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Flash info du 8 Cha’ban 1438.

Flash info du 8 Cha’ban 1438.
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La mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) : quand son regard se fixa…
Durant les semaines précédentes, nous nous sommes intéressés à la mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam). C’est ainsi que nous avons évoqué le pressentiment de sa fin proche, le début de sa maladie et ses soins, ainsi que sa douleur et ses derniers propos. Nous nous penchons aujourd’hui, mes frères et soeurs, sur les propos qu’il a tenus quand son regard se fixa ainsi que sur les dernières personnes à l’avoir vu (‘alayhi salat wa salam).
Quand son regard se fixa.
Lorsque la mort vint à lui, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) eut le regard qui s’est fixé. Il tint alors des propos que ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) a rapportés puisqu’elle était auprès de lui lorsqu’il a commencé à tomber malade jusqu’à ce que la mort l’emporte.
Elle relate ainsi : « Ce jour-là, le Messager d’Allah tomba malade et il coucha dans ma demeure. Un homme de la famille al Bakr entra chez moi avec en main un siwak vert. Le Messager d’Allah y posa son regar et je sus qu’il le voulait. Je demandai : « Ô Messager d’Allah ! Aimerais-tu que je te donne ce siwak ? ». Il répondit : « Oui ». Elle continue : « Alors, je le pris et l’assouplis, ensuite je le lui remis. Il l’utilisa comme je ne l’avais jamais vu le faire auparavant. Puis, il le posa et je trouvai le Messager d’Allah, affaibli, dans mon giron. Je voulus regarder son visage mais son regard restait figé, alors qu’il répétait : « Plutôt vers la compagnie la plus éminente, au Paradis ». Je dis alors : « Tu as eu le choix et tu as choisi, par Celui qui t’a envoyé avec la vérité ! ». Puis le Messager d’Allah mourut » (Al Boukhari). Lorsque son regard se figea, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) demandait à Allah de se retrouver avec la meilleure des compagnies qui puisse être au Paradis.
Il faut également savoir, chers frères et soeurs, que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam), contrairement au commun des humains, a eu le choix entre rester sur terre et retourner auprès de notre Créateur. C’est en ce sens que la mère des croyants raconte : « J’entendis que le Messager d’Allah ne pouvait pas mourir avant d’avoir eu le choix entre ce monde et l’au-delà. C’est alors qu’il fut pris par un enrouement durant la maladie qui causa sa mort. Je l’ai entendu dire : « Avec ceux que Tu as comblés de Tes bienfaits : les prophètes, les véridiques, les martyrs et les vertueux. Et quels bons compagnons que ceux-là ! » Je pensais alors qu’il avait reçu le choix. Le Prophète perdit connaissance dans mon giron. Je me suis mise à essuyer son visage et à invoquer pour qu’il guérisse. Il se réveilla et dit : « Je demande plutôt à Allah, de jouir de la compagnie la plus éminente et heureuse, celle de Jibril , de Mikail et d’Israfil« . (Ahmed). Il a ainsi fait le choix de retourner auprès d’Allah, tout en lui demandant la meilleure des compagnies qu’est celle des anges, il a d’ailleurs même cité leurs noms.
Quand la mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) approcha à grands pas, il le sentit et fit des invocations. ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapporte : « J’ai entendu le Messager d’Allah implorer au moment de sa mort : « Ô Allah, pardonne-moi, accorde moi Ta miséricorde et fais-moi rejoindre la compagnie la plus éminente »« (Al Boukhari et Muslim).
Lorsqu’il mourut, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) était auprès de son épouse ‘Aisha (qu’Allah l’agrée). C’est ainsi que la mère des croyants (qu’Allah l’agrée) raconte : « Le Messager d’Allah mourut alors qu’il se trouvait entre mon ventre et mon menton. Jamais je ne serai autant touchée de voir les affres de la mort de quelqu’un, après avoir vu celles du Messager d’Allah« (Al Boukhari). La mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut donc un instant extrêmement touchant et douloureux pour tous les musulmans.
Les dernières personnes à l’avoir vu.
Plusieurs personnes ont visité le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) avant sa mort, d’autant plus qu’il était malade. Ces compagnons l’ont ainsi vu comme Anas (qu’Allah l’agrée) qui rapporte : « La dernière fois que j’ai vu le Prophète c’était quand il tomba malade. Il ordonna à Abu Bakr de diriger les gens dans la prière. Tandis que nous accomplissions le dhohr, le Prophète souleva, de sa main, le rideau de l’appartement de ‘Aisha et contempla les gens. Je vis alors son visage. Il était telle une page du mushaf » (Al Boukhari et Muslim). Cette précision concernant le visage du Prophète (‘alayhi salat wa salam) signifie qu’il avait un visage resplendissant car la comparaison avec une page du Saint Coran suggère qu’il était lumineux. Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam), qui pourtant était souffrant, a ressenti ce besoin de voir sa communauté prier, comme il le lui a enseigné. Ce récit est touchant car il reflète la compassion que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) ressentait pour sa communauté et ce, jusqu’à son dernier souffle sobhanAllah.
D’après Oum Salama, le dernier a avoir vu le Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut son compagnon, cousin et gendre ‘Ali ibn Abi Talib (qu’Allah l’agrée). Oum Salama (qu’Allah l’agrée) raconte ainsi : « Par Celui par lequel Oum Salama jure, le dernier à avoir vu le Messager d’Allah fut ‘Ali. Le matin de sa mort, le Messager d’Allah envoya quelqu’un le chercher. Je pense qu’il le fit mander pour un besoin particulier. Il se mit alors à questionner, à trois reprises : « ‘Ali est-il arrivé ? ». Celui-ci vint avant le lever du soleil. Quand il arriva, je sus qu’il avait besoin de lui. Alors, nous sortîmes de la maison. Ce jour-là, nous avions rendu visite au Messager d’Allah dans la demeure de ‘Aisha. Je fus la dernière à sortir de la maison. Ensuite, je pris place au plus près de la porte. ‘Ali se pencha vers lui et il fut le dernier à le voir. Il lui confia des propres secrets, il lui fit des confidences » (Ahmed).
Nous savons à présent quelles furent les paroles du Prophète (‘alayhi salat wa salam) lorsque son regard se fixa ainsi que les personnes qui l’ont vu avant qu’il ne meurt. Nous poursuivrons prochainement, mes frères et soeurs, ce rappel sur la mort du meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam).
Que la prière et le salut d’Allah soient sur notre Prophète bien aimé. Qu’Il fasse de lui notre compagnon le jour où nous serons ressuscités.
AJIB.FR
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Lettre à ma sœur, à mon frère : apaise les conflits conjugaux.
Ma chère sœur, mon cher frère,
Je t’écris aujourd’hui pour évoquer un aspect de ta vie de couple. La vie à deux n’est pas sans embûche wal hamdouliLlah. Il nous faut donc être patients face aux conflits conjugaux et tendre ensemble vers la réconciliation. Laisse moi, te conseiller en ce sens, à la lumière du Saint Coran et de la Sunna.
Sache, ma chère sœur, mon cher frère, que le mariage est une institution des plus nobles en Islam. Elle représente la moitié de la foi pour celui qui fait preuve de patience et qui considère le mariage à sa juste valeur. Le mariage est un bienfait pour le musulman. Notre Seigneur n’a-t-il pas révélé : {Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous des épouses afin que vous éprouviez le repos auprès d’elles et Il a mis entre vous amour et miséricorde} (Sourate 30 : Verset 21) ? Ce verset prouve à lui seul le bienfait que représente le mariage pour notre communauté. Ainsi, lors de conflits conjugaux, souviens toi de l’importance du mariage. Combien de nos frères et soeurs vivent dans le célibat et sont éprouvés par cette situation ? Regarde le bienfait par lequel ton Seigneur t’a comblé(e), ma chère sœur, mon cher frère et considère le dans toute sa grandeur. Ainsi, pourras-tu prendre du recul lors de conflits conjugaux et réaliser que ton Seigneur t’a comblé(e). Proclame donc Sa grandeur et prosterne toi pour Le remercier comme le faisait notre prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam).
