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Flash info du 30 Joumada Al Awwal 1438.

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154 parlementaires demandent à Hollande de reconnaître (enfin) l’Etat de Palestine.
Quelque 154 députés et sénateurs français de tous les bords politiques demandent à François Hollande la reconnaissance de l’Etat de Palestine, dans un courrier transmis dimanche à l’AFP.
« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël », écrivent ces parlementaires au chef de l’Etat.
Rappelons que la reconnaissance de la Palestine faisait partie du programme électoral de Hollande en 2012. Mais près de 5 ans plus tard, le président élu n’a pas honoré son engagement, préférant un alignement à 100% sur la politique des assassins qui gouvernent Israël.
« Monsieur le président, montrez-vous à la hauteur de l’enjeu et ne manquez pas ce rendez-vous avec l’Histoire, en reconnaissant dès à présent l’Etat de Palestine », demandent les parlementaires.
La plupart des groupes politiques, de gauche comme de droite, sont représentés dans la liste des signataires. Dans celle-ci figurent notamment Gilbert Roger, sénateur PS président du groupe d’amitié France-Palestine, les communistes Marie-George Buffet et Pierre Laurent, les sénatrices écologistes Aline Archimbaud et Esther Benbassa, les socialistes Marie-Noëlle Lienemann, Mathieu Hanotin, Catherine Tasca ou les LR Jean-Luc Reitzer et Michel Voisin.
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A quoi ressemblerait la France de Marine Le Pen ?
Marine le pen a présenté son programme, dimanche 5 février, à Lyon, reprenant les thématiques traditionnelles du Front national, ainsi que de nombreuses mesures de sa campagne de 2012. Le leitmotiv est la préférence nationale, déclinée dans tous les domaines. Trois semaines plus tard, dimanche 26 février, alors que la candidate frontiste donne un grand meeting à Nantes, franceinfo imagine à quoi pourrait ressembler le pays si Marine Le Pen devenait présidente.
Vers une sortie de l’Union européenne.
C’est la priorité pour la présidente du FN, qui accuse régulièrement l’Union européenne de tous les maux : renégocier les traités européens avant d’organiser un “référendum sur l’appartenance” à l’UE. La candidate entend ainsi “rendre à la France sa souveraineté”, notamment “monétaire et législative”. Le programme ne mentionne plus explicitement la “sortie de l’euro”, une proposition qui inquiète beaucoup dans l’électorat, notamment âgé. Mais, en réalité, cette mesure est toujours à l’ordre du jour, comme l’expliquent Les Echos . Le FN parle à présent du “rétablissement d’une monnaie nationale”, sans s’étendre dans son programme sur les moyens d’y parvenir. Sur Europe 1 , Marine Le Pen assure “qu’il n’y aura pas deux monnaies en France” mais qu’“il est possible d’envisager une monnaie commune exclusivement pour l’Etat ou les grandes entreprises”.
Des mesures économiques et sociales orientées à gauche.
Les dirigeants du Front national n’en font pas mystère : c’est avant tout sur ces thématiques qu’ils doivent convaincre s’ils veulent remporter l’élection. Cette année, le FN a donc choisi de rester assez évasif sur les modalités pratiques de la sortie de l’euro. Pour le reste, Marine Le Pen présente plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des plus modestes, donnant à cette thématique une coloration de gauche. Dans Les Echos , le maire FN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, assure ainsi que “ la défense des acquis sociaux est au cœur du projet” .
La mesure la plus emblématique de ce positionnement est le retour de l’âge légal de la retraite à 60 ans, avec 40 ans de cotisations pour une retraite à taux plein. Marine Le Pen propose aussi une prime de pouvoir d’achat pour “les salariés et les retraités qui touchent moins de 1 500 euros”, financée par une taxe sur les importations, qui pourrait coûter 20 milliards d’euros. Cette prime s’élèverait à “à peu près 80 euros par mois” pour une personne gagnant 1 500 euros, a estimé la candidate lors de l’émission “Questions d’info”. L’impôt sur le revenu des trois premières tranches serait baissé de 10%. Un impôt que tous les Français devraient payer, même de façon symbolique, alors qu’aujourd’hui, un foyer sur deux s’en acquitte.
Sur les questions liées au travail, la candidate veut abroger la loi El Khomri. La durée légale du travail resterait fixée à 35 heures, mais les branches pourraient négocier des durées supérieures, à condition d’aboutir à des formules du type “39 heures payées 39”, comme Marine Le Pen l’explique dans Le Parisien . Elle veut aussi rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires, mise en place sous Nicolas Sarkozy puis supprimée par François Hollande.
Le financement de toutes ces mesures reste toutefois assez flou, estiment Les Echos . Elles se traduiraient d’abord par un accroissement du déficit à court terme, reconnaît le FN. Mais le parti compte sur la lutte contre la fraude fiscale et sociale, ainsi que sur des gains liés à la simplification administrative, deux leviers censés rapporter 60 milliards d’euros sur un quinquennat. Le magazine Challenges estime, lui, que la facture de ce programme est “délirante” .
Une France plus fermée.
C’est un incontournable des programmes du FN : une batterie de mesures censée réduire l’immigration, illégale mais aussi légale. Pour cela, Marine Le Pen veut supprimer le droit du sol et la binationalité extra-européenne. Elle compte réduire à 10 000 le solde annuel d’entrées légales sur le territoire. Le regroupement familial ne serait plus autorisé, tout comme l’acquisition automatique de la nationalité française par le mariage. Le droit d’asile serait aussi restreint. Les étrangers en situation irrégulière ne pourraient pas être régularisés ni naturalisés. La France sortirait de l’espace Schengen et instaurerait à nouveau des contrôles à ses frontières.
La candidate veut faire de la “priorité nationale” la règle pour les politiques publiques, et prévoit donc de l’inscrire dans la Constitution. Cela se traduirait, par exemple, par le fait de réserver les logements sociaux aux Français, de taxer les emplois occupés par des étrangers, ou encore d’instaurer une carence de deux ans avant d’avoir accès au système de soins ou de toucher des prestations sociales. L’aide médicale d’Etat serait supprimée.
Le rétablissement de la “souveraineté” implique aussi des mesures protectionnistes, avec une taxation, voire une interdiction des importations de certains produits. Une partie de la commande publique pourrait être réservée aux entreprises françaises. La candidate demande aussi l’abrogation de la directive européenne sur les travailleurs détachés. Enfin, l’embauche d’un salarié étranger (même européen) serait taxée à hauteur de 10%.
Côté institutions, des propositions dans la lignée de 2012.
Le FN veut faire de la proportionnelle la règle pour tous les scrutins. A l’Assemblée nationale, ce serait une proportionnelle intégrale, avec une prime de 30% pour la liste arrivée en tête. Le nombre de députés baisserait de 577 à 300. Marine Le Pen entend aussi s’attaquer au mille-feuille administratif français. Avec sa réforme territoriale, seuls trois niveaux d’administration subsisteraient : les communes, les départements et l’Etat.
