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Flash info du 24 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Qui sont les sept sous le trône d’Allah (soubhanou wa ta’ala) ?
Au moment de l’attente d’être ressuscités et rassemblées devant Allah le Tout Puissant, les créatures devront subir la terrible chaleur suffocante du soleil.
Les hommes seront rassemblés, au Jour de la Résurrection, sans vêtements, pieds-nus et non circoncis. » Aïcha demanda au Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) : « Ô Messager d’Allah ! Est-ce que les hommes et les femmes seront tous ensemble, se voyant les uns les autres (nus) ? » Il lui répondit : « Ô Aicha, la situation sera si grave que l’on ne pensera pas se regarder les uns les autres. » (Boukhari et Mouslim).
Cependant, certains seront à l’abri de cette chaleur proportionnelle à la gravité de leurs péchés sur Terre.
Pour savoir qui sera par la volonté d’Allah soubhanou wa ta’ala, susceptible d’être dans l’ombre d’Allah le jour du jugement, un hadith éclaire sur les différentes catégories de personnes qui bénéficieront de cet ultime privilège.
D’après Abou Houreira (qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit :
« Sept personnes seront couvert par Allah dans son ombre le jour où il n’y aura pas d’autre ombre que son ombre :
– un dirigeant juste,
– un jeune qui a grandit dans l’adoration de son Seigneur,
– un homme dont le coeur est accroché aux mosquées,
– deux hommes qui se sont aimés pour Allah, ils se sont rassemblés pour lui et se sont séparés pour lui,
– un homme qu’une femme noble et belle a appelé et lui a dit : Je crains Allah,
– un homme qui a fait une aumône qu’il a cachée au point où sa main gauche ne sait pas ce que sa main droite a dépensée,
– un homme qui a mentionné Allah alors qu’il est seul et s’est mis à pleurer ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°630 et Mouslim dans son Sahih n°1031).
« Ô les croyants ! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Allah et (soyez) des témoins équitables. Et que la haine pour un peuple ne vous incite pas à être injustes. Pratiquez l’équité : cela est plus proche de la piété. Et craignez Allah. Car Allah est certes Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites. » (Coran, 5/8).
Un jeune qui a grandit dans l’adoration de son Seigneur :
« Tire bénéfice de cinq choses avant cinq choses : ta vie avant ta mort, ta santé avant ta maladie, ton temps libre avant ton activité, ta jeunesse avant ta vieillesse, ta richesse avant ta pauvreté. » (al-Hakim).
Un homme dont le cœur est accroché aux mosquées :
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « La prière effectuée en commun est vingt-cinq fois supérieure à celle accomplie chez soi ou au marché. Cela, parce que lorsque le croyant accomplit soigneusement ses ablutions puis sort uniquement en vue de se rendre à la mosquée, chaque pas qu’il fait l’élève d’un degré et lui efface un péché. Une fois sa prière terminée, les anges ne cessent d’invoquer Allah en sa faveur tant qu’il demeure sur son lieu de prière et qu’il conserve ses ablutions ; ils s’adressent [à Allah] en ces termes : « Seigneur, pardonne-lui ! Seigneur, fais-lui miséricorde ! » Et il demeure ainsi en prière tant qu’il attend l’accomplissement de la prière suivante. » (Boukhari et Mouslim).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Le film d’animation “Bilal” débarque aux Etats-Unis.
Produit par la société Barajoun Entertainment basée à Dubaï, « Bilal », le premier film d’animation, grand spectacle, réalisé par des artistes saoudiens poursuit sa belle aventure dans les salles obscures et, deux ans après sa sortie très remarquée, notamment à Cannes, s’apprête à débarquer aux Etats-Unis, le 2 février prochain.
Puisant son inspiration dans le fabuleux destin de Bilal Ibn Rabah, plus connu sous le nom de Bilal Al-Habashi, l’esclave éthiopien passé à la postérité en tant que proche compagnon du Prophète Muhammad (saws) et premier muezzin de l’histoire, ce grand film d’aventures met en scène un jeune héros, vertueux et valeureux, aux prises avec les tumultes d’une époque lointaine dont il finira par triompher, en se libérant de ses chaînes.
« Il y a mille ans, un jeune garçon, qui caressait le rêve de devenir un grand guerrier, a été enlevé avec sa sœur et emmené dans un pays loin de chez lui. Jeté dans un monde où la cupidité et l’injustice régnaient en maîtres, Bilal a puisé en lui la force et le courage d’élever la voix et d’appeler au changement. Cette histoire est celle d’un homme d’exception dont le souvenir impérissable a traversé les siècles », tel est le synopsis couché sur le papier par Ayman Tariq Jamal il y a huit ans de cela, avant de s’animer sur grand écran grâce à une équipe composée de 250 artistes arabes de talent.
Véritable Superman des temps immémoriaux, le « Bilal » imaginé, conçu et réalisé par le Saoudien Aymal Tariq Jamal avec une grande rigueur historique a bénéficié des précieux avis et conseils de 11 chercheurs émérites, chaque personnage ayant été modélisé à partir des descriptions précises mises en exergue dans des ouvrages de référence.
Le public américain se laissera-t-il à son tour emporter par le souffle épique du film d’animation « Bilal » ? Réponse dans moins d’un mois, devant les salles de cinéma de l’autre côté de l’Atlantique…
reportage a voir sur oumma.com.
Tunisie : la police use de gaz lacrymogènes contre des manifestants qui protestent contre l’augmentation des prix.
Les heurts entre manifestants et policiers se poursuivent à Tebourba, en Tunisie, après la décision du gouvernement d’augmenter prix et impôts. La police a recouru aux gaz lacrymogènes pour les disperser.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Le retour discret de l’islam dans les terres de l’Azerbaïdjan post-soviétique.
Le quartier du vieux Bakou, dans la capitale de l’Azerbaïdjan.
Indépendante depuis 1991, composée d’une population dense de 10 millions d’habitants pour un territoire de 86 600 km2, la République d’Azerbaïdjan retrouve progressivement un rapport normatif apaisé avec l’islam, après des décennies d’une répression organisée au nom d’un athéisme d’Etat par des pouvoirs communistes. Pour en saisir la portée et la spécificité, Mizane Info vous propose la traduction d’un article en anglais de la journaliste Ayseba Umutlu pour Aljazeera, accompagnée d’une iconographie.
Dans ses souvenirs de l’Islam pendant la période soviétique Fargana Gasimova se rappelle que la foi devait être cachée. Ses grands-parents priaient et jeûnaient en secret, en prenant soin de dissimuler toute trace de leur religion à l’appareil de surveillance des autorités soviétiques. « Nous n’avions pas le droit de prier ou de porter le hidjab en Azerbaïdjan pendant l’URSS », confie-t-elle à Al Jazeera. « Seul l’athéisme s’est propagé dans toute l’Union soviétique, y compris en Azerbaïdjan », ajoute-t-elle. Bien que ses racines dans le pays remontent au VIIe siècle, la pratique de l’Islam pendant la période soviétique a été à la fois réprimée et fortement réglementée. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique et la réapparition de l’Azerbaïdjan en tant que république indépendante (1991), ces restrictions ont été largement assouplies et la pratique de l’islam a refait surface dans la vie de tous les jours. « Après l’indépendance en 1991, nous avons eu beaucoup de possibilités (de pratiquer la religion), et nous avons recouvré notre liberté religieuse », témoigne Gasimova. « Je peux facilement porter le hidjab sur nos chaînes de télévision et dans les salles de concert. » Fargana Gasimova est une chanteuse de Mugham, une forme de musique folklorique azerbaïdjanaise. Elle est également la fille d’Alim Gasimova, l’un des plus grands artistes du pays. Elle a commencé à pratiquer sa foi à l’âge de 20 ans et quatre ans plus tard a commencé à se couvrir les cheveux avec un foulard. « Je ne suis pas confrontée à des interdictions dans mon pays », dit-elle.
« Il n’y avait que deux madrasas dans toute l’URSS ».
L’Islam a joué un grand rôle dans la définition de la culture azerbaïdjanaise et, au moins nominalement, entre 93 et ​​99% de sa population est musulmane, dont la majorité est chiite et une minorité sunnite. Le pays, qui se trouve au pied occidental de la mer Caspienne, a brièvement connu l’indépendance de la Russie en 1918, au sein d’une république laïque qui a assuré le libre exercice de la religion. La Constitution du pays donnait alors aux citoyens « tous les droits civils et politiques, indépendamment de leur origine ethnique, de leur religion, de leur classe, de leur profession ou de leur sexe ». Mais l’armée rouge de Lénine l’envahit en 1920, absorbant le pays dans l’Union soviétique pour les sept prochaines décennies.
Sous le régime soviétique, il n’y avait que 18 mosquées actives, mais après l’effondrement de l’Union soviétique, ce nombre est passé à 2 000. Après l’indépendance en 1991, le gouvernement a consacré la liberté de religion dans la constitution du pays et lancé un programme de rénovation et de restauration de centaines de mosquées.
Les musulmans azerbaïdjanais, comme les autres citoyens soviétiques qui étaient musulmans, juifs ou chrétiens, ont été confrontés à de fortes restrictions sur leur pratique religieuse. « Les gens n’étaient pas autorisés à recevoir une éducation religieuse », explique Haji Salman Musayev, vice-président de l’Office musulman du Caucase (OCM). « Il n’y avait que deux madrasas (écoles religieuses islamiques) dans toute l’URSS, toutes deux situées en Ouzbékistan ». Moussaïev se plaint que ses années à la madrasa Mir arabe, dans la ville ouzbek de Boukhara, ont été entachées par un contrôle étatique intense sur ce qui a été enseigné.
Ces restrictions faisaient partie d’un ensemble de mesures visant à étouffer la pratique religieuse dans le pays. Même si la pratique religieuse soviétique a survécu durant des décennies, le rôle de la religion dans la vie azerbaïdjanaise a été nié et étouffé. « Nous pouvions à peine envoyer une ou deux personnes pour le pèlerinage du Hajj … maintenant nous pouvons en envoyer autant que nous le voulons », a déclaré Musayev.
Le boom mitigé de la religiosité en Azerbaïdjan .
Sous le régime soviétique, il n’y avait que 18 mosquées utilisées activement dans le pays, mais après l’effondrement de l’Union soviétique, ce nombre est passé à 2 000. Après l’indépendance en 1991, le gouvernement a consacré la liberté de religion dans la constitution du pays et lancé un programme de rénovation et de restauration de centaines de mosquées. « Après l’effondrement de l’URSS, certaines personnes ont ressenti un vide qu’elles cherchaient à combler par la religion », a déclaré le professeur Aqil Shirinov de l’Université de Marmara, expliquant ainsi la légère hausse de la pratique religieuse après le retour à l’indépendance de l’Azerbaïdjan.
Mais cette tendance n’a pas été générale. « Le boom de la religiosité a effrayé certaines personnes », ajoute Aqil Shirinov, évoquant les craintes de certains Azerbaïdjanais pour lesquels une pratique religieuse accrue pourrait entraîner un changement culturel sur les normes définissant ce qui est acceptable et non acceptable. « Certaines familles ont peur que leurs enfants puissent s’impliquer dans des groupes radicaux … parfois les familles n’autorisent même pas leurs enfants à prier. Ces gens se considèrent comme des musulmans, mais dans la pratique, ils ne prient pas. » La pratique religieuse en Azerbaïdjan reste donc faible par rapport à d’autres pays à majorité musulmane, 26 ans après le départ des Soviétiques.
« Nous avons amené nos enfants ici pour leur montrer l’art, ce qu’est l’islam réel ».
Selon les recherches du Baromètre du Caucase, seulement 20 % des Azerbaïdjanais participent régulièrement à des rituels religieux, et moins de 40 % du pays limite la pratique aux fêtes religieuses. Fargana Gasimova, pour sa part, ne voit aucun problème dans la religiosité des autres ou son absence, tant qu’elle-même est libre de pratiquer ce qu’elle considère être l’essentiel de sa foi. Personnalité bien connue en Azerbaïdjan, Gasimova se dit fière de servir d’ambassadrice pour sa foi et de modèle pour ses jeunes compatriotes.
