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Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Vers un post-réformisme musulman.
Minoritaires mais spectaculaires, les groupes néo-fondamentalistes djihadistes, à l’œuvre au moyen Moyen-Orient et au Sahel, interrogent par leur existence, à plus d’un titre, l’état du monde musulman, particulièrement après l’événement planétaire que fut le soulèvement des peuples Arabes.
L’espoir suscité par cet évènement et l’arrivée des islamistes légalistes aux pouvoirs après les élections qui suivirent, ont laissé place à une sourde déstabilisation de toute la région. L’idéologie et l’action islamiste, au vu de ces faits et de l’avancée spectaculaire des groupes néo-fondamentalistes, semble montrer au grand jour ses limites paradigmatiques telles qu’annoncées par le livre « l’échec de l’islam politique » d’Olivier Roy . Le néo-fondamentalisme n’est en effet que le symptôme de la dégradation de l’islamisme et du salafisme traditionalistes et, au-delà, de la salafiyya réformiste dont ils sont issus.
Née au cours du XIXème siècle, la salafiyya réformiste dont est issu l’islamisme et le salafisme, avait en effet trois objectifs :
Libérer le monde musulman de la domination occidentale.
Permettre l’unité de la Oumma Islamique.
Et enfin moderniser la société musulmane pour rattraper et tutoyer l’occident dans le leadership mondial.
Pour ce faire, la salafiyya a pensé le monde et l’état de retard et de domination des musulmans à travers le prisme des cadres de l’islamité tel qu’élaborés par les pieux prédécesseurs (salaf salih) du 3ème- 4ème siècle de l’Hégire. Cela, afin de revenir à une compréhension et une pratique épurée de l’islam. Le retour à ces derniers devait ainsi permettre l’enclenchement de la renaissance (nahda) civilisationnelle de la nation musulmane, et l’utilisation des avancées scientifiques de l’Occident de façon adaptée aux valeurs musulmanes. En effet, afin de trouver les moyens de se libérer du joug colonial, les leaders du réformisme musulman ont ainsi dû mobiliser la sève islamique de la société. Faisant du passé glorieux, du mode de pensée et de vie des salafs salih, confondu avec les principes de l’Islam, l’idéal mobilisateur de la résistance intellectuelle, culturelle et politique des nations musulmanes.
De ces trois objectifs, aux dimensions socio-politiques, que prendra en charge l’islamisme, et théologico-culturel, que prendra en charge le salafisme, seul le premier a été atteint. Les indépendances ont en effet concrétisé les années d’effort et de résistance (djihad) contre la colonisation. L’unité du monde musulman et la modernisation des sociétés musulmanes n’ont par contre aucunement étaient atteints.
C’est de ces échecs que semble provenir le néo-fondamentalisme salafiste et djihadiste actuel, qui est plus l’expression d’un vide idéologique que celui d’une proposition d’alternative répondant à la crise profonde du monde musulman. Crise que l’anthropologue Clifford Geertz expliquait comme provenant d’une « rupture entre l’esprit religieux (Islam) et la religiosité (islamité) » . Crise que la mobilisation idéologique de la salafiyya n’a pas su solutionner en sa racine. Et ce, en raison de la nature même du mouvement et de ses ressorts.
C’est en effet la situation et l’urgence politique qui ont commandé l’action et la pensée réformiste musulmane. Ce qui n’a pas permis une réflexion profonde sur le plan philosophique et théologique, et donc sur le contenu même de la foi et de la vision du monde, susceptible d’opérer un changement de cap radical. Ainsi la salafiyya réformiste en se contentant d’idéaliser l’islam des anciens (musulmanisme) et de l’idéologiser (islamisme), n’a pas su dépasser la réaction suscitée par l’hégémonie et la colonisation occidentales.
Avant tout réactive et défensive, la pensée réformiste salafi, qui est devenue pour une large part, celle de la pensée musulmane contemporaine tout court, n’a pas pu inventer un nouveau modèle religieux adapté aux nouvelles données cognitives apportées/imposées par le modernisme occidental. C’est cette absence d’alternative sur les plans paradigmatique, philosophique et méthodologique, qui marquera l’évolution de la salafiyya. La création n’ayant ainsi pas pris le pas sur la conservation et la négation, dans cette pensée mère qu’est le réformisme salafi, le néo-fondamentalisme salafiste actuel, qui est avant tout une volonté de ré-islamisation (pensée comme désoccidentalisation) de la société par le contrôle des mœurs par l’État, en est la conséquence somme toute logique. Et ce phénomène semble devoir perdurer tant qu’une alternative profonde n’aura pas produite une « vision et une religiosité coranique, cosmique et moderne » qui permette le dépassement du “musulmanisme” (qui est le cadre religieux née après le Prophète, devenu un carcan) et du réformisme musulman. Et ce, sans pour autant tomber dans un modernisme occidental en crise, dont le post-modernisme et les crises successives nous montrent les limites.
En d’autres termes, il s’agit de produire une modernité « cosmique » (qui est la une conscience de la reliance de toutes choses dans sa relation avec la transcendance) et coranique (qui donne voie à cette conscience) qui soit d’une part, continuité, rupture et dépassement de l’islam religion (musulmanisme), par l’Islam révélation (adhésion à la paix de Dieu); et d’autre part une proposition de réforme et de révolution du modernisme occidental fossilisé et de dépassement du post-modernisme dissolu.
Ces deux actions de réforme, dans le champ musulman d’une part et dans celui mondial d’autre part, ne font en réalité qu’un et concerne l’être humain, en tant que tel, en ce qu’il a de plus fondamental et cosmique. Dans un tel contexte, aucune alternative concernant une religion, une région, un domaine particulier, au vu de l’interdépendance et interconnexion du monde, ne peut à nos jours en être véritablement une, sans le concours et la prise en compte de toutes les dimensions qui fondent l’humanité et le devenir de tous les hommes. L’alternative sera globale et universelle ou ne le sera pas. Nous ne nous en sortirons pas sans les autres et les autres ne s’en sortiront pas sans nous.
Un tel projet, pour devenir réalité, devra recevoir le concours de certaines conditions résumées à travers les points suivants, que nous espérons développer en d’autres écrits :
Un rapport et une connaissance directe de la révélation et de la création. Ce qui exigera la mise à disposition d’une méthodologie/philosophie, accessible à tous, de lecture de l’univers coranique, de l’univers cosmique et leur interaction. Les sciences du tafsir, de ce fait, doivent être mise à l’écart en raison du fait qu’elles sont un obstacle à la méditation directe du Coran, en raison de la sacralisation qu’elle fait des règles et commentaires des anciens. Par ailleurs, les sciences humaines et de la nature doivent, de leur côté, être « dés-idéologisées » afin qu’elles ne soient pas un obstacle à l’expression créative et interactive de la conscience humaine, dans ses résonances avec le cosmos et sa relation avec la transcendance. En d’autres termes, il faut libérer le Coran et délivrer la pensée humaine des prêtres et des experts qui les figent par leurs commentaires pour livrer les êtres au pouvoir de l’avoir.
Une synthèse critique de l’héritage spirituel et philosophique des nations du monde qui servira à percevoir le cœur unique de toutes ces traditions, les raisons de leurs spécificités et les déviances qui y furent introduites par le temps et les conflits de pouvoir. Cela, afin d’aider à une réforme interne de chacune, par rapport à ses fondements, et de permettre leur évolution à toutes par rapport au cadre universel cosmique révélé par le Coran. En fait, il s’agit de cesser et de dépasser l’opposition stupide et dangereuse entre la réalité humaine et son potentiel infini et l’idéal divin et sa puissance absolue. La divinité n’est pas l’humanité ; mais la seconde ne peut se développer sans la première qui ne s’oppose point à elle et, bien au contraire, lui propose de s’élever vers elle (sans possibilité de se confondre avec elle) en être libre et responsable. Pour ce faire, une conception nouvelle de Dieu et de l’humain doit émerger de la relation révélation-création.
Une politique éducative et sociale d’élévation, d’autonomie, de solidarité et d’interaction saine des personnes et peuples. Une politique ni étatique, ni de marché, mais populaire qui permette l’indépendance vis à vis des pouvoirs religieux, idéologique, politique et financière, ainsi qu’une lecture libre et donc créative, sans idole, ni intermédiaire, de la révélation-création, qui favorise l’éclosion des potentiels que le poids de ces pouvoirs étouffe.
