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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les conversions à l’Islam dans le monde du football, un phénomène grandissant.
Partout dans le monde, des gens croient en diverses divinités, la nature de la foi est mystérieuse. En règle générale, les croyances sont transmises de génération en génération et les gens s’y attachent car ils y puisent leur identité mais aussi une manière de vivre et de penser. Nous n’arrivons pas à expliquer nos croyances par des arguments logiques mais l’appel de la foi est un sentiment très fort.
L’Islam est la religion qui connaît le plus de succès, de plus en plus de gens se tournent vers l’Islam alors que celui-ci est dans une période charnière située entre la diabolisation et la fascination. En vivant dans un pays musulman et en partageant le quotidien des musulmans ponctué par le rythme des prières, certaines personnes athées, chrétiennes ou juives finissent par trouver cet équilibre tant convoité.
Le monde du football est particulièrement touché par ce phénomène, plusieurs footballeurs se sont convertis à l’Islam grâce à cette proximité avec d’autres joueurs de confession musulmane. Même si les raisons de leur décision restent souvent inconnues, ces personnes évoquent la grande éloquence du Coran.
Parmi les footballeurs français qui se sont convertis à l’Islam, nous trouvons l’ancien entraîneur des Lions de l’Atlas, Philippe Troussier converti au Maroc avec son épouse. Franck Riberi, joueur adulé des français est devenu musulman après son passage dans un club en Turquie. Nicolas Anelka, ami de Djamel Debouzze converti à l’Islam après avoir joué en Turquie, Eric Abidal après son mariage avec une musulmane en 2007. Thierry Henry a expliqué que de nombreux amis à lui se sont convertis à l’Islam ce qui l’a amené à se sentir proche de cette religion au point de l’adopter définitivement.
Parmi les joueurs étrangers, Danny Blum, un footballeur allemand qui désormais prie cinq fois par jour et dernièrement l’ancien joueur du FC Barcelone et directeur de projets FCBEscola Arabie Saoudite, Jordi Martinez Ruldùa vient de se convertir dans la ville sainte, très certainement influencé par son aura et ses rituels qui nous obligent à porter un autre regard sur le monde.
Découvrez la fantastique histoire de cette mosquée construite en France au XIIe siècle.
Dans sa lutte acharnée d’imposer de force la laïcité comme seule religion, la France a oublié qu’elle fût un temps bien plus tolérante qu’elle ne l’est aujourd’hui.
A l’heure où la construction des mosquées dans l’hexagone donne lieu aux plus virulentes polémiques, l’Histoire nous donne une bonne leçon de vie.
Lors de la 3 ème croisade au XIIe siècle, le seigneur d’Angluse parti en croisade, est fait prisonnier par les Arabes. Après quelques temps passés en leur compagnie et après avoir tissé des liens étroits avec Salahdin (Salahudin al-Ayyoubi) sultan d’Egypte, le sir d’Angluse obtient sa libération à la condition de verser une rançon et de construire une mosquée une fois de retour dans son bourg de Buzancy.
De âpres négociations seront nécessaires pour que le seigneur d’Angluse obtienne la permission d’aller chercher lui-même la rançon. Arrivé en France, il tient ses engagements et réunit la somme demandée en vendant une partie de ses biens avant de retourner auprès du Sultan.
Celui-ci touché par sa loyauté, lui rend son argent et sa liberté moyennant deux conditions, faire porter aux aînés mâles de la famille le prénom de Salahdin, remplacer ses anciennes armoiries à la croix de sable par des croissants et enfin construire un monument en l’honneur de l’Islam et de son Prophète Mohammed (Paix et bénédiction d’Allah sur lui).
Dans une lettre de M. JOUFFROY D’ESCHAVANNES à M.HECTOR HOREAU, nous découvrons la fantastique histoire de cette mosquée édifiée en France il y a plusieurs siècles. Situé dans le « bourg de Buzancy dans le département des Ardennes sur la route de Vouziers à Stenay », le bâtiment que « les habitants du pays nomment le Mohammed c’est notre mosquée » a aujourd’hui été transformé par l’autorité locale en école.
retrouver l’integralité de cette histoire sur https://histoireislamique.wordpress.com .

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : le régime de Bachar accusé d’attaque chimique dans une enclave rebelle. VIDEO.
Au moins 21 personnes, dont des enfants, ont souffert de difficultés respiratoires lundi, a déclaré un surveillant, lors d’une attaque chimique présumée du régime syrien contre une enclave rebelle assiégée près de Damas.
Les inspecteurs de l’ONU ont accusé le régime du président Bachar al-Assad d’être à l’origine de multiples attaques mortelles de gaz toxiques au cours de la guerre dévastatrice dans le pays.
L’attaque de lundi a visé la ville de Douma dans la région de la Ghouta orientale tenue par les rebelles, a annoncé l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
“Après que les forces du régime ont tiré des roquettes dans la partie occidentale de la ville de Douma, la fumée blanche s’est répandue, provoquant 21 cas d’étouffement”, at-il ajouté.
Un correspondant de l’AFP dans un hôpital de la ville a vu des personnes portant des bébés enveloppés dans des couvertures, respirant à travers des masques à oxygène, certains criant.
Les jeunes filles et les hommes étaient assis sur les lits d’hôpital, les larmes aux yeux, incapables d’arrêter de tousser.
Un médecin de l’hôpital a déclaré que les patients souffraient «d’irritation respiratoire, de difficultés respiratoires, de toux et de rougeur des yeux».
“Nous avons remarqué qu’ils sentaient l’eau de javel ou le chlore, et nous les avons dépouillés de leurs vêtements”, a-t-il dit.
Six enfants et six femmes étaient parmi les victimes, a déclaré l’Observatoire.
“Des habitants et des sources médicales parlent de gaz chloré”, a déclaré Rami Abdel Rahman à l’Observatoire, ajoutant que son groupe, qui s’appuie sur un réseau de sources en Syrie, n’a pas pu confirmer ces informations.
Le 13 janvier, une attaque similaire a visé la périphérie de Douma et l’Observatoire a signalé sept cas d’étouffement.
Quelques jours plus tard, le chef de Human Rights Watch, Kenneth Roth, a accusé le régime syrien d’utiliser du gaz chloré pendant le siège de la Ghouta orientale.
Assiégés depuis 2013 par les forces du régime, les 400 000 habitants du bastion rebelle connaissent déjà une crise humanitaire écrasante et de graves pénuries de nourriture et de médicaments.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Palestine : Le vice-président annonce devant la Knesset que l’ambassade ouvrira à Jérusalem en 2019.
L’ambassade américaine sera transférée de Tel-Aviv à Jérusalem d’ ici la fin de l’année prochaine, a déclaré le vice-président américain Mike Pence aux parlementaires israéliens sous les applaudissements enthousiastes.
Accueilli lundi à la Knesset par une ovation, le discours de Pence était dans sa phase d’introduction lorsqu’une échauffourée a éclaté alors que les politiciens palestiniens de l’alliance Joint Arab List arboraient des affiches de la mosquée Al-Aqsa avant d’être expulsés de force par la sécurité.
“L’Amérique se tient avec Israël”, a déclaré Pence, sans être découragé par la perturbation. “Nous sommes avec Israël parce que votre cause est notre cause, vos valeurs sont nos valeurs et votre combat est notre combat.
“Nous sommes avec Israël parce que nous croyons au bien et au mal, et à la liberté plutôt qu’à la tyrannie”, a déclaré Pence sous les applaudissements.
Dans un geste sans précédent, l’ambassade des États-Unis a invité les dirigeants des mouvements de colons en Cisjordanie occupée à assister au discours de Pence à la Knesset, le premier jamais présenté par un vice-président américain.
L’ambassadeur des États-Unis en Israël, David Friedman, est un fervent partisan des colonies israéliennes illégales et, dans le passé, il a dirigé une organisation qui a fait don de millions de dollars à l’une d’entre-elles en Cisjordanie occupée .
Israël : pour les réfugiés africains c’est le retour au pays ou la prison.
Emprisonnement indéfini ou un aller simple. Telles étaient les options offertes par le Premier ministre Benjamin Netanyahu aux réfugiés et migrants africains en Israël au début de janvier.
Qualifiant les 40 000 membres de la communauté d ‘”infiltrés”, Netanyahu a déclaré qu’ils devaient ” coopérer avec nous et partir volontairement, respectueusement, humainement et légalement, ou utiliser d’autres outils à notre disposition, qui sont également conformes à la loi”.
La tentative d’expulser les réfugiés africains – principalement des Soudanais et des Erythréens – n’est pas nouvelle. Ceux qui ont traversé irrégulièrement la frontière israélienne ont été confrontés pendant des années à la discrimination, à l’exclusion et à l’emprisonnement.
Mais la décision d’offrir l’emprisonnement ou la réinstallation dans un pays tiers, vraisemblablement le Rwanda ou l’Ouganda – bien que les deux pays nient avoir un accord avec Israël.
“Dans le dernier chapitre de sa quête de longue date pour échapper à ses obligations de protection des réfugiés, Israël menace d’emprisonner des milliers de demandeurs d’asile qui refusent de partir”, a déclaré Gerry Simpson, directeur adjoint des réfugiés de Human Rights Watch. “Au lieu de les emprisonner, Israël devrait identifier et protéger équitablement les réfugiés parmi eux.”
Bien que faisant partie de la Convention du HCR sur les réfugiés de 1951 , l’obtention du statut de réfugié en Israël est presque impossible. Seulement 200 personnes ont reçu le statut de réfugié depuis 1948. Selon le Centre africain de développement des réfugiés, Israël reconnaît moins de un pour cent des demandes d’asile.
La Chine interdit les cours de Coran aux enfants musulmans.
Les autorités gouvernementales chinoises ont interdit aux enfants musulmans d’assister à des événements religieux pendant les vacances d’hiver, dans un comté de l’ouest de la Chine qui est principalement peuplé de musulmans.
La notification de l’interdiction a été mise en ligne par le bureau de l’éducation, alors que les autorités intensifient leur suppression des libertés religieuses.
Les écoliers du district de Linxia dans la province de Gansu, qui hébergent de nombreux membres de la minorité ethnique musulmane Hui, n’ont pas le droit d’entrer dans les bâtiments religieux pendant leur pause, selon un bureau d’éducation du district.
Les étudiants doivent également ne pas lire les écritures dans les classes ou dans les bâtiments religieux, a déclaré le bureau, ajoutant que tous les élèves et les enseignants devraient tenir compte de l’avis et travailler pour renforcer l’idéologie politique et la propagande. La Chine est un état athée et communiste.
Reuters était incapable de vérifier de manière indépendante l’authenticité de l’avis. Le bureau de l’éducation de Linxia a refusé de commenter la validité du document.
Xi Wuyi, un érudit marxiste de l’Académie chinoise des sciences sociales soutenue par l’Etat et un critique acerbe de l’influence croissante de l’islam en Chine, a partagé le tableau et a salué le mouvement apparent des autorités.
Avec l’avis, le comté prenait des mesures concrètes pour séparer la religion et l’éducation et s’en tenir strictement à la loi sur l’éducation, a-t-elle déclaré sur la plate-forme de médias sociaux Weibo.
De nouveaux règlements sur les affaires religieuses, publiés en octobre dernier et devant entrer en vigueur en février, visent à accroître le contrôle de l’éducation religieuse et à limiter les activités religieuses.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

Amena Khan contrainte de se retirer de la campagne L’Oréal pour des tweets anti-Israël.
Hier encensée, aujourd’hui critiquée. Amena Khan, récemment révélée par L’Oréal Paris qui en a fait son égérie pour une publicité, est dans la tourmente après que des tweets anti-israéliens datés de 2014 aient été épinglés le week-end du 20 janvier. Une tourmente telle qu’elle a décidé de « se retirer » de la campagne publicitaire en accord avec la marque de cosmétiques, a-t-elle annoncé lundi 22 janvier sur Instagram.
