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Flash info du 12 Cha’ban 1438.

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France : Emmanuel Macron remporte largement l’élection présidentielle avec 65,1% des voix face à Marine Le Pen, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria.
L’issue du scrutin était prévisible, c’est désormais acquis : Emmanuel Macron va devenir le huitième président élu de la Ve République. Il a recueilli, dimanche 7 mai, 65,1% des voix face à Marine Le Pen (34,9%), au second tour de l’élection présidentielle, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France*. Grand favori de ce duel inédit, Emmanuel Macron a su tenir son rang malgré un début d’entre-deux-tours poussif. Retour sur la dernière ligne droite de ce marathon présidentiel unique en son genre.
Pour Emmanuel Macron, la campagne de second tour commence par une grosse bourde de communication. Galvanisé par sa position de tête au soir du premier tour, le 23 avril, il choisit de fêter ce qui n’est pourtant pas encore une victoire. A La Rotonde, une brasserie réputée du quartier de Montparnasse, à Paris, le candidat retrouve une partie de son staff de campagne, des politiques et quelques célébrités comme Pierre Arditi et Line Renaud.
Une campagne qui flotte.
Les agapes restent modestes. Du jambon et des asperges pour le candidat, « quelques radis, des croque-monsieur coupés en quatre et une coupe de champagne » pour les invités, relate Stéphane Bern, qui était aussi de la partie. La Rotonde n’est pas le Fouquet’s, mais qu’importe : dans les esprits, le parallèle est vite établi avec la fête « bling-bling » de Nicolas Sarkozy au soir de sa victoire en 2007.
Surtout, on reproche à Emmanuel Macron d’agir comme s’il avait déjà gagné la partie. Juste avant l’escapade à La Rotonde, il prononce un discours de quasi-victoire devant 3 000 militants en liesse, échange sur scène un baiser avec son épouse Brigitte… A-t-il pris la mesure de la responsabilité qui lui incombe ? Est-il capable de trouver les mots pour rassembler le camp républicain face au Front national ? Les jours suivants, sa campagne semble flotter : un agenda vide le lundi, pas de déplacement de campagne le mardi… Le mercredi matin, Libération traduit le scepticisme ambiant dans une une moqueuse.
Ce jour-là, Emmanuel Macron redescend très vite dans l’arène, aiguillonné par Marine Le Pen. Pendant qu’il rencontre les représentants syndicaux de l’usine Whirlpool d’Amiens dans les locaux de la Chambre de commerce de la ville, son adversaire déboule par surprise sur le site de l’usine promise à la fermeture. Sur les chaînes d’information, le choc des images est saisissant : l’un est claquemuré dans des bureaux, l’autre pose pour des selfies et réconforte les salariés.
Chez Whirlpool, Macron remis en selle par Le Pen.
Le coup de com’ de Marine Le Pen fonctionne à merveille. Sauf qu’Emmanuel Macron ne s’avoue pas vaincu. Sa réunion terminée, il se rend à son tour auprès des salariés. L’accueil houleux lui permet de mettre en scène un certain courage. Arrivé sous les sifflets, il repart, après plus d’une heure de discussion, dans une atmosphère plus apaisée. Des poignées de main sont échangées. S’il n’a pas convaincu les salariés, il a peut-être gagné leur respect.
Rien n’est évident dans cet entre-deux-tours. Le front républicain, si puissant en 2002 lorsqu’il s’agissait de faire barrage à Jean-Marie Le Pen en votant pour Jacques Chirac, est abîmé. L’attitude de Jean-Luc Mélenchon, qui ne donne aucune consigne de vote et refuse de dévoiler son choix, en dit long sur le déclin de ce réflexe politique qui avait accompagné la montée du Front national dans les années 1990.
Un certain flottement existe aussi à droite. Certes, François Fillon appelle dès le soir du premier tour à voter pour Emmanuel Macron. Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se prononcent aussi rapidement en faveur du candidat d’En marche !, de même que plusieurs ténors (Christian Estrosi, Xavier Bertrand, Nathalie Kosciusko-Morizet…). Mais le bureau politique des Républicains reste dans l’ambiguïté : « Face au Front national, l’abstention ne peut être un choix, nous appelons à voter contre Marine Le Pen pour la faire battre au second tour de l’élection présidentielle », énonce le communiqué du parti, sans citer le nom d’Emmanuel Macron.
Rediaboliser le FN pour mieux le contrer.
Pour réactiver ce front républicain en perte de vitesse, Emmanuel Macron tente de dramatiser sa campagne. Plutôt que de modifier son programme ou de donner des gages aux électeurs de Mélenchon ou de Fillon, le candidat d’En marche ! entreprend de faire de ce second tour un référendum anti-FN. « Ne pas se positionner, c’est décider d’aider madame Le Pen », déclare-t-il sur TF1.
Il multiplie les commémorations symboliques censées replacer le FN face à son sulfureux passé. Le vendredi, il se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), ce village massacré et détruit par des soldats de la Waffen-SS en juin 1944, puis visite le mémorial de la Shoah à Paris. Le 1er-Mai, il participe à un hommage en mémoire de Brahim Bouarram, un Marocain jeté dans la Seine par un participant au défilé du 1er mai 1995 organisé par Jean-Marie Le Pen. « Le parti des agents du désastre, les instruments du pire, l’extrême droite française, elle est là. Ils guettent depuis si longtemps l’effondrement que nous vivons pour en tirer profit », assène-t-il, le même jour, lors de son grand meeting parisien.
Une victoire sans enthousiasme
Le débat du 3 mai, suivi par 16 millions de téléspectateurs, lui donne une nouvelle occasion de pousser son avantage. Marine Le Pen, trop agressive, perd des plumes dans cet exercice qui exige de la solennité. Même certains de ses soutiens reconnaissent que leur candidate a manqué son débat. L’effet est immédiat. Dans les sondages qui suivent, la courbe d’Emmanuel Macron remonte sensiblement, laissant présager la large victoire obtenue ce dimanche.
Malgré le score, sans appel, cette difficile campagne d’entre-deux-tours a démontré qu’Emmanuel Macron ne peut se prévaloir d’avoir reçu un blanc-seing de la part des électeurs. Selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde publiée le 2 mai, 60% de ses électeurs affirment voter pour lui « par défaut ». Fractures politiques, colères sociales, scepticisme généralisé… A peine élu, Emmanuel Macron se trouve déjà face à d’immenses défis. Pour lui, le plus dur commence dès ce soir.
* Estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, Le Point, Le Monde, France 24 et les chaînes parlementaires.
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Voici pourquoi le musulman doit apprendre à pardonner.
Pardonner aux autres n’est pas une affaire facile mais l’accomplissement de cette épreuve revêt la forme d’une grande bénédiction.
Ainsi, la vengeance ne doit pas être une caractéristique du musulman.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit:
« Quant à ceux qui ripostent après avoir été lésés, …ceux-là pas de voie (recours légal) contre eux » [Coran 42/41].
Notre Créateur ne cesse de nous inciter à renoncer à la haine et de préférer le pardon.
« C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muḥammad) as été si doux envers eux! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. Pardonne-leur donc, et implore pour eux le pardon (d’Allah). Et consulte-les à propos des affaires; puis une fois que tu t’es décidé, confie-toi donc à Allah, Allah aime, en vérité, ceux qui Lui font confiance. » [Coran 3/159].
Alors que certaines trahisons peuvent nous hanter, la meilleure manière de passer l’éponge est de permettre à nos cœurs d’oublier.
Cette décision peut sembler difficile mais le croyant qui arrive à cette finalité pourra jouir d’une tendre bénédiction d’Allah.
« Et Nous y avons prescrit pour eux vie pour vie, œil pour œil, nez pour nez, oreille pour oreille, dent pour dent. Les blessures tombent sous la loi du talion. Après, quiconque y renonce par charité, cela lui vaudra une expiation. Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont des injustes. » [Coran 5/45].
« Nombre de gens du Livre aimeraient par jalousie de leur part, pouvoir vous rendre mécréants après que vous ayez cru. Et après que la vérité s’est manifestée à eux! Pardonnez et oubliez jusqu’à ce qu’Allah fasse venir Son commandement. Allah est très certainement Omnipotent! » [Coran 2/109].
Le pardon est la clémence sont des qualités de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) que chaque musulman devait tendre à développer comme traits de sa personnalité.
Afin de pardonner durablement sans rancune, le musulman ne doit plus voir cette personne comme une ennemie, mais plutôt comme une épreuve de ce bas-monde.
De plus, il est important d’avoir la certitude que le choix du châtiment revient à Allah (soubhanou wa ta’ala) et qu’il se chargera de la personne ici-bas ou dans l’au-delà.
Pardonner est primordial dans la vie d’un musulman car rompre les liens de fraternité avec un frère ou une sœur est une attitude fortement déconseillée.
« Celui qui rompt avec son frère en religion durant une année sera considéré comme s’il avait fait couler son sang. »
(Hadith rapporté par Al Bukhari).
« Ne rompez pas vos liens de fraternité ; ne vous détournez pas les uns des autres ; ne soyez pas envieux les uns vis-à-vis des autres ; soyez plutôt frères, comme Allah vous l’a ordonné. »
(Hadith rapporté par Muslim).
