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Flash info du 23 Rabi Al Awwal 1438.

Flash info du 23 Rabi Al Awwal 1438.
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Indonésie: Priorité à la Salat !
Mash’Allah, quel formidable rappel! La police et les manifestants qui prient conjointement.
Peu importe nos divergences, la priorité reste la prière. Nous nous soumettons ensemble devant notre Seigneur avec humilité.
Soyez assidus aux Salats et surtout la Salat médiane; et tenez-vous debout devant Allah, avec humilité . (Sourate 2- La vache/Al-Baqarah, Verset 238)
Qu’Allah permette l’unité dans notre communauté!
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Evènement météo rare: il neige dans le Sahara !
C’est un événement météo extrêmement rare que nous relate Francetvinfo.fr. La neige est tombée sur les dunes de sable rouge du Sahara algérien, lundi 19 décembre, comme en témoigne les photos amateur.
Photo amateur des dunes du Sahara enneigées le 19 décembre 2016 aux alentours de la ville d’Aïn Sefra en Algérie.(Karim Bouchetata / SIPA)
Les clichés ont été pris par Karim Bouchetata, un habitant de la commune d’Aïn Sefra située dans l’ouest de l’Algérie, à environ 1 000 mètres d’altitude.
Les reliefs montagneux qui surplombent la ville font partie des monts des Ksour et composent la partie occidentale de l’Atlas saharien.
Selon l’auteur des clichés, il n’avait pas neigé dans cette région depuis une tempête qui s’est produite le 18 février 1979, soit il y a trente-sept ans. Cet événement météorologique n’avait d’ailleurs duré qu’une demi-heure.
Si elle a désormais fondu, la neige aurait cette fois tenu une journée entière, selon les habitants de la commune.

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Secours islamique France : Défi Ramadan 2016 : 42 400 repas distribués !
Comme l’année dernière, nous nous sommes associés au Secours Islamique France pour relever un défi d’envergure durant la période la plus fédératrice : Ramadan ! Vous avez été nombreux à jouer le jeu, à donner de vous-mêmes pour la réussite de cette opération pour les plus opprimés, al hamdoulillah.
L’enfance : une priorité.
Tout au long de l’année, le Secours Islamique France fait de l’enfance une thématique prioritaire. La distribution de repas alimentaires et de goûters, essentielle pour le développement des enfants, fait partie de nos actions régulières dans de nombreux pays comme le Pakistan, le Sénégal, la Palestine ou encore Madagascar.
Ramadan 2016 fut l’occasion de promouvoir une opération spéciale pour sensibiliser à la problématique de l’enfance avec un focus sur la sous-alimentation et la malnutrition des enfants. Pour pouvoir agir au-delà de Ramadan, l’objectif était de collecter l’équivalent de près de 50 000 repas. Encore une fois, nous saluons la grande mobilisation des donateurs et internautes qui nous ont permis de collecter plus de 148 400 € soit l’équivalent de 42 400 repas.
Un beau résultat pour le plus grand plaisir de tous ces enfants vulnérables qui au quotidien ont besoin d’aide et d’accompagnement. Que ce soit l’accès à l’alimentation, à l’eau, à l’assainissement, à l’hygiène, à l’éducation ; tous vos dons sont utilisés dans l’intérêt des bénéficiaires en leur redonnant espoir et dignité.
Nous remercions tous les participants pour cette mobilisation exceptionnelle en faveur des enfants qui aspirent à un avenir meilleur. Votre don, aussi minime soit-il, fait changer les choses, soyez-en convaincus !
Continuez à soutenir le Secours Islamique France et l’ensemble de ses projets. Plus d’informations sur www.secours-islamique.org ou 01 60 14 14 14
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Palestine : L’ambassade des Etats-Unis déménagera-t-elle de Tel Aviv à Jérusalem ?
Alors que « l’ère Donald Trump » débute bientôt, le nom du futur ambassadeur des Etats-Unis en Israël est connu. En effet, c’est David Friedman qui deviendra le représentant. Cependant, des inquiétudes sont déjà présentes puisque l’ambassade américaine à Tel Aviv pourrait déménager à Jérusalem, ville que se dispute Israéliens et Palestiniens
Jérusalem considéré comme « capitale éternelle » .
S’exprimant sur sa nomination, David Friedman a indiqué son impatience de pouvoir remplir cette nouvelle mission « dans la capitale éternelle d’Israël, Jérusalem« . Le bâtiment se trouve pourtant bien à Tel Aviv, seule capitale officielle considérée par la communauté internationale. Cependant, il faut dire que durant sa campagne électorale, Donald Trump avait promis que les États-Unis reconnaîtraient Jérusalem comme étant la capitale indivisible d’Israël. Y installer l’ambassade serait alors un geste fort et particulièrement une décision qui viendrait mettre à mal la paix entre Palestiniens et Israéliens. D’ailleurs le choix de David Friedman comme ambassadeur suscite aussi des préoccupations car il est désigné comme un ami d’Israël dans son processus de colonisation.
Déménager l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem serait considéré comme une provocation alors que la région n’en a nullement besoin surtout à l’heure actuelle.
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Russie, Iran et Turquie veulent un cessez-le-feu en Syrie.
Au lendemain de l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara, la réunion tripartite au sujet de la Syrie a eu lieu à Moscou. Elle a réuni les ministres des Affaires étrangères de l’Iran, de la Russie et de la Turquie. Ils sont tombés d’accord pour un cessez-le-feu dans l’ensemble de la Syrie.
Des discussions sans les Américains et les Européens .
Sergueï Lavrov, Javad Zarif et Mevlüt Cavusoglu ont ainsi discuté de la crise syrienne sans la présence de ministres européens ou de leur homologue John Kerry. Au sortir de ce sommet, les trois homologues ont fait une déclaration commune précisant « l’importance d’élargir le régime de cessez-le-feu, de garantir un accès sans obstacle à l’aide humanitaire et la libre circulation des populations sur le territoire syrien » . A cela s’ajoute le fait que chacun des pays serait prêt à élaborer le projet d’accord, à être garant des pourparlers entre le gouvernement syrien et l’opposition. Des précisions ont aussi été données concernant l’évacuation des civils à Alep-Est. Celle-ci serait terminée dans un ou deux jours maximum. Cependant sur le terrain, ce temps est-il suffisant pour évacuer les habitants ? Il faut préciser que le processus d’évacuation a souvent été freiné avec des bus restés bloqués plusieurs heures d’affilée.
Si dans les faits, les déclarations se multiplient, que se passera-t-il vraiment en Syrie pour mettre fin à ce bain de sang ? La situation humanitaire en est arrivée à un point catastrophique sans retour.
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Pourquoi les géants du Web se prononcent soudain sur le fichage des musulmans ?
« Nous nous opposons à la discrimination et nous ne participerons jamais à la construction d’un registre des musulmans américains. » C’est ce qu’a déclaré, vendredi 16 décembre, Frank X. Shaw, porte-parole de Microsoft, au site Buzzfeed. Le même jour, Apple, Google, Uber et IBM tenaient des propos similaires, rejoignant les rangs de Twitter et de Facebook. Pourquoi ces grandes entreprises enchaînent-elles soudain ces annonces ?
