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Flash info pour le 27 Joumada At-Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

France : Une petite lettre qui redonne espoir …
Dans un contexte ô combien hostile, certains souhaitent mettre en évidence les différences, même si cela envenime la situation et n’encourage pas au dialogue. Pourtant dans ce tourbillon de haine et d’intolérance, d’autres ont choisi de mettre de côté leur a priori en donnant sa chance à l’autre.
C’est le cas de Jean-Marie, un mulhousien qui a rédigé un courrier adressé à l’association en charge de la construction de la Grande Mosquée de Metz.
C’était le 26 novembre 2017 et cette lettre prouve que le vivre ensemble n’est pas un vain mot mais qu’il existe des personnes soucieuses de garder ouvert le dialogue entre les communautés.
Croyant et chrétien, Jean-Marie n’en demeure pas moins admiratif des édifices religieux qu’ils soient chrétiens ou musulmans. Une tolérance qu’il a couchée sur papier pour prouver à ceux qui en douteraient que la religion n’a pas de couleur, ni d’origine.
Ce partisan du « dialogue entre religion » a fait un don pour l’édification de la Grande Mosquée de Metz comme il l’a fait pour la Cathédrale « Notre Dame de la Résurrection » à Evry.
Et chaque année, il soutient la mosquée Nour de Mulhouse.
Une petite lettre en passant qui redonne espoir …
Les étoiles décrites dans le Coran 14 siècles avant l’astronomie moderne.
Les mystères de l’univers sont un véritable casse-tête chinois pour les astronomes et les scientifiques. Ceux-ci sont loin d’avoir réussi à lever le voile sur cet équilibre parfait qui permet à toutes les créatures vivantes qui peuplent la terre de respirer, de manger, de boire et de se mouvoir en toute liberté.
« Celui qui a créé sept cieux superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y vois-tu une brèche quelconque ? Puis, retourne ton regard à deux fois : le regard te reviendra humilié et frustré ». (Coran, 67 : 3-4).
Un ciel parsemé de milliards d’étoiles et autant de galaxies qui évoluent dans un équilibre parfait à travers différentes voies tracées à leur attention. Que ce soit les étoiles, les planètes ou même les satellites, tous tournent autour de leurs axes mais aussi autour des systèmes dont ils font partie. Un embouteillage qui ne souffre d’aucune collision comme de celles que l’on voit sur nos routes.
Pourtant une collision pourrait avoir de plus graves conséquences pour l’univers qu’un simple accident de la route. Déjà la vitesse dans l’univers a une dimension immense comparée aux mesures terrestres, de plus les galaxies pèsent des milliards des milliards de tonnes et se déplacent dans l’espace à des vitesses que le cerveau humain ne peut concevoir.
La logique voudrait que le risque de collisions soit élevé dans un système aussi complexe, pourtant nous continuons à vivre en toute sécurité pour la simple raison que cela n’arrive pas. L’univers a été minutieusement façonné et programmé par Allah soubhana wa ta’ala, ce qui explique le verset qui stipule qu’il n’y a aucune « disproportion » dans le système.
Nous savons selon la loi de la relativité d’Einstein et celle de la Gravité que le mouvement des étoiles et des autres corps célestes est régi par trois forces : la gravité, l’attraction électromagnétique et la force nucléaire.
Ces étoiles effectuent lors de leur parcours des mouvements rotatifs qui peuvent être réalisés en accélération ou en décélération.
A ce propos, le Coran exprime ce fait qui n’a été découvert par la science moderne qu’il y a une centaine d’années.
« Et le soleil court vers une position d’arrêt qui lui est destinée. Ceci est par détermination du Noble et Savant Suprême. Et la lune nous l’avons calculée pour qu’elle passe par des stations jusqu’au jour ou elle reviendra comme un régime asséché ! Ni le soleil ne pourra rattraper la lune ni la nuit ne pourra devancer le jour ; et tous “nagentʺ dans un espace céleste » (Yacin S36-V38/40).
« Nager » suggère que les astres évoluent en totale liberté.
Allah le Suprême dit : « Je jure par les positions des étoiles (dans le firmament). Et c’est vraiment un serment solennel, si vous le saviez ». (Al-Waki’a S56-V75-76).
Et quand Allah jure par les positions des étoiles, il nous prouve que le Coran est Sa parole et non celle d’un être humain qui aurait été incapable à cette époque de dévoiler les secrets d’un univers que des scientifiques actuels commencent à peine à déchiffrer.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Tunisie : 1000 personnes manifestent pour réclamer l’égalité des droits de succession entre hommes et femmes.
Les Tunisiennes ont mené une marche de plus de 1 000 manifestants samedi, y compris des hommes, pour réclamer l’égalité des droits de succession pour les deux sexes dans ce pays d’Afrique du Nord.
La loi tunisienne sur l’héritage est basée sur la jurisprudence islamique stipulant que les hommes héritent du double du montant reçu par les femmes.
Les manifestants ont défilé au siège du parlement dans la capitale tunisienne en scandant les droits de succession égaux “sont un droit, pas une faveur”.
L’année dernière, le président Beji Caid Essebsi a annoncé son intention de créer une commission chargée d’examiner les «libertés individuelles» et «l’égalité dans tous les domaines», y compris l’héritage.
Son annonce a suscité l’opposition de religieux musulmans qui ont publié une déclaration disant que les propositions équivalaient à “une violation flagrante” des préceptes islamiques.
La Tunisie, qui a adopté un Code du statut personnel de 1956 accordant plusieurs droits aux femmes et abolissant la polygamie, est considérée en Europe comme “un pionnier de l’émancipation des femmes dans le monde arabe”, bien que des tensions apparaissent souvent entre conservateurs et réformistes.
USA : sur fond d’islamophobie, une mosquée du New Jersey pourra ouvrir.
Bayonne, ville américaine, a finalement donné son approbation pour la construction d’une mosquée dans l’État du New Jersey, mettant fin à une saga lancée l’année dernière lorsque le gouvernement local a rejeté le projet de construction d’une mosquée.
L’approbation tard lundi est venue après l’effort de deux ans pour convertir un entrepôt abandonné en une mosquée et un centre communautaire islamique à Bayonne, une ville ouvrière de l’autre côté du port de New York.
Selon le procès, le projet de mosquée a été accueilli par des attaques virulentes contre la religion musulmane et a ensuite été injustement rejeté par le conseil municipal de la ville.
“Nous sommes très heureux d’avoir reçu l’approbation unanime du conseil municipal et avons hâte d’accueillir les résidents de Bayonne de toutes confessions à l’inauguration de la première mosquée de la ville”, a déclaré Adeel Mangi, un avocat du groupe musulman.
Les attaques contre le projet de mosquée incluaient des dépliants appelant à des boycotts d’entreprises appartenant à des musulmans avec des références aux attentats du 11 septembre, et des graffitis anti-musulmans sur les murs de l’église loués par la communauté musulmane pour des services de prière.
Des panneaux indiquant «Save Bayonne» et «Stop the mosque» ont été affichés autour de la ville.
Lors d’une audience du conseil municipal, une personne a fait valoir que la mosquée devrait être refusée parce que les gens se «radicaliseraient» et deviendraient des terroristes.
Avant que le conseil municipal approuve à l’unanimité la mosquée lundi, les opposants ont appelé à nouveau pour son rejet. “Je ne crois pas que notre ville devrait se plier à la menace d’un procès”, a déclaré Joseph Basile, un pasteur local.
Les autorités municipales ont noté qu’une longue bataille juridique aurait coûté des millions de dollars à Bayonne.
Syrie : les forces turques encerclent le centre d’Afrin contrôlé par les Kurdes.
Selon l’armée turque, les forces entourent la ville d’Afrin et contrôlent les «zones d’importance critique» dans le nord de la Syrie.
L’armée turque et les forces rebelles syriennes alliées ont encerclé la ville d’Afrin dans le nord-ouest de la Syrie, principale cible de l’opération turque.
L’armée a déclaré mardi que les forces ont encerclé Afrin et ont également gagné le contrôle “des zones d’importance critique” dans la région à partir de lundi.
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (SOHR), un groupe de surveillance basé au Royaume-Uni, a confirmé l’évolution dans une déclaration séparée.
La Turquie – avec le groupe rebelle de l’Armée syrienne libre (ASL) de l’opposition syrienne – a lancé en janvier une opération aérienne à Afrin dans le nord-ouest de la Syrie pour vaincre les combattants des unités de protection du peuple (YPG) soutenues par les Etats-Unis près de sa frontière .
La Turquie considère le Parti de l’Union démocratique kurde (PYD) en Syrie et son aile armée YPG comme des “groupes terroristes” ayant des liens avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), interdit.
Le PKK a mené une campagne terroriste pendant plusieurs décennies contre l’Etat turc provocant la mort de dizaines de milliers de personnes.
Birmanie : selon l’ONU, Facebook aurait joué un rôle dans le génocide des rohingyas.
Des experts des droits de l’homme de l’ONU enquêtant sur un éventuel génocide au Myanmar ont déclaré que Facebook avait joué un rôle dans la propagation du discours de haine contre la minorité musulmane Rohingya.
Le rapporteur spécial des Nations unies sur la Birmanie a également déclaré que la crise des Rohingyas dans l’État de Rakhine “porte les marques du génocide”.
Plus de 650 000 Rohingyas ont fui l’État de Rakhine au Myanmar depuis la répression militaire en août dernier. Beaucoup ont fourni des témoignages poignants d’exécutions et de viols par les forces du Myanmar, mais le conseiller de sécurité nationale du Myanmar a exigé des «preuves claires» des actes de génocide potentiels.
Marzuki Darusman, président de la mission d’enquête internationale indépendante des Nations unies sur le Myanmar, a déclaré aux journalistes que les médias sociaux avaient joué un «rôle déterminant» au Myanmar .
“Cela a contribué de manière substantielle au niveau d’acrimonie et de dissension et de conflit auprès de la population. », a-t-il déclaré.
L’enquêteur de l’ONU au Myanmar, Yanghee Lee, a déclaré que Facebook constituait une part importante de la vie publique, civile et privée, et que le gouvernement l’utilisait pour diffuser des informations au public.
“Tout est fait par Facebook au Myanmar”, a-t-elle déclaré aux journalistes, ajoutant que Facebook avait aidé le pays mais avait également été utilisé pour répandre la haine.
“J’ai peur que Facebook soit maintenant devenu une bête, et non ce qu’il avait l’intention de faire à l’origine.”
Facebook a déclaré qu’il n’y avait “aucune place pour le discours de haine” sur sa plate-forme.
