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Flash info du 26 Joumada al Awwal 1439.

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Sur oumma.com, voici les titres.

Des musulmanes dénoncent le harcèlement sexuel durant le Hajj sur #MosqueMeToo.
La Terre sainte souillée par un harcèlement sexuel sans frontières et sans limites ?
A l’heure où la parole des femmes brise l’épaisse chape de plomb du silence pour déverser, dans toutes les langues, un flot de témoignages sur les violences portant atteinte à leur dignité et leur intégrité physique, des musulmanes s’épanchent à leur tour afin de lever un coin du voile sur l’envers du décor du Hajj.
Sanctuaires inviolables, les hauts lieux saints de l’islam ne seraient pas épargnés par le fléau des attouchements obscènes, ou pire encore, le rempart de la foi et de l’éthique islamique échouant manifestement à les protéger contre une telle profanation avilissante, même lors de moments d’intense ferveur religieuse.
Fraîchement créé par Mona Eltahawy, une féministe et journaliste égypto-américaine, se disant elle-même victime d’une agression sexuelle durant un Hajj 2013 de triste mémoire, le hashtag #MosqueMeToo a rapidement fait florès sur la Toile, caracolant même en tête des tendances sur Twitter en version persane. En moins de 24 heures, il a été tweeté plus de 2 000 fois dans l’agora virtuelle, par des internautes des deux sexes.
Du harcèlement insupportable de rue au harcèlement impensable lors des longues processions à La Mecque, il n’y avait qu’un pas à franchir pour ceux qui ne respectent rien et ne craignent pas de commettre des actes éminemment blâmables, comme en témoignent de nombreuses femmes musulmanes, revenues traumatisées du grand voyage de leur vie.
La plupart d’entre elles relatent les mêmes faits, affirmant avoir été prises par surprise au milieu d’une foule dense, touchées de manière inappropriée et avec insistance, certaines restant à jamais meurtries par leur agression dans les enceintes sacrées de l’islam, alors même qu’elles étaient en train de se recueillir.
A la lecture de tels récits effarants, de nombreuses internautes iraniennes, ayant elles aussi subi une forme de harcèlement sexuel, ont tenu à partager leur expérience douloureuse sur #MosqueMeToo, en insistant sur le fait que le port du hijab, comme c’est le cas dans l’espace public ou les transports en commun, ne protège nullement des viles pulsions masculines.
Mais cette libération de la parole féminine, encouragée par Mona Eltahawy, n’a pas été du goût de tous les musulmans. Des voix de femmes et d’hommes se sont en effet élevés sur les réseaux sociaux pour lui reprocher d’avoir soulevé un sujet épineux et par-là même d’avoir contribué à salir publiquement l’image du Hajj.
La défense aérienne syrienne abat un avion israélien.
La tension monte après qu’un avion de combat israélien a été abattu hier, par la défense aérienne syrienne soutenue par l’Iran.
reportage a voir sur oumma.com.
France : Marine Le Pen se réjouit du départ de Mennel de The Voice.
Rien de surprenant. Marine Le Pen a affirmé sur Cnews que “C’est la moindre des choses que Mennel se soit exclue de The Voice, elle est le révélateur que les fondamentalistes islamistes utilisent tous les moyens pour normaliser la présence de l’Islam radical.”
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

VIDÉO. Quand Chalghoumi accueillait dans sa mosquée un prédicateur qui priait pour l’anéantissement des juifs.
Récemment le recteur controversé de la mosquée de Drancy (et non l’imam comme est qualifié dans les médias) Hassen Chalghoumi dénonçait le Rassemblement Annuel des Musulmans de l’Est à Mulhouse, le qualifiant de “rassemblement des islamistes”, notamment à cause de la présence de Marwan Muhammad et de Hassan Iquioussen. La venue de ce dernier était finalement annulée après une polémique provoquée par la Licra suite à un article émanant d’un site dont Chalghoumi en est un des contributeurs. On lui reprochait des propos “antisémites” tenus il y a 13 ans et pour lesquels, le conférencier avait pourtant présenté des excuses.
Mais qu’en est-il de Chalghoumi l’”imam des lumières” tant loué par les médias et les politiques? En février 2012, un mois avant les tueries de Toulouse et Montauban, la mosquée de Drancy organisait son 4e congrès annuel. A cette occasion, plusieurs imams et conférenciers étaient conviés, parmi lesquels deux prédicateurs saoudiens : Abdallah Al Hadhban et Cheikh Saad Al Brik, sagement écoutés par le recteur de Drancy comme on peut le voir dans une vidéo publiée par la mosquée. La complicité entre les deux personnages n’est pas à démontrer. Nous ne pouvons pas dire que Chalghoumi ne savait pas puisque le conférencier est un ancien dans son domaine.
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.
Pays-Bas : une mosquée de Drachten victime d’un incendie criminel.
Les attaques contre les mosquées en Europe et en Amérique du Nord se multiplient. Dernière en date aux Pays-Bas, dans la ville de Drachten où une mosquée a subi des dégâts suite à un début d’incendie provoqué dans la nuit de vendredi à samedi. L’auteur de cette attaque, filmé par les caméras de vidéosurveillance, a tenté de mettre le feu à la mosquée en brisant la vitre d’une des fenêtres de l’édifice avant de verser une matière inflammable et de déclencher le feu.
La vitre n’étant pas complètement brisée, le feu n’a fort heureusement pas atteint l’intérieur de la mosquée. Une plainte a été déposée.
