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Flash info du 14 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 14 Joumada At-Thani 1438.
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Le torchon brûle entre la Turquie et les Pays-Bas, l’extrême droite s’en réjouit.
Le torchon brûle entre les Pays-Bas et la Turquie après que le Ministre des affaires étrangères turques n’ait pas pu atterrir à Rotterdam. En visite spéciale à l’occasion d’un meeting pro-Erdogan, l’officiel turc a dû rentrer à Ankara.
La réaction turque n’est s’est pas faite attendre et Erdogan a évoqué dans un discours des relents de fascisme en Europe. Après l’Allemagne, ce sont les Pays-Bas qui font barrage à la Turquie de Recep Erdogan qui s’est rapprochée de la Russie après un putsch avorté l’été dernier contre l’actuel président.
Des manifestations ont eu lieu dans la capitale hollandaise. Les forces de l’ordre ont violemment réprimé les manifestants qui s’était réunis spontanément.
L’extrême hollandaise, qui fait campagne contre l’islam et les minorités musulmanes, s’est réjouit d’une nouvelle victoire.
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islametinfo.fr
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La communauté musulmane au Québec.
Une émission au Québec a été diffusée pour que les citoyens connaissent mieux la communauté musulmane. L’islamophobie étant due en partie à de la pure ignorance qui amène à la peur puis la haine, il est intéressant de voir qu’il est possible d’informer les citoyens à la télévision sur l’Islam et les musulmans sans pousser à la violence.
Si évidemment, nous ne sommes pas obligés d’être d’accord sur toutes les analyses de l’invité du jour, il est important de diffuser ce genre de reportage qui se veut un message de coexistence. Le rôle des médias est essentiel aujourd’hui pour déconstruire les fantasmes autour de l’islam et des musulmans d’Occident.
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islametinfo.fr
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Une ministre turque stoppée par les chiens de la police aux Pays-Bas.
Après l’Allemagne qui a interdit des meetings turcs, ce sont désormais les Pays-Bas islamophobes qui provoquent une nouvelle fois la Turquie.
Non content d’avoir détourner l’avion du ministre des affaires étrangères turques c’est au tour de la ministre turque d’être arrêter par la police néerlandaise alors qu’elle se rendait dans un bâtiment officiel turc.
Une provocation islamophobe néerlandaise et une gageure qui contrevient à toutes les règles élémentaires de la diplomatie internationale.
Des sympathisants turcs ont tenu à exprimer leur indignation face à des mesures discriminatoires d’état jamais pratiquées en Europe même avec les plus fascistes ou racistes des partis européens en déplacement en Hollande. Le néerlando-israélien Wilders qui lui-même ne cessent à appeler à une guerre contre l’Islam et les musulmans peut s’exprimer sans gêne dans la rue comme dans les médias.
L’état néerlandais n’a donc pas hésité a lâché ses chiens policiers sur les manifestants turcs qui comprenaient femmes et enfants …
Une escalade islamophobe qui démontre à quel point l’Europe derrière ses parangons de vertus est la première à bafouer la liberté d’expression quand l’interlocuteur est musulman. Il faut également rappeler que les meetings prévus et interdits par l’état néerlandais concernaient des résidents turcs de nationalité turque.
Les politiques français islamophobes ont aussitôt fait connaître leur soutien au gouvernement fascisant néerlandais. Une collaboration qui demeurera pour longtemps un savoir faire bien français …
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islametinfo.fr
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Syrie : Après 5 ans de conflit, les bus de la ville sont à nouveau opérationnels à Alep.
Le système de transports publics d’Alep retrouve peu à peu une activité normale : utilisés comme des boucliers et des barricades lors des combats, les bus martyrs de la ville ont été remis en service après cinq ans d’inactivité.
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oumma.com
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France : Voter le 23 avril, pour quoi faire ?
Voter le 23 avril, pour quoi faire ? Si les élections servaient vraiment à quelque chose, disait Coluche, il y a longtemps qu’on les aurait interdites. Avant d’aborder les enjeux du futur scrutin, il faut sans doute en passer par cette cure de réalisme. Car, on le sait d’expérience, il n’y a pas grand-chose à espérer des élections, elles ont rarement changé le cours des événements, et elles se résument souvent à un rituel où le peuple s’imagine qu’il a le choix. Cette illusion de la démocratie formelle est entretenue par ceux qui en tirent bénéfice, le simulacre électoral ayant pour principal effet de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
A la limite, le processus électoral pourrait passer pour un acte de souveraineté si les dés du jeu politique n’étaient pas pipés. Il exprimerait la volonté du peuple si cette volonté pouvait se formuler, librement, au terme d’une délibération collective digne de ce nom. On peut toujours rêver qu’il en soit ainsi, mais ce n’est pas le cas. Les médias de masse sont les larbins du capital, le débat démocratique s’apparente aux jeux du cirque et la confrontation des idées est dénaturée par les intrigues politiciennes. Dans ces conditions, la question se pose : faut-il céder, une fois de plus, le 23 avril, au fétichisme du bulletin de vote ?
On dira aussi, à juste titre, que c’est le mouvement populaire, et non le scrutin électoral, qui a arraché les principales avancées collectives qui ont fait de la France un pays doté d’un indice de développement humain élevé. C’est vrai. Sans les grèves massives et les occupations d’usines de 1936 et 1968, la condition des couches populaires serait pire. Sans la démonstration de force de la classe ouvrière organisée, dans ce grand moment fondateur que fut la Libération, nous n’aurions ni sécurité sociale, ni services publics, ni droits des travailleurs.
Or sa puissante volonté de changement, dans ces circonstances historiques, le peuple l’a également manifestée dans les urnes. Avec un PCF à 28%, en 1945, le rapport de forces était favorable. Le patronat collabo rasait les murs, la droite était aux abois, Maurice Thorez était vice-président du conseil et l’ouvrier Ambroise Croizat, ministre communiste, créa la “Sécu”. Présidé par de Gaulle, ce fut le meilleur gouvernement que la France aie connu. Il accomplit les réformes de structure dont le pays avait besoin, ces mêmes réformes qui subissent les assauts des forces réactionnaires depuis un quart de siècle.
En accompagnant le mouvement des masses, il arrive donc que le vote lui donne une traduction politique. On peut toujours vanter les charmes du spontanéisme (il a sa noblesse), on peut dénoncer la mascarade électorale, mais s’abstenir au moment crucial revient à laisser l’adversaire dicter ses conditions. Voter ou ne pas voter, au fond, c’est surtout une affaire de circonstances, de conjoncture politique. La question n’est donc pas : faut-il s’abstenir aux élections ? Elle est plutôt : en s’abstenant le 23 avril, obtiendra-t-on un résultat plus intéressant qu’en allant voter ?
