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Flash info pour le 2 Sha’ban 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Emmanuel Macron : “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. VIDEO.
Dimanche, lors d’une entretien avec Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, Emmanuel Macron a choqué la communauté musulmane en déclarant que “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. Des déclarations qui ressemblent à celles de Manuel Valls ou encore Marine Le Pen.
Emmanuel Macron, plébiscité par la communauté musulmane lors des dernières élections présidentielles notamment pour son respect de la laïcité et des différents cultes en France, vient de donner un tournant important dans son quinquennat.
En s’en prenant aux femmes musulmanes qui portent le voile, en les accusant de manque de civilité, le président de la République a pour la première fois attaqué la communauté musulmane française. Des déclarations qui sont en total contradiction avec sa position pré-électorale, qui l’avait différencié et opposé à l’islamophobie de Manuel Valls alors Premier Ministre.
“C’est-à-dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays”, “Je veux être sûr qu’une femme voilée l’est par choix”.
Le président de la République a relancé le débat sur le choix des femmes musulmanes à porter le voile, laissant entendre que ces dernières sont obligées de le mettre. Une accusations qui a depuis longtemps été balayée par de nombreuses femmes qui portent le hijab et qui ont déclaré faire ce choix par foi.
Cette prise de position risque de jouer en défaveur d’Emmanuel Macron qui jusqu’à présent avait une bonne côté de popularité dans la communauté musulmane. Depuis lundi, les vidéos et réactions se multiplient dans la blogosphère musulmane accusant le Président de surfer sur l’islamophobie ambiante.
La France reste une exception dans son modèle d’assimilation qui brime les minorités religieuses et ethniques. Au Canada, en Grande Bretagne et même aux Etats-Unis, la différence de culture est une richesse et non un ennemi à combattre.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Inde : 8 personnes devant le tribunal après avoir violé et tué une fillette musulmane de 8 ans dans un temple hindou.
Huit hommes ont plaidé non coupable à la suite du viol et du meurtre d’une fillette musulmane de huit ans en Inde.
Les hommes ont été arrêtés après que le corps de la jeune fille ait été retrouvé dans une forêt en janvier, une semaine après qu’elle ait disparu en paissant les poneys de sa famille.
Les hommes – tous hindous – sont accusés d’avoir planifié l’enlèvement de l’enfant pendant plus d’un mois dans le but d’effrayer sa tribu nomade musulmane, dans l’État du Jammu-et-Cachemire.
La police a déclaré que la jeune fille avait été violée à plusieurs reprises dans un temple hindou, où elle était sous sédation et retenue en captivité. Elle a ensuite été étranglée et matraquée à mort.
L’affaire a suscité des protestations à travers le pays lorsque des milliers de membres du groupe radical hindou Hindu Ekta Manch – ou de la plate-forme de l’unité hindoue – ont manifesté leur soutien aux accusés.
Une femme du Bangladesh qui s’était convertie à l’islam pourra être enterrée 4 ans après sa mort malgré l’avis de sa famille hindoue.
La plus haute cour du pays a statué qu’une femme qui s’est suicidée il y a quatre ans est musulmane et peut être enterrée aux côtés de son mari, mettant fin à une bataille juridique de grande envergure sur le mariage interreligieux.
Le tribunal a jugé la semaine dernière qu’Hosne Ara Lazu s’était convertie à l’islam après avoir épousé Humayun Farid Lazu en 2013, malgré l’insistance de sa famille à retourner à l’hindouisme avant sa mort.
Les familles se sont opposées à l’union entre un musulman et un hindou et les ont forcées à annuler leur union. Le père de la fille est allé jusqu’à déposer des allégations d’enlèvement contre le jeune homme auprès de la police.
Lazu, 21 ans, s’est suicidé en 2014 dans la tourmente.
Mais quand sa femme de 18 ans a avalé du poison moins de deux mois plus tard, l’affaire a fait les manchettes nationales alors que les familles allaient devant les tribunaux pour savoir comment elle serait enterrée.
Les mariages interconfessionnels sont rares et controversés dans le Bangladesh à majorité musulmane et l’affaire a été étroitement surveillée.
