous alors prêter attention à l’origine de l’autre et le juger voire le dénigrer par rapport à cela alors que Le Juge ne regardera que son cœur ? D’après Abu Houreyra (qu’Allah l’agrée), Abdour Rahmân Ibn Sakhr (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Certes, Allah ne regarde pas vos corps ni vos visages, mais Il regarde vos cœurs et vos actes ». (Rapporté par Muslim).
Lors du pèlerinage d’adieu, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a fait de nombreuses recommandations à sa communauté, dont le fait qu’aucun homme n’est supérieur à un autre, hormis par la piété : « Ô gens ! Votre Seigneur est un. Attention ! Aucun arabe n’est meilleur qu’un non arabe, aucun non arabe n’est meilleur qu’un arabe, aucun rouge n’est meilleur qu’un noir et aucun noir n’est meilleur qu’un rouge, si ce n’est par la piété ». Le seul aspect qui différencie un musulman d’un autre est donc la piété, chose dans laquelle nous devrions nous concurrencer.
Le nationaliste différencie les nations, Allah les unit sous un même nom.
Le nationalisme quant à lui, se détache totalement de l’Islam car par définition, l’Islam unit les hommes par l’adoration d’un Dieu unique. Or, le nationalisme est la division des hommes, leur séparation de par leur origine culturelle, ce qui est donc contraire à l’essence même de notre religion. Malheureusement, certains persistent dans ce nationalisme aveuglé et aveuglant.
Afin de souligner l’opposition formelle qui existe entre nationalisme et Islam, rappelons que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) s’est désavoué de ceux qui mettent en pratique ce concept. En effet, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « N’est pas des nôtres celui qui appelle à al ‘assabiyah (nationalisme/tribalisme) qui combat pour la ‘assabiyah ou qui meurt pour la ‘assabiyah » (Rapporté par Abu Daoud). Le nationalisme existait du temps du Prophète (‘alayhi salat wa salam) puisque certaines tribus en dénigraient d’autres de par cette origine qui leur était étrangère. Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a donc interdit et bannit ce concept en se désavouant de tous ceux qui le partageraient.
Allah nous a créés de couleurs différentes tout comme Il nous a faits avec des caractères divers. C’est ainsi que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a expliqué : « Allah a créé Adam d’une poignée qu’Il a prise de toutes les substances de la Terre, c’est ainsi que les fils d’Adam se sont diversifiés proportionnellement à la Terre : Il y a parmi eux le roux, le blond, le noir. Il y a de même le doux, le dur, le vilain, et l’agréable » (Rapporté par Al Tirmidhî). La diversification culturelle, les nations et tribus ont été créées car voulues par le Créateur. Allons-nous, chers frères et soeurs, ressentir de l’aversion pour ce que Le Majestueux a créé ? Nous savons que cela n’est pas digne du comportement du musulman, qu’Allah nous en préserve !
Enfin, rappelons que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) ressentait un tel mépris pour le nationalisme qu’il l’a qualifié de manière péjorative lorsqu’il a dit : « Délaissez-le (l’esprit tribal, le nationalisme), c’est une pourriture » (Rapporté par Muslim et al Boukhari). Gardons à l’esprit que le nationalisme divise, cette division même est un des objectifs de Shaytane le lapidé : diviser les musulmans afin de les affaiblir est en effet une des ses visées. Ne tombons pas dans le piège de notre ennemi, soyons unis et plus forts par nos différences.
N’oublions pas, chers frères et soeurs que chacun d’entre nous sera rétribué en fonction des intentions et de ses actes. Nous serons tous réunis au Jour de la Résurrection pour répondre de nos actes, les premiers comme les derniers, les arabes comme les non arabes, les blancs comme les noirs, les roux comme les bruns et face à notre Seigneur, seule primera la piété. Tâchons donc d’être pieux, d’inviter nos proches à cette piété, de nous améliorer ensemble, chaque jour qu’Allah fait, car chaque jour qui passe constitue un temps qui nous paraîtra plus précieux que jamais et que nous souhaiterons rattraper, {le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d’aucune utilité}. (Sourate 26 : Verset 88).
Qu’Allah nous permette d’être bons envers nos frères et soeurs de tous horizons. Qu’Il nous éloigne du racisme, du nationalisme et de toutes ces tentations.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Le divorce : une solution à éviter et qui pourtant ne cesse de progresser.
Le divorce est un phénomène fréquent de nos jours et qui a connu un accroissement considérable ces dernières années. Il semble important de souligner que cela touche toutes les communautés, y compris la nôtre. Bien qu’il soit légal en Islam, il est préférable d’éviter le divorce et de le considérer comme l’ultime solution. Intéressons-nous de plus près à ce phénomène d’abord avec un regard historique, puis en adoptant un point de vue islamique. Nous nous baserons essentiellement sur les ouvrages de ‘Abd al Malik al Qasim intitulé « Réfléchis avant de divorcer » et de Khalid Chayi’ nommé « Le divorce, les causes et les remèdes ».