La mannequin est vilipendée pour des positions qui lui valent même des accusations d’antisémitisme par les défendeurs les plus zélés d’Israël.
C’est en pleine opération israélienne contre Gaza en 2014 qu’Amena Khan est sortie du bois pour dénoncer les actes perpétrés par Israël contre les Palestiniens. « Vous répétez tout le temps « personne n’est au-dessus de la loi ». Et bien, selon le droit international, Israël est un Etat illégal. Pourtant, vous les soutenez. Expliquez », écrivait-elle le 10 juillet.
« Israël = Pharaon. Tous les deux sont des tueurs d’enfants. InchAllah, la défaite attend aussi le premier ; ce n’est qu’une question de temps », tweete-t-elle également le 21 juillet. Et d’ajouter le même jour : « Puisque la situation des Palestiniens est comparable à l’Holocauste, il est temps que les Nations unies interviennent et leur façonnent un Etat dans un autre pays. Ce n’est que justice. »
Amena Khan exprime ses regrets, L’Oréal applaudit
« Je regrette profondément le contenu des tweets que j’ai écrit en 2014 et je m’excuse sincèrement pour le trouble et le mal que j’ai causé. Soutenir la diversité est une de mes passions, je ne discrimine personne », fait-elle savoir, annonçant avoir supprimé les tweets en question « dans la mesure où ils ne représentent le message d’harmonie que je défends ».
« J’ai récemment pris part à une campagne qui m’a excité car il célébrait l’inclusion. Avec grand regret, j’ai décidé de me retirer de cette campagne car les discussions actuelles qui l’entoure détourne d’un sentiment positif et inclusif qu’elle est sensée délivrer », indique Amena Khan.
Un porte-parole britannique de L’Oréal a fait savoir à la presse que la marque « apprécie » les excuses d’Amena Khan, affirmant qu’elle est « engagée pour la tolérance et le respect envers tous les peuples ». La célèbre enseigne de cosmétiques fait partie des cibles du mouvement international BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) contre Israël. Elle avait été vertement critiquée en 2014 après un don de produits Garnier (dont L’Oréal est propriétaire) à l’armée israélienne, qui a valu un tollé auprès des défenseurs de la cause palestinienne. Amena Khan collaborait avec la firme internationale depuis fin 2016.

Sur oumma.com, voici les titres.

La mystérieuse bague retrouvée sur une femme viking avec l’inscription ” Pour Allah “.
Trouvée en Suède, une bague, datant du 9ème siècle de notre ère, était nimbée de mystère jusqu’au jour où…la microscopie électronique à balayage (SEM), réalisée par des chercheurs à Stockholm, en a révélé tous les secrets.Exhumée de la tombe d’une femme viking à Birka, l’une des premières cités de Suède fondée au 8ème siècle et ancien comptoir commercial, cette bague, en forme de cabochon de verre teintée, était gravée d’une inscription qui en a fait toute la valeur historique.
Une inscription coufique, la plus ancienne forme de calligraphie arabe, et pas n’importe laquelle y était incrustée :». Cette fabuleuse découverte a mis en lumière les liens commerciaux entre les Vikings, ces grands voyageurs, et le puissant empire du califat abbasside (750 à 1258). Selon l’expert Pierre Bauduin, les Vikings aimaient tout ce qui brille pour mieux afficher leurs signes extérieurs de richesse. Cette bague pourrait provenir d’un des nombreux voyageurs musulmans qui sillonnaient les contrées nordiques ou faire partie d’un butin, parmi les milliers de dirhams dispersés sur les sols suédois et européens.
reportage a voir sur oumma.com.
“États-Unis, enfants jetables”: des milliers d’enfants sont vendus ou échangés comme des objets sur le marché de la réadoption.
Que faire d’un enfant adopté dont on ne veut plus? Aux États-Unis, on peut placer une petite annonce sur Internet et lui trouver une nouvelle famille. La pratique du rehoming – ou réadoption – n’est pas reconnue légalement, mais facile à mettre en œuvre. Rencontre avec des enfants vulnérables, échangés comme des marchandises, avec des parents qui ont eu recours à cette procédure et avec les agences qui gèrent ce nouveau marché?
reportage a voir sur oumma.com.
L’ambassade américaine à Jérusalem avant fin 2019.
Le vice-président américain Mike Pence a annoncé lundi sous un tonnerre d’applaudissements du Parlement israélien que l’ambassade des Etats-Unis ouvrirait à Jérusalem avant fin 2019, malgré la colère des Palestiniens et la réprobation internationale.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

La jeunesse arabe partagée entre optimisme personnel et scepticisme politique.
Au cours de l’exercice 2016/2017, la Fondation Friedrich Ebert a mené une vaste enquête auprès des jeunes dans huit pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Les résultats fournissent un aperçu fascinant des attitudes, des perceptions et des ambitions de quelque 9 000 jeunes âgés de 16 à 30 ans en Egypte, Bahreïn, Yémen, Jordanie, Liban, Maroc, Palestine, Syrie et Tunisie. Les auteurs de l’étude ont comparé ces résultats avec ceux de jeunes vivant en Allemagne, musulmans et non-musulmans. Entres autres choses, l’étude montre que les jeunes des pays arabophones ont une vision optimiste de la vie, mais une profonde méfiance de la politique. Elle montre également les similitudes entre jeunes allemands au-delà des particularismes confessionnels. Jorg Gertel de la Fondation Ebert, s’en est expliqué dans les colonnes de nos confrères de Qantara.de.
Quelles conclusions de l’étude vous ont le plus surpris ?
Je trouve très surprenant le contraste entre la situation économique, politique et sécuritaire instable de la région et la vision optimiste des jeunes de l’avenir.
Comment expliquez-vous cela ?
Les parents de ces adolescents sont entrés sur le marché du travail à une époque où de nombreux emplois étaient garantis par l’État. Ces jeunes ont bénéficié d’une meilleure éducation que leurs parents. Certains vivent encore à la maison, d’autres ont déménagé. C’est une distinction importante à faire: ceux qui vivent encore avec leurs parents se sentent protégés et jugent leur situation économique plutôt prometteuse. Alors que ceux qui ont déménagé et ont fondé leur propre famille disent que leur situation est mauvaise ou même très mauvaise. Une fois qu’une personne commence à assumer la responsabilité économique de sa propre vie – et de celle des autres – sa perception change.
Et pourtant, 65 % des jeunes sont optimistes quant à l’avenir ?
Nous pouvons dire qu’il y a un échange et un processus d’apprentissage mutuel entre les jeunes musulmans et non-musulmans en Allemagne : ils commencent à partager les mêmes valeurs. Si vous regardez ce que les musulmans en Allemagne apprécient le plus, vous constatez que leurs choix sont similaires à ceux de leurs pairs. C’est l’une des découvertes les plus intéressantes de l’étude. Entre la moitié et les deux tiers des personnes interrogées ont déclaré que l’immigration n’était pas une option. Seulement 7% ont dit vouloir déménager à l’étranger. Un tiers ont dit qu’ils étaient indécis sur cette question.
Le printemps arabe a eu un fort impact sur ces adolescents. Ont-ils perdu espoir dans les réformes démocratiques ?
Il est clair que pratiquement personne ne veut s’impliquer dans la politique – et la politique partisane en particulier. L’étude montre que la plupart des jeunes placent leur confiance en Dieu et dans les réseaux familiaux. Cette foi n’est pas de nature politique, c’est une affaire privée. Les jeunes se méfient de la classe politique. Ils ne veulent rien avoir à faire avec elle. Un profond fossé les sépare du monde politique. L’étude montre que cette foi est considérée comme une affaire personnelle et que personne d’autre ne devrait interférer avec.
A quel point les expériences de vie et les croyances des adolescents allemands et de leurs pairs arabes sont-elles similaires ou différentes ?
Il y a plusieurs différences mais aussi des similitudes majeures. Quand il s’agit de valeurs, Dieu joue un grand rôle pour la jeunesse arabe. Les adolescents allemands disent qu’ils apprécient un partenaire en qui ils peuvent avoir confiance et de bons amis qui les acceptent tels qu’ils sont. Surtout, ils rejettent la conformité. Les jeunes allemands et arabes partagent le respect de la loi et de l’ordre ; ils valorisent la vie familiale, le travail acharné et le dévouement. Les deux groupes ont également accordé une importance similaire à l’acceptation d’opinions divergentes et au soutien de ceux qui ont été marginalisés par la société. Ici, la jeunesse allemande et arabe partagent les mêmes opinions.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Il a soutenu que l’Algérie ne s’impliquera jamais militairement dans les conflits : Messahel rappelle les principes de l’Algérie.
L’ANP assume pleinement ses missions constitutionnelles, grâce auxquelles le pays a pu échapper aux graves menaces venant de ses frontières.
Par Kamel Zaïdi et APS :
L’Algérie ne s’impliquera jamais militairement dans les conflits des pays du Sahel, a déclaré hier le ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel, soulignant, toutefois, la priorité accordée pour la lutte antiterroriste dans la région. « L’Algérie ne s’impliquera jamais militairement dans les conflits et tout le monde le sait. La lutte antiterroriste pour nous est une priorité dans les pays du Sahel Mali et Libye. Nous sommes les premiers concernés », a affirmé M. Messahel qui s’exprimait à l’émission « Invité de la rédaction » de la radio algérienne chaîne III. « Il y a mille manières d’accompagner nos frères Libyens et Maliens dans la lutte antiterroriste. Je prends le cas des pays du Sahel nous faisons beaucoup dans le renforcement des capacités notamment au Niger et au Mali », a-t-il poursuivi. Le ministre des Affaires étrangères a, dans ce contexte, expliqué que l’Algérie apporte une aide logistique et humanitaire importante et « forme des troupes d’élite au Niger, au Mali ainsi que dans d’autres pays de la région, spéciales pour la lutte antiterroriste en territoire saharien ». « Nous avons consacré ces dix dernières années près de 100 millions de dollars dans l’aide et le support. L’Algérie apporte sa contribution. Il y va de la sécurité de l’Algérie bien évidemment pour préserver notre pays mais nous le faisons également par devoir de solidarité », a indiqué M. Messahel. Le chef de la diplomatie algérienne qui a relevé l’importance de la question de lutte antiterroriste notamment avec le retour des combattants du groupe terroriste autoproclamé « Etat islamique » (EI/Daech) dans différents pays, a souligné que l’Algérie entourée de plusieurs zones de turbulence maintient à haut niveau sa vigilance. « Nous sommes un pays entouré de zones de turbulence, il est évident que notre armée se déploie sur le long de nos frontières et elle le fait bien pour défendre notre souveraineté et intégrité territoriale », a-t-il dit, rendant hommage au travail effectué par l’armée algérienne dans la protection du territoire national. Evoquant la situation en Libye et au Mali, le ministre a dit que la question de lutte antiterroriste ne préoccupe pas seulement l’Algérie mais aussi tous les pays de la région et même la communauté internationale. Néanmoins, il a affirmé que la clé pour une sortie de crise est « entre les mains des Libyens en Libye et les Maliens au Mali », la communauté internationale peut être d’un support seulement. « Nous faisions des efforts pour le retour de paix et de la stabilité en Libye et au Mali. Moins on s’éloigne d’un Etat fort avec des institutions, d’un Etat juste, plus on ouvre la porte à la présence du terrorisme et le retour des combattants étrangers », a-t-il ajouté. M. Messahel a, de ce fait, réitéré l’importance de la « solution politique », la considérant comme la seule pouvant préserver l’unité et l’intégrité territoriale de ces pays, tout en insistant sur la mise en place d’institutions fortes pour prendre en charge les problèmes de sécurité notamment avoir une armée unie. « Nous travaillons sur une solution politique qui préserverait l’unité et intégrité territoriale de la Libye et du Mali, qui permettrait également à ces pays de retrouver leur stabilité à travers des institutions fortes », a-t-il soutenu, appelant à la mise en oeuvre de l’Accord de paix et de réconciliation au Mali, issus du processus d’Alger, signé à Bamako en 2015. « Plus on va vers la mise en oeuvre des Accords nés du processus d’Alger -l’Accord de Bamako- plus on resserre l’étau sur tous les facteurs négatifs que connait ce pays (Mali) par des turbulences dans le Nord où il y a des présences de grands trafics, de terrorisme et des crimes organisés ».
