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Flash info du 14 Joumada al Awwal 1439

Flash info du 14 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

L’Algérie accueille son premier train à grande vitesse.
Grande première pour l’Algérie qui a reçu dimanche dernier au port d’Alger son premier train Coradia polyvalent. C’est la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) qui s’est chargée de cette première livraison d’une commande de 17 trains en provenance d’Alstom.
Durant tout le mois de février, la SNTF procédera aux essais d’usage sans passagers avant de lancer définitivement la ligne à grande vitesse au mois de mars.
Le Coradia n’est pas un TGV, c’est un train grandes lignes polyvalent bi-mode (diesel et électrique 25 kv) qui peut circuler jusqu’à 160 km/h. Il est composé de six voitures, pour une longueur totale de 110 mètres, pouvant accueillir jusqu’à 254 passagers.
Le directeur général de la SNTF a déclaré à la chaîne 3 de la Radio Algérienne que cette nouvelle acquisition devrait permettre de transporter 60 millions de voyageurs et 17 millions de fret par an dès 2020, une fois la totalité des trains livrée.
Un gain de temps considérable pour les Algériens qui seront reliés aux grandes villes dont Alger et Oran.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Migrants: “Il y a une violence organisée au plus haut sommet de l’État”, selon Yann Moix.
Le chroniqueur de France 2, Yann Moix, revient sur la situation des migrants à Calais. Selon lui, “la police utilise des armes d’une très grande violence envers des gens qui ne peuvent pas leur nuire”.
Dans un documentaire Arté, Moix revient sur la situation à Calais et notamment les violences policières faites aux migrants, adolescents et femmes. Lors de ces interventions policières, la police utiliserait des armes d’attaques contre des personnes sans défense. Des accusations extrêmement graves qui interviennent quelques semaines après celles du Secours Catholique.
La situation à Calais continue de se dégrader sans que le président de la République réagisse. C’est en tout cas l’opinion de Yann Moix qui s’est déplacé à plusieurs reprises dans ces camps de migrants.
reportage a voir sur islam et info.fr.
H&M retire des chaussettes sur le thème de Lego après des plaintes de clients musulmans.
Le géant suédois de l’habillement H & M a été obligé d’enlever une série de chaussettes pour enfants de ses magasins après avoir reçu des plaintes selon lesquelles une partie d’un dessin mettant en scène un homme Lego avec un marteau-piqueur ressemblait à une écriture arabe indiquant “Allah”.
Une paire de chaussettes a fait sensation après que plusieurs clients se sont plaints de l’impression d’une figure de Lego ressemblant au mot arabe pour “Allah”, si on les regarde à l’envers, selon les médias suédois.
Le motif représente en fait une figurine de Lego avec un marteau-piqueur, apparemment responsable de l’entretien des routes. Le détaillant insiste sur le fait que c’était “entièrement une coïncidence” et non un message caché, selon une déclaration citée par Dagens Nyheter. H & M a néanmoins choisi de «retirer les produits», compte tenu de la réaction du public.
L’incident intervient quelques semaines après H & M est apparu sous le feu des critiques pour son annonce avec un enfant noir dans un sweat – shirt avec les mots: «Le singe le plus cool de la jungle ». L’annonce a suscité une réaction internationale et des accusations de «racisme ». Certains critiques ont même dit qu’ils boycotteraiten la marque. Les magasins H & M à travers l’Afrique du Sud ont été fermés après avoir été ciblés par des manifestants.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Syrie : les avions de Bachar tuent 33 civils dans un bombardement.
Les frappes aériennes du régime ont tué 33 civils au cours des dernières 24 heures dans la province d’Idlib, au nord-ouest de la Syrie, où les forces gouvernementales combattent les rebelles, a déclaré lundi un observateur.
Rien que lundi, les frappes ont fait 16 morts parmi les civils, dont 11 dans un marché de légumes dans la ville de Saraqeb, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme basé en Grande-Bretagne.
Les 17 autres ont été tués dimanche dans des raids dans diverses régions de la province, dont une grande partie est contrôlée par Hayat Tahrir al-Sham (HTS), qui est dominée par l’ancienne filiale syrienne d’Al-Qaïda.
“Les avions de guerre du régime ont intensifié leurs frappes au cours des dernières 24 heures après un calme relatif dû au mauvais temps”, a déclaré Rami Abdul Rahman, chef de l’Observatoire.
Les troupes syriennes avançaient sur Idlib dans le cadre d’une offensive féroce lancée fin décembre avec le soutien de la Russie.
Au marché de Saraqeb, un correspondant de l’AFP a vu des flaques de sang sur le sol. De petits camions chargés de sacs de pommes de terre étaient abandonnés après que leurs fenêtres aient été soufflées de leurs cadres.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Le Canada commémore l’attentat qui a couté la vie à six fidèles dans une Mosquée. VIDEO.
L’attentat perpétré au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ) le 29 janvier 2017 est resté gravé à jamais dans les mémoires.
Un an après ce drame qui a couté la vie à une demi-douzaine de canadiens de confessions musulmanes, plusieurs jours de commémorations ont été organisés pour rendre hommage à ces victimes.
Il ne s’agit pas d’une journée de commémoration mais de quatre jours durant lesquelles Le Premier ministre Justin Trudeau n’a pas manqué de se joindre aux émouvants hommages en appelant les Canadiens à combattre l’islamophobie.
Une victime parmi ces centaines de victimes physiques ou/et psychologiques, aujourd’hui paralysé, a inspiré un documentaire intitulé Ta dernière marche dans la mosquée dont nous pouvons visionner la bande annonce ci-dessous. Un documentaire poignant sur les dramatiques conséquences générées par l’islamophobie qui a été diffusé lors de cette commémoration.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Angers : Deux têtes de sanglier accrochées sur une Mosquée.
Deux têtes de sanglier ont été volontairement laissé sur les grilles du chantier de la Mosquée d’Angers. Le maire, Christophe Béchu, qui a quitté son ancien parti Les Républicains en décembre 2017 demeure le seul parmi les personnalités politiques a condamné cet acte islamophobe.
La communauté musulmane d’ Angers est sous le choc car de plus en plus d’actes à l’encontre des musulmans sont à déplorer.
Hélas, il ne s’agit pas seulement d’une attaque contre un édifice religieux musulman mais d’une attaque à l’encontre de l’ensemble des musulmans du pays.
Imad, 8 ans, courageux “petit bonhomme” rencontre Mehdi Benatia.
Greffé d’un rein à 8 ans, le jeune enfant algérien, Imad, a ému le monde entier par son message diffusé sur la chaîne française TF1.
Un petit bonhomme d’à peine 8 ans qui nous a donné une leçon de vie d’une sagesse inouïe. Ses propos pleins d’espoir ont poussé l’international marocain de la Juve, Mehdi Benatia, à l’inviter pour assister à la rencontre de la Juventus contre Genoa disputée lundi.
Voici son passage dans l’émission sept à huit qui a marqué le joueur de football.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Maroc : Magnifiques paysages enneigés à Ouarzazate.
La neige vient de tomber dans une région où ce phénomène météorologique n’est pas vraiment une norme. En effet, depuis plus de 30 ans, les habitants de cette région du désert n’ont pas vu la neige.
Des aléas qui ont ravi les habitants de la ville et les touristes, qui ont partagé massivement sur les réseaux sociaux des images que nous vous laissons découvrir.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

Non, Al-Azhar n’a pas retiré la Tunisie d’une liste de pays musulmans.
Al-Azhar aurait-elle retirée la Tunisie de sa liste de pays musulmans ? Depuis plusieurs jours, la rumeur enfle parmi les Tunisiens, au point d’obliger l’institution religieuse à faire le point en cette fin de mois de janvier.
L’égalité dans l’héritage entre les hommes et les femmes, l’abolition de l’institution de la dot ou encore la possibilité d’octroi du nom de famille de la mère sont actuellement examinés par la Commission des libertés individuelles et de l’égalité, récemment instaurée par le président tunisien Beji Caïd Essebsi. Rien n’est encore tranché mais ces mesures, si elles sont adoptées, placeront la Tunisie dans une position avant-gardiste vis-à-vis des autres pays musulmans sur les questions d’affaires familiales et d’égalité hommes-femmes.
En septembre 2017, la Tunisie avait déjà levé l’interdiction du mariage des femmes avec un non-musulman. Cette mesure avait été critiquée avant son adoption par le bureau de l’adjoint du grand imam d’Al-Azhar, estimant qu’elle est « contraire à la jurisprudence islamique (charia) », tout comme l’égalité dans l’héritage.
La rumeur de la liste a été déclenchée, rapporte le HuffPost Maghreb, après les critiques émises par Mohamed Chahat El Jondi, un religieux membre d’Al-Azhar à l’encontre de la Tunisie, qui « poursuit son abaissement de la dignité de la femme en s’attaquant aux constantes de l’islam ».
L’institution religieuse égyptienne voit effectivement mal les réformes sociétales que souhaite mettre en oeuvre le pays du jasmin. Elle s’est néanmoins exprimée dimanche 28 janvier pour démentir formellement la rumeur d’un quelconque retrait de la Tunisie d’une liste de pays musulmans, liste qui n’existe d’ailleurs même pas.

Sur oumma.com, voici les titres.

La Tunisie rayée de la liste des pays musulmans ? Al-Azhar dément la fausse rumeur.
La nouvelle, proprement ahurissante, a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans le ciel tunisien et d’une violente décharge électrique sur les réseaux sociaux, d’autant plus qu’elle était prétendument marquée du sceau de la prestigieuse institution Al-Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite basée au Caire.
La Tunisie aurait été rayée de la liste des pays musulmans ? Telle est la teneur de l’intox qui a mis le feu aux poudres sur la cybersphère, embrasant les esprits au point de raviver le débat sur la dot de la femme et l’égalité dans l’accès à l’héritage en Islam.
Face à l’ampleur de la polémique, Al-Azhar, qui n’a pas caché sa stupeur devant la propagation de cette rumeur fallacieuse, a démenti dimanche sa véracité, tentant d’apaiser les tensions à leur paroxysme. « Aucun commentaire, ni déclaration concernant la Tunisie n’a été publié de notre part. Une telle liste n’existe même pas », pouvait-on lire sous une plume officielle qui s’est voulue rassurante, tout en demandant de faire toute la lumière sur ce regrettable incident.
Alors, d’où est partie la fameuse rumeur qui est allée bon train jusqu’à enflammer la Toile ? Des propos tenus par le dignitaire religieux Mohamed Chahat El Jondi, membre d’Al-Azhar, dans un entretien accordé au journal égyptien Al Baweba. Celui-ci a eu en effet la dent dure contre la Tunisie, fustigeant la politique conduite qui, à ses yeux, « porte atteinte à la dignité de la femme en s’attaquant aux constantes de l’islam ».
La violente charge de Mohammed Chahat El Jondi contre le pays du jasmin a été déclenchée, semble-t-il, par les propositions, encore à l’étude, émises par la Commission tunisienne des libertés individuelles et de l’égalité concernant “l’abolition de l’institution de la dot et l’égalité en matière d’héritage”.
Une Indienne musulmane menacée de mort pour avoir dirigé la prière pour la première fois.
Bravant les campagnes calomnieuses qui ont récemment redoublé de haine à son encontre, Jamida Beevi, 34 ans, aurait pu renoncer à diriger la prière à Vandoor, un village en plein cœur de l’Etat du Kerala, mais c’était mal connaître l’opiniâtreté de cette Indienne de confession musulmane, convaincue du bien-fondé de sa démarche, aussi novatrice soit-elle.
En dépit de l’anathème jeté sur elle par les hautes instances musulmanes et les autorités locales, et des menaces de mort qui ont déferlé sur la cybersphère, la secrétaire générale de la Khuran Sunnath Society – une organisation islamique controversée qui prétend travailler à la réforme de l’islam et à l’évolution des mentalités au sein de la communauté musulmane, en se conformant strictement au Coran et en proscrivant les hadiths – est entrée dans l’histoire de l’Inde, envers et contre tous, en sa qualité de première femme imam.
Qualifiée au mieux d’iconoclaste, au pire d’hérétique, sa décision de conduire la prière au cours de la Salât al-Djumu’a du vendredi 26 janvier, devant une trentaine de fidèles, hommes et femmes réunis, lui a valu une salve de critiques véhémentes de la part d’internautes ulcérés, la désignant à la vindicte populaire sous l’appellation très péjorative de « kafir ».
« Un grand nombre de messages ont circulé sur les médias sociaux alléguant que je suis une kafir, une mécréante », s’est désolée cette fervente croyante et mère de deux enfants, qui a fini par divorcer en 2016 au terme de treize années d’un mariage devenu invivable. Face à l’hostilité des membres de sa famille qui lui répétaient inlassablement « qu’Allah n’aime pas le divorce », la ferme détermination de Jamida Beevi fut déjà la plus forte.
« La semaine dernière, quelqu’un m’a envoyé une image avec ma tête fixée à un cadavre. Je vois cela comme un avertissement morbide à prendre très au sérieux », a alerté avec un sang-froid peu commun celle qui fut la petite dernière d’une fratrie de 13 enfants, grandissant dans un foyer uni, choyée par sa mère, tandis que son père faisait carrière dans l’armée indienne.