Un peu d’histoire et de sociologie…
Comme le mariage, le divorce est une vieille institution. En effet, il a été créé durant la révolution française. Auparavant, le divorce était considéré comme une sorte de manquement à l’ordre familial. Or, depuis les années 1970, le nombre de divorces augmente considérablement. En 1975, une loi ouvre la possibilité d’un divorce par consentement mutuel. A la suite de cette loi, le nombre de divorces a été multiplié par quatre. Cette a notamment eu d’importantes conséquences morales sur la séparation. En effet, autrefois, le divorce était un échec et une sanction de vie de couple. Le divorce à consentement mutuel a éradiqué ce sentiment de culpabilité lié à la séparation.
Aujourd’hui, nous assistons donc a une banalisation des ruptures. Précisons que les probabilités de ruptures sont plus importantes pour les couples sans enfants. Nous pouvons alors nous demander si l’absence d’enfants fragilise le couple ou si c’est la fragilité du couple qui détermine l’absence d’enfants… Sans doute un peu des deux !
Par ailleurs, le divorce a augmenté car il y a une modification des modes de vie. Autrefois, on ne divorçait pas pour des raisons morales, économiques… car la femme ne travaillait pas à l’extérieur. De nos jours, il est commun de divorcer car sur le plan économique, les femmes ont une autonomie financière qu’elles ne possédaient pas auparavant. Ainsi, selon l’ined, plus de 46 mariages sur 100 finissent pas un divorce. On peut donc considérer que le divorce concerne la moitié de la population actuelle ce qui est loin d’être négligeable.
Le statut islamique du divorce.
Le taux de divorces n’augmente pas seulement pour les non musulmans mais également au sein de notre communauté. C’est ainsi que la plupart d’entre nous connaissent au moins un couple musulman qui a divorcé. Il nous faut alors rappeler que le divorce est à éviter même s’il est légal.
En effet, Allah a autorisé le divorce en ces termes : {Ô Prophète, quand vous répudiez vos femmes, faites-le en respectant leur période de viduité} (Sourate 65 : Verset 1). Ainsi, le divorce est autorisé à condition de respecter la période de viduité de la femme, autrement dit, le divorce doit être prononcé lorsque la femme est en état de pureté sans qu’il n’y ait eu de rapports depuis son dernier cycle menstruel.
Une fois que le divorce a été prononcé une seule fois, il faut attendre une certaine période durant laquelle l’homme peut revenir sur sa décision. Cette période peut s’étendre sur trois mois, neuf mois ou moins en fonction des cas. En effet, Allah a dit : {Les femmes répudiées attendront trois menstrues} (Sourate 2 : Verset 228), autrement dit environ trois mois, {Quant aux femmes enceintes, leur attente est jusqu’à ce qu’elles accouchent} (Sourate 65 : Verset 4). Ainsi, le divorce a un statut légal en Islam. Nous ne pouvons toutefois détailler les caractéristiques du divorce en Islam car le sujet est très dense et complexe.
Un acte autorisé mais à éviter…
Bien que le divorce soit légiféré, il faut tant que faire se peut, éviter d’y recourir. En effet, le divorce n’est pas une décision à prendre à la légère. Il convient de peser le pour et le contre, de bien y réfléchir et de tenter toutes les autres solutions afin de sauver sa vie de couple. Nous devons donc prendre en compte plusieurs éléments y compris la vie de famille. À titre d’exemples, les enfants se retrouvent souvent au premier rang des divorces et cela peut avoir des conséquences sur eux.
Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de couple au sein duquel les tensions ou les problèmes n’existent pas. Les épouses du meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) étaient jalouses entre elles et ne se gênaient pas pour le faire savoir. Si le couple du Prophète (‘alayhi salat wa salam) a connu de tels moments, comment nos couples pourraient en être épargnés ? Il faut considérer cela comme une épreuve de notre Seigneur face à laquelle nous devons patienter afin d’espérer une récompense. En effet, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le croyant n’est pas touché par une maladie, une peine, une tristesse, une inquiétude ou un mal – voire une épine qui l’égratigne – sans qu’Allah n’absolve, en contrepartie, certains de ses péchés » (Al Bukhari et Muslim). Les soucis qui peuvent exister dans un couple doivent donc être considérés comme un moyen d’absoudre nos péchés al hamdouliLlah. Prendre du recul sur nos problèmes de couple en méditant sur les paroles d’Allah, nous permettra d’éviter le divorce incha Allah.
De plus, chacun d’entre nous doit purifier son cœur et éviter de juger, de critiquer ou de blâmer ouvertement son conjoint. En effet, nul n’est parfait et de nombreuses erreurs peuvent être commises au sein du couple mais l’amour pour Allah doit être au-dessus de tout. Comprendre l’autre et lui pardonner ses faux pas, voilà le bon comportement à adopter envers notre conjoint incha Allah. Allah a dit au sujet des femmes : {Elles sont un vêtement pour vous et vous êtes un vêtement pour elles} (Sourate 2 : Verset 187). Par « vêtement », il faut entendre une source de tranquillité, de quiétude et de complémentarité réciproque entre les deux époux. Le but du couple est donc de vivre en ayant pour fondement la parole d’Allah et de Son Messager (‘alayhi salat wa salam).
