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Flash info du 12 Cha’ban 1438.

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France : Emmanuel Macron remporte largement l’élection présidentielle avec 65,1% des voix face à Marine Le Pen, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria.
L’issue du scrutin était prévisible, c’est désormais acquis : Emmanuel Macron va devenir le huitième président élu de la Ve République. Il a recueilli, dimanche 7 mai, 65,1% des voix face à Marine Le Pen (34,9%), au second tour de l’élection présidentielle, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France*. Grand favori de ce duel inédit, Emmanuel Macron a su tenir son rang malgré un début d’entre-deux-tours poussif. Retour sur la dernière ligne droite de ce marathon présidentiel unique en son genre.
Pour Emmanuel Macron, la campagne de second tour commence par une grosse bourde de communication. Galvanisé par sa position de tête au soir du premier tour, le 23 avril, il choisit de fêter ce qui n’est pourtant pas encore une victoire. A La Rotonde, une brasserie réputée du quartier de Montparnasse, à Paris, le candidat retrouve une partie de son staff de campagne, des politiques et quelques célébrités comme Pierre Arditi et Line Renaud.
Une campagne qui flotte.
Les agapes restent modestes. Du jambon et des asperges pour le candidat, « quelques radis, des croque-monsieur coupés en quatre et une coupe de champagne » pour les invités, relate Stéphane Bern, qui était aussi de la partie. La Rotonde n’est pas le Fouquet’s, mais qu’importe : dans les esprits, le parallèle est vite établi avec la fête « bling-bling » de Nicolas Sarkozy au soir de sa victoire en 2007.
Surtout, on reproche à Emmanuel Macron d’agir comme s’il avait déjà gagné la partie. Juste avant l’escapade à La Rotonde, il prononce un discours de quasi-victoire devant 3 000 militants en liesse, échange sur scène un baiser avec son épouse Brigitte… A-t-il pris la mesure de la responsabilité qui lui incombe ? Est-il capable de trouver les mots pour rassembler le camp républicain face au Front national ? Les jours suivants, sa campagne semble flotter : un agenda vide le lundi, pas de déplacement de campagne le mardi… Le mercredi matin, Libération traduit le scepticisme ambiant dans une une moqueuse.
Ce jour-là, Emmanuel Macron redescend très vite dans l’arène, aiguillonné par Marine Le Pen. Pendant qu’il rencontre les représentants syndicaux de l’usine Whirlpool d’Amiens dans les locaux de la Chambre de commerce de la ville, son adversaire déboule par surprise sur le site de l’usine promise à la fermeture. Sur les chaînes d’information, le choc des images est saisissant : l’un est claquemuré dans des bureaux, l’autre pose pour des selfies et réconforte les salariés.
Chez Whirlpool, Macron remis en selle par Le Pen.
Le coup de com’ de Marine Le Pen fonctionne à merveille. Sauf qu’Emmanuel Macron ne s’avoue pas vaincu. Sa réunion terminée, il se rend à son tour auprès des salariés. L’accueil houleux lui permet de mettre en scène un certain courage. Arrivé sous les sifflets, il repart, après plus d’une heure de discussion, dans une atmosphère plus apaisée. Des poignées de main sont échangées. S’il n’a pas convaincu les salariés, il a peut-être gagné leur respect.
Rien n’est évident dans cet entre-deux-tours. Le front républicain, si puissant en 2002 lorsqu’il s’agissait de faire barrage à Jean-Marie Le Pen en votant pour Jacques Chirac, est abîmé. L’attitude de Jean-Luc Mélenchon, qui ne donne aucune consigne de vote et refuse de dévoiler son choix, en dit long sur le déclin de ce réflexe politique qui avait accompagné la montée du Front national dans les années 1990.
Un certain flottement existe aussi à droite. Certes, François Fillon appelle dès le soir du premier tour à voter pour Emmanuel Macron. Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se prononcent aussi rapidement en faveur du candidat d’En marche !, de même que plusieurs ténors (Christian Estrosi, Xavier Bertrand, Nathalie Kosciusko-Morizet…). Mais le bureau politique des Républicains reste dans l’ambiguïté : « Face au Front national, l’abstention ne peut être un choix, nous appelons à voter contre Marine Le Pen pour la faire battre au second tour de l’élection présidentielle », énonce le communiqué du parti, sans citer le nom d’Emmanuel Macron.
Rediaboliser le FN pour mieux le contrer.
Pour réactiver ce front républicain en perte de vitesse, Emmanuel Macron tente de dramatiser sa campagne. Plutôt que de modifier son programme ou de donner des gages aux électeurs de Mélenchon ou de Fillon, le candidat d’En marche ! entreprend de faire de ce second tour un référendum anti-FN. « Ne pas se positionner, c’est décider d’aider madame Le Pen », déclare-t-il sur TF1.
Il multiplie les commémorations symboliques censées replacer le FN face à son sulfureux passé. Le vendredi, il se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), ce village massacré et détruit par des soldats de la Waffen-SS en juin 1944, puis visite le mémorial de la Shoah à Paris. Le 1er-Mai, il participe à un hommage en mémoire de Brahim Bouarram, un Marocain jeté dans la Seine par un participant au défilé du 1er mai 1995 organisé par Jean-Marie Le Pen. « Le parti des agents du désastre, les instruments du pire, l’extrême droite française, elle est là. Ils guettent depuis si longtemps l’effondrement que nous vivons pour en tirer profit », assène-t-il, le même jour, lors de son grand meeting parisien.
Une victoire sans enthousiasme
Le débat du 3 mai, suivi par 16 millions de téléspectateurs, lui donne une nouvelle occasion de pousser son avantage. Marine Le Pen, trop agressive, perd des plumes dans cet exercice qui exige de la solennité. Même certains de ses soutiens reconnaissent que leur candidate a manqué son débat. L’effet est immédiat. Dans les sondages qui suivent, la courbe d’Emmanuel Macron remonte sensiblement, laissant présager la large victoire obtenue ce dimanche.
Malgré le score, sans appel, cette difficile campagne d’entre-deux-tours a démontré qu’Emmanuel Macron ne peut se prévaloir d’avoir reçu un blanc-seing de la part des électeurs. Selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde publiée le 2 mai, 60% de ses électeurs affirment voter pour lui « par défaut ». Fractures politiques, colères sociales, scepticisme généralisé… A peine élu, Emmanuel Macron se trouve déjà face à d’immenses défis. Pour lui, le plus dur commence dès ce soir.
* Estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, Le Point, Le Monde, France 24 et les chaînes parlementaires.
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Voici pourquoi le musulman doit apprendre à pardonner.
Pardonner aux autres n’est pas une affaire facile mais l’accomplissement de cette épreuve revêt la forme d’une grande bénédiction.
Ainsi, la vengeance ne doit pas être une caractéristique du musulman.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit:
« Quant à ceux qui ripostent après avoir été lésés, …ceux-là pas de voie (recours légal) contre eux » [Coran 42/41].
Notre Créateur ne cesse de nous inciter à renoncer à la haine et de préférer le pardon.
« C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muḥammad) as été si doux envers eux! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. Pardonne-leur donc, et implore pour eux le pardon (d’Allah). Et consulte-les à propos des affaires; puis une fois que tu t’es décidé, confie-toi donc à Allah, Allah aime, en vérité, ceux qui Lui font confiance. » [Coran 3/159].
Alors que certaines trahisons peuvent nous hanter, la meilleure manière de passer l’éponge est de permettre à nos cœurs d’oublier.
