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Flash info du 29 Rabi Al Awwal 1438.

Flash info du 29 Rabi Al Awwal 1438.
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Histoire : ces goumiers marocains qui ont libéré la Corse.
Aujourd’hui, nous nous intéressons aux goumiers marocains, ces soldats qui ont libéré la Corse de l’occupation fasciste et nazie. En octobre 2013, la France célébrait les 70 ans de cette libération. Lors de cette cérémonie, François Hollande a d’ailleurs décerné la légion d’honneur à sept de ces goumiers encore vivants et venus assister à l’événement.
Ces soldats marocains qui ont contribué à la paix dans l’actuelle Corse ont entre 91 et 107 ans aujourd’hui. Les goumiers marocains qui ont œuvré pour la libération de la France se sont engagés corps et âme dans ce combat. Ils ont quitté leur terre natale pour combattre le nazisme et le fascisme.
Malgré leur rôle essentiel dans la libération de l’occupation allemande et italienne en Corse, ces soldats marocains sont souvent occultés des divers récits. Avec l’aide de ces goumiers marocains, la Corse fut le premier département français à être libéré des armées italiennes et allemandes. N’oublions pas l’histoire de ces héros marocains, bien que l’Histoire les ait oubliés.
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Des bons usages d’internet.
Internet, cet outil que l’on dit « indispensable » de nos jours. Certes une révolution pour ce siècle, un moyen d’accéder à une panoplie de services en quelques secondes, mais également une plateforme qui requiert de la vigilance et des conseils pour une bonne utilité inchaAllah.
Eviter de surfer pour surfer, afin de ne pas gaspiller son temps.
Comme pour l’usage du téléphone, internet ne doit pas nous faire perdre de temps. Beaucoup d’entre nous se retrouvent connectés sur internet pour une raison précise puis se détournent de cela et cliquent de liens en liens, de pages en pages, jusqu’à tomber dans des occupations totalement futiles et inutiles. Certes, l’usage d’internet est important de nos jours afin d’accéder à certaines informations rapidement mais il en devient dangereux lorsque les recherches utiles se transforment en curiosité ou en occupation futile.
Rappelons nous que le temps est une valeur précieuse, particulièrement pour nous, musulmans. Nous serons interrogés sur le temps que nous avons passé sur terre. Bien que « passer du bon temps » ne soit pas interdit, veillons à le surveiller de près. En effet, rester plusieurs heures à surfer sur le net sans rien chercher en particulier relève de la perte de temps. Pire encore, cette activité peut même pousser certains à retarder l’heure de la prière, qu’Allah nous en préserve !
Chers frères et soeurs, dépensons davantage de temps dans l’apprentissage de notre belle religion, l’évocation d’Allah ou encore la lecture de rappels religieux afin que ce temps nous soit profitable inchaAllah. Rappelons que notre Créateur a révélé : {Ô vous qui avez cru! Que ni vos biens ni vos enfants ne vous distraient du rappel d’Allah. Et quiconque fait cela… alors ceux-là seront les perdants} (Sourate 63 : verset 9). Nos biens ne doivent pas nous distraire de notre raison d’exister. Nous pouvons profiter de ces biens sans que cela soit au détriment du rappel d’Allah.
Mettre l’usage d’internet au profit de la science.
Contrôler l’usage d’internet est sans doute l’une des difficultés de notre génération puisqu’elle est exposée à bien des tentations, en particulier les réseaux sociaux. Pourtant, internet est un outil des plus avantageux lorsqu’il s’agit d’acquérir la science.
Faisons en sorte, chers frères et soeurs de nous servir d’internet au profit de notre science. Qu’il s’agisse de sciences religieuses ou simplement de culture générale, internet nous propose un panel de ressources que nous devrions mettre à notre disposition autant que possible inchaAllah. Bien entendu, il ne s’agit pas de prendre la science religieuse de tout un chacun car comme l’a si sagement souligné Cheikh Mohamed Ibn Sirin : « Certes, cette science est une religion ; Regardez donc de qui vous prenez votre religion ».
Prenons garde à l’usage que nous faisons d’internet chers frères et soeurs, nous en tirerons bien des bénéfices, surtout si cela nous permet d’agrandir notre science inchaAllah. Gardons à l’esprit que l’apprentissage de la religion est une obligation pour chacun d’entre nous. En effet, d’après Anas (qu’Allah l’agrée), le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Apprendre la science est une obligation pour chaque musulman ». (Rapporté par Ibn Maja et authentifié par Cheikh al Albani). Internet peut représenter un véritable complément des livres religieux et nous offre donc le moyen d’en apprendre davantage. Veillons simplement à suivre et à apprendre des savants de la Sunna et du Consensus inchaAllah.
Qu’Allah nous permette d’acquérir une science utile. Qu’Il nous éloigne de tout ce qui nous sera futile.
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France : L’agence immobilière Laforêt publie une annonce raciste excluant étrangers et noirs.
Une annonce immobilière de l’agence Laforêt des Lilas a été partagée sur les réseaux sociaux, non pas pour présenter un bon plan mais pour diffuser un texte raciste. En effet, le propriétaire cherche un locataire avec nationalité française obligatoire et qui ne soit pas noir.
« Etant dans le 93, et aux Lilas, on ne peut pas se permettre d’être raciste ».
C’est sur le compte Twitter de @mous_bm (Moustapha) que l’annonce est apparue. En effet, il demande des explications à l’agent en charge des visites qui ne peut lui apporter de réponses. Ainsi Moustpaha interpelle différents interlocuteurs sur Twitter parmi lesquels l’agence immobilière, SOS Racisme et le Défenseur des droits (autorité constitutionnelle).
Le responsable de l’agence des Lilas a répondu aux questions de Franceinfo en remettant la faute sur une précédente collaboratrice ayant quitté la structure. Il a ajouté que dans le cas de propriétaires racistes, l’agence a pour politique de ne pas prendre les dossiers. Cependant il a aussi expliqué qu’étant dans le 93, et aux Lilas, l’agence ne pouvait se permettre d’être raciste…
Que ce responsable d’agence se détrompe, c’est partout qu’il ne faut pas être raciste pas seulement dans une Seine-Saint-Denis cosmopolite !
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Netanyahou menace le Sénégal de rupture des relations diplomatiques.
Benjamin Netanyahou ne décolère pas suite au vote, avec abstention américaine, de la résolution onusienne condamnant la colonisation dans les territoires occupés palestiniens. Et à présent le Premier ministre menace le Sénégal, qui était parmi les votants favorables, de représailles diplomatiques
L’ambassadeur israélien à Dakar rappelé en Israël
Le torchon brûle entre Israël et le Sénégal. Le pays d’Afrique de l’Ouest, avec également la Nouvelle-Zélande, a présenté et fait voter le texte pointant du doigt les implantations israéliennes qui ne cessent de se multiplier malgré leur illégalité. Le Sénégal est un membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, aux côtés des cinq autres membres permanents : Etats-Unis, France, Russie, Chine, Grande-Bretagne. Ainsi Benjamin Netanyahou a rappelé l’ambassadeur d’Israël à Dakar pour des consultations. Des visites officielles ont été annulées et des programmes d’aide au Sénégal ont été suspendus. D’ailleurs sur place, les réactions se multiplient avec notamment la déclaration de l’ancien ministre des Affaires religieuses : « En adoptant cette posture courageuse, le Sénégal honore l’Afrique, la Oumah islamique et le monde ».