Par ailleurs, si le couple est en danger au point où la communication est rompue, nous devons faire intervenir une personne issue des deux familles afin de remédier au problème. En effet, Allah a dit : {Si vous craignez une rupture entre eux, alors envoyez un juge de la famille de l’époux et un juge de la famille de l’épouse. Si tous deux veulent la réconciliation, Allah facilitera l’entente entre eux} (Sourate 4 : Verset 35). Sinon, il est possible de contacter des personnes de science afin de leur expliquer la situation et que ces dernières nous proposent une issue favorable à notre vie de couple.
Enfin, le divorce est à éviter autant que possible dans la mesure où l’ennemi d’Allah se réjouit de cet acte alors qu’Allah ne l’aime pas. En effet, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « La chose licite la plus détestée d’Allah est le divorce ». (Abu Dawoud et ibn Majah). Parallèlement à cela, il (‘alayhi salat wa salam) a dit : {Iblis installe son trône sur l’eau puis envoie ses troupes. Les plus proches de lui seront ceux qui auront causé le plus de mal. L’un deux vient et dit : « J’ai fait telle et telle chose ». Iblis répondra « Tu n’as rien fait ! ». Puis un autre vient et dit : « Je ne l’ai pas laissé avant de l’avoir séparé de sa femme ». Iblis le rapproche de lui et lui dit « Tu es admirable ! » ». (Muslim). Le divorce est donc l’un des actes les plus appréciés de shaytane. Cela devrait suffire afin de nous en éloigner le plus possible incha Allah.
Parfois, le divorce est inévitable voire obligatoire car l’un des époux s’éloigne progressivement du Coran et de la Sunna au point de délaisser des obligations religieuses. Cela s’avère être nuisible pour le couple mais également pour toute la famille, qu’Allah nous en préserve. L’ennemi d’Allah fait tout pour semer le trouble au sein du couple et il est malheureux de constater qu’il y parvient avec certains de nos frères. Cette épreuve qu’est le divorce est des plus difficiles. Ainsi, nous rappelons à tous nos frères et sœurs divorcés que « le malheur ne cesse de toucher le croyant ou la croyante dans son corps, sa famille et ses biens jusqu’à ce qu’il rencontre Allah sans avoir la moindre faute », d’après le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Ne désespérez pas de la Miséricorde d’Allah ! S’Il vous éprouve sur terre, c’est pour mieux vous récompenser dans l’au delà incha Allah car Il est le Tout Clément et Il est Capable de toute chose.
Qu’Allah préserve nos couples et nos foyers sur le droit chemin. Puisse-t-Il assister nos frères et sœurs divorcés qui en ont besoin.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Le Centre d’Accueil de Jour : un petit «chez-soi» pour ceux qui n’en ont pas.
« Ici je retrouve mon humanité ».
Le Centre d’Accueil de Jour : un petit «chez-soi» pour ceux qui n’en ont pas.
« Ici, c’est calme. Le plus dur quand on vit dans la rue, ce n’est pas le froid ni la faim. On peut toujours se débrouiller. C’est le bruit et l’angoisse de se faire tabasser, ça, ça prend toute ton énergie et tout ton temps. Ici c’est calme, on peut se poser pour un moment. » Leïla*, jeune femme de 24 ans, est sans abri depuis quelques années. Comment s’est-elle retrouvée dans cette situation si jeune? « J’avais 20 ans, je refusais toute autorité, je ne m’entendais plus avec ma famille, qui m’a mise à la porte. » Nous n’en saurons pas plus sur sa famille. Elle n’est pas habituée à parler de son passé, à parler tout court. Elle semble embarrassée, presque inquiète par le fait que l’on s’intéresse à elle alors qu’elle tente, tous les jours, de passer inaperçue. Leïla vient tous les matins prendre un petit-déjeuner consistant et chaud pendant que son linge tourne dans une des machines à laver mises à la disposition des bénéficiaires: « Je croyais au début que ce centre n’était ouvert que pour les musulmans, sourit-elle un peu gênée. Mais dès que je suis arrivée, on m’a accueillie sans poser de questions. Il y a un salon, un coin Internet, des douches, des machines à laver. Je peux regarder la télé et discuter de l’actualité avec les autres personnes. »
Elles seront plus d’une centaine à passer aujourd’hui dans ce centre qui accueille une variété de personnes : suite à notre évaluation, nous avons constaté que le département de l’Essonne manquait de structures d’accueil pour les sans-abri ; seuls deux centres existaient. Depuis 2012, nous travaillons en complémentarité avec eux ainsi qu’avec le Samu social, qui nous envoient régulièrement des personnes à accueillir: sans domicile fixe, sans-abri, travailleurs pauvres, femmes, hommes seuls, mères isolées, étudiants, gens du voyage. Après un accident de vie, ils se retrouvent dans la rue, sans repère. C’est pourquoi nous avons voulu recréer l’ambiance d’un petit “chez-soi”, d’autant plus que maintenant nous avons le sésame de la vie sociale : l’agrément de domiciliation. Depuis 2013, 400 personnes reçoivent leur courrier par le biais du centre. Notre conseillère les accompagne dans leurs démarches administratives pour redémarrer progressivement une vie sociale.
