Programmes de diffusion sur MouslimRadio

Actuellement, en direct sur Loading ...


Flash info du 1er Joumada al Awwal 1439.

Flash info du 1er Joumada al Awwal 1439.

Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein sur www.tunein.com, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc… Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter, inch Allah… Les liens sont aussi visible sur notre site, www.mouslimradio.info.

AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
saphirnews.comoumma.comdesdomesetdesminarets.frC P I, Centre Palestinien D'Information
www.mizane.infowww.agencemediapalestine.frhttp://www.tribunelecteurs.com/https://lemuslimpost.com/

Sur Ajib.fr, voici les titres.

Des startups marocaines participent pour la première fois au CES de Las Vegas.
Pour la première fois de son histoire, le Maroc est le premier pays africain a participé au fameux Consumer Electronic Show (CES) grâce à neuf de ses startups. La 51e édition de cet événement d’envergure s’est tenue à Las Vegas du 9 au 12 janvier, il s’agit d’un rendez-vous incontournable où se côtoie la fine fleur de la construction des nouvelles technologies.
C’est là que sont dévoilées au grand public les innovations majeures du siècle, de la première caméra en 1981 en passant par le Blu-ray ou encore les consoles de jeux.
Les startups marocaines ont notamment présenté des innovations et des projets tels qu’un système d’aide à la conduite intelligente connectée, un analyseur portable de l’huile d’olive, un système pour prévenir les incendies des forêts, un système miniature et portable pouvant détecter la tuberculose, ou encore une application mobile qui teste le taux d’hydratation de la peau. Plusieurs de ces startups marocaines ont d’ores et déjà décroché leur place à l’Eureka Park, un espace dédié à l’innovation auxquelles ne sont conviées que quelques entreprises triées sur le volet.
Parmi les nouveautés les plus prisées du Salon, les enceintes connectées dont l’Echo d’Amazon ou le Home de Google ou encore les assistants vocaux et l’intelligence artificielle qui poursuivent leur avancée tant au niveau des smartphones que des robots …
La voiture autonome figure aussi en bonne place et de nombreux constructeurs dont Renault-Nissan, Toyota ou encore Hyundai se retrouvent tous les ans au CES.
Le Maroc occupe à présent une place à part entière au sein des pays innovants en matière de connaissances et de technologie.
France : Bernard de la Villardière dénonce l’apparition d’une femme voilée dans TPMP.
Essayiste et écrivain athée Palestinien, le fondateur du Conseil des ex-musulmans de France, Waleed Al-Husseini a trouvé l’occasion de refaire parler de lui. Faute d’actualité fraîche à se mettre sous la dent, il est revenu sur une émission de TPMP (Touche pas à mon poste) datant de janvier 2017.
Dans cette émission, l’animateur Cyril Hanouna recevait une jeune femme voilée, une provocation selon le défenseur des valeurs républicaines et de laïcité. Dans un tweet datant du 14 janvier 2018, il accuse l’animateur star de C8 de banaliser les signes ostentatoires religieux qui n’ont pour lui aucune place « dans l’espace public ».
Une atteinte aux valeurs de la République qui participerait, selon Al-Husseini à l’ « islamisation de notre société » et dont il faut dénoncer les dérives de « ces dangereux animateurs sans valeurs ».
Si le tweet a été accueilli par une tempête d’imprécations et d’insultes, il a néanmoins été partagé plus de 2.000 fois sur le réseau social. Et notamment par un certain Bernard de la Villardière, journaliste et animateur sur M6, toujours prompt à réagir lorsqu’il s’agit d’Islam et de musulmans.
Après avoir retweeté le message d’Al-Husseini, la réaction d’Hanouna ne s’est pas fait attendre.
Il devient ouf le Bernard ! Réponse ce soir dans TPMP.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Cyril Hanouna a rappelé que son programme prône l’ouverture d’esprit et la tolérance :
Je pars d’un principe : ici, que ce soit des personnes voilées, qui portent une kippa, qui soient petites, grosses, handicapées, qui soient noires… Nous on est juste là pour se marrer et on accueille tout le monde (…) . Il y a juste un truc qu’on veut pas, c’est les cons.
Petite piqûre de rappel pour ceux qui auraient oublié. L’art.9 de la Convention précise que « toute personne à droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. (…) Ce droit implique la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé (…). »
Les femmes voilées font partie intégrante de la société et en tant que telles, elles ont autant de droits que n’importe quelles autres femmes.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Ahed Tamimi condamnée à rester en prison jusqu’à son procès.
Sans grande surprise, la clémence envers une adolescente palestinienne mineure ne l’aura pas emporté dans la petite salle du tribunal militaire israélien d’Ofer, en ce mercredi 17 janvier de sombre augure pour la courageuse Ahed Tamimi, qui trouve encore la force de sourire devant la foule de journalistes venus entendre un arbitrage arbitraire connu d’avance.
La nouvelle icône de la résistance palestinienne qui croupit dans les geôles israéliennes infâmes depuis le 19 décembre dernier, isolée de sa mère Nariman, également incarcérée, et du reste du monde, vient d’être en effet condamnée à rester en prison jusqu’à son procès.
« Je ne vois pas d’autre alternative que d’ordonner qu’elle reste en détention jusqu’à la fin de la procédure », a déclaré un juge militaire israélien aux ordres. « La gravité des faits dont elle est accusée n’offre pas d’alternative à la détention », a-t-il martelé.
Ce procès pour l’exemple, demandé à cor et à cri par le gouvernement ultra-sioniste de Netanyahou et l’opinion publique israélienne, éructant de rage depuis la fameuse gifle cinglante donnée, le 15 décembre dernier, à un soldat de l’armée d’occupation par la jeune Ahed Tamimi, dissimule mal la cruelle mascarade judiciaire à l’œuvre pour priver de liberté, pendant des mois, celle qui fait désormais figure d’héroïne dans le monde entier.
Le martyr d’Ahed Tamimi risque fort d’asseoir sa légende grandissante.
Le grand projet d’une Néo-zélandaise musulmane : construire un refuge pilote pour les sans-abri.
Elle est l’un des fers de lance des actions caritatives menées par le Centre islamique d’Auckland, dans la lointaine Nouvelle-Zélande, Lucy Shah Mohamady, 46 ans, sensible à la misère sociale qui laisse sur le bord de la route les plus vulnérables de ses concitoyens, a estimé que le temps était venu de concrétiser l’idée qui avait germé en elle, au cours de l’année passée : offrir un toit à ceux qui n’en ont pas ou n’en ont plus.
S’il y a bien une citoyenne néo-zélandaise qui ne peut pas fermer les yeux sur la recrudescence et la souffrance des sans-abri, d’origine maorie pour un grand nombre d’entre eux, c’est sans conteste cette bénévole musulmane qui a connu un parcours personnel difficile, marqué par la précarité et la violence pendant l’enfance.
Mue par sa fibre humanitaire et son attachement aux nobles valeurs islamiques, cette mère de six enfants, qui a embrassé l’islam en unissant son destin à celui de son époux iranien, a décidé de faire plus que de distribuer des plats cuisinés avec son groupe Homeless No-More Aoteroa, pour prendre le problème à-bras-le-corps.
« J’ai traversé tellement d’épreuves dans une vie antérieure que j’aspire aujourd’hui, par-dessus tout, à tendre la main à mon prochain, quel qu’il soit, d’où qu’il vienne », insiste Lucy Shah Mohamady, qui ne supporte pas qu’une certaine frange de la population soit abandonnée à son triste sort dans la ville la plus peuplée du pays, au XXIème de surcroît. « Je me sens si proches d’eux, je les aime. Je suis tellement heureuse quand je vois leurs yeux briller et des sourires éclairer leur visage », confie-t-elle, bouleversée.
Désireuse de venir en aide à cette détresse humaine qui la touche au tréfonds d’elle-même, elle s’est entourée des compétences de l’architecte d’intérieur Lyzadie Renault, afin de matérialiser son grand projet : la construction d’un refuge pilote s’étendant sur environ 4 hectares de terrain, composé d’un centre d’accueil et de 64 cabanes autonomes, entièrement meublées, dans lequel un programme de réinsertion sociale, d’auto-développement, de coaching de carrière sera proposé, sous la houlette d’intervenants extérieurs.
De précieux conseils en matière de traitement des dépendances (drogues et toximanie) seront également prodigués, et des cours « Te Reo Maori » d’initiation et de perfectionnement à la langue maorie, qui est l’une des langues officielles de Nouvelle-Zélande, seront dispensés.
« Chacun de nous peut, à son niveau, à sa manière, contribuer à éradiquer la misère, lutter contre l’esseulement, la marginalisation des plus pauvres d’entre nous », appelle de ses vœux Lucy Shah Mohamady, qui considère qu’il n’y a pas de petites actions, ni de petits dons pour soulager les maux du monde environnant, qu’ils affectent ses frères et sœurs en Dieu ou en humanité.
Les États-Unis suspendent une partie de leur aide pour les réfugiés palestiniens.
Ils devaient verser 125 millions de dollars à l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, mais les États-Unis ont finalement décidé de ne débourser que la moitié. C’est l’annonce faite par le département d’État américain ce mardi : plus gros donateur de l’agence, les États-Unis ont annoncé vouloir revoir son fonctionnement et son financement
reportage a voir sur oumma.com.
“Expulsions des Haïtiens ” : clash entre une présentatrice et un pasteur pro-Trump
Echange tendu sur Haïti entre deux Afro-Américains : la présentatrice pro-Obama Joy Ann Reid de MSNBC et le pasteur pro-Trump Mark Burns. La journaliste dénonce la cruauté consistant à renvoyer les Haïtiens dans leur pays pauvre tandis que le pasteur défend la priorité nationale. Il rappelle que grâce à la politique de Donald Trump, le chômage chez les Afro-Américains est le plus bas de l’Histoire.
reportage a voir sur oumma.com.
Un réfugié irakien et sa petite fille accueillis à bras ouverts par une octogénaire finlandaise.
Poussé sur la route de l’exode par les violents soubresauts qui ont agité son pays, l’Irak, Azaldeen Kadhem, 34 ans, douloureusement éprouvé par la disparition tragique de son épouse, a tout laissé derrière lui il y a trois ans de cela, afin d’offrir un avenir meilleur à sa petite fille Diana, loin des affres de la guerre.
« Il n’y a pas de paix pour Diana en Irak », répète-t-il inlassablement au Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR), depuis sa terre d’asile finlandaise où il assure avoir jeté l’ancre définitivement : Nagu, une petite île très hospitalière située au sud-ouest de cette région nordique.
C’est au cœur de cette bourgade insulaire de 1 500 âmes que ce jeune papa aimant, qui est parti un beau jour de chez lui sans se retourner, en emmenant son petit bout de chou cruellement privé de l’affection maternelle, a fait escale en 2015.
Relégués au rang de réfugiés cherchant désespérément un havre de paix, comme la centaine d’autres déjà installés localement, et non de parias devant lesquels les cœurs se durcissent, Azaldeen Kadhem et sa fille ont eu la chance de croiser le chemin d’une merveilleuse octogénaire : Mona Hemmer.
A 80 ans passés, cette figure locale lumineuse, qui a toujours bon pied bon œil, s’est vite pris d’affection pour le couple très attachant formé par ce père irakien veuf et son adorable petite fille, les accueillant à bras ouverts chez elle, dans l’intimité de son foyer, avec une joie sincère que partage pleinement son mari Kaj.
« Certaines personnes s’inquiétaient de la façon dont l’arrivé des réfugiés affecterait notre petite communauté, composée essentiellement de pêcheurs et de voyageurs », a confié Mona Hemmer, avant de clamer haut et fort : « Mais la plupart sont animés par une saine curiosité ! Au lieu de nous enfermer dans la peur, nous sommes nombreux à avoir décidé d’héberger des familles entières et de les considérer comme des hôtes ».
A mille lieues de nos contrées où les réfugiés, ces nouveaux damnés de la terre, sont déshumanisés et diabolisés, à Nagu, les mains se tendent, les sourires illuminent les visages, les portes des maisons s’ouvrent, et l’horizon de Azaldeen Kadhem et de la petite Diana s’éclaircit d’une douce lueur, sous la bienveillante protection de Mona Hemmer, une grand-mère d’adoption rêvée.
« Je ne veux plus partir d’ici. Diana a trouvé un équilibre, elle rit et joue à nouveau. Elle a fait de grands progrès en peu de temps grâce à la nouvelle famille que nous avons trouvée ici, grâce à ces deux êtres formidables que sont Mona et Kaj », a déclaré Azaldeen Kadhem avec émotion, en s’autorisant pour la première fois depuis longtemps à se projeter dans l’avenir.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Les leçons de Luther King pour une lutte efficace contre l’islamophobie.
Nihad Awad est le Directeur national du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), une puissante organisation musulmane aux Etats-Unis. Dans une tribune publiée dans les colonnes du Time, il rappelle les grandes leçons que les musulmans américains, et plus largement ceux vivant dans des pays occidentaux, peuvent tirer et appliquer de l’engagement du docteur Martin Luther King pour une lutte efficace et coordonnée contre l’islamophobie.
Parmi les plus grandes leçons que le docteur. Martin Luther King nous a enseignées et que les musulmans américains peuvent appliquer aujourd’hui, il y a l’importance de stratégies bien coordonnées – menées par de larges coalitions – pour changer les règles écrites et non écrites sur la manière dont une communauté entière d’Américains devrait et ne devrait pas être traitée. Avec les boycotts d’autobus de Montgomery, le Dr King nous a enseigné l’importance de l’engagement direct auprès des décideurs et de la mobilisation communautaire. Quand rencontrer des décideurs pour leur demander de faire la bonne chose n’aboutit pas au changement souhaité, nous exerçons alors des pressions communautaires en coordination avec d’autres organisations et alliés musulmans américains. La coordination est la clé. Si un groupe travaille en privé avec les décideurs, il est important de coordonner avec lui tout ceux qui travaillent publiquement.
Planification, médias et image de soi.
Le Dr King nous a enseigné le pouvoir des médias et sa capacité à atteindre les Américains du quotidien avec des récits personnels, des tranches de vie, des contributions, des défis, des espoirs et les rêves de nos communautés. Le journalisme peut informer et inciter les Américains à prendre de bonnes décisions après avoir vu des histoires authentiques et humaines. Les scènes de ‘Bloody Sunday’ (Le Bloody Sunday s’est produit le 7 mars 1965 lors d’une marche pour l’égalité civique menée par Hosea Williams et John Lewis, en l’absence de Martin Luther King. 600 manifestants pour les droits civiques ont été attaqués par la police locale avec des matraques et du gaz lacrymogène, près de 70 blessés ont été dénombrés, ndlr) ont été diffusées en direct à la télévision à travers le pays grâce à la mobilisation efficace des médias avant l’événement par l’équipe du Dr King.
Une telle planification a aidé à mobiliser des milliers de personnes à travers le pays pour se lever et soutenir le mouvement. Une autre leçon que le Dr King nous a enseignée est l’importance de l’utilisation intentionnelle des mots et de ne pas utiliser les mots de code diffamatoires que nos opposants utilisent pour changer l’opinion publique contre nous. King a toujours utilisé des mots et des expressions stratégiques qui évoquaient des images positives et ambitieuses liées aux valeurs des gens pour les inspirer et faire avancer le rêve que lui-même avait su dessiné à travers ses propres mots. Lorsque les lois sur le racisme et la ségrégation ont été perçues comme un problème qui touchait uniquement le Sud, le Dr King a su définir la lutte pour l’égalité et l’équité comme définissant notre nation et notre identité en tant qu’Américains adhérant aux principes fondateurs de notre nation.
Les jeunes capables de raconter leurs histoires et de mobiliser leurs pairs peuvent être un puissant catalyseur du changement et méritent d’être encadrés très tôt comme leaders et intégrés dans les décisions de nos mouvements. C’était clair dans les sit-ins, dont la plupart étaient dirigés par des jeunes et dans des marches.
Former et intégrer les jeunes dans les institutions communautaires.
Le Dr King nous a enseigné l’importance de stratégies bien pensées en réponse aux soi-disant « moments de crises ». Plutôt que d’agir hâtivement en réponse à une situation, son équipe a élaboré des plans d’urgence pour mobiliser l’énergie et la passion du moment afin de réaliser des changements dans le système. Aujourd’hui, nous pouvons pareillement choisir de voir les manifestations de haine antimusulmanes les plus violentes, qui ont augmenté au cours des dernières années pour atteindre un niveau record, comme des occasions de mobiliser les citoyens concernés pour aller au-delà de la frustration et prendre des mesures spécifiques pour obtenir notamment des changements dans les représentations diffamatoires des musulmans par les médias qui, selon les études, alimentent les préjugés entraînant la discrimination et les crimes de haine.
Le Dr King nous a appris que les jeunes capables de raconter leurs histoires et de mobiliser leurs pairs peuvent être un puissant catalyseur du changement et méritent d’être encadrés très tôt comme leaders et intégrés dans les décisions de nos mouvements. C’était clair dans les sit-ins, dont la plupart étaient dirigés par des jeunes et dans des marches qui mettaient en vedette des jeunes et des enfants. Aujourd’hui, les musulmans américains peuvent bénéficier énormément de la responsabilisation des jeunes dans notre travail, en mettant en évidence dans nos efforts publics nos jeunes et nos enfants, qui sont ceux pour lesquels nous luttons, pour leur avenir et dont la présence éminente rappelle au public notre humanité et notre désir d’un avenir meilleur. Le Dr King nous a également enseigné le rôle important des alliés. Il a veillé à ce que des alliés non-noirs soient vus et entendus par des compatriotes américains, qui seraient souvent poussés à soutenir une action simplement en voyant la diversité des personnes qui soutenaient la liberté.
Coran : « Dieu ne changera pas la condition d’un peuple jusqu’à ce qu’ils changent ce qui est en eux-mêmes ».
Le Dr King disait que « Le changement ne roule pas sur les rouages ​​de l’inévitabilité, mais passe par une lutte continue. Et ainsi nous devons nous retrousser les manches et travailler pour notre liberté. » Le Coran déclare pour sa part que « Dieu ne changera pas la condition d’un peuple jusqu’à ce qu’ils changent ce qui est en eux-mêmes » (13 :11). Alors que la nouvelle année commence, et que nous nous souvenons des leçons du Dr King, en tant qu’organisation, nous, CAIR, nous engageons à mettre ces leçons à profit. Nous sommes déterminés à bâtir des coalitions plus vastes et plus fortes que jamais auparavant. Nous nous engageons à être réfléchis et disciplinés dans notre travail pour changer les représentations médiatiques de nos communautés, et ainsi changer la façon dont nos familles et nos enfants sont traités par la société. Nous nous engageons à faire ce travail – non pas seulement par nous-mêmes mais avec d’autres organisations et alliés musulmans américains – pour que des millions d’enfants musulmans américains, de Seattle à Savannah, allumant la télé ou regardant leur téléphone, sachent qu’ils ont le droit de vivre, d’espérer et de rêver comme n’importe quel autre Américain.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Le FLN réagit à l’instruction du Chef de l’Etat sur la privatisation : » Une décision souveraine «.
Le Parti du Front de libération nationale (FLN) a exprimé sa satisfaction quant à la décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika sur la privatisation, la qualifiant de » souveraine « . » Le parti a pris acte avec « une grande satisfaction, fierté et honneur de la décision du président de la République, président du parti dans laquelle il enjoint le Gouvernement de préserver les entreprises publiques et de ne pas les soumettre à la privatisation « , a affirmé le FLN dans un communiqué rendu public, soulignant qu’il saluait cette décision politique » souveraine et rigoureuse » qui vient confirmer encore une fois la politique judicieuse du chef de l’Etat. Pour le FLN, la vision du président de la République » clairvoyante et réaliste » atteste de sa ferme attachement à préserver les acquis sociaux des travailleurs et à honorer les engagements de l’Etat quant à ses orientations sociales dans le cadre de la solidarité et de la cohésion sociale.