“Nous prenons cela très au sérieux et avons travaillé avec des experts au Myanmar pendant plusieurs années pour développer des ressources de sécurité et des campagnes de contre-discours”, a déclaré un porte-parole de Facebook à la BBC.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Trois personnes inculpées dans l’attentat contre une mosquée du Minnesota.
Les fédéraux américains ont arrêté, mardi 13 mars, trois hommes dans l’Illinois avant d’être inculpés pour possession illégale d’armes à feu mais également pour l’attaque à la bombe visant une mosquée du Minnesota en août 2017 ainsi que la tentative d’attaque similaire contre une clinique d’avortement dans l’Illinois en novembre 2017, apprend-t-on mercredi 14 mars.
Michael McWhorter, l’un des individus arrêtés, a décidé de passer aux aveux, en reconnaissant avoir participé aux deux attaques selon une déclaration sous serment d’un agent du FBI, rapporte le New York Time. Il a confirmé la participation des deux complices arrêtés avec lui aux deux événements, Joe Morris, 22 ans, et Michael B. Hari, 47 ans.
Le récit d’un plan à trois motivé par la haine.
L’homme âgé de 29 ans, originaire de l’Illinois comme ses complices, a tenu à mentionner qu’ils ne souhaitaient en aucune façon tuer quiconque ; leur but n’aurait été que de faire peur aux musulmans et de leur signifier qu’ils ne sont pas « les bienvenus » aux Etats-Unis. Il a même raconté les détails de l’opération, de la location d’un Nissan Frontier aux promesses de 18 000 dollars de la part de l’un de ses complices pour participer à l’entreprise criminelle visant la mosquée, une attaque vraisemblablement motivée par leur haine des musulmans.
Le Conseil des relations américano-islamiques (CAIR) et les responsables de la mosquée vidée ont salué l’arrestation des trois suspects, tout en faisant valoir des questions qui nécessitent encore des réponses.
Quand Stephen Hawking soutenait le boycott académique d’Israël.
Le célèbre astrophysicien britannique Stephen Hawking est décédé mercredi 14 mars à l’âge de 76 ans à son domicile à Cambridge, au nord de Londres. Depuis l’annonce de sa mort, les hommages pleuvent pour saluer un grand scientifique à l’esprit brillant.
Ce physicien théoricien et cosmologue réputé s’était fait connaître du grand public en 1988 à travers son ouvrage intitulé A brief History of Time (Une brève histoire du temps). Le monde découvre alors un scientifique de 46 ans qui est atteint, depuis 1964, de la maladie de Charcot, une maladie neurodégénérative paralysante qui le cloue dans son fauteuil roulant et l’empêche de parler. C’est son emblématique synthétiseur vocal qui lui permettra de garder une connexion avec le monde.
Stephen Hawking s’est focalisé très tôt sur la corrélation entre la théorie de la relativité et la théorie des quantas pour comprendre l’univers et ses fonctionnements. Il a également concentré ses travaux sur les trous noirs pour qui il s’agit d’« une porte vers un autre Univers ». Une théorie qu’il entendait bien vérifier à travers son projet, annoncé en 2016, consistant à lancer le premier voyage interstellaire en direction des étoiles les plus proches du Soleil grâce à des « nano-vaisseaux » propulsée par des rayons laser. Un projet fou ? Pas complètement car la Nasa, qui lui a rendu hommage à son décès, collaborait avec lui pour faire de ce voyage une réalité.
Retour sur son engagement pour le boycott académique d’Israël
Stephen Hawking, né à Oxford d’un chercheur en biologie et d’une militante politique, était aussi l’une des éminentes personnalités du monde scientifique à soutenir le boycott académique d’Israël, qui fait tant l’objet de gros reproches, notamment en France, d’organisations pro-israéliennes.
Dans une lettre adressée au président israélien en mai 2013, il annonçait qu’il ne participerait pas à la conférence « Faire face à demain 2013 » en Israël à l’invitation de Shimon Pérès même, qui avait alors convié Bill Clinton et Tony Blair entre autres personnalités mondialement connues.
Interpellé par le Comité britannique pour les universités palestiniennes (CBUP) et des organisations britanniques soutenant le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) contre Israël, il choisira de décliner l’invitation en indiquant que « sa décision (est) prise en toute indépendance (…), sur la base de sa connaissance de la Palestine et des conseils unanimes de ses contacts académiques là-bas ».
Sa décision avait alors provoqué un Big Bang dans les milieux académique et intellectuel, où sa position avait été diversement accueillie. Sa décision avait été évidemment mal prise par Israël, d’autant plus que la conférence coïncidait avec la célébration du 90e anniversaire du président israélien.
Le scientifique s’était déjà rendu en Israël avant 2013 mais n’avait pas manqué de mots durs envers Israël en 2009 lors de l’opération « Plomb Durci » contre Gaza, déclarant à Al Jazeera que la situation était « semblable à celle de l’Afrique du Sud en 1990 » lors de l’apartheid. Un cap supplémentaire a été franchi en 2013 par Stephen Hawking, qui a ainsi rejoint les rangs de personnalités célèbres engagées en faveur du boycott d’Israël comme le musicien Roger Waters des Pink Floyd et le réalisateur britannique Ken Loach.
Son choix n’a cependant pas remis fondamentalement en cause le respect envers ce scientifique de génie. Sa vie a été adapté en 2015 sur grand écran dans le biopic Une Merveilleuse Histoire du temps. Il avait été incarné par Eddie Redmayne, qui avait remporté l’Oscar du meilleur acteur grâce à son interprétation.

Sur oumma.com, voici les titres.

Pour en finir avec la religiosité aliénante.
Si la religion n’est plus libératrice, si elle ne peut plus émanciper l’homme et lui conférer de quoi penser les exigences du temps, à quoi sert-elle ? Il est temps d’en finir avec la religiosité aliénante.
Les défis qui guettent l’humanité sont ailleurs que dans des considérations théologico-juridiques. Assez des débats sur la manière dont il faut ou non prier alors que la Méditerranée se nourrit quotidiennement de l’âme des chasseurs d’espoir ! Assez des discussions type « la place de la femme en islam », « l’importance de la mosquée dans la vie du citoyen », « l’éducation en islam », au moment où la crise écologique menace des milliers, voire des millions de frères et sœurs en humanité.
Assez des débats sur la licéité ou non d’avoir un guide religieux ou de suivre une voie initiatique, alors que des « assassins de l’aube », comme le disait Césaire, sont en train d’arracher à l’homme son humanité. Assez de la religiosité aliénante et vive la liberté de conscience !
Combien de producteurs de discours religieux chantent les gloires et vertus du « couple en islam », comme si le Coran était un code de statut personnel ? Combien de hiérarques de l’islam chantent les mérites ou dangers du travail en islam, comme si le Coran était un code de travail ? Que dire de ce que d’aucuns appellent la « finance islamique » qui n’est qu’une arnaque capitaliste ? Existe-t-elle une manière de faire des opérations financières islamiquement acceptables ? Que dire de la fameuse « médecine islamique », comme s’il existait une manière coranique d’opérer un cerveau ou de vacciner un enfant ? Que dire des musulmans qui dorment matin et soir et qui, après chaque découverte scientifique, se réveillent pour dire que cela a été écrit dans le Coran ? Que diront-ils si une autre découverte contredit la première ? Que le Coran s’est trompé ? Tout cela n’est que littérature. Arrêtons de tout vouloir coraniser ou islamiser. Et ce, pour la survie même de l’homme.
La religion, comme l’indique son étymologie, a pour vocation de créer du lien, de lier. Lier l’homme à un principe supérieur, lier l’homme à l’homme, lier l’homme à la nature, voilà ce à quoi doit servir toute religion. Et aux poubelles tout discours qui, au nom d’une conception de telle ou telle religion, porte atteinte à la dignité de l’homme et au droit de la nature. Aux poubelles tous les textes qui appellent à la haine des autres hommes, sous prétexte qu’ils ne partagent pas avec nous la même religion. Aux poubelles tout discours inquisiteur et vive la liberté de culte !
Comme j’ai eu l’occasion de le dire ailleurs, le temps presse, éradiquons les mythes d’autrefois. Refusons de nous enfermer dans un passé légendaire auquel voudraient nous faire retourner certains théoriciens de l’identité et apologistes d’un islam fantasmé. Contrairement à ce que prétendent les identitaires et les adeptes d’une lecture médiévale des textes scripturaires de l’islam, ce n’était pas forcément mieux avant. Ne soyons pas passéistes et défaitistes, rien n’a été figé, aucune prédestination n’a fixé le destin de l’humanité. Le monde est à nous et pour nous. C’est à nous de le changer.
L’œuvre de l’homme n’est pas encore finie. Elle vient seulement de commencer, aimait à dire Césaire. Ensemble, nous devons être coréalisateurs de l’œuvre humaine. Le monde n’a jamais été aussi riche qu’aujourd’hui. Pourtant, les inégalités sociales ne cessent de s’accroître. Pendant que des pays risquent la famine, quelques multimilliardaires possèdent presque la moitié de la richesse humaine.
Au moment où j’écris ces lignes, la famine menace la Somalie, des Somaliens « crèvent la dalle » comme on dit vulgairement, et de l’autre côté, l’une des pétromonarchies les plus riches de la planète est en train de rayer le Yémen de la carte, sous le regard et la bénédiction des grandes puissances. Cela doit cesser. Par l’humanitaire, la sensibilisation ou par la simple écriture, nous devons être parmi les acteurs de ce changement radical qui, je l’espère, redonnera le sourire aux hommes, et ce, pour l’éternité.
Dr Seydi Diamil Niane,
Islamologue, chargé de recherche à Timbuktu Institute – African Center for Peace Studies.
Arabie saoudite : bousculade monstre dans un centre commercial pour une fashionista koweïtienne.
La scène très mouvementée, pleine de bruit et de fureur, a pour cadre le centre commercial de Taïf, dans la rigoriste Arabie saoudite…
Non, ce n’est pas la perspective de soldes alléchantes qui a provoqué, au cours du week-end dernier, cette ruée effrénée vers le hall central de l’un des plus grands magasins du royaume ! C’est l’arrivée, fébrilement attendue, d’une fashionista koweïtienne particulièrement libérée et ultra sophistiquée.
On imagine que la rigoureuse police de la protection de la vertu et de la prévention du vice a dû être débordée par la ferveur des nombreux fans saoudiens que compte cette star des réseaux sociaux, plus connue sous le nom de Dr. Kholoud, alors qu’une bousculade monstre a éclaté à sa vue, dégénérant en une incroyable bagarre générale.