Oukhty, akhy, les conflits conjugaux constituent un phénomène tout à fait normal puisque tous les couples sont touchés par les tensions. Mais garde à l’esprit que tout conflit provient de Shaytane le lapidé, qu’Allah nous en préserve. C’est lui qui insuffle le mal dans l’oreille du croyant et qui le pousse ainsi à virer dans la désobéissance et la colère. Jabir (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Iblis pose son trône sur l’eau puis envoie ses troupes. Les plus rapprochés de lui sont ceux qui causent le plus grand trouble. L’un d’eux vient le trouver et dit : « J’ai fait ceci et cela » mais il lui répond : « Tu n’as rien fait ». Puis l’un d’eux vient le trouver et dit : « Je ne l’ai délaissé jusqu’à l’avoir séparé de son épouse ». Alors, il le rapproche de lui et dit : « Toi tu es bien » et il le serre contre lui ». (Muslim). Nous savons donc, ma sœur, mon frère, que la séparation d’un homme et sa femme provient de Shaytane et ses associés. Mais avant la séparation, le couple traverse des conflits qui eux aussi, sont causés par les ruses de Shaytane. C’est ainsi qu’il te faut, ma chère sœur, mon cher frère, garder en tête que tout conflit provient de lui. En cas de conflit conjugal, il te faut donc demander refuge auprès d’Allah et te montrer sincère dans tes invocations : invoque Allah pour qu’Il préserve ton couple, qu’Il l’éloigne de la turpitude et des tensions et que Shaytane ne puisse pas s’immiscer dans ton union. Sois convaincu(e) qu’Allah écoute tes invocations et qu’Il les exaucera car Il ne se détourne pas du cœur d’un serviteur pieux et sincère.
Ma chère sœur, mon cher frère, lorsque survient un conflit dans ton couple, médite sur ton comportement et remets-toi en question car personne n’est sujet à la perfection. Les torts sont souvent partagés : bien que l’un ait eu tort en premier, l’autre ne doit pas le suivre dans cette tension et doit le rappeler vers Allah. Nous devons adopter un bon comportement et faire preuve de patience, quand bien même notre conjoint se laisse emporté par ses émotions. Cheikh Muqbil (qu’Allah lui fasse miséricorde) a conseillé aux couples musulmans : « Ce que nous recommandons aux époux c’est de s’entraider dans le bien et la piété et je leur conseille également d’adopter un bon comportement des deux côtés, le Shaytane cherche à séparer la femme de son mari. L’homme doit bien se conduire avec sa femme comme vous avez pu l’entendre dans les Hadiths « Comportez-vous bien avec les femmes » […] La femme également doit craindre Allah à travers son mari ». Ainsi, chacun des deux membres du couple a des droits sur l’autre mais également des devoirs envers lui. Tu te dois donc, ma sœur, mon frère, de mettre en pratique tes droits et devoirs tout en respectant ceux de ta moitié. Ton couple n’en sera que plus apaisé inchaAllah.
Enfin, n’oublie pas, oukhty, akhy, que tous les couples sont touchés par les tensions mais qu’il faut accueillir cela comme une épreuve à surmonter et un moyen de te rapprocher, avec ta moitié, du Tout Puissant. Le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) rencontrait également des tensions avec ses épouses (qu’Allah les agrée) mais il faisait en sorte de les apaiser. Il prenait sur lui, rassurait ses épouses, les taquinait et les faisait sourire lorsque celles-ci ressentaient de la colère contre lui. ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapporte en ce sens que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) lui a dit : « Ô Aisha, je sais quand tu es en colère contre moi et quand tu es contente. – Comment sais-tu cela ? Demanda-t-elle. – Lorsque tu es contente, dit-il, tu jures en disant : « Certes non, par le Seigneur de Mohamed ! » mais lorsque tu es en colère tu dis : « Certes non, par le Seigneur d’Ibrahim ». Elle dit : « C’est vrai, mais par Allah, je n’abandonne que ton nom ».(Al Boukhari et Muslim). Malgré les conflits, les tensions et les désaccords qui peuvent subsister au sein du couple, l’union de deux êtres est un bienfait émanant de notre Seigneur. Il te faut donc considérer ce bienfait dans toute sa splendeur, ma chère sœur, mon cher frère, t’éloigner autant que possible des insufflations et demander protection à Allah. Et lorsque le conflit survient, prends du recul, remets-toi en question, dialogue avec ton conjoint et rapprochez-vous ensemble de Celui qui vous a unis dans le bien.
J’espère que ces quelques paroles sur les conflits conjugaux et le comportement face aux tensions, te permettront de prendre du recul au quotidien et de faire preuve de patience dans ta vie de couple.
Qu’Allah éloigne nos couples de la turpitude, des conflits et des tentations. Qu’Il préserve et augmente l’amour entre conjoints et apaise les tensions.
AJIB.FR
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Somalie : pour la première fois en 6 ans, il est de nouveau question de famine.
Plus d’un million d’enfants risquent d’être touchés par une malnutrition aiguë en 2017 selon l’UNICEF. C’est la première fois depuis 6 ans que le mot famine resurgit.
La définition d’une famine est caractérisée par un accès très réduit à la nourriture de base par plus de 20% d’une population, un taux de mortalité supérieur à 2 personnes pour 10 000 par jour et une malnutrition aiguë touchant plus de 30% de la population.
Les enfants sont comme toujours les premiers touchés par cette tragédie et connaissent des risques très élevés de mourir d’après le Fonds des Nations unies pour l’enfance.
« La projection du nombre d’enfants qui souffrent ou souffriront de malnutrition aiguë a augmenté de 50 % depuis le début de l’année, à 1,4 million », d’après une porte-parole de l’Unicef, Marixie Mercado, faisant allusion aux projections pour 2017. Plus de 275 000 d’entre eux « souffrent ou souffriront de malnutrition aiguë sévère en 2017 », a-t-elle précisé lors d’un point de presse.
Les enfants touchés par la malnutrition aiguë sévère connaissent des risques neuf fois plus élevés de mourir que les enfants bien nourris.
Cette situation fait échos à celle de 2011 durant laquelle 260 000 personnes sont mortes dont la moitié était des enfants de moins de cinq ans.
Une sécheresse d’envergure majeure touche la Corne de l’Afrique ce qui a obligé 615000 personnes à se déplacer en plus des 1,1 million déjà déplacés.
« La combinaison sécheresse, maladies et déplacements est mortelle pour les enfants, et nous avons besoin de faire beaucoup plus, et plus rapidement, pour sauver des vies », a affirmé le représentant de l’Unicef en Somalie, Steven Lauwerier. L’Unicef souligne également que « les femmes et les enfants qui se déplacent, bien souvent à pied, vers des lieux où ils espèrent trouver de l’assistance, soient souvent victimes de vol ou pire, aussi bien durant le trajet que dans les camps ».
islametinfo.fr
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France : Présidentielle 2017 : ni FN ni abstention, crie la Fédération du scoutisme français.
Depuis le premier tour qui a annoncé le duel entre Emmanuel Macron et Marine le Pen, de nombreuses personnalités et associations ont donné aux citoyens des consignes de vote pour le 7 mai prochain.
« Allons voter, le pire est possible. » La Fédération du scoutisme français a lancé un appel au vote mardi 2 mai. Parmi les signataires figurent les sept représentants des associations de scoutisme en France : Elsa Bouneau, présidente de la Fédération du scoutisme français, Isabelle Dhoyer, présidente des Éclaireuses Éclaireurs De France, Jérémie Haddad, président des Éclaireuses Éclaireurs Israélites de France, Bastien Isabelle, président des Éclaireuses Éclaireurs de la Nature, Pierre Msika, président des Éclaireuses Éclaireurs Unionistes de France, Gilles Vermot- Desroches, président des Scouts et Guides de France, et Abdelhak Sahli, président des Scouts Musulmans de France.
