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Flash info pour le 3 Sha’ban 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Maroc : 15 présidents de commune poursuivis en justice pour corruption.
En 2016, le Maroc lance officiellement sa stratégie de lutte contre la corruption. Dix programmes comprenant 239 projets sont élaborés et dont l’objectif est d’éradiquer ce fléau qui gangrène les adminisitrations marocaines.
Le Maroc fait partie des pays de la région MENA (Moyen-Orient-Afrique du Nord) les plus corrompus. Selon une enquête de Transparency, entre 2014 et 2015, près d’un Marocain sur deux (48%) aurait donné au moins une fois un bakchich en échange d’un service public.
Pourtant, le Royaume a fait d’énormes efforts ces dernières années pour mettre fin à la corruption dans le pays.
Avec notamment la mise en place d’un numéro vert pour dénoncer les actes de corruption, la présentation devant la justice des dossiers pointant cette pratique par la Cour des comptes ou encore la proposition d’une nouvelle loi encadrant l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption.
Dans le cadre de cet objectif à l’échelle nationale, le ministère de l’Intérieur s’apprête à annoncer la révocation de quinze présidents de commune impliqués dans différentes affaires de corruption.
Les charges retenues contre les édiles locaux à l’initiative entre autre de la Cour des comptes, concernent des infractions aux lois de l’urbanisme et à celles des marchés publics, rapporte le quotidien Assabah dans son édition des 14 et 15 avril.
Les faits reprochés : Passations de marchés publics à des proches et à des entreprises privilégiées, pratiques anticoncurrentielles, autorisation d’achèvement des travaux dans des lotissements en arrêt depuis plusieurs années sans que le lotisseur ne s’acquitte des taxes (TNB).., les infractions se compte par dizaines, ajoute le journal.
Les présidents de commune mis en cause auraient aussi, selon le journal, délivré des documents administratifs qui ont permis la construction d’immeubles sur des terrains déclarés non constructibles.
Les édiles poursuivis devant la justice pénale encourent non seulement la révocation mais aussi de lourdes peines de prison s’ils sont reconnus coupables des faits reprochés.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Palestine : Naplouse : des colons israéliens saccagent une mosquée et taguent “la mort aux Arabes”.
Un groupe de colons israéliens a mené des attaques lundi soir en Cisjordanie occupée, vandalisant une mosquée et des voitures et taguant “la mort aux Arabes” sur les maisons.
Le groupe a pris pour cible les villages d’al-Laban, al-Sharqiya et al-Aswiya, au sud de la ville de Naplouse, saccageant une mosquée et coupant des pneus de 30 véhicules.
Les colons ont essayé de casser les portes d’une mosquée du village avec l’intention de les brûler, ainsi que de taguer les murs des maisons et des voitures avec des slogans racistes , y compris « Mort les Arabes “et” Vengeance “.
Les autres messages comprenaient «Expulser ou tuer» et «Assez avec des ordres administratifs», faisant référence aux mesures visant à empêcher la violence des colons y compris la détention, l’interdiction de pénétrer en Cisjordanie et l’interdiction de contacter certaines personnes ainsi que les couvre-feux nocturnes.
Des sources de sécurité ont indiqué à l’agence de presse officielle de l’Autorité palestinienne, Wafa, que les forces israéliennes avaient attaqué Naplouse et envahi Tal Balata et le tombeau de Joseph, qu’ils prétendent être un sanctuaire juif.
Un Palestinien a été blessé par balle par des soldats israéliens lors d’affrontements sur le tombeau de Joseph, à l’est de Naplouse.
Les forces israéliennes ont également arrêté un certain nombre de jeunes Palestiniens à Naplouse et dans d’autres parties du territoire occupé à la suite de l’attaque des colons.
La vague de vandalisme fait suite à des affrontements dimanche soir dans la ville, qui ont fait cinq blessés parmi les Palestiniens suite à des tirs des forces israéliennes avec des balles en acier enduites de caoutchouc.
Palestine : les colons placent le drapeau israélien sur la mosquée Ibrahimi.
Les colons israéliens ont placé hier des drapeaux israéliens le long du mur ouest de la mosquée Ibrahimi dans la ville occupée de Hébron en Cisjordanie, a rapporté Quds Press .
Sous la forte présence de la police armée, les colons ont placé les drapeaux sur le site sacré musulman pour “célébrer la Nakba palestinienne ou ce qu’ils disent être l’indépendance d’Israël”, a déclaré le directeur des Dotations islamiques à Hébron, Ismail Abu Halawa.
“Ceci est considéré comme faisant partie des efforts israéliens pour judaïser la mosquée d’Ibrahimi”, a-t-il ajouté.
Le responsable palestinien a souligné que “toutes les violations israéliennes contre le site sacré sont perpétrées sous le pouvoir des armes à feu, y compris la partition à la suite du massacre de 1994”.
Israël et les colons violent quotidiennement les lieux saints islamiques, a-t-il ajouté.
Ghana : un Ministre ghanéen souhaite remplacer l’appel à la prière des minarets par des SMS.
Le ministre ghanéen de l’environnement, des sciences, de la technologie et de l’innovation a appelé les responsables musulmans du pays à envisager d’utiliser des messages texte invitant les musulmans à prier au lieu des mégaphones traditionnels.
Selon le gouvernement, les nouvelles procédures font partie des efforts du Rwanda pour réduire la pollution sonore. Le ministre ghanéen a déclaré que cette mesure contribuera à réduire la pollution sonore dans le pays.
“Pourquoi est-ce que l’appel à la prière ne serait pas transmis avec un SMS ou WhatsApp? Envoyer le message WhatsApp à tout le monde que le moment de la prière est venu”, a déclaré le ministre lors d’un programme Meet-the-Press mardi à Accra.
La suggestion n’a cependant pas été très bien accueillie par les groupes musulmans qui exigent le renvoi du ministre rappelant que l’adhaan ou l’appel à la prière est une injonction religieuse qui ne peut pas être changée.
L’agence de presse du pays a déclaré que la suggestion – du professeur Kwabena Frimpong Boateng – vient suite à l’ordre du gouvernement rwandais en mars qui a interdit les haut-parleurs des mosquées dans sa capitale Kigali.
Irak : les femmes et enfants sunnites violés par les militaires irakiens selon Amnesty International.
Des femmes et des enfants irakiens soupçonnés d’avoir des liens avec l’EI par l’intermédiaire de leurs proches sont victimes d’exploitation sexuelle, a indiqué Amnesty International dans un rapport publié mardi.
Selon l’observateur des droits basé aux Etats-Unis, le rapport a été compilé à partir d’entretiens avec 92 femmes dans huit camps de déplacés internes dans les provinces irakiennes de Ninive et de Saladin.
Le rapport révèle “une discrimination généralisée contre les femmes vivant dans les camps de personnes déplacées par les forces de sécurité, les administrateurs du camp et les autorités locales, qui les accusent d’être affiliés à l’EI”.
“Désespérées et isolées, ces femmes courent un risque accru d’exploitation sexuelle par les forces de sécurité, les gardes armés et les membres des milices qui travaillent dans et autour des camps”, peut-on lire dans le rapport.
Il continue à documenter “le sort de milliers de familles dirigées par des femmes qui doivent se débrouiller dans des camps de personnes déplacées après que des membres masculins de la famille ont été tués ou arbitrairement arrêtés […] alors qu’ils fuyaient les combats dans les environs de Mossoul”.
Le rapport cite Lynn Maalouf, directrice de la recherche au Moyen-Orient d’Amnesty International, affirmant que “les femmes et les enfants irakiens ayant des liens supposés avec l’EI sont punis pour des crimes qu’ils n’ont pas commis”.
L’armée irakienne reprend ses “habitudes” post-Saddam Hussein en violant constamment les femmes sunnites ainsi que les enfants. Une méthode qui avait entraîné le retour au premier plan des tribus sunnites lors du Printemps arabe.
