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Flash info du 25 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les péchés et leurs conséquences.
L’homme a été conçu faible et les péchés font malheureusement partie de son périple sur cette terre. Cependant, Allah lui accorde son pardon s’il fait acte de repentance, car Allah, Exalté soit-Il aime les pénitents.
Dans le cas où il ne se repent pas, l’homme va devoir faire face à nombre de malheurs. Et parmi les fléaux auxquels le pécheur devra face, il y a la disparition des bienfaits et l’apparition des malheurs.
Comme l’a dit ‘Ali ibn Abi Tâlib : « Un malheur ne se produit qu’en raison d’un péché commis, et il ne disparaît que grâce au repentir ».
Allah soubhanou wa ta’ala dit (traductions rapprochées) : « Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont commis. Et Il pardonne beaucoup. » (Sourate Ash-Shûrâ v.30).Retour ligne automatique
Allah Exalté soit-Il va faciliter la voie du pécheur menant à un autre péché, jusqu’au jour où son cœur va s’endurcir telle une pierre sourde à tout conseil et il deviendra insensible aux autres. Et à mesure que ses péchés s’accumulent, le pécheur s’enfoncera dans le marécage de la déchéance. La noirceur de son cœur l’aveuglera au point qu’il n’arrivera plus à cerner le mal du bien.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « Si le croyant vient à commettre un péché, une tâche noire vient se placer sur son cœur. S’il se repent, cesse de désobéir et implore le pardon d’Allah, la tâche disparaît de son cœur. Et s’il persiste dans son péché, elle augmente de volume jusqu’à ce qu’elle couvre totalement son cœur. Et ceci est ce qui couvre le cœur comme Allah exalté l’a mentionné dans Son Livre : “Pas du tout, mais ce qu’ils ont accompli couvre leurs cœurs” » (Sourate 83 ; 14).
[Rapporté par Al-Tirmidhi (3334)].
Mais tout bienfait dont Allah a gratifié son serviteur ne s’altéra pas avant que ce dernier ne change lui-même. S’il se repent et remplace la désobéissance par l’obéissance, l’ingratitude par les remerciements et agit dans le seul but de satisfaire Allah, alors il ses péchés lui seront pardonnés.
« C’est qu’en effet Allah ne modifie pas un bienfait dont Il a gratifié un peuple avant que celui-ci ne change lui-même. Et Allah entend et sait tout . » (Sourate Al-Anfâl v.53).
Allah remplacera le châtiment par la préservation et l’humiliation par l’honneur.
« Et Allah n’est pas injuste envers les serviteurs ». (Sourate Fussilat, v.46).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Palestine : Alcoolisé, le fils de Benjamin Netanyahou révèle des affaires financières entre son père et des milliardaires.
Les avocats du premier ministre israélien, Benjamin Netanayhu, ont tenté d’empêcher la diffusion d’une cassette audio embarrassante dans laquelle le fils de Netanyahu, Yair, a suggéré à son père de faire passer un accord de 20 milliards de dollars au profit d’un magnat du gaz.
L’enregistrement de la conversation, qui a eu lieu en dehors d’un club de strip-tease, est la dernière révélation pour éclairer les relations de la famille Netanyahu avec les riches magnats, qui ont jusqu’ici engendré deux enquêtes de corruption sur les activités du Premier ministre.
Selon la chaîne de télévision israélienne, la bande présente les voix de Yair Netanyahu et Ori Maimon, un fils du magnat du gaz Kobi Maimon. Maimon Sr est actionnaire d’Isramco, propriétaire des gisements de gaz de Tamar.
Selon les rapports, Yair et ses amis, avec son agent de sécurité et son chauffeur fournis par le gouvernement, allaient d’un club de strip à un autre.
Lui et Maimon peuvent apparemment être entendus en train de discuter à propos de 400 shekels (116 dollars) lorsqu’ils quittent le club, Yair aurait dit à son compagnon: “Frère, tu dois me repérer. Mon père a fait une bonne affaire pour ton père, mon frère, il s’est battu, il s’est battu à la Knesset pour ça, mon frère”.
Il continue: “Frère, mon père a maintenant arrangé pour vous un accord de 20 milliards de dollars et vous ne pouvez pas me filer 400 shekels?”
L’enregistrement a apparemment été fait en 2015, à une époque où Israël était au milieu d’une controverse politique sur les gisements de gaz naturel nouvellement découverts et les droits d’y forer.
Ce qui est le plus susceptible de provoquer le tumulte en Israël, c’est la révélation qu’un garde de sécurité de l’Etat et une voiture fournie par le gouvernement ont transporté le fils de Netanyahu et ses amis dans des clubs de strip-tease. La fourniture d’un élément de sécurité pour les enfants de Netanyahu était déjà controversée.
Alors que Yair, maintenant âgé de 26 ans, est réputé pour son comportement grossier, ses remarques – sérieuses ou non – alimentent également un sentiment croissant d’indignation en Israël à propos de la relation chaleureuse entre les Netanyahus et les riches hommes d’affaires.
La divulgation de l’enregistrement intervient à un moment très délicat pour Benjamin Netanyahu alors qu’il attend les recommandations de la police dans deux enquêtes de corruption sur son comportement, dont l’une implique la réception de cadeaux de riches bienfaiteurs.
Cette enquête, connue sous le nom de Case 1000, implique le milliardaire australien James Packer, dont les relations avec Yair Netanyahu ont été mises en lumière.
Les inquiétudes du public face à la lenteur des enquêtes policières ont donné lieu à des manifestations anti-corruption hebdomadaires appelant à la démission de Netanyahou.
L’avocat de la famille Netanyahou, Yossi Cohen, a envoyé lundi une lettre urgente à l’Israel Television News Company pour lui demander de cacher le contenu de l’enregistrement au public.
Angleterre : l’association “Islamic Diversity Centre” rend visite aux personnes âgées en difficulté.
Le mois dernier, l’équipe d’Islamic Diversity Centre à Teesside a tenu son projet mensuel de soins aux personnes âgées en lien avec sa campagne annuelle Keep Them Warm. Ils ont distribué gratuitement des articles de première nécessité pour les personnes âgées, comme des chapeaux, des écharpes, des gants, des couvertures et des chaussettes. Ils ont également distribué des boîtes de soupe et des gâteaux à tout le monde.
Cette visite était spéciale, car le groupe local d’éducation à la maison se joignait à l’association musulmane et interagissait avec les personnes âgées. Une action qui a permis de travailler sur le fossé qui se creuse entre les différentes générations dans la société moderne et d’enseigner aux enfants ce que cela signifie être aux côtés des anciens, sans distinction de race ou de religion.
“L’un des sujets de conversation dont parlaient tout le personnel, les enfants et les bénévoles était le talent de certaines de ces personnes âgées. Un monsieur montrait ses dessins à l’équipe et aux enfants, ce qui a attiré tout le monde.
L’après-midi a été riche en conversations et en rires alors que les bénévoles d’IDC ont fait réfléchir et partager leurs meilleurs souvenirs de 2017 et des visites précédentes”.
Tous les 25 bénévoles qui ont assisté à l’après-midi sont repartis heureux et excités pour les prochaines visites à venir.
Syrie : 24 civils tués dont 10 enfants dans des bombardements contre un quartier rebelle. VIDEO.
Dix enfants faisaient partie des 24 personnes tuées dans des bombardements dans une enclave rebelle près de la capitale syrienne mardi, a indiqué un observateur alors que le chef humanitaire de l’ONU effectuait sa première visite dans le pays.
Des raids ont été perpétrés soit par des avions syriens , soit par des avions russes, dont le plus meurtrier a tué 13 civils dont sept enfants dans le district de Hammuriyeh de la Ghouta orientale, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
Les rebelles ont bombardé deux districts de la capitale en représailles, les médias syriens ayant rapporté que quatre personnes avaient été tuées.
La Ghouta orientale est sous le siège du gouvernement depuis 2013 et ses quelques 400 000 habitants souffrent de graves pénuries de nourriture et de médicaments.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Cher : un homme arrêté en flagrant délit de tags racistes sur une mosquée.
Un homme a été surpris dans la soirée du lundi 8 janvier en train de taguer quatre croix gammées sur le portail d’une mosquée située à Châteauneuf-sur-Cher. Il a été arrêté par des fidèles, qui ont retenu l’homme jusqu’à l’arrivée de la gendarmerie.
L’individu âgé de 40 ans avait, selon le Berry Républicain, « presque deux grammes d’alcool par litre de sang ».
Déclarant un différend avec un des fidèles à propos de leurs enfants respectifs qui serait à l’origine de ces tags, il a exprimé « des regrets » selon Karim Mohamed, substitut du procureur de la République de Bourges.
Après sa en garde à vue, il a été relâché mercredi 10 janvier mais sera jugé le 1er juin pour dégradation d’un édifice affecté à un culte par le tribunal correctionnel de Bourges. Il risque sept ans de prison.

Sur oumma.com, voici les titres, rien de neuf.