Tels sont les enjeux que soulèvent la question du post-réformisme musulman. Loin de ne concerner que le monde musulman, il est une prise de conscience des limites cognitives, religieuses et politiques des cadres de pensée et d’action qui gouvernent les rapport (négatif ou positif) de l’humanité avec elle-même, la nature et le divin.
L’état du monde appelle la venue d’une pensée cosmique capable de contenir, de préserver et de féconder l’unité et la diversité. Une pensée qui sache féconder l’unité du monde par la diversité des hommes, dans la quête de l’idéal vrai : qui est à la fois au-delà, pour donner à notre infini l’évolution de ses expressions et à portée de cœur, pour se nourrir et grandir à son contact, dans une relation directe, belle et aimante. Et ainsi continuer l’écriture, sous son inspiration divine, par l’humanité, de la création cosmique sur les pages infinies de la vie et son renouveau. Les prémisses d’une telle pensée post-réformiste et universelle sont-elles observables dans le monde musulman en crise ? C’est la question à laquelle nous tenterons de répondre dans un prochain article.
Tariq Ramadan est mis en examen pour viol et emprisonné.
«Tariq Ramadan vient d’être mis en examen et incarcéré pour viol. Placé en garde à vue depuis mercredi, il a été confronté à l’une de ses accusatrices.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Les médecins-résidents reçus demain au ministère de tutelle : Veillée d’arme à la « Santé ».
Les représentants des médecins résidents, en grève depuis plusieurs semaines, seront reçus demain au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans le cadre des travaux du comité intersectoriel chargé du dossier, avec à l’ordre du jour, la question relative au service civil, selon le ministère de la Santé. “L’ ordre du jour de la réunion portera sur le service civil”, a indiqué à l’APS le conseiller du ministre de la Santé, Slim Belkessam. Rappelant que cette réunion, qui était prévue mercredi, a été reportée à dimanche en raison d’”un nouveau calendrier proposé par les représentants des médecins résidents”. Les travaux du comité sont coordonnés par le Doyen de la faculté de médecine d’Alger, le Pr Salaheddine Bendid, et l’inspecteur général du ministère de la Santé, Omar Berradjouane. Outre les représentants du ministère de la Santé et des médecins résidents, ce comité est composé également de représentants des ministères de l’Intérieur, des Finances, de l’Enseignement supérieur, du Travail et de la Fonction publique. Pour rappel, les revendications des médecins résidents portent essentiellement sur l’abrogation du caractère obligatoire du service civil et son remplacement par un autre système de couverture sanitaire pour l’intérêt du patient et l’épanouissement socioprofessionnel du médecin spécialiste, le droit à la dispense du service militaire, le droit à une formation de qualité pour le médecin résident, la révision du statut général du résident, le droit aux oeuvres sociales, ainsi que le droit à l’agrément d’installation à titre privée de spécialistes en biologie clinique. Par ailleurs, M. Belkessam a indiqué que le syndicat national des sages-femmes algériennes relevant de la Fédération nationale des travailleurs de la Santé (FNTS-UGTA) “a été reçu mercredi dernier par la Commission centrale chargée du dialogue avec les partenaires sociaux, dans le cadre d’une séance de travail”, précisant que cette réunion a permis de “passer en revue les préoccupations exprimées par le syndicat sur la situation socio-professionnelle des sages-femmes et les mesures à prendre pour améliorer les conditions de travail et la normalisation des tâches dévolues à cette corporation”. Il a relevé qu’un débat “a été engagé autour du projet du guide de prise en charge de la femme enceinte, lequel a été finalisé par un groupe d’experts siégeant au ministère de la Santé et qui a été soumis au syndicat pour enrichissement”. S’agissant du syndicat algérien des paramédicaux (SAP), le responsable du ministère a qualifié de “positive” la réunion tenue mercredi avec la commission centrale de dialogue avec les partenaires sociaux, dans la mesure où elle a permis de “mettre en évidence et de régler toutes les situations de conflit social, à l’origine du mot d’ordre de grève”, a-t-il souligné. D’autre part, lors de cette réunion, il a été décidé de la mise en place d’un groupe de travail pour suivre le dossier du personnel paramédical. Il est attendu que le SAP rende sa réponse définitive sur la grève à l’issue de la réunion de son Conseil national, a-t-il conclu.
LPP : Un quota pour la diasp.
Lors d’ une visite de travail dans la wilaya de Tlemcen, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a annoncé l’ouverture de la souscription à distance des membres de la communauté algérienne établie à l’étranger pour la formule de logement promotionnel public (LPP) par le biais du site de l’Agence d’amélioration et de développement du logement (AADL). En effet, le ministre a souligné que cette action initiée en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères, servira en premier pour connaitre le nombre exact de la demande qui sera exprimée et situer géographiquement cette demande, pour élaborer un programme en conséquence. En outre, il a déclaré que « Toute cette opération se déroulera à distance pour faciliter la tâche à notre communauté à l’étranger », d’autre part, le ministre a annoncé qu’un quota restant de l’ancien programme LPP composé de 2.000 unités sera versé dans cette action pour débuter ». Affirmant « que le site de l’AADL comprend tous les mécanismes et procédures à suivre pour bénéficier de cette formule d’habitat », a-t-il indiqué S’agissant du programme 2018, le ministre a fait savoir que un total de 120.000 logements a été décidé par le gouvernement pour répondre aux besoins exprimés par les citoyens ayant souscrit pour la formule location-vente et qui ont versé les ordres de versement, en plus du retour de la formule de logement promotionnel aidé (LPA) qui bénéficiera de 70.000 unités et du renforcement de l’habitat rural. Pour les anciens programmes, à l’instar du logement public locatif (LPL), « le ministère veillera sur la célérité des réalisations, le respect des délais et le suivi à travers des rapports périodiques transmis par les directions du logement des wilayas. Les wilayas du sud et des hauts plateaux bénéficieront, pour leur part, d’un programme de lotissements, qui concernera, également, une partie de la wilaya de Tlemcen », a-t-il ajouté.
Lutte contre le terrorisme et le grand banditisme : L’ANP sur tous les fronts.
L’armée nationale populaire a doublé d’efforts dans sa lutte contre le terrorisme. Elle a réalisé des exploits à travers à ses opérations de qualité et ce grâce à son haut niveau de professionnalisme, sa persévérance et sa détermination. L’opération de khenchela qui a connu un grand succès a abouti à mettre hors d’état de nuire 8 dangereux terroristes. En effet, l’après midi du 31 janvier 2018, suite à une opération de fouille et de ratissage au niveau de la commune d’Ouled Ahlel, daïra d’Ouled Antar à Médéa/1ère RM, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a abattu, deux dangereux terroristes. L’opération, qui est toujours en cours, a permis de saisir deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, une quantité de munitions et une paire de jumelles. A Batna, le communiqué du ministère de la Défense nationale a fait état de la destruction jeudi de 23 casemates et 4 bombes de confection artisanale. Ces opérations continues menées par les unités de l’Armée nationale populaire visent à resserrer l’étau sur ces criminels, et leur couper tout moyen de survie là où ils se retranchent. Par ailleurs, le huitième terroriste abattu par un détachement de l’Armée populaire nationale (ANP) lors de l’opération qui s’est soldée par l’élimination de 8 terroristes, le 26 janvier dernier à Khenchela, a été identifié. Il s’agit du dénommé H. Mbarek dit Meslem Soufi qui avait rallié les groupes terroristes en 2013″. Dans le même contexte, un détachement de l’ANP « a arrêté, à Tlemcen et Aïn Témouchent (2ème RM), trois éléments de soutien aux groupes terroristes, tandis qu’un autre détachement a découvert et détruit, à Jijel (5ème RM), un abri contenant une bombe de confection artisanale, une quantité de munition et d’autres objets. Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP « ont intercepté, à Tamanrasset, In Guezzam et In Salah (6ème RM), 51 contrebandiers, un camion, 3 véhicules tout-terrain,18 groupes électrogènes, 17 marteaux piqueurs et 7 détecteurs de métaux, alors que d’autres détachements ont appréhendé 3 narcotrafiquants et saisi 25 kilogrammes de kif traité à El Oued (4ème RM) et 2.016 unités d’articles pyrotechniques à Ouargla, relève le communiqué, ajoutant que des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté 2 personnes en possession de 249 comprimés psychotropes à Oran (2ème RM) ».Par ailleurs, des Garde-côtes « ont déjoué à Annaba (5ème RM) des tentatives d’immigration clandestine de 22 personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, tandis que 6 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Adrar et Ghardaïa ». Il y lieu de signaler que le début de l’année 2018 a été marquée par plusieurs succès réalisés l’ANP lors de sa lutte contre le terrorisme et l’opération de nettoyage continue. En effet, 15 terroristes ont été abattus, 5 se sont rendus, et 23 autres ont été arrêtés pour soutien au groupes terroristes. Pour ce qui est de la lutte contre la criminalité organisée, il a été question de la saisie de 1 marteau piqueur, 100 groupes électrogène, 26 appareils de détecteur de métaux, 177245 litres d’essence, 97 engins, 1145 unités de tabac, 100, 4 tonnes de produits alimentaires. L’ANP a pu récupérer 21 kalachnikov, 2 fusils mitrailleurs, 47 balles, 9 lances roquettes, 19 fusils, 15, 90 quintaux de kif traité, 15654 comprimés de psychotropes, 17 appareils de communication, 12 jumelles, 2,7 Kg de dynamites, 00,7 quintaux de produits chimiques destinés à la construction d’explosif, 1800 litres d’huile de table. L’ANP a procédé à l’arrestation de 862 migrants clandestins et 25 individus pour trafic de drogue.
