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Flash info du 23 Rajab 1438.

Flash info du 23 Rajab 1438.
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Voici les 7 choses à appliquer quand le musulman fait face à une épreuve.
La vie est faite de dualités et d’événements bons ou mauvais.
Le croyant doit faire face aux épreuves de la vie ici-bas, en ayant en tête qu’il s’agit d’un passage éphémère pour les êtres humains.
Dans plusieurs versets du Saint-Coran, Allah (soubhanou wa ta’ala) évoque les multiples récompenses qu’Il accorde pour les croyants endurants.
« Quiconque, homme ou femme, aura fait le bien tout en étant croyant, Nous lui assurerons une vie heureuse. Et Nous les récompenserons en fonction des meilleures de leurs œuvres. » (Sourate Al-Nahl, Verset 97).
« Quiconque craint Allah et se montre patient en reçoit la récompense, car Dieu ne frustre jamais les hommes de bien de leur récompense. »
(Sourate Yûsuf, Verset 90).
Cependant, voici sept conseils pour affronter les épreuves avec force et foi:
1 – Prier à l’heure, 5 fois par jour, avec ferveur comme si chaque salât était la dernière.
2 – Lisez le Coran, car « N’est-ce pas que c’est au souvenir de Dieu que s’apaisent les cœurs ? » (Sourate Ar-Ra’d, verset 28).
3 – Multiplier les dou’as. Les invocations luttent contre l’incertitude et l’angoisse.
4 – Faire des dons, l’aumône efface les péchés et annule le feu qu’ils suscitent comme le précise le prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) : « …et l’aumône éteint le pêché comme l’eau éteint le feu ». (Rapporté par Ibn Maja dans ses Sounan n°3973 et authentifié par Cheikh Albani).
5 – Les croyants sont endurants et ont foi en l’aide d’Allah et peu importe les difficultés, ils agissent avec un sentiment de contentement et de sécurité. « A côté de la difficulté est, certes une facilité ! A côté de la difficulté, est, certes, une facilité ! » (Sourate As-Sarh, 5-6).
6 – Ressasser les idées sombres n’est pas une solution. Souffrir c’est montrer sa vulnérabilité, ou sa force. La souffrance nous apprend à être forts, elle nous instruit et renforce notre détermination. C’est lorsqu’un malheur nous accable que nous réfléchissons et que nous avançons.
7 – « La grandeur de la récompense va de pair avec la grandeur de l’épreuve. Allah, quand Il aime les gens, les éprouve. Celui qui accepte l’épreuve avec abnégation aura la Satisfaction d’Allah ; et celui qui oppose son mécontentement, Allah sera mécontent de lui. » (Tirmidhi).
AJIB.FR
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Karam, le Syrien qui casse les préjugés sur le niveau d’études des réfugiés.
Karam fait partie des quelques milliers de réfugiés qui résident aujourd’hui en France. Papa de 2 petites filles, ce jeune syrien s’est vu dans l’obligation de fuir son pays où il devient de plus en plus difficile de survivre. Arrivé en France en janvier 2016 juste après avoir reçu son diplôme en médecine, il recherche aujourd’hui ici « n’importe quel travail » afin de subvenir aux besoins de sa famille en attendant que son diplôme lui soit envoyé de Syrie.
Découvrez son témoignage bouleversant qui vient casser tous les préjugés qui poussent à croire que les réfugiés ont souvent un niveau d’études très faible voire même inexistant.
Il témoigne :
« Le 5 janvier 2016, j’ai dû quitter la Syrie pour la France alors que je venais de réussir mes examens de médecine. Un an plus tard, j’attends toujours de recevoir mon diplôme, dans l’espoir d’être docteur ici un jour. J’étais en deuxième année de médecine quand la guerre a commencé. J’ai rapidement décidé d’aider le Croissant-Rouge en accompagnant des docteurs pour des soins de premiers secours. Puis j’ai dû quitter ma ville, Deir ez-Zor, quand elle a été assiégée par Daech. Nous pensions que, comme à chaque combat, ça irait mieux dans un mois, et que nous allions revenir vite. Mais la situation a duré, et s’est empirée. Quand j’étais en quatrième année d’études, l’armée a repris trois quartiers de la ville où j’étais avec ma mère. J’ai dû emménager chez ma tante, qui avait une maison là-bas, du côté contrôlé par le gouvernement. Rester du côté rebelle était mal vu : des professeurs, des banquiers ont dû quitter leur logement, sinon le gouvernement allait les priver de leur salaire.
Les rebelles ont un jour attaqué ces trois quartiers, avant que le régime ne réponde à son tour. Régulièrement, les bombes blessaient des civiles. Nous aidions dès que possible les blessés, en plus des personnes souffrant de maladies chroniques, d’asthme, d’hypertension, d’allergies, auxquelles nous distribuions des médicaments avec le Croissant-Rouge. Durant deux ans, j’étais bénévole au Croissant-Rouge en plus de mes études de médecine.
En cinquième année, je me suis rendu à l’hôpital national pour demander à faire un stage. Il n’y avait plus beaucoup de docteurs, alors je suis bien tombé. Ils ont accepté que je suive le service de gynécologie pendant un mois, puis de cardiologue. Cela m’a beaucoup formé, mais j’y ai aussi vu des scènes traumatisantes. En août 2015, j’ai dit à ma femme et à ma fille d’aller à Damas car la situation en ville devenait très dure : il n’y avait pas de nourriture, pas d’eau, pas d’électricité.
J’ai passé l’examen un mois plus tard, et je l’ai loupé. En novembre, j’ai dû prendre un avion militaire pour le repasser, car la ville était encerclée, et je l’ai finalement réussi. Mais aujourd’hui, j’attends toujours de recevoir mon diplôme. Les employés des administrations ne sont plus si nombreux en Syrie. Mon certificat doit par ailleurs être transmis à Damas, ce qui est très compliqué : c’est désormais impossible par avion, car l’aéroport a été attaqué. J’attends donc que mon cousin, qui habite Damas, puisse récupérer mon diplôme pour me l’envoyer. Peu après avoir passé mon examen, j’ai été contraint de quitter le pays, où je risquais de me faire tuer chaque jour. Direction la Turquie, puis la Grèce, avant que la France n’accepte de m’accueillir en tant que réfugié le 20 avril 2016.
À mon arrivée en France, j’ai d’abord travaillé dans une usine de tissus, à Gérardmer. Mais j’ai dû arrêter car les cours de français avec l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Offi) me prenaient beaucoup de temps. Il n’y a pas longtemps, j’ai déménagé à Épinal avec ma femme et mes deux filles – la deuxième est née en France. Je me suis inscrit dans une boîte d’intérim dans l’espoir de trouver du travail. N’importe lequel.
Je suis également bénévole à la Croix Rouge un jour par semaine. Je ne supporte pas de rester sans rien faire. Aujourd’hui, j’espère recevoir rapidement mon diplôme afin de trouver un poste d’interne et pouvoir enfin exercer en France ce métier pour lequel j’ai été formé dans mon pays. »
Témoignage recueilli et traduit par Rozenn Le Carboulec.