“Le CFCM représente entre 80% et 90% des musulmans” selon son président Ahmet Ogras.
Interviewé par la chaîne TV5 Monde, l’actuel président du Conseil Français du Culte Musulman Ahmet Ogras estime que cette institution “représente plus de 80% des musulmans de France”. car selon lui “les quatre grandes fédérations qui composent le CFCM représentent plus de 90% des lieux de culte”. A noter que la Grande Mosquée de Paris a récemment claqué la porte de cette organisation. Début janvier, ce sont deux autres fédérations (la Confédération Islamique du Millî Görüş et la Fédération Foi et Pratique) qui ont appelé à la Réforme du CFCM.
Depuis sa création en 2003 par Nicolas Sarkozy alors ministre de l’intérieur, cette institution dont les membres n’ont jamais été élus par les premiers concernés, les musulmans de France, n’a jamais réussi à fédérer la communauté musulmane de l’hexagone ni à accomplir des projets en sa faveur (Halal, financement des mosquées, écoles privées) ni à la défendre dans les médias comme le fait le Crif pour les juifs. Les membres du CFCM sont élus par des délégués que s’attribue chaque mosquée participante en fonction de sa taille. Ainsi, les grandes mosquées sont favorisées au détriment des petites et moyennes. Paradoxalement, le CFCM qui n’a jamais cessé de nous parler d’”islam de France” ne représente en réalité que les intérêts de pays étrangers.
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.
Sa’ad ibn abi Waqqas, l’un des dix compagnons promis au Paradis.
Compagnon du Prophète Muhammad ﷺ, il fut l’un des fameux dix promis au Paradis de son vivant. Mais au-delà de son seul statut auprès de la communauté musulmane, l’homme fut en soi une véritable pièce maîtresse quant à la propagation de l’Islam et ses premiers succès.
Il nait en l’année 595 de l’ère chrétienne et n’a que 17 ans lorsqu’il embrasse l’islam. Il est à ce moment l’un des tous premiers hommes à se faire musulman, après Abu Bakr, Ali et quelques autres. Aussi parmi les plus éprouvés d’entre eux, sa mère fut si dépourvue de le voir changer de religion qu’elle se mit même à cesser de boire et de manger jusqu’à ce qu’il apostasie. Assumant son plein amour pour Allah et Son Messager ﷺ, il n’en fit rien. Cela ne l’empêcha pas de rester à son chevet, tentant heure après heure de lui faire reprendre raison et ne serait-ce qu’une gorgée d’eau. Ce n’est qu’en prenant conscience de toute la témérité de son fils à s’attacher à l’islam qu’elle finira par se raviser. C’est alors suite à cette histoire que le verset suivant fut révélé : « Et si tous deux te forcent à M’associer ce dont tu n’as aucune connaissance, alors ne leur obéis pas mais reste avec eux ici-bas de façon convenable ».
Proche compagnon du Prophète ﷺ, il l’était aussi de sang : son grand-père était l’oncle d’Aminah bint Wahb, la mère du Prophète ﷺ. Celui-ci l’avait tant en estime qu’on l’entendit dire un jour qu’il était prêt à donner en rançon ses père et mère pour lui. Le Prophète ﷺ le présentait même à ses compagnons comme son propre oncle. Il participera à toutes les batailles menées par la jeune Oumma. On lui doit d’ailleurs, selon les récits prophétiques, la première flèche tirée pour la cause d’Allah. Redouté pour son talent d’archer, il l’était aussi pour ses invocations, toutes selon les observateurs exaucées. Pour cause, le Messager d’Allah ﷺ avait fait lui-même la demande auprès de Son Seigneur pour que ses flèches et invocations atteignent chacunes leur but. Son petit frère, Umayr, s’était aussi converti à l’islam ; il mourra au combat le jour de la bataille de Badr.
La Révélation du Coran close, il menera la fameuse bataille d’al Qadisiyya contre l’empire perse sous le second Califat d’Umar ibn al Khattab. Aidé de ses hommes, dont 99 survivants de la bataille de Badr et plusieurs anciens compagnons, il réalisera là une avancée évidement décisive pour la suite. Les pertes du cotés des Perses se compteront par dizaines de milliers, jusqu’à ce que les combats cessent à la vue de la tête du Général perse Roustoum brandie par les lances des mujahidins. Conquérant ensuite la ville d’al Mada’in (Ctésiphon), sa victoire contre les Perses fut l’un des événements majeurs du Moyen âge.
Des sources datant de son vivant attestent aussi de sa venue en Chine. Envoyé par le 3ème Calife Uthman peu avant la 30ème année de l’hégire, il aurait ainsi mené une délégation diplomatique en direction de la dynastie Tang de l’époque. Le Coran réuni par Uthman, il serait venu en apporter une copie et proposer l’islam à l’empereur. Refusant de se convertir, il aurait néanmoins permis à la diffusion de l’islam sur ses terres et à ce qu’une mosquée y soit construite. Appelée Huaisheng, elle est restée jusqu’à aujourd’hui, devenant l’une des plus anciennes mosquées du monde.
Il finira sa vie à Al Aqiq et connut les débuts du Califat de Mu’awiya, soit les premières années de l’ère omeyyade. Mourant vers l’année 54 de l’hégire (674), il avait près de 80 ans. Son fils, Umar, lui rendait peu avant encore visite alors que les troubles et conflits entre musulmans n’avaient de cesse de déjà éclater. “Les gens se disputent le califat et toi tu es la?” lui demanda-t-il. “O mon fils, lui répondit-il, j’ai entendu le Messager d’Allah ﷺ dire: ” Allah aime le serviteur satisfait, discret et pieux”.