Théâtre d’un fol engouement qui a tourné au chaos, le centre commercial de Taïf n’avait jamais connu pareil spectacle aussi peu glorieux, en laissant plus d’un pantois, voire totalement abasourdi en Arabie saoudite, quand il n’a pas suscité une houle d’indignation sur le Net.
Tout ça pour ça ! Nombre d’internautes saoudiens n’ont pas eu de mots assez forts pour exprimer leur sidération teintée de colère, tandis que les groupies inconditionnelles de la fashionista koweïtienne, ressorties indemnes de cette agitation désastreuse, la couvraient d’éloges sur Twitter.
De son côté, celle par qui de violents remous ont agité l’après-midi au centre commercial de Taïf, causant de nombreux blessés, et qui n’en a même pas été décoiffée, a tenu à féliciter son fan club sur Twitter en ces termes : « Les filles de Taïf, vous êtes formidables et je vous aime encore plus depuis que je vous ai vues. Peu importe ceux qui vous critiquent et vous attaquent, ce sont des haineux et des jaloux. Ignorez-les, mais ne les blâmez pas. C’est la jalousie qui les anime ».
Le grand astrophysicien Stephen Hawking est mort.
Le grand astrophysicien Stephen Hawking, est mort mercredi 14 mars à l’âge de 76 ans. Auteur du best-seller « Une brève histoire du temps », il avait consacré son existence à percer les secrets de l’univers et à rendre accessible à un grand public l’astrophysique.
Ce grand physicien britannique était également un grand défenseur des droits des Palestiniens. En février 2017, il avait appelé publiquement au boycott d’Israël, et souligné la manière dont les étudiants palestiniens étaient privés par l’occupant d’accès à des recherches, à des déplacements, à des publications scientifiques. Ce qui l’ avait amené à lancer un appel aux dons pour la “Palestinian Advanced Physics School” en Cisjordanie occupée.
Lire ci-dessous l’article paru sur Haaretz en février 2017
Stephen Hawking demande aux 3.744.000 abonnés de sa page Facebook de soutenir la “Palestinian Advanced Physics School”, et plus particulièrement une série de conférences destinées aux étudiants en master en Cisjordanie.
L’enseignement supérieur a toujours été très important pour les familles palestiniennes qui font de nombreux sacrifices pour permettre à leurs enfants d’y accéder, malgré les obstacles mis par l’occupant qui fait tout pour leur rendre les études très difficiles.
Des diplômes supérieurs en physique sont décernés dans quatre universités de Cisjordanie et une université de Gaza. La majorité des étudiants qui poursuivent des études supérieures en physique sont des femmes. Les conditions d’existence de ces étudiants et étudiantes sont cependant très difficiles, notamment en raison des limitations imposées à leurs déplacement, tant à l’intérieur du territoire palestinien qu’à l’étranger par l’occupant israélien, qui vise à les isoler du monde extérieur. C’est vrai également pour les enseignants. Israël, qui s’indigne et hurle à l’antisémitisme quand il est question du boycott de ses institutions scientifiques et universitaires n’a aucune considération pour les libertés académiques des Palestiniens.
Des expulsés en colère manifestent devant l’ambassade d’Algérie au Mali.
“La police malienne a dispersé par des tirs de gaz lacrymogènes et à coups de matraques, une manifestation contre le traitement inhumain qu’infligent les autorités algériennes sur leur territoire, ce lundi devant l’ambassade d’Algérie” rapporte le site malien Maliactu.info.
Plusieurs manifestants, précisément des expulsés, s’étaient rassemblés ce matin devant l’ambassade d’Algérie sise à Daoudabougou, en scandant des slogans hostiles aux traitements inhumains qu’infligent les autorités algériennes aux migrants, sur leur territoire.
Selon des témoins, les forces de l’ordre ont d’abord tenté d’interdire l’accès des manifestants à l’ambassade avant de faire usage de gaz lacrymogènes, faisant des blessés. Des manifestants ont été arrêtés, des feux tricolores ont été cassés.
La situation est redevenue calme et la circulation à repris. Quant aux forces de l’ordre, elles restent déployées en masse devant l’ambassade algérienne au Mali.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Affaire Ben Haddou : la Trinité dément formellement l’accusation de racisme.
Mohamed Ben Haddou, entraîneur du club de football de la Trinité dans les Alpes Maritimes n’a pas été reconduit à son poste de gardien du stade trinitaire en décembre dernier. Un comité de soutien s’est constitué et a lancé une pétition en ligne, dénonçant une décision motivée par des raisons racistes. Adjointe aux sports de la ville de Trinité, Virginie Escalier a répondu aux questions de Mizane.info. Elle dément catégoriquement tout racisme dans cette affaire qui relèverait uniquement de considérations administratives et budgétaires. Le zoom de la rédaction.
Mohamed Ben Haddou est l’entraîneur du club de football de la commune de Trinité dans les Alpes Maritimes depuis 1999. Sa participation et son implication ont permis au club d’avoir été trois fois champion de Côte d’Azur, deux fois champion de DHR, une fois champion de DH et de PHA. En décembre 2017, la mairie lui annonce qu’il ne sera pas reconduit dans ses fonctions de gardien des équipements sportifs de la ville pour des raisons budgétaires, décision entraînant une perte de salaire et de logement de fonction. Les soutiens de l’entraîneur dénoncent une décision raciste, en s’appuyant sur certains témoignages étayés dans un texte publié dans une pétition disponible en ligne adressée à la ministre des sports, Laura Flessel et au maire de La Trinité Jean-Paul Dalmasso.
Des témoignages accablants pour la ville.
Les soutiens de Mohamed Ben Haddou ne croient pas en une restriction budgétaire. Selon eux, le poste d’entraîneur aurait été proposé à deux autres personnes « dont le fils d’un employé municipal ». Les actuels remplaçants seraient rémunérés « à hauteur de 150 euros par jour ». Quant aux accusations de racisme, elles s’appuieraient sur plusieurs témoignages. A commencer par celui de Mohamed Ben Haddou. « Vous comprendrez qu’avec ce qui se passe en ce moment sur le sol français, il est très difficile pour la commune de vous garder » lui aurait-il été déclaré par ses employeurs. Une insinuation aux vagues d’attentats et à la confession musulmane de l’entraîneur.
Selon la même source, deux dirigeants du club auraient témoigné que le 27 février dernier et le 7 mars, la municipalité leur aurait clairement expliqué au cours de réunions qu’il « y a trop d’arabes à la Trinité ». Président du Trinité SFC de juin 2017 jusqu’à sa démission en mars 2018, Philippe Caristo, qui est un ami de Mohamed Ben Haddou, se serait vu demandé par la mairie, juste avant sa prise de fonction, « de comptabiliser les femmes voilées qui viennent au stade, surveiller les vestiaires pour s’assurer que les joueurs n’y prient pas et respecter des quotas pour intégrer dans le club une majorité de trinitaires pour réduire le nombre de jeunes maghrébins ».
L’adjointe aux sports dénonce des « propos dégoûtants ».
Contactée par Mizane.info, l’adjointe aux sports, Virginie Escalier dément formellement toutes ces accusations. « Ce n’est pas un licenciement, je le connais (Mohamed Ben Haddou , ndlr) depuis des années. Il a bénéficié d’un contrat de vacation renouvelable au maximum six fois pour son poste de gardien des équipements sportifs. Au bout de six années, les municipalités sont obligées de mettre un terme à ce contrat en raison de contraintes budgétaires et fiscales. Si cela n’était pas le cas, on aurait pu le garder. Il a été traité comme les autres agents dans la même situation. Le poste d’entraîneur, lui, ne relève pas de la municipalité mais de la gestion du club qui est sous régime associatif. Les deux situations ont été amalgamées dans cette affaire. Nous aurions pu l’accompagner vers d’autres postes similaires et vers d’autres collectivités. Mais Mohamed Ben Haddou a choisi la voie judiciaire dans le cadre du tribunal administratif pour abus de pouvoir ou d’autorité. Il est dans une position de refus. »
Virginie Escalier nie par ailleurs catégoriquement toute forme de racisme dans cette affaire. « La municipalité dément la totalité des accusations. Le club de football est à l’image de la commune, avec un mélange social et culturel. Pourquoi aurait-on laisser M. Ben Haddou en poste ces six dernières années si nous étions racistes ? Ils arrivent à bout d’argument sur le plan du travail, du logement. Nous ne sommes pas racistes, aucune consigne en ce sens n’a été donnée. A bout d’arguments, l’ancien président agite le torchon dégoûtant du racisme. » Des accusations très mal vécues par l’adjointe aux sports qui les juge insupportables et irresponsables.
Des contacts rompus entre le club et la ville.
Selon Mme Escalier, l’un des ressorts expliquant la colère des soutiens de M. Ben Haddou serait la frustration que le manque de ressources budgétaires entraînait pour l’avenir et l’évolution du club. « La ville verse au club une subvention de 26000 euros. Nous avons demandé un équilibre budgétaire entre les enfants trinitaires et les enfants hors commune pour que la subvention soit utilisée à cette fin. Or le club comporte 20 % de trinitaires pour 80 % d’enfants non trinitaires.
M. Caristo prenait lui d’autres orientations avec des ambitions que nous ne pouvions accompagner financièrement. Nous ne souhaitions pas dépasser un certain volume de joueurs au club car il faut des sponsors, une mise en conformité des équipements, des ajustements sur les infrastructures des stades, tout cela nécessite des fonds que nous n’avons pas ». En 2017, 21000 des 27000 euros de la subvention ont été alloués au club. Le reste a été bloqué en raison de la divergence (stratégique) entre le club et la municipalité. L’adjointe aux sports confirme que la subvention sera reconduite en 2018 et que la ville souhaite maintenir le club de football. Mais, depuis, les contacts ont été rompus entre ce dernier et la municipalité.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Journée parlementaire sur l’industrie militaire en Algérie : L’autosuffisance avant l’exportation.
Le ministère de l’Education a lancé des consultations en ligne pour en fixer la date : Le bac se « démocratise ».
Diffusion numérique en Afrique : L’Algérie à l’avant-garde.
Appareillages pour handicapés : Plus de 580.000 patients pris en charge.
Moussa Faki Mohamat visite le siège de l’Afripol : Pour une coopération sécuritaire renforcée.
Les marchés de la devise s’enflamment : L’euro dépasse les 210 dinars !

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Vidéo Exclusive : Tariq Ramadan s’exprime sur l’affaire.