Comme disait Yvon Gattaz, père et prédécesseur de l’actuel président du MEDEF dans les années 70, on ne fait pas la même politique économique et sociale avec un PC à 10% et un PC à 25%. Si nous en doutons parfois, les détenteurs de capitaux, eux, le savent bien. Une élection n’est jamais qu’un moment d’un processus plus vaste, et même si l’essentiel se joue ailleurs, elle contribue à cristalliser un rapport de forces. En appliquant cette maxime patronale à la situation actuelle, on voit bien qu’un vote significatif en faveur de la « France insoumise » ferait peser la balance du bon côté. Car le programme de Jean-Luc Mélenchon, certes, n’a rien de révolutionnaire, sans mouvement social il est voué à l’échec, mais il ouvre des perspectives intéressantes.
A y regarder de près, c’est le seul programme qui entend consolider les défenses immunitaires de ceux qui vivent modestement de leur travail, qu’ils soient ouvriers, employés, artisans, paysans, fonctionnaires, chômeurs ou retraités. Ce n’est pas un programme communiste, loin de là, mais un projet keynésien de gauche, à contenu fortement redistributif, qui associe relance par la demande, investissement public et rétablissement des droits sociaux. Son financement au moyen d’une réforme fiscale audacieuse, à rebours des pratiques libérales, en fait un programme socialement progressiste.
Là où le bât blesse, c’est que ce projet n’est réalisable qu’en dehors de la zone euro, voire de l’UE, et que le candidat ne le dit pas clairement. Selon lui, le plan A consistera à renégocier le contenu des traités européens et on appliquera le plan B (sortie de l’UE) si cette négociation échoue. Or il faudrait parvenir à s’extraire du monde réel pour parier sur le succès d’une telle négociation. Elle supposerait en effet que 26 Etats, subitement, se mettent à satisfaire les demandes françaises. Cette fausse alternative est donc une erreur, car elle brouille le message du candidat et entretient le doute sur ses intentions.
Cette ambiguité est d’autant plus regrettable que Jean-Luc Mélenchon se réclame à juste titre d’un « indépendantisme français » et préconise la rupture de la France avec l’OTAN. Contrairement à MM. Fillon, Macron et Hamon, il prend au sérieux l’héritage gaullien, il milite pour une diplomatie souveraine et stigmatise le suivisme d’un François Hollande qui a mis la France à la remorque des intérêts américains. En refusant de prôner explicitement le Frexit, la « France insoumise », par conséquent, manque de cohérence politique.
Sur ce plan, c’est François Asselineau qui a raison. On ne peut restaurer la souveraineté nationale – condition expresse de la souveraineté populaire – qu’en rompant les amarres avec l’OTAN et avec l’UE. Il faut sortir de l’OTAN, cette machine de guerre dont la raison d’être est de servir les ambitions impérialistes de Washington. Mais il faut aussi rompre avec l’UE, car la fonction de cette instance supranationale est de soustraire la politique économique à la délibération démocratique. Ni plan A, ni plan B. La seule réponse, c’est le Frexit. Et le seul moyen d’y parvenir, c’est le référendum.
Marine Le Pen, dira-t-on, veut aussi restaurer la souveraineté nationale. Mais son programme renoue avec l’ADN droitier du FN dès qu’il s’agit d’expliquer ce qu’on entend faire, une fois au pouvoir, de cette souveraineté rétablie. Son programme n’inclut ni redistribution des revenus, ni nationalisation des banques, ni contrôle des mouvements de capitaux, ni rien qui fâche de près ou de loin les possédants. Le rétablissement du franc ne manque pas de panache, mais ce changement restera purement cosmétique s’il ne s’accompagne de réformes de structure. Mme Le Pen n’en a prévu aucune. Pas plus qu’il ne conteste les hiérarchies sociales, le FN n’entend faire plier les puissances d’argent.
Comme l’expérience l’a montré, le FN prétend défendre les travailleurs, mais il les abandonne en chemin lorsque l’oligarchie s’attaque à leurs droits. Lors des grèves contre la Loi-Travail, Mme Le Pen réclamait l’intervention de la police contre les grévistes. Si elle est élue, le discours à tonalité sociale de Florian Philippot ne résistera pas deux mois. Il est stupide de qualifier ce projet de fasciste. En fait, c’est un projet banalement réactionnaire. On ne peut mener une politique progressiste qu’en sortant de l’UE, c’est vrai. Mais ce n’est pas parce qu’on veut sortir de l’UE qu’on va mener une politique progressiste !
Son discours monomaniaque contre l’immigration, bien sûr, offre au FN une rente de situation électorale. Comme s’il suffisait de mettre fin aux flux migratoires pour créer des emplois, le FN répète cette formule magique comme un mantra. Caresser dans le sens du poil l’islamophobie ou la xénophobie ambiante, toutefois, ne fait pas une politique. On se demande si ses électeurs croient vraiment aux fabuleuses économies que permettrait de réaliser la suppression de la prétendue facture migratoire, tant la ficelle est grosse. Pour séduire l’électorat populaire, en tout cas, le parti a besoin d’entretenir cette mythologie vieille comme le monde.
Du coup, non seulement il oppose les Français entre eux, mais il les berne en leur faisant croire qu’il y a un trésor de guerre, quelque part, dont il suffirait de se saisir. La stratégie du bouc-émissaire, chez Le Pen, est à double emploi. Elle fournit un dérivatif aux hantises et aux frustrations des victimes de la mondialisation. Mais, en même temps, elle masque les incohérences d’un projet qui entend redistribuer aux ouvriers sans toucher aux intérêts des possédants. La mono-causalité immigrée réconcilie tout le monde ! Véritable martingale, elle permettra d’augmenter les salaires tout en baissant les charges, et de financer de nouvelles dépenses régaliennes sans augmenter les impôts sur les riches.
Cette quadrature du cercle lepéniste, au fond, est la figure inversée du cercle carré des eurobéats (Macron, Fillon, Hamon) qui veulent perpétuer à tout prix la tutelle des marchés sur les Etats. Mme Le Pen veut la souveraineté sans la redistribution tout en prétendant le contraire, ce qui est à la fois incohérent et réactionnaire. M. Fillon, lui, ne veut ni la souveraineté ni la redistribution, ce qui est à la fois cohérent et réactionnaire. M. Hamon veut la redistribution mais pas la souveraineté, ce qui est absurde. M. Macron veut tout et son contraire, et d’ailleurs il se moque des programmes. M. Mélenchon veut la redistribution, mais il devra imposer la souveraineté (plan B) pour y parvenir. Car une chose est sûre : les marchés ne lui offriront pas l’opportunité de temporiser.

oumma.com
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Les soldats italiens ne veulent pas aller à la frontière russe.