« Certaines personnes ont essayé de ruiner le nom de l’Islam et de donner une mauvaise image à l’Islam en l’associant au terrorisme », dit-elle. « Quand les gens me voient jouer dans des concerts à l’étranger, je peux sentir que leurs opinions changent. Ils s’approchent même de moi avec leurs enfants et me confient ceci : » Nous avons amené nos enfants ici pour leur montrer l’art, pour montrer ce qu’est l’islam réel « . »

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Pris en flagrant délit de tags racistes sur une mosquée à Châteauneuf-sur-Cher.
Un homme d’une quarantaine d’années a été arrêté lundi en train de taguer des croix gammées sur la mosquée “Al HamduliLlah” de Châteauneuf-sur-Cher. Selon le quotidien local Le Berry, les faits se sont déroulés peu après 20h devant le lieu de culte situé aux pieds du château de ce village de 1 462 habitants. L’homme, visiblement ivre était en train de taguer des croix gammées (quatre au total) sur le portail de la mosquée lorsque les fidèles l’ont aperçu avant de le retenir puis le remettre aux gendarmes. Il a été placé en garde à vue à la brigade de Châteauneuf.
Après les attentats de novembre 2015, la presse s’est intéressée à cette petite communauté sans histoires décrite comme “rigoriste”. Ses membres sont installées dans ce village depuis les années 2000 à l’écart des villes. Le 30 novembre 2015, les habitations des fidèles ainsi que la mosquée étaient la cible de perquisitions dans le cadre de l’état d’urgence. Rien d’illégal n’avait été découvert.
islam : La miséricorde du Prophète à Taïf.
Alors que le Prophète ﷺ‬ venait d’être rejeté par les notables de Tâ’if, ville proche de Makkah connue pour son idole d’al-Lât, chassé de ses murs, pourchassé par le bas peuple de la ville qui l’injuriait de la façon la plus vile et lui lançait des pierres sans répit, le Prophète ﷺ‬ s’arrêta en chemin pour invoquer son Seigneur. C’est alors qu’Allâh lui envoya l’ange Jibril avec ce message : “ô Muhammad! Je ferai ce que tu désires : si tu le veux, je peux faire replier sur ces gens les montagnes d’al-Akhshabayn.”
Le Prophète ﷺ‬ eut alors cette fameuse et magnifique réplique : “Je n’ai pas été envoyé comme malédiction mais comme miséricorde pour les mondes. Je souhaite plutôt qu’Allâh fasse sortir de leurs reins une progéniture qui L’adorera seul, sans rien Lui associer. Ô Seigneur, guide mon peuple, car ils ne savent pas!”* Les gens de Tâ’if, ceux-là même qui avaient si violemment rejeté le message divin, se convertiront à l’islâm onze ans plus tard, et combattront héroïquement durant les grandes conquêtes islamiques, en particulier durant la campagne d’Iraq et à la bataille décisive d’al-Qadisiyyah, à l’image du noble Abû Mihjan.
Surtout, à peine un siècle après la sublime invocation prophétique, ce sont deux jeunes hommes de Ta’if qui porteront l’islâm aux confins du monde connu à la tête des armées omeyyades, exauçant ainsi au-delà de toute attente les espérances du Messager d’Allâh ﷺ‬ : al-Hurr ibn ‘Abd al-Rahman ath-Thaqafi, qui sera le premier commandant musulman à franchir les Pyrénées et à s’introduire en Gaule (en 717); et à l’autre bout du monde, Muhammad ibn Qasim ath-Thaqafi, qui conquerra le Sind (Pakistan actuel) et franchira l’Indus (en 711/12). Quel plus beau témoignage des vertus de la miséricorde prophétique et de la grandeur divine ?
islam : Biographie d’Abu Hamid al Ghazali.
C’est en l’an 450 de l’hégire (1058) dans le Khorasan, près de la ville de Tus, à Gazala, qu’apparait au monde celui que certains nommeront plus tard ”la preuve de la religion” (hujjat al islam) : Abu Hamid Muhammad Ibn Muhammad al Tusi al Ghazali.
Très jeune, son père, fileur de laine (ghazzal), l’envoie avec son frère Ahmed (futur lettré) apprendre l’islam auprès d’un imam local avant de suivre cours dans l’école de sa ville. Adolescent, il entre en contact avec des professeurs de la ville de Jurpan, desquels il apprend les bases qui lui serviront toute la vie. Il a alors la vingtaine quand il rentre auprès des siens à Tus. Sur le trajet, l’étudiant est dépouillé par des hommes en arme qui ne lui laisse que ses notes ; c’est pour lui le déclic : il décide, une fois rentré chez lui, d’en mémoriser la totalité. 3 ans plus tard, Abu Hamid al Ghazzali gagne Nishapur, célèbre capitale de la région connue pour ses doctes et écoles. Il s’y trouve à l’époque le fameux Abu al Ma’ali al Juwayni, professeur chaféite exerçant dans l’une des universités Nizamiya fondées par le vizir et mécène seljoukide, Nizam al Mulk. Là-bas, il y finalise ses études en droit chaféite comme en théologie, ne quittant l’endroit qu’une fois le professeur al Juwayni quittant ce monde. Il gagne dès lors la cour du vizir Nizam, observant alors les vicissitudes du monde politique et ses fastes. A ce moment, sa notoriété s’envole, grâce, déjà, à de nombreux traités et livres appréciés de tout un monde.
En 484H (1091), al Ghazali devient lui-même professeur. C’est à Bagdad, encore au sein d’une université Nizamiyya, qu’il enseigne alors le droit chaféite à de jeunes étudiants, apprenant de son côté encore la philosophie et la logique. Il devient à ce moment l’un des savants les plus consultés de la région, émettant par là nombre de fatwas. Mais 4 ans après son investiture, l’homme doute et sent qu’il n’a là-bas plus sa place, il quitte la navire et rompt avec toutes ses attaches : c’est le moment de l’errance. Son frère la remplace à son poste, il part pour Damas et s’enferme dans une école chaféite pour n’en repartir qu’au bout de plusieurs mois, exécutant son pèlerinage à La Mecque et visitant Médine, Jerusalem, l’Egypte ou encore Hébron. En proie à ses démons, son esprit est en ce temps si brouillé qu’il en perdit même la parole. On ne le retrouve qu’en 493H (1099) dans sa ville natale, donnant modestement des cours de jurisprudence 5 années durant. Passé ce temps, le fils du vizir Nizam, Fahr al Mulk, le rappelle à l’université Nizamiyya de Nishapur. S’y refusant d’abord, il finit par obtempérer et redevenir le professeur qu’il était. Il y travaille jusqu’en 503H (1109), résolu désormais à prendre sa définitive retraite et s’adonner, loin des gens, à l’adoration la plus totale. Il meurt quelques temps plus tard, un 14 jumada II de l’an 505 (1111), sa dépouille reposant désormais à Tus.
Adepte du tassawuf, ascete reconnu, Abu Hamid al Ghazali écrira de nombreux épitres sur la foi, la nature de l’âme ; invitant fréquemment son lecteur à faire de la spiritualité et de la suffisance de peu des piliers de sa vie. Son orthodoxie acquise au travers de ses études le mèneront cependant à de sévères critiques à l’égard des sectes soufis ayant substitué à la Loi une mystique salvatrice. Reconnaissant sur le tard avoir parfois perdu du temps à se complaire en des sciences inutiles et spéculatives, il deviendra encore l’un des plus farouches opposant aux philosophes aristotéliciens et néoplatoniciens de son temps. Il en résultera un ouvrage majeur finalisé en 488H (1095) : Tahafut al Falasifa (L’incohérence des philosophes). Il condamne alors la philosophie d’époque à l’aide des propres outils philosophiques, ciblant particulièrement al Farabi et Ibn Sina (Avicenne). Ibn Rushd lui rétorquera d’ailleurs au travers de son fameux Tahafut al tahafut (L’incohérence de l’incohérence). Aussi, le Dar al Islam en plein conflit sunnito-chiite, l’imam y participera à sa façon, à l’aide de sa plume en tentant de dévoiler dans le texte toute la supercherie des croyances chiismatiques. Aussi, pendant sa retraite spirituelle et passée sa crise intellectuelle, il réalise ce qui sera son oeuvre majeure encore aujourd’hui lue dans le monde entier : Ihya ‘Ulum al Din (Revivification des sciences de la religion).
Si on lui reprocha une connaissance du Hadith parfois faible, une trop grande propension au rationalisme en des moments de sa vie ; le patrimoine qu’il léguera à la communauté musulmane restera l’un des plus importants de l’Histoire. Ayant rédigé une cinquantaine d’ouvrage, il est encore aujourd’hui pour les universitaires européens celui qui stoppa la renaissance philosophique en Islam ; pour les musulmans : le réformateur du 5ème siècle de l’hégire et l’un de ses plus grands imams.
islam : VIDÉO. Adam et Yacine embrassent l’Islam à la mosquée Aïcha de Montpellier.
Malgré les stigmatisations médiatiques dont sont victimes les convertis, leur nombre ne cessent d’augmenter. En France, plusieurs milliers de personnes se reconvertissent à l’Islam chaque année. Les statistiques montrent qu’une majorité de ces convertis sont jeunes et une bonne partie sont des femmes. A la mosquée Aïcha de Montpellier comme ailleurs, les personnes qui viennent attester la foi musulmane devant les fidèles sont nombreuses, comme ce premier vendredi de l’année 2018. Bienvenue à Adam et Yacine !
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.
Autofinancement des mosquées : l’exemple de l’abattoir de la mosquée de Montreynaud.
Une fois construite, une mosquée a besoin d’argent pour fonctionner (charges, salaires de l’imam, des professeurs et du personnel administratif). Pour s’autofinancer, certaines nouvelles mosquées innovent à la manière de la mosquée Al-Moustapha de Montreynaud à Saint-Étienne.
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

La revue » El Djeich » de janvier 2018 revient sur le développement : Un objectif inaliénable de l’ANP.
Dans son numéro de Janvier 2018, la revue El Djeich a mis l’accent dans son éditorial sur le processus de développement sur lequel est fondée l’Armée nationale populaire (ANP) afin d’être au diapason des armées modernes et pour l’acquisition davantage de force par laquelle l’Algérie préservera sa souveraineté nationale, son unité territoriale et populaire. » A l’orée de l’année 2018, l’Armée nationale populaire poursuit son processus de développement, conformément aux exigences de l’évolution professionnelle en matière d’équipement, de formation et de préparation, en mettant l’accent sur la qualité et l’adaptation au rythme soutenu des évolutions en cours, devenues une nécessité incontournable afin d’être au diapason des armées modernes », relève la revue mensuelle éditée par le Centre national des publications militaires » a-t-il noté .
Plusieurs projets industriels inaugurés à Alger : Promotion de la production nationale.
Le ministre de l’Industrie et des mines, Youcef a inauguré plusieurs projets industriels dans les filières essentiellement de la téléphonie mobile, des pièces de rechange des véhicules, de l’agroalimentaire et des matériaux de construction à Alger. Lors d’un point de presse tenu à l’issue de sa visite à Alger, le ministre a affirmé que la réalisation des projets à pour but de promouvoir davantage la production nationale. Il ajouté que, le plus important de ces projets est la maison de l’entreprise d’Alger, située dans la commune d’El Mohammadia. Prévue par la loi de promotion de l’investissement promulguée en 2016, cette nouvelle entité regroupera quatre (4) organismes d’appui aux petites et moyennes entreprises (PME) : Le Centre de facilitation des PME, la Pépinière de l’entreprise d’Alger, le Fonds de garantie des crédits aux PME (Fgar) et l’Agence nationale de développement de la PME (Andpme). Cette organisation intégrée devrait garantir la prise en charge efficiente des PME et des porteurs de projets en leur évitant les déplacements et la dispersion à travers plusieurs endroits pour bénéficier des services offerts par ces organismes.