Le 2 février, Tariq Ramadan est placé en détention provisoire. Quelques semaines avant de se présenter devant les juges, le professeur réalisait un enregistrement vidéo dans lequel il revenait sur l’affaire qui le touche. LeMuslimPost s’est procuré cette vidéo datée de mi-novembre et jamais encore diffusée. Dans cet enregistrement d’une dizaine de minutes, Tariq Ramadan revient sur les événements : accusations, traitement médiatique, politique, Islam… Le professeur n’évite aucun sujet pour son unique intervention à propos du fond de l’affaire Tariq Ramadan.
Tariq Ramadan affirme être « totalement innocent ».
Tariq Ramadan indique qu’il est « totalement innocent » de ce dont on l’accuse et se dit « profondément confiant de l’évolution des investigations, avec le temps de la justice » qui est « plus long que le temps médiatique. » « Nous saurons qui a dit la vérité, qui a menti et qui, au fond, est innocent », ajoute-t-il.
« Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un complot ».
Concernant les rumeurs de complot colportées sur les réseaux sociaux, il explique : « Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un complot. » Mais il estime que « ceux dont (il) était l’ennemi y ont vu une aubaine extraordinaire et s’y sont jetés tête baissée en pensant : ‘Voilà, on va le finir.’ » Tariq Ramadan s’étonne du manque d’investigation concernant les plaignantes. « Comme je suis le diable, la parole qui m’accuse est forcement la parole de l’ange, une parole d’évangile », s’étonne-t-il.
« Cette affaire-là n’a rien à voir avec l’Islam ».
« Cette affaire-là n’a rien à voir avec l’Islam », affirme également Tariq Ramadan, qui ajoute : « Même ceux qui disent que ça n’a rien à voir avec l’Islam l’ont islamisée, comme si je représentais l’Islam. » Il s’étonne que ces accusations « disqualifient une pensée » et dénonce le « débat totalement hystérique, totalement insensé » qui a suivi les plaintes.
« J’ai beaucoup appris dans cette affaire-là ».
« J’ai beaucoup appris dans cette affaire-là », affirme enfin Tariq Ramadan, serein. « J’ai appris sur les amis, les gens qui sont proches, les soutiens, j’ai aussi appris sur les ennemis, sur leur capacité à aller très loin, très bas dans leurs accusations et à savoir comment se tenir », ajoute-t-il, avant de rappeler qu’il a toujours prôné « la défense des femmes, la défense de leurs droits, l’égalité sociale, la lutte contre la violence, contre les mariages forcés et le droit de pouvoir porter plainte quand il y a violence ou harcèlement ou viol. »
« L’insulte, la menace et le rejet ne doivent pas être notre façon de réagir ».
Concernant ses soutiens, Tariq Ramadan appelle à la sérénité. « L’insulte, la menace, le rejet, ça ne doit pas être notre façon de réagir à ceci, il faut apaiser les choses, il faut un débat qui soit un débat de fond, un débat apaisé sérieux », explique-t-il avant d’affirmer : « C’est avec de la sagesse, c’est avec de la pondération, c’est avec une vue longue sur les choses que nous réussirons. »
France : Alfortville, la descente de police à la mosquée dénoncée par les élus.
Vendredi dernier, une cinquantaine de policiers se sont rendus aux abords de la mosquée d’Alfortville selon les chiffres de la préfecture du Val-de-Marne, une centaine selon l’évaluation de la mairie.
Cette petite mosquée du sud de la ville peut attirer plusieurs centaines de personnes le vendredi, obligeant parfois certains fidèles à prier dans la rue par manque de place. « C’est juste un débordement de 30, 40 personnes certains jours, mais on ne gêne pas » assure Yakoub Sakhri, le président de l’Association musulmane au site 94 citoyens.
Ce jour-là la police souhaitait empêcher les fidèles de prier dans la rue. Son intervention s’est déroulée sans heurts, ni interpellation. Mais elle n’a pas manqué d’agacer la communauté musulmane sur place ainsi que la municipalité. En effet, selon les informations du Parisien, une solution avec la mairie était sur le point d’être trouvée.
« On ne comprend pas bien pourquoi un tel déploiement de force disproportionné a été déclenché sans concertation (…) Dans d’autres mosquées, les débordements sont plus importants », a réagi le maire PS Michel Gerchinovitz, interrogé par 94 citoyens.
Un déploiement disproportionné de la police selon la municipalité.
Une position partagée par le débuté PS et ancien maire de la ville, Luc Carvounas, qui souhaite « des explications ». Lundi, le député à écrit au ministre de l’Intérieur.
« Au moment même où le préfet du Val-de-Marne adressait au président de l’association des musulmans un courrier valorisant une méthode concertée et un dialogue soutenu afin de trouver des solutions (…), le préfet de police de Paris a décidé unilatéralement un déploiement disproportionné de forces de police », s’est exprimé le parlementaire.
Quelques jours plus tôt, Luc Carvounas était invité sur le plateau de LCI, avec d’autres concurrents pour le poste de secrétaire national du PS. L’homme politique avait évoqué le cas de sa ville et du problème des prières de rue, dû à une salle trop exiguë.
Pour lui, l’intervention de la police peu de temps après n’est pas une coïncidence.
« Il y a une volonté du pouvoir en place de déstabiliser, pas seulement Alfortville, mais les collectivités dans le cadre des municipales à venir », a t-il déclaré au Parisien.
« La communauté demande depuis cinq ans une extension de son lieu de prière. Rien n’est fait. Il faut que la République garantisse la pratique du culte de chacun », a également réagi le conseiller municipal Jean-François Coquet suite à l’intervention de police.
La mairie envisage prochainement de récupérer une parcelle mitoyenne de la mosquée actuellement occupée illégalement par des Roms, afin qu’elle serve à l’agrandissement du lieu de culte. Une procédure qui devrait aboutir en avril prochain.
Mais selon la préfecture du Val-de-Marne, depuis quelques semaines, plusieurs lieux de culte sont visés pour occupation de la voie publique. D’autres opérations policières sont donc attendues.
Rex Tillerson limogé : vers la fin de l’accord nucléaire iranien ?
Rex Tillerson n’est plus secrétaire d’Etat. Il quittera en tout cas ses fonctions à la fin du mois de mars, limogé ce mardi par Donald Trump. Le président américain s’est fendu d’un simple tweet pour annoncer que Tillerson serait remplacé par Mike Pompeo, directeur de l’Agence centrale du renseignement américaine (CIA). Parmi les sujets qui opposaient Rex Tillerson et Donald Trump, l’accord sur le nucléaire iranien.
L’éviction de Tillerson pourrait donc avoir des conséquences directes sur les rapports, déjà houleux, entre les Etats-Unis et l’Iran. Les Américains sont en effet « déterminés à quitter l’accord sur le nucléaire », a assuré le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui estime que « les changements au sein du Département d’État ont été effectués à cette fin, ou du moins c’est l’une des raisons. »
Mike Pompeo est, de son côté, partisan d’une diplomatie agressive à l’encontre de l’Iran. Le limogeage de Tillerson pourrait donc bien permettre à Trump de remettre en cause l’accord. Trump n’a jamais caché son désaccord sur ce sujet avec son secrétaire d’Etat. « Je pensais qu’il (l’accord, ndlr) était horrible, il pensait qu’il était ‘OK’ », a indiqué le président américain au moment de débarquer Rex Tillerson.
Après près de trois ans, l’accord international sur le nucléaire iranien pourrait donc bien être dénoncé par les Etats-Unis. Donald Trump accuse le texte de comporter de « terribles lacunes » alors que Téhéran campe sur ses positions. Car selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, l’Iran respecte ses obligations en matière de nucléaire.
Si Donald Trump quitte cet accord, la situation pourrait s’aggraver. Dans ce cas, « nous l’abandonnerons aussi, nous avons dit aux Européens que s’ils ne pouvaient pas garder les Etats-Unis dans l’accord nucléaire, l’Iran le quittera aussi », assure le ministre iranien des Affaires étrangères alors que, du côté de la présidence iranienne, on tente de temporiser.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

A Rome, l’ONU va chercher des fonds urgents pour les réfugiés palestiniens
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La communauté internationale se réunit ce jeudi à Rome pour discuter de l’avenir de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), confrontée à une crise financière sans précédent à la suite du gel des financements américains.
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Campagne autour du monde marquant le 100ème jour de la Déclaration malheureuse de Trump
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Le père de Golden lance une attaque vexante contre Netanyahu
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110 Palestiniens exécutés en Israël et le meurtier est inconnu
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La libération de Mohammed Younis Ziadeh du camp de réfugiés de Balata
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L’occupation prolonge la détention administrative de deux responsables du Jihad islamique
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Le Bloc Islamique condamne la détention par Israël d’une étudiante universitaire
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Arrestations et raids israéliens en Cisjordanie
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Un Palestinien blessé par les tirs de l’occupation à l’est de Gaza
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Qu’est-ce que Washington veut de Gaza après 11 ans de blocus?
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Haniyeh s’entretient avec la délégation égyptienne sur l’attentat de Gaza
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Israël arrête 1 319 palestiniens en janvier et février
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Lancement du 4ème Forum de Jérusalem les 23 et 24 Mars
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Al-Arouri: L’attentat ciblant al-Hamdallah est une tentative désesperée de chaos
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Gaza: Rassemblement en soutien aux Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes
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La colonisation israélienne sape la solution à deux Etats (ministère palestinien des AE)
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 27 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, rien de neuf.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

La firme “Vue International” va ouvrir 30 cinémas multiplex en Arabie Saoudite en 3 ans.
Vue International ouvrira 30 cinémas multiplex en Arabie Saoudite au cours des trois prochaines années après la signature d’un accord avec Abdulmohsin Al-Hokair Holding Group basé à Riyadh.
Le protocole d’accord officiel signé lundi fait suite à l’annonce faite en décembre dernier que l’Arabie saoudite va lever l’interdiction des cinémas commerciaux pour la première fois en 35 ans.
Vue International est en pourparlers avec Riyad depuis octobre dernier, après que l’opérateur ait été la seule chaîne de cinéma à être invitée à l’événement Future Investment Initiative organisé ce mois-là.
“C’est un grand moment dans l’histoire du développement cinématographique mondial pour l’industrie de l’exposition et nous sommes honorés de travailler en partenariat avec un opérateur aussi respecté et prestigieux”, a déclaré Tim Richards, fondateur et PDG de Vue International.
Les premiers cinémas pourraient être ouverts plus tard cette année, selon un communiqué de Vue International .