Cette décision peut sembler difficile mais le croyant qui arrive à cette finalité pourra jouir d’une tendre bénédiction d’Allah.
« Et Nous y avons prescrit pour eux vie pour vie, œil pour œil, nez pour nez, oreille pour oreille, dent pour dent. Les blessures tombent sous la loi du talion. Après, quiconque y renonce par charité, cela lui vaudra une expiation. Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont des injustes. » [Coran 5/45].
« Nombre de gens du Livre aimeraient par jalousie de leur part, pouvoir vous rendre mécréants après que vous ayez cru. Et après que la vérité s’est manifestée à eux! Pardonnez et oubliez jusqu’à ce qu’Allah fasse venir Son commandement. Allah est très certainement Omnipotent! » [Coran 2/109].
Le pardon est la clémence sont des qualités de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) que chaque musulman devait tendre à développer comme traits de sa personnalité.
Afin de pardonner durablement sans rancune, le musulman ne doit plus voir cette personne comme une ennemie, mais plutôt comme une épreuve de ce bas-monde.
De plus, il est important d’avoir la certitude que le choix du châtiment revient à Allah (soubhanou wa ta’ala) et qu’il se chargera de la personne ici-bas ou dans l’au-delà.
Pardonner est primordial dans la vie d’un musulman car rompre les liens de fraternité avec un frère ou une sœur est une attitude fortement déconseillée.
« Celui qui rompt avec son frère en religion durant une année sera considéré comme s’il avait fait couler son sang. »
(Hadith rapporté par Al Bukhari).
« Ne rompez pas vos liens de fraternité ; ne vous détournez pas les uns des autres ; ne soyez pas envieux les uns vis-à-vis des autres ; soyez plutôt frères, comme Allah vous l’a ordonné. »
(Hadith rapporté par Muslim).
De nombreux croyants ne surmontent pas la difficulté de pardonner à son proche suite à une infidélité. Mais, un sentiment de compassion peut remplacer cette détestable haine quand on connaît le châtiment réservé aux personnes infidèles dans la vie conjugale.
« Trois personnes seront privées de se voir sanctifiées ou adressées la parole par Allah et seront exposées à un châtiment douloureux le jour de la Résurrection : il s’agit d’un vieil homme adultère, d’un roi menteur et d’un pauvre arrogant. » (Rapporté par Mouslim).
Enfin, il faut retenir que le plus grand Pardonneur est Allah (soubhanou wa ta’ala) et il est aussi celui capable d’administrer les plus lourds châtiments. Remettez-en vous à Allah dans les moments de grandes difficultés.
« Sachez qu’Allah est sévère en punition, mais aussi qu’Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » [Coran 5/98].
« Informe Mes serviteurs que c’est Moi le Pardonneur, le Très Miséricordieux. » [Coran 15/49].
AJIB.FR
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8 Mai 1945, La france massacre 35 000 Algérien à Sétif, ne l’oublions jamais.
Le 8 mai 1945 dans le Nord-Constantinois : retour sur un massacre.
En Europe, le 8 mai 1945 est synonyme de victoire de la liberté sur le nazisme. Pourtant alors qu’à Paris, Londres, Moscou ou Washington on célébrait l’effondrement du Troisième Reich, commencèrent les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata.
« L’intelligence, c’est de bien retenir les expériences ».
L’imam Ali.
Ces terribles massacres mirent un coup d’arrêt à l’élan unitaire du mouvement national algérien dont les différentes composantes s’étaient rassemblées au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté.
En effet, durant la seconde guerre mondiale la situation politique fut profondément bouleversée. L’échec définitif du mouvement assimilationniste, (Mouvement qui réclamait le rattachement complet de l’Algérie à la France et la citoyenneté française pour les Algériens), la défaite de juin 1940 qui avait montré la vulnérabilité de la puissance coloniale, avaient redéfini les « champs du possible » pour les acteurs du mouvement national algérien. Avec le débarquement Alliées en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, la vie politique connut une nouvelle dynamique. Les acteurs du mouvement national reprenaient à leur compte l’idée du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes mis en avant par les Américains dans la Charte Atlantique datée 12 août 1942.
C’est dans cette atmosphère que le 10 février 1943, Ferhat Abbas, avec le soutien du Parti du Peuple Algérien, clandestin, et de l’association des Ouléma, rendit publique le Manifeste du Peuple Algérien. Rompant avec l’idéologie assimilationniste, le Manifeste affirmait : « le temps est passé où un Musulman algérien demandera autre chose que d’être un Algérien musulman », phrase tiré du livre de Charles-André Julien, L’Afrique du Nord en marche, Paris, Omnibus, 2002, page. 247.
Le Manifeste eut rapidement un écho important au sein de la population algérienne. Par la suite, afin de faire valoir les idées développées dans le Manifeste, les différentes tendances du mouvement national décidèrent de s’unir dans une organisation politique commune. Ainsi, le 14 mars 1944, les trois principales composantes du mouvement national algérien, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien, les islamistes de l’Association des Ouléma et les « autonomistes » proches de Ferhat Abbas, décidèrent de s’unir au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté pour lutter contre le colonialisme et promouvoir l’idée de nation algérienne.
Les Amis du Manifeste et de la Liberté se structurèrent en section sur l’ensemble du territoire algérien et devinrent rapidement une organisation de masse réunissant plusieurs dizaines de milliers d’adhérents. En politisant la population algérienne, les Amis du Manifeste et de la Liberté permettaient de changer les rapports entre colonisateurs et colonisés. Selon Ahmed Mahsas, « encouragés par l’extension des Amis du Manifeste et de la Liberté, les Algériens longtemps réduits au silence et à la sujétion par le système colonial, changeaient de comportement et levaient la tête. Ils n’acceptèrent plus les brimades dont ils étaient l’objet quotidiennement de la part de l’administration et de la majorité des Européens.
Le nouveau comportement des Algériens se manifestait par le rejet de toute mesure d’humiliation et par la défense de leur dignité. Il suscita la crainte dans les milieux colonialistes et exacerba la haine de l’arabe, naguère traité par le mépris. La tension entre le peuple algérien d’un côté, l’administration et les Européens de l’autre, régna sur l’étendue de tout le territoire algérien » info tiré du livre de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
Au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté, Ahmed Mahsas expliquait que le Parti du Peuple Algérien s’efforçait de populariser ses mots d’ordre (indépendance, panarabisme, solidarités avec les pays arabo-musulmans et les pays colonisés. Son radicalisme, son caractère populaire, son organisation et son action efficace plaçaient le Parti du Peuple Algérien à l’avant-garde du combat » , info tiré de l’ouvrage de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
A cette période, selon Benyoucef Ben Khedda, « une vague de nationalisme déferlait sur tout le pays. C’en était trop pour les colons qui, voyant leurs privilèges menacés, commençaient à paniquer », info tiré du livre de Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, Alger, CNERMNR, 2004, page 87. De plus, les Amis du Manifeste et de la Liberté, sous l’influence du Parti du Peuple Algérien, radicalisaient leur revendication ce qui inquiétaient les autorités coloniales.
En mars 1945, le Congrès des Amis du Manifeste et de la Liberté demanda : « la reconnaissance de la nationalité algérienne » ; « l’établissement d’une constitution algérienne démocratique et républicaine » ; « le remplacement des Assemblées algériennes par un Parlement élu » ; « le remplacement du gouvernement général par un gouvernement algérien » ; « la reconnaissance des couleurs algériennes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, Paris, Ed. Paris-méditerranée, 2003, page 633. De Plus,une motion reconnaissant Messali Hadj comme « leader incontestable du peuple Algérien » fut votée.