« En tant que scout, guide, éclaireur et éclaireuse, nous passons du temps à éduquer des enfants et des jeunes à devenir des citoyens libres, heureux, utiles, actifs et artisans de Paix et l’ambition du projet scout s’oppose à la vision défendue par le front national », explique la fédération. « Le 7 mai prochain, il ne s’agira pas juste d’une élection présidentielle, il s’agira d’un choix de société, d’un choix décisif, d’un choix qui nous engage. Une société ne se construit pas uniquement par les hommes et les femmes politiques, elle se construit aussi parce que chacun de nous prend une part active dans la construction de notre avenir. »
« Que l’on soit partisan de l’autre projet présent au second tour ou pas du tout, il n’y a aujourd’hui qu’une solution sûre pour repousser celui du FN : voter pour son adversaire le 7 mai. Directement ou par procuration », indique-t-elle, appelant ainsi à voter en faveur d’Emmanuel Macron sans pour autant le citer nommément.
« Avec plus de 50 millions d’autres scouts et guides dans le monde, lutter contre la haine, la peur, le repli sur soi, le rejet de l’autre, nous le faisons tous les jours et nous apprenons aux enfants et aux jeunes à se construire un esprit critique, à être fidèle à la promesse scoute », signifie la fédération, qui rappelle qu’elle a été créée en 1941, « en pleine Seconde guerre mondiale, en partie pour défendre l’un de ses membres, les éclaireurs israélites ».
Voter blanc ou s’abstenir ne fait pas partie non plus des recommandations des responsables du scoutisme. « S’abstenir c’est refuser de choisir et renvoyer dos à dos ce qui n’est pas de même nature. L’alternative du second tour ne permet pas ce « non choix » », estime-t-elle, appelant les citoyens à se mobiliser pour les élections législatives, qui « pourront rouvrir alors d’autres choix ».
saphirnews.com
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France : Isère : un homme en flagrant délit de tags sur une mosquée.
Dans la nuit de samedi 29 avril au dimanche 30 avril, un jeune homme a été surpris en flagrant délit de tags sur la mosquée Abou Bakr, située à Bourgoin-Jallieu, dans l’Isère. Il avait inscrit sur les murs de la mosquée « Islam hors de l’Europe » ainsi que des propos anti-Macron à côté d’une croix celtique.
Sous emprise de l’alcool au moment des faits, l’homme ne s’explique pas son geste mais a reconnu avoir tagué les murs de la mosquée Abou Bakr avant d’expliquer aux enquêteurs,selon France 3, ses liens avec un groupe d’extrême droite lyonnais.
Interrogé par France Bleu, un des responsables de la mosquée a déclaré que « l’alcool n’excuse pas tout ». Les inscriptions ont été enlevées dans la journée de dimanche. Une plainte a été déposée par la direction de la mosquée Abou Bakr.
saphirnews.com
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France : Marine Le Pen serait une descendante du Prophète Muhammad .
L’information prête à rire mais elle nous est délivrée par l’AFP sur la base de déclarations du généalogiste Jean-Louis Beaucarnot. L’auteur du Dictionnaire étonnant des célébrités a déclaré auprès de l’agence que Marine Le Pen est une descendante du roi Louis VI le Gros et… du Prophète Muhammad.
Si la généalogie de son père Jean-Marie Le Pen est « 100% bretonne », celle de sa mère Pierrette Lalanne possède en revanche « des ancêtres variés et parfois surprenants ». En se penchant du côté de sa grand-mère maternelle, on découvre « une famille Foulquier, dont les aïeux étaient marchands au XVIIe siècle à Pousthomy », dans l’Aveyron.
Puis, en remontant la lignée, on tombe sur une certaine Anne de Roquefeuille qui « descend du roi de France Louis VI le Gros, des rois d’Angleterre – par Henri II et Aliénor d’Aquitaine – mais aussi des anciens rois d’Espagne et, par ces derniers, des Omeyyades d’Andalousie, des califes de Damas et, à la 50e génération… de Mahomet lui-même ! », assure Jean-Louis Beaucarnot.
Emmanuel Macron n’a pas non plus à rougir de son ascendance puisqu’on trouverait parmi ses ancêtres, une branche Le Vaillant, seigneurs du Buisson et de la Pucelle, à Douai (Nord), par laquelle il descend du fondateur de la dynastie des capétiens, Hugues Capet. Jean-Louis Beaucarnot s’amuse de découvrir également, dans l’ascendance d’Emmanuel Macron, « quelques patronymes pittoresques, comme Dugland, Courtecuisse ou Nibard, ainsi qu’une belle et longue lignée de… Bosseur, à Launoy, dans l’Aisne ».
Mise à jour : L’AFP a annulé sa dépêche, évoquant une erreur de publication. « Il s’agit d’une version validée par erreur », a-t-elle indiqué, jugeant avoir fait preuve d’un manque de « mise en perspective à J-4 du second tour ». Elle ne dit cependant pas que l’information est bidonnée.
saphirnews.com
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Indonésie : le premier congrès national de savantes musulmanes initié.
Une première dans le plus grand pays musulman au monde. L’indonésie a organisé fin avril son premier congrès national des femmes savantes (oulémas). Près de 300 théologiennes et responsables religieuses musulmanes se sont donnés rendez-vous pendant trois jours à Cirebon, dans le nord-ouest de l’île de Java. La majorité des participantes sont indonésiennes mais plusieurs d’entre elles ont fait le déplacement depuis le Nigeria, le Kenya, le Pakistan ou encore l’Afghanistan.
Les discussions ont porté sur trois grandes thématiques : la question des dégâts environnementaux, les violences sexuelles et le mariage des enfants. A l’issue de ce congrès, les participantes ont émis une fatwa contre le mariage des enfants en Indonésie. Les responsables religieuses ont demandé au gouvernement de relever l’âge du mariage à 18 ans pour les femmes aujourd’hui fixé à 16 ans. Il est fixé à 19 ans pour les hommes. Lukman Hakim Saifuddin, ministre indonésien des Affaires religieuses, a indiqué qu’il allait porter les recommandations du congrès au gouvernement.
La décision a été saluée par l’UNICEF. « C’est un moment marquant dans les efforts visant à mettre fin au mariage des enfants en Indonésie, où en moyenne plus de 3 500 filles sont mariées tous les jours », a déclaré Gunilla Olsson, représentante de l’Unicef en Indonésie. Selon l’organisation, une Indonésienne sur six serait en effet mariée avant l’âge de 18 ans. Chaque année, près de 340 000 jeunes filles seraient ainsi concernées.
« C’est le moment de reconnaître l’existence des femmes savantes et d’apprécier la contribution du clergé féminin », a déclaré à la BBC Badriyah Fayumi, une des organisatrices du congrès.
saphirnews.com
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Législatives en Algérie : Le Premier ministre invite les femmes à battre leurs maris s’ils refusent de voter.
Pas facile de convaincre les 23 millions d’électeurs algériens d’accomplir leur devoir civique demain, jeudi 4 mai, lors d’un scrutin législatif sur lequel plane l’ombre d’une forte abstention.
Alors que le gouvernement a élaboré un véritable plan d’attaque pour dissuader la population de céder aux sirènes du boycott, à grand renfort de spots publicitaires et d’affiches incitant à voter, le Premier ministre en personne, Abdelmalek Sellal, sans doute à bout d’arguments, a opté pour une boutade diversement appréciée dont il a le secret.
Dimanche 30 avril, à Sétif, devant un auditoire féminin qui lui était entièrement acquis, ce haut personnage de l’Etat a recommandé aux femmes de battre les maris récalcitrants à l’aide d’un bâton et de les « traîner » vers les bureaux de vote, au cas où ils se perdraient en chemin…
Coutumier des plaisanteries de plus ou moins bon goût, Abdelmalek Sellal a manifestement déclenché l’hilarité générale en lançant : « Et celui qui ne vote pas, frappez-le avec un bâton ! ». Reste à savoir si la menace du rouleau à pâtisserie poussera vers les isoloirs ces époux peu dociles qui les fuient…
oumma.com
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Suède : des femmes musulmanes manifestent pour le 1er mai pour le droit de travailler voilées.
En Suède, la célébration de la Fête du travail, lundi 1er mai, a pris une coloration revendicative inédite, sous l’impulsion de femmes musulmanes qui ont profité de cette journée internationale des travailleurs pour briser la chape de plomb du silence qui a entouré l’arbitrage rendu, le 14 mars dernier, par la Cour de justice européenne (CJUE) au sujet du port du voile dans la sphère professionnelle et pèse désormais sur elles.