Dans une interview accordée à Sputnik, Tommaso Longobardi, un des auteurs de la pétition contre l’envoi de soldats italiens à la frontière russe, a expliqué les raisons qui ont incité plus de 20.000 Italiens à s’exprimer sur ce sujet.
Plus de 20 000 Italiens ont signé une pétition afin de protester contre l’envoi de 150 soldats italiens en Lettonie, à la frontière avec la Russie, dans le cadre d’une mission de l’Otan. « Puisque l’envoi de soldats italiens peut être qualifié de provocation contre la Russie, cette action doit être interdite dans un pays qui rejette la guerre dans sa Constitution », indique la pétition.
Tommaso Longobardi, un célèbre blogueur italien et un des auteurs de cette pétition, explique que cette dernière a été lancée pour offrir l’occasion d’exprimer leurs points de vue à des milliers d’Italiens qui considèrent cette décision comme injuste et dangereuse.
« La Constitution [italienne, ndlr] dispose clairement que « l’Italie rejette la guerre comme moyen d’attaque contre la liberté des autres peuples et comme moyen de résoudre les conflits internationaux ». Néanmoins, notre gouvernement se cache derrière l’excuse du “renforcement de la défense des pays d’Europe centrale et orientale membres de l’Alliance”, en utilisant le mot magique de “protection” pour masquer une provocation évidente contre la Russie… »
Cependant, cette pétition n’a pas d’effet juridique, mais elle a une grande importance symbolique, selon Tommaso Longobardi : les gens qui ont signé la pétition appartiennent à différents partis politiques. En la signant, ils expriment leur indignation à l’égard de cette initiative du gouvernement.
Même si les médias italiens n’ont pas réagi à la pétition, il y a plusieurs journaux étrangers qui ont contacté M. Longobardi :
« Je dois les remercier pour m’avoir donné l’occasion de partager l’opinion de milliers d’Italiens avec d’autres pays. C’est pourquoi, je crois que la pétition […] a prouvé que de nombreux Italiens n’étaient pas d’accord avec la décision du gouvernement. »
Tommaso Longobardi explique qu’il ne partage pas l’opinion du leader du Mouvement 5 étoiles Beppe Grillo selon laquelle le gouvernement italien veut « entraîner l’Italie dans une guerre ».
« Il [le gouvernement italien, ndlr] n’a aucune autorité en dehors de l’Italie et c’est pourquoi il est obligé de suivre aveuglement la politique de l’Otan ».
La pétition sera envoyée au président Sergio Mattarella. Pourtant, Tommaso Longobardi ne croit pas que le chef de l’État italien prêtera attention à l’opinion des Italiens.
« Il suffit de rappeler comment, après sa défaite lors du référendum, le Premier ministre Matteo Renzi a promis de quitter l’arène politique, mais, en dépit d’un énorme mécontentement de la population, il continue d’être impliqué dans la politique, comme si de rien n’était. »

Africa24.info
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Bénin : Patrice Talon propose un mandat présidentiel unique et non renouvelable.
On en sait plus sur la réforme constitutionnelle que souhaite introduire le Président Patrice Talon au Bénin. Élu sur la promesse qu’il ne ferait qu’un seul mandat à la tête du Bénin, Patrice Talon s’apprête à proposer une Constitution qui généraliserait ce principe. Un mandat de 5 ans non renouvelable pour le Président de la République, une révolution en Afrique.
Dans une Afrique où les chefs d’État en fonction tentent souvent de s’accrocher au pouvoir, le Président Béninois, Patrice Talon fait figure d’exception. Respecté pour avoir annoncé qu’il ne demeurera au pouvoir que le temps d’un mandat, adulé pour avoir permis à tous les Africains d’entrer au Bénin sans visa, Patrice Talon et son gouvernement surprennent à nouveau.
La nouvelle constitution sur la table du parlement en mars
Le ministre béninois de la Justice, Joseph Djogbénou, vient d’annoncer que la nouvelle Constitution sera soumise au vote de l’Assemblée nationale ce mois-ci. Elle proposera un mandat unique de 5 ans pour le Président de la République. Si cette réforme était adoptée, le Bénin deviendrait le premier pays d’Afrique à disposer d’un mandat présidentiel non renouvelable.
Pendant la campagne qui a précédé son élection, Patrice Talon avait expliqué qu’il croyait qu’une alternance régulière à la tête de l’État favorisait le développement. A contrario l’enracinement au pouvoir faisait le lit du népotisme et du culte de la personnalité disait-il. Dans l’entourage du Président Talon, on affirme que l’adoption de la nouvelle Constitution renforcera durablement la démocratie béninoise et l’érigera en modèle.
Outre l’introduction du mandat unique, le projet de Constitution proposera des réformes institutionnelles notamment celle du système judiciaire et renforcera le rôle des partis politiques. Le ministre Djogbénou a indiqué que le gouvernement va privilégier la voie parlementaire pour adopter la nouvelle Constitution. Selon certaines sources, la voie référendaire aurait été écartée pour gagner du temps et faire l’économie d’un scrutin national.

Africa24.info
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
L’occupation prolonge l’arrestation du représentant de l’Agence turque « Tika » à Gaza
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L’occupation annonce avoir arrêté des cellules militaires du Hamas en Cisjordanie
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Avis et ordres militaires pour confisquer des terres isolées par le mur au nord de Tulkarem
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Les colons s’emparent de 150 oliviers au sud de Naplouse
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Sit-in à Gaza en solidarité avec la députée captive Samira Halaiqa
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350 femmes et filles palestiniennes arrêtées depuis l’Intifada de Jérusalem
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Vallée du Jourdain: Protestations contre les politiques de l’Autorité Palestinienne
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Barka demande de poursuivre les groupes armés aux alentours du camp de Borj al-Barajna
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Un journaliste et une jeune fille parmi six Palestiniens arrêtés en Cisjordanie
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Procès du martyr Bassel al-Araj au tribunal de l’Autorité Palestinienne
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Les avocats suspendent leur travail dans les tribunaux en Cisjordanie
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Efforts intensifs pour résoudre la cause du prisonnier Abou al-Lail
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De nouveau, l’occupation envahit Awarta et arrête un jeune homme de Hawara
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L’état de santé du prisonnier blessé Jihad Hamad est très critique
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Qalqilia: Crise de trafic en raison d’un point de contrôle israélien
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Expansion en cours de la colonie de Gilo à l’ouest de Bethléem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 17 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 17 Joumada Al Awwal 1438.
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Des mérites de l’apprentissage du Coran aux enfants.
Il ne fait aucun doute que faire apprendre le Coran aux enfants est essentiel dans l’éducation islamique. Notre rôle en tant qu’éducateurs : parents, oncles, tantes, frères ou sœurs est de sensibiliser nos enfants à cet apprentissage et à l’amour envers le Saint Coran.