L’ancienne ministre de la justice et ex-Premier ministre du Sénégal, Aminata Touré a indiqué : « L’Etat hébreu qui se croit depuis si longtemps au dessus des lois internationales doit bien comprendre que le Sénégal ne l’a pas attendu pour résolument s’engager dans la voie de son émergence et ne saurait être impressionné par les états d’âme de Netanyahou ».
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Maroc : Mohammed VI rappelle à l’ordre Abdelilah Benkirane pour former son gouvernement.
Cela fait presque trois mois que les élections législatives ont eu lieu au Maroc. Le Parti de la Justice et du Développement (PJD) est sorti gagnant avec Abdelilah Benkirane, chef désigné. Cependant ce dernier n’a toujours pas créé son gouvernement.
Mohammed VI presse Abdelilah Benkirane d’agir .
La semaine dernière, deux conseillers du roi du Maroc ont rencontré Abdelilah Benkirane pour lui demander de former un gouvernement au plus vite. Face à la pression royale, les consultations avec de potentiels futurs ministres doivent donc se multiplier. Pourquoi tant de difficultés à désigner une équipe gouvernementale ? Le futur Premier ministre souhaite la présence du parti de l’Istiqlal, dont le secrétaire général est Hamid Chabat, auparavant pourtant ennemi juré du PJD. Le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) doit aussi rejoindre le gouvernement. Quant aux autres formations politiques, voyant les pourparlers s’enliser faute d’accords, certaines ont précisé ne pas vouloir jouer le rôle de « remplaçants » et ne pas être concernés par les négociations que mène Abdelilah Benkirane.
L’absence de gouvernement, les difficultés à le former, peuvent être synonymes d’instabilité pour un pays. Abdelilah Benkirane va-t-il donc entendre les demandes du roi Mohammed VI pour agir rapidement ?
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France : Yvelines : il poignarde un musulman « barbu et vêtu d’une djellaba » dans un bus.
Patrick, un homme de 53 ans, a poignardé un musulman à cause de son apparence. La scène s’est déroulée vendredi dans un bus qui circulait en Ile-de-France, dans la ville de Houilles (78).
D’après le Parisien, Patrick était debout dans le bus avec un ami lorsqu’il a entendu un jeune « jurer sur le Coran« . Toujours selon le journal quotidien, le quinquagénaire « s’énerve et déclare qu’il en a marre d’entendre ça ». Puis le jeune musulman, accompagné également d’un ami, lui demande s’il a un soucis avec le religion musulmane. Patrick attend que le voyageur musulman « barbu et vêtu d’une djellaba » lui tourne le dos pour sortir un couteau. L’agresseur motivé par sa haine des musulmans enfoncera sa lame dans la clavicule de la victime. Le couteau passe à un centimètre de l’aorte.
La police arrête Patrick. Il expliquera qu’il était sous l’emprise de l’alcool et avait peur du terrorisme. L’islamophobe a été jugé et condamné à 2 ans prison dont 6 mois avec sursis.
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Etats-Unis : la justice saisie d’une fausse agression islamophobe .
Largement relayée par la presse américaine, l’agression à caractère islamophobe de Yasmin Seweid était en réalité un canular mais bien des Américains de confession musulmane s’inquiètent des répercussions de cette histoire.
Début décembre, en rentrant chez elle après avoir dépassé son couvre-feu, Yasmin Seweid portait plainte contre trois hommes qu’elle aurait clairement identifié. Désignés comme des « supporters de Donald Trump », ses agresseurs l’auraient attaqué dans le métro au motif qu’elle était musulmane. « Ils m’ont traitée de terroriste, m’ont dit de dégager de ce pays et de retirer mon p***** de foulard avant de me l’arracher de force », racontait la jeune New Yorkaise de 18 ans.
L’histoire fait vite le buzz. La victime présumée s’est même exprimée sur les réseaux sociaux : « Cela me déchire le cœur qu’un si grand nombre de personnes ait décidé de rester passif tout en me regardant me faire harceler verbalement et physiquement par ces porcs dégoûtants. »
Après des suspicions de la police, l’étudiante passe aux aveux et avoue avoir tout inventé. « Rien ne s’est passé, et il n’y avait pas de victime », a rapporté une source policière au Daily News. Poursuivie pour faux témoignage et entrave à la justice, Yasmin s’est présentée le 15 décembre au tribunal la tête rasée, sans hijab. Une punition que lui auraient infligée ses parents. Elle admet avoir menti par crainte de ses parents, qui désapprouvent sa relation avec son petit ami. Yasmin Sweid risque un an de prison pour chaque chef d’accusation.
Cette accusation mensongère inquiète les communautés musulmanes, qui refusent de voir cet hoax pour atténuer la réalité de l’islamophobie aux Etats-Unis. Selon les statistiques de la police, les crimes haineux signalés dans à New York ont plus que doublé le mois dernier. Plus de 43 cas ont été signalés, contre seulement 20 en novembre 2015.
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Birmanie : le corps décapité d’un musulman Rohingya retrouvé dans une rivière.
Décapité pour avoir osé dénoncer auprès de journalistes birmans l’horreur des massacres qui déciment la communauté martyr à laquelle il appartenait – les musulmans Rohingyas, cette minorité ethnique de Birmanie classée parmi les plus persécutées au monde selon l’ONU – le corps, atrocement mutilé, d’un grand témoin de ce génocide qui ne dit pas son nom a été retrouvé, vendredi dernier, flottant dans une rivière de l’Etat d’Arakane, appelé aussi Rakhine, au Myanmar.
Alors que cette région est encerclée par l’armée depuis plus de deux mois, lui donnant ainsi toute latitude pour parachever une répression sanglante, méthodique et systématique, à l’abri des regards, tout en balayant d’un revers de main les viols, assassinats de masse, tortures et destructions de villages musulmans que lui impute Amnesty International, preuves à l’appui, la découverte macabre de la dépouille d’un Rohingya, âgé de 41 ans, porte le sceau d’une cruauté étatique implacable.
Cet homme d’un grand courage, qui a signé son arrêt de mort en profitant de l’événement rare que constituait la venue de la presse nationale sur place, avait décidé de parler pour démentir les mensonges éhontés de la version officielle, révélant non seulement les atrocités commises par les forces de sécurité birmanes, mais aussi l’implication de villageois, ivres de haine, dans des attaques meurtrières et ravageuses.
Le récent coup de semonce onusien exhortant la Birmanie, par la voix de son rapporteur spécial Yanghee Lee, à une « action urgente » dans l’Etat de Rakhine et à ne « pas donner carte blanche à l’armée pour intensifier ses opérations » a fait l’effet d’un prêche dans le désert, dans le silence toujours aussi assourdissant de Aung San Suu Kyi, l’usurpatrice du prix Nobel de la Paix.