De Stockholm à Malmö, en passant par Göteborg, Vasteras, Sala et Umea, elles sont descendues nombreuses dans les rues pour exprimer leur mécontentement, teinté d’inquiétude, face à une décision judiciaire qui autorise les employeurs du secteur privé à interdire les signes religieux au sein de l’entreprise, en d’autres termes qui légalise la mise à l’index des femmes revêtues d’un hijab dans le monde du travail.
Alors que leurs concitoyennes non musulmanes se heurtent encore et toujours à des plafonds de verre indestructibles, ces Suédoises voilées, à l’instar de leurs coreligionnaires disséminées dans les autres pays européens, sont confrontées à des freins non pas invisibles, mais bel et bien visibles, qui nuisent à leur accession à l’emploi dans l’indifférence générale, voire pire encore, avec l’assentiment du plus grand nombre.
« Mon hijab n’est pas votre affaire », ou encore « Travailler, c’est notre droit », c’est en scandant ces slogans à la forte résonance qu’elles ont manifesté dans l’ensemble du pays, se mêlant à une foule hétéroclite mue par d’autres exigences, emmenées par leur chef de file, Maimuna Abdullahi, l’une des chevilles ouvrières de ce rassemblement qui a déjà fait date.
« Les femmes musulmanes n’ont pas l’habitude de participer à des manifestations, d’autant plus de cette ampleur, et il était essentiel qu’elles aient une visibilité, en ce 1er mai emblématique, parmi les autres manifestants, issus de tous les horizons, qui luttent traditionnellement pour les droits du travail », a expliqué Maimuna Abdullahi dans un entretien accordé à Al Jazeera.
« J’ai marché parce que j’ai le droit de m’habiller comme bon me semble. Cette marche avait vocation à éveiller les consciences et à rompre l’omerta qui entoure les droits des musulmanes dans l’entreprise », a insisté Khaali Mohammed, tandis que Maimuna Abdullahi déplorait, de son côté, l’inertie avec laquelle la Suède, « ce pays salué pour son respect des droits de l’Homme », a accueilli le verdict de la Cour de justice européenne, tombé comme un couperet sur les minces espoirs des femmes voilées.
Toutes deux arboraient fièrement à leur boutonnière le logo spécialement conçu pour la manifestation par Aftab Soltani, représentant une femme musulmane « visiblement forte et engagée », capable de lutter pour ses droits fondamentaux, à mille lieues de l’image dévalorisante de la femme musulmane, éternelle victime expiatoire, qui est ancrée dans l’inconscient collectif.
« Lorsque nous avons téléchargé une vidéo appelant à l’action le 1er mai, plusieurs personnes à travers le pays, musulmanes et non musulmanes, nous ont contacté pour organiser leur propre marche, conscientes que cette décision judiciaire est foncièrement injuste », s’est réjouie Maimuna Abdullahi, heureuse que ce premier rassemblement, placé sous le signe de la défense des droits des travailleuses voilées sérieusement mis à mal, ait à ce point marqué les esprits.
oumma.com
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Des Saoudiennes exhortent les autorités à assouplir l’obligation du Mahram (tuteur).
Trop, c’est trop ! Des Saoudiennes en colère montent actuellement au créneau contre une mise sous tutelle qui les poursuit sans jamais relâcher la pression, jusqu’à s’immiscer dans le simple renouvellement d’un passeport, ce parcours administratif semé d’embûches quand, comme elles, on aspire à assouplir la règle du Mahram.
Confrontées à l’obligation d’être chaperonnées à chaque instant de leur vie, y compris devant le Département des passeports et de l’Etat civil, elles sont plusieurs à s’insurger contre les obstacles infranchissables que les institutions publiques dressent devant elles, sans considération aucune de leur situation personnelle.
Déplorant vivement que le nombre croissant de femmes recrutées dans les différentes entités gouvernementales n’ait nullement desserré le carcan d’interdits qui les emprisonne, ces frondeuses du royaume wahhabite exhortent aujourd’hui les autorités compétentes à déroger à un principe immuable afin de leur faciliter les choses.
Elles en appellent donc au bon sens et au pragmatisme de l’administration saoudienne pour leur permettre de renouveler leurs documents d’Etat civil sans avoir besoin de l’approbation d’un membre masculin de leur famille, notamment pour celles d’entre elles qui n’ont plus de parents vivants.
« Ces ministères ne tiennent pas absolument pas compte du fait que certaines femmes n’ont plus de famille pour les accompagner. Nous sommes toutes logées à la même enseigne », a critiqué Umm Faisal, la figure de proue de ce mouvement de contestation, devant la presse locale, renchérissant : « Nous comprenons que, en cas de voyage à l’étranger, les femmes doivent obtenir l’approbation de leur Mahram par courrier, mais il faut une certaine souplesse en ce qui concerne les autres cas de figure et autres problèmes que rencontrent les femmes ».
Elle est l’autre fer de lance de la protestation, Hadeel Al-Yusuf regrette fort, pour sa part, que les femmes employées dans de nombreux bureaux du ministère des Passeports soient peu qualifiées, et par conséquent pas habilitées à délivrer ou renouveler le précieux sésame. A ses yeux, il est impératif que les lois liées aux femmes soient reconsidérées, en moins liberticides, tout en estimant, elle aussi, parfaitement compréhensible que le consentement d’un Mahram soit exigé en cas de séjour à l’extérieur des frontières saoudiennes.
Face à une administration arc-boutée sur des règles gravées dans le marbre et en dépit du dialogue de sourd qui s’est établi avec le Directeur du ministère des passeports, le général Suleiman Al-Suhaibani, ces Saoudiennes ne se démontent pas, déterminées à faire entendre et valoir leurs doléances.
oumma.com
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Un virus ce propage sur FaceBook très rapidement, et il infecte votre ordinateur,tablette et même votre téléphone.
Comment cela marche ?
Un message privé vous est envoyé sur votre compte FaceBook de la part d’un parfait inconnu vous signalant qu’une vidéo dans laquelle votre nom est présent et elle circule sur le réseaux, mais au moment de cliquer sur le lien de la vidéo pour la regarder, un message apparait vous demandant d’installer une extention FaceBook pour voir cette vidéo, et une fois cette installation terminer, le virus ce propage à tout vos contacts et ouvre les portes aux pirates informatique qui utilise a distance votre ordinateur, pour attaquer des serveurs…
Solution ? Ne jamais installer cette FAUSSE extention FaceBook.
Cette extention porte le nom de EKO , et si part un malheureux hazard vous l’avez déjà installer, il faut la retiré.
Les navigateur les plus infecté sont les plus connu, Firefox, Chrome, et Edge ( internet explorer).
Faites circuler l’info, innch Allah.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

CLIC POUR VOIR LA SOURCE
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Le Président du Parlement arabe, Mechaal Messalami a appriécié l’approbation du Conseil exécutif de l’UNESCO de la décision confirmant la nullité des mesures d’état de l’occupation israélienne dans la ville de Jérusalem.
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Mechaal invite le monde à saisir l’occasion de traiter avec le Hamas
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Les Palestiniens à l’étranger invitent leurs ambassades à activer la question des prisonniers
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Blessés lors d’affrontements avec les forces d’occupation au nord de Hébron
.
50 dirigeants du mouvement captif rejoignent la grève de la faim illimitée
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Rwaidy: Israël veut réduire la présence palestinienne à Jérusalem à 15%
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Des résistants ouvrent le feu sur une tour militaire israélienne au sud d’Hébron
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Khalil al-Hayya appelle les jeunes de la Cisjordanie à confronter l’occupation pour soutenir les prisonniers
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Affrontements avec l’occupation au sud de Jénine
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Al-Qassam accorde 24 heures à Israël pour répondre aux demandes des prisonniers
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Incursion israélienne limitée à l’est de Khan Younès
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Naplouse: Rituels et actes provocateurs des colons au carrefour de Yitzhar
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L’occupation a arrêté 60 enfants en avril dernier
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L’occupation arrête des civils palestiniens du camp de Fawar à Hébron
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L’UNESCO considère Jérusalem comme une ville occupée
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Un colon israélien tué par erreur au barrage de Hazma
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 17 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 17 Joumada Al Awwal 1438.
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Des mérites de l’apprentissage du Coran aux enfants.
