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Flash info du 6 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Financement de la campagne de Sarkozy par Kadhafi, deux journalistes dévoilent les dessous de l’affaire.
En mars 2012, l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy s’offusquait lorsque les accusations d’un financement de sa campagne présidentielle par le colonel Mouammar Kadhafi se faisaient insistantes.
« C’est grotesque » répondait-il à ceux qui osaient l’accuser ouvertement, allant même jusqu’à ironiser sur la fin tragique du colonel Libyen.
S’il l’avait financée (la campagne ndlr), je n’aurais pas été très reconnaissant.
Disait-il, faisant allusion à l’intervention française en Libye dont il est l’instigateur et qui a précipité la fin du Guide libyen..
Une affaire étouffée pendant des années qui resurgit grâce aux journalistes de Mediapart Fabrice Arfi et Karl Laske. Dans leur ouvrage intitulé « Avec les compliments du Guide » (Fayard), les auteurs ont reconstitué avec une précision de métronome le déroulé de l’affaire. Durant six longues années, Arfi et Laske vont accumuler les preuves qui ne laissent guère de doute sur l’aide financière du guide de la révolution à la campagne de Sarkosy, rapporte le journal Libération.
Alors candidat UMP en 2007, Sarkosy est en pleine campagne présidentielle et selon le témoignage de Ziad Takieddine qui a servi d’intermédiaire, il affirme avoir transporté des valises bourrées de billets de Tripoli au ministère français de l’Intérieur, peu avant la présidentielle. Une méthode dont use régulièrement le colonel libyen, très généreux avec ses alliés.
Le lynchage ou l’exécution de Mouammar Kadhafi en août 2011 a mis un terme aux suspicions, et les nombreux témoins de l’affaire ont eux-mêmes connu une fin tragique ou sont en fuite, bref une aubaine pour l’ancien président français.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Pays-Bas : une poupée décapitée et en sang retrouvée devant une mosquée.
Une poupée décapitée et imbibée d’un liquide rouge imitant le sang a été retrouvée, jeudi 18 janvier, devant une mosquée de la capitale hollandaise Amsterdam. La police, qui a retenu la piste d’un acte islamophobe, a retrouvé une note dans laquelle les auteurs dénoncent une prétendue « islamisation » des Pays-Bas.
« L’islam est inextricablement lié aux décapitations brutales. L’islamisation doit s’arrêter. Non à la méga-mosquée du Diyanet (la présidence turque des Affaires Religieuses, ndlr) au nord d’Amsterdam, qui est connectée au dictateur Erdogan », est-il écrit dans la note citée par Al Jazeera. L’acte a été revendiqué par un groupuscule d’extrême droite qui a fièrement publié des photos de la poupée et la note sur Twitter.
La mosquée visée a dénoncé « un acte lâche et répugnant » mais refuse d’être « intimidée » et appelle les musulmans à demeurer calme tout en souhaitant l’arrestation prochaine des auteurs de l’acte. Celui-ci a été commis en réponse à l’annonce récente de la construction d’une nouvelle mosquée dans le nord de la ville.

Sur oumma.com, voici les titres.

L’islam en Corée du Sud : une présence encore minoritaire, mais croissante depuis 1965.
Alors que la Corée du Sud s’apprête à vibrer au rythme des jeux Olympiques d’hiver, du 9 au 25 février prochain, il est intéressant de se pencher sur le rayonnement de l’islam dans cette contrée d’Asie de l’Est, encore timide, bien que gagnant en puissance au fil des décennies.
Dans ce pays de 51 millions d’habitants, où les deux religions dominantes sont le christianisme (31,6% de la population, se partageant entre 7,6 % de catholiques et 24% de protestants) et le bouddhisme (24,2% des croyants), la religion musulmane, connue pour réchauffer les cœurs jusqu’en Chine, ne brille pas par une présence éclatante mais poursuit sa percée, passant de 3 700 fidèles en 1965 (année de la création de la Fédération musulmane de Corée), à plus de 200 000 en 2015.
Sa faible présence, comparativement aux deux religions prédominantes, n’empêche pas que l’islam ait un fort ancrage à Séoul,en raison de l’augmentation sensible du nombre d’ouvriers musulmans immigrés, en provenance notamment du Bangladesh et d’Ouzbékistan, et de la hausse non négligeable des conversions chez les Sud-Coréens.
Si la Grande Mosquée de Séoul offre un majestueux témoignage de la présence musulmane en Corée du Sud, on ne dénombre que 8 mosquées en tout et pour tout sur le territoire national, tandis que près de 30 000 églises protestantes ont fleuri dans le paysage en l’espace d’un siècle, preuve de l’essor spectaculaire du protestantisme depuis son incursion à la fin des années 1880, à travers des missionnaires occidentaux, parmi lesquels figuraient des médecins. Il est à noter que les catholiques, persécutés pendant plus d’un siècle, n’ont cessé de voir leurs rangs s’élargir au cours de ces trente dernières années.
