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Flash info du 20 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Palestine : Des triplés Palestiniens prénommés « Jérusalem », « Capitale », « Palestine » tout un symbole !
La décision américaine de faire de Jérusalem la capitale de l’état hébreu a indigné la communauté internationale. Les condamnations ont été quasi unanimes et les manifestations se sont multipliées dans les pays musulmans.
Les Palestiniens se sont révoltés face à cette énième provocation, les affrontements entre policiers israéliens et manifestants Palestiniens ont une nouvelle fois embrasé la région.
Au milieu du chaos, un couple de la bande de Gaza a trouvé un moyen plutôt singulier pour protester contre la décision du président américain.
Il a prénommé ses triplés « Al Quds » (Jérusalem), « ‘Asima » (Capitale) et « Filastin » (Palestine), un symbole à l’apparence de trois nourrissons nés deux semaines après l’annonce controversée de Donald Trump le 6 décembre 2017.
C’est par amour pour la Palestine occupée et en réaction à la décision de transférer l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem et de faire de celle-ci la capitale de l’état israélien que Nidal Sukili, 30 ans a décidé de donner ces prénoms à ses enfants.
« La décision de Trump n’a aucune valeur, Jérusalem est notre capitale éternelle », a clamé le père des triplés, qui n’hésite pas à exposer avec fierté ces trois bébés et leur certificat de naissance.
« Grâce à Dieu, j’ai eu des triplés, et nous avons pu répondre à la décision de Trump » , a déclaré pour sa part leur mère Islam al-Sukili, 25 ans, originaire de Khan Younès.
Les deux garçons se prénomment Jérusalem et Palestine, et la petite fille, Capitale.
Leur joie est toutefois gâchée par des préoccupations plus terre-à-terre dans un territoire où les privations sont monnaie courante. Le blocus imposé par les israéliens a plongé la population dans la précarité et les produits de première nécessité font cruellement défaut.
« Notre problème, c’est les couches et le lait », se plaint la jeune mère, dont le mari est sans emploi.
Augmentation des conversions à l’Islam dans les prisons australiennes.
Le nombre de convertis à l’Islam a doublé durant ces dernières années en France et il est en constante progression. Mais au-delà de nos frontières, la tendance est exactement la même ailleurs dans le monde.
Un nombre important de personnes convaincu par le message positif de l’Islam, cherche à se renseigner.
Un phénomène qui touche toutes les couches sociales de la société. En Australie, des experts ont noté une forte augmentation du nombre des convertis dans les prisons australiennes.
Des conditions difficiles, la discrimination et le désespoir d’une vie sans réelle perspective d’avenir ont poussé nombre de détenus à se tourner vers l’Islam.
Selon ces experts les conversions dans les prisons sont une force positive car elles permettent aux prisonniers de reprendre espoir et de faciliter la réhabilitation après leur sortie de prison.
Bien sûr ces conversions ne font pas le bonheur de tout le monde et très vite les médias ont crié au scandale, faisant volontairement le parallèle entre conversions à l’islam et radicalisation.
Michael Kennedy, un détective vétéran de 20 ans, et ancien criminel de la brigade du crime organisé de Nouvelle-Galles du Sud n’est pas vraiment croyant, il a cependant étudié l’Islam et les conditions d’incarcération à l’ l’Université de Western Sydney.
Ses contacts avec de nombreux « bons escrocs » lui ont permis de comprendre le cheminement de ces détenus depuis leur passé de criminel jusqu’à leur conversion.
« Vous êtes isolé de toutes les personnes que vous connaissez dans votre vie, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Vous devez vous connecter avec quelqu’un à propos de quelque chose ». lui a dit l’un d’eux.
La religion semble effectivement être le seul moyen de forger une nouvelle identité et de s’adapter dans le milieu hostile des prisons. Elle permet de rester à l’écart des mauvaises tentations, telles l’alcool ou les drogues, a expliqué le vétéran.
Robbie Maestracci, un travailleur communautaire de proximité du Conseil islamique du Queensland, rend régulièrement visite aux détenus musulmans dans la grande région de Brisbane. Selon lui il y a une tendance importante des conversions à l’Islam parmi les détenus.
« Sans aucun doute, il y a … Nous sommes constamment mis au courant des nouveaux noms des personnes qui ont embrassé l’Islam ou des noms des personnes qui veulent embrasser l’Islam. Au moins toutes les deux semaines, il y a un autre nom ou deux qui sont ajoutés à notre liste », explique Maestracci.
La situation en prison est telle que les détenus sont contraints de s’interroger sur leurs actes et leurs conséquences.
« Quand ces hommes sont forcés de s’asseoir et de regarder leurs actions, je pense qu’il y a beaucoup de repentir et de remords pour les choses qui ont été faites, et dans ce processus, je suppose, commence le chemin de la recherche de pardon des gens et puissance supérieure . » déclare Maestracci
« Nous faisons de notre mieux pour trouver un moyen de trouver du travail, de mener une vie normale, de ne pas avoir de problèmes et de rester en dehors de la prison . »

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Un nouveau président élu à la tête de la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand.
Mohamed Berradi, ici à l’image, est le nouveau recteur de la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand depuis le 2 février. Il succède ainsi à Hocine Mahdjoub, décédé en octobre 2017. © Mosquée de Clermont
Depuis le décès de Hocine Mahdjoub en octobre 2017, la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand n’avait plus de président à sa tête. C’est désormais le cas depuis la tenue d’une assemblée générale extraordinaire vendredi 2 février.
Mohamed Berradi a été plébiscité pour prendre la tête du lieu de culte. Originaire du sud algérien, il a la qualité d’avoir été le compagnon d’école de Hocine Mahdjoub qui était très apprécié des fidèles.
« Comme lui, il est le pur produit des écoles et zawiyas soufies, celle très réputée d’Adrar », en Algérie, signale ainsi la mosquée dans un communiqué. « Lors de son premier prêche en sa qualité d’imam de Clermont, il a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur auquel il a juré fidélité et amour indéfectible. »
Une cérémonie d’introduction du recteur aux autorités civiles et religieuses locales sera prochainement organisée.
Le Conseil théologique des imams du Rhône voit le jour.
Les imams du Rhône s’organisent. Une trentaine de ces cadres religieux officiant dans le département se sont réunis dimanche 4 février à la Grande Mosquée de Lyon. A l’issue de cette rencontre, ils ont annoncé le lancement du Conseil théologique des imams du Rhône (CTIR).
« Ce conseil, indépendant dans sa réflexion et ses décisions, est un espace organisé qui permettra aux imams de coordonner leurs efforts notamment dans le domaine du culte et d’harmoniser leurs avis religieux (fatwas) », avec pour ambition aux interrogations de musulmans « dans un esprit d’ouverture et de compréhension, loin des excès » expliquent les initiateurs dans le communiqué, qui espèrent « se doter des moyens nécessaires pour parfaire l’intégration du culte musulman au sein de la République » avec le Conseil théologique des imams du Rhône.
Cinq commissions, répondant à plusieurs défis constatés par les imams, ont été installées : l’enseignement et la formation, la consultation religieuse (fatwas), les rites musulmans, la communication et le dialogue intereligieux, l’éthique et la déontologie.
Le CTIR – à ne pas confondre avec le Conseil théologique musulman de France (CTMF) dont la nouvelle instance est indépendante – indique vouloir travailler « en harmonie avec toutes les instances musulmanes de France dans un esprit de dialogue et de concertation ».

Sur oumma.com, voici les titres.

La révélation de The Voice est musulmane.
Sa prestation dans The Voice 7 a été un moment de pur enchantement, Mennel Ibtissem, 22 ans, a crevé l’écran sur TF1. Elle a ébloui le jury lors des auditions à l’aveugle en entonnant, en anglais et en arabe, « Hallelujah » de Léonard Cohen.Cette passionnée de musique a des racines turco-syriennes du côté paternel et algéro-marocaines du côté maternel.
Mennel s’est distinguée par sa présence lumineuse, sa voix cristalline et son turban qui fait entièrement partie d’elle.Native de Besançon, la révélation de The Voice est musulmane : « On peut dire que c’est une façon de porter un voile d’une façon plus moderne. Mais ça fait surtout partie de mon look. Vous ne me verrez jamais sans » (source Le Figaro). Mennel Ibtissem avait le jury à ses pieds, et c’est avec Mika qu’elle a choisi de poursuivre sa belle aventure musicale.
reportage a voir sur oumma.com.
Najat Driouech, la première femme musulmane élue députée en Catalogne.
Elle vient de graver son nom, venu d’ailleurs, dans l’histoire politique de l’Espagne, et plus particulièrement de la Catalogne, Najat Driouech peut se prévaloir d’être la première femme musulmane à avoir été élue députée, sous son voile qui n’a jamais freiné ses ambitions et n’a été un obstacle ni à sa candidature, ni à sa victoire.
A 37 ans, la parlementaire native d’Asila, au Maroc, et fraîchement intronisée par ses pairs du parti de la Gauche républicaine, incarne le renouveau sous la coupole du Parlement catalan, et pas seulement générationnel.
Arrivée à Barcelone à l’âge de neuf ans, dans le cadre d’un groupement familial, Najat Driouech, dotée d’un sens inné de l’écoute et faisant preuve d’empathie envers autrui, a laissé parler sa fibre sociale pendant plus de 17 ans, s’investissant pleinement dans sa mission d’assistante sociale à El Masnou, une localité située à proximité de la très cosmopolite capitale catalane.
C’est dans une Espagne secouée par une crise politique longue de deux mois, consécutive au référendum sur l’indépendance de la Catalogne, que la première députée musulmane et voilée a conquis les suffrages, émergeant sur le devant de la scène publique à la faveur des élections anticipées qui ont eu lieu au mois de décembre 2017, afin de renouveler le Parlement catalan.
« Je crois qu’il est nécessaire de faire prendre conscience à une partie de la société que nous ne sommes pas une minorité de seconde classe », tel est le credo du nouveau visage de la politique en Espagne, qui a fait de la lutte contre les discriminations dans la sphère professionnelle son cheval de bataille, et plus encore, le grand combat de son mandat.
Mosquée de Montreuil : la justice s’oppose à son projet d’agrandissement.
Sortie de terre en août 2010 et inaugurée en grande pompe, la Mosquée Al-Oumma de Montreuil, en Seine-Saint-Denis, ne verra pas, huit ans plus tard, son projet d’extension se matérialiser, au grand dam de la Fédération culturelle des associations musulmanes de Montreuil (FCAMM) qui l’a porté à bout de bras.
En effet, le tribunal administratif en a décidé tout autrement. Son arbitrage défavorable a purement et simplement annulé la décision de la municipalité de préempter un terrain, afin d’exaucer le vœu de ses concitoyens de confession musulmane : à savoir, parer à l’urgence en augmentant la capacité d’accueil très insuffisante du parking attenant au lieu de culte, et au-delà, agrandir l’édifice religieux en le dotant de salles de cours et de conférences, ainsi que d’une bibliothèque destinée à l’enseignement des sciences islamiques, mais pas seulement.