Une vie sociale, c’est ce qu’est venu chercher ici Maurice*, « en plus d’avoir la sensation unique de porter des vêtements chauds et propres », confesse-t- il dans un demi-sourire. À 14 heures, Maurice savoure deux blanquettes de veau : « Je viens ici presque tous les jours. Ici, je trouve des personnes à qui parler. Je retrouve un peu de dignité. Ici, on me répond quand je pose une question; on me regarde dans les yeux; ici, je lave mon linge et fais ma toilette comme tout le monde; j’ai une opinion, une voix, un regard, un visage, je retrouve mon humanité. » Maurice était professeur dans une autre vie. « J’ai quitté mon ancienne vie par amour et cela n’a pas marché. L’amour m’a amené ici et maintenant je suis seul avec une main tendue : celle des gens du centre. » Il est 21 heures, heure à laquelle le centre ferme ses portes lorsqu’il fait très froid.
Récit à retrouver sur le site internet du Secours Islamique France.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Allemagne : Berlin veut que Tunis rapatrie ses ressortissants sans-papiers.
Mardi 14 février, le Premier ministre tunisien Youssef Chahed était en Allemagne afin de rencontrer Angela Merkel. A l’ordre du jour, il y avait notamment la question des sans-papiers tunisiens que Berlin veut voir Tunis rapatrier au plus vite.
Allemagne et Tunisie pas d’accord sur le sujet.
Les demandeurs d’asile ayant été déboutés doivent être expulsés rapidement pour Angela Merkel. Afin d’y parvenir, la collaboration avec la Tunisie a son importance afin que le pays puisse rapatrier ses ressortissants au plus vite. Cependant sur ce point, les deux pays ne sont pas sur la même longueur d’ondes. L’attentat du 19 décembre commis par Anis Amri, ressortissant tunisien, a eu son rôle à jouer dans cette décision allemande. Mais pour Youssef Chahed, Anis Amri n’a aucun rapport avec la Tunisie et n’était d’ailleurs pas radicalisé lorsqu’il a quitté le pays.
1 500 Tunisiens seraient concernés par une procédure d’expulsion vers la Tunisie.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Emmanuel Macron veut la création d’une chaîne de télévision franco-algérienne.
En campagne présidentielle, Emmanuel Macron s’est rendu en Algérie. Sur place, il a parlé de sa volonté de créer une chaîne de télévision franco-algérienne.
Une chaîne de télévision comparable à Arte .
Dans une tribune écrite dans un quotidien algérien, « Tout sur l’Algérie », Emmanuel Macron a expliqué : « En choisissant de venir en Algérie durant la campagne présidentielle française, mon ambition est de souligner l’importance de votre pays et de réaffirmer la force des liens qui nous unissent » . La culture et l’audiovisuel ont notamment un rôle à jouer. Pour cela Emmanuel Macron souhaite la création d’une chaîne de télévision qui soit comparable à la chaîne Arte, franco-allemande. Il faut noter que déjà en 2015, Rachid Arhab avait évoqué ce projet disant travailler dessus et être à la recherche de soutiens financiers.
L’idée pourrait-elle aboutir ou alors rester simplement lettre morte ?
Clic pour voir la Source de l’article
***

Sakina Voyages : 3 destinations halal à vous couper le souffle.
Sakina Voyages vous propose 3 voyages en groupe cette année.
OMAN – 18 au 25 mars 2017 au départ de Paris.
Partez à la découverte de ce merveilleux pays qu’est le Sultanat d’Oman.
Le choix de la haute saison pour partir, vous permettra de savourez pleinement votre séjour avec un climat doux. Cette période est idéale pour profiter des sorties prévues ainsi que du soleil avec des températures qui avoisineront les 25 degrés.
Un accompagnateur sera du voyage avec vous et vous profiterez de la connaissance et du savoir d’un guide francophone sur place.
Un circuit sur mesure organisé rien que pour vous avec des entrées aux visites incluses, une nuit dans le désert, 2 visites de Wadi, et assister à la prière du vendredi. Vous serez hébergés à l’hôtel en pension complète.
Toutes ces prestations vous sont proposées au meilleur prix possible, à un tarif exceptionnel défiant toute concurrence (en comparaison d’autre TO ou en vente privée). Celui-ci inclus les vols avec la compagnie Gulf Air + les hébergements dont une nuit dans un campement dans le désert + les visites des principaux sites à visiter + un accompagnateur + un guide local francophone + tous les transferts pour un montant de 1450 euros en base chambre double.
ISTANBUL – du 03 au 08 avril 2017 au départ de Paris.
Plongez dans cette ville riche en Histoire et bouillonnante de culture.