Il ne fait aucun doute que faire apprendre le Coran aux enfants est essentiel dans l’éducation islamique. Notre rôle en tant qu’éducateurs : parents, oncles, tantes, frères ou sœurs est de sensibiliser nos enfants à cet apprentissage et à l’amour envers le Saint Coran.
Que de mérites et de bienfaits découlent de l’apprentissage du Coran. Cela l’est davantage lorsque l’on fait apprendre le Livre d’Allah à nos enfants. En nous basant sur les parcours des différents grands savants de l’Islam, nous allons montré que cet apprentissage est au cœur de la religion, du bon comportement et de l’accès au Paradis incha Allah.
« Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et l’enseigne ».
Faire apprendre le Saint Coran à autrui fait partie des recommandations du Prophète (‘alayhi salat wa salam). En effet, le célèbre hadith rapporté par Al Boukhari selon ‘Uthman (qu’Allah l’agrée) dans lequel le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et qui l’enseigne ensuite » soulève à lui seul le grand mérite d’apprendre la Parole Sainte et de l’enseigner incha Allah. Sachant que nous devons veiller à bien éduquer nos enfants qui sont les adultes de demain incha Allah, il va de soi que leur enseigner le Coran fait partie intégrante de nos devoirs en tant que musulman.
De même, cet apprentissage permettra à nos enfants d’accéder à un mérite incommensurable, à savoir le Paradis et l’élévation en degrés incha Allah. C’est ainsi que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a expliqué selon ‘Umar ibn al Khattab (qu’Allah l’agrée) qu’« Allah élève certains gens par ce Livre, comme Il en rabaisse d’autres » (Muslim). Dans un autre hadith, selon Bourayda Al-Aslamî (ra), le Message d’Allah (psbL) a dit : « Celui qui a lu le Coran, l’a appris et l’a appliqué, sera paré le Jour de la Résurrection d’une couronne de lumière, dont la clarté est semblable à celle du soleil. Ses parents seront vetus de deux habits plus précieux que le monde entier. Ils diront alors : »Pourquoi avons nous ainsi été vêtus ? » Et il leur sera dit : « Pour avoir poussé votre enfant à apprendre le Coran » » (rapporté par Ibn Abi Chayba, Ahmad, Ad-Darimî, Al-Hakim hadith authentique selon les critères de Muslim).
À nous de faire en sorte qu’Allah élève nos enfants dans l’Au-Delà par le biais de cet apprentissage et de sa mise en pratique.
De l’apprentissage des savants lorsqu’ils étaient enfants.
L’importance de l’apprentissage du Saint Coran aux enfants a été saisie par des parents de savants. C’est ainsi que de nombreux savants ont mémorisé le Saint Coran avant leur puberté. Parmi eux, l’imam ash-Shafi’i (qu’Allah lui fasse miséricorde) a appris le Coran en entier à l’âge de sept ans, l’Imam à Ach-chafi’i (ra) rapporte : « J’ai appris le Coran alors que j’avais sept ans, et j’ai appris Al-Mouatta’ quand j’en avais dix ». De même, les pieux prédécesseurs (qu’Allah leur fasse miséricorde), veillaient à apprendre le Coran et à l’enseigner à leurs enfants. Soufian Ibn ‘Ouyayna (ra) a dit : « J’ai appris le Coran alors que j’avais quatre ans, et le hadith alors que j’en avais sept ». Ibn Abi hatim (ra) a dit : « Mon père ne me laissa pas apprendre le hadith avant d’avoir appris le Coran avec pour maître Al-Fadhl Ibn Chadhan ».
Il est de notre devoir d’inculquer à notre progéniture l’amour du Saint Coran ainsi que son apprentissage. Ainsi, la mère de l’imam Malik (qu’Allah lui fasse miséricorde) était très impliquée dans l’éducation islamique de son enfant. Elle l’envoyait auprès des savants afin qu’il apprenne d’eux. Parmi ces savants, citons Rabi’a ibn ‘Abderrahman chez qui l’imam Malik a appris la jurisprudence. Sa mère lui disait alors « Va voir Rabi’a et apprend ses bons comportements avant sa science ». Avec l’aide d’Allah et une mère investie dans son apprentissage religieux, l’imam Malik (qu’Allah lui fasse miséricorde) est donc devenu l’éminent savant que nous connaissons.
Ainsi, faire apprendre le Saint Coran à nos enfants leur permettra de bénéficier d’immenses mérites. Quant à nous, nous en tirons également de grands bienfaits. Nous nous ne pouvons imaginer certains de ces bienfaits. En effet, selon Sahl ibn Mu’adh el Juhani (qu’Allah l’agrée), le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Les parents de celui qui lit le Coran et qui le met en pratique seront revêtus le Jour de la Résurrection d’une couronne dont la lumière sera plus éclatante que celle du soleil illuminant les maisons sur terre. Que pensez-vous alors de la personne elle-même ? » (Abu Dawud et Ahmed). Allahou akbar ! Une récompense inimaginable pour ces parents incha Allah, qu’en est-il donc de la récompense des enfants ? Ainsi, des mérites incommensurables pour nos enfants mais également pour nous, découlent de cet apprentissage du Saint Coran, de sa valorisation, de l’amour qu’il faut lui porter et surtout de sa mise en pratique incha Allah.
L’investissement dans l’éducation religieuse de nos enfants, et particulièrement l’apprentissage du Saint Coran, fera d’eux de bons musulmans incha Allah. Et si Allah le veut, Il fera également d’eux des habitants du Paradis, en notre compagnie.
Qu’Allah nous facilite à nous, ainsi qu’à nos enfants l’apprentissage du Saint Coran. Qu’Il fasse de Sa Parole le printemps de nos cœurs et le guide de notre comportement.
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Le saviez-vous ? Taqi al-Din, l’inventeur de la pompe à eau à 6 cylindres.
Taqi al-Din Mohammed ibn Ma’ruf al-Shami al-Asadi est un scientifique turc du Xe siècle qui a écrit de nombreux ouvrages traitant d’astronomie, d’astrologie, de mécaniques optiques et d’horloges mécaniques.
Celui qui est considéré comme l’un des grands inventeurs de pompes à eau de la civilisation ottomane-islamique a laissé derrière lui un ouvrage intitulé Kitâb al-Turuq al-saniyya fi al-alat al-ruhaniyya (livre des méthodes accomplies au sujet des machines de l’esprit). Ce livre qui s’inscrit dans la tradition mécanique arabe, décrit le fonctionnement d’un moteur à vapeur rudimentaire.
Plus de dix siècles plus tard les grandes marques de mécanique automobile s’inspirent de ses écrits pour inventer des voitures toujours plus puissantes les unes que les autres.
Le constructeur d’automobiles de luxe de sport allemand Porsche s’est directement inspiré de la description d’une horloge astronomique appelée «Huq -al – kamar» (la boite de la lune), des horloges hydrauliques, des instruments à sifflements perpétuels et des pompes hydrauliques pour construire sa nouvelle voiture la porche 911.
La 911 est l’automobile mythique de la marque qui signe l’identité de Porsche depuis 1963. Elle doit la puissance de son moteur 6 cylindres à l’invention de la pompe à 6 cylindres monobloc de Taqi al-Din.
Les éléments de cette pompe son révolutionnaires : six leviers sont mobiles autour d’un axe parallèle à l’axe de la roue hydraulique. L’une des deux extrémités de chaque levier est fixée à la boule du piston qui lui fait face , tandis que l’autre extrémité affleure une cheville. A chaque trou latéral est fixé un long tuyau. Les six tuyaux ainsi obtenus sont raccordés a un gros tuyau qui donne accès à un bassin vide .
Le fonctionnement est aussi très ingénieux: lorsque la roue hydraulique tourne, les chevilles pincent respectivement les leviers qui font soulever l’un après l’autre les pistons dans les cylindres afin que l’eau puisse être aspirée. Puis une fois que la cheville quitte l’extrémité du levier, le piston retombe dans le cylindre, sous l’action du poids de la boule, et l’eau est refoulée par l’ouverture latérale dans les tuyaux extérieures puis dans le gros tuyau.
Taqi al-Din fait partie de ces savants musulmans oubliés de l’Histoire dont l’occident reconnaît le génie pour mettre en pratique ces fabuleuses théories devenues les technologies d’aujourd’hui.