Face à cette radicalisation, l’administration coloniale chercha à réagir. Le 18 avril à l’occasion d’un rassemblement dans la commune de Chellala, dans le Sud du département d’Alger, l’administration en profita pour procéder à l’arrestation de plusieurs militants des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ces arrestations provoquèrent des heurts entre la police et la population locale. Le 25 avril, Messali Hadj, qui était assigné à résidence dans la région, fut déporté au Congo. Ainsi, commençait la répression contre le mouvement national.
Les militants du Parti du Peuple Algérien voulurent réagir contre la politique répressive de l’administration coloniale et montrer leur capacité de mobilisation. Depuis le débarquement, le parti nationaliste révolutionnaire s’était organisé clandestinement sur l’ensemble du territoire algérien et représentait une réelle force politique capable de remettre en cause l’ordre colonial. Le Parti du Peuple Algérien était essentiellement composé de jeunes militants prêts à en découdre avec les autorités coloniales.
Le 1er mai 1945, à l’occasion de la fête du travail, des manifestions furent organisées dans toute l’Algérie. Afin de montrer leur capacité de mobilisation et pour protester contre la déportation de Messali Hadj, les militants du Parti du Peuple Algérien décidèrent d’y participer en organisant des cortèges distincts de leurs adversaires du Parti Communiste Algérien et de la CGT. Les slogans du Parti du Peuple Algérien était : « Parlements Algérien », « Libérer Messali », « Libération de tous les détenus politiques », « indépendance » ». Face à cette démonstration de force des nationalistes algériens, les autorités réprimèrent durement les manifestions. A Alger, la police ouvrit le feu sur les manifestants faisant 4 morts. Dans le même temps, il y eu respectivement 1 mort à Oran et à Blida.
Au lendemain de ces manifestations, la CGT et le Parti Communiste Algérien accusèrent le Parti du Peuple Algérien d’avoir fomenté « une provocation ». En réponse, l’organe clandestin du Parti du Peuple Algérien, L’Action algérienne, lança un appel répondant aux allégations du Parti Communiste Algérien : « Communistes Algériens ! Vous n’avez de communistes que le nom ! Votre parti a jeté le masque. Il glorifie l’assassinat. Il se fait le complice de l’administration. Messali serait hitlérien ! Il oublie que le Parti du Peuple Algérien et le Parti Communiste Algérien ont été dissous par le même décret en Septembre 1939, que Messali et ses amis ont été condamnés au bagne par Vichy, alors que Djenienbou-Rezag, Taïeb, Boualiz, Ouzegane, etc… étaient relativement favorisés par Vichy. Il oublie qu’au moment où Hitler semblait vaincre, Messali n’a jamais répondu aux offres du nazisme qu’il condamne depuis 1937 », info tiré du livre de Stora Benjmin, Messali Hadj, 1898-1974, Paris, Ed. Hachette, 2004, page 192.
A la suite des manifestations du 1er mai, l’administration lança une vague d’arrestation parmi les militants nationalistes révolutionnaires. Face à cette répression, le Parti du Peuple Algérien donna des consignes précises à ses militants pour l’organisation des manifestations célébrant la fin de la guerre 1939-1945. Selon Chawki Mostefaï, cadre nationaliste révolutionnaire, la direction du Parti du Peuple Algérien ordonna que :
– « Les manifestations doivent être absolument pacifiques ; les mots d’ordre de prudence et de sang-froid largement diffusés parmi les manifestants ; le contrôle de ceux-ci pour récupérer toutes espèces d’armes éventuelles tels que armes à feu, couteaux, même les bâtons etc.
– Les villes d’Alger, d’0ran et Blida s’abstiendront de manifester ; de crainte que les récentes fusillades du 1er Mai, n’aient créé chez les militants et les manifestants, un esprit de revanche, contre les forces de l’ordre, propice aux provocations de celles-ci, toujours possibles.
– Déployer en milieu de parcours, le drapeau algérien, qui venait d’être adopté par la Direction, quelques semaines auparavant. », tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 309-310.
Malgré la violente répression des manifestations du 1er mai, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien voulaient absolument participer aux manifestations célébrant la victoire contre le nazisme. A ce propos, Chawki Mostefaï expliquait :« Il fallait frapper un grand coup et démontrer, au moment de la célébration prochaine de la victoire définitive du camp de la Démocratie sur l’Hitlérisme, que le peuple algérien, partisan de la Démocratie et de la Liberté des peuples, entendait célébrer dans la joie et l’enthousiasme la fin du cauchemar né de l’Hitlérisme et son équivalent le Colonialisme, contre lesquels le peuple Algérien a consenti les plus grands sacrifices sur tous les fronts de la guerre », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 304.
Les nationalistes révolutionnaires Algériens voulaient utiliser ces manifestations pour s’affirmer sur la scène internationale afin de revendiquer l’indépendance de l’Algérie. Chawki Mostefaï affirmait que « pour profiter au maximum du retentissement médiatique, à l’échelle mondiale de la victoire des pays de la Charte de l’Atlantique, l’Algérie devait fêter sa victoire en tant que peuple, en tant que nation opprimée, indépendamment de la France et de ses institutions, en arborant tout haut l’Emblème de sa propre souveraineté. C’est ainsi que nous décidâmes, au sein du Comité Directeur, de défiler le jour des manifestations de la victoire, en arborant le drapeau de l’Etoile Nord Africaine et Parti du Peuple Algérien en tête des cortèges », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit..
Ainsi, pour célébrer la victoire des Alliés, le 8 mai 1945 au matin, les nationalistes Algériens organisèrent des manifestations dans de nombreuses villes du pays : à Blida, Berrouaghia, Sidi Bel Abbès, Saïda, Annaba ou Jijel. Dans ces deux dernière ville les Algériens sortirent des drapeaux et des banderoles sur lesquels il était inscrit : « Vive l’Algérie indépendante », « A bas le colonialisme », « Libérer Messali ». Face à cette manifestation de nationalisme algérien la police intervint et des coups de feu furent tirés. A Guelma, la police voulut disperser les manifestants du cortège musulmans ce qui provoqua des échauffourées faisant 1 mort côté algérien.
A Sétif, il y avait environ 10 000 personnes présentes, dont environ 200 membres des Scouts Musulmans Algériens qui ouvraient la marche. Les manifestants déployèrent des pancartes, proclamant notamment « Vive l’Algérie libre et indépendante » ou « A bas le fascisme et le colonialisme ». Au cours de la manifestation un drapeau aux couleurs algériennes fut déployé. Voyant ce drapeau et ces banderoles, la police chercha à s’en saisir. Les manifestants refusèrent. En réponse, des rafales de mitraillette furent tirées par un policier français. La manifestation tourna à l’émeute. A 13 heures le couvre feu était instauré et à 20 heures l’état de siège était décrété. L’armée, la police et la gendarmerie sillonnèrent les quartiers arabes et les douars de la région.
Des armes étaient distribuées aux colons européens qui se constituèrent en milices. Selon Mahfoud Kaddache, « tous les Européens, qu’elle que soit leur tendance politique se regroupaient face au danger arabe […] elle [la milice] se livra à des représailles contre la population musulmane et à des exécutions sommaires de suspects, de militants des Amis du Manifeste et de la Liberté, du Parti du Peuple Algérien, des Oulémas et des scouts musulmans algériens », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 661.