katibin.fr
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Indonésie : le gouverneur chrétien reconnaît sa défaite aux élections.
Candidat à sa propre succession au poste de gouverneur de Jakarta, Basuki Tjahaja Purnama, surnommé Ahok, a reconnu sa défaite aux élections, mercredi 19 avril, face à l’ancien ministre indonésien de l’Éducation, Anies Baswedan.
Les résultats du scrutin seront officiels début mai mais selon les premières estimations, Ahok a recueilli 42 % des suffrages contre 58 % pour son rival de confession musulmane. Près de 7,2 millions d’électeurs ont été appelés à aller voter et plus de 60 000 membres des forces de l’ordre ont été mobilisés pour faire face à d’éventuels débordements selon l’AFP.
La surprise est de taille. Lors du premier tour, le 15 février Ahok était en tête avec 43 % des voix, suivi de près par son rival qui obtenait 40 % des suffrages. « Je comprends que vous soyez tristes et déçus », a déclaré le gouverneur en s’adressant à ceux qui l’ont soutenu. « Nous avons six mois avant l’inauguration du nouveau gouverneur et nous allons finir notre travail. »
Jugé pour blasphème Ahok a dû faire face à une vague de protestation après avoir déclaré que l’élection d’un gouverneur chrétien n’était pas contraire à l’islam. Selon Jakarta Post, la campagne électorale dans la capitale avait été « la plus sale, la plus polarisante et la plus clivante » que l’Indonésie ait jamais connue.
saphirnews.com
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Londres : soupçonné de terrorisme, un bébé convoqué par l’ambassade américaine.
Incroyable mais vrai. Un bébé de trois mois, soupçonné de terrorisme, a été placé lundi 17 avril en salle d’interrogatoire à l’ambassade des Etats-Unis dans la capitale britannique.
Tout est parti d’une erreur de son grand-père lorsqu’il a fallu remplir une demande de visa pour les Etats-Unis. La famille comptait en effet se rendre à Orlando, en Floride, pour ses premières vacances à l’étranger. Paul Kenyon, 62 ans, a coché, dans le document au nom de son petit-fils, la case « oui » par erreur à la question « Cherchez-vous à vous engager ou avez-vous été engagé dans des activités terroristes, d’espionnage, de sabotage ou de génocide ? ».
Il s’est rendu compte de l’erreur lorsqu’il a essuyé un refus. Pire : le bébé a été conduit depuis son domicile du sud de Manchester, jusqu’à la salle d’interrogatoire de l’ambassade américaine à Londres. Un voyage aller-retour de près de 10 heures, soit presque autant qu’un Londres-Orlando, indique The Guardian.
« Je n’arrive pas à croire qu’ils n’ont pas compris que c’était une erreur sincère et qu’un bébé de 3 mois est incapable de faire du mal à quiconque », a indiqué Paul Kenyon dont la famille a dû débourser de nouveaux billets – plus de 3 500 € – pour partir vers Orlando. « Si vous êtes un terroriste, je pense que vous ne cochez pas cette case, de toute façon ! »
saphirnews.com
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italie : Une voyageuse, obligée de se dévoiler dans l’aéroport international de Rome, dénonce une discrimination religieuse.
Elle savait pertinemment que cela n’arrivait pas qu’aux autres, mais elle était loin d’imaginer, cependant, que son voile lui vaudrait à ce point la farouche hostilité du personnel de sécurité de l’aéroport international de Rome Ciampino, au cours d’un dimanche dont elle gardera un souvenir cuisant.
Aghnia Adzkia, une jeune femme indonésienne qui s’apprêtait à s’envoler pour Londres, ne s’attendait pas à un comité d’accueil aussi acrimonieux à son égard, exigeant sans ménagement qu’elle retire son voile pour vérifier qu’elle n’était pas une terroriste en puissance. Telle était la condition sine qua non pour qu’elle soit autorisée à prendre place à bord de l’avion.
Son seul tort ? Avoir fait sonner le détecteur de métaux à son passage. Un incident qui a eu le don de mettre les nerfs à vif des agents de sécurité italiens, transformés dès lors en véritables cerbères, notamment une femme (photo ci-dessus), laquelle, toutes griffes dehors comme peuvent l’être les pasionarias du féminisme occidental, s’est littéralement déchaînée contre elle.
Refusant d’obtempérer malgré l’angoisse qui la gagnait, Aghnia Adzkia, stupéfaite d’avoir déclenché la sonnerie du détecteur de métaux, s’est efforcée de rester stoïque face une adversité en plein excès de zèle. Elle aussi a eu une exigence, mais des plus légitimes : qu’on lui présente le texte de loi l’obligeant à se dévoiler pour voyager, en bafouant au passage une de ses libertés individuelles essentielles et inaliénables.
« Je n’étais pas prête à leur faire confiance. Ma seule demande était qu’ils m’apportent la preuve juridique les autorisant à me dévoiler sous la contrainte, alors que je n’avais commis aucune faute, aucun délit. C’est une question de dignité humaine et de respect de mes droits fondamentaux », a relaté la jeune femme, encore très affectée par son escale italienne éprouvante, en faisant observer que dans d’autres aéroports, les agents de sécurité se contentent de palper le bas des voiles.
Mais le pire était à venir, lorsque la femme, agent de sécurité de l’aéroport, a foncé droit sur elle, le regard noir, pour lui montrer un document écrit en italien. S’opposant obstinément à ce que l’amie d’Aghnia Adzkia, une italophone distinguée, traduise le texte en anglais, la furie en uniforme a exercé une terrible pression sur elle pour qu’elle enlève son hijab, se perdant en invectives devant sa capacité à lui faire face sans faiblir.
« Vous pouvez cacher des explosifs dans votre foulard. Vous n’êtes pas sûre à nos yeux ! », s’est-elle mise à hurler dans l’aéroport (voir vidéo ci-dessous), espérant tétaniser la malheureuse Aghnia Adzkia et accroître sa mortification publique.
Préférant battre en retraite devant cet acharnement à son encontre, la jeune femme a finalement pris un autre vol dans l’autre aéroport de Rome, Leonardo da Vinci-Fiumicino. Là encore, elle n’a pas échappé au dévoilement obligatoire afin de s’assurer, aussi incroyable que cela puisse paraître, qu’aucune bombe n’était dissimulée dans les plis de son hijab…
Aghnia Adzkia, à bout de forces, s’est exécutée cette fois-ci, mais au moment de retirer son voile à l’abri des regards, elle a aperçu deux nonnes en train de contourner le poste de contrôle sans, manifestement, que l’on ait exigé d’elles ce qui lui avait été imposé si violemment. Ce qui l’a confortée dans son intime conviction : elle a bel et bien subi une discrimination religieuse flagrante.
Un extrait de la scène de sa confrontation brutale avec la furie en uniforme de l’aéroport de Rome, filmée par son amie italophone qui l’avait accompagnée.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

oumma.com
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Une photo montrant un couple de juifs hassidiques à côté d’une mère musulmane rencontre un succès viral Outre-Atlantique.