Ainsi fut Sa’ad ibn Abi Waqqas.
Grand froid : la mosquée de Mantes-la-Ville assure l’hébergement d’urgence des sans-abri.
Depuis quelques jours, la mosquée de Mantes-la-Ville dans les Yvelines ouvres ses portes aux sans-abri la nuit. En plus de l’hébergement d’urgence, un dîner et un petit déjeuner leur sont offerts. Un geste de solidarité par ce temps de grand froid qui mérite d’être reproduit ailleurs. En 2017, pas moins de 403 SDF sont morts dans la rue, la plus jeune victime de la rue avait à peine deux mois.
Dans un hadith, le prophète (Paix et Salut sur lui) dit : “Le meilleur des hommes est le plus utile aux autres”.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Les médecins résidents annoncent une manifestation nationale pour ce lundi Santé : nouveau pic de tension.
Les tentatives de dialogue entre le Ministère de la Santé et le syndicat des médecins résidents, CAMRA, durant la semaine dernière, ont vrais semblablement échoués. Et pour cause, les médecins résidents ont décidés d’organiser une » manifestation pacifique nationale » ce lundi 12 février à Alger. Le Collectif autonome des médecins résidents Algériens (CAMRA) n’a pas utilisé, dans son dernier communiqué, le terme » marche « . En effet, dans un communiqué rendu public, le syndicat explique que » la décision d’un nouveau débrayage qui intervient suite à l’échec des rencontres entre le syndicat des médecins résidents et le comité intersectoriel, dans le cadre du dialogue. » Plus que jamais déterminés, les médecins résidents poursuivent dans leur communiqué que » la grève se poursuivra jusqu’à la satisfaction pleine et entière des revendications et gagner la victoire de l’amélioration du système de santé national pour participer à la construction de l’Algérie. » Le CAMRA rappelle, dans son communiqué, qu’ « après plus de trois mois de grève, l’agression de la corporation médicale par les forces de l’ordre le 3 janvier 2018, le boycott de la première session du DEMS 2018, après plusieurs réunions stériles avec la commission intersectorielle, la tutelle continue d’ignorer le mouvement avec l’interruption des négociations et les menaces de suspendre ces dernières jusqu’au gel de la grève ». Le Comité dénonce, d’autre part, « les mesures injustes et illégales des ponctions sur salaire par certains établissements ». Il faut noter, en dernier lieu, que les deux parties butent essentiellement sur la revendication relative au service civil. Jusqu’à maintenant, la tutelle n’arrive pas à proposer une alternative à la formule actuelle qui puisse satisfaire les médecins résidents. Les salaires des médecins résidents grévistes gelés ou ponctionnés dans plusieurs hôpitaux Plusieurs établissements hospitaliers ont gelé ou ponctionné les salaires dus par les médecins résidents grévistes au titre de leur travail du mois de janvier, selon le Dr Taileb Mohamed, membre du bureau national du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra). Par ailleurs, les médecins résidents dénoncent une » manoeuvre malsaine » du gouvernement. Cette action entreprise par les directions des établissements sanitaires reste confuse et non-généralisée. Si dans certains centres hospitalouniversitaires, comme celui de Bab El Oued à Alger, les salaires ont été complètement gelés, dans d’autres établissements, les salaires ont simplement été ponctionnés, comme c’est le cas à Parnet (Alger) où les médecins résidents n’ont reçu que la moitié de leur salaire du mois écoulé. Mais dans la grande partie des hôpitaux, les salaires ont été versés de façon normale, sans gel ni ponction, selon nos sources. Le 21 janvier, le secrétaire général du ministère de la Santé a adressé une note aux directeurs des établissements hospitaliers, les instruisant de procéder à » la ponction sur rémunérations au prorata des journées non travaillées ». » C’est une mesure illégale. Les ponctions et gels de salaires ne peuvent s’appliquer qu’aux fonctionnaires et nous n’avons pas ce statut « , a réagi le Dr Taileb, qui a également affirmé que la procédure de recours contre la décision de justice invalidant la grève des résidents est toujours en cours. » Nous attendons la prochaine audience dont la date n’a pas encore été décidée « , a-t-il expliqué.
Pour tenter de mettre fin au phénomène de la Harga, le Haut Conseil Islamique l’a décrété » Haram » : La fatwa de Ghlamallah tombe à… l’eau.
Le Haut conseil islamique (HCI), la plus haute autorité religieuse du pays, a décrété »haram’ » l’immigration clandestine. Le fond de cette fatwa repose sur les dangers mortels qui guettent les candidats à la »harga », ou émigration clandestine, qui utilisent généralement de frêles canots pour se rendre en Europe, en Italie et en Espagne notamment. Immédiatement après, la sentence du HCI est soutenue et renforcée par le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, selon lequel « »la lutte contre le phénomène de l’émigration clandestine était de la responsabilité de tout un chacun ». Une jeunesse noyée dans le désespoir choisit de prendre la mer à bord de petites embarcations pour rejoindre l’autre rive de la Méditerranée. Une aventure pleine de risques, qui finit souvent en drame. Pour parer à ce phénomène qui ne touche plus que les jeunes désoeuvrés, puisqu’il a été constaté que même des femmes accompagnées de leurs bébés ont également tenté l’aventure, des voix se sont jointes au débat pour apporter une solution à ce drame national. Parmi celles-ci, la fatwa du Haut-Conseil islamique la décrétant » harem » a soulevé une grosse polémique dans les réseaux sociaux. En réalité, selon un responsable au ministère des Affaires religieuses, » Le Haut-Conseil islamique a pour objectif de faire prendre conscience aux candidats à la » harga » qu’ils se jettent dans les bras de la mort. Cet acte suicidaire est interdit catégoriquement par l’islam « , at- il martelé. Mais force est d’admettre que même les fatwas religieuses ne suffisent pas pour dissuader les jeunes algériens à s’aventurer au large pour tenter d’atteindre illégalement les côtes européennes. C’est l’aveu du premier responsable de l’autorité religieuse en Algérie, alors que la situation alarmante sur le flux de candidats voulant traverser illégalement le large méditerranéen a poussé le Haut conseil islamique à déclarer ce phénomène d’ »illicite » du point de vue religieux. Les fatwas émises par les imams ont-elles démontré leurs limites ?