Sénat : Séance de questions orales.
“Les efforts considérables déployés par les pouvoirs publics pour la réhabilitation, la maintenance et la réalisation de routes sur l’ensemble du territoire national, du Nord au Sud, sont une preuve évidente de son attachement à son engagement de réaliser un réseau routier national moderne doté des meilleurs équipements techniques qui répond à la dynamique croissante que connait le trafic routier national”, a précisé M. Ouyahia. lors d’une séance plénière au Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales, Soulignant l’intérêt particulier qu’accorde les pouvoirs publics à la mise en oeuvre du plan d’orientation des routes et autoroutes 2005-2025 qui s’inscrit, en application du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le cadre du plan de développement socio-économique à travers les différentes régions du pays, notamment les régions du grand Sud, le Premier ministre a indiqué que toute opération de maintenance, de réfection et de modernisation des routes constitue un des axes stratégiques du programme d’action du secteur des travaux publics et des transport. “En dépit de la conjoncture financière induite par la chute des prix du pétrole au niveau mondial, qui a empêché pour l’heure l’inscription de l’opération de réhabilitation de la route nationale N 49 dans son tronçon Ghardaïa-Hassi Messaoud et son report jusqu’à l’amélioration de la situation, toutes les mesures relatives à la maintenance, à l’équipement et à l’amélioration du trafic routier au niveau de cette route ont été prises”, a ajouté M. Ouyahia. De son coté, la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Feraoun a indiqué,quant à elle, que 57% des contractuels d’Algérie Poste ont été recrutés, précisant que l’opération se poursuivra pour inclure tous les contractuels d’ici la fin de l’année en cours. En réponse à la question d’un membre du conseil de la Nation lors d’une séance plénière présidée par M. Abdelkader Bensalah, Mme Feraoun a indiqué qu’Algérie poste a recruté 57% des contractuels, soit 3268 employés dans le cadre du dispositif d`aide à l`insertion professionnelle (DAIP) et 2600 dans le cadre du contrat de travail aidé (CTA). Le recrutement des contractuels restants d’Algérie poste se poursuivra “progressivement durant les prochains mois” pour englober l’ensemble des concernés d’ici la fin de l’année” cours pour couvrir le déficit en ressources humaines, notamment en ce qui concerne les employés du tri, de la distribution des colis et du courrier ainsi que les facteurs. Enfin le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Hacène Mermouri, a annoncé jeudi à Alger, l’installation d’un groupe de travail au niveau du secteur pour actualiser les réglementations et les lois juridiques et les adapter aux exigences actuelles du secteur. Le ministre qui répondait aux questions de deux membres du Conseil de la nation sur le développement touristique dans la wilaya de Boumerdes, le ministre a précisé qu’”un groupe de travail a été installé en vue de revoir les réglementations et les lois juridiques régissant le secteur pour les adapter aux exigences actuelles du tourisme et parvenir à la décentralisation de la gestion en accordant plus de prérogatives aux walis et responsables locaux pour une bonne prise en charge des projets d’investissement”.
Les marchés publics accordés aux nationaux : Ouyahia écarte les entreprises étrangères.
La dernière instruction du Premier ministre Ouyahia porte sur la préférence nationale obligatoire des marchés publics. Le recours aux entreprises étrangères sera exceptionnel. Le Premier ministre a indiqué récemment dans une note aux Walis et aux responsables des entreprises publiques que « tout recours aux entreprises étrangères doit être justifié » et que « les entreprises nationales doivent être favorisées pour les réalisations de projets » dans le cadre de l’octroi des marchés publics. Une instruction qui s’inscrit pleinement à ce que stipule l’article 83 du code des marchés publics récemment amendé. La clause de préférence nationale y est clairement définie avec un minimum de participation de 25% sur tout projet de réalisation qu’il soit des infrastructures de base ou d’équipements publics (écoles, hôpitaux, routes…). La note d’Ahmed Ouyahia tombe à point nommé dans une conjoncture économique assez difficile pour l’Algérie. De plus, l’Etat ne peut plus se permettre le luxe d’engager les entreprises étrangères dans tous les chantiers actuels. Si auparavant, les entreprises locales se plaignaient d’un certain favoritisme envers les entreprises étrangères, aujourd’hui, les données sont inversées. Aucune entité étrangère ne peut se prévaloir d’un marché acquis d’avance, ni une chasse gardée sur un secteur donné ne saura être toléré. L’Etat tentera de rationaliser ces dépenses en fonction des besoins. Il faut retenir que les dépenses d’équipements inscrites pour l’année 2018 sont de 4043 milliards de dinars et que les autorisations de programmes sont de l’ordre de 2270 milliards de dinars contre 1397 milliards de DA pour l’année dernière. Ces budgets qui doivent selon le Premier ministre alloués uniquement pour les projets à venir peuvent faire l’économie en devises. Dans le milieu patronal, cette initiative a été fortement saluée. L’on espère ainsi renouer avec la dynamique entrepreunariale qui peut assurer dorénavant aux entreprises algériennes la part du lion dans les marchés publics. Une autre bonne nouvelle pour le secteur est celle de la signature toute récente de la convention partenariat publicprivé qui permet de lever toute restriction sur les projets entre entreprises privées et publiques. Pour ce qui est de la fourniture des équipements, les entreprises locales auront le feu vert pour développer leurs propres produits pour les besoins nationaux. A noter que beaucoup de secteurs dont la sidérurgie, la mécanique et l’industrie pharmaceutique seront plus protégés à l’avenir avec pour but de baisser la facture des importations.
Subventions sociales : Le gouvernement lance la réforme.