Que de mérites et de bienfaits découlent de l’apprentissage du Coran. Cela l’est davantage lorsque l’on fait apprendre le Livre d’Allah à nos enfants. En nous basant sur les parcours des différents grands savants de l’Islam, nous allons montré que cet apprentissage est au cœur de la religion, du bon comportement et de l’accès au Paradis incha Allah.
« Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et l’enseigne ».
Faire apprendre le Saint Coran à autrui fait partie des recommandations du Prophète (‘alayhi salat wa salam). En effet, le célèbre hadith rapporté par Al Boukhari selon ‘Uthman (qu’Allah l’agrée) dans lequel le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et qui l’enseigne ensuite » soulève à lui seul le grand mérite d’apprendre la Parole Sainte et de l’enseigner incha Allah. Sachant que nous devons veiller à bien éduquer nos enfants qui sont les adultes de demain incha Allah, il va de soi que leur enseigner le Coran fait partie intégrante de nos devoirs en tant que musulman.
De même, cet apprentissage permettra à nos enfants d’accéder à un mérite incommensurable, à savoir le Paradis et l’élévation en degrés incha Allah. C’est ainsi que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a expliqué selon ‘Umar ibn al Khattab (qu’Allah l’agrée) qu’« Allah élève certains gens par ce Livre, comme Il en rabaisse d’autres » (Muslim). Dans un autre hadith, selon Bourayda Al-Aslamî (ra), le Message d’Allah (psbL) a dit : « Celui qui a lu le Coran, l’a appris et l’a appliqué, sera paré le Jour de la Résurrection d’une couronne de lumière, dont la clarté est semblable à celle du soleil. Ses parents seront vetus de deux habits plus précieux que le monde entier. Ils diront alors : »Pourquoi avons nous ainsi été vêtus ? » Et il leur sera dit : « Pour avoir poussé votre enfant à apprendre le Coran » » (rapporté par Ibn Abi Chayba, Ahmad, Ad-Darimî, Al-Hakim hadith authentique selon les critères de Muslim).
À nous de faire en sorte qu’Allah élève nos enfants dans l’Au-Delà par le biais de cet apprentissage et de sa mise en pratique.
De l’apprentissage des savants lorsqu’ils étaient enfants.
L’importance de l’apprentissage du Saint Coran aux enfants a été saisie par des parents de savants. C’est ainsi que de nombreux savants ont mémorisé le Saint Coran avant leur puberté. Parmi eux, l’imam ash-Shafi’i (qu’Allah lui fasse miséricorde) a appris le Coran en entier à l’âge de sept ans, l’Imam à Ach-chafi’i (ra) rapporte : « J’ai appris le Coran alors que j’avais sept ans, et j’ai appris Al-Mouatta’ quand j’en avais dix ». De même, les pieux prédécesseurs (qu’Allah leur fasse miséricorde), veillaient à apprendre le Coran et à l’enseigner à leurs enfants. Soufian Ibn ‘Ouyayna (ra) a dit : « J’ai appris le Coran alors que j’avais quatre ans, et le hadith alors que j’en avais sept ». Ibn Abi hatim (ra) a dit : « Mon père ne me laissa pas apprendre le hadith avant d’avoir appris le Coran avec pour maître Al-Fadhl Ibn Chadhan ».
Il est de notre devoir d’inculquer à notre progéniture l’amour du Saint Coran ainsi que son apprentissage. Ainsi, la mère de l’imam Malik (qu’Allah lui fasse miséricorde) était très impliquée dans l’éducation islamique de son enfant. Elle l’envoyait auprès des savants afin qu’il apprenne d’eux. Parmi ces savants, citons Rabi’a ibn ‘Abderrahman chez qui l’imam Malik a appris la jurisprudence. Sa mère lui disait alors « Va voir Rabi’a et apprend ses bons comportements avant sa science ». Avec l’aide d’Allah et une mère investie dans son apprentissage religieux, l’imam Malik (qu’Allah lui fasse miséricorde) est donc devenu l’éminent savant que nous connaissons.
Ainsi, faire apprendre le Saint Coran à nos enfants leur permettra de bénéficier d’immenses mérites. Quant à nous, nous en tirons également de grands bienfaits. Nous nous ne pouvons imaginer certains de ces bienfaits. En effet, selon Sahl ibn Mu’adh el Juhani (qu’Allah l’agrée), le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Les parents de celui qui lit le Coran et qui le met en pratique seront revêtus le Jour de la Résurrection d’une couronne dont la lumière sera plus éclatante que celle du soleil illuminant les maisons sur terre. Que pensez-vous alors de la personne elle-même ? » (Abu Dawud et Ahmed). Allahou akbar ! Une récompense inimaginable pour ces parents incha Allah, qu’en est-il donc de la récompense des enfants ? Ainsi, des mérites incommensurables pour nos enfants mais également pour nous, découlent de cet apprentissage du Saint Coran, de sa valorisation, de l’amour qu’il faut lui porter et surtout de sa mise en pratique incha Allah.
L’investissement dans l’éducation religieuse de nos enfants, et particulièrement l’apprentissage du Saint Coran, fera d’eux de bons musulmans incha Allah. Et si Allah le veut, Il fera également d’eux des habitants du Paradis, en notre compagnie.
Qu’Allah nous facilite à nous, ainsi qu’à nos enfants l’apprentissage du Saint Coran. Qu’Il fasse de Sa Parole le printemps de nos cœurs et le guide de notre comportement.
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Le saviez-vous ? Taqi al-Din, l’inventeur de la pompe à eau à 6 cylindres.
Taqi al-Din Mohammed ibn Ma’ruf al-Shami al-Asadi est un scientifique turc du Xe siècle qui a écrit de nombreux ouvrages traitant d’astronomie, d’astrologie, de mécaniques optiques et d’horloges mécaniques.
Celui qui est considéré comme l’un des grands inventeurs de pompes à eau de la civilisation ottomane-islamique a laissé derrière lui un ouvrage intitulé Kitâb al-Turuq al-saniyya fi al-alat al-ruhaniyya (livre des méthodes accomplies au sujet des machines de l’esprit). Ce livre qui s’inscrit dans la tradition mécanique arabe, décrit le fonctionnement d’un moteur à vapeur rudimentaire.
Plus de dix siècles plus tard les grandes marques de mécanique automobile s’inspirent de ses écrits pour inventer des voitures toujours plus puissantes les unes que les autres.
Le constructeur d’automobiles de luxe de sport allemand Porsche s’est directement inspiré de la description d’une horloge astronomique appelée «Huq -al – kamar» (la boite de la lune), des horloges hydrauliques, des instruments à sifflements perpétuels et des pompes hydrauliques pour construire sa nouvelle voiture la porche 911.