Tout est parti d’un article du site américain The Intercept, publié le 2 décembre. Avec un titre ravageur : « Sur neuf entreprises tech, seule Twitter dit qu’elle refusera d’aider à établir un registre des musulmans pour Trump. » Le média explique avoir posé la question à ces entreprises, car « l’idée a récemment été ressortie par l’équipe de transition de Donald Trump ». Le futur président américain avait laissé entendre, après les attentats du 13 novembre 2015 en France, qu’il mettrait « certainement en place » une base de données pour lister les musulmans présents aux Etats-Unis.
Interrogé à ce sujet plusieurs fois depuis, Donald Trump s’est montré très vague dans ses réponses, qui ont souvent varié. Si son équipe de campagne a assuré, dans un communiqué, que « le président élu Trump n’a jamais prôné la mise en place d’un fichier ou d’un système répertoriant les individus en se basant sur leur religion », Donald Trump a plusieurs fois confirmé qu’il approuvait cette idée, tandis que dans une interview à ABC News, il précisait qu’il s’agissait non pas d’une liste des musulmans, mais d’une « base de données des réfugiés ». Aujourd’hui, sa position sur le sujet n’est toujours pas limpide.
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Suisse : L’auteur de l’attaque dans une mosquée de Zurich identifié.
L’auteur de l’attaque qui a fait trois blessés dans une mosquée de Zurich, en Suisse, est un Ghanéen de 24 ans qui s’est suicidé peut après son acte.
Son cadavre a été retrouvé sous un pont, non loin du centre islamique.
Passionné de magie noire.
Les enquêteurs ont révélé que ce passionné de magie noire avait par ailleurs tué dimanche un Suisse de 24 ans qu’il connaissait, à coups de couteau, sur une aire de jeux de Zurich.
Ce lundi, vers 17h30, un homme d’une trentaine d’années, entièrement vêtu de noir, la tête couverte d’un bonnet de laine, pénétrait dans une salle de prière d’un centre islamique situé à quelques pas de la gare centrale de Zurich. L‘établissement est habituellement fréquenté chaque jour par des dizaines de fidèles venus surtout du Maghreb, de Somalie et d’Erythrée, selon les médias suisses.
Il a tiré plusieurs balles, blessant trois fidèles, dont deux grièvement, avant de prendre la fuite. Les victimes sont trois hommes âgés de 30, 35 et 56 ans.
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Un proviseur donne une leçon de vivre-ensemble en bonne intelligence.
Convoquée pour une formation professionnelle obligatoire dispensée par un GRETA dans un lycée public d’Occitanie, Fabienne* doit entamer son cursus au mois de décembre. Ayant déjà fait l’objet d’une discrimination au sein de cet établissement par le passé en raison de son foulard, la requérante a souhaité s’informer en amont. Ses démarches lui ont permis de poursuivre sa formation en toute sérénité grâce à l’attitude très réceptive du proviseur de l’établissement.
Exerçant en tant qu’assistante maternelle, Fabienne a déjà été amenée à suivre une formation similaire, dispensée dans ce même lycée, dans un bâtiment isolé du reste de l’établissement. Lors d’une formation en 2014, la requérante nous avait déjà contacté suite à un refus du port de son foulard par le personnel du GRETA de ce même établissement.
En tant que stagiaire du GRETA et suivant les cours au sein d’un centre de formation professionnelle, Fabienne n’est ni assujettie à la loi de neutralité religieuse du 15 mars 2004, ni à la circulaire du 18 mai 2004. Les seuls groupes de personnes concernés par des exceptions à ce texte de loi sont les élèves de classes préparatoires et ceux des sections de techniciens supérieur.
Informée de ses droits, Fabienne veut s’assurer qu’elle ne rencontrera aucune difficulté du fait de son foulard en prenant rendez-vous avec le principal de l’établissement. Assistée par une de nos juristes, ce dernier a reconnu des cas de discriminations avant sa prise de fonction. Il a affirmé vouloir “changer les choses” et a assuré à Fabienne qu’elle ne rencontrera aucune difficulté avec lui.
Plus important, il a considéré que le côtoiement d’une stagiaire du GRETA portant un signe religieux avec les autres lycéens ne posait aucune difficulté pour le bon fonctionnement du lycée. Cette posture d’ouverture et de bonne intelligence est à saluer.
C’est en sensibilisant directement ce principal d’établissement que Fabienne et ces deux stagiaires ont pu éclaircir cette question, et poursuivre leur formation en toute sérénité.
*Le prénom a été modifié.
Islamophobie.net.
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Indonésie : un gouverneur chrétien risque cinq ans de prison.
Le gouverneur chrétien de Jakarta Basuki Tjahaja Purnama, surnommé Ahok, a comparu mardi 20 décembre devant un tribunal de la capitale indonésienne. L’homme est accusé de blasphème. Son crime ? Avoir exprimé que l’interprétation faite par des oulémas d’un verset du Coran selon lequel un musulman ne doit élire qu’un dirigeant musulman était erronée.
L’affaire avait déchaîné les passions ces derniers mois. Malgré plusieurs excuses publiques, deux grandes manifestations ont été organisées à l’appel du Front des défenseurs de l’islam (FPI), un groupe islamiste, réunissant des dizaines de milliers de personnes dans les rues de Jakarta pour réclamer son arrestation.
i[« Je suis dévasté d’être ainsi accusé d’insulter l’islam parce que cela voudrait dire que j’ai diffamé les musulmans, une famille [religieuse] que j’aime »]i, avait-il déclaré en larme devant les juges le 13 décembre. Au procès, à l’extérieur du tribunal, des dizaines de détracteurs du gouverneur ont exhibé des pancartes réclamant l’incarcération du gouverneur, tandis que des partisans d’Ahok exigeaient sa relaxe. Le procès a été suspendu jusqu’au 27 décembre. Les juges se prononceront alors sur la validité des charges.
La campagne électorale d’Ahok, candidat à sa réélection pour février 2017, semble compromise. La quasi-totalité des procès pour blasphème se sont achevés par des condamnations en Indonésie.
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Une Australienne voilée, victime d’une violente agression, appelle ses concitoyens à se dresser contre l’islamophobie.
C’est une musulmane, sous le choc de sa récente agression, qui ne supporte plus d’être la proie de prédilection de l’islamophobie galopante et une mère de famille scandalisée qui redoute que ses propres enfants soient victimes de sa spirale de violence, une jeune femme voilée de 33 ans fait aujourd’hui l’ouverture des journaux télévisés de Perth, la cité phare de l’Etat d’Australie-Occidentale, pour appeler à enrayer ce fléau des temps modernes qui met en péril l’art de vivre ensemble, dans l’îlot lointain du multiculturalisme.
Blessée dans sa chair et son âme par la sauvagerie de l’inconnu dont elle a eu le malheur de croiser la route, vendredi soir dernier, dans le centre commercial où elle venait faire ses courses, accompagnée de ses quatre filles, cette citoyenne australienne a choisi courageusement de sortir de l’ombre pour laisser éclater sa colère au grand jour, à seule fin d’éveiller les consciences.
« Plus jamais ça ! Personne ne devrait être insulté, ni brutalisé en raison de sa religion ! », clame-t-elle haut et fort, la voix étranglée par l’émotion, alors que le souvenir de sa rencontre terrifiante avec son assaillant lui glace encore le sang, notamment l’instant où, après avoir exigé de ses enfants qu’ils lui souhaitent un « Joyeux Noël », entre deux injures racistes, ce dernier a brisé une bouteille de bière sur sa tête avec une rage inouïe.