« Ce n’était pas forcément un enseignement religieux. Nous souhaitions mêler un lieu de culte et de culture », insiste en vain Maged Osman, le responsable de la mosquée, ce dernier se heurtant à l’hostilité des propriétaires du terrain.
Sensibilisée à la question et après avoir donné son feu vert à la requête émise par les responsables de la FCAMM, l’association qui gère la mosquée, la Ville de Montreuil n’avait pas hésité, le 25 janvier 2017, à exercer son droit de préemption pour un terrain de 1 900 m² jouxtant le lieu de culte.
Mais c’était sans compter le refus opposé par le tribunal administratif de Montreuil, saisi par les propriétaires du terrain, et la condamnation de la ville qui en a résulté, l’obligeant à verser la somme de 2 000 € aux plaignants.
Selon le Parisien, « les juges motivent leur décision en invoquant deux points. Le premier renvoie à la loi du 9 décembre 1905, établissant la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Elle interdit aux communes d’apporter une « contribution […] directe ou indirecte à la construction de nouveaux édifices culturels. » Le tribunal ajoute que « l’extension d’un édifice culturel et la réalisation d’un parking réservé aux pratiquants ne relèvent pas de la compétence d’une commune ».
Alors que la mairie de Montreuil se « réserve le droit de faire appel », les fidèles se font les avocats éloquents de ce projet d’agrandissement, vantant ses nombreux avantages, tels qu’une « meilleure organisation du soutien scolaire », l’argument le plus fédérateur et susceptible d’avoir une large résonance émanant de Maged Osman : « J’espère que nous arriverons à trouver une solution pour le bien-être de la ville ».

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

10 Algériens assassinées en l’espace de deux mois à Marseille : Crimes et chuchotements.
Dix Algériens sont passés à trépas en l’espace de deux derniers mois dans la ville phocéenne. Intriguant. Certaines thèses penchent plu- tôt vers un règlement de compte entre bandes rivales pour une question d’accapare- ment de territoires réservés aux dealers de ce quartier chaud d’une métropole hétéro- clite. Ce qui est intriguant, c’est que les assassinats d’algériens dans la ville française de Marseille s’accumulent ces derniers temps. Dans la nuit de vendredi, peu avant minuit, un dixième ressortissant algérien, originaire de Tlemcen cette fois-ci, a été trouvé mort dans sa voiture dans un parking du 11e arrondissement de la ville. Agé de 29 ans, celui-ci, nommé Mourad Miloudi, a été tué de deux balles dans la tête a indiqué l’agence « Reuters ». Même si rien n’a filtré pour l’instant au sujet de cet assas- sinat, les enquêteurs penchent à priori pour la thèse du règle- ment de compte. Mais ce ne sont que des suppositions dans l’attente des résultats de l’enquête. Ce décès porte à dix le nombre d’émigrés ou de « beurs », originaires d’Algérie, assassinés dans la ville pho- céenne en l’espace de deux mois. La semaine dernière, deux autres algériens ont été assassinés par balles dans la même région en un intervalle de 48 heures. La deuxième victime avait même été brulée par la suite. Neuf de ces dix victimes sont originaires de la wilaya de Khenchela. Certains médias en France ont évoqué une guerre de clans pour le contrôle de la vente des stupé- fiants dans le Nord de Marseille entre deux familles mafieuses, originaires toutes les deux de Khenchela. Une guerre qui aurait fait près de 90 victimes depuis 2010. En tous cas, la multiplication de ces crimes a plongé dans la peur les membres de la com- munauté algérienne établie en France. C’est sans doute l’un des règlements de comptes les plus meurtriers qu’a connue la communauté algérienne établie en France. Le nombre de victi- mes algériennes s’élève désor- mais à huit. Toutes les victimes sont originaires de Khenchla en Algérie. Les tueries ont commencé depuis novembre. Selon les spécialistes dans les gangs cités par le quotidien la Provence, ses assassinats s’inscrivent dans une guerre de territoire entre bandes rivales dans les différentes cités de la banlieue marseillaise. Chaque groupe veut garder la main- mise sur un territoire de vente de la drogue qui rapporte, dit- on, au moins 50 000 euros par jour. Selon la chaine Al- Arabiya, sept d’entre les dix sont originaires de la ville de Khenchela, dans l’est du pays, ont été tués pour des raisons qui demeurent inconnues, rap- porte Al-Arabiya. Les sept assassinats ont eu lieu en un mois, ajoute le média saoudien repris par le quotidien arabo- phone El-Khabar. Les enquê- teurs français sont intrigués par ces meurtres. La communauté algérienne en France s’inter- roge sur cette affaire non sans inquiétude, craignant qu’il s’agisse d’une action qui vise- rait les Algériens. Les médias français n’ont pas fait état de ces assassinats qui auraient poussé les autorités algérien- nes à ouvrir une enquête, tou- jours selon ces deux médias. La série d’assassinats aurait commencé en décembre der- nier. La première victime a été tuée par balles. Des inconnus lui auraient tiré dessus à bout portant alors qu’il se trouvait dans un café, à Marseille, en compagnie de ses amis. Cette « exécution » a été suivie d’une autre qui a ciblé un Algérien originaire de la même wilaya, criblé de balles lui aussi à l’in- térieur d’un salon de coiffure. Les assassinats, commis à Marseille, Lyon et Paris, se sont poursuivis jusqu’à attein- dre sept personnes, dont une a été immolée par le feu. S’agit- il d’un règlement de compte ? Fort possible, vu le modus operandi des criminels et les cibles. Pour le moment, la police française poursuit son enquête et semble privilégier la discrétion puisque les médias sont tenus à l’écart. Nous y reviendrons sur ces intriguant assassinats d’Algériens dans cette ville qui en compte une très dense communauté d’Algériens.
Ould Abbès à partir d’Ain Temouchent : » Il est interdit de parler du 5ème mandat « .
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès a instruit les militants de son parti à ne pas évoquer le 5ème mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika. » Il est catégoriquement interdit de par- ler du cinquième mandat. Il faut travail- ler sérieusement dans l’opération de recensement de ce qui a été fait « , a-t-il indiqué, lors d’une conférence de presse animée dans la wilaya d’Ain Témouchent. D’après lui, la décision de briguer un cinquième mandat revenait au résident de la République, poursuivant qu’au parti, il viendra le temps pour évoquer cette question. S’agissant des grèves déclenchées der- nièrement dans plusieurs secteurs, le SG du FLN a prôné le règlement des problèmes par le dialogue et les négo- ciations, même si la grève est un droit constitutionnel. » Il a, par ailleurs, annoncé la tenue d’une session ordinaire du comité central du FLN le 19 mars prochain, appelant les élus et les cadres du parti à faire des propositions à ajouter à l’ordre du jour des travaux du comité central. Présidant dans la commune de Hammam Bouhadjar, une rencontre régionale des élus FLN des APC et APW des wilayas d’Ain Témouchent, Saida, Sidi Bel Abbès, Oran et Tlemcen, le responsable de l’ex parti unique a souligné la nécessité pour les élus d’être à l’écoute des citoyens, de respecter leurs engagements électo- raux et de régler les problèmes de leurs administrés. Il a mis l’accent sur la nécessité de préserver la confiance pla- cée en ces élus, d’être à l’écoute des citoyens, de respecter les engagements électoraux faits devant les citoyens et régler leurs problèmes. A cette occa- sion, le SG du FLN a mis en exergue le rôle de l’APC qu’il a qualifié de fonda- mental et souligné la nécessité de res- ter fidèle aux citoyens durant les cinq années du mandat électoral. Le conférencier a appelé à adopter le langage de la vérité et faire preuve de crédibilité devant les citoyens en don- nant un sens réel aux principes de fra- ternité, de solidarité et d’écoute. Pour lui, grâce au discours de crédibi- lité adopté par son parti, le taux de par- ticipation est passé de 35 % lors des élections législatives et à 47 % lors des locales du 23 novembre dernier. » L’année 2017 a été celle de la victoire du parti FLN « , a-t-il souligné. Djamel Ould Abbes a exprimé sa fierté devant les réalisations accomplies de 1999 à ce jour, rappelant que » le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est le président du FLN. Nous sommes fiers de ce qui a été réa- lisé et le FLN restera toujours avec le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika « . Le SG du FLN a rappelé la mise en place de comités de wilayas de son parti chargés d’inventorier et d’évaluer les réalisations enregistrées localement depuis 1999 à ce jour. Il a indiqué que l’Etat a débloqué une enveloppe de 100 milliards DA pour financer des plans communaux de développement (PCD) et 150 milliards DA pour le Fonds de développement des Hauts plateaux et 85 milliards DA pour le fonds du sud. Dans ce sens, il a appelé les élus à recenser avec préci- sion ce qui a été réalisé depuis 1999 et exprimer leurs besoins pour les inscrire aux programmes de développement. Les travaux de cette conférence régio- nale des élus FLN ont été marqués par la projection d’un documentaire sur les principales réalisations concrétisées à la faveur du programme du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, durant la période allant de 1999 à 2008.
Un matériel roulant obsolète conduit par des chauffards le transformant en corbillard : Y en a marre des bus tueurs !.
Quinze personnes sont mortes et 19 autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenu le 25 janvier dernier dans la commune de Sidi Ahmed dans la wilaya de Saida ; quelques semaines auparavant, dix autres personnes ont été tuées et 20 ont été blessées, dont 5 en état critique, dans une collision entre un bus de transport de voyageurs et un camion à remorque mercredi soir à Djelfa. Ce n’est pas tout : samedi dernier, à Ain Defla, un accident de la route a fait un mort et vingt blessés dans un accident de circulation. Et la liste est longue de ces accidents meurtriers sur l’asphalte. Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les routes qui causent le plus d’accidents de circulation. Toutes les études sérieuses montrent que l’homme, avec ses comportements, est largement responsable des drames qui se produisent sur les routes. Une tendance confirmée par un bilan fourni par le centre national de prévention et de sécurité routière. D’autres études, non moins sérieuses, montrent que l’état du véhicule est également responsable d’un pourcentage assez élevé d’accidents entrainant un nombre de victimes assez conséquent dès lors qu’il s’agit là de véhicules de transport de voyageurs. L’anarchie qui caractérise le transport urbain dan toutes les villes du pays, livré aux mains du privé pendant les deux dernières décennies, semble s’inscrire dans la durée. L’absence de contrôle aidant, un relâchement visible de la part de ces transporteurs est constaté par tout un chacun quant à l’entretien de leurs « engins » qui sont le plus souvent dans un état lamentable.L’on se demande d’ailleurs par quel miracle les propriétaires de ces épaves ont pu obtenir l’agrément de la direction des transports pour exercer cette activité, alors que celle-ci est normalement soumise à un cahier des charges des plus stricts, notamment en ce qui concerne les dispositions relatives au contrôle technique. Les usagers de ce moyen de transport s’étaient pourtant attendus à une amélioration dans le secteur, à la faveur de la création, il y a une dizaine d’années, de l’Entreprise de transport urbain (ETU).