Avide de connaissances, sa soif d’apprendre la langue arabe et de s’imprégner de la quintessence du Coran était intarissable, au point de la faire passer pour une « élève rebelle » aux yeux de professeurs qui ont mal interprété son insatiable curiosité concernant son sujet de prédilection : l’islam. « Parfois, les enseignants m’ont refusé l’entrée en classe en guise de punition. Mais cela n’a pas freiné ma quête de sens et de vérité », clame-t-elle avec force, alors même que cette image de « rebelle » lui colle de plus belle à la peau et, pire que l’incompréhension générale, déchaîne les viles passions.
« En accord avec les membres de l’association islamique que je représente, nous voulions, en m’autorisant à diriger la prière pour la première fois, envoyer un message fort : à savoir que l’islam n’a jamais interdit aux femmes de remplir le rôle de guide spirituel. Nous ne voulons que perpétuer cette pratique », a expliqué Jamida Beevi, en espérant ouvrir la voie à d’autres femmes musulmanes.
« Je n’ai pas peur de la mort, je suis prête à mourir pour la cause », a-t-elle renchéri avec la volonté inébranlable qui la caractérise et l’a toujours emporté sur ses craintes de faire une entorse à la tradition, aussi grave et périlleuse soit-elle.
iran : La fable de la « menace nucléaire iranienne ».
Transis d’admiration devant le verbiage polyglotte de Macron à Davos, les médias français ont soigneusement occulté un fait majeur : Donald Trump va demander au Congrès 716 milliards de dollars pour le Pentagone au titre de l’année budgétaire 2019. Cette hausse de 7% par rapport au budget 2018 ne servira pas à remplacer les boutons de culotte. Selon un document confidentiel publié par le Huffington Post, le Pentagone envisage la possibilité d’une riposte atomique dans le cas de “très grosses attaques conventionnelles”. Document d’orientation stratégique, le projet de Nuclear Posture Review pour 2018 prévoit donc une modernisation de l’arsenal atomique dont le coût est évalué par une agence fédérale, le Congressional Budget Office, à 1200 milliards de dollars sur 30 ans.
Ce projet de réarmement massif, pourtant, ne semble pas émouvoir les populations ni passionner les observateurs. Il faut dire qu’on a tout fait pour que l’arbre cache la forêt. Depuis quinze ans, les dirigeants occidentaux ne cessent d’agiter l’épouvantail de la “menace nucléaire iranienne”. Cette fable géopolitique, les médias dominants la distillent à longueur de colonnes, comme s’il était évident qu’un pays sans la bombe est plus dangereux qu’un pays qui l’a déjà utilisée, et qui entend développer le monstrueux arsenal dont il dispose. Pour faire avaler de telles sornettes, la propagande martèle alors une idée simple : “le programme nucléaire iranien menace le traité de non-prolifération nucléaire”. Il est curieux, toutefois, qu’on n’ait jamais songé à répondre : “Si vous tenez tant à ce traité, pourquoi ne pas commencer à l’appliquer ?”
Les puissances occidentales, en effet, n’ont jamais fait le moindre effort pour convaincre Israël, l’Inde et le Pakistan de signer le TNP. Refusant d’adhérer au traité, ces trois pays ont constitué un arsenal hors-la-loi. Echappant à tout contrôle, il est tout de même plus préoccupant qu’une bombe iranienne qui n’existe pas. Ce n’est pas tout. Le traité prévoit aussi un désarmement nucléaire que les cinq Etats “légalement” dotés d’armes atomiques (USA, France, Royaume-Uni, Chine, Russie) ont superbement ignoré. A l’origine de cet échec, les Etats-Unis ont dénoncé le traité Start II avec Moscou et installé un bouclier anti-missiles en Europe. Pire encore, ils n’ont cessé de développer un arsenal dont “l’usage préventif” est affirmé par la Nuclear Posture Review de 2002. Autorisant l’utilisation d’armes nucléaires en première frappe, cette révision doctrinale a ouvert une fantastique boîte de Pandore.
A croire la propagande habituelle, le monde civilisé doit se tenir prêt à riposter à la salve dévastatrice des mollahs iraniens, ces “fous de dieu” enturbannés résolus à précipiter l’apocalypse. Mais la réalité est à des années-lumière de ce délire idéologique. En fait, l’establishment américain n’en finit pas de digérer le traumatisme de la révolution iranienne, lourd d’humiliation symbolique (les otages de Téhéran) et de fiasco géopolitique (la chute du Chah). Pièce par pièce, Washington a donc bâti une démonologie où la République islamique est présentée comme une dictature maléfique, dont le comportement erratique ferait peser sur la planète un péril mortel. Affabulation à grande échelle, manifestement, dont la seule fonction est d’inhiber le développement d’une grande nation rétive à l’ordre impérial.
Les faits sont parlants. Accusé de vouloir la fabriquer, l’Iran ne détient pas l’arme nucléaire. Les USA sont la première puissance nucléaire et la seule à en avoir fait usage. Seul Etat du Proche-Orient possédant la bombe (plus de 400 têtes nucléaires), Israël jouit de son côté d’un privilège dont il n’entend pas se défaire : il a le droit de détenir l’arme suprême à condition de ne pas s’en vanter. Avec la complicité occidentale, la duplicité israélienne fait coup double. Elle exerce un effet dissuasif puisque la bombe existe, sans encourir les foudres internationales puisqu’il est entendu qu’elle n’existe pas. Cet incroyable régime de faveur transforme la question nucléaire en conte à dormir debout : une bombe purement virtuelle devrait nous donner des sueurs froides (Iran), alors qu’un arsenal colossal mais officiellement inexistant ne devrait susciter aucune inquiétude (Israël).
Soustrait à tout contrôle international, le programme nucléaire sioniste bénéficie depuis l’origine d’une impunité totale. Les Occidentaux fustigent le risque de prolifération, mais l’histoire de la bombe israélienne montre qu’ils en sont directement responsables. Ben Gourion a lancé le programme nucléaire sioniste dès le début des années 50, et la France lui a immédiatement apporté son concours. Un accord secret avec le socialiste Guy Mollet, en 1956, a permis à l’Etat hébreu de maîtriser la technologie nucléaire, et la centrale de Dimona a été construite avec l’aide de techniciens français. Unis dans la lutte contre le nationalisme arabe, la France et Israël ont scellé un pacte dont la calamiteuse expédition de Suez fut le principal fait d’armes.
Prenant le relais de l’alliance française à la fin des années 60, les Etats-Unis ne sont pas moins coopératifs. Aux termes de l’accord entre Lyndon Johnson et Golda Meir, aucune pression ne doit s’exercer sur Israël pour lui faire signer le traité de non-prolifération. En échange, Israël cultive l’ambiguïté sur la réalité de son arsenal nucléaire. Complaisante dérogation à la loi internationale, en somme, contre respect scrupuleux de la loi du silence. En attendant, les Occidentaux s’acharnent sur l’Iran, lui prêtant un projet militaire imaginaire, alors même que Tel Aviv multiplie les menaces contre Téhéran. La République islamique, pourtant, n’a jamais agressé ses voisins. On ne peut en dire autant d’Israël, qui a bombardé l’Egypte, la Syrie, le Liban, la Jordanie, l’Irak et la Tunisie, sans parler des territoires palestiniens quotidiennement pris pour cibles.
Jetant un écran de fumée sur cette réalité, la propagande occidentale traite le régime iranien de “théocratie fanatique”. Ce n’est pas un mollah, pourtant, qui a déclaré que “notre Etat est le seul en communication avec Dieu”. C’est Effi Eitam, ex-ministre israélien et chef du parti national-religieux. Imbibé d’un orientalisme de pacotille, le discours dominant décrit la République islamique comme un repaire d’illuminés férus d’eschatologie qui rêveraient d’immoler Israël avec la bombe atomique ! Quel dommage que les pourfendeurs de l’Iran ne nous aient pas gratifiés de considérations aussi inspirées sur la bombe israélienne : elle a pour caractéristique de faire planer, elle, une menace non virtuelle. Entre la prétention sioniste à “communiquer directement avec Dieu” et l’obstination mystique de Tel Aviv à posséder l’arme suprême, on aurait pu déceler, ici aussi, une singulière “eschatologie”.
Autre paradoxe qui ne manque pas de saveur : l’Occident accuse l’Iran de vouloir fabriquer la bombe, mais c’est la République islamique qui a interrompu le programme nucléaire en 1979. Encouragé par les USA, le Chah avait signé de juteux contrats avec la France et l’Allemagne pour la construction de centrales nucléaires. L’opposition ayant dénoncé cette politique, jugée onéreuse pour un pays riche en hydrocarbures, le programme est aussitôt suspendu par le gouvernement de la République islamique. Il fallut la sanglante guerre Iran-Irak (1980-1988) pour changer la donne. Seul face à l’agresseur irakien, le gouvernement iranien a mesuré sa faiblesse devant une coalition faisant bloc avec Saddam Hussein. La participation des puissances occidentales, les livraisons d’armes chimiques à l’Irak, la destruction en plein vol d’un Airbus iranien lui ont fait prendre conscience du danger.
C’est dans ce contexte que les dirigeants iraniens ont vu dans le nucléaire civil un atout technologique, un attribut de la souveraineté et une source de fierté nationale. La possession de l’arme nucléaire, elle, est jugée impie par les autorités religieuses, et aucun programme nucléaire militaire n’a été officiellement engagé en Iran. Ses accusateurs ont constamment prétendu le contraire, mais sans fournir la moindre preuve. Le discours obsessionnel contre Téhéran, en réalité, confond délibérément deux choses : la capacité technologique de produire des armes nucléaires, et la décision politique de produire de telles armes. Au motif que cette capacité a été atteinte, on accuse Téhéran de vouloir se doter de la bombe. Mais ce raisonnement est d’une criante perversité, puisqu’au lieu de demander des comptes à ceux qui ont la bombe, on s’acharne contre un Etat qui n’en veut pas.
Montée de toutes pièces, la “menace nucléaire iranienne” est une supercherie qui vise à neutraliser un grand pays non-aligné. Souverain, désendetté, farouchement attaché à son indépendance, l’Iran a un potentiel qui effraie les tenants de l’ordre impérial. Les dirigeants iraniens ont signé l’accord de 2015 parce qu’ils privilégient le développement de leur pays. Ils veulent la levée des sanctions pour satisfaire une population de 80 millions d’habitants. L’accord sur le nucléaire soumet ce grand pays à un régime de contrôle international sans précédent, mais Téhéran l’a accepté. En accusant l’Iran de “soutenir le terrorisme”, Trump veut interrompre ce processus de normalisation. Poussé par les marchands d’armes, il poursuit la diabolisation de l’Iran d’une façon grotesque. L’impérialisme ne désarme jamais, et les mensonges continueront. Mais l’Iran sait que le temps joue en sa faveur, et il saura résister aux provocations d’une superpuissance en déclin.
Maroc: Le calvaire des “femmes-mulets”.
Un reportage sur le calvaire des “femmes-mulets” marocaines qui travaillent dans des conditions effroyables, transportant sur leur dos des marchandises. En août 2017, deux d’entre elles sont mortes piétinées à la frontière avec Ceuta.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Slimane Rezki : René Guénon, penseur de la Tradition.
Slimane Rezki est auteur, traducteur et conférencier. Animateur de la chaîne Youtube Sawt24,il vient de publier, aux éditions Albouraq, le deuxième tome d’une trilogie consacrée à l’oeuvre de René Guenon. Un entretien réalisé par nos partenaires des Cahiers de l’islam.
Le deuxième tome de votre trilogie sur René Guenon vient de sortir, quel est l’objectif principal de ces ouvrages sur Guenon ?
L’objectif central est de permettre à un grand lectorat de découvrir un homme et une œuvre exceptionnels. La connaissance de sa vie est conjointe à celle de son œuvre car structurée de la même façon. Guénon redonne vie à la Tradition dans sa dimension la plus élevée et nous rappelle des réalités oubliées. J’ai voulu souligner combien sa vision consistant en un retour aux principes fondamentaux et immuables demeure la seule solution pour une humanité en perdition.
Pour cerner la pensée religieuse de René Guenon, pouvez-vous nous fournir quelques-uns de ces axes majeurs ?
Son œuvre est structurée autour de trois axe majeurs : la dénonciation des idoles modernes, affirmation du Principe suprême de nature métaphysique et enfin, description des moyens initiatiques de réalisation de ce principe métaphysique. Les thèmes principaux sont la métaphysique, la critique du néo-spiritualisme et des dérives modernes, la tradition primordiale, l’initiation, le symbolisme comme langage de la Tradition, Les relations de l’autorité spirituelle et du pouvoir temporel.
Les débats actuels à l’intérieur de l’islam (sur l’état des sciences islamiques, la place du normatif, etc.) peuvent-ils bénéficier de cette pensée religieuse ?
Avant tout, l’œuvre de René Guénon n’est pas une pensée qui lui serait personnelle, elle est essentiellement l’exposition des fondements de la Tradition. Ensuite, elle ne peut être considérée comme religieuse mais plutôt comme traditionnelle, les deux termes n’étant pas synonymes. La Tradition englobe la religion qui n’en représente que la dimension extérieure comprenant le culte et la jurisprudence. Il est sûr que le débat à l’intérieur de l’islam aurait grand intérêt à se pencher sur cette œuvre sans pareil et ainsi à revenir aux vraies priorités.