Al-Hokair Group est connu dans la région pour la construction et l’exploitation de complexes de loisirs et d’hospitalité. Il possède et exploite actuellement trois centres commerciaux, 79 centres de divertissement et 45 hôtels en Arabie Saoudite, EAU, Turquie et Egypte.
Maisaa Sabihi fait un one man show à Jeddah et loue les changements en Arabie Saoudite.
La première performance solo de Maisaa Sabihi, une actrice saoudienne, soulignant les récentes mesures prises dans le Royaume saoudien pour accorder plus de libertés aux femmes, a reçu des critiques positives.
Organisé par la Société saoudienne pour la culture et l’art (SASCA), le spectacle solo a eu lieu au Jeddah Comedy Club le 10 février.
À travers ses personnages, l’actrice a tenté de mettre en lumière diverses questions relatives à l’amour, au mariage et au divorce.
Sabihi a également interagi avec son public en les invitant sur la scène. Lors de son show, l’actrice a salué des changements en cours dans le Royaume, en particulier les étapes assurant l’expansion du rôle des femmes dans toutes les sphères de la vie.
Sabihi souhaite se produire dans différentes parties du Royaume afin de transmettre son message à un public plus large. La jeune artiste a déclaré que la SASCA avait l’intention d’organiser ses spectacles dans différentes régions d’Arabie Saoudite.
Rodrigo Duterte: “Tirez sur les femmes rebelles dans leurs organes génitaux”.
Le président philippin Rodrigo Duterte a été condamné par les organisations de défense des droits de l’homme et les groupes de femmes, après avoir déclaré que les rebelles communistes de sexe féminin du pays devraient être abattues par une balle dans leurs parties intimes en guise de punition pour avoir combattu le gouvernement.
La déclaration de Duterte “n’est que la dernière d’une série de déclarations misogynes, désobligeantes et avilissantes qu’il a fait à propos des femmes”, a déclaré Human Rights Watch dans un communiqué.
“Cela encourage les forces de l’Etat à commettre des violences sexuelles pendant les conflits armés, ce qui constitue une violation du droit international humanitaire” , a déclaré Carlos Conde, un représentant de Human Rights Watch aux Philippines .
Le président a également réprimandé les femmes combattantes pour avoir abandonné leurs enfants et leurs familles, afin de rejoindre le mouvement communiste.
Un Taliban infiltre une milice pro-gourvernementale et tue 16 soldats.
Un infiltré taliban a tué 16 miliciens pro-gouvernement dans la province d’Helmand en Afghanistan.
L’assaillant s’était battu aux côtés de la milice pendant des mois avant de retourner son arme contre eux samedi soir, à un poste de contrôle dans le district de Gereshk.
“Nous savons qu’un combattant taliban a tué 16 miliciens combattant aux côtés des forces gouvernementales”, a déclaré lundi un porte-parole du gouverneur de Helmand à l’agence de presse Reuters.
Les médias locaux ont déclaré que les talibans ont revendiqué la responsabilité de l’attaque. L’assaillant a réussi à rejoindre le groupe armé après avoir fui le checkpoint avec des armes, a rapporté TOLOnews .
De vastes étendues de la province afghane d’Helmand – le centre de production d’opium du pays – sont actuellement sous le contrôle des talibans afghans.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Une Saoudienne se produit pour la première fois seule sur scène et enchante le public.
Signe des temps, dans une Arabie saoudite qui a inauguré l’ère de l’émancipation des femmes, Maisaa Sabihi a fait sensation, samedi soir, sur la scène du Jeddah Comedy Club, en interprétant son plus beau rôle : celui de la première actrice saoudienne à se produire en solo devant un public qui n’avait d’yeux que pour elle.
Couverte de fleurs à l’issue de sa prestation époustouflante, au cours de laquelle elle a incarné trois personnages différents pour mieux aborder les thématiques liées à l’amour, au mariage et au divorce, cette artiste de talent se double d’une professeure émérite en littérature anglaise, titulaire d’un doctorat obtenu à Londres, qui fait salle comble à chacun de ses cours dispensés à l’université du Roi Abdulaziz, à Jeddah.
Pour un coup d’essai avalisé par la Société saoudienne pour la Culture et l’Art (SASCA), sa performance fut indéniablement un coup de maître, ponctuée d’une d’interaction avec le public qui a fait mouche. Invités cordialement à monter sur scène et à lui poser des questions sans tabous, les spectateurs n’ont pas vu les deux heures passer, ressortant du théâtre agréablement surpris, touchés, enchantés, voire pas tout à fait les mêmes qu’en y entrant…
Maisaa Sabihi, qui a écrit sa première pièce il y a dix ans, est aujourd’hui encouragée dans sa démarche artistique par les critiques positives qui saluent, sans la moindre réserve ou presque, sa manière de mettre en lumière de nombreux aspects de la vie quotidienne des Saoudiens, y compris certains travers.
La notoriété aidant, elle a désormais un vrai fan club, auquel Najat Al-Malki, une femme au foyer de 58 ans qui était aux premières loges de son one-woman-show en compagnie de ses deux filles, est fière d’appartenir. « J’ai vraiment apprécié ! », s’est-elle exclamée auprès d’Arab news, ajoutant élogieuse : « Le temps s’est écoulé en un clin d’œil, Maisaa a brillamment représenté la communauté saoudienne ».
Alors qu’elle s’apprête à remonter sur scène les 17 février et 8 mars prochains, Maisaa Sabihi ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle souhaite planter ses tréteaux dans d’autres villes et régions du royaume saoudien, afin de délivrer son puissant message à un très large public.
Palestine : 40 000 migrants expulsés d’Israël avant le 1er avril : la fin de l’ultimatum approche.
Conformément à l’annonce de Benjamin Netanyahou, 40 000 migrants africains indésirables ont jusqu’à fin mars pour quitter le territoire israélien. Leur seul choix : un billet aller simple et 3 000 euros de compensation financière, ou bien la prison.
reportage a voir sur oumma.com.
Emmanuel Macron, ou la réforme en marche de l’islam de France.
Et voilà que le président Macron remet, à son tour, l’ouvrage sur le métier en ce qui concerne la structuration de l’islam de France !
A l’image de ses prédécesseurs, le nouveau locataire de l’Elysée veut imprimer sa marque sur l’organisation du culte musulman, à la manière « de jalons » qu’il envisage de poser au cours du « premier semestre 2018 », ainsi qu’il l’a expliqué au Journal du dimanche (JdD).
D’aucuns y verront une énième ingérence du pouvoir politique dans la deuxième religion du pays, ou quand la macronisation de l’islam hexagonal est en marche…
S’appuyant sur une large consultation, la méthode Macron consiste à « progresser sur ce sujet » lentement mais sûrement, par « petite touche », selon ses propres termes, ne dévoilant sa « proposition » finalisée que « quand le travail sera abouti ».
« Je vois des intellectuels et des universitaires, comme Gilles Kepel, des représentants de toutes religions car je considère que nous devons nous inspirer fortement de notre histoire, de l’histoire des catholiques et de celle des protestants », a-t-il indiqué, en citant « Youssef Seddik, comme d’autres intellectuels et toutes sortes d’acteurs, tels que l’Institut Montaigne, qui ont pris des initiatives sur cette question ».
Emmanuel Macron considère qu’il est hasardeux de « brandir des objets connotés » ou de « faire des raccourcis en plongeant tout le monde dans un même sac », renchérissant : « Il y a une question qui est celle de l’organisation. Mais il y a une autre question, qui est celle du rapport entre l’islam et la République. »
En outre, bien que le président de la République ne semble pas pencher en sa faveur, la piste de réflexion sur un « nouveau concordat » serait à l’étude. Mais la recherche d’une solution pour « retrouver ce qui est le cœur de la laïcité, la possibilité de pouvoir croire comme de ne pas croire » pourrait impliquer une révision de la loi de 1905.
Une perspective qui, ironie du sort, risque fort d’être perçue comme un véritable sacrilège dans une France qui se targue de ne plus reconnaître cette notion.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

ÉDITO. “Islam-de-France”, on prend les mêmes (ou presque), et on recommence…
Le nouveau roi-soleil a donc pris sa décision : c’est au premier semestre 2018 qu’il va poser “les jalons de toute l’organisation de l’islam de France” (on en salive d’avance). Et Macron a annoncé sa liste de conseillers très spéciaux à cet effet : pêle-mêle, le grand rabbin de France Haïm Korsia (non, non, ce n’est pas un canular), l’orientaliste et fou furieux laïcard Gilles Kepel, l’homme qui voit des islamo-gauchistes partout, ou encore l’ex-laquais du régime benaliste Hakim el Karoui, dont Mediapart a révélé récemment qu’il avait conseillé l’ancien dictateur de Tunis jusqu’au dernier jour (et donc 338 morts plus tard)… Et, cerise sur le gâteau, le “philosophe” tunisien Youssef Seddik (photo) dont les positions sont si proches de l’athéisme qu’il a été (très justement, disons-le) qualifié de mécréant et chassé par des foules d’étudiants en colère lors d’une réunion d’Ennahda et à l’université américaine de Jénine – pourtant pas vraiment des hauts-lieux du jihadisme.
Toujours très peu de français, donc, et encore moins de musulmans… Un comble pour le président qui annonçait vouloir “mettre fin aux influences étrangères” et qui se retrouve, comme ses prédécesseurs, à fouiller dans les poubelles de la pire dictature laïque qu’ait connu le Maghreb. Même Tareq Oubrou, ex-futur “mufti de la République” qui parvenait encore, de temps en temps, à simuler un peu d’islâm, a visiblement été écarté. Passons sur le paradoxe du chef d’un État qui fait de la laïcité sa colonne vertébrale déclarant ouvertement sa volonté de réorganiser une religion, l’islâm, de surcroît en compagnie d’un rabbin… Tout, ou presque, a déjà été dit sur ce qui n’est que la continuation de la “politique musulmane” de la République en Algérie coloniale : toujours plus d’humiliation.
Ceux qui rêvaient naïvement d’une nouvelle ère sous le règne de Macron en sont pour les frais. Les quinquennats se suivent, les têtes changent, mais le profond mépris pour les musulmans de France, lui, reste la norme au sommet de l’État…
Pays-Bas : une mosquée de Drachten victime d’un incendie criminel.
Les attaques contre les mosquées en Europe et en Amérique du Nord se multiplient. Dernière en date aux Pays-Bas, dans la ville de Drachten où une mosquée a subi des dégâts suite à un début d’incendie provoqué dans la nuit de vendredi à samedi. L’auteur de cette attaque, filmé par les caméras de vidéosurveillance, a tenté de mettre le feu à la mosquée en brisant la vitre d’une des fenêtres de l’édifice avant de verser une matière inflammable et de déclencher le feu.