Le taux de conformité de l’accord OPEP-non-OPEP atteint un record de 129 % en décembre : Pari tenu.
L’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) et ses partenaires ont atteint en décembre » un niveau de conformité record » de 129%, avec leurs ajustements de production volontaires, a indiqué le Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord Opep- non-Opep (JMMC), lors de sa 7ème réunion organisée à Mascate ( sultanat d’Oman), précisant que c’est le taux le plus élevé depuis le début de la déclaration de coopération, après avoir enregistré d’excellentes performances au cours des derniers mois. Lors de sa participation à cet événement, indiqué un communiqué du ministère de l’énergie, le ministre Mustapha Guitouni, s’est dit satisfait de l’excellent niveau de conformité des 24 pays Opep et non Opep, ajoutant que les efforts doivent être poursuivis et intensifiés pour atteindre les objectifs attendus sur le moyen et long terme. » Le niveau de conformité a ainsi atteint le « niveau record » de près de 129% durant le mois de décembre dernier. Il était de 87% en janvier 2017 « , selon le document. A cet effet, le ministre a relevé que les efforts conjoints des pays ont permis de contribuer très fortement à la stabilisation et à l’équilibre des marchés pétroliers. Ces efforts, a-t-il ajouté, doivent être poursuivis et intensifiés pour atteindre les objectifs attendus sur le moyen et long terme. Guitouni a, par ailleurs, indiqué que les stocks de pétrole ont baissé de façon » significative » passant de 300 millions de barils à 118 millions de barils et que le marché a répondu positivement à l’effort collectif, ce qui témoigne de l’efficacité des mécanismes mis en oeuvre par les 24 pays Opep et non Opep et de la crédibilité de leur démarche. Il a également mis en avant le rôle déterminant de l’Algérie, à travers le concours décisif du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, « qui a rendu possible l’historique accord d’Alger du 28 septembre 2016 et dont a découlé la réussite de tout le processus actuel ».
Face à la crise économique actuelle : Consommer algérien, crédo de l’UGCAA.
A quelques jours de la célébration du 61 éme anniversaire de la journée national du commerçant algérien, l’Union général des commerçants et artisanats algériens UGCAA, a saisi cette occasion pour organiser de la quatrième session du conseil national, sous le thème » ensemble pour relever le défi et booster le développement local et la commercialisation du produit national « . Considérant que le défi actuel et celui du marché et de la production nationale pour le développement et l’économie de l ‘investissement, le secrétaire général de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Salah Souilah n’a pas manqué de rappelé que ses objectifs ne peuvent être réalisés que part l’imposition des produits locaux auprès du consommateur algériens, ainsi que sa commercialisation et sa promotion. Par ailleurs, selon le de l’Ugcaa, » ceci ne peux que consolider la construction d’une économie à 100% algérienne grâce à vos efforts « , a-t-il souligné. Et d’ajouté, » notre souhait et d’assurer la sécurité alimentaire « . Ainsi la crise du lait qui s’est invitée dans le discoure du SG, n’est pas le fait du hasard mais celle-ci a été fabriqué et pis encore déstabilisé la paix social, allant jusqu’à toucher la souveraineté nationale. Salah Souilah, réaffirmé que le rôle de l’Ugcaa et de mobilisé toit les commerçants set les artisanats pour assoir une relation solide avec les pouvoirs publics, dont le but de prémunir de tous risques susceptible de porté atteinte à notre union. Pour sa part, le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS) M. Acheuk Youcef Chawki, qui s’est exprimait, hier, en marge de cette quatrième session du conseil national, a indiqué que la CASNOS connaît un taux d’enregistrement appréciable de la part des commerçants, » ce qui est très encourageant pour notre caisse, surtout concernant pour la santé financière « . « La Caisse de sécurité sociale des non-salariés a enregistré plus de 2 millions affiliations des commençants, et 1 millions de cotisants à jour « , a confirmé le DG de la Casnos.
Des milliers de médecins quittent l’Algérie : La grande » saignée « .
Des milliers de médecins algériens partent massivement à l’étranger. Selon les estimations du conseil de l’ordre des médecins, ils sont entre 10.000 et 20.000 exerçant en France et même en Europe. La sonnette d’alarme est tirée. C’est l’un des problèmes majeurs qui se pose pour la santé publique. Le Dr Mohamed Bekat Berkani, président du conseil de l’ordre des médecins a estimé récemment dans une déclaration publique que cette situation » est d’une grande hémorragie » pour la médecine algérienne. Rien que pour ces deux dernières années, prés de 5000 médecins ont quitté le territoire national et sont inscrits actuellement dans le conseil de l’ordre des médecins en France. Cette perte est imputée pour plusieurs raisons. Selon le président du conseil de l’ordre » les médecins souffrent de manque de moyens et la formation n’est pas satisfaisante « . Ce qui pousse beaucoup de médecins fraîchement diplômés à entamer une carrière à l’étranger même en acceptant de » petits boulots » ou à exercer parfois le travail d’infirmiers en attendant de compléter leurs cursus dans d’autres universités ou grands hôpitaux. Pour l’Algérie, l’impact est grandement ressenti face au déficit de médecins dans la plupart des établissements de santé. C’est le constat que dresse Dr Berkani en déplorant que » le système de santé n’est plus en mesure de fournir des prestations aux populations » en ajoutant que » les difficultés sont ressenties surtout dans les hôpitaux et les services de chirurgie « . Parfois, des régions entières et surtout dans le sud souffrent d’une absence flagrante de médecins, devenus une perle rare. Ce sont également les conditions d’exercice déplorables qui lestent la pression sur les médecins qui les mettent sous pression et les condamnent à fuir cherchant d’autres horizons ailleurs. Une situation qui requiert selon ce haut responsable de » trouver des solutions d’urgence » notamment à pallier aux manques des médecins. » Nous avons rencontré le ministre de la santé et nous lui avons fait part de nos doléances » a indiqué le président du conseil de l’ordre. Parmi les axes suggérés, c’est la reconsidération du statut social du médecin, la révision de certains points sur sa carrière, la protection exigée au sein des structures de santé contre toute forme d’agressions et la mise en place rapide d’un comité pour réfléchir sur la réforme de l’enseignement médical. Le dossier est d’une telle ampleur que les autorités doivent remédier par des solutions pratiques à ce phénomène.
Produits suspendus à l’importation : Une première évaluation prévue dans trois mois.
La liste des 851 produits suspendus à l’importation sera évaluée dans trois mois, a indiqué hier à Alger le ministre du Commerce, Mohamed Benmeradi. A l’issue d’une audition par la Commission des finances de l’Assemblée populaire nationale (APN) sur le projet de règlement budgétaire 2015, le ministre a été interrogé par la presse si une révision de cette liste des produits va être éventuellement opérée. A ce propos, le ministre a répondu qu’une première évaluation de cette liste interviendrait dans 3 mois, ajoutant que le nombre des produits de cette liste pourrait être augmentée comme elle pourrait être réduite selon les résultats de cette évaluation. Pour rappel, le décret exécutif portant désignation des marchandises soumises au régime des restrictions à l’importation a été publié au Journal officiel no 1 de l’année 2018. Ce texte législatif note que les produits concernés « sont temporairement suspendus à l’importation jusqu’au rétablissement de l’équilibre de la balance des paiements ». Au nombre de 851, ces marchandises relèvent de 45 catégories de marchandises.
Des soldats turcs pénètrent dans la région d’Afrin : Erdogan » envahit » la Syrie.
Des soldats turcs sont entrés ce dimanche dans la région d’Afrin, dans le nord de la Syrie, au deuxième jour d’une vaste offensive contre une milice kurde considérée comme » terroriste » par Ankara, a affirmé le Premier ministre Binali Yildirim. La France demande à la Turquie d’arrêter ses opérations. Cité par l’agence de presse Dogan, M. Yildirim a déclaré que des militaires turcs étaient entrés à 11h05 (8h05 TU) dans la région d’Afrin, contrôlée par les Unités de protection du peuple (YPG), depuis le village frontalier de Gülbaba situé dans la province de Kilis. Selon l’agence de presse étatique Anadolu, les soldats turcs progressent dans la région d’Afrin en compagnie de combattants syriens formés par Ankara. Ni le nombre de combattants, ni leurs objectifs n’étaient connus dans l’immédiat. » L’opération Rameau d’olivier se déroule comme prévu, l’offensive terrestre a commencé « , a indiqué l’armée turque dans un communiqué. De son côté, le président turc Recep Tayyip Erdogan a dit espérer dimanche que l’offensive lancée par Ankara dans le nord de la Syrie contre une milice kurde serait terminée » en très peu de temps « . L’armée turque a lancé samedi une vaste opération dans la région d’Afrin, multipliant les frappes aériennes et les bombardements d’artillerie contre les positions des YPG, une milice kurde soutenue par Washington. M. Yildirim a indiqué que l’objectif de l’opération, baptisée » Rameau d’olivier « , était d’établir une » zone de sécurité » d’une profondeur de 30 km à partir de la frontière. La Turquie accuse les YPG d’être la branche en Syrie du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), une organisation classée » terroriste » par Ankara et ses alliés occidentaux qui mène une sanglante guérilla sur le sol turc depuis 1984. Mais les YPG sont aussi l’épine dorsale des Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance de combattants kurdes et arabes soutenue par les Etats-Unis pour combattre le groupe Etat islamique dans le nord de la Syrie. La ministre française des Armées, Florence Parly, a appelé, dimanche, la Turquie à cesser ses opérations contre les Kurdes syriens, estimant que cela ne pouvait que nuire au combat contre le groupe Etat islamique. » Ces combats (..) doivent être arrêtés « , a-t-elle déclaré sur la chaîne de télévision France 3. Ils pourraient » détourner les forces combattantes kurdes, qui sont au côté et très engagées au sein de la coalition à laquelle la France appartient, du combat primordial (contre le terrorisme) « , a-t-elle ajouté. Pour le président syrien Bachar el-Assad, » l’agression turque brutale sur la ville syrienne d’Afrin est indissociable de la politique du régime turc depuis le premier jour de la crise syrienne, une politique essentiellement fondée sur le soutien au terrorisme et aux organisations terroristes, quelles qu’elles soient « .
Attaque terroriste de Kaboul : Le bilan est passé à 22 morts.
Au moins 22 corps ont été retirés du grand hôtel Intercontinental de Kaboul attaqué ce week-end par des Talibans, dont » certains calcinés » sont difficiles à identifier, selon un nouveau bilan du ministère de la Santé diffusé hier matin. « Vingt-deux corps ont été emmenés dans les hôpitaux, notamment pour pouvoir être identifiés. Certains de ces corps sont tellement calcinés qu’il faudra des tests ADN pour les reconnaître », a indiqué le porteparole du ministère, Wahid Majroh. Les talibans ont revendiqué cette attaque, affirmant avoir tué « des dizaines d’étrangers ». Un précédent bilan faisait état de 12morts et 14 étrangers et quatre Afghans ont été tués », a déclaré le porte-parole, Najib Danish, à la chaîne Tolo news, sans préciser les nationalités. L’attentat, qui a duré une douzaine d’heures, a été revendiqué par les talibans. Le ministère de l’Intérieur Nasrat Rahimi a ajouté que « le commando a fait usage de pistolets, de kalashnikov et de grenades et l’un d’eux portait une veste d’explosifs ». La plupart des victimes ont été tuées par armes à feu mais d’autres ont péri dans l’incendie déclenché au quatrième étage par le commando de six hommes après le début de l’attaque. L’attaque d’un hôtel de luxe de Kaboul a pris fin dimanche matin après douze heures de résistance de la part du commando armé qui avait fait irruption samedi soir en tirant à vue sur les clients et le personnel. Un commando s’était introduit dans l’hôtel peu après 21H00 (17H30 GMT), déclenchant une explosion avant d’ouvrir le feu au hasard. « Quatorze étrangers et quatre Afghans ont été tués », a déclaré le porte-parole du ministère de l’Intérieur Najib Danish, à la chaîne Tolo news.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Le policier qui a tué Amine Bentounsi d’une balle dans le dos acquitté.