Enfin, pouvez-vous nous expliquer les raisons de votre intérêt pour René Guenon et son œuvre ? Y a-t-il une actualité de son œuvre dans le monde islamique ?
Très rapidement, il m’est apparu que cette œuvre était tout à fait unique. La portée, les perspectives, la rigueur de l’exposition et la profondeur des vues exposées, je ne les ai retrouvées nulle part ailleurs, chez aucun autre auteur. De plus, la situation personnelle de René Guénon lui permit de s’exprimer librement et indépendamment des éventuelles pressions des milieux politiques ou religieux. Ce qui lui permit de rappeler certains fondements traditionnels sans ambages ni crainte. Il fut sa vie durant au service de la Vérité et permit à très nombreux lecteurs de retrouver le sens de la primordialité et de la réalisation spirituelle.
reportage a voir sur Mizane.info.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Le Cnapeste en grève à partir d’aujourd’hui : Le spectre de l’année blanche.
Le Conseil national autonome des professeurs d’enseignement secondaire et technique (Cnapest) a décidé de maintenir son appel à la grève illimitée prévu à partir d’aujourd’hui. Apparemment, la réunion qui a regroupé ce dimanche les représentants de ce syndicat et les responsables du ministère de l’Education n’a pas dissuadé les initiateurs de cette action. En effet, après la rencontre entre des représentants du ministère de l’éducation nationale avec des responsables du CNAPESTE, le coordonnateur national du syndicat, Salim Oualha, a précisé que la rencontre « n’a pas atteint le stade de la négociation », estimant qu’il s’agissait d’ »une simple séance de travail protocolaire conforme aux lois en vigueur en matière de prévention des conflits au travail ». S’exprimant au terme de la réunion qui a duré cinq heures, le coordonnateur national du syndicat a déclaré qu’aucun accord n’a été trouvé. Par ailleurs, les représentants du CNAPESTE ont demandé à « rencontrer la ministre de l’Education nationale pour que des solutions efficaces soient trouvées à leurs problèmes » après avoir constaté que les représentants du ministère « n’ont pas de solutions aux revendications soulevées dans le préavis de grève ouverte que le syndicat compte organiser pour aujourd’hui » conformément à la décision prise lors de la dernière réunion de son conseil national, a fait savoir le syndicaliste. M. Oualha a affirmé que le syndicat était disposé à rencontrer la ministre « à tout moment afin que des solutions soient trouvées aux revendications soulevées, notamment la mise en oeuvre des procès verbaux signés par la tutelle et le bureau national aux niveaux national et local ». Il a regretté que l’administration ait procédé à des ponctions sur les salaires des enseignants grévistes dans la wilaya de Bejaïa en dépit d’un accord pour le rattrapage des cours non dispensés durant la grève et au licenciement d’enseignants. Les représentants du CNAPESTE ont demandé à « rencontrer la ministre de l’Education nationale pour que des solutions efficaces soient trouvées à leurs problèmes » après avoir constaté que les représentants du ministère « n’ont pas de solutions aux revendications soulevées dans le préavis de grève ouverte que le syndicat compte organiser le 30 janvier » conformément à la décision prise lors de la dernière réunion de son conseil national, a fait savoir le syndicaliste. Les revendications portent sur le plein respect de la teneur des conventions signées entre le ministère de l’Education nationale et le CNAPESTE, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation des personnels occupant des postes en voie de disparition, la médecine du travail, l’actualisation de la prime de zone pour les travailleurs du sud, le logement et les promotions. Pour rappel, la semaine dernière, le Conseil national du CNAPEST, lors duquel étaient présents les représentants de 38 wilayas, avait décidé à la majorité d’entrer en » grève nationale illimitée » pour dénoncer ce qu’ils ont qualifié de » pourrissement des conditions de travail « , et « d’érosion du pouvoir d’achat des enseignants dont les dernières augmentations étaient déjà rattrapées par la flambée des prix. »
Tizi Ouzou : Appel à une grève générale des commerçants.
L’UGCAA (aile Samir Djebbar) se démarque de l »appel à la grève générale des commerçants, lancé pour le 31 janvier prochain, par un groupe d’associations et d’organisations professionnelles de la wilaya de Tizi Ouzou, à savoir le collectif d’aide à la micro-entreprise (CAME) ; la fédération des jeunes entrepreneurs (FNJE) et l’UGCAA, aile Aba Hamid. Dans une conférence de presse organisée le 18 janvier dernier, ces organisations ont appelé les commerçants à observer une grève générale après demain, 31 janvier suivi d’un sit-in devant le siège de la CASNOS, le 31 janvier 2018, pour dénoncer ce que le collectif d’associations professionnelles appelle » les agissements répressifs, les redressements abusifs, les escentes punitives et le chantage orchestrés par les services de la CASNOS de Tizi Ouzou. » Cette action est venue en soutien à un ensemble de revendications qui ont trait, essentiellement, à l’arrêt des poursuites judiciaires à l’encontre des anciens cotisants ; le maintien du minimum à payer en matière de cotisation tel qu’édicté par l’article 14 du décret exécutif 15/289. La démarche de ce collectif et son appel à la grève lancé aux commerçants de Tizi Ouzou sont dénoncés parle nouveau bureau de l’UGCAA qui revendique la légitimité de la représentation des commerçants. Dans un communiqué qui nous est parvenu, le bureau de la wilaya de Tizi Ouzou de l’UGCAA, aile représentée par Samir Djebbar, qui elle se réclame de la nouvelle direction nationale de l’organisation des commerçants et artisans algériens présidée par Djamal Taklicht appelle les commerçant à ignorer l’appel au débrayage qui leur est lancé. » Le bureau de wilaya de l’UGCAA dément catégoriquement l’appel qui a été fait en son nom. « , liton sur le communiqué signé par le coordinateur pour la wilaya de Tizi Ouzou de l’UGCAA, en l’occurrence, Samir Djebbar qui » condamne énergiquement les agissements et les actions illégitimes de l’ancien bureau qui a été suspendu et gelé par la direction nationale de l’union des commerçants et artisans algériens. » Et d’annoncer le lancement d’ » une procédure légale pour arrêter les agissements irresponsables de ce bureau » informent encore les auteurs de l’appel à la démarcation. Une attitude qui se place dans le prolongement de la guerre qui secoue le sommet de l’UGCAA. Deux factions, l’une représentée par Salah Souilah, et la deuxième par Djamal Taklicht, qui se disputent la légitimité du pouvoir au sein de l’organisation des commerçants et artisans algériens.
Violence dans les stades à l’ouest du pays : 90 blessés et 130 arrestations en 2017.
Le service régional de l’ordre public relevant de l’inspection régionale ouest de police a enregistré 21 interventions dans des actes de violence lors de matchs de football en 2017 ayant fait plus de 90 blessés et ayant été marqués par l’arrestation de 130 personnes, a-t-on appris dans un bilan de l’inspection précitée, présenté dimanche à Oran. Le commissaire de police Guerdoudi Djilalli représentant du service a déploré, lors d’une conférence de presse consacrée au bilan de l’inspection régionale ouest de police, la violence dans les stades dans l’ouest du pays en 2017 faisant 90 blessés et 31 véhicules endommagés, en plus de l’arrestation de 138 supporters dont 102 présentés devant la justice, soulignant une hausse par rapport à 2016 (16 interventions, 54 blessés et 70 arrêtées). Cette situation regrettable est due à la mauvaise gestion des structures de déroulement des rencontres, à l’absence de concertation avec les services de police sur les aspects de sécurité dans les stades et au mauvais état de certains terrains (clôtures et accès détériorés), a-t-on souligné, signalant que sept clubs de l’ouest du pays seulement évoluent en ligues 1 et 2 professionnelles de football. La mauvaise programmation des rencontres importantes sans consultation des services de l’ordre, l’absence de stadiers, l’inefficacité des comités de supporters, les comportements non sportifs compliquant parfois la mission des policiers y figurent aussi parmi les facteurs engendrant la violence. Le même responsable a insisté sur la nécessité de revoir la gestion des structures et des rencontres, la formation de stadiers pour soutenir les policiers, la promotion de l’encadrement préventif des supporters, le réaménagement des infrastructures sportives et leur dotation en moyens modernes pour lutter contre la violence dans le stade sous toutes ses formes. D’autre part, le commissaire de police Guerdoudi Djillali a signalé 3.462 accidents de la circulation enregistrés en 2017 à l’Ouest du pays faisant 184 victimes et 4.082 blessés, soit une hausse de 16 cas de décès, de 299 blessés et de 20 accidents par rapport à 2016. Les causes principales sont dues notamment au facteur humain surtout des jeunes âgés entre 18 et 25 ans et des détenteurs de nouveaux permis nouveaux de conduire (95 pc), a-t-on souligné. La chef du service régional des ressources humaines, la commissaire de police Achour Meriem a axé son intervention sur le renforcement des services de police en ressources humaines, signalant la sortie de promotions de 910 lieutenants de police en 2017, renforcement des services de police de l’oranie et la promotion de 2.339 agents de police en différents grades. Sept structures de police et 11 structures sociales ont été inaugurées en 2017, at- on rappelé, annonçant l’ouverture de 18 structures de police et de neuf autres sociales cette année.
DOSSIER DES RETRAITÉS DE L’ANP : LES CLARIFICATIONS DU MDN.
Dans son communiqué, le ministère de la Défense nationale a tenu à apporter quelques éclaircissements au sujet des agissements enregistrés, récemment, de la part d’individus qui selon lui s’autoproclamant des différentes catégories de retraités de l’Armée Nationale Populaire. IIl est écrit : » Ces derniers ont emprunté des voies illégales pour exprimer leurs revendications, et ce, avec l’intention de semer le doute et d’induire en erreur l’opinion publique en se présentant comme étant des victimes aux droits sociaux et matériels bafoués, et ayant eu recours à la rue pour imposer leur logique « . La même source a rapporté que le Haut Commandement de l’Armée Nationale Populaire a donné, depuis 2013, des instructions, à ses services spécialisés à travers les différentes Régions Militaires, où il a été procédé à l’engagement des mesures et des procédures nécessaires en vue de l’étude de l’ensemble des dossiers émanant des différentes catégories de retraités de l’Armée Nationale Populaire, et ce à la lumière des dispositions contenues dans le code des pensions militaires modifié n°13-03 du 20 février 2013. Ceci a permis la régularisation de la majorité des dossiers déposés. » L’infiltration d’individus n’ayant aucun lien avec ce dossier et voulant introduire leurs revendications parmi celles des catégories concernées alors qu’elles s’inscrivent dans la catégorie des radiés des rangs de l’Armée Nationale Populaire pour des raisons disciplinaires et judiciaires qui ont fait l’objet de jugements prononcés à leur encontre à titre définitif » a ajouté le communiqué. Par ailleurs, le MDN a mis également en cause l’apparition de plumes s’autoproclamant défenseurs des préoccupations des éléments de l’Armée Nationale Populaire avec l’intention de manipuler ce dossier à des fins personnelles. Du reste , le Ministère de la Défense Nationale a tenu à rappeler que ses services et bureaux spécialisés demeurent mobilisés pour la réception des différents dossiers émanant des retraités de l’Armée Nationale Populaire dans leurs différentes catégories, et ce, conformément aux règlements et lois en vigueur, en vue d’une meilleure prise en charge sociale et médicale. Enfin, il a appelé à éviter les différentes voies d’expression anarchique et d’adopter le canal officiel représenté par l’Association des Retraités de l’Armée Nationale Populaire en tant que structure unique habilitée à porter leurs revendications auprès des services compétents du Ministère de la Défense Nationale.
La SNTF réceptionne son premier train rapide : Le » Coradia » sifflera le 2 mars prochain.
La Société Nationale des Transports Ferroviaires d’Algérie (SNTF) a reçu, dimanche matin au port d’Alger le premier prototype des 17 trains Coradia commandés chez Alstom. Ce train destiné aux grandes lignes, polyvalent bi-mode (diesel et électrique 25 kv), mesure 110 mètres de longueur et est composé de six voitures dotées d’une capacité totale de 254 passagers, dont 60 en première classe. Le voyage inaugural relient Alger -Oran est prévu le 2 mars 2018. Par ailleurs, la compagnie ferroviaire nationale procédera à des essais à blanc pendant le mois de février. Quant à l’exploitation commerciale, elle est prévue en mars. En alliant flexibilité, fiabilité, confort et respect de l’environnement, l’aménagement du train s’inscrit dans les derniers développements engagés par SNTF et permettent d’offrir un confort de voyage optimum. Les livraisons des trains suivants se feront jusqu’en juillet 2018. Ces trains conçus et fabriqués sur le site d’Alstom à Reichshoffen en France desserviront les grandes villes Algériennes. » Nous sommes fiers aujourd’hui de célébrer, avec notre client et nos partenaires, l’arrivée sur le sol Algérien du premier train Coradia d’Afrique. C’est une étape à la fois importante et émouvante car nous contribuons ainsi à la concrétisation d’un projet d’envergure pour promouvoir le développement des infrastructures ferroviaires en Algérie ». indique Henri Bussery, Directeur Général d’Alstom en Algérie. Il est à rappeler que, Alstom a livré le premier des 17 Coradia Polyvalent qui avaient été commandés par la (SNTF) le 29 juillet 2015. En effet, L’architecture modulable de Coradia Algérie a permis de l’adapter aux conditions climatiques du pays (sable, températures élevées). Il est équipé d’un système de climatisation très performant. Grâce à un plancher bas intégral, l’accès et la circulation à bord sont facilités. Par ailleurs, le Coradia Polyvalent est doté d’équipements éprouvés et d’une motorisation performante, issus d’une technologie maîtrisée. L’auto raille offrent confort, sécurité, rapidité. Les passagers bénéficieront d’un service de qualité sera assuré par des hôtesses formé à cet effet. Au sujet de la tarification le PDG de la Sntf a fait savoir que, le prix qui va être instauré notamment pour la première classe sera de 2000 Da, avec un coffret offert gratuitement, et pour la deuxième classe à 1700 Da, avec un coffret pour manger. La semaine passée, le DG de la SNTF Yacine Bendjaballah avait annoncé sur les ondes de la Radio nationale l’imminente arrivée de 17 trains Coradia qui relieront les grandes villes, notamment Alger et Oran dans un premier temps. Le gain de temps sera considérable, à en croire le même responsable.
