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Flash info du 10 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Scandale au King Abdulaziz Camel Festival. Botox et hormones utilisés pour embellir les chameaux.
Dans les concours de beauté la concurrence est rude, les Miss plus belles les unes que les autres rivalisent d’ingéniosité et se parent de leurs plus beaux atours dans le but de remporter la place si convoitée de Beauté de l’année.
Mais saviez-vous que lors des concours de beauté de dromadaires en Arabie Saoudite, les propriétaires sont prêts à tout pour que leurs bêtes chéries brillent de mille feux ? Et ce n’est pas peu dire !
Qu’est-ce-qui caractérise un dromadaire d’un autre ? La hauteur, la forme, le placement de la bosse et les lèvres tombantes sont entre autres des atouts qui peuvent parfois faire la différence.
Pour la deuxième édition annuelle du King Abdulaziz Camel Festival, l’un des plus grand concours du Golfe, 30.000 dromadaires ont rivalisé à Al Dhana à 120 km de Riyad pour la grande joie des 300.000 visiteurs venus assister à cet événement de prestige.
Mais à peine lancé, l’événement est déjà plongé en plein scandale. Un vétérinaire a été pris en flagrant délit de chirurgie plastique sur des dromadaires ! Les précieuses bêtes hébergées dans sa clinique ont eu droit à un ravalement de façade complet, Botox pour gonfler les lèvres, petits coups de bistouris pour réduire la taille des oreilles, etc.. rapportent les médias saoudiens.
Un propriétaire de chameaux et guide de reconstitution historique de Medinat Zayed nous livre les méthodes dont usent les propriétaires de dromadaires :
Par exemple, ils commencent à tirer les lèvres du chameau, ils le tirent à la main comme ça tous les jours pour le rendre plus long. Deuxièmement, ils utilisent des hormones pour le rendre plus musclé et Botox rend la tête de plus en plus grande. Tout le monde veut être un gagnant.
Les injections de Botox modifient l’apparence d’un dromadaire durant des mois, lorsqu’il reprend son état naturel, il est en général trop tard pour que l’acheteur se retourne contre le vendeur.
« Les gens qui sont juste dans la compétition de chameaux pour le rendre plus précieux, ils trichent tout le monde », déclare M. Al Mazourei un autre propriétaire.
« Une amende devrait être appliquée. Dans les courses de chameaux, quiconque utilise des drogues se voit infliger une amende d’environ 50 000 dirhams à Abu Dhabi. L’amende n’est pas encore appliquée pour les chameaux de beauté ». Les juges se sont contentés de disqualifier les propriétaires incriminés.
Cette compétition acharnée est influencée par les prix remportés au King Abdulaziz Camel Festival. Ils totalisent 57 millions de dollars, dont plus de 31,8 millions rien que pour l’apparat, ceci explique la frénésie qui s’empare des propriétaires prêts à tous les risques pour embellir leur chameau.
L’histoire ne dit pas si ces pauvres bêtes ont dû subir un lifting !
Allemagne : Un leader du parti islamophobe AfD se reconverti à l’Islam.
Le vieux continent refait face à ses vieux démons, ceux-là même qui l’ont honteusement illustré à une certaine époque et dont il pensait à tort être débarrassé.
Pourtant en pleine chasse aux sorcières contre les musulmans, la nouvelle a de quoi étonner.
L’un des leaders du parti d’extrême droite allemand AfD, Arthur Wagner s’est reconverti récemment à l’Islam, selon la presse allemande.
Connu pour ses positions anti-immigration et anti-Islam, le AfD lutte pour débarrasser le pays des réfugiés et plus particulier les musulmans.
« L’islam n’a rien à faire en Allemagne », un slogan clamé fièrement par le parti.
Mais face à la reconversion aussi soudaine qu’inattendue de leur leader, l’AfD fait profil bas et accuse le coup.
« Le parti n’a aucun problème avec cette décision », a déclaré le porte-parole de l’AfD, Daniel Friese dans le quotidien le Tagesspiegel.
« La religion est une affaire privée. Le respect de la liberté de culte est une obligation fondamentale. Monsieur Wagner aurait pu choisir n’importe quelle autre religion ».
Une explication à laquelle on ose à peine croire mais que Daniel Friese s’est senti obligé d’ajouter tout en assurant que son parti protégeait les droits « des musulmans, des chrétiens et des homosexuel s ».
Après l’annonce de sa reconversion, Arthur Wagner a fait savoir via son parti qu’il comptait ralentir ses activités au sein du parti. Ancien membre de la CDU, M. Wagner est aussi responsable des églises et des communautés religieuses pour son parti.
Ce changement dans sa vie privée contraste avec ses positions contre l’Islam. Durant l’été 2017, il critiquait « l’ouverture » des frontières durant la crise des réfugiés.
« L’Allemagne est en train de devenir un autre pays », avait-il alors déploré, un reproche partagé par son parti qui dit lutter contre l’ « islamisation de l’Allemagne » et l’implantation de mosquées sur le territoire national.
Un discours qui a permis à l‘AfD de réaliser un score historique avec 13,3% lors des dernières élections législatives, il est devenu en quelques mois la troisième force politique du pays.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Zemmour se fait clasher par Cali qui quitte le plateau ! VIDEO.
Zemmour c’est ce présentateur TV qui a vulgarisé pendant des années sur toutes les chaines publiques l’islamophobie avec la complaisance des médias et des politiques français.
Aujourd’hui celui-ci intervient un peu moins mais ses interventions restent toujours des appels sournois à la haine des musulmans. Bien que condamné par la justice Zemmour peut toujours continuer son entreprise de haine sans être inquiété.
Aujourd’hui le chanteur Cali a tenu a dénoncer cet état de fait …
Et quand la communauté musulmane se mobilisera-t-elle ?
reportage a voir sur islam et info.fr.
Syrie : les troupes turques prêtent à attaquer Manbij où les troupes américaines soutiennent le YPG / PKK.
Le président turc Tayyip Erdogan a déclaré mercredi au président américain Donald Trump que les troupes américaines devraient se retirer de la région de Manbij, dans le nord de la Syrie, a annoncé jeudi le ministre turc des Affaires étrangères.
Mercredi, avant son appel téléphonique avec Trump, M. Erdogan a déclaré que la Turquie étendrait son opération militaire en Syrie à la ville de Manbij, un mouvement militaire qui pourrait potentiellement mettre les forces turques en confrontation avec celles de leur allié de l’OTAN, les Etats-Unis.
S’exprimant devant des journalistes à l’issue d’une conférence de presse avec son homologue autrichien, Mevlut Cavusoglu a également déclaré que la Turquie n’attaquerait pas les forces gouvernementales syriennes à moins que ces dernières s’en prennent aux militaires turcs.
Le président américain Donald Trump a exhorté la Turquie à restreindre son opération militaire dans le nord de la Syrie et a averti que les forces américaines et turques ne devraient pas entrer en conflit.
L’opération aérienne et terrestre turque dans la région d’Afrin en Syrie, qui en est à son cinquième jour, cible les combattants des YPG kurdes soutenus par les Etats-Unis, qu’AnKara considère comme des alliés des insurgés kurdes qui commettent des attentats dans le sud-est de la Turquie depuis des décennies.
Le président turc Tayyip Erdogan a déclaré qu’il étendrait l’opération à Manbij, une enclave séparée des Kurdes à 100 km à l’est d’Afrin, mettant éventuellement en péril les forces américaines et menaçant les plans américains en Syrie.
Parlant avec Erdogan par téléphone, Trump est devenu le dernier officiel des États-Unis à tenter de réprimer l’offensive et à signaler de façon précise le risque que les forces des deux alliés entrent en conflit.
La reconstruction de l’Irak pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars.
La reconstruction de l’Irak pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars et exigera que Bagdad continue à soutenir les coupes pétrolières de l’OPEP et à attirer un maximum d’investissements de l’étranger, a déclaré jeudi le Premier ministre irakien Haider Al-Abadi.
Le Koweït accueillera une conférence internationale en février sur la reconstruction dans certaines parties de l’Irak dévastées par la guerre contre l’EI, a rapporté mardi l’agence de presse koweïtienne KUNA.
Les pays donateurs et les organisations devraient annoncer des contributions financières à la réunion du 12 février au 14 février, a-t-il rapporté.
Le sous-secrétaire du ministère koweïtien des Affaires étrangères, Khaled Al-Jarallah, a fait cette annonce lors d’une conférence de presse conjointe à Koweït avec le secrétaire général du gouvernement irakien, Mahdi Al-Allaq.
Le Premier ministre irakien Haider Al-Abadi a déclaré le mois dernier la victoire dans la guerre contre les jihadistes, qui contrôlaient jusqu’à un tiers du territoire irakien il y a trois ans.
Les Etats-Unis démentent avoir bombardé un camp de réfugiés afghans.
Les Etats-Unis ont rejeté jeudi une allégation pakistanaise selon laquelle un drone américain aurait tiré des missiles sur un camp de réfugiés afghans dans le district de Kurram, dans les régions sans loi bordant l’Afghanistan.
Bien qu’alliés dans la guerre contre Al Qaida, les deux pays sont actuellement en désaccord après que Washington a suspendu près de 2 milliards de dollars d’aide, accusant Islamabad de soutenir les talibans en Afghanistan.
“Le Ministère des Affaires étrangères pakistanais a déclaré hier que les forces américaines ont frappé un camp de réfugiés afghans à l’Agence Kurram. Ceci est faux”, a déclaré un porte-parole de l’ambassade américaine à Islamabad dans un communiqué.
Le Pakistan rejette les accusations américaines selon lesquelles il soutient et abrite des militants haqqani utilisant des bases à l’intérieur du Pakistan pour préparer des attaques contre les forces américaines et alliées de l’OTAN en Afghanistan.
Le président Donald Trump a accusé Islamabad dans un tweet de “mensonges et de tromperie”. Le Pakistan dément les allégations, affirmant que Washington a essayé de faire de lui un bouc émissaire devant ses échecs en Afghanistan.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Un Canadien, ruiné par les frauduleuses options binaires israéliennes, se suicide.
Dépouillé par des financiers israéliens sans foi ni loi, la fin tragique de Fred Turbide, un retraité canadien de 61 ans, pleuré par sa femme et ses enfants inconsolables et regretté par tous ceux qui l’ont côtoyé, professionnellement ou amicalement, jette une lumière crue sur les options binaires frauduleuses made in Israël.
Entièrement ruiné par un courtier de la société israélienne 23Traders, un escroc de la pire espèce se faisant appeler « Julien Wellington », qui l’a pris dans les mailles de ses filets jusqu’à l’acculer au suicide le 21 décembre 2016, le malheureux Fred Turbide a été progressivement poussé à investir les économies de toute une vie, le crédit de sa maison et de ses entreprises dans l’illusoire perspective d’améliorer sa retraite.
Les belles promesses de tirer profit de ses soi-disant juteux placements se sont évanouies à l’air libre, et ses 200 000 dollars canadiens ont été dilapidés en un rien de temps, le laissant anéanti, sans ressources et couvert de honte, au point d’être conduit à commettre un geste fatal quelques jours avant Noël, chez lui, à Edmonton, dans l’Alberta.
Fred Turbide, ce père et mari attentionné, unanimement loué pour son intégrité, son sens du dévouement et sa bonté d’âme notamment envers les plus démunis (il a recruté plusieurs sans abri au sein de son entreprise) est tombé, comme des milliers d’autres proies de par le monde, dans le traquenard tendu par l’industrie israélienne des options binaires, qui l’a dépecé.
Une industrie qui n’a cessé de prospérer en Israël en l’espace de dix ans et de tisser sa toile à l’échelle planétaire, faisant un long cortège de victimes, à coup de milliards de dollars, sans que les autorités israéliennes ne s’en émeuvent.