La famille de l’épouse a exigé une crémation hindoue tandis que les parents du mari ont demandé qu’elle soit enterrée conformément à la tradition islamique, près de la tombe de son mari.
La querelle amère a atteint la plus haute cour du pays où les juges ont décidé jeudi que la femme s’est convertie à l’Islam et doit être enterrée en conséquence.
Un boxeur mexicain met K.O un boxeur raciste américain portant un short représentant le mur de Trump.
Le boxeur mexicain Francisco Vargas a écrasé le mur de la frontière jeudi soir.
Son adversaire, le boxeur américain Rod Salka, a enfilé un short indiquant “America 1st” agrémenté d’un mur en briques, une référence évidente au désir du président Trump de construire un formidable mur frontalier entre les Etats-Unis et le Mexique.
Après le combat, le visage de Salka était couvert d’ecchymoses et de coupures. Vargas a subi un gonflement mineur.
Selon la page Wikipédia de Salka , qui inclut son histoire complète de boxe professionnelle, son surnom se lit maintenant “Le raciste”.
Le mur réel de Trump reste dans les limbes. Le président a demandé 18 milliards de dollars pour prolonger le mur au cours de la prochaine décennie. Certains des prototypes du mur atteignent environ 10m de hauteur. Pour l’instant, le Congrès américain n’a pas approuvé ce financement à long terme pour le mur.
La Syrie et la Russie retardent volontairement l’accès à la Douma aux inspecteurs d’armes chimiques.
Les inspecteurs d’armes chimiques n’ont pas encore été autorisés à accéder à la Douma en Syrie, ont déclaré des responsables britanniques alors que l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ( OIAC ) se réunissait pour discuter de “l’utilisation présumée d’armes chimiques” en Syrie.
“La Russie et la Syrie n’ont pas encore autorisé l’accès à la Douma”, a déclaré dimanche la délégation britannique, ajoutant que “l’accès sans restriction [est] essentiel” et “la Russie et la Syrie doivent coopérer”.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a immédiatement nié les allégations selon lesquelles les inspecteurs n’étaient pas autorisés à y accéder, selon l’agence de presse russe RIA.
Il a ajouté que l’arrivée des inspecteurs avait été retardée à la suite des raids aériens menés par les Etats-Unis samedi.
Les forces gouvernementales syriennes ont repris Douma la semaine dernière, prenant le contrôle total de l’ancienne enclave de la Ghouta, contrôlée par les rebelles, ont annoncé les autorités militaires russes à l’époque.
L’annonce intervient quelques jours après que des dizaines de personnes ont été tuées par des attaques chimiques dans la ville, provoquant des attaques de missiles contre des installations censées être utilisées pour rechercher, développer et stocker des armes chimiques en Syrie.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Syrie : la France annonce le retrait de la Légion d’honneur pour Bachar Al-Assad .
Sept ans après le début de la guerre civile en Syrie, la France se décide à retirer la légion d’honneur de Bachar Al-Assad. L’annonce du retrait de cette distinction a été faite lundi 16 avril par l’Elysée.
Elle intervient deux jours après les frappes occidentales en Syrie visant « le principal centre de recherche » et « deux centres de production » du « programme clandestin chimique » du régime syrien, en réaction à l’attaque chimique perpétrée le 7 avril à Douma, dans la Ghouta orientale.
« L’Elysée confirme qu’une procédure disciplinaire de retrait de la Légion d’honneur à l’endroit de Bachar Al-Assad a bien été engagée », a indiqué la présidence de la République.
Bachar Al-Assad avait été fait grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française, par Jacques Chirac lors d’un voyage officiel en France en 2001, peu après avoir succédé à son père Hafez Al-Assad.
Depuis 2010, un décret permet de déchoir plus facilement un étranger ayant « commis des actes contraires à l’honneur ». Une procédure de retrait a ainsi été engagée en 2017 contre le producteur américain Harvey Weinstein, accusé de viol.

Sur oumma.com, voici les titres.

Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise.