Routes bloquées par la neige : L’ANP sur le terrain.
Dans le cadre des missions humanitaires de l’Armée Nationale Populaire, et suite à la dernière vague de froid et aux fortes chutes de neige qu’a connues quelques régions du Pays, des détachements de l’Armée Nationale Populaire, ont intervenu dans les wilayas de Sidi-Belabbès et Tlemcen/2e RM, Jijel et Skikda/5e RM, ainsi que Blida, Bouira et Tizi-Ouzou/1e RM, pour désenclaver les routes et prêter aide et assistance aux citoyens touchés, et ce, dès les premières heures, mobilisant tous les moyens humains et matériels. Les unités de l’Armée Nationale Populaire restent prêtes à l’intervention immédiate à chaque fois que de besoin.
Nouria Benghebrit à Tizi-Ouzou : » Ces grèves portent préjudice à l’équité entre élèves « .
La suspension quasi régulière de la scolarité « porte préjudice au principe d’équité et génère des inégalités » entre les apprenants, a souligné, ce samedi à Tizi-Ouzou, la ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghebrit. Les efforts entrepris par le ministère de l’éducation pour relever le niveau de l’école algérienne sont menacés par les grèves à répétition dans le secteur, affirmé, Mme Nouria Benhebrit. La ministre , en visite de travail de deux jours à Tizi-Ouzou, a indiqué devant les cadres locaux de son secteur que les perturbations continues et régulières de la scolarité des élèves, « quel que soit la légitimité ou les raisons invoquées, portent atteinte au principe d’égalité des chances que l’Etat garantit en mobilisant les ressources humaines, matérielles et infrastructurelles nécessaires, en plus des actions d’appui à la scolarité. » » Ces grèves portent préjudice au principe d’équité entre élèves et qui est l’un des fondements de notre système scolaire », a estimé la ministre, tout en relevant que durant ces arrêts de la scolarité, « ceux qui ont les moyens ont recours aux cours payants dont les tarifs en période de grève connaissent une hausse importante et ceux qui n’en n’ont pas accumulent les retards », a-t-elle déploré. Et de mettre à profit sa présence à Tizi-Ouzou pour appeler à « un sursaut des consciences et à une mobilisation positive » pour que nous puissions travailler d’abord à la régularité de la scolarité sans laquelle il serait » indécent » d’attendre de bons résultats de la part des élèves et » un meilleur positionnement de l’école algérienne dans les classements internationaux ». La ministre a aussi indiqué que les perturbations enregistrées dans le secteur ne peuvent permettre la mise en place de cet ambitieux projet qu’est de la réforme initiée par le chef de l’Etat qui est pourtant porteuse de » grands espoirs pour l’éducation de nos enfants ». » Le président de la République a maintes fois rappelé la place stratégique de l’éducation en maintenant le recrutement dans ce secteur et en levant le gel sur tous les projets de réalisation », a-t-il souligné.Benghebrit a estimé que la situation vécue aujourd’hui par le secteur est due à des différends qui se transforment en crise dont l’origine est, en premier lieu, un problème » relationnel et non professionnel ». Dans ce sillage, elle a remercié les partenaires sociaux (syndicats et associations de parents d’élèves) » qui ont fait preuve d’un sens élevé de responsabilité » en signant le 31.01.2018 la déclaration commune dans laquelle ils réitèrent leur volonté de construire un climat social serein dans le secteur et dénonçant toute perturbation de la scolarité en ce moment charnière de l’année scolaire. S’adressant aux cadres de son secteur, Benghebrit les a exhortés à faire des établissements » un espace vivant propice aux apprentissages « . La ministre poursuivra aujourd’hui sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya.
Gaid Salah en visite à la 6ème Région Militaire / » L’ANP : une cellule d’abeilles en termes de travail laborieux « .
Le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-Ministre de la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire a effectué une visite de travail et d’inspection de trois jours, à compter d’hier aux secteurs et unités de la 6ème Région Militaire à Tamanrasset. Cette visite entre dans le cadre des visites d’inspection périodiques des unités militaires mobilisées le long de nos frontières Sud, et du suivi de l’état d’avancement de l’exécution du programme de préparation au combat 2017/2018 à travers toutes les unités de l’Armée Nationale Populaire. Cette première journée a été entamée par l’inspection des unités mobilisées au niveau du Secteur Opérationnel de Bordj Badji Mokhtar aux extrêmes frontières Sud de notre pays, où Monsieur le Général de Corps d’Armée a tenu une rencontre avec les personnels de ces unités, en compagnie du Général-Major Meftah Souab, Commandant de la 6ème Région Militaire. Par ailleurs, Monsieur le Général de Corps d’Armée, et après la cérémonie d’accueil, a prononcé une allocution d’orientation, suivie via visioconférence par l’ensemble des éléments de la Région, lors de laquelle il a salué les efforts laborieux et soutenus que déploient les éléments de ces unités sur le terrain avec dévouement et fidélité à leur peuple et leur Pays l’Algérie. Des efforts qui reflètent leur imprégnation des valeurs de sacrifice et de conscience de l’importance de la mission qui leur est assignée en toutes circonstances. A ce propos, il a indiqué : » Notre vision, au sein de l’Armée Nationale Populaire, digne héritière de l’Armée de Libération Nationale, est ouverte et ambitieuse dont les objectifs et les fins sont bien définis.

Sur le muslim post.com, voici les titres,.

Italie : une attaque perpétrée par un militant d’extrême-droite.
Le 3 février, un jeune Italien a semé la terreur dans la ville de Macerata, une commune de 43 000 habitants. L’homme qui sillonnait le centre-ville en voiture a tiré plusieurs coups de feu, uniquement sur des personnes « de couleur ».
Une information rapportée par la police italienne : « Les blessés confirmés sont de nationalité étrangère », a t-elle écrit dans un tweet. Les six victimes, cinq hommes et une femme, sont en effet originaires du Mali, du Ghana et du Nigeria.
Juste après ses tirs, l’attaquant a ensuite arrêté sa voiture devant le monument aux morts de la ville. Il a eu le temps, avant d’être interpellé par la police, de sortir une écharpe tricolore, de faire un salut fasciste et de hurler « Viva Italia ! », selon les témoignages recueillis par la presse italienne.
L’homme identifié s’appelle Luca Traini. Agé de 28 ans, il a rapidement expliqué le motif de son geste aux enquêteurs. Pour lui, l’assassinat d’une jeune italienne de la région (dont les premiers résultats de l’enquête ont mis en cause un migrant d’origine nigériane déjà condamné par la justice et sans permis de séjour), a été « le déclencheur » de son action.
Le 31 janvier, le cadavre d’une jeune femme de la région, Pamela Mastropietro, âgée de 18 ans, avait en effet été découvert non loin de Macerata, découpé en morceaux et placé dans deux valises.
« Mein Kampf » et des livre d’extrême-droite retrouvés au domicile du tueur
« J’étais en voiture et j’allais au gymnase quand j’ai entendu pour la énième fois à la radio l’histoire de Pamela, aurait déclaré Luca Traini aux enquêteurs, selon le journal Corriere della sera. « J’ai fait demi-tour, j’ai ouvert mon coffre-fort et j’ai pris le pistolet. J’ai décidé de tous les tuer ».
Hier, la police italienne s’est rendu au domicile du tireur pour en savoir davantage sur son profil. Les enquêteurs y ont découvert une copie du livre « Mein Kampf » et un livre d’histoire sur le dictateur fasciste Benito Mussolini ainsi que d’autres ouvrages liés à l’extrême-droite. Une enquête a donc été ouverte pour tentative de « massacre aggravé par un objectif raciste » et « port illégal d’arme ».
Luca Traini s’était fait connaître en juin dernier, se présentant en tant que candidat sous l’étiquette de la Ligue du Nord (parti souverainiste xénophobe, anti immigration et anti-européen) à des élections locales dans une commune de la province de Macerata.
Ancien videur au crâne rasé, il aurait également, selon la presse italienne, fait tatouer son surnom « Lupo » (« le loup ») en lettres gothiques noires sur son cou, ainsi qu’une croix celtique sur un bras et une dent de loup, symbole nazi, sur la tempe droite.
Suite à la fusillade, le ministre italien de l’Intérieur, Marco Minniti, a rapidement réagi, et a qualifié ce drame comme étant empreint d’une « évidente haine raciale ». Il a dénoncé cet acte, marqué par un « extrémisme de droite avec des références claires au fascisme et au nazisme ».
Pour le chef de file de la Ligue du Nord, Matteo Salvini, qui a marqué ses distances avec Luca Traini, « quelqu’un qui tire est un délinquant, abstraction faite de la couleur de la peau ». L’homme politique, en pleine campagne électorale pour les législatives début mars, a également lié cette fusillade à l’« invasion » migratoire en Italie.
« J’ai hâte d’arriver au gouvernement pour ramener dans toute l’Italie la sécurité, la justice sociale et la sérénité », a-t-il déclaré. Quelques jours plus tôt, il avait également qualifié d’« homicide d’Etat » le meurtre de la jeune Italienne.
Des législatives sous tension en Italie, le ministère de l’Intérieur tente de calmer les esprits.
Le ministre de l’Intérieur a souligné que c’est la première fois dans le pays que « la tension interraciale explose de cette façon ». Et il a tenu à mettre en garde les candidats aux législatives contre toutes dérives.
« Même des phrases apparemment inoffensives peuvent déclencher de fortes réactions. Nous avons encore un mois de campagne, le risque que la haine cause de nouvelles violences est très élevé », a-t-il prévenu.
Le 15 janvier dernier, Attilio Fontana, candidat pour le poste de gouverneur de la région Lombardie et issu du parti de la Ligue du Nord avait notamment déclaré à la radio :« Si nous acceptons tous les migrants, nous ne serons plus nous. (…) Nous devons décider si notre ethnie, notre société, notre race blanche doit continuer à exister ou si elle doit être anéantie. Ce n’est pas une question d’être raciste ou xénophobe. »
Le ministre de l’Intérieur italien a également annoncé vouloir intensifier sa surveillance des réseaux sociaux « pour empêcher que des contenus offensifs ou visant à fomenter des agressions puissent être mis en ligne ».
A Macerata, où vivent environ un millier de Nigérians, la population avait prévu une célébration de solidarité samedi, en hommage à la jeune femme tuée.