Le 21 avril 2012, une patrouille de police tente d’interpeller Amine Bentounsi, recherché pour n’être pas revenu à la prison où il était incarcéré. Repéré dans le centre de Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis, le jeune homme se fait tirer dessus — dans le dos — et meurt.
Depuis plus de cinq ans, la famille d’Amine Bentounsi demande justice. Le policier risquait jusqu’à vingt ans de réclusion pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. » Lors du procès qui s’est achevé vendredi devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, cinq ans de prison avec sursis et l’interdiction définitive d’exercer avaient été requis contre le policier.
A la surprise générale, le fonctionnaire a finalement été acquitté. La cour d’assises a donné, comme l’expliquait l’avocat général, un « permis de tuer » à la police. Mais face à cette décision étonnante, le Parquet général de la cour d’appel de Paris a fait appel de cet acquittement. Des militants et proche de la victime, qui s’étaient réunis vendredi, scandaient : « Pas de justice, pas de paix. »
Propos racistes, douilles déplacées et sentiment de toute-puissance
Si le policier a toujours affirmé voir tiré pour « défendre (sa) vie », lors du procès, plusieurs éléments sont venus contester la version des faits du policiers. Mis sur écoute par l’IGS, le policier avait en effet estimé que tenter de savoir comment il s’était servi de son arme était « une question à la con. »
Suite à ces écoutes, le président de la cour d’assises avait évoqué « comme un sentiment de toute-puissance », le policier mis en cause s’estimant intouchable car syndicalisé. Le policier assurait par ailleurs que les témoins de la scène « se trompent » et que le jeune homme avait pu se retourner entre le coup de feu et le moment où il a été touché par la balle de son arme.
Sur la scène du crime, des douilles avaient été déplacées par les collègues de l’accusé avant l’arrivée de l’IGS et les écoutes de la police des polices avaient révélé des propos racistes de la part de l’accusé, qui qualifiait Amine de « chiure », alors que son collègue, à l’autre bout du fil, répondait : « C’est tous des bâtards, on leur pisse dessus. »
La sœur d’Amine, Amal Bentounsi, avait fondé le collectif « Urgence notre police assassine » après la mort de son frère.
Chez L’Oréal, on ne badine pas avec Israël.
« Israël est un sinistre Etat », « Israël est un Etat illégal », « Assassin d’enfants »… Postés sur Twitter en 2014, les messages d’Amena Khan — qui venait d’être choisie pour une campagne de shampoings par L’Oréal — ont été supprimés l’un après l’autre et le mannequin a décidé de se retirer de la campagne. « Les conversations actuelles qui l’entourent nuisent au sentiment positif et inclusif que j’ai décidé de livrer », explique le modèle, une femme britannique.
Accusée d’antisémitisme après avoir critiqué Israël, la jeune femme a supprimé ses messages à l’encontre de l’Etat hébreu et a été obligée, hier, d’affirmer qu’elle « regrette profondément le contenu des tweets. » Après des excuses sur le réseau social, Amena Khan aurait décidé de mettre fin à la polémique, certainement poussée par L’Oréal à se désengager.
L’Oréal, un « ami chaleureux d’Israël »
L’Oréal n’a d’ailleurs pas soutenu son égérie et a simplement affirmé : « Nous apprécions le fait qu’Amena ait présenté ses excuses pour le contenu de ses tweets et pour les réactions qu’ils ont pu susciter. » Le groupe de cosmétiques est régulièrement accusé de collaborer avec l’Etat hébreu. La firme avait offert, il y a quelques années, des produits Garnier à des soldates de l’armée d’occupation. La campagne de communication de L’Oréal avait été relayée par Stand with us, une organisation pro-israélienne.
L’Oréal a investi plusieurs millions de dollars en Israël et créé notamment une unité de production à Migdal Ha’Emek, une ville établie en 1952 sur des terres appartenant au village palestinien d’Al Mujaydil. Le lobby pro-israélien Anti Defamation League avait alors exprimé son soutien à la marque, devenue selon lui, « un ami chaleureux de l’Etat d’Israël. »
Les relations entre Israël et L’Oréal étant au beau fixe, il n’était donc pas question pour la nouvelle égérie de la marque de rester en place. L’accusation d’antisémitisme aura eu raison d’Amena Khan, d’autant que, depuis une semaine, la campagne de publicité avait provoqué un tollé, en Grande-Bretagne, pays où la publicité avait été diffusée, mais aussi à l’étranger, où voir une femme voilée promouvoir des produits cosmétiques semblait insupportable.
Marche des femmes : de nombreuses manifestations contre Donald Trump.
Elles étaient des dizaines de milliers. Samedi, des femmes américaines — mais également des hommes — ont, pour la seconde fois après janvier 2017, défilé dans les rues de plusieurs villes américaines — New York, Los Angeles ou encore Washington — pour la Marche des femmes. Une manifestation qui concorde avec l’anniversaire de l’investiture de Donald Trump. Dans plus de 250 villes aux Etats-Unis mais aussi à travers le monde, les femmes ont voulu défendre leurs droits et dire qu’elles s’opposaient à Donald Trump.
Après la naissance sur les réseaux sociaux du mouvement #Metoo, cette deuxième Marche des femmes avait quelque chose de particulier. Toutes ont voulu dénoncer le racisme et le sexisme de Donald Trump. Plusieurs stars étaient présentes, comme Natalie Portman à Los Angeles, qui a indiqué que « la révolution est en marche ! »
Si Donald Trump a tenté, avec une note d’humour, de dire que les femmes défilaient pour « célébrer les réussites historiques, les succès économiques sans précédent et les créations de richesses de ces douze derniers mois », l’heure était bien à la contestation. N’en déplaise au président américain qui se félicite d’enregistrer le « plus faible taux de chômage pour les femmes depuis 18 ans. »
Les manifestantes ont exhorté les Américains à se mobiliser dans les bureaux de vote pour envoyer un message fort lors des élections de mi-mandat de novembre prochain. Les Démocrates pourraient bien, à cette occasion, reprendre la majorité au Congrès.
Dans les capitales européennes également, dimanche, les femmes défilaient. A Paris, Berlin ou encore Londres, les manifestantes ont délivré le même message qu’aux Etats-Unis un jour plus tôt.
Palestine, Rohingyas : le virage diplomatique gagnant de l’Indonésie.
En mars 2016, lors du 5e sommet de l’Organisation de coopération islamique (OCI), le président indonésien appelait les pays musulmans à accroitre leur soutien à la Palestine. Joko Widodo — surnommé « Jokowi » à Jakarta — estimait alors que « si l’OCI ne parvient pas à faire partie de la solution en Palestine, elle deviendra dès lors inutile. »
Début janvier, le ministre indonésien des Affaires étrangères, Retno Marsudi, a estimé que son pays devait avoir un rôle de plus en plus important dans la résolution des problèmes du monde musulman. L’Indonésie ambitionne de devenir le porte-voix du monde musulman et de devancer ainsi les pays du Moyen-Orient dans ce rôle.
Une stratégie logique : l’Indonésie abrite la plus grande population musulmane du monde. Mais jusque là, le pays ne se faisait que peu entendre sur la scène internationale. En élevant la voix contre la persécution des Rohingyas au Myanmar ou contre celle des Palestiniens en Israël, Jakarta se positionne donc en leader.
Un repositionnement gagnant à l’international, mais également au niveau local. En prenant le leadership concernant les persécutions à l’encontre des musulmans, le président indonésien veut séduire l’électorat musulman. Si le pays asiatique est laïque, il connaît depuis quelques années une montée du conservatisme islamique.
L’Indonésie a été parmi les premiers pays à critiquer le « nouveau cycle de violences » qui a touché les Rohingyas, en août dernier. Son ministre des Affaires étrangères a été dépêché au Myanmar pour tenter d’entamer une médiation avec Aung San Suu Kyi. Plus récemment, lorsque Donald Trump a annoncé que Jérusalem était la capitale d’Israël, le président Widodo a été l’un des plus rapides à condamner fermement l’initiative américaine. C’est à son initiative que s’est alors tenue, en Turquie, une réunion extraordinaire de l’Organisation de coopération islamique.
Lors de son discours de la nouvelle année, le ministère des Affaires étrangères a assuré que « la Palestine est au coeur de la politique étrangère indonésienne » et a appelé « à nouveau les pays du monde entier à continuer à apporter leur soutien à la Palestine. » En 2018, le pays asiatique continuera à ne pas taxer les importations de produits palestiniens. De plus, cette année, l’Indonésie assure qu’elle apportera un soutien économique et humanitaire aux Rohingyas.
Au niveau international, l’Indonésie espère que ce virage diplomatique sera jugé à sa juste valeur. Retno Marsudi a d’ailleurs demandé aux pays de soutenir la candidature de son pays à un siège non permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies en 2019. L’Indonésie veut augmenter sa présence dans les différentes organisations internationales.
La mosquée de Clermont-Ferrand se cherche un président.
Depuis plusieurs années, les dirigeants de la mosquée de Clermont-Ferrand sont accusés par leurs fidèles d’avoir détourné de l’argent, après que les Clermontois ont découvert des irrégularités dans les comptes. Au cœur du scandale, une Société civile immobilière (SCI) qui gère, de façon pour le moins opaque, les murs de la mosquée de Clermont-Ferrand. L’affaire remonte à 2013 : l’association La Grande mosquée de Clermont et d’Auvergne, qui gère le lieu de culte, se demande où en est le projet de bâtiment réservé à des activités culturelles. De nombreux dons ont été faits pour la construction de ce lieu, pourtant au point mort. Près de 1,2 million d’euros de dons auraient été récoltés alors que le prix des travaux réalisés à l’époque s’élevait à 200 000 euros. Karim Djermani, le secrétaire général de la mosquée, et Hocine Mahdjoub, l’imam-président, refusent toute accusation.
« Nous, nous avons demandé un président qui soit de Clermont-Ferrand »
Mais il y a trois mois, la mort de l’imam rebat les cartes. La semaine dernière, le secrétaire général de l’association invite les membres à participer à une assemblée générale extraordinaire pour « l’accueil » et la « nomination » du nouveau président. Problème : personne n’a donné l’aval à une quelconque candidature et plusieurs membres n’ont jamais reçu la convocation. Mohamed Messoussa s’en étonne et demande à ce que la réunion soit ouverte aux fidèles. « Les statuts de l’association indiquaient que, en cas de décès, la présidence reviendrait à un héritier de l’imam », s’étonne le fidèle clermontois qui voit d’un mauvais œil le fils de Hocine Mahdjoub prendre la tête de l’association. Devant la colère des fidèles, Karim Djermani propose un président venu d’Algérie. « Nous, nous avons demandé un président qui soit de Clermont-Ferrand », indique Mohamed Messoussa.
Les fidèles de la mosquée trouvent porte close.