Le gouvernement planche actuellement sur la réforme du système des subventions de l’Etat aux produits de consommation de base, y compris les produits énergétiques. Le ministre du Commerce Mohamed Benmeradi a confirmé que le gouvernement a déjà installé un comité chargé de ce dossier, et dont les travaux sont supervisés directement par le Premier ministre. Le principe, selon le ministre du Commerce, est que le gouvernement veut passer à un système de subventions ciblé, qui va directement aux couches concernées.Il a expliqué devant la Commission parlementaire chargée des affaires économiques, du développement, de l’industrie, du commerce et de la planification de l’APN, que ce groupe de travail, installé au niveau du Premier ministère, ne devrait pas achever ses travaux avant fin de 2018. Le gouvernement prend ainsi tout son temps pour examiner un dossier, qui a toujours été un « serpent de mer », puisque ce n’est pas la première fois qu’un gouvernement veut s’attaquer à un tel dossier politiquement sensible. Le ministre du Commerce a juste ajouté que ce dossier s’inscrit dans la politique économique du gouvernement, présentée dans son programme de travail par M. Ouyahia devant l’APN. Pour autant, M. Benmeradi avait souligné dimanche lors de son passage à la radio nationale qu’une évaluation du système de subvention était en cours au niveau du gouvernement. « Nous sommes en train de travailler pour voir concrètement comment basculer d’un système de subventions généralisé vers un système ciblé qui nous permettra de mettre fin à cette incohérence qui contribue aux dérèglements observés dans le commerce extérieur ». Le système des subventions « n’est pas très juste », a-t-il ajouté, précisant que « cela profite beaucoup plus à ceux qui en ont le moins besoin », citant les « entreprises, qui en profitent et pas les ménages, alors que l’objectif est de protéger le pouvoir d’achat des ménages et non des entreprises ». Il a également expliqué que l’interdiction d’importation de 851 produits « n’est pas destinée à sanctionner le consommateur », mais que « le gouvernement travaille sur le dispositif des subventions ». Les déclarations de M. Benmeradi confirment ainsi que le gouvernement Ouyahia est passé à la vitesse supérieure pour mettre en place un système de subventions ciblé, autant pour ne pas pénaliser les bas salaires, que pour protéger les fondamentaux économiques. Et l’ardoise des subventions est lourde : sur des recettes pétrolières de seulement 37 milliards de dollars en 2016, le gouvernement avait maintenu pour 2017 les transferts sociaux dont le montant équivaut à la moitié de ces recettes pétrolières, soit 18 milliards de dollars. La loi de finances 2018 consacre près de 1.760 milliards de dinars aux transferts sociaux, une enveloppe en hausse de 8% par rapport à celle de 2017. Ce budget est consacré au soutien aux familles, à l’habitat, à la santé, ainsi qu’aux subventions des prix des produits de première nécessité (céréales, lait, sucre et huiles alimentaires). Globalement, chaque année, les subventions aux couches sociales défavorisées sont estimées à 30% du PIB. Suffisant pour que le Premier ministre veuille s’attaquer, en ces temps de crise financière, à un système de subventions décrié par une partie de la classe politique. La réforme du système de subventions a été en réalité le premier chantier que voulait ouvrir Ahmed Ouyahia, dès son retour au gouvernement. Et, sitôt revenu au mois d’août dernier, il avait attaqué de front le dossier, estimant que c’est l’un des chantiers les plus urgents dans cette phase stressante de crise financière induite par une baisse des recettes pétrolières. Déjà au mois de mai dernier, dans le sillage de la nomination de l’ex-gouvernement Tebboune, il avait clairement affiché sa farouche opposition à la politique de subventions, qui ne profite pas qu’aux démunis, préconisant ouvertement son abandon. « Notre système de subvention est trop généreux. Il profite à tout le monde. Il ne profite pas aux nécessiteux », avait-il expliqué, avant d’ajouter que « l’aide de l’État doit aller à ceux qui la méritent, alors qu’aujourd’hui tout le monde peut acheter un sachet de lait à 25 dinars », avait-il fait remarquer en septembre 2016. Pour lui, les subventions de l’Etat sur les produits de consommation de base (sucre, huile, farine, semoule) alimentent la contrebande aux frontières et les trafics en tout genre. Une perte sèche de plus de deux milliards de dollars par an pour l’Algérie, estimait-il. M. Ouyahia, s’il ne ferme pas la porte du soutien de l’Etat « aux démunis », veut en revanche mettre de l’ordre dans un système fort coûteux pour les caisses de l’Etat. Il s’explique : « les acquis sociaux de l’Algérie pendant plus d’une décennie sont autant de preuves de tout ce que l’Algérie est capable de poursuivre en dépit de la crise financière ». Selon la Banque mondiale, les subventions à l’énergie en Algérie absorbent 30% du budget de l’Etat et 11% de son PIB. Elles s’élèvent à environ 1.500 à 2.400 milliards de dinars (soit environ 10 à 20 milliards de dollars).
Un plan d’alerte est lancé : La grippe saisonnière fait des victimes.
Cette année, le virus de la grippe n’a pas épargné des vies humaines. Des personnes ayant succombé à ce virus et d’autres contaminés, risque de mettre l’embarras au système de santé publique. Le directeur de la prévention et de la promotion au niveau du ministère de la santé a déclaré à un média que « les cas de complications seront suivis de plus prés dans les structures de santé les ayant pris en charge ». Il a estimé que « le ministère a déjà lancé un plan d’alerte partout dans les établissements de santé » là où d’autres personnes se présenteraient avec des cas de contamination et de sérieux problèmes de santé. Selon une autre source du ministère de la santé, toutes les directions de la prévention au sein des CHU et autres établissements de soins ont reçu une note leur indiquant de dénombrer les cas les plus insidieux de la grippe saisonnière et d’établir une carte de santé spéciale pour les personnes présentant une résistance aux premiers soins de la grippe. Il faut retenir que jusque-là, le vaccin contre la grippe saisonnière continue d’enregistrer des vaccinations de milliers de malades parmi les personnes âgées ou celles présentant des maladies chroniques ainsi que des femmes enceintes. Un premier bilan des services de prévention du ministère de la santé indique que « 82% des doses de vaccins ont distribués déjà avec 1,2 million de personnes vaccinés ». Ce qui est déjà un record par rapport à l’année précédente. A noter que le ministère avait annoncé il y a quelques jours que 40.000 doses supplémentaires seront distribués aux autres établissements de santé, une couverture estimée largement suffisante pour enrayer le virus de la grippe. Cependant, il est attendu selon les prévisions des autorités de santé « un pic du virus entre janvier et février » de cette année. Les raisons sont dues à une propagation plus expansive de ce virus qui se développe durant la saison d’hiver. Un autre dispositif vient d’être installé au niveau des services de pneumo-phtisiologies de tous les CHU car le département de prévention du ministère parle de « prise en charge immédiate des personnes présentant des complications respiratoires résultant d’une grippe sévère ». Si des personnes ordinaires ont toujours recours à un traitement classique, il y a ceux qui par négligence omettent de se vacciner d’autant qu’ils présentent des signes de vulnérabilité ou leur système immunitaire reste moins combatif.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, rien de neuf.

De jeunes juifs ont manifesté en soutien de la militante palestinienne Ahed Tamimi.
Par Brittney McNamara, 1 février 2018.
Le 31 janvier, Ahed Tamimi, une jeune militante palestinienne, a eu 17 ans. Elle les a eus dans la cellule d’une prison israélienne, où elle encourt de multiples accusations, y compris celle d’avoir attaqué des soldats, après qu’une vidéo d’elle giflant un soldat israélien est devenue virale en décembre 2017. Son emprisonnement fait partie d’un conflit en cours entre Israël et la Palestine qui remonte à près d’un siècle, dans lequel les Palestiniens reprochent aux Israéliens d’occuper les terres sur lesquelles ils pensent avoir un droit historique, tandis que les Israéliens affirment avoir un droit juridique et religieux sur les terres occupées. Ahed serait l’une des plus de 300 jeunes palestiniens détenus par les forces israéliennes.
Le jour de l’anniversaire d’Ahed, des jeunes se sont mobilisés en grand nombre pour la soutenir. Protestant contre ces arrestations, des lycéens juifs de tous les États-Unis sont descendus dans les rues le 31 janvier, manifestant leur solidarité avec Ahed et leurs homologues palestiniens. Selon IfNotNow — l’organisation grâce à laquelle les manifestations ont eu lieu— c’est la première fois que de jeunes juifs américains se sont rassemblés en faveur des Palestiniens de leur âge. Ariela, une des jeunes menant l’action mercredi, a déclaré à Teen Vogue que la manifestation montre que les teenagers juifs américains veulent la paix pour tout le monde —y compris les Palestiniens.
« Il y a un changement qui s’opère dans notre communauté, et notre génération est à l’avant-garde, prête à faire entendre sa voix sur l’injustice de l’occupation israélienne », a déclaré Ariela à Teen Vogue. « Les jeunes juifs américains appliquent les valeurs juives que nous avons apprises à l’école hébraïque et aux dîners de Shabbat : nous devons respecter, protéger et honorer non seulement les Juifs, mais aussi les Palestiniens. Nous voulons envoyer un message à Ahed pour lui dire que nous sommes avec elle, que nous sommes inspirés par elle et que nous luttons pour sa liberté ».
Les Israéliens occupent des parties de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza, des zones sur lesquelles les Palestiniens disent avoir un droit historique. Alors qu’Israël ne reconnaît pas la Palestine comme une nation (pas plus que ses alliés, y compris les États-Unis), et affirme que ses colonies sont légales, les Palestiniens ne sont pas d’accord, d’où le conflit, souvent violent, en cours. IfNotNow est un groupe de jeunes Juifs américains rassemblés contre l’occupation israélienne de la Palestine.