Loin d’être éradiqué, le fléau de l’islamophobie, qui se propage comme une traînée de poudre à chaque attentat sanglant perpétré par Daech ou les autres forces du mal se réclamant d’un islam gravement perverti, sévit également en Corée du Sud, sous l’impulsion de groupes chrétiens, sciemment alarmistes, qui diabolisent les musulmans et le halal, poussant des cris d’orfraie qui résonnent familièrement à nos oreilles : ils crient, eux aussi, à « l’islamisation » du pays !
En dépit de ce racisme anti-musulmans prégnant, les autorités coréennes ont décidé de miser sur la niche économique du Halal à Iksan, une petite localité située à l’ouest de la 12ème puissance économique mondiale, au risque de provoquer l’ire de la population chrétienne, cherchant à séduire un nouveau cœur de cible prioritaire : les touristes musulmans.
Cette nouvelle stratégie de développement a été mûrement réfléchie après que la Chine, furieuse, a interdit les voyages de groupe en Corée du Sud, ne digérant pas que le système antimissile américain Thaad ait été déployé localement. Face au manque à gagner qui en a découlé, la Corée du Sud a alors intensifié ses efforts pour développer son industrie du tourisme, en espérant attirer tout particulièrement les visiteurs, au fort pouvoir d’achat, issus d’Indonésie, de Malaisie et du Moyen-Orient.
Petit à petit, l’islam fait son nid en Corée du Sud, même si pour nombre d’observateurs nationaux, il soit fort improbable qu’il imprègne aussi largement et profondément le pays que ne l’a fait le christianisme. Parmi les raisons invoquées pour justifier ce point de vue, le fait que la consommation de porc et d’alcool, formellement proscrite par la religion musulmane, fasse partie intégrante de la culture sud-coréenne est souvent avancé.
L’avenir dira si l’islam réussira à transpercer l’épais rideau des préjugés pour se faire une place grandissante, et non minoritaire, dans le cœur des Sud-Coréens.
Palestine : Reportage de sur le chaine de télévision France 2 sur Ahed Tamimi.
reportage a voir sur oumma.com.
Un célèbre prédicateur saoudien se prononce en faveur du mariage monogame.
En Arabie saoudite, il n’est pas donné à tout le monde d’avoir une polygamie sereine et épanouie et, conformément aux prescriptions coraniques, de faire preuve d’une parfaite équité envers ses épouses, au point que cela semble relever de la gageure aux yeux d’un éminent prédicateur du royaume.
Mariage monogame, mariage heureux ? En tout cas, plus facile à gérer, cela ne fait pas l’ombre d’un doute pour le célèbre Dr. A’ed al-Qarni, qui s’en est fait récemment le chantre au cours d’une émission de télévision très regardée. Celui-ci a en effet appelé les Saoudiens à « se satisfaire d’une seule femme », dans le cadre d’une union sans nuages ou paraissant moins exposée au risque de leur amoncellement…
« Je conseille aux hommes de se contenter d’une seule femme. Toutefois, si un homme souhaite s’unir à d’autres femmes, alors que Dieu l’aide. Mais ça ne vaut pas les tracas qui vont lui rendre la vie difficile, à lui et à ses épouses », a-t-il vivement recommandé, en rappelant que sa mission première consiste à interpréter les versets du Coran afin de contribuer à faciliter l’existence de ses coreligionnaires.
Ironie du sort, ce prédicateur saoudien, dont les précieux conseils sont écoutés religieusement, est lui-même polygame… Faut-il en déduire que c’est du vécu ?!
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Moina Shaiq, ambassadrice d’un islam «lambda» à Seattle.
Depuis 2015, Moina Shaiq, une citoyenne américaine, organise des rencontres autour d’un café pour parler islam, répondre aux questions de ses compatriotes et redorer le blason d’une religion fréquemment associée médiatiquement à toutes sortes d’événements politiques négatifs. Une initiative qui a fait des émules.