La 911 est l’automobile mythique de la marque qui signe l’identité de Porsche depuis 1963. Elle doit la puissance de son moteur 6 cylindres à l’invention de la pompe à 6 cylindres monobloc de Taqi al-Din.
Les éléments de cette pompe son révolutionnaires : six leviers sont mobiles autour d’un axe parallèle à l’axe de la roue hydraulique. L’une des deux extrémités de chaque levier est fixée à la boule du piston qui lui fait face , tandis que l’autre extrémité affleure une cheville. A chaque trou latéral est fixé un long tuyau. Les six tuyaux ainsi obtenus sont raccordés a un gros tuyau qui donne accès à un bassin vide .
Le fonctionnement est aussi très ingénieux: lorsque la roue hydraulique tourne, les chevilles pincent respectivement les leviers qui font soulever l’un après l’autre les pistons dans les cylindres afin que l’eau puisse être aspirée. Puis une fois que la cheville quitte l’extrémité du levier, le piston retombe dans le cylindre, sous l’action du poids de la boule, et l’eau est refoulée par l’ouverture latérale dans les tuyaux extérieures puis dans le gros tuyau.
Taqi al-Din fait partie de ces savants musulmans oubliés de l’Histoire dont l’occident reconnaît le génie pour mettre en pratique ces fabuleuses théories devenues les technologies d’aujourd’hui.
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La perte d’un enfant : de l’épreuve à la récompense divine.
La naissance d’un enfant : sans doute l’un des événements les plus heureux que l’homme puisse vivre dans ce bas-monde. Seulement, il arrive que ce bonheur soit interrompu par la perte de cet être cher, ce bout de soi que l’on a vu venir au monde et grandir pas à pas. Alors comment surmonter une telle épreuve ?
La patience, une arme face à l’épreuve.
Face à l’épreuve, la patience est la meilleure arme dont le musulman puisse disposer. Il est important de souligner chers frères et sœurs que la définition de la patience se divise en trois catégories à savoir : la patience en accomplissant les commandements d’Allah, la patience en s’écartant de ce qui a été interdit par Allah et la patience face aux épreuves et aux difficultés du Destin car « telle est la volonté d’Allah ». Face à la perte d’un enfant, il s’agit du troisième type de patience qu’est la patience face aux épreuves et aux difficultés du Destin.
Lorsque l’on perd un enfant, le monde s’assombrit soudainement, le silence de la mort s’accompagne de la douleur des larmes, la vie semble même perdre son sens. Pourtant, c’est dans ces épreuves que la vie gagne paradoxalement en sens. En effet, savoir qu’Allah nous éprouve est un des piliers de notre foi : croire au Destin qu’il soit bon ou mauvais. Ainsi, croire à ce Destin et l’accepter malgré la tristesse que cela puisse engendrer, fait partie de l’essence même de la croyance du musulman sobhanAllah. Pensons donc chers frères et soeurs, que perdre un enfant fait partie de la volonté divine et que cette volonté nous y croyons fermement.
La récompense divine, un réconfort dans l’épreuve.
Face à l’épreuve de la perte d’un enfant, la patience représente la clé de la délivrance. Mais comment parvenir à patienter dans une telle douleur ? Chers frères et soeurs, le fait de penser qu’Allah récompense les endurants aide le musulman fermement attaché à sa religion, à surmonter l’épreuve car la récompense divine est ce pour quoi nous œuvrons au quotidien. C’est ainsi que notre Seigneur a révélé : {Quiconque craint et patiente… Et très certainement, Allah ne fait pas perdre la récompense des bienfaisants} (Sourate 12 : Verset 90).
La récompense des patients est largement présente dans plusieurs versets et ahadiths. Cette récompense divine ne laisse donc pas l’once d’un doute dans nos cœurs et permet de surmonter les épreuves. Gardons également à l’esprit que notre Créateur nous aimera et nous assistera si nous patientons face à Son décret. En effet, rappelons Sa parole : {Ô vous les croyants, cherchez secours dans la patience et la prière car Allah est avec ceux qui patientent} (Sourate 2 : verset 153). Chers frères et soeurs, plus nous patientons face à l’épreuve, plus Allah nous assistera et nous facilitera cette épreuve sobhanAllah. Nous avons donc tout intérêt à faire preuve de patience pour qu’Allah soit notre allié et quel meilleur allié que Celui qui Subsiste et qui nous a créés ?
Le fait de patienter suite à la perte d’un enfant est une patience bien spécifique à laquelle le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a fait référence lorsqu’il a dit : « Il n’y a pas une seule femme parmi vous dont trois enfants meurent avant la puberté sans que cela soit pour elle un écran contre l’Enfer ». Une femme demanda : « Et pour deux (enfants) ? » Il répondit : « Et pour deux (enfants) aussi ». (Muslim). La récompense pour la patience face à la perte d’enfants est donc la protection du feu de l’Enfer sobhanAllah ! Bien que l’épreuve soit extrêmement difficile, la récompense pour ceux qui patientent est infiniment grande.
Soulignons notamment que la présence d’un entourage bienveillant est plus que nécessaire lors d’une telle épreuve. En effet, famille, amis, voisinage sont d’une aide primordiale. Le besoin de parler, de s’exprimer ou de partager sa tristesse peuvent permettre de patienter plus facilement. Le rôle de l’entourage est donc à souligner car il fait preuve d’un soutien essentiel.
Cette tristesse unique, évoquée par les compagnons.
Le fait que cette tristesse soit unique ne fait aucun doute. En perdant cet enfant, notre chair, notre sang, nous ressentons un vide incommensurable et une peine des plus profondes encore jamais ressentie auparavant. Cette douleur a été évoquée, décrite et reconnue par le Prophète (‘alayhi salat wa salam) et ses compagnons.
Rappelons que ‘Umar ibn al Khattab (qu’Allah l’agrée), deuxième calife de l’Islam et fidèle compagnon de notre bien aimé Prophète (‘alayhi salat wa salam) vit un homme porter un enfant sur son épaule. Il lui demanda alors : « Qu’est cet enfant pour toi ? » L’homme lui répondit alors « Mon fils », ce à quoi Umar répondit : « S’il vit longtemps, il sera une épreuve pour toi et s’il meurt, il t’attristera » (Tadhkiratoul Aba, p.27).
De même, lorsque l’on demanda à l’imam Soufian at Thawri « Quelle a été l’ampleur de ta tristesse pour ton fils ? », il a répondu : « J’ai pleuré de sang le jour de sa mort ». Pleurer son enfant est tout à fait humain, évident et compréhensible. Faire preuve de patience face à l’épreuve ne signifie nullement ne rien ressentir chers frères et soeurs. Evidemment, les larmes coulent, la tristesse est présente, la douleur est immense et rien de cela ne peut être nié ou blâmé.