« J’ai perdu ma maison, l’argent de ma retraite et mon entreprise, à cause de vous. Il est maintenant 15h52 (mon heure). Je vais prendre une douche puis aller au garage pour me finir. Je vous donne une heure pour m’appeler avec des résultats positifs pour récupérer l’argent que j’ai perdu».
En proie à un profond désespoir, c’est un homme brisé qui a écrit ces derniers mots poignants dans un courriel lancé comme une bouteille à la mer à l’infâme « Julien Wellington » de la société 23Traders, illégale au Canada, et resté bien entendu lettre morte, avant de mettre fin à ses jours dans son garage.
“Donne-moi un signe”: des cours d’arabe et de religion pour sourds et malentendants.
L’émission “La fraternité en action” reçoit Baya, membre de “Donne- moi un signe”, une association qui donne des cours d’arabe et de religion pour enfants et adultes sourds et malentendants. L’objectif de cette association est également de permettre aux personnes entendantes d’apprendre la langue des signes. A noter dans cette émission, la présence de Siham, bénévole qui a eu la gentillesse de traduire en langue des signes cette émission. Vous pouvez aider “Donne- moi un signe” en effectuant un don, sur http://www.donnemoiunsigne.fr/contact/dons/ .
reportage a voir sur oumma.com.
France : Laurent Wauquiez a reconnu qu’il citait une sourate qui n’existe pas.
Invité de “L’Emission Politique” sur France 2, Laurent Wauquiez, président des Républicains qui se vante de parler l’arabe devait s’expliquer sur une sourate qu’il citait régulièrement sur les plateaux tv selon laquelle “’un musulman doit adapter sa pratique religieuse aux coutumes de son pays d’accueil “. Confronté à la psychanalyste Houria Abdelhouaed, cette dernière lui a clairement signifié que non seulement cette sourate n’existait pas, mais qu’il confondait “sourate” et “verset”. Face à l’évidence, Wauquiez a certes reconnu son erreur, mais cherchant à sauver les apparences en montrant qu’il maîtrise toujours le sujet, notre politicien spécialiste de l’islam s’enfonce de nouveau en mentionnant le terme ” hadiths” qu’il définit comme des textes interprétation, alors qu’ils sont des recueils des actes et paroles du Prophète Muhammad.
reportage a voir sur oumma.com.
France : BDS : nouvelle tromperie de LIDL , la police se déplace et fait une main courante. Vidéo.
Le LIDL de la Porte d’Orléans, déjà épinglé pour ses tromperies de la clientèle sur la marchandise exposée, vient d’être pris la main dans le sac par la police, alertée par les clients du magasin le 19 janvier 2018. Deux policiers sont venus vendredi à l’intérieur du Lidl du Boulevard Jourdan, et ont établi une main courante après avoir constaté la présence d’avocats affichés « Maroc » mais laissés dans leurs boites en carton indiquant clairement « Produit d’Israël » !
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, rien de neuf.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Mosquée En-Nour de Nice : Christian Estrosi désavoué.
Voilà plusieurs mois que le maire de Nice bataille pour implanter une crèche sur le site de la mosquée En-Nour. Pour ce faire, Christian Estrosi s’appuyait sur une décision, en février 2016, du commissaire-enquêteur qui avait rendu un avis favorable au projet de crèche et déclaré une reconnaissance d’utilité publique. Un collectif de soutien à la mosquée, baptisé « Touche pas à ma mosquée », avait alors vu le jour.
Ce dernier devrait se féliciter de l’avis rendu cette semaine. La justice, devant l’insistance des opposants à Christian Estrosi, avait accepté d’étudier si une crèche de 40 places et une ludothèque avaient davantage leur place qu’une mosquée dans ce bâtiment de l’avenue Pontremoli, à l’ouest de Nice. Alors que le maire de la ville souhaitait faire reconnaître la nécessité d’implanter son centre de multi-accueil, le commissaire-enquêteur dépêché par le tribunal administratif a cette fois rendu un avis défavorable.
Christian Estrosi veut « protéger les Niçois ».
Mais la bataille entre le maire de Nice et les partisans de la mosquée En-Nour est loin d’être terminée. Christian Estrosi a en effet demandé à Georges-François Leclerc, préfet des Alpes-Maritimes, suite à l’avis défavorable rendu par le commissaire-enquêteur, de lui accorder une déclaration d’utilité publique. Le maire assure, en agissant ainsi, vouloir « protéger les Niçois » et estime que ce n’est pas de l’acharnement.
Pour tenter de convaincre le préfet, Christian Estrosi assure que 750 000 euros de travaux n’ont pas été facturés par des entreprises qui, « pour certaines d’entre elles, se sont constituées deux jours avant les travaux et ont déposé leur bilan au terme de ces travaux. » Pour le maire de Nice, dans ce dossier, « il y a matière à retenir des infractions avérées. »
Ce que conteste l’avocat de l’Association cultuelle Nice la Plaine En-Nour. Maître Ouassini Mebarek assure que, pour ces travaux, l’association n’a pas eu recours à des financements étrangers, encore moins saoudiens. « L’association gère seule le lieu avec les dons recueillis le vendredi. » Le propriétaire du lieu est bien un prince saoudien, assure l’avocat, mais cet homme « s’est engagé à léguer (le lieu) gratuitement » à l’association.
Amérique : Donald Trump veut échanger des naturalisations contre la construction de son mur.
C’est un deal assez étonnant que vient de proposer le président américain. A 1,8 million de jeunes sans-papiers entrés illégalement aux Etats-Unis, Donald Trump veut proposer au Congrès une voie d’accès à la citoyenneté américaine. Un processus de naturalisation qui prendra une dizaine d’années et profitera aux 700 000 « Dreamers » — des enfants arrivés illégalement aux Etats-Unis et qu’un décret de Barack Obama est censé protéger pendant encore deux mois — mais aussi à 1,1 million de jeunes immigrés.
Un geste qui ne serait pas sans contrepartie. En effet, le président américain demande, en échange de son geste, que le Congrès vote le financement du mur qu’il a promis lors de la campagne. Un vote qui coûterait 25 milliards de dollars. Autrement dit, Trump naturalisera des immigrés d’un côté et réduira l’immigration illégale de l’autre. Le président demande enfin des mesures pour faire baisser également l’immigration légale. Dans son projet de loi, la Maison-Blanche propose en effet de revoir le programme de la loterie de cartes vertes.
Un deal qui ne devrait pas être accepté. D’une part, les démocrates estiment que Donald Trump fait là du chantage. Il s’agit, explique la démocrate du Nevada Dina Titus, d’« une nouvelle attaque contre les immigrés qui utilise les Dreamers comme monnaie d’échange. » Les républicains sont favorables à la régularisation des Dreamers, et voter la construction d’un mur à la frontière mexicaine ne les effraie pas. Mais les plus conservateurs ne veulent, eux, pas entendre parler de naturalisations massives. Les démocrates dénoncent une demande de « rançon » de la part de Trump, dont le projet de loi doit être discuté au Congrès sous peu.
France : Procès contre des médias et ONG : une oligarchie à bout de nerfs ?
Ce jeudi s’est ouvert le procès de plusieurs médias — Mediapart, L’Obs et Le Point — et ONG — Sherpa et ReAct — attaqués en diffamation par la société Socfin. En avril 2015, un article de l’ONG ReAct, relayé par l’association Sherpa et par certains médias, parlait des revendications de Camerounais à l’encontre de la Socapalm, Socfin et du groupe Bolloré. Dans cet article, l’organisation non gouvernementale dénonçait un « accaparement de terres » de la part de la société luxembourgeoise.
Depuis 2016 et le vote, par les députés européens, d’une directive pour protéger le secret des affaires — qui permet ainsi de lutter contre les lanceurs d’alerte —, les « poursuites-bâillons » se généralisent, dénoncent des journalistes et médias. « Le lobbying des acteurs économiques a récemment facilité un renforcement de la protection de ses intérêts avec l’adoption de textes tels que la directive européenne sur le secret des affaires », écrivent de nombreux journalistes dans une tribune intitulée « Face aux poursuites-bâillons de Bolloré: nous ne nous tairons pas ! ».
Etouffer financièrement ONG et médias lanceurs d’alertes.
« Les poursuites-bâillons visent à faire pression, à fragiliser financièrement et à isoler tout journaliste, lanceur d’alerte ou organisation qui mettrait en lumière les activités et pratiques contestables de géants économiques », déplore de son côté Sherpa, association de juristes et d’avocats défendant les populations victimes de « crimes économiques ». Sherpa rappelle que la plainte de la filiale de Bolloré est loin d’être un cas isolé, rappelant les attaques de Vinci suite à la plainte de l’association pour travail forcé au Qatar.
Et pour mieux bâillonner médias et ONG, les multinationales n’hésitent pas à demander des sommes exorbitantes. Ainsi, 400 000 euros ont été demandés à Sherpa par Vinci, « à la place de l’euro symbolique », se désole l’association, ou encore cinquante millions d’euros par le groupe Bolloré à France 2, le groupe accusant la chaîne de « dénigrement commercial. »
« Informer n’est pas un délit ».
Et le groupe de Vincent Bolloré est un habitué des procédures : « Depuis 2009, plus d’une vingtaine de procédures en diffamation ont ainsi été lancées par Bolloré ou la Socfin en France et à l’étranger — pour contourner la loi de 1881 sur la liberté de la presse — contre des articles, des reportages audiovisuels, des rapports d’organisations non gouvernementales, et même un livre », écrivent les journalistes signataires de la tribune, précisant qu’« une cinquantaine de journalistes, d’avocats, de photographes, de responsables d’ONG et de directeurs de médias, ont été visés par Bolloré et ses partenaires. »
Des procédures lancées par des multinationales qui, continuent les signataires, « sont en train de devenir la norme » et qui « visent à faire pression, à fragiliser financièrement, à isoler tout journaliste, lanceur d’alerte ou organisation qui mettrait en lumière les activités et pratiques contestables de géants économiques comme le groupe Bolloré. » Les journalistes demandent « un renforcement de la liberté d’expression et une meilleure protection des victimes de ces poursuites-bâillons » car, concluent-il, « informer n’est pas un délit. »
France : La présidente du Conseil supérieur des programmes veut désacraliser l’enseignement de l’Islam.
Nommée à la présidence du Conseil supérieur des programmes en remplacement du géographe Michel Lussault, Souad Ayada était invitée mercredi dernier à une audition à l’Assemblée nationale par la commission des affaires culturelles. Philosophe spécialiste de spiritualité islamique, la présidente du CSP a notamment été invitée à se prononcer sur l’enseignement du fait religieux à l’école. Concernant l’enseignement de l’Islam, Souad Ayada a été critique avec les manuels scolaires.
« Un enseignement qui ne respecte pas les règles de l’histoire critique ».
Selon la présidente du Conseil supérieur des programmes, l’enseignement de l’Islam dans les manuels scolaires est « un enseignement qui ne respecte pas les règles de l’histoire critique, les règles de contextualisation, c’est un enseignement dogmatique. » L’agrégée de philosophie s’étonne par exemple que l’« on présente le Prophète de l’Islam sans mettre en perspective le contexte socio-culturel auquel il appartient. » Souad Ayada reproche également que soient inscrites « des choses très étonnantes sur les piliers de l’Islam », ajoutant que « ce n’est pas dans le rôle d’un professeur d’histoire de parler ainsi du fait religieux. »
Que reproche exactement la présidente du CSP aux manuels scolaires ? Souad Ayada dénonce « un enseignement qui sacralise, (…) qui ne me semble pas servir des fins de connaissance historique, mais plutôt à apaiser, flatter, soutenir des choses qui relèvent du vivre-ensemble, mais qui n’est pas articulé au souci de vérité. » Autrement dit, toujours selon Souad Ayada, il faudrait donner une plus grande place à un « enseignement laïque du fait religieux. »
« Les nouveaux programmes mettent en avant la partie civilisationnelle ».