« Meet a muslim » (rencontrez un musulman, ndlr). L’annonce peut sembler bizarre à première vue. Mais dans le contexte post-attentat de San Bernardino, en 2015, il prend tout son sens pour Moina Shaiq. Cette Américaine s’est lancée dans une initiative personnelle pour mieux informer ses compatriotes, quotidiennement désinformés sur l’islam via d’innombrables amalgames faits autour du terrorisme, du sexisme et de la violence. La première fois qu’elle se jeta à l’eau, elle ne croyait pas trouver une seule personne qui répondrait à cette annonce. En se rendant à son rendez-vous avec son ordinateur portable, une centaine de personnes pourtant l’attendait. «Cela m’a montré à quel point les gens peuvent vous tendre la main», confia-t-elle au Seattle Times. A l’Indo Cafe, au nord de Seattle, Moina a rencontré plus de 20 personnes venues lui poser toutes sortes de questions sur l’islam. L’événement «Meet a Muslim» a été l’un des trois événements organisés par Crooked Trails, une ONG axée sur les échanges culturels. « Vous ne pouvez pas connaître un pays si vous ne connaissez pas les gens », a déclaré sa directrice générale Christine Mackay, qui s’est souvenu de « Meet a muslim » après les élections de 2016. Il a fallu plus d’un an pour organiser l’événement à Seattle. « Je voyage dans le monde depuis 40 ans », a-t-elle dit, « et je ne connais pas grand-chose à la religion musulmane ». Samedi dernier, Shaiq était à l’Association musulmane de la mosquée de Puget Sound, où les gens étaient invités à « connaître la vérité » sur l’islam et ses pratiquants, discussions agrémentées de plats typiques malaisiens.
« Un type a dit qu’il me trancherait la gorge si je l’offensais ».
L’événement Indo Cafe a également été parrainé par Project Feast, une organisation à but non lucratif dirigée par Veena Presad, qui aide les réfugiés et les migrants à réussir dans l’industrie alimentaire. « La cuisine devient le moyen pour les réfugiés d’avoir des échanges interculturels », a expliqué M. Presad.
A chaque nouvelle rencontre, Shaiq raconte son histoire. Née au Pakistan, elle est venue aux États-Unis en 1978 pour épouser son mari, un universitaire. Ils ont élevé trois enfants à Fremont, en Californie, où vit encore Moina. Chaque semaine, elle intervient dans des églises, des écoles et des maisons privées, de la Californie au Massachusetts, expliquant les différences entre sunnites et chiites, les droits des femmes dans l’Islam, les cinq piliers de l’islam, etc. « Oui, c’est une religion patriarcale, a-t-elle dit, mais en tant que musulmane, une femme n’est pas obligée de travailler. Si elle le fait, elle peut garder son propre argent », dit-elle, ajoutant : « Qui n’aimerait pas ça? ». Moina Shaiq évoque souvent ce que c’est que d’être un musulman américain depuis le 11 septembre. « La plupart des gens sont bons », a déclaré Shaiq. « Mais depuis les élections, certains sont devenus plus agressifs. Ils n’ont pas peur. Un type a dit qu’il me trancherait la gorge si je l’offensais ». Les questions varient souvent. Comment les femmes musulmanes portant des hijabs, et qui assistent à des cours de spinning en salle de gym, supportent-elles la chaleur ? « L’air est conditionné », a répondu Moina Shaiq, un sourire aux lèvres.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Recul du déficit du commerce extérieur de plus de 34% en 2017 : Les premiers fruits de l’austérité.
Le déficit commercial de l’Algérie a reculé à 11,19 milliards de dollars à la fin 2017 contre un déficit de 17,06 milliards de dollars en 2016, soit une baisse de 34,4%, a appris l’APS auprès des Douanes. Les exportations ont nettement augmenté à 34,76 milliards de dollars (mds usd) en 2017 contre 30,02 mds usd en 2016 (+15,8%), selon les données du Centre national de l’Informatique et des Statistiques des Douanes (Cnis). Concernant les importations, elles ont baissé à 45,95 mds usd contre 47,09 mds usd, en diminution de 2,4%, précise la même source. Quant au taux de couverture des importations par les exportations, il est passé à 76% en 2017 contre 64% en 2016. Les hydrocarbures ont continué de représenter l’essentiel des ventes algériennes à l’étranger en 2017 (94,54% du volume global des exportations) en s’établissant à 32,86 mds usd contre 28,22 mds usd, soit une hausse de 4,64 mds usd correspondant à une augmentation de 16,45% par rapport à l’année 2016, dans le sillage d’un redressement des cours mondiaux de pétrole. Demeurant toujours marginales, les exportations hors hydrocarbures se sont établies à 1,89 mds usd, soit une hausse de 5,21% par rapport à l’année 2016. Les exportations hors hydrocarbures sont composées des demi-produits avec 1,38 mds usd (contre 1,32 mds usd), des biens alimentaires avec 348 millions usd (contre 327 millions usd), des biens d’équipements industriels avec 74 millions usd (contre 54 millions usd), des produits bruts avec 73 millions usd (contre 84 millions usd) et des biens de consommation non alimentaires avec 20 millions usd (contre 19 millions usd).
IL LUI A RETIRÉ LA DÉLÉGATION DE GESTION DES CHAMPIONNATS DE LA LFP : ZETCHI TACLE SÉVÈREMENT KERBADJ.
Si le courant n’est jamais passé entre les deux hommes, il faut dire que la chute du désormais ancien homme fort de la LFP signe définitivement la fin du règne de Raouraoua. Reste à savoir si le foot algérien va s’en porter mieux ou si, au contraire, il va poursuivre son inexorable descente aux enfers.