Louh à propos de la surveillance électronique des détenus : » L’objectif est de réduire la criminalité « .
Le Conseil de la Nation a repris, hier, ses travaux, lors d’une séance plénière consacrée à l’examen des projets de lois relatifs à la réorganisation des prisons et aux compétences et prérogatives du Conseil d’Etat. En réponse aux préoccupations des sénateurs relatives le projet de loi relatif à la réorganisation des prisons, en particulier le bracelet électronique, le ministre de la justice garde des sceaux, Tayeb Louh a expliqué que le texte concerne la politique pénitentiaire et non la politique pénale. » Ce n’est pas seulement la peine en prison qui donne des résultats positifs mais il existe d’autres politiques alternatives pour réduire les crimes « , a-t-il précisé, poursuivant que le but est de réduire le nombre des prisonniers dans les établissements pénitentiaires. » Tous les pays se dirigent vers des peines alternatives, il y a une peine qui s’appelle ‘peine d’utilité publique’ « , » cette mesure sera une peine, c’est un tout « . Le ministre a souligné, dans ce cadre, que le placement sous surveillance électronique intervient sur décision du juge d’application des peines, d’office ou sur demande du condamné personnellement ou par le biais de son avocat, en cas de condamnation à une peine privative de liberté ne dépassant pas trois ans, ou lorsqu’il reste au condamné à purger une peine privative de liberté n’excédant pas cette durée.
Célébration de Yennayer 2968 : Ould Ali donne le coup de starter.
Pour la deuxième année consécutive, le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. El Hadi Ould Ali, a donné le coup d’envoi des festivités de Yennayer à partir de la wilaya de Bouira. Mais cette année, la décision du président de la République, décrétant cette journée chômée payée, a fait que la fête revêt un cachet particulier. Après une halte au chef-lieu de wilaya au niveau de l’ODEJ, le cortège ministériel s’est rendu au village de Tessala dans la commune de Taghzout, 10 kilomètres au Nord-est de la ville de Bouira. Sur place, le ministre a officiellement donné le coup d’envoi des festivités de Yennayer, en visitant une exposition d’objets traditionnels et une vieille maison transformée en musée. Les initiateurs de cette exposition, à savoir les membres de l’association « Tagherma », ont accompagné la délégation tout au long de cette visite. M. Ould Ali El Hadi dira que les festivités de Yennayer cette année sont particulières : « Je suis très heureux de me retrouver aujourd’hui parmi vous, une fois de plus ici au village de Tessala, en compagnie de M. le wali. Mais cette année, Yennayer a été décrété fête nationale », se félicitera le ministre.
Elle annonce une opération de recrutement de 300 enseignants entre juin et juillet : Le cadeau de fin d’année de Benghebrit.
L a ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit a annoncé hier à Alger une opération de recrutement de 300 enseignants de Tamazight pour la rentrée scolaire 2018/2019 entre juin et juillet. « Le conseil interministériel, réuni lundi, a répondu favorablement à nos premiers besoins en matière de renforcement de l’enseignement de Tamazight pour la prochaine rentrée scolaire, en nous accordant 300 postes budgétaires », a déclaré Mme Benghebrit, sur les ondes de la chaîne III de la Radio nationale. Elle a indiqué que le recrutement des 300 enseignants se fera à partir de la fin de l’année scolaire en cours, soit entre juin et juillet, précisant que son département table sur l »‘élargissement de l’enseignement de Tamazight à travers le territoire national à l’occasion de la prochaine rentrée scolaire ».

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Etats-Unis : les inquiétudes sur la santé mentale de Trump ressurgissent.
Depuis son élection à la Maison-Blanche, le comportement de Donald Trump n’a eu de cesse d’être scruté. Dès les premiers mois de son investiture, de ses prises de décisions et propos parfois loufoques, des experts ont demandé une expertise psychologique de Donald Trump.
Le livre Feu et Fureur, du journaliste Michael Wolff, bien que critiqué pour ses approximations, confirme les doutes sur la santé du président. Il révèle que Trump est incapable de se concentrer ou de lire une note simplifiée. Travailler avec lui revient à « essayer de deviner ce que veut un enfant », aurait confié à l’auteur Katie Walsh, une responsable républicaine. D’autres témoignages, le plus souvent anonymes rapportent aussi que le président peut raconter les mêmes histoires « trois fois en dix minutes ».
En février 2017 John Gartner, professeur de psychiatrie à l’université John Hopkins a même lancé une pétition (plus de 69 000 signatures à ce jour) appelant à la destitution du président. Il a estimé que Donald Trump n’était pas « psychologiquement capable » d’assurer ses fonctions. John Gartner et plusieurs de ses confrères ont diagnostiqué chez Donald Trump « un narcissisme malfaisant », s’exprimant par un trouble de la personnalité antisociale et un caractère paranoïaque, des caractéristiques déjà évoqué dans le cas d’Adolf Hitler.
« Je ne dis pas que Donald Trump est comparable à Hitler. Mais de façon manifeste, ils ont en commun des traits psychologiques qui devraient inquiéter. C’est mon évaluation professionnelle », déclarait John Gartner au magazine Sciences et Vie.
Donald Trump est également considéré comme impulsif, colérique, agressif et névrotique. Donald Trump présente, selon plusieurs psychiatres, tous les traits d’une personnalité de pervers narcissique, notamment par une exagération de ses réalisations, par ses fantasmes de succès illimité et son besoin incontrôlé d’être admiré.
« Toute ma vie, mes deux plus grands atouts ont été ma stabilité mentale et mon intelligence » rétorque Trump.
Son incapacité à reconnaître par exemple, que la cérémonie de son investiture a rassemblé moins d’Américains que celle de Barack Obama, est également selon les experts, une preuve d’une personnalité psychotique. Malgré les chiffres de la ville de Washington et les photos dans les médias, Donald Trump a toujours soutenu que « des millions de personnes » avaient assisté à la cérémonie. Dans ses tweets souvent accompagnés d’insultes, il qualifie aussi le plus souvent chaque information de « fake news ».
« Ses symptômes largement rapportés d’instabilité mentale – y compris la grandiosité, l’impulsivité, l’hypersensibilité aux affronts ou des critiques, et une apparente incapacité à distinguer le fantasme de la réalité – nous conduisent à remettre en question son aptitude à répondre aux immenses responsabilités que lui incombent sa fonction », écrivaient aussi à Barack Obama fin 2016, des professeurs de l’école de médecine de Harvard et de l’Université de Californie. Ils ont ainsi demandé « une évaluation médicale et neuropsychiatrique complète » de Donald Trump.
Pour sa défense, Donald Trump a déclaré lors d’un meeting à Colorado Springs : « Je pense avoir le meilleur tempérament ou certainement l’un des meilleurs tempéraments s’étant jamais assis au bureau présidentiel. » « Toute ma vie, mes deux plus grands atouts ont été ma stabilité mentale et mon intelligence », a-t-il également écrit sur twitter début janvier suite à la parution du livre sur les coulisses de la Maison-Blanche.
La « Goldwater Rule » remise en question.
Mais certains experts ont aussi choisi de rester prudent et de respecter la « Goldwater rule », propre aux Etats-Unis. Celle-ci indique que les psys ne peuvent pas commenter l’état de santé d’une personne qu’ils n’ont pas examiné eux-mêmes et sans son consentement. Une règle qui remonte à 1964, lorsque 1.189 psychiatres avaient estimés que Barry Goldwater, candidat républicain à la présidentielle n’était pas apte à devenir chef d’état. Une étude avait été réalisée par un magazine sur la base d’un questionnaire auquel 80% des psychiatres n’avaient pas répondu. Ce rapport biaisé lui avait coûté sa place de président. Ainsi, face à cette polémique, «l’Americain Psychiatric Association » a créé la Goldwater rule, instaurée en 1973.
Mais depuis l’élection de Trump, de nombreuses personnes demandent à revenir sur cette règle. Dans une lettre publiée dans le New York Times en février 2017, trois semaines après l’investiture de Donald Trump, 35 psychiatres, psychologues et travailleurs sociaux s’en sont pris à la Goldwater rule: «Ce silence nous a empêché de prêter notre expertise à des journalistes inquiets et à des membres du Congrès en ces temps critiques. Nous craignons que l’enjeu ne soit trop grand pour continuer à rester silencieux.»
Fin juillet 2017, huit mois après l’élection de Donald Trump, une autre association de psys, l’American Psychoanalytic Association a envoyé un email à ses 3.500 membres pour leur dire qu’ils n’avaient pas à se plier à cette règle et qu’ils pouvaient donc commenter l’état de santé mentale de Donald Trump, mais seulement au sein de l’association.
Bientôt une commission pour évaluer la santé mentale des présidents ?
Un élu démocrate du Maryland, Jamie Raskin, veut également faire adopter un texte de loi visant à créer une commission pour évaluer la santé mentale des présidents, afin d’autoriser le vice-président et la majorité du gouvernement à mettre un terme aux fonctions du chef de l’État en cas d’incapacité à gouverner, comme le prévoit le 25e amendement de la Constitution.
En plus des psychiatres, de nombreux élus s’inquiètent d’ailleurs au sujet de la santé de Donald Trump. Le Washington Post révélait en juillet dernier, une conversation privée entre deux sénateurs américains, le démocrate Jack Reed et la Républicaine Susan Collins. Ils évoquaient leurs inquiétudes sur la santé mentale du président. « Je pense qu’il est fou, et je ne le dis pas à la légère, comme s’il était juste un peu cinglé », a confié le sénateur démocrate à sa collègue. « Je suis inquiète », a répondu cette dernière.
Suite à toutes ces polémiques, Donald Trump devrait effectuer une visite médicale en fin de semaine. Mais ce bilan ne comportera a priori pas d’examen psychiatrique, comme la fait savoir la Maison-Blanche. Donald Trump, qui a toujours un soutien important de la part des Républicains, sera peut être même « protégé » jusqu’à la fin de son mandat. En effet, le silence avait été gardé sur la polio de Franklin Roosevelt jusqu’à sa mort et l’Alzheimer de Ronald Reagan n’avait été révélé au public qu’après son départ de la Maison-Blanche.
Quand l’institut Montaigne faisait des recommandations peu laïques à Emmanuel Macron.
Les MacronLeaks — un dossier de près de 71 000 mails issus de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron —, publiés en juillet dernier par WikiLeaks, n’ont rien révélé d’extraordinaire concernant le président de la République et son équipe. Pourtant, en épluchant ces documents, on trouve des propositions étonnantes faites par l’institut Montaigne, un think-tank très marqué à droite et proche d’Emmanuel Macron depuis le lancement d’En Marche !, à propos de l’Islam et de la laïcité. Des propositions choc faites par l’équipe de Hakim El Karoui — un Franco-Tunisien qui avait envoyé des notes stratégiques au dictateur tunisien Ben Ali au moment des printemps arabes —, qui avait déjà publié un rapport très controversé sur le thème « Un islam français est possible. » Ce dernier, qui avait jugé que le radicalisme touchait une grande partie de la population musulmane en France, avait été repris par des hommes politiques des Républicains, comme Nicolas Sarkozy, pour créer une véritable polémique sur la place de l’Islam dans la République.
Contribution volontaire obligatoire sur le halal et « créativité juridique ».