Dans un entretien accordé à l’édition espagnole de Vanity Fair, Karim Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise durant les hymnes qui précèdent chaque rencontre de l’équipe de France: «Si on l’écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n’aime pas ça.» a affirmé l’attaquant du Réal de Madrid. Dans ce même entretien, Benzema est revenu sur l’affaire de la sextape et les déclarations de Manuel Valls: Quand un Premier ministre parle de toi, ce n’est plus du football. Je crois qu’il ne faut pas mélanger football et politique, a déclaré l’international français (81 sélections). Dans mon cas, c’est un sujet politique. Avec l’affaire Valbuena, j’ai traversé une mauvaise passe. J’ai passé un jour en prison et je suis rentré triste à Madrid. Maintenant, j’ai trente ans, deux enfants. Je suis tranquille ici. S’ils ont besoin de moi, ils savent où je suis.» (traduction l’Equipe).
Un eurodéputé belge offre une corde à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron s’est s’adressé pour la première fois ce mardi au Parlement européen réuni à Strasbourg. Il entend bien mobiliser les Eurodéputés et lancer un “appel à la responsabilité et à l’engagement européen”. L’occasion d’un échange tendu avec Philippe Lamberts, député européen Verts qui a offert une corde au président de la République. ce à quoi Emmanuel macron lui a répondu de façon plutôt sèche.
reportage a voir sur oumma.com.
Mohamed Salah : la lanterne du ramadan.
Second meilleur buteur européen avec 30 buts en 32 matches, Mohamed Salah, l’attaquant égyptien du club de Liverpool, est une véritable superstar dans son pays. L’international égyptien des Reds constitue une fierté nationale dont les exploits hebdomadaires dans le championnat anglais chavire de bonheur tout un peuple. L’étoile de Liverpool, qui rayonne sur les terrains de football, va désormais flamboyer sur les étagères des échoppes égyptiennes.
En effet, à l’approche du Ramadan, l’Egypte a trouvé une nouvelle façon de célébrer le talent de son prodige en créant des lanternes à son effigie. Ces lanternes à thème représentent pour les Egyptiens un élément décoratif essentiel durant le jeûne du mois de ramadan. Elles scintillent au cours des longues soirées ramadaniennes, aussi bien dans les ruelles que dans les maisons, et servent également de porte-clés ou de jeux pour les enfants.
Après avoir illuminé le cœur de millions d’Egyptiens , Mohamed Salah illumine désormais leurs foyers.
Koweït : une députée crée la polémique pour avoir critiqué une campagne de promotion du hijab.
Première femme à siéger dans le temple législatif du Koweït depuis que ses concitoyennes ont, en 2005, obtenu le droit de vote et d’éligibilité, Safa Al Hashem, 54 ans, a défrayé la chronique pour avoir vivement désapprouvé la campagne promotionnelle en faveur du port du voile qui a fleuri dans le paysage urbain, s’exposant à tous les regards, aux carrefours névralgiques des cités phares de son pays.
« Un pays doté d’une Constitution qui garantit la liberté personnelle ne devrait pas tolérer de telles publicités ! », s’est-elle indignée récemment, en s’interrogeant sur les objectifs poursuivis par le ministère des Awqaf et des Affaires islamiques, le concepteur de cette vaste opération de communication, tout en demandant instamment à ce que soient retirées ces affiches qui, à ses yeux, l’affichent plutôt mal…
« Ce dont nous avons besoin, c’est d’une campagne qui renforce l’unité nationale et ne favorise pas les divisions !!! Je viens de contacter le Ministre des Dotations pour qu’il mette un terme à cette campagne. Il a promis d’agir dans ce sens toutes affaires cessantes ». Très remontée, la députée koweïtienne a laissé éclater sa colère sur Twitter, fustigeant une campagne de la discorde dont le slogan « Mon hijab rend ma vie meilleure », perçu comme lourd de sens, envoie un mauvais signal aux citoyennes qui ne l’arborent pas : il les met d’office au ban de la société.
Loin d’elle l’idée de proscrire le port du voile islamique car, comme elle l’a réaffirmé avec force sous le feu nourri de critiques que ses tweets ont déclenché, le combat qu’elle mène est celui de la préservation du libre choix des femmes de se vêtir comme bon leur semble, au nom de la fragile « unité nationale ».