De nombreux croyants ne surmontent pas la difficulté de pardonner à son proche suite à une infidélité. Mais, un sentiment de compassion peut remplacer cette détestable haine quand on connaît le châtiment réservé aux personnes infidèles dans la vie conjugale.
« Trois personnes seront privées de se voir sanctifiées ou adressées la parole par Allah et seront exposées à un châtiment douloureux le jour de la Résurrection : il s’agit d’un vieil homme adultère, d’un roi menteur et d’un pauvre arrogant. » (Rapporté par Mouslim).
Enfin, il faut retenir que le plus grand Pardonneur est Allah (soubhanou wa ta’ala) et il est aussi celui capable d’administrer les plus lourds châtiments. Remettez-en vous à Allah dans les moments de grandes difficultés.
« Sachez qu’Allah est sévère en punition, mais aussi qu’Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » [Coran 5/98].
« Informe Mes serviteurs que c’est Moi le Pardonneur, le Très Miséricordieux. » [Coran 15/49].
AJIB.FR
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8 Mai 1945, La france massacre 35 000 Algérien à Sétif, ne l’oublions jamais.
Le 8 mai 1945 dans le Nord-Constantinois : retour sur un massacre.
En Europe, le 8 mai 1945 est synonyme de victoire de la liberté sur le nazisme. Pourtant alors qu’à Paris, Londres, Moscou ou Washington on célébrait l’effondrement du Troisième Reich, commencèrent les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata.
« L’intelligence, c’est de bien retenir les expériences ».
L’imam Ali.
Ces terribles massacres mirent un coup d’arrêt à l’élan unitaire du mouvement national algérien dont les différentes composantes s’étaient rassemblées au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté.
En effet, durant la seconde guerre mondiale la situation politique fut profondément bouleversée. L’échec définitif du mouvement assimilationniste, (Mouvement qui réclamait le rattachement complet de l’Algérie à la France et la citoyenneté française pour les Algériens), la défaite de juin 1940 qui avait montré la vulnérabilité de la puissance coloniale, avaient redéfini les « champs du possible » pour les acteurs du mouvement national algérien. Avec le débarquement Alliées en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, la vie politique connut une nouvelle dynamique. Les acteurs du mouvement national reprenaient à leur compte l’idée du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes mis en avant par les Américains dans la Charte Atlantique datée 12 août 1942.
C’est dans cette atmosphère que le 10 février 1943, Ferhat Abbas, avec le soutien du Parti du Peuple Algérien, clandestin, et de l’association des Ouléma, rendit publique le Manifeste du Peuple Algérien. Rompant avec l’idéologie assimilationniste, le Manifeste affirmait : « le temps est passé où un Musulman algérien demandera autre chose que d’être un Algérien musulman », phrase tiré du livre de Charles-André Julien, L’Afrique du Nord en marche, Paris, Omnibus, 2002, page. 247.
Le Manifeste eut rapidement un écho important au sein de la population algérienne. Par la suite, afin de faire valoir les idées développées dans le Manifeste, les différentes tendances du mouvement national décidèrent de s’unir dans une organisation politique commune. Ainsi, le 14 mars 1944, les trois principales composantes du mouvement national algérien, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien, les islamistes de l’Association des Ouléma et les « autonomistes » proches de Ferhat Abbas, décidèrent de s’unir au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté pour lutter contre le colonialisme et promouvoir l’idée de nation algérienne.
Les Amis du Manifeste et de la Liberté se structurèrent en section sur l’ensemble du territoire algérien et devinrent rapidement une organisation de masse réunissant plusieurs dizaines de milliers d’adhérents. En politisant la population algérienne, les Amis du Manifeste et de la Liberté permettaient de changer les rapports entre colonisateurs et colonisés. Selon Ahmed Mahsas, « encouragés par l’extension des Amis du Manifeste et de la Liberté, les Algériens longtemps réduits au silence et à la sujétion par le système colonial, changeaient de comportement et levaient la tête. Ils n’acceptèrent plus les brimades dont ils étaient l’objet quotidiennement de la part de l’administration et de la majorité des Européens.
Le nouveau comportement des Algériens se manifestait par le rejet de toute mesure d’humiliation et par la défense de leur dignité. Il suscita la crainte dans les milieux colonialistes et exacerba la haine de l’arabe, naguère traité par le mépris. La tension entre le peuple algérien d’un côté, l’administration et les Européens de l’autre, régna sur l’étendue de tout le territoire algérien » info tiré du livre de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
Au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté, Ahmed Mahsas expliquait que le Parti du Peuple Algérien s’efforçait de populariser ses mots d’ordre (indépendance, panarabisme, solidarités avec les pays arabo-musulmans et les pays colonisés. Son radicalisme, son caractère populaire, son organisation et son action efficace plaçaient le Parti du Peuple Algérien à l’avant-garde du combat » , info tiré de l’ouvrage de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
A cette période, selon Benyoucef Ben Khedda, « une vague de nationalisme déferlait sur tout le pays. C’en était trop pour les colons qui, voyant leurs privilèges menacés, commençaient à paniquer », info tiré du livre de Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, Alger, CNERMNR, 2004, page 87. De plus, les Amis du Manifeste et de la Liberté, sous l’influence du Parti du Peuple Algérien, radicalisaient leur revendication ce qui inquiétaient les autorités coloniales.
En mars 1945, le Congrès des Amis du Manifeste et de la Liberté demanda : « la reconnaissance de la nationalité algérienne » ; « l’établissement d’une constitution algérienne démocratique et républicaine » ; « le remplacement des Assemblées algériennes par un Parlement élu » ; « le remplacement du gouvernement général par un gouvernement algérien » ; « la reconnaissance des couleurs algériennes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, Paris, Ed. Paris-méditerranée, 2003, page 633. De Plus,une motion reconnaissant Messali Hadj comme « leader incontestable du peuple Algérien » fut votée.
Face à cette radicalisation, l’administration coloniale chercha à réagir. Le 18 avril à l’occasion d’un rassemblement dans la commune de Chellala, dans le Sud du département d’Alger, l’administration en profita pour procéder à l’arrestation de plusieurs militants des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ces arrestations provoquèrent des heurts entre la police et la population locale. Le 25 avril, Messali Hadj, qui était assigné à résidence dans la région, fut déporté au Congo. Ainsi, commençait la répression contre le mouvement national.
Les militants du Parti du Peuple Algérien voulurent réagir contre la politique répressive de l’administration coloniale et montrer leur capacité de mobilisation. Depuis le débarquement, le parti nationaliste révolutionnaire s’était organisé clandestinement sur l’ensemble du territoire algérien et représentait une réelle force politique capable de remettre en cause l’ordre colonial. Le Parti du Peuple Algérien était essentiellement composé de jeunes militants prêts à en découdre avec les autorités coloniales.
Le 1er mai 1945, à l’occasion de la fête du travail, des manifestions furent organisées dans toute l’Algérie. Afin de montrer leur capacité de mobilisation et pour protester contre la déportation de Messali Hadj, les militants du Parti du Peuple Algérien décidèrent d’y participer en organisant des cortèges distincts de leurs adversaires du Parti Communiste Algérien et de la CGT. Les slogans du Parti du Peuple Algérien était : « Parlements Algérien », « Libérer Messali », « Libération de tous les détenus politiques », « indépendance » ». Face à cette démonstration de force des nationalistes algériens, les autorités réprimèrent durement les manifestions. A Alger, la police ouvrit le feu sur les manifestants faisant 4 morts. Dans le même temps, il y eu respectivement 1 mort à Oran et à Blida.
Au lendemain de ces manifestations, la CGT et le Parti Communiste Algérien accusèrent le Parti du Peuple Algérien d’avoir fomenté « une provocation ». En réponse, l’organe clandestin du Parti du Peuple Algérien, L’Action algérienne, lança un appel répondant aux allégations du Parti Communiste Algérien : « Communistes Algériens ! Vous n’avez de communistes que le nom ! Votre parti a jeté le masque. Il glorifie l’assassinat. Il se fait le complice de l’administration. Messali serait hitlérien ! Il oublie que le Parti du Peuple Algérien et le Parti Communiste Algérien ont été dissous par le même décret en Septembre 1939, que Messali et ses amis ont été condamnés au bagne par Vichy, alors que Djenienbou-Rezag, Taïeb, Boualiz, Ouzegane, etc… étaient relativement favorisés par Vichy. Il oublie qu’au moment où Hitler semblait vaincre, Messali n’a jamais répondu aux offres du nazisme qu’il condamne depuis 1937 », info tiré du livre de Stora Benjmin, Messali Hadj, 1898-1974, Paris, Ed. Hachette, 2004, page 192.
A la suite des manifestations du 1er mai, l’administration lança une vague d’arrestation parmi les militants nationalistes révolutionnaires. Face à cette répression, le Parti du Peuple Algérien donna des consignes précises à ses militants pour l’organisation des manifestations célébrant la fin de la guerre 1939-1945. Selon Chawki Mostefaï, cadre nationaliste révolutionnaire, la direction du Parti du Peuple Algérien ordonna que :
– « Les manifestations doivent être absolument pacifiques ; les mots d’ordre de prudence et de sang-froid largement diffusés parmi les manifestants ; le contrôle de ceux-ci pour récupérer toutes espèces d’armes éventuelles tels que armes à feu, couteaux, même les bâtons etc.