En matière sécuritaire, la doctrine du FN n’a pas changé. Marine Le Pen est clairement sur un axe répressif, qui passe notamment par l’embauche de 15 000 policiers, le rétablissement des peines planchers, la suppression des remises de peine automatiques, la création de 40 000 places de prison… Le programme n’évoque cependant plus la peine de mort, remplacée par la perpétuité réelle incompressible.
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Santé : Ces sucres qui favorisent l’Alzheimer.
Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific Reports, ont montré comment un taux élevé de sucre (glucose) dans le sang pourrait être l’une des causes du développement de la maladie d’Alzheimer.
Des études ont déjà montré que les personnes diabétiques ont un risque accru de développer la maladie. Les scientifiques savaient déjà que le glucose et ses produits de dégradation peuvent endommager des protéines dans les cellules via une réaction appelée glycation. Jean van den Elsen et ses collègues des universités de Bath et King’s College London ont maintenant montré un lien entre la glycation et le développement de la maladie d’Alzheimer.
En étudiant des échantillons de cerveaux de personnes avec et sans Alzheimer, ils ont découvert que dans les stades précoces de la maladie, la glycation endommage une enzyme, la MIF (pour macrophage migration inhibitory factor), qui joue un rôle dans la réponse immunitaire et la régulation de l’insuline. La MIF est impliquée dans la réponse des cellules immunitaires gliales contre les plaques et enchevêtrements de protéines, caractéristiques de l’Alzheimer, qui endommagent progressivement les cellules nerveuses.
Les chercheurs pensent que l’inhibition et la réduction de l’activité de la MIF causée par la glycation pourraient être le « point de basculement » dans la progression de la maladie. À mesure que la maladie d’Alzheimer progresse, la glycation de ces enzymes augmente. Les chercheurs estiment que ces travaux pourront aider au diagnostic de la maladie et mener à de nouveaux traitements.
« L’excès de sucre est bien connu pour être mauvais quand il s’agit du diabète et de l’obésité, mais ce lien potentiel avec la maladie d’Alzheimer est une autre raison pour laquelle que nous devrions contrôler l’apport de sucre dans notre alimentation », souligne Omar Kassaar, coauteur.
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Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
L’institution est jugée partiale, notamment dans ses positions envers Israël, et accusée de fermer les yeux sur les pratiques de certains de ses membres, tels l’Arabie saoudite ou la Chine. Les Etats-Unis n’en sont membres que depuis 2009.
Selon le site Politico, Donald Trump envisagerait de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. L’entourage du président américain reprocherait à l’institution d’agir de manière partiale contre l’Etat israélien, mais également de fermer les yeux sur les exactions commises par la Chine et l’Arabie saoudite.
Les Etats-Unis ne se retireraient pas dans l’immédiat – du moins pas avant la prochaine réunion du Conseil qui doit avoir lieu le 27 février. Mais le sujet aurait d’ores et déjà été abordé au cours de différentes réunions à la Maison-Blanche, comme le rapporte un ancien membre de la diplomatie américaine. «La question de l’utilité générale d’une telle institution et de la pertinence d’un maintien des Etats-Unis en son sein a été soulevée», affirme-t-il.
Lors d’une rencontre avec des membres du département d’Etat, le secrétaire d’Etat Rex Tillerson avait déjà fait part du scepticisme de son administration à l’égard de l’orientation politique présumée du Conseil, pourtant supposé neutre.
Lors de la création du Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2006, en remplacement de la Commission des droits de l’Homme jugée inefficace, George W. Bush avait refusé que les Etats-Unis y siègent. Barack Obama avait finalement décidé de rejoindre l’organisation en 2009.
Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est régulièrement accusé de se servir du prétexte de la lutte contre les violations des droits fondamentaux pour mettre en oeuvre une politique orientée. Si la Russie en a été exclue en 2016 à cause de son intervention dans le conflit syrien, la présence de la Chine, de l’Arabie Saoudite ou du Qatar, pays pourtant régulièrement accusés de violer les droits de l’Homme, suscite de vives critiques de la part de plusieurs associations.
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France : Pétition pour la réouverture de la mosquée de Lagny-sur-Marne.
Depuis le 2 décembre 2015, les musulmans de Lagny-sur-Marne qui représentent 10% de la population, sont privés de leur unique lieu de culte. Après la perquisition de la mosquée, l’assignation à résidence de quelques fidèles et la dissolution de l’association gestionnaire, une nouvelle association cultuelle a été créée dont l’objectif est la réouverture de la mosquée. Malgré les relances, le ministre de l’intérieur Bruno Le Roux refuse d’autoriser sa réouverture.
Conséquence de cette situation : les fidèles de la commune se retrouvent à prier en pleine rue. Une situation scandaleuse qui, semble-t-il ne dérange pas le gouvernement. Une pétition pour la réouverture de la mosquée a été lancée.
La nouvelle assocation Es-Salam qui représente les musulmans de la commune nous a fait parvenir le communiqué a lire sur www.mouslimradio.info.


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« Injustifiable », « inefficace » et « détourné de son objectif » : l’état d’urgence en France dans le viseur d’Amnesty International.
« Le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause », s’alarme l’ONG alors que son rapport annuel est publié, mercredi.
L’état d’urgence en France est dans le collimateur d’Amnesty International. Dans son rapport annuel, publié mercredi 22 février, l’ONG estime que les autorités françaises ont mis à mal « certains droits fondamentaux » avec les multiples prolongations de ce régime d’exception. Selon l’organisation, « le risque est que la France s’habitue à ce que des droits, considérés comme acquis, soient remis en cause ».
Après avoir déjà épinglé l’état d’urgence en France, à la mi-janvier, dénonçant des mesures « discriminatoires », Amnesty international en remet une couche. Franceinfo revient sur les trois principales critiques.
Des prolongements « injustifiables » .
« Pour qu’un état d’urgence soit déclaré ou prolongé, il faut que les autorités en démontrent, à chaque fois, la nécessité », explique à franceinfo le responsable du programme « Libertés » à Amnesty International, Nicolas Krameyer. Or, notre lecture, c’est qu’il n’y a plus de nécessité de l’état d’urgence, ou que cette nécessité n’est plus du tout démontrée par les autorités, ni même par les faits avancés. »
Des experts du terrorisme, auditionnés par l’Assemblée nationale, ont indiqué que « les bénéfices de l’état d’urgence ont essentiellement été durables pendant quelques semaines, après son déclenchement en novembre 2015 », rapporte également Nicolas Krameyer.
« Nous n’avons pas à prolonger l’état d’urgence au-delà de ce qui est strictement nécessaire, mais le gouvernement considère qu’à partir du moment où il y a toujours un danger terroriste, on sera toujours sous l’état d’urgence. Donc, on peut faire comme les Egyptiens, et y être pendant cinquante ans », estime auprès de franceinfo Michel Tubiana, président d’honneur de Ligue des droits de l’Homme. Pour l’avocat de l’ONG, Patrice Spinosi, le renouvellement de l’état d’urgence est une mesure « essentiellement politique ».