Pleurer la perte, le manque ou la nostalgie est tout à fait normal même nécessaire afin de laisser l’âme exprimer son mal par le corps et faire en sorte que le deuil puisse avoir lieu. Rappelons que même le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) a pleuré la perte de ses enfants et petits enfants. En effet, Anas ibn Malik (qu’Allah l’agrée) a dit : « Nous assistâmes à l’enterrement d’une fille de l’Envoyé de Dieu (‘alayhi salat wa salam) et celui-ci était assis au bord de la tombe. Je vis ses yeux en larmes ».
Qu’Allah nous permette de surmonter les épreuves de ce monde et d’être patients. Qu’Il nous pardonne nos méfaits et nous compte parmi les bienfaisants.
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Canada : Montréal : l’opération portes ouvertes dans les mosquées a cartonné.
Une quinzaine de mosquées de Montréal, au Canada, ont ouvert leurs portes, dimanche 12 février, pour appuyer le dialogue entre les communautés. Deux semaines après l’effroyable attentat commis au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ), les Montréalais se sont déplacés nombreux pour venir s’informer, échanger et assister aux prières. Ils étaient entre 2 400 et 3 000 personnes selon les organisateurs à s’être déplacées dans une des mosquées montréalaises ouvertes pour cette opération d’envergure.
« L’objectif, c’est de permettre aux gens de peut-être mettre les pieds pour une première fois dans une mosquée et échanger avec les membres de la communauté, répondre aux questionnements, à la suite des événements de Québec», explique Bouazza Mache, porte-parole du Conseil musulman de Montréal, dans le JDM. Cela fait 18 ans qu’il organise ce genre d’opération.
Le ministre de la Défense Harjit Sajjan s’est rendu au CCIQ pour montrer sa sympathie envers la communauté musulmane. Il a dit qu’ « on ne se tient pas ici en tant que ministres, on se tient ici en tant que Canadiens, en tant que parents ».
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France : François Fillon à la rencontre des musulmans à La Réunion.
En déplacement de campagne sur l’île de La Réunion, François Fillon s’est rendu lundi 13 février à la Grande Mosquée de Saint-Denis, la plus vieille de France, inaugurée en 1905.
Le candidat de la droite et du centre a été accueilli par Iqbal Ingar, le président de la mosquée, qui, en discours d’introduction, a souligné qu’ « une parole raciste s’est libérée dans le pays et il appartient à nos dirigeants de montrer l’exemple ». « Faites en sorte que dans cette campagne les discours soient équilibrés, apaisés, à la hauteur des enjeux, non stigmatisants » a-t-il ajouté.
Pour sa part, Houssen Amode, président du Conseil régional du culte musulman (CRCM), n’a pas caché son scepticisme concernant le rapport de l’ancien Premier ministre à l’islam. « Nous sommes atterrés par le qualificatif d’islamique accolé au terrorisme » a-t-il expliqué, précisant que « cela n’a rien à voir avec l’islam ».
Une nouvelle injonction lancée aux musulmans
« Je comprends que vous soyez choqués quand on parle de « totalitarisme islamique » », a déclaré François Fillon, auteur du livre Vaincre le totalitarisme islamique. « Il vaudrait mieux dire que ce sont des totalitaires qui se réclament de l’islam, qui brandissent le drapeau de l’islam, qui essaient de s’accaparer l’islam » a-t-il concédé.
Le candidat de la droite a dit souhaiter voir « monter du fond même des citoyens français de confession musulmane ce cri de colère et de protestation contre les extrémistes, pas seulement contre les terroristes », mais « contre ceux qui déforment le message de l’islam et appellent à la division à l’intérieur de la communauté musulmane ».
Dans le même temps, François Fillon a tenté de rassurer la communauté musulmane, en faisant comprendre qu’il serait opposé à de nouvelles lois contre les signes religieux : « Je me bats pour la liberté religieuse, pour la liberté de toutes les religions. Je me bats contre ceux qui pensent qu’à chaque fois qu’il y a des débordements, de l’intégrisme qui monte au sein de la communauté musulmane, il faut durcir les lois de la laïcité et qu’il faut progressivement au fond réduire les libertés religieuses. Oui, je suis opposé à cette philosophie-là. Je suis opposé à ceux qui disent qu’on ne veut plus voir de signes religieux dans l’espace public. Mais ce n’est pas ma conception de la République, ce n’est pas ma conception de la liberté. Ceux qui réclament cela mettent en péril le pacte républicain ».
Avant la primaire le sacrant vainqueur, François Fillon avait été bien moins tendre avec la communauté musulmane. « Il n’y a pas de problème religieux en France. Il y a un problème lié à l’islam », affirmait l’ancien Premier ministre en septembre 2016.
Il a réclamé « l’interdiction de tous ceux qui sont en contradiction permanente avec les valeurs de la République » car « la République a le droit de se défendre contre ceux qui appellent à sa destruction ». Il a précisé que « la coexistence entre religions est exemplaire » à La Réunion, mais qu’elle « ne l’est pas partout sur le territoire national ». L’île de La Réunion compte 850 000 habitants dont 5 % de musulman et 85 % de chrétiens.
Il a proposé sa vision de l’organisation du culte musulman en France, souhaitant un autre rôle du CFCM. « Il faudrait un conseil français du culte musulman en tant qu’autorité religieuse », indique-t-il. « Nous avons besoin de religieux qui soient capable d’influencer la communauté musulmane. La deuxième chose dont nous avons besoin c’est d’un islam qui soit dégagé des influences étrangères. Vous avez évoqué La Réunion en expliquant que les imams sont salariés, en expliquant qu’il n’y a pas de financement étranger mais, monsieur le président, c’est exactement le modèle dont je rêve pour mon pays, pour la France tout entière ».
La veille de son déplacement à la mosquée, François Fillon a assisté à la messe dominical à Notre-Dame de la Paix de Saint-Gilles. Souligné par de nombreux journalistes sur place, le prêche du prêtre Russel Torpos a fait écho – hasard ou pas – aux affaires dans lesquelles l’ancien Premier ministre est empêtré : « Accorde-toi vite avec ton adversaire tant que tu es en chemin avec lui pour éviter que ton adversaire ne te livre aux juges, le juge aux gardes et qu’on ne te jette en prison ». Un extrait du chapitre 25 du livre 5 de l’Evangile de Saint Matthieu tout choisi, qui s’est poursuivi un moment : « Amen, je te le dis, tu ne t’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier sou. »
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Palestine : Israël : le projet de loi contre l’appel à la prière adopté .
Le gouvernement israélien a adopté, dimanche 12 février en fin de soirée, un projet de loi très controversé visant à interdire aux mosquées l’utilisation de haut-parleurs pour l’appel à la prière, rapporte la presse israélienne. Approuvé par le comité ministériel de législation, présidé par le ministre de la Justice Ayelet Shaked, membre du parti d’extrême droite Foyer juif, il sera désormais examiné au Parlement.