Hadj 2018 : La taxe imposée par les Saoudiens sera prise en compte.
Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a annoncé avant-hier que le coût du pèlerinage sera revu à la hausse suite à la taxe des 5% imposée par l’Arabie saoudite. En marge de son intervention devant la Commission des finances et de budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), concernant la gestion du budget de son secteur pour l’exercice 2015, M. Aissa a indiqué que le coût du pèlerinage, estimé actuellement à 51 millions de centimes, « augmentera d’au moins 2,5 millions centimes », suite à la taxe imposée par l’Arabie Saoudite aux pays arabes et musulmans. L’inscription électronique au tirage au sort, qui aura lieu le 10 février prochain, se déroule « dans les meilleures conditions », a-t-il affirmé. Par ailleurs, le ministre a annoncé un deuxième tirage au sort qui sera organisé au profit des personnes âgées de plus de 70 ans ayant participé plus de 15 fois et qui n’ont pas eu la chance de visiter les lieux saints, soulignant que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika leur a consacré 2000 passeports, soit 500 passeports de plus par rapport à l’année écoulée.
3e Jour de la visite d’Ahmed Gaïd Salah, à Ouargla : La souveraineté nationale est une ligne rouge.
La troisième journée de sa visite en 4ème Région militaire à Ouargla a été dédiée à l’inspection de quelques unités relevant respectivement des secteurs militaires de Laghouat et de Biskra. Après avoir inspecté de nombreuses unités déployées le long des frontières Sud-est du pays, et suivi, de près, leur disponibilité opérationnelle, leurs conditions de travail et l’exécution de leurs missions, Monsieur le Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, Vice-Ministre a visité, quelques unités relevant du Secteur Militaire de Laghouat, en compagnie du Général-Major Cherif Abderrezak, Commandant de la 4e Région Militaire. Par ailleurs, la visite a été entamée par la Base Aérienne de Laghouat, où Monsieur la Général de Corps d’Armée a suivi un exposé global présenté par le Commandant de la Base, avant de visiter ses diverses structures administratives, pédagogiques et opérationnelles. Il s’est également enquis de l’exécution des instructions qu’il a données lors de sa visite précédente. D’autre part, il a donné, à l’occasion, un ensemble d’instructions et d’orientations, à travers lesquelles il a mis l’accent sur la particularité des missions assignées à nos Forces Aériennes qui représentent un soutien et un appui primordiaux dans le corps de bataille de l’Armée Nationale Populaire au regard de l’importance intrinsèque de leur rôle dans la défense et la sécurisation effectives et permanentes de notre espace aérien.
Noredine Bedoui réunira demain au CIC l’ensemble des P/APC et P/APW : Les élus locaux en conclave.
Créer de la richesse, assurer des postes d’emploi, et trouver des solutions aux problèmes des citoyens au niveau local, sont les actions et les priorités sur lesquelles le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noreddine Bedoui, insistera ce jeudi, selon nos sources. Ainsi, la croissance économique doit émerger de la base et des collectivités locales. « Les communes doivent exploiter leurs spécificités dans la création de la richesse et l’accompagnement des jeunes, notamment les universitaires pour l’obtention de postes d’emploi », avait précédemment déclaré le ministre, mettant en priorité le rôle des P/APC. Ces derniers sont chargés de réactiver et de redonner toute l’importance aux potentialités de leurs régions dans l’ultime but de fournir aux citoyens de leur commune la possibilité de travailler, de se développer sans pour cela avoir à rejoindre les grandes villes. Il s’agit en priorité de mettre en place une vraie dynamique basée, certes sur des moyens technologiques, mais également orientée vers l’assurance de débouchés. « Les moyens technologiques sont importants, mais doivent accompagner la dynamique escomptée visant à assurer des postes d’emploi, créer la richesse et trouver des solutions aux problèmes du citoyen », espère, nous dit-on, le ministre. Dans ce sillage, il va sans dire qu’une rigueur dans la gestion administrative et une lutte contre la bureaucratie s’avèrent plus qu’indispensables, pour permettre aux citoyens d’évoluer et de réaliser leurs projets dans les meilleures conditions. D’un autre côté, le ministre insistera sur l’importance que doivent donner les P/APC à cette tâche, et les responsabilités qui doivent être engagées dans ce sens.
Snategs renoue avec la protestation : Un rassemblement prévu le 20 janvier à Alger.
Le syndicat national autonome des travailleurs d’électricité et du gaz (SNATEGS) a , dans un communiqué la tenue d’un rassemblement pacifique prévue pour le 20 janvier à la grande poste à Alger, pour dénoncer la privatisation des entreprises publiques, et la loi de finance 2018, la suppression des libertés et la répression policière qui » cette dernière a reçu une vague d’impulsion sans précédent dans les sites des réseaux sociaux marqués par une adhésion massive de toutes les couches sociales du peuple pour manifester contre la politique antisociale exercée par le gouvernement » De son côté, son secrétaire général, Kouafi Abdelkader a exprimé sa grande satisfaction à la décision du président de la République à propos de son annulation des accords de la tripartite, visant à l’ouverture du capital des entreprises publiques. Cette décision qui selon lui est intervenue après la grande campagne menée par les activistes de la société civile dans les réseaux sociaux. » Malgré les décisions avisées du président de la république à annuler les accords imprudents de la tripartite, Malheureusement, le peuple algérien est toujours opprimé par l’emprise policière qui reste à l’affût pour quiconque tente de revendiquer pacifiquement ses droits constitutionnels, il reste encore la médiocrité d’emploi, le clientélisme et le favoritisme continuent d’être un gros titre dans le secteur de l’énergie.
60% des produits alimentaires jetés aux ordures : Les Algériens gaspillent trop.
Le gaspillage des produits alimentaires a atteint le seuil des 60% selon un bilan fourni par l’UGCCA. La plupart des produits subventionnés par l’Etat finissent dans les sacs à ordures alors que la facture des importations continue à exploser. C’est la contradiction notoire entre d’une part la facture élevée en produits alimentaires qui est toujours en hausse et le gaspillage des denrées alimentaires qui prend de l’ampleur. Selon une étude fournie par l’UGCAA » ces produits de première nécessité sont jetés comme ordures sans être consommés « . Le pain, le lait en sachet, produits alimentaires dérivés et même des légumes connaissent une croissance exponentielle mais la surconsommation gagne en ampleur. L’UGCCA estime que c’est » l’Etat qui perd des milliards en achetant du blé à l’extérieur » indiquant que » c’est un lourd fardeau pour le gouvernement « . Un indice révèle la gravité de ce phénomène où » chaque mois, le gaspillage coûte 10 milliards de dinars pour les produits subventionnés « . Rien que le pain constitue le gros de ce gaspillage du moment que le prix reste fixé par les pouvoirs publics avec une moyenne de 50 millions de baguettes produites chaque jour. Hélas, une bonne partie se retrouve comme déchets alors que sous d’autres cieux, le pain est soigneusement entrepris pour être recyclé pour l’aliment de bétail. De même que le lait où cette année, la facture d’importation a augmenté en se situant à plus de 1,011 milliard de dollars subissant également les aléas du gaspillage qui sont inclus comme coût à supporter par l’Etat. Selon un chiffre fourni par la FAO , prés de 12 millions de litres sont perdues annuellement. C’est dire que la culture de la consommation pose un sérieux problème en Algérie. Pourtant, des campagnes de sensibilisation contre le gaspillage ont été menées depuis des années. Des panneaux d’affichage public, des slogans pour la propreté dans les villes et des séminaires d’orientation des consommateurs, le gros du travail a été fait. Les associations de défense des droits de consommateurs se sont également impliquées pour prévenir contre les la surconsommation et de rationaliser la consommation en produits alimentaires soutenus par l’Etat. Le succès attendu de ces campagnes est mitigé où il subsiste encore des gestes et comportements allant dans le sens contraire de ces campagnes d’explication. L’une des solutions envisagées dans ce cadre est de créer une taxe spéciale pour les déchets afin de dissuader les consommateurs contre ces excès.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Conditions de détention en Israël : les ONG tirent le signal d’alarme.
Israa Jaabis, une mère palestinienne de Jérusalem âgée de 33 ans, est actuellement incarcérée à Hasharon, la seule prison israélienne pour femmes palestiniennes, après avoir été condamnée à onze ans de prison.
En 2015, elle a été accusée par Israël de tentative de meurtre après que sa voiture a explosé à un poste de contrôle, ce qu’elle a toujours nié, expliquant que c’était un accident involontaire. Depuis, Israa Jaabis souffre de brûlures au premier et au troisième degrés sur 60 % de son corps et dépend d’un codétenu pour l’aider à accomplir les tâches du quotidien. Elle souffre également de dépression nerveuse, de choc et de graves crises psychologiques.
Le groupe de défense des droits des prisonniers palestiniens, Addameer, explique qu’elle est désormais « incapable d’effectuer des activités quotidiennes comme manger, utiliser la salle de bain ou même changer de vêtements. »
« Alors que l’état de Jaabis nécessite des soins médicaux et psychologiques approfondis, les autorités israéliennes négligent complètement ses besoins les plus urgents », s’indigne également le groupe, cité dans un article d’Al Jazeera.
Jaabis aurait besoin d’au moins huit chirurgies, y compris une greffe de peau autour de son œil droit et d’une reconstruction faciale. Les gardiens de prison lui fourniraient seulement une pommade pour les brûlures, qu’elle utilise en quelques jours ainsi que des analgésiques.
« Je n’ai reçu qu’une seule visite de ma famille pendant mon incarcération ».
Des souffrances et des négligences que d’autres prisonniers palestiniens dénoncent régulièrement. En avril dernier, 1 500 détenus avaient entamé une grève de la faim pendant 40 jours pour protester contre leurs conditions de détention, trouvant finalement un compromis après de longues négociations.
Dans le même temps, Amnesty International avait recueilli les témoignages de membres de familles et de prisonniers palestiniens détenus dans le système carcéral israélien. Ils montraient la souffrance endurée par les familles qui sont souvent confrontées à l’impossibilité de voir leurs proches détenus pendant de nombreuses années.
Ahmed, 32 ans, originaire d’Hébron, en détention administrative à la prison de Ketziot, dans le désert du Néguev, n’a reçu qu’une seule fois la visite de ses proches en cinq ans et demi de détention dans les geôles israéliennes entre 2005 et 2017.
« Je n’ai reçu qu’une seule visite de ma famille pendant mon incarcération. En 2006, ma mère et mon père ont pu me rendre visite, car mon père était souffrant. Il avait 75 ans, et c’est la dernière fois que je l’ai vu. Il est mort pendant que j’étais en prison », témoignait-il pour Amnesty.
1 000 prisonniers ne sont pas autorisés à recevoir la visite de leur famille pour des motifs de sécurité.
Selon le porte-parole de la Commission chargée des Affaires des prisonniers palestiniens, Hasan Abed Rabbo, au moins 1 000 prisonniers ne sont pas autorisés à recevoir la visite de leur famille pour des « motifs de sécurité. »
« Au lieu de transférer illégalement les prisonniers en dehors des territoires occupés, Israël devrait faire en sorte que tous les Palestiniens qui y sont interpellés soient placés dans des prisons et des centres de détention situés dans les Territoires palestiniens occupés. En attendant, les autorités israéliennes doivent cesser de se servir des restrictions excessives des droits de visite pour sanctionner les prisonniers et leurs familles, et garantir que les conditions respectent pleinement les normes internationales », écrit Amnesty International dans un communiqué.
En plus de la levée des restrictions sur les visites des familles, les prisonniers souhaitent un meilleur accès aux soins médicaux, l’augmentation de la durée des visites de 45 à 90 minutes, l’amélioration des conditions de détention, moins de restrictions concernant l’entrée des livres, des vêtements, de la nourriture et d’autres cadeaux apportés par leurs familles. Ils demandent également le rétablissement de centres éducatifs et l’installation de téléphones pour permettre aux prisonniers de communiquer avec leur famille.
Plus de 300 mineurs détenus comme Ahed Tamimi .
Selon l’association Addameer, la plupart des habitants de Cisjordanie qui rendent visite à des proches détenus mettent entre huit et quinze heures pour se rendre à la prison, en fonction de l’endroit où se situe la prison et de leur lieu de résidence. Ils sont soumis aussi à des palpations et fouilles au corps. Une façon de décourager les familles d’aller rendre visite aux détenus.
Récemment, Amnesty a aussi dénoncé la détention de Ahed Tamimi, arrêtée le 19 décembre dernier et qui fait partie des 350 autres mineurs palestiniens des prisons et centres de détention israéliens (selon les chiffres de Addameer).
« L’arrestation et le procès militaire d’Ahed Tamimi témoignent du traitement discriminatoire qu’infligent les autorités israéliennes aux mineurs palestiniens qui osent défier la répression, souvent brutale, menée par les forces occupantes », pointe du doigt l’organisation des droits humains dans un communiqué.
« Israël bafoue effrontément les obligations qui lui incombent au titre du droit international s’agissant de protéger les mineurs de sanctions pénales trop sévères », a également ajouté Magdalena Mughrabi, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient à Amnesty International.
Belgique : Mosquée de Bruxelles : l’opération séduction de l’Arabie Saoudite.
70 milliards. Le chiffre donne le tournis. Depuis 1979, l’Arabie Saoudite a déboursé plus de 70 milliards de dollars sous forme de dons pour diffuser l’idéologie wahhabite à travers la planète. Une « wahhabisation » à coup de dollars qui n’a jamais cessé. Et pourtant, ce mardi, le ministre saoudien des Affaires étrangères a officiellement accepté de lâcher la gestion de la Grande mosquée de Bruxelles, que les autorités belges tentent de récupérer depuis plusieurs mois.
Doit-on croire que le royaume saoudien a décidé d’arrêter de diffuser son idéologie à travers la planète ? Les derniers événements montrent qu’on est loin d’être dans ce cas. En effet, rien qu’en fin d’année dernière, Riyad a réussi à financer 560 mosquées au Bangladesh. L’Arabie Saoudite est également très active de l’autre côté de l’océan, puisqu’elle a proposé de construire une mosquée à… Cuba.
Mais alors pourquoi revenir sur le contrat de gestion de la mosquée de Bruxelles alors que celui-ci courait encore pour un demi-siècle ? La Belgique n’est pas dupe. Pour Georges Dallemagne, député fédéral et qui avait dénoncé l’influence du wahhabisme en Belgique, cité par RTBF, la décision saoudienne est avant tout géopolitique. « D’abord, le pays est en conflit avec l’Iran. Ils ont besoin d’alliés et d’avoir à leurs côtés les Européens et les Américains. Pour les Américains, c’est déjà fait. La Grande-Bretagne vient, elle, de signer un accord stratégique avec l’Arabie Saoudite, et ils ont besoin de faire en sorte que l’opinion publique européenne et internationale soit un peu moins hostile aux valeurs saoudiennes. »
Pour le député, il s’agit d’« une opération de charme à l’égard de l’Europe » mais il ne faut pour autant pas être naïf : « Que l’on ne s’y méprenne pas. (…) Il n’y a pas d’’aggiornamento’ en Arabie Saoudite par rapport aux liens entre wahhabisme et djihadisme », ajoute Georges Dallemagne, qui indique qu’il y a, aujourd’hui, « tout un travail à refaire par rapport à cette idéologie qui a véritablement déstabilisé nos communautés. »
Reste que la gestion de la mosquée ne devrait passer dans les mains belges avant la fin de l’année. Les ministères de l’Intérieur et de la Justice, qui ont œuvré à négocier avec Riyad, vont maintenant devoir décider qui gèrera le lieu de culte. L’exécutif des musulmans de Belgique — le CFCM belge — sera un partenaire privilégié des autorités, mais Georges Dallemagne ne veut pas que cette organisation soit seule gérante de la mosquée de Bruxelles. Notamment à cause de ses accointances avec le Maroc et la Turquie.
Les parlementaires marocains veulent combattre et pénaliser le racisme.
C’est un fléau qui sévit dans tout le Maghreb. En Algérie, en juin dernier à l’occasion de la Journée internationale des réfugiés, des Algériens avaient lancé sur les réseaux sociaux une campagne pour dire « Non aux Africains en Algérie ». En Tunisie, le racisme n’est pas interdit par la loi, tout comme au Maroc, où plusieurs étudiants africains ont témoigné du racisme ordinaire qu’ils ont subi.
Des parlementaires marocains viennent de faire une proposition de loi pour lutter contre le racisme. Présentée ce mardi par les membres du parti de l’Istiqlal, la première formation politique créée au moment de l’indépendance du royaume.
Les parlementaires proposent des peines inédites pour les individus qui seraient coupables de racisme — entre un et trois ans de prison —, que ce soit pour des propos ou pour des actes de violence. Le parti espère voir sa loi passer et il demande plus de sévérité à l’encontre des individus racistes. L’Istiqlal propose également de recenser les personnes étrangères et de tenter de les intégrer de meilleure façon dans la société.
Le Maroc est devenu un lieu de passage pour de nombreux Subsahariens souhaitant rallier l’Europe. Selon les parlementaires à l’origine de ce projet de loi, il faut offrir des conditions de vie décentes à ces personnes, même si elles sont de passage. Une loi qui, si elle était votée, serait une grande avancée au Maghreb.
La Birmanie veut faire revenir les Rohingyas… dans des camps.
En septembre dernier, Aung San Suu Kyi tentait de rassurer la communauté internationale et le Bangladesh voisin en se disant « prête » à organiser le retour des Rohingyas sur son sol. Le prix Nobel de la Paix 1991 s’était ensuite déplacée dans l’Etat de Rakhine pour une opération de communication savamment orchestrée.
Le 2 octobre 2017, autorités birmanes et bangladaises se sont rencontrées pour évoquer un retour des Rohingyas au Myanmar. Pour soulager le Bangladesh, tout d’abord, qui a toujours estimé que l’afflux d’exilés était pour le pays « un fardeau. » Pour envoyer un signal fort à la communauté internationale également : le Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a estimé que le massacre de Rohingyas avait été « organisé et planifié » par les autorités birmanes.
Aucun droit garanti aux Rohingyas à leur retour en Birmanie.
En ce début d’année — mais pas avant le mois de février, le Bangladesh et la Birmanie ont décidé de commencer le rapatriement des Rohingyas vers l’Etat de Rakhine. Ils seraient 655 000 à avoir fui les violences et l’épuration ethnique organisée par l’armée depuis la fin du mois d’août. Au total, environ un million de réfugiés seraient parqués dans des camps à la frontière du Bangladesh.
Bangladesh et Birmanie se seraient mis d’accord sur un document que devront remplir les exilés. Un document qui doit servir à prouver que les demandeurs vivaient bien en Birmanie avant de se retrouver au Bangladesh. Sauf que, au Myanmar, les Rohingyas sont considérés comme apatrides. Ils n’ont accès ni à l’éducation, ni à la santé et n’ont pas la possibilité de se marier civilement.
Les Rohingyas craignent pour leur sécurité.
Et quand bien même les exilés pourraient revenir en Birmanie, ils seraient une nouvelle fois parqués dans des camps : la Birmanie compte en construire cinq dans l’Etat de Rakhine. Les Rohingyas devront donc, s’ils souhaitent revenir en Birmanie, accepter de vivre dans des camps et aucune garantie de sécurité ne leur a été faite. Sans droits et sans savoir si l’armée peut encore s’en prendre à eux, de nombreux exilés ont d’ores et déjà refusé de remplir le document proposé.
Pour le porte-parole du Haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés, « le rythme du retour doit être dicté par les réfugiés eux-mêmes » et « il est très important de leur demander ce qu’ils veulent. Et jusqu’ici ils disaient ne vouloir rentrer que si les choses changeaient. »