Le mail date du 29 juillet dernier. Emmanuel Macron est alors encore ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique — il assurera cette fonction jusqu’au 30 août 2016. A l’issue du conseil des ministres du mercredi 3 août, les ministres vont prendre quelques jours de vacances. Mais Macron semble savoir à l’époque qu’il quittera bientôt ses fonctions. Quentin Lafay, chargé de la coordination des discours et de l’équipe des experts d’Emmanuel Macron pendant la campagne — parti depuis écrire des séries pour Hollywood —, écrit alors un mail au reste de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron pour, affirme-t-il, « constituer un petit dossier » consacré à la laïcité, l’Islam ou encore la sécurité, afin qu’Emmanuel Macron « puisse partir avec en vacances. » Parmi les pièces qui sont envoyées par la plume du futur président, un document qui concerne l’Islam de France : un « PowerPoint de l’étude sur l’Islam de France — provisoire et très confidentiel — préparée par l’Institut Montaigne et Hakim El Karoui. » Un PowerPoint de vingt-cinq pages intitulé « L’Islam français : le connaître, l’organiser. »
Après une série de rappels sur l’organisation de l’Islam en France, l’institut Montaigne effectue une série de propositions. Parmi celles-ci, des recommandations encore vagues, comme le financement du culte « en taxant la consommation islamique. » La fameuse « taxe halal » déjà proposée par certains dirigeants politiques, en somme. Mais pour ce faire, il faudra d’abord « faire une étude de faisabilité sur la mise en place d’une CVO (contribution volontaire obligatoire, ndlr) sur la viande halal pour financer le culte musulman », écrit l’institut Montaigne, qui propose « une nouvelle gestion de l’Islam français. » L’institut propose que la Fondation de Jean-Pierre Chevènement soit mise en avant, mais craint un « risque d’obstruction de la part des membres du CFCM » et suggère « un peu de créativité juridique pour veiller à ce que les extrémistes ne soient pas surreprésentés. » Sans préciser qui sont ces « extrémistes. »
Statistiques religieuses, extension du concordat et secrétariat d’Etat en charge des Affaires religieuses.
L’institut Montaigne fait également toute une série de propositions « compatibles avec la loi de 1905 », comme l’enseignement de « l’arabe classique à l’école publique pour réduire l’attractivité des cours d’arabe dans les mosquées », l’extension du « concordat à l’Islam en Alsace-Moselle afin d’assurer la formation des cadres religieux musulmans en France » ou encore la création « d’une école d’aumônerie pour former et recruter des aumôniers-fonctionnaires. » Des propositions concrètes, accompagnées de « modalités d’application. » Comme lorsque l’institut Montaigne propose de « réaliser, à l’occasion du recensement général, des statistiques religieuses (non obligatoires) pour permettre à la puissance publique d’avoir des informations étayées en la matière et mieux répondre à leurs besoins. » Une mesure qui permettrait, explique Hakim El Karoui, de « déconstruire les mythes du ‘Grand remplacement’ » mais qui pourrait faire peur aux croyants par « crainte d’un fichage. »
Autre mesure étonnante : la proposition de « création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité. » Un simple décret suffirait à créer ce secrétariat d’Etat, indique l’institut Montaigne, qui proposait sa mise en place dès 2017. Celui-ci aurait permis, en ce qui concerne le culte musulman, de « centraliser la gestion de dossiers actuellement éclatés entre les ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères, de la Justice, etc. » et de « donner un signal politique fort en sortant les relations aux cultes du prisme sécuritaire. » Enfin, l’institut Montaigne émet une liste de propositions plus floues, comme la « mise en place d’un concordat provisoire pour les ‘nouveaux cultes’. » Une « abrogation de la loi 1905 » qui, cependant, comporterait des risques juridiques, politiques et financiers, assure l’institut. Car dans ce cas, les imams deviendraient des fonctionnaires de l’Etat. Et il faudrait, de plus, « nationaliser » les lieux de culte construits après 1905. Ce qui coûterait, selon l’institut Montaigne, environ 17 milliards. Pas sûr qu’Emmanuel Macron s’engage un jour sur ce terrain-là, donc.
Les doutes de l’islamologue Rachid Benzine.
D’autant que le document est envoyé à Rachid Benzine, spécialiste reconnu de l’Islam. Le natif de Trappes écrit, le 20 septembre 2016 par mail à Laurent Bigorgne, directeur de l’institut Montaigne et ami proche de Macron — il était également pressenti pour devenir ministre de l’Education nationale —, ses « remarques sur les propositions du rapport de l’institut Montaigne. » L’islamologue met en doute la pertinence de revenir, de quelque façon que ce soit, sur la loi de 1905. « Déjà aujourd’hui les municipalités n’arrivent pas à entretenir l’immense patrimoine immobilier religieux de France. Comment imaginer que de nouvelles charges leur soient imposées ? Les municipalités ne sauraient accepter pareille proposition, écrit Rachid Benzine. De plus, les Eglises ne sont probablement pas prêtes à abandonner aujourd’hui toute une part de ce qu’elles possèdent encore. » L’écrivain relève cependant quelques propositions « réalistes », comme le fait d’offrir « une vraie formation des cadres d’aumônerie » ou de prévoir « une approche plus nationale de la création de ‘carrés musulmans’ dans les cimetières de France, alors qu’actuellement chaque maire accepte et favorise ou non ces créations de carrés musulmans. »
Concernant la création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité, Rachid Benzine est également réfractaire à l’idée. « On sait le peu de poids des secrétariats d’Etat. On ne voit pas comment celui-ci en aurait plus que d’autres », estime l’islamologue, qui demande quel serait son rôle : « Être un ‘commissaire politique’ chargé des religions ? Là encore, ce serait en contradiction avec la loi de 1905, selon laquelle ‘la République ne reconnaît aucun culte’ », écrit-il. Pour ce qui est de l’élargissement du régime concordataire des cultes d’Alsace-Lorraine au culte musulman, Rachid Benzine craint qu’un débat à ce sujet amène à la disparition de cette « anomalie » qui n’est, aujourd’hui, qu’un « héritage de l’histoire. » Enfin, l’écrivain balaie d’une revers de la main la « taxe halal », en posant deux questions très simples : « Comment, dans une société de libertés, l’Etat pourrait-il prétendre organiser le financement du culte musulman ? Les Eglises comme les institutions juives accepteraient-elles une telle tutelle ? » Autrement dit, comme de nombreuses autres, la proposition semble peu réaliste. Rachid Benzine montre que l’institut Montaigne a fait fausse route sur le thème de la laïcité pendant la campagne d’Emmanuel Macron.
Entre laïcité apaisée et laïcité de combat, Macron ne sait plus où donner de la tête.
Un pas en avant, deux en arrière ? Alors qu’il prévoyait de se prononcer sur la laïcité en ce début d’année, Emmanuel Macron aurait décidé de ne pas prononcer de discours sur ce thème, comme l’indique ce matin Europe 1. Pourquoi un tel revirement ? Tout d’abord, comme le précise le site de la radio, Emmanuel Macron s’est bel et bien positionné sur le sujet lors de son intervention jeudi dernier devant les différentes autorités religieuses du pays. Comme l’avait indiqué le président du CFCM, Emmanuel Macron avait rappelé « que la laïcité ne doit pas souffrir d’adjectif » et qu’« elle doit être traitée séparément de la question de l’Islam pour éviter toute instrumentalisation visant à passionner les débats. » Une intervention qui a fait suite à une phrase qui avait fait beaucoup de bruit en décembre dernier : devant les responsables des principaux cultes en France, le chef de l’Etat s’était alors alarmé du risque d’une « radicalisation de la laïcité », visant ainsi « la bande à Valls » sans la nommer.
Des ministres peu au fait de la loi de 1905 ?
Point final ? Pas vraiment. Depuis plusieurs semaines, les membres du gouvernement multiplient en effet les déclarations contradictoires. La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Frédérique Vidal, déclarait par exemple dimanche que « la laïcité, c’est la liberté de conscience, c’est mettre dans la sphère privée les convictions philosophiques, religieuses. » Une sortie de route qui n’est pas la première de la part de l’entourage de Macron. Fin décembre, Christophe Castaner a en effet déclaré que « les signes religieux sont interdits dans l’espace public. » Le directeur général de La République en Marche tentait alors de protéger Jean-Michel Blanquer, qui avait estimé quelques jours plus tôt qu’une mère qui accompagne une sortie scolaire est un « collaborateur bénévole du service public » et ne doit donc pas porter le voile. Sur le thème de la laïcité, le gouvernement semble aller à contre-sens du président de la République. L’exécutif a-t-il seulement une idée de sa politique concernant ce thème primordial ?
LREM doit « s’emparer des thèmes de la laïcité et de l’Islam ».
Force est de constater que, du côté de La République en Marche, on peine à se positionner sur le sujet. Aurélien Taché, député de la majorité, exhortait en novembre dernier ses troupes à « s’emparer des thèmes de la laïcité et de l’Islam. » Mais lors de la campagne d’Emmanuel Macron, au sein de l’équipe Macron, on avait un peu de mal à trouver une ligne claire sur la laïcité. Quentin Lafay, ex-conseiller en charge des questions d’éducation, de jeunesse et de prospective d’Emmanuel Macron, avait d’ailleurs organisé en septembre 2016 un dîner consacré à ce thème pour tenter de trouver un positionnement pour le mouvement En Marche ! Parmi les invités, Edouard Geffray — devenu depuis directeur de cabinet du ministre de la Justice —, l’islamologue Rachid Benzine, François Pupponi, ancien maire de Sarcelles, Hakim El Karoui de l’institut Montaigne — un organisme qui a beaucoup influencé Emmanuel Macron lors de sa campagne, voir notre article — ou encore Bariza Khiairi. Parmi eux également, Laurent Bouvet, l’un des fondateurs du Printemps Républicain.
Macron, partisan d’un laïcité apaisée ? Oui, mais…
Ce dernier dispose de quelques entrées au sein de la majorité. Compagnon d’Astrid Panosyan, cofondatrice d’En Marche !, Laurent Bouvet a été suivi avec attention par l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron avant juin 2017. Alors que, ministre de l’Economie, Macron s’était érigé en chantre du « réformisme radical », Pierre Person, aujourd’hui député de Paris, proposait dans un mail à ses collègues qu’« il serait intéressant de lier les réflexions de Bouvet » avec une publication sur ce sujet. Malgré tout, Emmanuel Macron semble s’être éloigné de la laïcité de combat prônée par l’équipe du Printemps Républicain. Au vu de son discours de jeudi, le président de la République semble partisan d’un laïcité qui serait un « facteur de cohésion nationale », comme le confirme Europe 1, qui ajoute qu’en s’exprimant sur ce thème, « Macron a tout à perdre. » Le chef de l’Etat préfère donc temporiser. Quitte à laisser, d’ici là, laisser ses ministres prendre une plus grande place dans le débat sur la laïcité. A ses risques et périls : Laurent Bouvet est pressenti pour faire partie du Conseil des sages de la laïcité voulu par Jean-Michel Blanquer. Et si Emmanuel Macron ne se positionne pas publiquement très rapidement, il pourrait être obligé d’emprunter le chemin d’une « laïcité de combat » tracée par certains ministres de son gouvernement.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le Hamas refuse la diffamation de Miladinov désignant la résistance de terrorisme
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Le Mouvement de résistance islamique (Hamas) a rejeté la diffamation de l’envoyé palestinien au Proche-Orient, Nikolai Mladenov, désignant la résistance nationale palestinienne du « terroriste »
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Des colons dévastent des terres agricoles à Madama
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Abou Zouhri: Nous refusons de compter de nouveau sur le rôle américain
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Naplouse : Un soldat israélien tué dans une fusillade
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1 285 logements coloniaux prévus en Cisjordanie
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B’tselem: les forces d’occupation ont tué huit manifestants palestiniens non armés à Gaza
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2096 agressions israéliennes en Cisjordanie en décembre
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Les Brigades Al-Qassam félicitent l’attaque de Naplouse
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Le Hamas salue la fusillade de Naplouse
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50 députés jordaniens appellent à la convocation de leur ambassadeur d’Israël
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L’occupation arrête 11 palestiniens et confisque de l’argent à Hébron
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Les forces israéliennes arrêtent la nièce du prisonnier Sheikh Raed Salah
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Le Jihad Islamique salue l’attaque de Naplouse
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Le ministère de l’Education dénonce la méfiance des américains visant ses programmes
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L’occupation interdit le rassemblement du FDLP à Jérusalem
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Israël en état d’alerte et fermeture complète des entrées de Naplouse
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 23 Rabi al Thani 1439.