Afin de profiter pleinement de cette escapade, le vol est direct et notre accompagnateur sera à vos côtés tout au long de ce voyage pour vous assister. Un guide local francophone est également prévu pour 2 journées complètes de visites, avec au programme les monuments historiques à ne pas rater.
Vous serez hébergés en hôtel 4 étoiles au cœur de la vieille ville en formule petit-déjeuner.
Vous assisterez, si vous le souhaitez à la prière du vendredi à la Mosquée Bleue appelée également la Mosquée Souleymane. Profitez de ce séjour pour allier visites culturelles et shopping, Istanbul offre un large choix de centre commerciaux ainsi que de boutiques diverses et variées. Ce séjour vous est proposé pour 495 euros par personne en base chambre double.
ANTALYA – 3 groupes à 3 dates différentes.
du 24 au 31 octobre & du 25 octobre au 1er novembre au départ de Paris.
du 21 au 28 octobre au départ de Lyon.
Surnommée la Riviera Turque avec ses belles plages, ses vestiges historiques et ses sites naturels. Nous vous y proposons un groupe avec 3 dates de départ différentes dont un départ depuis la ville de Lyon au plaisir de nos nombreux clients de provinces.
Les vols sont effectués avec la compagnie Turkish Airlines avec notre accompagnateur et vous serez hébergés en hôtel 5 étoiles en formule All Inclusive.
A ces dates les températures sont idéales pour ce séjour balnéaire.
Le séjour s’étant extrêmement bien déroulé en Octobre 2016, nous avons tenu à renouveler l’expérience en Octobre 2017 mais en y apportant un petit plus cette fois-ci… L’hôtel qui vous sera proposé cette année dispose d’une petite plage privée pour femme en plus de ses piscines extérieures pour femmes.
Les tarifs seront bientôt disponibles pour ce groupe.
N’hésitez plus, Voyages Halal vous laisse toute les clés en main pour partir à bas prix et dans un cadre respectueux de notre étique. N’oubliez pas, nous vous permettons de payer en plusieurs fois sans frais votre séjour ! Consultez notre page Facebook Voyages Halal pour avoir plus de détails sur les groupes.
Venez nombreuses et nombreux sur Voyages Halal ou appelez le 01.43.77.95.10.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Indonésie : le gouverneur chrétien se bat pour sa réélection .
Les Indonésiens de Jakarta sont appelés aux urnes, mercredi 15 février, pour élire leur nouveau gouverneur dans un contexte relativement tendu. Une élection décisive pour Basuki Tjahaja Purnama, surnommé Ahok, gouverneur de la capitale depuis 2014 et candidat à sa succession.
Saura-t-il être reconduit à son poste ? Depuis septembre 2016, le gouverneur est au cœur d’une controverse. Il avait expliqué que l’interprétation faite par de savants musulmans d’un verset du Coran selon lequel un musulman ne doit élire qu’un dirigeant musulman était erronée. Accusé de blasphème par des groupes conservateurs, voire même radicaux, il a été présenté devant un tribunal en décembre dernier.
Malgré les excuses solennels d’Ahok, la mobilisation contre le gouverneur ne faiblit pas. Plusieurs manifestations ont été organisées ces derniers mois. En raison d’une interdiction de manifester dans les rues, près de 100 000 personnes se sont données rendez-vous, samedi 11 février, à la Grande Mosquée Istiqlal de Jakarta pour des prières où des appels à voter en faveur d’un candidat musulman pour diriger la capitale du plus grand pays musulman au monde ont été lancés.
Clic pour voir la Source de l’article
***

France : Présidentielle 2017 : Emmanuel Macron fait campagne en Algérie .
Le fondateur d’En marche a pris l’avion, direction l’Algérie. Emmanuel Macron s’est rendu lundi 13 et mardi 14 février à Alger, où il a été reçu en grande pompe par le gouvernement algérien dirigé par Abdelmalek Sellal.
Dans une tribune parue sur TSA, , il déclare vouloir « souligner l’importance de votre pays et de réaffirmer la force des liens qui nous unissent ». Evoquant les millions de familles qui « partagent une communauté de destin », il estime que les Français et les Algériens « ont vocation à écrire ensemble une nouvelle histoire ».
Encourager les relations à travers l’éducation et l’économie.
Emmanuel Macron juge qu’un seul lycée français en Algérie « n’est pas suffisant pour répondre à l’immense défi de l’éducation et de la formation » et souhaite que les deux pays travaillent de concert pour la francophonie en Afrique. Il est à noter que l’Algérie ne figure pas parmi les 54 Etats membres de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Par ailleurs, le candidat à la présidentielle propose de créer une chaîne culturelle franco-algérienne, à l’image de la collaboration franco-allemande Arte. Il promet aussi de faciliter la venue d’étudiants algériens dans l’Hexagone et la création d’un Office franco-algérien de la Jeunesse, « pour favoriser la mobilité entre les deux rives de la Méditerranée ».