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La perte d’un enfant : de l’épreuve à la récompense divine.
La naissance d’un enfant : sans doute l’un des événements les plus heureux que l’homme puisse vivre dans ce bas-monde. Seulement, il arrive que ce bonheur soit interrompu par la perte de cet être cher, ce bout de soi que l’on a vu venir au monde et grandir pas à pas. Alors comment surmonter une telle épreuve ?
La patience, une arme face à l’épreuve.
Face à l’épreuve, la patience est la meilleure arme dont le musulman puisse disposer. Il est important de souligner chers frères et sœurs que la définition de la patience se divise en trois catégories à savoir : la patience en accomplissant les commandements d’Allah, la patience en s’écartant de ce qui a été interdit par Allah et la patience face aux épreuves et aux difficultés du Destin car « telle est la volonté d’Allah ». Face à la perte d’un enfant, il s’agit du troisième type de patience qu’est la patience face aux épreuves et aux difficultés du Destin.
Lorsque l’on perd un enfant, le monde s’assombrit soudainement, le silence de la mort s’accompagne de la douleur des larmes, la vie semble même perdre son sens. Pourtant, c’est dans ces épreuves que la vie gagne paradoxalement en sens. En effet, savoir qu’Allah nous éprouve est un des piliers de notre foi : croire au Destin qu’il soit bon ou mauvais. Ainsi, croire à ce Destin et l’accepter malgré la tristesse que cela puisse engendrer, fait partie de l’essence même de la croyance du musulman sobhanAllah. Pensons donc chers frères et soeurs, que perdre un enfant fait partie de la volonté divine et que cette volonté nous y croyons fermement.
La récompense divine, un réconfort dans l’épreuve.
Face à l’épreuve de la perte d’un enfant, la patience représente la clé de la délivrance. Mais comment parvenir à patienter dans une telle douleur ? Chers frères et soeurs, le fait de penser qu’Allah récompense les endurants aide le musulman fermement attaché à sa religion, à surmonter l’épreuve car la récompense divine est ce pour quoi nous œuvrons au quotidien. C’est ainsi que notre Seigneur a révélé : {Quiconque craint et patiente… Et très certainement, Allah ne fait pas perdre la récompense des bienfaisants} (Sourate 12 : Verset 90).
La récompense des patients est largement présente dans plusieurs versets et ahadiths. Cette récompense divine ne laisse donc pas l’once d’un doute dans nos cœurs et permet de surmonter les épreuves. Gardons également à l’esprit que notre Créateur nous aimera et nous assistera si nous patientons face à Son décret. En effet, rappelons Sa parole : {Ô vous les croyants, cherchez secours dans la patience et la prière car Allah est avec ceux qui patientent} (Sourate 2 : verset 153). Chers frères et soeurs, plus nous patientons face à l’épreuve, plus Allah nous assistera et nous facilitera cette épreuve sobhanAllah. Nous avons donc tout intérêt à faire preuve de patience pour qu’Allah soit notre allié et quel meilleur allié que Celui qui Subsiste et qui nous a créés ?
Le fait de patienter suite à la perte d’un enfant est une patience bien spécifique à laquelle le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a fait référence lorsqu’il a dit : « Il n’y a pas une seule femme parmi vous dont trois enfants meurent avant la puberté sans que cela soit pour elle un écran contre l’Enfer ». Une femme demanda : « Et pour deux (enfants) ? » Il répondit : « Et pour deux (enfants) aussi ». (Muslim). La récompense pour la patience face à la perte d’enfants est donc la protection du feu de l’Enfer sobhanAllah ! Bien que l’épreuve soit extrêmement difficile, la récompense pour ceux qui patientent est infiniment grande.
Soulignons notamment que la présence d’un entourage bienveillant est plus que nécessaire lors d’une telle épreuve. En effet, famille, amis, voisinage sont d’une aide primordiale. Le besoin de parler, de s’exprimer ou de partager sa tristesse peuvent permettre de patienter plus facilement. Le rôle de l’entourage est donc à souligner car il fait preuve d’un soutien essentiel.
Cette tristesse unique, évoquée par les compagnons.
Le fait que cette tristesse soit unique ne fait aucun doute. En perdant cet enfant, notre chair, notre sang, nous ressentons un vide incommensurable et une peine des plus profondes encore jamais ressentie auparavant. Cette douleur a été évoquée, décrite et reconnue par le Prophète (‘alayhi salat wa salam) et ses compagnons.
Rappelons que ‘Umar ibn al Khattab (qu’Allah l’agrée), deuxième calife de l’Islam et fidèle compagnon de notre bien aimé Prophète (‘alayhi salat wa salam) vit un homme porter un enfant sur son épaule. Il lui demanda alors : « Qu’est cet enfant pour toi ? » L’homme lui répondit alors « Mon fils », ce à quoi Umar répondit : « S’il vit longtemps, il sera une épreuve pour toi et s’il meurt, il t’attristera » (Tadhkiratoul Aba, p.27).
De même, lorsque l’on demanda à l’imam Soufian at Thawri « Quelle a été l’ampleur de ta tristesse pour ton fils ? », il a répondu : « J’ai pleuré de sang le jour de sa mort ». Pleurer son enfant est tout à fait humain, évident et compréhensible. Faire preuve de patience face à l’épreuve ne signifie nullement ne rien ressentir chers frères et soeurs. Evidemment, les larmes coulent, la tristesse est présente, la douleur est immense et rien de cela ne peut être nié ou blâmé.
Pleurer la perte, le manque ou la nostalgie est tout à fait normal même nécessaire afin de laisser l’âme exprimer son mal par le corps et faire en sorte que le deuil puisse avoir lieu. Rappelons que même le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) a pleuré la perte de ses enfants et petits enfants. En effet, Anas ibn Malik (qu’Allah l’agrée) a dit : « Nous assistâmes à l’enterrement d’une fille de l’Envoyé de Dieu (‘alayhi salat wa salam) et celui-ci était assis au bord de la tombe. Je vis ses yeux en larmes ».
Qu’Allah nous permette de surmonter les épreuves de ce monde et d’être patients. Qu’Il nous pardonne nos méfaits et nous compte parmi les bienfaisants.
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Canada : Montréal : l’opération portes ouvertes dans les mosquées a cartonné.
Une quinzaine de mosquées de Montréal, au Canada, ont ouvert leurs portes, dimanche 12 février, pour appuyer le dialogue entre les communautés. Deux semaines après l’effroyable attentat commis au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ), les Montréalais se sont déplacés nombreux pour venir s’informer, échanger et assister aux prières. Ils étaient entre 2 400 et 3 000 personnes selon les organisateurs à s’être déplacées dans une des mosquées montréalaises ouvertes pour cette opération d’envergure.
« L’objectif, c’est de permettre aux gens de peut-être mettre les pieds pour une première fois dans une mosquée et échanger avec les membres de la communauté, répondre aux questionnements, à la suite des événements de Québec», explique Bouazza Mache, porte-parole du Conseil musulman de Montréal, dans le JDM. Cela fait 18 ans qu’il organise ce genre d’opération.
Le ministre de la Défense Harjit Sajjan s’est rendu au CCIQ pour montrer sa sympathie envers la communauté musulmane. Il a dit qu’ « on ne se tient pas ici en tant que ministres, on se tient ici en tant que Canadiens, en tant que parents ».
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France : François Fillon à la rencontre des musulmans à La Réunion.
En déplacement de campagne sur l’île de La Réunion, François Fillon s’est rendu lundi 13 février à la Grande Mosquée de Saint-Denis, la plus vieille de France, inaugurée en 1905.
Le candidat de la droite et du centre a été accueilli par Iqbal Ingar, le président de la mosquée, qui, en discours d’introduction, a souligné qu’ « une parole raciste s’est libérée dans le pays et il appartient à nos dirigeants de montrer l’exemple ». « Faites en sorte que dans cette campagne les discours soient équilibrés, apaisés, à la hauteur des enjeux, non stigmatisants » a-t-il ajouté.