Une analyse qui tranche avec la réalité des faits : comme le rappelle Jean-Riad Kechaou dans son blog Politis, « l’Islam en histoire est étudié en cinquième. Les programmes d’histoire au collège qui dataient de 2008 étaient bien équilibrés entre l’islam (la religion) et l’Islam (la civilisation musulmane). » Or, ajoute l’enseignant, « les nouveaux programmes applicables (depuis) la rentrée 2016 réduisent clairement la partie religieuse de cette étude pour mettre en avant la partie civilisationnelle et les contacts des empires musulmans avec les empires chrétiens, carolingien et byzantin. » Une « erreur », selon lui.
La place de l’enseignement de l’Islam a été réduite lors de la réforme du collège. « Il serait fort utile de considérer l’enseignement laïque des religions, notamment de l’Islam comme salutaire », indique Jean-Riad Kechaou, qui conclut qu’« enseigner les croyances religieuses est indispensable car on se rend également rapidement compte de l’inculture religieuse de nos élèves, notamment de nos élèves musulmans. »
France : Tenues vestimentaires à l’Assemblée : le règlement de la discorde.
On ne peut pas s’empêcher de suivre ce débat, absolument passionnant tant il n’intéresse que peu de monde, sur la question des signes religieux au sein de l’Assemblée Nationale. En effet, il a été décidé que, désormais, les signes religieux ou distinctifs ne seront pas admis dans l’Hémicycle de l’Assemblée. D’aucuns n’ont pas hésité à convenir, avec un raisonnement fallacieux défiant toute concurrence et un sens du maccarthysme extraordinairement développé, que les opposants à une telle mesure étaient de sombres islamistes, opposés à la laïcité.
Il faut toutefois rappeler que l’Assemblée Nationale est censée représenter le peuple. La France est riche de sa diversité, à savoir des personnes arborant un signe religieux et d’autres non, des personnes avec des maillots de foot et d’autres avec des kimonos. Réduire l’expression d’une tendance à l’Assemblée Nationale à la neutralité ne reviendrait-il pas à neutraliser en réalité la diversité française ? N’oublions pas que les représentants nationaux ne sont pas les représentants du service public, ce sont des élus de la Nation. Limiter la libre expression dans l’enceinte qui l’a justement incarnée, à travers le vote de la loi de 1905 ou encore le vote sur la loi relative à la liberté d’expression, semble tout à fait contreproductif, sinon incohérent.
Ensuite, il convient de rappeler, à tous les tenants de l’athéisme d’Etat — puisque c’est de cela qu’il s’agit en l’espèce — que l’Etat laïque n’est pas athée — l’athéisme ne représentant qu’une philosophie de pensée étrangère à un Etat dit laïque qui ne reconnait rien. Si l’Etat n’est pas athée, mais laïque, et que les élus sont les représentants du peuple, pourquoi ne pas les laisser arborer l’accoutrement qu’ils désirent, qu’il s’agisse du maillot de foot de François Ruffin ou encore de la soutane de l’Abbé Pierre ou de la kippa de Meyer Habib et de Claude Goasguen ? On remarquera, encore une fois, qu’on a rarement, sinon jamais, vu une députée porter le voile islamique mais que les débats ont toujours la fâcheuse tendance à se concentrer sur cela.
Comme le rappelle très pertinemment Bismatoj dans un billet d’humour qu’il propose à Médiapart, le Conseil d’Etat a d’ailleurs précisé que les élus n’étaient pas tenus par le port d’une tenue faisant abstraction de toute manifestation religieuse :
« Aucune norme constitutionnelle, et notamment pas le principe de laïcité, n’impose que soient exclues du droit de se porter candidates à des élections des personnes qui entendraient, à l’occasion de cette candidature, faire état de leurs convictions religieuses » (CE, 23 décembre 2010, n° 337899).
En réalité, les tenants du débat confondent toujours, comme le rappelle pertinemment Marik Fetouh dans le Cahier de la Lutte Contre les Discriminations, sécularisation et laïcité. Ils pensent que les désidératas de ces derniers, emporter la religion loin de la sphère publique, reflètent la laïcité qui n’a pourtant pas à se mêler de l’éloignement ou du rapprochement du religieux.
Une telle approche est une énième atteinte à la laïcité qui, quelques années plus tard, va être, selon les dires de ces mêmes tenants de l’athéisme d’Etat, un des règlements qui fonde le pacte laïque français ! Drôle de vision de la laïcité qui consiste donc à neutraliser la liberté d’expression dans une enceinte qui l’a toujours incarnée par la diversité de ses débats.
Mais comme la mauvaise foi est souvent sans limite, accoler le fameux terme « d’islamiste » ou « proche du PIR » est devenu le moyen le plus efficace pour écarter toute idée contraire, dans ce pays censé incarner les droits de l’homme, la démocratie et la pluralité d’opinion de pensée !
* Asif Arif est avocat au Barreau de Paris, auteur et conférencier spécialiste de l’Islam et de la laïcité. Il a écrit « Outils pour maîtriser la laïcité » publié aux éditions La Boîte à Pandore.
Palestine : Donald Trump estime que Mahmoud Abbas lui « manque de respect ».
Le Forum économique de Davos, en Suisse, a été l’occasion d’entendre l’avis de Donald Trump sur la Palestine. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le président américain est en train de creuser un véritable fossé entre les Etats-Unis et l’Autorité palestinienne. Trump a en effet parlé d’un « manque de respect » de la part de l’AP. Et sans dire de quoi il s’agit, le président américain invite les Palestiniens à s’assoir avec lui à la table des négociations.
Pour ce faire, Trump use comme à son habitude le chantage : après avoir effectué d’énormes coupes dans le budget de l’UNRWA, l’agence pour les réfugiés palestiniens, Trump rappelle que « l’argent est sur la table. » Mais il n’arrivera pas aux Palestiniens « tant qu’ils ne viennent pas d’asseoir. » Et le président américain d’assurer qu’il a « une proposition géniale pour les Palestiniens, mais ils nous doivent du respect. » Concernant Jérusalem, Donald Trump a enfin estimé que la question « n’est plus à l’ordre du jour. » « Nous n’avons plus à en parler », a asséné Donald Trump aux côtés de Benyamin Netanyahu.
Du côté de l’Organisation de libération de la Palestine, on n’apprécie que moyennement le ton de Donald Trump. « Ne pas rencontrer son oppresseur n’est pas une marque d’irrespect mais une marque d’estime de soi », a répondu Hanane Achraoui, membre de l’OLP. L’Autorité palestinienne n’a pas encore réagi mais nul doute que la nouvelle sortie du président américain n’arrangera pas les relations entre elle et les Etats-Unis. Une Autorité palestinienne qui espère maintenant que l’Union européenne jouera un rôle au Proche-Orient.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Terrorisme sioniste : une voiture palestinienne brulée et des slogans racistes à Jérusalem
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Des colons israéliens ont brûlé un véhicule palestinien dans la ville de Beit Safafa à Jérusalem occupée. ​
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9 blessés lors des affrontements au nord de Gaza
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Greenblatt rencontre les familles de quatre Israéliens otages à Gaza
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L’envoyé de la paix du président américain Donald Trump, Jason Greenblatt, a rencontré jeudi les familles de quatre Israéliens retenus captifs dans la bande de Gaza et a sympathisé avec eux.
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L’occupation arrête des citoyens à Hébron et énorme campagne de recherches à Jénine
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La Turquie remet au Liban un suspect dans l’attaque de Sidon au Liban
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Le membre du Comité exécutif de l’OLP, Ghassan Chakaa, n’est plus
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Après de longues années de prison, Israël libère le prisonnier Yehya Ashour
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Kiswani appelle à intensifier la présence à al-Aqsa
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Le prisonnier Naser Abu Khdeir condamné à 16 mois de prison
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Le Hamas appelle Abbas à prendre parti pour l’option choisie par les Palestiniens
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L’occupation prolonge la détention de deux enfants blessés
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L’occupation installe un portique en fer entre Jayyous et Nabi Ilyas à Qalqiliya
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L’occupation démolit des caravanes et une bergerie au sud de Naplouse
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Trump: Nous avons retiré Jérusalem des pourparlers
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L’occupation arrête un Palestinien du camp de réfugiés de Jénine
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Corruption de Netanyahou: deux projets de loi sur la limitation des mandats du Premier ministre
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L’occupation prend d’assaut Sebastia et ferme la zone archéologique
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Une manifestation devant un bureau de l’UNRWA contre la politique de réduction
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 9 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Le Sénégal, une référence en matière de dialogue Islamo-Chrétien.
Les conflits interreligieux pourraient-ils menacer l’équilibre mondial ? A en croire l’actualité oui. Devons-nous inquiéter et imaginer que les peuples sont incapables de vivre en parfaite harmonie, qu’ils soient chrétiens juifs ou musulmans ?
Le Sénégal nous livre sa réponse, ce pays considéré comme un pays de paix tient sa réputation en grande partie grâce à l’entente entre chrétiens et musulmans. Il est l’un des rares pays en Afrique où les différentes confessions religieuses cohabitent en paix. Pour preuve de cette communion entre chrétiens et musulmans, le diplôme décerné par le Pape François Premier pour honorer le Sénégal dans ces œuvres pour la paix entre les deux communautés.
Aucun événement n’a lieu sans que chrétiens et musulmans collaborent ou participent aux fêtes des uns et des autres.
Pour l’Abbé du Paroisse Alphonse Diomène Niane, le Sénégal est une référence en matière de dialogue Islamo-Chrétien, il est selon lui le socle de l’ « émergence futur de la nation ».
Cette entente salutaire commence dès le plus jeune âge à l’école où les élèves musulmans côtoient les élèves chrétiens dans le même établissement en parfaite cohésion.
Ceux qui ont adopté le Sénégal et s’y sont installés à l’image de Jean Robert Audet sont totalement conquis. Ce congolais ne tarit pas d’éloges pour ce pays qui l’a adopté sans concession.
Comment ne pas aimer ce pays tolérant et uni. C’est magnifique. Dieu est le même pour tous sous ses appellations différentes. Mais quand l’intelligence d’un peuple aux multiples cultures réagit comme le Sénégal, nous devons tout faire pour les aider à rester les mêmes
Le Sénégal aurait apparemment quelques leçons à donner à certains pays.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Philippines : Plus de 56 000 personnes déplacés suite à l’éruption du volcan Mayon.
L’Homme moderne a tendance a se sentir tout puissant.
En effet, l’Homme d’aujourd’hui imbu de sa personne, de sa technicité et du développement se pense en être invincible et dominateur du monde vivant.
Cette éruption volcanique nous rappelle que malgré nos connaissances, l’avancée de notre civilisation l’Homme n’est rien face à la création de son Seigneur.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : L’amour est dans le pré : Un dérapage verbal sur l’islam.
Ce lundi 22 janvier, M6 diffusait en prime time les portraits de nouveaux agriculteurs, dans le cadre de la saison 13 de “L’Amour est dans le pré”.
Le début de cette saison 13 semblait bien partie pour les adeptes de cette émission jusqu’au moment où la présentatrice, Karine Le Marchand, a tenu des propos sur l’Islam qui a choqué un bon nombre d’internautes.
En effet, l’animatrice s’est rendue coupable d’une phrase maladroite sur la religion. Tandis qu’elle questionnait un des participants, éleveur de vaches allaitantes en Occitanie, s’il était prêt à se mettre en couple avec une femme venant d’un univers différent du sien, celui-ci a répondu positivement : “Moi, tant qu’elle peut se déplacer ici, je m’en fiche… c’est comme la religion”.
C’est alors que la présentatrice a spontanément lâché : ” Ah ! Tu t’en fiches aussi ? Même si elle est musulmane, tu t’en fiches complètement ? “.