Sur agence media palestine.fr, voici les titresrien de neuf.

Palestine : Voici les enfants qu’Israël a tués en 2017.
Quatorze filles et garçons palestinien.ne.s ayant moins de 18 ans ont été tués par les forces d’occupation israéliennes en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza au cours de l’année.
Ils étaient 21 de moins qu’en 2016, qui fut l’année la plus meurtrière pour les enfants palestiniens en Cisjordanie occupée cette décennie. En plus des 14 tués pendant l’année 2017, un enfant a succombé à des blessures causées par un tir de drone quelques années plus tôt.
Un autre enfant a été tué par une mine israélienne alors qu’il gardait son troupeau. Un bébé qui vivait dans un abri temporaire, sa famille s’étant retrouvée sans abri à cause des bombardements israéliens, est mort de froid.
Des enfants palestiniens sont morts aussi parce qu’ils ne parvinrent pas à obtenir de permis de sortir de Gaza par le check-point d’Erez, contrôlé par Israël, pour des traitements médicaux indisponibles dans la Bande de Gaza assiégée.
Les médecins des urgences n’ont pu réanimer une enfant de 9 ans gravement malade en Cisjordanie après que des soldats israéliens aient refusé le passage de sa famille à un check-point ; un trajet qui prend normalement 15 minutes prit 90 minutes à sa famille obligée de faire un détour et passer un autre check-point.
Aucun enfant israélien n’a été tué par des Palestiniens cette année. Une femme israélienne blessée par une bombe à un arrêt de bus en 2011, alors qu’elle avait 14 ans, est décédée en 2017 sans avoir jamais repris connaissance.
Qusay al-Amour, 17 ans.
Qusay al-Amour (via DCIP)
Qusay al-Amour fut tué par balle par des soldats lors de confrontations entre les forces israéliennes et des jeunes palestiniens dans la commune de Tuqu, près de la ville de Bethléem, en Cisjordanie, le 16 Janvier.
Un témoin oculaire déclara à l’association palestinienne pour les droits humains, Al-Haq, que Qusay, qui portait un masque, était assis par terre. Lorsqu’il se releva, on lui tira dessus.
Les instants après son exécution ont été filmés par le journaliste Hisham Abu Shakra.
La vidéo montre des soldats tirant sur un Palestinien qui tentait de venir en aide à Qusay, étendu inanimé au sol, avant que plusieurs soldats ne courent chercher le jeune blessé.
Selon Al-Haq, “un des soldats met son genou sur la gorge de Qusay, tout en essayant de le menotter mais il ne réussit pas à faire passer la main gauche de Qusay dans son dos”.
Les soldats portent ensuite Qusay par ses mains et ses pieds, alors que sa tête non maintenue tape le sol à maintes reprises, jusqu’à une jeep de l’armée à une distance d’une dizaine de mètres de là où il a été abattu.
Un médecin de l’hôpital de Beit Jala a précisé que Qusay a été tué par trois balles, dans la cuisse, l’estomac et la poitrine.
“Qusay ne représentait pas une menace directe à la vie des soldats, par conséquent il a été tué illégalement,” a déclaré Al-Haq.
Murad Yousif Abu Ghazi, 17 ans.
Murad Yousif Abu Ghazi fut tué par balles par les forces israéliennes lors de confrontations dans le camp de réfugiés d’Arroub, dans le Sud de la Cisjordanie le 17 Mars.
Les soldats israéliens ont tiré à balles réelles sur un groupe d’adolescents accusés d’avoir lancé des cocktails Molotov sur la tour militaire à l’extérieur du camp.
“Selon un examen préliminaire du médecin légiste, menée sous l’observation du procureur général, Murad a été touché par une balle entrée par le bas de son épaule gauche,” selon Defense for Children International-Palestine.
‘La balle atteint directement le cœur avant de ressortir de sa poitrine. La mort de Murad, survint probablement quelques minutes après, selon le médecin légiste.”
Un autre jeune, Saif Awlad Issa, 16 ans, fut blessé par une balle à la poitrine mais a survécu.
“Les dispositifs militaires comme les check-points et les miradors en Cisjordanie et la ‘zone tampon’ lourdement surveillée le long de la frontière de Gaza sont des lieux d’affrontements fréquents, qui représentent pour les enfants qui vivent ou passent souvent près de ces zones d’importants risques d’être blessés, tués ou arrêtés,” a déclaré Defense for Children International-Palestine après le meurtre de Murad.
Murad avait perdu son ami et camarade de classe, Omar Madi Jawabreh, l’année précédente. Il avait été tué par des soldats israéliens, une balle dans la poitrine, alors qu’il avait 15 ans.
“Le martyre d’Omar affecta Murad profondément, ça l’a changé,” explique Zeina, la mère de Murad à Electronic Intifada. “Il allait sur la tombe de Murad tous les jours et il portait son collier. Il avait la photo d’Omar dans sa poche et rendait souvent visite à sa mère ; il était comme un fils pour elle.”
La famille de Murad est, à l’origine, de Beit Jibrin, une ville palestinienne qui subit un nettoyage ethnique par les milices sionistes en 1948, et qui se situe en, ce qu’on appelle aujourd’hui, Israël.
Arroub est l’un des camps de Cisjordanie les plus souvent envahis par l’armée, selon l’UNRWA, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens.
Tout le camp participa aux funérailles de Murad, explique Ahmad à The Electronic Intifada.
“Hommes, femmes et enfants. Tout le monde ici aimait Murad. Je garderai toujours la tête haute car il était mon ami.”
Yousif Shaaban Abu Athra, 15 ans.
Yousif Abu Athra a été tué par un tir de tank lorsque lui et deux amis majeurs s’approchèrent de la clôture le long de la ligne de démarcation entre Gaza et Israël la nuit du 21 Mars.
Un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré à la presse que les trois jeunes se comportaient de manière suspecte, comme s’ils essayaient de planter un objet explosif, sans donner de plus amples détails.
Le père de l’adolescent expliqua à Defense for Children International-Palestine que “le corps de son fils était criblé d’éclats d’obus, et portait des blessures à la tête.”
La Société du Croissant Rouge palestinien a expliqué à l’association des droits humains que Yousif était déjà mort quand les ambulanciers sont parvenus à le rejoindre.
Muhammad Waheed Atallah al-Ekir, 25 ans, fut sérieusement blessé par des éclats d’obus à la poitrine et à l’abdomen lors du même incident.
L’armée tire fréquemment sur les Palestiniens qui pénètrent dans ce qu’on appelle la zone tampon le long de la limite entre Gaza et Israël.
Cette zone interdite est censée s’étendre sur 300 mètres à l’intérieur du territoire de Gaza, par l’Est et par le Nord, mais les associations de droits humains disent que la zone peut s’étendre jusqu’à 1500 mètres.
Muhammad Khatab, 17 ans et Jassim Nakhla, 16 ans.
Muhmmad Khattab a été tué lorsque les forces israéliennes tirèrent sur la voiture qu’il conduisait près de la colonie de Beit El, au Nord de la ville de Ramallah, en Cisjordanie, le 23 Mars.
Trois autres enfants furent blessés et laissés dans un état critique lors de l’incident. L’un d’entre eux, Jassim Nakhla, mourut de ses blessures le 10 Avril, deux jours après son 16ème anniversaire, selon Defense for Children International-Palestine.
Un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré à la presse que les jeunes avaient lancé des bombes en direction d’un stand de restauration près de la colonie adjacente au camp de réfugiés de Jalazone, d’où venaient les garçons.
Un témoin affirme à l’association des droits humains que les soldats ont tiré sur Muhammad quand il est sorti de sa voiture en panne pour la pousser.
Lorsque les soldats ont commencé à tirer, “Muhammad est rentré dans sa voiture pour tenter de s’échapper, mais la voiture n’a pas démarré, selon la source de DCIP. Le témoin explique que les soldats israéliens se sont approchés ensuite de la voiture et ont tiré sur les quatre enfants… alors qu’ils étaient dans la voiture.”
Muhammad, reçut deux balles dans le torse, et fut déclaré mort à son arrivée à l’hôpital.
Le directeur des urgences du Complexe Médical de Palestine expliqua à Defense for Children International-Palestine que Jassim “avait été blessé à balles réelles, à la tête, à la poitrine et au pied droit.”
L’assassinat des adolescents perça la bulle de la ville voisine, Ramallah, siège de l’Autorité Palestinienne, soutenue par l’Ouest, selon Jalal Abukhater, collaborateur de The Electronic Intifada.
“Des manifestants en colère prirent les rues de Ramallah après la mort de Muhammad, scandant et criant, espérant qu’on les entendrait,” écrit-il à l’époque.
“Plusieurs groupes de jeunes ont parcouru la ville pour demander aux restaurants et aux cafés de Ramallah de fermer en signe de deuil.”
Defense for Children International-Palestine a demandé qu’une enquête soit ouverte sur l’attaque meurtrière.
Mais comme l’explique Abukhater, la souffrance des familles endeuillées “est exacerbée par le fait de savoir que la justice ne sera jamais rendue tant que l’occupation israélienne continuera d’exister.”
Defense for Children International-Palestine a précisé à The Electronic Intifada que l’un des deux garçons survivant à l’attaque est maintenant paralysé et en fauteuil roulant. Il reçoit un traitement dans un hôpital en Israël et apprend à vivre avec ses blessures.
L’autre garçon ne tient pas bien en équilibre debout et ne peut pas se servir de sa main gauche à cause de lésions nerveuses dues à ses blessures. Il fait de la rééducation dans un centre à Ramallah.
Ahmad Ghazal, 17 ans.
Le meurtre d’Ahmad Ghazal le 1er avril par la police israélienne des frontières s’apparenterait à un assassinat extrajudiciaire, selon Defense for Children International-Palestine.
Ahmad, du Nord de la Cisjordanie, avait poignardé et blessé deux hommes juifs dans la vieille ville de Jérusalem, leur causant des blessures bénignes. Après s’être enfuit dans un immeuble voisin, il fut poursuivit par les forces israéliennes qui tirèrent sur l’adolescent.
Une vidéo de la scène montre des hommes de la police des frontières courant dans une ruelle de la vieille ville, dépassant un homme ayant du sang à l’arrière de sa chemise, avant que plus d’une douzaine de coups de feu ne retentisse.
Une autre vidéo montre des murs troués par les balles qui tuèrent Ahmad.
“Les forces israéliennes empêchèrent les ambulances et le personnel médical d’entrer dans l’immeuble pendant plusieurs heures, déclara le témoin,” ajouta Defense for Children International-Palestine. “Après ça, le témoin vit la police des frontières trainer le corps de l’adolescent à l’extérieur de l’immeuble et le placer dans un sac noir.”
Ahmad avait posté une photo de lui se tenant devant le Dôme du Rocher de Jérusalem peu de temps avant d’être tué :
Fatima Hjeiji, 16 ans.
Fatima Hjeiji, de la commune de Qarawat Bani Zeid, au centre de la Cisjordanie, fut abattue par la police des frontières israélienne près de la porte de Damas de la vieille ville de Jérusalem, le 7 Mai.
La police israélienne affirme que la jeune fille tentait d’attaquer la police des frontières quand elle fut abattue.
Des associations pour les droits humains déclarent que Fatima ne présentait pas un danger justifiant l’usage de la force létale contre elle.
Selon l’association israéliennes de droits humains, B’Tselem, Fatima s’approcha d’une barrière métallique de la police et brandit un couteau vers un groupe de la police israélienne et de la police paramilitaire des frontières de l’autre côté de la barrière.
“Puis les agents l’abattirent,” explique B’Tselem.
Un témoin raconta à Defense for Children International-Palestine que les forces israéliennes lui crièrent “lâche le couteau !” en hébreu, deux fois.
“Le témoin expliqua que l’adolescente leva le couteau dans les airs et s’immobilisa. Quelques secondes plus tard, elle avait été abattue, selon la source de DCIP.”
L’association des droits humains explique que la jeune fille a été tuée dans “des circonstances méritant une enquête impartiale.”
Fatima Taqatqa, 15 ans.
Fatima Taqatqa, de la commune de Beit Fajjar près de la ville de Bethléem, en Cisjordanie, fut abattue par les forces israéliennes après qu’elle ait foncé avec sa voiture dans un groupe de soldats au carrefour de Gush Etzion près de la colonie du même nom, le 15 Mars.
Israël accuse Fatima d’avoir tenter de mener une attaque à la voiture bélier lorsqu’elle fut tuée. Aucun Israélien ne fut blessé lors de l’incident.
Fatima succomba à ses blessures plus de deux mois après.
La vidéo d’une caméra de sécurité montre la voiture de Fatima traversant à grande vitesse un terre-plein central et s’écrasant dans une barrière, derrière laquelle se trouvent des soldats.
Plus d’une douzaine de Palestiniens et trois Israéliens ont été tués au carrefour de Gush Etzion depuis Octobre 2015, selon Ma’an News Agency.
Raed Ahmad Radayda, 15 ans.
Raed Ahmad Radayda est mort après que des soldats israéliens lui aient tiré dessus alors qu’il aurait tenté de poignarder l’un d’entre eux, au check-point du Container près de la commune de l’adolescent, al-Ubeidiya, dans la région de Bethléem, en Cisjordanie, le 22 Mai.
Raed se vida de son sang pendant environ 40 minutes, a rapporté la presse, les soldats empêchant les médecins palestiniens d’accéder au corps.
