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Flash info du 20 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Est-il possible en Islam de donner deux prénoms à un enfant ?
Indécis dans le choix du prénom de leur enfant, de nombreux parents prennent le parti de lui donner deux prénoms ou un prénom composé.
Mais quelle est la position de notre noble religion face à ce type de situation ?
Est-il interdit de donner plusieurs prénoms à son enfant ?
Tout d’abord, en Islam l’absence de l’interdiction d’un sujet le rend licite.
D’autre part, dans son livre « les règles concernent le nouveau née », l’imam Muhammad Ibn Abî Bakr Ibn Qayyîm al-jawziya a intitulé l’un de ses chapitres « la permission de donner (au bébé) plus d’un seul prénom ».
Il y explique qu’il est préférable de se contenter d’un seul prénom, même si l’accumulation de prénom ou la nomination par un sobriquet est autorisé à la condition qu’ils ne nuisent pas à la personne.
Le Prophète Muhammad (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit à ce sujet :
« J’ai cinq noms (prénoms) :
– je m’appelle mohamed,
– je m’appelle ahmed,
– et je m’appelle al-mahi par qui Allah annule la mécréance.
– De même je suis al-hacher sur les deux pieds de qui se rassembleront les gens (au jour du jugement dernier),
– et je suis al-a’aqueb après qui il n’y aura pas de prophète. »
(Raconté par Al Sahiheine d’après le récit de Joubeir Ibn Moutei’m et par Al Boukhari numéro 3532-4896 ainsi que Mouslim numéro 2354).
Ainsi, les parents sont libres de donner le prénom souhaité, à condition que celui-ci ne soit pas détestable aux yeux d’Allah soubhanou wa ta’ala, ni empreint de vanité ou encore préjudiciable pour l’enfant qui le porte.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres, rien de neuf.

France : Contre l’avis de ses parents, le Conseil d’Etat valide l’arrêt des soins d’Inès, 14 ans.
La famille d’Inès en plein désarroi. Le Conseil d’Etat a décidé, vendredi 5 janvier, de valider l’arrêt des soins d’Inès, 14 ans, préconisée par l’équipe médicale qui la suit à l’hôpital de Nancy qui n’entrevoir aucun espoir pour elle de se réveiller.
Cette adolescente, atteinte d’une maladie neuromusculaire auto-immune, est plongée dans un état végétatif depuis juin 2016 après une crise cardiaque qui la plonge dans le coma. Les médecins décident d’autoriser l’arrêt des soins, conformément à la loi de 2016 sur la fin de vie. Des experts ont fait valoir, début décembre 2017, devant le tribunal administratif de Nancy que « l’enfant n’aura plus jamais la capacité d’établir le moindre contact ».
Après que le tribunal ait donné raison à l’équipe médicale, les parents d’Inès saisissent alors le Conseil d’État, espérant qu’il tranche en leur faveur. Lors de l’audience fin décembre, la mère avait appelé à dire non à « un crime » en se basant sur ses convictions religieuses. Un médecin a plaidé, pour sa part, en faveur « l’intérêt supérieur de l’enfant ».
Le porte-parole de la plus haute juridiction de l’Etat a estimé que sa décision « répond aux exigences prévues par la loi » en rejetant l’appel des parents. « Il appartient donc désormais au médecin en charge de l’enfant d’apprécier si et dans quel délai la décision d’arrêt de traitement doit être exécutée », indique-t-il.
Ce type de cas, toujours difficile à trancher, rappelle celui de Marwa, âgée de 2 ans. Ses parents avaient saisi le Conseil d’Etat pour empêcher l’arrêt des soins. Elle avait obtenu gain de cause en mars 2017. Sa famille avait annoncé quelques mois plus tard que son état s’était amélioré. Elle demeure toujours hospitalisée à ce jour.
France : Attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray : la préfecture de police de Paris accusée d’avoir masqué sa responsabilité .
La direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) a fait quelques arrangements avec la réalité pour se défausser de ses responsabilités lors de l’attentat contre une église de Saint-Etienne-du-Rouvray qui a coûté la vie, en juillet 2016, au prêtre Jacques Hamel.
Comment ? Selon Mediapart qui a fait paraître son enquête jeudi 4 janvier, la DRPP n’a pu transmettre ses renseignements à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et, surtout, a post-daté des notes pour minimiser sa responsabilité.
La DRPP avait consulté quelques jours avant l’attentat la chaîne Telegram, une messagerie cryptée, où l’un des deux futurs terroristes de l’attentat appelait à attaquer des églises, tout en donnant des détails sur sa personne, se vantant notamment de donner des cours dans une mosquée de Saint- Étienne-du-Rouvray. Il sera plus tard identifié comme étant Adel Kermiche.
Sur cette base, un agent a rédigé une fiche Gester (« Gestion du terrorisme et des extrémismes à potentialité violente ») ainsi qu’une note qui devait être transmise à la DGSI. Sauf qu’elle devait être « corrigée et validée par quatre échelons hiérarchiques ». Mais en plein mois de juillet, et avec l’attentat de Nice, « les nerfs sont à vif et les corps fatigués ». Par ailleurs, quatre gradés sont en vacances ; seul un est présent dans les locaux de la DRPP à Paris, en pleine période estivale.
Selon un agent, le signalement n’est pas fait à la DGSI. « Mais il y avait ensuite plusieurs échelons de validation avant de pouvoir la communiquer aux autres services. La lourdeur administrative est telle que l’information ne serait jamais arrivée à temps pour sauver le prêtre », dit-il. Pendant ce temps, Adel Kermiche publiera plusieurs messages inquiétants sur Telegram jusqu’au jour de l’attentat où il demande à ses abonnés de « partager » un contenu à venir, qualifié « d’exceptionnel ».
L’attentat survient et la DRPP se rend compte de sa défaillance. Le jour même, elle « écrase sa fiche Gester et sa note blanche » et aurait demandé à un agent de les réécrire en les postdatant au jour même « afin de masquer sa passivité », précise Mediapart, citant ensuite un agent : « Oui, nos supérieurs ont bien essayé d’effacer les traces et ils l’ont mal fait. »
Après ces révélations des plus embarrassantes, la préfecture de police a rejeté ces accusations, déclarant dans un communiqué paru vendredi 5 janvier, que la note, datée du vendredi 22 juillet, n’évoque « en aucun cas (…) l’imminence d’un passage à l’acte, et encore moins le ciblage d’un lieu précis ». « Cette note, qui ne comportait pas de caractère d’urgence et s’inscrivait dans le travail de détection quotidien du service, a suivi le circuit habituel de validation », ajoute-t-elle.