Québec : le terroriste qui tué 6 musulmans dans une mosquée risque 150 ans de prison.
Avant que le terroriste Alexandre Bissonnette abatte six musulmans dans une mosquée de Québec en 2017, il a surfé sur Internet pour trouver des reportages sur les fusillades de masse, l’islam et les politiques d’immigration.
Le terroriste a plaidé coupable à six chefs d’accusation de meurtre au premier degré en mars. Lundi était le troisième jour d’une audience pour déterminer la peine de prison de Bissonnette. Il a également fait face à six accusations de tentative de meurtre puisque 19 personnes ont été blessés dans la mosquée.
L’ancien étudiant universitaire de 28 ans était obsédé par le fait qu’une attaque terroriste se produirait au Québec contre sa famille, avoue-t-il à la police pendant l’interrogatoire d’environ 14 heures après l’attaque du 29 janvier 2017.
Bissonnette a dit qu’il a commencé à boire ce jour-là vers midi.
Il a ensuite allumé la télévision et entendu que le premier ministre Justin Trudeau accueillerait des réfugiés au Canada, peu importe leur religion. Dans le même temps, le président américain Donald Trump essayait d’interdire le voyage en Amérique les ressortissants de sept pays musulmans.
“Quand j’ai vu ça, je ai perdu la raison”, a-t-il déclaré à l’enquêteur de la police Steve Girard dans les heures qui ont suivi son arrestation.
“J’étais comme, sûr qu’ils allaient venir et tuer mes parents aussi, et ma famille. J’en étais sûr … c’est pourquoi je devais faire quelque chose. “
À l’audience de lundi, la cour a appris que Bissonnette était particulièrement intéressé par Dylann Roof, une suprématie blanche qui a abattu neuf personnes dans une église en Caroline du Sud. Au cours du mois qui a précédé la fusillade du 29 janvier, les policiers qui ont fouillé son ordinateur ont découvert qu’il avait déjà regardé la vidéo 201 fois.
Bissonnette a également regardé des vidéos sur Marc Lepine, qui a tué 14 femmes en 1989 dans une école d’ingénieurs du Québec.
Il a également cherché des information sur le Centre culturel islamique du Québec, où l’attaque terroriste a eu lieu, et l’association étudiante musulmane de l’Université Laval, 82 fois en janvier.
Le Canada n’a pas la peine de mort, mais Bissonnette pourrait faire face à 150 ans de prison, 25 ans sur chacune des accusations de meurtre.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : A la mosquée du Havre, une dernière prière pour Samba Diop avant son rapatriement au Sénégal .
Un millier de personnes se sont rassemblées, lundi 16 avril, au Centre Islamique du Havre (Seine-Maritime) pour prier en mémoire de Samba Diop. Ce jeune footballeur, au poste de défenseur du Havre AC, a été retrouvé mort au domicile de ses parents le 7 avril. Un choc pour sa famille, son club et la ville du Havre, qui pleurent la mort du jeune homme âgé tout juste de 18 ans, vice-champion de France des moins de 19 ans en 2016-2017.
Des membres et des cadres de son club, qui évolue en Ligue 2, ont fait le déplacement à la mosquée en hommage au joueur décédé d’origine sénégalaise, très apprécié par le staff de son centre de formation.
« L’élan de solidarité a été magnifique, à la hauteur de ce que méritait ce jeune homme. Samba avait des qualités footbalistiques incroyables, mais aussi des qualités humaines extraordinaires. C’est ce genre de joueur que l’on souhaite avoir au sein du club », a souligné Denis Lavagne, directeur du centre de formation du Havre (HAC), cité par la presse locale.
Le club a décidé d’offrir, une semaine après son décès, un contrat professionnel au défunt à titre posthume. Un contrat qu’il devait signer si la mort ne l’avait pas brutalement emporté.
Pour le moment, l’autopsie n’a pas permis de déterminer les causes du décès de Samba Diop. Son corps sera rapatrié au Sénégal pour être inhumé à Dakar jeudi 19 avril. Une nouvelle prière mortuaire y sera organisée avant son enterrement.

Sur oumma.com, voici les titres.

Pèlerinage à La Mecque : faut-il retirer à l’Arabie saoudite la gestion des lieux saints ?
Confiée à l’Arabie saoudite depuis des siècles, l’organisation du pèlerinage à La Mecque n’a jamais été autant contestée qu’aujourd’hui. Suite aux diverses accusations d’instrumentalisation et aux graves problèmes d’insécurité, le monde musulman fait pression pour instaurer une gestion collective des lieux saints de l’islam.
Le pèlerinage à La Mecque fait depuis plusieurs années l’objet d’une attention préoccupée de la communauté musulmane. En cause, la gestion problématique de l’Arabie saoudite, qui se révèle incapable de contenir les tensions politiques hors du terrain religieux. En 2016 et pour la première fois, les pèlerins venus d’Iran, qui sont en moyenne 60 000 à faire le déplacement, n’ont pas été autorisés à accomplir le « hadj » suite à la rupture des relations diplomatiques entre Riyad et Téhéran. En 2017, seuls 60 à 70 pèlerins qataris avaient eu le droit de fouler les lieux saints de l’islam à la fin du mois d’août, contre 12 000 l’année précédente, en raison du blocus imposé au Qatar par le royaume wahhabite et ses alliés.
Si l’Iran a de nouveau pu envoyer près de 86 000 ressortissants à La Mecque et Médine l’an dernier au prix de longs mois de négociation et du port obligatoire de bracelets électroniques, les fidèles qataris ne savent toujours pas s’ils pourront s’y rendre à la fin du mois d’août, comme le veut la tradition. Débutée le 5 juin de manière particulièrement brutale, la crise du Golfe se poursuit en effet pour une durée encore indéterminée. Le boycott initié par l’Arabie saoudite n’a pas donné les résultats escomptés : tandis que Doha a profité de la rupture des relations diplomatiques et commerciales pour diversifier et moderniser son économie, c’est Riyad qui ressent le contrecoup économique.
En plus d’instrumentaliser le « hadj » à des fins politiques, le pouvoir saoudien fait face à d’importantes craintes en matière d’insécurité. Principale source d’inquiétude, le risque de mouvement de foule, qui a causé près de 2 300 victimes lors de la gigantesque bousculade meurtrière de 2015. L’an dernier, les autorités affirment avoir mobilisé 100 000 forces de l’ordre et 17 000 employés de protection civile afin de renforcer la sécurité des deux à trois millions de pèlerins qui viennent chaque année en provenance de 80 pays.
Un dispositif qui ne suffit toutefois pas à dissiper tous les doutes. « Ça m’angoisse. J’ai peur d’y aller, de me faire écraser et de perdre la vie, témoigne Dina, une Française de 27 ans. Je repense encore à tous ces gens partis chercher la transcendance et qui ont fini enterrés. […] Je réfléchis même à le faire à Qom en Iran, un lieu de pèlerinage chiite alors que je suis sunnite… » L’appréhension des pèlerins est d’autant plus élevée que le rassemblement sacré tel qu’il est organisé présente d’autres risques. Outre les menaces d’attentat terroriste ou d’épidémies comme la grippe A en 2009 et le choléra qui sévit actuellement au Yémen voisin, la gestion saoudienne est également fragilisée par son laxisme face aux nombreuses plaintes d’agressions sexuelles sur les lieux saints.
Le monde musulman soutient l’internationalisation du hadj.