Riche de son extraordinaire diversité, la mégapole new-yorkaise, bigarrée et métissée, fait la démonstration, jusque dans ses sous-sols, que le multiculturalisme n’est pas forcément voué à l’échec, n’en déplaise aux Cassandre, d’ici et d’ailleurs, qui n’y décèlent que de sombres présages…
Les oiseaux de mauvais augure, qui ne voient rien de bon dans les melting-pots culturels et cultuels, devraient jeter un œil sur la photo à la forte charge symbolique prise dans le métro de New York, entre le Queens et Brooklyn, durant le dimanche de Pâques.
C’est à un Américain, répondant au nom de Jackie Summers, que l’on doit d’avoir immortalisé une scène saisissante, montrant un couple de juifs hassidiques assis à côté d’une femme musulmane en train d’allaiter son bébé.
Postée sur Facebook, la prise de vue, accompagnée d’une légende porteuse d’espoir, a rencontré un succès viral fulgurant dans l’Amérique de Trump, enregistrant plus de 53 000 likes et 41 000 partages en l’espace d’une journée.
Il faut dire que la belle histoire de cette photo fait mentir les artisans des peurs et leurs prédictions catastrophistes : le couple de juifs hassidiques a pu s’asseoir grâce à un passager taoïste qui a volontiers cédé sa place, avant que le mari et son épouse ne se poussent à leur tour pour faire de la place à une mère musulmane, tenant son bébé dans les bras.
Ce qui fera dire à Jackie Summers avec enthousiasme : « Voilà, ça c’est mon Amérique : laisser les gens être eux-mêmes ! », dans le respect et la compréhension mutuels.
oumma.com
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Des jeunes musulmans de Jordanie ont protégé les églises au cours du dimanche de Pâques.
Dans le sombre sillage d’un dimanche des Rameaux mortifère en Egypte, un groupe de jeunes jordaniens, très investis dans le dialogue interreligieux, ont souhaité témoigner leur solidarité à la communauté chrétienne du royaume, à l’occasion de la célébration d’une messe de Pâques sur laquelle planait l’ombre de la tragédie.
Sous l’impulsion de Kazem Kharabsheh, ce bâtisseur de passerelles dans l’âme, un formidable élan de sympathie, de générosité et d’entraide envers leurs frères en Dieu chrétiens a fédéré plus d’une centaine de jeunes musulmans, filles et garçons, après avoir été particulièrement sensibles à l’appel à l’unité et à la paix lancé sur Facebook.
Ils ne se sont pas fait prier pour faire rempart de leur corps au terrorisme aveugle lors d’un office religieux empreint d’émotion, unis dans la même volonté impérieuse de protéger les églises disséminées sur le territoire national.
« Le post a été largement partagé sur les médias sociaux et un grand mouvement de solidarité a gagné la plupart des gouvernorats», s’est réjoui Kazem Kharabsheh, heureux d’avoir fait des émules à travers le pays.
Les mains chargées de délicieuses confiseries traditionnelles et distribuant du café plein d’arômes, les jeunes protecteurs musulmans des paroisses de Jordanie avaient à cœur d’accomplir leur noble mission en mettant du soleil dans les cœurs.
« Le terrorisme n’a rien à voir avec la religion. Les terroristes commettent des crimes au nom de l’Islam, mais leurs actes n’ont rien à voir avec la religion », a martelé Kazem Kharabsheh, en insistant sur les raisons qui l’ont poussé, lui et les membres de son association, à initier cette opération extraordinairement rassembleuse : « Nous avons fait cela, parce que le monde a besoin de savoir que les gens qui commettent de tels crimes odieux n’ont rien à voir avec l’Islam, ou toute autre religion. En Jordanie, nous avons toujours été unis et nous respecterons toujours toutes les traditions religieuses ».
Loués et remerciés chaleureusement par l’ensemble de la communauté chrétienne, extrêmement touchée par cette belle chaîne humaine qui s’est formée spontanément autour de ses lieux de culte, les jeunes musulmans du royaume hachémite se sont fait un devoir de veiller sur les églises, plus résolus que jamais à faire barrage au terrorisme, semeur de malheurs et de terreur.
oumma.com
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Marine Le Pen estime que la colonisation a «beaucoup apporté à l’Algérie».
Après ses propos polémiques sur la rafle du Vél’ d’Hiv, la candidate FN à la présidentielle a estimé le 19 avril sur BFMTV que la colonisation avait beaucoup apporté à l’Algérie. Ce que «même les Algériens de bonne foi admettent», a-t-elle ajouté.
«Moi je pense – et chacun d’ailleurs qui est de bonne foi admet – que la colonisation a beaucoup apporté […] à l’Algérie : des hôpitaux, des routes, des écoles… Même des Algériens qui sont de bonne foi l’admettent», a déclaré Marine Le Pen sur BFMTV le 19 avril.
Evoquant le sujet de la guerre d’Algérie, la candidate Front national (FN) à la présidentielle est revenue sur le sort subi par les harkis, ces Algériens qui ont choisi de combattre pour la France au moment de la guerre d’indépendance.
Après ses propos polémiques sur la rafle du Vél’ d’Hiv, la candidate FN à la présidentielle a estimé le 19 avril sur BFMTV que la colonisation avait beaucoup apporté à l’Algérie. Ce que «même les Algériens de bonne foi admettent», a-t-elle ajouté.
«Moi je pense – et chacun d’ailleurs qui est de bonne foi admet – que la colonisation a beaucoup apporté […] à l’Algérie : des hôpitaux, des routes, des écoles… Même des Algériens qui sont de bonne foi l’admettent», a déclaré Marine Le Pen sur BFMTV le 19 avril.
Evoquant le sujet de la guerre d’Algérie, la candidate Front national (FN) à la présidentielle est revenue sur le sort subi par les harkis, ces Algériens qui ont choisi de combattre pour la France au moment de la guerre d’indépendance.
Une nouvelle polémique risque donc d’éclater autour de la candidate frontiste, qui avait été fortement critiquée récemment pour avoir dit que la France n’était «pas responsable» de la rafle du Vel’ d’Hiv en 1942. En répondant à une question à ce propos sur BFMTV, elle a dit qu’elle ne voulait «pas rouvrir des plaies». «A chaque fois que j’évoque un sujet, ça crée…», a-t-elle poursuivi, sans finir sa phrase.
Marine Le Pen a aussi été interrogée à propos du soutien que son père Jean-Marie Le Pen, le co-fondateur du FN qu’elle avait fait exclure du parti en août 2015, a apporté à sa candidature dans un tweet.
«Il est patriote. Ça ne m’étonne pas de lui. C’est un patriote, il s’est battu toute sa vie pour la France et les Français […] Il a défendu l’Algérie française, comme beaucoup de gens qui ont créé le FN», a-t-elle conclu.
Les propos de Marine Le Pen sur la colonisation contrastent fortement avec ceux qu’a tenus Emmanuel Macron, son grand rival dans les sondages. En février dernier, le candidat d’En Marche ! avait provoqué un tollé, notamment à droite, après avoir déclaré sur une chaîne de télévision algérienne que la colonisation était «un crime contre l’humanité».
