Flash info pour le Mercredi 14 Safar 1445, sur MouslimRadio.
Assalam aleykoum,
Nous sommes le Mercredi 14 Safar 1445.
Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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…….Démolition des maisons palestiniennes dans le Néguev en présence de Ben Gvir et Goldknowf.
Aujourd’hui mardi, le ministre de la Construction et du Logement, Yitzhak Goldknowf, et le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, sous la protection des forces israéliennes, ont supervisé la démolition de maisons appartenant à des Palestiniens, dans la région du Néguev.
Des véhicules d’occupation et des bulldozers, en présence des deux ministres, sous la protection des forces d’occupation, ont démoli des bâtiments appartenant à des citoyens palestiniens dans la région du Néguev.
Les machines et les bulldozers des autorités occupantes ont procédé à la démolition de maisons dans la région de Tel Arad et dans la zone située à l’est de la route 80 (à l’est du camp Nabatim) dans le Néguev, appartenant à des citoyens arabes, sous prétexte de construction sans permis.
« Ce qui s’est passé aujourd’hui est une tentative de montrer ses muscles, et cela se produit presque quotidiennement dans le Néguev, et ce n’est pas quelque chose de nouveau aujourd’hui », a déclaré le chef du conseil local de Kiseifa, Abdel Aziz al-Nasasra. Il a souligné que « la démolition et la destruction se poursuivent dans le Néguev depuis de nombreuses années, et pas seulement aujourd’hui ».
Les autorités ont déclaré que la soi-disant « Autorité foncière israélienne » a émis plus de 360 ordres de démolition et d’expulsion en février 2023, dans le Néguev.
…..4 colons blessés par des jets de pierres au nord de Ramallah.
Quatre colons israéliens ont été blessés, ce mardi matin, après que leurs véhicules ont été ciblés à coups de pierres, près du village de Mikhmas, au nord de Ramallah, au centre de la Cisjordanie.
La chaîne israélienne « Kan » a rapporté que 4 colons avaient été blessés à la suite d’une « attaque » palestinienne près du village de Mikhmas, dans le district de Ramallah.
Plus tôt ce matin, l’organisation israélienne « Sauvetage sans frontières » a déclaré que deux colons avaient été blessés (dont la nature n’a pas été précisée) après avoir été attaqués par des jeunes Palestiniens, près de la ville de Mikhmas, au nord de Ramallah.
Les actes de résistance se poursuivent en Cisjordanie et à Jérusalem occupée, contre les forces d’occupation israéliennes et les colons, et le Centre d’information palestinien « Moata» a documenté 19 actes de résistance au cours des dernières 24 heures.
Des affrontements ont éclaté en dix points distincts, dans les régions de Jérusalem, Qalqilya, Jéricho, Jénine, Ramallah et Naplouse, au cours desquels les jeunes hommes ont jeté des pierres sur les forces d’occupation.
Le Centre d’information palestinien « Moata » a surveillé 1 132 actes de résistance, au cours du mois dernier, dont 97 fusillades et affrontements armés avec les forces d’occupation, 33 ayant eu lieu à Jénine.
L’intensification des opérations de résistance contre les soldats de l’occupation et les colons a entraîné la mort de 36 Israéliens, jusqu’au 21 août 2023.
…..HRW : les années 2022 et 2023 sont les plus meurtrières pour les enfants palestiniens.
Human Rights Watch a déclaré que les années 2022 et 2023 sont les années les plus sanglantes, depuis 15 ans, pour les enfants palestiniens en Cisjordanie, en raison des violations de l’occupation israélienne.
L’organisation internationale a confirmé aujourd’hui dans un rapport que 34 enfants palestiniens ont été tués par les balles de l’occupation israélienne, en Cisjordanie, jusqu’au 22 août, sans aucune responsabilité.
Le rapport de l’organisation a documenté quatre fusillades qui ont causé la mort d’enfants palestiniens, aux mains des forces d’occupation, entre novembre 2022 et mars 2023.
Il a expliqué que les forces d’occupation tuent des enfants palestiniens à un rythme croissant, avertissant que davantage d’entre eux seront tués à moins que les alliés d’Israël ne fassent pression sur Israël pour qu’elle arrête son agression.
Dans tous les cas, le rapport montre que les forces d’occupation ont tiré sur la partie supérieure du corps des enfants, sans émettre d’avertissement ni utiliser des moyens courants, moins meurtriers.
Le journal israélien « Haaretz » a déclaré que, depuis décembre 2021, les soldats de l’occupation sont autorisés à tirer sur les Palestiniens, dans le cas où ils auraient déjà lancé des pierres ou des cocktails Molotov, selon ce que l’organisation a déclaré dans son rapport.
Elle a ajouté que les soldats d’occupation ont eu recours à une force excessive contre les Palestiniens, dans des circonstances dans lesquelles le recours à la force meurtrière n’était pas justifié selon les normes internationales, expliquant que l’armée d’occupation n’ouvre pas d’enquêtes criminelles dans ces cas.