Par Rafik Bakhtini et Agences :
La Fédération algérienne de football (FAF) a annoncé hier sa décision de retirer la délégation de gestion des championnats de football professionnel au Conseil administration de la Ligue de football professionnel (LFP). « Mise en application avec effet immédiat, des dispositions de la convention relative aux relations FAF et LFP en procédant au retrait de la délégation de gestion des championnats de football professionnel au Conseil administration de la LFP », écrit la FAF sur son compte officiel sur Twitter. La décision a été prise lors de la réunion du Bureau fédéral de la FAF qui se tient à l’Ecole nationale des sports olympiques d’El-Baz à Sétif, en présence de 11 membres sur les 13 que compte le Bureau fédéral. « En attendant la tenue d’une assemblée générale élective de la LFP, le BF va charger un directoire de gérer les affaires courantes », précise l’instance fédérale, une décision qui met fin au règne du président de la LFP Mahfoud Kerbadj, élu en juillet 2011. La convention de la délégation a été signée le 4 juillet 2011 entre l’ancien président de la FAF Mohamed Raouraoua, Mahfoud Kerbadj et Ali Malek, président de la Ligue nationale de football (LNFA) pour la gestion des deux championnats amateur et professionnel. Il est vrai que les choses se sont compliquées d’avantage ces derniers jours avec l’affaire des clubs endettés. Si la FAF avait pris la décision de sanctionner tous club dont les dettes ne baisseraient pas sous la barre du milliard de centimes, à la date du 15 janvier, la LFP a adoptée une attitude plus conciliante en accordant un sursis (jusqu’à la fin du mois). Reste à savoir maintenant si la Faf a la latitude de provoquer une AG élective de la LFP. Kerbadj est élu par les membres de l’AG de l’instance qu’il dirige. Eux seuls peuvent le débarquer. Si ces derniers réagissent, le conflit pourrait perdurer encore pour quelques temps.
Révision de la loi sur les hydrocarbures : Laisser le temps au… temps.
La révision de la loi sur les hydrocarbures est un dossier « lourd » qui demande « beaucoup de temps et d’expertise », a indiqué à l’APS le P-dg de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour. « La révision de la loi sur les hydrocarbures est un « dossier lourd et il faut prendre le temps de bien le faire. Cette révision de la loi demande beaucoup de temps, d’attention et d’expertise. Il faut qu’on cherche des gens qui connaissent bien le domaine et il ne faut pas qu’on se trompe encore une fois », affirme M. Ould Kaddour. Il ajoute, dans ce cadre, que « Sonatrach est une partie prenante de la révision de la loi sur les hydrocarbures qui est toujours en cours. On est en train d’entendre tout le monde et on travaille ensemble dans le cadre d’un groupe de travail composé de Sonatrach, de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) et du ministère de l’Energie pour pouvoir sortir une nouvelle loi ». S’agissant du délai de la finalisation de ce projet de texte, M. Ould Kaddour considère que « c’est difficile de donner une échéance, mais on espère que cela se fasse avant la fin de l’année 2018 ». A une question sur les aspects qui seront concernés par cette révision, le P-dg répond : « On est en train de revoir le tout et non seulement l’aspect fiscal mais aussi l’aspect légal, contractuel et tous les autres aspects relatifs à la loi ». « Il ne faut pas qu’on sorte avec une loi qui ne fonctionne pas. Il faut que cette fois-ci on fasse une loi qui attire plus d’étrangers et qu’ils puissent travailler », a-t-il avancé. Concernant le projet de réorganisation de Sonatrach qu’il avait annoncé en octobre dernier, il affirme que ce projet est toujours en cours d’élaboration et se fait d’une manière « sérieuse » vu son importance. « Maintenant on veut aller vers le gaz , développer davantage la pétrochimie et importer moins de carburants », souligne-t-il.
Grogne sociale au Maroc : La ville minière de Jerada ne décolère pas.