– Les villes d’Alger, d’0ran et Blida s’abstiendront de manifester ; de crainte que les récentes fusillades du 1er Mai, n’aient créé chez les militants et les manifestants, un esprit de revanche, contre les forces de l’ordre, propice aux provocations de celles-ci, toujours possibles.
– Déployer en milieu de parcours, le drapeau algérien, qui venait d’être adopté par la Direction, quelques semaines auparavant. », tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 309-310.
Malgré la violente répression des manifestations du 1er mai, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien voulaient absolument participer aux manifestations célébrant la victoire contre le nazisme. A ce propos, Chawki Mostefaï expliquait :« Il fallait frapper un grand coup et démontrer, au moment de la célébration prochaine de la victoire définitive du camp de la Démocratie sur l’Hitlérisme, que le peuple algérien, partisan de la Démocratie et de la Liberté des peuples, entendait célébrer dans la joie et l’enthousiasme la fin du cauchemar né de l’Hitlérisme et son équivalent le Colonialisme, contre lesquels le peuple Algérien a consenti les plus grands sacrifices sur tous les fronts de la guerre », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 304.
Les nationalistes révolutionnaires Algériens voulaient utiliser ces manifestations pour s’affirmer sur la scène internationale afin de revendiquer l’indépendance de l’Algérie. Chawki Mostefaï affirmait que « pour profiter au maximum du retentissement médiatique, à l’échelle mondiale de la victoire des pays de la Charte de l’Atlantique, l’Algérie devait fêter sa victoire en tant que peuple, en tant que nation opprimée, indépendamment de la France et de ses institutions, en arborant tout haut l’Emblème de sa propre souveraineté. C’est ainsi que nous décidâmes, au sein du Comité Directeur, de défiler le jour des manifestations de la victoire, en arborant le drapeau de l’Etoile Nord Africaine et Parti du Peuple Algérien en tête des cortèges », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit..
Ainsi, pour célébrer la victoire des Alliés, le 8 mai 1945 au matin, les nationalistes Algériens organisèrent des manifestations dans de nombreuses villes du pays : à Blida, Berrouaghia, Sidi Bel Abbès, Saïda, Annaba ou Jijel. Dans ces deux dernière ville les Algériens sortirent des drapeaux et des banderoles sur lesquels il était inscrit : « Vive l’Algérie indépendante », « A bas le colonialisme », « Libérer Messali ». Face à cette manifestation de nationalisme algérien la police intervint et des coups de feu furent tirés. A Guelma, la police voulut disperser les manifestants du cortège musulmans ce qui provoqua des échauffourées faisant 1 mort côté algérien.
A Sétif, il y avait environ 10 000 personnes présentes, dont environ 200 membres des Scouts Musulmans Algériens qui ouvraient la marche. Les manifestants déployèrent des pancartes, proclamant notamment « Vive l’Algérie libre et indépendante » ou « A bas le fascisme et le colonialisme ». Au cours de la manifestation un drapeau aux couleurs algériennes fut déployé. Voyant ce drapeau et ces banderoles, la police chercha à s’en saisir. Les manifestants refusèrent. En réponse, des rafales de mitraillette furent tirées par un policier français. La manifestation tourna à l’émeute. A 13 heures le couvre feu était instauré et à 20 heures l’état de siège était décrété. L’armée, la police et la gendarmerie sillonnèrent les quartiers arabes et les douars de la région.
Des armes étaient distribuées aux colons européens qui se constituèrent en milices. Selon Mahfoud Kaddache, « tous les Européens, qu’elle que soit leur tendance politique se regroupaient face au danger arabe […] elle [la milice] se livra à des représailles contre la population musulmane et à des exécutions sommaires de suspects, de militants des Amis du Manifeste et de la Liberté, du Parti du Peuple Algérien, des Oulémas et des scouts musulmans algériens », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 661.
La violence de l’armée française et des milices Européennes fut impitoyable. Exécutions sommaires, massacres de civils, prises d’otages au sein de la population algérienne, viols, bombardements de villages,… A Sétif où la loi martiale fut proclamée, tout Algérien ne portant pas le brassard réglementaire était abattu.
Le 12 mai 1945, le Général De Gaulle ordonna au gouvernement général « d’afficher publiquement la volonté de la France victorieuse de ne laisser porter aucune atteinte à la souveraineté française en Algérie » et de « prendre toutes les mesures nécessaires pour réprimer tous agissements antifrançais d’une minorité d’agitateurs »[, info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 662.
Pour mettre en œuvre cette répression, l’armée fut mobilisée. Outre les 9 000 hommes de la division de Constantine, des unités d’Alger, et de Tunis furent dirigées dans le Nord Constantinois. Deux croiseurs, le Triomphant et le Duguay-Trouin, tirèrent plus de 800 coups de canon depuis la rade de Bougie sur la région de Sétif. L’aviation bombarda et rasa plus ou moins complètement plusieurs agglomérations. Une cinquantaine de « mechtas » furent incendiées. Les automitrailleuses firent leur apparition dans les villages. Les soldats tirèrent à distance sur la population. Les blindés furent relayés par les militaires arrivés en convoi sur les lieux. A l’approche des troupes, les villages étaient désertés par une population qui se réfugiait sur les crêtes ou dans les ravins.
Pour sauver leur vie, des hommes, des femmes et des enfants furent obligés de s’agenouiller devant les militaires français. L’armée célébrait sa victoire. Le 25 mai 1945, 5 000 fellahs des Babors furent contraints de se mettre à genoux, de demander pardon et de crier « Vive la France ». Puis, le colonel de légion les obligea à se prosterner le front à terre devant le drapeau français et à dire : « nous sommes des chiens et Ferhat Abbas est un chien », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664. Parmi eux, 400 furent identifiés comme troubles faits et furent conduits vers une destination inconnue dont ils ne revinrent jamais.
Les corps des cadavres étant trop nombreux, tous ne purent être enterrés. Ils furent alors jetés dans les puits et dans les gorges de Kherrata. Les miliciens Européens décidèrent de réemployer les « techniques » que leurs « camarades » Allemands avaient utilisé dans les camps de la mort. Ils brûlèrent les corps dans des fours à chaux selon la logique voulant que « s’il n’y a pas de corps il n’y a pas de victimes ». Saci Benhamla, qui habitait à quelques centaines de mètres du four à chaux d’Héliopolis, décrivait « l’insupportable odeur de chair brûlée et l’incessant va-et-vient des camions venant décharger les cadavres, qui brûlaient ensuite en dégageant une fumée bleuâtre ». Le même homme racontait, à Kef-El-Boumba, « j’ai vu des Français faire descendre d’un camion cinq personnes les mains ligotées, les mettre sur la route, les arroser d’essence avant de les brûler vivants », info tiré du livre de Mekhaled Boucif, Chronique d’un massacre : 8 mai 1945, Sétif- Guelma- Kherrata, Paris, Ed. Syros, page 187.
Le nombre des victimes ne fut jamais clairement établit ; les chiffres oscillent entre 1 500 morts selon le gouvernement français et 45 000 selon les nationalistes Algériens qui reprirent les chiffres du consul général des Etats-Unis à Alger.
Au-delà des chiffres, les massacres laissèrent des souvenirs effroyables à ceux qui les avaient vécus. Un bachagha travaillant pour l’administration française expliqua au journal colonialiste, Le Courrier Algérien : « jamais, tant que je vivrai, je n’oublierai le souvenir de ces viols, des incendies, de ces canons, des ces mitrailleuses, de ces troupes, l’arme au pied, amassées aux abords du village et dans le village, de ces arrestations, de ces exécutions massives, de ces délations de fellahs terrorisés mentant à longueur de journée pour se disculper », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664.
Parallèlement, une vague de répression toucha les trois tendances du mouvement national algérien qui s’étaient unies au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ceux-ci furent dissous, par les autorités françaises, le 15 mai 1945. Les militants nationalistes qui avaient exercé des responsabilités publiques, furent envoyés en prison. En novembre 1945, le nombre des arrestations s’élevait à 4 560 pour toute l’Algérie. Selon Charles-André Julien, « la plupart des arrestations avaient été faites sans preuves », info tiré du livre de Julien Charles-André, L’Afrique du Nord en marche, op. cit., page 263.
Les tribunaux militaires avaient prononcé 557 non-lieux, 1307 condamnations, dont 99 à mort, 64 aux travaux forcés à perpétuité, 329 aux travaux forcés à temps et 250 acquittements. Messali Hadj fut déporté à Brazzaville, Ferhat Abbas alors dirigeant des Amis du Manifeste et de la Liberté fut envoyé en prison ainsi que le président de l’Association des Ouléma, le Cheikh Bachir El Ibrahimi.