Disney dans la tourmente pour avoir noirci la peau des acteurs blancs sur le tournage d’Aladdin.
Puissante industrie à créer les masques de l’illusion, Hollywood n’a pas son pareil pour faire son cinéma, à l’instar des Studios Disney qui ne reculent devant aucun artifice, même grossier, pour rendre crédible leur « Aladdin » revisité.
Confiée au réalisateur Guy Ritchie, la réalisation de ce remake, après avoir fait crépiter les flashes en raison de la présence de la mégastar Will Smith, mué en Génie du célèbre conte des Mille et Une nuits, est aujourd’hui sous les feux de l’actualité brûlante : Disney est en effet accusé d’avoir noirci la peau des acteurs blancs, notamment des figurants et des doublures des rôles principaux, qui sont légion sur le tournage.
Un contraste saisissant pour un film censé mettre à l’honneur l’Orient et des personnages qui en sont issus, ou comment nous faire prendre des vessies pour des lanternes magiques…
Touché par l’accusation de « blackface » qu’il avait pourtant veillé à anticiper, l’Empire Disney a contre-attaqué en assurant avoir lancé un casting pour recruter des artistes originaires du Moyen-Orient, entre 18 et 25 ans, doués pour le chant et la danse, avant de faire profil bas, sous la déferlante de critiques sur le Net, et de reconnaître un subterfuge très hollywoodien.
« La diversité de nos acteurs et de nos figurants était une exigence et nous avons dû maquiller des membres de l’équipe pour quelques rôles qui nécessitaient des compétences particulières, de sécurité et de contrôle », a concédé la direction des Studios, quelque peu gênée aux entournures.
Disney a beau se targuer de présenter à l’écran la « distribution la plus diversifiée jamais réunie pour un film de ses films. Plus de 400 des 500 figurants étaient Indiens, moyen-orientaux, Africains, Méditerranéens et Asiatiques », ses arguments ont le don d’irriter Kaushal Odedra, l’un de ces acteurs de second plan et témoin privilégié du noircissement des peaux claires réalisé en coulisses, lorsque les caméras ne tournent pas.
« J’ai vu une vingtaine d’acteurs à la peau très pâle qui faisaient la queue pour se faire brunir », a-t-il objecté, renchérissant : « Disney est déconnecté de la réalité. Aladdin était une occasion rêvée pour montrer de la diversité, mais aussi pour être précise avec les faits ».
Aussi merveilleuse soit-elle, il faudra faire bien plus que frotter la lampe d’Aladdin pour entretenir l’illusion dans les salles obscures…
La politique de Trump vis-à-vis du monde musulman.
Au programme de l’Esprit d’actu, un entretien avec Mohamed-Ali Adraoui, chercheur à l’Université de Georgetown à Washington, spécialiste de la politique étrangère américaine au Proche et Moyen-Orient. Dans cette interview, il revient notamment sur le renforcement des liens des Etats-Unis avec l’Arabie saoudite, sur l’alliance américano-israélo-saoudienne, et sur la politique intérieure de Trump à l’égard des musulmans.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

L’ORIGINE DE YENNAYER REMONTE AUSSI LOIN QUE PLONGENT LES LÉGENDES LOCALES … : Assegas Ameggaz !
Yennayer est la fête célébrant le passage au nouvel an par les Imazighen. Ce jour correspond au 13 janvier du calendrier grégorien, devenu universel. À l’instar des autres civilisations dans le Monde (Russe, chinoise, irlandaise, arabe, etc.), les Imazighen avaient donc leur propre calendrier bien ancien, basé à la fois sur les changements de saisons et les différents cycles de la végétation qui déterminent les moments cruciaux à l’agriculture,et sur les positionnements des astres comme la lune et le soleil. À l’Arrivée des Romains, un autre calendrier (le calendrier Julien), allait se substituer au calendrier autochtone, qui ne répondait plus aux nouvelles saisons nées des innovations agricoles. Le 13 janvier du calendrier Julien (institué en 45 av. J.-C. par l’Empereur Jules César) correspond donc au 1er janvier du calendrier grégorien actuel (instauré par le pape Grégoire XIII en 1582).
Rallyes internationaux : L’Algérie fortement sollicitée.
La Fédération algérienne des sports mécaniques (FASM) a annoncé mardi à l’APS qu’outre le rallye Dakar, dont les organisateurs ont formulé une demande officielle pour créer une course en Algérie, Allemands et Italiens sont intéressés par la tenue d’évènements similaires dans le désert algérien dès l’année en cours. « Nous avons reçu plusieurs demandes dans ce sens. Les différents dossiers sont en cours d’étude par la fédération, en attendant d’être transmis à qui de droit », a indiqué le président de l’instance, Chihab Baloul en marge d’une conférence de presse au stade du 5- Juillet (Alger). « Un pays vaste comme le nôtre devrait pouvoir organiser au moins dix rallyes par an », a ajouté Baloul quant à la capacité de l’Algérie à satisfaire cette « demande grandissante » des étrangers pour l’organisation d’évènements sportifs majeurs dans son Sahara.
Demande de restitution des crânes des résistants algériens : Mise en place d’une commission technique.
Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a annoncé ce mardi à Alger qu’une commission technique chargée de la procédure de restitution des crânes des résistants algériens, conservés depuis près de 2 siècles au musée de l’Homme de Paris, et de leur inhumation en Algérie, était à pied d’oeuvre, ajoutant qu’elle a entamé son travail après la présentation par l’Algérie d’une demande officielle à la France concernant ce dossier. Lors de la cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours 1er Novembre 1954 (édition 2017), organisée sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et en présence du ministre de la Communication, Djamel Kaaouane et du ministre des Affaires religieuses et des waqfs, Mohamed Aissa, M. Zitouni a déclaré à la presse que « concernant le dossier de restitution des crânes des résistants algériens, il s’agit maintenant d’aspects purement techniques après la demande officielle que nous avons soumis à la France ».
Temmar à propos des inscriptions de LPA : » L’opération se fera au niveau des communes «.
Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a annoncé avant-hier à Alger que les inscriptions à la formule logement promotionnel aidé (LPA) se feront au niveau des communes. Le même responsable a indiqué lors d’une réunion avec la Commission finances et budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée au débat autour du projet de règlement budgétaire de 2015 » les inscriptions à la formule LPA se feront au niveau local, en outre le président de l’Assemblée populaire communale étant le plus mieux placé pour connaitre la situation de ses administrés « . Ajoutant » cette formule focalise sur l’organisation de l’aspect financier afin de préserver les ressources financières à travers le flux des fonds par la Caisse nationale du logement (CNL) pour assurer la poursuite des opérations de réalisation « . De ce sens, il a souligné que cette formule est le résultat d’une révision de plusieurs programmes « éparpillés » depuis des années, qui ont été , recyclés et regroupés en un programme comprenant 70.000 unités.
LA CÉLÉBRATION DE YENNAYER : SYMBOLE DE RICHESSE ET DE FERTILITÉ.
Pour les Imazighen, Yennayer est d’abord une porte qui s’ouvre sur le nouvel an et appelée ‘tabburt useggwass’ (la porte de l’année). Sa célébration s’explique par l’importance accordée aux rites et aux superstitions de l’époque dont certaines subsistent encore de nos jours. La période en question attire particulièrement l’attention car la saison correspond à l’approche de la rupture des provisions gardées pour l’hiver. Il convient donc de renouveler ses forces spirituelles en faisant appel aux rites. À cette époque de l’année, le rite doit symboliser la richesse. Ainsi, pour que la nouvelle année entamée soit plus fructifiant et la terre plus fertile, il convient de se purifier et de nettoyer les lieux. On obéit également aux lois rituelles telles que le sacrifice d’un animal (Asfel) sur le seuil de l’année, comme on le fait encore de nos jours sur les fondations d’une nouvelle bâtisse. Le rituel asfel symbolise l’expulsion des forces et des esprits maléfiques pour faire place aux esprits bénéfiques qui vont nous soutenir l’année durant. Le repas de Yennayer est conditionné par les récoltes selon les régions mais aussi par les moyens des uns et des autres. Les aliments servis vont symboliser la richesse, la fertilité ou l’abondance. Il est ainsi des irecman (bouillie de blé et de fèves) ou le coeur du palmier chez les beni-Hawa : pas question de rater le repas de bénédiction qu’est celui de Yennayer. Le bon présage de Yennayer fait aussi que l’on lui associe d’autres évènements familiaux comme la première coupe de cheveux du dernier né ou le mariage. Récemment encore, on disposait à l’extérieur ou sur le toit des ustensiles pleins de sel dont le nombre symbolise les mois de l’année, les filles s’amusent à marier leurs poupées, on envoie les enfants aux champs afin de cueillir eux-même fruits et légumes. Yennayer… son origine remonte aussi loin que plongent les légendes locales et prend naissance quelques mille ans avant que les chrétiens ne commencent à fixer leur saison sur le parchemin… Mais même si quelque part on est conscient de la dimension historique de l’événement, c’est le côté festif du moment qui prend le pas. Les marchés des fruits et légumes ont, en un clin d’oeil, subi une mutation qui frappe le regard et transporte de joie les enfants … qui pour une fois, ne rechignent pas à porter le couffin aux côtés de papa ou de maman.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

« Jewish Voice for Peace est la seule organisation juive dont les membres sont interdits d’entrée en Israël ».