Alertée par les cris de la jeune mère de famille, une cliente du supermarché, n’écoutant que son courage, a tenté de s’interposer pour la sauver des griffes de son agresseur hors de lui, au moment où celui-ci s’acharnait à lui arracher son hijab en l’étouffant. Devant cette adversité féminine qu’il n’avait pas anticipée et alors qu’un attroupement commençait à se former, l’homme a soudainement lâché prise, désertant les lieux non sans en avoir proféré des menaces à l’encontre de sa victime à terre : « Si je te revois, je te tuerai », a-t-il hurlé.
« Ce n’est pas la première fois que cela arrive », s’est désolée la jeune femme devant les caméras de la télévision australienne, en précisant que la coupe était pleine. Son agression odieuse est sans conteste l’agression de trop à ses yeux, et bien que hantée par la vision d’effroi que lui inspire le dangereux islamophobe qui s’est dressé sur son chemin, elle refuse de se terrer chez elle et de se taire.
C’est en pleine lumière qu’elle exhorte ses concitoyens, dans la diversité de leurs composantes, à faire cause commune contre ces actes islamophobes inqualifiables qui frappent dorénavant partout, et à tout moment, des « gens normaux et sans histoire », selon ses propres termes, tout en rappelant avec insistance que son choix de porter le voile lui appartient.
« Porter le hijab est une liberté individuelle fondamentale. C’est mon choix de le faire, en mon âme et conscience, et j’en suis fière. Pourquoi diable devrais-je en avoir honte ? », s’est-elle indignée publiquement, à l’heure où la police de Perth, sur le pied de guerre, a décidé de diffuser les images de son agresseur capturées par la vidéosurveillance, afin de le mettre hors d’état de nuire avant qu’il ne soit trop tard.
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France : Le Raincy : le maire exclut une femme d’une cérémonie de Noël parce qu’elle porte un foulard.
Une fois de plus, une citoyenne de confession musulmane a été la cible d’une humiliation publique.
Ce mercredi 15 décembre le service jeunesse de la mairie de Raincy organisait un événement accueillant parents et enfants pour des remises de cadeaux, dans l’esprit de Noël. Accompagnant sa nièce de deux ans lors de cet événement, Inès* a été sommée de quitter la salle à trois reprises, au prétexte que son foulard était “un signe ostentatoire”. Au mépris de la loi, le maire en personne lui a infligé cette humiliation.
L’événement ouvert à tous, devait avoir lieu de 18h30 à 20h30. Inès, qui souhaitait accompagner sa nièce pour la voir “prendre des photos avec son beau cadeau que sa maman a soigneusement préparé”, a dû partir à 19h30.
Une employée de la mairie est venue directement la voir pour “discuter en privé”. Son interlocutrice lui apprend qu’elle “n’a pas le droit de rester” car elle porte “un signe ostentatoire” et que “c’est une institution laïque”. Ces assertions sont par ailleurs complètement fausses et illégales.
Inès est alors contrainte de sortir aux yeux de tous. Mais avec le soutien d’une femme (qui lui confie être elle-même « de confession juive » particulièrement sensible à ce qui s’est passé), elle décide de revenir à l’événement pour défendre ses droits. Pour la seconde fois, la même employée du cabinet du maire revient à la charge : “faut sortir, vous ne pouvez pas rester ici !”
La victime refuse et exige un texte de loi justifiant une telle éviction, auquel cas elle accepterait de sortir. Aucune réponse. Pour la troisième fois, alors qu’Inès souhaite seulement assister à la remise de cadeau de sa nièce, l’autorité municipale exige qu’elle quitte la salle. Cette fois c’est le maire en personne, Jean-Michel Genestier, qui se déplace.
“Le Maire vient me voir avant de quitter la salle, me demandant si « Ça va ? ». Je lui réponds « Oui ça va mais bon… » quand il me coupe la parole et ose dire « C’est un signe ostentatoire, on fait du mieux pour faire respecter les lois, c’est pour le bien de la République ! ». Il n’a même pas eu la décence de me regarder dans les yeux.”
Inès s’est rapprochée du CCIF qui lui apporte, depuis hier, soutien et assistance. La victime sera accompagnée dans l’ensemble des démarches à mener.
Après que des maires aient remis en cause cet été les libertés individuelles des femmes musulmanes sur les plages de l’hexagone, c’est également un maire qui inflige une humiliation publique à une femme, juste parce qu’elle porte un foulard.
Dans le basculement raciste auquel nous assistons en France, la première des nécessités, au niveau des municipalités comme au plus haut niveau de l’Etat, est de rassembler le peuple et non d’en exclure une partie en raison de leur confession religieuse.
C’est donc l’autorité qui est supposée la protéger qui a condamné Inès à l’exclusion de la communauté nationale.
Ce n’est hélas pas une situation inédite à Raincy, on se souvient encore de l’épisode du club de sport « Orty Gym » dont la gérante, de confession musulmane et portant le foulard, avait été harcelée administrativement par l’ancien maire Éric Raoult parce qu’elle détonnait dans le paysage raincéen. L’action en justice lancée par cette gérante à l’encontre de la commune est du reste toujours en cours.
Il est temps que les autorités publiques se positionnent clairement contre ces pratiques discriminatoires.
Le CCIF sera déterminé à faire valoir les droits de la réclamante.
*Inès est un prénom modifié.
Le CCIF.
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Le président gambien Jammeh annonce qu’il ne quittera pas le pouvoir.
Le président gambien Yahya Jammeh, qui rejette sa défaite électorale au scrutin présidentiel du 1er décembre, a annoncé mardi soir qu’il ne quitterait pas le pouvoir au terme de son mandat, le 18 janvier prochain.
Jammeh, qui s’exprimait à la télévision publique, a également condamné la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), qui a annoncé ce week-end qu’elle prendrait toutes les mesures nécessaires pour que le résultat de la présidentielle soit respecté.
“Je ne suis pas un lâche. On ne peut pas intimider ou violer mes droits. Telle est ma position. Nul ne peut me priver de la victoire à l’exception d’Allah le Tout-Puissant”, a-t-il dit.
Quant à la médiation de la Cédéao, il a affirmé qu’elle n’était pas équitable. “Avant même de venir, ils avaient déjà déclaré que Jammeh devait partir. Je ne partirai pas”, a-t-il ajouté.
D’après la commission électorale, l’opposant Adama Barrow l’a emporté avec 43,3% des voix, soit moins de 20.000 voix d’avance sur le président sortant (l’élection présidentielle en Gambie est un scrutin majoritaire à un tour).
Après avoir reconnu dans un premier temps sa défaite, Yahya Jammeh, au pouvoir depuis 22 ans, a annoncé le 9 décembre qu’il avait changé d’avis et réclame la tenue d’un nouveau scrutin.
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Le réalignement diplomatique de Sao Tomé sur la Chine passe mal à Taïwan.
Le gouvernement taïwanais a accusé mercredi la Chine d’exploiter les difficultés financières de Sao Tomé-et-Principe pour obtenir la reconnaissance diplomatique du petit Etat insulaire du golfe de Guinée.