Ces terribles massacres ne furent pas l’œuvre du gouvernement de Vichy mais celui du gouvernement de la France Libre qui s’était opposé au nazisme. Tous les grands mouvements politiques issus de la résistance y étaient présents, des gaullistes aux communistes en passant par les socialistes et les démocrates chrétiens. Tous furent agents actifs et complices des massacres du Nord-Constantinois. Le ministre de l’air qui fit bombarder le Nord-Constantinois, était le communiste Charles Tillon qui avait dirigé les Francs-Tireurs et Partisans.
Dans les colonnes de Fraternité du 17 mai 1945, les socialistes blâmèrent ceux qui « avaient sali la grande heure de la Victoire des démocraties » et estimèrent que « la grande masse des populations musulmanes n’avait pas encore atteint le degré d’évolution minimum nécessaire pour justifier les revendications du Manifeste ; le fait que les élites dirigeantes aient organisé et déclenché ce mouvement n’indique pas non plus que celles-ci ont une maturité politique », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 667-668. Le Parti Communiste Français dénonçait l’action « d’agents secrets hitlériens et d’autres agents camouflés dans des organisations qui se prétendent démocratiques au service de l’impérialisme fasciste », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, Paris, PUF, 1979, page 597.
Dans son édition du 12 mai 1945, L’Humanité appela à « châtier impitoyablement et rapidement les organisateurs de la révolte et les hommes de mains qui ont dirigé l’émeute ». Le 31 mai 1945, le journal communiste recommandait de « punir comme ils le mérite les tueurs hitlériens ayant participé aux évènements de mai 1945, et les chefs pseudo-nationalistes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 668. Le Parti Communiste Français pour qui l’aspiration à l’indépendance était étrangère à la population algérienne, se félicita des sanctions prises contre Messali Hadj, Ferhat Abbas et le Cheikh Bachir El Ibrahimi, ainsi que de la dissolution des Amis du Manifeste et de la Liberté.
Suivant la ligne politique du Parti Communiste Français, le 31 mai 1945, Amar Ouzegane, le premier secrétaire du Parti Communiste Algérien, dénonça « la collusion criminelle des faux nationalistes du Parti du Peuple Algérien avec la Haute Administration non épurée et les soutiens du fascisme », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, op. cit., page 597. Liberté, l’organe du Parti Communiste Algérien, parlait de « complot fasciste » dont les militants du Parti du Peuple Algérien étaient les principaux agents. Le Parti Communiste Algérien qui était formellement indépendant et qui, dans les faits, s’alignait totalement sur la politique du Parti Communiste Français, refusait de prendre en compte les aspirations nationales du peuple algérien.
Malgré la répression, les militants clandestins du Parti du Peuple Algérien continuaient de mener leur action politique. Dans un tract distribué au alentour du 25 juin 1945 dans la région d’Alger, le Parti du Peuple Algérien affirmait : « le peuple algérien vient de vivre l’épisode le plus dramatique et le plus sanglant de sa lutte plus que séculaire contre l’Impérialisme le plus rapace, le plus tyrannique, le plus aberré. […] Les journées du 1er et du 8 mai 1945 sont désormais inscrites en lettres de sang dans l’histoire de notre grand combat pour la libération de la Patrie Algérienne. 500 000 de nos frères, calmes, dignes, mais farouchement résolus, ont parcouru les rues de nos villes au mépris des mitrailles, galvanisés par une foi indomptable en l’idéal de Libération Nationale ». Dénonçant l’unanimisme de la presse et des partis politiques français, le tract ajoutait :« l’union sacrée est réalisée quand il s’agit d’accuser l’Arabe. Même nos socialistes, même nos impérialo-communistes », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Analysant la signification historique de ces massacres le tract du Parti du Peuple Algérien expliquait : « les massacres sont l’unique moyen de sauver les privilèges hideux du colonialisme, si ce n’est en exterminant les Arabes. Ils en ont tué 35 000. Il en reste 9 965 000, qui sont prêts à mourir et qui sont prêts… à se DEFENDRE. Car les évènements ont scellé d’un lien d’acier l’unité du peuple algérien ». Le tract se concluait en affirmant : « Tout cela c’est la déconfiture du régime colonial français », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Ces massacres marquèrent profondément toute une génération de jeunes militants nationalistes révolutionnaires Algériens qui furent à l’origine de l’insurrection du 1er novembre 1954. Cela fit dire à certains historiens, tels que Mohammed Harbi, que la révolution algérienne avait véritablement commencé le 8 mai 1945 à Sétif. Pour l’un des hommes qui organisa l’insurrection du 1er novembre, Mohammed Boudiaf, le 8 mai 1945 fut le point de départ de son engagement dans les rangs nationalistes : « Le 8 mai 1945, expliquait-il, fut le point de départ d’une prise de conscience », info tiré du livre de Boudiaf Mohammed, La préparation du 1ier novembre, Ed. Etoile, 1976, page 10.
oumma.com
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Âgée de 18 ans, Amina Mabizari est admise dans 7 universités américaines.
Après avoir postulé dans 8 universités du groupe Ivy League, la jeune Américaine Amina Mabizari a été admise dans 7 d’entre elles.
Des efforts fructueux
Lorsque Amina a postulé dans ces 8 universités, elle ne s’attendait pas à obtenir autant de réponses positives et avait simplement « peur de ne pas être acceptée nulle part » : « C’est drôle, maintenant que je suis acceptée dans la plupart de ces universités, de repenser à la raison pour laquelle j’ai postulé pour autant d’établissement ». Elle a ainsi reçu une lettre d’acceptation de Princeton, de Columbia, de Cornell, Brown, Dartmouth, de Pennsylvania mais également de Yale.
Etant plus jeune, l’une de ses enseignantes avait pourtant affirmé qu’elle était « l’élève la moins performante de la classe, trouvant des difficultés à lire et identifier les lettres ». Amina redoublera d’efforts avec le soutien de sa mère et lira durant de nombreuses heures l’anglais en vue de progresser jusqu’à devenir la meilleure élève. Elle deviendra l’an qui suit l’élève la plus douée et talentueuse après avoir brillamment réussi des examens de son école.
Aujourd’hui, elle espère faire des études de droit afin de devenir sénatrice. Interrogée par le quotidien Houston Chronicle, elle invite les jeunes étudiants à croire en eux : « Ne vous dîtes jamais que vous êtes moins bon que d’autres personnes venus d’autres régions. Vous êtes aussi capable que quiconque ».
katibin.fr
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Participez à ce concours d’éloquence qui valorise la prise de paroles des jeunes.
À la veille de l’échéance présidentielle de 2017, l’idée est d’abord partie d’une volonté de favoriser la prise de parole des citoyens. C’est pourquoi une association seynoise a pensé mettre en place un Grand Débat à La Seyne sur Mer, dans le département du Var.
Le Grand Débat, c’est quoi ?
Mis en place avec la participation du dispositif « OSE TES IDÉES » et du fond de participation des habitants, cette action est menée par un groupe de jeunes et soutenue par l’association Univers-cité et ses partenaires, le Grand Débat est ouvert à tous les habitants du bassin toulonnais à partir de 16 ans et dans la limite des 48 places disponibles.
Valoriser la prise de parole des jeunes.
Ce concours valorise la prise de parole en mêlant art de l’éloquence, éveil artistique et positionnement intellectuel. L’usage des différentes formes d’expression orales est encouragé dans le cadre du Grand Débat : « Nous valorisons l’oral, l’art oratoire, l’éloquence du candidat, qui pourra utiliser tout artifice visuel ou accessoire sans entraîner son élimination mais qui ne feront pas l’objet d’une valorisation aux yeux du jury. L’originalité de la prestation sera prise en compte dans le délibéré. »
Comment se déroulera le concours ?
Le concours se déroulera sur trois lieux différents, qui permettront de donner la parole aux citoyens de différentes zones du territoire : « Conscients de l’éloignement de certains, des débats publics, nous aimerions, par cette action, leur offrir la possibilité de s’exprimer. » Le concours prend la forme d’une joute oratoire dans laquelle chaque candidat répond au sujet, qui lui est donné par l’affirmative ou la négative, conformément aux directives qui lui sont communiquées par les organisateurs, à savoir répondre positivement ou négativement.
Vous souhaitez y participer et tenter de remporter de nombreux cadeaux ?
Pour avoir l’opportunité de faire partie des participants ou assister au concours, vous pouvez contacter l’association qui organise cet événement :
Téléphone : 09 80 74 92 93.
Adresse mail : univers-cite@outlook.fr
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Pour cette première édition, les participants sont invités à s’inscrire dès à présent en déposant leur candidature à l’email suivant : grand-debat@uc83.fr
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katibin.fr***

France : Pas de finale pour l’équipe de football (11, 13 ans) entrainée par une femme voilée.
En France, porter un voile sur le bord du terrain est devenu « une provocation », la « démonstration de la présence de l’islam radical », « une atteinte à la laïcité et aux valeurs de la République ». C’est en tout cas ce qui est mis en avant par toutes les instances du pouvoir pour cacher malhabilement un racisme et une islamophobie systémique.
Le club de foot de l’AS Surieux d’Echirolles (Isère) n’aura pas eu le droit de jouer la finale de la Coupe Rhônes-Alpes. La raison : l’entraineur étant voilée, la Ligue de Football Française a refusé l’accès au terrain au coach.