Stoïque dans la tempête de protestations que ses prises de position ont soulevée, Safa Al Hashem a persisté et signé, insistant sur le devoir qui lui incombe, en tant que première femme à avoir conquis les suffrages au Koweït, de veiller au respect de toutes ses concitoyennes, sans exclusive, et à ce que l’une de leurs libertés individuelles fondamentales ne soit pas bafouée.
« Je n’ai pas attaqué le port du hijab et je crois toujours que le porter relève d’un choix personnel et d’une liberté individuelle essentielle. Autour de moi, dans ma famille ou parmi mes connaissances, il y a tellement de femmes que je connais qui sont des hijabis !! », a-t-elle clamé haut et fort en conférence de presse.
Mais sa voix, dont la dissonance a heurté bien des oreilles, semble s’être perdue dans le bruit assourdissant de la polémique qui a retenti au Koweït, dans le monde réel comme virtuel.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Asma Lamrabet : «Le voile soulève en France une hystérie politique difficilement compréhensible».
Exclusif. Asma Lamrabet est une chercheuse engagée pour une relecture égalitaire des Textes de l’islam, une réforme de leur interprétation. Démissionnaire il y a peu du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita al Mohamadya des Oulémas du Maroc, Asma Lamrabet nous accordé un entretien dans lequel elle précise sa position sur les raisons de sa démission forcée. L’auteure de «Le Coran et les femmes : une lecture de libération», a également réagi aux déclarations du président la République Emmanuel Macron sur le voile. Focus.
Egérie du féminisme islamique, tête de proue du réformisme islamique sur la question paritaire, Asma Lamrabet avait annoncé en mars sa démission forcée du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita alMohamadya des Oulémas du Maroc qu’elle dirigeait. En cause : ses déclarations critiques sur l’égalité hommes-femmes, et selon plusieurs médias marocains et l’Agence France Presse, ses critiques sur l’héritage. « A l’occasion d’une conférence universitaire de présentation de l’ouvrage collectif sur l’héritage, mes propos, exprimés à titre strictement personnel et rapportés par un organe de presse ont suscité un tollé et une grande polémique lors de la 20ème session du Conseil académique de la Rabita. Devant une telle pression, j’ai été contrainte à présenter ma démission en raison des divergences portant sur l’approche de l’égalité femmes hommes au sein du référentiel religieux », a-t-elle expliqué dans un communiqué publié sur son site internet. « J’ai toujours prôné une lecture progressiste, réformiste et dépolitisée pour opérer une nouvelle approche de la question des femmes dans l’Islam. C’est l’action que j’ai toujours mené à travers la déconstruction des lectures rigoristes et patriarcales, notamment à travers mes différents ouvrages », a-t-elle ajouté.
J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam.
« J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel ».
Trois semaines après cette annonce, quel est l’état d’esprit d’Asma Lamrabet ? Plus que jamais, l’incompréhension. « Concernant l’héritage, on a réduit tout mon travail dessus. J’ai participé durant 10 années à cette commission qui a validé mes travaux. J’ai toujours dit que la priorité était au dialogue et à la réforme de l’ensemble de notre approche sur les Textes. J’ai été la première surprise d’apprendre ces réactions qui ont poussé à ma démission. J’ai pourtant dit au cours de cette conférence ce que j’ai toujours dit. Ma pensée n’a pas changé. J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam, ce qui a toujours été fait tout au long des siècles », a-t-elle confié à la rédaction de Mizane.info. Aujourd’hui, Mme Lamrabet n’hésite plus à le dire : « J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel. Cette situation a montré les limites d’une approche réformiste appliquée dans les milieux traditionalistes. »
« Nous devons faire notre autocritique »
Cette page refermée, Asma Lamrabet compte bien approfondir ses recherches et consacrer ses prochains travaux à l’éthique musulmane dans une approche inclusive. « Je vais essayer de dépasser la question des femmes en travaillant sur l’éthique dans une approche humaniste ouverte associant hommes et femmes. »
Une réponse à certains discours féministes identitaires postulant la rupture avec les hommes et leur exclusion de la question féminine en islam. « Les femmes peuvent avoir une lecture très conservatrice et patriarcale des Textes. La question n’est donc pas circonscrite aux femmes. »
Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire.