Lorsque l’attentat a lieu, « le rédacteur de la note a immédiatement fait le lien avec l’individu qu’il avait identifié » et, « sans délai, la DRPP a informé oralement les services enquêteurs et a rédigé une nouvelle note datée du 26 juillet ».
Par ailleurs, « les deux documents originaux, enregistrés et traçables dans les serveurs de la DRPP, sont à disposition de toutes les autorités administratives et judiciaires », conclut la préfecture.
Me Mehana Mouhou, avocat de deux victimes de l’attentat, a annoncé à l’AFP qu’il allait « solliciter du juge d’instruction la déclassification totale des documents classés secret-défense afin que toutes les pièces soient versées au dossier ».

Sur oumma.com, voici les titres.

France : Reportage Oumma sur la manifestation à Paris pour la libération d’Ahed Tamimi.
Le reportage d’Oumma sur la manifestation pour la libération “d’Ahed Tamimi et de tous les enfants palestiniens emprisonnés” qui a eu lieu à Paris (Place du Châtelet) le jeudi 4 janvier 2018. Un rassemblement qui a réuni des centaines de manifestants courageux qui ont marché sous une pluie jusqu’à Place de la République.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Pays-Bas : le geste humain d’un policier après un accident de la circulation.
Aux Pays-Bas, ce policier est resté pendant plus de 20 minutes assis au sol et dans une position inconfortable afin de permettre à cette femme de trouver un certain confort en attendant l’arrivée des secours. Elle venait d’être heurtée par une voiture et souffrait de douleurs.
Les photos ont été largement partagées sur les réseaux sociaux. Les internautes ont salué un geste humain. “La police au service du peuple” prend tout son sens à travers cette scène, rien n’a voir avec la police de france.

Sur tribune lecteurs.com, le journal du pays d’Algérie, voici les titres, rien de neuf.

Ahmed Ouyahia revient devant les sénateurs sur le plan d’austérité décrété par son gouvernement : « La rationalisation des dépenses exige l’adhésion de tous ».
Le Conseil de la nation a repris, jeudi, ses travaux en séance plénière consacrée aux questions orales, d’où six ministres ont été interrogés par les membres du Sénat à savoir : le premier ministre, ministre de l’enseignement supérieur, ministre de la justice, ministre de l’énergie, ministre des ressources en eau ainsi que la ministre de l’environnement et des énergies renouvelables. Ainsi, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia a indiqué, jeudi, que la poursuite de la démarche de rationalisation des dépenses publiques adoptée par le gouvernement est “un engagement national”, soulignant que “tout un chacun doit s’adapter à ses exigences”. Dans une réponse à la question d’un sénateur, Abdelkader Moulkheloua, sur le gel des projets de développement au profit de la wilaya d’Aïn Temouchent, lue en son nom par le ministre des relations avec le Parlement, Tahar Khaoua, a indiqué que la démarche de rationalisation des dépenses publiques adoptée par le gouvernement est un engagement national, soulignant que “tout un chacun doit s’adapter à ses exigences et soutenir les efforts visant à sa concrétisation”.
Idir enflamme la coupole : Le grand retour de l’artiste.
Après 38 ans d’absence, l’icône de la musique kabyle, Idir est revenu fortement à son public à la faveur d’un grand spectacle festif organisé avant-hier soir dans la grande salle de la coupole du Complexe olympique Mohamed-Boudiaf à Alger. Le chanteur kabyle était accompagné par un orchestre de 30 instrumentistes dirigés par Mehdi Ziouèche, un musicien polyvalent qui a présenté les différentes pièces choisies dans un nouvel habillage harmonique plein de créativité, et une chorale de jeunes, essentiellement de l’Institut national supérieur de musique. Il a également marqué son retour sur scène par quelques reprises, tirées pour l’essentiel de l’album « Les chasseurs de lumières » et rendues par la chorale féminine du Collège Larbi Mezani de Beni Yenni, l’artiste, très ému de retrouver son public, a choisi pour son entrée en scène la pièce « Yelha Urar » (la fête est belle), donnant vite le ton d’une soirée qui s’annonçait euphorique.
APW de Sétif : Echauffourées entre des élus du RND et du FLN.
Des échauffourées ont éclaté mercredi entre des membres du Rassemblement national démocratique (RND) et ceux du Front de libération national (FLN) lors d’une assemblée extraordinaire de l’APW (Assemblée populaire de wilaya) conduisant à l’interruption de la séance de travail. Le président de l’APW de Sétif, Nourredine Hamideche (RND) a indiqué à l’APS que cette assemblée extraordinaire a été organisée en vue de ratifier le règlement intérieur et de designer les membres des comités de l’assemblée ajoutant que tout se déroulait « normalement » jusqu’à ce que « des membres du FLN ont fait leur entrée pour entraver la séance de travail ». M. Hamideche a par ailleurs ajouté qu’au regard de ces agissements, « il n’y a pas eu d’autres choix que d’interrompre momentanément la séance ». De leur coté les membres du FLN ont demandé à être représentés à l’assemblée populaire de wilaya conformément au nombre de sièges décrochés lors des dernières élections, à savoir 27 sièges sur les 55 disponibles, selon les informations recueillies sur place.
Ingérence dans les affaires intérieures de l’Iran : Les Etats-Unis, ces fouteurs de troubles !
Le calme semble revenir dans la plupart des villes en Iran après plusieurs jours de protestations, tandis que d’importantes manifestations pro-gouvernementales ont à nouveau lieu jeudi, selon la télévision d’Etat. En effet, particulièrement à Téhéran aucune manifestation nocturne n’a eu lieu pour la deuxième nuit consécutive ouvrant la voie à des contres manifestations toutes acquises au pouvoir en place. D’ailleurs,la télévision iranienne diffusait jeudi des images de nouvelles manifestations qualifiées d’importantes en soutien au pouvoir dans les villes d’Ispahan (centre), Machhad (nord-est), Oroumieh (nord-ouest), Babol ou encore Ardebil (nord).Mercredi, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans plusieurs villes d’Iran pour condamner les « troubles » qui ont agité le pays ces derniers jours. Munis de pancartes dénonçant les « fauteurs de troubles », les manifestants sont sortis en masse notamment dans les villes dans les villes d’Ahvaz (sud-ouest), Arak (centre), Ilam (ouest), Gorgan (nord), et Kermanshah (ouest),selon la télévision.