« Ce crime nous a bouleversés comme tous les habitants de Macerata. Nous voulions montrer notre attachement à la ville et demander à tout le monde, et surtout aux politiques en campagne électorale, de ne pas transformer ce crime horrible en une haine indiscriminée. Nous n’en avons pas eu le temps », a confié à Il Corriere Daniel Amanze, un homme d’origine nigériane et responsable d’une association d’aide aux immigrés.
Projet de mosquée : comment les musulmans du New Jersey ont obtenu gain de cause.
A Bayonne, dans le New Jersey, la communauté musulmane attend sa mosquée depuis bien longtemps. Et celle-ci a failli ne jamais voir le jour. Mais dix ans après avoir loué pour la première fois le sous-sol de l’école d’une église pour prier, les musulmans de la petite ville vont enfin avoir leur propre lieu de culte. La bataille a été dure et longue.
En effet, l’année dernière, la construction d’un centre communautaire et d’une mosquée avait été refusée suite aux actions d’un groupe très bien organisé d’opposants à la construction de cette mosquée. Mais la communauté musulmane de Bayonne a décidé d’engager des poursuites contre leur ville. Ils ont déboursé 400 000 dollars et la demande devrait, fin février, être définitivement approuvée.
Tout avait commencé en septembre 2015 : les musulmans de Bayonne avaient alors acheté une propriété dans l’est de la ville. Eux qui louaient depuis sept ans le sous-sol d’une école chrétienne allaient pouvoir construire leur mosquée et leur centre communautaire. Des demandes de permis de construire ont alors été faites. Mais en janvier 2016, des manifestants réclamèrent, devant l’hôtel de ville, l’abandon du projet.
Un nouveau vote aura lieu fin février.
Très rapidement, un citoyen de la ville, Gene Woods, décide de soutenir les musulmans. « Si nous voulons promouvoir l’unité, nous ne pouvons pas agir comme les extrémistes qui nient les droits de leurs citoyens », déclare alors le chercheur, spécialiste de l’Holocauste. Quand, le 19 janvier, la mairie tient sa réunion pour donner un permis à l’association musulmane, plus de deux-cents personnes envahissent l’hôtel de ville. La séance est ajournée, et elle le sera plusieurs fois dans les mêmes conditions.
Après les nombreux reports, l’attentat dans une boîte de nuit à Orlando, en juin 2016, est avancé par les opposants au projet pour stopper ce dernier. « A la lumière de l’attentat terroriste d’Orlando récemment commis au nom de l’Islam, une mosquée à Bayonne serait dangereuse et imprudente », déclare ainsi le comité d’opposition au lieu de culte. Mi-octobre, des tags antimusulmans sont même découverts sur les murs de l’église qui héberge les fidèles.
De nouvelles réunions sont alors organisées, toujours reportées. En mars dernier, le conseil décide finalement de ne pas accorder les autorisations nécessaires à la construction de la mosquée. Lors de la réunion, des propos sont alors tenus contre le Coran et l’Islam.
Des poursuites sont alors engagées par la communauté musulmane contre la ville de Bayonne, qui aurait violé la loi fédérale. En mai 2017, le département de la Justice des Etats-Unis ouvre une enquête sur cette affaire. L’Etat a finalement, après le règlement d’une facture de 400 000 dollars par la communauté musulmane, exigé la révision de la décision du conseil. Fin février, un nouveau vote public aura lieu. Avec, au bout, la possible construction du lieu de culte tant attendu.
Affaire Tariq Ramadan : « La prudence impose la réserve ».
Tariq Ramadan s’est présenté à la convocation que lui a adressée la police judiciaire parisienne pour y être entendu sur les faits de viols dont il est accusé par deux plaignantes, motivées par l’élan impulsé par l’affaire Weinstein.
La presse rapporte qu’il a longuement été confronté à l’une de ses accusatrices et n’a pas souhaité signer le procès-verbal.
Est-ce la marque d’une mise en difficulté, comme le laissent entendre les fuites, ou bien la trace d’un désaccord sur le respect des règles de procédure ?
La prudence impose la réserve.
Les sources proches du dossier révèlent que trois juges ont été saisis de l’information judiciaire, ce qui peut s’expliquer par l’importance artificielle qui est conférée à ce dossier ou par l’annonce d’importantes investigations, le premier juge étant chargé de traiter les questions liées à la détention provisoire, le deuxième de superviser l’enquête menée en France et le troisième d’instruire des faits commis à l’étranger, des plaignantes suisses semblant se manifester.
« La présomption d’innocence n’est pas reléguée au rang d’accessoire ».
Quoi qu’il en soit, la saisine du Juge des Libertés et de la Détention n’apparait, en l’état, que difficilement justifiable.
Il faut rappeler que l’outil de la détention provisoire doit constituer l’unique moyen d’empêcher une pression sur les victimes et garantir la représentation en justice de la personne mise en examen.
Sur ce point, M. Ramadan s’est, spontanément et en connaissance des risques encourus, présenté devant les services de police, matérialisant sa parfaite collaboration.
Enfin, trois mois ont séparé le dépôt desdites plaintes de son audition de police, personne n’ayant eu à dénoncer un comportement véhément de sa part.
Il me semble que le temps offert à sa défense jusqu’à sa prochaine comparution, dans quelques jours, lui permettra de réajuster l’équilibre médiatique et rappeler que la présomption d’innocence n’est pas reléguée au rang d’accessoire.
A l’ONU, Trump veut imposer un intégriste chrétien ouvertement hostile aux musulmans.
Il s’appelle Ken Isaacs et est vice-président de l’organisation chrétienne Samaritan’s Purse. Il est le poulain de Donald Trump pour prendre la tête de l’Organisation internationale des migrations.
Affiliée aux Nations Unies depuis un an et demi, l’OIM s’occupe notamment de « la protection des migrants et des personnes déplacées au sein de communautés touchées par la migration, la réinstallation des réfugiés et des retours volontaires et l’intégration de la migration dans les plans de développement nationaux. » L’organisation dispose d’un budget de fonctionnement annuel de près de 1 milliard de dollars.
« La foi musulmane ordonne aux fidèles la violence ».
Mais déjà, le choix de Ken Isaacs fait polémique. Non pas qu’il soit chrétien. Mais de nombreuses de ses déclarations ressortent aujourd’hui à l’encontre des musulmans. Comme lorsque, après un attentat à Londres, Isaacs a déclaré que cet acte était « exactement ce que la foi musulmane ordonne aux fidèles de faire. » Plusieurs tweets d’Isaacs ont également émergé, comme lorsqu’il avait estimé que les réfugiés chrétiens de Syrie devait être « la priorité » de Barack Obama.
Dans un communiqué, Ken Isaacs écrit qu’il « regrette profondément » que ses propos « aient causé du tort. » L’homme s’est engagé à agit avec « humanité » et « dignité » malgré ses commentaires islamophobes. Des excuses pour crédibiliser sa candidature. La Maison-Blanche, de son côté, assure qu’Isaacs « traitera les gens équitablement et avec la dignité et le respect qu’ils méritent. » Pour la première fois depuis 1960, un candidat américain à la direction de l’OIM pourrait perdre une élection.
Islamophobie : perpétuité pour l’assaillant de la mosquée de Finsbury Park.
Quarante-trois ans de prison. C’est le temps que passera en prison, au minimum, l’auteur d’un acte islamophobe aux abords de la mosquée de Finsbury Park, dans le nord de Londres, l’été dernier. En juin dernier, un conducteur de van avait en effet fauché les fidèles sortant de la prière.
Le procès de Darren Osborne a montré que ce dernier, avec deux complices, voulait à tout prix tuer : les trois hommes avaient en effet décidé de foncer dans la foule réunie pour la Journée mondiale d’Al-Qods, mais étaient arrivés en retard et avaient alors décidé de s’en prendre aux fidèles d’une mosquée.
L’acte de ces trois hommes avait tué un homme et blessé une douzaine d’autres. Le juge a estimé que l’esprit de Darren Osborne avait été « contaminé » par les idées de l’extrême-droite.
Osborne, qui a également déclaré lors de son procès qu’il envisageait de tuer le leader du parti travailliste Jeremy Corbyn et le maire de Londres Sadiq Khan, a donc écopé de la perpétuité avec une peine incompressible de 43 ans. La justice a estimé que l’accusé avait été motivé par sa haine des musulmans après s’être radicalisé en ligne.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

47Soul : Balfron Promise, du shamstep à haute énergie et des airs d’une protestation inébranlable.
Ce groupe, formé de membres de Palestine et de Jordanie et basé à Londres, nous offre une musique avec un message qu’ils nous adressent à la fois en arabe et en anglais. Plus, le verdict sur le nouvel enregistrement de musique du monde, paru ce mois-ci, et qu’il faut écouter.
Depuis longtemps, il existe un lien entre la musique et la résistance en Palestine, le hip-hop y jouant un rôle majeur ces dernières années. Ses interprètes les plus connus, le groupe palestinien DAM, sont toujours en colère et actifs (leur nouveau single – qui traite de Jérusalem – commence par l’hymne de Blake/Parry pour s’en écarter ensuite en une réaction de rap furieuse contre la politique du Président américain Donald Trump), mais le groupe qui probablement trouvera le plus d’écho dans le genre au Royaume-Uni est celui de leurs collègues du 47Soul.
Formé en Jordanie il y a cinq ans, avec des membres venant de Palestine et de Jordanie, ils se spécialisent en un style qu’ils appellent le shamstep, une fusion allègre et grand format du hip-hop électronique et de la musique de danse traditionnelle Dabkeh, mêlée à un soupçon de reggae, avec des mélodies solides et des chansons interprétées par les quatre chanteurs. Ils jouent du synthétiseur, de la batterie électronique, de la guitare et de la percussion arabe, et ce sont des interprètes impressionnants sur scène, comme ils l’ont prouvé au Womad de 2016.
C’est une musique hautement énergétique avec un message qu’ils nous adressent à la fois en arabe et en anglais. Depuis deux ans, ils vivent à Londres, et leur premier vrai album est une réflexion sur les problèmes tant du Royaume-Uni que du Moyen-Orient. Balfron Promise (du label Cooking Vinyl) renvoie en partie à la Déclaration Balfour, il y a juste un peu plus d’un siècle, et aussi à la Tour Balfron dans Tower Hamlet, où ils vivaient autrefois, et d’où de très anciens locataires ont été expulsés alors que le block se transformait en quartier bourgeois. Ainsi, le thème moteur de Moved Around à demi parlé, ou de la colère et du chant de Mo Light, est celui de la situation des sans-abri, tant au niveau national que local. Mais il est délivré avec confiance et bonne humeur. La chanson la plus inattendue, Locked Up Shop, raconte comment se « faire couper les cheveux avant que l’émeute ne commence ».