Vraisemblablement, le calme n’est pas prêt de revenir à Jerada étant donné que la tension reste palpable à chaque coin de rue de la ville.D’ailleurs une nouvelle manifestation a eu lieu samedi suite, au lendemain de l’échec négociations avec une délégation ministérielle venue pour tenter d’apaiser la contestation sociale agitant depuis plus de trois semaines cette ancienne ville minière, ont rapporté des médias. Pour rappel, le mouvement de protestation a été provoqué par la mort accidentelle, fin décembre 2017, de deux frères piégés dans un puits désaffecté où ils cherchaient du charbon. Depuis, des rassemblements pacifiques dénoncent régulièrement « l’abandon » de cette ville sinistrée depuis la fermeture de ses mines en 1998.Samedi, une foule d’hommes et de femmes de tous âges entre 4.000 et 5.000 selon les manifestants, autour de 400 selon les autorités locales, s’est rassemblée pour entendre les compte-rendu des discussions avec les autorités. » On veut une délégation officielle », criaient les manifestants en agitant des drapeaux marocains sur la place centrale de cette ville dominée par un terril et cernée par des installations industrielles désaffectées. « Le peuple veut une alternative économique », explique Mostapha Dainane, un jeune coiffeur de 27 ans très actif dans le mouvement. Vendredi, le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, a rencontré des élus locaux, des représentants syndicaux et une délégation de jeunes protestataires. Il a présenté les « projets structurants » et les « perspectives prometteuses » des développements agricoles en cours dans la région, selon un communiqué diffusé par l’agence de presse officielle marocaine MAP. Sans convaincre, cependant, les protestataires qui se disent « très mécontents » des discussions. Une première délégation ministérielle avait déjà été dépêchée sur place début janvier et un « plan d’urgence » a été présenté par les autorités régionales, sans donner lui non plus satisfaction aux protestataires. Le mouvement de Jerada se présente comme « le +hirak+ des fils du peuple ». Le terme qui signifie « contestation populaire » est le même que celui utilisé dans la région du Rif (nord), agitée par de longs mois de manifestations l’an dernier, avec les mêmes revendications: désenclavement, emploi, services publics opérationnels, répartition plus équitable des richesses. La contestation à Jerada porte sur quatre points majeurs: le règlement des factures d’eau et d’électricité, le traitement de la silicose qui touche des centaines d’anciens mineurs, le développement économique et l’ouverture d’enquêtes contre ceux que les locaux appellent les « barons du charbon ». Quelques notables de la région ont en effet obtenu après la fermeture des mines des permis d’exploitation leur permettant de vendre en toute légalité du charbon extrait des puits désaffectés dans des conditions de sécurité très précaires, selon les protestataires.
Tizi Ouzou : Des souscripteurs Aadl2 dans la rue.
Les souscripteurs Aadl 2013 ont favorablement répondu à l’appel de l’association qui porte leur nom de la wilaya de Tizi Ouzou. Ils étaient nombreux les souscripteurs Aadl 2013 à prendre part au sit-in organisé hier, à la placette du Musée de la ville des genêts pour revendiqué une nouvelle fois l’achèvement de leurs logements. » Respectez vos engagements « , » Où est notre argent « , » Il est où notre logement » » 5 ans barakat » Lit-on sur les banderoles des protestataires venus nombreux pour assister une nouvelle fois au rassemblement. Les protestataires exigent l’achèvement de tous les projets AADL2013 de la wilaya de Tizi Ouzou – la non-augmentation des prix des logements AADL 2013. Selon la présidente de l’association des souscripteurs Aadl 2013 que » la wilaya de Tizi Ouzou a bénéficié de deux quota, le premier quota seul 2 000/ 5700 logements ont été lancés. Tandis que le deuxième quota de 8000 logements, à ce jour aucun projet n’a été lancé faute de financement » De poursuivre » autant que souscripteurs , on interpelle le ministre de l’habitat de se déplacer dans la région pour s’enquérir de l’état des lieux du programme et exiger l’accélération de la cadence des travaux de ce programme Aadl 2013 qui accuse déjà un retard flagrant » et » d’ajouter » on ne veut pas vivre le même scénario que Aadl 2001- 2002. Nous les souscripteurs, on se pose beaucoup de question sur le retard flagrant de ce programme » Qui habitera ces logements, nous les souscripteurs qui vont bénéficié où ce notre progéniture ?. Pour rappel, une action similaire a été organisé en mis novembre dernier.
La grippe saisonnière sévère fait de plus en plus de morts : L’heure est grave.