« Cette problématique du voile est devenue trop sensible ».
Interrogée sur les propos d’Emmanuel Macron pour qui « le port du voile n’est pas conforme à la civilité dans notre pays (…) c’est à dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays (…) Nous ne comprenons pas qu’il y ait cette différence, cette distance, cette séparation. C’est ça un peu le voile. Et donc c’est ça qui vient un peu bousculer notre philosophie profonde, notre vie ensemble », Asma Lamrabet se veut nuancée. « Cette question est complexe et spécifique à la France, tellement spécifique à ce contexte qu’il est difficile pour moi de porter un jugement. Cette problématique du voile est devenue trop sensible. Je ne veux pas donner de leçons. Il y a des problèmes de part et d’autres. Nous devons faire notre autocritique sur les discours qui ont donné la priorité sur le foulard. Quand on voit qu’il y a des ouvrages entiers qui ne parlent que de cela, on est en droit de se poser des questions. Les islamophobes et tous ceux qui se focalisent sur ce sujet sont par ailleurs obnubilés par lui au point où nous n’arrivons plus à en discuter. » Elle réitère cependant sa position de principe sur le port du voile : un acte de liberté. « Le voile soulève en France une hystérie politique collective difficilement compréhensible. Les propos d’Emmanuel Macron sur le voile sont en décalage avec son très beau discours sur la laïcité aux Bernardins. C’est très triste. On crée des frustrations de part et d’autres. Les femmes musulmanes sont les principales victimes car elles sont culpabilisées. Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire. »

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Nouvelle grille salariale dans le secteur de l’enseignement primaire, moyen et secondaire : Il y en aura pour (presque) tout le monde.
Le phénomène prend de plus en plus d’ampleur : Plus de 50 % des Algériens ont recours à l’automédication.
Projet de la Grande Mosquée d’Alger : Livré fin 2018.
Levée de la suspension à l’importation d’intrants de produits alimentaires : Bonne nouvelle pour l’industrie agroalimentaire.
Clôture de la 29e session du Conseil de la ligue des Etats arabes : Trouver des solutions idoines aux conflits.
Crash de l’avion militaire : Des victimes identifiées, honorées à Aïn Naâdja.
Logement : Ils attendent le paiement de leurs travaux : Des opérateurs du BTPH inquiets.
Séminaire international sur l’économie sociale et solidaire : Pour une meilleure insertion professionnelle des jeunes.
22 wilayas sont concernées : 26 000 logements AADL distribués en mai.
Feu vert de l’UE à l’inclusion du Sahara occidental dans son accord de pêche avec le Maroc : Le Front Polisario condamne.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Syrie : en Algérie, ceux qui n’aiment pas Bachar détestent encore plus l’OTAN.
« L’Algérie ne peut que regretter les frappes qui se sont déroulées cette nuit en Syrie au moment où toute la communauté internationale attendait plutôt l’envoi d’une commission d’enquête pour évaluer où vérifier toutes ces informations relatives à l’usage présumé d’armes chimiques que l’Algérie avait dénoncé ».
Dans une Algérie où le mot « impérialisme » a encore du sens pour une bonne partie de l’opinion, le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a eu une réaction très modérée après les bombardements menés conjointement par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France contre la Syrie.
Les «regrets » du Premier ministre sont en effet très loin de la condamnation quasi-unanime dans les médias algériens qui ne se sont pas privés de rappeler qu’on assiste à un remake de la guerre contre l’Irak au nom des mensonges sur l’existence d’armes de destruction massive.
Les commentaires au vitriol dans les médias, qui correspondent largement aux vues de l’opinion publique, ont amené l’ambassade britannique à Alger à diffuser sur sa page Facebook la déclaration de Theresa May assortie d’une présentation évoquant une «incompréhension » de la presse algérienne sur les raisons qui ont amenées le « Royaume Uni à lancer une opération militaire pour affaiblir les capacités du régime syrien en matière d’armes chimiques ».