Pour Taïpeh, ce réalignement diplomatique ne contribuera pas à apaiser les tensions entre la République populaire de Chine et Taïwan. Mais le chef de la diplomatie taïwanaise, David Lee, a indiqué que son pays ne s’engagerait dans une “diplomatie du dollar”.
Cette évolution intervient alors que la Chine s’est émue de la remise en cause par Donald Trump du principe moteur de ses relations internationales.
Le président élu a rompu le mois dernier avec une tradition établie depuis 1979 aux Etats-Unis en faisant savoir qu’il s’était entretenu par téléphone avec la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et en s’interrogeant à voix haute sur la pertinence de la politique de “Chine unique”.
Depuis la séparation de 1949, Pékin, qui ne reconnaît pas l’indépendance de Taïwan, estime qu’il n’existe qu’”une seule Chine”.
Pékin et Taïpeh, qui disposait jusqu’en 1971 du siège réservé à la Chine aux Nations unies, se sont longtemps livrés à une “diplomatie du carnet de chèque” afin de s’assurer le soutien diplomatique d’Etats appauvris. Après l’apaisement matérialisé par une série d’accords commerciaux et économiques conclus en 2008 entre Pékin et Taïpeh, la course a repris en mars dernier lorsque la Chine a établi des relations diplomatiques avec la Gambie.
“Nous pensons que le gouvernement de Pékin ne devrait pas se servir du trou noir financier de Sao Tomé comme d’une occasion pour promouvoir son principe de ‘Chine unique’. Ce comportement ne sert pas des relations paisibles de part et d’autre du Détroit”, a poursuivi David Lee lors d’une conférence de presse à Taïpeh.
A Pékin, la Chine, qui considère que Taïwan est une province sécessionniste et que nul ne peut donc établir avec elle des relations diplomatiques, s’est félicitée de la décision de Sao Tomé-et-Principe de rompre ses relations diplomatiques avec Taïwan.
“La Chine exprime sa gratitude et salue le retour de Sao Tomé sur la juste voie du principe d’une Chine unique”, a ajouté le ministère chinois des Affaires étrangères, sans préciser si la République populaire allait établir des relations formelles avec l’ancienne colonie portugaise et sans mentionner non plus une possible assistance financière.
En Afrique, le Burkina Faso et le Swaziland sont les deux derniers pays à entretenir des relations formelles avec Taïwan.
“Il nous reste 21 alliés. Nous devons les choyer”, a déclaré la présidente Lee, qui se rendra le mois prochain en visite auprès de ses alliés d’Amérique centrale (Honduras, Nicaragua, Guatemala et Salvador).
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Google revoit son algorithme après avoir fait la part belle à un site négationniste.
Google a affirmé travailler à amélioration de l’algorithme de son moteur de recherche pour écarter les informations «ne faisant pas autorité», comme celles d’un site négationniste qui arrivait en tête de recherches portant sur l’Holocauste.
Le quotidien britannique The Guardian a révélé la semaine dernière que le site «Stormfront», animé par un groupe de personnes niant la réalité du génocide des Juifs par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, apparaissait comme premier résultat à la question : «L’Holocauste a-t-il eu lieu?»
Google a réagi en affirmant que son objectif était de fournir des «résultats faisant autorité» tout en proposant «une variété de contenus divers venus de différentes sources».
«Juger quelles pages internet sont les mieux à même de répondre à une question est un problème complexe et nous ne le faisons pas toujours de la meilleure façon», a expliqué le groupe américain dans un communiqué.
«Lorsque des informations ne faisant pas autorité se classent trop haut dans les résultats de recherches, nous développons une approche évolutive et automatisée pour résoudre le problème, plutôt que de les retirer une à une manuellement», poursuit le texte.
Des ajustements récents dans les algorithmes de Google «aideront à faire apparaître des contenus plus crédibles et de meilleure qualité», a encore affirmé l’entreprise.
Les critiques sur les résultats de recherches concernant l’Holocauste ne sont pas un cas isolé pour Google qui avait déjà été pointé du doigt le mois dernier sur de fausses informations diffusées durant la campagne présidentielle américaine.
Il ne devrait y avoir «aucune situation dans laquelle de fausses informations sont répandues», a estimé le patron de Google Sundar Pichai lors d’une interview avec la BBC le mois dernier, assurant que son groupe chercherait à améliorer les réponses aux milliards de recherches qu’il traite quotidiennement.
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Agent israélien: Les États-Unis et Israel étaient au courant de l’assassinat de l’ambassadeur russe.
Selon le quotidien “Haaretz”, les services de renseignement de plusieurs pays, dont les États-Unis et et Israel, savaient qu’un plan d’assassinat se préparait en Turquie.
Le quotidien israélien ne cite pas ses sources, mais l’auteur de l’article,Aluf Benn, est spécialisé dans les questions de défense et de sécurité.
Selon lui, “les services de sécurité savaient, avec un haut degré de certitude, que l’assassinat était planifié pour très bientôt à Ankara”. La presse générale laissait entendre que les États-Unis et Israël avaient fourni des informations sur le tueur de l’ambassadeur russe en Turquie et avaient également prévenu d’un fort risque d’assassinat sur le sol turque.
Israël était au courant pour le risque d’assassinat, avertissant des représentants de la communauté juive de Turquie.
L’ambassadeur russe en Turquie, Andreï Karlov, a été tué dans une attaque armée à Ankara, alors qu’il inaugurait une exposition d’art dans la capitale turque.
Le tireur, un policier turc selon le maire d’Ankara, aurait évoqué une «vengeance» liée au sort d’Alep. Il a été neutralisé, selon l’agence de presse gouvernementale Anadolu, qui n’a pas précisé s’il était mort ou vivant.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Démolition d’un immeuble à Jérusalem occupée
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Forces navales: un nouveau service de sécurité à Gaza
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Abbas en visite en Arabie Saoudite
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Le prisonnier Hamour en danger de mort
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171 Colons ont pris d’assaut Al-Aqsa, ce matin
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Liebermann admet la responsabilité directe de l’occupation dans l’assassinat de Zouari
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Appels à sauver les citoyens expulsés dans la Vallée du Jourdain
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Arrestations en série en Cisjordanie
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La sécurité de l’AP arrête trois étudiants et convoque un quatrième
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Session du Conseil Législatif avec la participation des députés du Fatah à Gaza
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Des milliers de Tunisiens condamnent l’assassinat de Zouari
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Des terres menacées de confiscation à Salfit
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La Knesset empêche les députés arabes de visiter les prisonniers palestiniens
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Confrontations après l’arrestation de quatre jeunes à Hébron
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Les forces d’occupation arrêtent dix maqdessites et blessent un autre par des tirs de feu
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Bahar appelle les jeunes à suivre les traces du martyr Zouari
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 12 Rabi Al Awwal 1438.

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France : Quand une classe du 93 n’est pas la bienvenue au musée d’Orsay.
Une enseignante de Seine-Saint-Denis dénonce le traitement de ses élèves par les gardiens du musée.