Tamanrasset : Reddition d’un terroriste.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts de qualité fournis par les Forces de l’Armée Nationale Populaire, un terroriste s’est rendu, le 4 janvier 2018, aux autorités Militaires en 6ème Région Militaire à Tamanrasset. Il s’agit de » K. Hamza » », a précisé le MDN. La reddition de cet individu armé a permis aux éléments de l’ANP de récupérer « un fusil Mitrailleur lourd de calibre 14,5 mm, un fusil Mitrailleur de type FMPK, trois pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un fusil de type G3, Deux (02) Fusils semiautomatiques de type Simonov ainsi qu’une importante quantité de munitions de différents calibres, un véhicule tout-terrain », toujours selon la même source. Pour le MDN, « ces résultats réalisés sur le terrain réitèrent l’engagement et la détermination des unités de l’Armée Nationale Populaire, mobilisées le long de nos frontières Nationales, à contrecarrer toute tentative visant l’intégrité et la sécurité du territoire national ». Par ailleurs, 6 condamnations à 5 ans de prison ferme ont été prononcées, jeudi par le tribunal criminel d’Oran, à l’encontre de six personnes accusées d’appartenance à un groupe terroriste et recrutement de jeunes au profit d’un réseau terroriste international. Le représentant du ministère public a requis une peine de 10 ans de réclusion criminelle à l’encontre des six mis en cause. Cette affaire remonte au début de l’année 2016, lorsque les services de sécurité, agissant sur informations, ont entamé une enquête pour faire la lumière sur les activités d’un réseau terroriste activant entre Oran, Gdyel, Arzew et Telagh (Sidi Bel-Abbes) qui se faisait appelé « Sariat djounoud El Khilafa ». L’enquête, qui a démontré que les mis en cause avaient pour tâche d’enrôler des jeunes au profit d’un réseau terroriste international activant au Moyen Orient, notamment en Syrie, a conduit à l’arrestation de l’un des mis en cause qui, après interrogatoire, a donné les noms de ses cinq complices qui, à leur tour, ont été arrêtés, reconnaissant les faits qui leur étaient reprochés. Selon l’arrêt de renvoi, parmi ces 5 mis en cause, 4 ont déjà eu affaire à la justice, puisqu’ils ont été condamnés, en 2007, à 5 ans de prison ferme pour terrorisme, une peine qu’ils ont purgé aux prisons de Blida et de Berouaghia. Durant l’audience, les six inculpés ont nié les faits retenus contre eux, arguant que les aveux qu’ils ont faits après leur arrestation ont été obtenus sous la contrainte.
Conflit entre le ministère de tutelle et les médecins résidents : Dialogue de sourds.
Mercredi dernier, plusieurs médecins résidents se sont rassemblés devant le Centre Hospitalo-universitaire (CHU) de Mustapha Pacha, à Alger-centre, pour porter haut et fort leurs revendications socioprofessionnelles. Les médecins résidents qui effectuaient une marche pacifique se font tabasser à l’intérieur de l’hôpital. Des médecins ont été blessés et d’autres emmenés par la police vers des destinations inconnues. Selon la Collectif autonome des médecins résidents algérien (CAMRA) l’ensemble des points inscrits dans la plateforme de revendications, demeurent toujours en suspend malgré le discours rassurant prononcé à plusieurs reprises par le ministre devant la presse. Néanmoins, selon le son de cloches de la tutelle celui-ci est rapporté par, Slim Belkessam, conseillé du ministre de la Santé qui a déclaré que les portes du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière demeurent « toujours ouvertes » pour les médecinsrésidents pour un dialogue « responsable et réaliste », en marge d’une conférence de presse sur la grippe saisonnière.
Le secteur pharmaceutique en pleine croissance : Le marché est couvert à 50%.
L’UNOP estime que le marché du médicament algérien est en pleine croissance. Il a conquis la moitié du marché mais demeure encore sous la pression des importations. Selon un communiqué de l’UNOP qui met l’accent particulièrement sur l’état des lieux du secteur, l’industrie pharmaceutique progresse. « A la faveur du système de protection efficace de son marché interne (restrictions à l’importation instituées pour les médicaments fabriqués localement) que les pouvoirs publics nationaux ont mis en place en 2008, la filière pharmaceutique algérienne n’a pas cessé, à ce jour, d’enregistrer des taux de croissance élevés oscillant dans une fourchette de 10% et 17,5% entre les années 2006 et 2015 », souligne les opérateurs de l’union. Un marché où « l’industrie pharmaceutique algérienne est l’une des rares à avoir gagné des parts de marché substantielles face aux importations, faisant passer la couverture des besoins de 12% en 2004 à près de 50% à fin 2016″. On doit cet élan grâce à l’émergence de beaucoup de laboratoires privés et des opérateurs nouveaux sur le marché qui développent actuellement l’activité du médicament générique. L’UNOP estime également que » les efforts gigantesques qui ont été déployés en termes de respect des bonnes pratiques internationales de la fabrication pharmaceutique, de traçabilité complète des opérations sur l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement et de distribution et, surtout, de formation à grande échelle de compétences nationales de très haut niveau ». Le niveau de la production pour certaines solutions médicamenteuses tels que les sirops et les comprimés a été le défi de réussite, même si l’on continue à observer des pénuries sur certains segments. Les industriels pharmaciens continuent, cependant, à faire face à certains freins qui mettent cette industrie en recul en termes d’investissement. Les opérateurs de l’UNOP déplorent certains points noirs et appellent d’urgence aux « simplifications de procédures » et « une plus grande efficacité dans les mécanismes de régulation de notre activité ». Ces derniers temps, il a été enregistré des pénuries de médicaments surtout pour les pathologies lourdes. Preuve en est selon les producteurs sur » le déficit en gestion des stocks » et le retard pris dans la chaîne d’approvisionnements un maillon nécessaire pour gérer les ruptures de stocks. Toutefois, la création de l’agence nationale du médicament décidée par les autorités a été grandement saluée par les producteurs. C’est un cadre unique qui permettra de lever toutes les contraintes estiment certains industriels. Dans ce contexte, il s’agit actuellement de supprimer toutes les barrières sur l’investissement, d’homogénéiser toute la nomenclature des produits pharmaceutiques et d’encourager la promotion du générique afin de satisfaire la grosse demande.
Farid Larbaoui.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Expert: 3 façons d’affronter la loi de la peine de mort des Palestiniens
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Le directeur du Centre d’études des prisonniers, Dr.Raafat Hamdouna a demandé pour faire face à la soi-disant loi de  » la peine de mort  » des prisonniers palestiniens , qui a été votée à la Knesset, en première lecture sioniste mercredi dernier, de trois façons; juridique, médiatique et populaire.