Flash info du 23 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Découvrez les mérites de certaines sourates.
Voici un extrait des recommandations du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) à `Alî (radhiAllâhou`anhou) tiré du livre « Parole en Or » de Muhyî ud dîn ibn `arabî. Retour ligne automatique
On nous a rapporté que ’Ali Abi Talib (radhiAllâhou`anhou) a dit ceci : L’Envoyé d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) m’avait fait des recommandations et il m’a dit :
« Ô ’Ali ! Récite souvent la Sourate Yâ-Sîn car sa lecture renferme dix bénédictions : Jamais ne l’a récitée celui qui a faim sans être rassasié ; jamais ne l’a récitée celui qui a soif sans être abreuvé ; ni un homme nu sans être revêtu ; ni un malade sans être guéri ; ni un effrayé sans être rassuré ; ni un prisonnier sans être délivré ; ni un célibataire sans être marié ; ni un voyageur sans être aidé dans son voyage ; ni aucun homme ayant perdu quelque chose ne l’a récité sans qu’il retrouve ce qu’il a perdu ; chaque fois qu’on récite au chevet d’un malade agonisant, il est soulagé ; celui qui la récite le matin est préservé jusqu’au soir et celui qui la récite le soir est préservé jusqu’au matin. »
« Ô ’Ali ! Récite la sourate ad-dukhan (la fumée) au cours de la nuit du vendredi (soit le jeudi soir) et tu te lèveras le matin en homme à qui on a pardonné . » Retour ligne automatique
Plusieurs traditions indiquent que celui qui récite la sourate La fumée bénéficiera du pardon. Retour ligne automatique
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « Celui qui lit pendant la nuit, la sourate de “la Fumée” qui commence par Hâ-mim, au matin, soixante-dix mille anges lui demanderont le pardon d’Allah ». (rapporté par at-Tirmidhi, d’après Abu Hurayra).
Un autre hadith dit que celui qui récite la sourate la fumée, puis dors, se réveillera en état purifié de ses péchés (Beyzawi 5/68).Retour ligne automatique
Les mérites de cette sourate sont nombreuses, elles ne se limitent pas à un jour de la semaine, d’après les traditions prophétiques.
« Ô ’Ali ! Récite le verset du trône à la fin de chaque prière et tu auras un coeur semblable à ceux des hommes reconnaissants qui rendent grâce, la récompense des prophètes et les oeuvres des justes . »
« Ô ’Ali ! Récite la Sourate al-hashr (le rassemblement) et tu seras ressuscité au Jour de la Résurrection à l’abri de tout mal ».
« Ô ’Ali ! Récite les Sourates al-Mulk (la royauté) et as-sajda (la prosternation), elles te mettront à l’abri des tourments et des horreurs du Jour de la Résurrection.
Ô’Ali ! Récite la Sourate al-Mulk (la royauté) au moment de dormir, elle t’épargnera le châtiment de la tombe et l’interrogatoire des anges redoutables Munkir et Nakir ».
« Ô ’Ali ! Récite la Sourate le culte pur (Qul huwa Allahou ahad) après avoir fait tes ablutions mineures, on t’interpellera au Jour de la Résurrection en ces termes : “Ô Toi le louangeur d’Allah ! Lève-toi et entre au Paradis !” »
« Ô ’Ali ! Récite la Sourate al-Baqara (la vache) car sa récitation est une bénédiction, son abandon est un regret et c’est une sourate que les sorciers ne peuvent supporter ».
Les recommandations de L’Envoyé d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) faites à Abu Hurayra (radhiAllâhou`anhou) :
L’Envoyé de d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit à Abu Hurayra (radhiAllâhou`anhou) : « Ô Abu Hurayra ! Apprends le Coran et enseigne-le aux gens jusqu’à ce que la mort te gagne en cet état. Car si tu es ainsi, les anges viendront dans ta tombe comme les croyants qui visitent la Maison d’Allah et ils prieront sur toi et demanderont pardon pour toi jusqu’au Jour de la Résurrection . »

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, voici les titres.

France : Agressée par son médecin parce qu’elle est musulmane : « Vous devez porter un foulard bleu-blanc-rouge ! ».
Badia a été victime de propos extrêmement choquants proférés par un médecin alors qu’elle accompagnait son fils. Le médecin : « Dans ce cas, vous devez porter un foulard bleu-blanc-rouge ! ».
Badia a été victime de propos extrêmement choquants proférés par un médecin en région Aquitaine alors qu’elle accompagnait son fils pour une consultation.
Une fois la consultation terminée, Badia et le médecin sont sur le point de convenir d’un prochain rendez-vous pour son fils lorsque la discussion change soudainement de ton:
“Depuis combien de temps êtes-vous en France?” commence par demander le médecin.
“Je suis née en France” rétorque calmement Badia.
S’ensuit alors une réaction brutale et hostile de la part du médecin qui lui fait part de sa désapprobation concernant la tenue vestimentaire de Badia et plus spécifiquement le foulard qu’elle porte: « Savez-vous que le foulard que vous portez est un signe de non-intégration ? ».
Stupéfaite et décontenancée, Badia lui répond que sa remarque n’est pas appropriée, le foulard n’enlevant rien de son appartenance à la communauté nationale. Le médecin s’emporte : « Dans ce cas, vous devez porter un foulard bleu-blanc-rouge ! ».
Avec une véhémence grandissante, le docteur crie qu’il existe des pays tels que le Maroc, l’Algérie ou encore l’Arabie Saoudite qui acceptent que des femmes portent un foulard, suggérant qu’elle devrait songer à s’y établir si elle souhaite continuer à manifester sa croyance publiquement.
Loin de se contenter de tels propos déjà extrêmement graves et discriminatoires, le médecin tape de son poing sur la table, effrayant Badia et, les mains tremblantes, il vocifère : « Nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp on est !!! ».
L’intégralité de la publication sur le site du CCIF.
Autriche : déferlante de propos racistes et islamophobes envers un bébé musulman.
Asel Tamga, le premier bébé né en Autriche en 2018, a été la cible de critiques racistes et islamophobes sur le web en raison notamment du hijab porté par sa mère sur une photo publiée sur Facebook.
Face à ces commentaires haineux, l’ONG catholique Caritas, qui travaille avec les migrants et réfugiés, a lancé une campagne de soutien au bébé musulman et à ses parents. «La haine sur internet a atteint une dimension totalement inédite en ciblant un nouveau-né innocent», s’est indigné Klaus Schwertner, le responsable de Caritas. Il a dénoncé «le franchissement d’une ligne rouge» selon CnewsMatin.
Et en quelques heures, la publication reçoit plus de 22 000 commentaires de félicitations adressés aux parents de la petite Asel. Des messages d’anonymes et de personnalités autrichiennes, comme le chef du parti social-démocrate, Christian Kern, qui écrit : « Vous n’êtes pas seuls, vous avez beaucoup d’amis qui n’accepteront jamais la méchanceté » d’après Rfi.
Intervention du président autrichien
Le président autrichien Alexander Van der Bellen, écologiste libéral âgé de 73 ans, a adressé ses félicitations à Asel, née à 00h47 le 1er janvier. «Bienvenue, chère Asel !», a-t-il écrit sur Facebook, avant de rappeler à tous ceux qui ont écrit des messages racistes que «tous les hommes naissent libres et égaux en dignité et en droit».
Le journal 24heures rappelle que la publication de messages haineux à l’égard du bébé musulman s’inscrit dans un contexte de crispation en Autriche autour des questions de l’islam et des migrations, deux sujets concernant lesquels le nouveau chancelier conservateur Sebastian Kurz, qui gouverne en coalition avec l’extrême droite, a promis une ligne dure.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Manifestation à Gaza contre une loi israélienne autorisant la peine de mort. VIDEO.
De nombreux palestiniens ont manifesté à Gaza contre une loi israélienne qui visera à condamner à mort les coupables de “terrorisme”. Pour les palestiniens, la loi vise clairement la résistance qui lutte contre la colonisation.
Depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux USA, la ligne politique de Benjamin Nettanyahou s’est durcie (encore plus) malgré les critiques internationales. Le premier ministre israélien demande désormais la fin des aides financières pour l’autorité palestinienne de Ramallah. Un dernier coup de massue que pourrait valider D. Trump.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Rohingyas : pourquoi est-ce un crime contre l’humanité ?
Depuis des décennies, la minorité musulmane de Birmanie est prise pour cible par les autorités birmanes. Les rohingyas ont fui les massacres de masse portant à 500 000 le nombre de déplacés vers le Bangladesh en seulement quelques semaines.
Les violences faites à la minorité musulmane par les intégristes bouddhistes et le gouvernement local n’a pas poussé l’ONU a intervenir militairement afin de stopper ce crime contre l’humanité. La communauté internationale a réagi par voie diplomatique sans que cela porte véritablement ses fruits.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Lydia Guirous, porte-parole LR, accuse Emmanuel Macron d’avoir trahi “l’esprit Charlie”. VIDEO.
Lydia Guirous s’en est prise violemment au président de la République lors de son passage à France Info. La porte-parole Les Républicains a accusé Emmanuel Macron d’avoir trahi “l’esprit Charlie”.
Elle a également accusé une partie de la France, celle des “zones de non-droit”, de ne pas “être Charlie” et pire pour certains d’”être Coulibaly ou Kouachi”. Des accusations extrêmement graves qui à nouveau coupe la France entre “bons et mauvais” français.
La polémique autour de “Je suis Charlie” a toujours été de savoir si cette expression validait la ligne éditoriale de l’hebdomadaire satirique et non l’attaque qui a eu lieu à son siège.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Paris : Un homme gazé et tasé par la police prend feu, place de la Nation. VIDEO.
Une vidéo filmée en 2013 par des policiers qui procédaient à une interpellation à Paris vient de refaire surface sur les réseaux sociaux. On y voit un homme visiblement en colère qui se fait gazer et taser en même temps. provocant l’embrasement de la personne.
Sur la vidéo entière qui dure 5 minutes. On y voit des policiers visiblement dépassés qui appellent du renfort.
reportage a voir sur islam et info.fr.
France : Julien Sanchez, maire FN impose le porc tous les lundis à la cantine.
Après avoir supprimé les repas de substitution, un maire Front national impose le porc à la cantine pour tous.
En effet, à Beaucaire dans le Gard, Julien Sanchez qui avait auparavant qualifié les menus de substitution de repas “anti-républicains”, souhaite désormais que tout le monde mange du porc chaque lundi.
“Nous mettrons du porc chaque lundi dans nos cantines, tout le monde est prévenu et ceux qui refusent que leurs enfants en mangent, peuvent donc s’organiser autrement”.
Il affirme d’ailleurs que seulement 150 enfants sur les 600 élèves que comptent les six écoles de la commune sont concernés par cette décision.
Voilà des enfants musulmans privés donc de repas pour une idéologie qui n’a rien de républicaine.
Egypte : pressions officieuses sur les médias pour qu’ils soutiennent “Jérusalem comme capitale d’Israël”.
Les enregistrements au cœur d’un récent rapport du New York Times sur les efforts des responsables égyptiens pour inciter les médias à soutenir tacitement la reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne ont été publiés en ligne – et fustigés par les autorités.
L’article, publié le 6 décembre, décrit les appels téléphoniques entre un officier de renseignement égyptien et, séparément, trois journalistes et une actrice célèbre, exhortant chacun à persuader le public d’accepter la décision.