Nombreux sont les internautes qui ont été scandalisé et à juste titre, reprochant à la présentatrice de laisser penser qu’être musulman est une tare.
Maroc : Des salles de sports investissent les Mosquées.
Certains sont sceptiques, d’autres disent pourquoi pas ? En effet, voici un projet qui peu paraitre déraisonnable, il s’agit de salles de sport dans les Mosquées.
L’idée plutôt original au Maghreb provient de responsables religieux à Oujda et devrait être généralisé.
Cette initiative spécialement dédiée aux femmes vient donc de démarrer avec comme ville pilote : Oujda.
Cette idée insolite date de 2007 mais c’est seulement dix ans plus tard qu’elle se concrétise.
Entendons bien par “salle de sports dans les Mosquées”, des salles au sein de structures dédiées à la prière et non dans la salle de prière.
Une idée qui est très répandue notamment dans les pays anglo-saxons où cette pratique n’est pas vue d’un mauvais œil. Ainsi, en plus de leur mission spirituelle, les mosquées généraliseront les pratiques qui maintiennent la forme physique et la bonne santé.
Turquie : une roquette du YPG / PKK a touché une mosquée au moment de la prière (13 blessés).
Deux roquettes tirées de la région syrienne d’Afrin ont frappé mercredi la ville frontalière turque de Kilis, blessant 13 personnes, a annoncé le gouverneur local.
Les roquettes ont frappé deux endroits dans le centre-ville, y compris une mosquée pendant les heures de prière, a déclaré le gouverneur Mehmet Tekinarslan. Huit personnes ont été blessées, dont deux dans un état critique, à la mosquée, et cinq autres ont été blessées au deuxième endroit.
Des images des médias turcs ont montré que les forces de sécurité nettoyaient les zones sinistrées à la suite des attaques, alors que les ambulances et les équipes d’urgence arrivaient sur le site.
Alors que l’opération de la Turquie contre les milices syriennes kurdes YPG à Afrin est entrée dans son cinquième jour, plusieurs roquettes ont frappé les villes frontalières turques de Kilis et Reyhanli.
Samedi, alors que la Turquie commençait son opération, des roquettes tirées à travers la frontière ont frappé Reyhanli, tuant un ressortissant syrien et blessant 46 personnes, a indiqué le bureau du gouverneur local. Cinq autres ont été blessés lorsque des roquettes ont frappé Kilis, a déclaré un témoin à Reuters.
Pakistan : un “tueur en série” arrêté avoue avoir tué Zainab 7 ans.
Le chef de la Province du Pendjab, Shehbaz Sharif, a annoncé mardi que son administration avait arrêté l’homme responsable de l’agression sexuelle et du meurtre de Zainab Ansari, âgé de sept ans.
Zainab a été enlevée dans sa ville natale le 4 janvier. Son corps a été retrouvé dans une décharge le 9 janvier.
L’incident a provoqué l’indignation dans tout le pays en raison du manque d’action de la part des autorités. Elle serait été le 12e enfant à avoir été assassiné à Kasur ou dans les environs l’année dernière.
Lors d’une conférence de presse à Lahore, M. Sharif a déclaré qu’Ali avait avoué ses crimes lors d’un test polygraphique, ajoutant que des preuves ADN confirmaient que le suspect, Imran Ali, 24 ans, était impliqué dans l’agression sexuelle et le meurtre de plusieurs autres enfants à Kasur.
Syrie : Erdogan veut “se débarrasser” du PKK le long de la frontière turco-syrienne.
L’armée turque a pilonné et bombardé les positions kurdes syriennes dans le nord de la Syrie pour un cinquième jour, alors que le président Recep Tayyip Erdogan a menacé d’étendre l’offensive à l’est de la ville de Manbij.
La Turquie a lancé samedi l’ opération dans la région d’Afrin pour la débarrasser des combattants kurdes soutenus par les Etats-Unis, considérés par Ankara comme une menace pour sa sécurité.
Manbij, qui est également sous contrôle des Kurdes soutenus par les Etats-Unis , est situé à l’est de la ville d’Alep. Erdogan a déclaré qu’il prévoyait de “débarrasser complètement la région de ces problèmes”.
L’armée turque a déclaré mercredi que 260 combattants kurdes et de l’EI avaient été tués dans l’incursion, une affirmation réfutée par un commandant kurde, qui a déclaré que le nombre était “grandement exagéré”.
Les troupes turques ont pris le contrôle de diverses positions kurdes syriennes et ont créé des «zones de sécurité» dans ces zones, selon les médias turcs. Un soldat turc est mort pendant l’opération, selon l’armée.
Le Bangladesh et la Birmanie vont organiser un retour forcé des réfugiés rohingyas.
Il semble de plus en plus improbable que les rohingyas choisissent ou non de rentrer dans leur pays. La semaine dernière, les gouvernements du Bangladesh et du Myanmar ont renforcé leurs dispositions pour renvoyer les 650 000 Rohingyas qui ont fui la répression militaire.
Le Bangladesh a annoncé lundi que les retours seraient retardés dans l’attente de nouveaux «préparatifs», mais il reste que cet arrangement a été convenu sans consultation préalable des Rohingyas eux-mêmes.
Bien que l’arrangement reconnaisse l’exigence légale que les retours soient volontaires et effectués dans la sécurité et la dignité, il est difficile de voir comment cela pourrait se produire sans une transformation totale de la politique du Myanmar envers les Rohingyas. La non reconnaissance de l’armée du Myanmar concernant les atrocités commises contre les Rohingyas n’inspirent pas confiance dans le fait que le sort des Rohingyas au Myanmar s’améliorera de sitôt. L’armée a, jusqu’à présent, admis avoir tué seulement 10 personnes sur des milliers vraisemblables, et fait toujours référence aux hommes, femmes et enfants tués et torturés dans la répression comme étant des «terroristes».
Selon toute vraisemblance, le retour des Rohingyas sera confronté aux mêmes conditions misérables d’apartheid qu’ils ont récemment fui. Des parties spécifiques de l’affaire semblent le confirmer. Par exemple, il stipule que la liberté de mouvement des Rohingyas sera basée sur «la législation et la réglementation existantes» – autrement dit, un retour à un statu quo qui discrimine les Rohingyas, les sépare dans les bidonvilles frappés par la pauvreté et leur interdit de voyager. C’est pourquoi il est si important que les réfugiés eux-mêmes aient leur mot à dire.
Étant donné que de nombreux Rohingyas n’ont plus de maison au Myanmar, les deux gouvernements ont proposé de les transférer dans des camps de transit et des centres d’accueil. A en juger par le fait que quelque 120 000 Rohingyas ont vécu dans des camps de déplacés «temporaires» dans l’État de Rakhine depuis 2012, le déplacement de ceux qui reviennent sera vraisemblablement prolongé de l’autre côté de la frontière.
Le Bangladesh est l’un des pays les plus pauvres du monde et la présence d’environ un million de Rohingyas dans le pays – les derniers arrivants ont rejoint des centaines de milliers de Rohingyas déplacés lors de crises précédentes – a poussé les services et les infrastructures à la rupture.
Le 23 octobre dernier, une conférence d’annonce de contributions de haut niveau organisée à Genève pour recueillir des fonds pour la réponse humanitaire au Bangladesh n’a pas permis d’obtenir le total des fonds demandés. Aucun des fonds promis ne servira à financer les besoins d’infrastructure du Bangladesh et, de toute façon, il est uniquement conçu pour couvrir les besoins les plus fondamentaux des réfugiés – nourriture et logement – et seulement pour six mois. Au début du printemps, le Bangladesh sera de retour à la case départ. D’autres pays doivent d’urgence s’engager à soutenir le Bangladesh, financièrement et autrement, pour continuer à accueillir les demandeurs d’asile.
Le peu de soutien de la communauté internationale envers les Rohingyas n’est pas une nouvelle histoire. En 2015, des milliers de Rohingyas ont passé des mois bloqués dans des bateaux dans la mer d’Andaman, après avoir été rejetés à plusieurs reprises par les autorités côtières en Indonésie , en Thaïlande et en Malaisie. En septembre dernier, au plus fort de la répression militaire, l’Australie a tenté de soudoyer les réfugiés rohingyas dans son centre de détention de l’île de Manus afin qu’ils retournent au Myanmar.
Les réfugiés Rohingya ont un droit inaliénable de retourner au Myanmar. Cela signifie que toute personne qui souhaite revenir en vertu de l’accord devrait être en mesure de le faire. Le Bangladesh et le Myanmar doivent faciliter ces retours et, une fois au Myanmar, les autorités sont tenues de protéger leurs droits humains. Mais avant tout retour parrainé par l’État, le Myanmar a besoin d’effectuer un changement fondamental dans la façon dont il traite les Rohingyas, démanteler le système d’apartheid dans lequel vivent les musulmans et engager à assurer la responsabilité des crimes passés commis par les forces de sécurité.
Jusqu’à ce que cela se produise, les retours parrainés par l’État au Myanmar ne peuvent pas vraiment être considérés comme volontaires.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Karine Le Marchand, L’Amour est dans le pré et l’islam, une fausse polémique.
« Même si elle est musulmane, tu t’en fiches complètement ? » Cette question de Karine Le Marchand posée à un éleveur de vaches de L’Amour est dans le pré a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux à la diffusion du numéro lundi 22 janvier, jusqu’à faire naître… une polémique.
L’animatrice a été accusée d’avoir commis « un dérapage verbal » sur l’islam pour les uns ou encore de révéler « des préjugés antimusulmans » pour d’autres. Comment ? A la question si Thierry n’avait aucun problème à se mettre en couple avec une femme venant d’un univers différent du sien, l’éleveur déclare : « Moi, tant qu’elle peut se déplacer ici, je m’en fiche… c’est comme la religion. »
« Ah ! Tu t’en fiches aussi ? Même si elle est musulmane, tu t’en fiches complètement ? », lui-a-t-elle répondu.
Le monde rural français ne comptant sociologiquement que peu de musulmans et les préjugés sur ces derniers étant répandus, la question de Karine Le Marchand peut faire sens. Et rien ne présume, au travers de sa question, qu’elle a un problème avec l’islam. Faut-il donc vraiment en faire un foin ? Non.
Et si Thierry avait répondu que se mettre en couple avec une musulmane lui posait un problème, le public serait sans nul doute choqué par la réponse plutôt que par la question de la présentatrice qui aurait été finalement plutôt bien perçue… Mais cela est une autre histoire.
Inde : la sortie du film Padmaavat agite les radicaux hindous .
C’est sous haute tension que le film Padmaavat, de Sanjay Leela Bhansali, sort jeudi 25 janvier dans les salles indiennes. Des radicaux hindous, voulant empêcher sa diffusion, ont menacé de brûler les cinémas qui oseraient le mettre à l’affiche malgré l’injonction de la Cour Suprême de diffuser le film partout en Inde. Une décision prise après que des dirigeants d’États contrôlés par le Bharatiya Janata Party (BJP) aient exprimé leur souhait d’interdire le film.
Padmaavat, dont la sortie a été décalée de deux mois, est au centre, depuis plusieurs semaines, d’une polémique difficile à comprendre. Le film est accusé de salir l’honneur et les valeurs de la communauté rajput de confession hindoue.
Il conte l’histoire d’une princesse rajput légendaire nommée Padmavati qui aurait vécu au XIIIe et XIVe siècles. Son royaume aurait subi les assauts du monarque musulman de Delhi Alauddin Khilji qui voulait capturer la reine dont il était épris. Pour garder son honneur sauf, la princesse se serait immolée par le feu avec toutes les femmes de la ville. Selon de nombreux historiens, Padmavati n’aurait jamais existé ; la légende est principalement née d’un poème écrit en 1540 par le soufi Malik Muhammad Jayasi. Elle est cependant rentrée dans l’histoire pour de nombreux hindous qui refusent de voir son image salie.