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Guardian.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Israël confronte BDS par des experts internationaux
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Le gouvernement israélien a tenu le lundi une conférence internationale avec la participation de centaines de personnalités juridiques du monde entier, pour discuter des moyens de lutter contre le mouvement mondial de boycott d’Israël, connu sous le nom (BDS).
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Des journalistes arabes effectuent une visite à Israël
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L’enfant Jina Jihad … La prochaine menace pour Israël
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Les familles des détenus de Gaza visitent leurs proches dans la prison de Nafha
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Rassemblement organisé à Naplouse contre la réduction de l’aide américaine aux réfugiés de Palestine
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Le Fatah appelle à une nouvelle méthode internationale pour la paix
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Erdogan rencontre le pape François: Jérusalem au cœur de l’entretien
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Les Forces d’Occupation Israélienne prennent d’assaut le quartier de Jaberiyat
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Les Forces israéliennes empêchent les agriculteurs palestiniens d’accéder à leurs terres
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Yaboud: Un jeune palestinien arrêté par l’occupation
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L’Education organise un sit-in rejetant la position américaine envers l’UNRWA
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Le prisonnier Allan est condamné à 12 mois de prison
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Crise de santé à Gaza: 3 centres médicaux paralysés par la pénurie de carburant
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Roi de Jordanie : Il faut donner aux Américains le bénéfice du doute
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L’occupation transfère tous les prisonniers d’Ashkelon vers d’autres prisons
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21 Palestiniens dont des enfants arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 19 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Hondelatte « tord le cou à la bêtise », et défend l’histoire de Diam’s en live sur la radio Europe 1.
« De la folie à la sagesse».
Tel est le titre de l’émission de Christophe Hondelatte du 31 janvier 2018 où il couvre l’histoire de notre sœur Mélanie, alias Diam’s dans un passé dont elle a fait le deuil et le repentir.
Et l’émission vaut le détour. Car le journaliste a fait preuve de courage. Et a couvert, dans un style journalistique unique qui le caractérise, la fabuleuse histoire de Mélanie qui l’a conduit des ombres à la lumière. Et la lumière n’est pas la lumière des projecteurs du show business dont des millions de jeunes rêvent. Mais la lumière de la foi. Celle qui nous illumine et nous fait sortir de l’esclavage de nos passions, d’une vie de paillettes, d’apparences, de faux-semblant,…
Le goût de la foi sincère dépasse de loin le goût de la vie de star. Mélanie nous explique qu’elle a « essayé » d’aimer toutes ces choses qui viennent avec le succès : la gloire, l’argent, le succès mondain, les honneurs…mais que c’est dans la foi et la modestie d’une vie de famille presque anonyme dans la banlieue parisienne qu’elle a trouvé son bonheur. Nous ne couvrirons pas le reste, elle a écrit deux livres magnifiques pour le raconter : « Est-ce que c’est ça la vie ? (…) Moi je sais que c’est pas ça. »
Ajib.fr souhaite toutefois rendre hommage à Christophe Hondelatte pour avoir couvert la vie d’une personne, avec beaucoup d’humanisme et le courage journalistique de raconter tout simplement ce qu’il s’est passé dans la vie de Mélanie il y a 8 ans de cela. Hondelatte en a pris plein la tête pour l’avoir fait. Il cite les invocations de Mélanie au moment de son passage de l’ombre à la lumière. Il cite sa rencontre avec Allah. Il cite la « décision mal comprise » de Mélanie d’avoir quitté sa carrière pour trouver la paix. Dans le détail. Et pour avoir fait cela, il s’attire les foudres de ses pairs, des identitaires, des fous de la laïcité.
« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, puis j’ai fait marche arrière ». Tels sont les mots de Mélanie dans son dernier album. Nous inspirons que Christophe Hondelatte ne fera pas marche arrière. Car il a vaincu les préjugés. Les journalistes peuvent encore en 2018 couvrir la vie de certains de leurs compatriotes en toute simplicité et sans jugement de valeur. Et n’en déplaise aux identitaires, les français l’ont écouté, en masse, et comprennent peu à peu que quand les journalistes leur parlent de musulmans sans leur créer la peur, ils sont tout de suite la cible des attaques. Bravo Christophe. Et merci pour votre empathie et votre humanisme.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : le régime de Bachar à nouveau accusé d’utiliser des armes chimiques.
Les Etats-Unis ont accusé le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques contre son peuple.
Heather Nauert, porte-parole du département d’Etat américain, a déclaré jeudi que les rapports sur le gaz chloré utilisé contre des civils dans la Ghouta orientale étaient “très préoccupants”.
“La Russie fait le mauvais choix en n’exerçant pas son influence unique, il est inadmissible de permettre au régime syrien d’utiliser des armes chimiques contre son propre peuple”, a-t-elle déclaré sur Twitter.
La Russie est le plus proche allié de la Syrie et a déjà bloqué les tentatives d’enquête sur l’utilisation présumée d’armes chimiques.
Les commentaires de Nauert font suite à une attaque au chlore gazeux dans le territoire rebelle de la Ghouta orientale, à la périphérie de Damas, jeudi.
Samedi, le ministère syrien des Affaires étrangères a démenti ces allégations, selon l’agence de presse Reuters.
Le groupe de sauvetage bénévole des Casques blancs a posté des photos de l’attaque sur Twitter, sous le hashtag «Douma Suffocation».
Attentat de la mosquée de Finsbury Park : le terroriste islamophobe condamné à la prison à vie.
Un tribunal britannique a condamné à la prison à vie l’homme qui avait perpétré un attentat meurtrier contre les fidèles d’une mosquée à Londres l’année dernière.
En juin, Darren Osborne a tué un fidèle musulman et en a blessé plusieurs autres devant la mosquée de Finsbury Park, au nord de Londres, alors que les fidèles quittaient les prières du soir (tarawih) pendant le Ramadan.
Vendredi, un juge a condamné Osborne à une peine de prison d’au moins 43 ans après avoir été reconnu coupable de meurtre et de tentative de meurtre la veille.
Au cours du procès, les jurés ont entendu comment Osborne avait l’intention d’attaquer une marche célébrant le «Jour de Jérusalem» plus tôt le 18 juin, mais n’a pas pu le faire.
L’homme de 48 ans originaire de la ville galloise de Cardiff a ensuite fait le tour de la capitale anglaise jusqu’à ce qu’il choisisse ses cibles à Finsbury Park peu avant minuit.
Un groupe de fidèles s’était rassemblé autour de Makram Ali, un grand-père de 51 ans, qui s’était effondré lorsque Osborne a foncé sur le groupe avec son véhicule, tuant Ali.
Des témoins ont déclaré au tribunal qu’Osborne a crié: «J’ai fait mon travail» avant d’être pris et retenu par des passants alors qu’il tentait de s’échapper.
Au tribunal, il avait tenté de se défendre contre les accusations de meurtre et de tentative de meurtre en affirmant qu’un complice nommé Dave avait pris sa place sur le siège du conducteur pendant l’attaque.
Cependant, il n’a pas été en mesure de fournir une explication quant aux raisons pour lesquelles les images de vidéosurveillance ne montraient qu’une seule personne dans la voiture.
Sue Hemming du Service des poursuites de la Couronne britannique a déclaré qu’Osborne était motivé par sa “haine des musulmans”.
“Il a plus tard inventé une histoire peu convaincante pour contrer le poids écrasant de la preuve, mais le jury l’a reconnu coupable”, a-t-elle dit.
“Nous avons été clairs quant aux motivations terroristes, et il doit maintenant faire face aux conséquences de ses actions.”
Le ministre de la Défense du Qatar : “l’Arabie saoudite avait l’intention d’envahir le Qatar”.
L’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis avaient l’intention d’envahir le Qatar au début de la crise diplomatique qui a éclaté en juin 2017, selon le ministre de la Défense du Qatar.
Dans une interview au Washington Post vendredi, Khalid bin Mohammad Al Attiyah a déclaré que ses voisins du Golfe avaient “tout essayé” pour déstabiliser le pays, mais que leurs intentions d’invasion étaient claires pour le Qatar .
“Ils ont l’intention d’intervenir militairement”, a déclaré Attiyah.
Lorsqu’on lui a demandé de confirmer s’il pensait qu’une telle menace existait encore aujourd’hui, il a répondu:
” Nous avons contrarié cette volonté, mais au début de la crise, ils avaient cette intention”.
“Ils ont essayé de provoquer les tribus, ils ont utilisé des mosquées contre nous, puis ils ont essayé de trouver des marionnettes pour remplacer nos dirigeants”.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

The Voice : Mennel émerveille le jury avec une reprise de Hallelujah en arabe. vidéo.
Qui sortira vainqueur de The Voice ? Les pronostics sont lancés depuis la diffusion le 27 janvier des auditions à l’aveugle marquant le début de la saison 7 du télécrochet. Les téléspectateurs ont découvert de nouveaux visages et de nouvelles voix samedi 3 février. Une candidate a ainsi marqué par son charme le jury, composé de Florent Pagny, Zazie, Mika et Pascal Obispo. A l’unanimité.
Grâce à sa magnifique reprise du célèbre titre « Hallelujah » de Leonard Cohen en anglais et en arabe, Mennel a su se faire retourner les quatre coachs. Voyez plutôt la prestation de cette jeune étudiante de 22 ans, en master pour devenir professeure d’anglais, et qui nous vient de Besançon.
Qui se cache derrière cette belle voix ? La musique est sa passion et c’est grâce à sa chaîne Youtube que Mennel Ibtissem a été repérée par les équipes de The Voice. Née d’un père syrien et turc et d’une mère marocaine et algérienne, Mennel est de confession musulmane, ce qui explique pour partie son port d’un turban qui la distingue d’entre d’autres candidats.
« On peut dire que c’est une façon de porter un voile d’une façon plus moderne. Mais ça fait surtout partie de mon look. Vous ne me verrez jamais sans », a-t-elle signalé au Figaro, « à l’instar de Maître Gims qui ne retire jamais ses lunettes noires ».
Mennel a décidé de poursuivre l’aventure avec le chanteur Mika. Et si elle a hésité au dernier moment avec Zazie, elle est restée sur son premier choix, celui d’un coach dont elle aime l’univers musical et le côté multilingue que Mika cultive de par ses multiples origines, l’une d’elles étant libanaise. Une belle aventure s’annonce pour elle.
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, rien de neuf.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Quinze terroristes abattus et 23 éléments de soutien arrêtés en janvier : La fin d’AQMI et de Daesh en Algérie.