Dans les enregistrements, un homme identifié comme officier de renseignement Capitaine Ashraf al-Kholi dit publiquement que l’Egypte continuera à dénoncer la décision de D. Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, mais que les journalistes devraient encourager les spectateurs à l’accepter, arguant que s’y opposer ne ferait que des morts.
Le conflit avec Israël n’est pas dans le meilleur intérêt de l’Egypte, a déclaré al-Kholi sur l’un des appels. “Nous ne voulons pas aller à la guerre. Nous en avons assez dans notre assiette comme vous le savez. “
“Le point qui est dangereux pour nous est la question de l’Intifada”, a précisé le Capitaine al-Kholi. “Une Intifada ne servirait pas les intérêts de sécurité nationale de l’Egypte parce qu’une Intifada ferait revivre les Islamistes et le Hamas. Le Hamas renaîtra une fois de plus. “
Azmi Megahed, l’un des animateurs contactés par al-Kholi, a confirmé l’authenticité de l’enregistrement au Times. Le journaliste Mofid Fawzy a déclaré qu’un tel appel n’avait jamais eu lieu et que l’animateur du talk-show Saeed Hassaseen n’avait pas commenté. La quatrième personne, une star de cinéma égyptienne connue sous le nom de Yousra, n’a pas pu être atteinte.
Arabie Saoudite : deux jumelles siamoises palestiniennes séparées avec succès.
Des jumelles siamoises nées dans l’enclave palestinienne de la bande de Gaza ont été séparées dans une opération “réussie” à Riyad lundi, a indiqué l’agence de presse étatique saoudienne dans un communiqué.
Le Dr Abdullah bin Abdulaziz Al-Rabiah, qui dirigeait l’équipe qui opérait Farah et Haneen à l’hôpital spécialisé pour enfants King Abdullah, “a confirmé le succès de la chirurgie de séparation”, a déclaré SPA.
L’opération a débuté lundi matin et comportait neuf stades d’anesthésie et la séparation de plusieurs organes, y compris le foie, ainsi que la restauration d’organes à Haneen.
La nouvelle vient plusieurs mois après qu’un médecin et un membre de la famille des jumeaux ont plaidé de Gaza pour que les bébés soient autorisés à se rendre à l’étranger pour la chirurgie complexe.
Allam Abu Hamda, chef de l’unité néonatale à l’hôpital Shifa de Gaza, a déclaré à l’AFP en octobre que les filles étaient collées au niveau de l’estomac et du bassin et que dans les conditions actuelles à gaza, les bébés ne pouvaient être traitée sur place.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Grèce : le recours à la législation islamique devient facultatif pour les musulmans .
Le recours à la législation islamique (charia) pour le règlement des affaires familiales en Thrace, au nord-est de la Grèce n’est plus obligatoire. Le Parlement grec a aboli, mardi 9 janvier, cette disposition sur laquelle devait obligatoirement s’appuyer la minorité musulmane du pays depuis plus de 90 ans, après le Traité de Lausanne de 1923 fixant les frontières entre la Grèce et la nouvelle Turquie issue de l’empire ottoman.
La réforme, considérée comme « historique » pour le Premier ministre Alexis Tsipras, a été adoptée par tous les partis, à l’exception du parti néonazi Aube Dorée, rapporte le bureau de presse du Parlement cité par l’AFP.
« Le projet de loi sur la charia élargit l’égalité devant la loi à tous les Grecs » dans le « respect des caractéristiques de la minorité » installée en Thrace, a-t-il souligné.
Ce sont désormais les tribunaux civils qui règlemente les affaires liées au mariage, au divorce ou encore à l’héritage. Le recours à la juridiction islamique, sous la compétence de trois juges religieux nommés par l’État grec, demeure toutefois possible en cas d’accord de tous les intéressés. La Thrace abrite quelque 110 000 musulmans.
France : Beaucaire : la mairie FN met fin aux menus sans porc, des parents protestent.
La rentrée scolaire lundi 8 janvier a été agitée à Beaucaire (Gard). La mairie FN, dirigée par Julien Sanchez, a décidé de la suppression des repas de substitution pour les élèves ne mangeant pas de porc à la cantine. Par ailleurs, elle institu des plats contenant du porc tous les lundis.
Une décision qui fait bondir des parents d’élèves de Beaucaire, qui ont appelé à manifester lundi 15 janvier au moyen d’un pique-nique de protestation, devant la mairie de la ville.
Ce sont environ 150 élèves demi-pensionnaires sur 600 qui bénéficiaient jusque-là de ces repas de substitution dans les écoles de Beaucaire, et depuis 40 ans.
La nouvelle avait été discrètement annoncée en décembre dans une brève parue dans le journal municipal. « Quand on défend les valeurs de la République et qu’on refuse certains passe-droit ou du communautarisme dans les lieux publics, on est islamophobe. Je ne suis pas islamophobe, je n’ai pas peur de qui que ce soit et je n’ai pas la volonté d’exclusion de qui que ce soit », a indiqué cette semaine Julien Sanchez sur France Info.
« Moi je dis simplement: quel est le problème avec le porc ? S’il y avait un problème médical, je pourrais le comprendre mais il n’y a pas de problème médical », a-t-il encore argué. Sauf que ce n’est pas à lui de décider de ce qui est bon ou pas pour les enfants.
Chalon-sur-Soâne (Saône-et-Loire) avait déjà pris pareille décision en 2015. Elle avait été annulée en août 2017 par le tribunal administratif de Dijon qui avait estimé que le choix de mettre fin aux repas de substitution à la cantine « n’avait pas accordé, au sens de la convention internationale relative aux droits de l’enfant, une attention primordiale à l’intérêt des enfants ».
France : Créteil : une épicerie casher tenue par un musulman totalement détruite.
A Créteil, l’épicerie casher Promo & Destock, qui a été la cible de tags antisémites une semaine plus tôt, a été totalement détruite dans un incendie survenu dans la nuit du lundi 8 au mardi 9 janvier.
L’incendie s’est aussi propagé à l’HyperCacher, un magasin adjacent lui aussi situé dans le centre commercial Kennedy, dans le quartier du Mont-Mesly.
Le commerce avait la particularité d’être tenu en toute sérénité par un homme de confession musulmane.
Pour le moment, les enquêteurs n’ont pas fait le lien entre les tags et l’incendie dont la piste criminelle est « privilégiée » pour la procureure de Créteil, Laure Beccuau. L’incendie, qui provoque l’indignation, survient trois ans après les attentats de janvier 2015.
Un homme se suicide après sa condamnation pour crime de haine contre une mosquée.
Un homme qui a plaidé coupable pour crime de haine contre une mosquée du Colorado a été retrouvé mort, rapporte la presse locale américaine lundi 8 janvier. Il s’est suicidé samedi, deux jours après sa condamnation pour avoir vandalisé le lieu de culte musulman en mars 2017, pour lequel il a été arrêté dès le lendemain.
L’individu, prénommé Joseph Giaquinto, 36 ans, avait écopé de trois ans de prison après avoir jeté une Bible à travers des fenêtres du Centre islamique de Fort Collins. Il a tenté d’y entrer sans succès, se contentant de vandaliser la partie extérieure de l’édifice religieux.
Pour les autorités, sa peine de prison a été aggravée du fait que son acte était délibéré.

Sur oumma.com, voici les titres, rien de neuf.

Le plus petit hôtel du monde se trouve en Jordanie.
Avez-vous déjà rêvé d’un dépaysement total, au milieu du désert, dans le plus petit hôtel du monde ? C’est à une nuit unique, passée dans sa vieille Coccinelle réaménagée, que vous convie Mohammed Al Mahaleem. Depuis 2011, à Al Jaya, un village jordanien, le soixantenaire propose aux touristes de dormir dans sa Volkswagen au repos.
D’une voiture bonne pour la casse, il a fait un écrin de sérénité avec une vue imprenable sur des paysages de toute beauté. Pour 45 euros la nuitée, c’est l’évasion assurée dans ce petit havre de paix situé à 190 km au sud d’Amman ! On ne sait pas si le confort est au rendez-vous, mais Al Mahaleem assure que son nid douillet vaut bien une chambre dans un palace… Aidé par sa fille qui fournit les parures de lit traditionnelles, il accueille ses clients dans une grotte pour leur préparer des mets du terroir.
Sur les parois de son antre, des mots de remerciements s’affichent dans toutes les langues, preuves d’une clientèle internationale très satisfaite. En plein cœur du désert jordanien, le plus petit hôtel du monde ne désemplit pas. Il fallait y penser et Mohammed Al Mahaleem l’a fait !
reportage a voir sur oumma.com.
Un Saoudien donne un rein à une jeune fille et lui sauve la vie.
Plongé dans un profond désarroi, redoutant tous les jours d’apprendre l’insupportable décès de sa fille Wijdan, atteinte d’une grave maladie rénale, Mubarak Al-Enezi est submergé par l’émotion quand il évoque le geste salvateur accompli par un parfait inconnu, qui a fait renaître l’espoir à la chaude lueur d’une « bougie dans le noir ».
C’est en Arabie saoudite, au sein de l’hôpital des forces armées King Salman à Tabuk, que cette belle histoire de solidarité envers son prochain menacé d’une mort certaine s’est passée, avec dans le rôle du donateur de rein providentiel : l’extraordinaire Mohammed Jomaah Al-Banna, 34 ans.
Ce jeune cadre dynamique saoudien, tout entier acquis à l’idée de faire un don d’organes, émettait une seule condition avant de franchir le pas : avoir l’assurance que son action humanitaire, non dénuée de risques pour lui, offrirait une deuxième vie en cadeau grâce à une greffe vitale.
« Je voulais être sûr du caractère d’urgence que revêtait la greffe pour le receveur, dont le groupe sanguin serait compatible avec le mien », a-t-il sobrement déclaré. Le receveur fut en l’occurrence une receveuse en grande souffrance, une adolescente sous dialyse depuis l’âge de six ans, que ses forces abandonnaient à mesure que les jours s’écoulaient et la rapprochaient d’une fin inexorable et tragique.
Les mots manquent à Mubarak Al-Enezi, le père encore très éprouvé de la jeune greffée, pour exprimer son infinie gratitude à celui dont il salue la générosité et le courage. « C’était comme si ma fille était condamnée à une exécution. Nous étions tellement découragés et désespérés », a-t-il confié, les yeux embués de larmes.
Bien remis de son opération du rein, Mohammed Jomaah Al-Banna doit maintenant s’habituer à son nouveau statut de « super héros » du don d’organes, notamment au sein de sa famille qui est intarissable d’éloges à son égard. « Ils étaient tellement heureux et admiratifs quand je leur ai fait part de ma décision de mettre fin au calvaire de cette jeune fille, dont la santé se détériorait de jour en jour », a-t-il précisé, non sans nourrir l’espoir que « Dieu le récompensera dans l’au-delà pour cette bonne action ».
France : Le neveu du Premier ministre Edouard Philippe agressé à Eilat, en Israël.
Trois touristes français ont été agressés au couteau dans la ville balnéaire d’Eilat, mercredi dernier. L’une des victimes est le neveu du Premier ministre français, Edouard Philippe. Une information révélée par la presse israélienne.
reportage a voir sur oumma.com.
Le président Recep Tayyip Erdogan inaugure la réouverture de “l’église de fer” d’Istanbul.
Vieille de 120 ans et après des travaux de rénovation longs de sept ans, entièrement financés par la Turquie à hauteur de 4 millions d’euros, l’église bulgare Saint-Stéphane peut à nouveau se dresser fièrement à Istanbul, sur la rive de Balat, pour la plus grande satisfaction du grand architecte de sa renaissance, le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Dimanche 7 janvier, jour du Noël orthodoxe, au cours d’une cérémonie d’inauguration solennelle en présence du Premier ministre bulgare, Boïko Borissov, et du Premier ministre turc, Binali Yildirim, l’homme fort d’Ankara s’est félicité que la belle rénovation de « l’église de fer » et sa réouverture constituent le symbole fort de la coexistence harmonieuse des cultes qui règne dans son pays.