Pour sa part, Houssen Amode, président du Conseil régional du culte musulman (CRCM), n’a pas caché son scepticisme concernant le rapport de l’ancien Premier ministre à l’islam. « Nous sommes atterrés par le qualificatif d’islamique accolé au terrorisme » a-t-il expliqué, précisant que « cela n’a rien à voir avec l’islam ».
Une nouvelle injonction lancée aux musulmans
« Je comprends que vous soyez choqués quand on parle de « totalitarisme islamique » », a déclaré François Fillon, auteur du livre Vaincre le totalitarisme islamique. « Il vaudrait mieux dire que ce sont des totalitaires qui se réclament de l’islam, qui brandissent le drapeau de l’islam, qui essaient de s’accaparer l’islam » a-t-il concédé.
Le candidat de la droite a dit souhaiter voir « monter du fond même des citoyens français de confession musulmane ce cri de colère et de protestation contre les extrémistes, pas seulement contre les terroristes », mais « contre ceux qui déforment le message de l’islam et appellent à la division à l’intérieur de la communauté musulmane ».
Dans le même temps, François Fillon a tenté de rassurer la communauté musulmane, en faisant comprendre qu’il serait opposé à de nouvelles lois contre les signes religieux : « Je me bats pour la liberté religieuse, pour la liberté de toutes les religions. Je me bats contre ceux qui pensent qu’à chaque fois qu’il y a des débordements, de l’intégrisme qui monte au sein de la communauté musulmane, il faut durcir les lois de la laïcité et qu’il faut progressivement au fond réduire les libertés religieuses. Oui, je suis opposé à cette philosophie-là. Je suis opposé à ceux qui disent qu’on ne veut plus voir de signes religieux dans l’espace public. Mais ce n’est pas ma conception de la République, ce n’est pas ma conception de la liberté. Ceux qui réclament cela mettent en péril le pacte républicain ».
Avant la primaire le sacrant vainqueur, François Fillon avait été bien moins tendre avec la communauté musulmane. « Il n’y a pas de problème religieux en France. Il y a un problème lié à l’islam », affirmait l’ancien Premier ministre en septembre 2016.
Il a réclamé « l’interdiction de tous ceux qui sont en contradiction permanente avec les valeurs de la République » car « la République a le droit de se défendre contre ceux qui appellent à sa destruction ». Il a précisé que « la coexistence entre religions est exemplaire » à La Réunion, mais qu’elle « ne l’est pas partout sur le territoire national ». L’île de La Réunion compte 850 000 habitants dont 5 % de musulman et 85 % de chrétiens.
Il a proposé sa vision de l’organisation du culte musulman en France, souhaitant un autre rôle du CFCM. « Il faudrait un conseil français du culte musulman en tant qu’autorité religieuse », indique-t-il. « Nous avons besoin de religieux qui soient capable d’influencer la communauté musulmane. La deuxième chose dont nous avons besoin c’est d’un islam qui soit dégagé des influences étrangères. Vous avez évoqué La Réunion en expliquant que les imams sont salariés, en expliquant qu’il n’y a pas de financement étranger mais, monsieur le président, c’est exactement le modèle dont je rêve pour mon pays, pour la France tout entière ».
La veille de son déplacement à la mosquée, François Fillon a assisté à la messe dominical à Notre-Dame de la Paix de Saint-Gilles. Souligné par de nombreux journalistes sur place, le prêche du prêtre Russel Torpos a fait écho – hasard ou pas – aux affaires dans lesquelles l’ancien Premier ministre est empêtré : « Accorde-toi vite avec ton adversaire tant que tu es en chemin avec lui pour éviter que ton adversaire ne te livre aux juges, le juge aux gardes et qu’on ne te jette en prison ». Un extrait du chapitre 25 du livre 5 de l’Evangile de Saint Matthieu tout choisi, qui s’est poursuivi un moment : « Amen, je te le dis, tu ne t’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier sou. »
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Palestine : Israël : le projet de loi contre l’appel à la prière adopté .
Le gouvernement israélien a adopté, dimanche 12 février en fin de soirée, un projet de loi très controversé visant à interdire aux mosquées l’utilisation de haut-parleurs pour l’appel à la prière, rapporte la presse israélienne. Approuvé par le comité ministériel de législation, présidé par le ministre de la Justice Ayelet Shaked, membre du parti d’extrême droite Foyer juif, il sera désormais examiné au Parlement.
Le projet de loi, à l’initiative de Moti Yogev, député du parti Foyer juif, a été amorcé en mars 2016. Le « projet de loi sur la prévention du bruit des systèmes de sonorisation dans les établissements religieux » concerne a priori tous les lieux de culte mais il vise surtout les appels à la prière musulmane. Il a suscité l’incompréhension auprès des musulmans, l’appel à la prière du muezzin se faisant traditionnellement entendre cinq fois par jour. La nouvelle législation prévoit l’interdiction des haut-parleurs de 23 heures à 7 heures du matin, quasiment au même moment de la première et dernière prière de la journée selon les saisons. La loi concerne aussi les lieux de culte à à Jérusalem-Est, annexée par Israël, sauf à la mosquée Al-Aqsa.
« Cette loi ne porte ni sur le bruit ni sur la qualité de vie. Il s’agit d’une incitation raciste contre une minorité nationale », a dénoncé dans un communiqué le député arabe israélien Ayman Odeh, chef de file de la Liste unie. « La voix du muezzin résonnait bien avant les racistes du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu et elle résonnera encore après eux », insistait Ayman Odeh.
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La Turquie soutient financièrement le projet défendu par Yusuf Islam : une mosquée à Cambridge.
La poignée de main scellant leur accord a fait crépiter les flashes en Turquie, Yusuf Islam, 68 ans, alias Cat Stevens, le chanteur, auteur, compositeur britannique entré dans la légende des seventies, avait pris son bâton de pèlerin, musulman, pour solliciter l’aide précieuse du président turc Erdogan afin que le rêve d’une grande mosquée se matérialise à Cambridge.
Sous les feux des projecteurs pour la bonne cause, Yusuf Islam est volontiers passé de l’ombre à la lumière pour promouvoir cette belle réalisation qui lui tient à cœur et à laquelle l’homme fort d’Ankara a été très sensible, si l’on en juge par la teneur chaleureuse de son tweet posté mercredi soir, à l’issue de leur entretien : « Mon cher frère Yusuf, je te remercie pour ta visite et ta conversation sincère. Bienvenue en Turquie », a fait savoir publiquement Recep Tayyip Erdogan, en mettant en exergue la photo d’une rencontre placée sous les meilleurs auspices.
Ressorti enchanté de son entrevue avec le président turc, d’autant plus que son homme de confiance, Numan Kurtulmus, le Premier ministre en personne, lui a prêté la même oreille attentive, Yusuf Islam s’est enthousiasmé devant « ce merveilleux soutien » qui va contribuer à ce qu’un phare de l’islam sorte de terre à l’horizon 2018, niché dans un écrin de verdure, en plein cœur intellectuel de l’Angleterre.
De quoi lui inspirer une douce mélodie dont il a toujours le secret, comme l’a prouvé son grand retour sur scène en Amérique en 2014, sous la forme d’une ode à la générosité de la Turquie.
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Face à la polémique, un footballeur allemand choisit sa foi musulmane plutôt que sa carrière.
Il a de l’or au bout des crampons, mais rien ne saurait justifier à ses yeux de sacrifier ses convictions profondes sur l’autel de sa réussite footballistique, Änis Ben-Hatira, 28 ans, le célèbre milieu offensif tunisien né à Berlin et longtemps encensé par l’Allemagne admirative, est resté stoïque, fidèle à ses valeurs musulmanes, dans la violente tempête qui s’est abattue sur lui.
Ce fils d’un cuisinier qui quitta sa Tunisie natale dans les années 1970 pour Berlin-Ouest, où un nouvel avenir professionnel s’ouvrait devant lui, a montré très tôt de formidables dispositions pour le ballon rond, son talent inné en épatant plus d’un, sauf les racistes primaires qui n’avaient que l’insulte à la bouche.
« J’ai dû apprendre très jeune à me forger une carapace », a confié récemment celui qui fut l’étoile montante du football allemand, propulsé rapidement au sommet, sur les pelouses de la prestigieuse Bundesliga, sans jamais se laisser griser par sa gloire naissante, et encore moins par l’argent qui coulait à flots.