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#Jérusalem_capitale de la Palestine
 » Feu et colère » révèle les plans de Trump .. La Cisjordanie sera pour la Jordanie et Gaza pour l’Egypte
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Corruption israélienne : Un Israélien mêlé dans une affaire de trafic d’organes au Kosovo arrêté à Chypre
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Trump annonce un gel de 125 millions de dollars d’aide destinée à l’UNRWA
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Le Mufti d’al-Aqsa: Les décisions d’occupation contre Jérusalem sont invalides et illégitimes
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Jordanie: Les ministres de six pays arabes discutent de Jérusalem
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Gaza : 5 Palestiniens blessés à cause des conditions météorologiques
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Gaza : un citoyen blessé par les balles de l’occupation
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L’occupation renforce les mesures arbitraires au sud d’Hébron
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L’occupation réprime la marche de Kafr Qadoum
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La Turquie rejette la loi adoptée par la Knesset sur Jérusalem unifiée
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Les organisations de défense des droits humains condamnent le projet de loi sur la peine de mort
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Israël autorise la construction de 2 270 logements sur des terres palestiniennes
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Noor al-Tamimi libérée
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L’occupation refuse de libérer Haneyya Sharay’a malgré la fin de sa peine
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 20 Rabi al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Voici les 10 raisons qui doivent nous pousser à baisser le regard.
En Islam, baisser son regard permet de démontrer sa soumission à Allah (soubhanou wa ta’ala) et ainsi, de ressentir une profonde intimité avec le Seul Créateur, car ne pas soutenir le regard écarte le croyant de l’illicite.
De nombreux musulmans ne s’en rendent pas vraiment compte mais l’œil est le membre principal qui éveille l’envie de fornication qui mène au « haram ».
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : « …Et l’œil commet la fornication et sa fornication est le regard (illicite). Et la langue commet la fornication et sa fornication est la parole (illicite). Et le pied commet la fornication et sa fornication c’est les pas (vers l’illicite). Et la main commet la fornication et sa fornication est le toucher (illicite). Et le cœur se passionne et désire. La partie privée approuve cela ou le dément. » (Boukhari).
1-Baisser le regard :
Permet de se conformer aux ordres d’Allah, ce qui constitue l’essence même du bonheur de l’homme. Rien n’est plus bénéfique au serviteur, dans cette vie d’ici bas comme dans l’au-delà, que de se conformer aux ordres de son Seigneur.
Aussi, personne n’atteint le bonheur dans ce monde et dans l’au-delà qu’en s’y conformant et personne n’est touché d’un malheur si ce n’est pour les avoir négligés.
2- Baisser le regard:
Empêche cette flèche empoisonnée (le regard illicite) d’atteindre le cœur, ce qui le conduirait sans doute à sa perte.
3- Baisser le regard :
Permet de ressentir une intimité avec Allah et d’amener le cœur à se consacrer entièrement à Lui. Par opposition, poser son regard sur l’illicite disperse l’attention du cœur, le distrait et l’éloigne d’Allah.
Et rien n’est plus nuisible à l’homme que de regarder tout ce qui peut être proscrit, dans la mesure où cela provoque chez l’homme un comportement désinvolte envers son Seigneur.
4- Baisser le regard :
Renforce le cœur et le réjouit. Inversement, le cœur de l’homme s’affaiblit et s’attriste lorsque celui-ci ne contrôle pas son regard.
5- Baisser le regard :
Illumine le cœur qui, au contraire, s’assombrit lorsqu’on le porte sur l’illicite. C’est pour cette raison qu’Allah a révélé le verset de la lumière à la suite du verset sur le regard, Allah dit : « Dis aux croyants de baisser leur regard et de préserver leur sexe », ensuite Il en a donné les fruits : « Allah est la lumière des cieux et de la terre, Sa lumière est semblable à une niche dans laquelle il y a un flambeau ».
C’est-à-dire semblable à Sa lumière dans le cœur du croyant qui a accompli ses obligations et s’est éloigné des interdictions. Et lorsque le cœur s’illumine, il accepte une multitude de bonnes œuvres venant de toute part. Au contraire, lorsqu’il s’assombrit, il laisse place à un déluge de calamités qui l’atteint de tout coté.
Donc, tout ce que l’on peut concevoir de blâmable, d’innovations, d’égarements, de suivi des passions, d’éloignement de la guidée et de ce qui conduit au bonheur, et d’occupation vers ce qui mène au malheur, tout ceci, seule la lumière qui se trouve dans le cœur peut le dissiper. Mais si cette lumière s’éteint, l’homme se retrouve alors comme l’aveugle qui cherche son chemin dans l’obscurité de la nuit.
6- Baisser le regard :
Donne au visage une expression de sincérité qui permet de distinguer le véridique de l’imposteur, le sincère du menteur. Shah ibn Shajâ’ Al-Karamânî disait : « Celui qui affiche son attachement à la sunna et s’astreint à un contrôle de soi permanent, détourne son regard de l’illicite, renonce a ses passions, et a pour habitude de manger des nourritures licites, alors l’expression de son visage ne trompe pas. »
Et ainsi était Shah ibn Shajâ’.
7- Baisser le regard :
Raffermit le cœur et lui donne courage et force. Par sa grâce, Allah réunit en lui deux facultés : Le jugement et de discernement d’une part, et la maîtrise de soi d’autre part. Comme il est dit dans un récit (âthar) : « Iblîs fuit toute personne qui combat ses passions. » Et au contraire le diable suit celui qui est à l’opposé de cela de par le caractère abjecte, servile, méprisable et indigne de son âme. Comme l’a dit Al-Hasan : « Qu’ils avancent au son des sabots d’une mule ou du pas souple d’un cheval, l’humiliation du péché ne quitte jamais leur cœur. Ainsi Allah humilie celui qui Lui désobéit. » Allah veut en cela avilir ceux qui Lui désobéissent.
Dans le Coran, la puissance et l’honneur sont liés à l’obéissance d’Allah. L’avilissement et l’humiliation sont liés à Sa désobéissance. Allah dit : « La puissance appartient à Allah, ainsi qu’à Son Messager et aux croyants » La foi se compose de paroles et d’actes; extérieurs et intérieurs. Allah dit : « Celui qui cherche la Puissance, alors la puissance toute entière appartient à Allah, vers Lui monte la bonne parole par la bonne action qui l’élève ».
C’est-à-dire que celui qui veut la puissance, qu’il la cherche dans l’obéissance à Allah, le rappel de bonnes paroles, les œuvres pieuses, comme il est rapporté l’invocation de la prière de nuit. « Certes, ne sera pas humilié celui que Tu as protégé, et ne sera pas honoré celui que Tu as pris comme ennemi ».