Des manifestations en soutien de Ahed ont eu lieu à Washington D.C., à New York, à Boston, et dans la région de la baie de San Francisco le 31 janvier, a déclaré IfNotNow dans un communiqué de presse. À côté de ces manifestations, l’organisation a aussi rassemblé près de 1000 messages d’anniversaire à envoyer à Ahed en détention.
En plus d’adresser ainsi son soutien à Ahed et à d’autres jeunes Palestiniens, Ariela dit qu’elle espère que d’autres jeunes juifs comprendront mieux comment les jeunes palestiniens sont traités.
« Je veux que les gens sachent que les jeunes juifs dans la rue [pour ces manifestations] sont la voix morale de notre communauté, que nous nous lèverons pour défendre ce qui est juste et qu’en faisant cela nous transformerons notre communauté », dit-elle. « Nous aimons notre communauté — et nous serons la génération qui mettra fin au soutien de la communauté juive américaine à l’occupation ».
Traduction: Catherine G. pour l’Agence Média Palestine.
Source: Teenvogue.com.
Israël utilise le tourisme afin de légitimer ses colonies de peuplement, affirme un rapport de l’Union européenne.
Oliver Holmes, à Jérusalem – le 1er février 2018 – The Guardian
Israël développe des sites archéologiques et touristiques pour légitimer les colonies de peuplement illégales dans les quartiers palestiniens de Jérusalem, préviennent des diplomates de l’UE présents dans la ville.
Un rapport qui a été divulgué et obtenu par The Guardian cite des projets dans certaines parties de Jérusalem-Est – occupée par Israël depuis 1967 – qui sont utilisés « comme un outil politique afin de modifier le récit historique et de soutenir, légitimer et étendre les colonies de peuplement ».
Le rapport identifie des sites de fouilles gérés par des colons au cœur de districts à majorité arabe, cite également un projet de téléphérique avec des arrêts sur des terres confisquées, et désigne des zones urbaines construites en tant que parcs nationaux.
« Jérusalem-Est est le seul endroit où des parcs nationaux israéliens sont déclarés sur des quartiers habités » dit le rapport.
Le document, un rapport que rédigent chaque année les chefs de mission de l’UE à Jérusalem, présente un sombre tableau, affirmant que la situation générale dans la ville et les perspectives de paix se sont détériorées.
La marginalisation des Palestiniens, lesquels représentent environ 37 % des habitants de la ville, s’est poursuivie sans relâche avec plus de 130 démolitions d’immeubles et le déplacement de 228 personnes.
Le nombre record de propositions de colonies israéliennes et l’isolement physique des Palestiniens soumis à un système d’autorisations israélien strict font que « la ville a largement cessé d’être le centre économique, urbain et commercial palestinien qu’elle était autrefois ».
Le développement des sites archéologiques et du tourisme, par les institutions gouvernementales comme par des organisations coloniales privées, a élaboré ce que le rapport dit être « un récit basé sur une continuité historique de la présence juive dans la région, aux dépens des autres religions et cultures ». Le principal de ces sites étant, prévient le rapport, celui de la Cité de David, un parc archéologique financé par le gouvernement dans le quartier palestinien de Silwan, qui propose des visites guidées dans les ruines de la Jérusalem antique. Le site est exploité par une organisation de colons « qui fait la promotion d’un récit exclusivement juif, tout en détachant le lieu de son environnement palestinien ».
Environ 450 colons vivent sous haute protection à Silwan, indique le rapport, à côté de près de 10 000 Palestiniens. Les expulsions continuelles de familles palestiniennes et la présence accrue de la sécurité israélienne ont créé une tension particulière, prévient encore le rapport.
Plus récemment, un projet de téléphérique, approuvé par le cabinet israélien en mai, prévoit de relier Jérusalem-Ouest à la Vieille Ville, une partie de Jérusalem reconnue internationalement comme occupée.
Prévu pour être opérationnel en 2020 et ayant pour objectif de transporter plus de 3000 personnes à l’heure, ce projet « hautement controversé », prévient le rapport, contribuerait à consolider les « colonies de peuplement touristiques ». Il vise aussi, dans une deuxième phase non encore approuvée, à s’étendre à Jérusalem-Est.
« Des critiques ont décrit le projet comme transformant le site du patrimoine mondial de Jérusalem en un parc à thème commercial, tandis que les habitants palestiniens restent absents du récit présenté aux visiteurs », déclare le rapport.
En outre, préviennent les diplomates, le téléphérique pourrait conduire à une détérioration de la situation sécuritaire, car il serait situé à environ 130 mètres du complexe du Mont du Temple/Haram al-Sharif, vénéré comme un lieu saint par les musulmans et par les juifs.
Cet été, des hommes armés ont tué deux policiers israéliens à l’entrée du site, et l’installation de détecteurs de métaux par les autorités a entraîné de nouveaux affrontements.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Guardian.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Suisse: Des centaines de personnes à Berne en soutien au peuple palestinien
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Environ 350 personnes ont manifesté pacifiquement samedi à Berne en soutien au peuple palestinien, contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Ce rassemblement sur la Place fédérale était organisé par une quinzaine d’organisations.
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Abbas travaille jour et nuit pour être efficace
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Des colons attaquent des agriculteurs palestiniens au nord d’Hébron
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La Turquie critique la décision des Etats-Unis contre Haniyeh
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Les détenus politiques à Qalqilya annoncent une grève de la faim
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Ekrima Sabri appelle les pays arabes et islamiques à couvrir le budjet de l’UNRWA
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Une offensive militaire israélienne à Jénine à la recherche du résistant Ahmed Jarrar
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Khalil al-Hayya: l’occupation et les États-Unis tentent de liquider les principaux problèmes palestiniens
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Israël ferme des institutions palestiniennes à Jérusalem
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L’aggravation de la crise du carburant menace le système de santé à Gaza
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Pause de solidarité devant la maison de plus jeune prisonnier palestinien
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Une délégation du Hamas rencontre Jumblatt à Liban
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Des colons prennent d’assaut Massoudiya
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Nouvelles arrestations politiques en Cisjordanie occupée
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Des centaines de manifestants à Gaza protestent contre l’inclusion de Haniyeh dans la liste noire américaine
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L’occupation arrête 5 jeunes hommes qui ont traversé la frontière de Gaza vers les territoires de 48
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 17 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Palestine : Une campagne populaire appelle à acquitter les dettes des Gazaouis.
Au bout de dix ans de siège par les forces occupantes, Gaza se meurt et la population vit dans la misère. Des conditions économiques extrêmes qui rendent la vie d’un million et demi de Palestiniens insupportable.
Les multiples interdictions ont mené 80% de la population sous le seuil de pauvreté, sans compter le nombre de chômeurs qui s’intensifie d’année en année.
Une situation qui a poussé nombre de gazaouis à s’endetter jusqu’au cou, comment pourrait-il en être autrement ? La majorité vivant avec un revenu moyen de 650 dollars par an, c’est-à-dire moins de deux dollars par jour.
Des milliers de familles sont obligées de s’endetter pour se procurer le strict nécessaire, certaines d’entre elles étant dans l’incapacité de rembourser leurs dettes se voient opposer une fin de non-recevoir lorsqu’elles se présentent à la supérette.
A l’image d’Om Mohammed, une veuve de 55 ans dont l’ardoise chez l’épicier est pleine depuis belle lurette mais face à son désespoir, l’épicier a décidé d’effacer l’entièreté de son ardoise.
L’homme a en fait rejoint la campagne populaire « Acquitte ! Tu seras récompensé : Acquitte les dettes des autres, tu seras récompensé par le Seigneur ».
La campagne initiée par un groupe de mécènes a très vite connu un succès retentissant, commerçants, entreprises, particuliers, tous ont entrepris d’aider leurs voisins, amis, proches à éponger leurs dettes.
Les imams des mosquées ont à leur tour encouragé la population à pardonner et à soulager les nécessiteux de leurs dettes. Un élan de solidarité qui a permis à beaucoup de familles d’être soulagées d’un énorme poids.
Et comme la générosité des gazaouis n’a pas de limite, après les commerçants, les chauffeurs de taxi, les écoles et même les municipalités ont voulu à leur tour se montrer généreux.
Mohammed al-Chorbadi chauffeur de taxi à Gaza transporte gratuitement ceux qui n’ont pas les moyens, le professeur d’école Abdu al-Hamid Abdallah Daloul à lui effacé les dettes des élèves qui ne pouvaient payer les frais de leurs études.
Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, la municipalité du village de Khozaa, située non loin de Khan Younes, a annoncé la réduction d’un ordre de 25% des factures d’eau des abonnés.