Lancés le 8 février suite à un article publié par l’éditorialiste américano-égyptienne Mona Eltahawy, les messages comportant le hashtag #MosqueMeToo (« Mosquée Moi Aussi » en français) ont réuni plus de 2 000 témoignages d’attouchement et de harcèlement sexuel en l’espace de 24 heures sur Twitter. « C’est l’une des raisons pour lesquelles je ne dis jamais “‘oui”’ lorsqu’on me demande si je veux retourner à La Mecque. Je n’ai jamais été autant harcelée que dans la ville sainte » confie une victime sur le réseau social. « Les gens pensent que La Mecque est le lieu le plus sacré pour les musulmans et donc que personne n’y ferait rien de mal. C’est totalement faux, explique une blogueuse indonésienne.Une fois, quelqu’un a touché mes seins, puis les a pressés. J’étais choquée. Le mec derrière moi a fait semblant de ne rien avoir fait et a filé. » Le traumatisme est d’autant plus grand qu’il est particulièrement difficile de porter plainte. « Les femmes musulmanes comme les autres femmes souffrent de harcèlement, mais quand cela arrive dans un contexte religieux, on leur demande de se taire au nom d’une cause plus grande. C’est à la foi injuste et oppressant », résume Mona Eltahawy.
Étape incontournable dans la vie d’un musulman qui en a les moyens, le pèlerinage à La Mecque fait également polémique parmi les croyants pour sa dimension mercantile, qui s’est développée au fil des années. Principale source de revenus pour l’économie saoudienne avec le pétrole, le tourisme religieux aurait rapporté 16,4 milliards d’euros à l’Arabie saoudite l’an dernier. Le coût moyen pour accomplir le hadj, 4 100 euros pour les étrangers, irrite les candidats au voyage. « Idéalement, j’aimerais aller à La Mecque, mais c’est devenu un haut lieu du consumérisme. C’est juste un business, déplorait Ahmed dans les colonnes de Libération. Je me sens piégé entre ma foi, les bienfaits spirituels que je pourrais retirer d’un pèlerinage et le fait de donner mon argent à un État qui, au lieu de le redistribuer aux pauvres, préfère bombarder le Yémen. » « Cet esprit mercantile est contraire aux principes de l’islam, affirme Virginie, Française d’origine iranienne. Le hadj est censé faire disparaître les différences sociales, pas les mettre en compétition. »
Face à l’organisation chaotique de l’Arabie saoudite, une campagne mondiale s’est créée pour confier la gestion des lieux saints à une institution internationale, comme l’Oumma. Baptisée « Al Haramain Watch », cette mobilisation a pour ambition de soustraire l’administration de ces espaces à Riyad, de conseiller le pouvoir saoudien dans la rénovation des mosquées sacrées ou encore d’établir une liste des personnes interdites d’effectuer le pèlerinage pour mieux défendre les lieux. Un premier colloque international s’est déjà tenu sur le sujet en Inde, suivi d’une grande conférence en janvier dernier à Djakarta.
Par cette action, le monde musulman tenterait également de limiter le pouvoir dont abuse allègrement l’Arabie saoudite lors du hadj par « incitation à se conformer au wahhabisme, visible notamment dans le contrôle de la façon de réaliser les rituels », comme le souligne Sylvia Chiffoleau, chargée de recherche en histoire contemporaine au CNRS, ou à travers un chantage aux visas à l’encontre de pays politiquement en froid. « Des voix de plus en plus nombreuses, en Indonésie notamment, réclament une internationalisation de la gestion du hadj par une structure dont la forme reste à définir », confirme la chercheuse. « Ce serait plus cohérent de reconstituer l’Oumma dans l’intérêt des musulmans du monde entier. Et peu importe nos courants/branches religieux (ses). L’essentiel est de bénéficier de lieux saints sécurisés où règnent l’entraide et la solidarité », ajoute Virginie, convaincue que seul « un affaiblissement de la monarchie saoudienne » pourrait aboutir à une gestion plus « humaine » du pèlerinage à La Mecque.
islam : L’achat de faux “j’aime” sur Facebook déclaré “haram” par le Grand mufti d’Egypte.
Haram, halal: nouvel épisode.
Depuis qu’il s’est opposé à la crypto-monnaie à travers une fatwa la déclarant “illégale et inacceptable”, Shawki Allam, le Grand Mufti d’Egypte, ne cesse de faire parler de lui.
En effet, il a récemment émis un nouvel avis juridique contre le fait d’acheter ou de vendre des faux “j’aime” sur Facebook, affirmant qu’une telle action était rigoureusement “prohibée” en islam, car c’est une forme de “fraude et de tromperie”.
Un peu plus tôt dans la semaine, c’est sur sa page Facebook officielle que la plus Haute Autorité religieuse du pays des pharaons s’est prononcée contre cet acte blâmable, considéré comme “religieusement interdit”.
C’est en s’appuyant sur l’une des citations du Prophète Muhammad (saws) – “Celui qui trompe n’est pas de nous” – que Shawki Allam a étayé son propos et justifié sa fatwa.
Il explique ainsi que l’achat de faux “likes” est une tromperie caractérisée qui abuse de la crédulité des internautes, leur laissant penser que certains messages ou pages Facebook sont plus populaires qu’ils ne le sont en réalité.
Néanmoins, il pourrait consentir à une telle opération, si et seulement si le mastodonte des réseaux sociaux s’engageait à ne plus accorder de pages aux faux utilisateurs.
Palestine : Liberté pour Salah Hamouri : Elsa Lefort, son épouse, doit être reçue par le président Macron !
Ce 17 avril 2018, Journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques palestiniens, a été l’occasion pour le Comité de soutien à Salah Hamouri d’exprimer avec force sa solidarité envers tous les prisonniers politiques palestiniens, femmes et hommes, jeunes et moins jeunes, victimes du régime colonial israélien.
Plus de 6 000 prisonnier.e.s politiques palestinien.ne.s sont actuellement derrière les barreaux, dont plus de 350 enfants et 1500 malades. Ces prisonniers sont détenus dans des conditions avilissantes, en violation des droits de l’homme et de la 4ème Convention de Genève. L’arrestation et la détention de milliers de Palestiniens est l’un des piliers de la politique coloniale israélienne pour affaiblir la société palestinienne. Les prisonniers politiques palestiniens sont le symbole d’une société et d’une nation elle-même prisonnière et enfermée par sa politique coloniale.
Parmi ces prisonniers, il y a notre compatriote Salah Hamouri, incarcéré comme plus de 400 palestiniens sous le régime arbitraire de la détention administrative. Depuis des décennies, des milliers de Palestiniens sont emprisonnés sans être informés de la raison de leur emprisonnement, sans inculpation ni procès. Cette détention administrative peut être renouvelée indéfiniment, tous les six mois, selon le bon vouloir des autorités israéliennes.
Alors que la détention administrative de Salah Hamouri a été prolongée, fin février 2017, pour une période de 4 mois, la France se montre passive pour obtenir sa libération qu’elle demande par ailleurs.
Depuis l’arrestation de Salah Hamouri dans la nuit du 23 août 2017, à son domicile de Jérusalem-Est, par une troupe de l’armée d’occupation, Emmanuel Macron n’a toujours pas reçu, Elsa Lefort, sa femme, malgré ses demandes répétées. Cela n’est pas acceptable.
Le parcours de Salah Hamouri, sa vie, sont symboliques du destin de celui de millions de Palestinien.ne.s, victimes de l’occupation israélienne. La France ne peut pas tolérer qu’un de ses citoyens soit arbitrairement privé de liberté par Israël. La France doit agir avec conviction pour la libération de Salah Hamouri, pour faire respecter ses droits. Nous exigeons qu’Emmanuel Macron reçoive en personne Elsa Lefort.
INTERPELLONS LE PRÉSIDENT MACRON avec le hashtag : #LiberezSalah !

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Elle table sur une reprise rapide de la croissance en 2018 : La BM confirme l’optimisme d’Ouyahia.
Journée parlementaire sur le rôle des transports et des télécoms dans le développement économique : Deux maillons clés dans la croissance économique.
YAOUM EL ILM : MESSAGE INTÉGRAL DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.
Face aux idées religieuses étrangères : Bouteflika appelle à la clairvoyance.