L’ennui, c’est que personne n’avait vu le film, jusqu’à récemment par la presse indienne, souligne Courrier International qui cite ainsi plusieurs critiques.
Pour The Hindustan Times, Padmaavat ne met pas à mal les valeurs rajputs : « Est-ce que le film présente les Rajputs comme des héros ? Oui. Est-ce que les manifestations de groupes marginaux auront un sens une fois que les intéressés auront vu Padmaavat ? Absolument pas. »
Des forces de sécurité ont tout de même été dépêchées aux abords de nombreux cinémas du pays. Des émeutes ont déjà été signalées dans plusieurs villes. Quelques jours plus tôt, des émeutiers s’en sont pris à un bus transportant des écoliers en banlieue de New Delhi, heureusement sans faire de victimes.
Les résidences des deux stars interprétant les rôles principaux, Deepika Padukone and Ranveer Singh, ont été placées sous haute surveillance. Le film tant controversé devrait cependant faire un carton au box-office.
reportage a voir sur saphirnews.com.
France : Les signes religieux « ostensibles » interdits aux députés à l’Assemblée nationale.
« Il est désormais précisé que, dans l’hémicycle, l’expression est exclusivement orale », a fait savoir François de Rugy, président de l’Assemblée nationale, mercredi 24 janvier, après l’adoption par le bureau d’une proposition d’instruction générale encadrant les tenues vestimentaires des députés.
Un nouveau devoir de neutralité vestimentaire comprenant l’interdiction des signes religieux est ainsi imposé à des élus, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici en France.
Si la cravate n’est désormais plus obligatoire, « la tenue vestimentaire adoptée par les députés dans l’hémicycle doit rester neutre et s’apparenter à une tenue de ville », est-il aujourd’hui signifié. « Elle ne saurait être le prétexte à la manifestation de l’expression d’une quelconque opinion : est ainsi notamment prohibé le port de tout signe religieux ostensible, d’un uniforme, d’emblèmes, logos ou messages commerciaux ou de slogans de nature politique. »
« L’expression est exclusivement orale », précise-t-on, interdisant de fait aux députés de brandir des pancartes ou des vêtements imprimés de messages.
Cette décision a été prise, indique la présidence, après une polémique suscitée en décembre 2017 par la venue dans l’hémicycle de François Ruffin en… maillot de foot. Le député de la France Insoumise voulait alors défendre une proposition de loi visant à mieux financer le sport amateur. Il avait écopé pour cela d’une sanction financière à hauteur du quart de son indemnité parlementaire pendant un mois (près de 1 400 €).
La mesure a été adoptée par la majorité des 22 membres du bureau, à l’exception de la députée LFI Clémentine Autain.

Sur oumma.com, voici les titres.

Délire : Pour un religieux marocain, les relations sexuelles hors mariage, c’est le cancer de l’utérus assuré !
Obscurantisme quand tu nous tiens… Au Maroc, les assertions anxiogènes du Cheikh Abderahman Sekkach ont fait trembler les ondes de la radio Chada FM, notamment lorsqu’il a prétendu que les relations sexuelles hors mariage entraînaient à coup sûr le « cancer de l’utérus chez les femmes ».
Un cancer frappant comme une punition divine celles qui auraient ainsi fauté, en dehors du cadre marital. Et pour être encore plus clair, il a exhorté la gent féminine marocaine, et seulement elle, à s’abstenir de tout rapport sexuel fermement réprouvé par la religion.
Pour étayer ses dires, que d’aucuns ont jugé délirants et empreints de sexisme, Abderahman Sekkach a affirmé que le « code du sperme » de chaque époux est « imprimé dans le vagin de son épouse ». Son savant exposé a débouché sur la conclusion que, dans le cas de relations sexuelles hors mariage, ce fameux code n’étant plus reconnu, c’est le cancer de l’utérus assuré !
N’étant plus à une énormité près, il s’est également félicité qu’une « découverte extraordinaire de scientifiques occidentaux », puisée à une bien mystérieuse source scientifique, ait révélé récemment que « l’utérus a besoin de 4 mois et 10 jours pour effacer le code du sperme ». Un laps de temps correspondant précisément à la période de « deuil » dans l’islam, appelée « idda ».
Et de clamer au micro de Chada FM : « Ce que les savants occidentaux viennent de découvrir, le Prophète le savait déjà il y a 14 siècles ! ».
C’en était trop pour Soumaya Naamane Guessous, une professeure de sociologie émérite et militante féministe de la première heure ! Dans une lettre ouverte adressée au ministre des Affaires islamiques, cette spécialiste marocaine des sciences islamiques qui, pendant 30 ans, a consulté des érudits musulmans dans le cadre de ses travaux, a fustigé les déclarations péremptoires du dignitaire musulman et sa volonté d’exercer un contrôle sur le corps des femmes en brandissant la menace du cancer, ce mal du siècle.
« Est-il normal que le Maroc du 21ème siècle tolère encore ce genre d’idioties qui sont une insulte à l’intelligence des Marocains et à leur dignité ? », a-t-elle déploré, en exigeant des autorités qu’elles censurent sans délais ces personnalités religieuses rétrogrades.
« Est-il normal que le Maroc du 21ème siècle, qui a de grandes ambitions pour se moderniser, éduquer sa population et lutter contre l’obscurantisme religieux, tolère encore ce genre d’absurdités ? », a-t-elle poursuivi, avant d’enfoncer le clou : « Est-il acceptable que les directeurs de stations de radio donnent l’antenne à des gens aussi ignorants et leur permettent d’informer et de guider notre peuple ? ».
Moralité : ne s’improvise pas médecin qui veut, surtout si c’est pour asséner des inepties, présentées comme la vérité absolue par des dignitaires religieux qui sont restés aux portes du XXIème siècle.
Le chanteur Cali quitte le plateau, car il ne veut pas débattre avec Zemmour.
Un beau geste du chanteur Cali qui a refusé de débattre avec Eric Zemour, multirécidiviste de la haine et plusieurs fois condamné par la justice pour provocation à la discrimination et la haine. Dans l’émission L’heure des pros diffusé sur CNEWS, Cali s’est levé en précisant clairement les raisons de sa décision devant le silence gêné des autres invités: “ Ce monsieur a provoqué, a présenté la haine, a dit des mots terribles qui ont fait du mal à des gens (et encore aujourd’hui hui on lui laisse la parole (..) moi je ne veux pas être complice “.
reportage a voir sur oumma.com.
Egypte : Colère et dégoût au Caire : des poissons rouges meurent étouffés par la fumée émanant de la chicha.
Au Caire, ce sont des arômes à donner la nausée qu’exhale la dernière-née des chichas créée par le Ta5t Restaurant and Cafe. A chaque bouffée tirée, c’est le parfum insoutenable de la maltraitance animale qui se dégage, déclenchant une houle d’indignation parmi la population égyptienne.
Se débattant dans un bocal d’eau étroit, des malheureux poissons rouges meurent étouffés par la fumée émanant de la chicha, agonisant sous les yeux des clients du café, tout aussi dénués d’humanité que le sont les propriétaires de l’établissement et concepteurs de cette mise à mort, effarante et cruelle.
Cette chicha de la honte a provoqué un immense émoi dans la tentaculaire capitale égyptienne, notamment sur les réseaux sociaux où le spectacle horrible du supplice infligé à l’animal, devenu viral, a suscité colère et dégoût.
« C’est l’une des choses les plus laides et sadiques que j’ai jamais vues », s’est emportée Salma El-Tabakh, l’internaute égyptienne qui a diffusé les images sur la Toile, n’ayant pas de mots assez forts pour condamner les gérants du café, ces « êtres sadiques et inhumains », tout en exigeant que le ministère de la Santé prenne les mesures nécessaires contre leur établissement toutes affaires cessantes.
Eclaboussé par le scandale, le directeur du Ta5t Restaurant and Cafe est sorti de son mutisme pour invoquer une « erreur involontaire », assurant n’avoir « jamais mis un poisson dans la chicha en raison du mauvais goût que cela donnerait à l’eau ».
Mais face au choc des images, sa ligne de défense a échoué à faire retomber la vive émotion qui est à son comble au Caire, d’autant plus que la chicha aux arômes pestilentiels a depuis disparu de la carte de son établissement.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Bouteflika dans une interview parus dans le rapport relatif à l’Algérie d’Oxford Business Groupe : » La rationalisation financière sera accompagnée de réformes structurelles « .
La rationalisation macro-financière adoptée par l’Algérie sera accompagnée d’un programme de réformes structurelles pour transformer l’économie et réaliser l’objectif central de diversification des exportations et de pérennisation de la croissance, a affirmé le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans une interview publiée dans le rapport 2017 de l’Algérie élaboré par Oxford Business Group (OGB) rendu public hier.
Questionné sur les étapes à prendre afin d’ancrer structurellement le pays sur la voie de l’émergence, le Président Bouteflika a indiqué que suite aux sérieuses difficultés en matière de finances publiques et de balance des paiements, « nous avons, bien sûr, pris la mesure de cette situation de crise de nos finances publiques et de nos ressources externes et également et de manière plus générale, des limites structurelles du modèle économique suivi. » Les mesures pour faire face à cette situation ont été prises dans un cadre « qui sauvegarde nos principes dans la conduite du développement économique et social, en particulier la préservation de notre autonomie de décision et de nos équilibres sociaux ». Les nécessaires ajustements qui sont apportés à la politique budgétaire, a soutenu le Chef de l’Etat, « ne sacrifient pas les principes de justice sociale et de solidarité nationale qui ont toujours guidé notre action, et ne se font pas au détriment du parachèvement du programme d’équipement public ». Rappelant que pour l’année 2018, les ressources destinées au projet de budget d’équipement affichent une hausse de 76% pour relancer des projets gelés dans plusieurs secteurs, tandis qu’une hausse de 8% est prévue pour les transferts sociaux, M. Bouteflika a, toutefois, souligné, qu’il a été décidé de « rationaliser la dépense publique » pour non seulement retrouver progressivement l’équilibre des comptes mais également pour réduire la pression sur les ressources externes « en agissant de façon ordonnée sur le niveau général des importations de biens et services par la rationalisation et la lutte contre la fraude ».
Messahel expose la vision de l’Algérie sur la résolution des conflits au forum de Davos : » Nous contribuons à la stabilité des pays voisins « .
Dans le cadre de sa participation au Forum de Davos, en qualité de représentant du président de la République, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, qui a pris part hier en tant que panéliste à une session consacrée à la situation en Afrique du Nord et au Moyen- Orient. A ce propos, il a mis en exergue l’expérience algérienne dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, la dé radicalisation et la promotion des valeurs du vivre ensemble, de tolérance et de réconciliation, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Abordant la thématique centrale de la rencontre, le ministre a souligné que l’Algérie, « qui fait face à de nombreux défis découlant de la situation prévalant dans son environnement géopolitique, a réussi à surmonter ces difficultés, en raison notamment de l’expérience acquise dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent ». Messahel a rappelé à cet égard que l’Algérie, « qui a combattu et vaincu la furie meurtrière et destructrice de l’hydre terroriste dans les années 1990, mobilise aujourd’hui ses ressources pour consolider la stabilité et la sécurité, et promouvoir son développement socioéconomique ». Le ministre des Affaires étrangères est longuement revenu sur l’expérience de l’Algérie en matière de lutte contre le terrorisme en soulignant « la contribution de notre pays à la stabilisation de son voisinage immédiat en optant pour les voies pacifiques du dialogue, de la concertation et de la négociation ». Détaillant le contenu de la démarche globale de l’Algérie, Messahel a souligné que cette démarche « s’est appuyée notamment sur la politique de concorde civile et de réconciliation nationale qui a réuni à nouveau tous les enfants du pays autour d’un seul agenda, celui de la construction d’une Algérie moderne, démocratique, républicaine et respectueuse des droits de l’Homme et des libertés fondamentales ». Il a également évoqué les efforts de l’Algérie « pour le retour à la stabilité politique, économique, sociale et institutionnelle ». Messahel a, enfin, souligné que la politique de déradicalisation et de mise à l’abri de la population et du pays tout entier de potentiels futurs risques de radicalisation « a été et reste un axe fondamental dans les programmes sectoriels de l’Etat algérien ». « Cette démarche multisectorielle inclut les aspects politique, économique, social, éducatif, religieux et culturel », a précisé le ministre des Affaires étrangères.