« Je demeure un modèle d’intégration pour les musulmans d’Allemagne », insiste à juste titre Änis Ben-Hatira, alors que la bourrasque de la polémique qui souffle sur lui depuis trois semaines a balayé ses illusions, ainsi que son contrat avec le Club de Darmstadt, mais ne l’a pas fait vaciller pour autant.
Ce vent mauvais qui a tenté de tout emporter sur son passage, et notamment son honorabilité, à grand renfort de tracts haineux, lui reprochant sa proximité avec l’association humanitaire Ansaar International – une organisation musulmane fondée par le rappeur converti à l’islam, Joël Kayser, et suspectée d’appartenir à la mouvance salafiste – lui a fait finalement entrevoir de nouveaux horizons, sous des cieux turcs plus cléments, au sein du club Gaziantepspor.
Sorti du cœur de la tempête encore plus fort qu’avant, conforté dans sa foi inébranlable, Änis Ben-Hatira, qui était en proie au désenchantement depuis un certain temps déjà, déplorant que les « musulmans soient les nouveaux juifs » en Allemagne et ailleurs, considère que l’ultimatum imposé par les dirigeants du club de Darmstadt, à savoir « rompre tout lien avec Ansaar International ou partir », aura été un mal pour un bien.
Non, il ne regrette rien, et surtout pas d’avoir vanté la transparence et les mérites de Ansaar International, dont l’aide précieuse apportée à l’enfance miséreuse de Berlin lui a valu de nombreuses récompenses, ni d’avoir contribué, l’été dernier, au financement de la construction d’une usine de traitement de l’eau dans la bande de Gaza.
Il se félicite au contraire d’avoir donné de son temps, de ses deniers et de sa personne pour une association de bienfaisance qui fait le bien autour d’elle en Syrie, en Somalie, et dans la plus grande prison à ciel ouvert du monde vivant sous le joug israélien dont il a n’a jamais craint de dénoncer le cynisme et la cruauté, notamment lors de l’offensive sanglante de 2014.
Si les principaux organes représentatifs de l’islam en Allemagne ne se sont pas précipités pour voler à la rescousse de Änis Ben-Hatira, se murant dans un silence révélateur de la peur de réactiver un énième débat sur « l’islamisme, le fondamentalisme…», des rappeurs très connus, arabes et turcs, l’ont en revanche soutenu publiquement. Il en a été de même sur les réseaux sociaux en effervescence, où la jeunesse musulmane allemande a fait bloc derrière son champion, voyant dans l’insidieux procès en sorcellerie qui lui est fait une discrimination flagrante.
« Si vous accusez Änis d’être un terroriste, alors nous sommes tous des terroristes !!! », a écrit un jeune internaute, solidaire et en colère, sur la page Facebook du footballeur.
« Ils voulaient me contraindre à m’éloigner d’un groupe de personnes qui œuvrent sans relâche pour le bien de l’humanité, en les diabolisant sans avoir la moindre preuve contre elles », s’est indigné Änis Ben-Hatira, avant de clamer avec force : « Rester fidèle à mes principes et à ce que je suis intrinsèquement, sans renier mes valeurs, cela a été plus important que ma carrière ».
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Michael Bennett et d’autres joueurs de foot de la NFL refusent d’aller en Israël.
« Je serai la voix des sans voix » a déclaré Michael Bennett joueur des Seahawks de Seattle, sur Twitter et Instagram vendredi soir, en soulignant qu’il ne serait pas utilisé pour la propagande du gouvernement israélien.
Le célèbre joueur de foot a rappelé que le défunt Muhammad Ali, un de ses héros, « a toujours soutenu fermement le peuple palestinien ».
Dans une lettre ouverte publiée par The Nation jeudi après-midi, activistes, écrivains et athlètes, dont Angela Davis, Alice Walker, John Carlos et Craig Hodges, ont appelé les joueurs de la NFL à reconsidérer leur participation à une tournée en Israël. Harry Belafonte et Danny Glover ont également signé la lettre.
« J’étais excité à l’idée de visiter cette région du monde historique. Ce que je ne savais pas, avant de lire un texte dans le Times of Israel, c’est que le voyage était organisé par le gouvernement dans le but avoué de faire de nous des têtes de pont » a expliqué Bennett, ajoutant :
« On ne m’exploitera pas de telle façon. Quand j’irai en Israël, je visiterai également la Cisjordanie et la bande de Gaza, où je pourrai voir comment les Palestiniens, qui y résident depuis des millénaires, y vivent leur vie ».
Kenny Stills, joueur des Dauphins de Miami, à retweeté la déclaration de Bennett, en ajoutant, « je ne pouvais pas dire mieux », indiquant qu’il se désistait aussi.
Martellus Bennett a retweeté également la déclaration de son frère, indique The Electronic Intifada.
Le quotidien israélien Haaretz se moque carrément de Netanyahou, en écrivant que ce dernier a réussi à marquer un but contre son propre camp, en se vantant de la venue de ces footballeurs, et en faisant ses gros titres sur la venue de Bennett, et le fait qu’il allait jouer contre l’équipe de football israélienne.
Le journal analyse la manière dont ces voyages de célébrités en Israël sont organisés pour que la politique en soit le plus possible exclue : petite excursion à la Mer Morte, mémorial de Yad Vashem, Hôpital de Rambam, communauté juive de Dimona, et visites de sites chrétiens, pour faire bonne mesure.
C’était le programme mis au point pour Bennett et les autres joueurs de la NFL, et le ministre israélien du tourisme, Yariv Levin, avait même affirmé : « Comme ça ils auront une image équilibrée d’Israel et ils retourneront chez eux en tant qu’ambassadeurs d’Israel » !
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Le saviez-vous ? : L’origine non islamique de la « Main de Fatma ».
La main de Fatma, pendant sur bien des rétroviseurs intérieurs de véhicules, et au cou de bien de jeunes filles insouciantes, est mondialement pensée comme l’un des symboles de l’islam traditionnel.
Et pourtant. Nulle trace de celle-ci dans le désert d’Arabie où la dernière des Révélations descendue aux Hommes connaîtra ses premiers fidèles. Encore moins de traces de celle-ci dans les textes scripturaires ou dans l’écrasante majorité des communautés musulmanes de ce monde.
Très présente, par contre, en territoire berbère, la « Tafust », son autre doux nom, était en fait déjà présente avant que l’islam ne gagne le cœur de ces nord-africains. Des traces de cette dernière ont pu ainsi être datées de l’époque carthaginoise, des siècles avant la naissance de Issa, paix et salut sur lui. On parle alors d’une main associée à la déesse Tanit, protégeant (déjà) du mauvais œil.
La « khamsa », encore un autre de ses patronymes, est aussi populaire dans certains foyers juifs. Le poisson considéré comme un symbole de chance, chez certains d’entre eux, nombre de ces mains de Fatma sont ainsi ornées de figures de l’animal. Quand d’autres sont simplement décorées de prières juives, »protégeant » les demeures ou son porteur lors de ses voyages. Certains des juifs ont aussi tendance à associer les cinq doigts de la dite main aux cinq livres de la Torah, et ce, particulièrement depuis le regain d’intérêt né autour du mysticisme juif, la Kabbale.
Y-a-t-il besoin de préciser que la même main est usée de façon similaire au sein de communautés chiites ?
À l’instar de la patte de lapin, du trèfle à quatre feuilles ou du fer à cheval ailleurs, la main droite ouverte est en fait un signe universellement utilisé pour sa soi-disante protection de par le monde, transcendant les religions comme les époques. Des cultures mésopotamiennes à celles de l’Inde bouddhiste, et donc des berbères anciennement polythéistes aux juifs et chiites, l’idée d’une main protectrice n’a absolument rien à faire de près ou de loin à l’islam et/ou à sa civilisation.
Chers frères et sœurs en islam, vous qui n’êtes sensés ne trouver protection qu’auprès du Seul et Unique apte à vous l’attribuer, outre le fait qu’elle vous soit étrangère, faites une bonne action, remettez cette amulette à sa juste place, à savoir, au choix, sous un marteau, ou dans une fonderie.
Qu’Allah nous préserve du chirk et de l’associationnisme.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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