En guise de protestation, le club et les parents des jeunes joueurs âgés de 11 à 13 ans ont refusé de se déplacer pour la finale et ont déclaré forfait. Un soutien de toute une ville à Essia Aouini, 19 ans, qui a hissé l’équipe jusqu’à la dernière marche de la compétition.
«Nous considérons qu’il s’agit d’une véritable injustice car Essia a eu le mérite de conduire son équipe jusqu’en finale. Il n’est donc pas question de jouer sans elle. C’est un geste de solidarité», explique Amar Benguedouar, président de l’AS Surieux, club qui accueille les jeunes des cités sensibles d’Echirolles, près de Grenoble.
L’AS Surieux a fait remarquer qu’Essia a toujours porté son voile depuis le début de la saison. Pour l’Observatoire de la Laïcité, il s’agirait de se pencher sérieusement sur cette décision qui s’appuie visiblement sur un règlement qui ne respecte pas les lois de la République.
Evidemment, le président de la région, Laurent Wauquiez, a tenu à apporter son soutien à la décision de la Ligue. Il s’est félicité de cette nouvelle exclusion contre une femme voilée. Le même qui est invité chaque année à La grande Mosquée de Lyon malgré ses prises de position contre la visibilité des musulmans en France.
Essia, étudiante en licence d’anglais, nie faire du prosélytisme en portant son voile.
«L’acceptation des différences fait partie des valeurs du football. Comment voulez-vous qu’un tel message soit transmis à des jeunes lorsqu’on leur annonce qu’en raison d’une différence l’éducatrice ne peut accompagner son équipe», écrit la jeune femme au président de la Ligue.
Même le maire de la ville d’Echirolles, Renzo Sulli, a saisi le président de la FFF pour obtenir l’autorisation nécessaire à la coach. Sans résultat malheureusement.
«Tout cela est triste, déplorable», lâche Essia, dépitée. «On est forcément déçues de ne pas jouer cette finale mais on soutient notre coach», confie une jeune joueuse de l’AS Surieux.
Les institutions françaises continuent petit à petit l’exclusion de la femme voilée de la sphère publique. Une démarche qui a débuté par la loi de 2004 contre les jeunes lycéennes voilées.
islametinfo.fr
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France : Que pourra faire le président de la République une fois élu ?
Dimanche soir, les Français auront choisi leur nouveau président de la République. Garant de la démocratie et du respect des libertés, le chef de l’Etat peut organiser des referendums, saisir le Conseil constitutionnel ou bien dissoudre l’Assemblée nationale. Chef des armées, il est aussi le détenteur des codes nucléaires.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Un poste de police sioniste à l’est de Jérusalem
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La police israélienne a ouvert le dimanche matin le première poste de police sioniste dans les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est, et pour la première fois depuis l’occupation de la ville, il y a 50 ans.
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L’Occupation approuve le projet de loi de l’Etat juif
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Appel à la désobéissance civile complète face à l’occupation
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Les factions nationales appelées à soutenir la question des prisonniers
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L’occupation attaque la maison du martyr Milad Ayyash à Jérusalem
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L’occupation vole le contenu d’une tente de solidarité et le véhicule d’un prisonnier à Bethléem
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9 blessés lors des confrontations au sud de Naplouse
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Al-Bira: 30 blessés dans une attaque armée contre une fête de fin d’année
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Incursion israélienne limitée à l’est de Deir al-Balah
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Avertissement de l’alimentation forcée au 21ème jour de la grève de la faim des prisonniers palestiniens
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Sept Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem occupée
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Les Jérusalémites interdits de manifester en solidarité avec les prisonniers
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Ismail Haniyeh élu nouveau chef du Hamas
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Les dangers de l’alimentation forcée sur les prisonniers grévistes
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L’occupation continue de fermer l’entrée de Beta au sud de Naplouse
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Les prisonniers du Hamas renouvellent leur confiance au nouveau chef
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 5 Joumada At-Thani 1438.

Flash info du 5 Joumada At-Thani 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur MouslimRadio :
www.MouslimRadio.info


France : Calais : la maire interdit la distribution de repas aux migrants.
La maire LR de Calais, Natacha Bouchart, a pris un arrêté pour interdire «les occupations abusives, prolongées et répétées dans la zone industrielle des Dunes», a rapporté «La Voix du Nord», jeudi. Cette décision vise à empêcher les associations de distribuer des repas aux migrants présents dans ce secteur, voisin de l’ancienne «jungle de Calais».
En visite dans la sous-préfecture du Pas-de-Calais mercredi, le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, avait expliqué qu’il s’opposerait à tout nouveau campement dans la ville. Il avait, en revanche, précisé qu’il n’empêcherait pas la distribution de repas. Se disant «personnellement opposée, même si c’est humainement difficile à dire», à tout dispositif humanitaire, Natacha Bouchart avait réagi en annonçant un arrêté dans ce sens.
Pour justifier sa décision, la ville explique que les regroupements de migrants «sont de nature à engendrer des tensions permanentes entre les ethnies en présence et ont pas le passé dégénéré en rixes».
Avant la signature de l’arrêté, les associations, toujours citées par «La Voix du Nord», avaient expliqué qu’elles ne renonceraient pas à fournir des repas aux migrants. Dans le quotidien, Gaël Monzy, coordinateur d’Utopia 56, avait ainsi réagi : «On distribue de la nourriture de jour comme de nuit depuis deux moisn et on continuera à le faire pour une simple raison : les gens ont faim».
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France : Tir de Flash-Ball mortel à Marseille : le policier condamné à 6 mois de prison avec sursis.
Le policier marseillais Xavier Crubezy, qui avait tué un homme, en 2010, d’un tir de Flash-Ball, lors d’une interpellation mouvementée, a été condamné ce vendredi à 6 mois de prison avec sursis. Il était jugé pour homicide volontaire. Récusant la thèse de la légitime défense avancée par le fonctionnaire de police, le procureur avait requis 18 mois de prison avec sursis à son encontre.
Le 12 décembre 2010, ce fonctionnaire avait voulu maîtriser Mustapha Ziani, 45 ans, résident d’un foyer de travailleurs de Marseille, en tirant en direction de son thorax avec son flash-ball. Mustapha Ziani venait de blesser l’un de ses voisins à coups de couteau, s’était retranché dans sa chambre et avait jeté une tasse à la face du policier. Il est décédé le lendemain d’un arrêt cardiaque.
Pas de mention au casier judiciaire.
L’enquête a démontré que Xavier Crubezy avait utilisé son flash-ball à environ 4,40 mètres de la victime, alors que l’administration exige une distance minimale de 7 mètres.
Le tribunal a également prononcé la dispense de mention de cette peine sur le casier judiciaire du fonctionnaire, présent à l’énoncé du délibéré.
«On est forcément déçu, on estimait effectivement que, dans le dossier, il n’y avait juridiquement aucun obstacle objectif à ce que la relaxe soit prononcée. Ce n’est pas le cas, nécessairement on est déçu», a réagi son avocate, Me Sandrine Pauzano. Xavier Crubezy, qui exerce aujourd’hui dans les CRS, a fait valoir son «devoir de réserve» et refusé de commenter la décision. Il a 10 jours pour faire appel du jugement.
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Bruxelles menace de sanctions les pays n’accueillant pas de réfugiés.
La Commission européenne a durci le ton jeudi face aux Etats membres de l’UE, en menaçant de sanctions ceux qui refusent d’accueillir des réfugiés, tout en appelant à durcir les mesures nationales contre les migrants irréguliers.
Sur ces deux facettes de sa politique migratoire, la Commission s’est voulue ferme, sur fond d’arrivées incessantes sur les côtes italiennes et de fragilité du partenariat noué avec la Turquie pour mettre fin aux traversées massives en mer Egée.
« Il en va de notre devoir de pouvoir affirmer clairement, aux migrants, à nos partenaires dans les pays tiers et à nos concitoyens, que si des personnes ont besoin d’aide nous les aiderons, sinon elles doivent rentrer », a insisté le vice-président de la Commission, Frans Timmermans.
L’exécutif européen « n’hésitera pas » à lancer des procédures d’infraction contre les pays refusant d’accueillir des demandeurs d’asile depuis l’Italie et la Grèce, a prévenu devant la presse le commissaire chargé des migrations, Dimitris Avramopoulos.
Le commissaire avait jusque-là surtout insisté sur sa préférence pour le dialogue afin de « les convaincre ».
Quelque 13.500 demandeurs d’asile ont pour l’heure été « relocalisés » depuis la Grèce et l’Italie (dont environ 9.600 depuis la Grèce), alors que les pays européens s’étaient engagés en septembre 2015 à en accueillir jusqu’à 160.000 en deux ans.
– ‘Plus d’excuses’-
Ce plan, réservé aux migrants quasiment certains d’obtenir un statut de réfugiés (principalement les Syriens et les Eyrthréens), visait à la fois à montrer la solidarité de l’UE avec ceux qui fuient la guerre et à soulager l’immense pression sur Athènes et Rome.