A partir du moment où on a vendu aux Français que l’état d’urgence était une nécessité pour combattre le terrorisme, aucun gouvernement ne peut se permettre d’y mettre fin car ce serait prendre un risque politique considérable.
Patrice Spinosi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme,
à franceinfo
Un dispositif inefficace.
« Le gouvernement exploite la peur et ment ostensiblement quand il soutient que l’état d’urgence a une quelconque efficacité dans la lutte contre le terrorisme », lance Michel Tubiana.
Les chiffres avancés par Amnesty International sont accablants. L’ONG souligne que « de la fin 2015 à la fin 2016, seules 0,3% des mesures liées à l’état d’urgence ont débouché sur une enquête judiciaire pour faits de terrorisme ».
Dans le détail, quelque 6 500 mesures (perquisitions administratives, assignations à résidence, etc.) ont été prises dans le cadre de l’état d’urgence. Mais cela n’a débouché que sur le lancement de 20 enquêtes judiciaires et sur l’ouverture de 196 enquêtes par le parquet antiterroriste.
Derrière ces chiffres, il y a des personnes et des vies parfois en miettes. Comme celle de Julien, 31 ans, que franceinfo a rencontré au début du mois de février. Il est assigné à résidence depuis quatorze mois. Il n’a plus le droit de quitter sa commune de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) sauf pour aller pointer au commissariat de Noisiel, trois fois par jour, dimanche et jours fériés compris.
Converti à l’islam, il lui est reproché d’avoir suivi les cours d’un « militant pro jihad » et d’être en relations avec des « personnes radicalisées ». Julien fréquentait la mosquée de Lagny, présentée par le gouvernement comme un « foyer d’idéologie radicale », et fermée le 1er décembre 2015. Une assignation à résidence injustifiée pour son avocat : « Si les enquêteurs n’ont pas réussi à rassembler assez d’éléments en plus d’un an, c’est qu’il y a un problème. » Sauf qu’entre-temps, Julien a perdu son travail et que sa vie sociale est désormais quasi-inexistante.
Un texte détourné du cadre anti-terroriste.
« Si c’est la lutte antiterroriste qui a été invoquée pour déclencher l’état d’urgence, ce qui était tout à fait justifié, selon Amnesty International, en novembre 2015, il faut bien voir que la rédaction même de la loi pose problème », déclare Nicolas Krameyer.
Dans le texte, on ne parle pas de mettre en place des mesures contre des personnes suspectées d’actes terroristes ou d’intentions terroristes, mais des personnes dont le comportement est susceptible de constituer une menace pour l’ordre public.
Nicolas Krameyer, responsable du programme Libertés chez Amnesty International.
En clair, avec ce texte, il est possible de viser d’autres personnes que celles soupçonnées de préparer des attentats. Ce qui a permis au gouvernement d’interdire des manifestations de militants écologistes pendant la COP21, à la fin 2015, et pendant les débats sur la loi Travail. Ainsi, 141 manifestations ont été interdites en France à cause de l’état d’urgence pour la seule année 2016. « C’est beaucoup plus que les années précédentes, mais nous attendons encore les chiffres détaillés des autorités », précise Nicolas Krameyer.
Pour Michel Tubiana, « la situation est plus grave que ce que dit Amnesty International ». « Aujourd’hui, nous retrouvons dans la loi un certain nombre de mesures qui ont été prises sous couvert de l’état d’urgence et qui sont passées dans le droit commun : on a fait de l’exception la règle », s’inquiète-t-il.
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Santé : José Bové, Nicolas Hulot, Yann Arthus-Bertrand… Même les écolos n’échappent pas aux perturbateurs endocriniens.
L’association Générations Futures publie jeudi 23 février une étude édifiante que franceinfo s’est procurée. Les cheveux de sept personnalités de l’écologie française ont été analysés, les sept contiennent des perturbateurs endocriniens.
Personne n’échappe aux perturbateurs endocriniens, même les plus écolos d’entre nous. Ces substances chimiques qui perturbent le système hormonal s’insinuent dans notre organisme. En effet, une étude de l’association Générations Futures publiée jeudi 23 février, et que franceinfo s’est procurée, le montre.
Sept personnalités de l’écologie, dont le photographe Yann Arthus-Bertrand, l’écologiste Nicolas Hulot, ou encore la députée Delphine Batho, ont fait analyser la présence de pesticides, phtalates et autres PCB dans une mèche de cheveux, et les résultats sont édifiants.
Même des substances interdites retrouvées .
Avec le record de 68 perturbateurs endocriniens, le bonnet d’âne revient à Isabelle Autissier. L’ancienne navigatrice, présidente actuelle de WWF France était « terrifiée par ces résultats, d’autant plus que j’essaye de manger bio, je ne me mets quasiment rien sur ma figure, chez moi je n’ai pas de produits ménagers… »
Pourtant, on aurait pu croire que la vie au grand air, en pleine mer, aurait épargné Isabelle Autissier de la contamination de ses substances qui perturbent le système hormonal, mais c’est tout le contraire. « Du coup, j’ai mis cela en rapport avec le fait que j’ai travaillé dans des chantiers de construction de bateaux, raconte la navigatrice (…) où j’ai manipulé des produits qui sont très mauvais pour la santé, des colles, des peintures, des solvants… D’autant plus qu’il y a 20 ans ou plus, on ne prenait aucune précaution. »
Bisphénol, phtalate, PCB… la navigatrice fait la course en tête, y compris pour des substances interdites aujourd’hui, comme le lindane, utilisé longtemps dans le traitement anti-poux, ou le fipronil, pesticide néfaste aux abeilles.
Une petite dose suffit.
Nicolas Hulot et Yann Arthus-Bertrand se retrouvent juste derrière elle au classement, avec une cinquantaine de substances. Le pourfendeur de la « malbouffe » et député européen en a, lui, 48. José Bové n’en revient pas. « Quand j’ai regardé la liste, je me suis dit, ce n’est pas possible, décrit-t-il. Trois PCB, 11 plastifiants, des pesticides, un insecticide, alors que je n’en ai jamais utilisé sur mon exploitation agricole ! »
Il suffit qu’il y ait une bombe [d’insecticide] qui soit passée dans les moquettes au Parlement européen ou ailleurs, et pourquoi pas Radio France… Tout le monde se retrouve face à [ces substances].
José Bové, agriculteur et député européen pour EELV,
à franceinfo.