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La mode modeste a le vent en poupe à l’échelle mondiale.
Alors qu’en France, crier haro sur le voile et la « mode modeste » est dans l’air vicié du temps, à l’échelle de notre vaste monde, l’engouement pour les collections de vêtements « islamiquement corrects » ne se dément pas, au point de se demander si Paris, la capitale de la mode, aurait perdu de son flair légendaire pour humer les tendances ?
Les chiffres parlent d’eux-mêmes, n’en déplaise aux violentes diatribes des esprits chagrins du pays des Lumières, de Pierre Bergé, fondateur de la maison Yves Saint Laurent, à Manuel Valls, l’ex-Premier ministre qui se rêve un grand destin, en passant par les incontournables Cassandre islamophobes de service : les revenus générés en 2015 par les achats de vêtements modestes faits par les femmes musulmanes ont atteint les 44 milliards $, selon un rapport consacré à l’économie islamique mondiale 2015-2016, mentionné par Thomson Reuters.
Pour faire bisquer un peu plus le Tout-Paris politique et mondain ou dégonfler son indignation très sélective et pleine de morgue, ce même rapport met en lumière que, d’ici à l’horizon 2021, les dépenses musulmanes globales en matière de mode modeste avoisineront les 368 milliards $. La réussite sans frontières de la mode qui n’est pas la bienvenue à l’intérieur de l’Hexagone se résume par un slogan qui fait mouche : « les vêtements peuvent être modestes, sauf leur succès ! ».
Marché à fort potentiel, l’Indonésie, le plus grand pays musulman du monde, pourrait s’imposer comme la plaque-tournante de la mode islamique d’ici à 2020. C’est en tout cas l’ambition affichée par le gouvernement indonésien, désireux de damer le pion à son plus sérieux et proche concurrent, la Malaisie, où la mode à l’élégance tout en pudeur a effectué une percée remarquable en l’espace de quelques années.
Pour Alia Khan, la grande figure de la mode islamique à Dubaï et présidente de l’agence Design Conseil, dont la vocation est de promouvoir l’industrie de la mode modeste à la surface du globe, la religion joue un rôle important dans l’essor de cette niche économique qui joue désormais dans la cour des grands.
« Les clientes musulmanes choisissent ces lignes de vêtements avant tout pour leur Créateur. Mais elles apprécient également les belles étoffes, les tenues raffinées, voire plus décontractées. La première démarche, emplie de piété, n’est pas antinomique avec une recherche plus esthétique », explique-t-elle, en attribuant à la multiplication des achats en ligne, à l’impact des médias sociaux et à l’influence de la nouvelle génération des Hijabis, ces fashionistas qui revisitent le hijab, la forte augmentation des dépenses pour la mode modeste, de Jakarta, à Kuala Lumpur, en passant par Singapour et le sultanat de Bruneï.
Si on osait, on soulignerait l’intérêt accru des grandes marques non musulmanes (Dolce et Gabbana, Zara, H&M, Uniqlo, Prada…) pour la mode qui a le vent en poupe partout ailleurs, sauf au pays des envolées voltairiennes, de la liberté d’expression et, en théorie, de création… Mais ne risquerait-on pas de déclencher une énième polémique passionnelle dont la France a le secret et détient l’affligeant record ?!
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Et si les Russes étaient plus intelligents ?
Barack Obama vient de déclarer que la Russie est « un petit pays qui ne produit rien, qui exporte du pétrole, du gaz et des armes .. un pays qui n’innove pas ». La Russie ne prétend pas à l’hégémonie sur le plan économique, en effet. Elle connaît parfaitement ses limites. Mais elle ne vole pas le pétrole et le gaz des autres pays en y fomentant la guerre civile, comme les Occidentaux l’ont fait en Libye. Elle ne sème pas le chaos à l’étranger sous le prétexte hypocrite des droits de l’homme. Elle n’envahit ou ne déstabilise aucun Etat souverain, elle ne finance aucune organisation chargée d’y semer le trouble. Elle intervient en Syrie à la demande du gouvernement légal, et elle affronte les terroristes au lieu de leur livrer des armes tout en prétendant les combattre.
Les Russes ne sont pas les plus forts sur le plan militaire. Ils ne détiennent pas le dixième de la capacité de projection extérieure des forces dont disposent les USA. En pleine modernisation depuis une décennie, leur appareil militaire sert à protéger l’immense territoire de la Fédération. Leur stratégie est défensive, non offensive. Ils ont deux bases militaires à l’étranger, tandis que les USA en ont 725. Les Russes ne se laissent pas marcher sur les pieds, mais ils ont le sens de la mesure. C’est l’OTAN qui a relancé la course aux armements en déployant un bouclier antimissiles, et non la Russie. On l’accuse de menacer la paix, mais son budget militaire (48 milliards) est inférieur à celui du Royaume-Uni (53 milliards) et il représente 8% de celui des USA (622 milliards).
Mais si les Russes ont des moyens modestes, ils savent les utiliser. Inutile d’employer des forces colossales pour parvenir à ses fins, il suffit de le faire à bon escient. En un mois, sans un coup de feu, la Crimée est revenue au giron de la Mère-Patrie. Les Occidentaux vont devoir s’y faire. C’est définitif. Les Russes ont aussi gagné la partie sur le théâtre syrien. En un an, l’intervention russe a enrayé l’offensive des mercenaires sponsorisés par les puissances occidentales et les pétromonarchies corrompues. Au terme d’une féroce bataille de 30 jours, la libération d’Alep, deuxième ville de Syrie, ouvre la voie à la restauration intégrale de la souveraineté syrienne.
Avec 5 000 hommes et 70 avions, Moscou a fait basculer le rapport de forces. Il a déjoué les plans du « changement de régime » conçu par Washington et déclenché en 2011 à la faveur des « printemps arabes ». Avec la déroute des bandes armées d’obédience wahhabite, les apprenti-sorciers occidentaux viennent de recevoir une dérouillée. Elle explique sans doute l’amertume d’un président américain en train de faire ses valises pour laisser la place à un successeur qui veut reprendre le dialogue avec Moscou. Quelle claque ! A croire qu’il ne suffit pas d’aligner des porte-avions sur les océans pour peser sur le cours des choses. Les Occidentaux n’ont rien compris, ou rien voulu comprendre à ce qui se passait en Syrie. Ces prédateurs arrogants ont perdu la partie.
Ce « petit pays qui ne produit rien » aura administré une leçon d’humilité à des yankees qui se prennent pour des génies de la géopolitique. Adossé à une Chine qui est la puissance montante, il aura donné ses chances à l’instauration d’un monde multipolaire. Les Américains croyaient mener le bal, et ils sont condamnés à faire tapisserie. Il va falloir l’admettre. Si les Russes dament le pion aux Occidentaux, ce n’est pas parce qu’ils sont plus forts. C’est surtout parce qu’ils sont plus intelligents. Ils comprennent le monde qui les entoure avec davantage de finesse. Ils captent mieux les inflexions du réel. Ils ont cette acuité du regard qui repère le point de bascule, l’endroit et le moment où il faut agir pour influer sur les événements. La supériorité russe n’est pas quantitative, elle est qualitative. Il en coûte de sous-estimer le pays de Tolstoï et Dostoïevski. Une culture millénaire lui a appris la patience. Une histoire tragique lui a donné le sens des réalités.