Le père de Raed expliqua à Defense for Children International-Palestine qu’ “il n’a pas été prévenu que son fils avait été tué jusqu’à ce qu’il a appelé la police palestinienne près de sept heures après la mort du garçon de 15 ans.”
Israël garda le corps du garçon jusqu’au 26 Mai. Une autopsie eu lieu le jour d’après.
“Bien que l’autopsie complète n’a pas encore été remise à DCIP, la famille a déclaré que Raed avait des blessures apparentes à la tête, à la poitrine et aux pieds,” déclara l’association peu de temps après la mort de Raed.
Un porte-parole de la police israélienne déclara à la presse que Raed s’était approché des soldats avec un couteau à la main, et qu’“après une courte dispute, un soldat israélien fut en mesure d’ouvrir le feu sur le suspect qui fut neutralisé et le couteau en sa possession fut saisi.”
Aucun soldat israélien ne fut blessé.
Nouf Infayat, 14 ans.
Nouf Infayat fut grièvement blessée par balles après avoir poignardé et légèrement blessé un soldat israélien à l’extérieur de la colonie Mevo Dotan au Nord de la Cisjordanie, le 1er Juin. Elle a succombé à ses blessures le jour suivant.
Une vidéo de la scène montre Nouf étendue au sol, gémissant de douleur tandis que les Israéliens, au moins l’un d’entre eux armé, se tiennent autour d’elle, l’insultant et lui souhaitant la mort.
Defense for Children International-Palestine explique qu’on a tiré six fois sur Nouf, du village de Yabad, au cou, à la main et à la cuisse.
“Des agences locales d’information rapportent qu’on a laissé Nouf se vider de son sang sur la route pendant près d’une heure, avant qu’une ambulance n’arrive,” ajouta l’association.
“Nous sommes profondément préoccupés par la vidéo de l’incident qui indique un délai important avant que l’enfant blessée ne reçoive des soins médicaux,” déclara Ayed Abu Eqtaish, directeur à Defense for Children International-Palestine.
Les forces israéliennes ont échoué à fournir des soins médicaux ou ont empêché les médecins palestiniens d’accéder à des personnes grièvement blessées dans de nombreux cas où des soldats ont abattu des agresseurs prétendus ou avérés.
Amnesty International a déclaré que le manquement à fournir les premiers soins à des personnes blessées “va à l’encontre de l’interdiction de la torture et de tout autre châtiment cruel, inhumain et dégradant.”
Aws Muhammad Yousif Salameh, 16 ans.
Aws Salameh a reçu une balle dans l’estomac quand des soldats israéliens ont pris en embuscade des jeunes qui lançaient des pierres lors d’une rafle sur le camp de réfugiés de Jenin tôt le matin du 12 Juillet. Un habitant majeur du camp, Saed Salah, 21 ans, fut également tué.
Saed et un groupe d’une cinquantaine de jeunes couraient après deux jeeps militaires lorsque tout à coup les véhicules ont freiné.
Saed, qui conduisait une moto, s’arrêta aussi.
“Je pense que le fait que les jeeps se soient arrêtées d’un coup a pris Saed par surprise… et il a essayé de s’arrêter. A ce moment-là, j’ai vu un soldat lui tirer dessus,” a déclaré un jeune de 19 ans à B’Tselem.
“Les soldats ont tiré ensuite en direction d’Aws Salameh, qui se trouvait à l’avant des gars qui couraient après les jeeps. Je l’ai vu tomber,” ajoute le témoin.
Un autre témoin expliqua à B’Tselem que les jeeps de l’armée se sont arrêtées près d’une maison où des soldats occupaient le toit. Le témoin de 16 ans raconte qu’il a vu les soldats sur le toit tirer sur Saed et Aws.
B’Tselem déclara qu’ “Après que [Saed] Salah se soit fait tirer dessus, des soldats se tinrent autour de lui pendant au moins dix minutes sans lui apporter de soin médical.”
L’association des droits explique que Saed et Aws “ne représentaient pas une menace pour la vie des soldats ” lorsque la force létale fut utilisée contre eux.
Ce n’est pas la première fois que des balles mortelles sont tirées sans justification lors de rafles de l’armée.
“Le fait que personne ne soit tenu pour responsable pour les cas précédents, y compris les commandants qui donnèrent l’ordre de l’embuscade, est ce qui permet à cette pratique illégale de continuer,” selon B’Tselem.
Le père d’Aws expliqua à Defense for Children International-Palestine que son fils fut touché par une balle “dum-dum” qui “traversa son foie, ses poumons et sa rate.”
L’association précise que “l’usage des balles dumdum et à fragmentation est une violation du droit humanitaire international et représente un crime de guerre selon le Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale.”
Muhammad Khalaf Mahmoud Khalaf Lafi, 17 ans.
Muhammad Lafi fut tué par balle à la poitrine lors de confrontations entre des manifestants palestiniens et des soldats israéliens près d’une base militaire dans la ville d’Abu Dis, en Cisjordanie, près de Jérusalem, le 21 Juillet.
Quelques heures avant que Muhammad ne soit tué, Muhammad Mahmoud Sharaf fut abattu lors de confrontations dans le quartier de Ras al-Amoud à Jérusalem Est.
Muhammad Sharaf mourut une semaine après son 18ème anniversaire, selon Defense for Children International-Palestine.
Un jeune de 20 ans, Muhammad Abu Ghanam, fut aussi mortellement blessé par les forces israéliennes à Jérusalem le même jour.
Les trois jeunes furent tués alors que des milliers de Palestiniens manifestaient à travers la Cisjordanie et la Bande de Gaza contre les nouvelles mesures israéliennes enfreignant l’accès des fidèles Palestiniens à la mosquée d’al-Aqsa à Jérusalem Est.
Trois Israéliens furent poignardés à mort par un Palestinien dans une colonie de Cisjordanie plus tard la même nuit.
Abd al-Rahman Abu Hamisa, 16 ans.
Abd al-Rahman Abu Hamisa fut le sixième Palestinien à être tué lors des manifestations contre la fermeture de la mosquée d’al-Aqsa le 28 Juillet.
L’adolescent fut abattu par un soldat dans le centre de la Bande de Gaza lors d’une confrontation entre des jeunes et les forces d’occupation le long de la ligne de démarcation avec Israël.
Defense for Children International-Palestine a déclaré que le jeune Abu Hamisa se tenait à des dizaines de mètres des forces israéliennes, stationnées du côté israélien de la clôture de démarcation lorsque qu’il fut touché à l’épaule gauche.
Les soldats tirèrent à balles réelles sur plusieurs jeunes qui tentèrent de s’approcher de l’adolescent après qu’il a été touché.
L’un de ceux qui ont été blessés, Muamin Khalidi, 23 ans, explique qu’il figurait parmi ceux qui sont venus en aide à Abd al-Rahman.
“J’ai attrapé Abd al-Rahman par les jambes et j’ai commencé à le trainer lorsque les soldats m’ont tiré une balle dans la cuisse droite,” a-t-il expliqué à B’Tselem.
“J’ai lâché ses jambes, titubé quelques mètres et me suis écroulé,” ajoute-t-il.
Abd al-Rahman et un autre manifestant qui s’est fait tirer dessus, Ismail Jaber, étaient étendus à côté de Muamin.
“Ismail a essayé de se lever et les soldats lui ont tiré encore dessus, alors il est retombé,” expliqua Muamin à B’Tselem.
Un porte-parole de l’armée affirma que les forces israéliennes avaient tiré sur des Palestiniens qui brulaient des pneus, lançaient des pierres aux soldats et endommageaient la clôture.
A l’intérieur de Gaza, les forces israéliennes sont habituellement séparées des Palestiniens par des clôtures et une grande distance et elles sont souvent dans des abris fortifiés, ce qui rend peu probable que des manifestants palestiniens puissent présenter un réel danger.
B’Tselem déclare qu’en Octobre 2015, Abd al-Rahman a été arrêté avec cinq autres jeunes quand il est passé en Israël après une manifestation.
“A l’époque de l’arrestation et les trois jours suivants, les soldats maltraitèrent les six détenus, les maintenant attachés dehors et les frappant à répétition, les empêchant de dormir et brûlant même les mains et les pieds de l’un des mineurs avec des cigarettes,” selon B’Tselem.
Abd al-Rahman témoigna auprès de B’Tselem que pendant les trois jours de sa détention à la base militaire, “Ils nous ont tellement battus que nous avions mal partout.”
Le garçon fut déclaré coupable d’être entré illégalement en Israël et condamné à quatre mois de prison. Les membres de sa famille ne furent pas autorisés à lui rendre visite pendant sa captivité. .
La mère d’Abd al-Rahman explique à B’Tselem que “Le temps qu’il a passé dans la prison israélienne l’a profondément affecté.” Il a fini sa troisième mais ne voulait pas continuer en seconde.
“Il était tout le temps à fleur de peau, il criait même quelques fois, et il ne voulait parler à personne,” raconte sa mère.
B’Tselem déclara que le meurtre d’Abd al-Rahman et de plusieurs autres manifestants le long de la ligne de démarcation de Gaza depuis Octobre 2015 “montre bien que l’armée israélienne a adopté la politique illégale de tirer sur les manifestants palestiniens ne représentant pas un danger.”
Et l’association d’ajouter : “Loin de le nier, l’armée décrit les faits par des annonces dans les médias, parlant de ‘tirer sur les principaux instigateurs’ et d’agir ‘pour empêcher que la clôture ne soit endommagée.’”
Qutaiba Ziad Zahran, 16 ans.
Qutaiba Ziad Zahran fut abattu après avoir mené une attaque au couteau contre un soldat israélien au check-point de Zaatara au Nord de la Cisjordanie, le19 Août.
Les soldats continuèrent de tirer sur le garçon après qu’il soit tombé au sol.
Un témoin de la scène dit à l’association palestinienne pour les droits humains, Al-Haq, “J’ai au moins entendu cinq coups de feu après que [Qutaiba] fut au sol.”
L’adolescent mourut sur le coup, d’après Al-Haq.
Le père de Qutaiba, qui expliqua que le garçon était le plus jeune d’une fratrie de huit, apprit le meurtre de son fils par Facebook et la presse locale.
“Je n’ai reçu de communication officielle d’aucune entité de l’Autorité Palestinienne, m’annonçant l’assassinat de mon fils,” témoigna le père de Qutaiba à Al-Haq. “Les [forces d’occupation israéliennes] ont gardé le corps de mon fils ; je ne savais pas où il était détenu ou quand ils me le rendraient pour que nous l’enterrerions dans notre village, à Allar.”
Le jour suivant la mort de Qutaiba, des dizaines de soldats israéliens raflèrent la maison de sa famille. Ils fouillèrent la maison et interrogèrent les parents et l’entourage de Qutaiba. Le frère de trente ans de Qutaiba, Tareq, fut arrêté.
La famille en deuil ne fut pas en mesure d’enterrer Qutaiba avant le 9 Septembre.
Al-Haq déclara que « les suites de l’assassinat de Qutaiba, la rafle de la maison familiale, la détention du corps de Qutaiba, tout cela font partie de la politique et des pratiques de harcèlement et de sanction collective d’Israël. »
Traduction : Lauriane G. pour l’Agence Média Palestine.
Source : Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Lancement des travaux de la Conférence mondiale d’Al-Azhar à l’appui de Jérusalem
.
Les travaux de la Conférence mondiale d’Al-Azhar ont commencé aujourd’hui mercredi 17 Janvier à l’appui de Jérusalem occupée en coopération avec le Conseil des sages musulmans, et avec la participation de personnalités arabes, islamiques et internationales, ainsi que des commissions et des organisations locales et internationales représentant 86 pays.
.
L’Occupation prolonge la détention d’Ahed Tamimi
.
Netanyahou: L’ambassade américaine à Tel-Aviv transférée à Jérusalem d’ici un an
.
Gaza: un bébé meurt asphyxié par manque de médicaments
.
CNR: La décision des États-Unis de geler l’aide aux réfugiés de Palestine est désastreuse
.
Confrontations avec l’occupation dans la ville de Salem à l’est de Naplouse
.
100 blessés dans des confrontations à Azzoun et 13 citoyens arrêtés en Cisjordanie
.
Deux palestiniens enlevés au point de contrôle israélien à l’est de Jérusalem
.
Des extrémistes juifs accomplissent des rituels talmudiques à l’intérieur d’al-Aqsa
.
L’occupation donnera son feu vert pour la construction de 70 colonies
.
Rohani: L’action américaine contre Jérusalem est une violation de toutes les lois
.
Zidane: les décisions du CNP sont futiles et en conformité avec la déclaration de Trump
.
Jérusalem: des maisons menacées de démolition à Issawia
.
Washington suspend son versement de 65 millions de dollars pour l’UNRWA
.
L’occupation condamne une petite fille palestinienne d’Hébron
.
7 enfants arrêtés à Jérusalem occupée
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
LES TAGS
#flashinfo #journal #quotidien #information #presse #attentat #daesh #étatislamique #isis #tv #radio #article #islam #news #musulman #coran #sourate #croyance #islamophobie #ccif #islamophobe #cri #ldj #ldjm #gaza #palestine #ouighours #immigration #fn #israel #valls #hollande #terroriste #racisme #nazisme #Rohingyas #tartar #réfugier #migrant #hindoue #hindou #cpi #CentrePalestinienD’Information #sif #secoursislamique #mouslimradio #tunein #Hui
flash info,journal,quotidien,information,presse,attentat,daesh,état islamique,isis,tv,radio,article,islam,news,musulman,coran,sourate,croyance,islamophobie,ccif,islamophobe,cri,ldj,ldjm,gaza,palestine,ouighours,immigration,israel,valls,hollande,terroriste,racisme,nazisme,Rohingyas,tartar,réfugier,migrant,hindoue,hindou,cpi,Centre Palestinien D’Information,sif,secours islamique,mouslimradio,Chams,tunein,life,ajib,katibin,oumma,saphirnews,mizane,jdm,journal du musulman,islam,info,Autorité Palestinienne,hamas,Hébron,Cisjordanie,Haaretz,Aquaboulevard,algérie,maroc,tunisie,maghreb,+972,Agence Media Palestine,Electronic Intifada