Finalement, l’assemblée extraordinaire n’aura jamais eu lieu, annulée et reportée. « Tous les fidèles sont venus, mais Karim Djermani a fermé la mosquée, il a eu peur que les fidèles rentrent dans le lieu de culte », résume Mohamed Messoussa, également membre du bureau de l’association, qui ajoute que le responsable de l’association a empêché les Clermontois de faire la prière du matin. Un peu plus tôt, le secrétaire général avait envoyé un second courrier pour annoncer l’annulation de la réunion à laquelle devait également participer un huissier de justice, une habitude prise par les fidèles pour parer à tout problème. Dans sa missive, Karim Djermani décrit ses opposants comme des « agitateurs (qui) ne reculent devant rien pour imposer d’autres règles. » Il écrit également que « ces individus n’ont qu’un objectif, créer les conditions du sacrilège et du trouble à l’ordre public. »
Palestine : Prostitution et chantage : comment des colons rachètent des logements à Jérusalem-Est.
Prostitution, chantage, évasion fiscale… Les méthodes de l’organisation d’extrême droite Ateret Kohanim sont bien rodées, comme l’explique le journal israélien Haaretz, qui s’est procuré de nombreux enregistrements qui prouvent l’utilisation de méthodes peu convenables de la part de l’organisation qui a pour objectif la construction du Troisième Temple qui remplacerait la mosquée du dôme du Rocher, à Jérusalem-Est.
Parmi les méthodes citées, la prostitution : à un propriétaire palestinien, par exemple, un membre d’Ateret Kohanim propose par exemple une fille et du Viagra. Cela se passe dans les années 1990. Le responsable de l’organisation, Matityahou Dan, explique dans l’enregistrement que la fin justifie les moyens et que, du moment qu’il ne s’agit pas de jeune filles juives, la prostitution est une méthode comme une autre.
D’autres enregistrements confirment que le directeur de l’organisation fait chanter certains propriétaires en les menaçant de les livrer à la vindicte populaire en leur accolant l’étiquette d’« agent des juifs. » Parfois, après des négociations à des prix élevés, Ateret Kohanim menace de révéler l’accord pour faire baisser la vente.
Des liens étroits avec le maire de Jérusalem
Outre ces méthodes, l’organisation d’extrême droite a enregistré de nombreuses transactions dans des paradis fiscaux. Une évasion fiscale orchestrée avec des personnalités politiques de premier plan, comme le Patriarcat grec orthodoxe ou le maire de Jérusalem, Nir Barkat, avec lequel Ateret Kohanim a des liens très étroits. Ateret Kohanim possèderait, selon le journal israélien, une dizaine de sociétés écrans dans des paradis fiscaux, dont les îles vierges.
Enfin, l’organisation d’ultra-droite n’hésite pas à mettre la pression sur les familles palestiniennes endettées ou dont un membre serait malade. Sur un autre enregistrement, on entend même Dan faire croire aux enfants d’un propriétaire que leur père est mort, pour espérer racheter leur logement.
Conséquence : l’organisation Ateret Kohanim dispose aujourd’hui de nombreux immeubles palestiniens — un millier d’habitants juifs seraient liés à Ateret Kohanim, selon Haaretz — dont on ne se demande plus comment elle en a fait l’acquisition.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Lettre ouverte de 100 cinéastes au FIPA.
Nous recevons à l’instant cette LETTRE OUVERTE DE 100 CINÉASTES AU FIPA :
Le FIPA (Festival International des programmes audiovisuel) qui se tient à Biarritz du 23 au 28 janvier 2018, a choisi de faire un “Focus sur Israël”.
Des cinéastes internationaux, et des professionnel-e-s de l’audiovisuel, adressent cette lettre ouverte à la direction du Festival, pour protester contre le choix du FIPA de s’associer avec le gouvernement israélien, alors qu’il intensifie l’occupation, la colonisation et le nettoyage ethnique du peuple palestinien, tandis que le point de vue palestinien est totalement occulté.
Parmi les 100 premiers signataires : Ken Loach, Mike Leigh, Aki Kaurismaki, Rebecca O’Brien, Maï Masri, Elia Suleiman, Najwa Najjar, Avi Mograbi, Yousri Nasrallah, Anne-Marie Jacir, Michel Khleifi, Serge Lalou, Peter Kosminsky…
Lettre ouverte de cinéastes et professionnel-le-s de l’audiovisuel au FIPA (Festival International des programmes audiovisuel) à propos du « Focus sur Israël » :
« Nous, cinéastes et professionnel-le-s de l’audiovisuel, souhaitons exprimer notre profonde préoccupation devant le fait que le festival FIPA, par son initiative « Focus sur Israël », choisisse de s’associer avec le gouvernement israélien et l’Ambassade d’Israël, alors que ce pays non seulement poursuit, mais intensifie l’occupation, la colonisation et le nettoyage ethnique du peuple palestinien. Ceci depuis maintenant de trop nombreuses années, alors que le point de vue palestinien est totalement occulté.
Nous nous interrogeons sur cette décision du FIPA de promouvoir l’Etat d’Israël, alors que l’on s’apprête à commémorer cette année les 70 ans de l’expulsion du peuple palestinien de ses terres.
Le « Focus sur Israël » au FIPA, qui choisit d’ignorer cette histoire, se déroule au moment même où Israël promulgue des lois racistes, accélère l’expulsion et la confiscation des terres des Palestiniens sous occupation et entrave la liberté de parole des citoyens arabes d’Israël.
Quel message signifie ce partenariat officiel avec Israël qui au mépris du droit international et contre la quasi-totalité des chancelleries -dont la France- veut l’annexion intégrale de Jérusalem pour en faire sa capitale ?
Quel message signifie ce partenariat officiel quand des dizaines d’enfants comme la jeune Ahed Al Tamimi sont incarcéré-e-s dans les prisons militaires et quand des centaines de Palestinien-ne-s sont emprisonnés sans jugements depuis des années pour certains ?
La décision du FIPA s’inscrit également dans la collaboration avec le gouvernement le plus raciste et le plus à l’extrême-droite de l’histoire d’Israël. Gouvernement qui considère la promotion de la créativité d’Israël à l’étranger comme un outil de propagande central de sa politique. Ou, pour le dire avec les mots du Directeur général du ministère israélien des Affaires étrangères en charge de la promotion culturelle, Nissim Ben Chetrit, qui « utilise les productions culturelles israéliennes pour atteindre les objectifs politiques de l’État d’Israël. Ce même Nissim Ben Chetrit qui « considère la culture comme un outil de premier ordre pour la hasbara (propagande). En ce qui me concerne je ne fais aucune de différence entre la hasbara et la culture.”
Au regard de l’agressivité actuelle d’Israël dans ses attaques contre les civils palestiniens et leurs infrastructures, justifiées par ce même ministère des Affaires étrangères que vous avez choisi pour être le partenaire de votre festival, nous vous demandons, organisateurs du FIPA, de reconsidérer votre relation avec le gouvernement d’Israël, et de retirer votre partenariat avec le ministère israélien des Affaires étrangères et l’Ambassade d’Israël en France.
Choisir de faire un focus sur Israël en collaboration avec un tel gouvernement ne peut être considéré comme une position neutre. C’est un soutien, voire une complicité.
Si l’idée est de soutenir des réalisateurs israéliens ou de projeter des productions israéliennes, il y a d’autres façons de le faire que de traiter avec un Etat qui se place hors du droit et des conventions internationales.
Nous vous adressons cette demande par considération envers les cinéastes palestiniennes qui ont perdu la vie ou des êtres chers dans les attaques militaires israéliennes.
Nous vous l’adressons en tenant compte des nombreux centres culturels, institutions artistiques et universités attaqués et détruits par les forces d’occupation israéliennes.
Nous vous l’adressons parce que nous sommes solidaires avec ceux qui sont assiégés, occupés, emprisonnés.
Nous espérons que nos collègues et amis du Festival FIPA se joindront à nous. »
LES 100 PREMIÈRES SIGNATURES : cet appel est initié, mardi 23 janvier 2018, par 100 cinéastes et professionnels de l’audiovisuel, de plusieurs pays. Nous appelons à amplifier le mouvement et à signer sur http://unelettreouverte.wesign.it/fr, en précisant dans l’ordre : NOM, Prénom, Profession et Pays.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Grève générale en Cisjordanie : Pence n’est pas le bienvenu
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Toutes les villes et les localités de la Cisjordanie ont décrété ce matin la grève générale et ce pour protester contre la visite du vice-président américain Mike Pence aux territoires occupés.
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42 colons envahissent la mosquée d’al-Aqsa
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L’occupation renouvelle la détention administrative du leader Khaled al-Hajj
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Les forces d’occupation arrêtent deux enfants dans le camp de réfugiés d’Aida à Bethléem
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L’occupation blesse deux jeunes palestiniens au poste de contrôle de Za’tara
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Les meurtriers d’Abu Khudair admettent l’avoir torturé
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Amnesty International appelle à la libération immédiate d’Ahed al-Tamimi
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L’occupation arrête le Cheikh Kamal al-Khatib à son domicile
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Abou Marzouk: La visite de Pence est un message pour imposer des faits accomplis
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Des israéliens déguisés arrêtent des écoliers au nord de Ramallah
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La Slovénie est prête à reconnaître l’État de Palestine
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Le discours de Pence à la Knesset interrompu par des députés arabes
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8 Palestiniens arrêtés dont des ex-prisonniers libérés
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Les Philippines expulsent un scientifique irakien accusé d’avoir des liens avec le Hamas
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Une jeune palestinienne renversée par une israélienne au nord d’Hébron
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Abbas appelle l’UE à reconnaître la Palestine comme Etat indépendant
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 6 Joumada al Awwal 1439.

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AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Financement de la campagne de Sarkozy par Kadhafi, deux journalistes dévoilent les dessous de l’affaire.
En mars 2012, l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy s’offusquait lorsque les accusations d’un financement de sa campagne présidentielle par le colonel Mouammar Kadhafi se faisaient insistantes.
« C’est grotesque » répondait-il à ceux qui osaient l’accuser ouvertement, allant même jusqu’à ironiser sur la fin tragique du colonel Libyen.
S’il l’avait financée (la campagne ndlr), je n’aurais pas été très reconnaissant.
Disait-il, faisant allusion à l’intervention française en Libye dont il est l’instigateur et qui a précipité la fin du Guide libyen..
Une affaire étouffée pendant des années qui resurgit grâce aux journalistes de Mediapart Fabrice Arfi et Karl Laske. Dans leur ouvrage intitulé « Avec les compliments du Guide » (Fayard), les auteurs ont reconstitué avec une précision de métronome le déroulé de l’affaire. Durant six longues années, Arfi et Laske vont accumuler les preuves qui ne laissent guère de doute sur l’aide financière du guide de la révolution à la campagne de Sarkosy, rapporte le journal Libération.
Alors candidat UMP en 2007, Sarkosy est en pleine campagne présidentielle et selon le témoignage de Ziad Takieddine qui a servi d’intermédiaire, il affirme avoir transporté des valises bourrées de billets de Tripoli au ministère français de l’Intérieur, peu avant la présidentielle. Une méthode dont use régulièrement le colonel libyen, très généreux avec ses alliés.
Le lynchage ou l’exécution de Mouammar Kadhafi en août 2011 a mis un terme aux suspicions, et les nombreux témoins de l’affaire ont eux-mêmes connu une fin tragique ou sont en fuite, bref une aubaine pour l’ancien président français.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Pays-Bas : une poupée décapitée et en sang retrouvée devant une mosquée.
Une poupée décapitée et imbibée d’un liquide rouge imitant le sang a été retrouvée, jeudi 18 janvier, devant une mosquée de la capitale hollandaise Amsterdam. La police, qui a retenu la piste d’un acte islamophobe, a retrouvé une note dans laquelle les auteurs dénoncent une prétendue « islamisation » des Pays-Bas.