L’Etat d’Israël a publié une liste noire sur laquelle sont inscrits le mouvement BDS et des organisations antisionistes, y compris des associations juives et d’autres qui ont combattu les nazis pendant la Seconde guerre mondiale. Est-ce là un nouvel enfoncement d’israël ou bien n’êtes-vous pas surprise, Estee Chandler ?
Estee Chandler : Cette « liste noire » vise spécifiquement les organisations actives dans les actions non violentes de boycott et les campagnes de désinvestissement. Je crois que Jewish Voice for Peace est la seule organisation juive dont les membres sont interdits d’entrée en Israël, ce qui inclurait des gens comme moi, ayant des membres de leur famille qui vivent en Israël. Le refus d’entrer en Israël pour ceux dont les points de vue ne plaisent pas aux autorités locales n’est pas nouvelle, cela a souvent permis de discriminer de façon flagrante les Arabes et les musulmans qui tentaient de rendre visite à leurs familles et amis en Palestine et en Israël pendant de nombreuses années. La seule chose nouvelle est qu’Israël reconnaît ainsi publiquement sa politique discriminatoire.
N’est-ce pas inquiétant qu’un pays qui affirme être la seule démocratie au Moyen-Orient établisse une « liste noire » comme celle-ci ?
Je pense qu’internet et la démocratisation de l’information ont depuis longtemps levé le rideau sur la prétention d’Israël à être une démocratie. Les Palestiniens représentent environ 20 % de la population d’Israël, mais leurs droits sont limités en raison de dizaines de lois qui accordent des privilèges spéciaux uniquement aux juifs.
« Cette liste est une tentative d’intimidation ».
Comment des organisations comme Jewish Voices For Peace ont-elles réagi lorsqu’elles ont appris leur présence sur la liste ?
Plusieurs membres de Jewish Voice for Peace ont été empêchés de monter à bord de leur vol à destination de Tel-Aviv, au départ de Washington DC l’été dernier. Nous n’imaginons donc pas autre chose que d’être sur cette liste.
Jewish Voice for Peace a commencé à s’engager dans des actions de boycott partiel en 2005. Notre directrice exécutive, Rebecca Vilkomerson, a été interviewée par le New York Times et a estimé que la liste noire était faite pour intimider. Les partisans du mouvement hors d’Israël seront affectés, mais les victimes qui seront les plus touchées pourraient être des Palestiniens vivant en Israël avec des permis temporaires, y compris des conjoints d’Israéliens qui sont citoyens ou qui ont une résidence permanente. Selon la loi, les citoyens et les résidents permanents ne peuvent pas perdre leur statut pour avoir soutenu le mouvement, mais ceux qui ont un permis de séjour temporaire peuvent voir leur permis révoqué.
Y a-t-il des actions planifiées pour dénoncer cette liste ?
Avec nos membres, nous allons déterminer le meilleur plan d’action d’action possible, nous sommes une organisation réfléchie qui ne réagit pas de façon intempestive.
Comment expliquez-vous un tel silence de la part des principaux médias sur ce sujet ?
Le silence semble être normal, notamment dans les grands médias américains, qui sont toujours réticents à critiquer Israël ou à rendre compte des violations des droits humains et civils des Palestiniens. Je suis heureuse que nous ne dépendons plus de ces médias pour rendre compte de ce qui se passe en Palestine et en Israël ou dans d’autres parties du monde où l’Amérique a des intérêts militaires.
« Il est faux de prétendre que l’antisionisme est synonyme d’antisémitisme ».
Le président français Emmanuel Macron, ainsi que son Premier ministre, ont répété que l’antisionisme était une nouvelle forme d’antisémitisme, quelle est votre réponse à cela ?
Je suis toujours surprise quand des chefs d’Etat disent des choses aussi absurdes, probablement à la demande des responsables israéliens ou des organisations juives desquelles ils souhaitent obtenir des faveurs. Le sionisme était le mouvement politique de création d’un état juif par les juifs et pour les juifs, et les dirigeants de ce mouvement ont choisi de le faire en Palestine, qui était majoritairement musulmane avec une grande minorité chrétienne et une plus petite minorité juive. L’antisémitisme est une forme de discrimination et de haine envers les personnes uniquement parce qu’elles sont juives. Tous les juifs ne sont pas des sionistes. En réalité, beaucoup d’entre nous ne le sommes pas, et beaucoup d’entre nous sommes opposés à la politique de l’Etat d’Israël.
Quand vous voyez le soutien grandissant envers Ahed Tamimi, des artistes comme Lorde répondant aux appels au boycott ou d’autres comme Vic Mensa qui établissent clairement un parallèle entre la lutte palestinienne et le mouvement Black Lives Matter, quelle est votre réaction ?
Je suis heureuse de voir différents mouvements avec des luttes communes s’unir pour se soutenir mutuellement. Tous les systèmes d’oppression sont connectés.
« Nous voulons plus de solidarité ».
Vous avez fait partie d’une opération de rapprochement entre activistes français britanniques et américains l’été dernier à South Central à Los Angeles, quelle est votre approche en terme de connections entre les rives de l’Atlantique ?
C’était une conférence fantastique et informative et je me sens honorée d’y avoir été invitée. Je suis très heureuse d’avoir noué de nouvelles relations merveilleuses avec des organisateurs étrangers et j’ai hâte de collaborer avec certains d’entre eux cette année. J’aimerais que cela devienne un événement annuel dans un pays différent. Je réfléchis encore et raconte des choses que j’ai apprises là-bas avec d’autres organisateurs avec qui je travaille ici à Los Angeles.
#LeCombatContinue…
Palestine : Bombardements de Gaza : représailles américaines contre l’ONU après la saisie de la CPI.
Alors que la Cour Pénale Internationale envisage d’enquêter sur Israël pour des crimes de guerre commis lors des bombardements massifs de Gaza en 2014, qui ont tué plus de 2 100 Palestiniens, dont plus de 500 enfants, mais également sur l’expansion de ses colonies, l’Etat hébreu a décidé de contre-attaquer. Ce mardi déjà, le ministre de la Défense a annoncé qu’Israël approuverait la construction de centaines de nouvelles habitations en Cisjordanie.
Mais Israël n’est pas le seul pays à en vouloir à la communauté internationale pour cette prochaine enquête. La Suède vient en effet de critiquer l’administration Trump, qui aurait menacé d’amputer son aide annuelle à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) de plusieurs centaines de millions de dollars.
Selon Truthout, le législateur palestinien Hanan Ashrawi compare la menace du président Trump de couper son aide à du chantage. Norman Finkelstein, auteur d’une enquête sur Gaza et fils de rescapés de l’Holocauste, assure que « les droits des Palestiniens ne sont pas à vendre, et nous ne céderons pas au chantage. » L’écrivain assure par ailleurs que Donald Trump « a détruit » les prémices d’une éventuelle paix au Proche-Orient et « saboté les efforts pour parvenir à une paix juste et obtenir la liberté et la dignité du peuple palestinien. »
« En reconnaissant Jérusalem occupée comme la capitale d’Israël, il s’est non seulement disqualifié en tant que médiateur ou négociateur de paix mais devient également complice de l’occupation israélienne », indique Norman Finkelstein.
Aujourd’hui, selon le Comité international de la Croix-Rouge, sept personnes sur dix à Gaza vivent de l’aide humanitaire. La menace de Donald Trump de couper les vivres à l’UNRWA pourrait donc être catastrophique, dans une région où le taux de chômage culmine à 44 % et où les coupures d’électricité peuvent atteindre 20 heures par jour.
Le financement américain de l’UNRWA représente entre 25 et 30 % du financement global de l’institution, soit 300 millions de dollars par an. La fin de l’aide américaine serait notamment préjudiciable pour une majorité d’enfants. Mais cette menace pourrait également montrer que, finalement, l’aide de l’ONU est minime comparée au manque d’efforts financiers que pourraient faire, par exemple, les pays du Golfe. « Le prince héritier d’Arabie Saoudite a payé 500 millions de dollars pour un yacht. Cela aurait couvert toutes les aides américaines de l’UNRWA pendant plus d’un an », déplore Norman Finkelstein.
Tri des réfugiés : les associations défient Gérard Collomb.
La circulaire de Gérard Collomb datant du mois dernier et organisant le recensement des migrants dans les centres d’hébergement d’urgence est-elle illégale ? Le Conseil d’Etat devra en juger. Le document signé par le ministre de l’Intérieur le 12 décembre dernier prévoit l’envoi de 120 fonctionnaires qui se rendront dans les hôtels et les centres d’urgence pour vérifier la situation des migrants, conseiller ces derniers et les orienter.