Pour un nombre d’entre nous, la grippe est une maladie bénigne. Cependant aujourd’hui encore, ces épidémies causent chaque année des milliers de décès. Dans l’Algérie, au niveau de la wilaya d’Oran Cinq cas de grippe sévère ont été enregistrés, dont un provoquant un décès, selon la direction de la santé et de la population (DSP). le chef de service prévention à la DSP, Dr Youcef Boukhari a indiqué » Il s’agit d’une femme de 65 ans atteinte d’une maladie pulmonaire (asthmatique), évacuée dans un état critique au service pneumologie de l’Etablissement universitaire (EHU) 1ernovembre » d’Oran, est décédée jeudi des suites d’une grippe sévère « . Il a signalé que pour les 4 autres cas de grippe sévère (deux femmes et deux hommes âgés), leur état de santé a connu une bonne évolution depuis leur admission dimanche dernier au CHU d’Oran, ils ont quitté jeudi l’hôpital après avoir reçu les soins nécessaires. Selon la même source, la direction de la santé et de la population a reçu une quantité de 2.000 doses supplémentaires de vaccin anti grippal destinées aux malades chroniques et femmes enceintes, rappelant que la campagne de vaccination se poursuit jusqu’au 31 janvier en cours. La wilaya d’Oran a bénéficié, à travers ses établissements de santé publique de proximité et les polycliniques, d’un quota de 61.000 doses de vaccin anti grippal pour cette année (2017-2018), a-t-il souligné, affirmant que l’objectif du programme annuel de lutte contre la grippe saisonnière a été atteint. A noter que le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) avait signalé, la semaine dernière, le décès de neuf personnes des suites de complications liées à la grippe saisonnière. A rappeler, que Dix personnes sont décédées à cause de la grippe saisonnière à travers le territoire national depuis le début de l’hiver et jusqu’au 15 janvier 2018. Sur les dix décès recensés par le ministère, cinq ont été enregistrés à Alger, il s’agit de deux femmes enceintes et trois personnes ne souffrant d’aucune pathologie),et deux autres dans la wilaya de Blida, et trois autres dans les wilayas de Tipaza, Oran et Souk Ahras. D’autre part, Une deuxième personne est morte après des complications dues à la grippe saisonnière. Dans ce sens, la direction de la santé et de la population (DSP) de la wilaya d’Oran a affirmé que cinq cas de grippe sévère, dont un provoquant un décès, avaient été admis, durant cette semaine, aux structures sanitaires de la région. Une population, d’après le ministère, qui devrait se faire vacciner chaque hiver. « Cette vaccination est d’autant plus importante que le pic saisonnier de la grippe n’est pas encore atteint. Le vaccin contre cette maladie est disponible dans les structures sanitaires de proximité et en pharmacie où il est remboursé par la Sécurité sociale », a-t-on conclu.
14ème conférence des ministres des A.E du dialogue 5+5 : Messahel plaide pour un espace euroméditerranéen de paix.
La réunion des pays du Dialogue 5+5 est un espace propice pour « une approche consensuelle et pragmatique de coopération dans l’intérêt de la stabilité, de la sécurité et de la prospérité dans le voisinage », a soutenu dimanche à Alger le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. Cette réunion offre l’occasion « de dialoguer et échanger en vue d’une approche consensuelle et pragmatique de coopération dans l’intérêt de la stabilité, de la sécurité et de la prospérité dans notre voisinage », a-t-il indiqué lors d’une allocution prononcée à l’ouverture des travaux la 14ème conférence des ministres des Affaires étrangères du Dialogue 5+5. La rencontre co-présidée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et son homologue français, Jean-Yves Le Drian, regroupe les chefs de la diplomatie des pays du Dialogue 5+5 de la Méditerranée occidentale. M. Messahel a souligné que cette réunion était placée « sous le thème fédérateur du développement économique et social inclusif, partagé et durable, face aux défis communs dans la région ». Le chef de la diplomatie algérienne a relevé que les problématiques relatives au développement économique et social inclusif , à la jeunesse et à l’emploi, à la migration et au développement durable, ainsi que ceux liés à la sécurité, au terrorisme et à la radicalisation, tout comme les crises et conflits qui secouent « notre région sont autant d’enjeux et de défis que nous avons la volonté et la détermination de relever, en travaillant ensemble sur la base de nos expériences nationales et des efforts de la communauté internationale ».
Hanoune se félicite de la décision du Président Bouteflika sur la privatisation : » Il a stoppé la liquidation du secteur public « .
La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune a critiqué, hier, les déclarations du Premier ministre Ahmed Ouyahia, samedi, sur la note du président de la République, Abdelaziz Bouteflika concernant l’ouverture du capital sur les entreprises publiques. S’exprimant lors de la réunion du bureau politique de son parti, Hanoune a exprimé son étonnement quant aux déclarations du Premier ministre ainsi que les participants à la tripartite du 23 décembre dernier, sur l’instruction du Chef de l’Etat, par laquelle ils ont indiqué que le Président n’a pas stoppé la privatisation mais a rappelé qu’il doit être consulté avant tout. » Si cela est vrai, le Président n’aurait pas publié un communiqué auprès de la Présidence, il serait contenté de donner des instructions internes ou verbales « , a- t-elle estimé. Pour elle, le Président a stoppé la liquidation du secteur public et mettre un terme aux appétits féroces des uns et des autres. » Des décisions ont été prises par le Conseil de participations de l’État (CPE) et des entreprises publiques ont bel et bien été sélectionnées dont Hôtel El Djazaïr (Ex-Saint- Georges) et Sable d’Or « , » parler de secteurs stratégiques est un leurre visant à faire passer la privatisation « . Pour la patronne du PT, la solution véritable et durable est l’annulation de cette charte de partenariat public-privé (PPP) qui vise même, selon elle, les hôpitaux. » Un prétendu PPP qui fait dire en fait ‘Privatisation’, ‘Pillage’ et ‘Prédation « , ajoute-t-elle.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Gennevilliers va reconnaître symboliquement la Palestine.