La violence de l’armée française et des milices Européennes fut impitoyable. Exécutions sommaires, massacres de civils, prises d’otages au sein de la population algérienne, viols, bombardements de villages,… A Sétif où la loi martiale fut proclamée, tout Algérien ne portant pas le brassard réglementaire était abattu.
Le 12 mai 1945, le Général De Gaulle ordonna au gouvernement général « d’afficher publiquement la volonté de la France victorieuse de ne laisser porter aucune atteinte à la souveraineté française en Algérie » et de « prendre toutes les mesures nécessaires pour réprimer tous agissements antifrançais d’une minorité d’agitateurs »[, info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 662.
Pour mettre en œuvre cette répression, l’armée fut mobilisée. Outre les 9 000 hommes de la division de Constantine, des unités d’Alger, et de Tunis furent dirigées dans le Nord Constantinois. Deux croiseurs, le Triomphant et le Duguay-Trouin, tirèrent plus de 800 coups de canon depuis la rade de Bougie sur la région de Sétif. L’aviation bombarda et rasa plus ou moins complètement plusieurs agglomérations. Une cinquantaine de « mechtas » furent incendiées. Les automitrailleuses firent leur apparition dans les villages. Les soldats tirèrent à distance sur la population. Les blindés furent relayés par les militaires arrivés en convoi sur les lieux. A l’approche des troupes, les villages étaient désertés par une population qui se réfugiait sur les crêtes ou dans les ravins.
Pour sauver leur vie, des hommes, des femmes et des enfants furent obligés de s’agenouiller devant les militaires français. L’armée célébrait sa victoire. Le 25 mai 1945, 5 000 fellahs des Babors furent contraints de se mettre à genoux, de demander pardon et de crier « Vive la France ». Puis, le colonel de légion les obligea à se prosterner le front à terre devant le drapeau français et à dire : « nous sommes des chiens et Ferhat Abbas est un chien », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664. Parmi eux, 400 furent identifiés comme troubles faits et furent conduits vers une destination inconnue dont ils ne revinrent jamais.
Les corps des cadavres étant trop nombreux, tous ne purent être enterrés. Ils furent alors jetés dans les puits et dans les gorges de Kherrata. Les miliciens Européens décidèrent de réemployer les « techniques » que leurs « camarades » Allemands avaient utilisé dans les camps de la mort. Ils brûlèrent les corps dans des fours à chaux selon la logique voulant que « s’il n’y a pas de corps il n’y a pas de victimes ». Saci Benhamla, qui habitait à quelques centaines de mètres du four à chaux d’Héliopolis, décrivait « l’insupportable odeur de chair brûlée et l’incessant va-et-vient des camions venant décharger les cadavres, qui brûlaient ensuite en dégageant une fumée bleuâtre ». Le même homme racontait, à Kef-El-Boumba, « j’ai vu des Français faire descendre d’un camion cinq personnes les mains ligotées, les mettre sur la route, les arroser d’essence avant de les brûler vivants », info tiré du livre de Mekhaled Boucif, Chronique d’un massacre : 8 mai 1945, Sétif- Guelma- Kherrata, Paris, Ed. Syros, page 187.
Le nombre des victimes ne fut jamais clairement établit ; les chiffres oscillent entre 1 500 morts selon le gouvernement français et 45 000 selon les nationalistes Algériens qui reprirent les chiffres du consul général des Etats-Unis à Alger.
Au-delà des chiffres, les massacres laissèrent des souvenirs effroyables à ceux qui les avaient vécus. Un bachagha travaillant pour l’administration française expliqua au journal colonialiste, Le Courrier Algérien : « jamais, tant que je vivrai, je n’oublierai le souvenir de ces viols, des incendies, de ces canons, des ces mitrailleuses, de ces troupes, l’arme au pied, amassées aux abords du village et dans le village, de ces arrestations, de ces exécutions massives, de ces délations de fellahs terrorisés mentant à longueur de journée pour se disculper », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664.
Parallèlement, une vague de répression toucha les trois tendances du mouvement national algérien qui s’étaient unies au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ceux-ci furent dissous, par les autorités françaises, le 15 mai 1945. Les militants nationalistes qui avaient exercé des responsabilités publiques, furent envoyés en prison. En novembre 1945, le nombre des arrestations s’élevait à 4 560 pour toute l’Algérie. Selon Charles-André Julien, « la plupart des arrestations avaient été faites sans preuves », info tiré du livre de Julien Charles-André, L’Afrique du Nord en marche, op. cit., page 263.
Les tribunaux militaires avaient prononcé 557 non-lieux, 1307 condamnations, dont 99 à mort, 64 aux travaux forcés à perpétuité, 329 aux travaux forcés à temps et 250 acquittements. Messali Hadj fut déporté à Brazzaville, Ferhat Abbas alors dirigeant des Amis du Manifeste et de la Liberté fut envoyé en prison ainsi que le président de l’Association des Ouléma, le Cheikh Bachir El Ibrahimi.
Ces terribles massacres ne furent pas l’œuvre du gouvernement de Vichy mais celui du gouvernement de la France Libre qui s’était opposé au nazisme. Tous les grands mouvements politiques issus de la résistance y étaient présents, des gaullistes aux communistes en passant par les socialistes et les démocrates chrétiens. Tous furent agents actifs et complices des massacres du Nord-Constantinois. Le ministre de l’air qui fit bombarder le Nord-Constantinois, était le communiste Charles Tillon qui avait dirigé les Francs-Tireurs et Partisans.
Dans les colonnes de Fraternité du 17 mai 1945, les socialistes blâmèrent ceux qui « avaient sali la grande heure de la Victoire des démocraties » et estimèrent que « la grande masse des populations musulmanes n’avait pas encore atteint le degré d’évolution minimum nécessaire pour justifier les revendications du Manifeste ; le fait que les élites dirigeantes aient organisé et déclenché ce mouvement n’indique pas non plus que celles-ci ont une maturité politique », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 667-668. Le Parti Communiste Français dénonçait l’action « d’agents secrets hitlériens et d’autres agents camouflés dans des organisations qui se prétendent démocratiques au service de l’impérialisme fasciste », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, Paris, PUF, 1979, page 597.
Dans son édition du 12 mai 1945, L’Humanité appela à « châtier impitoyablement et rapidement les organisateurs de la révolte et les hommes de mains qui ont dirigé l’émeute ». Le 31 mai 1945, le journal communiste recommandait de « punir comme ils le mérite les tueurs hitlériens ayant participé aux évènements de mai 1945, et les chefs pseudo-nationalistes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 668. Le Parti Communiste Français pour qui l’aspiration à l’indépendance était étrangère à la population algérienne, se félicita des sanctions prises contre Messali Hadj, Ferhat Abbas et le Cheikh Bachir El Ibrahimi, ainsi que de la dissolution des Amis du Manifeste et de la Liberté.
Suivant la ligne politique du Parti Communiste Français, le 31 mai 1945, Amar Ouzegane, le premier secrétaire du Parti Communiste Algérien, dénonça « la collusion criminelle des faux nationalistes du Parti du Peuple Algérien avec la Haute Administration non épurée et les soutiens du fascisme », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, op. cit., page 597. Liberté, l’organe du Parti Communiste Algérien, parlait de « complot fasciste » dont les militants du Parti du Peuple Algérien étaient les principaux agents. Le Parti Communiste Algérien qui était formellement indépendant et qui, dans les faits, s’alignait totalement sur la politique du Parti Communiste Français, refusait de prendre en compte les aspirations nationales du peuple algérien.