Une circulaire largement contestée par les associations, dont vingt-sept qui se sont réunies pour déposer, ce jeudi, une requête demandant l’annulation du document, dans sa totalité ou au moins en partie. Un peu plus tôt, c’est l’Eglise catholique qui a montré sa désapprobation quant à la politique du gouvernement vis-à-vis des migrants en demandant la « sanctuarisation » des centres d’hébergement, mais également des écoles, des hôpitaux et des lieux de cultes.
Mais que prévoit la circulaire du 12 décembre 2016 ? Dans le document, Gérard Collomb demande aux préfets de « bâtir localement un dispositif de suivi administratif robuste des personnes étrangères en hébergement d’urgence » et compte, pour ce faire, créer des « équipes mobiles chargées de l’évaluation administrative des personnes hébergées. »
Officiellement, le ministre de l’Intérieur dit vouloir offrir aux migrants un dispositif d’intégration. Officieusement, il s’agit selon les associations protestataires d’« un véritable tri selon la nationalité ou le statut administratif des personnes » et de « mettre en concurrence les situations de pauvreté et de misère sur le fondement de critères discriminatoires. »
Parmi les associations qui ont déposé ce recours, on retrouve notamment la Fondation Abbé-Pierre, ou encore Médecins sans frontières, Droit au logement ou encore France terre d’asile. Ce collectif a choisi le Conseil d’Etat, le recours le plus rapide pour contrer ce texte qui, selon lui, « autorise, sans base légale, des équipes relevant du ministère de l’intérieur à pénétrer dans des centres d’hébergement protégés pour y réaliser des contrôles » et contrait les centres d’hébergement de participer « à cette collecte illégale. »
L’avocat des associations est confiant : « Le Conseil d’Etat devrait soit suspendre la circulaire, soit la réinterpréter en rappelant que l’Office français de l’immigration et de l’intégration n’est pas autorisé à faire remonter l’information », indique-t-il. Dans les deux cas, la circulaire deviendra inoffensive. Si le Conseil d’Etat tranche en la faveur des associations, ce sera en tout cas un camouflet pour le ministère de l’Intérieur.
Mort de Rémi Fraisse : « Un permis de tuer aux forces de l’ordre ».
C’était 2014, sur le site du barrage de Sivens. Touché par l’explosion d’une grenade offensive qui venait d’être tirée par un gendarme mobile, Rémi Fraisse trouvait la mort. Le militant écologiste protestait alors contre l’accueil d’engins de chantier. Un gendarme mobile avait voulu, dit-il, « provoquer le recul du groupe de manifestants se trouvant face à lui » et avait alors tué le jeune militant de 21 ans.
L’enquête sur la mort du militant écologiste a duré trois ans. En juin dernier, le parquet avait requis un non-lieu. Ce lundi, les juges d’instruction de Toulouse ont eux aussi ordonné un non-lieu. Des juges qui, selon la famille de Rémi Fraisse citée par Le Monde, « ne veulent pas traiter ce dossier avec justice. » Comme l’Etat.
En effet, aucune mise en examen n’a été décidée depuis le début de l’enquête. Et la décision des juges d’instruction n’est donc pas une surprise. Les avocats de la famille de Rémi Fraisse — qui vont faire appel — affirment dans un communiqué qu’ordonner un non-lieu « revient à donner un permis de tuer aux forces de l’ordre. »
Le Monde indique que les juges ont considéré que les gendarmes pouvaient utiliser la force, notamment parce que, écrit le quotidien, « les gendarmes étaient la cible de projectiles divers (…) de la part d’un nombre croissant d’opposants. » Le gendarme « n’avait d’autre solution que de lancer une grenade » assurent les juges.
Si pour ces derniers, le gendarme n’avait pas d’« autre solution » que de lancer une grenade, il reste de nombreuses zones d’ombre dans l’enquête : un an auparavant, le Défenseur des droits, Jacques Toubon, dénonçait un « manque de clarté des instructions données aux militaires », mais également « l’absence de toute autorité civile au moment du drame, malgré le caractère à la fois sensible, dangereux et prévisible de la situation. »
Alors que plus de quarante grenades offensives avaient été tirées, le préfet du Tarn au moment des faits, Thierry Gentilhomme, n’avait pas pris la mesure de la contestation, assure la famille de Rémi Fraisse. La présence du préfet « n’était pas une obligation légale ou réglementaire », assurent les juges, qui ont donc dégagé les politiques et les gendarmes de leurs responsabilités.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Le gouvernement israélien finance du journalisme anti-BDS.
Le ministère israélien chargé de combattre le mouvement BDS dépense des millions de shekels pour de la propagande qui apparaît comme de l’information dans les médias les plus en vue.
Le gouvernement israélien a versé au groupe Yedioth qui publie le quotidien le plus vendu en Israël, des centaines de milliers de shekels pour publier des articles et des interviews censés influencer les lecteurs pour qu’ils soutiennent une campagne qu’Israël mène contre les critiques qui lui sont adressées. Le Ministère des Affaires stratégiques dirigé par le ministre Gilad Erdan, a payé pour avoir une couverture de presse positive et la diffusion de ce contenu sur internet.
Selon l’information fournie au « Septième Œil » (Seventh Eye) et à « Hatzlacha », sur la base d’une demande au nom de la liberté de l’information, le groupe Yedioth Ahronot a reçu 350 000 NIS (84 000 €) pour publier des articles de journaux qui ont alors été diffusés par des organisations membres du « Réseau Pro-Israël » en Israël et dans le monde. Les articles, selon l’information fournie, étaient conçus pour motiver ou recruter des Israéliens dans la lutte.
Les articles financés ont été publiés depuis juin 2017 dans la rubrique de l’actualité du magazine du weekend de Yedioth Ahronot et sur son site Ynet. Comme d’autres campagnes qui ont comporté des achats d’articles à ce journal, celle-ci a aussi inclus des promotions dans l’édition du weekend très largement diffusée.
À côté des articles payés, Ynet a aussi publié des vidéos promotionnelles produites par le ministère des affaires stratégiques, de même que trois interviews d’un haut placé du ministère, Tzahi Gabrieli. Deux des interviews payés ont été conduites par le correspondant politique senior de Ynet, Attila Somfalvi, qui a posé des questions de balle mole lui permettant de proposer ses sujets de discussion.
En plus de l’interview de Gabrieli, Yedioth a aussi interviewé une série d’organisations juives qui n’ont pas de liens directs avec l’État. Le rôle de ces organisations dans les efforts du gouvernement contre la délégitimation et leurs liens avec le gouvernement ne sont pas clairs.
Deux de ces organisations, le « Congrès Juif Mondial » et « Stand With Us » (Soyez avec nous) ont été des sponsors de la conférence anti-BDS de Yedioth l’an dernier, à laquelle ont pris part des personnalités politiques et des représentants du ministère des affaires stratégiques. «Au cours de l’année dernière » a écrit le journaliste Reuven Weiss dans l’un des articles payés, « la principale base opérationnelle du mouvement de boycott dans sa tentative de délégitimer Israël s’est portée sur les réseaux sociaux et de nouveaux outils sont nécessaires ».
Le but d’au moins quelques uns de ces articles sponsorisés par l’État était de recruter le public pour aider certaines des organisations de la société civile à diffuser le message du gouvernement sur internet et à combattre les contenus peu flatteurs. En d’autres termes, faire exécuter la stratégie du ministère des affaires stratégiques par le public.
« En avez-vous assez d’entendre les mensonges sur Israël se répandre dans les médias internationaux et sur les réseaux sociaux ? » peut-on lire dans encadré d’un des articles en hébreu sponsorisés par l’État. Les lecteurs ont été encouragés à cliquer sur Google le nom de la campagne « 4il », à aller sur le site et à commencer à partager des « vidéos, des caricatures et des articles exposant les mensonges de BDS ». De plus, Yedioth a suggéré aux lecteurs de télécharger une application appelée Act.il, qui leur permet de prendre part à des « missions quotidiennes » pour faire avancer des messages pro-Israël sur les réseaux sociaux.
Ainsi qu’il est devenu coutumier chez Yedioth Ahronoth ces dernières années, les lecteurs sont simplement informés que l’article qu’ils lisent a été publié « en coopération avec » un ministère du gouvernement israélien, sans expliquer que « en coopération avec » signifie en réalité « payé par ». Au cours des derniers mois, la liste des articles mettant en avant cette dénonciation s’est développée jusqu’à inclure des articles écrits par le correspondant diplomatique du service des actualités, Itamar Eichner.
Le relation entre le ministère des affaires stratégiques et Yedioth Ahronoth n’est qu’une partie d’une campagne bien plus large et bien financée : en juin et juillet 2017, le ministère a consacré près de 7 millions de NIS (1,7 millions €) à la diffusion de son message au public en Israël et à l’étranger. C’est une campagne plus importante que toutes celles mentionnées dans The Seventh Eye ces dernières années. La deuxième campagne de ce type précédemment documentée était à hauteur de 11 millions de NIS (2,7 millions €) et ce sur plus d’une année.