Le projet s’inscrit dans le cadre d’un jumelage entre l’Algérie et l’UE : Formation de 1.330 pompiers stagiaires.
Le Directeur général de la protection générale ( DGPC) , le colonel Lahbiri Mustapha a mis l’accent sur la formation de 1330 stagiaires au cours de la première phase du projet de jumelage au profit de la DGPC qui entre dans le cadre du programme d’appui à la mise en oeuvre de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union Européenne (P3A). L’interlocuteur a fait savoir que ce projet a vu la participation de 42 experts européens et 84 algériens dans le but d’appliquer 29 activités dont 72 sont prévues prochainement et 21 projets en cours de réalisation. En effet , lors d’un séminaire d’évaluation du ce projet organisé hier au niveau de l’unité nationale d’instruction et d’intervention de la protection civile à Dar El Beida , le premier responsable de la protection civile a fait savoir que les résultats obtenus suite à ce projet de jumelage visent à échanger les expériences en matière de protection contre les dangers , ainsi pour développer une bonne maitrise des situation de crise . » Nous avons renforcés les unités de la protection civile et aussi veillé à promouvoir leurs connaissances à travers des programmes de formations adaptés, en plus d’un renforcement des capacités logistiques , tout en prenant en compte le facteur de l’environnement dans la lutte contre les catastrophes » at-il ajouté , en soulignant la formation de 6 milles stagiaires uniquement en France. M Lahbiri a tenu à préciser que ce haut niveau et fructueux partenariat a permis à la protection civile d’être à la hauteur de son excellente réputation, car elle est un exemple de professionnalisme aux niveaux national et international. Par ailleurs, il a réitéré son appel au renforcement de la coopération entre différents parties et en particulier avec ses partenaires européens dans la protection civile. Le même responsable a mis l’accent sur le programme de formation continue avec l’Union Européenne qui selon lui entre dans le cadre de l’appui et la mise en oeuvre de cet accord algéro-européen ainsi que la modernisation de la protection civile appliqué par le programme P3A, subventionné par l’Union européenne et géré par l’unité de gestion du programme de la protection civile. De son côté l’embrasseur européen et chef de la délégation de l’Union Européenne en Algérie Jhon O’ Rourk a mis en relief l’importance de ce projet de jumelage dans le renforcement de la coopération entre les pays en matière de protection civile et surtout dans l’accomplissement de ses mission qui sont la protection des citoyens et leurs biens. Pour sa part, un représentant de l’ambassadeur d’Espagne s’est attardé sur les objectifs de ce projet de jumelage qui visent à améliorer la protection contre les dangers, à promouvoir la culture de l’expérience dans la maitrise des situations de crise, renforcer les capacités opérationnelles dans unités de la protection civile, et celles des logistiques. Au cours de ce jumelage, il est question de continuer de suivre les sessions de formation de haut niveau par les stagiaires. Pour le mois d’avril prochain l’unité nationale d’instruction et d’intervention de Dar El Beida abritera une session de pratique.

Sur le muslim post.com, voici les titres .

Arabie Saoudite : la purge a permis de récolter 107 milliards de dollars.
107 milliards de dollars. C’est la somme récupérée par l’Arabie Saoudite suite aux accords financiers conclus avec la majorité des 381 personnes arrêtées dans le cadre de la lutte anticorruption initiée par le prince héritier. Ce week-end, alors que le plus célèbre des prisonniers, le prince Waleed Bin Talal, a été libéré, des sources proches du palais ont affirmé que 56 personnes sont toujours détenues depuis novembre à l’hôtel Ritz-Carlton de Riyad. Les autres ont pu rentrer chez elles.
Pour signifier la fin de la purge, le procureur général d’Arabie saoudite, Saoud Al Mojeb, a organisé une conférence de presse. Le cas des quelques dizaines de prisonniers toujours en détention devrait être réglé avant le 14 février, date à laquelle la direction du Ritz-Carlton assure qu’elle pourra à nouveau louer des chambres aux visiteurs.
Des amendes de 1 à 6 milliards de dollars.
Depuis début novembre, les autorités saoudiennes ont relâché une à une les personnes détenues. Dans le plus grand secret — on n’a jamais du les raisons officielles de la plupart des arrestations ni les conditions qui ont permis aux prisonniers de quitter l’hôtel —, Riyad a négocié avec ses détenus. Le prince Miteb Ben Abdallah, ancien chef de la garde nationale, a été le premier libéré d’une longue série. Ce dernier aurait payé 1 milliard de dollars pour recouvrer sa liberté.
Les arrangements financiers avec les autres détenus ont permis au Trésor saoudien d’encaisser des sommes parfois faramineuses, initialement mal acquises selon les autorités. Le milliardaire Waleed Bin Talal aurait reçu une proposition s’élevant à 6 milliards de dollars. Au New York Times, le prince héritier Mohammed Ben Salman assurait vouloir atteindre 100 milliard de dollars de rentrées d’argent. L’objectif a, selon les autorités, été largement dépassé.
France : Immigration : qui est Sonia Krimi, la députée qui dit non à Gérard Collomb ?.
On pensait La République en Marche à l’abri des dissensions internes. Et pourtant, depuis plusieurs semaines, une voix commence à s’élever au milieu du concert de louanges envers le gouvernement. Sonia Krimi est une jeune députée LREM — 35 ans, qui a décidé de dire ce qu’elle pense.
Le 19 décembre dernier, dans l’Hémicycle, l’élue de la Manche a décidé de critiquer le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb et sa proposition de circulaire prévoyant le tri des exilés. « Ce dispositif détourne l’hébergement d’urgence et les lieux d’accueil gérés par les associations de leur finalité. »
En désaccord avec le durcissement de la politique migratoire, Sonia Krimi ne se cache pas pour s’opposer à son ministre de l’Intérieur. De là à fronder, comme l’avaient plusieurs socialistes sous François Hollande ? « Je ne pense pas que je suis une frondeuse, coupe-t-elle. C’est normal qu’il y ait des sensibilités qui s’expriment au sein d’En Marche !, et c’est même sain politiquement d’avoir cela. »
Gérard Collomb « vexé » par les critiques à son égard.
Et pour cause, la formation d’Emmanuel Macron semble vouloir mettre le holà. Née à Tunis et naturalisée française il y a cinq ans, Sonia Krimi semble difficilement réconciliable avec la politique de Gérard Collomb mais, comme une quarantaine d’autres députés de la majorité, elle prône une politique migratoire plus humaniste sans vraiment le crier haut et fort. Au soir de son intervention à l’Assemblée, Sonia Krimi, certainement recadrée par ses alliés de LREM, faisait machine arrière et déclarait : « On ne va pas commencer à critiquer une réforme qui n’est pas sortie. »
De son côté, ces derniers jours, Gérard Collomb a assuré qu’il n’édulcorerait pas son projet de loi asile et immigration. « Pas question de changer d’orientation », a indiqué le ministre de l’Intérieur qui assure que la France « ne peut accueillir tous les migrants économiques. » Pour Gérard Collomb, il existe toujours pour les parlementaires « des possibilités d’amendement. » Sonia Krimi osera-t-elle « vexer » son ministre de l’Intérieur, qui a déjà mal vécu les premières critiques à son égard ?
EHPAD : des soignants à bout et des retraités en danger.
Ce mardi, les salariés des maisons de retraite ont fait grève à l’appel de sept syndicats. Ils veulent dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail. En cause, la Loi vieillissement qui prévoit des suppressions massives de postes. Dans un communiqué des syndicats, on peut lire qu’« il est inadmissible de ne pas prendre en compte la souffrance au quotidien que subissent les professionnels, et par là même les personnes âgées et les familles. »
Une pétition, signée par plus de 400 000 personnes, demande « des moyens pour nos EHPAD (Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, ndlr). » Des soignants de toutes professions veulent alerter, « au nom de l’engagement humain de (leur) métier », écrivent-ils, le ministère de la Santé et le gouvernement « sur l’insuffisance des effectifs et des moyens dans les établissements accueillant des personnes âgées (EHPAD) et dans les services d’aide à domicile. »
Un système qui ne tient que grâce aux personnels.
Cela fait plusieurs mois que les personnels des EHPAD tirent le signal d’alarme sur leur situation. Plus concrètement, les grèves doivent permettre d’alerter l’opinion public quand aux problèmes de sous-effectif et au manque de moyens humains et financiers. Les soignants déplorent également « parfois » des actes de maltraitance aux personnes âgées. De son côté, le ministère de la Santé estime que le souci serait dû à « un problème de management. »
Faux, estiment les syndicats qui parlent de la fin d’un système. « Cela fait des années que cette mobilisation sociale couve. Le système ne tient plus que sur les bonnes volontés des salariés, on arrive au bout », estime Claude Jarry, de la Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées, qui appelle les familles à protester elles aussi. Les salariés déplorent des conditions de plus en plus difficiles : des toilettes à la chaîne, des repas au lance-pierre ou encore des besoins faits dans les couches par manque de temps pour accompagner les personnes âgées aux toilettes…
Quelles sont alors les revendications des syndicats ? Dans les EHPAD, actuellement, on dénombre six soignants pour dix résidents, les organisations syndicales voudraient un soignant pour un résident. Elles réclament également la présence d’un médecin coordinateur. La ministre de la Santé a promis de débloquer une enveloppe de 50 millions d’euros. Insuffisant selon les syndicats qui demandent une véritable prise en compte des besoins des EHPAD : de meilleures rémunérations et perspectives de carrières, l’abrogation des dispositions législatives relatives à la réforme de la tarification des EHPAD ou encore le maintien de tous les effectifs des EHPAD.
France : Un ado voulait « contrer l’islamisation » de la France avec un marteau.
Il signait ses méfaits en se faisant passer pour un « commando de défense du peuple et de la patrie française » ou « OAS », en référence à l’Organisation armée secrète qui prônait la présence française en Algérie. Finalement, l’auteur de plusieurs attaques au marteau à Dijon et Chalon-sur-Saône, début novembre, serait l’œuvre d’un adolescent de 17 ans. Il s’est dénoncé ce lundi à la police et a raconté avoir agi seul.
Il y a plusieurs semaines, des personnes avait subi de légères blessures après avoir été attaquées au marteau par le jeune homme. Ce dernier avait alors écrit à la presse locale pour revendiquer ses actes et affirmer vouloir « contrer l’islamisation » de la France. L’homme visait essentiellement des victimes portant le voile ou d’origine maghrébine. Des agissements islamophobes mais également politiques : le garçon demandait la libération de membres de l’ultra droite arrêtés mi-octobre.
Aujourd’hui placé en garde à vue, l’adolescent avait agressé deux femmes et deux étudiants, incendié des poubelles et braqué une pharmacie. Dans un courrier annonçant qu’il se rendrait, le jeune homme avait assuré n’avoir en réalité « aucune conviction nationaliste » et être « juste fasciné depuis toujours par le monde policier, judiciaire, et par les faits divers. » Il ne nie toutefois pas sa responsabilité dans les agressions islamophobes qu’il a commises depuis trois mois.
Attentat à Québec : plusieurs jours de commémorations au Canada.
La ville de Québec a organisé quatre jours de commémorations, en souvenir de la tragédie du 29 janvier 2017. Ce soir-là, juste après la dernière prière, une fusillade au Centre culturel islamique faisait six morts et dix-neuf blessés.
Un an après, l’émotion est toujours aussi vive pour les Canadiens et plusieurs événements et rassemblements ont eu lieu à Québec mais aussi dans les grandes villes du Canada comme Ottawa, Toronto ou Vancouver.
Vendredi 26 janvier, au Centre culturel islamique de Québec, plus d’une centaine de personnes se sont réunies sur les lieux du drame. La prière spéciale en direct de la mosquée, a été diffusée sur le web.
Le samedi 26 janvier, la mosquée a aussi organisé une journée portes ouvertes auquel ont participé les familles des victimes, des fidèles, mais aussi de simples citoyens touchés. Les murs de la mosquée étaient d’ailleurs drapés de messages de soutien envoyés par des gens de partout dans le monde, comme le rapportent les médias canadiens.