Intempéries : Le froid s’installe dans la durée.
Des pluies sous forme d’averses orageuses, accompagnées parfois de grêles continueront d’affecter les régions côtières et proches côtières du Centre et de l’Est du pays, durant les prochaines 48 heures, a indiqué hier un bulletin météorologique spécial (BMS) de l’Office national de météorologie (ONM). Les wilayas de Tipaza, Ain Defla, Alger, Boumerdes, Tizi Ouzou, Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Tarf, sont concernées par ces prévisions dont la validité est en cours, jusqu’à ce dimanche à 06h00. Les cumuls des précipitations estimées atteindront ou dépasseront localement 30 mm durant la validité de ce bulletin qui sera marquée par des rafales de vent sous orages, selon les prévisions attendues du BMS. Par ailleurs, un dispositif d’intervention conséquent a été engagé par le secteur des travaux publics pour la réouverture des axes coupés à la circulation par les fortes chutes de neige et de pluie, append-on auprès du ministère des Travaux publics et des Transports. Plusieurs wilayas du pays ont connu depuis mardi dernier des intempéries et des perturbations météorologiques caractérisées par de fortes chutes de neige et de pluie ayant touché 38 routes nationales, 35 chemins de wilayas et 7 chemins communaux dans 18 wilayas du pays. Il s’agit des wilayas de Laghouat, Tizi-Ouzou, Bouira, Bordj Bou Arréridj, Sétif, Skikda, Jijel, Béjaia, Médéa, Tlemcen, Sidi Bel Abbés, Tissemsilt, El Bayadh, M’Sila, Oran, Chlef, Ain Defla et Boumerdes. Pour faire face à cette situation, le secteur des travaux publics et des transports a engagé sur le terrain un dispositif conséquent d’intervention composé de 622 unités de matériel et 785 agents et cadres, précise la même source. Le dispositif a effectué des interventions à travers les wilayas touchées pour procéder à la réouverture des axes coupés à la circulation et permettre à la population de se déplacer dans des conditions favorables. Une quantité de 130 tonnes de sel a été utilisée dans les opérations de déneigement, selon le ministère. Il est relevé, d’autre part, qu’au niveau de la wilaya de Bouira, les deux axes routiers RN 15 et RN 33 sont toujours fermés à hauteur des cols de Tirourda et Tizi N’Kouilel pour difficultés d’accès. Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, l’axe routier RN 15 est fermé à hauteur du col de Tirourda, ajoute la même source.
Renégociation des accords UE-Maroc : L’approche est biaisée.
Les manoeuvres sournoises du Maroc dans la gestion du dossier du Sahara occidental et notamment le chapitre relatif l’accord de libéralisation agricole UEMaroc, ne datent pas d’aujourd’hui. Pour rappel, le 21 décembre 2016, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un jugement établissant clairement que les accords d’association et de libéralisation UE-Maroc ne s’appliquaient pas au territoire du Sahara occidental. Dans son arrêt, la CJUE soulignait que si l’accord devait s’y appliquer, Il faudrait un consentement préalable du peuple sahraoui, c’est-à-dire du Front Polisario, reconnu par l’ONU comme le représentant du peuple du Sahara occidental depuis 1979.Quelques mois plus tard, le Conseil de l’UE accorde à la Commission un mandat pour renégocier l’accord de commerce avec le Maroc pour se conformer à l’arrêt de la CJUE.Suite à un revirement de situation dans cette affaire d’accord UEMaroc, qui a conduit à des renégociation entre les deux parties, le Front Polisario a vivement réagi en exprimant à la Commission européenne sa « profonde préoccupation » au sujet de ces négociations entre l’UE et le Maroc visant à inclure les produits issus du Sahara occidental occupé dans leurs accords commerciaux sans le consentement du peuple sahraoui, a affirmé vendredi le ministre sahraoui délégué pour l’Europe, Mohamed Sidati. « Au cours de la réunion, nous avons exprimé notre profonde préoccupation au sujet des négociations en cours pour inclure le Sahara occidental dans l’accord commercial UEMaroc », a-t-il déclaré à l’APS, confirmant des informations faisant état d’une invitation adressée par l’UE au représentant légitime du peuple sahraoui, le Front Polisario, pour participer aux consultations menées par l’exécutif européen dans le cadre des négociations pour la modification de l’accord de libéralisation agricole UEMaroc. Selon le ministre sahraoui, les discussions avec les représentants de la Commission européenne ont porté sur « un large éventail de questions » et sur « les tentatives en cours pour inclure le Sahara occidental dans les accords commerciaux UE-Maroc sans le consentement du peuple sahraoui à travers son représentant légitime, le Front Polisario ».