« Fermez vos gueules ! Fermez vos gueules ! » Marianne Acqua n’en croit pas ses oreilles. Quand cette professeure d’histoire-géo du lycée Maurice Utrillo de Stains (Seine-Saint-Denis) arrive dans la salle d’exposition du musée d’Orsay où sont regroupés les membres de sa classe de première bac professionnel vente, venue étudier l’histoire des ouvriers au XIXe siècle, mercredi 7 décembre, elle les retrouve médusés dans un coin. Elle raconte à « l’Obs » :
« Je fermais la marche du groupe avec une collègue et j’ai été accueillie par les injures d’un gardien de salle, visiblement très remonté contre mes élèves. Il n’arrêtait pas de leur ordonner de se taire… alors qu’ils étaient immobiles et silencieux comme des statues ! »
L’enseignante a raconté tout d’abord l’histoire dans un post Facebook qu’elle a publié en privé après l’incident, partagé près de 2.000 fois, avant de s’entretenir avec « l’Obs ».
Un dialogue de sourds s’entame ensuite entre prof et gardien, le second reprochant à la première de ne pas savoir tenir les lycéens. Après un laïus ponctué de cris et de remarques désobligeantes, le surveillant finit par quitter la salle.
Une victoire de courte durée : quelques minutes plus tard, il reparaît avec une autre gardienne à qui il assène, en aparté, désignant l’enseignante, selon des propos rapportés ici par les lycéens : « C’est quoi ces vêtements ? » « Elle n’a aucune autorité sur ses élèves », « On ne sait même pas si c’est un homme ou une femme »… Mais la gardienne ne tique pas face à ces insultes proférées par son collègue devant les adolescents, et accuse à son tour :
« Vous dérangez tout le monde, les clients du musée se plaignent, on vous entend dans tout le musée ! »
« Des accusations infondées, affirme Marianne Acqua. Si quelqu’un a été dérangé, c’est à cause des vociférations du gardien ! »
« On s’est fait suivre par quatre surveillants »
« Mais rien n’y fait, elle continue de crier », témoigne l’enseignante.
« Pendant ce temps, le premier surveillant prend mes élèves à partie et bouscule littéralement la professeure qui m’accompagne », précise-t-elle dans son post. « Nous restons aussi calmes que possible mais leurs cris attirent d’autres surveillants de salle qui se mettent, à leur tour, à hurler sur mes élèves et moi-même. La situation devient délirante. »
L’affaire dégénère encore lorsqu’un élève finit par répliquer, les nerfs à vif, face au harcèlement dont sont victimes ses accompagnatrices : « Mais vous êtes qui, vous, pour dire ça ? » Les surveillants font alors mine d’appeler la sécurité du musée, qui n’arrivera jamais. « On avait vraiment l’impression, ma collègue et moi, qu’ils cherchaient l’incident pour avoir un bon prétexte pour nous sortir », observe la prof.
« Les élèves sont juste bouche-bée, ils me regardent l’air ébahi, ils ne comprennent rien, moi non plus. Je décide d’ignorer la situation et leur dis de me suivre pour continuer la visite », écrit-elle encore.
Notre marche est silencieuse, pesante, les élèves osent à peine regarder les œuvres ou prononcer un mot. Mais ce n’est toujours pas suffisant, les surveillants nous courent après, nous demandent de nous arrêter. »
Marianne Acqua et sa collègue décident malgré tout de continuer la visite avec le petit peloton, escortés par des gardiens toujours plus nombreux. « On s’est fait suivre par quatre surveillants, qui prétendaient avoir été agressés verbalement et exigeaient notre départ sans quoi ils menaçaient de se mettre en grève. » La totale.
« Sommés de quitter les salles, les unes après les autres »
Arrivé dans une autre salle, le groupe tombe sur un cinquième gardien, étonnamment bienveillant, qui calme le jeu et décide de les conduire au premier étage du musée. « Ici, ne faites plus de bruit, mes collègues devraient vous laisser tranquilles », recommande-t-il aux élèves.
Peine perdue. Les mêmes scènes se répètent. « Dès qu’ils entrent dans une salle, ils sont suivis, engueulés pour… leur présence, sommés de quitter les salles, les unes après les autres ». « C’était incompréhensible », confie Marianne Acqua. « Mes élèves étaient complètement calmes mais on continuait de leur lancer des ‘Fermez vos gueules !' »
Cette fois, les deux enseignantes décident de quitter le musée. En parcourant les couloirs d’Orsay vers la sortie, la cohorte silencieuse passe devant d’autres classes, plus bruyantes mais moins métissées, selon la prof, mais à qui on ne reproche rien. Dehors, les lycéens sont choqués. Certains envisagent de ne plus remettre les pieds dans un musée parisien.
« Bravo, chapeau bas le Musée d’Orsay, félicitations Paris, performance réussie », écrit l’enseignante sur Facebook : « Ce n’est pas la première fois qu’on me signifie que la place de mes élèves n’est pas au musée. A Pompidou, par exemple, on m’avait suggéré que c’était à la piscine municipale que nous aurions dû aller… »
En bref, suite a la banalisation de l’islamophobie dans les divers média et surtout au gouvernement français actuel sous dominance israelienne, le peuple de france se montre sous son vrai visage, celui de l’islamophobie et la xenophobie, et cela en toute liberté, sans crainte de représaille. Liberté, égalité, fraternité, mais pas pour tous….
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Palestine : Lueur d’espoir : un récit-terrain à Gaza poignant…
Nous venons en aide aux enfants en Palestine, et nous avons rencontré Hani, voici son histoire…
Hani Abu Omera a 12 ans. Il habite à Beach Refugee Camp, un des quartiers les plus pauvres de la bande de Gaza, si ce n’est de toute la Palestine. Hani étudie dans une des écoles de l’UNRWA, bondées et aux ressources limitées. Hani et sa maman, Rehab, vivent dans une petite pièce, où ils dorment tous les 2. Hani y fait aussi ses devoirs et sa mère cuisine.
REHAB – « Je ne veux que le bonheur de mon fils »
La maman de Hani, Rehab Abu Omera, 48 ans, explique avec douleur qu’elle s’est mariée très tard, en 2004, au père de Hani, un homme assez âgé, afin d’échapper à la pauvreté et aux conditions de vie difficiles de sa famille. Son mari était un pêcheur et après trois ans de mariage, il a eu une crise cardiaque qui l’a rendu paralysé, 3 ans avant sa mort en 2010.
« J’ai perdu mon mari après 6 ans de mariage. En tant que mère, je rêve d’assurer une vie convenable et confortable pour mon fils Hani. La vie est très difficile à Gaza parce que tous les Gazaouis souffrentn de l’accès limité aux ressources, c’est pourquoi peu de gens peuvent nous aider en cas de crise ou pour les grandes occasions comme l’Aïd et le Ramadan. »
Rehab continue, les larmes aux yeux : « Je veux une vie heureuse pour mon fils Hani parce que je ne veux pas qu’il vive dans la souffrance comme moi. Mon rêve est d’avoir ma propre grande maison pour y vivre avec mon fils. J’ai tout le temps honte parce que je ne peux pas accueillir mes sœurs, frères et amis dans ma maison, à cause du manque de place. Quand c’est nécessaire, je les vois dans la maison de ma sœur.
Quand j’ai donné naissance à Hani, j’étais très heureuse, il est mon premier bonheur, j’ai considéré sa venue comme un cadeau d’Allah pour compenser mes moments douloureux.