Logiquement, les plus jeunes décrochent les meilleurs résultats, ou plutôt les moins mauvais : 36 perturbateurs endocriniens pour la députée Delphine Batho, 19 pour le candidat à la présidentielle d’Europe Écologie-Les Verts, Yannick Jadot. Ils ont tous accepté de participer à cette étude, parce qu’ils souhaitent l’interdiction de ces substances. Une nouvelle réunion européenne est prévue le 28 février pour définir ce qu’est un perturbateur endocrinien.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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L’ingénieur Fatash arrêté depuis 70 jours
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Sinwar et Machaal discutent de plusieurs sujets lors d’une réunion téléphonique
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France: 154 députés appellent Hollande à reconnaître l’Etat de palestine
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Netanyahu propose de contrôler Gaza par des forces internationales
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Solidarité croissante avec les prisonniers en grève de la faim à Jérusalem
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L’occupation envahit une école à Bethléem et attaque les enseignants
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Le début de la deuxième journée de la Conférence populaire des Palestiniens à l’étranger
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Un conseiller d’Abbas: Notre bataille avec l’occupation israélienne est « intellectuelle »
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De violents affrontements avec l’occupation à Silwan
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3 palestiniens arrêtés à Azzoun à l’est de Qalqilia
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne réprime une marche contre la détention administrative à Hébron
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Tente de solidarité avec al-Qiq à Doura
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Istanbul: Le Congrès populaire des Palestiniens à l’étranger entame ses travaux
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Qaraqe: le rapport médical confirme la responsabilité de l’occupation dans la mort du prisonnier Jalad
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Ribhi Halloum: 3 messages du Congrès des Palestiniens à l’étranger
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Haniyeh : La mosquée d’al-Aqsa est le centre de notre lutte
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com

Flash info du 24 Joumada Al Awwal 1438.

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France : L’Etat offre une prime de 200 euros pour l’achat d’un vélo électrique.
Depuis samedi, l’Etat offre à tout acheteur d’un vélo à assistance électrique une prime de 200 euros. Un coup de pouce visant à encourager les Français à se déplacer au moyen de « mobilités douces ».
Vous avez un an pour en profiter. Jusqu’au 31 janvier 2018, l’Etat propose une subvention de 200 euros à tout acheteur – particulier ou entreprise – d’un vélo à assistance électrique (VAE). Visant à encourager le développement des mobilités douces, cette aide est similaire au « bonus écologique » mis en place depuis 2008, qui permet de bénéficier d’une aide financière pour l’achat d’un véhicule neuf peu polluant. Dans le décret publié samedi au Journal Officiel, il est précisé que cette prime concerne « l’acquisition ou la location de véhicules à moteur à deux ou trois roues et de quadricycles à moteur électriques d’une puissance maximale nette du moteur inférieure à 3kW et n’utilisant pas de batterie au plomb ». Autrement dit, les trottinettes électriques ou gyropodes peuvent aussi faire l’objet d’un remboursement, à la condition de recourir à une batterie autre qu’au plomb.
Comment obtenir cette aide?
Comment bénéficier du bonus, valable à compter de ce dimanche? Rien de plus simple: il suffit simplement d’envoyer sa facture d’achat à l’Agence de services et de paiement. Un coup de pouce non négligeable, quand le prix d’un vélo électrique s’élève en moyenne à 1000 euros. Mais cette subvention « est exclusive de toute autre aide allouée par une collectivité publique ayant le même objet », précise le décret, alors qu’une quarantaine de communes en France proposent déjà une aide à l’achat d’un vélo électrique. Ainsi, la ville de Paris prend en charge 33% du prix d’achat d’un VAE, jusqu’à 400 euros, rappelle Le Parisien. Enfin, « une personne physique ne peut bénéficier qu’une fois » de ce bonus, indique le décret. Selon Le Télégramme, un site conçu spécifiquement pour ce dispositif ouvrira « dans les prochaines semaines ».
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Espagne : manifestation monstre à Barcelone pour l’accueil des réfugiés.
Près de 160 000 personnes ont défilé dans la capitale catalane pour exiger de l’Espagne et de l’Union européenne l’accueil de milliers de réfugiés.
Quelque 160 000 personnes ont participé samedi à une manifestation à Barcelone pour réclamer que l’Espagne accueille «dès maintenant» des milliers de réfugiés comme elle s’y était engagée en 2015, selon une estimation de la police municipale. La maire de gauche de la deuxième ville d’Espagne, Ada Colau, avait appelé les manifestants à «emplir les rues» pour cette marche intitulée «nous voulons accueillir« («volem acollir», en catalan).
Le défilé était organisé par la plateforme «Chez nous c’est chez vous». En vertu de ses engagements envers l’Union européenne, l’Espagne devait recevoir quelque 16.000 candidats à l’asile déjà admis dans d’autres pays, à partir de 2015. Mais seuls 1 100 sont arrivés jusqu’à présent. Les manifestants étaient nombreux à porter sur eux la pancarte «plus d’excuses, accueillons maintenant».
En Europe, «très peu a été fait, particulièrement en Espagne», a confié Jacint Comelles, 62 ans, venu manifester en famille. «Nous réclamons ce minimum de dignité, qu’au moins ce nombre de réfugiés-là puisse arriver. En Catalogne, tout est prêt pour les accueillir».
Le plan de Barcelone pour accueillir des réfugiés.
Mercredi, la présidente de la députation provinciale de Barcelone, Mercè Conesa, avait jugé «honteux» que l’Espagne n’ait accueilli qu’un millier de réfugiés. Aux côtés de maires de villes de Catalogne, elle avait demandé que la Commission européenne «commence à sanctionner de façon sévère» les pays ne respectant pas leur engagement en la matière.
Barcelone avait présenté dès le mois d’août 2015 un plan pour accueillir des réfugiés en provenance de Syrie, d’Irak, d’Afghanistan ou d’Erythrée. Mais en 2016, la maire de la ville Ada Colau avait déploré le faible nombre de réfugiés accueillis en Espagne et, à Bruxelles, avait «critiqué la réponse donnée par l’Europe» à la crise des migrants.
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France : Comme Théo, Alexandre a été violé par des policiers : « Ils ont pris mon intimité ».
Le tribunal de Bobigny va rendre son jugement à l’encontre d’un policier municipal, poursuivi pour violences volontaires et non pas pour viol, ce que ne comprend pas la victime.
Alors que l’affaire Théo est dans tous les esprits, le tribunal de Bobigny rend lundi son jugement à l’encontre d’un policier municipal de Drancy, en Seine-Saint-Denis. Il est accusé d’avoir violenté avec sa matraque le jeune Alexandre, lors d’une arrestation mouvementée il y a un an et demi.
« Ils ont pris mon intimité ». Depuis, Alexandre, 28 ans, a toujours des séquelles. « J’ai toujours des saignements. La nuit, je fais des cauchemars. Tout le monde parle sur moi dans la rue. Je suis suivi par un psychologue, je me sens mal », confie-t-il. Le mois dernier, le procès n’a rien arrangé. Le policier municipal n’a livré aucune explication. Quant au procureur, il a évoqué une pénétration quasi-accidentelle. Un argumentaire inacceptable pour Alexandre. « Ils ont pris mon intimité. Il y en a un qui m’a dit : ‘Tu te rappelleras de la police municipale' », se remémore-t-il. « Pour moi, ce n’est pas une violence volontaire. C’est un viol », insiste le jeune homme.