« L’islam est inextricablement lié aux décapitations brutales. L’islamisation doit s’arrêter. Non à la méga-mosquée du Diyanet (la présidence turque des Affaires Religieuses, ndlr) au nord d’Amsterdam, qui est connectée au dictateur Erdogan », est-il écrit dans la note citée par Al Jazeera. L’acte a été revendiqué par un groupuscule d’extrême droite qui a fièrement publié des photos de la poupée et la note sur Twitter.
La mosquée visée a dénoncé « un acte lâche et répugnant » mais refuse d’être « intimidée » et appelle les musulmans à demeurer calme tout en souhaitant l’arrestation prochaine des auteurs de l’acte. Celui-ci a été commis en réponse à l’annonce récente de la construction d’une nouvelle mosquée dans le nord de la ville.

Sur oumma.com, voici les titres.

L’islam en Corée du Sud : une présence encore minoritaire, mais croissante depuis 1965.
Alors que la Corée du Sud s’apprête à vibrer au rythme des jeux Olympiques d’hiver, du 9 au 25 février prochain, il est intéressant de se pencher sur le rayonnement de l’islam dans cette contrée d’Asie de l’Est, encore timide, bien que gagnant en puissance au fil des décennies.
Dans ce pays de 51 millions d’habitants, où les deux religions dominantes sont le christianisme (31,6% de la population, se partageant entre 7,6 % de catholiques et 24% de protestants) et le bouddhisme (24,2% des croyants), la religion musulmane, connue pour réchauffer les cœurs jusqu’en Chine, ne brille pas par une présence éclatante mais poursuit sa percée, passant de 3 700 fidèles en 1965 (année de la création de la Fédération musulmane de Corée), à plus de 200 000 en 2015.
Sa faible présence, comparativement aux deux religions prédominantes, n’empêche pas que l’islam ait un fort ancrage à Séoul,en raison de l’augmentation sensible du nombre d’ouvriers musulmans immigrés, en provenance notamment du Bangladesh et d’Ouzbékistan, et de la hausse non négligeable des conversions chez les Sud-Coréens.
Si la Grande Mosquée de Séoul offre un majestueux témoignage de la présence musulmane en Corée du Sud, on ne dénombre que 8 mosquées en tout et pour tout sur le territoire national, tandis que près de 30 000 églises protestantes ont fleuri dans le paysage en l’espace d’un siècle, preuve de l’essor spectaculaire du protestantisme depuis son incursion à la fin des années 1880, à travers des missionnaires occidentaux, parmi lesquels figuraient des médecins. Il est à noter que les catholiques, persécutés pendant plus d’un siècle, n’ont cessé de voir leurs rangs s’élargir au cours de ces trente dernières années.
Loin d’être éradiqué, le fléau de l’islamophobie, qui se propage comme une traînée de poudre à chaque attentat sanglant perpétré par Daech ou les autres forces du mal se réclamant d’un islam gravement perverti, sévit également en Corée du Sud, sous l’impulsion de groupes chrétiens, sciemment alarmistes, qui diabolisent les musulmans et le halal, poussant des cris d’orfraie qui résonnent familièrement à nos oreilles : ils crient, eux aussi, à « l’islamisation » du pays !
En dépit de ce racisme anti-musulmans prégnant, les autorités coréennes ont décidé de miser sur la niche économique du Halal à Iksan, une petite localité située à l’ouest de la 12ème puissance économique mondiale, au risque de provoquer l’ire de la population chrétienne, cherchant à séduire un nouveau cœur de cible prioritaire : les touristes musulmans.
Cette nouvelle stratégie de développement a été mûrement réfléchie après que la Chine, furieuse, a interdit les voyages de groupe en Corée du Sud, ne digérant pas que le système antimissile américain Thaad ait été déployé localement. Face au manque à gagner qui en a découlé, la Corée du Sud a alors intensifié ses efforts pour développer son industrie du tourisme, en espérant attirer tout particulièrement les visiteurs, au fort pouvoir d’achat, issus d’Indonésie, de Malaisie et du Moyen-Orient.
Petit à petit, l’islam fait son nid en Corée du Sud, même si pour nombre d’observateurs nationaux, il soit fort improbable qu’il imprègne aussi largement et profondément le pays que ne l’a fait le christianisme. Parmi les raisons invoquées pour justifier ce point de vue, le fait que la consommation de porc et d’alcool, formellement proscrite par la religion musulmane, fasse partie intégrante de la culture sud-coréenne est souvent avancé.
L’avenir dira si l’islam réussira à transpercer l’épais rideau des préjugés pour se faire une place grandissante, et non minoritaire, dans le cœur des Sud-Coréens.
Palestine : Reportage de sur le chaine de télévision France 2 sur Ahed Tamimi.
reportage a voir sur oumma.com.
Un célèbre prédicateur saoudien se prononce en faveur du mariage monogame.
En Arabie saoudite, il n’est pas donné à tout le monde d’avoir une polygamie sereine et épanouie et, conformément aux prescriptions coraniques, de faire preuve d’une parfaite équité envers ses épouses, au point que cela semble relever de la gageure aux yeux d’un éminent prédicateur du royaume.
Mariage monogame, mariage heureux ? En tout cas, plus facile à gérer, cela ne fait pas l’ombre d’un doute pour le célèbre Dr. A’ed al-Qarni, qui s’en est fait récemment le chantre au cours d’une émission de télévision très regardée. Celui-ci a en effet appelé les Saoudiens à « se satisfaire d’une seule femme », dans le cadre d’une union sans nuages ou paraissant moins exposée au risque de leur amoncellement…
« Je conseille aux hommes de se contenter d’une seule femme. Toutefois, si un homme souhaite s’unir à d’autres femmes, alors que Dieu l’aide. Mais ça ne vaut pas les tracas qui vont lui rendre la vie difficile, à lui et à ses épouses », a-t-il vivement recommandé, en rappelant que sa mission première consiste à interpréter les versets du Coran afin de contribuer à faciliter l’existence de ses coreligionnaires.
Ironie du sort, ce prédicateur saoudien, dont les précieux conseils sont écoutés religieusement, est lui-même polygame… Faut-il en déduire que c’est du vécu ?!
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Moina Shaiq, ambassadrice d’un islam «lambda» à Seattle.
Depuis 2015, Moina Shaiq, une citoyenne américaine, organise des rencontres autour d’un café pour parler islam, répondre aux questions de ses compatriotes et redorer le blason d’une religion fréquemment associée médiatiquement à toutes sortes d’événements politiques négatifs. Une initiative qui a fait des émules.
« Meet a muslim » (rencontrez un musulman, ndlr). L’annonce peut sembler bizarre à première vue. Mais dans le contexte post-attentat de San Bernardino, en 2015, il prend tout son sens pour Moina Shaiq. Cette Américaine s’est lancée dans une initiative personnelle pour mieux informer ses compatriotes, quotidiennement désinformés sur l’islam via d’innombrables amalgames faits autour du terrorisme, du sexisme et de la violence. La première fois qu’elle se jeta à l’eau, elle ne croyait pas trouver une seule personne qui répondrait à cette annonce. En se rendant à son rendez-vous avec son ordinateur portable, une centaine de personnes pourtant l’attendait. «Cela m’a montré à quel point les gens peuvent vous tendre la main», confia-t-elle au Seattle Times. A l’Indo Cafe, au nord de Seattle, Moina a rencontré plus de 20 personnes venues lui poser toutes sortes de questions sur l’islam. L’événement «Meet a Muslim» a été l’un des trois événements organisés par Crooked Trails, une ONG axée sur les échanges culturels. « Vous ne pouvez pas connaître un pays si vous ne connaissez pas les gens », a déclaré sa directrice générale Christine Mackay, qui s’est souvenu de « Meet a muslim » après les élections de 2016. Il a fallu plus d’un an pour organiser l’événement à Seattle. « Je voyage dans le monde depuis 40 ans », a-t-elle dit, « et je ne connais pas grand-chose à la religion musulmane ». Samedi dernier, Shaiq était à l’Association musulmane de la mosquée de Puget Sound, où les gens étaient invités à « connaître la vérité » sur l’islam et ses pratiquants, discussions agrémentées de plats typiques malaisiens.
« Un type a dit qu’il me trancherait la gorge si je l’offensais ».
L’événement Indo Cafe a également été parrainé par Project Feast, une organisation à but non lucratif dirigée par Veena Presad, qui aide les réfugiés et les migrants à réussir dans l’industrie alimentaire. « La cuisine devient le moyen pour les réfugiés d’avoir des échanges interculturels », a expliqué M. Presad.
A chaque nouvelle rencontre, Shaiq raconte son histoire. Née au Pakistan, elle est venue aux États-Unis en 1978 pour épouser son mari, un universitaire. Ils ont élevé trois enfants à Fremont, en Californie, où vit encore Moina. Chaque semaine, elle intervient dans des églises, des écoles et des maisons privées, de la Californie au Massachusetts, expliquant les différences entre sunnites et chiites, les droits des femmes dans l’Islam, les cinq piliers de l’islam, etc. « Oui, c’est une religion patriarcale, a-t-elle dit, mais en tant que musulmane, une femme n’est pas obligée de travailler. Si elle le fait, elle peut garder son propre argent », dit-elle, ajoutant : « Qui n’aimerait pas ça? ». Moina Shaiq évoque souvent ce que c’est que d’être un musulman américain depuis le 11 septembre. « La plupart des gens sont bons », a déclaré Shaiq. « Mais depuis les élections, certains sont devenus plus agressifs. Ils n’ont pas peur. Un type a dit qu’il me trancherait la gorge si je l’offensais ». Les questions varient souvent. Comment les femmes musulmanes portant des hijabs, et qui assistent à des cours de spinning en salle de gym, supportent-elles la chaleur ? « L’air est conditionné », a répondu Moina Shaiq, un sourire aux lèvres.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Recul du déficit du commerce extérieur de plus de 34% en 2017 : Les premiers fruits de l’austérité.
Le déficit commercial de l’Algérie a reculé à 11,19 milliards de dollars à la fin 2017 contre un déficit de 17,06 milliards de dollars en 2016, soit une baisse de 34,4%, a appris l’APS auprès des Douanes. Les exportations ont nettement augmenté à 34,76 milliards de dollars (mds usd) en 2017 contre 30,02 mds usd en 2016 (+15,8%), selon les données du Centre national de l’Informatique et des Statistiques des Douanes (Cnis). Concernant les importations, elles ont baissé à 45,95 mds usd contre 47,09 mds usd, en diminution de 2,4%, précise la même source. Quant au taux de couverture des importations par les exportations, il est passé à 76% en 2017 contre 64% en 2016. Les hydrocarbures ont continué de représenter l’essentiel des ventes algériennes à l’étranger en 2017 (94,54% du volume global des exportations) en s’établissant à 32,86 mds usd contre 28,22 mds usd, soit une hausse de 4,64 mds usd correspondant à une augmentation de 16,45% par rapport à l’année 2016, dans le sillage d’un redressement des cours mondiaux de pétrole. Demeurant toujours marginales, les exportations hors hydrocarbures se sont établies à 1,89 mds usd, soit une hausse de 5,21% par rapport à l’année 2016. Les exportations hors hydrocarbures sont composées des demi-produits avec 1,38 mds usd (contre 1,32 mds usd), des biens alimentaires avec 348 millions usd (contre 327 millions usd), des biens d’équipements industriels avec 74 millions usd (contre 54 millions usd), des produits bruts avec 73 millions usd (contre 84 millions usd) et des biens de consommation non alimentaires avec 20 millions usd (contre 19 millions usd).
IL LUI A RETIRÉ LA DÉLÉGATION DE GESTION DES CHAMPIONNATS DE LA LFP : ZETCHI TACLE SÉVÈREMENT KERBADJ.
Si le courant n’est jamais passé entre les deux hommes, il faut dire que la chute du désormais ancien homme fort de la LFP signe définitivement la fin du règne de Raouraoua. Reste à savoir si le foot algérien va s’en porter mieux ou si, au contraire, il va poursuivre son inexorable descente aux enfers.