Il s’agit peut-être d’une goutte d’eau dans la mer, mais le lien de fraternité qui unit les Palestiniens face à l’adversité leur permet de résister à la haine et à l’oppression.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Tariq Ramadan placé en détention provisoire.
Tariq Ramadan était entendu par la police à Paris suite à deux plaintes déposées pour viol.
Celui-ci a du passer sa nuit en garde à vue. Le parquet de Paris a requis aujourd’hui la mise en examen pour viols du célèbre prêcheur et son placement en détention provisoire.
La journaliste Caroline Fourest a par ailleurs affirmé avoir remis des documents à charge contre Tariq Ramadan aux enquêteurs.
Une des plaignantes a livré un entretien à un magazine dans lequel elle évoque son agression et dénonce les positions politiques de son ex-confident.
Pour l’instant la défense de Tariq Ramadan n’a pas communiqué sur les dernières évolutions de l’affaire. Celle-ci avait précédemment fait connaitre des sources mettant en cause les déclarations d’une des plaignantes, Hayari.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Le métier de psychologue.
Encore aujourd’hui ce métier interroge: Qui sont-ils? Comment fonctionnent-ils? Dans cette émission spéciale des ” Psy causent” il s’agira de mettre carte sur table tout ce qui vous tracasse sur le métier et au passage de flanquer à la corbeille quelques préjugés! Une émission présentée par les psychologues Myriam Amrani et Nassima Mestari qui exercent au cabinet Apsypas.
reportage a voir sur oumma.com.
France : Le parquet de Paris requiert le placement en détention de Tariq Ramadan.
A l’issue de sa présentation, ce vendredi 2 février, devant un juge d’instruction, le parquet de Paris vient de requérir la mise en examen pour viols de Tariq Ramadan et son placement en détention provisoire, a indiqué une source judiciaire.
Au terme de sa garde à vue de 48 heures entamée mercredi, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour viol et viol sur personne vulnérable. Trois juges d’instruction ont été désignés, signe de la complexité de l’affaire ou de l’amplitude des investigations envisagées.
France: baisse des actes antimusulmans.
Le rapport de l’Observatoire National contre l’Islamophobie.
BILAN DES ACTES ANTIMUSULMANS.
ANNEE 2017.
ACTIONS – MENACES et CYBER HAINE.
CHIFFRES :
Pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2017, il a été enregistré :
121 actes antimusulmans contre 185 pour l’année 2016, soit 34,60 % d’actes en moins.
ACTIONS : 72 contre 67 pour la même période 2016, soit + 7,5 en plus,
MENACES : 49 contre 118 pour la même période de 2016, soit 58,50 % en moins.
Si globalement on enregistre une baisse de 34,60 %, cela concerne plus les menaces que les actions qui sont traumatisantes et qui ont augmenté de 7,5 %.
ATTEINTES AUX LIEUX DE CULTE ET CIMETIÈRES :
Lieux de culte : 68 en 2017 contre 78 en 2016, soit 12,8 % en moins,
Cimetières : 4 en 2017 contre 7 en 2016, soit 42,9 % en moins.
Le total des atteintes aux lieux de culte et cimetières musulmans a atteint le chiffre en 2017 de 72 contre 85 en 2016, soit 15,3 % en moins.
Cette baisse s’explique par deux éléments, même si plusieurs responsables de lieux de culte continuent à ne pas porter plainte pour plusieurs raisons :
La France n’a plus connu, comme lors des années 2015-2016 des attentats, qui très souvent, favorisent des actes antimusulmans,
Elle peut s’expliquer également par la mise en place d’un Préfet chargé de la sécurisation des lieux de culte et la surveillance de plus de 1 100 sites musulmans par l’opération « sentinelle ».
Par ailleurs, une aide financière a été instaurée par l’Etat pour favoriser la sécurisation matérielle des sites religieux par le biais d’installations classiques (grilles, sas, blindage, digicodes) ou d’installations de vidéo protection.
De 2015 à 2017, la communauté musulmane a ainsi pu bénéficier de 1 327 117 € de subventions pour 125 projets (82 projets en vidéo protection pour 742 787 € et 43 projets hors vidéo protection pour 584 330 €) concernant 91 sites.
Pour rester dans l’analyse des actes antimusulmans, il serait intéressant de connaître, en plus de ces statistiques, le nombre d’affaires dont les coupables ont été identifiés, arrêtés et traduits devant la justice et surtout d’avoir le résultat sur leurs condamnations.
L’Observatoire National contre l’islamophobie s’indigne de voir que des plaintes déposées depuis plus d’un an auprès de certains parquets n’ont pas abouti à ce jour et considère qu’il y a une justice à deux vitesses.
Pour cette raison, une rencontre prochaine avec Mme la Ministre et Garde des sceaux doit avoir lieu pour lui faire part de nos revendications.
Ne soyons pas dupes parce que ces actes antimusulmans sont très souvent provoqués ou encouragés par des discours identitaires de certains de nos hommes politiques et autres qui ne se gênent pas de stigmatiser l’Islam et les musulmans.
Pour être plus complet dans la dénonciation de ces actes antimusulmans, n’oublions pas les discriminations et l’islamophobie via la cyber haine qui, malheureusement, sont en forte progression.
Le Président de l’Observatoire National contre l’Islamophobie.
Délégué général du CFCM.
Abdallah ZEKRI.

Sur Mizane.info, voici les titres.

France : Fermetures de mosquées : une politique injuste et contre-productive.
Depuis que l’état d’urgence a été décrété en France, 19 mosquées ont été fermées, huit seulement ont été rouvertes. Une politique improductive, irresponsable et injuste pour les fidèles. Un éditorial de Fouad Bahri sur Mizane.info.
La mosquée As-Sounna, apprenait-on dans les colonnes du Muslim Post, fermée depuis le 19 décembre, ne rouvrira pas ses portes à la suite de la décision du Conseil d’Etat. Les autorités françaises reprochent des prêches qui « légitiment le djihad armé. » Depuis que l’état d’urgence a été décrété, pas moins de 19 mosquées ont été fermées. Seules huit d’entre elles ont ré-ouvertes, selon la Croix, dont récemment la mosquée de Torcy. Dernières fermetures en date : la mosquée des Indes, à Sartrouville et celle de Fontenay-aux-Roses, dans les Hauts-de-Seine. Des fermetures décidées par arrêtés préfectoraux pour des propos qualifiés d’apologie de terrorisme, propos tenus dans les locaux.
Défendre le principe judiciaire de la responsabilité personnelle.
Que faut-il penser de ces fermetures ? La question ne peut être posée de manière générale mais doit être abordée au cas par cas. Pour autant, à moins que tous les membres d’une association ne soient impliqués dans des propos ou des actes illégaux ou violents sur le territoire français, ce qui n’est pas le cas dans 99 % des cas, la fermeture définitive d’une mosquée est une décision grave et à la portée religieuse, sociale, politique et symbolique particulièrement lourde. Une décision qui sanctionne la totalité des musulmans d’une commune et qui s’avère en ce sens totalement disproportionnée. En aucune manière, l’ensemble d’une communauté ne peut être jugée et condamnée pour la responsabilité de quelques-uns. Si des personnes préparant des actes criminels fréquentent une mosquée ou échangent discrètement des propos de cette nature dans les locaux de la mosquée, il ne s’ensuit pas que l’ensemble des fidèles ou des membres de l’association en soient informées et donc responsables. Seule une enquête et des preuves solides établissant la responsabilité de l’association peut justifier une fermeture, temporaire ajouterons-nous.
En aucun cas, la fermeture définitive d’une mosquée ne résout quoi que ce soit. Faire endosser à tous les fidèles une responsabilité qui n’est pas leur est une injustice manifeste.
Il est évident, en effet, que les musulmans qui se rendent à la mosquée ne cautionnent en aucune manière le crime et la violence, dont ils sont les premières victimes, mais avant toute chose sur le principe. En cas de responsabilité individuelle, la sanction doit être individuelle. Si la responsabilité de l’association est engagée, la dissolution de l’association et la création d’une nouvelle association avec un autre bureau, accompagnées de gages de transparence auprès des élus locaux, est envisageable et réalisable.