C’est ce qui manque le plus aux Américains. Barack Obama peut-il seulement comprendre ce qui se passe ? Les USA, ce sont les moyens de la civilisation pris pour la civilisation. Leur expérience historique montre qu’un PIB colossal ne se monnaye pas toujours en perspicacité. Aucune loi physique ne fait transfuser la puissance matérielle, comme par enchantement, en intelligence stratégique. Les Yankees se croient supérieurs, et ce sentiment de supériorité les aveugle. Ils s’imaginent que l’attrait de leur modèle culturel vaut approbation universelle. Ils pensent que leur croyance en eux-mêmes est partagée par les autres. Quelle illusion ! Le « moment unipolaire » inauguré par la chute de l’URSS n’est pas la « fin de l’histoire », mais une parenthèse aujourd’hui refermée. Un petit pays qui ne produit rien s’est chargé de cette fermeture à double tour.
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Trump s’en prend à l’ONU suite à la résolution condamnant la colonisation israélienne .
Quatre jours après le vote d’une résolution condamnant la colonisation israélienne, le président américain élu Donald Trump s’en prend à l’ONU.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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Belgique : Le message poignant d’un mari d’une victime des attentats à Bruxelles : « Le djihad d’amour ».
Mohamed el Bachiri, mari d’une victimes des attentats de Bruxelle, commence son puissant message, adressé face à la caméra lors de la dernière l’émission de l’année de « De afspraak » sur la VRT, par ces mots :
« Je suis Mohamed el Bachiri, belgo-marocain, musulman et molenbeekois. Avec ce prénom, ces convictions et la triste réputation de ma commune, je suis considéré par une partie de la population comme un terroriste potentiel. Je suis également l’époux de Loubna Lafquiri, décédée lors des attentats de Bruxelles, le 22 mars 2016. »
Dans un monologue chargé d’émotion, il livre pendant six minutes un message d’ouverture et appelle à un « djihad d’amour », « Ce djihad qui ne cherche pas à imposer sa vérité ».
Il rend hommage à sa défunte épouse, Loubna, « femme à la beauté inégalable et à la bonté infinie ». Et confie qu’aujourd’hui, « si je me tiens debout, ce n’est que grâce et par amour ». C’est pourquoi, il désire « appeler au djihad ». Mais attention, précise Mohamed el Bachiri, « pas n’importe lequel des djihads ».
« Je parle de ce djihad qui ne connaît pas la haine, ce fardeau pesant qui noircit les cœurs, » explique-t-il. « Je parle du plus vrai, du plus beau combat pour un Musulman qui s’oppose à la terreur. Ce djihad qui incite à aller vers l’autre – son frère différent – pour lui sourire, le comprendre et lui exprimer de l’empathie. Ce djihad qui aime pour exister, qui cherche l’étreinte pour éteindre les flammes de la rancœur et qui ne cherche pas à imposer sa vérité. Car comme il est dit dans le Coran: nulle contrainte en religion. »
Après une année 2016 sanglante, il propose un « djihad d’amour » qui « devrait être la réponse à ceux qui cherchent à nous diviser et à propager la violence et le terrorisme. »
« Etre humaniste musulman, c’est arrêter à un moment de regarder vers les cieux ».
Pour Mohamed el Bachiri, il est en effet tout à fait possible de combiner valeurs humanistes et convictions religieuses: c’est être un « humaniste musulman ». Il nous livre sa définition: « Etre humaniste musulman, c’est accepter, savourer et considérer comme un privilège le fait de vivre dans la diversité. C’est aussi la capacité de contextualiser certains textes du Coran et notamment les passages guerriers en les considérant comme des récits historiques du VIIème siècle qui ne devraient en aucun cas être utilisés pour faire du mal ou porter atteinte à la vie d’autrui. »
Par ailleurs, continue-t-il, « être humaniste musulman, c’est s’intéresser à notre histoire commune: celle de l’Humanité. Avec tous ces grands hommes qui ont fait avancer le monde. Ces hommes de la Grèce antique, de Mésopotamie, de Chine, d’Orient et d’Occident. C’est arrêter – à un moment – de regarder vers les cieux et se tourner vers son prochain: lui sourire et le comprendre. Et si mon prochain est à l’antipode de mes pensées et mes croyances, il a certainement une part de vérité. Car comme disait Héraclite: ‘Il y a une vérité dans une chose et son contraire’. »
A la veille de la nouvelle année, le message de ce Molenbeekois est clair: « Maudite soit la guerre, maudit soit le terrorisme. (…) Il n’y a pas de choc de civilisation. Mais de magnifiques rencontres. »
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Ghannouchi: nous sommes fiers du martyr Zouari et nous appelons à condamner l’occupation
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Hamas: Pas d’avenir pour l’occupation en Palestine
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Augmentation des colonies israéliennes à Jérusalem en 2016
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Des prisonniers malades dans un état critique
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Prolongation de la détention du député Ghatas
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Restrictions israéliennes serrées au barrage de Beit Fourik
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Les Palestiniens en Allemagne organisent leur congrès annuel
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4 Palestiniens arrêtés dans des affrontements à Jénine
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Le ministère des affaires étrangères ukrainien convoque l’ambassadeur israélien à Kiev
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Sabri à Netanyahu: le Mur d’al-Bouraq est aux musulmans
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Affrontements à Azzoun et checkpoints à Qalqilia
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Des combattants tirent sur la barrière Jalama au nord de Jénine
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Une délégation israélienne accueillie à Bahreïn, le Hamas condamne
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Le prisonnier Amar Hamour sera libéré en juin prochain
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Deux mineurs arrêtés en Cisjordanie
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75 Colons extrémistes profanent la mosquée al-Aqsa au 3e jour de Hannouka
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 12 Rabi Al Awwal 1438.

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France : Quand une classe du 93 n’est pas la bienvenue au musée d’Orsay.
Une enseignante de Seine-Saint-Denis dénonce le traitement de ses élèves par les gardiens du musée.
« Fermez vos gueules ! Fermez vos gueules ! » Marianne Acqua n’en croit pas ses oreilles. Quand cette professeure d’histoire-géo du lycée Maurice Utrillo de Stains (Seine-Saint-Denis) arrive dans la salle d’exposition du musée d’Orsay où sont regroupés les membres de sa classe de première bac professionnel vente, venue étudier l’histoire des ouvriers au XIXe siècle, mercredi 7 décembre, elle les retrouve médusés dans un coin. Elle raconte à « l’Obs » :
« Je fermais la marche du groupe avec une collègue et j’ai été accueillie par les injures d’un gardien de salle, visiblement très remonté contre mes élèves. Il n’arrêtait pas de leur ordonner de se taire… alors qu’ils étaient immobiles et silencieux comme des statues ! »
L’enseignante a raconté tout d’abord l’histoire dans un post Facebook qu’elle a publié en privé après l’incident, partagé près de 2.000 fois, avant de s’entretenir avec « l’Obs ».