Flash info du 30 Rabi al Thani 1439.

Flash info du 30 Rabi al Thani 1439.

Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein sur www.tunein.com, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc… Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter, inch Allah… Les liens sont aussi visible sur notre site, www.mouslimradio.info.

AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
saphirnews.comoumma.comdesdomesetdesminarets.frC P I, Centre Palestinien D'Information
www.mizane.infowww.agencemediapalestine.frhttp://www.tribunelecteurs.com/https://lemuslimpost.com/

Sur Ajib.fr, voici les titres.

Boom démographique en Algérie, plus d’un million de naissances par an.
Certains pays occidentaux voient leur taux de fécondité diminuer d’année en année comme en France où l’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit à 1.93 enfant par femme, contre 1.96 les années précédentes. Malgré tout la France est mieux lotis que ses voisins qui désespèrent face une baisse significative du taux de natalité.
Mais pendant que les uns se lamentent d’autres ne rencontrent aucun problème de ce côté-là, à l’image de l’Algérie qui connaît un véritable boum du nombre des naissances.
La population algérienne ne cesse de croître depuis les années 2.000 grâce notamment à plusieurs facteurs, dont une espérance de vie plus longue et un nombre de mariages toujours plus important.
D’après les derniers recensements, l’Algérie a enregistré plus d’un million de naissances par an (1.1 million en 2016), une forte augmentation comparée aux années 2000 où ce chiffre avoisinait les 580.000.
Un constat qui alarme tout de même le ministre algérien de la Santé, le professeur Mokhtar Hasbellaoui, qui a déclaré : « Les Algériennes font trop d’enfants ».
Selon les estimations des spécialistes, si cette hausse se maintient, les algériens dépasseront le cap des 50 millions bien avant 2025, contre 42 millions au 1er janvier 2018.
Pourtant une politique de planification familiale et de régulation des naissances avait été mise en place entre 1970 et 1980 et elle avait à l’époque donné de très bons résultats. Mais la baisse de la mortalité infantile, l’augmentation des mariages et de meilleures conditions de vie ont permis d’inverser la tendance dans les années 2000 au grand dam du gouvernement algérien.
Cette crainte est notamment due aux risques de chômage qui pourrait sérieusement augmenter, à l’inflation sur les produits de base, la spéculation immobilière, l’augmentation du nombre des pensionnés conjuguée à une diminution du nombre d’actifs.
Le ministère de la Santé et de la Population a décidé de parer au plus pressé en remettant sur le tapis les notions de « planification familiale » et d’« espacement des naissances », afin de limiter le nombre de naissances.
Mais ce qu’il faut surtout retenir c’est que l’Algérie se porte bien et ce boom démographique en est la meilleure preuve.
Peut-on rire de tout en Islam ?
Cette question n’est pas un sujet philosophique mais plutôt une interrogation qui porte sur l’éthique et le bon comportement du musulman. Dans notre religion, la plaisanterie est autorisée mais sous certaines conditions.
En effet, Notre Prophète Mouhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) avait l’habitude de plaisanter et il ne disait que ce qui était vrai. Ainsi, la plaisanterie fondée sur un mensonge n’est pas permise selon la parole de Notre Messager (sallAllahou ‘alayhi wa salam): « Malheur à celui qui parle et ment pour faire rire les gens. Malheur à lui, malheur à lui. » (Rapporté par Abu Dawud, At-Tirmidhi et An-Nasa’i avec une bonne chaîne de narration).
D’après Abou Houreira (qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: « Le serviteur n’aura pas la foi complète jusqu’à ce qu’il délaisse le mensonge dans la plaisanterie et qu’il délaisse la polémique même s’il est véridique ». (Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Targhib n°2939).
L’Imam an-Nawawi, grand juriste Shafi’ite, érudit dans le Hadith, mentionne dans son Kitab ad-Adhkar : « Les savants ont dit que la plaisanterie interdite est celle qui est excessive et incessante, car elle provoque le rire [excessif], le durcissement du cœur, la négligence de l’invocation d’Allâh le Très-Haut et de la réflexion sur les questions importantes de la Religion … Ce qui est exempt de cela est permis ».
En cas de plaisanterie mensongère, il est nécessaire de prévenir ses auditeurs de la situation et de leur révéler la vérité. Enfin, le croyant doit s’éloigner de la plaisanterie blasphématoire! « Et, parmi les hommes, il est [quelqu’un] qui, dénué de science, achète de plaisants discours pour égarer hors du chemin d’Allah et pour le prendre en raillerie. Ceux-là subiront un châtiment avilissant. » ( Sourate 31, verset 6).
Soyons clairvoyant dans nos pensées comme nos actes afin d’adopter la meilleure attitude possible pour Notre Créateur soubhanou wa ta’ala.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Beaucaire et plat au porc obligatoire, un “mécréant” communiste tacle les laïcards et le FN ! VIDEO.
Une manifestation contre la décision du maire Julien Sanchez d’imposer un menu au porc dans les cantines des enfants un jour par semaine a réuni des parents d’élèves de Beaucaire en colère contre cette discrimination islamophobe.
Un ancien élu communiste qui s’est présenté comme un “mécréant” a tenu à rappeler la réalité de l’esprit de la loi de la laïcité de 1905. Loin d’exclure cette loi était censée protéger la pratique et l’expression de la foi (ou non) des citoyens …
On est désormais bien loin de ce but initial et cette loi est le prétexte à une islamophobie endémique qui touche aussi bien les politiques, les médias, la justice que la société civile .
On ne peut que saluer cette mobilisation qui démontre que la lutte pour ses droits passe avant tout par la rue.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Filoche quitte le PS et Juppé les LR | VIDEO #FinDuGame
Après la fin des illusions sur les ambitions anti-capitalistes du PS, la France a fini par se doter d’un grand parti du “centre” capable de faire accepter à tous les français une rupture ultra-libérale à marche forcée.
Le système social “équilibré” français issu des accords entre gaulliens et communistes de l’après guerre peut donc être enterré pour édifier un système entièrement libéral à mi-chemin entre celui de l’Allemagne et de l’Angleterre mais sans leurs avantages acquis …
Pour cela les derniers réformateurs socialistes devaient disparaitre au profit d’un PS de soutien à En Marche qui s’apparente de plus en plus à … SOS Racisme. Même personnel, même arnaque. Exit Filoche et Hamon qui, bien que très timides sur le plan social, le sont beaucoup trop pour les millionnaires du PS.
Et toujours les mêmes chantages médiatiques à l’islamophilie chez une classe politique où l’islamophobie est devenue un passage obligé … Le message est clair : Tant que Hamon et Mélanchon ne se seront pas débarrassés de leurs musulmans aseptisés les médias leurs seront hostiles.
A droite le travail aura été plus facile avec une bataille d’égo d’arrivistes qui verra Wauquiez constamment disputé sur ses terres … identitaires.
Le FN aidera quant à lui à finir d’affaiblir la droite réac et à canaliser une partie du peuple de gauche déçu sans jamais représenter une alternative crédible.
En effet, pour ce grand revirement libéral aucune opposition ne doit pouvoir entraver cette marche ultralibérale forcée. Et quoi de mieux pour cela qu’un grand parti du centre s’alliant au gré des humeurs, des intérêts et de l’agenda de la finance et des grands patrons du CAC 40 avec des micro-partis de gauche ou de droite alléchés par les avantages des salons dorés des assemblées.
En Marche avec l’oligarchie pour la fin de l’histoire !
reportage a voir sur islam et info.fr.
Arabie Saoudite : des Saoudiennes pour la première fois au stade pour un match. VIDEO.
En Arabie Saoudite, les femmes peuvent désormais assister aux matchs dans les stades de football. Une nouvelle directive de la part des autorités saoudiennes qui souhaitent démontrer à l’Occident leur volonté de changement des moeurs et du rôle de la femme en Arabie.
Depuis l’accession au pouvoir du roi Salmane et de son fils héritier, Mohamed, l’Arabie Saoudite connaît des changements inédits et rapides. Retour des salles de cinéma, de concerts de musique, de fêtes mixtes dans la rue, autorisation de conduire aux femmes ou encore d’aller dans les stades. La prochaine étape étant la mise en place de zones qui ne seront pas dictées par la sharia pour les touristes occidentaux. Bikini, alcool et mixité à la plage pourraient faire leurs apparitions dans le royaume.
Des mesures jugées encore trop timides par l’Occident qui aimeraient des changements plus radicaux.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Tunisie : 7 ans après la chute de Ben Ali, les tunisiens sont encore dans la rue. VIDEO.
La révolution de Tunisie a fait son chemin depuis 7 ans jour pour jour. Après les nouvelles mesures d’austérité mises en place par le gouvernement, la jeunesse tunisienne est de nouveau sortie dans les rues pour réclamer un meilleur pouvoir d’achat.
Une situation compliquée pour le gouvernement qui craint de nouveaux débordements à l’image de ces derniers jours. La colère monte dans un pays qui n’a jamais réussi à se relever après la chute du dictateur Ben Ali.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Centrafrique : le tribunal de Paris rend un non-lieu dans le viol présumé d’enfants centrafricains.
L’armée française avait été accusée par des enfants centrafricains de viols et agressions sexuelles. Une enquête interne avait débuté jusqu’à ce que des révélations aient été faites dans la presse. Depuis le pays entier réclamait justice et le départ des soldats français.
Le tribunal de PARIS en a décidé autrement rendant un non-lieu dans cette affaire macabre. Le manque de preuve ayant rendu impossible la condamnation des soldats accusés.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Algérie : une instance religieuse pour superviser les banques dans la finance islamique.
Le Haut conseil islamique (HCI) a annoncé la création prochaine d’une instance religieuse pour accompagner les banques dans la finance islamique. © APS
Une instance religieuse sera prochainement créée en Algérie afin d’« accompagner les établissements bancaires dans la pratique de la finance islamique », a annoncé, lundi 15 janvier, le président du Haut Conseil islamique (HCI), Bouabdallah Ghlamallah.
L’instance, qui dépendra du HCI, « appuiera la règlementation arrêtée par la Banque centrale pour garantir le plein respect des opérations commerciales islamiques ». Elle sera composée d’experts économiques et de spécialistes en jurisprudence dans le domaine de la transaction financière.
Le HCI, cité par l’APS, « a formulé des propositions aux autorités concernées en vue d’adapter les textes réglementaires des opérations bancaires à la finance islamique ».
La création de cette structure est une réponse à l’entrée toute récente de trois banques publics algériennes dans la finance islamique. Des campagnes d’information et de sensibilisation à la finance islamique auprès du grand public devraient suivre afin de permettre au secteur de mieux se développer.
En parallèle de cette annonce, Bouabdallah Ghlamallah a évoqué la tenue d’une conférence internationale en avril sur la place de l’éducation islamique dans les programmes scolaires. Il s’agira de « s’enquérir des expériences des différents pays musulmans, évaluer la situation de l’école algérienne et proposer les changements à introduire aux programmes scolaires et aux critères requises chez les enseignants en collaboration avec le ministère », a indiqué le président du HCI.
Quant à la lutte contre l’extrémisme religieux, l’ancien ministre des Affaires religieuses a évoqué à cette fin « l’organisation de conférences dans différentes provinces (i[wilayas) et une vaste opération de distribution de dépliants, afin de clarifier l’avis religieux sur les différents sujets liés à l’extrémisme ».
Canada : une fillette de 11 ans invente une grave attaque islamophobe.
Mentir n’est jamais sans conséquences. Au Canada, une fillette de 11 ans avait affirmé vendredi 12 janvier qu’elle avait été victime d’une attaque islamophobe durant laquelle son agresseur lui aurait découpé son voile avec des ciseaux avant de prendre la fuite. L’acte se serait produit le jour même sur le chemin de l’école, en présence de son petit frère. Il s’avère que l’histoire est totalement inventée, a assuré la police de Toronto lundi 15 janvier.
Kwawlah Noman, qui avait également affirmé avoir été agressée par deux fois par l’individu, a raconté avec assurance son récit lors d’une conférence de presse qui a été largement diffusé sur toutes les télévisions et radios canadiennes. Elle avait réussi à émouvoir le pays, jusqu’au Premier ministre Justin Trudeau qui lui avait assuré son soutien.
Une enquête a très vite été ouverte. Sauf que la police, après avoir interrogé des habitants des abords de l’école primaire et visionné les images de caméras de surveillance, se rend compte rapidement que l’histoire de Kwawlah Noman ne tenait pas la route.
« Après une enquête minutieuse, la police a déterminé que les événements rapportés (…) ne se sont pas produits. L’enquête est close », a-t-elle annoncé lundi 15 janvier. Reste donc à comprendre les raisons pour lesquelles la jeune fille a menti.
« C’est bien d’apprendre que ça n’est pas vraiment arrivé », a fait savoir le Premier ministre dans un communiqué. Il a toutefois tenu à ne pas minimiser le problème du racisme au Canada, en souligant « la montée, ces derniers mois, de crimes haineux dirigés contre les minorités religieuses, particulièrement contre les femmes ».
« Nous devons tous demeurer vigilants dans la lutte contre la haine, le racisme, le sectarisme, l’antisémitisme et l’islamophobie, pour nous assurer que notre ville demeure un espace inclusif », a-t-il ainsi indiqué.
Quand l’armée britannique cherche à recruter des musulmans. vidéo.
L’armée britannique se veut inclusive et elle le fait savoir. Dans un spot mis en ligne samedi 13 janvier et qui a pour slogan « Garder ma foi » (« Keeping my faith », en anglais), on y voit un soldat britannique qui, en pleine mission, choisit de faire une pause pour faire ses ablutions et accomplir une prière. Le tout en présence de camarades qui, certes, ne partagent pas sa foi mais le laissent faire en restant calme par respect pour ses croyances. L’un d’eux éteint même temporairement son talkie walkie afin de ne pas gêner le soldat en prière.
Des images puissantes – d’autant qu’il s’agit d’une première – qui visent, d’une part, à donner plus d’éclat à l’image de l’armée auprès des musulmans mais également, d’autre part, à inviter ces derniers parmi les volontaires à adresser leur candidature pour une carrière de militaire.
Ce spot est diffusé dans le cadre d’une campagne télé, radio et Web lancée en ce début d’année 2018 sur le thème de l’appartenance. Le dispositif a coûté au ministère de la Défense, selon The Times, 1,6 million de livres sterling (1,8 millions d’euros) afin de booster le recrutement de militaires à travers le pays.
reportage a voir sur saphirnews.com.
Tunisie : Sept ans après la révolution, les jeunes Tunisiens rêvent de fuir leur pays.
En 2017, plus de 5000 Tunisiens ont émigré clandestinement vers l’Europe. C’est cinq fois plus qu’en 2016 et du jamais vu depuis l’après révolution de 2011. En cause : le coût de la vie, le taux de chômage – qui atteint 30% chez les jeunes – ou le manque d’accès aux services de base. Autant de facteurs qui poussent les mieux diplômés comme les plus démunis à fuir par la mer, car il reste très compliqué d’obtenir un visa. Sept ans après la chute de Ben Ali, la révolution a déçu, comme le racontent nos Observateurs à notre journaliste Corentin Bainie.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, voici les titres.