La vitre n’étant pas complètement brisée, le feu n’a fort heureusement pas atteint l’intérieur de la mosquée. Une plainte a été déposée.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Des précipitations au-dessus de la normale prévues de février à avril : L’Algérie, pieds dans l’eau !.
Les précipitations prévues pour les mois de février, mars et avril devraient être globalement « au-dessus » de la normale dans les différentes régions du pays, où les températures connaîtront, en général, une baisse par rapport à la normale, selon les prévisions Centre climatologique national (CCN). Selon des données fournies à l’APS par le directeur du CCN, Salah Sahabi Abed, les précipitations prévues pour février seront « au-dessus » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, de l’intérieur et hauts plateaux (Ouest, Centre et Est) avec « 20 à 60 mm de plus que leurs normales climatologiques », et « légèrement au-dessus » de la normale sur la région Nord du Sahara de l’ordre de « 5 à 15 mm par endroit ». Pour le mois de mars, elles seront « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines Ouest, « légèrement audessus » de la normale sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux Ouest, « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du littoral, proches côtières, chaines et plaines de la région du Centre, a-t-il indiqué. A l’Est, les précipitations attendues seront « au-dessus » de la normale vers les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines et les hauts plateaux, et « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du Sahara oriental vers Ghardaïa, El Oued, Touggourt, Ouargla et Hassi Messaoud. S’agissant du mois d’avril, les précipitations seront « au-dessus » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines Ouest, plaines du Centre et de l’Est, « au-dessus » de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre, et « normales » sur les hauts plateaux Est et le Nord du Sahara, d’après les prévisions du CCN. Concernant les températures, pour le mois de février, elles seront « légèrement au-dessous » de la normale sur l’ensemble des régions côtières, proches côtières, chaines et plaines, et « au-dessous » de la normale mensuelle sur les régions des hauts plateaux Ouest et Centre, tandis qu’elles seront « normales » sur les régions de l’intérieur et les hauts plateaux Est. Dans les régions du Sud-Ouest et le Sud- Est du pays, elles seront « légèrement audessous » de la normale, et « au-dessus » de la normale sur l’extrême Sud-Est, a précisé M. Sahabi Abed. Durant le mois de mars, elles seront « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines de l’intérieur Ouest et Est, « très au-dessous » de la normale sur les hauts plateaux Ouest, Centre et les régions des oasis, et « normales » sur les régions du Centre (côtières et de l’intérieur), les hauts plateaux Est et le grand sud. Les prévisions du mois d’avril indiquent que les températures seront « légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, et hauts plateaux Ouest, « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre, a indiqué le directeur du CCN. Au centre et à l’est du pays, elles seront « normales » sur les régions côtières, proches côtières, « au-dessus » de la normale sur les régions des hauts plateaux Est, « proches de la normale climatologique » sur les régions Sud-Ouest, « normales à légèrement audessus » de la normale sur le Sahara central, Oriental et l’extrême Sud, a-t-il ajouté. Il est à noter que l’état du climat algérien en 2017 a été marqué par un début d’année « très froid », avec la survenue d’une vague de froid qui a sévi durant le mois de janvier, touchant même les régions du Sud, relève l’Office national de météorologie (ONM). L’année dernière a connu, également, un été « chaud, voire très chaud » dans certaines régions, selon l’ONM, faisant remarquer, notamment, que la saison estivale avait été marquée par l’occlusion de plusieurs foyers de feu de forêts affectant principalement la région Nord-est. La saison d’automne a été, aussi, « chaude, avec un début des pluies tardif pour la plupart des régions du pays, engendrant des impacts directs sur l’agriculture et la ressource en eau », ajoute l’organisme. Au niveau planétaire, il a été confirmé que les années 2015, 2016 et 2017, « qui s’inscrivent clairement dans la tendance au réchauffement sur le long terme causée par l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, sont les trois années les plus chaudes jamais enregistrées », selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Les subventions destinées aux carburants pourraient être supprimées dès 2019 : Quand l’essence prend l’ascenseur.
Du nouveau sur les prix des carburants en Algérie. Alors que l’État vise à éliminer son déficit budgétaire d’ici trois à quatre ans, le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia annonce, en marge de la réunion entre les ministres des Finances arabes et le Fonds monétaire international (FMI), à Dubai que les subventions du gouvernement pour soutenir les prix du carburant devraient connaître une baisse en 2019 et autres subventions à partir de 2020. Sans préciser les subventions qui pourraient être coupées en 2020, le ministre a rappelé, que l’État subventionne une large variété de biens et de services comme l’électricité, le pain ou encore l’huile, en soulignant que des réductions de subventions se produiraient dans le contexte de réformes visant à rendre le système plus efficace et plus favorable aux Algériens à faible revenu. Les finances qui dépendent fortement des revenus du pétrole et du gaz, peuvent se sentir alléger par le rebond des prix mondiaux du pétrole au cours des derniers mois, ainsi que par la réduction des dépenses de l’État. Le FMI estime avoir enregistré un déficit budgétaire de 3,2% du produit intérieur brut l’année dernière, contre 13,5% en 2016. Il a par ailleurs indiqué que le gouvernement ne s’attend pas à avoir besoin d’emprunter de l’argent cette année, tout en laissant ouvert la possibilité d’emprunter à partir de l’an prochain. Les autorités algériennes se sont refusées jusque-là à opter pour l’emprunt extérieur pour réduire le déficit du trésor.
A cause des intempéries et des chutes de neige : Plusieurs routes fermées à la circulation.
Le trafic a été perturbé dans plusieurs wilayas du pays, dans la matinée du samedi 10 février suite à d’importantes chutes de neige. Les chutes de neige ont continués, jusqu’à hier matin, d’affecter les reliefs du Centre et de l’Est du pays dépassant les 800 mètres d’altitude, selon un bulletin météo spécial (BMS) émis ce hier samedi par l’Office national de météorologie. En effet, les dernières chutes de neige enregistrée sur les reliefs du centre et de l’est du pays ont paralysé plusieurs routes à travers différentes wilayas du pays. Selon le sous directeur de l’Information et des statistiques à la direction générale de la protection civile, le colonel Farouk Achour, la circulation sur les routes de cinq wilayas a été perturbée suite aux fortes chutes de neige. Il s’agit de Mila, Jijel, Bejaia, Tizi-Ouzou et Bouira. Dans les zones montagneuses les routes sont carrément bloquées par la poudreuse. Ainsi à Médéa, une dizaine de chasse neige ont été déployés, dès vendredi soir, sur différents axes des routes nationales, notamment ceux reliant Médéa à Benchicao et Berrouaghia, (RN 1), Ain- Boucif-Chellalet et el-Adhaoura (RN 60). En outre, des opérations de salage ont été menées, d’après l’APS, sur certains tronçons de la route nationale 60, qui dessert la localité de Ain- Boucif, et du chemin de wilaya 60, quifait la jonction entre Boghar et Ouled Antar, culminants à plus de 1200 mètres d’altitude, pour enlever la couche de verglas qui a rendu difficile la circulation automobile. « Probablement d’autres routes des autres wilayas de l’est du pays vont êtres coupées puisque la neige ne cesse de tomber. Ces chutes continueront d’affecter les reliefs des wilayas de Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bouira,Béjaïa, Jijel, Skikda, Sétif et Bordj Bou Arreridj et l’épaisseur de la neige atteindra ou dépassera localement 10 cm « , précise l’officier supérieur. Par ailleurs, des pluies parfois sous forme d’averses orageuses et/ou de grêle ont été enregistrées ce samedi, dans les wilayas côtières du centre et de l’est du pays.
Il relève que la majorité des débrayages font fi du droit de grève : Le ministère du Travail recadre les syndicats.
Après la grève des médecins résidents et spécialistes, l’intersyndicale a décidé de mené une grève à partie du 14 février. Les 10 membres de l’intersyndicale, issus de différents secteurs d’activités, la santé, l’administration publique et l’éducation nationale notamment, pour faire valoir leur plateforme de revendications. Cette annonce a secoué le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, qui a indiqué dans son communiqué que » le constat fait par les services de l’Inspection du travail sur le terrain révèle que « la majorité des débrayages ne respectent pas les dispositions juridiques régissant le droit de grève ». « Il ressort du constat sur le terrain des service de l’Inspection du travail que la majorité des débrayages ne respectent pas les dispositions juridiques régissant le droit de grève ce qui fait tomber les syndicalistes et les travailleurs concernés sous le coup de la loi et les exposent à des mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement », précise la même source . « Ainsi, des travailleurs se voient poursuivis en justice par l’employeur pour s’être fait entrainé dans des débrayages illégaux même s’ils croient en la justesse de leurs revendications et à la régularité de leurs actions ». A ce propos, les services du ministère du Travail ont enregistré dernièrement « des conflits collectifs de travail qui ont conduit à des grèves touchant les secteurs de la Fonction publique et économique entrainant des perturbations du fonctionnement normal des services publics ».
C’est la première fois depuis 30 ans que l’entité sioniste perd un F-16 au combat : L’invincibilité… vaincue.
C’est la première fois depuis au moins 30 ans que l’entité sioniste perd un F-16 au combat .Un coup sévère vient d’être infligé à l’entité sioniste ce qui va la pousser désormais à y réfléchir deux fois avant d’agresser ses voisins. La situation est très critique et pourrait conduire à un conflit armé d’une rare violence entre la Syrie et l’entité sioniste après qu’un avion de chasse de cette dernière a été abattu par la défense anti-aérienne syruenne.D’ailleurs cela n’est gère une chose courante. C’est pourtant ce qui est arrivé, samedi 10 février au petit matin, lorsqu’un F16 s’est écrasé dans le nord de l’entité sioniste, après avoir été touché par les tirs de la DCA syrienne. Selon la presse, l’avion de guerre revenait d’une action de représailles après la violation de l’espace aérien de l’entité sioniste par un drone iranien, lancé depuis la Syrie. Par la suite, les deux pilotes qui se trouvaient dans l’avion se sont éjectés et ont pu être transportés à l’hôpital. L’état de l’un d’entre eux est considéré comme « sérieux ». Par ailleurs, face à cette déconvenue d’ailleurs très mal acceptée par les militaires de l’entité sioniste, la réaction ne s’est pas faite attendre car une série d’attaques aériennes ont été engagées samedi en Syrie, frappant des cibles militaires syriennes, lors desquelles la défense antiaérienne syrienne a riposté ont rapporté les médias locaux. A Damas, l’agence de presse Sana a affirmé que la DCA avait repoussé les avions de l’entité sioniste et touché « plus d’un », faisant état de raids contre des installations militaires près de Damas, dans le centre et le sud du pays. Selon le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) Abdel Rahmane, des raids israéliens ont visé dans l’est de la province de Homs (centre). C’est la première fois que l’armée de l’entité sioniste dit ouvertement avoir visé des cibles « iraniennes » depuis le début en 2011 de la guerre en Syrie, où Israël a effectué ces dernières années de nombreuses frappes contre le régime de Damas ou le Hezbollah libanais.