Malgré la répression, les militants clandestins du Parti du Peuple Algérien continuaient de mener leur action politique. Dans un tract distribué au alentour du 25 juin 1945 dans la région d’Alger, le Parti du Peuple Algérien affirmait : « le peuple algérien vient de vivre l’épisode le plus dramatique et le plus sanglant de sa lutte plus que séculaire contre l’Impérialisme le plus rapace, le plus tyrannique, le plus aberré. […] Les journées du 1er et du 8 mai 1945 sont désormais inscrites en lettres de sang dans l’histoire de notre grand combat pour la libération de la Patrie Algérienne. 500 000 de nos frères, calmes, dignes, mais farouchement résolus, ont parcouru les rues de nos villes au mépris des mitrailles, galvanisés par une foi indomptable en l’idéal de Libération Nationale ». Dénonçant l’unanimisme de la presse et des partis politiques français, le tract ajoutait :« l’union sacrée est réalisée quand il s’agit d’accuser l’Arabe. Même nos socialistes, même nos impérialo-communistes », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Analysant la signification historique de ces massacres le tract du Parti du Peuple Algérien expliquait : « les massacres sont l’unique moyen de sauver les privilèges hideux du colonialisme, si ce n’est en exterminant les Arabes. Ils en ont tué 35 000. Il en reste 9 965 000, qui sont prêts à mourir et qui sont prêts… à se DEFENDRE. Car les évènements ont scellé d’un lien d’acier l’unité du peuple algérien ». Le tract se concluait en affirmant : « Tout cela c’est la déconfiture du régime colonial français », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Ces massacres marquèrent profondément toute une génération de jeunes militants nationalistes révolutionnaires Algériens qui furent à l’origine de l’insurrection du 1er novembre 1954. Cela fit dire à certains historiens, tels que Mohammed Harbi, que la révolution algérienne avait véritablement commencé le 8 mai 1945 à Sétif. Pour l’un des hommes qui organisa l’insurrection du 1er novembre, Mohammed Boudiaf, le 8 mai 1945 fut le point de départ de son engagement dans les rangs nationalistes : « Le 8 mai 1945, expliquait-il, fut le point de départ d’une prise de conscience », info tiré du livre de Boudiaf Mohammed, La préparation du 1ier novembre, Ed. Etoile, 1976, page 10.
oumma.com
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Âgée de 18 ans, Amina Mabizari est admise dans 7 universités américaines.
Après avoir postulé dans 8 universités du groupe Ivy League, la jeune Américaine Amina Mabizari a été admise dans 7 d’entre elles.
Des efforts fructueux
Lorsque Amina a postulé dans ces 8 universités, elle ne s’attendait pas à obtenir autant de réponses positives et avait simplement « peur de ne pas être acceptée nulle part » : « C’est drôle, maintenant que je suis acceptée dans la plupart de ces universités, de repenser à la raison pour laquelle j’ai postulé pour autant d’établissement ». Elle a ainsi reçu une lettre d’acceptation de Princeton, de Columbia, de Cornell, Brown, Dartmouth, de Pennsylvania mais également de Yale.
Etant plus jeune, l’une de ses enseignantes avait pourtant affirmé qu’elle était « l’élève la moins performante de la classe, trouvant des difficultés à lire et identifier les lettres ». Amina redoublera d’efforts avec le soutien de sa mère et lira durant de nombreuses heures l’anglais en vue de progresser jusqu’à devenir la meilleure élève. Elle deviendra l’an qui suit l’élève la plus douée et talentueuse après avoir brillamment réussi des examens de son école.
Aujourd’hui, elle espère faire des études de droit afin de devenir sénatrice. Interrogée par le quotidien Houston Chronicle, elle invite les jeunes étudiants à croire en eux : « Ne vous dîtes jamais que vous êtes moins bon que d’autres personnes venus d’autres régions. Vous êtes aussi capable que quiconque ».
katibin.fr
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Participez à ce concours d’éloquence qui valorise la prise de paroles des jeunes.
À la veille de l’échéance présidentielle de 2017, l’idée est d’abord partie d’une volonté de favoriser la prise de parole des citoyens. C’est pourquoi une association seynoise a pensé mettre en place un Grand Débat à La Seyne sur Mer, dans le département du Var.
Le Grand Débat, c’est quoi ?
Mis en place avec la participation du dispositif « OSE TES IDÉES » et du fond de participation des habitants, cette action est menée par un groupe de jeunes et soutenue par l’association Univers-cité et ses partenaires, le Grand Débat est ouvert à tous les habitants du bassin toulonnais à partir de 16 ans et dans la limite des 48 places disponibles.
Valoriser la prise de parole des jeunes.
Ce concours valorise la prise de parole en mêlant art de l’éloquence, éveil artistique et positionnement intellectuel. L’usage des différentes formes d’expression orales est encouragé dans le cadre du Grand Débat : « Nous valorisons l’oral, l’art oratoire, l’éloquence du candidat, qui pourra utiliser tout artifice visuel ou accessoire sans entraîner son élimination mais qui ne feront pas l’objet d’une valorisation aux yeux du jury. L’originalité de la prestation sera prise en compte dans le délibéré. »
Comment se déroulera le concours ?
Le concours se déroulera sur trois lieux différents, qui permettront de donner la parole aux citoyens de différentes zones du territoire : « Conscients de l’éloignement de certains, des débats publics, nous aimerions, par cette action, leur offrir la possibilité de s’exprimer. » Le concours prend la forme d’une joute oratoire dans laquelle chaque candidat répond au sujet, qui lui est donné par l’affirmative ou la négative, conformément aux directives qui lui sont communiquées par les organisateurs, à savoir répondre positivement ou négativement.
Vous souhaitez y participer et tenter de remporter de nombreux cadeaux ?
Pour avoir l’opportunité de faire partie des participants ou assister au concours, vous pouvez contacter l’association qui organise cet événement :
Téléphone : 09 80 74 92 93.
Adresse mail : univers-cite@outlook.fr
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Pour cette première édition, les participants sont invités à s’inscrire dès à présent en déposant leur candidature à l’email suivant : grand-debat@uc83.fr
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katibin.fr***

France : Pas de finale pour l’équipe de football (11, 13 ans) entrainée par une femme voilée.
En France, porter un voile sur le bord du terrain est devenu « une provocation », la « démonstration de la présence de l’islam radical », « une atteinte à la laïcité et aux valeurs de la République ». C’est en tout cas ce qui est mis en avant par toutes les instances du pouvoir pour cacher malhabilement un racisme et une islamophobie systémique.
Le club de foot de l’AS Surieux d’Echirolles (Isère) n’aura pas eu le droit de jouer la finale de la Coupe Rhônes-Alpes. La raison : l’entraineur étant voilée, la Ligue de Football Française a refusé l’accès au terrain au coach.
En guise de protestation, le club et les parents des jeunes joueurs âgés de 11 à 13 ans ont refusé de se déplacer pour la finale et ont déclaré forfait. Un soutien de toute une ville à Essia Aouini, 19 ans, qui a hissé l’équipe jusqu’à la dernière marche de la compétition.
«Nous considérons qu’il s’agit d’une véritable injustice car Essia a eu le mérite de conduire son équipe jusqu’en finale. Il n’est donc pas question de jouer sans elle. C’est un geste de solidarité», explique Amar Benguedouar, président de l’AS Surieux, club qui accueille les jeunes des cités sensibles d’Echirolles, près de Grenoble.