L’ancien ministre de l’Economie n’oublie pas le nerf de la guerre : « L’avenir de l’industrie repose sur des productions localisées autour de quelques sites, adaptées aux conditions de travail locales et ouvertes sur de grands marchés. Autour de nos deux pays, ce sont les marchés européens et africains que nous pouvons conquérir, et au-delà, le marché mondial. »
Pour encourager l’innovation et entrepreneuriat, il désire « structurer les incubateurs franco-algériens autour de nos pôles universitaires et scientifiques et créer un véritable écosystème de l’innovation entre nos pays ». Enfin, il espère « créer une communauté économique franco-algérienne dans le secteur des (énergies) renouvelables », un marché estimé à plus de 4 milliards d’euros d’investissements pour les entreprises selon lui.
Après l’Algérie, le Maroc.
Emmanuel Macron a profité du voyage pour déposer une gerbe de fleurs, mardi 14 février, sur la tombe de Roger Hanin, comédien français natif d’Alger, décédé le 11 février 2015 et inhumé dans le cimetière juif Saint-Eugèn.
Après le Liban en janvier, Emmanuel Macron entend peaufiner sa stature internationale en se rendant en Algérie. « Il est évident que compte tenu du rôle que joue l’Algérie dans notre histoire, dans notre pays, dans notre avenir et dans celui du Maghreb, il est indispensable durant une campagne présidentielle de venir faire une telle visite », a-t-il fait savoir. Ce voyage fait suite à celui effectué en Tunisie en novembre 2016 et précède sa visite au Maroc prévu en mars.
Clic pour voir la Source de l’article
***

Sport : Lionel Messi, le grand perdant face au PSG victorieux, annule son déplacement en Egypte.
Quintuple Ballon d’Or, on ne présente plus Lionel Messi, le joueur clé du FC Barcelone, qui a été extraordinairement impuissant à éviter à son club, hier soir, la terrible humiliation de la déroute face à un PSG dans une forme olympique, auteur d’une victoire éblouissante.
Alors que le retour en Espagne s’annonce la tête basse et particulièrement houleux, les boulets rouges tirés par la presse nationale ayant remplacé les habituelles couronnes de lauriers, le célèbre attaquant argentin vient d’annuler son déplacement au Caire où sa présence était très attendue ce mercredi, soit le lendemain du « Désastre », ou encore de la « plus grande débâcle du Barça au XXIème siècle », voire du « Massacre de la Saint Valentin », selon les titres choc des grands quotidiens espagnols.
Lionel Messi, le grand perdant de cette défaite cuisante, a en effet déclaré forfait pour la campagne médicale égyptienne visant à promouvoir, ce jour, son traitement de l’hépatite C, réputé efficace et accessible à toutes les bourses, à l’échelle internationale.
Lancée officiellement en juin par le gouvernement d’Al-Sissi, cette grande opération de communication ciblant un large public, au-delà des frontières, a misé sur l’immense notoriété de Lionel Messi pour attirer des patients qui seront sensibles à la différence de coût notable entre les 100 000 euros à débourser en Europe et les moins de 4 900 euros au pays des pharaons.
Les efforts de l’Egypte dans la lutte contre la maladie ont été récompensés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après une campagne de santé publique qui a traité avec succès près d’un million d’Egyptiens atteints de l’hépatite C, entre 2015 et 2017.
Selon un communiqué officiel, la star du Barça ne pouvait pas quitter son équipe, que l’on image dévastée, après la lourde défaite à Paris, proche de la dérouillée historique… Sa visite pourrait être reportée ultérieurement, à une date qui n’a pas encore été fixée, à condition, sans doute, qu’il se remette en jambes, renoue avec le succès et ne prenne pas sa retraite anticipée, comme il l’aurait annoncé hier soir dans les vestiaires…
Clic pour voir la Source de l’article
***

Amérique : Munira Ahmed érigée en symbole de la contestation anti-Trump.
Qui aurait pu imaginer qu’une photo prise il y a dix ans, illustrant la réponse étoilée, saisissante de patriotisme, de la communauté musulmane américaine face à la diabolisation post-11 septembre qui remettait en cause sa loyauté au drapeau, serait brandie, le 21 janvier dernier, en photo emblématique de la Marche des femmes contre l’ère Trump ?
En tout cas, pas Ridwan Adhami, le talentueux artiste new-yorkais qui, armé de son objectif, avait alors apporté un sublime démenti aux Cassandre de service et autres artisans des peurs, et encore moins sa muse, la jeune Munira Ahmed, qui incarna magnifiquement l’attachement des musulmans à l’Amérique, sous son voile aux couleurs de l’étendard national.
Aucun des deux n’aurait en effet pensé que cette belle photo choc, publiée en couverture de « Illume Magazine » (un magazine destiné à un public musulman), qui frappa les esprits, générant des réactions positives en chaîne au-delà même des espérances de son concepteur, aurait traversé la décennie sans vieillir, ni sombrer dans l’oubli, pour en ressortir érigée en symbole de la contestation anti-Trump.
La jeune fille d’hier, originaire du Queens, qui fut le visage de l’affirmation des musulmans au sein de la société américaine, en tant que croyants et citoyens sans la moindre incompatibilité, a laissé place à la jeune femme d’aujourd’hui devenue, à 32 ans, l’égérie de la mobilisation des femmes américaines contre le sexisme et le racisme de leur président.