Pas moins de 15 terroristes ont été abattus et 23 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés, alors que 5 autres terroristes se sont rendus aux autorités militaires au cours du mois de janvier, selon un bilan actualisé des opérations de l’Armée nationale populaire (ANP). Les opérations de l’ANP se sont soldées également par le sauvetage de noyade de 205 personnes en pleine mer et la détection et la destruction de 70 casemates pour terroristes et armes. Les unités de l’ANP ont découvert aussi 33 caches de munitions, a précisé la même source, ajoutant que 9 obus, 21 kalachnikovs, deux mitrailleuses lourdes, 47 grenades, 4.008 cartouches, 19 fusils, 10 roquettes anti-personnel et 4 panneaux photovoltaïques ont été récupérés. Les éléments de l’ANP ont saisi 17 appareils de transmission, 12 paires de jumelles, 2,7 kg de dynamite, une quantité de produits chimiques destinée à la fabrication d’explosifs, 80.664 unités de boissons, 12.505 paquets de cigarettes et 1.800 litres d’huile de table.Par un détachement de l’Armée Nationale Populaire près de la Commune de Ouled Ahlal, wilaya de Médéa/1°RM, permettant d’éliminer deux (02) dangereux terroristes et de récupérer leur armes, il a été procédé à leur identification. Il s’agit, en l’occurrence, du criminel « T. Abderahmane » alias » Abou El Banet « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1993. Il s’agit également de « M. Mustapha » alias » Lokman Abou Rabah « , qui avait rallié les groupes terroristes en 1994. Ces terroristes étaient responsables de plusieurs actes criminels à Médéa, Ain Defla, Tissemsilt et Chlef. Ces résultats de qualité concrétisés sur le terrain par les unités de l’Armée Nationale Populaire lors des opérations menées notamment durant le mois de janvier passé et qui se sont soldées par l’élimination de plusieurs terroristes à Khenchla, Jijel, Médéa et Boumerdes, confirment la volonté et la détermination de l’Armée Nationale Populaire à venir à bout du fléau du terrorisme et consolider la sécurité et la quiétude parmi les citoyens. Par ailleurs, les éléments de l’ANP ont arrêté 225 contrebandiers, 862 immigrants clandestins et saisi 100,4 tonnes de denrées alimentaires, 1.145 quintaux de tabac et 56.128 unités de tabac, 97 véhicules, 177.245 litres de carburants, 71 marteaux piqueurs, 100 groupes électrogènes et 26 détecteurs de métaux. En outre, les éléments de l’ANP ont arrêté 52 trafiquants de drogue et saisi 15,9 quintaux de kif traité et 15.651 unités de psychotropes.
Affaire du kidnapping du nourrisson : Lait-Mahfoud Kaoua à Constantine, Réclusion à perpétuité à l’encontre des trois accusés.
L’affaire du kidnapping du nourisson Lait- Mahfoud Kaoua du service néonatal de la maternité centre hospitalo-universitaire, CHU – Benbadis et qui remonte à 2014 a connu un rebondissement. En effet, le tribunal criminel près la cour de Constantine a prononcé jeudi la réclusion à perpétuité à l’encontre des accusés, S.N., M.K. et M.B. dans cette même affaire. Par ailleurs, la même instance a prononcé l’acquittement des deux sages femmes A.L. et N.S., exerçant au service de la maternité du même établissement de santé. Selon l’arrêt de renvoi, S.N., l’époux de Z.B., chez qui le bébé enlevé a été retrouvé à Tamalous, dans la wilaya de Skikda, est poursuivi pour association de malfaiteurs, kidnapping d’un mineur, faux et usage de faux, octroi d’avantages, port d’arme blanche prohibée. Les accusés M.K. et M.B. étaient poursuivis pour, entre autres association de malfaiteurs, enlèvement d’un mineur et faux et usage de faux. Lors de son réquisitoire, le procureur général a souligné la gravité de l’acte commis par les accusés et a requis 20 ans de prison ferme à l’encontre des trois accusés, 15 ans pour N. S. et 3 ans à l’encontre de A. L. L’affaire de Laïth-Mahfoud Kaoua, dont l’enlèvement a suscité une vague de compassion à travers le territoire national remonte au 27 mai 2014, quand le bébé d’à peine un mois a été porté disparu du service de la maternité du CHU Constantine, juste après son admission pour un problème d’ictère néonatal. L’enquête déclenchée, par les services de la police, dés l’alerte donnée a permis de remonter la piste des kidnappeurs et localiser le bébé dans un domicile à Tamalous. Aussitôt, une perquisition fut ordonnée, et les enquêteurs ont pu récupérer l’enfant, du domicile d’une femme Z.B., dont le mari est le principal accusé dans cette affaire. La femme en question, âgée au moment des faits de 47 ans était décédée l’année dernière en prison. Les accusés disposent d’un délai de dix jours pour introduire un recours.
Donald Trump attaque frontalement le ministère de la justice et le FBI : L’empire contre-attaque.
Le président des Etats-Unis a autorisé la publication d’une note de quatre pages qui dénoncerait un biais » anti- Trump » dans l’enquête conduite par le FBI. Un rapport à charge, un président à l’attaque. Donald Trump a autorisé ce vendredi la publication d’un rapport controversé rédigé par le président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Devin Nunes (Californie), mettant en cause l’intégrité de la police fédérale dans l’enquête consacrée aux piratages informatiques pendant la campagne présidentielle. Ces piratages ont été prêtés à la Russie par le renseignement américain. Confirmant les informations déjà publiées, le rapport, en fait une note de trois pages et demie, se concentre pour l’essentiel sur un point de l’enquête » russe » : l’utilisation d’un dossier controversé rédigé par un ancien agent secret britannique, Michael Steele, pour obtenir en octobre 2016, soit quelques semaines seulement avant l’élection présidentielle, une autorisation de surveillance qui a ensuite été renouvelée à trois reprises. Ces autorisations visent notamment les personnes soupçonnées de travailler pour des puissances étrangères. La cible en question était un lobbyiste prorusse identifié de longue date et contacté par le FBI dès 2013, Carter Page, qui avait brièvement participé à l’équipe de campagne de Donald Trump. L’entourage du président n’a cessé de relativiser son rôle au cours des derniers mois. Il n’a pas été poursuivi jusqu’à présent par le procureur spécial chargé des investigations, Robert Mueller. Le président de la Commission du renseignement affirme que la police fédérale, le FBI, a masqué à l’autorité administrative l’origine partisane du dossier, commandité initialement par une faction républicaine, puis par un groupe lié au Parti démocrate. La note cite également le numéro deux de la police fédérale, le FBI, selon lequel ce dossier a été essentiel pour l’obtention de cette autorisation. Le document controversé a été rendu public en janvier 2017. Sans attendre la publication du document, en milieu de journée, Donald Trump est passé à l’offensive sur son compte Twitter, vendredi matin. » Les plus hauts responsables et enquêteurs du FBI et du ministère de la justice ont politisé le processus sacré d’investigation en faveur des démocrates et contre les républicains « , a-t-il assuré. Une attaque virulente sans précédent, même selon les critères du président. » Ce qui se passe dans notre pays est une honte « , a-t-il insisté plus tard dans la journée. » Beaucoup de gens devraient avoir honte, et même plus que cela « , a-t-il grondé. Ces critiques visent paradoxalement des responsables classés comme républicains et qui ont tous été nommés sous son autorité. Est concerné au premier chef Rod Rosenstein, le numéro deux du ministère de la justice, chargé de ce dossier depuis que son supérieur, Jeff Sessions, proche de Donald Trump, s’est récusé pour cette enquête pour avoir passé sous silence des contacts pendant la campagne avec des responsables russes. Christopher Wray, qui a remplacé à la tête du FBI James Comey, limogé en mai par M. Trump pour son opiniâtreté dans l’enquête » russe « , est également en ligne de mire.
Tariq Ramadan mis en examen pour viols et incarcéré : La fin d’un » mythe « .
L’islamologue a été mis en examen hier pour viols sur deux femmes. Le débat sur sa détention provisoire, requise par le parquet, a été différé à sa demande et aura lieu dans les quatre jours. C’est la chute d’une icône aussi controversée qu’influente. Tariq Ramadan, 55 ans, a été mis en examen, vendredi soir, pour viol en 2012 et viol sur personne vulnérable en 2009 puis incarcéré. Une onde de choc dans la communauté musulmane. Dans le sillage du scandale Weinstein aux Etats-Unis, deux femmes de confession musulmane avaient porté plainte contre l’islamologue. Le théologien a été incarcéré dans l’attente d’un débat différé en début de semaine sur son placement en détention devant le juge des libertés et de la détention (JLD). » Cette mise en examen est le résultat d’une enquête minutieuse de trois mois effectuée dans le secret et le silence par les policiers du 2e district de la PJ parisienne « , se félicite Me Eric Morain, l’avocat de l’une des deux victimes présumées qui préfère conserver l’anonymat. Le parquet avait demandé le placement en détention afin notamment d’empêcher une pression sur les témoins, selon une source judiciaire. Plusieurs femmes ayant témoigné anonymement pendant l’enquête préliminaire pourraient déposer plainte à leur tour. » Cette mise en examen n’est pas un aboutissement, mais une étape vers la reconnaissance des faits et du droit des victimes. Il y a eu une chape de plomb pendant des années qui est en train de sauter « , souligne Me Jonas Haddad, l’avocat de l’autre plaignante, Henda Ayari, une ex-salafiste devenue militante laïque et féministe. L’instruction promet d’être complexe, longue et peut-être même tentaculaire. Trois juges d’instruction ont été désignés. Une démarche peu fréquente. Ces derniers mois, les policiers ont entendu plusieurs femmes de confession musulmane qui ont décrit un même modus operandi : une demande de conseils religieux transformée en relation sexuelle compulsive, parfois consentie, souvent violente et humiliante. Certaines d’entre elles qui pourraient porter plainte disent avoir entretenu avec le prédicateur une relation de dépendance, voire de soumission. Elles décrivent une emprise quasi sectaire. Par ailleurs, de nombreux échanges à caractère érotique et sexuel entre Tariq Ramadan et certains de ces témoins ont été versés au dossier. Durant ses deux jours de garde à vue et devant les juges, Tariq Ramadan a reconnu des relations de séduction mais démenti tout acte sexuel. Jeudi après-midi, il avait été confronté à une de ses deux victimes présumées, une femme de 40 ans, handicapée et convertie, qui l’accuse de viol dans une chambre d’hôtel de Lyon, en 2009. Selon nos informations, l’islamologue a reconnu avoir rencontré la quadragénaire après des mois de correspondance sur les réseaux sociaux. Mais cette rencontre, qui n’aurait pas duré plus d’une demi-heure selon lui, serait restée au stade de la conversation. Pourtant, cette femme a identifié un détail intime chez son agresseur présumé, comme le site de notre journal l’a révélé hier. Une petite cicatrice à l’aine que le prédicateur a reconnu posséder, sans pouvoir trouver d’explication à cet élément rapporté par sa contradictrice.
Tout en appelant les pouvoirs publics à satisfaire les revendications des médecins et des enseignants : Louisa Hanoune dénonce le bradage de la SNTA.