En complément du contenu journalistique que le ministère des affaires stratégiques a acheté dans Yedioth, il a aussi consacré plus d’un demi million de shekels (120 000 €) à placer des contenus sur la chaîne d’information télévisée la mieux notée, Channel 2 et sur son site, Mako. Et en plus des articles en hébreu, le ministère a aussi acheté du contenu journalistique visant une audience plus mondiale, intégrant celle-ci dans le combat contre la délégitimation.
Les articles sponsorisés par l’État visant un public international ont été publiés dans le Jerusalem Post, qui a reçu 120 000 NIS (28 800 €), dans le Times of Israel, qui a reçu 95 000 NIS (22 800 €) et dans le Groupe J Media, un groupe d’édition américain qui a reçu 115 000 NIS (27 600 €). Le Groupe Media J, qui gère une station de télévision appelée ILTV a aussi reçu de l’argent du ministère des affaires stratégiques, de même que le journal en hébreu Makor Rishon (. Le ministère a refusé de publier des données sur ses relations avec le journal de Sheldon Adelson, Israel Hayom (Israël Aujourd’hui).Des militants BDS israéliens participent à une manifestation anti-corruption, square Habima à Tel Aviv, le 9 décembre 2017 (Hagar Shezaf).
Selon les données publiées, la plus forte dépense du ministère des affaires stratégiques pour cette campagne – plus de 2,6 millions de NIS (614 000 €) – a été budgétée pour promouvoir ces contenus sur les réseaux sociaux et moteurs de recherche, dont Google, Twitter, Facebook et Instagram. Une autre grosse somme, autour de 2 millions de NIS (480 300 €) a été budgétée pour la construction du site Act.il et pour l’alimenter en contenu. Un autre montant d’à peu près 490 000 NIS (117 700 €) a été budgété pour la « stratégie », la « créativité » et la « labellisation ».
Les fonds que le gouvernement utilise pour acheter des articles de journaux sponsorisés par l’État viennent du public, et donc la plupart des ministères du gouvernement ont accepté de publier de l’information sur ce type de relations. Il sera bientôt beaucoup plus difficile d’obtenir de l’information sur l’achat d’articles de journaux par le ministère des affaires stratégiques. Ces derniers mois, le ministère a préparé une législation qui l’exempterait du respect de la loi israélienne sur la liberté de l’information. Selon le brouillon de cette législation, « mener cette bataille avec succès implique de la maintenir autant que possible dans l’ambiguïté ».
Le ministère des affaires stratégiques a prétendu que la loi ne s’appliquerait pas aux types de relations comme celle qu’il entretient avec le Groupe Yedioth Ahronot, mais le texte même de la loi qui a déjà été voté en première lecture pendant l’été et attend maintenant le deuxième et dernier vote, est écrit de manière à s’appliquer à toutes les activités du ministère. En réponse à d’anciennes requêtes sur la liberté de l’information par The Seventh Eye et Hatzlacha, le ministère a prétendu que certains des documents réclamés étaient « classifiés ». Il a expurgé d’autres documents en avançant qu’ils étaient susceptibles de nuire aux relations extérieures d’Israël et même à la sécurité d’État.
Attila Somfalvi s’est soustrait à toutes les demandes d’interviews. Ron Yaron, le directeur de publication de Yedioth Ahronoth, a envoyé la réponse suivante:
« Nous sommes fiers de la couverture large et exhaustive que Yedioth Ahronoth a assurée contre le boycott d’Israël. Lorsque, dans ce cadre, une coopération s’est effectuée avec des représentants du (gouvernement) ou d’institutions dans les articles qui ont été publiés, cela a été largement divulgué, comme cela se produit dans d’autres médias quand ils coopèrent avec différentes instances ».
Parution originale en hébreu sur The Seventh Eye.
Traduction SF pour l’Agence Media Palestine.
Source: +972.
Comment Israël espère faire disparaître les réfugiés palestiniens.
Israël a confirmé que son but est de détruire l’UNRWA, l’agence de l’ONU qui fournit des services de base en santé, éducation et autres services humanitaires à plus de cinq millions de réfugiés palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza occupées, en Jordanie, au Liban et en Syrie.
Cette nouvelle arrive quelques jours après que l’administration Trump a laissé entendre qu’elle prévoyait de couper ses financements à l’agence, à titre de représailles contre les objections de l’Autorité Palestinienne à la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël.
Les États-Unis sont le plus gros contributeur à l’UNRWA et une coupe dans les crédits pourrait avoir des conséquences humanitaires désastreuses. Rien qu’à Gaza, un million de Palestiniens – la moitié de sa population – dépendent des rations d’urgence de l’UNRWA, un nombre, qui est monté en flèche, d’à peine 80 000 en 2000, après des années de siège et d’attaques militaires d’Israël.
Mais, pour Israël, l’UNRWA fait partie d’un problème à éliminer : l’existence d’institutions et d’agences internationales qui apportent un soutien aux Palestiniens et à leurs droits.
L’UNRWA “doit disparaître du monde”.
Israël cible l’agence depuis longtemps, au sens propre et politiquement : lors de ses attaques sur Gaza, Israël a bombardé de façon répétée des écoles et des services de l’UNRWA, tuant des dizaines de personnes.
« L’UNRWA est une organisation qui perpétue le problème des réfugiés palestiniens. Elle perpétue aussi la narration du droit au retour, pour ainsi dire, de manière à éliminer l’État d’Israël ; donc, l’UNRWA doit disparaître du monde » a dit Benjamin Netanyahou dimanche au début de la réunion hebdomadaire de son cabinet.
Le premier ministre israélien a exhorté à ce que les fonds de soutien de l’UNRWA soient progressivement transférés au HCR, le Haut Commissariat de l’ONU pour les Réfugiés. « Voilà comment débarrasser le monde de l’UNRWA et traiter de vrais problèmes de réfugiés, pour autant qu’il en demeure », a ajouté Netanyahou, appelant la plupart des réfugiés palestiniens « des réfugiés fictifs ».
Netanyahou marche sur le sentier battu par l’extrême droite israélienne selon laquelle les réfugiés palestiniens n’existent que parce qu’une agence spéciale, l’UNRWA, a été créée pour s’occuper d’eux et non parce qu’Israël nie leur droit internationalement reconnu au retour chez eux.
Israël refuse le droit au retour aux Palestiniens uniquement parce qu’ils ne sont pas juifs et donc il les voit comme une « menace démographique » à la poursuite de son existence come État suprématiste juif qui refuse l’égalité des droits à tous ses résidents.
Des médias d’extrême droite anti-Palestiniens en Israël et aux États-Unis ont rapidement fait écho au message de Netanyahou, donnant une nouvelle vie à une campagne de dénigrement de l’UNRWA qui dure depuis des années.
Un mandat pour le retour.
Ironiquement, la proposition de Netanyahou de dissoudre l’UNRWA et de passer le mandat de prise en charge des réfugiés palestiniens au HCR pourrait de fait renforcer le droit au retour.
Le HCR a un mandat spécifique qui ne consiste pas seulement à protéger les réfugiés tant qu’ils sont réfugiés mais à agir pour faciliter l’exercice de leur droit au retour dans leurs pays.
À contrario, l’UNRWA n’a pas de mandat de rapatriement des réfugiés palestiniens dans les maisons dont les Israéliens les ont chassés mais, seulement d’un soulagement à leur apporter jusqu’à ce qu’une « solution » politique soit trouvée.
« Ce qui perpétue la crise des réfugiés, c’est la faillite des parties à traiter le problème » a dit le porte-parole de l’UNRWA, Chris Gunness, à Electronic Intifada en réaction aux commentaires de Netanyahou. « Ce problème doit être résolu par les parties du conflit dans le cadre de pourparlers de paix basés sur les résolutions de l’ONU et sur le droit international ; et cela requiert l’engagement actif de la communauté internationale ».
Jusque-là, a expliqué Gunness, « l’UNRWA est mandatée par l’Assemblée Générale pour poursuivre son service jusqu’à ce qu’une solution juste et durable soit trouvée pour les réfugiés palestiniens ».
Des coupes déjà effectuées?
La semaine dernière, le président Donald Trump et son ambassadrice à l’ONU, Nikki Haley, ont menacé de couper l’aide américaine aux Palestiniens, mais la déclaration ne disait pas clairement si cela incluait l’UNRWA ou seulement l’Autorité Palestinienne.
Un article dans la presse de vendredi avançait que les États-Unis avaient déjà retiré un versement de 125 millions de dollars (105 millions d’euros) à l’UNRWA prévu ce mois-ci.
Gunness a précisé que l’UNRWA a vu ces articles mais que « de toute façon, l’organisation n’avait pas été informée directement d’une décision formelle par l’administration américaine ».
Il semblerait néanmoins qu’Israël cherche à user de la latitude que lui donne l’administration Trump pour frapper ce qu’il espère être un coup décisif, pour mettre fin au soutien international des Palestiniens.