Approché par la Fondation Amplifier, chargée de la campagne événementielle de la Marche des femmes, Ridwan Adhami a donné volontiers son accord pour que sa photo la plus marquante soit retravaillée graphiquement et exposée aux yeux de tous, lors de la manifestation protestataire sans précédent qui marcha vers le centre névralgique de Washington, le lendemain de l’intronisation de Donald Trump.
« Mon cliché correspond parfaitement à la campagne », a-t-il déclaré, heureux que son image n’ait rien perdu de sa force symbolique, tandis que celle qui lui prêta ses traits, et qui attire à nouveau tous les regards, déplore vivement que la discrimination anti-musulmans n’ait pas connu l’exact sort inverse de celui de sa photo. En d’autres termes, qu’elle n’ait pas disparu à tout jamais sans aucune possibilité de refaire surface, telle une hydre hideuse.
Clic pour voir la Source de l’article
***

La crainte de Yahya Jammeh hante encore la Gambie.
Près d’un mois après son départ de la présidence, son successeur n’a toujours pas pris possession des lieux. Même en exil, Yahya Jammeh continue d’inspirer l’effroi en Gambie, après 22 ans d’un pouvoir aussi implacable qu’imprévisible.
La peur instillée à toutes les couches de la société par le caractère arbitraire de son régime a brouillé les frontières entre réalité et fiction, alimentant les rumeurs les plus folles, dans un pays où les superstitions sont déjà vivaces.
La semaine dernière, les soldats de la force ouest-africaine chargés d’assurer la protection du nouveau président Adama Barrow, et dont le mandat vient d’être prolongé de trois mois, ont arrêté un ancien militaire armé d’un pistolet dans la mosquée où le président accomplissait la grande prière du vendredi .
L’arme a été découverte pendant la fouille des fidèles par les gendarmes sénégalais, a précisé la force de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), ajoutant que le suspect avait déclaré avoir appartenu à la garde rapprochée de l’ex-président Yahya Jammeh.
Pour des raisons encore inexpliquées, Adama Barrow, rentré en Gambie le 26 janvier, cinq jours après le départ de son prédécesseur vers la Guinée Equatoriale, ne s’est toujours pas installé à la présidence, pourtant passée au peigne fin par les troupes ouest-africaines.
Le chef de la force de la Cédéao, le général François Ndiaye, a indiqué le 30 janvier que des armements avaient été saisis dans une maison de M. Jammeh à Kanilai, son village natal, à une centaine de km à l’est de la capitale Banjul, mais affirmé que “la sécurité du pays était totalement sous contrôle”.
Le général Ndiaye a balayé les bruits sur la présence de produits toxiques dans les climatiseurs de la présidence, précisant que les seules substances chimiques retrouvées étaient des insecticides contre les termites.
Ce n’était pas la première fois que Yahya Jammeh était soupçonné de tentative d’empoisonnement.
En 2009, d’après des témoignages recueillis par l’AFP, des centaines de villageois avaient été contraints de boire des concoctions qui avaient tué plusieurs d’entre eux, lors d’une opération “anti-sorcellerie”, Yahya Jammeh imputant le récent décès de sa tante à des pratiques occultes, selon Amnesty International.
Gris-gris.
La croyance au surnaturel, notamment aux gris-gris, est très répandue en Gambie. Le chef d’état-major, Ousman Badjie, qui a prêté allégeance au président Barrow après avoir servi son prédécesseur, a ainsi été vu ces derniers mois arborant une dizaine de ces talismans, au cou et aux poignets.
“Nous cousons ce gri-gri, et il protège des armes à feu et des couteaux”, a expliqué à l’AFP Mohammed Ba, un “faraba”, ou fabricant d’amulettes, dans son échoppe de Serrekunda, près de Banjul.
La mort le 15 janvier à Banjul dans des circonstances étranges d’un jeune fils de M. Barrow – qui lui-même avait quitté le pays quelques jours auparavant, la Cédéao craignant pour sa sécurité tant que M. Jammeh était en place – a également enflammé l’imagination des Gambiens.
Un chien dont les morsures avaient provoqué le décès de l’enfant a subi une injection mortelle cinq jours après le retour du nouveau président, mais cet épilogue n’a pas totalement fait taire les rumeurs de sorcellerie.
Au-delà de la dimension parfois fantasmagorique des crimes qui lui sont attribués, si Yahya Jammeh reste redouté par de nombreux Gambiens, il le doit surtout aux violations des droits de l’homme de son régime, assumées publiquement dans son rejet systématique des protestations internationales.
“Des gens qui meurent en détention ou pendant un interrogatoire, c’est très commun. Là, une seule personne est morte et ils veulent une enquête”, déclarait-il en 2016 à l’hebdomadaire Jeune Afrique au sujet du décès de l’opposant Solo Sandeng, peu après son arrestation en avril.