L’organisation a appelé le Secrétaire général des Nations Unies à inclure l’armée d’occupation dans son rapport annuel sur les graves violations contre les enfants dans les conflits armés pour l’année 2023, comme étant responsable du meurtre et de la mutilation d’enfants palestiniens.
Elle a appelé le procureur de la Cour pénale internationale à accélérer les enquêtes de son bureau en Palestine, notamment en ce qui concerne les graves violations commises contre les enfants.
…..Une campagne massive d’arrestations en Cisjordanie et le député Tafesh appelle au soutien des prisonniers.
Aujourd’hui, mardi, les forces armées d’occupation israéliennes ont lancé une campagne massive de raids et d’arrestations dans différentes zones de Cisjordanie occupée, touchant un certain nombre d’étudiants de l’Université de Birzeit et des membres du Conseil des étudiants.
Les forces d’occupation ont arrêté le prisonnier libéré et membre du conseil étudiant de l’Université de Birzeit, Abdul Ghani Fares, après avoir perquisitionné sa maison dans la ville de Silwad, au nord de Ramallah, en plus d’arrêter l’employé de l’université, Obeida Al-Barghouti, après avoir pris d’assaut sa maison. dans la ville de Beit Rima.
Les forces spéciales de l’armée d’occupation ont pris d’assaut le quartier d’Al-Nafref à Ramallah et ont arrêté l’étudiant de l’Université de Birzeit, le prisonnier libéré Ahmed Turkman, après l’avoir agressé.
Dans un même connexe, les forces d’occupation ont arrêté le prisonnier libéré, Cheikh Bassam Hammad, et le secrétaire du Comité des spécialisations du Conseil des étudiants de l’Université de Birzeit, l’étudiant Abdel Ghani Hamed, après avoir pris d’assaut leurs maisons dans la ville de Silwad, ainsi que les blessés, l’ex-prisonnier, Mustafa Ghawanmeh, lors de la prise du camp de Jalazoun, au nord de Ramallah.
Les raids d’occupation ont visé la maison du leader du mouvement Hamas, le prisonnier aveugle, Cheikh Abdel Aziz Amarneh, à Jénine, et l’ont fouillée, terrifié les enfants et ont remis son fils, Ahmed Amarneh, libéré il y a quelques jours, un ordre d’interrogatoire.
À Bethléem, les forces d’occupation ont arrêté quatre citoyens du village de Marah Rabah, au sud de la ville, à savoir Ahmed Ali Al-Sheikh, Uday Ahmed Al-Sheikh, Issa Mahmoud Musa et Nour Al-Din Saleh Al-Sheikh, après avoir perquisitionné et fouillé les maisons de leurs familles dans le village.
Alors qu’ils se trouvaient dans un café du centre de la ville d’Azzun, à l’est de Qalqilya, les forces d’occupation ont emmené les deux jeunes hommes, Hassan Abu Haniyeh et Yahya Abu Haniyeh, dans des centres de détention.
Des forces importantes de l’armée d’occupation ont attaqué la ville de Zeita, au nord de Tulkarem, avant d’arrêter le prisonnier libéré Abdel Basset Ibrahim Abu Al-Ezz, après avoir pris d’assaut sa maison dans la ville.
Pour sa part, le député Khaled Tafesh a appelé au soutien des prisonniers des prisons d’occupation, dans leur lutte contre l’administration pénitentiaire d’occupation, qui les cible pour briser leur fermeté.
Il a souligné que nos courageux prisonniers, représentent le noyau solide de la volonté de notre peuple inébranlable et patient, en terre sainte et la juste cause de notre peuple, indiquant que les prisonniers sont soumis à une attaque féroce de la part des geôliers de l’occupation. afin de briser leur volonté et leur force.
Tafesh a ajouté : « Les prisonniers sont parmi nous, et nous sommes parmi eux, et ils ont un grand droit sur nous de les soutenir », insistant que leur question est primordiale pour les Palestiniens.
Tafesh a souligné que le peuple, la résistance, les institutions et les organismes sont tous appelés à agir aujourd’hui pour soutenir les prisonniers, car ils méritent toutes les formes de soutien de notre part, affirmant qu’ils sont le symbole de notre dignité et de notre liberté.
Le soi-disant ministre de la Sécurité nationale de l’occupation, Ben Gvir, a appelé ces derniers jours, le cabinet israélien à prendre des mesures répressives croissantes contre les prisonniers palestiniens dans les prisons de l’occupation.
Ben Gvir propose d’empêcher les prisonniers palestiniens de regarder la télévision, ainsi que d’empêcher les prisonniers appartenant à une faction de se trouver dans la même section.
Le nombre de prisonniers palestiniens dans les prisons de l’occupation est d’environ 5 000, dont 1 200 détenus administratifs, qui constituent un quart du mouvement de prisonniers.
…..Détention de deux pêcheurs de Gaza le matin et libération de 3 autres arrêtés lundi soir.
Lundi soir, les autorités d’occupation israéliennes ont libéré trois pêcheurs palestiniens, tout en en gardant deux autres, qu’elles avaient arrêtés ce matin en pleine mer, au nord de la bande de Gaza.