Un dialogue de sourds s’entame ensuite entre prof et gardien, le second reprochant à la première de ne pas savoir tenir les lycéens. Après un laïus ponctué de cris et de remarques désobligeantes, le surveillant finit par quitter la salle.
Une victoire de courte durée : quelques minutes plus tard, il reparaît avec une autre gardienne à qui il assène, en aparté, désignant l’enseignante, selon des propos rapportés ici par les lycéens : « C’est quoi ces vêtements ? » « Elle n’a aucune autorité sur ses élèves », « On ne sait même pas si c’est un homme ou une femme »… Mais la gardienne ne tique pas face à ces insultes proférées par son collègue devant les adolescents, et accuse à son tour :
« Vous dérangez tout le monde, les clients du musée se plaignent, on vous entend dans tout le musée ! »
« Des accusations infondées, affirme Marianne Acqua. Si quelqu’un a été dérangé, c’est à cause des vociférations du gardien ! »
« On s’est fait suivre par quatre surveillants »
« Mais rien n’y fait, elle continue de crier », témoigne l’enseignante.
« Pendant ce temps, le premier surveillant prend mes élèves à partie et bouscule littéralement la professeure qui m’accompagne », précise-t-elle dans son post. « Nous restons aussi calmes que possible mais leurs cris attirent d’autres surveillants de salle qui se mettent, à leur tour, à hurler sur mes élèves et moi-même. La situation devient délirante. »
L’affaire dégénère encore lorsqu’un élève finit par répliquer, les nerfs à vif, face au harcèlement dont sont victimes ses accompagnatrices : « Mais vous êtes qui, vous, pour dire ça ? » Les surveillants font alors mine d’appeler la sécurité du musée, qui n’arrivera jamais. « On avait vraiment l’impression, ma collègue et moi, qu’ils cherchaient l’incident pour avoir un bon prétexte pour nous sortir », observe la prof.
« Les élèves sont juste bouche-bée, ils me regardent l’air ébahi, ils ne comprennent rien, moi non plus. Je décide d’ignorer la situation et leur dis de me suivre pour continuer la visite », écrit-elle encore.
Notre marche est silencieuse, pesante, les élèves osent à peine regarder les œuvres ou prononcer un mot. Mais ce n’est toujours pas suffisant, les surveillants nous courent après, nous demandent de nous arrêter. »
Marianne Acqua et sa collègue décident malgré tout de continuer la visite avec le petit peloton, escortés par des gardiens toujours plus nombreux. « On s’est fait suivre par quatre surveillants, qui prétendaient avoir été agressés verbalement et exigeaient notre départ sans quoi ils menaçaient de se mettre en grève. » La totale.
« Sommés de quitter les salles, les unes après les autres »
Arrivé dans une autre salle, le groupe tombe sur un cinquième gardien, étonnamment bienveillant, qui calme le jeu et décide de les conduire au premier étage du musée. « Ici, ne faites plus de bruit, mes collègues devraient vous laisser tranquilles », recommande-t-il aux élèves.
Peine perdue. Les mêmes scènes se répètent. « Dès qu’ils entrent dans une salle, ils sont suivis, engueulés pour… leur présence, sommés de quitter les salles, les unes après les autres ». « C’était incompréhensible », confie Marianne Acqua. « Mes élèves étaient complètement calmes mais on continuait de leur lancer des ‘Fermez vos gueules !' »
Cette fois, les deux enseignantes décident de quitter le musée. En parcourant les couloirs d’Orsay vers la sortie, la cohorte silencieuse passe devant d’autres classes, plus bruyantes mais moins métissées, selon la prof, mais à qui on ne reproche rien. Dehors, les lycéens sont choqués. Certains envisagent de ne plus remettre les pieds dans un musée parisien.
« Bravo, chapeau bas le Musée d’Orsay, félicitations Paris, performance réussie », écrit l’enseignante sur Facebook : « Ce n’est pas la première fois qu’on me signifie que la place de mes élèves n’est pas au musée. A Pompidou, par exemple, on m’avait suggéré que c’était à la piscine municipale que nous aurions dû aller… »
En bref, suite a la banalisation de l’islamophobie dans les divers média et surtout au gouvernement français actuel sous dominance israelienne, le peuple de france se montre sous son vrai visage, celui de l’islamophobie et la xenophobie, et cela en toute liberté, sans crainte de représaille. Liberté, égalité, fraternité, mais pas pour tous….
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Palestine : Lueur d’espoir : un récit-terrain à Gaza poignant…
Nous venons en aide aux enfants en Palestine, et nous avons rencontré Hani, voici son histoire…
Hani Abu Omera a 12 ans. Il habite à Beach Refugee Camp, un des quartiers les plus pauvres de la bande de Gaza, si ce n’est de toute la Palestine. Hani étudie dans une des écoles de l’UNRWA, bondées et aux ressources limitées. Hani et sa maman, Rehab, vivent dans une petite pièce, où ils dorment tous les 2. Hani y fait aussi ses devoirs et sa mère cuisine.
REHAB – « Je ne veux que le bonheur de mon fils »
La maman de Hani, Rehab Abu Omera, 48 ans, explique avec douleur qu’elle s’est mariée très tard, en 2004, au père de Hani, un homme assez âgé, afin d’échapper à la pauvreté et aux conditions de vie difficiles de sa famille. Son mari était un pêcheur et après trois ans de mariage, il a eu une crise cardiaque qui l’a rendu paralysé, 3 ans avant sa mort en 2010.
« J’ai perdu mon mari après 6 ans de mariage. En tant que mère, je rêve d’assurer une vie convenable et confortable pour mon fils Hani. La vie est très difficile à Gaza parce que tous les Gazaouis souffrentn de l’accès limité aux ressources, c’est pourquoi peu de gens peuvent nous aider en cas de crise ou pour les grandes occasions comme l’Aïd et le Ramadan. »
Rehab continue, les larmes aux yeux : « Je veux une vie heureuse pour mon fils Hani parce que je ne veux pas qu’il vive dans la souffrance comme moi. Mon rêve est d’avoir ma propre grande maison pour y vivre avec mon fils. J’ai tout le temps honte parce que je ne peux pas accueillir mes sœurs, frères et amis dans ma maison, à cause du manque de place. Quand c’est nécessaire, je les vois dans la maison de ma sœur.
Quand j’ai donné naissance à Hani, j’étais très heureuse, il est mon premier bonheur, j’ai considéré sa venue comme un cadeau d’Allah pour compenser mes moments douloureux.
Avec le soutien du SIF, je suis en mesure de fournir à Hani une vie simple mais de base. Depuis qu’il est né, comme beaucoup d’enfants palestiniens, Hani n’a pas eu une enfance comme les autres enfants dans le monde, notamment parce c’est un réfugié. Je me souviens de son premier jour à la maternelle, pour moi ce fût un grand moment. J’ai travaillé très dur pour fabriquer des produits artisanaux et des tricots, pour économiser de l’argent pour qu’il rentre à la maternelle. Maintenant, avec l’aide du SIF, al hamdulillah, Hani est inscrit à l’école et a des bonnes notes. Je suis inquiète quant à son travail scolaire. Les années précédentes, il obtenait de très bonnes notes. En plus de ça, Hani est un garçon très timide, il est seul et distrait. Même si Hani a seulement 12 ans, il agit comme une personne adulte et mature, à cause de nos conditions de vie difficiles. »
HANI – « Ma mère est ma vie ».