Mohcine Belabbas, réélu à la tête du RCD pour un 2ème mandat : » C’est un moment important pour le parti «.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas a été réélu pour un deuxième mandat de cinq ans. Il a obtenu la majorité des voix à savoir 755 sur les 895 votants, suite au scrutin à bulletin secret, face aux autres candidats, Salah Belmekki, membre du parti depuis 14 ans et membre de l’exécutif (91voix), Lyes Lahouazi, militant du parti au sein de l’immigration (13) et Fadéla Messousi, membre du conseil national (16). S’exprimant, en marge du 5ème congrès du parti, Belabbas a estimé que sa réélection à la tête du parti est un » signe de reconnaissance » envers le travail qui a été fait par la direction du parti depuis 2012, saluant les congressistes pour la confiance renouvelée pour sa personne. » Cette confiance m’honore. C’est un signe de reconnaissance envers le travail qu’a été fait par la direction depuis 2012 à ce jour. Cependant, beaucoup de travail reste à faire à l’avenir « , a-t-il indiqué, dans une déclaration à l’APS, tout en précisant que cette élection est un moment important pour le parti. Belabbas a fait savoir que de nouvelles instances ont été créées, et par conséquent, son parti sera obligé dans les mois à venir d’organiser un certain nombre d’assises, voire des congrès pour la mise en place de ces structures. Il souligné, dans ce cadre, l’importance d’impliquer un peu plus les jeunes et les femmes non seulement dans la réflexion et dans les débats mais aussi dans les actions. Il est à rappeler que Mohcine Belabbas est président du RCD depuis le 10 mars 2012.
Protection civile : 5.046 interventions en 48 heures.
Les unités de la protection civile ont enregistré durant les dernières 48 heures 5046 interventions, dans les différents types d’interventions pour répondre aux appels de secours, suite à des accidents de la circulation, accidents domestiques, évacuations sanitaire, extinction d’incendies et dispositifs de sécurité… etc. En effet, plusieurs accidents de la circulation ont été enregistrés dont 06 accidents ayant causé 07 personnes décédées sur les lieux d’accidents et 11 autres blessées, traitées sur place puis évacuées vers les structures hospitalières par les secours de la protection civile. Par ailleurs, le bilan le plus lourd à été répertorié à la wilaya de Tamanrasset avec 03 personnes décédées sur les lieux d’accident et 01 autre blessée, suite au renversement d’un véhicule léger, survenu sur la RN N°55, à la commune d’Abalessa, daira de Silet. D’autre part, les secours de la protection civile sont intervenus pour prodiguer des soins de première urgence à 27 personnes incommodées par le monoxyde de carbone CO émanant des appareils de chauffage dans leurs domiciles a travers les wilayas de Batna, Medea, Mila, Djelfa, Tizi Ouzou, et El Bayadh. Par contre, 04 personnes décès asphyxiées, suite à l’inhalation de monoxyde de carbone CO émanant du chauffage à l’intérieur d’une habitation, sise à la cite Sidi El Djilali, à la commune et daïra de Sidi Bel Abbes. Du reste, les unités de la protection civile ont procédés lors de leur intervention à l’extinction de 11 incendies urbains et divers au niveau des wilayas de Medea, Constantine, Tizi Ouzou, Boumerdés, Skikda, M’Sila, Ain Defla et Mascara, causant le décès d’une personne (carbonisée) suite à l’incendie déclaré au niveau d’un chalet de gardiennage, sise au stade de la commune de Hammadi Krouma à la wilaya de Skikda.
Série d’assassinats de ressortissants algériens en France : La Laddh met en garde.
La Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l’Homme (Laddh) a dénoncé fermement la série d’assassinat dont ont fait l’objet les ressortissants algériens en France. Cette situation comme l’a bien expliquée Laddh, dans son communiqué a suscité une grande inquiétude et une panique au sein de la communauté algérienne résidant en France. Cette dernière vit un cauchemar. Elle est confrontée chaque jour à cette situation d’angoisse dont l’origine n’est que cette vague d’assassinats de toutes formes perpétrée à l’encontre des ressortissants algériens. Selon le communiqué, les victimes sont assassinées soit par balles, par immolation ou par arme blanche. Dans ce contexte, le président de Laddh, Houari Kadour a pointé le doigt accusateur à la droite extrémiste qui persiste à répandre la haine à l’encontre les arabes en général et les algériens en particulier. Cette thèse est justifiée par le fait que la Laddh a commencé depuis le mois de mars à suivre des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux , parmi elles celle datée du mercredi 22 mars 2017 dans laquelle , un mouvement de droite qui porte le nom » Wais » qui incite à assassiner les algériens et abattre les musulmans ainsi que l’interpellation de 10 individus âgés entre 17 et 25 ans emprisonnés depuis le mardi 17 octobre 2017 à Seine-Saint Denise et Marseille. » Ces actes montrent une nouvelle génération d’extrémistes français. Ceci est dû au harcèlement médiatique français et la manière dont sont générées les questions des pays arabes à qui le terrorisme est lié. Les médias occidentaux sont contre l’islam et contre les arabes » a-t-il indiqué. Dans cette lancée, Laddh a tenu à préciser que les massacres dont sont victimes les algériens ne sont pas liés à des règlements de comptes de la part des groupes de malfaiteurs, en soulignant son refus catégorique à croire à toutes les rumeurs qui prétendent que les algériens sont des trafiquants de drogue. « Ces