La ville de Québec a organisé quatre jours de commémorations, en souvenir de la tragédie du 29 janvier 2017. Ce soir-là, juste après la dernière prière, une fusillade au Centre culturel islamique faisait six morts et dix-neuf blessés.
Un an après, l’émotion est toujours aussi vive pour les Canadiens et plusieurs événements et rassemblements ont eu lieu à Québec mais aussi dans les grandes villes du Canada comme Ottawa, Toronto ou Vancouver.
Vendredi 26 janvier, au Centre culturel islamique de Québec, plus d’une centaine de personnes se sont réunies sur les lieux du drame. La prière spéciale en direct de la mosquée, a été diffusée sur le web.
Le samedi 26 janvier, la mosquée a aussi organisé une journée portes ouvertes auquel ont participé les familles des victimes, des fidèles, mais aussi de simples citoyens touchés. Les murs de la mosquée étaient d’ailleurs drapés de messages de soutien envoyés par des gens de partout dans le monde, comme le rapportent les médias canadiens.
Quant à l’université de Laval, où était inscrit le terroriste, elle avait organisé un colloque sur la lutte contre le racisme à l’automne dernier. Pour les commémorations, l’université à choisi de diffuser un documentaire sur la fusillade. Intitulé « Ta dernière marche dans la mosquée », ce film rapporte les témoignages de membres de la famille des proches ayant péri dans l’attentat ainsi que ceux des survivants. Il sera projeté dans plusieurs villes du Canada dans les prochaines semaines.
« On peut dire que le vivre-ensemble on le vit maintenant ».
Une centaine de citoyens ont également répondu à l’appel de la communauté de Québec pour participer à une rencontre publique, où les six veuves de l’attentat se sont exprimées pour la première fois, ainsi que le président du Centre culturel islamique :
« Le souvenirs de nos frères décédés reviennent toujours, mais la présence de nos concitoyens, c’est très réconfortant. On peut dire que le vivre-ensemble on le vit maintenant (…) J’ai parlé à plusieurs de mes concitoyens québécois qui sont venus me voir et c’est très touchant ».
Radio Canada confirme cet élan de solidarité suite à la fusillade, marqué par des lettres de soutien, une veillée à la chandelle, une marche contre la haine et l’organisation d’autres événements par des collectifs citoyens durant les mois suivants.
Aymen Derbali, le héros de la mosquée de Québec, qui a risqué sa vie ce jour-là en s’interposant auprès du tueur, a pris la parole à cette occasion. Ayant reçu sept balles, ses jambes sont désormais paralysées et il reçoit toujours de nombreux traitements.
« C’est vrai que c’est un Québécois qui a semé la terreur à la mosquée, mais c’est aussi vrai que ce sont des médecins québécois, le staff médical québécois qui a fait tous ces efforts pour nous sauver. Moi, principalement, je tiens à les remercier ».
Le Conseil national des musulmans demande une journée nationale contre l’islamophobie au Canada.
Lundi, les commémorations se sont poursuivies à Québec. Les citoyens ont été invités à apporter des fleurs et des chandelles pour une cérémonie près de la mosquée. De nombreux représentants de la classe politique canadienne ont également répondu présents lors de cette cérémonie. Parmi eux, le premier ministre du Québec Philippe Couillard, ainsi que le premier ministre du Canada Justin Trudeau.
Après une première déclaration devant les membres du Parlement, ce dernier a adressé un message aux victimes, et a encouragé à la poursuite du vivre-ensemble. Il a également rappelé son soutien à la communauté musulmane et exhorté les Canadiens à combattre l’islamophobie.
« L’islamophobie, ça nous dérange. C’est une réflexion qu’il va falloir avoir en tant que société », a t-il déclaré, soulignant « qu’il ne faut pas faire semblant que l’islamophobie n’existe pas ».
Un appel à l’instauration d’une journée nationale contre l’islamophobie a d’ailleurs été lancé début janvier par le Conseil national des musulmans. Il souhaite qu’elle soit instaurée le 29 janvier, date anniversaire de l’attentat à la mosquée. Une proposition qui divise déjà la classe politique, et à laquelle Justin Trudeau dit réfléchir, afin de trouver la meilleure manière de commémorer le souvenir des victimes dans les années à venir.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Glick prend d’assaut la mosquée d’Al-Aqsa avec 57 colons
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La police d’occupation israélienne a assuré, mardi, la protection de 57 colons qui ont pris d’assaut les cours de la mosquée Al-Aqsa dans la ville occupée de Jérusalem.
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Le Hamas pleure le chef Imad al-Alemi
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Qarqa’a: 1000 arrestations à Jérusalem depuis la déclaration de Trump
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Appel pour un vendredi de colère dans le monde entier
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Des activistes expulsent une délégation américaine de Bethléem
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Des colons israéliens attaquent des Palestiniens dans la vieille ville d’Hébron
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56 détenus dans une campagne de raids israéliens en Cisjordanie et à Jérusalem
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La Santé: La crise énergétique nous met face à des
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Gaza: Des employés de l’UNRWA protestent contre le gel de l’aide américaine
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Liban: Deux agents israéliens derrière la tentative d’assassinat de Mohammed Hamdan
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L’occupation veut intensifier ses mesures oppressives contre les Jérusalémites
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Une délégation du Hamas rencontre Berri à Beyrouth
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Le Comité anti-blocus appelle le Gouvernement à adopter de vraies solutions à Gaza
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Le tribunal de l’occupation reporte par contumace le procès d’Ahed al-Tamimi
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L’occupation décide d’imposer son contrôle sur les villes de Jérusalem Est
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Trois palestiniens avisés de démolition de leurs maisons à l’est de Naplouse
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 13 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Vidéo : la générosité des turcs vis-à-vis des réfugiés Syriens.
La Turquie a ouvert ses frontières à près de trois millions de réfugiés Syriens qui ont fui les affres de la guerre. Contrairement à l’Europe qui déplore l’afflux de migrants et ne cesse de multiplier les mesures de répression à leur égard, la Turquie est l’un des pays à accueillir le plus de réfugiés Syriens avec le Liban et la Jordanie.
Etrangement ces pays ne se plaignent pas, bien au contraire. Le gouvernement turc a installé des camps pour les migrants qu’il gère totalement, les réfugiés sont tous enregistrés et chacun reçoit une aide financière et une carte de paiement qui lui permet de faire des achats.
Des écoles et des centres de santé ont également été aménagés pour le bien-être des réfugiés. Plusieurs enfants de parents Syriens sont nés dans ces camps qui se sont transformés peu à peu en véritable foyer pour ces personnes qui ont tout perdu durant leur fuite. D’ailleurs, ils se sont intégrés à la population turque et ont fini par quitter les camps pour aller travailler dans les villes.
Une image qui contraste avec la vie des migrants en Europe qui sont quotidiennement chassés ou molestés par la police. Dans cette vidéo qui circule actuellement sur le net, on voit un policier turc acheter une paire de chaussures pour l’offrir à un réfugié Syrien.
Après s’être rendu compte que le Syrien, atteint d’un handicap, vivait dans la rue et portait pour seules chaussures, des claquettes en plein hiver, le fonctionnaire de police au grand cœur lui a offert une bonne paire de chaussures pour réchauffer ses pieds.
Son geste lui semblant encore insuffisant, il lui a aussi offert un repas qu’il a pris en sa compagnie.
Cette belle histoire se passe dans la ville de Sanliurfa au sud-est de la Turquie, elle met en évidence la générosité des musulmans qu’ils soient policiers ou simples citoyens.
reportage a voir sur Ajib.fr,.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Vidéos islamophobes : Donald Trump prêt à s’excuser mais ne le fait pas vraiment.
Donald Trump s’est dit prêt à présenter ses excuses pour ses retweets de vidéos islamophobes en novembre 2017, au cours d’une interview à la chaîne britannique ITV diffusée dimanche 28 janvier et enregistrée trois jours plus tôt en marge du Forum économique mondial de Davos.
Le président américain a assuré face à l’intervieweur Piers Morgan
qu’il ne connaissait pas Britain First, le parti d’extrême droite britannique dont Jayda Fransen, auteure des tweets, est la vice-présidente. Il va jusqu’à affirmer qu’il est « la personne la moins raciste que l’on puisse rencontrer ».
« Si vous me dites que ce sont des gens horribles, des gens racistes, je m’excuserai certainement si vous souhaitez que je le fasse », a déclaré le président américain. Des excuses formelles n’ont pas été faites pour autant lors de l’interview.
Il s’agit pour Donald Trump de sa première interview télévisée accordée à une chaîne étrangère. Piers Morgan, animateur de l’émission matinale Good Morning Britain depuis 2015, est aussi le gagnant de la saison 7 de l’émission américaine The Apprentice en 2008 présentée à l’époque par… Donald Trump.

Sur oumma.com, voici les titres.

La fille du prince Al-Walid ben Talal annonce la libération de son père sur Twitter.
C’est une princesse soulagée et laissant éclater sa joie qui a annoncé dimanche, sur Twitter, la libération de son père bien-aimé, à qui elle voue une admiration sans bornes : le richissime prince Al-Walid ben Talal, enfermé pendant trois mois dans une cage dorée, celle de l’hôtel Ritz Carlton de Riyad, sur ordre du tout-puissant Mohammed ben Salman, le grand réformateur et Monsieur propre saoudien.
Aucune fille ne pouvait être plus heureuse de la remise en liberté de son milliardaire de père, d’autant plus que ce dernier, accusé de corruption comme des dizaines d’autres éminents saoudiens et mis derrière les barreaux d’un palace où, d’ordinaire, tout n’est que luxe, calme et volupté, a été relâché « sans charges ».
« Tu as illuminé le monde, tu es mon monde », a écrit Reem bin Alwaleed en postant une photo montrant un Al-Walid ben Talal visiblement fatigué. Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que son tweet devienne viral et recueille un nombre impressionnant de « Al Hamdoulilah » sur les réseaux sociaux en plein émoi.
Pris dans les filets de la purge spectaculaire orchestrée, en novembre dernier, par MBS, l’omnipotent prince héritier du royaume wahhabite, le nabab saoudien avait déclaré, quelques heures avant sa libération, à Katie Paul, une correspondante de Reuters en Arabie saoudite, que cette vague d’arrestations dans les hautes sphères n’était qu’un « malentendu » le concernant.
« Soyez assurés qu’il s’agit d’une opération de transparence et que nous sommes en discussion avec le gouvernement sur diverses questions que je ne peux pas divulguer en ce moment. La fin de ce mauvais épisode est proche. Je suis très à l’aise parce que je suis dans mon pays, je suis dans ma ville, donc je me sens à la maison. Il n’y a pas de problème du tout », avait-il insisté.
En décembre dernier, le procureur général du Royaume, Saud al-Mojeb, indiquait pour sa part que « la plupart des détenus, confrontés à des accusations de corruption par le comité, ont accepté un accord. Les arrangements nécessaires sont en cours pour conclure de tels accords ».
Trois acteurs indiens musulmans ont boycotté la venue de Netanyahou à New Delhi.
Premier chef de gouvernement israélien à fouler le sol de l’Inde depuis 2003, Benyamin Netanyahou ne pouvait pas rêver plus belle escale sur le tapis rouge déroulé sous ses pieds et meilleur accueil de la part de son homologue indien, le très chaleureux Narendra Modi, visiblement conquis d’avance par son ami ultra-sioniste…
Riches en accolades cordiales, l’idylle israélo-indienne, ébauchée durant ces dernières années, s’est consolidée le 14 janvier dernier, à la faveur des accords signés sur le pétrole, le gaz, l’énergie renouvelable et la cybersécurité, sans oublier des engagements visant à stimuler le commerce bilatéral et l’investissement.
Depuis que le parti nationaliste hindou Bharatiya Janata a accédé au pouvoir en 2014, l’Inde s’est lancée dans un vaste programme de modernisation militaire d’une valeur de plus de 100 milliards de dollars dont Israël, son marchand de canons préféré, tire de larges profits. De quoi nouer de solides amitiés…
Le temps où New Delhi se rangeait du côté de l’injustice et de l’opprimé, en défendant inconditionnellement la cause palestinienne, semble désormais appartenir au passé, mais pas pour trois célèbres acteurs indiens de confession musulmane qui se sont chargés de jouer les trouble-fête en le faisant renaître de ses cendres.
Grands absents de la soirée de gala organisée par Bollywood, en l’honneur du criminel de guerre israélien et de son épouse, Shah Rukh Khan, Aamir Khan et Salman Khan ont boycotté les festivités de toutes les compromissions en solidarité avec le peuple palestinien.
Salués en héros sur les réseaux sociaux, ils n’étaient pas encore au bout de leur stupeur ou désillusion, lorsqu’il ont appris que leur Premier ministre, Narenda Modi, après avoir multiplié les ronds de jambe auprès de Netanyahou et été le premier dirigeant indien à se rendre en Israël en juillet dernier, est attendu avec impatience en Cisjordanie le 10 février prochain, dans le cadre d’une visite qualifiée « d’historique » par l’Autorité palestinienne.
« C’est le premier Premier ministre indien à visiter les territoires palestiniens et cela va être historique », s’est enthousiasmé Majdi Khaldi, un conseiller du président Mahmoud Abbas, qui se réjouit manifestement du vaste jeu dupes qui se trame dans la région…
Incroyable ! Trump l’affirme : “J’aime les musulmans et les musulmans m’aiment”.