De nombreuses associations de pieds-noirs s’étaient aussitôt insurgées contre les propos du candidat qui avait été chahuté à Toulon et à Carpentras où il se rendait à des meetings.
«Les propos d’Emmanuel Macron ont bouleversé, écœuré, blessé d’innombrables Français d’Algérie et de Harkis. J’ai reçu des milliers de mails. Il y a une véritable colère», avait expliqué Thierry Rolando, président du Cercle algérianiste national, qui revendique 10 000 adhérents et qui a porté plainte contre le candidat.
«Y a-t-il quelque chose de plus grave, quand on veut être président de la République, que d’aller à l’étranger pour accuser le pays qu’on veut diriger de crime contre l’humanité ?», avait de son côté argumenté Marine Le Pen pour qui les allégations d’Emmanuel Macron constituaient «un crime contre la France».
Devant une telle polémique, Emmanuel Macron avait dû justifier ses propos dans une vidéo de cinq minutes. Il y expliquait notamment que la France et l’Algérie pouvaient et devaient «construire une nouvelle relation qui n’enlève rien à la mémoire de chacun».
Pourtant, quelques mois plus tôt, dans un entretien à l’hebdomadaire Le Point intitulé «Ce que je suis», Emmanuel Macron avait été plus modéré dans ses propos, estimant qu’il y avait eu à la fois «des éléments de civilisation et des éléments de barbarie» dans la colonisation de l’Algérie.
Africa24.info
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France : Une « tâche sur le front » est une marque de radicalisation…
Après la fermeture de la mosquée de Torcy par les autorités, son imam également professeur de mathématiques a été suspendu par l’Éducation Nationale lui reprochant de s’être radicalisé. En voici un indicateur.
Dans les « Grandes Gueules » de RMC (à partir de la minute 33) du vendredi 14 avril, la chroniqueuse Elina Dumont (ancienne SDF) affirmait que les personnes comme l’imam de Torcy, Abdelali Bouhnik qui portent « une tâche marron » sur le front, « Ces personnes sont très radicalisées, elle sont tellement radicalisées qu’elles ont besoin de se taper la tête contre le sol, pour dire voilà moi je suis (musulman) ! », prétend-t-elle.
Les islamophobes sont tellement nuls qu’ils ont besoin de raconter des âneries pour exister. Elle en pense quoi Elina, du rappeur marseillais Soprano, qui fait vibrer les zéniths et qui a une tâche marron sur le front ?
Ces propos tenus dans une émission largement suivie viennent jeter la suspicion sur une communauté déjà ciblée de toute part et provoquer la peur d’une partie de la population qui ignore tout de l’Islam en dehors de la propagande médiatique sur cette religion.
desdomesetdesminarets.fr
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L’étourdissement empêche-t-il un animal de souffrir? L’avis interpellant d’un neurologue.
Un neurologue conteste que l’abattage par étourdissement soit moins cruel.
Les vacances permettent de réfléchir à tête reposée sur des sujets brûlants. Alors que le Parlement wallon reprend le dossier de l’abattage le mardi 18 avril , une nouvelle pièce scientifique pourrait inciter les élus à la réflexion. Rejetant la prétendue barbarie de l’abattage rituel, le Consistoire israélite a encore sollicité des experts au-dessus de la mêlée. « La Libre » a ainsi pu prendre connaissance d’un avis du Pr Jean-Michel Guérit, neurologue à l’Institut Edtih Cavell.
Selon lui, « une interruption du flux sanguin au sein des artères carotides interrompt l’activité des circuits cérébraux indispensables à la perception de la douleur endéans les 30 secondes au maximum ». Par contre, « aucun élément ne permet d’affirmer qu’un étourdissement interrompt l’activité de la matrice de la douleur; au contraire, des arguments suggèrent qu’un étourdissement peut rester associé à une perception douloureuse et même associé à une amnésie, il n’empêche pas la constitution de traces pénibles responsables d’un syndrome de stress post-traumatique ».
En clair ? « Les bénéfices escomptés d’un étourdissement préalable à l’abattage rituel en termes de souffrance sont virtuellement nuls ». Pire : il accroît la souffrance .

actualiteislamiquedebelgique.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Nord d’Hébron: l’occupation s’empare d’un équipement de forage de 2 millions de shekels
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L’occupation blesse un palestinien suite à une attaque à la voiture bélier au sud de Bethléem
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Le personnel des antiquités israéliennes et les colons prennent d’assaut Al-Aqsa
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L’ONU appelle Israel à faciliter l’introduction des matériaux d’entretien de l’électricité de Gaza
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Les prisonnières menacent de rejoindre la grève de la liberté et dignité
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Activités de solidarité avec les prisonniers à Jénine
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L’occupation transfère le député Attoun en détention administrative
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L’occupation attaque des villages à l’est de Tubas
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Arrestations et affrontements en Cisjordanie et à Jérusalem
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3e jour de la grève « Liberté et Dignité »
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L’occupation approuve un plan de construction colonial en Cisjordanie et Jérusalem
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Jérusalem: L’occupation démolit une ferme à Issawia
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Un ministre israélien appelle à exécuter les détenus palestiniens
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Les prisonniers malades se joignent à la grève de la liberté et de la dignité
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Hayya: le Hamas ne dissoudra pas le comité administratif de Gaza
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Transfert des prisonniers grévistes d’Ofer à la section 11
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 12 Rabi Al Awwal 1438.

Flash info du 12 Rabi Al Awwal 1438.
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France : Quand une classe du 93 n’est pas la bienvenue au musée d’Orsay.
Une enseignante de Seine-Saint-Denis dénonce le traitement de ses élèves par les gardiens du musée.
« Fermez vos gueules ! Fermez vos gueules ! » Marianne Acqua n’en croit pas ses oreilles. Quand cette professeure d’histoire-géo du lycée Maurice Utrillo de Stains (Seine-Saint-Denis) arrive dans la salle d’exposition du musée d’Orsay où sont regroupés les membres de sa classe de première bac professionnel vente, venue étudier l’histoire des ouvriers au XIXe siècle, mercredi 7 décembre, elle les retrouve médusés dans un coin. Elle raconte à « l’Obs » :
« Je fermais la marche du groupe avec une collègue et j’ai été accueillie par les injures d’un gardien de salle, visiblement très remonté contre mes élèves. Il n’arrêtait pas de leur ordonner de se taire… alors qu’ils étaient immobiles et silencieux comme des statues ! »
L’enseignante a raconté tout d’abord l’histoire dans un post Facebook qu’elle a publié en privé après l’incident, partagé près de 2.000 fois, avant de s’entretenir avec « l’Obs ».
Un dialogue de sourds s’entame ensuite entre prof et gardien, le second reprochant à la première de ne pas savoir tenir les lycéens. Après un laïus ponctué de cris et de remarques désobligeantes, le surveillant finit par quitter la salle.