Avec le soutien du SIF, je suis en mesure de fournir à Hani une vie simple mais de base. Depuis qu’il est né, comme beaucoup d’enfants palestiniens, Hani n’a pas eu une enfance comme les autres enfants dans le monde, notamment parce c’est un réfugié. Je me souviens de son premier jour à la maternelle, pour moi ce fût un grand moment. J’ai travaillé très dur pour fabriquer des produits artisanaux et des tricots, pour économiser de l’argent pour qu’il rentre à la maternelle. Maintenant, avec l’aide du SIF, al hamdulillah, Hani est inscrit à l’école et a des bonnes notes. Je suis inquiète quant à son travail scolaire. Les années précédentes, il obtenait de très bonnes notes. En plus de ça, Hani est un garçon très timide, il est seul et distrait. Même si Hani a seulement 12 ans, il agit comme une personne adulte et mature, à cause de nos conditions de vie difficiles. »
HANI – « Ma mère est ma vie ».
Quant à Hani, lui, nous livre qu’il aime son école, une deuxième maison pour lui : « Mon école est très grande et a un grand espace pour jouer. J’ai beaucoup d’amis à l’école, je me sens libre et heureux à l’école, je peux jouer librement et marcher, alors qu’à la maison, c’est trop petit. J’adore mon professeur de langue arabe, il est très gentil et a une manière formidable de traiter les élèves. Je peux comprendre mes leçons d’arabe facilement et il a vraiment eu un impact sur mon travail à l’école. J’ai un bon ami, Ameer, qui est très discipliné et calme. Il partage avec moi son argent quand je n’en ai pas.
Ma mère est ma vie. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, parce qu’elle souffre pour moi. Je me souvient de mon père et j’ai de bons souvenirs avec lui, je me souviens quand j’avais trois ans, j’avais peur d’un chat, mais mon père m’a aidé et appris à être fort et courageux. Il m’a aussi parlé du voyage en mer que l’on a fait ensemble quand j’avais six mois. C’est pour ça que j’aime la mer. Au jardin d’enfant, ils nous donnaient des biscuits et du jus, je mangeais les biscuits et gardais le jus pour mon père, qui en raffolait sans avoir les moyens d’en acheter.
Mes hobbies sont les arts plastiques et l’artisanat, mais mon rêve est de devenir médecin pour aider les gens à guérir. Je rêve aussi de devenir riche pour acheter des maisons pour les orphelins et les gens sans abris et donner de l’argent pour les pauvres. Je souhaite que mon rêve devienne réalité. »
Dalia – Administratrice Orphelins : « Nous sommes très préoccupés ».
Nous connaissions Hani depuis 2011 et nous le voyons grandir de jour en jour. Hani est fils unique et vit dans de très mauvaises conditions. Cela a eu un impact négatif sur sa vie, bien qu’il se soit distingué à l’école, ce qui lui a donné un avenir prometteur. Mais ce n’est plus le cas maintenant. Au SIF, nous sommes très préoccupés quant à son avenir ainsi que celui de milliers d’orphelins que nous parrainons depuis de nombreuses années, parce que la situation se détériore dans la Bande de Gaza.
En tant que travailleurs humanitaires, nous travaillons dur pour aider à améliorer la vie de Hani et celle d’autres orphelins. Depuis 5 ans, le SIF fournit un soutien régulier à Hani par le biais du Projet Orphelins, des distributions de colis alimentaires pour Ramadan et de cadeaux pour l’Aïd. La maison de la tante de Hani est considérée comme le seul endroit agréable où Hani peut jouer et s’amuser.
Maysa – Travailleur social au SIF : « Hani est le seul espoir pour sa mère … »
Malheureusement, Hani vit dans une unique pièce, chose qui est mauvaise pour sa santé. Hani est poli, très calme et obéit toujours à sa mère. Il agit toujours comme s’il était plus vieux que son âge, je le vois dans ses yeux et j’en suis profondément triste. Hani et sa mère n’ont plus personne pour prendre soin d’eux depuis la mort de son père. Sa mère est tout pour lui et il fait de son mieux pour changer leurs conditions de vie en travaillant dur à l’école. Hani est le seul espoir pour sa mère …
Comment aider Hani et tous les autres enfants ?
Divers projets sont mis en œuvre par nos équipes sur le terrain pour apporter une aide concrète aux enfants palestiniens : actions de protection des enfants, réhabilitation de maisons, distribution de colis alimentaires, etc.
Pour soutenir les différents projets du Secours Islamique France, faites un don en cliquant ci-dessous.
A titre d’exemple :
Avec 25 €, vous offrez un repas complet et équilibré à 5 enfants palestiniens.
Avec 50 €, vous couvrez les besoins essentiels d’un enfant pendant 1 mois.
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Une fatwa déterminante d’al-Suyûtî en faveur de la célébration du Mawlid nabawî.
Les débats portant sur l’opportunité ou la licéité de célébrer l’anniversaire de la naissance du prophète (al-Mawlid al-nabawî) ne datent pas de notre époque. En témoigne la fatwa rédigée à la fin du IX/XVe siècle par le grand savant Jalâl al-Dîn al-Suyûtî (m. 911/ 1505). Avant lui, d’autres ‘ulamâ’de renom avaient déjà rédigé des livrets intitulés Mawliden l’honneur du Prophète (Ibn al-Jawzî, Ibn Kathîr…), ou avaient pris position en faveur de cette célébration.
Ainsi, Ibn Taymiyya lui-même (m. 1328) déclare t-il dans son livre Iqtidâ’ al-sirât al-mustaqîm : « Nous célébrons le Mawlidpar amour et vénération pour le Prophète ». La fatwa de Suyûtî a l’avantage d’une part de retracer l’historique de la célébration du Mawlid, d’autre part d’apporter la caution d’un savant éminent de l’islam à la reconnaissance de cette célébration.
Présentons d’abord – si besoin est – Suyûtî. C’est un ‘âlimencyclopédiste, polyvalent, qui maîtrisait maintes disciplines islamiques et a écrit par ailleurs sur les sujets les plus variés. À noter qu’il est l’auteur le plus prolifique de littérature islamique, puisqu’on lui attribue environ un millier d’ouvrages ! Dans le foisonnement de son œuvre, ce qui ressort globalement c’est son attachement au modèle prophétique muhammadien. Il s’agit pour lui, comme pour Junayd auparavant, de la seule voie menant à Dieu. Lui-même déclara que la discipline où il se sentait la plus à l’aise était celle de la « science du hadîth ».
Pour notre auteur assurément, ce modèle ne saurait être transmis uniquement par la science livresque ; il a besoin d’être vécu de l’intérieur. Suyûtî a donc pratiqué la Voie soufie, et avait pour maître un cheikh de la tarîqaShâdhiliyya, Muhammad al-Maghribî (m. 911/ 1505). Nul étonnement, donc, qu’il ait développé ici ou là la dimension ésotérique du message muhammadien.
Notre savant égyptien a ainsi établi un rapport personnel, mystique, avec la personne spirituelle du Prophète. Il affirme en ce sens avoir vu celui-ci plus de soixante-dix fois à l’état de veille (yaqazatan), ce qui constitue, dans le soufisme même, une faveur rarement accordée. Des contemporains ont d’ailleurs rapporté des visions au cours desquelles le Prophète rencontrait Suyûtî et l’appelait « shaykh al-Sunna ». Et ce dernier stipule, à l’instar d’autres soufis ou ‘ulamâ’spiritualistes, que le Prophète peut entretenir, lors de visions, tel initié de la validité ou non d’un hadîthdonné.