Mais en aucun cas, la fermeture définitive d’une mosquée ne résout quoi que ce soit. Dès lors, faire endosser à tous les fidèles une responsabilité qui n’est pas leur est une injustice manifeste et une violation majeure de la liberté de conscience en France et de la liberté de pratiquer sa religion. Une analyse purement cynique sur le plan sécuritaire établirait de même l’intérêt de laisser ouvert des lieux qui, bien que n’étant pas de nature à diffuser des discours violents, pourraient servir de passage à des individus mal intentionnés pour les pister en cas de préparatifs d’actions violentes. Il est notoire que tous les lieux de culte musulmans sont étroitement surveillés en France et ce, bien avant la vague d’attentats qui a frappé le territoire national.
Le piège de la confrontation ethno-religieuse.
Mais sur le plan de la lutte contre le terrorisme, la question n’est plus seulement celle du renseignement, comme l’enquête de Médiapart l’a révélé dans l’affaire de l’Eglise de Saint-Etienne du Rouvray, mais bien plutôt de garantir une action efficace et utile pour la société française. Et il est évident que la fermeture d’une mosquée est la plus contre-productive de ces actions. Abattre le troupeau entier pour quelques brebis galeuses revient à servir sur un plateau tout un repas copieux à une meute de loups affamés et déchaînés par la violence. C’est leur offrir une victoire qu’ils ne demandaient pas mais qu’ils pouvaient espérer. C’est valider les thèses d’un conflit de civilisation ou de religion prônées aussi bien par les extrémistes de Daesh que par les néoconservateurs et identitaires qui ne rêvent que de purification ethno-religieuse dans l’Hexagone. C’est, finalement, enfoncer la France et sa communauté musulmane dans l’impasse d’un bourbier que tout le monde peut voir venir mais que personne ne semble vouloir éviter.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Les mosquées de Mulhouse collectent pour la Banque alimentaire.
Les mosquées de Mulhouse en collaboration avec la Banque alimentaire du Haut-Rhin organisent une grande collecte alimentaire tout au long de ce weekend du 2 février. Les fidèles qui fréquentent les différentes mosquées participantes sont massivement invités à participer à cette opération de solidarité. L’opération débute ce vendredi et se termine dimanche.
Voici les Mosquées participantes :
Mosquée AnNour (41, rue de Neppert 68100 Mulhouse),
Mosquée Annasr (46 rue Schwilgué 68200 Mulhouse),
Mosquée Koba (69 rue Pierre Brossolette 68200 Mulhouse),
Mosquée MiliGorüs (49 rue Anna Schoen 68200 Mulhouse),
Mosquée As Salam (39 rue de la 4e Division Marocaine de Montagne 68200 Mulhouse),
Mosquée Al Houda (56 A rue de Pfastatt 68110 Illzach).

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, rien de neuf.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

La Fondation de l’Islam de France souhaite « un Islam cultivé ».
Lors d’une conférence de presse organisée ce jeudi, la Fondation de l’Islam de France a fait le bilan de sa première année d’existence. Après avoir été largement critiquée quant à son efficacité réelle, elle assure désormais « être sur orbite » et a rappelé à maintes reprises sa vocation non pas cultuelle mais culturelle, éducative, sociale et laïque.
« Nous souhaitons combattre par la culture et la connaissance l’idéologie salafiste primaire et brutale qui nourrit le djihadisme », a indiqué, en guise d’introduction, Jean-Pierre Chevènement, qui entend à travers sa fondation faire émerger en France « un islam cultivé ».
Jean-Pierre Chevènement veut former des « imams Bac + 5 ».
Pour cela, la Fondation dit s’être attaquée à la « formation profane » des imams, en délivrant notamment une centaine de bourses pour les 450 étudiants en théologie, imams ou aumôniers des diplômes universitaires « laïcité, société, religions » ainsi qu’une cinquantaine de bourses pour leur apprentissage du français. « Le prêche du vendredi doit être dit en français », martèle l’ancien ministre, qui souhaite des « imams bac +5 ».
Ce dernier a également souligné le faible niveau de l’islamologie en France (beaucoup de soi-disant ‘experts’ de l’Islam ne sont en effet pas des islamologues au sens premier du terme) et veut promouvoir la constitution d’un réseau de chercheurs via un partenariat avec le CNRS et environ 500 000 euros de budget.
La Fondation a annoncé la mise en place de formations d’islamologie à Paris, Aix, Strasbourg et à Saint-Denis de La Réunion, qui engloberaient l’étude du Coran, des hadîths, du droit musulman, de la théologie, du soufisme et de la philosophie, très peu enseignés au sein des universités françaises. Il est également question de soutenir la traduction d’ouvrages de penseurs réformistes musulmans et de manuels d’islamologie allemands et américains.
L’ouverture d’une faculté de théologie musulmane à Strasbourg ?
Souhaitant donner « un coup de pouce » à l’Islam, comme il l’a annoncé dans une interview au Parisien hier, Jean-Pierre Chevènement a même suggéré l’ouverture d’une faculté de théologie musulmane à Strasbourg, bien que l’Islam ne soit pas reconnu dans le régime concordataire de l’Alsace-Moselle. Il a estimé qu’il serait « discriminatoire » de ne pas reconnaître la religion musulmane.
Concernant la jeunesse, la Fondation a élaboré dès ses débuts un partenariat avec les Scouts musulmans de France, en organisant notamment un camp l’été dernier, pour « initier les jeunes aux valeurs républicaines ».
Elle entend continuer sa bataille sur le net, via un « campus numérique » : une plateforme où interviennent notamment Henry Laurens (professeur au Collège de France), Pascal Blanchard (historien) et Jacqueline Chaabi (professeure en Études arabes à l’université de Paris-VIII). Ces universitaires de renoms sauront-ils captiver des jeunes adeptes de vidéos YouTube et répondre à leurs questions sur l’Islam ? Pourront-ils freiner la « radicalisation » de la jeunesse ? Pas si sûr. On est en droit de s’interroger sur le caractère élitiste, voire déconnecté de la réalité, de telles ressources documentaires.
Un budget de plusieurs millions d’euros pour les trois années à venir.
Quoi qu’il en soit, selon Sadek Beloucif, président du conseil d’orientation de la Fondation, environ 6 000 élèves apprennent l’arabe dans le domaine scolaire, et quinze fois plus dans les associations. Une tendance qu’il aimerait inverser pour promouvoir l’apprentissage de cette langue mais aussi du turc et du persan à l’école.
Enfin, Jean-Pierre Chevènement a revisité ses « classiques » concernant la civilisation musulmane, insistant sur Avicenne, « Les Milles et Une Nuit », ou encore l’émir Abdelkader, dont le portrait a fièrement été accroché dans son bureau. L’ancien sénateur s’est félicité de la préparation d’une grande exposition sur ce thème d’ici deux ou trois ans et a rappelé ses partenariats avec les grands musées comme le Mucem, l’Institut du Monde Arabe ou encore le Louvre.
Beaucoup d’ambition ‘culturelle’ donc pour la Fondation de l’Islam de France, qui ne manque pas de ressources financières. Son budget se chiffre à plusieurs millions d’euros. Elle hérite notamment d’un million d’euros de l’ancienne Fondation pour les œuvres de l’Islam de France. Elle bénéficie aussi de subventions du ùinistère de l’Intérieur à hauteur de 1 million d’euros, de 300 000 euros de frais de fonctionnement, ainsi que d’une enveloppe action de 900 000 euros pour les trois années à venir. Un argent provenant de l’Etat mais aussi d’entreprises comme Aéroports de Paris, de la SNCF et du bailleur SNI.
La mosquée de Montfermeil sommée de payer plus de 130 000 euros.
« Est-ce là enfin l’épilogue de cette longue croisade lancée à l’automne 2011 contre notre mosquée ? » Les responsables de la mosquée de Montfermeil sont aux abois et le font savoir. En conflit ouvert avec la mairie depuis six ans, l’association qui gère le lieu de culte, l’Association cultuelle des musulmans de Montfermeil (ACMM), rappelle que le maire de la ville « a engagé diverses procédures judiciaires afin d’obtenir la disparition de notre lieu de culte. »
Aujourd’hui, l’ACMM fait « face à une nouvelle épreuve » : il est en effet réclamé à l’association « la liquidation des astreintes et de l’amende pénale pour un montant total de 131 280 euros. » Une demande qui fragilise l’organisation religieuse. « Non ne disposons bien évidemment pas de la somme demandée, le montant réclamé correspondant à quatre fois notre compte de résultat », explique Farid Kachour, secrétaire général de l’ACMM. « Si nous ne trouvons pas le moyen de régler la somme réclamée, cela compromettra notre capacité à maintenir notre mosquée actuelle en activité, faute de moyens », explique, pessimiste, celui qui avait repris une association empêtrée dans des problèmes juridiques énormes en 2014.