Quant à Hani, lui, nous livre qu’il aime son école, une deuxième maison pour lui : « Mon école est très grande et a un grand espace pour jouer. J’ai beaucoup d’amis à l’école, je me sens libre et heureux à l’école, je peux jouer librement et marcher, alors qu’à la maison, c’est trop petit. J’adore mon professeur de langue arabe, il est très gentil et a une manière formidable de traiter les élèves. Je peux comprendre mes leçons d’arabe facilement et il a vraiment eu un impact sur mon travail à l’école. J’ai un bon ami, Ameer, qui est très discipliné et calme. Il partage avec moi son argent quand je n’en ai pas.
Ma mère est ma vie. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, parce qu’elle souffre pour moi. Je me souvient de mon père et j’ai de bons souvenirs avec lui, je me souviens quand j’avais trois ans, j’avais peur d’un chat, mais mon père m’a aidé et appris à être fort et courageux. Il m’a aussi parlé du voyage en mer que l’on a fait ensemble quand j’avais six mois. C’est pour ça que j’aime la mer. Au jardin d’enfant, ils nous donnaient des biscuits et du jus, je mangeais les biscuits et gardais le jus pour mon père, qui en raffolait sans avoir les moyens d’en acheter.
Mes hobbies sont les arts plastiques et l’artisanat, mais mon rêve est de devenir médecin pour aider les gens à guérir. Je rêve aussi de devenir riche pour acheter des maisons pour les orphelins et les gens sans abris et donner de l’argent pour les pauvres. Je souhaite que mon rêve devienne réalité. »
Dalia – Administratrice Orphelins : « Nous sommes très préoccupés ».
Nous connaissions Hani depuis 2011 et nous le voyons grandir de jour en jour. Hani est fils unique et vit dans de très mauvaises conditions. Cela a eu un impact négatif sur sa vie, bien qu’il se soit distingué à l’école, ce qui lui a donné un avenir prometteur. Mais ce n’est plus le cas maintenant. Au SIF, nous sommes très préoccupés quant à son avenir ainsi que celui de milliers d’orphelins que nous parrainons depuis de nombreuses années, parce que la situation se détériore dans la Bande de Gaza.
En tant que travailleurs humanitaires, nous travaillons dur pour aider à améliorer la vie de Hani et celle d’autres orphelins. Depuis 5 ans, le SIF fournit un soutien régulier à Hani par le biais du Projet Orphelins, des distributions de colis alimentaires pour Ramadan et de cadeaux pour l’Aïd. La maison de la tante de Hani est considérée comme le seul endroit agréable où Hani peut jouer et s’amuser.
Maysa – Travailleur social au SIF : « Hani est le seul espoir pour sa mère … »
Malheureusement, Hani vit dans une unique pièce, chose qui est mauvaise pour sa santé. Hani est poli, très calme et obéit toujours à sa mère. Il agit toujours comme s’il était plus vieux que son âge, je le vois dans ses yeux et j’en suis profondément triste. Hani et sa mère n’ont plus personne pour prendre soin d’eux depuis la mort de son père. Sa mère est tout pour lui et il fait de son mieux pour changer leurs conditions de vie en travaillant dur à l’école. Hani est le seul espoir pour sa mère …
Comment aider Hani et tous les autres enfants ?
Divers projets sont mis en œuvre par nos équipes sur le terrain pour apporter une aide concrète aux enfants palestiniens : actions de protection des enfants, réhabilitation de maisons, distribution de colis alimentaires, etc.
Pour soutenir les différents projets du Secours Islamique France, faites un don en cliquant ci-dessous.
A titre d’exemple :
Avec 25 €, vous offrez un repas complet et équilibré à 5 enfants palestiniens.
Avec 50 €, vous couvrez les besoins essentiels d’un enfant pendant 1 mois.
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Une fatwa déterminante d’al-Suyûtî en faveur de la célébration du Mawlid nabawî.
Les débats portant sur l’opportunité ou la licéité de célébrer l’anniversaire de la naissance du prophète (al-Mawlid al-nabawî) ne datent pas de notre époque. En témoigne la fatwa rédigée à la fin du IX/XVe siècle par le grand savant Jalâl al-Dîn al-Suyûtî (m. 911/ 1505). Avant lui, d’autres ‘ulamâ’de renom avaient déjà rédigé des livrets intitulés Mawliden l’honneur du Prophète (Ibn al-Jawzî, Ibn Kathîr…), ou avaient pris position en faveur de cette célébration.
Ainsi, Ibn Taymiyya lui-même (m. 1328) déclare t-il dans son livre Iqtidâ’ al-sirât al-mustaqîm : « Nous célébrons le Mawlidpar amour et vénération pour le Prophète ». La fatwa de Suyûtî a l’avantage d’une part de retracer l’historique de la célébration du Mawlid, d’autre part d’apporter la caution d’un savant éminent de l’islam à la reconnaissance de cette célébration.
Présentons d’abord – si besoin est – Suyûtî. C’est un ‘âlimencyclopédiste, polyvalent, qui maîtrisait maintes disciplines islamiques et a écrit par ailleurs sur les sujets les plus variés. À noter qu’il est l’auteur le plus prolifique de littérature islamique, puisqu’on lui attribue environ un millier d’ouvrages ! Dans le foisonnement de son œuvre, ce qui ressort globalement c’est son attachement au modèle prophétique muhammadien. Il s’agit pour lui, comme pour Junayd auparavant, de la seule voie menant à Dieu. Lui-même déclara que la discipline où il se sentait la plus à l’aise était celle de la « science du hadîth ».
Pour notre auteur assurément, ce modèle ne saurait être transmis uniquement par la science livresque ; il a besoin d’être vécu de l’intérieur. Suyûtî a donc pratiqué la Voie soufie, et avait pour maître un cheikh de la tarîqaShâdhiliyya, Muhammad al-Maghribî (m. 911/ 1505). Nul étonnement, donc, qu’il ait développé ici ou là la dimension ésotérique du message muhammadien.
Notre savant égyptien a ainsi établi un rapport personnel, mystique, avec la personne spirituelle du Prophète. Il affirme en ce sens avoir vu celui-ci plus de soixante-dix fois à l’état de veille (yaqazatan), ce qui constitue, dans le soufisme même, une faveur rarement accordée. Des contemporains ont d’ailleurs rapporté des visions au cours desquelles le Prophète rencontrait Suyûtî et l’appelait « shaykh al-Sunna ». Et ce dernier stipule, à l’instar d’autres soufis ou ‘ulamâ’spiritualistes, que le Prophète peut entretenir, lors de visions, tel initié de la validité ou non d’un hadîthdonné.
Aperçu historique sur la célébration du Mawlid nabawî.