Après les dernières déclarations de Donald Trump concernant Jérusalem, la petite ville de Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, a décidé de reconnaître l’Etat palestinien. Le maire de Gennevilliers doit signer, ce lundi, un arrêté municipal allant dans ce sens.
Patrice Leclerc, maire communiste de la ville, stipulera dans cet arrêté la reconnaissance de la Palestine. « Le contexte actuel en Palestine et en Israël n’est pas à l’apaisement quand le Président Trump décide de faire de Jérusalem la capitale d’Israël et quand le gouvernement Netanyahu poursuit sans relâche sa politique de colonisation des Territoires occupés et de Jérusalem-Est, en toute violation du droit international », déplore ainsi la mairie de Gennevilliers.
Le maire communiste rappelait il y a quelques jours que « la France, par la voix de son précédent ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, avait déclaré la possibilité d’une reconnaissance de la Palestine en cas de blocage du processus à la fin de l’année 2016. » Mais Patrice Leclerc déplore que « rien n’a été fait après l’échec de la Conférence de Paris. »
Devant le refus du président Macron de reconnaître l’Etat de Palestine, « alors qu’il s’agirait d’un pas significatif vers la paix dans cette région », ajoute la mairie de Gennevilliers, Patrice Leclerc « propose à toutes les villes de France de prendre un arrêté de reconnaissance de l’Etat de Palestine. »
Selon le communiste, cette décision symbolique pourrait avoir des répercussions en cas de propagation : « Si le Président Macron refuse d’engager la France dans cette voie, mais si des milliers de parcelles de la France prennent cet arrêté officiel, cette prise de position des communes françaises conduira de fait à une reconnaissance », explique-t-il, affirmant qu’« il s’agit bien de réaffirmer la volonté de la France d’amener Israéliens et Palestiniens vers la paix. »
Une paix, conclut Patrice Leclerc, qui « ne viendra qu’avec la création d’un Etat palestinien, comme prévu par les résolutions de l’ONU depuis 1947. »
Mohammed VI et Donald Trump s’écrivent pour discuter de Jérusalem.
Depuis 1975, le comité Al-Qods, créé à l’initiative de l’organisation de la coopération islamique, étudie notamment « l’évolution de la situation à Jérusalem », sous la houlette des rois successifs du Maroc. C’est en sa qualité de président du comité que Mohammed VI a décidé d’écrire à Donald Trump suite à la décision de ce dernier de qualifier Jérusalem de capitale d’Israël et à son annonce de transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.
La lettre date du début du mois de décembre. Le roi du Maroc exprime, dans son courrier, sa « profonde préoccupation personnelle » et « la grande inquiétude des pays et peuples arabes et musulmans » suite à ces annonces. Le souverain ajoute que « conformément aux résolutions internationales y afférent, y compris particulièrement les résolutions du Conseil de sécurité, Al-Qods se trouve au cœur des questions du statut définitif. » Ce qui, continue Mohammed VI, « exige de préserver sa place juridique et d’éviter tout ce qui de nature à porter atteinte à son statut politique actuel. »
« Les Etats-Unis ne prennent pas de position sur les limitations ou les frontières ».
En fin de semaine dernière, le président américain a répondu au roi marocain. Il confirme « l’importance que revêt la ville d’Al-Qods pour les fidèles du judaïsme, du christianisme et de l’Islam » et assure que « Jérusalem est, et doit, demeurer, un lieu où les juifs prient au Mur occidental, où les chrétiens marchent sur les stations du Chemin de la croix, et où les musulmans prient à la mosquée Al-Aqsa. »
Alors que, le 10 décembre dernier, de nombreux Marocains étaient sortis pour manifester contre l’annonce de Donald Trump, le président américain semble dans son courrier ménager le roi : il se dit « déterminé à parvenir à un accord de paix durable entre Israël et les Palestiniens » et affirme privilégier « une solution à deux Etats si les parties y adhèrent. »
En conclusion de son courrier, Donald Trump indique que « les limitations spécifiques de la souveraineté israélienne sur Jérusalem font partie des négociations sur le statut final » et que « les Etats-Unis ne prennent pas de position sur les limitations ou les frontières. »
Françaises de Daesh : le gouvernement laissera faire la justice irakienne.
Accusée de « soutien logistique et aide à l’organisation terroriste pour commettre des crimes », une Allemande ayant appartenu à Daesh vient d’être condamnée à mort par pendaison en Irak. C’est la Cour pénale centrale de Bagdad qui a prononcé cette peine, la première capitale à l’encontre d’une Européenne.
Une trentaine de combattants français auraient été arrêtés en Syrie par les forces kurdes. RMC explique que les femmes sont souvent détenues avec leurs enfants dans des camps de réfugiés et fait état de trois Françaises qui risquent la peine de mort.