Celui qui obéit à Allah, Allah l’a protégé dans cette obéissance et il en tire honneur en fonction du degré d’obéissance. Et en Lui désobéissant, il s’éloigne de Lui et s’avilit par la même.
8- Baisser le regard :
Interdit au Diable l’accès au cœur, car il pénètre par le regard (interdit) et parvient cœur plus vite que l’air ne pénètre dans un lieu vide. Le Diable lui représente alors l’image qu’il a vue et l’embellit, il en fait alors une idole à laquelle le cœur est accroché.
Puis, il le surveille et l’éprouve en embrasant son cœur avec le feu des désirs qu’il alimente par des pêchés qu’il n’aurait jamais atteint sans ce regard illicite, mais le cœur est d’ores et déjà dans un feu ardent. Chaque souffle ne fait qu’attiser ce feu qui crépite maintenant, il est trop tard, le cœur est encerclé, cerné de toute part. comme une brebis au sein d’un enclos incendié.
Ainsi, ceux qui regardaient l’illicite seront châtiés dans leur tombe par un lit de feu sur lequel les âmes seront déposées jusqu’à ce qu’elles soient réintroduites dans leurs corps (au Jour de la Résurrection). C’est ce qui fut montré en songe au prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) d’après un hadith authentique.
9- Baisser le regard :
Libère le cœur afin qu’il puisse méditer sur ce qui lui est bénéfique, et s’y consacrer. Au contraire, regarder l’illicite détourne le cœur, comme si cela s’immisçait entre l’homme et son cœur. Ses pensées le perdent et il suit ses passions en oubliant le rappel de son Seigneur.
Allah dit : « Et ne suis pas celui que nous avons rendu insouciant à Notre rappel, qui suit ses passions et dont le comportement est outrancier ». Le regard illicite est la cause de ces trois maux.
10- Baisser le regard :
L’œil et le cœur sont liés, l’un est occupé par ce qui occupe l’autre. Le cœur n’est pur que par la pureté du regard et l’œil n’est pur que par la pureté du cœur. De même, le cœur se corrompt par la corruption du regard, et l’œil, par celle du cœur. Donc, si l’œil se corrompt, il entraînera le cœur.
Il deviendra alors comme une poubelle dans laquelle se mêleront impuretés, souillures et saletés. Un tel cœur n’est pas en mesure d’acquérir la connaissance d’Allah, il n’est apte ni à L’aimer ni à revenir vers Lui. Comment ce cœur pourrait-il ressentir une intimité avec son Seigneur et goûter au plaisir de se rapprocher de Lui, alors qu’il contient tout ce qui y est contraire.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Les États-Unis reconnaissent Jérusalem comme capitale de l’israel. Vidéo.
La ville palestinienne de Jérusalem occupée vient d’être reconnue comme capitale officielle de l’état israélien par les États-Unis.
Les nations du monde n’avaient jamais reconnu la souveraineté totale de l’état israélien sur Jérusalem et encore moins son statut de capitale. Ainsi les ambassades des pays occidentaux étaient situé dans la ville de Tel-Aviv.
Ce ne sera donc plus le cas pour les États-Unis qui légitiment ainsi de facto l’annexion de la ville palestinienne par l’état israélien. Une décision qui ampute d’autant le souhait de reconnaissance de la Palestine avec Jérusalem comme capitale.
Ce projet était pourtant le projet de toutes les formations de résistance palestiniennes à l’occupation israélienne et des pays arabes …
Cette décision démontrera à tous les partisans de la “paix” musulmans avec l’état colonial israélien la supercherie de l’arrêt de la résistance au profit d’un dialogue pacifique où seules les voix de l’occident et de son allié israélien ont compté.
Espérons que le peuple palestinien saura reprendre la voie de la résistance sans compter sur les gouverneurs complices et traîtres arabes …
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Algérie : Colonisation française en Algérie : interpellé par un jeune, Macron affiche son agacement. vidéo.
C’est avec l’habit d’un ami qu’Emmanuel Macron est venu en Algérie pour sa première visite éclair dans ce pays dirigé depuis 1999 par l’indétrônable Abdelaziz Bouteflika, 80 ans. Le président français a rendu visite à son homologue algérien dans une résidence médicale d’Alger. Avant, il s’est offert un bain de foule dans une artère du centre-ville de la capitale algérienne, où il a reçu un accueil plutôt favorable.
Un jeune algérien a alors interpellé Emmanuel Macron pour demander à la France « d’assumer son passé colonial ». « Ça fait longtemps qu’elle l’a assumé », lui rétorque le chef de l’Etat. Une réponse qui ne satisfait pas le jeune pour qui son interlocuteur esquive la question.
« Qui évite quoi ? J’évite de venir vous voir ? (…) On a cette histoire entre nous, mais moi j’en suis pas prisonnier », a lâché le président, avant de lui demander son âge. A la réponse « 25 ans », c’est agacé, et toujours sous l’œil des caméras dont celle de France Info, qu’Emmanuel Macron répond : « Mais vous n’avez jamais connu la colonisation ! Qu’est-ce que vous venez m’embrouiller avec ça ? Vous, votre génération, elle doit regarder l’avenir. »
« Monsieur, je ne l’ai pas connue, mais mes grands-parents l’ont connue », explique le jeune. « Je sais, c’est pour ça qu’il faut reconnaître, mais la jeunesse algérienne, elle ne peut pas toujours regarder son passé. Elle doit aussi ouvrir une page d’avenir. Arrêtez. Votre génération, elle doit regarder l’avenir, elle doit construire. Ce que vous vivez au quotidien, ce n’est pas le passé d’avant 1962 », lance le président. Le passé colonial, lourd en Algérie, ne s’efface pas aussi facilement que le voudrait Emmanuel Macron.
« La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes », avait déclaré en février 2017 Emmanuel Macron lors de sa visite en Algérie avant son élection à la présidence.
reportage a voir sur saphirnews.com.
Jérusalem, capitale d’Israël : une décision « irresponsable » pour l’Institut du monde arabe
L’Institut du monde arabe (IMA) condamne la décision américaine reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël.
Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, qualifie la décision de Donald Trump comme « une décision totalement irresponsable qui ne fait que jeter de l’huile sur le feu ».
« Une fois de plus le président américain s’oppose à la communauté internationale, choisi la provocation plutôt que la sagesse et poursuit ainsi sa politique unilatérale et destructrice. Le Premier ministre israélien ne s’honore pas à avoir encouragé ce mouvement », fait-il savoir dans un communiqué jeudi 7 décembre, rappelant que cette décision unilatérale est « contraire au droit international ».