Suyûtî attribue l’initiative de cette célébration à un prince sunnite, de la dynastie ayyoubide, qui régnait sur la ville kurde d’Irbil, à 80 km de Mossoul : Muzaffar al-Dîn Kökbürî. Ce prince aurait commencé à célébrer le Mawlidau tout début du VII/XIIIe siècle, soit à partir de 605/1208. D’après les chroniques de l’époque, il s’agissait d’une sorte de festival qui attirait beaucoup de monde et qui doit beaucoup, en fait, aux soufis de la région : ils animaient la cérémonie par le dhikr et le samâ‘.
On peut dire que, depuis que cette cérémonie existe en pays musulman, les dirigeants politiques avaient davantage besoin de l’appui des milieux soufis que l’inverse. Le voyageur Ibn Jubayr (m. 614) évoque, dans ses Rihal, la célébration du Mawlid pour la même période, à la Mecque.
D’autres sources affirment que les Fatimides (Égypte et Syrie) auraient été les premiers à fêter le Mawlid. Lorsqu’on sait que les Fatimides, dynastie chiite ismaélienne, étaient les rivaux des Ayyoubides sunnites, il n’est guère étonnant qu’il y ait une telle surenchère idéologique. On sait par ailleurs que le prince kurde sunnite Nûr al-Dîn Zengui (m. 1174) – l’oncle de Saladin -avait écrit un texte d’éloges, depuis Damas, en l’honneur du Prophète.
Outre le fait que la célébration organisée par Muzaffar al-Dîn Kökbürî était bien repérée dans les sources historiques (Ibn Khallikân lui a consacré une description détaillée), il est évident que Suyûtî, sunnite prononcé et légitimiste concernant la question du califat abbasside, n’allait pas promouvoir dans sa fatwa une hypothétique origine chiite à la célébration du Mawlid…
En réalité l’apparition de la cérémonie du Mawlidcorrespond historiquement aux besoins, pour la communauté musulmane, de se rassembler autour de la personne du Prophète en temps de crise : rappelons que depuis 1099, les Croisés ont investi une partie du Proche-Orient (Syrie, Palestine), et que, à l’Est, se profile de plus en plus le danger du déferlement mongol.
Contexte de la fatwa de Suyûtî.
Selon plusieurs auteurs, leMawlid nabawîconnaît son véritable développement à l’époque de Suyûtî, soit à la fin de la période mamelouke. Au Caire, la cérémonie revêt un caractère officiel, à la Citadelle, en présence du sultan mamelouk, des émirs, des ‘ulamâ’et des soufis bien sûr. Mais son aspect populaire festif n’en est pas pour autant éclipsé. Les cheikhs la célèbrent dans leur zâwiya, entourés de leurs disciples et de nombreux invités.
Nous sommes à une époque où émerge de plus en plus la notion de « Voie muhammadienne » qui doit fédérer et rassembler toutes les voies initiatiques particulières. Cependant, la question de la licéité de la célébration du Mawlidse pose encore ici ou là. De ce débat témoigne la fatwa de Suyûtî, qui vise à apporter une réponse étayée et définitive.
Cette fatwa revêt une importance particulière du fait de la renommée de son auteur de son vivant : Suyûtî délivrait des avis juridiques à la demande d’un public large qui allait de l’Inde jusqu’à l’Afrique sahélienne (al-Takrûr). Nul étonnement donc, que l’on trouve des traces de l’influence de cette fatwa jusqu’au Maghreb. La méthode de Suyûtî consiste à citer beaucoup d’autorités antérieures qui, pour la plupart, vont dans son sens. Ce référencement, on le sait, constitue le seul moyen dans la culture islamique d’asseoir son avis. Suyûtî s’appuie ainsi sur des savants reconnus tels que al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar, etc. Mais il sait aussi donner la parole à ses adversaires doctrinaux… avant de les réfuter.
L’argumentation développée dans la fatwa.
Le texte s’intitule Husn al-maqsid fî ‘amal al-Mawlid, « La bonne intention concernant la célébration du Mawlid », et il est incorporé dans le recueil de fatwas que Suyûtî a collecté à la fin de sa vie et qui s’intitule al-Hâwî lil-fatâwî. Suyûtî y développe principalement le thème que cette célébration relève certes de l’innovation (bid‘a), mais que toute innovation n’est pas blâmable (madhmûma).
Il s’agit là au contraire d’une innovation « louable » (hasana), voire recommandée (mandûba). Suyûtî précise même que, dans certains cas, une innovation peut s’avérer obligatoire, indispensable (wâjiba). En outre, il précise que, une fois devenu prophète, Muhammad a célébré pour lui-même la ‘aqîqa, alors que son grand-père ‘Abd al-Muttalib l’avait déjà pratiquée pour lui lors de sa naissance : cet élément d’information va dans le sens de la commémoration de sa naissance par la communauté musulmane.
Le sens que revêt la commémoration de la naissance du prophète Muhammad est de rendre grâce à Dieu (izhâr al-shukr)de l’avoir envoyé comme prophète ayant apporté l’islam, et comme miséricorde à tous les êtres. Cette gratitude s’accompagne de manière toute naturelle de la joie que peuvent partager les musulmans, et plus précisément ceux qui assistent à la célébration. Et Suyûtî de mentionner que l’oncle mécréant du Prophète, Abû Lahab a son sort amélioré en enfer du simple fait qu’il se serait réjoui lors de la naissance de Muhammad. C’est donc l’intention de l’action de grâce et de la réjouissance qui doit être prise lorsqu’on organise le Mawlid.
À l’instar de savants antérieurs, Suyûtî établit la comparaison entre cette célébration et l’établissement par le calife ‘Umar Ibn al-Khattâb de la prière des Tarâwîh, lors du mois de Ramadan. On ne trouve dans tout cela, écrit-il, aucune contradiction ni avec le Coran ni avec la Sunna, car cela relève du « bel agir », de la « recherche de l’excellence » (al-ihsân). Simplement, il faut distinguer la célébration telle que la recommandent les ‘ulamâ’et les soufis, des pratiques blâmables qui ont pu s’y introduire.
A cet égard, Suyûtî donne des indications assez précises sur le contenu et le déroulement de la commémoration du Mawlid : durant tout le mois de Rabî‘ al-awwal, au cours duquel est né Muhammad, on doit pratiquer le bien, multiplier les aumônes, etc. Lors de la cérémonie elle-même, il est recommandé de se réunir pour lire le Coran, nourrir les pauvres, lire des passages de la tradition concernant la naissance du Prophète et les signes miraculeux qui l’ont accompagnée, chanter des poèmes en son éloge, et bien sûr éviter tout débordement relevant de la religiosité populaire (danse, musique…).
Lorsque l’on considère l’autorité scientifique et spirituelle de Suyûtî, et celle des savants antérieurs qu’il cite (al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar…), on reste consterné devant l’ignorance aussi péremptoire de ces musulmans contemporains pour lesquels le Mawlid est une innovation blâmable, et qui vitupèrent contre la célébration de la naissance de celui qui fut envoyé « comme une miséricorde pour les mondes ».
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Le Sénégal condamne le revirement de Jammeh et exige “la transmission pacifique du pouvoir”.