Traduction SF pour l’Agence Media Palestine.
Source: Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Appels pour mettre fin à la négligence médicale contre les prisonniers
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Le directeur du Centre d’études des prisonniers, Raafat Hamdouna a appelé les organisations des droits de l’homme et la Croix-Rouge, à l’importance de mettre la pression sur l’occupation israélienne pour voir les conditions des prisonniers palestiniens malades dans ses prisons, en particulier ceux qui ont besoin d’opérations chirurgicales rapide..
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Le Conseil norvégien: la réduction du financement américain pour l’UNRWA conduira à une catastrophe
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Lieberman impose des restrictions à la famille Tamimi
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Abou Zouhri: Nous refusons les scénarios américains pour résoudre la question palestinienne
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Euro-Med : Israël intensifie ses politiques racistes depuis l’annonce de Trump
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Des centaines de logements coloniaux prévus en Cisjordanie
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Un colon israélien agresse la famille d’une prisonnière libérée
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79 colons envahissent les cours d’al-Aqsa
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Activités de protestation contre l’UNRWA à Naplouse
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent deux jeunes Palestiniens au sud de Jénine
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Abou Marzouk: La réconciliation est menacée et le Hamas n’est plus un obstacle
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Députée française: Barghouti n’est pas un terroriste mais un prisonnier politique
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L’UE rassemble les pays donateurs pour l’AP à Bruxelles
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Hebron : Jet de pierres sur un bus transportant des colons
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Raids et arrestations dans diverses régions de la Cisjordanie et de Jérusalem occupées
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Jérusalem : 132 maisons et établissements palestiniens démolis par l’occupation en 2017
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 25 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Le statut de l’enfant adultérin en Islam.
En Islam, l’enfant conçu hors mariage est considéré comme né de l’adultère ou d’un rapport illégal. Le Coran et les hadiths ont relaté le cas de ces enfants nés dans de telles conditions, ils sont privés de certains privilèges sociaux sans toutefois voir leur dignité ou leurs droits à l’instruction et à l’éducation bafoués.
Relation illicite veut dire tout contact sexuel entre un homme et une femme en dehors du cadre du mariage islamique, à savoir la zinâ, qui signifie en français la fornication ou l’adultère. Allah a interdit dans plusieurs versets d’approcher la zinâ.
Le nouveau-né issu d’une de ce type de relation est attribué à sa mère célibataire et non à son père et si la femme a commis la zinâ étant mariée, alors l’enfant est attribué à son mari. Les savants se basent sur le récit du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) : « Le garçon au lit et au salace les pierres ». [rapporté par Al Boukhari (2053) et Muslim (1457)].
L’imam an-Nawawî dit de ce hadith dans son commentaire, que le « fornicateur » n’a aucun droit sur l’enfant, sauf dans le cas d’un mariage authentique ou touché de vice, ou comme un mariage suspect ou avec une servante.
Si l’homme avait une épouse ou une esclave qui a couché avec lui et a accouché d’un enfant lors de la période de probabilité (6 mois), l’enfant appartient à l’homme et a le droit à l’héritage et d’autres dispositions de la naissance, qu’il lui ressemble ou non, et la période de possibilité qu’il soit le sien est de six mois depuis leur union. [Fatâwa Al-Lajnah Ad-Dâ-ima lil-Bouhouth Al-’Ilmiyyah wal-Iftâ, 20/395-396].
Par contre, l’enfant est privé de l’héritage de son père si la femme qui a commis la zinâ est célibataire.
Dans le cas de la fornication, l’enfant ne peut être tenu pour responsable, les savants de Lajnah disent que l’enfant adultérin n’assume aucune responsabilité du fait de l’acte sexuel illicite commis par ses parents.
Allah soubhana wa ta’ala a dit : « Allâh n’impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. » (Coran, 2/286) et : « Et nul ne portera le fardeau d’autrui ». (Coran, 17/15).
Son sort dans l’au-delà sera équivalent à n’importe quel musulman qui obéit et accomplit les bonnes œuvres et meurt musulman, il entrera au paradis. S’il désobéit à Allah et meurt mécréant, il entrera en enfer. S’il mélange les bonnes et les mauvaises actions et meurt musulman, Allah décidera soit de lui pardonner, soit de le châtier, mais il finira par entrer au paradis comme tous les musulmans par la grâce et la miséricorde d’Allah.
Allah est le plus savant.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Algérie : La mosquée Ketchaoua d’Alger retrouve sa splendeur. VIDEO.
La mosquée Ketchaoua d’Alger retrouve sa beauté d’autant.
Cette Mosquée algérienne agrandie sous l’ère du califat turc ne fut pas détruite comme les autres mosquées d’Alger lors de la colonisation mais changée en cathédrale.
A l’indépendance algérienne l’édifice redevient une Mosquée.
La Turquie a tenue a financé sa réhabilitation suite à son délabrement avancé.
Une opportunité pour le quartier qui ne bénéficiera pourtant pas des mêmes faveurs de la part de l’état algérien.
reportage vidéo a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Cherche d’urgence pays d’accueil pour 1 300 réfugiés.
L’ONU a lancé, lundi 12 décembre, un appel urgent à la communauté internationale pour accueillir 1 300 réfugiés africains « extrêmement vulnérables » bloqués en Libye.
Le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) a précisé qu’il fallait trouver ces places d’accueil d’ici la fin mars 2018 pour ce groupe de personnes, incluant des enfants non accompagnés, des mères célibataires, des personnes souffrant de maladies graves et celles ayant été grièvement torturées au cours de leur périple ou bien en détention en Libye.
« Beaucoup de réfugiés, de demandeurs d’asile et d’apatrides sont victimes en Libye de graves violations des droits de l’homme, y compris de différentes formes de traitement inhumain, cruel et dégradant », a averti l’agence de l’ONU pour les réfugiés.
« C’est un appel désespéré à la solidarité et à l’humanité », a affirmé Volker Turk, responsable de la Protection au HCR. « Etant donné les besoins humanitaires imminents et la détérioration rapide des conditions dans les centres de détention en Libye, le HCR travaille activement pour organiser plus d’évacuations vers le Niger dans les prochaines semaines et les prochains mois. »
Le Niger a accepté d’héberger sur son sol les réfugiés évacués parmi les plus vulnérables, dans l’attente que leur soit trouvé un pays d’accueil. Quel Etat saura répondre à l’appel de l’ONU ?

Sur oumma.com, voici les titres.

Qui est Halimah Yacob, première présidente de la République de Singapour?
Le 13 septembre, Halimah Yacob est devenue la première présidente de la République de Singapour. A 63 ans, la première présidente voilée du Parlement entre dans l’histoire de son pays, après avoir été choisie en haut lieu. Candidate idéale pour une présidence réservée à une figure de la minorité malaisienne, Halimah Yacob veut être une « présidente pour tous ». « Bien qu’il s’agisse d’une élection réservée, je ne suis pas une présidente réservée. Je suis une présidente pour tous ! » Epaulée par son mari, cette femme d’exception, mère de 5 enfants, sait ce qu’elle ne veut pas : faire de la figuration pendant son mandat. Présidente volontariste d’une présidence honorifique, Halimah Yacob promet de s’investir sans compter. « Qu’il s’agisse ou non d’une élection, je réitère ma promesse de servir tout le monde avec la même passion, équité et un sens aigu des responsabilités. »
reportage a voir sur oumma.com.
Arabie saoudite: les salles de cinéma vont rouvrir au public, après 35 ans d’interdiction.
Les interdits n’en finissent pas d’être brisés dans une Arabie saoudite qui s’est mise résolument à l’heure de la réforme, et à l’inespérée autorisation de conduire accordée à la gent féminine succède aujourd’hui la non moins inattendue autorisation de se presser dans les salles de cinéma, au terme de 35 ans de prohibition.
Le septième art est de nouveau en odeur de sainteté dans le royaume saoudien, comme l’a proclamé lundi le ministre de la Culture, Awad al-Awad, à la consternation du Grand mufti Adelaziz al-Cheïkh.
Hostile à toute forme de divertissement au pays où l’on ne badine pas avec l’ultraconservatisme, la plus ancienne et influente autorité religieuse de la monarchie wahhabite, sentant le vent tourner en faveur de la promotion des activités culturelles, s’était fermement opposée, en janvier dernier, à la possible réouverture des cinémas, affolant le grand public sur la « source de dépravation » que cela représenterait, car favorisant la « mixité ».
« C’est un moment clé dans le développement de l’économie culturelle dans le pays », a déclaré, lundi 11 décembre, le ministre de la Culture via un communiqué. « Les autorités vont délivrer dès à présent les permis d’exploitation », a-t-il indiqué, en faisant fi des mauvais présages annoncés par le Grand mufti…
Année charnière, s’il en est, 2018 verra non seulement les Saoudiennes passer derrière le volant (à partir du mois de juin), mais aussi les salles obscures du royaume être noires de monde.