« Le statut de Jérusalem doit être décidé à travers des négociations entre les deux parties sur la base des résolutions des Nations Unis. Il n’y a pas d’alternative à une solution à deux Etats », conclut-il. Une position similaire à celle du chef de l’Etat Emmanuel Macron qui a désapprouvé l’initiative de Donald Trump.
La prise de position de l’IMA n’est pas anodine : implantée à Paris, l’institution, qui s’affirme comme « un outil culturel et diplomatique d’exception au service des relations franco-arabes », regroupe la France et 22 pays membres de la Ligue arabe. Celle-ci a convenu, à la demande des Palestiniens et Jordaniens, d’une réunion d’urgence samedi 9 décembre sur le statut de Jérusalem.
L’Arabie Saoudite propose autre que Jérusalem pour capitale de la Palestine.
L’Arabie Saoudite a demandé aux Palestiniens d’abandonner Jérusalem-Est comme capitale d’un futur Etat palestinien. Selon le New York Times, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a proposé à Mahmoud Abbas, lors de son passage dans le royaume en novembre, de faire d’Abu Dis, une commune proche de la ville sainte, la future capitale des Palestiniens.
L’Arabie Saoudite n’entretient pas de relations diplomatiques avec Israël. Du moins, pas officiellement. Mais avec Mohammed ben Salmane, l’heure est au changement, notamment sur le plan géostratégique.
Sa proposition, soumise aux Palestiniens, se veut une nouvelle marque de rapprochement avec Israël, lui permettant au passage de s’attirer le contentement de son puissant allié américain. Cette main tendue vise à contrer l’Iran, ennemi commun des Israéliens comme des Saoudiens. Au détriment des Palestiniens et de leurs revendications historiques.
Le président de l’Autorité palestinienne aurait deux mois, à compter de la date de la proposition, pour répondre aux Saoudiens. A l’heure où la décision unilatérale de Donald Trump provoque un tollé à travers le monde, cette information, parue dimanche 3 décembre, fait mauvais effet auprès des Palestiniens et de leurs alliés.

Sur oumma.com, voici les titres.

Les Tunisiens, indignés, manifestent contre Trump et en soutien à la Palestine.
Se moquant des résolutions des Nations Unies et des accords internationaux comme de l’an quarante, l’incendiaire Donald Trump, en reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël, est allé très loin dans l’aplaventrisme honteux devant l’ultrasionisme au pouvoir et son puissant lobby américain, l’AIPAC, au point de réduire en cendres le faible espoir de paix au Proche-Orient.
Avec une telle décision, aux répercussions désastreuses, le fou furieux qui préside aux destinées de la première puissance mondiale a sciemment ouvert la boîte de Pandore, poussant les Palestiniens, outrés, et les peuples arabes solidaires à descendre dans la rue pour que gronde leur puissante clameur de colère.
En Tunisie, l’annonce du transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem a soulevé l’indignation populaire dans différentes villes du pays, et particulièrement au coeur de sa cité phare, Tunis où, depuis hier soir, des centaines de manifestants battent le pavé, en brandissant haut le drapeau palestinien. Tous appellent à soutenir la Palestine outragée, une fois de plus, une fois de trop, et exigent des autorités tunisiennes qu’elles rompent immédiatement leurs relations diplomatiques avec les Etats-Unis.
reportage a voir sur oumma.com.
Jérusalem, capitale d’Israël : le rôle et soutien de l’Arabie saoudite.
Dans ce monde plus que jamais assis sur un volcan, Mohammed bin Salman, le tout-puissant prince héritier du royaume saoudien dont on nous vante le volontarisme réformateur, incarne le changement dans la continuité sur le plan diplomatique, nouant des liaisons dangereuses avec Israël de nature à faire entrer la lave en fusion au Proche-Orient…
C’est le New York Times qui, en début de semaine, a levé un coin du voile sur les coulisses de ce vaste jeu de dupes qu’est la géopolitique, où les ennemis communs, en l’occurrence l’Iran, ont pour effet de resserrer extraordinairement les liens. Et au diable, la tragédie palestinienne et l’embrasement de toute la région !
Selon le grand quotidien américain, le nouvel homme fort de la monarchie wahhabite a rencontré, le mois dernier, Mahmoud Abbas, le chef de l’Autorité palestinienne, afin de lui faire une proposition aussi inepte qu’inacceptable, annonciatrice de bien sombres présages : renoncer à faire de Jérusalem-Est la capitale du futur État palestinien au profit d’Abu Dis, une localité située au sud-est de la ville sainte.
Cette proposition explosive, dont on connaît les grands inspirateurs, a été élaborée sur l’autel d’ambitions hégémoniques exacerbées de toutes parts – israéliennes, américaines et saoudiennes – teintées à la fois de religion et de géopolitique, et anticipait ce qui semblait inéluctable : la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu.
Nul besoin d’être grand clerc pour pressentir que Mahmoud Abbas, le président fantoche de l’Autorité palestinienne, n’aura pas voix au chapitre dans cet alignement inconditionnel de l’Arabie saoudite sur l’axe du mal, israélo-américain, d’autant plus que, toujours selon le New York Times, l’omnipotent prince saoudien, plus connu désormais sous les initiales MBS, aimerait introniser à sa place le très controversé Mohammed Dahlan.
Allégeance de Washington à l’Etat-colon.
Donald Trump vient d’annoncer que les USA reconnaissent Jérusalem comme la capitale d’Israël et que l’État hébreu, en tant qu’État souverain, “a le droit de déterminer sa propre capitale”. Cette décision est un camouflet infligé au droit international par la première puissance mondiale. Colonisée et annexée par Israël, Jérusalem-Est est considérée par les Palestiniens comme la capitale de leur futur Etat. Pour l’ONU, c’est un territoire occupé en violation de la légalité internationale, comme l’affirmaient déjà les résolutions 242 et 338 du conseil de sécurité.
Mais cette décision est-elle vraiment une surprise ? Elle date de la campagne présidentielle de 2016, et Donald Trump n’en a jamais fait mystère. Boudé par Wall Street qui lui préférait Hillary Clinton, le candidat républicain voulait à tout prix allumer des contre-feux pour rattraper son retard. Il lui fallait obtenir des appuis auprès du lobby sioniste, au risque de voir la victoire lui échapper. Flairant le danger, Donald Trump s’est alors livré à son exercice favori : il a fait de la surenchère pour damer le pion à Hillary Clinton.