« Le lait en sachet sera disponible durant le Ramadhan » : Le ministère rassure.
Grève des médecins résidents : Quelle issue après l’échec des négociations ?.
Réforme du système éducatif : Benghebrit s’explique.
Piratage des systèmes informatiques du ministère de la Justice : Près de 40 millions de tentatives déjouées.
Conseil de la nation : Feraoun défend les réalisations de son secteur.
Exercice algéro- européen Seimex 2018 : » La protection civile algérienne a fait un saut qualitatif « .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Starbucks, raciste ? Une après-midi pour se refaire une image.
Deux hommes noirs avaient été arrêtés dans un Starbucks, à Philadelphie, provoquant un véritable tollé. Pour redorer un peu son blason, la chaîne va fermer plus de 8 000 de ses cafés pendant une demi-journée le 29 mai prochain. L’enseigne annonce en effet que 175 000 employés suivront une formation qui a pour objectif de faire prendre conscience aux salariés de leurs éventuels préjugés racistes, et ainsi de les corriger.
Le patron de Starbucks, Kevin Johnson, a demandé que son enseigne fasse « un examen complet de ses pratiques. » Véritable volonté ou acte politique qui doit permettre de mettre fin à la campagne de boycott contre la marque ? La vidéo de l’arrestation de deux jeunes personnes noires qui ne faisaient qu’attendre un ami a été vue plus de 10 millions de fois sur Twitter.
Starbucks devait donc réagir. La première décision a été de couper la tête de la personne jugée responsable de cette bavure. L’employée qui a téléphoné à la police ne travaille en effet plus pour Starbucks. Mais il y a désormais un vrai décalage entre l’image que veut mettre en avant le groupe — celle d’un acteur du commerce équitable — et cet acte qui a été jugé raciste par des millions de personnes.
Fin mai, les employés se verront proposer « un programme destiné à corriger les préjugés racistes, promouvoir l’inclusion, prévenir les discriminations et s’assurer que n’importe qui à l’intérieur d’un Starbucks se sente à l’abri et le bienvenu. » Si cette formation reste très symbolique, elle ne pourra pas faire de mal pour éviter que des incidents comme celui qui s’est produit à Philadelphie ne se reproduisent.
Imbroglio autour de l’expulsion de l’imam de Marseille.
Le feuilleton El Hadi Doudi continue. Après la fermeture de la mosquée As Sounna de Marseille, l’imam salafiste de celle-ci était menacé d’expulsion. Convoqué au TGI de Marseille, El Hadi Doudi était passé devant les trois juges d’une commission d’expulsion, qui avait alors rendu un avis positif quant à l’expulsion de l’imam. Un avis consultatif que le ministère de l’Intérieur avait décidé de suivre en signant un arrêté en ce sens.
Plusieurs personnalités ont, sur les réseaux sociaux, annoncé ce mardi que l’imam de la mosquée marseillaise avait été expulsé du territoire français.
Le feuilleton El Hadi Doudi continue. Après la fermeture de la mosquée As Sounna de Marseille, l’imam salafiste de celle-ci était menacé d’expulsion. Convoqué au TGI de Marseille, El Hadi Doudi était passé devant les trois juges d’une commission d’expulsion, qui avait alors rendu un avis positif quant à l’expulsion de l’imam. Un avis consultatif que le ministère de l’Intérieur avait décidé de suivre en signant un arrêté en ce sens.
Plusieurs personnalités ont, sur les réseaux sociaux, annoncé ce mardi que l’imam de la mosquée marseillaise avait été expulsé du territoire français.
Mais la décision du ministère de l’Intérieur a finalement été suspendue par la Cour européenne des Droits de l’Homme. Une suspension provisoire : la CEDH prendra une décision définitive « dans quelques jours » sur le fond de l’affaire. L’avocat de l’imam, Me Nabil Boudi, a engagé plusieurs recours contre l’expulsion du leader salafiste, notamment devant la justice administrative. Il invoque la « disproportion de la mesure » et le « risque de torture » de son client en cas de retour en Algérie, où sa vie serait menacée selon l’avocat.
Les autorités françaises auraient, l’an dernier, expulsé vingt étrangers accusés de « radicalisation », a indiqué le ministre de l’Intérieur il y a trois semaines. La dernière expulsion d’un leader religieux remonte au 28 mars. L’imam suppléant de la mosquée de Torcy, Mohammed Tlaghi, avait été renvoyé au Maroc.
Belgique : un candidat juif ultra-orthodoxe fait polémique.
Il y a quelques jours, le secrétaire d’Etat à l’Asile et la Migration Theo Francken se disait« révolté » par les propos du trésorier du parti Islam. « Dans leur monde régi par la charia, les femmes n’ont pas de droits », résumait-il alors. Alors que de nombreux dirigeants belges ont demandé l’interdiction du parti Islam, une autre polémique est en train de faire surface outre-Quiévrain.
Le Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V), le parti démocrate-chrétien, présentera en effet sur sa liste à Anvers, pour les prochaines élections municipales, Aron Berger. Les propos de ce juif ultra-orthodoxe ont suscité des réactions indignées aussi bien à l’extérieur qu’au sein de CD&V.
La raison du courroux ? Les principes d’Aron Berger. L’Anversois est notamment pro-abattage rituel. Mais ce n’est qu’un détail, car celui qui est en neuvième place sur la liste du parti démocrate-chrétien a également annoncé qu’il refusait de serrer la main aux femmes. Autre propos très controversé : celui sur la mixité scolaire qui serait, selon lui, « de la maltraitance. »
Décision ce mercredi.
Au sein de la formation politique, les positions d’Aron Berger choquent. Hendrik Bogaert, élu CD&V au Parlement, indique que « celui qui ne veut pas serrer la main à une femme n’appartient pas » à sa formation politique « car c’est en contradiction avec les valeurs de base du parti. » La députée Els Van Hoof estime que cela « pose problème » qu’Aron Berger se présente pour son parti.
Comme pour le parti Islam, des membres du gouvernement s’élèvent aussi contre les positions du membre de CD&V : « Il s’agit d’un recul pour le droit des femmes », a par exemple expliqué Zuhal Demir, secrétaire d’Etat à l’Egalité des chances. Pour la ministre fédérale du Budget, Sophie Wilmès, les propos d’Aron Berger et ceux du trésorier d’Islam sont condamnables : « Refuser de serrer la main à une femme, de s’assoir à côté d’elle dans un bus ou ailleurs sont des attitudes que l’on ne peut promouvoir ou accepter, sous aucun prétexte », affirme-t-elle.
Reste maintenant quelques semaines à CD&V pour décider de revenir sur sa décision. Aron Berger devait permettre au parti chrétien de s’arroger les 20 000 à 30 000 voix juives d’Anvers, indique RTBF. C’est aujourd’hui que le candidat confirmera s’il est ou non candidat en octobre prochain. Il devra, pour cela, affirmer qu’il respecte l’égalité entre hommes et femmes.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

« 6500 Palestiniens sont détenus par Israël ; 1928 ont été enlevés cette année ».
La Société des prisonniers palestiniens (PPS) a rendu publique une déclaration à l’occasion de la « Journée des prisonniers palestiniens » le 17 avril, indiquant qu’Israël retenait captifs 6500 détenus, y compris 1928 qui ont été enlevés depuis le début de l’année.
Dans son rapport, la Société a dit qu’Israël retient captifs 6500 Palestiniens, dont 350 enfants, 62 femmes et six législateurs démocratiquement élus. Parmi les femmes emprisonnées se trouvent 21 mères de famille et huit enfants.
Elle a ajouté que 48 des détenus palestiniens sont emprisonnés depuis plus de 20 ans, 25 depuis plus de 25 ans et 12 depuis plus de 30 ans.