Maroc : une opération de police contre un camp de migrants tourne mal.
La tentative de la police marocaine de disperser un camp illégal de migrants a déclenché un véritable chaos dans la ville littorale de Casablanca. Jets de projectiles et autres affrontements violents ont blessé plusieurs personnes.
reportage a voir sur oumma.com.
L’Algérie a lancé son premier satellite de télécommunications baptisé Alcomsat-1.
La fusée chinoise Longue Marche 3B a mis en orbite dimanche le premier satellite de télécommunications algérien, Alcomsat-1. Le satellite atteindra son orbite de destination dans six jours.
L’Algérie a lancé son premier satellite de télécommunications baptisé Alcomsat-1, a annoncé dimanche l’agence spatiale algérienne ASAL dans un communiqué.
Le satellite a atteint l’orbite de transfert géostationnaire (GTO) grâce au lanceur chinois Chang-Zheng 3B (CZ-3B, Longue Marche 3B) qui a décollé dimanche, à 17h40 (heure de Paris) depuis le centre de lancement de Xichang situé dans la province de Sichuan, à 2.200 km au sud-ouest de Pékin.Alcomsat-1 s’est séparé du lanceur 26 minutes après le décollage. Il évolue actuellement sur une orbite avec 4.1191 d’apogée et 200 km de périgée inclinée à 26,4°.
«Cinq manœuvres d’Alcomsat-1 seront nécessaires dans les six prochains jours pour atteindre son orbite géostationnaire de 36.000 km d’altitude et sa position orbitale à 24,8° Ouest», a précisé ASAL.Alcomsat-1 fournira des services de transmission audio, d’internet à haut débit, de télémédecine, de visioconférence et améliorera la réception de plusieurs programmes de télédiffusion.
Les ingénieurs de l’agence spatiale algérienne contrôleront le satellite via les centres d’exploitation des systèmes de télécommunications situé à Boughezoul et à Bouchaoui(source Sputnik News)

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, rien de neuf.

L’erreur de Trump à propos de Jérusalem est un désastre pour le monde arabe… et pour les Etats Unis aussi.
Par Rachid Khalidi, mercredi 6 décembre 2017.
La folle démarche du président qui reconnaît la ville comme la capitale d’Israël aura des conséquences négatives impossibles à prévoir.
A chaque fois qu’on a l’impression que Donald Trump ne peut aller plus loin, il recommence. Maintenant, il a annoncé que son administration reconnaîtra Jérusalem comme la capitale d’Israël, revenant sur presque 70 ans de politique américaine. Cette démarche aura de multiples ramifications négatives, dont beaucoup sont impossibles à prévoir.
Jérusalem est le point le plus important des questions du dit statut final, maintes fois remis au cours des négociations Israélo-palestiniennes à cause de leur extrême sensibilité. Trump s’est introduit dans cet imbroglio comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, en ciblant la question la plus complexe et la plus sensible en lien avec la Palestine.
Jérusalem est sans aucun doute l’aspect le plus important de toute la question palestinienne. Elle a été au coeur de l’identité des musulmans et des chrétiens palestiniens depuis la période fondatrice de chacune de ces religions et l’a même été encore plus au fur et à mesure que le conflit sur la Palestine s’est aggravé.
La rivalité au sujet de la ville sainte est exacerbée par le fait que le même site – Haram al-Sharif pour les Musulmans, Mont du Temple pour les Juifs – est sacré pour les uns et les autres. A cause de sa nature explosive, c’est un sujet sur lequel aucun politique palestinien, et peu de dirigeants arabes, n’oserait badiner.
Pour quelqu’un comme moi, dont la famille vit à Jérusalem depuis des siècles, l’annonce de Trump ne signifie pas seulement que les Etats Unis ont adopté la position israélienne comme quoi Jérusalem appartient exclusivement à Israël. Trump a aussi rétroactivement légitimé la prise et l’occupation militaire de la Jérusalem Est arabe par Israël, à l’occasion de la guerre de 1967, et les lois discriminatoires imposées aux centaines de milliers de Palestiniens qui y vivent. Les dégâts qu’il a faits seront permanents : les Etats Unis ne peuvent pas annuler cette reconnaissance.
Cet acte disqualifie complètement les Etats Unis dans leur très ancien rôle d’intermédiaire, position que Washington s’est exclusivement appropriée. Il en est de même pour le pitoyable « plan de paix » que le gendre de Trump Jared Kushner concoctait en espérant l’imposer aux Palestiniens.
Il est temps de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël’, dit Trump.
Cette action de Trump témoigne de son dédain pour l’opinion de tout le monde arabe. Quoi que puissent dire les dictateurs et monarques absolus arabes aux Américains dont ils dépendent, les peuples arabes sont unanimes dans leur soutien à la position des Palestiniens sur Jérusalem. Leurs réactions inévitables à cette démarche se heurteront aux intérêts vitaux américains dans toute la région. En tant que secrétaire à la Défense, James Mattis a déclaré en 2013 : « J’ai payé un prix quotidien pour la sécurité militaire en tant que commandant du [Commandement Central] parce que les Américains sont perçus comme partiaux dans leur soutien à Israël.
Ce dernier fiasco diplomatique est encore un exemple du profond mépris que l’administration témoigne au reste du monde. Pas un seul pays ne reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël. Il existe un consensus mondial pour dire que, jusqu’à l’obtention d’un règlement, il est illégitime de préjuger ou de prédéterminer le résultat des négociations. Les Etats Unis ont officiellement rassuré les Palestiniens à ce sujet en les invitant à la conférence sur la paix de Madrid en 1991.
Bien sûr, il existe d’innombrables antécédents de la partialité des Américains en faveur d’Israël. Personne n’aurait dû s’attendre à de l’équité à ce sujet de leur part ou de celle de leur patron.
Il est maintenant difficile de voir comment un accord palestino-israélien durable est possible. Comme on pouvait s’y attendre de la part de Trump, il s’agit d’une blessure entièrement volontaire qui se répercutera longtemps dans les annales de la diplomatie. Elle va encore affaiblir le prestige déjà réduit des Etats Unis, compliquant ses relations avec ses alliés, avec les Musulmans et les Arabes – et avec les gens de bon sens à travers le monde.
Trump, qui a été mis en garde contre cette démarche par les dirigeants arabes, moyen-orientaux et européens, a maintenant rendu la résolution du conflit sur la Palestine bien plus difficile, tout en réjouissant ses amis et leurs dangereux frères extrémistes en Israël. Bien loin d’inaugurer « l’accord du siècle » comme il s’en vantait, avec cette démarche insensée, Trump va peut-être provoquer la débâcle du siècle. C’est un triste jour pour le droit international, pour la Palestine et pour quiconque se soucie de la paix au Moyen Orient.
Rachid Khalidi est professeur d’études arabes à la chaire Edward Saïd de l’université Columbia.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Guardian.
Des dirigeants chrétiens de Jérusalem implorent Trump: Ne changez pas le statut de notre antique cité.
Par la rédaction de Newsweek – 6 décembre 2017.
Le Président Donald Trump est sur le point de devenir le premier président des États Unis à reconnaître Jérusalem comme la capitale officielle d’Israël, mettant fin à des décennies de politique extérieure américaine et prenant le risque d’entraîner une escalade de la violence dont les dirigeant arabes ont averti qu’elle pourrait avoir des implications d’une grande portée dans toute la région.
La cité antique est révérée non seulement par les Juifs et les Musulmans, mais aussi par les Chrétiens. Les plus hauts dirigeants chrétiens des églises et patriarcats de toute la cité historique ont lancé un appel collectif à Trump, sous forme d’une lettre, lui demandant de continuer à respecter la situation actuelle de Jérusalem – c’est à dire que son statut doit être décidé par des négociations entre toutes les parties – sous peine que la main tendue à la paix se retire autant de la part des Juifs que des Arabes. Voici la lettre in extenso.
Cher Mr. Le Président,
Nous sommes pleinement conscients de l’attention particulière que vous portez au statut de Jérusalem ces jours-ci et nous l’apprécions. Nous suivons la situation avec attention et nous voyons qu’il est de notre devoir d’adresser cette lettre à Votre Excellence.
Le 17 juillet 2000, nous avons adressé une lettre similaire aux dirigeants qui se sont réunis à Camp David pour décider du statut de Jérusalem. Ils ont aimablement pris notre lettre en considération. Aujourd’hui, Monsieur le Président, nous sommes confiants sur la considération avec laquelle vous pourrez prendre en compte notre point de vue sur le statut très important de Jérusalem.
Notre terre est appelée à être une terre de paix. Jérusalem, la cité de Dieu, est une cité de paix pour nous et pour le monde. Mais malheureusement, notre terre sainte avec Jérusalem ville sainte, est aujourd’hui une terre de conflit.