Ne vous y trompez pas ! Quand l’incendiaire président des Etats-Unis livre à la vindicte les musulmans à toutes les tribunes, en fait des êtres indésirables sur le sol américain en paroles et en actes, et, avec l’inconséquence qui le caractérise, retweete frénétiquement trois vidéos islamophobes, hautement inflammables, postées par la furie Jayden Fransen, la vice-présidente de Britain First, le parti d’extrême droite britannique, il ne faut pas y voir la manifestation de son aversion pour l’islam ou pour la communauté musulmane. Non, pas du tout !
Il faut au contraire y déceler avec un regard perçant (un véritable œil de lynx…), et un sens du discernement particulièrement aiguisé, son « amour pour les musulmans », ainsi qu’il l’a affirmé sans craindre de se couvrir de ridicule à Piers Morgan, le journaliste vedette de la chaîne ITV, qui réveille tous les matins les spectateurs anglais au son de son sonore « Good Mornig Britain ».
C’est peu dire que Donald Trump cache bien son jeu, car il faut faire preuve d’une sacrée sagacité pour discerner, derrière ses violents coups de boutoir et son décret anti-immigration très ciblé, le « respect et l’amour » qu’il assure porter à ceux qu’il adore détester… Une bienveillance qui a même échappé à Theresa May, la Première ministre britannique, laquelle avait blâmé ses retweets délétères en novembre dernier, les jugeant indignes de la fonction suprême qu’il s’évertue à désacraliser.
Il vaudrait mieux être sourd que de l’entendre divaguer davantage, notamment lorsqu’il a prétendu « avoir été soutenu par les musulmans pendant sa campagne présidentielle » et est persuadé qu’il compte de « nombreux sympathisants parmi eux » aujourd’hui, car avec lui « ils se sentent en sécurité ».
On savait son cynisme sans nom, d’aucuns le traitant « d’instable, immature, inculte et colérique », à l’image du journaliste américain Michael Wolff, mais n’est-ce pas plus grave docteur ? Trump, grisé par l’ivresse des cimes dans sa « Maison des fous » à Washington, selon la description peu flatteuse qu’en a faite Wolff, n’aurait-il pas totalement perdu pied avec la réalité ?!

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Une mosquée de la région bordelaise recouverte de tags pro-PKK.
Les profanations des mosquées appartenant à la communauté turque se multiplient en Europe depuis le début de l’offensive turque contre les groupes terroristes au nord de la Syrie. Dernière en date, la nuit dernière dans la région bordelaise à Latresne où un local servant de salle de prière pour la section locale de la Confédération Islamique du Millî Görüş a été tagué.
La porte d’entrée ainsi que la principale façade de la salle de prière sise allée du Bastard ont été recouvertes de tags peints à la bombe sur plusieurs mètres. Des slogans à la gloure du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan), de l’YPG et de Afrin où se déroule actuellement l’offensive turque contre ces mêmes groupes considérés comme terroristes.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Ouyahia invite les membres de l’UA à une conférence pour porter plus loin l’action antiterroriste : L’Algérie veut en tarir les sources de financement.
Les chefs d’Etat ou, de gouvernement africains tiennent depuis hier, leur 30ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine (UA) dans la capitale éthiopienne Addis Abeba. Hormis les questions diplomatiques, l’Afrique est attendue sur la question sécuritaire. Un des points clé de ce sommet que l’Algérie abordera avec la proposition d’accueillir en Mars prochain, une conférence africaine sur le tarissement des nombreuses sources de financement du terrorisme. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, représentant du président de la république a porté à Adis Abeba la disponibilité algérienne d’accueillir les africains autour d’une rencontre qui permette de » porter plus loin l’action » anti- terroriste, un engagement effectif de l’Algérie pour réussir le retour de la paix et le recouvrement de la stabilité dans certaines régions d’Afrique très éprouvées par les différentes formes que prend la violence comme le terrorisme, l’extrémisme et la prise d’otage. » Mon pays est disposé à accueillir, au mois de mars prochain, une conférence africaine sur le sujet « , a indiqué M. Ouyahia dans son intervention à la réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement. Il s’agira, de » mobiliser » l’ensemble de la communauté internationale à travers l’élaboration, par les Nations Unies, » d’un protocole complémentaire à la Convention Internationale pour la répression du terrorisme de 1999 ou à la Convention internationale contre la prise d’otages de 1983 « . Un document élaboré par l’Algérie sera présenté aujourd’hui en plénière, il porte sur les moyens de prévention la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. Ce document est conçu dans le cadre du mandat confié au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, désigné par ses pairs en 2017 comme coordonnateur de l’UA dans la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique.
Commémoration de l’assassinat de Abdelhak Ben Hamouda : Une perte inestimable pour l’UGTA et les travailleurs.
Le 27 janvier 1997, fut un jour noir dans l’histoire du syndicalisme national algérien. En effet l’un des leaders du mouvement syndicaliste national Abdelhak Benhamouda fut assassiné dans des circonstances épouvantables, puisque il est tombé sur les balles assassines d’un groupe terroriste. Pour ne pas oublier cette figure emblématique, hier au siège de la centrale syndicale, sis à la place du 1er Mai, un vibrant hommage lui a été rendu en présence de quelques ministres en l’occurrence M. Abdelghani Zaalane, ministre des transports, M. Mourad Zemali , le ministre du travail , de l’emploi et de la sécurité sociale, le Secrétaire général du FLN Ouled Abbes ainsi que les travailleurs et les syndicalistes. La commémoration de cet anniversaire, a été l’occasion pour le secrétariat national de l’UGTA, les syndicalistes et les travailleurs de se rappeler le riche parcours de ce syndicaliste, martyr du devoir et de la démocratie. De son côté, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Said a mis en avant les qualités du feu Abdelhak Benhamouda en le qualifiant de militant, et une personnalité de valeur tout en précisant que sa vision et son approche syndicales répondaient aux attentes de tous les travailleurs et syndicalistes. Evoquant les rumeurs sur sa maladie, le SG de l’UGTA a indiqué : » Je ne veux pas répondre à ces personnes. Ces rumeurs ne servent pas l’intérêt du pays. Je tiens à préciser que je me porte bien. » Par ailleurs, il a fait savoir qu’entant que syndicalistes ils ont le devoir de défendre les acquis du pays, et ceux des travailleurs. M. Abdelamadjid Sidi Said a laissé entendre que la grande alliance avec le président de la République génère la stabilité sociale, selon lui, c’est la base de l’unité nationale. Le même interlocuteur a évoqué la nouvelle culture liant la présidence, les patronats et les syndicalistes qui est le fruit de la fusion entre le public et le privé. » Cette culture vise à booster et promouvoir l’économie nationale » a-t-il ajouté. Au sujet, de la grève des médecins résidents, le SG de l’UGTA a appelé à l’ouverture du dialogue entre la tutelle et les grévistes en précisant que le règlement de toutes les préoccupations des travailleurs doit passer par le dialogue en soulignant que la violence n’est pas la meilleure solution. M. Abdelmadjid Sidi Said a annoncé l’hommage qui sera rendu à la femme travailleuse et syndicaliste à Oran le 24 février prochain. Pour sa part, Takdjout Amar, membre de la direction de l’UGTA, a évoqué la décennie noire et les pertes engendrées durant cette période. Il a également appelé à la nécessité de préserver l’unité nationale et ses acquis. » Il faut préserver la République et les droits des travailleurs » a-t-il conclu. Secrétaire général de l’UGTA de 1990 à 1997, Benhamouda est né le 12 décembre 1946 dans une famille modeste à Constantine. Après ses études, il exerça le métier d’enseignant pour devenir directeur d’école.
Liste des produits interdits d’importation : Une simple mesure temporaire.
La suspension des produits à l’importation sera levée dans deux ou trois ans pour être remplacée par un dispositif d’encadrement du commerce extérieur basé essentiellement sur les tarifs douaniers, a affirmé dimanche le ministre du Commerce, Mohamed Benmeradi. « Le dispositif de suspension de 851 produits à l’importation a un caractère temporaire (…), probablement pour deux ans, trois ans peut-être, mais nous reviendrons à la levée de ces mesures », a précisé le même responsable qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale. Il a également avancé que les marchandises concernées par la suspension à l’importation feraient l’objet d’un suivi permanent durant la période de la suspension. A ce propos, il a expliqué que la suspension des importations vise fondamentalement à redresser la balance commerciale qui demeure déficitaire et à promouvoir la production nationale : « J’ai entendu dire par ici ou par là que nous voulions priver les Algériens de consommer ce qu’ils veulent. Non, ce n’est pas du tout ça l’objectif (…) Il faut arriver à tout prix à assurer progressivement une intégration de tout ce qui se produit localement pour faire de la substitution à l’importation ». Pour lui, il s’agit d’un « choc » à provoquer dans l’économie nationale où l’ensemble des filières hors hydrocarbures présentent une balance commerciale déficitaire. Citant l’exemple de la filière boissons qui a importé entre 400 et 450 millions de dollars en 2017 contre 12 millions de dollars d’exportations, M. Benmeradi a souligné que le gel des importations visait à assurer les intrants de la production nationale au niveau local en donnant aux entreprises nationales l’opportunité d’émerger. « Les investissement consentis en Algérie depuis des années tournent seulement entre 20% et 25% de leurs capacités du fait que les entreprises, qui interviennent en aval, ne recourent souvent pas aux produits (fabriqués localement) », a-t-il constaté.
Solde d’hiver : » Glacial » accueil.
Les soldes d’hiver de cette année 2018 ont été lancées mercredi 18 janvier. Du côté du centre commercial et de loisir de Bab Ezzouar, c’est le grand rush. Les clients viennent des quatre coins du pays. Bien qu’une foule soit massée devant les caisses des magasins, les gérants se montrent très » réservés » sur le succès des soldes. Au niveau du centre commercial City Center. Il est 10h du matin. Chez les grandes marques, les soldes ont été préparées une semaine à l’avance et tout le monde travaille d’arrache- pied. Les premiers clients affluent déjà dans le hall, plusieurs sacs à la main. C’est le cas de Khadidja que nous avions rencontrée à Bab Ezzouar, elle a acheté plusieurs articles d’une enseigne turque. Pour lui, » il n y a pas vraiment de soldes, les prix sont les mêmes » mais » je devais acheter pour mes enfants, donc je les fait « , explique- t-il. Un peu plus loin, on rencontre in père de famille qui attend que ses deux filles terminent leurs achats chez un magasin d’habillement pour femmes. Pour lui, il est plus intéressant de faire des emplettes pendant les soldes. Pour un budget de 10.000 dinars » Ma fille est venue acheter un pantalon et des pulls. Tout est cher en ce moment, donc ça vaut le coup d’acheter pendant les soldes « . De son côté, Amina espère revenir avec des articles bien précis. Au dernier étage, la gente féminine semble trouver son bonheur chez d’autres marques. » Les soldes de cette année se déroulent mieux que celles de l’année dernière » nous confie Sara, assistantemanager dans une boutique. C’est le troisième jour des soldes et leur objectif à court terme est déjà atteint. » Malgré l’austérité annoncée pour cette année, beaucoup de personnes sont venues faire leurs achats chez nous. Il y a un monde fou, nous n’avons pas eu une minute de répit » lâchet- elle. Au niveau du centre commercial de Bab Ezzouar, la présence de plusieurs marques a fait de ce lieu une destination privilégiée. L’ensemble des échoppes sont prises d’assaut par des clients à l’affût de la moindre bonne occasion.
Musée de l’Homme de Paris : La restitution des crânes enclenchée.
Le dossier des crânes de résistants algériens, dont le chérif Boubaghla, mais également de simples Algériens, envoyés par l’armée coloniale française et conservés au Muséum d’histoire naturelle de Paris, comme reliques historiques et trophées de guerre, va enfin connaître son dénouement. Après bien des hésitations, des réticences, la France va restituer, entre autres, les restes de résistants, tués et décapités par l’armée coloniale, entre 1850 et 1864. La demande sur la restitution des crânes, elle a été cosignée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, alors que celle concernant les archives a été signée par M. Messahel. Tous les éléments du dossier étant « prêts », le président français Emmanuel Macron devrait accélérer la procédure en envoyant un texte de loi à l’Assemblée nationale française. L’Algérie avait, à la suite de cet engagement du chef de l’Etat français, fait une demande officielle de restitution des crânes de ses résistants. Hier samedi, une nouvelle porte s’est ouverte pour clore définitivement ce dossier, avec les déclarations du président du Muséum national d’histoire naturelle de Paris, Bruno David, qui a affirmé que (le Muséum) se tient « prêt pour accompagner le processus de restitution » des crânes de combattants algériens tués lors de la colonisation de leur pays par la France au XIXe siècle et conservés dans ses collections, affirme-t-il. « Pour notre part, nous sommes prêts. Nous attendons les instructions du gouvernement », a-t-il ajouté. Après la visite de Macron à Alger, « un dialogue bilatéral a été engagé depuis sur ce sujet », a précisé de son côté vendredi le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. « Nous comprenons parfaitement la nécessité de ces restitutions, étant donné le contexte historique », déclare Bruno David, selon lequel « ces restes humains sont entrés dans nos collections d’anthropologie à la fin du XIXe siècle à la suite de différents épisodes liés à la conquête française de l’Algérie ». Sur les 18.000 crânes du monde entier (dont celui du philosophe Descartes) conservés au musée, « une liste de 41 crânes identifiés provenant d’Algérie » a été « transmise à l’Elysée », explique par ailleurs Bruno David, selon lequel il y a parmi eux, « à la fois des résistants, des Algériens ayant combattu avec les Français mais aussi possiblement des « droits communs ». « Pour le moment, nous avons pu établir que sept crânes sont, de manière indubitable, ceux de résistants algériens », indique M. David.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Emmanuel Macron lance sa police : réel besoin ou coup de communication ?