Un seul policier poursuivi sur les trois présents. Dans cette affaire, Alexandre dénonce une forme de « deux poids, deux mesures ». « Pour moi, la justice est différente pour les jeunes et pour les policiers. Si c’était moi, ce serait un viol, je serais en prison avec un mandat de dépôt », estime-t-il. « Le pire, c’est qu’il [le policier] travaille. Il n’y a pas de sanctions, il n’y a rien », peste le jeune homme. Alexandre ne comprend pas non plus pourquoi un seul des trois policiers municipaux se trouve sur le banc des accusés. « Pourtant, quand il m’a rentré la matraque, ses collègues me tiraient bien les épaules, avec les menottes dans le dos et allongé sur le ventre », témoigne-t-il.
Six mois de prison avec sursis requis. Au procès, le policier municipal « a parlé comme si j’étais un chien », dénonce Alexandre. « Les juges ont même constaté qu’il me parlait comme si j’étais un animal. Il ne s’est même pas excusé, rien… », déplore-t-il. En pleine affaire Théo, Alexandre espère voir le policier lourdement condamné. Bien plus que les six mois de prison avec sursis, requis par le procureur.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

Comme Théo, Alexandre a été violé par des… par Europe1fr
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Crowdfunding Musulman: un modèle social pour la communauté.
Dans un monde où les inégalités se creusent, il est vital de revenir au message coranique sur le partage des richesses et l’importance de contribuer au développement de sa communauté.
Les associations ou bien les entrepreneurs sont les mieux placés pour savoir combien il est parfois difficile de de lever des fonds pour financer des projets. Le terme Crowdfunding, vous parle peut-être, c’est la nouvelle tendance aujourd’hui qui surfe sur internet pour financer des projets par le plus grand nombre.
Il ne fallut pas très longtemps pour que la communauté musulmane s’en empare et y trouve sa version islamique. Comme toujours, c’est la communauté musulmane anglo-saxonne qui fut la pionnière avec le lancement de nombreuses plateformes de financement tel que Halalfunder.com, launchgood.com etc…
De quoi s’agit-il ? Le principe réside dans la possibilité offerte à tout un chacun via des sites internet dédiés, d’investir financièrement selon ses moyens à un ou plusieurs projets au bénéfice de la communauté musulmane.
Les initiatives sont diverses et nombreuses et vont de l’achat de locaux pour la création de groupes scolaires privés musulmans ou l’achat fourniture d’équipements et matériels scolaire ou encore des prêts sans intérêt pour des étudiants et ou bien des créateurs d’entreprise…etc.
Il existe actuellement principaux acteurs au sien de la communauté musulmane en France respectueuses des principes de l’Islam dans le cadre du Crowdfunding : easiup.fr et aoon.org .On compte également un nouveau venu musulman-participatif.com
Alors si vous aussi, vous voulez devenir acteur de votre communauté et contribuer à votre tour au bénéfice de nos frères et sœurs ici en France, les projets ne manquent pas. Devenir bienfaiteur ou donateur est à la portée de tous, il n’y a pas de petits de dons, n’oublions pas que les plus grands fleuves ne sont en définitive qu’une somme de gouttes d’eau.
Celui qui contribue à une œuvre pérenne trouvera sa récompense auprès de Son Seigneur, innshaAllah.
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Le saviez-vous ? Le précieux apport d’Al-Zahrawi dans médecine actuelle.
D’un point de vue scientifique ou intellectuel, le monde musulman n’a rien à envier à l’Occident. De prestigieux savants, scientifiques et médecins ont contribué à la connaissance des techniques et de l’anatomie du corps humain.
L’un des plus célèbres se nomme de son nom complet Abu Al-Qasim, ou Abū al-Qāsim Khalaf ibn Abbās al-Zahrāwī, connu en Occident sous le nom de Abulcasis ou Albucasis et en France sous le nom d’Aboulcassis. Considéré comme l’un des plus grands chirurgiens du monde musulman, il a écrit le Al-Tasrif (La pratique), une encyclopédie médicale qui fait le bilan des connaissances médico-chirurgicales de son époque, confrontées à sa propre expérience personnelle.
Dans son livre très complet pour l’époque, il aborde plusieurs points révolutionnaires comme le régime chez l’enfant et les vieillards, la goutte, les rhumatismes, les abcès, les plaies, les poisons et les venins, les affections externes de la peau, la fièvre,et surtout la chirurgie.
Il précise la chirurgie opératoire et signale les dangers possibles et les moyens de les éviter. La partie chirurgicale de son oeuvre a très tôt intéressée l’Occident et partout son ouvrage fut imprimé à grande échelle, pour devenir une référence en matière de chirurgie.
Sa science dépassait les simples techniques médicales puisqu’il était aussi un précurseur dans d’innombrables avancées chirurgicales comme la méthode de traitement d’une peau disloquée, l’appareil dentaire ou encore les grossesse extra-utérines.
Ce célèbre chirurgien musulman a marqué l’Histoire avec son encyclopédie composée de trente livres qui représente une mine d’or pour la médecine actuelle.
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Islam à Taïwan: partagé entre le poids des traditions et l’espoir du renouveau.
Chaque Joumou’aa environ 1 millier de fidèles se réunissent dans la grande mosquée de Taipei, nichée au cœur de la capitale, pour la prière hebdomadaire. En proportion, seuls 20% des fidèles sont d’origine taïwanaise, la majorité proviennent d’Indonésie,du Pakistan, de la Malaisie mais aussi d’Afrique et du Moyen-Orient. La mosquée date de 1960 et fut construite grâce aux dons de la communauté locale et à l’aide financière de l’Arabie Saoudite. Depuis des liens étroits demeurent comme en témoigne la visite symbolique du roi saoudien Fayçal en 1971.
Selon le président de la grande mosquée de « la ville du nord », Omar Yang :
«Il y a une crise de la foi parmi la communauté musulmane ici, qui découle principalement de l’absence d’éducation sur l’islam pour la jeune génération. Le poids de la culture locale et la persistance des traditions chinoises ont conduit à la disparition progressive des pratiques islamiques».
Lors d’un entretien accordé à Al-Jazeera, il relate cette histoire émouvante d’une famille ancienne de Taipei qui a découvert tardivement que leurs ancêtres étaient musulmans. Ainsi, ils honoraient par héritage certaines pratiques islamiques comme la non consommation de porc mais pratiquaient aussi des rites traditionnels extérieurs à la religion de Muhammad (PBSL). Un jour, en ce rendant au sanctuaire familiale, ils découvrirent, parmi les legs laissés par leurs ancêtres, un exemplaire du Saint Coran en langue arabe.
Pour Omar Yang, c’est une tragédie car «La connaissance de l’Islam n’est pas transmise à la prochaine génération».
Pourtant, l’histoire de l’implantation des premiers musulmans sur l’île autrefois appelée Formose remonte à 1683 sous le règne de la dynastie des Qing. Puis avec le temps, la grande majorité d’entre eux furent assimilée par la culture dominante chinoise et progressivement la pratique de l’islam déclina.