rumeurs répandues par les autorités françaises démontrent uniquement l’échec de la police française, sa politique sécuritaire et ses services de renseignements à faire face au phénomène du terrorisme. Par conséquent les ressortissants algériens sont la cible idéale pour cacher leur échec en termes de sécurité » a-t-il ajouté. Laddh a mis en exergue le nombre de morts enregistrés en deux mois, qui a atteint 70 dont 7 originaires de Khenchela, quant à l’identité de l’autre victime, elle reste inconnue. Abondant dans ce sens , les habitants de khenchela ont mis en avant par le bais de son membre du bureau de Laddh M. Lagha Khem, chargé des affaires civiles et politique, l’attitude des autorités françaises concernant l’affaire de l’alpiniste français Hirfih Gourdel qui est entré au Maroc par l’Algérie entant que Harrag , puis enlevé en Kabylie puis exécuté. » Cette affaire a bouleversé toute la France alors que les ressortissants algériens se font assassinés » a-t-il affirmé. Par ailleurs, Laddh a estimé que les droits des ressortissants algériens sont une ligne rouge à ne pas dépasser. Il a tenu à préciser que M. Mahmoud EL Djinane , le secrétaire général chargé de la communauté et les relations étrangères l’a chargé de suivre touts les dépassements et la série d’assassinats perpétrée à l’encontre des ressortissants algériens par les » nouveaux nazis » durant les derniers mois. » Cette situation a instauré un climat d’angoisse au sein des algériens résidants en France « a-t-il déclaré. Par conséquent, Laddh appelle la communauté algérienne résident en France à s’armer de vigilance pour leur sécurité personnelle. Elle interpelle également les autorités algériennes à leur tête le ministre des affaires étrangères Abdelkader Messahel pour convoquer l’ambassadeur français en Algérie afin de dénoncer la mauvaise prise en charge des autorités françaises des émigrés qui vivent en France. » Nous interpellons le président français Emanuel Macron pour intervenir et prendre les mesures qui s’imposent pour protéger ces algériens » a-t-martelé. Enfin, M Houari Kadour a fait savoir que la Laddh a ouvert une enquête suite au silence des autorités françaises par rapport à cette série d’assassinats des ressortissants algériens.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Envoyez un #ValentineToGaza.
Un marchand palestinien expose des ours en peluche devant sa boutique à Gaza ville, le 14 févier 2017 pour la Saint Valentin. La Saint Valentin, communément connue comme Eid al-Hob -la fête de l’amour-, est l’occasion, de plus en plus populaire, dans la région d’offrir des fleurs, des cartes, des chocolats et des cadeaux à son amoureux-se et aux gens que l’on aime. (Ashraf Amra / APA images)
Cette semaine, la situation humanitaire a pris encore un nouveau tour catastrophique pour les deux millions de personnes enfermées à Gaza, assiégée depuis dix ans par Israël, alors que les hôpitaux commencent à fermer pour manque de fuel.
Ceci s’ajoute à la dévastation due à des années d’attaques militaires successives, aux retards de la reconstruction, à l’effondrement des infrastructures de base, à l’appauvrissement délibéré et au plus haut taux de chômage du monde.
« Mais lorsque nous allons à Gaza, les gens nous disent que ce qui est le plus difficile dans ce blocus, c’est qu’il les isole du reste du monde », dit l’American Friends Service Committee (AFSC) [quakers]. « Il empêche de voyager, bloque le commerce, empêche les étudiants de poursuivre leurs études à l’étranger et sépare amis et familles. »
Je peux personnellement en témoigner après ma seule et unique visite à Gaza en mai 2013, quelques mois seulement avant que le coup d’État militaire en Egypte ne referme l’accès par le passage de Rafah.
Ce fut l’isolement, ne cessait-on de me répéter, c’était très éprouvant.
C’est particulièrement dur pour les jeunes – la moitié de la population a moins de 18 ans – dont les ambitions, la curiosité, la soif de connaissances et de contacts sont aussi illimitées que pour n’importe lequel de leurs semblables dans le monde.
Mais à Gaza, leur accessibilité est interdite par le plafond de fer du siège israélien qui se poursuit avec la complicité de la dite communauté internationale.
Comme le fait remarquer l’AFSC, « Depuis que le système postal ne fonctionne plus, la seule possibilité de se connecter avec Gaza, c’est par internet ».
Les Palestiniens de Gaza sont, bien sûr, parmi les plus experts et créatifs dans l’utilisation d’internet pour communiquer avec le monde.
Et cela marche dans les deux sens. Pour cette Saint Valentin – le 14 février – l’AFSC demande aux gens d’utiliser internet « pour s’assurer que la population de Gaza sache qu’on ne les oublie pas, que nous voyons ce qu’ils vivent et que nous sommes déterminés à provoquer du changement ».
L’idée est très simple : poster des messages en ligne, avec des photos comme celle-ci et un message de solidarité pour la population de Gaza.
L’AFSC a même créé une carte de Saint Valentin que les gens peuvent imprimer, poser avec pour une photo et poster en ligne en utilisant les hashtags #GazaUnlocked et #ValentineToGaza.
Cela fait partie de la campagne Gaza Unlocked [Gaza déverrouillée] de l’AFSC dont le but est d’instruire et de mobiliser les gens à travers le monde pour faire pression pour enfin mettre un terme à ce siège cruel et dévastateur.
A Gaza, comme dans beaucoup d’endroits dans le monde arabe, les gens célèbrent la Saint Valentin en tant que Eid al-Hob – la fête de l’amour.