L’AS Surieux a fait remarquer qu’Essia a toujours porté son voile depuis le début de la saison. Pour l’Observatoire de la Laïcité, il s’agirait de se pencher sérieusement sur cette décision qui s’appuie visiblement sur un règlement qui ne respecte pas les lois de la République.
Evidemment, le président de la région, Laurent Wauquiez, a tenu à apporter son soutien à la décision de la Ligue. Il s’est félicité de cette nouvelle exclusion contre une femme voilée. Le même qui est invité chaque année à La grande Mosquée de Lyon malgré ses prises de position contre la visibilité des musulmans en France.
Essia, étudiante en licence d’anglais, nie faire du prosélytisme en portant son voile.
«L’acceptation des différences fait partie des valeurs du football. Comment voulez-vous qu’un tel message soit transmis à des jeunes lorsqu’on leur annonce qu’en raison d’une différence l’éducatrice ne peut accompagner son équipe», écrit la jeune femme au président de la Ligue.
Même le maire de la ville d’Echirolles, Renzo Sulli, a saisi le président de la FFF pour obtenir l’autorisation nécessaire à la coach. Sans résultat malheureusement.
«Tout cela est triste, déplorable», lâche Essia, dépitée. «On est forcément déçues de ne pas jouer cette finale mais on soutient notre coach», confie une jeune joueuse de l’AS Surieux.
Les institutions françaises continuent petit à petit l’exclusion de la femme voilée de la sphère publique. Une démarche qui a débuté par la loi de 2004 contre les jeunes lycéennes voilées.
islametinfo.fr
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France : Que pourra faire le président de la République une fois élu ?
Dimanche soir, les Français auront choisi leur nouveau président de la République. Garant de la démocratie et du respect des libertés, le chef de l’Etat peut organiser des referendums, saisir le Conseil constitutionnel ou bien dissoudre l’Assemblée nationale. Chef des armées, il est aussi le détenteur des codes nucléaires.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Un poste de police sioniste à l’est de Jérusalem
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La police israélienne a ouvert le dimanche matin le première poste de police sioniste dans les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est, et pour la première fois depuis l’occupation de la ville, il y a 50 ans.
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L’Occupation approuve le projet de loi de l’Etat juif
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Appel à la désobéissance civile complète face à l’occupation
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Les factions nationales appelées à soutenir la question des prisonniers
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L’occupation attaque la maison du martyr Milad Ayyash à Jérusalem
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L’occupation vole le contenu d’une tente de solidarité et le véhicule d’un prisonnier à Bethléem
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9 blessés lors des confrontations au sud de Naplouse
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Al-Bira: 30 blessés dans une attaque armée contre une fête de fin d’année
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Incursion israélienne limitée à l’est de Deir al-Balah
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Avertissement de l’alimentation forcée au 21ème jour de la grève de la faim des prisonniers palestiniens
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Sept Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem occupée
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Les Jérusalémites interdits de manifester en solidarité avec les prisonniers
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Ismail Haniyeh élu nouveau chef du Hamas
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Les dangers de l’alimentation forcée sur les prisonniers grévistes
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L’occupation continue de fermer l’entrée de Beta au sud de Naplouse
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Les prisonniers du Hamas renouvellent leur confiance au nouveau chef
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 10 Cha’ban 1438.

Flash info du 10 Cha’ban 1438.
Pour écouter le Coran, des hadiths, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info
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Ramadan : L’utilisation de médicament tels que la “ventoline” annule-t-elle le jeûne ?
Pendant le mois sacré du Ramadan les maladies ne sont pas toutes régies par la même règle.
En effet, les asthmatiques ont besoin d’inhaler un médicament qui est aussi un traitement à prendre de manière quotidienne afin de soulager leurs crises d’asthme, ou leurs difficultés respiratoires.
Cette affection chronique extrêmement répandue à travers le monde qui touche plus d’une personne sur vingt, peut être combattue par une bombe aérosol.
Le médicament le plus utilisé par les asthmatiques est la «Ventoline».
Mais est-il possible d’utiliser les inhalateurs pendant le mois de Ramadan?
Voici la réponse d’Ibn ‘Uthaymîn, (Fadhâ’il Ramadhân) :
«L’utilisation de ces inhalateurs par une personne en état de jeûne est permise, que ce soit pendant le mois du Ramadan ou en dehors, car la vapeur aspirée ne parvient pas à l’estomac mais va aux poumons ; elle a la particularité de provoquer leur dilatation et de permettre à la personne de respirer normalement après cela. Ce n’est ni un aliment ni une boisson, et l’inhaler ne revient pas à manger ou à boire, car aucun aliment, ni aucune boisson ne parvient à l’estomac.»
Ainsi que la réponse de Shaykh Abu Umar Salim Al Ajmi :
«Il est permis au jeûneur d’utiliser l’inhalateur (contre l’asthme) s’il en a besoin et son jeûne ne s’annule pas pour autant car cela ne ressemble pas au fait de manger et de boire et n’entre pas dans leur sens.»
AJIB.FR
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Une étude révèle l’importance des thèmes de la miséricorde et de la joie dans le Coran.
Il y a quelques mois de cela, nous vous parlions de cet américain qui a été poussé vers l’Islam par le biais de la Bible. C’est en constatant des contradictions dans le texte biblique que cet homme s’est lancée dans la lecture du Saint Coran, suite à quoi il a embrassé l’Islam. Aujourd’hui, un ingénieur américain du nom de Tom H.C Anderson a décidé de contrer l’islamophobie en comparant la Bible et le Coran.
La question était de savoir si le Coran, si souvent présenté par les médias comme véhiculant la violence, était plus violent que les textes bibliques ou s’il s’agit seulement d’une idée reçue. Afin de répondre à cette interrogation, Tom Anderson a mis en place un logiciel pour comparer les textes quant à l’utilisation de certains mots : joie, colère, tristesse, meurtre. Cette comparaison était ensuite regroupée sous forme de statistiques.
Suite aux comparaisons du Saint Coran, de l’ancien et du nouveau testaments, cet ingénieur a conclu que l’ancien testament est celui qui fait le plus référence à la violence. Il précise ainsi : « la mort et la destruction sont légèrement plus présents dans le Nouveau Testament que dans le Coran (2,8% contre 2,1%) mais l’Ancien Testament est clairement loin devant le Coran, avec deux fois plus de références à la destruction et au meurtre (5,3%) ». La notion de « colère » est davantage présente dans la Bible alors que celle de « joie » et de « croyance » sont prédominantes dans le Coran.
Au delà de ce constat, Tom Anderson a également remarqué par son étude que la miséricorde et la bonté sont des aspects bien plus présents dans le Saint Coran que dans la Bible. L’ingénieur a d’ailleurs expliqué qu’il a lui même été surpris par ces conclusions : « Ceux qui n’ont pas lu ou qui ne sont pas familiers de ces trois textes religieux seront peut-être un peu surpris d’apprendre que le Coran n’est pas plus violent que ses homologues judéo-chrétiens. (…) Personnellement, j’étais un peu surpris de voir que le concept de miséricorde était autant présent dans le Coran ; je pensais qu’il serait plus présent dans le Nouveau Testament (…).«
Les résultats de cette étude déconstruisent ainsi les préjugés circulant au sujet de l’Islam et du Saint Coran : la Bible contient des passages bien plus violents et le Coran véhicule davantage la miséricorde. Il y a quelques mois de cela, nous évoquions d’ailleurs cette expérience sociale aux Pays Bas : des passants écoutaient des passages de la Bible pensant qu’il s’agissait du Coran. Leur réaction illustre la présence de préjugés bien ancrés dans la société.