En 1949, c’est l’arrivée des soldats du Kuomintang (KMT), le Parti nationaliste chinois dirigé par le général Chiang Kaï-chek, qui fuient le communisme de Mao Zedong. Le tiers d’entre eux, soit environ 20 000 personnes sont des Hui, une ethnie chinoise musulmane. Selon un rapport de 2012 de l’institut Pew Research Center, les musulmans représentent moins d’ 1% de la population totale de 23 millions de personnes.
Pour Yang, c’est une question de survie ; la « petite » république de Chine défie depuis 1945 la république Populaire de Chine ; Taïwan n’est toujours pas membre des nations unies et son statut de nation indépendante reste fragile.
Une de ses plus grandes réalisations a été la mise en place d’un régime démocratique qui reconnaît officiellement 26 religions, dont l’islam, connu sous le nom «Hui Jiao, la religion du peuple Hui». Le petit pays occupe le deuxième rang dans le monde dans l’indice de diversité et de tolérance religieuse, après Singapour (Selon un rapport de 2014 du Pew Research Center).
Si la tolérance envers tous les cultes est grande dans ce pays, les jeunes générations sont très fortement imprégnées par les us et coutumes de l’imposant voisin continental. Yang Sharifa, une étudiante de 21 ans, témoigne :
« Grandir à Taïwan, ce n’est pas évident, au sujet de mon identité je sentais toujours une contradiction entre la culture taïwanaise et l’islam ».
Beaucoup de jeunes musulmans déboussolés priorisent à tort la culture chinoise sur leur identité d’origine. Elle poursuit:
« Je pense que les jeunes musulmans taïwanais souffrent de la faible connaissance de leur religion parce qu’ils ne viennent pas à la mosquée pour apprendre, mais aussi parce que l’environnement taïwanais les influence ».
Leur méconnaissance de l’Islam découle aussi d’un manque de connaissance de leur propre histoire ; l’attrait pour la culture chinoise est défini par le travail, la richesse et le statut, un modèle de société matérialiste en contradiction avec les valeurs islamiques.
Désormais, Le renouveau de l’Islam sur l’île est symbolisé par l’émergence des nouveaux convertis taïwanais et l’arrivée d’une nouvelle vague de populations de travailleurs migrants en provenance de pays musulmans.Par exemple, à elles seules , les travailleuses domestiques indonésiennes représentent une population de 200 000 personnes. A tel point que le bahasa est maintenant la troisième langue d’affichage à la Grande Mosquée de Taipei, après le mandarin et l’arabe.
C’est un signe d’espoir pour l’Imam d’origine syrienne, Omar Ayash, qui officie à la Grande Mosquée de Taipei. Selon lui, il est plus facile d’enseigner l’islam à cette nouvelle génération qui n’a pas été exposée aux méthodes traditionnelles du passé. Il précise que :
«L’islam à Taïwan a été mélangé avec le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme » ce qui explique à ses yeux pourquoi cela rend si difficile d’enseigner les rites et le dogme musulman à l’ancienne génération. »
Avec cette récente vague d’immigration, La petite communauté musulmane du pays tente de redéfinir son identité ; un nouveau paysage social et religieux se dessine lentement à Taïwan. Dans un pays majoritairement bouddhiste, l’arrivée de nouvelles et diverses populations musulmanes participe au remodelage de la société taïwanaise moderne.
Masha Allah, un exemple de plus de cette magnifique capacité de l’Islam à s’enraciner dans un pays quel que soit la culture et la tradition d’origine.
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Etats-Unis : « Aujourd’hui, je suis aussi musulman » scandé dans les rues de Times Square.
Environ 1 000 manifestants se sont rassemblés hier à Times Square en signe d’unité contre la politique de Donald Trump.
Un peuple uni.
Les participants au mouvement, issus de diverses ethnies et religions, ont proclamé tout en brandissant des drapeaux américains : « today, I am a Muslim too » (Aujourd’hui, je suis aussi musulman ), pour montrer leur solidarité avec les Musulmans américains : certains portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait voir une femme portant un voile aux couleurs du drapeau américain, d’autres scandaient : « Donald Trump doit partir ».
Contre l’islamophobie.
Des personnalités ont pris part à cet événement, comme Russell Simmons connu dans le monde du hip hop, qui a déclaré : « Nous devons reconnaître qu’il y a un changement dans notre pays. Il y a un changement vers plus de crimes de haine ». « Nos frères et sœurs musulmans ont non seulement été diabolisés, mais ils ont aussi été victimes. »
Un rabin qui a pris la parole a comparé cette chasse au musulman à la traque des juifs par l’Allemagne nazie : « Jamais plus ! » a-t-il scandé, « la communauté musulmane est notre plus grand allié dans la lutte contre le terrorisme ».
Ce rassemblement est une belle preuve de solidarité en faveur de l’égalité et de la tolérance. Elle montre la fracture qui s’est créée entre les Américains, avec d’un coté ceux qui soutiennent leur nouveau président, et de l’autre ceux qui ne reconnaissent plus dans l’Amérique de Trump.
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Des manifestants islamophobes devant la grande mosquée de Toronto pendant le prière du vendredi.
Une quinzaine de personnes ont manifesté devant la grande mosquée de Toronto pendant la grande prière du vendredi.
Vendredi 17 février, une quinzaine de personnes ont manifesté devant la grande mosquée de Toronto. Pendant la grande prière du vendredi, le groupuscule a crié des slogans islamophobes lancés au mégaphone afin de perturber les musulmans. Des témoins ajoutent que les quelques manifestants ont tenté de barrer la route aux fidèles désirant se rendre à l’intérieur du lieu de culte.
« Les fidèles avaient l’air de prendre la situation avec un grain de sel, mais moi, je trouve ce geste haineux et discriminatoire. » selon Tera Goldblatt, témoin de la manifestation, qui témoigne à Radio Canada que « les cris des manifestants étaient si forts » qu’elle « pouvait les entendre de la fenêtre de son bureau au 21e étage d’un gratte-ciel, juste à côté ».
Les manifestants xénophobes brandissaient des pancartes « les musulmans sont des terroristes ».
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« La guerre contre le terrorisme ne doit pas être une guerre contre l’Islam » a affirmé la ministre allemande de la Défense.
Ursula von der Leyen a appelé les Occidentaux, Américains en tête, à ne pas transformer la guerre contre le terrorisme en guerre contre l’Islam.
Lors de la 53e conférence de Munich sur la sécurité, la ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen a appelé les Occidentaux, Américains en tête, à ne pas transformer la guerre contre le terrorisme en guerre contre l’Islam. La ministre fédérale faisait certainement référence au « muslim ban », un décret migratoire controversé du président américain Donald Trump.
« On doit se garder de transformer cela en front (commun) contre l’islam et les musulmans. Sinon, nous encourrons le risque de creuser encore les fossés qui sont le terreau de la violence et du terrorisme », a déclaré Ursula von der Leyen selon l’Obs.