« Nous espérons que nos messages d’amour aideront à remonter le moral de ceux qui souffrent quotidiennement des indignités de la vie sous occupation militaire et blocus », dit l’AFSC, qui demande à tout le monde de se joindre à l’action du 14 février et d’en inviter d’autres à les rejoindre via Facebook.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Electronic Intifada.
La mort lente des malades du cancer de Gaza privés de soins.
En apprenant que l’hôpital Augusta Victoria ne recevra plus de nouveaux malades, Khalil Abdullah s’inquiète énormément.
Ce malade de cancer de 21 ans, de Jabaliya dans la bande de Gaza occupée, est tout seul à pouvoir soutenir une famille de six personnes. Peintre et décorateur, Abdulahh a dû s’arrêter de travailler quand il lui a été diagnostiqué un cancer des testicules et qu’il lui a fallu subir une opération chirurgicale.
« Mon père nous a quittés quand j’étais très jeune », dit Abdullah à The Electronic Intifada. « Aujourd’hui, mes sœurs et ma mère dépendent de moi. Il faut que je trouve un traitement ».
L’unique hôpital, pour la Cisjordanie et la bande de Gaza, pouvant fournir les soins qui sont nécessaires pour Abdullah est Augusta Victoria, à Jérusalem-Est, en Cisjordanie occupée. Mais fin octobre, l’hôpital a cessé de recevoir les malades de Cisjordanie qui ne sont pas de Jérusalem-Est, et ceux de Gaza, informant ceux qui avaient déjà été dirigés vers lui de ne pas essayer de venir à Jérusalem.
Les administrateurs de l’hôpital ont déclaré au Centre palestinien pour les droits de l’homme (PCHR) que la décision avait été prise après que le ministère de la Santé de l’Autorité palestinienne (AP) en Cisjordanie eut omis de régler les sommes dues à cet hôpital privé.
Selon le directeur général de l’hôpital, Walid Nammour, l’AP a une dette d’environ 35 millions de dollars en souffrance à l’hôpital.
Un différend qui gronde.
La dette s’est accumulée sur quatre ans, et l’AP a du mal à suivre. Mais tout en reconnaissant la dette, la réponse de l’AP à la décision de l’hôpital de ne plus recevoir de malades a été laconique.
Dans une déclaration diffusée par Palestine News Network en octobre, le ministère des Finances de l’AP qui alloue les fonds aux différents ministères, dont le ministère de la Santé, a déclaré qu’il était engagé dans un « effort unique » afin de soutenir Augusta Victoria.
Il a annoncé le transfert de près de 15 millions de dollars directement à Augusta Victoria en octobre, en plus des quelque 2,2 millions de dollars que le ministère de la Santé verse chaque mois.
Le ministère des Finances a demandé à l’administration d’Augusta Victoria de se pencher sur ses propres pratiques et de vérifier ses coûts opérationnels, avant de dénoncer la façon dont le différend a été rendu dans la presse et les médias sociaux, suggérant que les administrateurs de l’hôpital avaient fait le choix de le régler en public.
Mais de telles récriminations ne viennent guère en aide à des malades comme Abdullah, qui a dû arrêter de prendre des analgésiques à cause d’une malformation cardiaque congénitale et qui, maintenant, souffre de nuits sans sommeil douloureuses.
Le PCHR a demandé tant à l’AP qu’à Augusta Victoria de résoudre le problème le plus rapidement possible.
Mohammed Bseiso, un avocat du PCHR, a indiqué à The Electronic Intifada que sur les centaines de malades qui étaient dirigés sur Augusta Victoria chaque mois, depuis Gaza, ils n’étaient pas plus de « 50 à 70 % environ » à obtenir le permis.
En effet, en juillet 2017, l’Organisation mondiale de la Santé a fait le constat qu’il y avait 547 malades de Gaza à être dirigés sur Augusta Victoria. L’armée israélienne – qui contrôle les mouvements des Palestiniens entre Cisjordanie et bande de Gaza – n’a accordé le permis qu’à seulement 57 % d’entre eux les autorisant à traverser le check-point d’Erez pour aller recevoir les soins.
Il est bien connu que le processus par lequel un malade demande à la fois le transfert et le permis israélien pour quitter Gaza est long et lent.
D’abord, il faut qu’un médecin conclue que le malade ne peut pas recevoir les soins appropriés à Gaza – scénario plausible alors que les dix années d’un blocus aggravé par les sanctions punitives de l’AP infligées au territoire administré par le Hamas, qui en a la direction depuis le printemps dernier, ont conspiré pour laisser la bande côtière démunie des 223 médicaments indispensables, selon l’OMS.
Un processus interminable.
Ensuite, le dossier du malade est transmis pour approbation au Département chargé du transfert des malades à l’étranger au ministère de la Santé de Gaza – une impasse politique amère a conduit à ce que ce soit des gouvernements palestiniens séparés qui gèrent les affaires intérieures de la Cisjordanie, et de la bande de Gaza.
Les responsables de ce Département déterminent alors où le malade serait le mieux traité. S’il faut que la personne traverse le check-point d’Erez pour être soignée en Cisjordanie ou dans un établissement israélien, une demande en urgence est déposée au Bureau de coordination du district de l’AP, laquelle dépose une demande pour un permis de voyager auprès de son homologue israélien, à savoir la Coordination des activités gouvernementales dans les Territoires, ou COGAT.
Des malades de Gaza l’an dernier sont décédés après que le ministère de la Santé de l’AP en Cisjordanie eut mis en attente leurs demandes de transfert vers des centres médicaux israéliens ou de Cisjordanie.