Les comités de pêcheurs ont déclaré dans un communiqué de presse que les forces d’occupation ont libéré les pêcheurs, Muhammad Saeed Al-Saidi, Salim et Hassan Jamal Al-Numan, via le poste de contrôle de Beit Hanoun/Erez.
Les forces d’occupation ont maintenu en détention Muhammad Jamal al Nu’man et Wahid al Sayed Keskin.
Ce matin, la marine d’occupation a ciblé tous les bateaux de pêcheurs, tiré des balles réelles et en caoutchouc et des pompes à eau, et a confisqué certains d’eux de la mer au nord de la bande de Gaza vers le port d’Ashdod.
La marine d’occupation israélienne a commis plus de 200 attaques contre des pêcheurs palestiniens et leur équipement, alors qu’ils travaillaient au large des côtes de la bande de Gaza, du début de cette année jusqu’au 27 août, selon le communiqué du comité des pêcheurs.
De temps en temps, les autorités d’occupation annoncent une augmentation ou une diminution de la zone de pêche au large de Gaza : la zone de pêche maximale autorisée est de 15 milles, tandis que la zone la plus basse est de 6 milles.
Les organisations de défense des droits humains confirment que le pêcheur possède « zéro mile » au vu des attaques répétées.
…..Le Hamas salue le rejet populaire et officiel de la Libye d’une normalisation avec l’occupation.
Le Hamas a salué le rejet libyen, officiellement et populairement, et de la part d’un large éventail de forces politiques, de la rencontre qui a eu lieu entre le ministre libyen des Affaires étrangères et le ministre des Affaires étrangères de l’entité sioniste.
Le porte-parole du mouvement, Hazem Qassem, a déclaré, aujourd’hui lundi, dans un communiqué de presse que ce large rejet confirme l’authenticité du peuple libyen et la profondeur de son affiliation aux questions nationales, au premier rang desquelles la question de la Palestine, en tant que question centrale, un problème pour la nation tout entière et que l’entité sioniste restera l’ennemi central de la nation.
Qassem a appelé à l’intensification de l’état de rejet officiel, populaire et syndical dans tous les pays arabes et islamiques, de toute sorte de normalisation avec l’entité sioniste, « parce que la normalisation avec elle nuit en premier lieu aux intérêts nationaux de ces pays, en plus à cause du grand danger qu’elle représente pour la cause palestinienne. »
L’annonce sioniste de la rencontre entre le ministre des Affaires étrangères de l’occupation et son homologue libyen a été largement rejetée et condamnée. Les députés et partis libyens ont exigé le limogeage de la ministre libyenne des Affaires étrangères Najlaa al-Manqoush, affirmant leur rejet et leur condamnation de cette rencontre, qu’ils l’ont qualifiée de « suspecte », au milieu de manifestations de colère dans les villes libyennes.
De son côté, le Conseil présidentiel libyen a demandé une enquête urgente sur les circonstances de la rencontre de la ministre des Affaires étrangères Najlaa al-Mangoush avec son homologue israélien en Italie, selon les médias arabes.
Un membre du Haut Conseil d’État en Libye, Saad bin Sharada, a qualifié la rencontre avec al-Manqoosh d’« insulte envers tout citoyen libyen », ajoutant : « Il n’est pas arrivé qu’un responsable libyen ait rencontré un responsable occupant israélien, depuis l’indépendance, c’est-à-dire depuis l’État moderne de Libye.
Bin Shrada a souligné que le peuple libyen libre n’acceptera en aucune façon une normalisation avec l’occupation israélienne.
Pour sa part, l’ancien chef du Conseil d’État libyen, Khaled Al-Mishri, a déclaré : « Ce gouvernement a franchi toutes les limites religieuses, nationales et légales interdites, et il doit être renversé. »
Le chef du Parti du Mouvement national libyen, Mustafa al-Zaidi, a déclaré que le ministre des Affaires étrangères Najlaa al-Manqoush avait provoqué le peuple libyen et violé ses chartes fondamentales en rencontrant le ministre israélien des Affaires étrangères, à un moment où le gouvernement raciste israélien pratique les pires formes d’oppression contre le peuple palestinien et la violation du caractère sacré d’Aj-Aqsa et de Jérusalem.
De son côté, le Parti libyen de la justice et de la construction a appelé le Premier ministre libyen à démettre immédiatement la ministre des Affaires étrangères de ses fonctions. Pour avoir organisé cette réunion suspecte, en dénonçant ce qui a été annoncé par les médias israéliens à propos de cette réunion.
Le parti a déclaré que cette « étape qui offense les sentiments de tous les Libyens nécessite une clarification adéquate dans les médias », soulignant qu’il s’agit d’une étape dangereuse et qu’elle représente une ligne rouge à ne pas franchir.
Les médias libyens ont rapporté que des manifestations avaient éclaté contre le gouvernement libyen dans la ville de Zawiya, refusant la rencontre de la ministre des Affaires étrangères Najlaa Al-Mangoush avec son homologue sioniste.
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