29 d’entre eux ont été enlevés et emprisonnés avant le premier « Accord d’Oslo » et devaient être relâchés en 2014, en tant que partie des « efforts pour reprendre les pourparlers de paix », mais Israël a refusé de les libérer.
En 2013, Israël a accepté de relâcher en quatre groupes 104 Palestiniens prisonniers de longue date, qui avaient été mis en prison avant les Accords d’Oslo de 1993. Ces libérations faisaient partie du plan de reprise des négociations de paix, les pourparlers ayant été arrêtés pendant plus de deux ans.
Les Palestiniens détenus le plus longtemps sont Karim Younis et Maher Younis, qui ont été faits prisonniers il y a 35 ans, ainsi que Na’el Barghouthi, qui est resté 34 ans en prison avant d’être libéré grâce à l’« Accord d’échange de prisonniers de Gilad Shalit », mais a été réarrêté par l’armée en 2014 ; une cour israélienne a réinstitué sa sentence originelle de 18 peines de prison à vie.
De plus, Israël retient captifs près de 500 Palestiniens, y compris trois afemmes et deux enfants, sous des arrêtés arbitraires de détention administrative, sans charges ni procès.
700 des détenus souffrent de maladies sérieuses et de problèmes de santé, parmi lesquels 26 souffrent de divers types de cancer.
La Société a dit que 215 détenus étaient morts en captivité, dont 75 ont été tués par les soldats qui les ont arrêtés, 72 sont morts sous la torture, 31 pour ne pas avoir reçu de traitement médical pour diverses maladies, et sept ont été abattus en prison.
Source : IMEMC.
Traduction : PPS pour l’Agence Média Palestine.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

150 prisonniers des territoires de 1948 croupissent dans les prisons israéliennes
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Il y a 150 prisonniers palestiniens des territoires occupés de 1948 qui croupissent dans les prisons israéliennes, dont 14 des prisonniers les plus anciens et 12 condamnés à perpétuité.
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Les autorités arrêtent deux personnes y compris un journaliste
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Ministère: 35 Gazaouis tués et 4 279 blessés depuis le début de la marche du retour
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Les forces israéliennes attaquent un atelier de métallurgie à Jénine et érigent un point de contrôle à Salfit
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Pologne: une plainte déposée contre le président israélien, pourquoi?
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Le gardien de la mosquée al-Aqsa arrêté par les forces israéliennes
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Haniyeh: Nous sommes prêts à entamer des négociations sur un accord d’échange avec une tierce partie
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Deux colons blessés par le jet des pierres à Hébron
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Deux colons blessés par des jets de pierres au sud de Bethléem
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5 victimes dans un bombardement de l’artillerie israélienne à l’est de Khan Younès
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L’occupation vise un point de résistance à l’est d’Al-Bureij
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Leclerc: La France doit refuser l’humiliation israélienne et reconnaître l’Etat de Palestine
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Paris: manifestation en soutien aux Palestiniens à la Place de la République
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Les autorités israéliennes démolissent le village d’Araqib pour la 127ème fois
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1 million d’arrestations documentées depuis le début de l’occupation en 1948
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Hamas: Nous avons le pouvoir de forcer l’occupation à libérer les prisonniers
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 2 Sha’ban 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Emmanuel Macron : “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. VIDEO.
Dimanche, lors d’une entretien avec Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, Emmanuel Macron a choqué la communauté musulmane en déclarant que “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. Des déclarations qui ressemblent à celles de Manuel Valls ou encore Marine Le Pen.
Emmanuel Macron, plébiscité par la communauté musulmane lors des dernières élections présidentielles notamment pour son respect de la laïcité et des différents cultes en France, vient de donner un tournant important dans son quinquennat.
En s’en prenant aux femmes musulmanes qui portent le voile, en les accusant de manque de civilité, le président de la République a pour la première fois attaqué la communauté musulmane française. Des déclarations qui sont en total contradiction avec sa position pré-électorale, qui l’avait différencié et opposé à l’islamophobie de Manuel Valls alors Premier Ministre.
“C’est-à-dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays”, “Je veux être sûr qu’une femme voilée l’est par choix”.
Le président de la République a relancé le débat sur le choix des femmes musulmanes à porter le voile, laissant entendre que ces dernières sont obligées de le mettre. Une accusations qui a depuis longtemps été balayée par de nombreuses femmes qui portent le hijab et qui ont déclaré faire ce choix par foi.
Cette prise de position risque de jouer en défaveur d’Emmanuel Macron qui jusqu’à présent avait une bonne côté de popularité dans la communauté musulmane. Depuis lundi, les vidéos et réactions se multiplient dans la blogosphère musulmane accusant le Président de surfer sur l’islamophobie ambiante.
La France reste une exception dans son modèle d’assimilation qui brime les minorités religieuses et ethniques. Au Canada, en Grande Bretagne et même aux Etats-Unis, la différence de culture est une richesse et non un ennemi à combattre.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Inde : 8 personnes devant le tribunal après avoir violé et tué une fillette musulmane de 8 ans dans un temple hindou.
Huit hommes ont plaidé non coupable à la suite du viol et du meurtre d’une fillette musulmane de huit ans en Inde.
Les hommes ont été arrêtés après que le corps de la jeune fille ait été retrouvé dans une forêt en janvier, une semaine après qu’elle ait disparu en paissant les poneys de sa famille.
Les hommes – tous hindous – sont accusés d’avoir planifié l’enlèvement de l’enfant pendant plus d’un mois dans le but d’effrayer sa tribu nomade musulmane, dans l’État du Jammu-et-Cachemire.
La police a déclaré que la jeune fille avait été violée à plusieurs reprises dans un temple hindou, où elle était sous sédation et retenue en captivité. Elle a ensuite été étranglée et matraquée à mort.
L’affaire a suscité des protestations à travers le pays lorsque des milliers de membres du groupe radical hindou Hindu Ekta Manch – ou de la plate-forme de l’unité hindoue – ont manifesté leur soutien aux accusés.
Une femme du Bangladesh qui s’était convertie à l’islam pourra être enterrée 4 ans après sa mort malgré l’avis de sa famille hindoue.
La plus haute cour du pays a statué qu’une femme qui s’est suicidée il y a quatre ans est musulmane et peut être enterrée aux côtés de son mari, mettant fin à une bataille juridique de grande envergure sur le mariage interreligieux.
Le tribunal a jugé la semaine dernière qu’Hosne Ara Lazu s’était convertie à l’islam après avoir épousé Humayun Farid Lazu en 2013, malgré l’insistance de sa famille à retourner à l’hindouisme avant sa mort.
Les familles se sont opposées à l’union entre un musulman et un hindou et les ont forcées à annuler leur union. Le père de la fille est allé jusqu’à déposer des allégations d’enlèvement contre le jeune homme auprès de la police.
Lazu, 21 ans, s’est suicidé en 2014 dans la tourmente.
Mais quand sa femme de 18 ans a avalé du poison moins de deux mois plus tard, l’affaire a fait les manchettes nationales alors que les familles allaient devant les tribunaux pour savoir comment elle serait enterrée.
Les mariages interconfessionnels sont rares et controversés dans le Bangladesh à majorité musulmane et l’affaire a été étroitement surveillée.
La famille de l’épouse a exigé une crémation hindoue tandis que les parents du mari ont demandé qu’elle soit enterrée conformément à la tradition islamique, près de la tombe de son mari.
La querelle amère a atteint la plus haute cour du pays où les juges ont décidé jeudi que la femme s’est convertie à l’Islam et doit être enterrée en conséquence.
Un boxeur mexicain met K.O un boxeur raciste américain portant un short représentant le mur de Trump.
Le boxeur mexicain Francisco Vargas a écrasé le mur de la frontière jeudi soir.
Son adversaire, le boxeur américain Rod Salka, a enfilé un short indiquant “America 1st” agrémenté d’un mur en briques, une référence évidente au désir du président Trump de construire un formidable mur frontalier entre les Etats-Unis et le Mexique.