Projet de loi sur la santé : Des incohérences relevées.
Les syndicats autonomes émettent des réserves sur le projet de loi de la santé. Ce projet qui est a été déposé depuis des mois à l’APN fait l’objet de polémiques de syndicalistes sur quelques articles où ils dressent des » incohérences « . Pour le président du SNPSP Lyès Merabet » ce projet de loi qui a été gelé est basé essentiellement sur l’implication, pour ne pas dire, le monopôle direct du privé sur le secteur de la santé « . Le président du syndicat reproche au gouvernement ne pas recueillir les avis des partenaires sociaux sur la question. Selon ce dernier » il faudra donner un exposé de motifs détaillé aux députés et expliquer les conséquences de cette loi « . Du même avis, les syndicats des praticiens spécialistes et ceux des hospitalo-universitaires n’ont pas manifesté d’enthousiasme envers ce projet. Mais que reproche-t-on au fait à cette nouvelle loi ? Pour les praticiens, il s’agit principalement d’un article où il est stipulé que » le privé sera impliqué dans le système de santé nationale. Il sera intégré dans des réseaux de soins où nous avons prévu une organisation régionale sanitaire. Nous avons même prévu que ce privé participe à des missions du service public. C’està- dire, il peut faire de la prévention et s’occuper des taches qu’il ne fait pas actuellement. Cela se fera dans le cadre d’un cahier des charges et avec un contrat signé avec l’état « . Cette considération est très mal perçue par les praticiens publics qui ne veulent pas de l’intrusion du privé dans le » carré « . Les syndicats autonomes de la santé estiment que cette » complémentarité public privé » ne doit pas cacher de main mise sur le secteur de la santé. L’autre question est celle qui concerne l’exercice du praticien public en dehors de la sphère publique. Selon une source du ministère de la santé » la nouvelle loi a prévu la suppression définitive de l’activité complémentaire. Personne ne sera autorisé a exercé dans le secteur privé, c’est-à-dire à avoir une double activité. La réglementation est claire à ce propos. Elle doit être respectée ». C’est ce qui va irriter d’avantage les praticiens publics de la santé qui sont habitués à la double vacation. Une situation déjà dénoncée par les différents ministres qui se sont succédé. Un autre sujet qui fait jaser les syndicats est celui de la » couverture sanitaire du privé dans les régions où le service public est absent « . Là aussi, ils demandent la révision de cet article. Mais selon une déclaration récente du chargé de communication du ministère de la santé » le projet de loi sur la santé sera présenté identiquement comme il a été rédigé la première fois. Pour le moment, il n’y a aucune modification « .
Farid Larbaoui

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Affaire Balotelli : les clubs de Ligue 1 minimisent-ils le racisme dans les stades ?
Mario Balotelli aurait à nouveau été la cible de cris racistes. SOS Racisme demande une enquête et fustige l’attitude des dirigeants du club dijonnais.
Un an après avoir été victime de cris racistes lors d’un match à Bastia, Mario Balotelli a à nouveau entendu des supporters s’en prendre à sa couleur de peau. Ce week-end, lors d’un match à Dijon, le joueur niçois a entendu des cris racistes et a voulu prévenir l’arbitre de la rencontre de ces agissements. Après avoir demandé aux supporters de se taire, l’attaquant a reçu de la part de l’arbitre… un carton jaune.
Au lendemain de cette affaire, SOS Racisme a réagi en accusant les dirigeants de Dijon. « M. Dall’Oglio (l’entraîneur dijonnais, ndlr) a d’emblée tenu à minimiser les actes de ses supporters en parlant de la responsabilité de deux ou trois individus seulement, alors que rien à ce stade ne permet de savoir qui sont les éventuels auteurs de ces cris racistes », explique Hermann Ebongué, secrétaire général de SOS Racisme.
Pire, l’entraîneur aurait usé d’un argument étonnante… « Pour défendre la probité de ses supporters, il a mis en avant le ‘stock’ de joueurs de couleur évoluant à Dijon. L’emploi de ce mot ‘stock’ est tout simplement ignoble. Comme s’il s’agissait de simples marchandises… », explique SOS Racisme.
« Venant d’un joueur comme ça, vu le match qu’il a fait, il devrait se faire tout petit »
SOS Racisme dénonce également l’attitude générale des dirigeants de Dijon : « Pas un mot des dirigeants, pas un communiqué sur le site internet du club. » Certes, les images ne confirment pas les cris racistes. Du coup, le dirigeant de l’association demande « l’ouverture d’une enquête ou le lancement d’un appel à témoins, comme le font les clubs anglais dans de pareilles situations. »
SOS Racisme veut semble-t-il éviter la minimisation des actes racistes. Il y a un an, le joueur italien avait dénoncé le racisme dans les stades. Un joueur lillois, ex-bastiais, avait alors indiqué : « On en fait une affaire beaucoup plus importante que ce qu’elle n’est. J’ai regardé le match et je n’ai rien entendu. Et après, je n’ai pas entendu de cris de singe. Je trouve que, venant d’un joueur comme ça… Si il y a eu ça, bon bah c’est grave mais venant d’un joueur comme ça, vu le match qu’il a fait, il devrait se faire tout petit. »
Quand l’institut Montaigne faisait des recommandations peu laïques à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron annonce, dans le JDD, qu’il veut « poser les jalons de toute l’organisation de l’Islam de France » au « premier semestre 2018. » Le président affirme qu’il va « continuer à consulter beaucoup. » Lors de sa campagne, il avait notamment reçu des propositions sur ce thème de l’Institut Montaigne.
Les MacronLeaks — un dossier de près de 71 000 mails issus de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron —, publiés en juillet dernier par WikiLeaks, n’ont rien révélé d’extraordinaire concernant le président de la République et son équipe. Pourtant, en épluchant ces documents, on trouve des propositions étonnantes faites par l’institut Montaigne, un think-tank très marqué à droite et proche d’Emmanuel Macron depuis le lancement d’En Marche !, à propos de l’Islam et de la laïcité. Des propositions choc faites par l’équipe de Hakim El Karoui — un Franco-Tunisien qui avait envoyé des notes stratégiques au dictateur tunisien Ben Ali au moment des printemps arabes —, qui avait déjà publié un rapport très controversé sur le thème « Un islam français est possible. » Ce dernier, qui avait jugé que le radicalisme touchait une grande partie de la population musulmane en France, avait été repris par des hommes politiques des Républicains, comme Nicolas Sarkozy, pour créer une véritable polémique sur la place de l’Islam dans la République.
Contribution volontaire obligatoire sur le halal et « créativité juridique ».
Le mail date du 29 juillet dernier. Emmanuel Macron est alors encore ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique — il assurera cette fonction jusqu’au 30 août 2016. A l’issue du conseil des ministres du mercredi 3 août, les ministres vont prendre quelques jours de vacances. Mais Macron semble savoir à l’époque qu’il quittera bientôt ses fonctions. Quentin Lafay, chargé de la coordination des discours et de l’équipe des experts d’Emmanuel Macron pendant la campagne — parti depuis écrire des séries pour Hollywood —, écrit alors un mail au reste de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron pour, affirme-t-il, « constituer un petit dossier » consacré à la laïcité, l’Islam ou encore la sécurité, afin qu’Emmanuel Macron « puisse partir avec en vacances. » Parmi les pièces qui sont envoyées par la plume du futur président, un document qui concerne l’Islam de France : un « PowerPoint de l’étude sur l’Islam de France — provisoire et très confidentiel — préparée par l’Institut Montaigne et Hakim El Karoui. » Un PowerPoint de vingt-cinq pages intitulé « L’Islam français : le connaître, l’organiser. »
Après une série de rappels sur l’organisation de l’Islam en France, l’institut Montaigne effectue une série de propositions. Parmi celles-ci, des recommandations encore vagues, comme le financement du culte « en taxant la consommation islamique. » La fameuse « taxe halal » déjà proposée par certains dirigeants politiques, en somme. Mais pour ce faire, il faudra d’abord « faire une étude de faisabilité sur la mise en place d’une CVO (contribution volontaire obligatoire, ndlr) sur la viande halal pour financer le culte musulman », écrit l’institut Montaigne, qui propose « une nouvelle gestion de l’Islam français. » L’institut propose que la Fondation de Jean-Pierre Chevènement soit mise en avant, mais craint un « risque d’obstruction de la part des membres du CFCM » et suggère « un peu de créativité juridique pour veiller à ce que les extrémistes ne soient pas surreprésentés. » Sans préciser qui sont ces « extrémistes. »
Statistiques religieuses, extension du concordat et secrétariat d’Etat en charge des Affaires religieuses
L’institut Montaigne fait également toute une série de propositions « compatibles avec la loi de 1905 », comme l’enseignement de « l’arabe classique à l’école publique pour réduire l’attractivité des cours d’arabe dans les mosquées », l’extension du « concordat à l’Islam en Alsace-Moselle afin d’assurer la formation des cadres religieux musulmans en France » ou encore la création « d’une école d’aumônerie pour former et recruter des aumôniers-fonctionnaires. » Des propositions concrètes, accompagnées de « modalités d’application. » Comme lorsque l’institut Montaigne propose de « réaliser, à l’occasion du recensement général, des statistiques religieuses (non obligatoires) pour permettre à la puissance publique d’avoir des informations étayées en la matière et mieux répondre à leurs besoins. » Une mesure qui permettrait, explique Hakim El Karoui, de « déconstruire les mythes du ‘Grand remplacement’ » mais qui pourrait faire peur aux croyants par « crainte d’un fichage. »
Autre mesure étonnante : la proposition de « création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité. » Un simple décret suffirait à créer ce secrétariat d’Etat, indique l’institut Montaigne, qui proposait sa mise en place dès 2017. Celui-ci aurait permis, en ce qui concerne le culte musulman, de « centraliser la gestion de dossiers actuellement éclatés entre les ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères, de la Justice, etc. » et de « donner un signal politique fort en sortant les relations aux cultes du prisme sécuritaire. » Enfin, l’institut Montaigne émet une liste de propositions plus floues, comme la « mise en place d’un concordat provisoire pour les ‘nouveaux cultes’. » Une « abrogation de la loi 1905 » qui, cependant, comporterait des risques juridiques, politiques et financiers, assure l’institut. Car dans ce cas, les imams deviendraient des fonctionnaires de l’Etat. Et il faudrait, de plus, « nationaliser » les lieux de culte construits après 1905. Ce qui coûterait, selon l’institut Montaigne, environ 17 milliards. Pas sûr qu’Emmanuel Macron s’engage un jour sur ce terrain-là, donc.