Par Rafik Bakhtini et Agences :
La Fédération algérienne de football (FAF) a annoncé hier sa décision de retirer la délégation de gestion des championnats de football professionnel au Conseil administration de la Ligue de football professionnel (LFP). « Mise en application avec effet immédiat, des dispositions de la convention relative aux relations FAF et LFP en procédant au retrait de la délégation de gestion des championnats de football professionnel au Conseil administration de la LFP », écrit la FAF sur son compte officiel sur Twitter. La décision a été prise lors de la réunion du Bureau fédéral de la FAF qui se tient à l’Ecole nationale des sports olympiques d’El-Baz à Sétif, en présence de 11 membres sur les 13 que compte le Bureau fédéral. « En attendant la tenue d’une assemblée générale élective de la LFP, le BF va charger un directoire de gérer les affaires courantes », précise l’instance fédérale, une décision qui met fin au règne du président de la LFP Mahfoud Kerbadj, élu en juillet 2011. La convention de la délégation a été signée le 4 juillet 2011 entre l’ancien président de la FAF Mohamed Raouraoua, Mahfoud Kerbadj et Ali Malek, président de la Ligue nationale de football (LNFA) pour la gestion des deux championnats amateur et professionnel. Il est vrai que les choses se sont compliquées d’avantage ces derniers jours avec l’affaire des clubs endettés. Si la FAF avait pris la décision de sanctionner tous club dont les dettes ne baisseraient pas sous la barre du milliard de centimes, à la date du 15 janvier, la LFP a adoptée une attitude plus conciliante en accordant un sursis (jusqu’à la fin du mois). Reste à savoir maintenant si la Faf a la latitude de provoquer une AG élective de la LFP. Kerbadj est élu par les membres de l’AG de l’instance qu’il dirige. Eux seuls peuvent le débarquer. Si ces derniers réagissent, le conflit pourrait perdurer encore pour quelques temps.
Révision de la loi sur les hydrocarbures : Laisser le temps au… temps.
La révision de la loi sur les hydrocarbures est un dossier « lourd » qui demande « beaucoup de temps et d’expertise », a indiqué à l’APS le P-dg de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour. « La révision de la loi sur les hydrocarbures est un « dossier lourd et il faut prendre le temps de bien le faire. Cette révision de la loi demande beaucoup de temps, d’attention et d’expertise. Il faut qu’on cherche des gens qui connaissent bien le domaine et il ne faut pas qu’on se trompe encore une fois », affirme M. Ould Kaddour. Il ajoute, dans ce cadre, que « Sonatrach est une partie prenante de la révision de la loi sur les hydrocarbures qui est toujours en cours. On est en train d’entendre tout le monde et on travaille ensemble dans le cadre d’un groupe de travail composé de Sonatrach, de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) et du ministère de l’Energie pour pouvoir sortir une nouvelle loi ». S’agissant du délai de la finalisation de ce projet de texte, M. Ould Kaddour considère que « c’est difficile de donner une échéance, mais on espère que cela se fasse avant la fin de l’année 2018 ». A une question sur les aspects qui seront concernés par cette révision, le P-dg répond : « On est en train de revoir le tout et non seulement l’aspect fiscal mais aussi l’aspect légal, contractuel et tous les autres aspects relatifs à la loi ». « Il ne faut pas qu’on sorte avec une loi qui ne fonctionne pas. Il faut que cette fois-ci on fasse une loi qui attire plus d’étrangers et qu’ils puissent travailler », a-t-il avancé. Concernant le projet de réorganisation de Sonatrach qu’il avait annoncé en octobre dernier, il affirme que ce projet est toujours en cours d’élaboration et se fait d’une manière « sérieuse » vu son importance. « Maintenant on veut aller vers le gaz , développer davantage la pétrochimie et importer moins de carburants », souligne-t-il.
Grogne sociale au Maroc : La ville minière de Jerada ne décolère pas.
Vraisemblablement, le calme n’est pas prêt de revenir à Jerada étant donné que la tension reste palpable à chaque coin de rue de la ville.D’ailleurs une nouvelle manifestation a eu lieu samedi suite, au lendemain de l’échec négociations avec une délégation ministérielle venue pour tenter d’apaiser la contestation sociale agitant depuis plus de trois semaines cette ancienne ville minière, ont rapporté des médias. Pour rappel, le mouvement de protestation a été provoqué par la mort accidentelle, fin décembre 2017, de deux frères piégés dans un puits désaffecté où ils cherchaient du charbon. Depuis, des rassemblements pacifiques dénoncent régulièrement « l’abandon » de cette ville sinistrée depuis la fermeture de ses mines en 1998.Samedi, une foule d’hommes et de femmes de tous âges entre 4.000 et 5.000 selon les manifestants, autour de 400 selon les autorités locales, s’est rassemblée pour entendre les compte-rendu des discussions avec les autorités. » On veut une délégation officielle », criaient les manifestants en agitant des drapeaux marocains sur la place centrale de cette ville dominée par un terril et cernée par des installations industrielles désaffectées. « Le peuple veut une alternative économique », explique Mostapha Dainane, un jeune coiffeur de 27 ans très actif dans le mouvement. Vendredi, le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, a rencontré des élus locaux, des représentants syndicaux et une délégation de jeunes protestataires. Il a présenté les « projets structurants » et les « perspectives prometteuses » des développements agricoles en cours dans la région, selon un communiqué diffusé par l’agence de presse officielle marocaine MAP. Sans convaincre, cependant, les protestataires qui se disent « très mécontents » des discussions. Une première délégation ministérielle avait déjà été dépêchée sur place début janvier et un « plan d’urgence » a été présenté par les autorités régionales, sans donner lui non plus satisfaction aux protestataires. Le mouvement de Jerada se présente comme « le +hirak+ des fils du peuple ». Le terme qui signifie « contestation populaire » est le même que celui utilisé dans la région du Rif (nord), agitée par de longs mois de manifestations l’an dernier, avec les mêmes revendications: désenclavement, emploi, services publics opérationnels, répartition plus équitable des richesses. La contestation à Jerada porte sur quatre points majeurs: le règlement des factures d’eau et d’électricité, le traitement de la silicose qui touche des centaines d’anciens mineurs, le développement économique et l’ouverture d’enquêtes contre ceux que les locaux appellent les « barons du charbon ». Quelques notables de la région ont en effet obtenu après la fermeture des mines des permis d’exploitation leur permettant de vendre en toute légalité du charbon extrait des puits désaffectés dans des conditions de sécurité très précaires, selon les protestataires.
Tizi Ouzou : Des souscripteurs Aadl2 dans la rue.
Les souscripteurs Aadl 2013 ont favorablement répondu à l’appel de l’association qui porte leur nom de la wilaya de Tizi Ouzou. Ils étaient nombreux les souscripteurs Aadl 2013 à prendre part au sit-in organisé hier, à la placette du Musée de la ville des genêts pour revendiqué une nouvelle fois l’achèvement de leurs logements. » Respectez vos engagements « , » Où est notre argent « , » Il est où notre logement » » 5 ans barakat » Lit-on sur les banderoles des protestataires venus nombreux pour assister une nouvelle fois au rassemblement. Les protestataires exigent l’achèvement de tous les projets AADL2013 de la wilaya de Tizi Ouzou – la non-augmentation des prix des logements AADL 2013. Selon la présidente de l’association des souscripteurs Aadl 2013 que » la wilaya de Tizi Ouzou a bénéficié de deux quota, le premier quota seul 2 000/ 5700 logements ont été lancés. Tandis que le deuxième quota de 8000 logements, à ce jour aucun projet n’a été lancé faute de financement » De poursuivre » autant que souscripteurs , on interpelle le ministre de l’habitat de se déplacer dans la région pour s’enquérir de l’état des lieux du programme et exiger l’accélération de la cadence des travaux de ce programme Aadl 2013 qui accuse déjà un retard flagrant » et » d’ajouter » on ne veut pas vivre le même scénario que Aadl 2001- 2002. Nous les souscripteurs, on se pose beaucoup de question sur le retard flagrant de ce programme » Qui habitera ces logements, nous les souscripteurs qui vont bénéficié où ce notre progéniture ?. Pour rappel, une action similaire a été organisé en mis novembre dernier.
La grippe saisonnière sévère fait de plus en plus de morts : L’heure est grave.
Pour un nombre d’entre nous, la grippe est une maladie bénigne. Cependant aujourd’hui encore, ces épidémies causent chaque année des milliers de décès. Dans l’Algérie, au niveau de la wilaya d’Oran Cinq cas de grippe sévère ont été enregistrés, dont un provoquant un décès, selon la direction de la santé et de la population (DSP). le chef de service prévention à la DSP, Dr Youcef Boukhari a indiqué » Il s’agit d’une femme de 65 ans atteinte d’une maladie pulmonaire (asthmatique), évacuée dans un état critique au service pneumologie de l’Etablissement universitaire (EHU) 1ernovembre » d’Oran, est décédée jeudi des suites d’une grippe sévère « . Il a signalé que pour les 4 autres cas de grippe sévère (deux femmes et deux hommes âgés), leur état de santé a connu une bonne évolution depuis leur admission dimanche dernier au CHU d’Oran, ils ont quitté jeudi l’hôpital après avoir reçu les soins nécessaires. Selon la même source, la direction de la santé et de la population a reçu une quantité de 2.000 doses supplémentaires de vaccin anti grippal destinées aux malades chroniques et femmes enceintes, rappelant que la campagne de vaccination se poursuit jusqu’au 31 janvier en cours. La wilaya d’Oran a bénéficié, à travers ses établissements de santé publique de proximité et les polycliniques, d’un quota de 61.000 doses de vaccin anti grippal pour cette année (2017-2018), a-t-il souligné, affirmant que l’objectif du programme annuel de lutte contre la grippe saisonnière a été atteint. A noter que le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) avait signalé, la semaine dernière, le décès de neuf personnes des suites de complications liées à la grippe saisonnière. A rappeler, que Dix personnes sont décédées à cause de la grippe saisonnière à travers le territoire national depuis le début de l’hiver et jusqu’au 15 janvier 2018. Sur les dix décès recensés par le ministère, cinq ont été enregistrés à Alger, il s’agit de deux femmes enceintes et trois personnes ne souffrant d’aucune pathologie),et deux autres dans la wilaya de Blida, et trois autres dans les wilayas de Tipaza, Oran et Souk Ahras. D’autre part, Une deuxième personne est morte après des complications dues à la grippe saisonnière. Dans ce sens, la direction de la santé et de la population (DSP) de la wilaya d’Oran a affirmé que cinq cas de grippe sévère, dont un provoquant un décès, avaient été admis, durant cette semaine, aux structures sanitaires de la région. Une population, d’après le ministère, qui devrait se faire vacciner chaque hiver. « Cette vaccination est d’autant plus importante que le pic saisonnier de la grippe n’est pas encore atteint. Le vaccin contre cette maladie est disponible dans les structures sanitaires de proximité et en pharmacie où il est remboursé par la Sécurité sociale », a-t-on conclu.
14ème conférence des ministres des A.E du dialogue 5+5 : Messahel plaide pour un espace euroméditerranéen de paix.
La réunion des pays du Dialogue 5+5 est un espace propice pour « une approche consensuelle et pragmatique de coopération dans l’intérêt de la stabilité, de la sécurité et de la prospérité dans le voisinage », a soutenu dimanche à Alger le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. Cette réunion offre l’occasion « de dialoguer et échanger en vue d’une approche consensuelle et pragmatique de coopération dans l’intérêt de la stabilité, de la sécurité et de la prospérité dans notre voisinage », a-t-il indiqué lors d’une allocution prononcée à l’ouverture des travaux la 14ème conférence des ministres des Affaires étrangères du Dialogue 5+5. La rencontre co-présidée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et son homologue français, Jean-Yves Le Drian, regroupe les chefs de la diplomatie des pays du Dialogue 5+5 de la Méditerranée occidentale. M. Messahel a souligné que cette réunion était placée « sous le thème fédérateur du développement économique et social inclusif, partagé et durable, face aux défis communs dans la région ». Le chef de la diplomatie algérienne a relevé que les problématiques relatives au développement économique et social inclusif , à la jeunesse et à l’emploi, à la migration et au développement durable, ainsi que ceux liés à la sécurité, au terrorisme et à la radicalisation, tout comme les crises et conflits qui secouent « notre région sont autant d’enjeux et de défis que nous avons la volonté et la détermination de relever, en travaillant ensemble sur la base de nos expériences nationales et des efforts de la communauté internationale ».