En octobre dernier, Emmanuel Macron, devant des centaines de hauts responsables de la police et de la gendarmerie, défendait sa future « police de sécurité du quotidien. » Rien à voir avec la police de proximité de Lionel Jospin, assurait alors le président de la République, qui voulait que les agents soient « au plus près des habitants. »
Quatre mois après son grand discours sur la sécurité, Emmanuel Macron siffle le début de l’expérimentation. Cette police de sécurité au quotidien (PSQ) sera, comme annoncé, à l’œuvre dans une vingtaine de sites pilotes. Le projet a pris beaucoup de retard, puisqu’il devait initialement être lancé en fin d’année dernière. Mais le test commencera finalement ce 1er février.
« Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme »
Cette nouvelle police va-t-elle révolutionner les choses ? A priori non, puisque, en réalité, il n’y a pas de création d’un nouveau corps de police. Il s’agira plutôt, indiquent les proches du président, d’une nouvelle façon de travailler pour les services existants. « Ce n’est pas seulement en période de crise que la population doit être fière de sa police, c’est tous les jours », expliquait Macron en octobre. C’est finalement le principal objectif de ce projet : rapprocher la population de sa police.
Concrètement, les policiers concernés devraient prendre plus de temps pour aller sur le terrain. Reste cependant un problème : si aujourd’hui les policiers sont si peu sur le terrain, c’est parce qu’ils sont occupés à des tâches administratives. La PSQ, sans budget supplémentaire alloué, ne servira pas à grand-chose. « Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme », estime Eddy Sid, porte-parole du syndicat Unité SGP Police.
L’idée n’est donc pas inintéressante, puisque l’on verra plus de policiers se rendre dans certains quartiers, qui pourront intervenir auprès de la population. Sauf que les policiers sont dans le flou le plus total et déplorent d’ores et déjà le manque d’effectifs. Huit Français sur dix seraient favorables à la police de sécurité au quotidien. Les citoyens présents dans les villes tests pourront donner leur avis.
« Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires »
Côté politique, c’est autant le flou que pour les policiers. Azzédine Taïbi, maire PCF de Stains, ne sait pas si sa ville pourra bénéficier du programme. Mais il le souhaite. Le maire de la ville de Seine-Saint-Denis assure que le désamour de la population envers la police vient d’un manque d’effectifs. « La défiance résulte du manque de policiers », explique-t-il, ajoutant : « Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires, c’est de l’instrumentalisation véhiculée par certains politiques ou médias. (…) Il faut recréer du lien et faire en sorte que la police ait une présence sur le terrain utile et quotidienne auprès de tous les habitants, y compris les jeunes. »
Plus qu’un coup de communication, la police de sécurité au quotidien semble donc être un réel besoin. Mais les autorités vont rapidement devoir mettre des moyens financiers et humains pour permettre aux agents de faire du terrain. Mais également réfléchir à une vraie stratégie. Sans quoi ceci n’aura effectivement été qu’un coup d’épée dans l’eau.
Conversions et discriminations : une semaine (presque) normale en Europe.
Une vague de conversions a lieu en Europe, touchant des réfugiés demandeurs d’asile ainsi que les figures politiques qui cherchent à les garder hors de nos frontières, comme c’est le cas en Autriche, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Cette semaine, on a appris qu’Arthur Wagner, membre influent du parti Alternative pour l’Allemagne (AfD), s’est converti à l’Islam. Le 11 janvier, le vice-président du Land de Brandebourg a démissionné du parti d’extrême droite dont l’un des objectifs déclarés était d’interdire les musulmans, les mosquées et les niqabs en Allemagne.
« C’est une affaire privée », a déclaré Wagner à Der Tagesspiegel lorsqu’il a été interrogé sur son départ du parti, ajoutant qu’il s’agissait d’une décision qui lui est propre.
Sa conversion n’est pas la première à faire frémir l’ultra-droite européenne. En 2013, Arnoud van Doorn a également embrassé l’Islam. À l’époque, il était membre du Parti pour la liberté (PVV), une formation nationaliste néerlandaise dirigée par le suprémaciste blanc Geert Wilders.
Depuis les élections de 2017, le PVV est le deuxième parti de la Chambre des représentants. Pendant ce temps-là, alors qu’il aurait pu être un des fers de lance de la haine et de l’intolérance, Van Doorn est maintenant président de la Fondation européenne Da’wah et a accompli le Hajj (pèlerinage à la Mecque).
Il s’agit là de coups durs pour les partis politiques dont les membres et les campagnes aux visées électoralistes insistaient sur la prétendue « islamisation » des nations occidentales.
Mais une autre histoire de conversions émerge, qui reçoit encore moins d’échos.
Des témoignages suggèrent qu’un nombre croissant de réfugiés musulmans en Europe deviennent chrétiens. Au cours des trois premiers mois de 2016, l’Eglise catholique autrichienne a enregistré 300 demandes de baptêmes pour adultes. L’institut pastoral autrichien a estimé que 70 % des personnes converties sont des réfugiés venus de pays musulmans.
A l’église de la Trinité, dans la banlieue de Berlin, le pasteur Gottfried Martens assure que sa congrégation est passée de 150 à près de 700, gonflée par des musulmans convertis au christianisme. De plus, les églises de Berlin et de Hambourg auraient organisé des conversions de masse pour les demandeurs d’asile dans… des piscines municipales.
Rien de très surprenant. Certains réfugiés seront sans aucun doute sincères dans leur nouvelle foi. Mais il y a aussi d’autres facteurs plus complexes qui entrent en jeu tels que la gratitude envers les groupes chrétiens qui offrent leur soutien lors des opérations de départ de régions déchirées par la guerre. Sans parler du fait que la conversion puisse favoriser les demandeurs d’asile dans leurs démarches.
Les conversions ne doivent pas être considérées comme une menace mais comme une histoire de recherche mutuelle et de partage des compréhensions. Alors que l’histoire de la religion dans l’Europe du 21e siècle se déroule, peut-être que cette année, nous verrons Tommy Robinson et Katie Hopkins — tous deux membres de l’ultra-droite britannique— se convertir à l’Islam.
Préjugés.
Il semble que les femmes musulmanes subissent de nombreux préjugés dans les villes occidentales, où nous sommes visibles. Après tout, si un homme avec une barbe peut être considéré comme un hipster, la plupart des femmes portant le hijab sont forcément et uniquement considérées comme des musulmanes.
Mais le hijab nous permet également de nous reconnaître et de nous aider les unes les autres dans la rue. Cela devrait nous encourager à nous saluer et à montrer un bon comportement et de bonnes manières envers tout le monde dans les espaces publics. Cependant, cela peut aussi contribuer à la discrimination.
Le rapport de la Chambre des communes, intitulé « Possibilités d’emploi pour les musulmans au Royaume-Uni (2016) », reconnaît que les femmes musulmanes constituent le groupe le plus défavorisé sur le plan économique en Grande-Bretagne. Et ce pour trois raisons : nous sommes confrontées à des préjugés liés à l’emploi parce que nous sommes des femme, BME — Black and Minority Ethnic — et visiblement musulmanes.
Désormais, nous avons des preuves d’une discrimination des consommateurs musulmans liée à leur nom. Des journalistes ont montré que des compagnies d’assurance automobile facturaient des contrats plus élevés pour les clients s’appelant Mohammed.
« John Smith » qui désire une assurance complète pour une Ford Focus à Leicester, a trouvé en ligne un contrat de 1 333 livres sterling. Mais pour « Mohammed Ali », la couverture d’assurance s’élève à 2 252 livres. 919 livres de différences pour le même produit.
Pour Mohammed Butt, victime de ces discriminations, « c’est du racisme pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont des plus mauvais conducteurs que les John. J’ai reçu un email de la part de mon assureur Bell (une société nommée dans l’enquête) qui dit :
‘Ce n’est pas le cas et nous n’avons jamais utilisé cette information — l’origine du nom — pour fournir un devis à nos clients. Nous sommes désolés si cette histoire vous a causé du tort.’ »
Tout cela me rappelle une blague lue sur les réseaux sociaux :
« Comment appelez-vous un conducteur musulman qui veut une assurance automobile ?
“Surfacturé”.Il est temps d’utiliser le pouvoir de la livre sterling verte (musulmane) et de changer d’assureur.
* Lauren Booth est journaliste et éditrice, elle donne des conférences sur l’islamophobie dans les médias. Elle donne régulièrement des conférences dans des facultés à l’échelle mondiale sur les questions sociales et politiques.
Au Royaume-Uni, un assureur facture un Mohammed 1 000 livres de plus qu’un John.
2 252 livres sterling. C’est le prix que paiera un Mohammed Smith à son assurance pour une Ford Focus de 2007. Il n’y aurait rien de choquant si un John Smith, pour le même véhicule, ne payait pas 919 livres de moins.
La discrimination des assurances vient d’être dénoncée par The Sun. Le journal britannique a utilisé un comparateur d’assurances et demandé des devis à plusieurs assureurs. Et le constat est effrayant : quasiment tous les organismes proposent des tarifs plus chers pour un Mohammed que pour un John. L’écart est compris entre 200 et près de 1 000 livres sterling. Et ce aussi bien en ligne qu’en agence.
Pour Mohammed Butt, interrogé par The Sun, la coupe est pleine : « C’est du racisme, pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont les plus mauvais conducteurs que les John. » En effet, ces différences de prix sont inexplicables. Le géant de l’assurance Admiral est l’organisme qui discrimine le plus. Et si Mohammed ne s’appelle pas Smith mais Alamy, le forfait d’Amiral augmente de 50 livres supplémentaires.
Du « racisme pur et simple », dénonce Mohammad Butt, qui estime qu’il est « présumé coupable » à cause de son prénom. Le patron de l’assurance Admiral a beau nier toute discrimination, les chiffres sont là. L’organisme a assuré qu’il allait étudier les raisons de ces différences de tarifs.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Faites connaissance avec les espions qui injectent de la propagande israélienne dans votre fil d’informations.
Lorsque Sima Vaknin-Gil a pris la direction générale du ministère israélien des Affaires Stratégiques début 2016, un fait essentiel est passé complètement inaperçu.
Pendant des années, elle avait été officier supérieur dans une agence d’espionnage.
Cela signifie que, ces deux dernières années, un ancien officier de renseignement a dirigé la guerre qu’Israël mène mondialement contre BDS, le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions.
Son chef au ministère est Gilad Erdan, un ami précieux du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
On a découvert le mois dernier qu’ils avaient dépensé des sommes énormes pour créer une propagande anti-BDS en direction des média sociaux et des média d’information.
Ce devrait être une forte sonnette d’alarme pour tous les défenseurs de la liberté d’expression et des droits de l’Homme de voir une campagne pacifique de la société civile ciblée par des agences d’espionnage responsables de piratage, de torture, d’enlèvements et de meurtres en Palestine et dans le monde.
Renseignement militaire.
Même s’il n’est pas vraiment secret, le passé de Vaknin-Gil fut à peine évoqué par les média qui couvraient sa nomination, se focalisant davantage sur son rôle précédent en tant que censeur en chef d’Israël.
En cherchant bien, on n’a trouvé qu’un article – une interview de 2015 avec le magazine de l’industrie de l’armement Israel Defense – qui parlait de sa carrière dans le renseignement.
Cette interview a eu lieu la veille de sa nomination en tant que haut fonctionnaire dans ce qui est vraiment le ministère israélien Anti-BDS. Elle y révélait qu’elle avait passé plus de 20 ans comme espionne dans les services de renseignement de l’armée de l’air israélienne, atteignant le grade de général de brigade – position qu’elle a toujours, en parallèle.
Pendant cette période, déclarait le magazine, elle a travaillé « étroitement avec les fonctionnaires américains et les responsables les plus gradés du renseignement israélien ».
En 2005, elle a entamé son parcours, long de dix ans, en tant que censeur militaire en chef, rôle qui requerrait une coordination régulière avec les principaux espions et les chefs militaires d’Israël, dont le directeur du renseignement militaire, le chef du Mossad et le chef d‘Etat-Major des armées.
« Inonder internet ».
« Je veux créer une communauté de combattants », a dit Vaknin-Gil peu après sa nomination au ministère des Affaires Stratégiques.
Précisant qu’elle avait l’intention d’ « inonder internet » avec de la propagande israélienne ; ce qui serait officiellement sans lien avec le gouvernement.
Plus récemment, lors d’une conférence du Jerusalem Post, elle a glissé qu’elle venait « du renseignement dans les FDI », l’armée israélienne.
Transmise en direct sur YouTube, la réunion de décembre 2017 fut un débat sur comment combattre au mieux BDS.