Accidents de la route : 3639 morts en 2017.
Trois mille six cent trente neuf 3.639 personnes ont trouvé la mort et 36.287 autres ont été blessées dans 25.038 accidents de la route enregistrés durant l’année 2017, selon le bilan du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR). Ajoutant » Par rapport à l’année 2016, le CNPSR note une baisse du nombre d’accidents (-13.23%), du nombre de morts (-08.84%) et du nombre de blessés (-17.54%), alors qu’en 2016 il a été enregistré 3.992 morts dans 28.856 accidents de la route « . D’après la même source, le bilan des victimes des accidents de la route en Algérie a connu une baisse durant les dernières années, et ce, grâce aux mesures de sécurité routière et aux procédures juridiques rigoureuses contenues dans la nouvelle législation, ainsi qu’aux campagnes de sensibilisation ayant mené à une baisse continue des indicateurs de l’insécurité routière. En outre, l’analyse des données fournies par le CNPSR, fait ressortir qu’environ 96% des accidents de la route enregistrées durant le premier semestre de l’année précédente sont dues au facteur humain, à savoir l’excès de vitesse avec un taux avoisinant 22% outre le manque de vigilance des conducteurs dans les cités urbaines (13.15%) et les dépassements dangereux (6.37%). La tranche d’âge 18-29 ans constitue la tranche des conducteurs les plus impliqués dans les accidents de la circulation. Selon les statistiques fournies par le CNPSR, les conducteurs titulaires de permis de moins de 2 ans sont impliqués dans 27% des accidents. La valeur des dégâts matériels annuellement dépasse 100 milliards DA, selon des statistiques fournies par le laboratoire de transport à l’université de Batna en 2016. Dans le cadre de la lutte contre les accidents de la circulation, le CNPSR a initié plusieurs opérations et campagnes de sensibilisation relatives à la prévention et à la sécurité routières, en mobilisant différents moyens, notamment les supports médiatiques pour sensibiliser les automobilistes.
Les citoyens séduits par la formule : Le logement promotionnel aidé moins cher.
Depuis l’annonce de la nouvelle formule du logement promotionnel aidé (LPA), les citoyens se déplacent en nuées aux différentes APC pour s’inscrire et déposer leurs dossiers. C’est le ministère de l’habitat qui vient d’annoncer il y a quelques jours que le LPA sera le type de logement idéal pour les classes sociales moyennes ou pauvres. Une formule attractive qui permet aux citoyens à revenus moyens de bénéficier de ces logements. Depuis, c’est la ruée des citoyens pour s’enquérir des modalités d’inscriptions au niveau des APC et éventuellement de déposer leurs dossiers pour les prochains quotas. Il faut savoir que l’ancienne formule LSP a été réaménagée en LPA pour les ménages qui éprouvaient des difficultés d’accès au logement. Ainsi le coût final de ces nouveaux logements a été revu à la baisse. Aussi, indique-t-on que le prix d’un F2 est de 2,5 millions de dinars, celui d’un F3 se situe à 3,5 millions de DA et le F4 ne dépasse pas les 4,4 millions de dinars. L’aide de l’Etat à travers la CNL est maintenue à 700.000 DA non remboursable et le crédit bancaire est totalement bonifié. Quant à l’apport personnel du souscripteur, il ne doit pas dépasser 6 fois le SNMG soit une moyenne de 108.000 DA et moins. D’ailleurs, le postulant peut faire valoir le salaire du conjoint si son salaire est nettement inférieur au seuil requis. Mais quoi qu’il en soit, les souscripteurs pourront s’inscrire pour réserver leurs quotas. Le ministère de l’habitat a précisé dans un communiqué que » 70.000 logements de type LPA seront lancés prochainement » et chaque wilaya verra son quota octroyé entre 500 à 2000 unités selon la demande et la réserve foncière pou chaque région. Contrairement à ce qui se faisait par le passé, le LPA sera le logement de l’avenir pour la classe moyenne qui a tant souffert des attentes et du retard des réalisations au niveau de l’AADL. Le ministre de l’habitat a donné des instructions fermes aux directions de l’habitat et aux promoteurs d’accélérer la cadence des réalisations. Un nouveau cahier de charges oblige promoteurs et entrepreneurs de mettre le paquet pour réaliser les premières unités avant la fin de l’année. Le gros de la demande doit être absorbée avec un contrôle mis sous les auspices des différents walis. Aucun retard ne sera toléré dorénavant avec des mises en demeures qui seront adressées aux promoteurs qu’ils soient publics ou privés. Des résiliations de contrat peuvent être entamées si le chef de l’exécutif le constate dans les comptes rendus ou durant les visites d’inspection. En outre, les logements promotionnels aidés doivent être réalisés aux mêmes normes requises que les autres types de logements avec les commodités afférentes (ascenseurs, espaces verts, signalisation lumineuse…).
Présidentielle en Egypte : Al-Sissi refuse les concurrents sérieux.
Un nouveau concurrent au président égyptien Abdel Fattah al-Sissi pour la présidentielle du 26 mars, l’ex-chef d’état-major de l’armée Sami Anan, risque d’être écarté de la course après voir été accusé d’avoir falsifié des documents pour pouvoir se présenter. L’issue de cette troisième élection présidentielle depuis le renversement par une révolution populaire en 2011 du raïs Hosni Moubarak, ne semble donc faire guère de doute. Avant M. Anan, potentiellement hors course après les accusations publiées mardi par l’armée, trois concurrents ont été écartés ou ont dû renoncer à se présenter à la présidentielle. Le général Anan avait annoncé samedi son intention de se porter candidat à la présidentielle, quelques heures après la confirmation par M. Sissi, qui fut aussi un ex-chef d’Etat major, de sa volonté de briguer un second mandat. Or selon une vidéo publiée mardi sur sa page officielle Facebook, l’armée l’a accusé d’avoir annoncé sa candidature « sans l’autorisation des forces armées et sans suivre les procédures requises pour mettre fin à son service actif dans l’armée ». L’ancien chef d’état major est également accusé de « falsification de documents officiels pour affirmer que son service dans l’armée est terminé, contrairement à la vérité ». « Toutes les procédures judiciaires doivent être entreprises concernant ce qui a été commis en termes d’infractions et de crimes qui demandent sa comparution devant les juridictions compétentes », ajoute l’armée. On lui reproche encore de vouloir créer la « division » entre l’armée et le peuple égyptien. Selon l’entourage de M. Anan, l’ex chef de l’armée a même été arrêté mardi. « Il a été arrêté ce matin à son bureau à Zamalek (un quartier du Caire, ndlr) et a été emmené au parquet militaire », a assuré à l’AFP Hisham Geneina, l’un des responsables de l’équipe de campagne de M. Anan.
Importation de lait et sucre en 2017 : La facture toujours en hausse.
La facture d’importation des laits et produits laitiers, sucre et légumes secs a connu une hausse durant l’année 2017, a appris l’APS auprès des Douanes. Globalement, la facture d’importation du Groupe des produits alimentaires a augmenté à 8,44 milliards de dollars durant l’année 2017 (contre 8,22 milliards de dollars en 2016), soit une hausse de près de 2,6%, détaille le Centre national de l’information et des statistiques des Douanes (Cnis). Cependant, sur les principaux produits alimentaires, seules les importations des céréales et des viandes ont enregistré une baisse. Ainsi, les céréales (blé dur, tendre…), semoule et farine ont été importées pour un montant de 2,77 milliards de dollars (mds usd) contre 2,81 mds usd, en baisse de 1,34%. Les viandes ont été importées pour 188,47 millions de dollars contre 233,34 millions de dollars, soit une diminution de 19,23% Pat contre, la facture d’importation du lait et produits laitiers a bondi à 1,41 mds usd durant l’année 2017 contre 985,1 millions de dollars en 2016, en augmentation de 43,11%. Une même tendance haussière est constatée pour les légumes secs dont les importations se sont chiffrées à 450,5 millions de dollars contre 356,82 millions de dollars, en hausse de 26,25%. Quant à la facture d’importation des sucres et sucreries, elle a atteint 1,03 mds usd contre 912,25 millions de dollars, en hausse de 13,4%. Pour le café et thé, ils ont été importés pour un montant de 423,3 millions de dollars contre 396 millions de dollars, soit une augmentation de près de 7%. Concernant les huiles destinées à l’industrie alimentaire (classées dans le Groupe des biens destinés au fonctionnement de l’outil de production), leurs importations ont augmenté à 850,16 millions de dollars contre 704,52 millions de dollars, en hausse de 20,7%. Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l’industrie alimentaire a coûté 9,3 mds usd en 2017 (contre 8,92 mds usd en 2016). Par ailleurs, la facture d’importation des médicaments a reculé en passant à 1,89 mds usd contre 2,02 mds usd, en baisse de 6,4%. Pour rappel, un décret exécutif portant désignation des marchandises soumises au régime des restrictions à l’importation a été publié au Journal officiel no 1 de l’année 2018. Ce texte législatif note que les produits concernés « sont temporairement suspendus à l’importation jusqu’au rétablissement de l’équilibre de la balance des paiements ».
Alors que leur grève a été déclarée illégale et que des ponctions sur salaire les menacent : Les médecins résidents persistent et signent.
Le tribunal administratif de Bir Mourad Raïs, à Alger, a déclaré « illégale » la grève entamée depuis des mois par les médecins résidents, selon une source judiciaire. Le tribunal a émis hier, mercredi 24 janvier, un jugement en référé déclarant » illégale » la grève des médecins résidents, indique notre source. Au même moment, une réunion s’est tenue au sein du ministère de la Santé entre les représentants des grévistes et la tutelle, dans le cadre des travaux du comité intersectoriel installé il y a quelques jours en vue de trouver des solutions aux revendications de plus de 15 000 médecins-résidents de différentes spécialités. Par ailleurs, le Sit-in à l’Hôpital Mustapha Bacha continue avec la relève assurée. Hier matin, un grand nombre de médecins résidents sont venus soutenir leurs confrères qui ont passé plus de 24h sur place. La décision était attendue par les médecins résidents, leurs représentants nationaux ayant reçu, mardi, une convocation pour une audience au tribunal administratif qui a été reçu hier. Le jugement, tombé alors que les 12 délégués nationaux des grévistes rencontraient pour la deuxième fois la commission intersectorielle chargée de l’étude de leurs doléances, a été dénoncé par le Dr Nehlil Boussad, membre du bureau national du Camra comme étant la manifestation du » double jeu du ministère de la Santé » qui, selon lui, a appelé aux négociations » pour gagner du temps et discréditer le mouvement « . » Ils nous ont invités à négocier, mais toutes les rencontres ont été stériles. Lors de la première rencontre avec le ministre de la Santé, nous n’avons pu que remettre notre plateforme de revendications. Pendant la deuxième rencontre, le ministre a essayé d’intimider les délégués pendant 15 minutes sans même prendre le temps de les écouter alors que lors de la troisième et dernière rencontre avec lui, il nous a demandé de reformuler nos revendications « , a expliqué le Dr Nehlil.
Autorité de régulation de la presse écrite : L’installation se prépare.