Après le combat, le visage de Salka était couvert d’ecchymoses et de coupures. Vargas a subi un gonflement mineur.
Selon la page Wikipédia de Salka , qui inclut son histoire complète de boxe professionnelle, son surnom se lit maintenant “Le raciste”.
Le mur réel de Trump reste dans les limbes. Le président a demandé 18 milliards de dollars pour prolonger le mur au cours de la prochaine décennie. Certains des prototypes du mur atteignent environ 10m de hauteur. Pour l’instant, le Congrès américain n’a pas approuvé ce financement à long terme pour le mur.
La Syrie et la Russie retardent volontairement l’accès à la Douma aux inspecteurs d’armes chimiques.
Les inspecteurs d’armes chimiques n’ont pas encore été autorisés à accéder à la Douma en Syrie, ont déclaré des responsables britanniques alors que l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ( OIAC ) se réunissait pour discuter de “l’utilisation présumée d’armes chimiques” en Syrie.
“La Russie et la Syrie n’ont pas encore autorisé l’accès à la Douma”, a déclaré dimanche la délégation britannique, ajoutant que “l’accès sans restriction [est] essentiel” et “la Russie et la Syrie doivent coopérer”.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a immédiatement nié les allégations selon lesquelles les inspecteurs n’étaient pas autorisés à y accéder, selon l’agence de presse russe RIA.
Il a ajouté que l’arrivée des inspecteurs avait été retardée à la suite des raids aériens menés par les Etats-Unis samedi.
Les forces gouvernementales syriennes ont repris Douma la semaine dernière, prenant le contrôle total de l’ancienne enclave de la Ghouta, contrôlée par les rebelles, ont annoncé les autorités militaires russes à l’époque.
L’annonce intervient quelques jours après que des dizaines de personnes ont été tuées par des attaques chimiques dans la ville, provoquant des attaques de missiles contre des installations censées être utilisées pour rechercher, développer et stocker des armes chimiques en Syrie.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Syrie : la France annonce le retrait de la Légion d’honneur pour Bachar Al-Assad .
Sept ans après le début de la guerre civile en Syrie, la France se décide à retirer la légion d’honneur de Bachar Al-Assad. L’annonce du retrait de cette distinction a été faite lundi 16 avril par l’Elysée.
Elle intervient deux jours après les frappes occidentales en Syrie visant « le principal centre de recherche » et « deux centres de production » du « programme clandestin chimique » du régime syrien, en réaction à l’attaque chimique perpétrée le 7 avril à Douma, dans la Ghouta orientale.
« L’Elysée confirme qu’une procédure disciplinaire de retrait de la Légion d’honneur à l’endroit de Bachar Al-Assad a bien été engagée », a indiqué la présidence de la République.
Bachar Al-Assad avait été fait grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française, par Jacques Chirac lors d’un voyage officiel en France en 2001, peu après avoir succédé à son père Hafez Al-Assad.
Depuis 2010, un décret permet de déchoir plus facilement un étranger ayant « commis des actes contraires à l’honneur ». Une procédure de retrait a ainsi été engagée en 2017 contre le producteur américain Harvey Weinstein, accusé de viol.

Sur oumma.com, voici les titres.

Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise.
Dans un entretien accordé à l’édition espagnole de Vanity Fair, Karim Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise durant les hymnes qui précèdent chaque rencontre de l’équipe de France: «Si on l’écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n’aime pas ça.» a affirmé l’attaquant du Réal de Madrid. Dans ce même entretien, Benzema est revenu sur l’affaire de la sextape et les déclarations de Manuel Valls: Quand un Premier ministre parle de toi, ce n’est plus du football. Je crois qu’il ne faut pas mélanger football et politique, a déclaré l’international français (81 sélections). Dans mon cas, c’est un sujet politique. Avec l’affaire Valbuena, j’ai traversé une mauvaise passe. J’ai passé un jour en prison et je suis rentré triste à Madrid. Maintenant, j’ai trente ans, deux enfants. Je suis tranquille ici. S’ils ont besoin de moi, ils savent où je suis.» (traduction l’Equipe).
Un eurodéputé belge offre une corde à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron s’est s’adressé pour la première fois ce mardi au Parlement européen réuni à Strasbourg. Il entend bien mobiliser les Eurodéputés et lancer un “appel à la responsabilité et à l’engagement européen”. L’occasion d’un échange tendu avec Philippe Lamberts, député européen Verts qui a offert une corde au président de la République. ce à quoi Emmanuel macron lui a répondu de façon plutôt sèche.
reportage a voir sur oumma.com.
Mohamed Salah : la lanterne du ramadan.
Second meilleur buteur européen avec 30 buts en 32 matches, Mohamed Salah, l’attaquant égyptien du club de Liverpool, est une véritable superstar dans son pays. L’international égyptien des Reds constitue une fierté nationale dont les exploits hebdomadaires dans le championnat anglais chavire de bonheur tout un peuple. L’étoile de Liverpool, qui rayonne sur les terrains de football, va désormais flamboyer sur les étagères des échoppes égyptiennes.
En effet, à l’approche du Ramadan, l’Egypte a trouvé une nouvelle façon de célébrer le talent de son prodige en créant des lanternes à son effigie. Ces lanternes à thème représentent pour les Egyptiens un élément décoratif essentiel durant le jeûne du mois de ramadan. Elles scintillent au cours des longues soirées ramadaniennes, aussi bien dans les ruelles que dans les maisons, et servent également de porte-clés ou de jeux pour les enfants.
Après avoir illuminé le cœur de millions d’Egyptiens , Mohamed Salah illumine désormais leurs foyers.
Koweït : une députée crée la polémique pour avoir critiqué une campagne de promotion du hijab.
Première femme à siéger dans le temple législatif du Koweït depuis que ses concitoyennes ont, en 2005, obtenu le droit de vote et d’éligibilité, Safa Al Hashem, 54 ans, a défrayé la chronique pour avoir vivement désapprouvé la campagne promotionnelle en faveur du port du voile qui a fleuri dans le paysage urbain, s’exposant à tous les regards, aux carrefours névralgiques des cités phares de son pays.
« Un pays doté d’une Constitution qui garantit la liberté personnelle ne devrait pas tolérer de telles publicités ! », s’est-elle indignée récemment, en s’interrogeant sur les objectifs poursuivis par le ministère des Awqaf et des Affaires islamiques, le concepteur de cette vaste opération de communication, tout en demandant instamment à ce que soient retirées ces affiches qui, à ses yeux, l’affichent plutôt mal…
« Ce dont nous avons besoin, c’est d’une campagne qui renforce l’unité nationale et ne favorise pas les divisions !!! Je viens de contacter le Ministre des Dotations pour qu’il mette un terme à cette campagne. Il a promis d’agir dans ce sens toutes affaires cessantes ». Très remontée, la députée koweïtienne a laissé éclater sa colère sur Twitter, fustigeant une campagne de la discorde dont le slogan « Mon hijab rend ma vie meilleure », perçu comme lourd de sens, envoie un mauvais signal aux citoyennes qui ne l’arborent pas : il les met d’office au ban de la société.
Loin d’elle l’idée de proscrire le port du voile islamique car, comme elle l’a réaffirmé avec force sous le feu nourri de critiques que ses tweets ont déclenché, le combat qu’elle mène est celui de la préservation du libre choix des femmes de se vêtir comme bon leur semble, au nom de la fragile « unité nationale ».
Stoïque dans la tempête de protestations que ses prises de position ont soulevée, Safa Al Hashem a persisté et signé, insistant sur le devoir qui lui incombe, en tant que première femme à avoir conquis les suffrages au Koweït, de veiller au respect de toutes ses concitoyennes, sans exclusive, et à ce que l’une de leurs libertés individuelles fondamentales ne soit pas bafouée.