Le projet de loi, à l’initiative de Moti Yogev, député du parti Foyer juif, a été amorcé en mars 2016. Le « projet de loi sur la prévention du bruit des systèmes de sonorisation dans les établissements religieux » concerne a priori tous les lieux de culte mais il vise surtout les appels à la prière musulmane. Il a suscité l’incompréhension auprès des musulmans, l’appel à la prière du muezzin se faisant traditionnellement entendre cinq fois par jour. La nouvelle législation prévoit l’interdiction des haut-parleurs de 23 heures à 7 heures du matin, quasiment au même moment de la première et dernière prière de la journée selon les saisons. La loi concerne aussi les lieux de culte à à Jérusalem-Est, annexée par Israël, sauf à la mosquée Al-Aqsa.
« Cette loi ne porte ni sur le bruit ni sur la qualité de vie. Il s’agit d’une incitation raciste contre une minorité nationale », a dénoncé dans un communiqué le député arabe israélien Ayman Odeh, chef de file de la Liste unie. « La voix du muezzin résonnait bien avant les racistes du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu et elle résonnera encore après eux », insistait Ayman Odeh.
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La Turquie soutient financièrement le projet défendu par Yusuf Islam : une mosquée à Cambridge.
La poignée de main scellant leur accord a fait crépiter les flashes en Turquie, Yusuf Islam, 68 ans, alias Cat Stevens, le chanteur, auteur, compositeur britannique entré dans la légende des seventies, avait pris son bâton de pèlerin, musulman, pour solliciter l’aide précieuse du président turc Erdogan afin que le rêve d’une grande mosquée se matérialise à Cambridge.
Sous les feux des projecteurs pour la bonne cause, Yusuf Islam est volontiers passé de l’ombre à la lumière pour promouvoir cette belle réalisation qui lui tient à cœur et à laquelle l’homme fort d’Ankara a été très sensible, si l’on en juge par la teneur chaleureuse de son tweet posté mercredi soir, à l’issue de leur entretien : « Mon cher frère Yusuf, je te remercie pour ta visite et ta conversation sincère. Bienvenue en Turquie », a fait savoir publiquement Recep Tayyip Erdogan, en mettant en exergue la photo d’une rencontre placée sous les meilleurs auspices.
Ressorti enchanté de son entrevue avec le président turc, d’autant plus que son homme de confiance, Numan Kurtulmus, le Premier ministre en personne, lui a prêté la même oreille attentive, Yusuf Islam s’est enthousiasmé devant « ce merveilleux soutien » qui va contribuer à ce qu’un phare de l’islam sorte de terre à l’horizon 2018, niché dans un écrin de verdure, en plein cœur intellectuel de l’Angleterre.
De quoi lui inspirer une douce mélodie dont il a toujours le secret, comme l’a prouvé son grand retour sur scène en Amérique en 2014, sous la forme d’une ode à la générosité de la Turquie.
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Face à la polémique, un footballeur allemand choisit sa foi musulmane plutôt que sa carrière.
Il a de l’or au bout des crampons, mais rien ne saurait justifier à ses yeux de sacrifier ses convictions profondes sur l’autel de sa réussite footballistique, Änis Ben-Hatira, 28 ans, le célèbre milieu offensif tunisien né à Berlin et longtemps encensé par l’Allemagne admirative, est resté stoïque, fidèle à ses valeurs musulmanes, dans la violente tempête qui s’est abattue sur lui.
Ce fils d’un cuisinier qui quitta sa Tunisie natale dans les années 1970 pour Berlin-Ouest, où un nouvel avenir professionnel s’ouvrait devant lui, a montré très tôt de formidables dispositions pour le ballon rond, son talent inné en épatant plus d’un, sauf les racistes primaires qui n’avaient que l’insulte à la bouche.
« J’ai dû apprendre très jeune à me forger une carapace », a confié récemment celui qui fut l’étoile montante du football allemand, propulsé rapidement au sommet, sur les pelouses de la prestigieuse Bundesliga, sans jamais se laisser griser par sa gloire naissante, et encore moins par l’argent qui coulait à flots.
« Je demeure un modèle d’intégration pour les musulmans d’Allemagne », insiste à juste titre Änis Ben-Hatira, alors que la bourrasque de la polémique qui souffle sur lui depuis trois semaines a balayé ses illusions, ainsi que son contrat avec le Club de Darmstadt, mais ne l’a pas fait vaciller pour autant.
Ce vent mauvais qui a tenté de tout emporter sur son passage, et notamment son honorabilité, à grand renfort de tracts haineux, lui reprochant sa proximité avec l’association humanitaire Ansaar International – une organisation musulmane fondée par le rappeur converti à l’islam, Joël Kayser, et suspectée d’appartenir à la mouvance salafiste – lui a fait finalement entrevoir de nouveaux horizons, sous des cieux turcs plus cléments, au sein du club Gaziantepspor.
Sorti du cœur de la tempête encore plus fort qu’avant, conforté dans sa foi inébranlable, Änis Ben-Hatira, qui était en proie au désenchantement depuis un certain temps déjà, déplorant que les « musulmans soient les nouveaux juifs » en Allemagne et ailleurs, considère que l’ultimatum imposé par les dirigeants du club de Darmstadt, à savoir « rompre tout lien avec Ansaar International ou partir », aura été un mal pour un bien.
Non, il ne regrette rien, et surtout pas d’avoir vanté la transparence et les mérites de Ansaar International, dont l’aide précieuse apportée à l’enfance miséreuse de Berlin lui a valu de nombreuses récompenses, ni d’avoir contribué, l’été dernier, au financement de la construction d’une usine de traitement de l’eau dans la bande de Gaza.
Il se félicite au contraire d’avoir donné de son temps, de ses deniers et de sa personne pour une association de bienfaisance qui fait le bien autour d’elle en Syrie, en Somalie, et dans la plus grande prison à ciel ouvert du monde vivant sous le joug israélien dont il a n’a jamais craint de dénoncer le cynisme et la cruauté, notamment lors de l’offensive sanglante de 2014.
Si les principaux organes représentatifs de l’islam en Allemagne ne se sont pas précipités pour voler à la rescousse de Änis Ben-Hatira, se murant dans un silence révélateur de la peur de réactiver un énième débat sur « l’islamisme, le fondamentalisme…», des rappeurs très connus, arabes et turcs, l’ont en revanche soutenu publiquement. Il en a été de même sur les réseaux sociaux en effervescence, où la jeunesse musulmane allemande a fait bloc derrière son champion, voyant dans l’insidieux procès en sorcellerie qui lui est fait une discrimination flagrante.