Abed Charef, politologue et journaliste respecté en Algérie a partagé le post de l’ambassade britannique en l’assortissant d’un commentaire cinglant : « Il n’y a pas d’incompréhension. Les Algériens considèrent que le gouvernement britannique est menteur, que sa politique est injuste. Irak, Libye et Palestine en témoignent. Pourquoi ce serait différent avec la Syrie? Tiens, ça vous dirait de bombarder une armée qui occupe illégalement un territoire qui n’est pas le sien? On peut vous donner l’adresse ».
Même les islamistes algériens qui, comme tous les islamistes du monde arabe, considèrent que Bachar Al-Assad est un boucher se sentent obligés de tenir compte du rejet instinctif de l’écrasante majorité des Algériens à toute intervention occidentale dans les pays arabes.
Abderrezak Makri, chef du Mouvement de Société de paix (MSP, frères musulmans) a fait une déclaration millimétrée pour condamner les bombardements occidentaux tout en rendant Bachar Al-Assad, responsable du désastre syrien.
Le MSP, écrit-t-il, « condamne l’agression tripartite » contre la Syrie qui « bafoue le droit international » et regrette de voir la Syrie se transformer en « champ de bataille entre des puissances régionales et internationale ». Le MSP considère que « le régime syrien et son président Bachar Al-Assad qui a détruit la Syrie, tué et exilé une grande partie de son peuple sont totalement responsables de ce qui arrive… ». L’exercice d’équilibriste du mouvement islamiste lui vaut d’ailleurs des remarques ironiques sur le mode: « le silence est parfois de la sagesse ».
En Algérie, même si le gouvernement choisit justement le silence par realpolitik pour ne pas distendre les relations avec les partenaires occidentaux, au sein de l’opinion le rejet de l’interventionnisme occidental fait partie de l’héritage «culturel » de la guerre d’indépendance. L’OTAN, avec qui le gouvernement algérien traite et parfois coopère, est très largement considérée comme une menace et un ennemi.
L’OTAN et le printemps arabe.
C’est d’ailleurs l’entrée en action de l’OTAN dans la crise libyenne en 2011 qui a entrainé un changement brusque de l’opinion publique algérienne à l’égard des mouvements dits du printemps arabe. La chute de Ben Ali en Tunisie a été saluée avec ferveur et les débuts de la contestation en Libye également, les Algériens ayant été outrés par les promesses de Kadhafi de liquider ses opposants « zenga zenga, dar bdar » (rue par rue, maison par maison).
La sympathie initiale pour les rebelles libyens a cependant été complètement balayée par l’entrée en lice de l’OTAN et l’activisme de Sarkozy et les poses de Bernard Henry Lévy. L’évolution de la situation de ce pays vers le chaos en Libye a d’ailleurs conforté une partie de l’opinion dans une lecture conspiratrice – encouragée par les médias proches du régime – qui s’est étendue rapidement à la situation en Syrie. La montée de Daech a aussi fait basculer les hésitants qui préfèrent la « dictature de Bachar » à l’oppression absolue des « daéchiens ».
Le discours anti-chiite des saoudiens relayé en Algérie par les salafistes et certains médias n’a pas eu d’impact au-delà des islamistes. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, reste populaire et il est perçu, non comme un religieux chiite mais comme un « résistant ».
« Tous les Algériens ne sont pas des fans de Bachar Al-Assad, beaucoup considèrent que c’est un dictateur largement responsable du désastre, mais ils n’aiment vraiment pas l’OTAN qu’ils continuent de percevoir comme une entité hostile » estime un journaliste. « Même ceux qui n’aiment pas Bachar Al-Assad, n’aiment pas l’OTAN encore plus. Ils ne peuvent approuver une action militaire des occidentaux et encore plus en dehors du cadre de l’Onu, cela fait partie d’une culture politique très ancrée ».
Par notre correspondant en Algérie, Rafik Larbi.
Les « Muslim Talks » : une estrade donnée aux musulmans inspirants.