Tunisie : Sept ans après la révolution, les jeunes Tunisiens rêvent de fuir leur pays.
En 2017, plus de 5000 Tunisiens ont émigré clandestinement vers l’Europe. C’est cinq fois plus qu’en 2016 et du jamais vu depuis l’après révolution de 2011. En cause : le coût de la vie, le taux de chômage – qui atteint 30% chez les jeunes – ou le manque d’accès aux services de base. Autant de facteurs qui poussent les mieux diplômés comme les plus démunis à fuir par la mer, car il reste très compliqué d’obtenir un visa. Sept ans après la chute de Ben Ali, la révolution a déçu, comme le racontent nos Observateurs à notre journaliste Corentin Bainie.
reportage a voir sur oumma.com
Etats-Unis: des bénévoles musulmans au chevet des plus nécessiteux, lors de la Journée dédiée à Martin Luther King.
Comment mieux honorer la mémoire du célèbre pasteur baptiste Martin Luther King, ardent défenseur des droits civiques des Noirs américains aux heures sombres de la ségrégation, passionnément engagé dans la lutte pour la paix et contre la pauvreté, qu’en faisant le bien autour de soi ?
A Baltimore, dans l’Etat du Maryland, l’association de bienfaisance Islamic Relief USA et l’Agence des services sociaux musulmans n’ont pas manqué de bras dévoués pour placer la grande Journée dédiée à celui qui marqua l’histoire des Etats-Unis en tant que plus jeune lauréat du prix Nobel de la Paix, en 1964, sous le signe de la solidarité envers les plus démunis, de toutes origines et confessions.
C’est en éprouvant un indicible bonheur à faire des heureux autour d’eux, conformément à ce qu’enjoint de faire le Coran, que des bénévoles musulmans ont passé leur dimanche matin à emballer des produits de toilette dans plus de 150 sacs et à préparer plus de 250 sandwiches au poulet frit, à la dinde et au thon, sous le regard bienveillant de l’imam Hassan A. Amin.
« C’est ce que nous faisons tous : venir en aide aux plus déshérités, aux sans-abri, aux femmes seules, précarisées, aux orphelins. C’est ce que notre religion nous commande de faire et c’est probablement ce qu’un homme de foi engagé, comme l’était le regretté Martin Luther King, aurait fait également de nos jours », a déclaré humblement le directeur des services sociaux musulmans.
En plein cœur de Baltimore, aux abords de l’église où se rassemblent les grands laissés-pour-compte de la société américaine, Aziza Mwidau, l’une des membres actives des services sociaux musulmans, se démène sans compter pour distribuer un maximum de paniers garnis, étreinte par l’émotion à chaque fois qu’elle lit la reconnaissance dans leurs yeux. « Faire le bien, ce n’est pas simplement prier, ce n’est pas seulement le jeûne, c’est aussi être conscient des besoins de ses voisins et des pauvres en particulier », a-t-elle insisté.
Du haut ses 8 ans, Zakee Khlifi, le fils de l’imam Hassan A. Amin d’une rare précocité, marche avec empressement sur les traces de son père. Après avoir pris une part active à la distribution de victuailles, le petit garçon éprouve déjà le sentiment gratifiant d’être utile à son prochain. « Cela me fait me sentir merveilleux », a-t-il confié avec sa voix d’enfant attendrissante, avant de s’exclamer avec force : « Imaginer ces personnes affamées, ça je n’aime vraiment pas ça ! Nous devons les aider ! ».
reportage a voir sur oumma.com.
Hijab découpé aux ciseaux à Toronto : L’agression n’a jamais eu lieu.
“L’agression d’une jeune fille qui aurait vu son hijab être enlevé à l’aide de ciseaux par son assaillant à Toronto ne s’est jamais produite, selon la police de la métropole ontarienne” rapporte le Journal de Montréal
Dans un bref communiqué publié lundi, le Service de police de Toronto a simplement fait savoir « que les enquêteurs ont déterminé que l’agression n’avait pas eu lieu », sans fournir davantage de détails.
Le Journal de Montréal précise que” les autorités torontoises avaient pourtant fait appel à la population, vendredi, afin de retrouver l’auteur de la soi-disant agression survenue près d’une école publique située dans l’est de la capitale ontarienne.” La police disait rechercher un homme asiatique d’une vingtaine d’années. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, avait d’ailleurs condamné l’attaque en point de presse vendredi. « Il faut rappeler que ce n’est pas ça, le Canada. Nous sommes un pays d’accueil et d’ouverture, un pays où ce genre d’attaque n’est pas du tout acceptable », avait dit M. Trudeau à l’issue de la rencontre de son cabinet à London, en Ontario.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Mustafa Akyol : la religion rend-elle les gens plus moraux ?
Sur Mizane Info, une nouvelle chronique de Mustafa Akyol, accessible en français, qui s’interroge sur le lien entre moralité et pratique religieuse. Les religieux sont-ils plus moraux que les non religieux ? Ecrivain, Mustafa Akyol est chroniqueur au New York Times.
Au cours des 15 dernières années, mon pays, la Turquie, a traversé une révolution politique colossale. L’élite laïque traditionnelle qui s’identifie avec le fondateur moderniste de la nation, Mustafa Kemal Atatürk, a été remplacée par des conservateurs religieux qui, jusqu’à récemment, étaient largement impuissants et marginalisés. Les conservateurs religieux sont maintenant venus à dominer pratiquement toutes les institutions de l’Etat, ainsi que les médias et même une grande partie du secteur des affaires. En bref, ils sont devenus la nouvelle élite dirigeante. Cette révolution politique a eu un résultat inattendu. Il a testé les vertus morales de ces conservateurs religieux – et, sur ce point, ils ont échoué. Ils ont échoué si terriblement que leur échec soulève la question de savoir si la religiosité et la morale vont réellement de pair, comme beaucoup de personnes religieuses aiment le dire. Les conservateurs religieux ont échoué moralement parce qu’ils ont fini par faire tout ce qu’ils condamnaient comme injuste et cruel. Pendant des décennies, ils ont critiqué l’élite laïque pour son népotisme et sa corruption, pour avoir armé le pouvoir judiciaire et pour avoir utilisé les médias pour diaboliser et intimider leurs adversaires. Pourtant, après leurs premières années au pouvoir, ils ont commencé à adopter le même comportement qu’ils avaient l’habitude de condamner, souvent même de façon plus flagrante que leurs prédécesseurs. C’est une histoire familière : les conservateurs religieux ont été corrompus par le pouvoir. Mais néanmoins, le pouvoir corrompt plus facilement quand vous n’avez ni principes ni intégrité.
« Il ne devrait pas y avoir de religion sans moralité ».
Certaines des voix les plus consciencieuses parmi les conservateurs religieux de la Turquie ont critiqué cette dérive. Mustafa Ozturk, un théologien populaire et chroniqueur dans la presse turque, a récemment déclaré que les conservateurs religieux avaient échoué lamentablement au test moral. « Pour les 40 à 50 prochaines années, nous, musulmans, n’aurons aucun droit de dire quoi que ce soit à un être humain sur la foi, la morale, les droits et la loi », écrit-il à ce propos. Un autre éminent théologien, l’ancien mufti d’Istanbul, Mustafa Cagrici, a également écrit sur « l’écart grandissant entre religiosité et moralité ». Dans le passé, notait-il, les conservateurs disaient qu’« il n’y avait pas de morale sans religion ». Mais maintenant, écrivait-il, « il ne devrait pas y avoir de religion sans moralité ». De telles discussions peuvent sembler spécifiques à la Turquie contemporaine, mais elles soulèvent une question qui est globalement et intemporellement pertinente : la religion fait-elle vraiment des croyants des êtres humains plus moraux ? Ou le fossé entre la moralité et les gens moraux – un fossé évident en Turquie aujourd’hui et dans beaucoup d’autres sociétés à travers le monde – révèle-t-il une détestable hypocrisie ? Dans les faits, cela dépend.
Les fidèles d’une religion se considèrent comme moraux par défaut, et ne se donnent jamais la peine de s’interroger. En même temps, ils regardent les autres comme des âmes égarées, de détestables infidèles. Pour de telles personnes, la religion fonctionne non pas comme un remède pour l’âme, mais comme une drogue pour l’ego. Cela ne les rend pas humbles, mais arrogants.
La religion peut fonctionner de deux manières fondamentalement différentes : elle peut être une source d’éducation personnelle, ou une source de glorification personnelle. L’éducation personnelle peut rendre les gens plus moraux, tandis que la glorification personnelle peut les rendre considérablement moins moraux. La religion peut être une source d’éducation, parce que les textes religieux comportent des enseignements moraux avec lesquels les gens peuvent s’interroger et se former eux-mêmes.
Le Coran, tout comme la Bible, contient de telles perles de sagesse. Il dit aux croyants de « soutenir la justice », « même contre vous-mêmes ou vos parents et vos proches ». Il loue « ceux qui contrôlent leur colère et pardonnent à l’humanité ». Il conseille de « Repoussez le mal avec ce qui est meilleur pour que votre ennemi tel un ami proche ». Une personne qui suit de tels enseignements développera probablement un caractère moral, tout comme une personne qui suit des enseignements similaires dans la Bible le fera. Mais alimenter ses vertus morales est une chose, se considérer comme un être de vertu et de moralité simplement parce que vous vous identifiez à une religion particulière en est une autre.
Résister aux tendances toxiques du puritanisme religieux.
Cette dernière attitude transforme la religion en un outil de glorification personnelle. Les fidèles d’une religion se considèrent comme moraux par défaut, et ne se donnent jamais la peine de s’interroger. En même temps, ils regardent les autres comme des âmes égarées, de détestables infidèles. Pour de telles personnes, la religion fonctionne non pas comme un remède pour l’âme, mais comme une drogue pour l’ego. Cela ne les rend pas humbles, mais arrogants. Dans les traditions religieuses légalistes, comme le judaïsme et l’islam, ce problème se produit lorsque la religion est réduite à la pratique des rituels. Le respect d’un code légal permet au croyant de se sentir droit aux yeux de Dieu, même s’il est immoral lorsqu’il traite avec ses semblables. Un célèbre rabbin juif qui a vécu il y a deux millénaires, Jésus de Nazareth, a identifié ce problème. Ceux qui pratiquent, les pharisiens, qui sont « confiants dans leur propre justice et méprisent tout le monde », a-t-il déclaré, ne sont pas vraiment justes. Les pécheurs qui regrettent leurs échecs, dit-il, sont plus moraux que les pieux qui se vantent. Détruire la moralité de la religion peut également se produire lorsqu’un système de croyances est réduit à une simple identité de groupe. Ce genre de mentalité déclinée sur le mode « nous contre eux » peut corrompre et radicaliser n’importe quelle communauté religieuse – les chrétiens, les musulmans, les hindous et les bouddhistes peuvent devenir des militants haineux quand ils se considèrent par nature comme des victimes. Cette tendance est visible partout, depuis les moines bouddhistes encourageant le nettoyage ethnique au Myanmar jusqu’aux hindous qui dominent la politique indienne sans oublier la violence des extrémistes musulmans au Moyen-Orient. Les croyants consciencieux de toutes les traditions doivent résister aux pulsions toxiques qui transforment la religion en un vase creux d’arrogance, de bigoterie, de haine et de cupidité. Sinon, de plus en plus de mal sera fait au nom de leur foi.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Valls veut “interdire tout signe religieux ostentatoire de la maternelle à l’université”.
Manuel Valls continue de cracher son islamophobie de plateau en plateau. Depuis qu’il est redevenu député sans parti fixe en juin 2017, l’ancien premier ministre profite de la parole que lui donnent les médias pour faire monter la tension entre les différents composantes de la société française. Sa cible préférée : les musulmans. Dans sa dernière intervention sur une chaîne d’information, il suggère de modifier la constitution pour éradiquer toute visibilité religieuse (islamique, ndlr) “de la maternelle à l’université”, dit-il. Pour lui, il n’existe pas de “radicalisme laïque” en France. Et de poursuivre : “Le risque que connaît la France, c’est celui de l’islam radical, pas celui d’une laïcité radicalisée”.
Il aurait suffi de quelques 150 voix aux dernières législatives pour mettre hors d’état de nuire le facho Manuel Valls. Mais les abstentionnistes de la première circonscription de l’Essonne en ont décidé autrement. Quel dommage !
Youssef ibn Tachfine, fondateur de Marrakech.
Il fut sans conteste l’un des plus grands sultans de l’histoire du Maghreb, au point que certains lui attribuèrent le titre honorifique de ‘6ème calife bien-guidé’. Véritable idéologue en armes, fondateur de Marrakech, défenseur de la foi islamique la plus orthodoxe, unificateur du Maghreb, sauveur d’al-Andalus, vainqueur des croisés, modèle du souverain musulman juste et antithèse du despote, les qualificatifs manquent pour décrire l’œuvre de Yusuf ibn Tashfin.
Rien ne semblait pourtant destiner le jeune homme à une telle gloire : né dans la tribu des Lemtouna, qui nomadise au cœur du plateau désertique de l’Adrar et aux confins du Sahara, il a déjà plus de 30 ans lorsqu’il rejoint le mouvement des Murâbitûn (Almoravides), fruit de l’union d’un prêcheur malékite venu du Nord et d’un émir berbère ambitieux. Chassés par les leurs, leurs partisans se voient contraints de se réfugier dans un ribât sur l’île de Tidra, au large des côtes atlantiques. Yusuf est parmi eux. Sous une discipline de fer, les Murâbitûn deviennent une véritable confrérie de moines-soldats prête à s’abattre sur les tyrans corrompus et les tribus hérétiques du Maghreb.
En moins d’une décennie, ils s’emparent de toutes les terres entre le fleuve Sénégal et le Bouregreg (Rabat aujourd’hui). Rien ne semble pouvoir les arrêter et les grandes villes tombent une à une entre leurs mains, Sijilmassa, Aoudaghost ou encore Aghmat. Pendant ces campagnes, Yusuf ibn Tashfin s’est particulièrement distingué par son sens aigu du commandement et sa piété : ainsi, l’émir, son cousin Abû Bakr, lui remet-il le commandement du nouvel empire tandis qu’il s’en retourne porter la flamme du jihâd vers le Sud, au-delà du Sahara. Pour consolider ses conquêtes et installer ses soldats du désert, Yusuf décide de fonder, au pied des montagnes de l’Atlas, une nouvelle capitale impériale : ce sera Marrakech, un joyau qui sera son legs aux générations futures.
Puis les campagnes reprennent, vers le Nord : Fès tombe en 1075, Tanger en 1079, Tlemcen en 1080, Sebta et Oran en 1082. Sous le triple slogan de ‘répandre la vertu, corriger l’injustice et abolir les impôts non-islamiques’, la progression des Murâbitûn est vécue comme une libération par les populations du Maghreb. L’année suivante, les armées de Yusuf atteignent ce qui sera la limite de leur expansion vers l’Est : Alger. Car une nouvelle campagne l’attend, de l’autre côté du Détroit de Gibraltar. Menacés par les raids sans cesse plus audacieux d’Alphonse de Castille, les roitelets d’al-Andalus ont appelé au secours ce mystérieux souverain berbère qui semble alors invincible. Sans plus attendre, Yusuf débarque dans la péninsule ibérique et écrase les armées croisées à la grande bataille de Zallaqa en 1086, portant un net coup d’arrêt à la ‘Reconquista’.
Sa gloire est désormais à son zénith et ses faits d’armes sont connus jusqu’en Orient, où al-Ghazali le recommande auprès du calife abbasside de Bagdad, qui le nomme ‘amir al-muslimîn’ pour l’Occident islamique, après une allégeance en bonne et due forme. Yusuf est à nouveau appelé en Andalousie, mais cette fois par les shouyoukhs du pays qui le supplient de mettre fin à la tyrannie des rois de taifas, qui se sont à nouveau soumis aux croisés et écrasent le peuple d’impôts tout en se vautrant dans la débauche. De par sa nature austère et ascétique d’homme du désert, toujours vêtu d’une laine rugueuse, le sultan a naturellement en dégoût les excès des roitelets andalous. En deux nouvelles campagnes, les Murâbitûn mettent fin à la division chronique d’al-Andalus, exilent les tyrans de pacotille au Maghreb et prennent possession de l’ensemble de leurs domaines, rétablissant l’ordre islamique. Seul le Cid, à Valence, lui résistera jusqu’à la mort.