Une victoire de courte durée : quelques minutes plus tard, il reparaît avec une autre gardienne à qui il assène, en aparté, désignant l’enseignante, selon des propos rapportés ici par les lycéens : « C’est quoi ces vêtements ? » « Elle n’a aucune autorité sur ses élèves », « On ne sait même pas si c’est un homme ou une femme »… Mais la gardienne ne tique pas face à ces insultes proférées par son collègue devant les adolescents, et accuse à son tour :
« Vous dérangez tout le monde, les clients du musée se plaignent, on vous entend dans tout le musée ! »
« Des accusations infondées, affirme Marianne Acqua. Si quelqu’un a été dérangé, c’est à cause des vociférations du gardien ! »
« On s’est fait suivre par quatre surveillants »
« Mais rien n’y fait, elle continue de crier », témoigne l’enseignante.
« Pendant ce temps, le premier surveillant prend mes élèves à partie et bouscule littéralement la professeure qui m’accompagne », précise-t-elle dans son post. « Nous restons aussi calmes que possible mais leurs cris attirent d’autres surveillants de salle qui se mettent, à leur tour, à hurler sur mes élèves et moi-même. La situation devient délirante. »
L’affaire dégénère encore lorsqu’un élève finit par répliquer, les nerfs à vif, face au harcèlement dont sont victimes ses accompagnatrices : « Mais vous êtes qui, vous, pour dire ça ? » Les surveillants font alors mine d’appeler la sécurité du musée, qui n’arrivera jamais. « On avait vraiment l’impression, ma collègue et moi, qu’ils cherchaient l’incident pour avoir un bon prétexte pour nous sortir », observe la prof.
« Les élèves sont juste bouche-bée, ils me regardent l’air ébahi, ils ne comprennent rien, moi non plus. Je décide d’ignorer la situation et leur dis de me suivre pour continuer la visite », écrit-elle encore.
Notre marche est silencieuse, pesante, les élèves osent à peine regarder les œuvres ou prononcer un mot. Mais ce n’est toujours pas suffisant, les surveillants nous courent après, nous demandent de nous arrêter. »
Marianne Acqua et sa collègue décident malgré tout de continuer la visite avec le petit peloton, escortés par des gardiens toujours plus nombreux. « On s’est fait suivre par quatre surveillants, qui prétendaient avoir été agressés verbalement et exigeaient notre départ sans quoi ils menaçaient de se mettre en grève. » La totale.
« Sommés de quitter les salles, les unes après les autres »
Arrivé dans une autre salle, le groupe tombe sur un cinquième gardien, étonnamment bienveillant, qui calme le jeu et décide de les conduire au premier étage du musée. « Ici, ne faites plus de bruit, mes collègues devraient vous laisser tranquilles », recommande-t-il aux élèves.
Peine perdue. Les mêmes scènes se répètent. « Dès qu’ils entrent dans une salle, ils sont suivis, engueulés pour… leur présence, sommés de quitter les salles, les unes après les autres ». « C’était incompréhensible », confie Marianne Acqua. « Mes élèves étaient complètement calmes mais on continuait de leur lancer des ‘Fermez vos gueules !' »
Cette fois, les deux enseignantes décident de quitter le musée. En parcourant les couloirs d’Orsay vers la sortie, la cohorte silencieuse passe devant d’autres classes, plus bruyantes mais moins métissées, selon la prof, mais à qui on ne reproche rien. Dehors, les lycéens sont choqués. Certains envisagent de ne plus remettre les pieds dans un musée parisien.
« Bravo, chapeau bas le Musée d’Orsay, félicitations Paris, performance réussie », écrit l’enseignante sur Facebook : « Ce n’est pas la première fois qu’on me signifie que la place de mes élèves n’est pas au musée. A Pompidou, par exemple, on m’avait suggéré que c’était à la piscine municipale que nous aurions dû aller… »
En bref, suite a la banalisation de l’islamophobie dans les divers média et surtout au gouvernement français actuel sous dominance israelienne, le peuple de france se montre sous son vrai visage, celui de l’islamophobie et la xenophobie, et cela en toute liberté, sans crainte de représaille. Liberté, égalité, fraternité, mais pas pour tous….
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Palestine : Lueur d’espoir : un récit-terrain à Gaza poignant…
Nous venons en aide aux enfants en Palestine, et nous avons rencontré Hani, voici son histoire…
Hani Abu Omera a 12 ans. Il habite à Beach Refugee Camp, un des quartiers les plus pauvres de la bande de Gaza, si ce n’est de toute la Palestine. Hani étudie dans une des écoles de l’UNRWA, bondées et aux ressources limitées. Hani et sa maman, Rehab, vivent dans une petite pièce, où ils dorment tous les 2. Hani y fait aussi ses devoirs et sa mère cuisine.
REHAB – « Je ne veux que le bonheur de mon fils »
La maman de Hani, Rehab Abu Omera, 48 ans, explique avec douleur qu’elle s’est mariée très tard, en 2004, au père de Hani, un homme assez âgé, afin d’échapper à la pauvreté et aux conditions de vie difficiles de sa famille. Son mari était un pêcheur et après trois ans de mariage, il a eu une crise cardiaque qui l’a rendu paralysé, 3 ans avant sa mort en 2010.
« J’ai perdu mon mari après 6 ans de mariage. En tant que mère, je rêve d’assurer une vie convenable et confortable pour mon fils Hani. La vie est très difficile à Gaza parce que tous les Gazaouis souffrentn de l’accès limité aux ressources, c’est pourquoi peu de gens peuvent nous aider en cas de crise ou pour les grandes occasions comme l’Aïd et le Ramadan. »
Rehab continue, les larmes aux yeux : « Je veux une vie heureuse pour mon fils Hani parce que je ne veux pas qu’il vive dans la souffrance comme moi. Mon rêve est d’avoir ma propre grande maison pour y vivre avec mon fils. J’ai tout le temps honte parce que je ne peux pas accueillir mes sœurs, frères et amis dans ma maison, à cause du manque de place. Quand c’est nécessaire, je les vois dans la maison de ma sœur.
Quand j’ai donné naissance à Hani, j’étais très heureuse, il est mon premier bonheur, j’ai considéré sa venue comme un cadeau d’Allah pour compenser mes moments douloureux.
Avec le soutien du SIF, je suis en mesure de fournir à Hani une vie simple mais de base. Depuis qu’il est né, comme beaucoup d’enfants palestiniens, Hani n’a pas eu une enfance comme les autres enfants dans le monde, notamment parce c’est un réfugié. Je me souviens de son premier jour à la maternelle, pour moi ce fût un grand moment. J’ai travaillé très dur pour fabriquer des produits artisanaux et des tricots, pour économiser de l’argent pour qu’il rentre à la maternelle. Maintenant, avec l’aide du SIF, al hamdulillah, Hani est inscrit à l’école et a des bonnes notes. Je suis inquiète quant à son travail scolaire. Les années précédentes, il obtenait de très bonnes notes. En plus de ça, Hani est un garçon très timide, il est seul et distrait. Même si Hani a seulement 12 ans, il agit comme une personne adulte et mature, à cause de nos conditions de vie difficiles. »
HANI – « Ma mère est ma vie ».