Mais la Hongrie, l’Autriche et la Pologne « refusent toujours de participer au programme », tandis que d’autres (la République tchèque, la Bulgarie, la Croatie et la Slovaquie) « n’y prennent part que dans une mesure très limitée », a déploré la Commission.
De fait, les objectifs du plan, contesté en justice par la Hongrie et la Slovaquie, ont été considérablement réduits: 54.000 places (sur 160.000) ont été rendues disponibles pour des « réinstallations » de Syriens depuis la Turquie, dans le cadre du pacte migratoire scellé en mars 2016 avec Ankara.
Et ce même accord a considérablement fait chuter les arrivées en Grèce, avec des « traversées quotidiennes entre la Turquie et les îles grecques qui sont passées de 10.000 personnes par jour en octobre 2015 à 43 par jour aujourd’hui », selon la Commission.
Le nombre de personnes éligibles à une « relocalisation » se trouvant en Grèce est désormais estimé à environ 20.000 par la Commission, contre plus de 5.000 en Italie, où la plupart des arrivants sont considérés comme des migrants économiques à renvoyer.
« Il n’y a plus d’excuses » pour les Etats membres, a insisté M. Avramopoulos.
-‘Rétention’-
Bruxelles a aussi présenté un « plan d’action » pour renvoyer de manière plus systématique les migrants irréguliers.
Plus de 530.000 ont fait l’objet d’une décision de renvoi en 2015 par les pays de l’UE, mais seulement 36,4% de ces décisions ont été appliquées, déplore la Commission.
Elle souligne que les Etats membres pourraient « avoir plus d’un million de personnes à renvoyer » parmi les migrants arrivés ces deux dernières années et dont les demandes d’asile ont été ou vont être rejetées.
La Commission, qui a proposé de mettre à disposition 200 millions d’euros en 2017, demande notamment aux Etats membres de raccourcir « les délais de recours » contre les décisions de retours, qui ne doivent plus « comporter de date d’expiration ».
Elle a pressé tous les Etats membres de placer « en rétention les personnes auxquelles une décision de retour a été signifiée », dès lors qu’il y a un « risque de fuite », et à autoriser des durées de rétention d’au moins six mois.
Les centres de rétention ne doivent pas « être considérés comme quelque chose ressemblant à des camps de concentration, ce qui serait très éloigné de nos principes », s’est défendu M. Avramopoulos.
Les négociations d’accords de réadmission avec des pays tiers doivent être accélérées, a également demandé l’exécutif européen, appelant « à la conclusion rapide » avec le Nigeria, la Tunisie et la Jordanie, et à « nouer un dialogue avec le Maroc et l’Algérie ».
Interrogé sur la possibilité d’installer des camps de migrants en Afrique, où l’UE ferait le tri entre réfugiés et migrants économiques, M. Avramopoulos a assuré qu' »on n’en est pas encore arrivé à ce stade ».
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Tunisie : Un crocodile du zoo de Tunis tué à coups de pierres par des visiteurs.
Un crocodile du zoo de Tunis a été tué à coups de pierres par des visiteurs mardi en fin d’après-midi, a annoncé mercredi 1er mars la municipalité sur sa page Facebook, en dénonçant « un comportement sauvage ». Deux grosses pierres ont atteint le reptile près d’un œil, ce qui a causé une hémorragie interne fatale.
Le comportement de nombreux visiteurs du zoo du Belvédère, situé dans un grand parc éponyme du centre de la capitale tunisienne, est régulièrement dénoncé dans les médias et sur les réseaux sociaux.
« Des citoyens laissent derrière eux des déchets, des sacs plastique (…). Ils lancent des pierres sur les lions et les hippopotames, explique le docteur Amor Ennaifer, vétérinaire et responsable du zoo. Certes, il y a des panneaux et des gardiens, mais ce n’est pas suffisant, surtout en cette période de vacances scolaires. Mais il y a plus de 150 espèces dans le zoo, nous n’allons pas mettre un gardien devant chaque cage. Il faut que les gens prennent conscience qu’il faut respecter les animaux. »
L’an dernier, des images montrant le zoo jonché de détritus, comme des bouteilles en plastique dans les bassins, avaient fait scandale. La direction avait dit le nettoyer quotidiennement et estimé que les visiteurs étaient responsables de cette « situation catastrophique ».
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Facebook : voici comment signaler les fausses informations.
Il est désormais possible de signaler sur Facebook les publications qui semblent être des “fake news”. Des médias partenaires sont alors chargés de vérifier l’information.
Les fausses nouvelles se propagent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux et ont de véritables conséquences. D’abord sur l’opinion des internautes, évidemment, mais également sur le porte-monnaie de ceux qui les publient. La plupart des sites fallacieux retirent en effet des bénéfices financiers en affichant des publicités aux côtés des hoax. C’est pour ces raisons que Facebook a décidé d’agir en activant son nouvel outil de fact-checking en France, déployé progressivement depuis ce vendredi.
Le réseau social propose ainsi un véritable service à l’internaute. Ce dernier peut en premier lieu signaler les publications qui lui semblent fausses afin qu’elles soient vérifiées. Pour cela, il suffit de cliquer sur la petite flèche en haut à droite de la publication, cliquer sur “signaler la publication” et sélectionner l’option “il s’agit d’une fausse information”. Suite à cette action, l’article partagé sera soumis à des médias partenaires (AFP, BFMTV, L’Express, France Médias Monde, France Télévisions, Libération, Le Monde, 20Minutes).
Si deux d’entre eux estiment qu’il s’agit d’une fausse information, la publication sera identifiée comme tel : un pictogramme indiquera dans le fil que “l’information est contestée” et un lien vers une page d’explication sur l’un des médias sera proposé. Ce n’est pas tout… Si un utilisateur de Facebook décide de relayer tout de même la publication, un message lui rappellera qu’elle est “contestée par des tiers”. Enfin, la visibilité de la fausse information pourra être réduite dans les fils d’actualité.
Cet outil n’est pas le seul angle d’attaque adopté par Facebook pour lutter contre les “fake news”. Le réseau social participe également au projet Cross Check lancé par le réseau de fact-checking First Draft et le Google News Lab. Il s’agit cette fois d’alimenter une plate-forme de vérification animée par une vingtaine de médias internationaux, nationaux et locaux. Avec une fois de plus l’ambition de stopper la propagation des fausses nouvelles.
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Discothèques: alcool, musique, mixité… le danger de ce lieu de débauche.
« On ne vit qu’une fois ! » Combien de fois n’avons-nous pas déjà entendu l’un de nos proches prononcer cette célèbre citation ?
Bien trop souvent malheureusement car elle sous-entend qu’avant de mourir il faudrait profiter de la vie de toutes les manières possibles et inimaginables. Pourtant, l’Islam distingue le « halal » et le « haram », l’un et l’autre sont clairement définis. Tout ce qui conduit au « haram » est à proscrire et tout ce qui conduit au « halal » est à encourager.
Il existe différentes sortes de divertissements, mais de nos jours beaucoup de nos frères et sœurs pensent que profiter de la vie c’est sortir, s’habiller, fréquenter un ou une petit(e) ami(e) hors du cadre du mariage, fumer, consommer de l’alcool, aller danser en discothèque etc…
Se divertir ne veut pas dire se pervertir, nos obligations de musulmans nous incitent à respecter le cadre islamique quelles que soient les circonstances, à savoir éviter les endroits malfamés comme les discothèques, les bars où l’alcool coule à flot, c’est-à-dire tous les endroits où les tentations sont bien réelles, car Allah Soubhana wa ta’ala a dit : « L’homme a été créé faible » (Sourate An-Nissa verset 22).
Malgré la plus grande vigilance, le musulman est souvent confronté aux épreuves. Prenons pour exemple la fête de l’Aïd, une fête qui convie le fidèle au recueillement et à préserver les liens familiaux. Pourtant à l’occasion de chaque fête, une soirée exceptionnelle est organisée lors d’un concert spécial dans une boîte de nuit… Ce type d’annonces émises par les radios locales arabes font désormais partie de nos habitudes et ne nous choquent même plus.
Durant le mois béni de Ramadan, nous écoutons le Coran, l’appel à la prière et les prêches grâce aux stations de radio, mais ces dernières vont nous convier de la même manière à venir fêter « dignement » la fin du Ramadan en allant danser au spectacle d’une telle ou d’un tel.
Soudain les fêtes religieuses se transforment insidieusement et sournoisement à nos dépens et deviennent un prétexte pour le « haram ».
D’après Abou Malik Al Ach’ari (qu’Allah l’agrée), le Prophète (Salla Allah ’alayhi wa Salam) a dit : « Il y aura des gens dans ma communauté qui vont rendre licite l’adultère, la soie, le vin et les instruments de musique » (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°5590).
« Et, parmi les hommes, il est [quelqu’un] qui, dénué de science, achète de plaisants discours pour égarer hors du chemin d’Allah et pour le prendre en raillerie. Ceux-là subiront un châtiment avilissant . » (Sourate 31, Luqman, verset 6).
L’Islam n’interdit pas l’amusement, la distraction ou la joie, tout cela est toléré tant que nous évitons l’illicite. Notre Prophète (Salla Allah ’alayhi wa Salam) qui est notre modèle était jovial et souriant, il aimait plaisanter sans toutefois transgresser.