Depuis plusieurs mois, le débat sur le jugement des Français arrêtés en Irak agite les médias et les réseaux sociaux. Les trois femmes citées par la radio, si elles sont jugées coupables, auront la possibilité de faire appel avant un second jugement. En cas de peine capitale, cette dernière sera alors appliquée immédiatement après l’appel.
« Nos ressortissants incarcérés à Bagdad seront jugés sur place »
L’Elysée a adopté une position claire quant à ses prisonnières : « Nos ressortissants incarcérés à Bagdad seront jugés sur place, car l’Irak est un Etat souverain, reconnu par la communauté internationale », explique-t-on chez Emmanuel Macron. La France a pourtant déjà réussi à faire revenir certains de ses ressortissants sur son sol après qu’ils ont été jugés à l’étranger. Ce fut le cas de Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison au Mexique qui a finalement fait son retour dans l’Hexagone.
En novembre dernier, aux Emirats arabe unis, Emmanuel Macron avait indiqué que chaque dossier serait étudié « au cas par cas. » Mais il avait prévenu que les femmes françaises arrêtées en Irak seraient bel et bien jugées par les tribunaux irakiens, où le système judiciaire fonctionne, avait expliqué le président.
La question du rapatriement des Françaises pourrait donc bien se poser en Syrie, le Kurdistan syrien n’étant pas reconnu par la communauté internationale. Le cas des Françaises risquant la peine capitale en Irak semble, lui, bouclé : le gouvernement ne devrait pas intercéder en leur faveur, malgré les demandes de leurs avocats et le sort indéterminé réservé à leurs enfants.
Quand Manuel Valls soutenait les positions de Pascal Boniface sur Israël.
Nous sommes en 2003. A l’époque, Pascal Boniface anticipe « la dérive vers l’extrême droite du gouvernement israélien » et « le fait que la paix s’éloignera un peu plus chaque jour sans changement », comme il l’explique dans 20 Minutes. Déjà critiqué par une partie de la droite, le patron de l’IRIS reçoit alors le soutien du premier secrétaire du PS, François Hollande, du Premier ministre Lionel Jospin et… de Manuel Valls, alors maire d’Evry.
Dans son livre « Antisémite », Pascal Boniface publie une lettre manuscrite de celui qui est devenu par la suite Premier ministre. Manuel Valls écrit dans cette missive qu’il est « de tout cœur avec (Pascal Boniface) à propos de (ses) analyses sur le Proche-Orient. »
Quinze années plus tard, Manuel Valls a totalement changé d’avis sur Pascal Boniface. A l’instar de l’ancien président du CRIF, Roger Cukierman, l’ex-Premier ministre a demandé aux ministères des Affaires étrangères et de la Défense de mettre fin aux crédits accordés à l’IRIS. « Ce qu’écrit l’universitaire Pascal Boniface depuis des années pose problème », insiste Manuel Valls.
Dans son tweet, le patron de l’IRIS déplore les charges récurrentes de Manuel Valls, dont la dernière dans le magazine juif L’Arche. Pascal Boniface demande « pourquoi ce virage à 180°. » Au MuslimPost, le directeur de l’institut de recherche affirme n’avoir « pas compris » ce revirement de situation. D’autant que, rappelle Pascal Boniface, « Manuel Valls a été membre du conseil d’administration de l’IRIS » et les deux hommes se connaissent « depuis trente-sept ans. »

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Abbas va demander à l’UE de reconnaître la Palestine
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Le président de l’Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas, qui s’oppose désormais à toute médiation américaine dans le processus de paix après la déclaration de Trump sur Jérusalem, vient chercher lundi à Bruxelles la reconnaissance de l’UE d’un Etat palestinien indépendant.
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La Knesset discutera d’un projet de loi permettant la détention de corps palestiniens
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18 familles de prisonniers de Gaza visitent leurs enfants à Ramon
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La Flottille « Freedom » prépare une nouvelle campagne pour briser le siège de Gaza
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Le vice-président américain rencontre Netanyahou avant le discours de la Knesset
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Les réfugiés se rassemblent à Rafah en rejet de la décision des États-Unis au sujet de l’UNRWA
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Nouvelles activités coloniales à l’ouest de Salfit
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Les murs du Château de Sidon éclairés par des photos de Jérusalem et Al Aqsa
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Le tribunal israélien fixe la détention administrative de certains prisonniers
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 4 citoyens à l’ouest de Bethléem
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Haniyeh rencontre l’homme d’affaires Adnan Majali à Gaza
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L’armée israélienne envahi le camp de réfugiés d’Arroub à la tombée de la nuit
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8 Palestiniens arrêtés dont le député Omar Abdel Razek
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16 prisonniers malades sont soumis à des crimes systématiques à Eshel
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Des membres du « mouvement du soulèvement » en visite au dirigeant du Hamas Mohamed Hamdan
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Une injection paralysante pour un condamné palestinien à perpétuité
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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