Invité à l’assemblée annuelle de l’AIPAC, le 21 mars 2016, Donald Trump fait l’impossible pour faire oublier ses déclarations antérieures. Il refusait de prendre position sur la question palestinienne tant qu’il ne serait pas à la Maison-Blanche. Il hésitait à dire si les États-Unis devaient reconnaître ou non Jérusalem comme capitale d’Israël. Il disait que l’Etat hébreu devait payer l’aide militaire octroyée par les USA. Désormais, c’est fini. En vingt minutes, il dit à son auditoire ce qu’il voulait entendre et il obtient des salves d’applaudissements. Debout, en “standing ovation”.
Il affirme qu’il est un “soutien de longue date et ami réel d’Israël”. Avec lui à la présidence des États-Unis, Israël ne sera plus traité “comme un citoyen de seconde zone” ! Interrogé le jour même par CNN, il déclare qu’il est prêt à déplacer l’ambassade US à Jérusalem. Manifestement décidé à faire mieux que Clinton, il accuse l’Iran d’être “le plus grand sponsor du terrorisme mondial”, d’établir en Syrie un nouveau front dans le Golan contre Israël, de fournir des armes sophistiquées au Hezbollah libanais, et de soutenir le Hamas et le Djihad islamique.
Mais ce discours complaisant n’a pas suffi. Délaissé par les siens, Trump sait qu’il manque de soutiens parmi les donateurs juifs du parti républicain. Ces bailleurs de fonds à l’ancienne, sponsors traditionnels du parti conservateur, sont rebutés par la rhétorique d’un candidat hostile au libre-échange et allergique au “système”. Ils préfèrent se tourner vers une candidate qui n’a jamais lésiné dans son soutien à Israël et au complexe militaro-industriel. Après tout, l’essentiel c’est le business. Pour Donald Trump, du coup, la tâche est rude. Afin d’inverser la tendance, il faut absolument faire quelque chose.
A neuf semaines du scrutin, le candidat républicain se résout à abattre sa dernière carte. Elle lui permettra, espère-t-il, de surpasser Hillary Clinton, de la prendre à revers sur son propre terrain. C’est alors qu’il rencontre publiquement Benyamin Nétanyahou, le 26 septembre 2016. A l’issue de cette entrevue, à New York, Trump promet de reconnaître Jérusalem comme “la capitale indivisible d’Israël” et d’y installer l’ambassade américaine s’il est élu à la présidence. Fabuleux cadeau à l’Etat d’Israël, violation du droit international, cette concession à l’occupant serait lourde de conséquences. Trump le sait. Mais il était difficile de faire mieux pour séduire le lobby.
Fin septembre 2016, la “future capitale de l’Etat palestinien” passe donc à la trappe. La “solution à deux Etats” fait les frais d’une course à l’échalote entre deux candidats qui ont rivalisé d’imagination pour flatter le lobby. Habiles marionnettistes, les amis de Nétanyahou ont manipulé les deux pantins désarticulés qui se disputaient un pouvoir fantoche. Vainqueur de cette compétition acharnée, Trump a décidé de balayer les illusions entretenues par ses prédécesseurs sur le rôle des USA. Il a emporté la mise le 8 novembre 2016. Nous sommes le 6 décembre 2017. Il aura mis un an à payer l’addition.
En reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël, en y installant leur ambassade, les USA offrent au projet d’Etat palestinien un enterrement de première classe. Ils donnent eux-mêmes le coup de grâce à un “processus de paix” dont ils furent les parrains. “L’heure est venue”, a déclaré Donald Trump devant les chaînes de télévision le 6 décembre. L’heure était donc venue, pour Washington, de balayer tout espoir de paix. A la face du monde, le président américain vient de déclarer que la partie est finie. Quitte à décrédibiliser ses alliés arabes, il proclame que le fait accompli colonial en Palestine est irréversible.
Ruinant par avance toute perspective de négociation, ce geste spectaculaire trahit l’allégeance de Washington aux intérêts de l’Etat-colon. A quoi bon négocier si l’enjeu de la négociation (la possibilité d’un Etat palestinien ayant Jérusalem-Est pour capitale) est pulvérisé par Washington ? Paradoxalement, cette ultime reddition américaine aux exigences israéliennes sonne le glas d’une illusion à laquelle les autres puissances, occidentales ou arabes, feignaient de croire encore. Donald Trump vient de leur administrer une douche froide, en leur rappelant qui est le leader du “monde libre”.
Mais il y a plus. En validant la rhétorique israélienne sur “Jérusalem réunifiée”, le président américain restaure également la primauté du théologique sur le politique. Les prétentions sionistes sur la Ville sainte se réclament du texte biblique. En les accréditant, Trump réintroduit le sacré dans un conflit d’essence profane. Il percute le droit international avec le droit divin. Il masque d’un écran de fumée l’affrontement qui oppose l’occupant et l’occupé. Cette concession à la mythologie sioniste occulte la lutte de libération nationale du peuple palestinien. A une époque ou la manipulation du “religieux” sert l’impérialisme, ce n’est pas innocent.

Sur Mizane.info, voici les titres.

A Grigny, une dentiste refuse de soigner deux mamans voilées et une petite fille.
A Grigny, dans le sud lyonnais, Dahbia 62 ans et sa fille de 37 ans se sont vues refuser les soins d’une dentiste en raison du port de leur voile. Les deux femmes ont saisi l’ordre des médecins mais demeurent sans réponse pour le moment.
L’information a été publiée par nos confrères du Progrès. A Grigny, dans le sud-est lyonnais, deux femmes, Dahbia 62 ans et sa fille de 37 ans, ainsi que la petite-fille de Dahbia, dix ans, se sont vues toutes les trois refuser des soins dentaires par une dentiste au motif que les deux femmes portaient le voile. « Lorsque la dentiste arrive elle prend ma fille à l’écart et lui dit, “Je ne peux pas vous prendre car je ne soigne pas les gens voilés comme vous”. Sur le coup nous avons pensé qu’elle était dans son droit. Et nous sommes parties », a témoigné Dahbia. Mais sa petite-fille ayant rendez-vous le jeudi 9 décembre, elle décide de rappeler le cabinet pour confirmer le rendez-vous.
L’ordre des médecins a été saisi
La dentiste déclare alors à sa secrétaire que Dahbia a « bien fait d’appeler car ça ne sert à rien de venir. » Pour cette mère de famille et grand-mère, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. « Ma petite fille n’est pas voilée pourtant. Ça m’a fait mal au cœur », ajoute-t-elle. Les deux habitantes de Grigny ont saisi SOS racisme et l’ordre des médecins. « Nous avons vraiment réagi lorsqu’elle a refusé de prendre la petite, précise la fille de Dahbia. Elle aurait pu simplement me demander d’enlever mon voile s’il gênait pour les soins, et je l’aurai fait ». Contacté par le Progrès, la dentiste a refusé de s’exprimer. L’ordre des médecins n’a pas encore statué sur son cas.