Longtemps revendiquée par la corporation journalistique, l’installation de l’autorité de régulation de la presse écrite se fera dans « Les plus brefs délais », selon le ministre de la Communication, Djamel Kaouane.Meme si aucune date formelle n’a été annoncée, ce qui demeure certain, c’est que l’ARPE sera mise en place et cela ne saurait tarder. Et pour cause, M. Kaouane n’a pas manqué de réaffirmer à plusieurs occasions, l’engagement de son département à poursuivre les efforts pour « une meilleure prise en charge » des préoccupations des professionnels du secteur. En effet, dans une déclaration à la presse, à l’issue de la présentation d’un exposé sur le budget du secteur pour l’année 2015 devant la commission des finances et du budget de l’APN, en présence du ministre des Relations avec le parlement, Tahar Khaoua, M. Kaouane a indiqué mardi dernier que « l’installation de l’autorité de régulation de la presse écrite se fera dans les plus brefs délais », ajoutant qu’ »un travail important » a été accompli dans ce sens. A une question sur l’activation du fonds d’appui à la presse écrite, le ministre a indiqué que le Premier ministre avait abordé la question auparavant, mettant en avant « le progrès » réalisé dans ce domaine. Il a affirmé, d’autre part, que le satellite algérien Alcomsat-1, lancé en décembre dernier « est à même de fournir des services importants pour les chaînes de télévision, notamment en termes de transmission et de numérisation ». Répondant aux questions des députés de la commission, M. Kaouane a souligné que son département « est engagé à poursuivre et à redoubler d’efforts pour une meilleure prise en charge des préoccupations croissantes des acteurs du secteur, aussi bien publics que privés, en ce qui a trait au niveau technologique, à l’organisation et la gestion, en oeuvrant à moderniser les structures publiques et à actualiser la qualité des prestations ». Il a réaffirmé, en outre, que la liberté de la presse et d’expression est garantie par la Constitution, reconnaissant toutefois « l’existence de certains dépassements inacceptables, notamment l’atteinte à la dignité des personnes, dus en premier lieu à un manque de formation chez les journalistes ».
Logement L P A : L’aide de l’Etat fixée à 700.000 Dinar.
Le gouvernement a fixé l’aide de l’État pour le logement promotionnel aidé (LPA). Selon un décret exécutif publié au Journal officiel avanthier, cette aide a été fixée à 700.000 DA lorsque le revenu est inférieur ou égal à quatre fois le salaire national minimum garanti. » Pour l’acquisition d’un logement promotionnel aidé (LPA), l’aide frontale octroyée par l’Etat est de 700.000 DA lorsque le revenu est inférieur ou égal à quatre fois le salaire national minimum garanti « , stipule le décret. Les conditions et les modalités financières ainsi que les mécanismes de financement de la réalisation du logement promotionnel aidé sont définis par arrêté conjoint du ministre des finances et du ministre chargé de l’habitat, a précisé le décret. En outre, ce décret fixe les niveaux de l’aide frontale octroyée par l’Etat pour l’accession à la propriété d’un logement collectif ou pour la construction d’un logement rural, ou d’un logement individuel réalisé sous forme groupée dans les zones définies du Sud et des Hautsplateaux, les niveaux de revenu des postulants à ces logements ainsi que les modalités d’octroi de cette aide. Dans ce cadre, il a indiqué que ce décret a pour objet de modifier et de compléter certaines dispositions du décret exécutif n 10-235 du 5 octobre 2010. Pour l’application des dispositions du ce décret, sont désignés par logement collectif ou individuel réalisé sous forme groupés: logement promotionnel aidé (LPA) qui est un logement neuf réalisé par un promoteur immobilier agréé, en collectif ou en individuel sous forme groupée destiné à des postulants éligibles à l’aide frontale octroyée dans le cadre des dispositions de ce décret. Il a également précisé que le logement individuel sous forme groupée ne peut être réalisé que dans des zones des wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux, tel que défini par le ministre chargé de l’habitat, la réalisation du logement promotionnel aidé, est soumise à des spécificités techniques qui sont définies par arrêté du ministre de l’habitat de l’Urbanisme et de la Ville. Concernant le logement destiné à la location-vente, il a défini comme « un logement neuf réalisé dans le cadre des dispositions du décret exécutif n 01-105 correspondant au 23 avril 2001, modifié et complété, fixant les conditions et modalités d’acquisition, dans le cadre de la location-vente, de logements réalisés sur fonds publics ou sur ressources bancaires ou tous autres financements ». Quant au logement rural, il n’y a pas eu de changements dans les modalités d’octroi de l’aide de l’Etat..

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Révolte en RDC : chrétiens et musulmans unis face au clan Kabila et ses alliés étrangers.
Dimanche dernier, au moins six personnes ont été tuées et 49 autres blessées en République démocratique du Congo, lors de la « marche des chrétiens », organisée pour exiger le départ de Joseph Kabila et pour demander l’application de « l’accord de la Saint Sylvestre ».
« Qu’il parte ! On n’en peut plus »
Une marche qui fait suite à celle du 31 décembre dernier, violemment réprimée par les forces de l’ordre, à coup de gaz lacrymogènes dans les églises.
Cette fois-ci, les forces de sécurité ont également tiré à balles réelles pour disperser la foule. 69 personnes ont également été arrêtées selon la Mission des Nations unies au Congo (Monusco).
Et alors que l’Eglise catholique du pays a multiplié les actions ces dernières semaines contre l’homme fort de Kinshasa, le 19 janvier, des responsables musulmans ont également exprimé leur soutien à des marches pacifiques et demandent à Joseph Kabila de respecter ses engagements. Retour sur cette crise.
Pourquoi les Congolais manifestent-ils ?
Les Congolais et les membres de l’opposition demandent le départ de Joseph Kabila arrivé au pouvoir par succession monarchique en 2001, suite à l’assassinat de son père, et maintenu à la tête du pays malgré deux scrutins électoraux contestés en 2006 et 2011. Son mandat aurait dû s’achever fin 2016, mais il refuse depuis de céder sa place, repoussant toujours l’élection présidentielle. Déjà en décembre 2016, les Congolais avaient organisé des manifestations pacifiques, qui avaient fait une vingtaine de morts. Mais plus d’un an après, Joseph Kabila est toujours au pouvoir. Dimanche, les manifestants ont exprimé leur colère : « Qu’il parte ! Il ne fait que tuer les gens, on n’en peut plus ». « Kabila doit partir, nous n’allons plus lui laisser du temps », ont crié les manifestants.
Une colère qui gronde de plus en plus, alors que l’accord de « la Saint Sylvestre », signé le 31 décembre 2016 n’a pas été respecté. Ce texte prévoyait que Kabila reste un an mais que l’opposition lui propose trois candidatures de Premier ministre. Il a au final choisi lui-même son Premier ministre dans les rangs de l’opposition, sans leur approbation. L’accord prévoyait également des élections au plus tard fin 2017. Mais la tenue du scrutin a été reportée au 23 décembre 2018, une échéance contestée par l’opposition et la société civile congolaise.
Pourquoi Joseph Kabila s’accroche-t-il au pouvoir ?
Joseph Kabila s’accrocherait à son poste de président principalement pour ses propres ses intérêts financiers. « Lui et sa famille ont amassé une énorme somme d’argent, on parle de centaines de millions de dollars », expliquait Ida Sawyer de l’organisation Human Rights Watch.
En effet, si la RDC reste l’un des états les moins développés, faisant face à une grande pauvreté, c’est aussi l’un des plus corrompus au monde. Hommes d’affaires étrangers et hommes politiques se partagent les dividendes des immenses richesses naturelles (mines, bois, diamants..). L’agence de presse américaine Bloomberg, le Groupe d’Étude sur le Congo (GEC) et l’ONG Global Witness ont révélé il y a quelques mois dans un rapport la fortune colossale et tentaculaire de la famille Kabila, présente dans tous les secteurs de l’économie congolaise.
Quel est le rôle de l’Eglise dans ces manifestations ?
Les deux dernières marches pacifiques et non violentes sont à l’origine du Comité laïque de coordination, proche de l’Église catholique : « Ce dimanche 21 janvier 2018, main dans la main, comme d’habitude, allons marcher pacifiquement avec nos rameaux de paix, nos bibles, nos chapelets, nos crucifix pour sauver le Congo ».
Les catholiques du pays sont également à l’origine de messes anti-Kabila, sévèrement réprimées par les forces de polices congolaises. Ils demandent au président de dire publiquement qu’il ne briguera pas un nouveau mandat, conformément à la Constitution. Le cardinal de Kinshasa, Laurent Monsengwo, très respecté dans le pays, a particulièrement été critique envers le régime Kabila. Il avait appelé le 3 janvier aux départs des « médiocres », visant le président et ses proches et a condamné « le règne de la loi de la force » en RDC.
L’Eglise catholique joue donc un rôle important dans cette crise et elle a toujours eu une influence sur la vie politique et sociale en RDC, au sein d’une population majoritairement catholique et très pratiquante. L’Eglise catholique est une institution structurée au Congo, et elle est très active sur les questions d’éducation et de santé auprès de la population. Elle s’est aussi souvent posé comme intermédiaire lors des périodes de transition politique.
Kabila a-t-il utilisé Israël pour obtenir le soutien de Trump ?
En mai dernier, Jeune Afrique révélait que Kinshasa avait fait appel à une société basée en Israël pour représenter la RDC à Washington de décembre 2016 à décembre 2017. Des contrats de lobbying d’un montant de 5,5 millions de dollars ont été mis à jour avec MER Security and Communication Systems, une société israélienne spécialisée dans la sécurité et les nouvelles technologies. MER devait ainsi préparer la venue à Washington de « l’envoyé spécial de la RDC » aux Etats-Unis, Raymond Tshibanda, l’ex-ministre des Affaires étrangères. MER devait aussi organiser des réunions avec des responsables du gouvernement américain.
L’homme d’affaire israélien Dan Gertler avait offert 20 millions de dollars contre un quasi monopole sur le diamant… et lui éviter une rébellion
Barack Obama et Hillary Clinton ont toujours poussé Kabila vers la sortie à la fin de son second mandat, en gelant les avoirs aux Etats-Unis de certains hommes hauts placés, notamment des chefs de la police. Les cadres du régime congolais ont donc vu d’un bon oeil l’arrivée de Trump au pouvoir. « Il s’agissait pour le président Joseph Kabila d’anticiper les actions, pour que la nouvelle administration américaine ne poursuive pas la politique des sanctions contre son entourage », confiait un membre du corps diplomatique congolais à Jeune Afrique. Cela a t-il suffit à réellement faire basculer les Etats-Unis sur la crise en RDC ?
Toujours est-il que les relations entre Israël et la RDC sont bien établies et que Kinshasa a un allié de poids. En RDC, l’homme d’affaires israélien Dan Gertler est un proche du président Joseph Kabila. Cuivre, pétrole, industries du diamant, agro-alimentaire… le milliardaire domine la vie économique du Congo et il joue un rôle fondamental dans le contrôle de la famille Kabila sur la RDC depuis vingt ans, comme le révèle le site Al Arabiya. Dan Gertler a une fortune estimée à 1,26 milliard de dollars par le magazine Forbes en 2015.
Il est arrivé en RDC en 1997, soutenant le père défunt de Joseph Kabila, Laurent Kabila, alors président. Les deux hommes avaient à l’époque signé un accord. Dan Gertler offrait à Laurent Kabila 20 millions de dollars pour éviter une rébellion dans l’est du pays. En échange, il obtenait un quasi-monopole sur les gisements de diamants de la même région. Une amitié qui a perduré avec le fils, selon les dernières informations de Politico. L’homme d’affaire israélien serait devenu l’émissaire spécial de Kabila, avec pour mission de lui négocier le soutien des Etats-Unis. Ainsi, consolider le pouvoir de Kabila et assurer son maintien à la tête du pays est donc nécessaire pour la prospérité des affaires.