A travers cette grande réalisation, le président Erdogan entend adresser un message important à la communauté internationale, s’imposant comme un protecteur du patrimoine religieux et des droits des minorités sur le territoire national, n’en déplaise à ses farouches détracteurs qui refusent obstinément que l’Union européenne s’étende jusqu’au Bosphore.
Profitant de l’occasion pour rappeler que la Turquie a restauré des dizaines de lieux de culte chrétiens et juifs durant ces dernières années et que des centaines de propriétés ont été restituées par l’Etat aux minorités religieuses, il a déclaré : « La Turquie a contribué à la restauration de plus de 5 mille vestiges archéologiques au cours des 15 dernières années, tant en Turquie, que dans les Balkans, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, Asie du Sud, Europe centrale et orientale et en Asie ».
« Nous croyons qu’il est de la responsabilité des Etats d’assurer la liberté de croyance des personnes de toute religion ou ethnie », a insisté le président turc, tout en se réjouissant que pas moins de 14 églises et une synagogue aient été réhabilitées récemment.
« Les quelques périodes sombres turco-bulgares limitées dans l’histoire ne doivent pas éclipser les longues périodes de coexistence », a-t-il appelé de ses vœux, ajoutant : « En prenant l’Eglise de Fer pour exemple, nous pouvons entreprendre un effort commun pour préserver notre patrimoine culturel ».
Un effort que la Bulgarie doit aussi consentir à faire de son côté, en s’attelant à valoriser la richesse du patrimoine islamique sur ses terres, comme n’a pas manqué de le faire observer Recep Tayyip Erdogan. Il a exhorté les autorités bulgares à aller au chevet des mosquées, sanctuaires, ponts et autres bâtiments construits à l’époque ottomane, animées par le même désir de redonner de leur lustre à ces édifices musulmans que les autorités turques à l’égard d’édifices chrétiens.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Un maire FN évoque “le grand remplacement du porc” dans les cantines.
Fin des menus dits de substitution dans les cantines des écoles de Beaucaire. C’est la décision que vient de prendre son maire Julien Sanchez. Cette commune du Gard proposait jusqu’à ce 1er janvier des plats alternatifs aux élèves les jours où du porc était servi, en l’occurrence les lundis.
L’édile défend en détails cette décision, justifiée par le refus d’une “intrusion du religieux dans l’enceinte des établissements scolaires”. “Je refuse d’assister au grand remplacement du porc à la cantine. Parce que je me suis bien rendu compte que d’année en année, de moins en moins de porc était servi”, affirme ainsi Julien Sanchez, dans une référence à la théorie complotiste du “grand remplacement” de l’écrivain d’extrême droite Renaud Camus.
“Astérix aurait assez mal pris la mise en place d’un menu de substitution quand il sert son sanglier. Et bien soyons aussi simples”, assume l’édile.
Conséquence de cette nouvelle décision aux relents islamophobe et identitaire : les élèves auront le choix entre manger du porc à la cantine ou s’organiser autrement. “Tout le monde est prévenu et ceux qui refusent que leurs enfants en mangent peuvent donc s’organiser autrement”.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Suite aux directives du Président concernant la promotion de tamazight : Ouyahia convoque un conseil interministériel.
De nouvelles mesures pour dynamiser l’enseignement de tamazight ont été prises à la faveur de la réunion lundi d’un conseil interministériel, et ce, en application des directives émises par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lors du Conseil des ministres tenu le 27 décembre dernier, indique l’APS. Le conseil interministériel, présidé par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a arrêté une série de mesures, notamment « l’allocation de postes budgétaires supplémentaires pour renforcer l’enseignement de tamazight dans le secteur de l’éducation nationale et pour élargir la formation et la recherche en tamazight au niveau des universités ». Dans le même esprit de promotion de la langue amazighe, il a été convenu de la mise en place d’un groupe de travail interministériel auprès des services du Premier ministre pour « s’atteler à la préparation d’un avantprojet de loi portant création de l’académie de langue amazighe ».
Hasbellaoui reconnait l’existence de » quelques défaillances » : Les grévistes font la sourde d’oreille.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté hier à Oran. La manifestation a rassemblé des résidents de plusieurs wilayas, dont ceux du Centre du pays, pour réclamer l’amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. Au niveau du CHU de Mustapha, les médecins résidents se sont manifestés hier matin dans le calme hier matin à l’intérieur de l’enceinte du en solidarité avec le mouvement lancé par les médecins résidents. La foule était principalement constituée d’internes et d’externes ainsi que par des professeurs de médecine, où des slogans tels que » Nous n’avons pas peur » et » Résidents solidaires » ont pu être entendus. Les médecins résidents ont notamment soulevé des revendications liées aux oeuvres sociales, au service militaire et au Service civil. Après avoir opposé une sourde oreille aux doléances des médecins, qui les ont poussés à tenir des rassemblements dans plusieurs wilayas du pays à, le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière,M. Mokhtar Hasbellaoui a affirmé que les portes du dialogue demeurent ouvertes aux médecins résidents.
CHU Hassani Abdelkader : Les agents paramédicaux débrayent.
L’activité hospitalière a été quasiment paralysée cn cette journée du 08 janvier 2018, à cause de la grève des paramédicaux du C.H.U. Hassani Abdelkade DE Sidi bel abbès, qui est suivie dans plusieurs autre établissements de la wilaya, nous rapporte t on. Ainsi de bonne heure, cette grève nationale à caractère cyclique, a permis de regrouper dans l’enceinte du CHU , en un sit-in dument discipliné sous l’encadrement du S .A.P.( Syndicat des Agent Paramédicaux), et ce rappeler la non application d’une plateforme de revendication , déposée en Juillet dernier auprès du ministère de tutelle, et qui à ce jour n’a pas encore eu d’échos.
La privatisation des entreprises relancée : Les syndicats des travailleurs s’inquiètent.
Le gouvernement qui s’apprête à privatiser prés de 1200 entreprises publiques rassure sur les perspectives à venir. Mais certains syndicats autonomes craignent l’effet d’une compression d’effectifs. La première réaction est venue du Snateg (syndicat des travailleurs de sonelgaz) qui va se mobiliser dés le 20 janvier prochain pour dénoncer la charte du partenariat public privé. La crainte de ce syndicat est justifiée par » l’abandon des entreprises publiques au privé sans concession » lit-on dans un communiqué. Si les autres syndicats restent encore muets sur la question, certains collectifs de travailleurs vont se manifester dans les jours qui suivent. Hormis les grandes entreprises stratégiques qui ne seront pas touchées par cette opération, l’ensemble des secteurs est concerné.
Chafiq ne sera pas candidat à l’élection présidentielle en Egypte : La voie libre à Abdel Fattah El-Sissi.
L’annonce par l’ancien Premier ministre égyptien Ahmed Chafik dimanche dernier du retrait de sa candidature à l’élection présidentielle prévue cette année, contrairement à ce qu’il avait annoncé fin novembre, suscite moult interrogations au sein de la classe politique Egyptienne voire internationale. Le retrait de la course à la présidence de l’ancien général de l’armée de l’air, âgé de 76 ans, est aujourd’hui attribué à des pressions gouvernementales. Selon le New York Times, qui cite un de ses avocats souhaitant garder l’anonymat, le pouvoir l’aurait menacé d’enquêter et de le poursuivre pour de vieilles affaires de corruption. Un récit « largement confirmé par des enregistrements audio d’appels téléphoniques d’un officier du renseignement égyptien obtenus par le New York Times », révèle le quotidien américain.
Visas pour la France : Tout ce que vous devez savoir.
L’ambassade de France et le Consulat général de France à Alger ont changé de prestataire pour les prises de rendez-vous et le dépôt des dossiers de demande de visas à compter du 9 avril prochain. Selon un communiqué de l’ambassade de France à Alger, à partir d’aujourd’hui, les personnes relevant de la circonscription du consulat général de France à Alger qui souhaitent prendre un rendez- vous pour le dépôt d’un dossier demande de visa au-delà du 9 avril 2018, peuvent le faire auprès de VFS Global (www.vfsglobal.com/France/Algeria). La même source ajoute que les rendezvous devront être obligatoirement confirmés par un paiement préalable des frais de service, dans une agence de la banque Crédit Populaire d’Algérie (CPA) puis, également, dans le courant du mois de janvier 2018, par l’ouverture du prépaiement en ligne par carte bancaire. L’ensemble de la procédure de prise de rendez-vous est détaillée sur le site Internet de VFS Global ». » Pour toute information complémentaire, il est mis à la disposition des demandeurs un service d’informations, joignable par téléphone au +213 41 98 55 08 ou par messagerie électronique à l’adresse info.francealg@vfshelpline.com, sans interruption du dimanche au jeudi entre 08h00 et 16h00 « , précise l’ambassade de France. Le communiqué de la diplomatie française a tenu à rappeler que jusqu’au 29 mars 2018 inclus, il n’y a pas de modification du dispositif existant: les demandes de visas doivent toujours être déposées au centre TLS Contact et les rendez- vous correspondants pris selon la procédure en vigueur sur le site de TLS Contact https://fr.tlscontact.com/dz/alg/index.php ) ». Le consulat général « met quotidiennement en ligne un nombre important de rendez-vous auprès de TLS. Si le demandeur souhaite déposer sa demande de visa avant le 29 mars 2018, il est donc invité à vérifier sur le site de TLS Contact la disponibilité d’un rendez-vous à la date souhaitée », note la même source, précisant que « c’est seulement pour les rendez-vous à prendre au-delà du 9 avril 2018 que la nouvelle procédure est utilisée, puisque c’est à cette date seulement que le Consulat général de France à Alger travaillera avec la société VFS Global en remplacement de TLS Contact ».

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Oprah Winfrey, candidate à la présidentielle en 2020 ?
Sur les réseaux sociaux, les hashtag sont déjà lancés : #OprahForPresident, #Oprah2020. Beaucoup d’internautes et de supporters d’Oprah Winfrey la voit déjà remplacer Donald Trump à la Maison-Blanche en 2020.
Un succès déjà acquis depuis de longues années, en tant que businesswoman et présentatrice hors pair. Mais son discours aux Golden Globes le week end dernier, qui ressemblait davantage à celui d’une femme politique qu’une vedette de talk show, a relancé la rumeur autour de son éventuelle candidature.
Lors de son discours d’une dizaine de minutes, Oprah Winfrey est non seulement revenue sur l’affaire Weinstein et sur la campagne #MeToo contre les violences sexuelles, mais elle a également rapporté ce combat à celui des deux héroïnes pour les droits civiques aux Etats-Unis : Rosa Parks et Recy Taylor (cette femme noire avait osé raconter son viol aux autorités par plusieurs hommes blancs en 1944).
Une prise de parole émouvante et très engagée contre le racisme et la misogynie, dans laquelle Oprah Winfrey a également annoncé l’arrivée « d’une aube nouvelle » pour les femmes et les jeunes filles maltraitées par les hommes. Des abus sexuels dont elle a été victime elle aussi dans sa jeunesse, dans un quartier pauvre du Mississippi. En 1993, elle a d’ailleurs été à l’origine de la loi Oprah portant son nom, aboutissant à la création d’une base de données sur les pédophiles américains.
Le même jour, le dimanche 7 janvier, la deuxième fortune de l’industrie du divertissement selon Forbes, a également reçu le prix Cecil B.DeMille, qui récompense des artistes pour l’ensemble de leur carrière et parfois aussi pour leur engagement humanitaire.
Le parcours d’Oprah Winfrey est en effet remarquable. En trente ans, la sexagénaire a porté de nombreuses casquettes, dont celles de journaliste, animatrice, directrice de magazines mais aussi actrice de cinéma.