L’aveu de Pascal Bruckner.
Yves Faucoup est consultant et enseignant en action sociale. Nous reproduisons avec son aimable autorisation son billet de réaction à l’intervention de Pascal Bruckner dans « l’Emission Politique » de France 2 jeudi 30 novembre , à propos de l’amalgame entre islamisme et islam.
Au cours du débat qui a suivi « L’Émission Politique » sur France 2 jeudi soir, Pascal Bruckner a montré ce qu’il en était de la question de l’islam et des terroristes islamistes pour certains débatteurs aujourd’hui : la même chose. « Les islamistes se réclament de l’islam, donc on ne peut dissocier les deux », a-t-il déclaré. Il fait partie de ces gens qui ne cessent de confondre les musulmans, les fondamentalistes et les tueurs qui prétendent tuer au nom de l’islam, et ironisent sur ceux qui refusent « l’amalgame ». Ce sont des apprentis-sorciers, qui n’ont strictement rien à faire du fait que les musulmans sont d’abord victimes de ces tueurs (voir l’attentat récent en Egypte, dans le Sinaï, et dans un nombre incalculable de massacres, pendant les années noires en Algérie, au Soudan, en Tunisie, au Sahel, sans parler de Nice ou des militaires abattus par Merah). Ces redresseurs de tort prétendent parler pour les « musulmans modéré » : mais les musulmans modérés, il faut les écouter : ils prennent pour des gifles permanentes les propos emberlificotés de ces irresponsables dont le racisme anti-arabe et antimusulman est évident.
Il s’agit donc chez Bruckner d’un aveu : pour lui, Daech c’est l’islam, et réciproquement. Point barre. Inutile de faire ensuite des circonvolutions.
Ils instrumentalisent la tragédie vécue par Charlie, comme l’a fait Philippe Val face à Jean-Luc Mélenchon, revendiquant de n’être pas contestés puisqu’ils connaissaient les victimes et accusant ignominieusement leurs contradicteurs de banaliser ce drame.
Le faux argumentaire de Pascal Bruckner.
Pascal Bruckner n’est plus depuis longtemps ce philosophe dont les réflexions étaient intéressantes, ouvraient des voies, sur la « tentation de l’innocence » par exemple. Il est désormais aigri, hargneux, développant ses diatribes laborieusement. Lors de son intervention, pour justifier cette thèse du « lien idéologique entre l’islam et l’islamisme », il a fait un parallèle avec l’Inquisition : « c’est comme si on disait que l’Inquisition n’avait pas de lien avec l’Eglise catholique » ! Beaucoup de commentaires ont eu lieu après cette émission, mais pas à propos de cette remarque ridicule : pourtant, il n’y a aucun rapport entre Inquisition et djihadisme, car l’Inquisition agissait non pas au nom d’une prétendue allégeance au catholicisme mais sur ordre express de l’Église catholique qui, reconnue comme telle, représente et représentait officiellement le catholicisme. Il s’agit donc chez Bruckner d’un aveu : pour lui, Daech c’est l’islam, et réciproquement. Point barre. Inutile de faire ensuite des circonvolutions. C’est un propos qui cherche délibérément à attiser des haines dans l’espace public et est totalement contraire aux règles de la laïcité dont il a pourtant l’outrecuidance de se réclamer.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Mosquée de Poitiers : un an de prison avec sursis et 40 000 euros d’amende pour les identitaires.
“Génération Identitaire” voulait faire de ce procès celui de “l’islamisme”. Maxime, Benoît, Alban, Damien et Julien tous membres de ce groupuscule d’extrême droite ont été condamnés jeudi par le tribunal correctionnel de Poitiers à un an de prison avec sursis.
Quatre d’entre eux ont été pleinement reconnus coupables de provocation à la discrimination nationale, raciale, religieuse par paroles, écrits, images ou moyens de communication au public par voie électronique et de dégradations de biens d’autrui, commises en réunion. Ils sont également mis à l’épreuve pendant deux ans avec l’obligation d’indemniser les victimes, principalement des associations de musulmans. Ils sont également privés de l’ensemble de leurs droits civiques et de famille pendant cinq ans.
Par ailleurs, l’association génération identitaire est tenue de verser 24 465,27 € en réparation du préjudice matériel à l’association Musulmans de France et 10 000 € d’amende. Les 5 associations qui le souhaitaient ont vu leur statut de partie civile reconnu. Les 4 prévenus condamnés devront leur verser solidairement 1 € au titre du préjudice moral et 600 € pour les frais de justice. A une exception près : l’association Communauté musulmane de Poitiers touchera 3 000 € en réparation du préjudice moral. Au total, GI devra payer 40 000 euros d’amende, un cagnotte en ligne vient d’être ouverte.
Le 20 octobre 2012, 73 membres de ce groupuscule avaient envahi le chantier de la mosquée de Poitiers, escaladant son toit pour y chanter des slogans à la gloire de Charles Martel, qui aurait stoppé les musulmans dans cette même ville en 732.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

La Malaisie refuse de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël
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Le Premier ministre malaisien Najib Abdul Razzaq a indiqué que son gouvernement a fermement rejeté la décision des États unies de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Isrà ​
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Haniyeh appelle à l’Intifada générale pour contrer la décision de Trump
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L’entité sioniste appelle d’autres pays à reconnaître Jérusalem comme étant sa capitale
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Des centaines de manifestants à Qalqilya contre la déclaration de Trump sur Jérusalem
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Abbas: La déclaration de Trump sur Jérusalem encourage le nettoyage ethnique
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Hamas: Toutes les options sont ouvertes pour répondre à la décision de Trump
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Israël refuse d’approvisionner Zabada en eau
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Erekat: La solution à deux Etats est réduite à néant
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L’occupation harcèle les citoyens de Yaabad pour le troisième jour
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Les écoles fermées en Palestine après la déclaration de Trump
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L’Australie: Nous ne transférerons pas notre ambassade à Jérusalem
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Rashaq: Les palestiniens sont prêts à tout pour défendre Jérusalem
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Trump reconnaît Jérusalem comme la capitale d’Israël
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Les Oulémas de la Palestine: La déclaration de Trump inaugure la fin des Sionistes
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Réactions en cascade dans le monde après l’annonce de Trump sur Jérusalem
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Les brigades d’Abu-Ali Mustapha : la main qui touchera à nos armes sera coupée
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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