Ceux qui chérissent Jérusalem ne souhaitent qu’en faire une terre et une ville de paix, de vie et de dignité pour tous ses habitants. Les prières qu’y font tous les croyants – des trois religions et des deux peuples qui appartiennent à cette ville – s’élèvent vers Dieu et, comme dit le psaume : « Reviens vers nous, Dieu tout puissant ! Regarde du haut des cieux et vois ! » (80.14). Inspire nos dirigeants et emplis leur esprit et leur cœur de justice et de paix.
Monsieur le Président, nous avons suivi les rapports faisant état de la possibilité d’un changement dans la façon dont les États Unis comprennent et traitent le statut de Jérusalem et nous en sommes préoccupés. Nous sommes certains que de telles mesures produiront une haine grandissante du conflit, de la violence et de la souffrance à Jérusalem et en terre Sainte, qui nous mèneront bien loin de l’objectif d’unité et plus profondément vers une division destructive. Nous sollicitons de vous, Monsieur le Président, une aide pour que tous nous marchions vers plus d’amour et une paix définitive, qui ne peut être obtenue sans que Jérusalem soit à tous.
Par ce conseil solennel nous appelons les États Unis à continuer à reconnaître le statut actuel de Jérusalem. Tout changement soudain causerait un mal irréparable. Nous avons bon espoir qu’avec un soutien énergique de nos amis, Israéliens et Palestiniens pourront œuvrer à une négociation vers une paix juste et durable, profitable à tous ceux qui aspirent à ce que la Ville Sainte de Jérusalem accomplisse son destin.
La Ville Sainte peut être partagée et pleinement satisfaisante une fois que le processus politique aidera à libérer les cœurs de tous ceux qui y vivent, des conditions du conflit et du pouvoir destructeur dont ils font l’expérience.
Noël est tout proche. C’est une fête de paix. Les Anges ont chanté dans nos cieux : Gloire à Dieu le très grand, et paix sur la terre et pour les gens de bonne volonté. Pour ce Noël qui vient, nous demandons que Jérusalem ne soit pas privée de paix, nous vous demandons, Monsieur le Président, de nous aider à écouter le chant des anges. En tant que dirigeants chrétiens de Jérusalem nous vous invitons à une marche d’espérance avec nous pour construire une paix juste, inclusive pour tous les peuples de cette Ville unique et Sainte.
Avec nos meilleurs souvenirs et nos meilleurs vœux pour un Joyeux Noël.
Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine.
Source : Newsweek.
Pillés à Beyrouth il y a 35 ans, maintenant projetés à Tel Aviv.
Par Rami Younis, le 4 décembre 2017
« Pillés et cachés » puise dans les archives de films capturés par l’armée israélienne en 1982, et braque les projecteurs sur d’autres biens volés par Israël : l’histoire du cinéma palestinien.
Des images rares issues des archives des films et photographies palestiniens qui documentent des décennies de l’histoire palestinienne d’avant 1948 et d’après la Nakba voient finalement le jour dans un nouveau film de Rona Sela qui est conservatrice, chercheure en histoire et culture visuelle, et chargée de cours à l’université de Tel Aviv. Presque toutes ces images d’archives ont été confisquées dans les attaques de l’armée israélienne contre le bureau de l’Organisation de Libération de la Palestine à Beyrouth en 1982 : des documents et des photos ont alors été pris.
Ce matériau a maintenant été rendu public par le censeur de l’armée d’Israël et il est désormais accessible au public dans les archives de l’armée israélienne.
Sela a passé des centaines d’heures aux archives militaires pour réaliser le film qui met au jour une quantité significative de matériau documentaire et culturel : des photos et des films sur la vie des Palestiniens avant et après 1948 et dans la diaspora, de même que des enregistrements sonores d’artistes et de réalisateurs palestiniens qui ont été censurés et cachés au public. Cette collection est inestimable et le film de Sela la rend accessible pour révéler un nouveau chapitre dans l’histoire du déni et de la suppression de l’histoire de la Palestine.
Sela a intelligemment choisi de baser son film sur des images qui sont elles-mêmes rares. Elle construit la trame du film comme une correspondance entre elle et un certain nombre de Palestiniens et même entre elle et un soldat israélien qui était dans l’armée à Beyrouth. Ce film relativement court est émouvant : on a du mal à ne pas se demander comment ces images auraient influencé le développement du cinéma palestinien si elles n’avaient pas été volées et rendues inaccessibles aux réalisateurs palestiniens. Les films de réalisateurs palestiniens font continuellement sensation et gagnent des prix dans des compétitions internationales contre vents et marées et malgré l’état de guerre culturelle menée par Israël contre les artistes palestiniens. Il n’est pas exagéré de dire que le cinéma palestinien aurait pu avoir un potentiel plus important si des pans de son histoire n’avaient pas été cachés aux yeux du monde.
Semblable à la destruction du tissu urbain palestinien en 1948, le vol de la culture visuelle palestinienne est une autre tentative d’Israël pour contrôler le récit historique et effacer l’histoire palestinienne. Le développement urbain de la Palestine a été stoppé et toutes les villes les plus importantes, Jaffa, Haïfa, Lod et Ramle, ont été vidées de la presque totalité de leurs habitants pour rendre possibles les mensonges sionistes sur « une terre sans peuple pour un peuple sans terre » et pour affaiblir le plus possible la résistance palestinienne.
Le film de Sela réussit à montrer que le cinéma palestinien n’a jamais cessé d’innover et que les réalisateurs palestiniens n’ont jamais eu peur de documenter et de raconter leurs propres histoires, aussi bien que des histoires de résistance à l’occupation dans un langage cinématographique qui était en phase avec la période et parlait au monde.
Encore plus que la signification culturelle du film, la façon dont il documente la Palestine comme société arabe développée est à même d’intéresser fortement le grand public. En ce sens, le film de Sela est une réalisation courageuses et militante. Sela a passé les 20 dernières années à enquêter sur et à documenter la culture visuelle palestinienne dans ses livres. Elle partage maintenant ses découvertes importantes, car un film documentaire touchera le cœur de chaque Palestinien et devrait faire ressentir de la honte à chaque Israélien.
« Dans le passé, j‘ai recherché de la propagande sioniste datant d’avant l’établissement de l’État d’Israël » a dit Sela, en expliquant ce qui l’a motivée à faire le film. Un des principaux motifs qui revenait constamment était l’image du Juif qui arrive dans une zone désolée, comme si la terre avait attendu que le Juif arrive et la fasse fleurir ».
« Cela m’a conduite à rechercher des documents de l’histoire palestinienne » a poursuivi Sela. « J’ai cherché dans des matériaux ici et à l’étranger afin de montrer à un public israélien que la Palestine existait avant 1948 ».
Ce qui est frappant dans le travail de Sela pendant ces années, et en particulier dans ce film, est l’insistance qu’elle met principalement sur les éléments visuels. En tant que chercheure en culture visuelle, Sela démontre qu’elle « comprend l’importance d’images visuelles dans la construction de la conscience et de l’identité nationale, et l’importance de la culture et de l’histoire dans chaque société.
Le film de Sela apporte une preuve décisive qu’Israël a toujours eu recours à tous les moyens possibles pour effacer la documentation visuelle de l’histoire palestinienne. Il montre le vol israélien des archives en 1982 et révèle, pour que le monde entier le voie, un autre chapitre caché de l’histoire palestinienne.
« Pillés et cachés » a été projeté dans le cadre du festival de cinéma 48 mm de Zochot : De la Nakba au retour.
Première publication de cet article en hébreu sur Local Call.
Traduction : SF pour l’Agence Média Palestine .
Source : +972.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Algeérie: Solidarité avec le peuple palestinien: un rassemblement samedi à la Coupole
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La salle de la Coupole du complexe sportif Mohamed Boudiaf à Alger sera mise, samedi prochain, à la disposition des associations, partis politiques, et citoyens désirant y tenir un rassemblement de solidarité avec la cause palestinienne, suite à la décision des Etats Unis de considérer El Qods comme capitale de l’occupant israélien, indique mardi un communiqué des services du Premier ministre.
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Gaza : Deux morts lors d’un raid aérien de l’occupation
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4 blessés dont un état grave à l’est de Gaza
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Le congrès des Palestiniens en Europe salue la postion de l’UE sur la déclaration de Trump
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49 colons prennent d’assaut les cours de la mosquée Al-Aqsa
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1795 Palestiniens blessés depuis la
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L’UE informe Netanyahu de son rejet de la décision américaine
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Des affrontements renouvelés à Bethléem et à Hébron
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Un enfant palestinien arrêté par l’armée israélienne près de la mosquée Ibrahimi
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De nombreux raids et arrestations en Cisjordanie occupée
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Le Croissant-Rouge dément les allégations de l’armée israélienne sur les affrontements en Cisjordanie
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Les Brigades d’al-Qassam appellent à continuer à enflammer l’Intifada
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Gaza : Arrestation d’un jeune palestinien pour avoir franchi la frontière
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Zoabi: Netanyahou est un criminel de guerre
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Jérusalem: Poutine et Erdogan mettent en garde contre un regain de tension
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Khan Younes attaquée par l’artillerie israélienne
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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