Attendue sur plusieurs dossiers chauds de l’actualité nationale, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, n’a pas pris de gants à l’occasion de la conference de presse qu’elle a animée vendredi à l’occasion de l’ouverture des travaux de la session ordinaire du comité central de son parti. C’est ainsi qu’elle a appelé, les pouvoir publics à prendre en charge les revendications des protestataires dans plusieurs secteurs, notamment la Santé et l’Education, estimant que « le recours à la justice pour interdire les grèves ne fera qu’exacerber la situation ». Pour la première responsable du PT, « Les pouvoirs publics doivent emprunter la voie du dialogue » dans le règlement des conflits tout en rappelant que l’Algérie « est signataire de conventions liées à l’action syndicale et aux droits politiques et civiques », elle a prévenu que « toute violation de ces traités est susceptible de donner un motif d’ingérence étrangère dans les affaires du pays ». A propos de la privatisation, la conférencière n’a pas été tendre à propos de ce qu’elle considère comme une privatisation déguisée de la SNTA. Ace propos, elle a indiqué que cela » ressemble à une privatisation déguisée « . « 49% des actions sont revenues à la SNTA, alors que le partenaire émirati a obtenu 41%. Mais cinq individus, quatre émiratis et une algérienne, détiennent 2% chacun. Et cette personnalité algérienne soutient toujours les émiratis », a déclaré Hanoune. Pour celle-ci, « le partenaire émirati a commencé par s’accaparer des unités commerciales à taux très fort de valeur ajouté », avant de faire de même, ces derniers jours, « avec la production ». Plus que cela, la secrétaire générale du PT a dénoncé le licenciement d’une partie du personnel. « Il y a eu licenciement de 1 100 travailleurs sans indemnités. Des travailleurs qui ont été recrutés à nouveau avec des contrats à durée déterminée (CDD). Les 18 travailleurs qui ont refusé de signer leurs contrats d’emploi précaires ont subi des menaces de toute nature. Ils ont même tenté de les corrompre », a-t-elle dénoncé. Plus globalement, la femme politique dit ne pas comprendre pourquoi vendre une société qui dégage des bénéfices. « Est-il acceptable de céder une entreprise publique qui fait 3 900 milliards de centimes de bénéfices nets d’impôts ? », s’est-elle interrogée. Abordant la question de la migration clandestine, la première responsable du PT a estimé que ce phénomène « est une des répercussions de la mauvaise conjoncture que traverse le pays ». Mme Hanoune a précisé que cette session permettra d’ »examiner la situation dans le pays, notamment sur les plans économique et social, en vue de préparer les bases populaires du parti à faire face à la conjoncture actuelle et à proposer les solutions qu’elles jugent idoines ». Au volet économique, elle a demandé à l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) de « présenter un bilan global de ses activités, faisant ressortir le nombre et la valeur des crédits à l’investissement et l’apport des projets créés dans ce cadre à la création d’emploi ». « L’ANDI a distribué plus de 500 milliards de dinars de crédits en 2017. Qui contrôle les projets d’investissement, le respect du code du travail, le nombre d’emplois créés dans ce cadre et le paiement des impôts », s’est-elle interrogée.
Palestine : Le ministre palestinien de l’Information parle de l’avenir du conflit avec l’entité sioniste : La judaïsation d’Al Qods est un mirage.
Tout en fustigeant la dernière décision du président Trump concernant la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste et insistant sur le fait que l’Autorité palestinienne ne renoncera pas aux frontières de 1967,le ministre palestinien de l’Information, Mohamed Assaf, a affirmé, avant-hier à Alger, que les États-Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix, en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU. Par ailleurs, Assaf a mis en relief les tentatives de l’entité sioniste tendant à la judaïsation d’Al Qods qui n’est autre » qu’un processus systématique entamé par les forces d’occupation israéliennes depuis 1967″ a affirmé vendredi soir, à Sétif, le poète palestinien Raid Nadji, à l’ouverture du séminaire international, « Al Qods, la mosquée Al Aqsa et l’avenir du conflit ». Au cours de sa communication intitulée « la stratégie israélienne dans la judaïsation de la ville Sainte » le conférencier a assuré que « l’ennemi sioniste a promulgué des lois faisant de la ville d’Al Qods partie intégrante d’Israël » ajoutant « qu’à travers une décision militaire, les forces d’occupation considèrent la ville Sainte (Est et Ouest), comme capitale d’Israël, dès son occupation, contrairement aux résolutions des Nations Unis ». En présence de l’ambassadeur de la Palestine en Algérie, Louai Aïssa, d’un représentant de l’ambassade de la République arabe sahraouie démocratique, du président de l’association des oulémas musulmans algériens, Abderazak Guessoum et des autorités locales, le conférencier a souligné que le parlement sioniste a modifié « la loi sur l’autorité et la juridiction » mettant la ville Sainte sous le contrôle israélien et à urgé l’amendement de « la loi de la municipalité » pour faire d’El Qods « une municipalité de l’entité sioniste ».
LES FRONTIÈRES DE 1967 DEMEURENT UNE LIGNE ROUGE.
« L’autorité palestinienne ne renoncera jamais aux frontières de 1967, et les Etats Unis n’auront, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU » a souligné M. Assaf. Lors d’une conférence de presse animée au siège de l’ambassade de Palestine à Alger, le ministre palestinien de l’Information a déclaré que les Etats Unies adoptent, au quotidien, une nouvelle position, soulignant que ces positions ont pour véritable objectif d’exercer une pression sur l’autorité palestinienne et tenter de provoquer le peuple palestinien pour l’amener à renoncer à sa cause. « Nous refusons toute pression. Si Washington cherche des concessions à travers cette démarche, elle échouera comme ce fut le cas par le passé, car nous ne renoncerons pas à l’instauration d’un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967, avec pour capitale Al-Qods Est », a-t-il martelé. L’administration américaine est responsable de l’échec des pourparlers de paix, vu son parti pris pour Israël », a déclaré le ministre palestinien, ajoutant qu’ »elle n’aura, à l’avenir, aucun rôle dans le processus de paix en dehors d’un mécanisme international multilatéral sous l’égide de l’ONU ». Le ministre palestinien a également évoqué la stratégie de son pays pour la prochaine étape visant notamment à « renforcer la résilience palestinienne, activer la résistance et à réaliser la réconciliation nationale sur tous les plans ». Il a indiqué, à ce propos, que les visites effectuées par le Président palestinien, Mahmoud Abbas, en Chine et à Bruxelles et celles qui le conduiront en Russie et dans d’autres pays outre la demande de la qualité de membre à part entière au sein de l’ONU et de membre au sein d’organisations internationales ainsi que la demande de reconnaissance internationale de l’Etat de Palestine, sont autant de démarches qui s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation du soutien international au rejet de la décision américaine concernant Al- Qods et pour l’établissement d’un Etat palestinien indépendant selon les frontières de 1967.M. Assaf a salué, en outre, la position internationale « honorable » rejetant la décision américaine concernant Al-Qods. Le ministre palestinien avait tenu ces déclarations lors d’une conférence de presse à l’issue de sa visite en Algérie à l’invitation du ministre de la Communication, Djamel Kaouane, dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’information.
Benghebrit menace les grévistes de radiation : Le Cnapeste sous pression.
Dans sa démarche de grève illimitée lancée le 30 janvier dernier, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) se trouve embarrassé, suite à la récente décision de la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, qui se montre intransigeante. » Il n’y aura pas de discussions avec le CNAPESTE avant l’arrêt de la grève et ceux qui l’a poursuivront risquent la radiation « , a déclaré Benghebrit. C’est ce qu’elle a affirmé la ministre dans un entretien accordé au site « Tous sur l’Algérie ». A la question est-ce qu’il y aura d’autres sanctions contre les grévistes, la ministre répond « Ce sera la radiation ». » Ils ont quinze jours pour se décider » a telle – souligné. » Les enseignants seront informés individuellement. Chacun doit prendre ses responsabilités, ils ont le droit au recours car on applique la réglementation car nous sommes tenus de respecter et d’appliquer la réglementation en vigueur », a-t-elle ajouté. Benghebrit affirme que les revendications contenues dans le PV numéro 15, évoqué par le syndicat, ont été satisfaites. Mais pour celle relative aux ponctions sur salaire, ce ne sera pas possible parce que « les ponctions salariales ont été appliquées comme cela se fait pour toutes les catégories de travailleurs à travers tout le territoire national ». La ministre affirme par ailleurs qu’il n’y aura pas d’année blanche à Bejaia, Tizi Ouzou et Blida, puisque des mesures ont été prises. Par exemple, « 400 vacataires, notamment des retraités, ont été recrutés à Blida depuis décembre ». La tutelle ne semble pas donc prête à faire machine arrière. Il faut rappeler, en dernier lieu, que le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE) est en grève nationale illimité depuis le 30 janvier. Par ailleurs, la ministre de l’éducation a déclaré » qu’il n’y aura pas une année blanche à Blida, à Tizi Ouzou et à Béjaïa « . Le spectre d e l’année blanche est écarté selon la ministre. » Nous sommes en train de prendre des mesures pour assurer les enseignements aux élèves » a telle ajouté. Il a noté que, la fédération des parents d’élèves et association nationale des parents d’élèves avait dépose plainte à l’échelon local contre le bureau du Cnapeste. Répondant à une question sur les mesures prises par le département pour faire face à cette grève, la première responsable de son secteur, a souligné que » nous avons recomposé le calendrier de travail de l’élève. La deuxième consiste à identifier les enseignants qui ne sont pas contre le fait de faire des heures supplémentaires. La troisième mesure est de recruter des vacataires « . D’autre part, les syndicalistes accusent le gouvernement de remettre en cause le droit de grève. Selon les explications de Benghebrit, le problème n’est pas dans la grève mais dans son caractère illimité. » La grève est évidemment un droit constitutionnel .Ce qui particulier cette année est que la grève du Cnapeste n’a pas de contenu « . Il y a lieu de rappeler que le tribunal a déclaré la grève d’illégale. Les principales revendications de ce syndicat autonome portent sur le plein respect de la teneur des conventions signées avec le ministère de l’Education nationale, notamment en ce qui concerne la régularisation de la situation des personnels occupant des postes en voie de disparition, la médecine du travail, l’actualisation de la prime de zone pour le travail dans le sud, le logement et les promotions. Jeudi, les partenaires sociaux signataires de la Charte d’éthique du secteur de l’Education nationale ont indiqué dans un communiqué que cette grève était « injustifiée » et qu’elle donne une « image négative » du mouvement syndical devant l’opinion publique. Les parents d’élèves considèrent la grève comme une « fuite en avant, un complexe et un dérapage syndical », exprimant leur « désarrois » et leur « frustration » de voir l’avenir de leurs progénitures compromis, a déploré l’Anpe.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Pourquoi la suppression de l’aide financière américaine à l’AP n’est pas une mauvaise chose.