Quant à Hani, lui, nous livre qu’il aime son école, une deuxième maison pour lui : « Mon école est très grande et a un grand espace pour jouer. J’ai beaucoup d’amis à l’école, je me sens libre et heureux à l’école, je peux jouer librement et marcher, alors qu’à la maison, c’est trop petit. J’adore mon professeur de langue arabe, il est très gentil et a une manière formidable de traiter les élèves. Je peux comprendre mes leçons d’arabe facilement et il a vraiment eu un impact sur mon travail à l’école. J’ai un bon ami, Ameer, qui est très discipliné et calme. Il partage avec moi son argent quand je n’en ai pas.
Ma mère est ma vie. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, parce qu’elle souffre pour moi. Je me souvient de mon père et j’ai de bons souvenirs avec lui, je me souviens quand j’avais trois ans, j’avais peur d’un chat, mais mon père m’a aidé et appris à être fort et courageux. Il m’a aussi parlé du voyage en mer que l’on a fait ensemble quand j’avais six mois. C’est pour ça que j’aime la mer. Au jardin d’enfant, ils nous donnaient des biscuits et du jus, je mangeais les biscuits et gardais le jus pour mon père, qui en raffolait sans avoir les moyens d’en acheter.
Mes hobbies sont les arts plastiques et l’artisanat, mais mon rêve est de devenir médecin pour aider les gens à guérir. Je rêve aussi de devenir riche pour acheter des maisons pour les orphelins et les gens sans abris et donner de l’argent pour les pauvres. Je souhaite que mon rêve devienne réalité. »
Dalia – Administratrice Orphelins : « Nous sommes très préoccupés ».
Nous connaissions Hani depuis 2011 et nous le voyons grandir de jour en jour. Hani est fils unique et vit dans de très mauvaises conditions. Cela a eu un impact négatif sur sa vie, bien qu’il se soit distingué à l’école, ce qui lui a donné un avenir prometteur. Mais ce n’est plus le cas maintenant. Au SIF, nous sommes très préoccupés quant à son avenir ainsi que celui de milliers d’orphelins que nous parrainons depuis de nombreuses années, parce que la situation se détériore dans la Bande de Gaza.
En tant que travailleurs humanitaires, nous travaillons dur pour aider à améliorer la vie de Hani et celle d’autres orphelins. Depuis 5 ans, le SIF fournit un soutien régulier à Hani par le biais du Projet Orphelins, des distributions de colis alimentaires pour Ramadan et de cadeaux pour l’Aïd. La maison de la tante de Hani est considérée comme le seul endroit agréable où Hani peut jouer et s’amuser.
Maysa – Travailleur social au SIF : « Hani est le seul espoir pour sa mère … »
Malheureusement, Hani vit dans une unique pièce, chose qui est mauvaise pour sa santé. Hani est poli, très calme et obéit toujours à sa mère. Il agit toujours comme s’il était plus vieux que son âge, je le vois dans ses yeux et j’en suis profondément triste. Hani et sa mère n’ont plus personne pour prendre soin d’eux depuis la mort de son père. Sa mère est tout pour lui et il fait de son mieux pour changer leurs conditions de vie en travaillant dur à l’école. Hani est le seul espoir pour sa mère …
Comment aider Hani et tous les autres enfants ?
Divers projets sont mis en œuvre par nos équipes sur le terrain pour apporter une aide concrète aux enfants palestiniens : actions de protection des enfants, réhabilitation de maisons, distribution de colis alimentaires, etc.
Pour soutenir les différents projets du Secours Islamique France, faites un don en cliquant ci-dessous.
A titre d’exemple :
Avec 25 €, vous offrez un repas complet et équilibré à 5 enfants palestiniens.
Avec 50 €, vous couvrez les besoins essentiels d’un enfant pendant 1 mois.
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Une fatwa déterminante d’al-Suyûtî en faveur de la célébration du Mawlid nabawî.
Les débats portant sur l’opportunité ou la licéité de célébrer l’anniversaire de la naissance du prophète (al-Mawlid al-nabawî) ne datent pas de notre époque. En témoigne la fatwa rédigée à la fin du IX/XVe siècle par le grand savant Jalâl al-Dîn al-Suyûtî (m. 911/ 1505). Avant lui, d’autres ‘ulamâ’de renom avaient déjà rédigé des livrets intitulés Mawliden l’honneur du Prophète (Ibn al-Jawzî, Ibn Kathîr…), ou avaient pris position en faveur de cette célébration.
Ainsi, Ibn Taymiyya lui-même (m. 1328) déclare t-il dans son livre Iqtidâ’ al-sirât al-mustaqîm : « Nous célébrons le Mawlidpar amour et vénération pour le Prophète ». La fatwa de Suyûtî a l’avantage d’une part de retracer l’historique de la célébration du Mawlid, d’autre part d’apporter la caution d’un savant éminent de l’islam à la reconnaissance de cette célébration.
Présentons d’abord – si besoin est – Suyûtî. C’est un ‘âlimencyclopédiste, polyvalent, qui maîtrisait maintes disciplines islamiques et a écrit par ailleurs sur les sujets les plus variés. À noter qu’il est l’auteur le plus prolifique de littérature islamique, puisqu’on lui attribue environ un millier d’ouvrages ! Dans le foisonnement de son œuvre, ce qui ressort globalement c’est son attachement au modèle prophétique muhammadien. Il s’agit pour lui, comme pour Junayd auparavant, de la seule voie menant à Dieu. Lui-même déclara que la discipline où il se sentait la plus à l’aise était celle de la « science du hadîth ».
Pour notre auteur assurément, ce modèle ne saurait être transmis uniquement par la science livresque ; il a besoin d’être vécu de l’intérieur. Suyûtî a donc pratiqué la Voie soufie, et avait pour maître un cheikh de la tarîqaShâdhiliyya, Muhammad al-Maghribî (m. 911/ 1505). Nul étonnement, donc, qu’il ait développé ici ou là la dimension ésotérique du message muhammadien.
Notre savant égyptien a ainsi établi un rapport personnel, mystique, avec la personne spirituelle du Prophète. Il affirme en ce sens avoir vu celui-ci plus de soixante-dix fois à l’état de veille (yaqazatan), ce qui constitue, dans le soufisme même, une faveur rarement accordée. Des contemporains ont d’ailleurs rapporté des visions au cours desquelles le Prophète rencontrait Suyûtî et l’appelait « shaykh al-Sunna ». Et ce dernier stipule, à l’instar d’autres soufis ou ‘ulamâ’spiritualistes, que le Prophète peut entretenir, lors de visions, tel initié de la validité ou non d’un hadîthdonné.
Aperçu historique sur la célébration du Mawlid nabawî.