« Je n’ai pas attaqué le port du hijab et je crois toujours que le porter relève d’un choix personnel et d’une liberté individuelle essentielle. Autour de moi, dans ma famille ou parmi mes connaissances, il y a tellement de femmes que je connais qui sont des hijabis !! », a-t-elle clamé haut et fort en conférence de presse.
Mais sa voix, dont la dissonance a heurté bien des oreilles, semble s’être perdue dans le bruit assourdissant de la polémique qui a retenti au Koweït, dans le monde réel comme virtuel.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Asma Lamrabet : «Le voile soulève en France une hystérie politique difficilement compréhensible».
Exclusif. Asma Lamrabet est une chercheuse engagée pour une relecture égalitaire des Textes de l’islam, une réforme de leur interprétation. Démissionnaire il y a peu du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita al Mohamadya des Oulémas du Maroc, Asma Lamrabet nous accordé un entretien dans lequel elle précise sa position sur les raisons de sa démission forcée. L’auteure de «Le Coran et les femmes : une lecture de libération», a également réagi aux déclarations du président la République Emmanuel Macron sur le voile. Focus.
Egérie du féminisme islamique, tête de proue du réformisme islamique sur la question paritaire, Asma Lamrabet avait annoncé en mars sa démission forcée du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita alMohamadya des Oulémas du Maroc qu’elle dirigeait. En cause : ses déclarations critiques sur l’égalité hommes-femmes, et selon plusieurs médias marocains et l’Agence France Presse, ses critiques sur l’héritage. « A l’occasion d’une conférence universitaire de présentation de l’ouvrage collectif sur l’héritage, mes propos, exprimés à titre strictement personnel et rapportés par un organe de presse ont suscité un tollé et une grande polémique lors de la 20ème session du Conseil académique de la Rabita. Devant une telle pression, j’ai été contrainte à présenter ma démission en raison des divergences portant sur l’approche de l’égalité femmes hommes au sein du référentiel religieux », a-t-elle expliqué dans un communiqué publié sur son site internet. « J’ai toujours prôné une lecture progressiste, réformiste et dépolitisée pour opérer une nouvelle approche de la question des femmes dans l’Islam. C’est l’action que j’ai toujours mené à travers la déconstruction des lectures rigoristes et patriarcales, notamment à travers mes différents ouvrages », a-t-elle ajouté.
J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam.
« J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel ».
Trois semaines après cette annonce, quel est l’état d’esprit d’Asma Lamrabet ? Plus que jamais, l’incompréhension. « Concernant l’héritage, on a réduit tout mon travail dessus. J’ai participé durant 10 années à cette commission qui a validé mes travaux. J’ai toujours dit que la priorité était au dialogue et à la réforme de l’ensemble de notre approche sur les Textes. J’ai été la première surprise d’apprendre ces réactions qui ont poussé à ma démission. J’ai pourtant dit au cours de cette conférence ce que j’ai toujours dit. Ma pensée n’a pas changé. J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam, ce qui a toujours été fait tout au long des siècles », a-t-elle confié à la rédaction de Mizane.info. Aujourd’hui, Mme Lamrabet n’hésite plus à le dire : « J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel. Cette situation a montré les limites d’une approche réformiste appliquée dans les milieux traditionalistes. »
« Nous devons faire notre autocritique »
Cette page refermée, Asma Lamrabet compte bien approfondir ses recherches et consacrer ses prochains travaux à l’éthique musulmane dans une approche inclusive. « Je vais essayer de dépasser la question des femmes en travaillant sur l’éthique dans une approche humaniste ouverte associant hommes et femmes. »
Une réponse à certains discours féministes identitaires postulant la rupture avec les hommes et leur exclusion de la question féminine en islam. « Les femmes peuvent avoir une lecture très conservatrice et patriarcale des Textes. La question n’est donc pas circonscrite aux femmes. »
Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire.
« Cette problématique du voile est devenue trop sensible ».
Interrogée sur les propos d’Emmanuel Macron pour qui « le port du voile n’est pas conforme à la civilité dans notre pays (…) c’est à dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays (…) Nous ne comprenons pas qu’il y ait cette différence, cette distance, cette séparation. C’est ça un peu le voile. Et donc c’est ça qui vient un peu bousculer notre philosophie profonde, notre vie ensemble », Asma Lamrabet se veut nuancée. « Cette question est complexe et spécifique à la France, tellement spécifique à ce contexte qu’il est difficile pour moi de porter un jugement. Cette problématique du voile est devenue trop sensible. Je ne veux pas donner de leçons. Il y a des problèmes de part et d’autres. Nous devons faire notre autocritique sur les discours qui ont donné la priorité sur le foulard. Quand on voit qu’il y a des ouvrages entiers qui ne parlent que de cela, on est en droit de se poser des questions. Les islamophobes et tous ceux qui se focalisent sur ce sujet sont par ailleurs obnubilés par lui au point où nous n’arrivons plus à en discuter. » Elle réitère cependant sa position de principe sur le port du voile : un acte de liberté. « Le voile soulève en France une hystérie politique collective difficilement compréhensible. Les propos d’Emmanuel Macron sur le voile sont en décalage avec son très beau discours sur la laïcité aux Bernardins. C’est très triste. On crée des frustrations de part et d’autres. Les femmes musulmanes sont les principales victimes car elles sont culpabilisées. Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire. »

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Nouvelle grille salariale dans le secteur de l’enseignement primaire, moyen et secondaire : Il y en aura pour (presque) tout le monde.
Le phénomène prend de plus en plus d’ampleur : Plus de 50 % des Algériens ont recours à l’automédication.
Projet de la Grande Mosquée d’Alger : Livré fin 2018.
Levée de la suspension à l’importation d’intrants de produits alimentaires : Bonne nouvelle pour l’industrie agroalimentaire.
Clôture de la 29e session du Conseil de la ligue des Etats arabes : Trouver des solutions idoines aux conflits.
Crash de l’avion militaire : Des victimes identifiées, honorées à Aïn Naâdja.
Logement : Ils attendent le paiement de leurs travaux : Des opérateurs du BTPH inquiets.
Séminaire international sur l’économie sociale et solidaire : Pour une meilleure insertion professionnelle des jeunes.
22 wilayas sont concernées : 26 000 logements AADL distribués en mai.
Feu vert de l’UE à l’inclusion du Sahara occidental dans son accord de pêche avec le Maroc : Le Front Polisario condamne.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Syrie : en Algérie, ceux qui n’aiment pas Bachar détestent encore plus l’OTAN.
« L’Algérie ne peut que regretter les frappes qui se sont déroulées cette nuit en Syrie au moment où toute la communauté internationale attendait plutôt l’envoi d’une commission d’enquête pour évaluer où vérifier toutes ces informations relatives à l’usage présumé d’armes chimiques que l’Algérie avait dénoncé ».
Dans une Algérie où le mot « impérialisme » a encore du sens pour une bonne partie de l’opinion, le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a eu une réaction très modérée après les bombardements menés conjointement par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France contre la Syrie.
Les «regrets » du Premier ministre sont en effet très loin de la condamnation quasi-unanime dans les médias algériens qui ne se sont pas privés de rappeler qu’on assiste à un remake de la guerre contre l’Irak au nom des mensonges sur l’existence d’armes de destruction massive.
Les commentaires au vitriol dans les médias, qui correspondent largement aux vues de l’opinion publique, ont amené l’ambassade britannique à Alger à diffuser sur sa page Facebook la déclaration de Theresa May assortie d’une présentation évoquant une «incompréhension » de la presse algérienne sur les raisons qui ont amenées le « Royaume Uni à lancer une opération militaire pour affaiblir les capacités du régime syrien en matière d’armes chimiques ».