Les lieux de débauche mènent à la turpitude et à la fornication l’un des plus grands péchés. Allah Soubhana wa ta’ala interdit la fornication et les voies qui y mènent :
« Et n’approchez point la fornication. En vérité, c’est une turpitude et quel mauvais chemin ! » (Al Isra, 32).
Qu’Allah nous guide et augmente notre foi in sha Allah.
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Le jeûne obligatoire et surérogatoire en Islam.
Le mois de Ramadan approche à grand pas. Le jeûne du mois de Ramadan est le quatrième pilier de l’Islam, après la profession de foi, la prière, la zakat et avant le pèlerinage. Jeûner c’est s’abstenir d’accomplir une chose qui est en notre pouvoir, il s’agit d’une soumission à Allah Soubhana wa ta’ala par la proclamation de Sa Grandeur pour nous avoir guidé dans le Droit chemin de l’Islam.
Pour se rendre compte de l’importance de ce mois béni il suffit de lire le verset 185 de la Sourate Al Baqarah, c’est durant le Ramadan « au cours duquel le Coran a été descendu comme guide pour l’humanité et preuves claires de la bonne direction et du discernement ».
Bien d’autres versets coraniques mettent en évidence la portée du Ramadan et ses bienfaits, ils annoncent son caractère obligatoire et ses exceptions.
Durant le mois béni de Ramadan, le croyant sincère est plus enclin à l’indulgence et au recueillement, un comportement qui va créer une proximité, voire une intimité avec Allah liée au contexte hautement spirituel de ce mois béni. Allah nous a ordonné de nous priver de choses agréables à notre âme durant les journées de Ramadan afin d’alléger la part de désirs et de passions de ce bas monde pour nous permettre d’être à l’écoute de notre esprit et de notre cœur et nous rappeler notre statut de serviteur d’Allah.
Les compagnons du Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) l’attendaient avec impatience, si bien qu’ils imploraient Allah, six mois avant sa venue, afin que dans Sa grande mansuétude Allah Subhana wa ta’ala prolonge leur vie jusqu’à l’arrivée du mois béni.
De nombreux hadiths du Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam ) annoncent la place particulière que tient ce mois par rapport au reste de l’année.
Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) nous dit : « Si seulement ma communauté savait ce qu’est le Ramadan, elle aurait souhaité que toute l’année soit Ramadan . »
Le Ramadan est une opportunité que le croyant doit saisir pour se rapprocher davantage d’Allah, renouveler sa confiance en Lui et espérer l’absolution de ses péchés ainsi qu’une récompense que seul Allah connaît.
Dans un hadith qudsî le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) nous rapporte qu’Allah dit : « toute œuvre du fils d’Adam lui appartient, sauf le jeûne, il M’appartient, et c’est Moi seul qui le récompense à sa juste valeur . »
« Quiconque jeûne Ramadan comme un acte de foi pour lequel il ne compte de récompense qu’auprès d’Allah, verra ses péchés précédents expiés ».
Au-delà du Ramadan et de son caractère obligatoire, il existe d’autres événements qui nous permettent de jeûner volontairement en dehors de la période de Ramadan.
Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) nous a recommandé le jeûne surérogatoire qui n’est pas obligatoire mais qui présente cependant beaucoup de mérites.
Le prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Allah, exalté soit-Il, dit : “Mon Serviteur ne cessera de se rapprocher de Moi en exécutant ce que Je lui ai ordonné, et il ne cessera de se rapprocher de Moi par des surérogations jusqu’à ce que Je l’aime. Et si Je l’aime, Je deviens l’ouïe par laquelle il entend et la vue par laquelle il voit” (…)… » (Rapporté par Boukhari).
Le prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit :« Le poids de la terre en or n’égalerait point la récompense réservée, le Jour de la Résurrection, à quiconque jeûnerait une journée volontairement ». (Rapporté par Abou Ya’la Al-Mawsili dans son Mousnad et déclaré authentique par Al-Hafidh Ibn Hajar).
Les occasions de jeûner ne manquent pas et tout au long de l’année nous avons la possibilité de suivre les traces du Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam), Messager d’Allah qui ne se privait pas de jeûner afin d’atteindre la plénitude devant son Seigneur. Nous ne pouvons dès lors que suivre ce modèle parfait de soumission à Allah soubhana wa ta’ala.
Voici les jours à privilégier pour le jeûne :
Six jours de chawwal : Le prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Quiconque jeûne le Ramadan et le fait suivre par le jeûne de six jours de Shawal est comme quelqu’un qui a jeûné tout le temps ». (Rapporté par Mouslim).
Première décade de dhoul-hidja : Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Il n’y a pas de jours où les bonnes œuvres sont mieux agréées par Allah autant que les dix premiers jours de Dhoul-Hidja » (Rapporté par Boukhari).
Le jour de ‘Arafah : Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Le jeûne du jour de `Arafah est une expiation pour [les péchés commis au cours de deux années ] ; l’année qui le précède et l’année qui le suit. » (Rapporté par Mouslim).
Mouharram : On demanda au Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) quel est le meilleur jeûne après celui du Ramadan ? « C’est le jeûne du mois d’Allah appelé “Al Mouharram” ». Répondit-Il. (Rapporté par Mouslim et Abou Dawoud).
‘Achoura et Tassou’a : Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Celui qui jeûne le jour de ‘Arafah, aura ses pêchés de l’année précédente et de la suivante, tous pardonnés. Et celui qui jeûne ‘Arafah, aura ses pêchés de l’année précédente et de la suivante, tous pardonnés. Et celui qui jeûne le jour de ‘Achoura (10 de Mouharram) sera pardonné pour les péchés d’une année ». (Rapporté par At-Tabarani).
La première quinzaine de Cha’ban : Mois qui précède le Ramadan. Aïcha a dit : « Je n’ai pas vu le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) jeûner un autre mois que celui du Ramadan, et je ne l’ai pas vu jeûner plus de jours qu’au mois de Cha’bane. » (Rapporté par Boukhari et Mouslim).
Le jeûne des jours de pleine lune : Abou Ad-Darda, qu’Allah soit satisfait de lui a dit : « Mon bien aimé (le Prophète, salallahu ‘alayhi wa salam ) m’a recommandé de faire trois choses que je ne laisserai jamais tant que je suis vivant : de jeûner les trois jours blancs de chaque mois, de faire la prière d’al-douha et de ne pas me mettre au lit avant que j’effectue le Witr (un nombre impaire de raka’a) ». (Rapporté par Mouslim).
Chaque lundi et jeudi : Le prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Les œuvres sont présentées [à Allah] le lundi et le Jeudi et j’aime bien que mes œuvres soient présentées alors que je jeûne ». (Rapporté par Tirmidhi).
Un jour sur deux : Le Prophète (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Le jeûne le plus agréé d’Allah est celui de David. La prière la plus agréée d’Allah est celle de David. Il dormait la moitié de la nuit, veillait un tiers, puis il se recouchait le sixième de la nuit. Il jeûnait un jour et rompait son jeûne le jour suivant. » (Rapporté par Boukhari et Mouslim).
Et Allah est le Plus Savant…
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En 2050, l’Inde deviendra le pays avec la plus grande population mondiale.
Parce qu’ils ont l’âge médian le plus jeune (30 ans) de tous les groupes religieux, les musulmans sont le groupe aussi avec la plus forte croissance dans le monde, et en 2050, l’ Inde sera le pays avec la plus grande population musulmane dans le monde, a déclaré le think tank américain Pew Research Center.
Alors que l’ Islam est actuellement la deuxième plus grande religion du monde après le christianisme, elle est aussi la religion avec la plus forte croissance. Et si les tendances démographiques actuelles se poursuivent, il est prévu que la population musulmane dépasse celle des chrétiens d’ici 2070.
Il y avait 1,6 milliard de musulmans dans le monde en 2010 – environ 23 pour cent de la population mondiale – selon une estimation de Pew. À l’ heure actuelle, l’ Indonésie possède la plus grande population musulmane du monde.
Au moins 63% de la population musulmane du monde vit dans la région Asie-Pacifique. Cela comprend de grandes populations comme en Indonésie, en Inde, au Pakistan, au Bangladesh, en Iran et en Turquie indique le think thank américain. L’ Indonésie est actuellement le pays avec la plus grande population musulmane du monde mais selon Pew Research Center, l’Inde devrait la dépasser en 2050 avec 300 millions de musulmans.
Actuellement, les musulmans sont persécutés en Inde où le parti nationaliste hindouistes est au pouvoir. Les fidèles des autres religions du pays tels que le christianisme et l’islam sont en victimes de violences.
« La population musulmane en Europe est également en croissance, nous prévoyons que 10% de la totalité des Européens seront musulmans d’ici 2050», a déclaré Pew. Le nombre de musulmans devrait croître dans toutes les régions du monde sauf en Amérique latine et les Caraïbes, où relativement peu de musulmans vivent.
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En 2070, l’Islam deviendra la première religion mondiale.
Si les tendances actuelles se poursuivent, l’Islam surpassera en nombre de fidèles le christianisme dans 53 ans.