Suyûtî attribue l’initiative de cette célébration à un prince sunnite, de la dynastie ayyoubide, qui régnait sur la ville kurde d’Irbil, à 80 km de Mossoul : Muzaffar al-Dîn Kökbürî. Ce prince aurait commencé à célébrer le Mawlidau tout début du VII/XIIIe siècle, soit à partir de 605/1208. D’après les chroniques de l’époque, il s’agissait d’une sorte de festival qui attirait beaucoup de monde et qui doit beaucoup, en fait, aux soufis de la région : ils animaient la cérémonie par le dhikr et le samâ‘.
On peut dire que, depuis que cette cérémonie existe en pays musulman, les dirigeants politiques avaient davantage besoin de l’appui des milieux soufis que l’inverse. Le voyageur Ibn Jubayr (m. 614) évoque, dans ses Rihal, la célébration du Mawlid pour la même période, à la Mecque.
D’autres sources affirment que les Fatimides (Égypte et Syrie) auraient été les premiers à fêter le Mawlid. Lorsqu’on sait que les Fatimides, dynastie chiite ismaélienne, étaient les rivaux des Ayyoubides sunnites, il n’est guère étonnant qu’il y ait une telle surenchère idéologique. On sait par ailleurs que le prince kurde sunnite Nûr al-Dîn Zengui (m. 1174) – l’oncle de Saladin -avait écrit un texte d’éloges, depuis Damas, en l’honneur du Prophète.
Outre le fait que la célébration organisée par Muzaffar al-Dîn Kökbürî était bien repérée dans les sources historiques (Ibn Khallikân lui a consacré une description détaillée), il est évident que Suyûtî, sunnite prononcé et légitimiste concernant la question du califat abbasside, n’allait pas promouvoir dans sa fatwa une hypothétique origine chiite à la célébration du Mawlid…
En réalité l’apparition de la cérémonie du Mawlidcorrespond historiquement aux besoins, pour la communauté musulmane, de se rassembler autour de la personne du Prophète en temps de crise : rappelons que depuis 1099, les Croisés ont investi une partie du Proche-Orient (Syrie, Palestine), et que, à l’Est, se profile de plus en plus le danger du déferlement mongol.
Contexte de la fatwa de Suyûtî.
Selon plusieurs auteurs, leMawlid nabawîconnaît son véritable développement à l’époque de Suyûtî, soit à la fin de la période mamelouke. Au Caire, la cérémonie revêt un caractère officiel, à la Citadelle, en présence du sultan mamelouk, des émirs, des ‘ulamâ’et des soufis bien sûr. Mais son aspect populaire festif n’en est pas pour autant éclipsé. Les cheikhs la célèbrent dans leur zâwiya, entourés de leurs disciples et de nombreux invités.
Nous sommes à une époque où émerge de plus en plus la notion de « Voie muhammadienne » qui doit fédérer et rassembler toutes les voies initiatiques particulières. Cependant, la question de la licéité de la célébration du Mawlidse pose encore ici ou là. De ce débat témoigne la fatwa de Suyûtî, qui vise à apporter une réponse étayée et définitive.
Cette fatwa revêt une importance particulière du fait de la renommée de son auteur de son vivant : Suyûtî délivrait des avis juridiques à la demande d’un public large qui allait de l’Inde jusqu’à l’Afrique sahélienne (al-Takrûr). Nul étonnement donc, que l’on trouve des traces de l’influence de cette fatwa jusqu’au Maghreb. La méthode de Suyûtî consiste à citer beaucoup d’autorités antérieures qui, pour la plupart, vont dans son sens. Ce référencement, on le sait, constitue le seul moyen dans la culture islamique d’asseoir son avis. Suyûtî s’appuie ainsi sur des savants reconnus tels que al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar, etc. Mais il sait aussi donner la parole à ses adversaires doctrinaux… avant de les réfuter.
L’argumentation développée dans la fatwa.
Le texte s’intitule Husn al-maqsid fî ‘amal al-Mawlid, « La bonne intention concernant la célébration du Mawlid », et il est incorporé dans le recueil de fatwas que Suyûtî a collecté à la fin de sa vie et qui s’intitule al-Hâwî lil-fatâwî. Suyûtî y développe principalement le thème que cette célébration relève certes de l’innovation (bid‘a), mais que toute innovation n’est pas blâmable (madhmûma).
Il s’agit là au contraire d’une innovation « louable » (hasana), voire recommandée (mandûba). Suyûtî précise même que, dans certains cas, une innovation peut s’avérer obligatoire, indispensable (wâjiba). En outre, il précise que, une fois devenu prophète, Muhammad a célébré pour lui-même la ‘aqîqa, alors que son grand-père ‘Abd al-Muttalib l’avait déjà pratiquée pour lui lors de sa naissance : cet élément d’information va dans le sens de la commémoration de sa naissance par la communauté musulmane.
Le sens que revêt la commémoration de la naissance du prophète Muhammad est de rendre grâce à Dieu (izhâr al-shukr)de l’avoir envoyé comme prophète ayant apporté l’islam, et comme miséricorde à tous les êtres. Cette gratitude s’accompagne de manière toute naturelle de la joie que peuvent partager les musulmans, et plus précisément ceux qui assistent à la célébration. Et Suyûtî de mentionner que l’oncle mécréant du Prophète, Abû Lahab a son sort amélioré en enfer du simple fait qu’il se serait réjoui lors de la naissance de Muhammad. C’est donc l’intention de l’action de grâce et de la réjouissance qui doit être prise lorsqu’on organise le Mawlid.
À l’instar de savants antérieurs, Suyûtî établit la comparaison entre cette célébration et l’établissement par le calife ‘Umar Ibn al-Khattâb de la prière des Tarâwîh, lors du mois de Ramadan. On ne trouve dans tout cela, écrit-il, aucune contradiction ni avec le Coran ni avec la Sunna, car cela relève du « bel agir », de la « recherche de l’excellence » (al-ihsân). Simplement, il faut distinguer la célébration telle que la recommandent les ‘ulamâ’et les soufis, des pratiques blâmables qui ont pu s’y introduire.
A cet égard, Suyûtî donne des indications assez précises sur le contenu et le déroulement de la commémoration du Mawlid : durant tout le mois de Rabî‘ al-awwal, au cours duquel est né Muhammad, on doit pratiquer le bien, multiplier les aumônes, etc. Lors de la cérémonie elle-même, il est recommandé de se réunir pour lire le Coran, nourrir les pauvres, lire des passages de la tradition concernant la naissance du Prophète et les signes miraculeux qui l’ont accompagnée, chanter des poèmes en son éloge, et bien sûr éviter tout débordement relevant de la religiosité populaire (danse, musique…).
Lorsque l’on considère l’autorité scientifique et spirituelle de Suyûtî, et celle des savants antérieurs qu’il cite (al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar…), on reste consterné devant l’ignorance aussi péremptoire de ces musulmans contemporains pour lesquels le Mawlid est une innovation blâmable, et qui vitupèrent contre la célébration de la naissance de celui qui fut envoyé « comme une miséricorde pour les mondes ».
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Le Sénégal condamne le revirement de Jammeh et exige “la transmission pacifique du pouvoir”.