Malgré des garanties offertes lors de son départ par la Cédéao, l’ONU et l’Union africaine quant au respect de ses droits “en tant que citoyen, chef de parti et ancien chef de l’Etat”, y compris à revenir en Gambie, il n’a pas obtenu d’immunité.
Le président Barrow a exclu toute “chasse aux sorcières”, privilégiant la création d’une commission Vérité et Réconciliation et accepté que Yahya Jammeh emporte tous les biens qu’il souhaitait, y compris sa collection de voitures de luxe.
Mais dans sa coalition, certains souhaitent un jugement de M. Jammeh, éventuellement devant la Cour pénale internationale. Le nouveau gouvernement vient d’ailleurs d’annoncer qu’il resterait bien membre de cette Cour, revenant sur la décision de retrait annoncée l’année dernière par Yahya Jammeh.
Clic pour voir la Source de l’article
***
Belgique : Feu vert pour cinq nouvelles mosquées en Région bruxelloise et cinq en Wallonie.
30 nouvelles mosquées ont été vérifier par le ministre de la Justice. Bruxelles va reconnaître cinq d’entre elles, en Wallonie, cela prend plus de temps… Et en Flandre, la reconnaissance des mosquées a été transformée en pugilat politique par la N-VA.
La Belgique compte aujourd’hui 81 mosquées reconnues: 14 en Région bruxelloise, 39 en Wallonie et 28 en Flandre. A ce contingent-là, il faudra donc sous peu ajouter la vague des 30 mosquées qui ont reçu un blanc-seing du ministre de la Justice. à court terme, on aura donc 111 mosquées « officielles » en Belgique. C’est l’Exécutif des musulmans de Belgique qui propose les mosquées à faire reconnaître, il existe un accord politique pour reconnaître environ 80 mosquées supplémentaires sur les quatre prochaines années (2016-2019).
Des budgets ont été libérés pour faire fonctionner plus de 200 mosquées, étant donné que chaque mosquée peut compter de 1 à 3 imams payés par l’État en fonction de sa taille.
À Bruxelles, la compétence de la reconnaissance des mosquées est exercée par le ministre-président Rudi Vervoort (PS). Les 5 nouvelles mosquées qui ont reçu un avis favorable de la part du ministre de la Justice devraient sous peu être reconnues officiellement.
Les voici:
-Annasr (Koekelberg),
-Arrayane (Ville de Bruxelles, Neder-Over-Heembeek),
-Al-Inaba (Berchem-Sainte-Agathe),
-Raahma (Ville de Bruxelles),
-El Mohsinine (Saint-Gilles).
La Wallonie à la traine.
En Région wallonne, c’est une autre paire de manches. Et c’est encore plus compliqué. Malgré des demandes répétées, le cabinet du ministre Pierre-Yves Dermagne (PS) n’a pas souhaité transmettre d’informations sur les cinq mosquées en passe d’être reconnues. Car, fait valoir le cabinet du ministre, la procédure de reconnaissance doit en Wallonie recevoir l’aval… des provinces. Bref, les nouvelles mosquées wallonnes attendront encore un peu.
En Flandre, la reconnaissance des mosquées a viré au pugilat politique. La ministre flamande en charge de cette compétence, la N-VA Liesbeth Homans, a refusé de reconnaître les 20 mosquées flamandes ayant reçu un feu vert du Fédéral. L’Anversoise exige entre autres d’avoir accès aux rapports confidentiels de la Sûreté de l’État. « Je ne vais certainement pas accorder la reconnaissance aux mosquées sur base d’une petite feuille A4 de la Sûreté de l’État », pestait-elle dans le Standaard de ce mercredi. Du côté des démocrates-chrétiens flamands, on regrette que la N-VA politise un dossier a priori technique.
Clic pour voir la Source de l’article
###################################
####### Aujourd’hui en Palestine #######
####################################

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
.
Jérusalem libérée est le slogan du ministère de culture israélien en 2017
.
Ministère de santé: 7,8 % des cancéreux dans la Palestine sont des enfants
.
Hamas: Le Fatah montre son désir de poursuivre le blocus de Gaza
.
Le député arabe Ghattas de retour au tribunal
.
Ayesh appelle à un projet national unifié
.
Le ministère palestinien des affaires étrangères appelle à boycotter les banques d’Israel
.
Le prisonnier Mohammed al-Qiq en isolement dans la prison de Jalama
.
20 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et Jérusalem occupée
.
Le Cheikh Raed Salah toujours interdit de voyager et d’entrer à Jérusalem
.
Naplouse: l’occupation transforme une maison à Beit Fourik en centre d’interrogatoire
.
Les forces de sécurité de l’AP arrêtent un prisonnier libéré à Naplouse
.
L’OLP décide de recourir au Conseil de sécurité pour l’arrêt de la colonisation
.
La société israélienne d’électricité menace de couper l’électricité en Cisjordanie
.
Une Palestienne de l’intérieur occupé condamnée à 16 ans de prison
.
110 colons font irruption dans la mosquée d’al-Aqsa
.
L’UNRWA met en garde contre le blocus israélien à Gaza
.
Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.
Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com