Les doutes de l’islamologue Rachid Benzine
D’autant que le document est envoyé à Rachid Benzine, spécialiste reconnu de l’Islam. Le natif de Trappes écrit, le 20 septembre 2016 par mail à Laurent Bigorgne, directeur de l’institut Montaigne et ami proche de Macron — il était également pressenti pour devenir ministre de l’Education nationale —, ses « remarques sur les propositions du rapport de l’institut Montaigne. » L’islamologue met en doute la pertinence de revenir, de quelque façon que ce soit, sur la loi de 1905. « Déjà aujourd’hui les municipalités n’arrivent pas à entretenir l’immense patrimoine immobilier religieux de France. Comment imaginer que de nouvelles charges leur soient imposées ? Les municipalités ne sauraient accepter pareille proposition, écrit Rachid Benzine. De plus, les Eglises ne sont probablement pas prêtes à abandonner aujourd’hui toute une part de ce qu’elles possèdent encore. » L’écrivain relève cependant quelques propositions « réalistes », comme le fait d’offrir « une vraie formation des cadres d’aumônerie » ou de prévoir « une approche plus nationale de la création de ‘carrés musulmans’ dans les cimetières de France, alors qu’actuellement chaque maire accepte et favorise ou non ces créations de carrés musulmans. »
Concernant la création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité, Rachid Benzine est également réfractaire à l’idée. « On sait le peu de poids des secrétariats d’Etat. On ne voit pas comment celui-ci en aurait plus que d’autres », estime l’islamologue, qui demande quel serait son rôle : « Être un ‘commissaire politique’ chargé des religions ? Là encore, ce serait en contradiction avec la loi de 1905, selon laquelle ‘la République ne reconnaît aucun culte’ », écrit-il. Pour ce qui est de l’élargissement du régime concordataire des cultes d’Alsace-Lorraine au culte musulman, Rachid Benzine craint qu’un débat à ce sujet amène à la disparition de cette « anomalie » qui n’est, aujourd’hui, qu’un « héritage de l’histoire. » Enfin, l’écrivain balaie d’une revers de la main la « taxe halal », en posant deux questions très simples : « Comment, dans une société de libertés, l’Etat pourrait-il prétendre organiser le financement du culte musulman ? Les Eglises comme les institutions juives accepteraient-elles une telle tutelle ? » Autrement dit, comme de nombreuses autres, la proposition semble peu réaliste. Rachid Benzine montre que l’institut Montaigne a fait fausse route sur le thème de la laïcité pendant la campagne d’Emmanuel Macron.
Pourquoi ne peut-on pas contester librement la politique israélienne ?
Pages Facebook pro-palestiniennes fermées, interdiction de l’appel au boycott d’Israël ou amalgame entre l’antisionisme et l’antisémitisme… A-t-on, en France, le droit de contester la politique israélienne ? Ce lundi, l’Association France Palestine Solidarité organise, sous le patronage d’Esther Benbassa, sénatrice EELV de Paris, un colloque sur ce thème.
Plusieurs intellectuels profitent de cet événement pour publier une tribune dans laquelle ils appellent à pouvoir « dénoncer les injustices subies par le peuple palestinien » en toute liberté. Selon eux, contester la politique israélienne est « un droit qui reste à conquérir. » Pascal Boniface, Rony Brauman, Ivar Ekeland, Bertrand Heilbronn, Christiane Hessel, Renée Le Mignot ou encore Dominique Vidal sont les signataires de cette tribune.
Mettre fin aux pressions et interdictions.
Ces intellectuels dénoncent notamment « les pressions et les interdictions », en rappelant que plusieurs élus de la République n’ont pas été autorisés à se rendre en Israël en novembre dernier, alors qu’ils voulaient rendre visite à Marwan Bargouthi. Les signataires rappellent également la « liste noire » des associations pro-BDS dont les membres sont désormais interdits d’entrée sur le sol de l’Etat hébreu.
Ils dénoncent également, de la part des politiques, « la promotion d’une ‘définition’ de l’antisémitisme qui prendrait en exemple la critique ‘excessive’ de la politique israélienne. » Il s’agit, toujours selon ces intellectuels, d’une « insulte au combat antiraciste. »
« Liberté d’expression et d’action citoyenne ».
Le colloque organisé au Sénat est également l’occasion d’annoncer le lancement de « 6 principes pour un débat libre et démocratique sur la question israélo-palestinienne », qui doit permettre de « donner le coup d’envoi d’une mobilisation citoyenne. » « Nous ne voulons plus nous laisser intimider, dénigrer, nous avons la force d’être ensemble et la volonté, partout, de faire reculer la peur de s’exprimer », expliquent les signataires de la tribune.
Des intellectuels qui en appellent également au président de la République. Ils attendent d’Emmanuel Macron « qu’il cesse d’encourager et reprendre les amalgames (notamment entre antisionisme et antisémitisme), qu’il rejette clairement la projet de donner une définition, de surcroît manipulée, de l’antisémitisme, qu’il donne des limites claires au débordement des approches communautaristes, et qu’il soit le garant de notre liberté d’expression et d’action citoyenne. »
Un avion israélien abattu, l’Etat hébreu accuse l’Iran.
Entre Israël et l’Iran, la tension est encore montée d’un cran samedi, lorsqu’un F16 de l’armée de l’Etat hébreu s’est écrasé au nord d’Israël. Suite à une intrusion dans l’espace aérien israélien par un drôle iranien — selon Israël —, un avion de combat s’est crashé, les deux pilotes s’étant éjectés auparavant, après avoir été visé par des missiles antiaériens.
Le drone a ensuite détruit un poste de contrôle et l’armée israélienne a alors lancé une opération de bombardement de douze sites en Syrie, dont « quatre cibles iraniennes », indique l’Etat-Major de l’Etat hébreu. L’Iran conteste les accusations israéliennes et les qualifie de « mensonge ridicule. »
Entre l’Iran et Israël, plus que jamais, le torchon brûle. L’aide iranienne à la Syrie de Bachar al-Assad et à la Russie déplaît fortement à l’Etat hébreu qui accuse régulièrement l’Iran de vouloir ouvrir un double front libano-syrien à sa frontière. Depuis le début du conflit syrien, Israël a conduit près de cent raids en Syrie pour viser les transports supposés d’armes du Hezbollah, les constructions d’usines de missiles ou encore de bases maritimes ou aériennes par l’Iran.
Une « violation de souveraineté » de la part d’Israël
Si la tension monte à ce point, c’est qu’Israël préfèrerait que le conflit syrien s’arrête à sa frontière. L’Etat hébreu a haussé le ton en multipliant les attaques — quelques jours plus tôt, l’armée détruisant un dépôt d’armes non loin de Damas. Mais pour la première fois, Israël a décidé d’accuser l’Iran de « violation de souveraineté. »
Israël, par la voix d’un porte-parole de son armée, estime que l’Iran « entraîne toute la région dans une aventure à la finalité profondément sombre. » De leur côté, les alliés présents en Syrie promettent une riposte « sérieuse et sévère » et parlent de « terrorisme » israélien.
La Russie tente bien de calmer le jeu, mais rien n’y fait : Netanyahu craignait une « libanisation » de la Syrie. Les tirs répétés de l’armée israélienne semblent désormais plonger Israël et l’Iran dans un conflit de plus en plus ouvert.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Toujours sur le FIPA et l’ambassadrice d’Israël.
L’ ambassadrice d’Israël répondait le 24 janvier dernier à la place du FIPA* à tous ceux qui l’interpellaient sur son « Focus Israël » que « le Boycott est interdit en France ».
Rappelons que ce curieux focus mettait à l’honneur l’armée israélienne, et un délinquant accusé de violences ayant entrainé la mort et sous mandat d’arrêt français.
Cette même ambassadrice reçoit aujourd’hui l’ordre de boycotter le festival israélien du film à Paris par le ministère de la culture:
En effet le très démocratique ministère de la culture de ce très démocratique État, ne supporte pas la sélection du film FOXTROT qui évoque les exactions de l’armée israélienne dans la pure tradition israélienne du « on tire on pleure « .
Cette expression israélienne désigne les nombreuses productions dont l’objet est de victimiser l’oppresseur en montrant le drame intérieur des tireurs israéliens si malheureux d’être obligés de mener cette guerre de survie.. « on tire, on pleure! »
La vraie question n’est donc pas la légalité du boycott mais qui boycotte. Boycotter l’apartheid et l’occupation: interdit selon Israël, boycotter tous les opposants du régime israélien, permis!

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Israël: 60% des enfants détenus dans les prisons israéliennes subissent des tortures
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Le Club du prisonnier palestinien (non gouvernemental) a déclaré que 60% des mineurs palestiniens détenus dans les prisons israéliennes ont été soumis à des tortures physiques et psychologiques.
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Poutine dit s’être entretenu avec Trump du conflit israélo-palestinien
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L’ancien chef du Shin Bet appelle l’occupation à gérer la crise de Gaza
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Israël discute du projet de loi d’annexion en Cisjordanie avec les USA
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L’occupation arrête un palestinien de Silwan à Jérusalem
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Israël veut isoler Cheikh Raed Salah 6 mois supplémentaires
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Euro-Med: La fermeture de Rafah aggrave la crise humanitaire de Gaza
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L’occupation arrête un jeune inconnu au poste de contrôle de Hawara
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Des colons écrivent des slogans racistes sur les murs de Jérusalem
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Gaza : Israël intensifie ses attaques dans la zone tempon
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Les forces israéliennes commencent à démolir les installations de Wadi Qana
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Les colons endommagent les cultures palestiniennes dans la vallée du Jourdain
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Saidam met en garde contre les restrictions israéliennes contre les universitaires étrangers
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Décision de libérer le prisonnier Mabrouk Jarrar
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Un détenu palestinien en grève de la faim dans un état critique
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14 détenus en Cisjordanie lors des raids nocturnes
12/Février/20

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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