AJIB.FR
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Belgique : Un homme condamné pour avoir incendié une Mosquée.
Un habitant de Liège en Belgique vient d’être condamné à seulement 10 mois de prison pour avoir tenté d’incendier une Mosquée à Herstal, pleine au moment des faits.
En effet, le 17 octobre 2016 alors que ce liégois âgé de 37 ans tente d’allumer le feu dans une Mosquée, il est surpris par un fidèle qui le fait fuir.
Rattrapé par les forces de l’ordre, il est obligé de rendre des comptes à la justice.
Lors de son passage au tribunal, il a tenté d’expliquer son geste, se défendant de toute islamophobie, par le fait qu’il aurait été blessé au visage quelques mois auparavant par un objet en passant devant ce même lieu de culte.
Il a contesté l’intention de tuer les fidèles présents au moment de cet acte ignoble.
Une peine très légère comparée au drame qu’il aurait pu provoquer s’il n’avait pas été surpris.
islametinfo.fr
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Une dépêche AFP présente Marine Le Pen comme descendante du prophète (RSS).
L’ information en a dérouté plus d’un. En effet, une dépêche AFP titrée « Marine Le Pen descend du prophète (RSS), Emmanuel Macron d’Hugues Capet » a présenté Marine Le Pen comme descendante du prophète. Quelques heures après, celle-ci a été retirée après son envoi.
C’est ce qu’indiquent plusieurs médias électroniques ayant relayé l’information et ayant supprimé par la suite le contenu de leurs pages.
Cette dépêche a été très surprenante par son contenu car celle-ci s’appuyait sur le témoignage du généalogiste français Jean-Louis Beaucarnot.
« À 100% bretonne par son père, Marine Le Pen n’en a pas moins, par sa mère, Pierrette Lalanne, des ancêtres variés et parfois surprenants, a déclaré le généalogiste mercredi. Du côté de sa grand-mère maternelle, on trouve ainsi « une famille Foulquier, dont les aïeux étaient marchands au XVIIe siècle à Pousthomy » (dans l’Aveyron). En remontant la lignée figure une certaine Anne de Roquefeuil, par laquelle « elle descend du roi de France Louis VI le Gros, des rois d’Angleterre -par Henri II et Aliénor d’Aquitaine- mais aussi des anciens rois d’Espagne et, par ces derniers, des Omeyyades d’Andalousie, des califes de Damas et, à la 50e génération… de Mahomet lui-même ! », assure Jean-Louis Beaucarnot.
Emmanuel Macron est citée aussi puisque la dépêche indique qu’il « descend du fondateur de la dynastie des capétiens, Hugues Capet » et le généalogiste poursuit par une citation des patronymes de ces ancêtres quelques peu… graveleux.
Joint par le quotidien français 20 minutes, l’AFP « explique que la dépêche était au stade «de brouillon» et qu’elle a été publiée par erreur.
Il s’agit évidemment d’une erreur même si cette dépêche n’a vraiment pas du faire rire le clan des Le Pen.
islametinfo.fr
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France : Isère : Tags islamophobes sur une Mosquée.
Ces dernières années, les tags à caractère islamophobe ne cessent de recouvrir les murs des enceintes de lieux de culte musulman.
C’est ainsi que La mosquée Abou Bakr, l’un des lieux de culte de Bourgoin-Jallieu, dans le département de l’Isère, a été taguée d’inscriptions islamophobes dans la nuit de samedi à dimanche.
Selon la chaine de télévision France3, l’auteur âgé de 24 ans a reconnu les faits avouant avoir des liens avec un groupe d’extrême droite de la région lyonnaise.
Il avait tagué « Islam hors de l’Europe » de même qu’une croix celtique.
Une enquête a d’ores et déjà été ouverte car les responsables de la mosquée ont décidé de porter plainte.
Aucune condamnation et c’est par le silence complice des médias et des politiques que cette islamophobie a pu devenir ce qu’elle est aujourd’hui en France : une islamophobie systémique et permanente.
islametinfo.fr
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Hijab : La Fédération internationale de basketball autorise le voile.
Alors qu’il y avait une interdiction pour les femmes musulmanes de jouer au basketball en portant le voile, voilà que la Fédération internationale de basketball (FIBA) lève son interdiction.
Il est donc désormais possible qu’une femme de confession musulmane de porter le hijab pendant les matchs.
C’est ce que vient d’annoncer la fédération à l’issue d’un processus de révision entamé depuis plus de trois années.
La Fédération internationale de basketball ( FIBA) a déclaré :
« Le bureau central a approuvé la proposition soumise par la Commission technique qui autorise le port du voile par les joueuses »
Le président de la FIBA avait reçu une pétition de plus de 130 000 signatures venant du monde entier, au terme d’une campagne de lobbying qui a duré deux ans.
Si la décision est entérinée, elle entrera en vigueur au 1er octobre 2017.
Voilà donc une bonne nouvelle pour toutes ces femmes qui souhaitent continuer à pratiquer le sport.
islametinfo.fr
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De l’islamophobie à la xénophobie, les constats d’un journaliste algérien au défilé FN.
« Islam hors d’Europe », les immigrés comparés à « des parasites sociaux », les étrangers appelés à être expulsés « de gré ou de force »… La présidence du Front national a beau vouloir se construire une image lisse au travers d’une diabolique stratégie de « dédiabolisation », ses militants sont très nombreux à afficher ouvertement leur racisme et leur haine des musulmans et des étrangers.
Abdou Semmar, rédacteur en chef du site Algérie-Focus, en a fait le constat lors du défilé organisé à Paris le 1er mai en l’honneur de Jeanne d’Arc. Plusieurs militants d’extrême droite sont interrogés sur leur vision de l’islam, de l’immigration, de la présence des étrangers et des Algériens en particulier. Le tout face caméra. Consternant.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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saphirnews.com
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Royaume-Uni : le Parti travailliste éjecte un candidat qui appelait à « éradiquer l’islam ».
Deux jours avant que les électeurs britanniques soient convoqués aux urnes pour renouveler près de 5 000 sièges de conseils locaux et moins d’un après le vote référendaire en faveur du Brexit, source de profondes dissensions, le Parti travailliste (Labour Party) s’est débarrassé in extremis d’une brebis galeuse qui avait infiltré ses rangs et risquait fort d’entacher gravement son image.
Mardi 2 mai, deux petits jours avant un scrutin constituant un premier grand test électoral pour la Première ministre, Theresa May, Trevor Merralls, le directeur d’une compagnie de taxis noirs qui briguait un siège dans la circonscription d’Old Bexley et Sidcup, située dans le Grand Londres, a été freiné net dans ses ambitions, rattrapé par sa prose haineuse distillée sur Twitter et ses appels à «éradiquer l’islam du continent européen », entre autres cris de guerre rageurs.
Réunis en cellule de crise pour sceller le sort de ce candidat indésirable dont ils ont découvert tardivement et avec effarement la profonde noirceur de l’âme et des desseins, les responsables du Labour Party ont aussitôt tranché dans le vif : ils ont retiré l’investiture de Trevor Meralls toutes affaires cessantes, tout en envisageant de l’exclure définitivement au terme de l’enquête qui doit faire toute la lumière sur cette sombre affaire.