En effet, Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, s’acharne contre la mosquée : une commission de sécurité, passée dans le pavillon transformé en mosquée, demande la fermeture du lieu de culte, reprochant à l’association d’avoir bâti des extensions, notamment un escalier, sans accord préalable de la municipalité. « L’ACMM a, à de nombreuses reprises et sans succès, sollicité le cabinet du maire afin de mettre un terme à ce conflit », déplorent les responsables de la mosquée, qui rappellent que « toutes les constructions non conformes aux règles d’urbanisme ont été purement et simplement détruites » et que le lieu a finalement obtenu un avis favorable de réouverture en mai 2017.
Mais aujourd’hui, le paiement annoncé de l’amende fait craindre le pire à l’ACMM qui, dans un communiqué, « exprime l’espoir que la communauté musulmane de Montfermeil se mobilise afin que les musulmans et les musulmanes puissent exercer leur liberté religieuse, à savoir, le droit fondamental de manifester sa conscience religieuse dans le respect des lois républicaines. » En attendant, l’ACMM n’a qu’une idée en tête trouver les 130 000 euros qui permettraient de mettre un terme au conflit qui l’oppose à la mairie.
Terrorisme : Washington demande à Doha de collaborer.
Alors que le Qatar a été mis au ban par l’Arabie Saoudite dans une crise du Golfe qui semble s’enliser, les Etats-Unis appellent Doha à collaborer avec eux dans le domaine du terrorisme. Le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson a en effet exprimé mardi à Washington sa volonté de poursuivre le développement des échanges de renseignements sur les affaires de terrorisme avec le Qatar.
Accompagné de Rex Tillerson, le secrétaire d’Etat américain à la Défense, James Mattis, a indiqué au ministre des Affaires étrangères Cheikh Mohammed Ben Abdulrahman Al Thani et au ministre de la Défense Muhammad al-Atiyah qu’il avait besoin de Doha pour contrer « l’influence iranienne malveillante » et les différentes forces du terrorisme.
Accusé par les Emirats arabes unis, l’Arabie saoudite, Bahreïn et l’Egypte de soutenir le terrorisme, le Qatar a discuté avec Tex Tillerson, outre le thème de la lutte contre le terrorisme, d’investissements, de sécurité, d’énergie et d’aviation. Concernant cette dernière problématique, Qatar Airways a accepté de publier des états financiers détaillés, suite à des accusations illégales de subvention par son gouvernement.
Rappelons que le Qatar accueille toujours des forces américaines et internationales sur la base aérienne Al Udeid.
Loi asile-immigration : du devoir d’humanité prôné par Macron au devoir de punition.
Mi-janvier, Emmanuel Macron répondait aux opposants au projet de Loi asile-immigration en indiquant qu’il voulait conjuguer le « devoir d’humanité » et l’« ordre républicain. » Une réponse humaniste énoncée à Calais, lieu symbolique de l’immigration. Finalement, le texte est « encore pire que ce qu’on craignait », selon Gérard Sadik, de la Cimade, association de solidarité active et de soutien politique aux migrants, cité par Mediapart.
Le « projet de loi pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » contient en effet de nombreux éléments contestables, comme l’allongement du délai de rétention qui peut atteindre désormais, selon les cas, 135 jours au lieu de 45. Le Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti) révèle la totalité du texte (ici). Et le délai de rétention est symptomatique d’un document répressif et punitif : pour Serge Slama, professeur de droit public à l’Université de Grenoble-Alpes, lui aussi cité par Mediapart, « en France, on n’a pas besoin d’un tel délai. En général, si les personnes ne sont pas éloignées au bout de 45 jours, c’est qu’elles ne pourront pas l’être, notamment parce que la France n’a pas obtenu de laissez-passer du pays d’origine. »
« Un projet de loi qui penche vers la restriction des droits ».
Le projet de loi sera présenté en Conseil des ministres le 21 février, avant d’être examiné à l’Assemblée nationale en mars et en avril. Un texte qui contient beaucoup de mesures censées faciliter les expulsions. « On reste sur un projet de loi qui penche résolument vers la restriction des droits et la volonté d’expulser plutôt que vers une politique d’accueil », expliquait Jean-Claude Mas, secrétaire général de la Cimade, à La Croix fin janvier.
Du côté du Gisti, on dénonce que ne soit pas évoqué le « délit de solidarité » dans ce projet de loi. Au lieu de cela, d’autres mesures punitives comme l’obligation pour les exilés venant d’Italie de passer par un point de contrôle ou le durcissement du délai de demandes d’asile. Le Conseil d’Etat étudie actuellement les propositions du gouvernement, qui souhaite augmenter le taux de reconduites hors du territoire. Si le texte n’est pas édulcoré avant son passage au parlement, le « devoir d’humanité » prôné par Emmanuel Macron aura été un concept bien théorique.
Livres pour enfants : quand l’héroïne s’appelle Neïba.
Elle a 9 ans, est franche, drôle et quelque peu de mauvaise foi. Neïba est l’héroïne du livre « Neïba Je-sais-tout (ou presque) : Tu sais garder un secret ? », de Madina Guissé et l’illustratrice Lily Blabla. Ces dernières veulent apporter une petite touche de révolution à l’édition jeunesse. Car ce n’est pas un détail : leur héroïne est noire.
Car jusqu’à aujourd’hui, les personnages blancs dominent la littérature jeunesse. Certes, il existe des héros noirs, mais Madina Guissé ne se retrouvait pas dans les clichés véhiculés par certains livres. « Aujourd’hui j’ai des neveux et nièces et lorsque je veux leur offrir des livres avec des héros qui leur ressemblent, j’ai le choix entre ‘Kirikou’ et ‘Tintin au Congo’ », déplore la jeune femme.
Neïba, elle, ne vient pas d’Afrique : elle est née en France. Madina Guissé a choisi une héroïne qui ressemble à des centaines de milliers de petits Français. Selon elle, grandir en lisant des livres où les héros sont toujours blancs peut avoir des conséquences.
« Comme des milliers d’enfants afro-descendants, je n’ai pas grandi avec des personnages qui me ressemblaient. Et lorsque l’on grandit les conséquences peuvent être dramatiques puisque, inconsciemment, on se dit qu’on ne peut pas rêver d’être journaliste puisque le seul journaliste qu’on connaissait… c’est Tintin ! », explique-t-elle dans une interview.
Déconstruire le regard des jeunes lecteurs, voilà un enjeu de taille. Comme d’autres. Laura Nsafou a elle aussi publié un ouvrage mettant en scène une héroïne noire, « Comme un million de papillons noirs », aux éditions Bilibok. Pour qu’enfin la fiction rejoigne un peu plus la réalité.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’aggravation de la crise du carburant menace le système de santé à Gaza
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Le porte-parole du ministère de la Santé à Gaza, Ashraf Qadra a indiqué que le carburant restant dans les hôpitaux du secteur, assez jusqu’à la fin de Février, en avertissant d’un effondrement complet du système de santé sans un horizon pour résoudre la crise. ​
plus
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Pause de solidarité devant la maison de plus jeune prisonnier palestinien
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Une délégation du Hamas rencontre Jumblatt à Liban
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Des colons prennent d’assaut Massoudiya
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Nouvelles arrestations politiques en Cisjordanie occupée
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Des centaines de manifestants à Gaza protestent contre l’inclusion de Haniyeh dans la liste noire américaine
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L’occupation arrête 5 jeunes hommes qui ont traversé la frontière de Gaza vers les territoires de 48
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5 enfants arrêtés par les forces d’occupation à Jénine et Jérusalem
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L’occupation rase la région d’Al-Sharraf à l’ouest de Salfit
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Gaza : L’explosion d’une bouteille de gaz fait 7 morts et 20 blessés
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Une frappe aérienne israélienne cible un site de la résistance dans le nord de Gaza
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La Ligue Arabe se réunit de nouveau pour discuter de Jérusalem
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Le Hamas rencontre le directeur général de la sûreté libanaise
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Un jeune homme blessé par un colon près de Ramallah
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L’occupation arrête un citoyen et son fils de la vallée du Jourdain
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Checkpoint mobile à l’ouest de Deir Istia à Salfit
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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