Quelles sont les positions de la France et de la Belgique ?
Sur les réseaux sociaux, le hashtag #BoycottFrance circule sur des comptes de militants congolais opposés au maintien au pouvoir du président Joseph Kabila. Plusieurs caricatures évoquent « les sponsors de la barbarie en RDC » dont le chef de l’Etat français, Emmanuel Macron, et son homologue espagnol, Mariano Rajoy, suite à la répression de la marche du 31 décembre. « Le communiqué du Quai d’Orsay était très mou. Puis on a appris que la France et l’Espagne bloquaient le communiqué de l’Union européenne condamnant la répression. La polémique a décollé », explique le dessinateur congolais Kash, auteur de ces caricatures, au journal Le Monde. Une accusation portée sur « deux pays ayant des intérêts industriels au Congo » selon les militants congolais.
Au sein du Quai d’Orsay, les diplomates avancent une opération de « fake news » et parlent d’une « campagne de nuisance politique intentionnelle » visant la France qui avait réitéré dans un communiqué son « appel au respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, notamment le droit d’expression, d’information et de manifestation pacifique » au Congo. Quant à la Belgique, autre ancien pays colonisateur du Congo, elle a décidé de faire pression sur Kabila, en privant le pays d’une aide financière de 25 millions d’euros le 11 janvier dernier.
Robert De Niro accusé de s’accaparer les terres des habitants de la Barbade.
Le passage de l’ouragan Irma début septembre, avec des vents violents allant jusqu’à 300 km/h, a causé des dégâts catastrophiques dans les îles de Barbuda, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Anguilla et les Iles Vierges dans l’Atlantique.
Ces îles paradisiaques et paradis fiscaux attirent depuis des décennies des riches célébrités, dont l’acteur Robert De Niro, qui a racheté le bail d’un ancien hôtel «Le Club K» sur l’île de la Barbade, pour en faire un grand complexe hôtelier.
En septembre dernier, il annonçait vouloir s’impliquer dans la reconstruction de la Barbade, où plus de la moitié de la population est sans-abri ou déplacée et où 95 % des bâtiments sont détruits.
« Nous sommes plus qu’attristés d’apprendre que Barbuda a été dévastée par le cyclone Irma et attendons de travailler avec l’équipe du Paradise Found Nobu Resort, le Conseil de Barbuda, GOAB et toute la communauté de l’île afin de reconstruire ce que la nature nous a enlevé », déclarait la star dans un communiqué.
Mais derrière ce geste bienfaisant se cachent surtout les ambitions immobilières de Robert De Niro sur l’archipel. Lui et le milliardaire James Packer ont pour projet d’agrandir leur hôtel de 120 hectares supplémentaires. Une extension colossale qui n’est pas vraiment du goût de la population locale. Mais Robert De Niro aurait déjà investi 250 millions de dollars sur dix ans.
Le site d’investigation The Intercept révèle que Robert De Niro aurait profité de l’après-Irma pour accélérer le processus de changement de la loi foncière communautaire de l’île, avec la complicité de certains dirigeants politiques. Une modification de la loi qui est, bien sûr, dans l’intérêt des promoteurs et du sien.
Un bail à Robert De Niro de 198 ans pour 6,2 millions de dollars
Le « Barbuda Land Act », la loi sur les terres de la Barbade de 2007, indique que ce sont les natifs de l’île qui possèdent les terres. Ainsi, cette loi précise que les habitants doivent donner leur consentement pour les grands projets de développement sur l’île.
Une coutume qui perdure depuis des décennies, où les terres acquises sont transmises aux descendants de chaque famille et les terres de brousse mises en commun.
Cela a ainsi empêché l’achat de terre par des étrangers et donc l’installation de grands hôtels, restaurants et casinos non gérés par la population locale. Si les promoteurs pouvaient louer des terres pendant 50 ans, leurs projets devaient obtenir le consentement de la majorité des Barbadiens.
Mais depuis 2016 déjà, Gaston Browne, l’actuel Premier ministre d’Antigua-et-Barbuda, souhaite que l’île se tourne vers un système foncier privatisé. Le 11 septembre, il a annoncé qu’il voulait réformer la loi afin que les terres communales puisse être achetées et vendues par quiconque prétendant à la résidence sur l’île.
Quelques mois avant, le Premier ministre aurait également promis à De Niro un bail de 198 ans pour 6,2 millions de dollars, ainsi que de nombreux avantages fiscaux, selon les informations de The Intercept.
« Nous sommes attristés par l’ampleur des dégâts », a déclaré le Premier ministre dans une interview au New York Times, « mais il y a des opportunités à exploiter ». Gaston Browne semble en effet vouloir tirer profit de la vulnérabilité de la population (largement déplacée sur Antigua) et davantage préoccupée par la reconstruction des maisons et la réouverture des écoles, pour s’attaquer à ses droits fonciers.
« C’est juste une arnaque pour enlever les terres aux Barbudiens ».
Avec toutes ces destructions, la transformation de l’île est désormais possible et accessible aux investisseurs. « Rien n’est disponible sur le terrain pour permettre aux Barbadiens de revenir », a déclaré le premier ministre, alors que l’île reste partiellement sans eau ni électricité.
Du côté des insulaires, environ 1 800 sur l’île, ce changement dans la loi ne passe pas du tout. « Nos pires craintes sont en train de devenir réalité. Les pouvoirs en place veulent voler nos terres », a déclaré un habitant au Telegraph.
Le Parlement a effectué une première lecture du projet de loi de 2017 sur l’amendement à la loi sur les terres de Barbuda le 12 décembre dernier. Dans cet amendement, la clause déclarant l’île comme « détenue de manière commune par le peuple » a été supprimée et remplacée.
« C’est juste une arnaque pour enlever les terres aux Barbadiens afin qu’ils puissent la donner à des gens comme Robert De Niro » a commenté pour The Intercept, Mackenzie Frank, un ancien sénateur de l’île.
Face à cette controverse, Robert De Niro préfère garder le silence. Mais une grande partie de la population l’estime complice d’un accaparement des terres.
Les Roms, « victimes oubliées de l’Holocauste ».
Ce mercredi, le Parlement européen recevait, en mémoire des victimes de l’Holocauste, une délégation de députés européens d’ascendance Rom. Ces derniers ont profité de cet événement — c’est la première fois que l’instance européenne accueillait un tel rendez-vous — organisé par le Congrès juif européen pour rappeler que, « durant la Seconde Guerre mondiale, les membres de la communauté Rom, entre autres, ont été opprimés par le régime nazi. »
Pour Livia Jaroka, vice-présidente du Parlement européen et rapporteur à l’Union européenne sur la stratégie européenne à l’égard des Roms, ces derniers « sont les victimes oubliées de la Shoah. » Entre 1939 et 1945, 23 000 Tsiganes auraient été internés dans le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. Si les chiffres du génocide les concernant restent flous, on estime que 25 % des Tsiganes européens auraient été exterminés, soit plus de 220 000.
« Toutes les victimes ont fait face aux mêmes souffrances, au même sort, à la même fin, par les mêmes bourreaux », a de son côté indiqué Soraya Post, membre du parlement et rapporteur sur les Droits des Roms. Une façon de rappeler, à deux jours de la Journée internationale de commémoration de la Shoah, que les Roms sont rarement conviés aux cérémonies. Il avait d’ailleurs fallu attendre 1982 pour que soit reconnu par l’Allemagne le génocide tsigane.
Cette rencontre a également été l’occasion pour les Roms de rappeler les craintes qui sont les leurs quant à la montée de l’extrême-droite en Europe. Les députés ont dénoncé les « marches ouvertement néo-nazies » qui ont lieu dans plusieurs capitales et estimé que ces groupuscules « ne devraient pas avoir de place dans l’espace public. » Parmi les pays visés, la Bulgarie et ses 21 ministres d’extrême droite.
Soraya Post a conclu en estimant « que le peuple juif aurait pu en faire davantage pour les Roms, et peut-être que dorénavant, ils y penseront. »

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Il faut « exiger la fin des pratiques de détentions qui constituent une violation des droits des enfants » en Israël.
À la suite de l’affaire Ahed Tamimi, un collectif de signataires, parmi lesquels le médecin Rony Brauman et la socio-anthropologue Nicole Lapierre, appelle le président Macron dans une tribune au « Monde » à agir pour inciter Israël à mettre fin à un système où des centaines d’enfants sont condamnés par des tribunaux militaires.
Tribune. Nous sollicitons le soutien du président de la République et son intervention pour l’arrêt de la détention d’enfants palestiniens dans les prisons israéliennes. Nous voulons en particulier attirer son attention sur le cas de Ahed Tamimi poursuivie par le gouvernement israélien : le 15 décembre dernier Mohamed Tamimi 15 ans est atteint à la tête par une balle de métal recouverte de caoutchouc tirée à courte de distance par des soldats de l’armée d’occupation israélienne. Le jeune garçon était dans un état critique et sa cousine Ahed Tamimi, âgée de 16 ans, était visiblement bouleversée par l’annonce de son état et la gravité de ses blessures
Ces mêmes soldats ont approché une heure plus tard la maison familiale, et Ahed les a frappés en leur criant de partir. Ce moment filmé par sa mère et diffusé sur les réseaux sociaux montre le courage d’une adolescente affrontant à mains nues deux soldats lourdement armés.
Le 19 décembre 2017, Ahed Tamimi est enlevée chez elle en pleine nuit par l’armée puis traduite devant un tribunal militaire. Les douze motifs d’inculpation retenus contre elle lui font courir le risque de 12 ans de prison. Les tribunaux militaires israéliens ne traitent que des cas de prisonniers palestiniens avec un taux de condamnation de 99,74 %. Ainsi, l’avenir de Ahed Tamimi paraît sombre sans notre intervention.
Certains âgés de 12 ans.
Nous lui demandons d’apporter urgemment son soutien à la libération immédiate de Ahed Tamimi et à la levée de toutes les charges retenues contre elle.
Le cas de Ahed Tamimi n’est pas isolé. Selon l’association Defense of Children International-Palestine, Israël poursuit chaque année de 500 à 700 enfants devant des tribunaux militaires, certains âgés de 12 ans, et détient en prison une moyenne de 200 enfants en toute période.
Selon les enquêtes des agences des Nations unies, dont l’Unicef, Human Right Watch, B’tselem, Amnesty International, and Defense for Children International – Palestine, trois enfants arrêtés sur quatre subissent des violences lors de leur arrestation ou des interrogatoires…

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Des mineures parmi les 34 détenues palestiniennes torturées dans la prison de Hasharon
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Au moins 34 détenues palestiniennes ont été soumises à des conditions abjectes de captivité dans la prison israélienne de Hasharon.
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Naplouse: Un enfant blessé au cou par une balle des forces israéliennes
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Divulgation des arrangements préliminaires pour le transfert de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem
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21 organisations humanitaires s’opposent à la réduction des contributions américaines à l’UNRWA
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Décision d’établir une nouvelle colonie dans le nord de la Cisjordanie occupée
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Une femme palestinienne arrêtée près de la mosquée Ibrahimi à Hébron
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Les forces d’occupation rasent 5 structures palestiniennes à Naplouse et dans la vallée du Jourdain
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Des dizaines de colons envahissent la mosquée d’Al-Aqsa
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Raids continus dans le cadre de la poursuite de Jarrar
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 14 citoyens de la Cisjordanie occupée
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Hamas: La loi sur les corps des martyrs est une tentative désespérée d’arrêter l’Intifada
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Renouvellement des affrontements au nord de Selfit
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Une délégation parlementaire palestinienne rencontre Erdogan
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L’interdiction de l’Adhan sera rediscutée à la Knesset la semaine prochaine
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Des jeunes palestiniens lancent des pierres sur les voitures des colons à Halhul
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Conflit israélo-Palestinien: réunion d’urgence du Conseil de l’Europe
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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