Les conférences TED (Technology Entertainement Design), créées aux Etats-Unis, ont propulsé des esprits brillants comme Bill Gates, Jane Goodall, Al Gore et bien d’autres. Cette prise de parole d’environ 18 minutes, permet à des intervenants (philosophes, poètes, scientifiques, artistes et autres) de partager « des idées qui valent la peine d’être diffusées » auprès du grand public et d’exposer leurs visions du monde, en vue de l’améliorer.
Un concept qui s’est largement diffusé en Europe et dont l’association The Muslim Think Tanks – organisation qui propose des espaces d’échange sur les questions liées à l’islam et aux musulmans – s’est également inspirée.
Pour la troisième fois, le 5 mai à Paris, l’association organise un évènement appelé « MTalks : Inspirations », où s’exprimeront six personnalités aux idées innovantes, avec un parcours atypique ou possédant une compétence remarquable.
« Les MTalks sont effectivement pensé comme des TED mais sous un prisme musulman. Le but est de donner la parole à des gens experts dans leur domaine mais peu connus. Nous souhaitons mettre en avant des musulmans inspirants, leur donner une estrade », explique Inès, membre active de l’association.
Un évènement qui répond à l’un des objectifs du Muslim Think Tanks, qui est de « sensibiliser à la pluralité intellectuelle et spirituelle des musulman(e)s ».
Les éditions précédentes avaient mis en lumière des profils divers comme Fatoumata Kebe, astronome venue parler des déchets dans l’espace, la sociologue Fatima Khemilat s’exprimant sur le concept d’épistémicide, mais aussi le pianiste Marouan Benabdallah, ou encore Abd Al Karim Steve, spécialiste en développement personnel.
« Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir »
Cette année, les intervenants – dont l’identité ne sera révélée que le jour J – mettront à l’honneur la philosophie, l’anthropologie, les nanosciences ou encore la spiritualité…
Des « speakers » d’excellence qui sont toujours préalablement formés à la prise de parole et à l’éloquence par l’association. Ils n’ont en effet qu’entre 8 et 15 minutes pour partager et vulgariser leurs travaux devant le public.
« Nous accordons aussi beaucoup d’importance à la scénographie, au décor. Cela contribue à rendre les gens fiers de leurs travaux et de faire partie de cette communauté », précise Inès, une des bénévoles chargées des « speakers ».
Ces derniers verront d’ailleurs leur intervention filmée de façon professionnelle, puis mise en ligne sur la chaine Youtube de l’association afin de diffuser plus largement leurs idées.
Pour l’occasion, les « speakers » et le public seront accueillis à l’auditorium de la Bibliothèque Nationale de France, où plus de 350 personnes sont attendues. A la fin des interventions, les spectateurs seront conviés à un cocktail pour un moment d’échange avec les conférenciers. « Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir », conclu Inès.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

1 million d’arrestations documentées depuis le début de l’occupation en 1948
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Selon les données palestiniennes sur les droits de l’homme, environ un million de cas d’arrestations ont été documentés depuis le début de l’occupation sioniste en 1948
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Hamas: Nous avons le pouvoir de forcer l’occupation à libérer les prisonniers
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Qalqiliya: 15 dunums agricoles dévastés pour servir un plan colonial
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L’occupation empêche l’entrée du maire de Gennevilliers pour son soutien au BDS
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Les Autorité Palestinienne arrêtent 4 citoyens en Cisjordanie
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Une voiture de colons caillassée à Hébron
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L’occupation ferme le centre Elia à Jérusalem
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59 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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En Cisjordanie, une nuit d’arrestations et d’attaques de colons
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Le CNP exige la présentation du dossier des prisonniers à la CPI
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Les forces d’occupation arrêtent trois maqdessites sous prétexte d’avoir brûlé le drapeau d’Israel
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Les colons israéliens éclatent de rire alors que les snipers tirent sur les manifestants de Gaza
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Le CLP se réunit à la frontière de Gaza pour célébrer la journée des prisonniers.
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Les colons lèvent des drapeaux israéliens sur la mosquée Ibrahimi
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Un étudiant arrêté à un poste de contrôle militaire à Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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