Le Sénégal, voisin de la Gambie, a condamné vendredi soir le revirement du président gambien Yahya Jammeh, qui a rejeté les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite, exigeant qu’il “organise la transmission pacifique du pouvoir”.
“Le Sénégal rejette et condamne fermement cette déclaration”, selon un communiqué de son ministre des Affaires étrangères Mankeur Ndiaye, disant avoir appris “avec surprise” cette remise en cause par M. Jammeh de sa propre reconnaissance des résultats une semaine auparavant.
“Le Sénégal exige que le président sortant respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu”, Adama Barrow, candidat d’une large coalition d’opposition.
Il “engage instamment la Cédéao (Commission économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, NDLR) l’Union africaine et les Nations unies à oeuvrer ensemble et prendre toutes les mesures qu’imposent la sauvegarde des résultats du scrutin présidentiel en Gambie et le respect de la souveraineté du peuple gambien”.
Par ailleurs, Dakar “met solennellementen garde contre toute atteinte à la sécurité des ressortissants sénégalais vivant en Gambie”, petit pays d’Afrique de l’Ouest enclavé dans le territoire sénégalais hormis sa façade atlantique.
Dans sa déclaration télévisée vendredi soir, M. Jammeh a assuré que “l’intervention de puissances étrangères ne changerait rien”.
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Gambie : Yahya Jammeh ne reconnait plus sa défaite.
Le président gambien sortant Yahya Jammeh a annoncé vendredi qu’il ne reconnaissait pas les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite face à l’opposant Adama Barrow, dans une déclaration télévisée.
“Tout comme j’ai loyalement accepté les résultats, en croyant que la Commission électorale était indépendante, honnête et fiable, je les rejette dans leur totalité”, a affirmé M. Jammeh, dénonçant des “erreurs inacceptables” de la part des autorités électorales.
“Laissez-moi répéter: je n’accepterai pas les résultats sur la base de ce qui est arrivé”, a-t-il dit, appelant à la tenue d’un nouveau scrutin.
M. Jammeh a dénoncé une erreur de comptabilisation reconnue par la Commission électorale indépendante (IEC), accordant la victoire à M. Barrow, mais avec moins de voix d’avance qu’annoncé initialement et fait état d’”enquêtes” sur l’abstention qui ont révélé, selon lui, que de nombreux électeurs n’avaient pu voter en raison d’informations erronées.
Cette annonce bouleverse la situation en Gambie, où la population profitait d’une liberté inédite, à la perspective d’une alternance démocratique, après 22 ans de pouvoir sans partage de Yahya Jammeh.
La veille, le président élu s’est prévalu du soutien du chef de l’armée, le général Ousman Badjie, et a annoncé la création d’une Commission Vérité et Réconciliation.
Dans une déclaration télévisée diffusée le soir du 2 décembre, Yahya Jammeh avait, à la surprise générale, reconnu sa défaite et avait téléphoné à Adama Barrow devant les caméras pour le féliciter pour sa victoire.
Les pressions pour poursuivre Yahya Jammeh et les dignitaires du régime, accusés de nombreuses violations des droits de l’Homme, représentent un des principaux défis pour le nouveau pouvoir, déterminé à une transition pacifique.
Dans un entretien avec des médias français le 3 décembre, M. Barrow a exclu toute “chasse aux sorcières”, affirmant que son prédécesseur pourrait “vivre en Gambie en tant que citoyen ordinaire”.
Plusieurs dizaines de militants de l’opposition, dont Ousainou Darboe, le chef de la principale formation d’opposition le Parti démocratique uni (UDP), arrêtés pour avoir participé à des manifestations non autorisées en avril et en mai, ont été libérés sous caution cette semaine.
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Présidentielle au Ghana : John Dramani, le président sortant, concède sa défaite.
Le président du Ghana, John Dramani Mahama, qui était en lice pour un second mandat, a appelé le chef de l’opposition, Nana Akufo-Addo, pour le féliciter vendredi soir de sa victoire à la présidentielle, a annoncé le porte-parole de son parti.
“Oui, il a concédé sa défaite”, a déclaré George Lawson, porte-parole du Nouveau congrès démocratique (NDC), à l’AFP, alors que l’opposition fêtait déjà sa victoire dans les rues d’Accra, à coups de feux d’artifice.
“Il a appelé pour concéder sa défaite et nous sommes extatiques”, a confirmé la porte-parole du principal parti d’opposition, le Nouveau Parti Patriotique (NPP), Oboshie Sai Cofie.
Des centaines de partisans, habillés de blanc des pieds à la tête, se sont rassemblés devant la modeste résidence de M. Akufo-Addo, pour célébrer leur victoire, 48 heures après la fermeture des bureaux de vote.
Ils dansaient depuis des heures déjà, pour fêter une victoire qui s’annonçait plus que certaine, selon les prévisions de médias locaux, tout au long de cette longue attente.
Le candidat du NPP, qui se présente pour la troisième fois à la magistrature suprême, a déjà prononcé jeudi soir un discours triomphant s’affirmant vainqueur de l’élection présidentielle, alors que ni la Commission électorale, ni le parti du président sortant (NDC) n’avaient fait d’annonce officielle.
Vendredi soir, la Commission a confirmé la tendance, sans donner de score officiel.
“C’est mon rôle et mon privilège de déclarer Nana Addo Akufo Addo président de la république du Ghana”, a annoncé Charlotte Osei, présidente de la Commission électorale.
“Je pense que les Ghanéens peuvent être extraordinairement fiers”, a déclaré l’un des observateurs du scrutin, Johnnie Carson, de l’Institut national démocratique.
“Le Ghana s’est distingué pendant ses 25 dernières années comme étant un pays d’intégrité et de transparence”, a-t-il ajouté.
Le premier mandat de M. Mahama, figure charismatique et réputé proche du peuple, a été entaché par un ralentissement de la croissance et par des scandales de corruption au sein de l’administration.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ambassadeur de la Malaisie au Caire arrive à Gaza
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Le Hamas appelle l’Egypte à accélérer ses mesures visant à alléger le blocus de Gaza
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Une palestinienne arrêtée à un point de contrôle au sud de Qalqilya
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Les bulldozers israéliens ratissent les terres palestiniennes à Salfit
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Réouverture exceptionnelle du passage de Rafah pendant 3 jours
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Une marche à Jénine pour soutenir un prisonnier en grève de la faim
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Le Hamas endeuillé par la mort du penseur islamique russe Jamal Haider
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Des blessés lors de la répression des marches hebdomadaire de Kafr Kadoum et Ramallah
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L’occupation décide de restituer les corps de 7 martyrs palestiniens
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En images: 100 000 participants à la marche du Hamas au nord de Gaza
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Le FPLP promet d’entraver la réunion du Conseil national à Ramallah
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MADA: 31 violations des libertés des médias en Palestine en novembre
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Mechaal: la situation à Alep est alarmante
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Les forces d’occupation arrêtent un citoyen ayant franchi le siège sécuritaire
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L’Union Européenne condamne Israël pour la détention administrative des Palestiniens
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Des milliers de palestiniens effectuent la prière du vendredi à la mosquée al-Aqsa
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