Aperçu historique sur la célébration du Mawlid nabawî.
Suyûtî attribue l’initiative de cette célébration à un prince sunnite, de la dynastie ayyoubide, qui régnait sur la ville kurde d’Irbil, à 80 km de Mossoul : Muzaffar al-Dîn Kökbürî. Ce prince aurait commencé à célébrer le Mawlidau tout début du VII/XIIIe siècle, soit à partir de 605/1208. D’après les chroniques de l’époque, il s’agissait d’une sorte de festival qui attirait beaucoup de monde et qui doit beaucoup, en fait, aux soufis de la région : ils animaient la cérémonie par le dhikr et le samâ‘.
On peut dire que, depuis que cette cérémonie existe en pays musulman, les dirigeants politiques avaient davantage besoin de l’appui des milieux soufis que l’inverse. Le voyageur Ibn Jubayr (m. 614) évoque, dans ses Rihal, la célébration du Mawlid pour la même période, à la Mecque.
D’autres sources affirment que les Fatimides (Égypte et Syrie) auraient été les premiers à fêter le Mawlid. Lorsqu’on sait que les Fatimides, dynastie chiite ismaélienne, étaient les rivaux des Ayyoubides sunnites, il n’est guère étonnant qu’il y ait une telle surenchère idéologique. On sait par ailleurs que le prince kurde sunnite Nûr al-Dîn Zengui (m. 1174) – l’oncle de Saladin -avait écrit un texte d’éloges, depuis Damas, en l’honneur du Prophète.
Outre le fait que la célébration organisée par Muzaffar al-Dîn Kökbürî était bien repérée dans les sources historiques (Ibn Khallikân lui a consacré une description détaillée), il est évident que Suyûtî, sunnite prononcé et légitimiste concernant la question du califat abbasside, n’allait pas promouvoir dans sa fatwa une hypothétique origine chiite à la célébration du Mawlid…
En réalité l’apparition de la cérémonie du Mawlidcorrespond historiquement aux besoins, pour la communauté musulmane, de se rassembler autour de la personne du Prophète en temps de crise : rappelons que depuis 1099, les Croisés ont investi une partie du Proche-Orient (Syrie, Palestine), et que, à l’Est, se profile de plus en plus le danger du déferlement mongol.
Contexte de la fatwa de Suyûtî.
Selon plusieurs auteurs, leMawlid nabawîconnaît son véritable développement à l’époque de Suyûtî, soit à la fin de la période mamelouke. Au Caire, la cérémonie revêt un caractère officiel, à la Citadelle, en présence du sultan mamelouk, des émirs, des ‘ulamâ’et des soufis bien sûr. Mais son aspect populaire festif n’en est pas pour autant éclipsé. Les cheikhs la célèbrent dans leur zâwiya, entourés de leurs disciples et de nombreux invités.
Nous sommes à une époque où émerge de plus en plus la notion de « Voie muhammadienne » qui doit fédérer et rassembler toutes les voies initiatiques particulières. Cependant, la question de la licéité de la célébration du Mawlidse pose encore ici ou là. De ce débat témoigne la fatwa de Suyûtî, qui vise à apporter une réponse étayée et définitive.
Cette fatwa revêt une importance particulière du fait de la renommée de son auteur de son vivant : Suyûtî délivrait des avis juridiques à la demande d’un public large qui allait de l’Inde jusqu’à l’Afrique sahélienne (al-Takrûr). Nul étonnement donc, que l’on trouve des traces de l’influence de cette fatwa jusqu’au Maghreb. La méthode de Suyûtî consiste à citer beaucoup d’autorités antérieures qui, pour la plupart, vont dans son sens. Ce référencement, on le sait, constitue le seul moyen dans la culture islamique d’asseoir son avis. Suyûtî s’appuie ainsi sur des savants reconnus tels que al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar, etc. Mais il sait aussi donner la parole à ses adversaires doctrinaux… avant de les réfuter.
L’argumentation développée dans la fatwa.
Le texte s’intitule Husn al-maqsid fî ‘amal al-Mawlid, « La bonne intention concernant la célébration du Mawlid », et il est incorporé dans le recueil de fatwas que Suyûtî a collecté à la fin de sa vie et qui s’intitule al-Hâwî lil-fatâwî. Suyûtî y développe principalement le thème que cette célébration relève certes de l’innovation (bid‘a), mais que toute innovation n’est pas blâmable (madhmûma).
Il s’agit là au contraire d’une innovation « louable » (hasana), voire recommandée (mandûba). Suyûtî précise même que, dans certains cas, une innovation peut s’avérer obligatoire, indispensable (wâjiba). En outre, il précise que, une fois devenu prophète, Muhammad a célébré pour lui-même la ‘aqîqa, alors que son grand-père ‘Abd al-Muttalib l’avait déjà pratiquée pour lui lors de sa naissance : cet élément d’information va dans le sens de la commémoration de sa naissance par la communauté musulmane.
Le sens que revêt la commémoration de la naissance du prophète Muhammad est de rendre grâce à Dieu (izhâr al-shukr)de l’avoir envoyé comme prophète ayant apporté l’islam, et comme miséricorde à tous les êtres. Cette gratitude s’accompagne de manière toute naturelle de la joie que peuvent partager les musulmans, et plus précisément ceux qui assistent à la célébration. Et Suyûtî de mentionner que l’oncle mécréant du Prophète, Abû Lahab a son sort amélioré en enfer du simple fait qu’il se serait réjoui lors de la naissance de Muhammad. C’est donc l’intention de l’action de grâce et de la réjouissance qui doit être prise lorsqu’on organise le Mawlid.
À l’instar de savants antérieurs, Suyûtî établit la comparaison entre cette célébration et l’établissement par le calife ‘Umar Ibn al-Khattâb de la prière des Tarâwîh, lors du mois de Ramadan. On ne trouve dans tout cela, écrit-il, aucune contradiction ni avec le Coran ni avec la Sunna, car cela relève du « bel agir », de la « recherche de l’excellence » (al-ihsân). Simplement, il faut distinguer la célébration telle que la recommandent les ‘ulamâ’et les soufis, des pratiques blâmables qui ont pu s’y introduire.
A cet égard, Suyûtî donne des indications assez précises sur le contenu et le déroulement de la commémoration du Mawlid : durant tout le mois de Rabî‘ al-awwal, au cours duquel est né Muhammad, on doit pratiquer le bien, multiplier les aumônes, etc. Lors de la cérémonie elle-même, il est recommandé de se réunir pour lire le Coran, nourrir les pauvres, lire des passages de la tradition concernant la naissance du Prophète et les signes miraculeux qui l’ont accompagnée, chanter des poèmes en son éloge, et bien sûr éviter tout débordement relevant de la religiosité populaire (danse, musique…).
Lorsque l’on considère l’autorité scientifique et spirituelle de Suyûtî, et celle des savants antérieurs qu’il cite (al-‘Izz Ibn ‘Abd al-Salâm, al-Nawawî, Ibn al-Hâjj, Ibn Hajar…), on reste consterné devant l’ignorance aussi péremptoire de ces musulmans contemporains pour lesquels le Mawlid est une innovation blâmable, et qui vitupèrent contre la célébration de la naissance de celui qui fut envoyé « comme une miséricorde pour les mondes ».