Le Sénégal, voisin de la Gambie, a condamné vendredi soir le revirement du président gambien Yahya Jammeh, qui a rejeté les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite, exigeant qu’il “organise la transmission pacifique du pouvoir”.
“Le Sénégal rejette et condamne fermement cette déclaration”, selon un communiqué de son ministre des Affaires étrangères Mankeur Ndiaye, disant avoir appris “avec surprise” cette remise en cause par M. Jammeh de sa propre reconnaissance des résultats une semaine auparavant.
“Le Sénégal exige que le président sortant respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu”, Adama Barrow, candidat d’une large coalition d’opposition.
Il “engage instamment la Cédéao (Commission économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, NDLR) l’Union africaine et les Nations unies à oeuvrer ensemble et prendre toutes les mesures qu’imposent la sauvegarde des résultats du scrutin présidentiel en Gambie et le respect de la souveraineté du peuple gambien”.
Par ailleurs, Dakar “met solennellementen garde contre toute atteinte à la sécurité des ressortissants sénégalais vivant en Gambie”, petit pays d’Afrique de l’Ouest enclavé dans le territoire sénégalais hormis sa façade atlantique.
Dans sa déclaration télévisée vendredi soir, M. Jammeh a assuré que “l’intervention de puissances étrangères ne changerait rien”.
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Gambie : Yahya Jammeh ne reconnait plus sa défaite.
Le président gambien sortant Yahya Jammeh a annoncé vendredi qu’il ne reconnaissait pas les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite face à l’opposant Adama Barrow, dans une déclaration télévisée.
“Tout comme j’ai loyalement accepté les résultats, en croyant que la Commission électorale était indépendante, honnête et fiable, je les rejette dans leur totalité”, a affirmé M. Jammeh, dénonçant des “erreurs inacceptables” de la part des autorités électorales.
“Laissez-moi répéter: je n’accepterai pas les résultats sur la base de ce qui est arrivé”, a-t-il dit, appelant à la tenue d’un nouveau scrutin.
M. Jammeh a dénoncé une erreur de comptabilisation reconnue par la Commission électorale indépendante (IEC), accordant la victoire à M. Barrow, mais avec moins de voix d’avance qu’annoncé initialement et fait état d’”enquêtes” sur l’abstention qui ont révélé, selon lui, que de nombreux électeurs n’avaient pu voter en raison d’informations erronées.
Cette annonce bouleverse la situation en Gambie, où la population profitait d’une liberté inédite, à la perspective d’une alternance démocratique, après 22 ans de pouvoir sans partage de Yahya Jammeh.
La veille, le président élu s’est prévalu du soutien du chef de l’armée, le général Ousman Badjie, et a annoncé la création d’une Commission Vérité et Réconciliation.
Dans une déclaration télévisée diffusée le soir du 2 décembre, Yahya Jammeh avait, à la surprise générale, reconnu sa défaite et avait téléphoné à Adama Barrow devant les caméras pour le féliciter pour sa victoire.
Les pressions pour poursuivre Yahya Jammeh et les dignitaires du régime, accusés de nombreuses violations des droits de l’Homme, représentent un des principaux défis pour le nouveau pouvoir, déterminé à une transition pacifique.
Dans un entretien avec des médias français le 3 décembre, M. Barrow a exclu toute “chasse aux sorcières”, affirmant que son prédécesseur pourrait “vivre en Gambie en tant que citoyen ordinaire”.
Plusieurs dizaines de militants de l’opposition, dont Ousainou Darboe, le chef de la principale formation d’opposition le Parti démocratique uni (UDP), arrêtés pour avoir participé à des manifestations non autorisées en avril et en mai, ont été libérés sous caution cette semaine.
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Présidentielle au Ghana : John Dramani, le président sortant, concède sa défaite.
Le président du Ghana, John Dramani Mahama, qui était en lice pour un second mandat, a appelé le chef de l’opposition, Nana Akufo-Addo, pour le féliciter vendredi soir de sa victoire à la présidentielle, a annoncé le porte-parole de son parti.
“Oui, il a concédé sa défaite”, a déclaré George Lawson, porte-parole du Nouveau congrès démocratique (NDC), à l’AFP, alors que l’opposition fêtait déjà sa victoire dans les rues d’Accra, à coups de feux d’artifice.
“Il a appelé pour concéder sa défaite et nous sommes extatiques”, a confirmé la porte-parole du principal parti d’opposition, le Nouveau Parti Patriotique (NPP), Oboshie Sai Cofie.
Des centaines de partisans, habillés de blanc des pieds à la tête, se sont rassemblés devant la modeste résidence de M. Akufo-Addo, pour célébrer leur victoire, 48 heures après la fermeture des bureaux de vote.
Ils dansaient depuis des heures déjà, pour fêter une victoire qui s’annonçait plus que certaine, selon les prévisions de médias locaux, tout au long de cette longue attente.
Le candidat du NPP, qui se présente pour la troisième fois à la magistrature suprême, a déjà prononcé jeudi soir un discours triomphant s’affirmant vainqueur de l’élection présidentielle, alors que ni la Commission électorale, ni le parti du président sortant (NDC) n’avaient fait d’annonce officielle.
Vendredi soir, la Commission a confirmé la tendance, sans donner de score officiel.
“C’est mon rôle et mon privilège de déclarer Nana Addo Akufo Addo président de la république du Ghana”, a annoncé Charlotte Osei, présidente de la Commission électorale.
“Je pense que les Ghanéens peuvent être extraordinairement fiers”, a déclaré l’un des observateurs du scrutin, Johnnie Carson, de l’Institut national démocratique.
“Le Ghana s’est distingué pendant ses 25 dernières années comme étant un pays d’intégrité et de transparence”, a-t-il ajouté.
Le premier mandat de M. Mahama, figure charismatique et réputé proche du peuple, a été entaché par un ralentissement de la croissance et par des scandales de corruption au sein de l’administration.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ambassadeur de la Malaisie au Caire arrive à Gaza
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Le Hamas appelle l’Egypte à accélérer ses mesures visant à alléger le blocus de Gaza
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Une palestinienne arrêtée à un point de contrôle au sud de Qalqilya
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Les bulldozers israéliens ratissent les terres palestiniennes à Salfit
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Réouverture exceptionnelle du passage de Rafah pendant 3 jours
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Une marche à Jénine pour soutenir un prisonnier en grève de la faim
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Le Hamas endeuillé par la mort du penseur islamique russe Jamal Haider
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Des blessés lors de la répression des marches hebdomadaire de Kafr Kadoum et Ramallah
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L’occupation décide de restituer les corps de 7 martyrs palestiniens
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En images: 100 000 participants à la marche du Hamas au nord de Gaza
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Le FPLP promet d’entraver la réunion du Conseil national à Ramallah
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MADA: 31 violations des libertés des médias en Palestine en novembre
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Mechaal: la situation à Alep est alarmante
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Les forces d’occupation arrêtent un citoyen ayant franchi le siège sécuritaire
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L’Union Européenne condamne Israël pour la détention administrative des Palestiniens
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Des milliers de palestiniens effectuent la prière du vendredi à la mosquée al-Aqsa
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