Hanoune se félicite de la décision du Président Bouteflika sur la privatisation : » Il a stoppé la liquidation du secteur public « .
La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune a critiqué, hier, les déclarations du Premier ministre Ahmed Ouyahia, samedi, sur la note du président de la République, Abdelaziz Bouteflika concernant l’ouverture du capital sur les entreprises publiques. S’exprimant lors de la réunion du bureau politique de son parti, Hanoune a exprimé son étonnement quant aux déclarations du Premier ministre ainsi que les participants à la tripartite du 23 décembre dernier, sur l’instruction du Chef de l’Etat, par laquelle ils ont indiqué que le Président n’a pas stoppé la privatisation mais a rappelé qu’il doit être consulté avant tout. » Si cela est vrai, le Président n’aurait pas publié un communiqué auprès de la Présidence, il serait contenté de donner des instructions internes ou verbales « , a- t-elle estimé. Pour elle, le Président a stoppé la liquidation du secteur public et mettre un terme aux appétits féroces des uns et des autres. » Des décisions ont été prises par le Conseil de participations de l’État (CPE) et des entreprises publiques ont bel et bien été sélectionnées dont Hôtel El Djazaïr (Ex-Saint- Georges) et Sable d’Or « , » parler de secteurs stratégiques est un leurre visant à faire passer la privatisation « . Pour la patronne du PT, la solution véritable et durable est l’annulation de cette charte de partenariat public-privé (PPP) qui vise même, selon elle, les hôpitaux. » Un prétendu PPP qui fait dire en fait ‘Privatisation’, ‘Pillage’ et ‘Prédation « , ajoute-t-elle.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Gennevilliers va reconnaître symboliquement la Palestine.
Après les dernières déclarations de Donald Trump concernant Jérusalem, la petite ville de Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, a décidé de reconnaître l’Etat palestinien. Le maire de Gennevilliers doit signer, ce lundi, un arrêté municipal allant dans ce sens.
Patrice Leclerc, maire communiste de la ville, stipulera dans cet arrêté la reconnaissance de la Palestine. « Le contexte actuel en Palestine et en Israël n’est pas à l’apaisement quand le Président Trump décide de faire de Jérusalem la capitale d’Israël et quand le gouvernement Netanyahu poursuit sans relâche sa politique de colonisation des Territoires occupés et de Jérusalem-Est, en toute violation du droit international », déplore ainsi la mairie de Gennevilliers.
Le maire communiste rappelait il y a quelques jours que « la France, par la voix de son précédent ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, avait déclaré la possibilité d’une reconnaissance de la Palestine en cas de blocage du processus à la fin de l’année 2016. » Mais Patrice Leclerc déplore que « rien n’a été fait après l’échec de la Conférence de Paris. »
Devant le refus du président Macron de reconnaître l’Etat de Palestine, « alors qu’il s’agirait d’un pas significatif vers la paix dans cette région », ajoute la mairie de Gennevilliers, Patrice Leclerc « propose à toutes les villes de France de prendre un arrêté de reconnaissance de l’Etat de Palestine. »
Selon le communiste, cette décision symbolique pourrait avoir des répercussions en cas de propagation : « Si le Président Macron refuse d’engager la France dans cette voie, mais si des milliers de parcelles de la France prennent cet arrêté officiel, cette prise de position des communes françaises conduira de fait à une reconnaissance », explique-t-il, affirmant qu’« il s’agit bien de réaffirmer la volonté de la France d’amener Israéliens et Palestiniens vers la paix. »
Une paix, conclut Patrice Leclerc, qui « ne viendra qu’avec la création d’un Etat palestinien, comme prévu par les résolutions de l’ONU depuis 1947. »
Mohammed VI et Donald Trump s’écrivent pour discuter de Jérusalem.
Depuis 1975, le comité Al-Qods, créé à l’initiative de l’organisation de la coopération islamique, étudie notamment « l’évolution de la situation à Jérusalem », sous la houlette des rois successifs du Maroc. C’est en sa qualité de président du comité que Mohammed VI a décidé d’écrire à Donald Trump suite à la décision de ce dernier de qualifier Jérusalem de capitale d’Israël et à son annonce de transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.
La lettre date du début du mois de décembre. Le roi du Maroc exprime, dans son courrier, sa « profonde préoccupation personnelle » et « la grande inquiétude des pays et peuples arabes et musulmans » suite à ces annonces. Le souverain ajoute que « conformément aux résolutions internationales y afférent, y compris particulièrement les résolutions du Conseil de sécurité, Al-Qods se trouve au cœur des questions du statut définitif. » Ce qui, continue Mohammed VI, « exige de préserver sa place juridique et d’éviter tout ce qui de nature à porter atteinte à son statut politique actuel. »
« Les Etats-Unis ne prennent pas de position sur les limitations ou les frontières ».
En fin de semaine dernière, le président américain a répondu au roi marocain. Il confirme « l’importance que revêt la ville d’Al-Qods pour les fidèles du judaïsme, du christianisme et de l’Islam » et assure que « Jérusalem est, et doit, demeurer, un lieu où les juifs prient au Mur occidental, où les chrétiens marchent sur les stations du Chemin de la croix, et où les musulmans prient à la mosquée Al-Aqsa. »
Alors que, le 10 décembre dernier, de nombreux Marocains étaient sortis pour manifester contre l’annonce de Donald Trump, le président américain semble dans son courrier ménager le roi : il se dit « déterminé à parvenir à un accord de paix durable entre Israël et les Palestiniens » et affirme privilégier « une solution à deux Etats si les parties y adhèrent. »
En conclusion de son courrier, Donald Trump indique que « les limitations spécifiques de la souveraineté israélienne sur Jérusalem font partie des négociations sur le statut final » et que « les Etats-Unis ne prennent pas de position sur les limitations ou les frontières. »
Françaises de Daesh : le gouvernement laissera faire la justice irakienne.
Accusée de « soutien logistique et aide à l’organisation terroriste pour commettre des crimes », une Allemande ayant appartenu à Daesh vient d’être condamnée à mort par pendaison en Irak. C’est la Cour pénale centrale de Bagdad qui a prononcé cette peine, la première capitale à l’encontre d’une Européenne.
Une trentaine de combattants français auraient été arrêtés en Syrie par les forces kurdes. RMC explique que les femmes sont souvent détenues avec leurs enfants dans des camps de réfugiés et fait état de trois Françaises qui risquent la peine de mort.
Depuis plusieurs mois, le débat sur le jugement des Français arrêtés en Irak agite les médias et les réseaux sociaux. Les trois femmes citées par la radio, si elles sont jugées coupables, auront la possibilité de faire appel avant un second jugement. En cas de peine capitale, cette dernière sera alors appliquée immédiatement après l’appel.
« Nos ressortissants incarcérés à Bagdad seront jugés sur place »
L’Elysée a adopté une position claire quant à ses prisonnières : « Nos ressortissants incarcérés à Bagdad seront jugés sur place, car l’Irak est un Etat souverain, reconnu par la communauté internationale », explique-t-on chez Emmanuel Macron. La France a pourtant déjà réussi à faire revenir certains de ses ressortissants sur son sol après qu’ils ont été jugés à l’étranger. Ce fut le cas de Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison au Mexique qui a finalement fait son retour dans l’Hexagone.
En novembre dernier, aux Emirats arabe unis, Emmanuel Macron avait indiqué que chaque dossier serait étudié « au cas par cas. » Mais il avait prévenu que les femmes françaises arrêtées en Irak seraient bel et bien jugées par les tribunaux irakiens, où le système judiciaire fonctionne, avait expliqué le président.
La question du rapatriement des Françaises pourrait donc bien se poser en Syrie, le Kurdistan syrien n’étant pas reconnu par la communauté internationale. Le cas des Françaises risquant la peine capitale en Irak semble, lui, bouclé : le gouvernement ne devrait pas intercéder en leur faveur, malgré les demandes de leurs avocats et le sort indéterminé réservé à leurs enfants.
Quand Manuel Valls soutenait les positions de Pascal Boniface sur Israël.
Nous sommes en 2003. A l’époque, Pascal Boniface anticipe « la dérive vers l’extrême droite du gouvernement israélien » et « le fait que la paix s’éloignera un peu plus chaque jour sans changement », comme il l’explique dans 20 Minutes. Déjà critiqué par une partie de la droite, le patron de l’IRIS reçoit alors le soutien du premier secrétaire du PS, François Hollande, du Premier ministre Lionel Jospin et… de Manuel Valls, alors maire d’Evry.
Dans son livre « Antisémite », Pascal Boniface publie une lettre manuscrite de celui qui est devenu par la suite Premier ministre. Manuel Valls écrit dans cette missive qu’il est « de tout cœur avec (Pascal Boniface) à propos de (ses) analyses sur le Proche-Orient. »
Quinze années plus tard, Manuel Valls a totalement changé d’avis sur Pascal Boniface. A l’instar de l’ancien président du CRIF, Roger Cukierman, l’ex-Premier ministre a demandé aux ministères des Affaires étrangères et de la Défense de mettre fin aux crédits accordés à l’IRIS. « Ce qu’écrit l’universitaire Pascal Boniface depuis des années pose problème », insiste Manuel Valls.
Dans son tweet, le patron de l’IRIS déplore les charges récurrentes de Manuel Valls, dont la dernière dans le magazine juif L’Arche. Pascal Boniface demande « pourquoi ce virage à 180°. » Au MuslimPost, le directeur de l’institut de recherche affirme n’avoir « pas compris » ce revirement de situation. D’autant que, rappelle Pascal Boniface, « Manuel Valls a été membre du conseil d’administration de l’IRIS » et les deux hommes se connaissent « depuis trente-sept ans. »

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Abbas va demander à l’UE de reconnaître la Palestine
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Le président de l’Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas, qui s’oppose désormais à toute médiation américaine dans le processus de paix après la déclaration de Trump sur Jérusalem, vient chercher lundi à Bruxelles la reconnaissance de l’UE d’un Etat palestinien indépendant.
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La Knesset discutera d’un projet de loi permettant la détention de corps palestiniens
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18 familles de prisonniers de Gaza visitent leurs enfants à Ramon
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La Flottille « Freedom » prépare une nouvelle campagne pour briser le siège de Gaza
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Le vice-président américain rencontre Netanyahou avant le discours de la Knesset
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Les réfugiés se rassemblent à Rafah en rejet de la décision des États-Unis au sujet de l’UNRWA
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Nouvelles activités coloniales à l’ouest de Salfit
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Les murs du Château de Sidon éclairés par des photos de Jérusalem et Al Aqsa
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Le tribunal israélien fixe la détention administrative de certains prisonniers
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 4 citoyens à l’ouest de Bethléem
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Haniyeh rencontre l’homme d’affaires Adnan Majali à Gaza
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L’armée israélienne envahi le camp de réfugiés d’Arroub à la tombée de la nuit
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8 Palestiniens arrêtés dont le député Omar Abdel Razek
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16 prisonniers malades sont soumis à des crimes systématiques à Eshel
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Des membres du « mouvement du soulèvement » en visite au dirigeant du Hamas Mohamed Hamdan
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Une injection paralysante pour un condamné palestinien à perpétuité
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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