Plus de trente chefs d’État et de gouvernement ont participé à la conférence sur la sécurité de Munich, ainsi que quelque quatre‑vingts ministres des Affaires étrangères et de la Défense venus du monde entier et une délégation nombreuse du Congrès des États‑Unis.
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France : Jean-Marc Ayrault choqué par les propositions de Donald Trump pour la Palestine.
Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires Etrangères, a tenté de rassurer les français face à la nouvelle orientation américaine au Proche Orient. Donald Trump a déjà fait savoir qu’il était favorable a l’installation de l’ambassade US à Jérusalem en guise de reconnaissance de la ville Sainte comme capitale d’Israël. Il a égalé indiqué être favorable à une solution à un Etat.
Deux positions qui tranchent avec la traditionnelle politique américaine au Proche Orient et le maintien d’une solution à deux états malgré la colonisation des terres palestiniennes par les colons israéliens.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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Au Liban, Marine Le Pen répète son soutien à Bachar-al-Assad.
Marine Le Pen s’est rendu au Liban lundi 20 février pour une visite de deux jours. La présidente du Front national, aux côtés du député Gilbert Collard, a rencontré le président Michel Aoun, premier chef d’Etat étranger à la recevoir, et le Premier ministre Saad Hariri.
La lutte contre l’Etat islamique, le conflit syrien et la crise des réfugiés ont figuré parmi les thèmes de discussions. Le Liban, qui compte quatre millions d’habitants, accueille environ un million de réfugiés syriens. « Les Libanais et les Arabes, comme la majorité du monde, considèrent que la France est la patrie des droits de l’Homme et de l’Etat républicain qui ne fait aucune distinction ethnique, religieuse ou de classe entre ses citoyens », a-t-il signifié dans un communiqué suivant sa rencontre avec la candidate de l’extrême droite française.
Saad Hariri a également mis en garde la présidente du FN contre tout « amalgame entre islam et terrorisme ». « Les musulmans sont les premières victimes du terrorisme se réclamant de la religion, alors qu’il n’en a aucune, et que les modérés qui constituent l’écrasante majorité des musulmans dans le monde sont la cible première du terrorisme prétendu musulman car en ils sont en fait le premier rempart contre l’extrémisme », a-t-il indiqué.
A l’issue de l’entretien, Marine Le Pen a répété son soutien à Bachar al-Assad, qu’elle a exprimé auprès de Saad Hariri, hostile au régime syrien qu’il accuse être derrière l’assassinat de son père Rafic Hariri en 2005. « Dans le cadre de la politique du moindre mal, qui est une politique réaliste, il m’apparaissait que Bachar al-Assad était évidemment aujourd’hui une solution bien plus rassurante pour la France que le groupe Etat islamique si celui ci venait à prendre la tête de la Syrie comme il a pris en partie le pouvoir en Libye après la disparition de Mouammar Kadhafi », a-t-elle affirmé.
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Turquie : Moïse caricaturé, le journal satirique Girgir contraint de disparaître.
L’un des quatre derniers journaux satiriques de Turquie a été contraint à la fermeture suite à une polémique déclenchée par une caricature de Moïse. La vignette incriminée présente le prophète guidant les juifs hors d’Egypte tandis que les personnes qui le suivent se plaignent qu’il ne cesse de se vanter d’avoir ouvert la mer Rouge.
Jugé offensant pour les juifs et les musulmans, le dessin a provoqué de nombreuses réactions indignées, et des appels au meurtre ont essaimé sur les réseaux sociaux. Les propriétaires de Girgir ont été assignés par la justice pour blasphème vendredi 17 février. « La décision a été prise de fermer le magazine et de renvoyer tout le personnel à cause d’une caricature de mauvais goût », ont annoncé, dans la foulée, les éditeurs du journal. Ils ajoutent que « la caricature a gêné la société et nous a gênés en tant qu’entreprise de publication ».
Selon le site ActuaBD, Girgir est « le premier grand journal satirique de la période moderne créé en 1972 par l’éditeur Haldun Simavi mêlant esprit underground, érotisme, humour et politique ». Ce Charlie Hebdo version turque « a dû son immense notoriété à sa sourde opposition aux pouvoir militaires en place. Toute la génération des dessinateurs et des éditeurs des grands journaux satiriques actuels sont issus de ce journal fondateur ». Arrêté en 1993, Girgir a été racheté en 2015 par le groupe de presse Sözcü, d’orientation nationaliste, laïc et en opposition au président Recep Tayyip Erdogan.
Avant la décision de fermeture, Girgir s’était excusé, affirmant que la caricature avait échappé à l’attention des relecteurs « du fait de la fatigue et de l’insomnie ». Les propriétaires estiment que la caricature de Moïse est une tentative de « mettre l’entreprise dans une position délicate ». Ils annoncent qu’ils transmettront au procureur les noms des responsables.
Selon Ibrahim Kalin, porte-parole de la présidence, le dessin incriminé « n’a rien à voir avec l’humour et la liberté d’expression, c’est immoral et un crime de haine ». Ivo Molinas, rédacteur en chef de l’hebdomadaire turc juif Shalom, a déclaré que « la caricature a franchi les limites de la liberté d’expression. Les juifs sont exposés tous les jours à la discrimination et aux discours de haine de la part des médias », tout en jugeant cependant que « la disparition de la revue est très triste, ce n’est pas une décision appropriée ».
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Des centaines de Libanais ont signé une pétition pour dire Non à la venue de Marine Le Pen au Liban.
« La fasciste française Marine Le Pen n’est pas la bienvenue au Liban ». La semaine dernière, avant même qu’elle n’ait foulé le sol du pays du cèdre, le vernis de respectabilité de la présidente du FN s’était craquelé de toutes parts à Beyrouth, nombre de Libanais, qui ne s’en laissent pas conter, ayant appelé le président Michel Aoun et le Premier ministre Saad El Hariri à ne pas faire le jeu de l’extrême droite française en recevant sa figure de proue en grande pompe.
Hélas, ce fut en vain. La soif de crédibilité et de reconnaissance à l’échelle internationale de Marine Le Pen aura été ainsi étanchée au Liban, terre de sa première rencontre au sommet avec un chef d’Etat étranger, au grand dam des militants libanais anti-fascistes pour qui cette perspective insupportable équivalait à pactiser avec le diable.
Rien n’y a fait. Le pendant féminin de Donald Trump au pays des Lumières qui n’est pas prêt, grâce à elle, de retrouver son lustre d’antan, piétine en ce moment même, et pour deux jours, le tapis rouge que le président Aoun a bien voulu dérouler sous ses pieds, faisant fi de la pétition protestataire qui a récolté des centaines de signatures, en une petite journée seulement.
A l’heure où l’incendiaire de la concorde nationale s’évertue, hors de l’Hexagone, à parfaire sa stature de femme d’Etat, tout en prenant de la distance avec le scandale des emplois fictifs qui l’éclabousse au sein du Parlement européen et révèle son insondable duplicité, voici un extrait de la pétition trilingue (français/anglais/arabe) qui a fait florès sur le Net, mais a laissé de marbre les allées du pouvoir libanais.