En l’an 1100, à 90 ans, Yusuf ibn Tashfin règne ainsi sur un immense empire transcontinental de 4 millions de km2 qui s’étend des rives du fleuve Sénégal à celles de l’Èbre, au nord de la péninsule ibérique. Avec près d’un millénaire de recul, son œuvre nous paraît immense, presque surhumaine : partout, le sultan almoravide, aussi bon administrateur qu’il est général, a établi l’ordre & la justice sous l’égide de la sharî’a, uni sous le sabre de l’islâm les tribus divisées par le sang, honoré les savants, posé les bases de la prospérité économique par sa politique fiscale, géré les deniers publics avec exemplarité. Lorsqu’il rejoint finalement son Créateur en 1106 après un siècle de vie au service de la Religion d’Allâh, il laisse en héritage son œuvre la plus durable : la diffusion massive de l’islâm sunnite, malékite en l’occurrence, au Maghreb.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Grève des médecins résidents : Le conflit s’enlise.
Trois semaines après l’ouverture du dialogue avec le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, rien ne prédit le bout du tunnel dans ce bras de fer. Bien au contraire, tous les indices plaident en faveur du pourrissement. A ce propos, les médecins résidents ont décidé de poursuivre leur mouvement de grève jusqu’à satisfaction de leurs revendications par le gouvernement, selon le président de la CAMRA, Dr. Mohamed Taileb. A l’issu de plusieurs Assemblées générales tenues au niveau des CHU, le collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA) a décidé de « maintenir le mouvement de grève jusqu’à satisfaction des revendications soulevées au gouvernement », a précisé le même responsable à l’APS. Exprimant » la confiance totale de la CAMRA en le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière », il a néanmoins affirmé que ce dernier » ne peut prendre seul de décisions puisque les revendications concernent d’autres secteurs ». Par ailleurs, il a regretté que « les revendication des médecins résidents n’aient pas été prises en charges depuis des années, malgré les mouvements de protestation de 2011 et 2015 et cette grève entamée depuis deux mois ». A rappeler que la réunion de samedi entre le ministre de la Santé et les représentants des médecins résidents a permis de parvenir à un accord sur certaines revendications tandis que d’autres sont restées en suspens, notamment celle liée au service national qui n’est pas des prérogatives du ministère de la Santé. De son coté, le ministre de santé M. Hasbellaoui avait réaffirmé, lors d’une rencontre avec les directeurs de la santé et les cadres du ministère, que » les portes du dialogue demeurent ouvertes au personnel du secteur et aux partenaires sociaux « . Déclarant assumer, même pour peu, la responsabilité du mouvement de protestation déclenché récemment par les médecins résidents, le ministre a estimé impératif de leurs assurer tous les moyens pour qu’ils accomplissent leurs tâches dans de bonnes conditions. Les médecins résidents exercent actuellement au niveau des 14 établissements hospitalo-universitaires des wilayas du Nord eu égard à la spécificité de ce corps de praticiens en formation. Ils sont ensuite affectés, dans le cadre du service civil, dans les Hauts plateaux et le Sud pour combler le manque de spécialistes dans ces régions.
Palestine : Mahmoud Abbas réagit à l’ » offre de paix » de Donald Trump : » La claque du siècle «.
Le coup de sang du président palestinien a été tel qu’il n’a pas non plus épargné les dirigeants saoudiens dont la complicité dans la trahison de la cause palestinienne relève désormais du secret de polichinelle.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a qualifié dimanche l’offre de paix du président américain Donald Trump de « claque du siècle » et réitéré son rejet d’une médiation américaine dans le processus de paix. M. Abbas s’exprimait à l’ouverture d’une réunion des dirigeants de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Ramallah visant à réfléchir à une riposte à la reconnaissance par M. Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël. La suspension de l’historique reconnaissance d’Israël remontant à 1988 est l’une des options proposées à la discussion du Conseil central palestinien, l’un des organes de l’OLP, l’entité reconnue internationalement comme représentant les Palestiniens des Territoires et de la diaspora, avaient indiqué des délégués. « Nous disons à Trump que nous n’accepterons pas son plan, l’affaire du siècle s’est transformée en claque du siècle », a affirmé M. Abbas, donnant le ton de la réunion, qui doit se poursuivre lundi. Le président palestinien semble faire référence au voeu exprimé par M. Trump de présider à l’accord diplomatique « ultime » entre Israéliens et Palestiniens. Après son rejet de toute médiation américaine, un pilier historique du processus de paix, M. Abbas a assuré qu’Israël « avait mis fin » aux accords d’Oslo sur l’autonomie palestinienne signés en 1993, la référence des pourparlers de paix. « Je dis qu’il n’y a plus d’Oslo, Israël a mis fin à Oslo », a-t-il répété, ajoutant que des décisions pour l’avenir devaient être prises durant cette rencontre. Le 13 septembre 1993, après six mois de négociations secrètes à Oslo, Israël et l’OLP se reconnaissaient mutuellement et signaient à Washington en présence du président Bill Clinton une « Déclaration de principes » sur une autonomie palestinienne transitoire de cinq ans. Quelle que soit la conclusion des plus de 120 membres du Conseil central, la décision échoira en dernier ressort au président palestinien. L’éventualité d’une riposte palestinienne donne la mesure de la colère provoquée par la décision le 6 décembre de la Maison Blanche de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Cette rupture unilatérale avec des décennies de diplomatie américaine et internationale, interprétée comme la dénégation des revendications palestiniennes sur Jérusalem-Est annexée et occupée, a suscité des violences qui ont causé la mort de seize Palestiniens. Elle a provoqué la fureur de la direction palestinienne, qui a gelé les contacts avec l’administration Trump. Aucun dirigeant palestinien ne devrait rencontrer le vice-président Mike Pence attendu à Jérusalem les 22 et 23 janvier après avoir reporté une visite initialement prévue mi-décembre. A la tête de l’Autorité palestinienne depuis 2005, Mahmoud Abbas, 82 ans, avait auparavant affirmé que les Etats-Unis s’étaient disqualifiés comme intermédiaire des discussions de paix. Pour les dirigeants palestiniens, la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël n’est que l’expression de trop d’un clair parti pris proisraélien, déjà manifesté par le non-engagement en faveur de la création d’un Etat palestinien, la discrétion observée sur la poursuite de la colonisation israélienne des territoires palestiniens occupés ou encore la menace de fermeture du bureau de l’OLP à Washington. Dimanche soir, le président palestinien n’a pas mentionné la reconnaissance d’Israël mais a dénoncé la « poursuite de la colonisation » comme un obstacle à la solution à deux Etats, la référence de l’ONU pour résoudre l’un des plus vieux conflits de la planète. « Ceux qui attendaient un aperçu d’une nouvelle stratégie palestinienne pour mettre fin à l’occupation ou un changement vers une solution à un Etat auront été déçus », a estimé Hugh Lovatt, coordinateur pour Israël et la Palestine au Conseil européen pour les relations extérieures.
Nouvelle ère dans les relations Algéro-Maliennes : Coopération tous azimuts.
C’est une visite plus que positive que vient d’effectuer durant deux jours en Algérie le Premier ministre malien, Soumeylou Boubèye Maïga. Au sortir d’une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Maïga a déclaré que « Nous avons eu la confirmation de la volonté constante de l’Algérie de nous accompagner dans la mise en oeuvre de l’Accord de paix et de réconciliation au Mali issu du processus d’Alger ». Et d’ajouter, » Nous avons également eu de la part de nos frères algériens la confirmation qu’ils useront de toute leur influence pour qu’un certain nombre de points de cet accord puissent être finalisés ». Sur le plan de la sécurité, M. Maïga a indiqué que les deux parties « vont travailler à renforcer leur coopération bilatérale » en la matière, faisant savoir que dans ce cadre, une délégation malienne effectuera bientôt une visite en Algérie. Au volet économique, il a souligné que l’Algérie et le Mali ont décidé d’élargir leurs relations, rappelant, dans ce sens, que près d’une centaine d’entreprises algériennes participent actuellement à la foire de Bamako et que d’ici la fin du premier trimestre une rencontre entre des responsables d’entreprises algériennes et maliennes se tiendra au Mali, en présence des ministres concernés « pour hisser les relations économiques des deux pays au niveau de leurs relations institutionnelles ». Enfin, le Premier ministre malien a indiqué avoir transmis au Président Bouteflika « les salutations de son homologue malien Ibrahim Boubacar Keita, ainsi que celles du gouvernement et de l’ensemble du peuple malien ». Durant l’entretien, « nous avons bénéficié du soutien, des conseils et orientations du Président Bouteflika », a ajouté le Premier ministre malien. Il a également relevé que son pays « tente de s’inspirer de l’expérience algérienne en matière de réconciliation nationale », estimant que cette expérience « constitue un bon cas d’école en la matière ». Après cette audience, le Premier ministre malien a quitté Alger, au terme d’une visite de travail de deux jours, à l’invitation de son homologue, Ahmed Ouyahia. Pour rappel, M. Soumeylou Boubèye Maïga a eu un entretien la veille avec son homologue algérien, lors duquel il a salué la « disponibilité » de l’Algérie à rester au côté du Mali pour la restauration de la paix et de la stabilité dans ce pays. Pour sa part M. Ouyahia a rappelé que le dialogue entre les deux pays frères est toujours en cours et les parties signataires continuent d’oeuvrer pour la préservation de la paix, lors d’une conférence de presse commune avec son homologue malien. Il a parlé de » l’attachement irréversible » de l’Algérie à » l’indépendance, à l’intégrité territoriale et à l’unité nationale du Mali « .L’Algérie a, selon lui, soutenu le Mali dans le renforcement de ses capacités militaires » pour préserver sa sécurité « . Les deux pays ont créé ces dernières années une commission mixte de coopération militaire.
Industrie automobile : Le taux d’intégration en question.
Animant un point de presse en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya, le ministre a souligné qu’il n’y aura pas de montage de véhicules en Algérie à l’avenir mais une industrie automobile. » J’ai demandé aux responsables de différentes usines de montage de véhicules de se lancer dans les plus brefs délais dans la fabrication de composantes de véhicules « , a fait savoir M. Yousfi. Le ministre a souligné que ces orientations interviennent dans le cadre de la diversification de l’économie nationale que recommande le président de la République Abdelaziz Bouteflika et du programme du gouvernement visant à sortir progressivement de la dépendance aux hydrocarbures. Au passage, M. Yousfi a annoncé la tenue d’une rencontre nationale en mars prochain regroupant les représentants d’usines de montage de véhicules et d’entreprises de sous-traitance, dans la perspective de création de partenariats pour fournir différents accessoires de véhicules. Le ministre a procédé, lors de cette visite, à l’inauguration d’une usine de tubes en acier et d’emballage pour un investissement de 1,5 milliard DA dans la zone industrielle de Sidi Khettab, assurant plus de 100 emplois.
Privatisation des entreprises publiques : Bouteflika met les points sur les » i « .
La présidence de la République avait tranché sur le dossier des privatisations des entreprises publiques, en adressant une instruction au premier ministre, Ahmed Ouyahia pour annuler les décisions prises par le Conseil des participations de l’Etat (CPE) lors de la tripartite, préparant la privatisation d’entreprises publiques. En réaction à cette décision prise par le Président de la République, le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi a déclaré qu’aucun capital d’une entreprise publique ne sera ouvert sans l’aval du président de la République ou du gouvernement. A une question au sujet de l’ouverture du capital des entreprises publiques, lors de sa visite à Relizane, le ministre a déclaré : » nous n’avons ouvert le capital d’aucune entreprise publique auparavant sans la consultation du président de la République ou du gouvernement « , affirmant que la décision finale revient au Premier magistrat du pays. Le 23 décembre dernier, le Premier ministre Ahmed Ouyahia avait annoncé, pour rappel, que le gouvernement allait faciliter l’ouverture du capital des Petites et Moyennes entreprises publiques, après la signature par le gouvernement, le patronat et la principale centrale syndicale du pays, d’une charte visant à développer les partenariats entre les secteurs publics et privés. Le parti des Travailleurs (PT) s’est réjoui, pour sa part, de la décision du Chef de L’Etat d’annuler la charte pour le partenariat public-privé, par la voix de son député, Ramdane Taazibt qui l’a considéré, dans une publication sur sa page facebook, comme » une victoire pour la nation ! ». « Il y a bel et bien instruction de la présidence pour stopper la privatisation des entreprises publiques au profit des oligarques. C’est une mesure que nous soutenons car conforme aux intérêts de la nation et des travailleurs. Le pillage le bradage n’ont jamais construit aucune économie dans aucun pays au monde », lit-on. Il est à rappeler aussi, que le Secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès a marqué son hostilité à la volonté du gouvernement de reprendre le processus de privatisation des entreprises publiques. Revendiquant le droit de tout savoir. Djamel Ould Abbès juge que le parti majoritaire doit contribuer au développement du dialogue social. Il avait, à cet effet, organisé, le 3 janvier dernier, une Tripartite Parallèle, en présence des responsables de l’UGTA et du FCE. Pour lui, le secteur public stratégique doit être préservé, gardé et protéger. » C’est une position irréversible. C’est le serment de Novembre. Cela concerne autant Sonatrach et Sonelgaz que l’ENIE, l’ENIEM, PMA Constantine et SNVI. Tout cela est sacré pour le FLN. C’est protégé par la Constitution. Notre président de la République et président du parti protège également le secteur public « , avait déclaré Ould Abbes. Il a convoqué ensuite des cadres du FLN pour évaluer l’action du gouvernement dont son parti fait partie.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Emmanuel Macron : une politique migratoire décriée jusqu’au bout.
«Nous nous sommes hélas réveillés dans un pays où l’on arrache leurs couvertures à des migrants à Calais. Où l’on lacère leurs toiles de tente à Paris. Où l’on peut se perdre, pieds et mains gelés, sur les pentes enneigées de la frontière franco-italienne», écrivent aujourd’hui dans une tribune pour le Monde, plusieurs syndicalistes et intellectuels, dont Laurent Berger (secrétaire général de la CFDT).
Comme la gauche, une partie de la majorité et beaucoup d’associations, ils reprochent au président de la République la dureté de sa politique migratoire, sa « rupture avec l’humanisme » prôné jusqu’alors, sa nouvelle loi controversée sur l’asile et l’immigration dont le texte définitif doit être présenté en février, ainsi que la circulaire sur le recensement des migrants adoptée le 12 décembre (dont 27 associations demandent l’annulation).
« La rencontre avec le président de la République nous semble inutile »