Le ministère de la Santé de Cisjordanie doit approuver ces demandes avant qu’Israël n’en décide car c’est lui qui règle les factures médicales de tous les dossiers de transferts qu’il approuve.
Le processus est long, et de plus en plus susceptible de se terminer par une déception. Selon l’OMS, 2017 était bien partie, jusqu’en octobre, pour connaître le pire taux d’acceptation pour les malades faisant la demande de quitter Gaza depuis que l’Organisation a commencé à suivre ces données, en 2006.
De plus, en octobre, le COGAT d’Israël a publié de nouvelles lignes directrices pour le temps qu’il faudra pour le processus d’une demande de permis, indiquant que les dossiers médicaux « non urgents » devaient s’attendre à un délai de 23 jours travaillés avant de recevoir une réponse.
Abdullah a suivi tout ce processus. Il a d’abord déposé une demande en juillet 2017 pour un permis de voyager. Mais au moment de son rendez-vous à l’hôpital, le 19 novembre, la seule réponse qu’il a reçue, telle que retransmise par le Bureau palestinien de coordination de district, a été : « En attente d’un contrôle sécurité ».
« Je ne fais partie d’aucun groupe armé » a dit Abdullah à The Electronic Intifada. « Je ne suis qu’un malade atteint d’un cancer. Quelle menace je représente ? »
Le Centre palestinien pour les droits de l’homme, qui apporte une assistance juridique et communique avec le côté israélien, « se bat dans deux directions » a dit Bseiso à The Electronic Intifada.
Il essaie d’aider les malades palestiniens à démêler les procédures complexes des Israéliens pour parvenir aux hôpitaux à l’extérieur de Gaza, tout en luttant aussi contre les atermoiements de l’Autorité palestinienne, en aidant les hôpitaux à assurer les services médicaux.
Ainsi, lorsque Augusta Victoria a appelé les malades pour leur demander de ne pas se présenter à leur rendez-vous, le PCHR s’est activé intensivement.
« Une chose est sûre, c’est que cela a provoqué une crise dans notre travail. Nous avons dû reporter des rendez-vous et recommencer les processus de demande des permis », dit Bseiso.
Tout le temps, cependant, l’état d’Abdullah s’empire. Une tumeur maligne a également été découverte dans ses ganglions lymphatiques, et il a un besoin urgent de traitement.
« Ce cancer malin se baigne dans mon corps. Je meurs lentement » dit-il. « Et depuis le début, c’est simplement dans l’attente d’un permis israélien ».
Une course contre la montre.
Pour Narjiss al-Hasani, à 47 ans, qui est atteinte d’un cancer du sein, dans sa maison du camp de réfugiés de la Plage de Gaza, il ne reste pas non plus beaucoup de temps.
« Cinq mois se sont écoulés et il n’en reste plus qu’un seul pour obtenir un traitement » a dit cette mère de deux enfants à The Electronic Intifada.
Al-Hasani, professeure d’études sociales dans une école gérée par les Nations-Unies dans le camp de la Plage, s’est vu diagnostiquer un cancer en janvier 2016, et elle a subi une mastectomie ainsi que huit séances de chimiothérapie dans un hôpital de Gaza.
Maintenant, elle a besoin d’une radiothérapie, ce qui signifie, qu’elle doit être soignée à Augusta Victoria.
Khalid Thabet, le chef du département d’oncologie à l’hôpital al-Rantisi de Gaza où al-Hasani a suivi la chimiothérapie, a dit à The Electronic Intifada que les malades de cancer ont « un créneau de six mois » pour bénéficier d’une radiothérapie.
Depuis la fin de sa chimiothérapie, al-Hasani a déposé trois demandes successives de permis de voyager. À chaque fois, la réponse est tombée : « En attente d’un contrôle sécurité ».
« En recevant ces trois renvois, et en m’informant sur Augusta Victoria, je me suis sentie anéantie » dit al-Hasani. « Et tout le processus douloureux des soins que j’ai déjà subis pourrait s’avérer vain sans la radiothérapie ».
Tamara Aburamadan est une militante des droits de l’homme, et une auteure basée à Gaza.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source: Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

La résistance à Gaza abat un drone israélien
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La résistance palestinienne a abattu dimanche un avion de tir israélien à l’est de Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza
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Les États-Unis affirment qu’ils soutiennent pleinement l’escalade militaire israélienne contre la Syrie
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Tel Aviv discute de l’annexion des colonies en Cisjordanie à la « souveraineté israélienne »
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La réunion israélienne à propos de la frontière nord se termine sans la divulgation des résultats
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Confrontations au camp d’al-Arroub au nord d’Hébron
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Des colons attaquent le sanctuaire de Kifl Hares à Salfit
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Etat d’alerte élevé des forces d’Al-Qassam
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Al-Masry : Mechaal cherche au Caire la formation d’un front arabe contre la décision de Trump
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Journal: Début des négociations égyptiennes avec la délégation du Hamas au Caire
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L’occupant empêche un citoyen de restaurer sa maison à Hébron
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L’occupation israélienne arrête des pêcheurs de Gaza
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Raids et barrières de l’occupation à Jénine
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26 colons prennent d’assaut la mosquée al-Aqsa
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Dex excavations suspectes dans l’ancien village de Karkach à l’ouest de Salfit
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Un cocktail Molotov tiré sur un poste militaire israélien au nord d’Hébron
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Palestine : des députés britanniques accusent Israël de «tortures» et de «crimes de guerres»
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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