Abed Charef, politologue et journaliste respecté en Algérie a partagé le post de l’ambassade britannique en l’assortissant d’un commentaire cinglant : « Il n’y a pas d’incompréhension. Les Algériens considèrent que le gouvernement britannique est menteur, que sa politique est injuste. Irak, Libye et Palestine en témoignent. Pourquoi ce serait différent avec la Syrie? Tiens, ça vous dirait de bombarder une armée qui occupe illégalement un territoire qui n’est pas le sien? On peut vous donner l’adresse ».
Même les islamistes algériens qui, comme tous les islamistes du monde arabe, considèrent que Bachar Al-Assad est un boucher se sentent obligés de tenir compte du rejet instinctif de l’écrasante majorité des Algériens à toute intervention occidentale dans les pays arabes.
Abderrezak Makri, chef du Mouvement de Société de paix (MSP, frères musulmans) a fait une déclaration millimétrée pour condamner les bombardements occidentaux tout en rendant Bachar Al-Assad, responsable du désastre syrien.
Le MSP, écrit-t-il, « condamne l’agression tripartite » contre la Syrie qui « bafoue le droit international » et regrette de voir la Syrie se transformer en « champ de bataille entre des puissances régionales et internationale ». Le MSP considère que « le régime syrien et son président Bachar Al-Assad qui a détruit la Syrie, tué et exilé une grande partie de son peuple sont totalement responsables de ce qui arrive… ». L’exercice d’équilibriste du mouvement islamiste lui vaut d’ailleurs des remarques ironiques sur le mode: « le silence est parfois de la sagesse ».
En Algérie, même si le gouvernement choisit justement le silence par realpolitik pour ne pas distendre les relations avec les partenaires occidentaux, au sein de l’opinion le rejet de l’interventionnisme occidental fait partie de l’héritage «culturel » de la guerre d’indépendance. L’OTAN, avec qui le gouvernement algérien traite et parfois coopère, est très largement considérée comme une menace et un ennemi.
L’OTAN et le printemps arabe.
C’est d’ailleurs l’entrée en action de l’OTAN dans la crise libyenne en 2011 qui a entrainé un changement brusque de l’opinion publique algérienne à l’égard des mouvements dits du printemps arabe. La chute de Ben Ali en Tunisie a été saluée avec ferveur et les débuts de la contestation en Libye également, les Algériens ayant été outrés par les promesses de Kadhafi de liquider ses opposants « zenga zenga, dar bdar » (rue par rue, maison par maison).
La sympathie initiale pour les rebelles libyens a cependant été complètement balayée par l’entrée en lice de l’OTAN et l’activisme de Sarkozy et les poses de Bernard Henry Lévy. L’évolution de la situation de ce pays vers le chaos en Libye a d’ailleurs conforté une partie de l’opinion dans une lecture conspiratrice – encouragée par les médias proches du régime – qui s’est étendue rapidement à la situation en Syrie. La montée de Daech a aussi fait basculer les hésitants qui préfèrent la « dictature de Bachar » à l’oppression absolue des « daéchiens ».
Le discours anti-chiite des saoudiens relayé en Algérie par les salafistes et certains médias n’a pas eu d’impact au-delà des islamistes. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, reste populaire et il est perçu, non comme un religieux chiite mais comme un « résistant ».
« Tous les Algériens ne sont pas des fans de Bachar Al-Assad, beaucoup considèrent que c’est un dictateur largement responsable du désastre, mais ils n’aiment vraiment pas l’OTAN qu’ils continuent de percevoir comme une entité hostile » estime un journaliste. « Même ceux qui n’aiment pas Bachar Al-Assad, n’aiment pas l’OTAN encore plus. Ils ne peuvent approuver une action militaire des occidentaux et encore plus en dehors du cadre de l’Onu, cela fait partie d’une culture politique très ancrée ».
Par notre correspondant en Algérie, Rafik Larbi.
Les « Muslim Talks » : une estrade donnée aux musulmans inspirants.
Les conférences TED (Technology Entertainement Design), créées aux Etats-Unis, ont propulsé des esprits brillants comme Bill Gates, Jane Goodall, Al Gore et bien d’autres. Cette prise de parole d’environ 18 minutes, permet à des intervenants (philosophes, poètes, scientifiques, artistes et autres) de partager « des idées qui valent la peine d’être diffusées » auprès du grand public et d’exposer leurs visions du monde, en vue de l’améliorer.
Un concept qui s’est largement diffusé en Europe et dont l’association The Muslim Think Tanks – organisation qui propose des espaces d’échange sur les questions liées à l’islam et aux musulmans – s’est également inspirée.
Pour la troisième fois, le 5 mai à Paris, l’association organise un évènement appelé « MTalks : Inspirations », où s’exprimeront six personnalités aux idées innovantes, avec un parcours atypique ou possédant une compétence remarquable.
« Les MTalks sont effectivement pensé comme des TED mais sous un prisme musulman. Le but est de donner la parole à des gens experts dans leur domaine mais peu connus. Nous souhaitons mettre en avant des musulmans inspirants, leur donner une estrade », explique Inès, membre active de l’association.
Un évènement qui répond à l’un des objectifs du Muslim Think Tanks, qui est de « sensibiliser à la pluralité intellectuelle et spirituelle des musulman(e)s ».
Les éditions précédentes avaient mis en lumière des profils divers comme Fatoumata Kebe, astronome venue parler des déchets dans l’espace, la sociologue Fatima Khemilat s’exprimant sur le concept d’épistémicide, mais aussi le pianiste Marouan Benabdallah, ou encore Abd Al Karim Steve, spécialiste en développement personnel.
« Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir »
Cette année, les intervenants – dont l’identité ne sera révélée que le jour J – mettront à l’honneur la philosophie, l’anthropologie, les nanosciences ou encore la spiritualité…
Des « speakers » d’excellence qui sont toujours préalablement formés à la prise de parole et à l’éloquence par l’association. Ils n’ont en effet qu’entre 8 et 15 minutes pour partager et vulgariser leurs travaux devant le public.
« Nous accordons aussi beaucoup d’importance à la scénographie, au décor. Cela contribue à rendre les gens fiers de leurs travaux et de faire partie de cette communauté », précise Inès, une des bénévoles chargées des « speakers ».
Ces derniers verront d’ailleurs leur intervention filmée de façon professionnelle, puis mise en ligne sur la chaine Youtube de l’association afin de diffuser plus largement leurs idées.
Pour l’occasion, les « speakers » et le public seront accueillis à l’auditorium de la Bibliothèque Nationale de France, où plus de 350 personnes sont attendues. A la fin des interventions, les spectateurs seront conviés à un cocktail pour un moment d’échange avec les conférenciers. « Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir », conclu Inès.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

1 million d’arrestations documentées depuis le début de l’occupation en 1948
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Selon les données palestiniennes sur les droits de l’homme, environ un million de cas d’arrestations ont été documentés depuis le début de l’occupation sioniste en 1948
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Hamas: Nous avons le pouvoir de forcer l’occupation à libérer les prisonniers
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Qalqiliya: 15 dunums agricoles dévastés pour servir un plan colonial
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L’occupation empêche l’entrée du maire de Gennevilliers pour son soutien au BDS
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Les Autorité Palestinienne arrêtent 4 citoyens en Cisjordanie
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Une voiture de colons caillassée à Hébron
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L’occupation ferme le centre Elia à Jérusalem
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59 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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En Cisjordanie, une nuit d’arrestations et d’attaques de colons
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Le CNP exige la présentation du dossier des prisonniers à la CPI
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Les forces d’occupation arrêtent trois maqdessites sous prétexte d’avoir brûlé le drapeau d’Israel
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Les colons israéliens éclatent de rire alors que les snipers tirent sur les manifestants de Gaza
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Le CLP se réunit à la frontière de Gaza pour célébrer la journée des prisonniers.
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Les colons lèvent des drapeaux israéliens sur la mosquée Ibrahimi
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Un étudiant arrêté à un poste de contrôle militaire à Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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