Criant à la « campagne de calomnies » face à l’opprobre général, Trevor Meralls, ce candidat travailliste derrière lequel se cachait un redoutable islamophobe et fauteur de troubles, ne pourra pas mener sa croisade fiévreuse sous les couleurs d’un parti qui a « toujours été à l’avant-garde de la défense du racisme sous toutes ses formes », comme l’a clamé haut et fort son porte-parole. “La haine et la division n’ont pas leur place chez nous ! “, a martelé ce dernier.
Un parti dont le maire musulman de Londres, Sadiq Khan, est l’ambassadeur charismatique, qui n’en revient toujours pas qu’un tel sinistre personnage ait réussi à s’immiscer dans ses rangs, jusqu’à décrocher le précieux sésame de l’investiture qui lui aurait ouvert la voie vers une campagne nauséabonde et inflammable.
oumma.com
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Le premier voyage du président Trump sera Israël et l’Arabie saoudite.
L’Arabie saoudite et Israël seront les deux premières destinations étrangères du président Trump. Le locataire de la Maison-blanche l’a annoncé après avoir signé un décret sur la tolérance religieuse.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
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oumma.com
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La Malaisie, destination préférée des touristes musulmans, talonnée par les Emirats arabes unis.
Destination fascinante dont la capitale Kuala Lumpur regorge de joyaux culturels, la Malaisie, ce lieu d’évasion très prisé par les touristes musulmans, a été à nouveau consacrée première destination de choix par le marché du voyage islamique, devançant les Emirats arabes unis qui se maintiennent en seconde position pour la deuxième année consécutive, l’Indonésie, le plus grand pays musulman au monde, fermant la marche de ce trio de tête.
Hissée à la première place du prestigieux classement Mastercard-CrescentRating Global Muslim Travel Index qui couvrait 130 destinations, la Malaisie, riche de sa diversité géographique, ethnique et culturelle, offre toutes les garanties d’un dépaysement réussi pour des visiteurs musulmans de plus en plus avides de découvrir de nouveaux horizons, en dehors des séjours traditionnels en Terre sainte.
Secteur en plein essor qui pèse de tout son poids dans le marché mondial du tourisme, le marché du tourisme halal devrait avoisiner les 220 milliards de dollars d’ici à 2020 et tutoyer les 300 milliards de dollars d’ici à 2026, fort d’une clientèle en pleine redynamisation qui ne se lasse pas de parcourir le globe, à l’aune de quelques chiffres très éloquents : en 2016, on dénombrait 121 millions de visiteurs musulmans à l’échelle mondiale, contre 117 millions en 2015. Ce chiffre devrait être revu à la hausse en 2020, en passant la barre des 156 millions de visiteurs.
Parmi les contrées non musulmanes qui présentent un fort potentiel d’attractivité pour les touristes musulmans, grâce à leur large éventail de prestations parfaitement adaptées à leurs attentes spécifiques, Singapour conserve sa pole position, devant la Thaïlande, le Royaume-Uni, l’Afrique du Sud et Hong Kong, le Japon se classant sixième, après avoir gagné deux places. Il est à noter que l’Espagne entre dans le Top 10 pour la première fois.
Dans ce marché touristique halal très concurrentiel, la Malaisie et les Emirats arabes unis rivalisent d’atouts et d’attraits, ce qui fait dire à Fazal Bahardeen, directer de CrescentRating et HalalTrip qu’il « sera intéressant d’observer si, à l’avenir, l’offre très attrayante proposée par les Emirats arabes unis leur permettra de ravir la première place à l’indétrônable Malaisie ».
oumma.com
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Belgique : Un Liégeois poursuivi pour avoir tenté d’incendier une mosquée de Herstal.
Un Liégeois âgé de 37 ans a comparu jeudi devant le tribunal correctionnel de Liège pour répondre d’une tentative d’incendie commise sur une mosquée de Herstal. Le prévenu avait déversé de l’essence sur la façade de cet établissement mais avait été surpris avant d’allumer l’incendie.
Les faits s’étaient déroulés le 17 octobre 2016 au centre culturel musulman de Herstal. Le prévenu avait déversé une demi-bouteille d’essence sur la façade de cet établissement mais n’avait pas allumé le feu. Il avait été surpris et mis en fuite par un individu qui sortait de cet endroit.
Le prévenu cultivait une rancœur après un incident qui s’était déroulé devant cette mosquée. Quelques mois avant les faits, alors qu’il circulait en cyclomoteur, il avait reçu un objet qui été tombé. Après un passage par l’hôpital, il avait déposé plainte mais cette plainte avait été classée sans suite. Non assuré, le prévenu avait été obligé de payer les frais de son hospitalisation.
Le jour des faits, il avait consommé de l’alcool quand sa rancœur l’avait poussé à tenter d’incendier la mosquée. Mais selon lui, il n’avait manifesté aucune intention de tuer les gens présents dans la mosquée.
Le parquet a poursuivi le prévenu pour tentative d’incendie d’un immeuble habité et a requis contre lui une peine de 100 heures de travail ainsi que 10 mois de prison ferme. La défense a dénoncé le geste insensé du prévenu mais a contesté l’atteinte à la liberté de culte que dénonçaient les parties civiles. L’avocat du prévenu a réclamé une peine de travail.
actualiteislamiquedebelgique.com
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Belgique : un seul abattoir communal prévu pour l’Aïd à Bruxelles.
Les musulmans de Bruxelles qui souhaitent sacrifier un mouton pour l’Aïd-al Adha cette année, risquent de ne pas pouvoir respecter leur tradition en toute légalité. La Région a décidé de ne plus proposer de site d’abattage mobile après le fiasco de l’année dernière.
Les communes bruxelloises disent ne pas avoir les moyens de mettre en place des abattoirs temporaires. Seul la commune d’Anderlecht devrait proposer un abattoir temporaire, mais uniquement à ses résidents, en partenariat avec les abattoirs.
L’abattage rituel sans étourdissement des animaux, continue de faire débat dans tout le pays et l’on se dirige probablement vers une interdiction total de celui-ci. On restreint les droit aux musulmans de pratiquer leur culte.
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Belgique : La Wallonie interdit l’abattage sans étourdissement à partir de septembre 2019.
L’abattage des ovins et des bovins sans étourdissement sera interdit en Wallonie à partir du 1er septembre 2019. C’est le sens du vote exprimé à l’unanimité ce vendredi par les députés membres de la commission Environnement du parlement. C’est une étape décisive dans la longue et houleuse saga de ce dossier. Il faut encore que le vote soit confirmé en séance plénière.
La proposition de décret, cosignée par le MR, le CDH et le PS, « permet d’épargner au maximum le stress et la souffrance des animaux au moment mise à mort », a justifié l’un des co-auteurs du texte, le CDH Josy Arens. Il ne s’agit pas « d’un caprice ou une fantaisie, enchaîne sa collègue MR Christine Defraigne. Le bien-être animal est une valeur profonde ; elle concerne notre vivre ensemble, notre harmonie ».
Compromis.
La solution de compromis trouvée par les députés consiste à accorder une période transitoire de plus de deux ans qui devrait permettre aux abattoirs de s’adapter à la nouvelle donne : la généralisation de l’électronarcose avant l’abattage. Cette technique consiste à étourdir l’animal par un choc électrique qui le prive de sa conscience et de sa sensibilité. Contrairement à l’électronarcose des ovins et caprins, la technique n’est pas encore parfaitement au point pour les bovins. « Un programme de recherche sera lancé avec le soutien de la Région wallonne afin de trouver la solution la plus efficace », a indiqué le ministre wallon Carlo Di Antonio (CDH).
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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