« The Oprah Winfrey Show », suivi en moyenne par 7,5 millions de téléspectateurs chaque jour
Après avoir obtenu un diplôme en communication, Oprah Winfrey a présenté le journal de station de radio noire WVOL. Puis elle est devenue la première femme noire présentatrice de télé, la menant a réalisé son propre talk-show « The Oprah Winfrey Show ». Un véritable succès pendant des décennies, avec des interviews marquantes comme celles de Michael Jackson en 1993 (après des années de silence du chanteur), et vues chaque jour par des millions de téléspectateurs. En 2012, elle a également crée son nouveau talk-show, « Oprah’s Next Chapter », sur sa propre chaîne télé.
Mais les talents de Oprah comme on la surnomme, ne s’arrêtent pas là. Elle a également joué dans plusieurs films comme La Couleur pourpre de Steven Spielberg, le Majordome de Lee Daniels et d’autres téléfilms.
Enfin, elle a également fait la promotion du programme d’amaigrissement Weight Watchers, lui rapportant plus de 3 millions d’euros et la faisant devenir une des actionnaires principales de cette société américaine.
Au 1er janvier, sa fortune personnelle était estimée par le magazine Forbes à 2,4 milliards d’euros. Le 27 décembre dernier, Oprah Winfrey a également pris la 3e place du classement annuel des personnalités féminines les plus admirées des Américains, juste derrière Hillary Clinton et Michelle Obama.
Oprah Winfrey donnée gagnante contre Trump en 2020, selon un sondage
Ainsi, Oprah Winfrey a su développer une véritable image de marque autour de sa personne. Et pour beaucoup, elle semble désormais avoir acquis la stature d’une candidate à la présidentielle. Un sondage publié en mars par l’institut Public Policy Polling donnait d’ailleurs Oprah Winfrey gagnante en 2020 contre Donald Trump à 47 % des suffrages contre 40 % au président sortant.
En mars dernier, dans une interview sur la chaîne Bloomberg, elle avait déclaré n’avoir « jamais envisagé que (se présenter à la présidence des Etats-Unis) serait même une possibilité ». Mais depuis, Oprah Winfrey cultive l’ambiguïté à ce sujet.
Juste après son discours, elle a été interrogée pour savoir si elle comptait ou non se présenter. « C’est aux gens de décider », a t-elle déclaré au Los Angeles Times. Mais selon son compagnon Stedman Graham, « elle le ferait, c’est clair », a t-il confié.
Une idée qui ne date pas d’hier. Déjà, Donald Trump en 1999 avait émis l’idée de nommer Oprah Winfrey comme colistière à la Maison-Blanche, alors qu’il se présentait à la présidentielle du parti de la Réforme. Barack Obama avait aussi plaisanté à ce sujet, en annonçant qu’il choisirait Oprah Winfrey comme vice-présidente, elle-même étant une fervente supportrice de l’ancien président, l’ayant accompagné dans plusieurs meetings électoraux.
Une nouvelle candidature sans expérience qui inquiète déjà
Pourtant, bien qu’Oprah Winfrey possède une éloquence et un charisme remarquables, on peut tout de même s’interroger sur les réelles compétences, qualifications et expériences de celle-ci. Certes, « elle n’a pas de liens avec les nationalistes blancs, n’est pas accusée de collusion avec un gouvernement étranger et n’a pas été surprise en train d’avouer une agression sexuelle. Oprah serait une présidente bien supérieure, plus intelligente et plus stable que Trump », écrit un journaliste de The Intercept.
Mais son élection ne ferait que passer le pouvoir d’une vedette milliardaire à une autre. Donald Trump et Oprah Winfrey sont en effet deux « stars » à la tête d’un empire immobilier pour le premier et d’un empire médiatique pour la deuxième. Mais ils ne sont pas passé par d’autres élections et n’ont jamais brigué de mandats politiques aux Etats-Unis. Si en 1981 l’ancien acteur hollywoodien Ronald Reagan est devenu le 40e président des Etats-Unis, il avait tout de même été élu en tant que gouverneur de Californie entre 1967 et 1975, rappelle The Intercept.
Bien qu’engagée dans plusieurs causes, la place des femmes, la liberté de la presse, la défense des homosexuels, etc… Oprah Winfrey a t-elle une culture politique et géopolitique solide ? Possède t-elle une stature diplomatique suffisante pour assumer un tel poste ? Les nombreuses approximations et bourdes commises par un Donald Trump trop fraîchement élu, coûtent désormais cher à l’Amérique. La légitimité d’Oprah Winfrey est d’ailleurs déjà mise en doute par plusieurs éditorialistes et essayistes américains, qui y voient une dérive du système politique. « La présidence n’est pas de la télé-réalité ou un talk-show », s’est notamment exprimé l’essayiste et écrivain Thomas Chatterton Williams dans une tribune pour le New York Times. Il ne reste désormais que deux ans à Oprah Winfrey, pour prouver qu’elle est la candidate idéale.
Salman al-Awdah détenu depuis quatre mois en Arabie Saoudite pour… un tweet.
Le prédicateur Salman al-Awdah est détenu, depuis le 7 septembre, par les autorités saoudiennes. Quatre mois passés en prison sans aucune inculpation, dénonce Human Rights Watch. De leur côté, les membres de la famille du savant ont été interdites de voyager.
Que reproche-t-on exactement à Salman al-Awdah ? Selon HRW, le prédicateur est détenu après avoir refusé de tweeter un texte dicté par les autorités saoudiennes au sujet du blocus imposé par le royaume wahhabite au Qatar. Pire, Salman al-Awdah aurait tweeté, le 9 septembre, un appel à la réconciliation entre les pays du Golfe, indique Al Jazeera.
Selon les proches du prédicateur, ce dernier n’aurait eu l’autorisation que de passer un coup de téléphone lors du mois d’octobre. HRW dénonce les méthodes de la justice saoudienne : « Les efforts du prince héritier Mohammad bin Salman pour réformer l’économie et la société saoudiennes échoueront si son système de justice méprise la primauté du droit en ordonnant des arrestations et des châtiments arbitraires », a ainsi déclaré Sarah Leah Whitson, directrice du Moyen-Orient au sein de l’organisation non gouvernementale.
Pour une Arabie Saoudite libre
Human Rights Watch dénonce le fait qu’aucune charge ne soit retenue contre Salman al-Awdah. « Il n’y a aucune raison de punir les membres de la famille d’un détenu sans montrer la moindre preuve ou accusation d’acte répréhensible de leur part », dénonce HRW. Salman al-Awdah avait été appréhendé lors d’une vague d’arrestations contre des personnes accusées d’agir contre les intérêts du royaume saoudien.
Au début des années 1990, Salman al-Awdah a appartenu au mouvement Sahwa, qui appelait à l’instauration d’une monarchie constitutionnelle en Arabie Saoudite. Opposé à la présence de l’armée américaine sur le territoire saoudien après la guerre du Golfe, il avait été arrêté et avait croupi en prison pendant cinq ans, de 1994 à 1999.
Opposé à l’intervention américaine en Irak depuis plusieurs années, mais également à la pénalisation de l’homosexualité, Salman al-Awdah a toujours milité pour une Arabie Saoudite dans laquelle les libertés individuelles auraient une place importante, comme le résume ce portrait paru dans Le Monde.
Si, en apparence, Mohammad bin Salman veut moderniser son pays, le prince héritiers n’a pas hésité, ces derniers mois, à faire arrêter des prédicateurs religieux influents mais hostiles aux oulémas officiels.
BDS : une organisation ayant sauvé des juifs pendant la guerre blacklistée par Israël.
« Nous sommes passés de la défense à l’offensive. » Pour Gilad Erdan, le ministre israélien des Affaires stratégiques, la publication d’une « liste noire » des militants pro-BDS doit permettre d’« agir » contre ces derniers en leur interdisant d’entrer sur son territoire.
La liste comprend une vingtaine d’organisations, principalement européennes et américaines, comme l’association France-Palestine Solidarité.
L’an dernier, Hugh Lanning, président de Palestine Solidarity Campaign était devenu le premier citoyen britannique à se voir refuser l’entrée en Israël en vertu de la loi, rappelle The Independent.
Parmi les organisations listées par Israël, on retrouve Jewish Voice for Peace. Coordinateur au sein de cette association, Ben Lorber écrit dans Forward qu’il est désormais interdit d’entrée en Israël. « Ma première réaction à l’annonce de cette interdiction fut un choc. Ensuite, il y a eu de la tristesse », explique le jeune homme qui ajoute : « Je sais que ma tristesse n’est rien en comparaison de celle de mes amis palestiniens de Chicago, qui rêvent encore de pouvoir visiter ou retourner dans leur patrie, qui ont encore les clés des maisons d’où leurs grands-parents ont été expulsés. »
L’association American Friends Service Committee est également sur la liste noire d’Israël. Ses membres, connus sous le nom de « quakers », avaient obtenu en 1947 le prix Nobel de la paix pour avoir accueilli de nombreuses personnes fuyant l’Allemagne nazie. Aujourd’hui, L’AFSC appelle à un boycott partiel d’Israël et en appelle à la paix.
Finalement, la liste noire dressée par Israël aura eu l’effet inverse de celui escompté : les organisations pro-BDS interdites de se rendre en Israël affirment en effet que leur nombre d’adhérents a sensiblement augmenté ces derniers jours, selon Haaretz.

Sur Actualite islamique de Belgiquerien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Appel à action du 10 au 20 janvier 2018: Agissons pour libérer Ahed Tamimi et tous les prisonniers politiques palestiniens!
A l’appel de Samidoun, le réseau palestinien de solidarité avec les prisonniers palestiniens et BDS Hollande , participons à une semaine internationale d’action pour la libération de Ahed Tamimi et des prisonniers politiques palestiniens du 10 au 20 janvier 2018.
Ahed Tamimi, mineure de 16 ans arrêtée le 19 décembre dernier par l’armée israélienne dans son village Nabi Saleh entouré de colonies, a été présentée à la justice militaire le 28 décembre. les 12 charges finalement retenues contre elle (de la gifle à un soldat, à jets de pierre, et harcèlement de l’armée) risquent de lui valoir plusieurs années de prison . Sachant que le taux de condamnation des palestiniens traduits devant les tribunaux militaires est proche de 100%, il est urgent d’agir.
C’est le moment d’agir!
Ecrivons à nos députés , et interpellons le gouvernement français.
Tout les détails de l’action sur agence media palestine.fr.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’occupation arrête une palestinienne à Ramallah pour une attaque au couteau
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Les forces d’occupation israéliennes ont arrêté, mardi soir, une femme palestinienne qui aurait tenté de mener une attaque au poignard près de la ville de Tremsaya, au nord de Ramallah au centre de la Cisjordanie occupée.
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Naplouse : Un soldat israélien tué dans une attaque de coups de feu
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Un jeune palestinien blessé à Bethléem
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La Suède met en garde Washington contre une réduction de l’aide aux Palestiniens
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Les Palestiniens négocient la tenue d’une conférence sur le Moyen-Orient avec la Russie et la Chine
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Les autorités arrêtent deux citoyens dont un universitaire
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Le député Tafech appelle l’Autorité Palestinienne à arrêter les arrestations politiques
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Les Nations Unies s’inquiètent de la détention d’Ahed Tamimi
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Des colons et des agents du renseignement profanent les cours saintes d’al-Aqsa
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L’occupation kidnappe 17 palestiniens dans les campagnes de raids en Cisjordanie
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Détérioration de l’état de santé du prisonnier Rajoub
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Une délégation de Hamas en Algérie
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Al-Qassam à la mère de Goldin : ton gouvernement vous cache la vérité et la solution
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L’occupation arrête un certain nombre de pêcheurs et confisque deux bateaux dans la mer de Gaza
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Baraka appelle le Conseil national palestinien à retirer sa reconnaissance d’Israël
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Abbas se rendra à Bruxelles le 22 janvier
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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