« Si vous accusez Änis d’être un terroriste, alors nous sommes tous des terroristes !!! », a écrit un jeune internaute, solidaire et en colère, sur la page Facebook du footballeur.
« Ils voulaient me contraindre à m’éloigner d’un groupe de personnes qui œuvrent sans relâche pour le bien de l’humanité, en les diabolisant sans avoir la moindre preuve contre elles », s’est indigné Änis Ben-Hatira, avant de clamer avec force : « Rester fidèle à mes principes et à ce que je suis intrinsèquement, sans renier mes valeurs, cela a été plus important que ma carrière ».
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Michael Bennett et d’autres joueurs de foot de la NFL refusent d’aller en Israël.
« Je serai la voix des sans voix » a déclaré Michael Bennett joueur des Seahawks de Seattle, sur Twitter et Instagram vendredi soir, en soulignant qu’il ne serait pas utilisé pour la propagande du gouvernement israélien.
Le célèbre joueur de foot a rappelé que le défunt Muhammad Ali, un de ses héros, « a toujours soutenu fermement le peuple palestinien ».
Dans une lettre ouverte publiée par The Nation jeudi après-midi, activistes, écrivains et athlètes, dont Angela Davis, Alice Walker, John Carlos et Craig Hodges, ont appelé les joueurs de la NFL à reconsidérer leur participation à une tournée en Israël. Harry Belafonte et Danny Glover ont également signé la lettre.
« J’étais excité à l’idée de visiter cette région du monde historique. Ce que je ne savais pas, avant de lire un texte dans le Times of Israel, c’est que le voyage était organisé par le gouvernement dans le but avoué de faire de nous des têtes de pont » a expliqué Bennett, ajoutant :
« On ne m’exploitera pas de telle façon. Quand j’irai en Israël, je visiterai également la Cisjordanie et la bande de Gaza, où je pourrai voir comment les Palestiniens, qui y résident depuis des millénaires, y vivent leur vie ».
Kenny Stills, joueur des Dauphins de Miami, à retweeté la déclaration de Bennett, en ajoutant, « je ne pouvais pas dire mieux », indiquant qu’il se désistait aussi.
Martellus Bennett a retweeté également la déclaration de son frère, indique The Electronic Intifada.
Le quotidien israélien Haaretz se moque carrément de Netanyahou, en écrivant que ce dernier a réussi à marquer un but contre son propre camp, en se vantant de la venue de ces footballeurs, et en faisant ses gros titres sur la venue de Bennett, et le fait qu’il allait jouer contre l’équipe de football israélienne.
Le journal analyse la manière dont ces voyages de célébrités en Israël sont organisés pour que la politique en soit le plus possible exclue : petite excursion à la Mer Morte, mémorial de Yad Vashem, Hôpital de Rambam, communauté juive de Dimona, et visites de sites chrétiens, pour faire bonne mesure.
C’était le programme mis au point pour Bennett et les autres joueurs de la NFL, et le ministre israélien du tourisme, Yariv Levin, avait même affirmé : « Comme ça ils auront une image équilibrée d’Israel et ils retourneront chez eux en tant qu’ambassadeurs d’Israel » !
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Le saviez-vous ? : L’origine non islamique de la « Main de Fatma ».
La main de Fatma, pendant sur bien des rétroviseurs intérieurs de véhicules, et au cou de bien de jeunes filles insouciantes, est mondialement pensée comme l’un des symboles de l’islam traditionnel.
Et pourtant. Nulle trace de celle-ci dans le désert d’Arabie où la dernière des Révélations descendue aux Hommes connaîtra ses premiers fidèles. Encore moins de traces de celle-ci dans les textes scripturaires ou dans l’écrasante majorité des communautés musulmanes de ce monde.
Très présente, par contre, en territoire berbère, la « Tafust », son autre doux nom, était en fait déjà présente avant que l’islam ne gagne le cœur de ces nord-africains. Des traces de cette dernière ont pu ainsi être datées de l’époque carthaginoise, des siècles avant la naissance de Issa, paix et salut sur lui. On parle alors d’une main associée à la déesse Tanit, protégeant (déjà) du mauvais œil.
La « khamsa », encore un autre de ses patronymes, est aussi populaire dans certains foyers juifs. Le poisson considéré comme un symbole de chance, chez certains d’entre eux, nombre de ces mains de Fatma sont ainsi ornées de figures de l’animal. Quand d’autres sont simplement décorées de prières juives, »protégeant » les demeures ou son porteur lors de ses voyages. Certains des juifs ont aussi tendance à associer les cinq doigts de la dite main aux cinq livres de la Torah, et ce, particulièrement depuis le regain d’intérêt né autour du mysticisme juif, la Kabbale.
Y-a-t-il besoin de préciser que la même main est usée de façon similaire au sein de communautés chiites ?
À l’instar de la patte de lapin, du trèfle à quatre feuilles ou du fer à cheval ailleurs, la main droite ouverte est en fait un signe universellement utilisé pour sa soi-disante protection de par le monde, transcendant les religions comme les époques. Des cultures mésopotamiennes à celles de l’Inde bouddhiste, et donc des berbères anciennement polythéistes aux juifs et chiites, l’idée d’une main protectrice n’a absolument rien à faire de près ou de loin à l’islam et/ou à sa civilisation.
Chers frères et sœurs en islam, vous qui n’êtes sensés ne trouver protection qu’auprès du Seul et Unique apte à vous l’attribuer, outre le fait qu’elle vous soit étrangère, faites une bonne action, remettez cette amulette à sa juste place, à savoir, au choix, sous un marteau, ou dans une fonderie.
Qu’Allah nous préserve du chirk et de l’associationnisme.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Le Hamas discute avec l’ambassadrice norvégienne à Beyrouth les développements palestiniens
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Un ouvrier palestinien meurt dans un tunnel au sud de la Bande de Gaza
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Le Likoud appelle Netanyahu à intensifier la colonisation en Cisjordanie
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Le journaliste al-Qiq torturé pendant 22 jours dans les prisons sionistes
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Une délégation de dirigeants du Djihad quitte Gaza via le passage de Rafah
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La prison de Ramon sous haute tension
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Al-Aqsa sous haute tension
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Un mineur condamné à 12 ans de prison
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65 Gazaouis visitent leurs proches à la prison de Nafha
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Gaza : Un résistant palestinien blessé par des éclats d’obus
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18 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et affrontements à Qalqilia
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Un plan sioniste pour expulser les habitants du Néguev
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Deux jeunes arrêtés sous prétexte de jeter des pierres sur la colonie
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Mezan: la Justice israélienne ne tient pas compte des normes les plus élémentaires
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Notifications israéliennes d’arrêter la construction dans 16 installations dans la Vallée du Jourdain
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100 colons prennent d’assaut la mosquée d’al-Aqsa
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