Selon une étude réalisée par le Pew Research Center , basé à Washington DC, les musulmans seront plus nombreux que les chrétiens en 2070. Seulement 30 ans plus tard, soit en 2100, le nombre de croyants musulmans dépassera celui de chrétiens de 1%…
L’une des principales raisons de cette augmentation de nombres de fidèles musulmans est l’immigration en Europe et en Amérique du Nord.
« Bien que cela ne change pas la population mondiale, la migration contribue à accroître la population musulmane dans certaines régions, notamment en Amérique du Nord et en Europe. »
Les recherches identifient également les musulmans en tant que groupe religieux ayant la plus forte croissance sur la planète.
Selon l’étude, les femmes musulmanes ont également plus d’enfants que d’autres groupes religieux. Le taux moyen de la progéniture pour une femme musulmane est de 3,1, alors que la moyenne est à seulement 2,3 pour tous les autres groupes combinés.
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La start-up Copélican remporte la finale de la StartUpper Academy.
Quelque 300 personnes pleines d’enthousiasme se sont retrouvées, jeudi 2 mars, pour la finale du concours StartUpper Academy à la Micro Folie de Sevran, sous les yeux de son maire Stéphane Gatignon et de la préfète délégué à l’Egalité des chances Fadela Benrabia.
Parmi les quatre start-ups de la Seine-Saint-Denis qui concourraient, c’est finalement CoPélican, représentée par Maâde Guettouche, qui l’a remporté. Dans une ambiance chaleureuse, les candidats se sont affrontés au cours de battles de pitchs, chacun bénéficiant de trois rounds d’une minute pour convaincre le public et le jury de professionnels.
Diplomée d’HEC Paris, Maâde Guettouche a fondé CoPélican, une entreprise qui permet de faciliter l’envoi de colis entre particuliers de façon rapide, peu coûteuse et sans casse.
En remportant la finale de ce concours, elle empoche avec son associée Saliha Chekroun un chèque de 10 000 euros qui lui offriront la possibilité de lancer le recrutement, ainsi qu’un accompagnement par la Station F, l’incubateur numérique fondé par Xavier Niel. La jeune start-up ambitionne de se développer à l’international et de proposer des transferts de colis du Nord au Sud en ciblant la diaspora africaine en particulier.
Quant au concours de la StartUpper Academy, il devrait pouvoir être dupliqué dans d’autres départements d’Ile-de-France. Du moins, telle est l’ambition affichée à suivre !
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France : Marseille : un ado écope de 7 ans de prison pour agression antisémite .
Les faits remontent à janvier 2016. L’agression à la machette d’un enseignant de l’Institut franco-hébraïque de La Source, une école confessionnelle juive située à Marseille, par un adolescent de 15 ans avait suscité une vive émotion dans l’opinion publique.
Jugé par le tribunal pour enfant de Paris, l’agresseur a écopé jeudi 2 mars d’une peine de sept ans de prison et cinq ans de suivi socio-judiciaire. Cette peine ne s’ensuit pas d’une privation de liberté mais comporte certaines obligations, notamment de scolarisation et d’indemnisation de la victime.
Le procès s’est déroulé à huis clos. Benjamin Amsellem, la victime, avait été blessé au dos et à la main, il aurait eu la vie sauve grâce à un exemplaire de la Torah, dont il s’est servi pour se protéger. L’adolescent avait affirmé lors de son interpellation avoir agi « au nom d’Allah » et de l’Etat islamique.
A 20 Minutes, Benjamin Amsellem déclarait avant le procès : « J’aimerais que mon agresseur ait beaucoup réfléchi et qu’il se rende compte de la gravité de la chose. Qu’il s’excuse, ce serait bien. Je souhaite qu’il ait compris. »
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Les musulmans de l’Oklahoma font entendre leurs voix au cœur du pouvoir local.
L’effervescence des grands jours régnait jeudi autour de l’Assemblée législative de l’Oklahoma, alors que près de deux cents citoyens américains de confession musulmane se pressaient à ses portes pour prendre part à la troisième édition de la Journée annuelle des Musulmans.
Venus seuls, en famille ou accompagnés de concitoyens non musulmans solidaires, tous ont répondu à l’appel lancé avec une solennité particulière par Adam Soltani, le directeur régional du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), conscients de l’importance de se fédérer pour faire entendre leurs voix sous l’imposant dôme blanc du pouvoir local.
En ces temps troublés par l’avènement retentissant de Donald Trump et son islamophobie d’Etat qui ne relève pas du mythe mais de l’effarante réalité, Adam Soltani, l’air grave, avait appelé ses coreligionnaires à profiter de ce jour spécial qui leur était dédié pour sensibiliser les élus aux menaces qui pèsent sur eux dans une Amérique qui met à mal ses valeurs cardinales.
« Les Musulmans ont été les cibles de prédilection de la haine attisée par Trump durant des mois. La seule façon de voir un changement s’opérer dans notre Etat, c’est de provoquer un sursaut de conscience chez nos représentants politiques, de leur ouvrir les yeux sur le sort peu enviable qui nous est réservé. Il faut briser le silence et élever nos voix », a exhorté Adam Soltani, en se réjouissant d’avoir été largement entendu par ses concitoyens musulmans.
Avec à leur tête l’imam Imad Enchassi, ce groupe d’hommes et de femmes, dotés d’un sens aigu du civisme et animés d’une curiosité insatiable, a pénétré dans le temple législatif de l’Oklahoma avec le respect dû à une enceinte publique prestigieuse, heureux de découvrir l’ensemble de ses bureaux et de ses salles de réunion, avant de se rendre dans la rotonde située au quatrième étage où ils ont été autorisés à prier collectivement.
« C’était incroyable ! », s’est exclamée Hannah Zeidan, 17 ans, une lycéenne étudiant à l’école islamique de Tulsa, enchantée de sa toute première visite dans le saint des saints du pouvoir local, et plus encore par l’accueil interconfessionnel chaleureux qui, à l’extérieur, saluait et applaudissait les musulmans à leur entrée et sortie de l’Oklahoma State Capitole.
Parmi les habitants non musulmans de Oklahoma City qui formaient, ce jour-là, une grande chaîne de la solidarité sous les fenêtres de l’Assemblée du comté, Kim Roberts arborait fièrement son T-shirt aux couleurs de l’étendard national sur lequel était inscrite une formule éloquente : Les droits des Musulmans sont des droits humains ». « Je suis ici, avec tant d’autres, pour témoigner mon soutien à la communauté musulmane », a-t-il expliqué avec un enthousiasme communicatif, avant de déplorer : « Le climat politique actuel pollue l’unité et encourage les discours et comportements délétères qui sont propices à la division ».
Provoquant une forte dissonance, des slogans orduriers ont malheureusement fusé d’une foule hétéroclite où s’étaient faufilés des islamophobes primaires. Contrairement au but recherché par ceux qui les ont proférées, leurs paroles outrageantes ont inspiré le plus grand mépris à Sheryl Siddiqui, la présidente du Conseil islamique, qui leur a opposé une tolérance et un légalisme à toute épreuve…
« S’ils se retranchent derrière le premier amendement de la Constitution pour nous insulter, grand bien leur fasse », a-t-elle rétorqué, résolue à ne pas donner prise à l’expression de la haine et à ne pas faire ce plaisir à ceux qui la sèment pour récolter la tempête.
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Crise migratoire : l’Algérie, pays de transit vers l’Europe.
Parmi les routes d’immigration illégale en partance d’Afrique subsaharienne et à destination de l’Union européenne, celle qui traverse l’Algérie du Sud vers le Nord est sans doute l’une des moins bien documentée. Et pour cause: il est difficile pour les journalistes d’y travailler, les autorités algériennes se montrant très méfiantes. Notre reporter, Denia De la Rive, s’est penchée sur les situations difficiles auxquelles les migrants illégaux sont confrontés.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Les forces israéliennes répriment la marche de solidarité avec les prisonniers de Qalandiya
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Le prédicateur d’Al-Aqsa: Le peuple de Jérusalem paye pour sa fermeté
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L’occupation arrête 3 jeunes de Gaza
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Une délégation de la jeunesse palestinienne quitte Gaza pour se rendre en Egypte
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Les forces de l’AP arrêtent deux étudiants
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Détérioration de l’état de santé des grévistes de la faim dans les prisons israéliennes
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L’OCI condamne la décision du tribunal israélien concernant al-Aqsa
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Les forces d’occupation arrêtent un jeune palestinien à Ramallah
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20 palestiniens enlevés en Cisjordanie dans plusieurs rafles
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Khalil al-Hayya: Nous refusons tous les projets de réinstallation
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Un checkpoint installé à l’entrée d’Hébron et un jeune étudiant arrêté
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Une délégation de jeunes devrait quitter Gaza pour se rendre en Egypte demain
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L’artillerie de l’occupation cible deux sites de la résistance dans le nord de Gaza
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77 violations contre les journalistes en février 2017
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L’occupation tire sur les maisons et les terres palestiniennes au nord de Beit Lahiya
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11 palestiniens blessés lors d’affrontements à Jérusalem-Est
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Le Centre Palestinien D’Information, sur http://french.palinfo.com