Vaknin-Gil a reconnu que les arguments sur les droits de l’Homme des militants BDS sont si convaincants pour le peuple en Europe et aux Etats-Unis que « là-bas, à moins que nous ne fassions quelque chose, nous serons perdants ».
Elle a reconnu que les défenseurs des droits des Palestiniens « agissaient très, très intelligemment ».
Les militants de la solidarité avec la Palestine « se battent pour conquérir les esprits et les cœurs dans le peuple », a-t-elle dit et d’ajouter : « Nous venons juste de nous réveiller [face à BDS] et nous devons le faire très vite. »
Le cofondateur du mouvement BDS, Omar Barghouti, a dit à The Electronic Intifada qu’Israël n’avait pas réussi à gagner « la bataille pour conquérir les esprits et les cœurs au niveau populaire ».
Selon Barghouti, Israël « essaie désespérément de réprimer la formidable croissance du mouvement BDS pour les droits des Palestiniens, dans le courant dominant, en prenant des mesures draconiennes de répression et en les exportant grâce à ses lobbies vers les gouvernements occidentaux.
Les liens profonds du ministère avec les espions.
L’agenda officiel 2016 du ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan, obtenu par des militants israéliens et retranscrit par The Electronic Intifada, confirme ses liens intimes avec les agences d’espionnage du pays.
L’agenda indique une rencontre le 17 janvier avec le chef du Shin Bet – police intérieure secrète d’Israël. L’agence a une longue histoire de harcèlement, d’enlèvements, de torture et de meurtres de militants palestiniens.
L’agenda montre aussi que, le 16 février 2016, Erdan a déjeuné avec le chef du Mossad, agence israélienne d’outremer pour l’espionnage et l’assassinat.
Et le 20 mars, Erdan a apparemment rencontré le « chef du 8200 » – référence à l’Unité 8200, espions israéliens responsables des efforts pour mener une cyberguerre.
Selon les anciens combattants de l’Unité 8200, ses activités comprennent l’écoute illicite des communications des civils palestiniens qui vivent sous occupation israélienne en vue d’une persécution politique ou pour trouver des informations embarrassantes personnelles ou sexuelles qu’on pourrait utiliser pour les amener à collaborer grâce au chantage.
Acheter la presse.
Le projet de Vaknin-Gil d’ « inonder internet » reprend les efforts secrets précédents pour répandre la propagande pro-Israël.
En 2014, The Electronic Intifada a révélé un complot du site technique Israel21c pour mettre ses pièces montées en ligne et dans les média en utilisant des méthodes trompeuses.
Sous Vaknin-Gil – experte en censure de la presse – le ministère essaie de son côté d’acheter les rédacteurs.
Le chien de garde des média israéliens, Le Septième Œil a rapporté le mois dernier, que le ministère qu’elle dirige a payé à l’éditeur du quotidien le plus vendu d’Israël 100.000 $ pour qu’il publie des articles et des vidéos attaquant BDS en tant qu’ « antisémite ».
Publiés à la fois en hébreu et en anglais par Yediot Ahronot et son site web Ynet, les articles n’ont pas explicitement dévoilé que leur contenu était payé.
Un article anglais a vaguement déclaré que c’était le résultat d’une « association » entre le ministère et l’éditeur, tandis que deux articles hébreux déclaraient qu’ils étaient dus à une « collaboration » avec le ministère.
Guerre de propagande.
Le Septième Œil a expliqué que cette propagande était « faite pour amener les lecteurs à soutenir une campagne qu’Israël conduit contre ses critiques ».
Comme avec Yediot, le ministère a également acheté du faux journalisme afin d’engranger du soutien de la part d’un public mondial, y compris de la part du Times of Israel et du Jerusalem Post.
L’agenda de 2016 d’Erdan y est conforme, notant pour le 18 juillet une « rencontre avec le rédacteur du journal The Jerusalem Post, Yaakov Katz. « L’inscription n’indique pas le sujet de la rencontre. »
Les articles payés faisaient partie d’une plus vaste campagne du ministère des Affaires stratégiques, qui comprenait un budget de 740.000 $ « pour promouvoir le contenu sur les média sociaux et les moteurs de recherche, dont Google, Twitter, Facebook et Instagram », a rapporté Le Septième Œil.
570.000$ supplémentaires ont été dépensés pour construire Act.il, application anti-BDS, et pour produire des vidéos en incitant les supporters à les mettre en ligne.
Selon The Jewish Daily Forward, l’une des « missions » assignées aux fantassins de la propagande israélienne utilisant l’application Act.il, en novembre dernier, « était de laisser un commentaire sur un post spécifique de la page Facebook du site web pro-palestinien Electronic Intifada ».
Les opérateurs des relations publiques d’Israël voulaient contrer l’impact du reportage de The Electronic Intifada sur le soutien du gouvernement néerlandais pour une promotion par la chaîne de supermarchés israéliens Shufersal qui profite de la colonisation.
L’appli. Act.il a été largement financée par le milliardaire des casinos Sheldon Adelson – grand donateur des causes anti-palestiniennes et de la campagne présidentielle de Donald Trump.
Le ministère des Affaires stratégiques a été obligé de révéler au Septième Œil, l’information sur le financement en conformité avec les lois israéliennes sur la liberté de l’information.
Mais cette révélation pourrait bien être l’une des dernières divulgations de ce genre si le ministère obtient ce qu’il veut.
Ministère opaque.
En juillet, le parlement israélien a donné son approbation préliminaire à un projet de loi qui exempte le ministère des Affaires stratégiques de la loi sur la liberté de l’information.
Erdan a défendu le projet de loi, rédigé par son ministère, déclarant que BDS était un « front comme tous les autres » et qu’il était nécessaire de garder « nos modalités d’action secrètes ».
Une note du 7 novembre dans l’agenda 2016 d’Erdan suggère que l’ancienne espionne Vaknin-Gil était directement impliquée dans la rédaction des lois israéliennes contre BDS.
Au sujet de la « loi BDS », la note dit : « Rencontre avec Liat et Sima sur les amendements législatifs à la Loi Boycott. » (Tout au long de l’agenda, on fait référence à l’équipe d’Erdan au ministère par leurs prénoms.)
Si la loi est votée, le ministère d’Erdan se retrouvera dans la même catégorie que le Mossad et le Shin Bet, qui, eux aussi, sont exemptés de la liberté de l’information.
Le ministère d’Erdan fonctionnant de plus en plus comme une agence d’espionnage à l’échelle mondiale, et non comme un département conventionnel du gouvernement, cela ne sera peut-être pas une grande surprise.
Haaretz décrit ce ministère comme « un endroit dont la terminologie interne vient du monde de l’espionnage et de la sécurité ; ses personnages principaux semblent se voir comme un commando des affaires publiques engagé sur de multiple fronts ».
De même qu’il est dirigé par une espionne, le ministère est largement pourvu en anciens espions.
Le prédécesseur de Vaknin-Gil au poste de directeur général était Ram Ben Barak, ancien directeur adjoint du Mossad.
Comme l’a révélé l’année dernière The Electronic Intifada, le directeur de la section « renseignement » du ministère est Shai Har-Zvi, lieutenant colonel dans l’armée d’Israël et probablement un autre ancien revenant.
Sans donner de noms, le journaliste chevronné du renseignement israélien Yossi Melman avait précédemment raconté que ce poste avait été autrefois occupé par « un ancien enquêteur du système de sécurité ».
« Sources secrètes », activités illégales.
Melman – qui a confirmé le dévoilement par The Electronic Intifada du nom de Har-Zvi – écrit que le rôle de sa section « est de récolter de l’information et des données sur BDS et ses militants auprès de sources et ouvertes et secrètes ».
Melman précise également que le ministère a embauché 25 employés « principalement anciens fonctionnaires du renseignement en Israël » dont les noms sont classifiés.
Quelles sont ces « sources secrètes » sur lesquelles s’appuie le réseau d’espions d’Erdan ? Comprennent-elles des activités illégales ? Et vont-elles à l’encontre de lois d’autres pays dans lesquels il opère ?
« Nous voulons que la majeure partie du travail du ministère soit classifiée », a dit Vaknin-Gil au parlement d’Israël en septembre 2016, lorsqu’elle a reconnu que « une très grande partie de ce que nous faisons échappe à tout contrôle ».
Erdan a également reconnu que son ministère se servait d’associations à l’échelle internationale – outil historique des agences d’espionnage israéliennes. « La plupart des actions du ministère n’appartiennent pas au ministère, mais à des organismes du monde entier qui ne veulent pas que l’on connaisse leur connexion avec l’Etat », a-t-il dit.
Un ministère rival a accusé en 2016 Erdan et son fief de « se servir d’organisations juives britanniques dans le dos de l’ambassade [israélienne] de telle sorte que cela pouvait les mettre en violation avec la législation britannique ».
On a aussi rapporté dans Haaretz que le ministère avait créé une « unité de dénigrement » pour répandre des mensonges sur les militants de BDS.
Menaces de mort et piratage.
Dans un article pour le journal hébreu Maariv, Melman a fait remarquer les attaques contre les sites web du Comité National BDS de Palestine et d’autres associations de défense des droits, suggérant que ces attaques pouvaient être en lien avec le ministère d’Erdan.
Il parle aussi des menaces de mort visant Nada Kiswanson, avocate de l’association de défense des droits de l’Homme Al-Haq, qui avait travaillé à La Haye pour recueillir des preuves des crimes de guerre israéliens pour le Tribunal Criminel International.
Les autorités néerlandaises mènent des investigations sur ces menaces. Melman laissait entendre que celles-ci pouvaient également être en lien avec le ministère.
Parallèlement au harcèlement et au sabotage, les attaques contre les associations palestiniennes ont aussi comporté des campagnes de dénigrement destinées à saper leur soutien politique et financier.
Al-Haq et Al-Mezan, autre association de défense des droits des Palestiniens qui a aussi aidé à réunir des preuves de crimes de guerre, ont dû, ces deux dernières années, faire face à une campagne soutenue de diffamation.
Elles ont comporté, à la fois publiquement de la part de fonctionnaires israéliens, et via des campagnes plus sournoises, de fausses déclarations faites en leur nom et des menaces de mort et autres harcèlements contre leurs équipes.
La guerre secrète d’Israël semble aussi cibler les militants de la solidarité dans les pays occidentaux.
Jeter le masque.
En juillet, les membres d’une délégation interconfessionnelle en route pour la Palestine ont été interdits de vol par le personnel de Lufthansa qui agissait sur ordre des Israéliens.
Le rabbin Alissa Wise de Voix Juives pour la Paix a dit à The Electronic Intifada que le personnel de la compagnie aérienne lisait les noms de militants dont on n’avait jamais annoncé publiquement qu’ils faisaient partie de cette délégation et qui n’avaient pas de billets, cela prouve qu’une liste de personnes, obtenue par la surveillance israëlienne des communications des militants, avait été remise à Lufthansa.
Alors que la campagne secrète d’Israël vise à réprimer les informations négatives sur ses violations des droits des Palestiniens, la campagne elle-même ne fait que ternir un peu plus son image délabrée.
Au vu de ces mesures répressives contre la solidarité avec la Palestine, le cofondateur de BDS Omar Barghouti dit qu’Israël « jette le masque de la démocratie et du libéralisme et dévoile son vrai visage en tant que régime d’occupation et d’apartheid ».
« Israël alloue des centaines de millions de dollars, consacre un ministère tout entier, utilise ses services de renseignement et fait jouer ses muscles politiques dans le monde entier pour combattre ce mouvement », a ajouté Barghouti. « Mais il s’agit là d’un combat sur une pente raide et ardue qu’Israël ne peut que perdre. »
Traduction et enquête par Dena Shunra.
Traduction en français : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Un soldat israélien attaque à la voiture bélier un enfant palestinien
Un enfant palestinien est blessé ce lundi soir suite à une attaque menée par un soldat israélien à la voiture bélier près de la mosquée Ibrahimi à Hebron, au sud de la Cisjordanie occupée.
L’occupation arrête un jeune palestinien à Hébron et un enfant à Jérusalem
Des colons mènent des attaques au sud de Naplouse et l’occupation arrête un étudiant
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Les forces sionistes ont arrêté lundi matin un étudiant de l’école secondaire Al-Sawiya, au sud de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie. ​
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Hamas: les déclarations hostiles de Greenblatt couvrent les crimes de l’occupation
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Un congrès international sur Jérusalem organisé à Istanbul
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Une colonie israélienne menace un village palestinien qui se noie
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Hamas : le gouvernement pousse la bande de Gaza vers le chaos
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L’occupation démolit des maisons à Beit Jala
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Une grève générale des institutions de l’UNRWA à Gaza
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L’hôpital de Beit Hanoun arrête de fonctionner après l’épuisement du carburant
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26 Palestiniens de Gaza visitent leurs fils détenus à Nafha
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Les autorités prennent d’assaut Tulkarem
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Saydam annonce le retour de 1200 fonctionnaires au ministère de l’Éducation
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Israël décide de fermer une association agricole palestinienne
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L’occupation arrête deux jeunes hommes qui ont franchi la barrière de séparation à l’est de Gaza
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18 Palestiniens arrêtés et autres blessés lors d’affrontements nocturnes
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L’Occupation prétend avoir déjoué une attaque près de Naplouse
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Les factions à Gaza appellent l’Egypte à ouvrir le passage de Rafah
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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