« Nous, les soussignés, opposés à la visite prévue par Marine Le Pen – la Trump française -.. au Liban pour rencontrer le président Aoun et le Premier ministre Hariri. Le Pen est la présidente du parti fasciste, le Front National (FN), en France. Depuis de nombreuses années, le FN a attisé le racisme violent et l’islamophobie, au point d’en faire un axe fort de la politique française auprès du grand public.
Les discours xénophobes, islamophobes et haineux contre les immigrants et les communautés roms sont des aspects clés de la rhétorique et du programme du FN, et sont constamment martelés par Marine Le Pen, à l’approche de l’élection présidentielle en France ».
L’appel vibrant à lui infliger l’affront de ne pas la recevoir s’est, malheureusement, perdu dans un désert d’indifférence. L’imposture Marine Le Pen, l’héritière du parti de papa qui se proclame anti-système à grands cris, alors qu’elle en use et abuse avec un cynisme confondant, n’était certes pas la bienvenue au Liban, et pourtant…
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Chelsea Clinton participe à une manifestation anti-Trump en signe de solidarité avec les musulmans américains.
Un mois après que le magnat new-yorkais de l’immobilier a quitté sa tour dorée de la cinquième Avenue pour sa nouvelle tour d’ivoire de Washington, qui a pris depuis des couleurs, surtout celle de l’or, la protestation anti-Trump ne faiblit pas aux marches du palais, ses nombreux opposants serrant les rangs contre le décret anti-immigration foncièrement anti-musulmans.
Dimanche, à New York, la cité où le 45ème président des Etats-Unis a bâti son empire, amassé les dollars à la pelle et accumulé les casseroles, ils étaient des centaines à manifester contre une islamophobie d’Etat qui ne dit pas son nom, bien que l’ostracisme qui frappe les ressortissants de sept pays musulmans n’abuse personne.
Sous la bannière emblématique de la contestation à l’effigie de Munira Ahmed, un long cortège d’Américains en colère, de toutes origines et confessions, ont fait cause commune avec leurs concitoyens musulmans. Parmi eux, la présence de Chelsea Clinton, la fille d’Hillary, la va-t-en-guerre démocrate battue par le populiste républicain, et de Bill, président dans une vie antérieure, n’est pas passée inaperçue.
La fille unique de l’ancien couple présidentiel et mère de la petite Charlotte, 2 ans, dont c’était là la toute « première participation à un grand rassemblement », comme s’est empressée de le relater sa maman sur Twitter, voulait assurer la communauté musulmane américaine de son soutien, plein et entier.
« Merci à tous ceux qui ont organisé #IAmMuslimToo aujourd’hui – 1er rassemblement de protestation de Charlotte. #NoBanNoWallNoRaids », a-t-elle écrit à l’issue d’un dimanche où une clameur d’indignation est montée à Times Square, des rangs de la manifestation mais aussi de la tribune où se sont succédé des intervenants de premier plan, dont notamment Bill de Blasio, le maire de New York grâce à qui deux jours fériés ont été instaurés pour les écoliers musulmans afin de célébrer dignement l’Aïd al-Fitr et l’Aïd al-Adha, Mogul Russel Simons, l’homme d’affaires évoluant dans le hip hop et ancien ami de Trump, sans oublier l’actrice engagée, Susan Sarandon.
« Nous sommes ici, aujourd’hui, pour montrer à l’Amérique que nos belles et nobles valeurs, nos idéaux et engagements sont dévoyés et que les électeurs ont été trompés », a déclaré Mogul Russel Simons, avant de renchérir avec une pointe d’ironie : « Nous sommes ici, tous unis, à cause de Donald Trump. Nous tenons à le remercier de nous avoir réunis ».
C’est bien là, en effet, le seul tour de force réussi par le nouvel homme fort de Washington depuis le 20 janvier, date de son intronisation : faire descendre dans la rue cette autre Amérique, multiculturelle et fière de l’être, dans un arc-en-ciel de couleurs bien plus éclatant que les dorures clinquantes qu’il affectionne tant…
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Le célèbre scientifique Stephen Hawking demande de l’aide pour les étudiants palestiniens en science.
Ce grand physicien britannique, défenseur des droits des Palestiniens qui a appelé publiquement au boycott d’Israel, souligne la manière dont les étudiants palestiniens sont privés par l’occupant d’accès à des recherches, à des déplacements, à des publications scientifiques. Ceci l’amène à lancer un appel aux dons pour la “Palestinian Advanced Physics School » en Cisjordanie occupée.
Stephen Hawking demande aux 3.744.000 abonnés de sa page Facebook de soutenir la “Palestinian Advanced Physics School”, et plus particulièrement une série de conférences destinées aux étudiants en master en Cisjordanie.
L’enseignement supérieur a toujours été très important pour les familles palestiniennes qui font de nombreux sacrifices pour permettre à leurs enfants d’y accéder, malgré les obstacles mis par l’occupant qui fait tout pour leur rendre les études très difficiles.
Des diplômes supérieurs en physique sont décernés dans quatre universités de Cisjordanie et une université de Gaza. La majorité des étudiants qui poursuivent des études supérieures en physique sont des femmes. Les conditions d’existence de ces étudiants et étudiantes sont cependant très difficiles, notamment en raison des limitations imposées à leurs déplacement, tant à l’intérieur du territoire palestinien qu’à l’étranger par l’occupant israélien, qui vise à les isoler du monde extérieur. C’est vrai également pour les enseignants. Israël, qui s’indigne et hurle à l’antisémitisme quand il est question du boycott de ses institutions scientifiques et universitaires n’a aucune considération pour les libertés académiques des Palestiniens.
Tous les détails sur cet appel aux dons pour financer l’année 2017 des étudiant(e)s palestiniens en master de physique sur :
https://www.fiatphysica.com/campaigns/support-science-in-palestine
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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BDS: Le premier succès du boycott international en Equateur
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Egypte: deux roquettes tirées depuis le Sinaï s’abattent sur la colonie d’Eshkol
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Un journal libanais critique le Fatah malgré la visite d’Abbas prévue à Beyrouth
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Décès du père du député captif Azzam Salhab
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Trois jérusalémites arrêtés dans un bus
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Lieberman veut se débarasser des Palestiniens d’Umm al-Fahm
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Arrestations et raids nocturnes en Cisjordanie occupée
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Ramallah: Un ouvrier palestinien meurt après avoir été renversé par un colon
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27 palestiens de Gaza visitent leurs proches détenus à Eshel
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Deux mineurs arrêtés pour leur implication dans des fusillades
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Jérusalem: l’occupation transforme le village d’Issawia en caserne militaire
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Les colons attaquent les bergers palestiniens dans la Vallée du Jourdain
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Al-Qiq: Je suis détenu dans une tombe
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L’occupation réprime violement la marche de Qalandia
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Qassem: Les commentaires de l’occupation sur l’élection de Sinwar sont une provocation vouée à l’échec
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Le père du détenu politique Amarena appelle à libérer son fils
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com