Une tribune qui n’est pas publiée au hasard, puisqu’elle correspond à la première visite tant attendue d’Emmanuel Macron à Calais, ville symbole de la crise migratoire. Sur place, le président devait rencontrer les principales associations d’aide aux migrants, dont l’Auberge des migrants et Utopia 56. Mais les deux associations ont décidé de boycotter cette rencontre.
« Alors même que le gouvernement n’a pas écouté à Paris les grandes organisations humanitaires, ni sur leurs critiques, ni sur leurs propositions, pourquoi le président tiendrait-il compte des mêmes critiques et propositions des associations locales ? », écrit Utopia 56 dans son communiqué.
En effet, le 15 juin dernier, puis le 24 juillet, des collectifs citoyens et des associations connues comme Médecins du Monde, Emmaus, Amnesty etc, avait lancé un appel au président pour dénoncer les dysfonctionnements de la politique d’accueil des réfugiés. Une lettre qui n’avait pas trouvé échos.
« La rencontre avec le président de la République nous semble donc inutile (…) elle succède à d’autres rencontres (Mr Valls, Cazeneuve, Collomb…) auxquelles nous avons participé et qui ont servi d’alibi à des autorités simplement soucieuses de faire croire à un dialogue avec les associations calaisiennes », conclu Utopia 56.
« Chaque semaine, des sacs de couchage, bâches et tentes sont mis à la benne ».
L’Auberge des Migrants vient quant à elle d’annoncer dans un second communiqué, avoir déposé une plainte commune avec le Secours catholique pour destruction et dégradation de sacs de couchages. Ces biens avaient été mis à disposition des migrants de Calais « pour leur permettre de ne pas mourir de froid », alors qu’ils sont encore près de 600 sur place, sans abri fixe, depuis le démantèlement de la « Jungle » en octobre 2016.
« Chaque semaine, des sacs de couchage, bâches et tentes sont mis à la benne, détruits, voire gazés », précisent les associations. Une façon de décourager les migrants de s’installer et les bénévoles de les aider.
Derrière ces accusations, c’est surtout la police que vise les associations, en relayant sur internet des vidéos de destructions de campement et de violences envers les migrants.
« C’était il y a deux soirs, j’étais avec des amis dans la rue et un camion de policiers s’est approché. Ils ont ouvert la vitre, on leur a dit bonjour et ils nous ont jeté du gaz dans la figure et sont repartis en rigolant », explique un migrant à France 3. « Tous les soirs, les policiers prennent nos tentes, nos sacs de couchage et nous frappent. La vie à Calais est très dure. C’est inhumain », témoigne un autre à Radio France. Dans un rapport publié en 2017, l’ONG Human Rights Watch (HRW) avait d’ailleurs pointé du doigt un usage excessif de la force contre les migrants.
« Humanité » et « fermeté », le gouvernement choisit ses mots pour définir sa politique migratoire.
Des conditions déplorables et une politique migratoire vivement dénoncée également il y a quelques jours par le magazine L’Obs, juste avant la visite du président à Calais. En une du magazine du 11 janvier était représenté Emmanuel Macron derrière des barbelés, rappelant les camps de la seconde guerre mondiale. La une était accompagnée d’un titre très sarcastique intitulé : «Bienvenue au pays des droits de l’homme…». Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, a tout de suite réagi, déplorant une couverture qui selon lui, «manque de rigueur».
Face à toutes ces critiques, le gouvernement a depuis décidé d’assurer sa défense, en insistant sur deux mots d’ordre : « humanité » et « fermeté », faisant référence au discours du président le 11 janvier à Rome. Emmanuel Macron avait en effet assuré que « l’humanité sans efficacité, ce sont des belles paroles. L’efficacité sans l’humanité, c’est de l’injustice ».
Le président de la République a donc déclaré aujourd’hui qu’en « aucun cas nous ne laisserons ici se développer des filières illégales, se reconstituer une jungle ou une occupation illégale du territoire ». Il a aussi annoncé entre autres, que l’Etat « allait prendre en charge » la distribution de repas aux migrants.
Emmanuel Macron réaffirme son soutien aux policiers de Calais.
Concernant les forces de l’ordre de la gendarmerie de Calais que le président doit rencontrer, le gouvernement avait demandé à ce qu’ils soient « exemplaires dans leurs interventions ». Toutefois Emmanuel Macron dénonce des « manipulations » et des « mensonges » dans les critiques sur les forces de l’ordre à Calais.
« Le travail des policiers est peu reconnu, souvent caricaturé. Les critiques ne visent qu’un but : mettre à mal la politique mise en oeuvre par le gouvernement », a t-il déclaré dans son discours, annonçant également une prime exceptionnelle de résultats accordée aux policiers et aux gendarmes.
Le président en a profité aussi pour rappeler à l’ordre les associations, les appelant « à la responsabilité ». « Lorsqu’elles encouragent les femmes et les hommes à rester là, voire à passer clandestinement de l’autre côté de la frontière, elles prennent une responsabilité immense. Jamais l’Etat ne sera à leurs côtés ». Par ailleurs des bénévoles ont souvent mis en cause ces dernières années pour « délit de solidarité ».
Quant au projet de loi sur l’immigration, Emmanuel Macron n’est pas revenu dessus, préférant se ranger à l’avis de l’opinion publique, dont la majorité est favorable à un durcissement des conditions d’accueil. Le ministre de l’intérieur réaffirmait d’ailleurs dimanche qu’il n’était « pas question » de changer l’orientation du projet de loi, qui est « totalement équilibré ».
Malgré les critiques, la politique migratoire d’Emmanuel Macron reste donc sensiblement la même, à quelques éléments de langage près. Reste à savoir désormais, si le gouvernement mettra davantage l’accent sur la « fermeté », ou « l’humanité ».
L’armée britannique veut recruter des soldats musulmans.
La vidéo d’un musulman en train de prier devant ses collègues a fait le tour de la Grande Bretagne. La publicité est signée par l’armée britannique, qui a lancé une campagne intitulée « Keeping My Faith. » C’est la première fois qu’un spot de l’armée montre un soldat en train de prier. Et l’armée britannique a mis les moyens pour espérer ralentir l’érosion de ses effectifs : 1,6 million de livres sterling.
L’objectif des spots est clairs : attirer les musulmans, mais également les femmes et les homosexuels, pour dire que tout le monde est bienvenue dans les rangs de l’armée, comme l’indique le DailyMail. La publicité répond ainsi à plusieurs questions comme : « Puis-je être gay dans l’armée ? » ou encore « Puis-je pratiquer ma foi dans l’armée ? »
Ce qui n’a pas forcément plu à tout le monde. Général à la retraite, Tim Cross a déclaré que les futures recrues avaient besoin de savoir que « nous ne serons pas mous et nous ne serons pas gentils avec les gens. » La campagne est jugée trop politiquement correcte.
Des effectifs qui n’augmentent pas assez vite.
Sauf que les effectifs diminuent année après année. A la BBC, le général Nick Carter indique que l’armée britannique a pris l’habitude de recruter « des jeunes hommes blancs de 16 à 25 ans » alors que « notre société change. » L’armée britannique compte aujourd’hui 78 000 membres à temps plein et espère atteindre les 82 000 soldats à l’horizon 2020.
En 2014, le ministère britannique de la Défense indiquait que, en six ans, le nombre de musulmans s’engageant volontairement dans l’armée avait augmenté de 40 %, notamment dans la Royal Air Force et la Royal Navy. « Le nombre croissant de musulmans dans les forces armées est une évolution naturelle, parce que la société britannique est de plus en plus tolérante et, en conséquence, les jeunes hommes et femmes de confession musulmane se sentent plus légitimes qu’auparavant à rejoindre l’armée pour y faire carrière », indiquait alors l’lmam Asim Hafiz, conseiller islamique du ministère de la Défense.
reportage a voir sur le muslim post.com.
Israélisation de la société française: à Nice, une appli pour que les citoyens se dénoncent entre eux.
Hervé Morin rêvait d’« israéliser notre sécurité », Christian Estrosi l’a fait. Le maire de Nice a en effet lancé, dans sa ville, une application qu’il qualifie de « révolutionnaire. » Développée en Israël par la start-up de l’ancien Premier ministre Ehud Barak, l’appli Reporty permet de passer un appel vidéo à la police. Un genre de « FaceTime avec la police municipale », selon Véronique Borré, conseillère du maire en charge de la Sécurité à la mairie de Nice, citée par Nice-Matin.
Le principe est plutôt simple : les utilisateurs de l’application qui voudront filmer et signaler des délits pourront le faire en temps réel. « La vidéo apparaît à l’écran avant même que l’opérateur ne prenne l’appel. Et, en plus, il y a une géolocalisation », résume Serge Massiera, directeur des systèmes informatiques de la Ville.
Délation ou geste citoyen ?
Mais l’application Reporty ne risque-t-elle pas de provoquer des débordements ? Plusieurs polémiques ont éclaté après la création de l’opération « Voisins vigilants. » Les Français craignaient de voir se produire un drame comme celui qui avait touché le jeune Trayvon Martin, tué en 2012 par un voisin effectuant une ronde de surveillance dans son quartier en Floride dans le cadre des « Neighborhood Watch Groups », des groupe de surveillance de voisinage.
A Nice, le Syndicat de défense des policiers municipaux craint que des citoyens ne se sentent « investis d’une mission », explique le président Cédric Michel, qui pense que des Niçois pourraient bien, avec cette application, « traquer le délit ou l’incident et donc s’exposer de façon dangereuse. »
Surtout, le syndicat estime que ce n’est, là, pas le rôle de la population de jouer à la police. « Il n’est jamais bon de déléguer un service public de sécurité à des citoyens. Nous estimons que la constatation des infractions doit uniquement relever de la police et que la sécurité doit rester entre les mains de professionnels », explique Cédric Michel à Nice-Matin.
L’opposition municipale, notamment socialiste, dénonce, quant à elle, « une démarche contestable sur le fond et inadmissible sur la forme (…) qui ressemble à l’organisation d’un processus de délation généralisée. » Alors que Nice est, en plus, la ville de France la plus vidéosurveillée de France avec 1 950 caméras.
République centrafricaine : non-lieu pour les soldats français accusés de viols.
Suivant les réquisitions du parquet de Paris, les juges ont finalement clos le dossier sur les accusations de violences sexuelles commises sur des enfants centrafricains par des soldats français, faute d’avoir pu établir leur implication.
Révélées en 2015, ces accusations ont terni l’image de l’armée française, dont les soldats avaient été déployés en Centrafrique dans le cadre de l’opération Sangaris en 2013-2016, afin d’y restaurer la sécurité dans le pays. Des violences avaient éclatés entre les Séléka, des rebelles musulmans et des miliciens chrétiens, les anti-balaka.
Aucune mise en examen n’a donc été établie. Dans ses réquisitions, le parquet a souligné « qu’il ne peut être affirmé à l’issue de l’information qu’aucun abus sexuel n’a été commis », mais il a estimé que les incohérences matérielles et « la variation des témoignages ne (permettaient) pas d’établir des faits circonstanciés et étayés à l’encontre des militaires ».
Pourtant, une note interne de l’ONU révélée par The Guardian en avril 2015, avait relayé les auditions de six garçons de 9 à 13 ans. Ils accusaient une dizaine de militaires d’avoir abusé d’eux (des Français mais aussi des Casques bleus tchadiens et équato-guinéens), entre décembre 2013 et juin 2014, dans le camp de déplacés de l’aéroport M’Poko de Bangui, en échange de rations de nourriture. En juillet 2014, le parquet de Paris avait aussitôt ouvert une enquête, restée secrète. Un silence qui a été reproché aux autorités françaises et à l’ONU.
Des témoignages d’enfants recueillis dans « des conditions inappropriées », selon l’avocat.
L’avocat de l’ONG qui défend les enfants compte faire appel. « Il est vraisemblable que nous allons faire appel pour ne pas donner le sentiment, à celles et ceux qui se sont battus dès le départ, que l’affaire est terminée et que nous renoncerions à identifier les auteurs des infractions et à établir les responsabilités et les culpabilités », a déclaré à l’AFP Emmanuel Daoud, avocat de l’ONG Ecpat qui lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants.
En effet, si les auteurs de ces possibles crimes n’ont pas été identifiés, le soupçon demeure, sans que la lumière n’ait été faite sur cette affaire. L’avocat estime d’ailleurs dans Libération qu’il y a « des éléments qui n’ont pas été pris en compte » ainsi que « des témoignages d’enfants recueillis dans des conditions inappropriées » (sans avocats ni psychologues et longtemps après les faits). De plus, cinq militaires avaient été entendus par les juges et l’un d’entre eux avait été placé en garde à vue, alors que des éléments à caractère pédophile avaient été retrouvés sur son portable. Cette enquête laisse donc un goût amer pour les parties civiles, qui la juge inachevée voire bâclée.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Abou Zahri appelle l’Algérie à poursuivre son soutien à la cause palestinienne
.
Le porte-parole du mouvement palestinien Hamas, Samy Abou Zahri, a appelé lundi l’Algérie à poursuivre son soutien à la cause palestinienne et à jouer son rôle en tant que médiateur,entre les factions palestiniennes, dans le processus d’union, particulièrement avec les « graves pressions » auxquelles est confronté le peuple palestinien.
.
Hamas : Nous collaborons avec les libanais pour découvrir l’auteur de l’attentat de Sidon
.
Le Mouvement de résistance islamique « Hamas » poursuit ses contacts avec les instances libanaises pour retrouver les auteurs de l’attentat, qui a visé un de ses cadres à Sidon, au sud du Liban.
.
Abbas joue la carte Dahlan pour faire chanter le Qatar
.
15 attaques israéliennes contre des Palestiniens en 3 jours
.
Israël a violé plus d’un millier de fois les droits des musulmans et des chrétiens en 2017
.
19 prisonniers placés en détention administrative
.
Liban: Une délégation de factions rend visite à Mohammed Hamdan à l’hôpital
.
Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent trois anciens captifs
.
Israël décide d’interdire les visites médicales aux membres du Hamas et leurs proches
.
L’occupation responsable de la mort du Palestinien amputé, Ibrahim Abou Thouraya
.
L’occupation impose l’assignation à domicile et l’expulsion à 6 Jérusalémites
.
Plusieurs blessés et détenus dans les incursions de colons et de soldats en Cisjordanie
.
Marwan Barghouthi: L’Autorité Palestinienne doit se retirer d’Oslo et arrêter les souffrances de Gaza
.
Hamas: le véritable test des décisions du central est l’engagement réel à les mettre en œuvre
.
Le CNP renouvelle sa décision d’arrêter la coordination de sécurité et de soutenir la fermeté de Gaza
.
Qalqilya : Un jeune palestinien tué par les balles israéliennes
.
Des colons attaquent des maisons palestiniennes à Hébron
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
LES TAGS
#flashinfo #journal #quotidien #information #presse #attentat #daesh #étatislamique #isis #tv #radio #article #islam #news #musulman #coran #sourate #croyance #islamophobie #ccif #islamophobe #cri #ldj #ldjm #gaza #palestine #ouighours #immigration #fn #israel #valls #hollande #terroriste #racisme #nazisme #Rohingyas #tartar #réfugier #migrant #hindoue #hindou #cpi #CentrePalestinienD’Information #sif #secoursislamique #mouslimradio #tunein #Hui
flash info,journal,quotidien,information,presse,attentat,daesh,état islamique,isis,tv,radio,article,islam,news,musulman,coran,sourate,croyance,islamophobie,ccif,islamophobe,cri,ldj,ldjm,gaza,palestine,ouighours,immigration,israel,valls,hollande,terroriste,racisme,nazisme,Rohingyas,tartar,réfugier,migrant,hindoue,hindou,cpi,Centre Palestinien D’Information,sif,secours islamique,mouslimradio,Chams,tunein,life,ajib,katibin,oumma,saphirnews,mizane,jdm,journal du musulman,islam,info,Autorité Palestinienne,hamas,Hébron,Cisjordanie,Haaretz,Aquaboulevard,algérie,maroc,tunisie,maghreb,+972,Agence Media Palestine,Electronic Intifada