Par Alaa Tartir, 8 janvier 2018.
Si les États-Unis suspendent leur aide financière à l’Autorité palestinienne, les Palestiniens seront peut-être contraints d’avoir le courage politique de se battre pour ce qui est juste.
De nombreux observateurs et analystes préviennent que la suppression de l’aide américaine à l’Autorité palestinienne (AP) est dangereuse et pourrait compromettre la stabilité. Certains affirment même que la menace du président Donald Trump sur l’aide financière aux Palestiniens est plus dangereuse que sa décision de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël à Jérusalem.
« Pensez-vous que les jours de l’AP sont désormais comptés ? » est l’une des questions les plus récurrentes des journalistes ces derniers jours, après que Donald Trump a déclaré : « Nous payons les Palestiniens des centaines de millions de dollars par an sans obtenir de reconnaissance ou de respect. Ils ne veulent même plus négocier. »
Et Donald Trump d’ajouter : « Puisque les Palestiniens ne sont plus disposés à parler de paix, pourquoi devrions-nous leur verser des paiements massifs à l’avenir ? ».
Des actions contre les Palestiniens.
Cependant, la menace de Trump de retirer son aide à l’AP ne devrait surprendre personne.
L’aide américaine a toujours été utilisée comme un outil politique, et les conditions qui lui sont attachées ont été préjudiciables et néfastes pour les Palestiniens.
Mais si la menace de suspension de l’aide versée à l’AP se concrétisait, serait-ce vraiment si grave ? Je pense que non. Cela serait probablement bénéfique – peut-être pas à court terme, mais à long terme, sans aucun doute.
L’aide américaine à l’AP vise essentiellement à consolider le rôle de cette dernière en tant que sous-traitant de l’occupation israélienne et a rendu l’occupation israélienne moins coûteuse et plus durable, ce qui a profité à l’économie israélienne, ancré la fragmentation palestinienne et nié le potentiel démocratique palestinien. Pour toutes ces raisons, la suppression de l’aide des États-Unis à l’AP n’est pas si grave.
Le principal objectif des États-Unis vis-à-vis de la Palestine consiste à promouvoir « la prévention et l’endiguement du terrorisme contre Israël ». En d’autres termes, l’aide est fournie aux Palestiniens pour sécuriser Israël ; mais s’agit-il d’un soutien aux Palestiniens ou à Israël ?
Le paradigme « Israël d’abord ».
Selon le paradigme sécuritaire « Israël d’abord », l’administration américaine a versé des millions de dollars d’aide à l’AP afin de « professionnaliser » ses forces de sécurité pour la stabilité et la sécurité d’Israël, de son occupation et des colons de Cisjordanie occupée.
Cette logique biaisée signifiait que l’AP devenait un sous-traitant de l’occupation israélienne, grâce à l’aide et selon les conditions des États-Unis.
Cela a non seulement soutenu l’occupation israélienne, mais a aussi profité à Israël, à son économie et à ses entreprises. L’aide américaine aux Palestiniens sert souvent à payer directement les créanciers de l’AP, parmi lesquels figurent de nombreuses entreprises israéliennes qui pratiquent des tarifs prohibitifs et profitent de l’économie captive de l’AP.
En outre, la majeure partie de l’aide versée par les États-Unis à la Palestine (jusqu’à 72 %), en particulier l’aide allouée à la sécurisation, finit dans l’économie israélienne. Par conséquent, une grande partie de « l’aide » des États-Unis aux Palestiniens se traduit en réalité par un soutien supplémentaire à Israël et à son appareil sécuritaire.
L’aide des États-Unis a également ancré la fragmentation palestinienne au cours de la dernière décennie et a alimenté le fossé entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. De plus, l’aide nie non seulement le potentiel démocratique palestinien mais parraine l’émergence d’un style de gouvernance autoritaire en Cisjordanie.
Les procédures de sécurisation soutenues par les États-Unis, qui répondent à leurs objectifs en matière de sécurité, visent à criminaliser la résistance contre l’occupation israélienne et à étouffer les besoins et les aspirations du peuple palestinien.
L’aide des États-Unis.
Les opérations et les interventions de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le bureau du coordonnateur de la sécurité des États-Unis (USSC) ont contribué à causer tous ces préjudices. Ce faisant, ces deux institutions violent non seulement les principes internationaux clés de la fourniture d’aide, mais elles agissent effectivement comme un bras complémentaire de l’occupation coloniale israélienne.
Certes, ces dommages et conséquences néfastes de l’aide des États-Unis ne seront pas automatiquement inversés si la menace de Donald Trump de supprimer l’aide devient réalité.
C’est beaucoup plus complexe que cela, car cela implique de démanteler des structures complexes, des dynamiques et des institutions qui ont émergé et se sont consolidées au cours du dernier quart de siècle.
Ce qui est crucial à ce stade, c’est que les Palestiniens ne paniquent pas et ne maudissent pas leur sort de « perdre » 300 à 400 millions de dollars par an ; ils devraient plutôt agir – et de nombreux choix s’offrent à eux. Pour commencer, ils devraient tenir l’USAID et l’USSC pour responsables, et abroger les dérogations d’enregistrement que le défunt dirigeant palestinien Yasser Arafat avait accordées à l’USAID pour fonctionner sans aucune surveillance palestinienne.
Inversion du processus de contrôle.
Il est temps d’inverser le « processus de contrôle » ; plutôt que d’être soumis au contrôle de l’USAID, il est temps que les Palestiniens effectuent les vérifications nécessaires concernant l’USAID et les autres organismes américains de l’industrie de l’aide en Palestine.
Pour ce faire, il faut que les dirigeants palestiniens fassent preuve de volonté et de courage politiques. Mais la direction actuelle de l’AP reste bloquée sur l’échec de ses approches et formules.
L’incapacité des dirigeants de l’AP à réaliser de petites actions telles que la révocation des dérogations d’enregistrement de l’USAID reflète une crise de légitimité plus profonde et illustre les manœuvres tactiques des dirigeants actuels de l’AP pour gagner du temps, rester au pouvoir ou réorganiser les cartes des pourparlers de « paix ». Il faut d’urgence résister à ces idées et les remplacer par de nouvelles orientations stratégiques qui soient dictées par le peuple palestinien.
Le principal défi qui reste à relever est toutefois de savoir comment canaliser les revendications et les aspirations du peuple palestinien vers des institutions politiques et représentatives légitimes.
Du point de vue du peuple palestinien ordinaire, il y aura des conséquences négatives à court terme dans l’éventualité où la menace de Donal Trump de couper l’aide se concrétise. Cependant, il est également crucial de reconnaitre que l’aide à l’AP ne se traduit pas automatiquement par une aide au peuple palestinien.
Il est trompeur d’affirmer que l’aide et ses avantages se répercutent sur le peuple palestinien ordinaire. L’industrie de l’aide est conçue pour bénéficier à peu et nuire à beaucoup.
Sam Bahour, le président de Americans for a Vibrant Palestinian Economy, a récemment déclaré : « Je ne vais pas perdre le sommeil si le Congrès cesse totalement de financer l’Autorité palestinienne. Cela ne facilitera pas la vie quotidienne sous l’occupation, mais peut-être que cela réveillera suffisamment de dirigeants américains qui verront l’absurdité d’être menés comme un troupeau de moutons par leur éleveur israélien. »
Cela ne m’empêchera pas de dormir moi non plus. Alors qu’une coupure de l’aide américaine aura quelques conséquences négatives sur la vie des Palestiniens, les perspectives à long terme pourraient s’avérer plus positives car cette action pousserait l’AP à abandonner le cadre du modèle d’aide des accords d’Oslo. Il est temps d’enterrer le modèle d’aide d’Oslo, qui a échoué.
Mais un processus d’abandon progressif requiert des actions sérieuses, des mesures concrètes et claires et un plan d’action/de sauvetage national pour une transition vers une formule post-solution à deux États et un cadre post-accords d’Oslo.
Enfin, alors que l’aide humanitaire est importante, ce qui importe plus pour les Palestiniens ordinaires n’est pas d’avoir un bon pour obtenir du blé ou des sardines, mais plutôt les racines politiques pour lutter contre le déni de leurs droits.
Tant qu’on n’abordera pas la question de ces racines politiques, peu importe l’étendue de l’aide, les Palestiniens ordinaires ne ressentiront pas le bénéfice positif de l’aide, qu’elle vienne des États-Unis, d’Europe ou des pays arabes.
La menace de Donald Trump de suspendre l’aide financière offre aux Palestiniens ordinaires une nouvelle opportunité de placer les principes d’auto-détermination et de dignité au cœur du cadre et de l’industrie de l’aide.
Alaa Tartir est directeur de programme à Al-Shabaka: The Palestinian Policy Network et chargé de recherche invité au Centre on Conflict, Development and Peacebuilding (CCDP) de l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID), situé à Genève (Suisse).Vous pouvez le suivre sur Twitter : @alaatartir.Vous pouvez consulter sa publication sur le site www.alaatartir.com.
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique éditoriale de Middle East Eye.
Photo : un enfant palestinien appuyé sur des sacs d’aide alimentaire fournis par l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 22 août 2017 (AFP).
Traduction de l’anglais (original) par VECTranslation.
Source : MiddleEastEye.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’OLP se penche sur la suspension de la reconnaissance d’Israël
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Le Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a ouvert samedi la voie à une suspension de la reconnaissance d' »Israël », mais s’est abstenu d’ordonner une application immédiate de cette initiative.
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L’épouse du prisonnier politique Louai Freij demande la libération immédiate de son mari
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Des groupes successifs de colons prennent d’assaut les cours saintes d’al-Aqsa
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Israël craint que l’effondrement économique de Gaza n’entraîne à la violence
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Des Palestiniens arrêtés et des maisons saccagées à l’aube par l’armée israélienne
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Un jeune tué à Jénine et l’occupation échoue à arrêter Ahmed Jarrar
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L’occupation démolit deux salles d’une école palestinienne à Jérusalem-Est
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L’OLP appelle le gouvernement à adopter un plan de désengagement avec Israël
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Hamas : la continuité des protestations fait signe d’un soulèvement populaire
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Une ministre néerlandaise critiquée pour son don de 13 millions d’euros à l’UNRWA
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Les affaires étrangères : l’inscription de Haniyeh sur la liste des terroristes vise la réconciliation
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Suisse: Des centaines de personnes à Berne en soutien au peuple palestinien
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L’occupation bombarde un site de la résistance au sud de Gaza
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Abbas travaille jour et nuit pour être efficace
.
Haniyeh : nous tenons à la résistance et « la transaction du siècle » ne passera pas
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Des colons attaquent des agriculteurs palestiniens au nord d’Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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