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Le Sénégal condamne le revirement de Jammeh et exige “la transmission pacifique du pouvoir”.
Le Sénégal, voisin de la Gambie, a condamné vendredi soir le revirement du président gambien Yahya Jammeh, qui a rejeté les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite, exigeant qu’il “organise la transmission pacifique du pouvoir”.
“Le Sénégal rejette et condamne fermement cette déclaration”, selon un communiqué de son ministre des Affaires étrangères Mankeur Ndiaye, disant avoir appris “avec surprise” cette remise en cause par M. Jammeh de sa propre reconnaissance des résultats une semaine auparavant.
“Le Sénégal exige que le président sortant respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu”, Adama Barrow, candidat d’une large coalition d’opposition.
Il “engage instamment la Cédéao (Commission économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, NDLR) l’Union africaine et les Nations unies à oeuvrer ensemble et prendre toutes les mesures qu’imposent la sauvegarde des résultats du scrutin présidentiel en Gambie et le respect de la souveraineté du peuple gambien”.
Par ailleurs, Dakar “met solennellementen garde contre toute atteinte à la sécurité des ressortissants sénégalais vivant en Gambie”, petit pays d’Afrique de l’Ouest enclavé dans le territoire sénégalais hormis sa façade atlantique.
Dans sa déclaration télévisée vendredi soir, M. Jammeh a assuré que “l’intervention de puissances étrangères ne changerait rien”.
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Gambie : Yahya Jammeh ne reconnait plus sa défaite.
Le président gambien sortant Yahya Jammeh a annoncé vendredi qu’il ne reconnaissait pas les résultats de l’élection du 1er décembre, une semaine après avoir reconnu sa défaite face à l’opposant Adama Barrow, dans une déclaration télévisée.
“Tout comme j’ai loyalement accepté les résultats, en croyant que la Commission électorale était indépendante, honnête et fiable, je les rejette dans leur totalité”, a affirmé M. Jammeh, dénonçant des “erreurs inacceptables” de la part des autorités électorales.
“Laissez-moi répéter: je n’accepterai pas les résultats sur la base de ce qui est arrivé”, a-t-il dit, appelant à la tenue d’un nouveau scrutin.
M. Jammeh a dénoncé une erreur de comptabilisation reconnue par la Commission électorale indépendante (IEC), accordant la victoire à M. Barrow, mais avec moins de voix d’avance qu’annoncé initialement et fait état d’”enquêtes” sur l’abstention qui ont révélé, selon lui, que de nombreux électeurs n’avaient pu voter en raison d’informations erronées.
Cette annonce bouleverse la situation en Gambie, où la population profitait d’une liberté inédite, à la perspective d’une alternance démocratique, après 22 ans de pouvoir sans partage de Yahya Jammeh.
La veille, le président élu s’est prévalu du soutien du chef de l’armée, le général Ousman Badjie, et a annoncé la création d’une Commission Vérité et Réconciliation.
Dans une déclaration télévisée diffusée le soir du 2 décembre, Yahya Jammeh avait, à la surprise générale, reconnu sa défaite et avait téléphoné à Adama Barrow devant les caméras pour le féliciter pour sa victoire.
Les pressions pour poursuivre Yahya Jammeh et les dignitaires du régime, accusés de nombreuses violations des droits de l’Homme, représentent un des principaux défis pour le nouveau pouvoir, déterminé à une transition pacifique.
Dans un entretien avec des médias français le 3 décembre, M. Barrow a exclu toute “chasse aux sorcières”, affirmant que son prédécesseur pourrait “vivre en Gambie en tant que citoyen ordinaire”.
Plusieurs dizaines de militants de l’opposition, dont Ousainou Darboe, le chef de la principale formation d’opposition le Parti démocratique uni (UDP), arrêtés pour avoir participé à des manifestations non autorisées en avril et en mai, ont été libérés sous caution cette semaine.
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Présidentielle au Ghana : John Dramani, le président sortant, concède sa défaite.
Le président du Ghana, John Dramani Mahama, qui était en lice pour un second mandat, a appelé le chef de l’opposition, Nana Akufo-Addo, pour le féliciter vendredi soir de sa victoire à la présidentielle, a annoncé le porte-parole de son parti.
“Oui, il a concédé sa défaite”, a déclaré George Lawson, porte-parole du Nouveau congrès démocratique (NDC), à l’AFP, alors que l’opposition fêtait déjà sa victoire dans les rues d’Accra, à coups de feux d’artifice.
“Il a appelé pour concéder sa défaite et nous sommes extatiques”, a confirmé la porte-parole du principal parti d’opposition, le Nouveau Parti Patriotique (NPP), Oboshie Sai Cofie.
Des centaines de partisans, habillés de blanc des pieds à la tête, se sont rassemblés devant la modeste résidence de M. Akufo-Addo, pour célébrer leur victoire, 48 heures après la fermeture des bureaux de vote.
Ils dansaient depuis des heures déjà, pour fêter une victoire qui s’annonçait plus que certaine, selon les prévisions de médias locaux, tout au long de cette longue attente.
Le candidat du NPP, qui se présente pour la troisième fois à la magistrature suprême, a déjà prononcé jeudi soir un discours triomphant s’affirmant vainqueur de l’élection présidentielle, alors que ni la Commission électorale, ni le parti du président sortant (NDC) n’avaient fait d’annonce officielle.
Vendredi soir, la Commission a confirmé la tendance, sans donner de score officiel.
“C’est mon rôle et mon privilège de déclarer Nana Addo Akufo Addo président de la république du Ghana”, a annoncé Charlotte Osei, présidente de la Commission électorale.
“Je pense que les Ghanéens peuvent être extraordinairement fiers”, a déclaré l’un des observateurs du scrutin, Johnnie Carson, de l’Institut national démocratique.
“Le Ghana s’est distingué pendant ses 25 dernières années comme étant un pays d’intégrité et de transparence”, a-t-il ajouté.
Le premier mandat de M. Mahama, figure charismatique et réputé proche du peuple, a été entaché par un ralentissement de la croissance et par des scandales de corruption au sein de l’administration.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ambassadeur de la Malaisie au Caire arrive à Gaza
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Le Hamas appelle l’Egypte à accélérer ses mesures visant à alléger le blocus de Gaza
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Une palestinienne arrêtée à un point de contrôle au sud de Qalqilya
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Les bulldozers israéliens ratissent les terres palestiniennes à Salfit
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Réouverture exceptionnelle du passage de Rafah pendant 3 jours
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Une marche à Jénine pour soutenir un prisonnier en grève de la faim
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Le Hamas endeuillé par la mort du penseur islamique russe Jamal Haider
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Des blessés lors de la répression des marches hebdomadaire de Kafr Kadoum et Ramallah
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L’occupation décide de restituer les corps de 7 martyrs palestiniens
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En images: 100 000 participants à la marche du Hamas au nord de Gaza
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Le FPLP promet d’entraver la réunion du Conseil national à Ramallah
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MADA: 31 violations des libertés des médias en Palestine en novembre
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Mechaal: la situation à Alep est alarmante
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Les forces d’occupation arrêtent un citoyen ayant franchi le siège sécuritaire
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L’Union Européenne condamne Israël pour la détention administrative des Palestiniens
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Des milliers de palestiniens effectuent la prière du vendredi à la mosquée al-Aqsa
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