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Flash info pour le Mardi 13 Safar 1445, sur MouslimRadio.

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L'agence de presse palestinienne 'WAFA

Assalam aleykoum,

Nous sommes le Mardi 13 Safar 1445.

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres de l’agence de presse palestinienne ‘WAFA’.
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…….Fattouh salue la position du Premier ministre libyen sur la question palestinienne.

Ramallah, le 28 août, 2023, WAFA- Le président du Conseil national palestinien, Rawhi Fattouh, a salué la position du Premier ministre libyen, Abdul Hamid Al-Dabaiba, qui a affirmé, la position de son pays en faveur du peuple palestinien et sa cause juste.

Fattouh a déclaré que la présence du Premier ministre libyen et d’un certain nombre de ministres à l’ambassade de l’État de Palestine, pour annoncer depuis l’intérieur de l’ambassade, la position de son pays en faveur de la cause palestinienne, indique la ferme position nationale du peuple libyen frère, et leur gouvernement envers la Palestine, la première question arabe.

Il a ajouté « Nous apprécions cette position populaire nationale libyenne, qui exprime toujours son soutien à la fermeté du peuple palestinien jusqu’à la création de son État palestinien indépendant et sa capitale Jérusalem-Est ».

…..L’armée israélienne saisie une bétonnière et une pompe à béton près de Salfit.

Salfit, le 28 août, 2023, WAFA- Les forces d’occupation israéliennes ont saisi lundi une bétonnière et une pompe à béton dans la bourgade de Qarawat Bani Hassan, à l’ouest de Salfit, selon des témoins.

Ils ont ajouté que, les forces d’occupation israéliennes ont pris d’assaut la bourgade, ont saisi une bétonnière et une pompe à béton, alors qu’elles travaillaient dans une maison en construction dans le quartier « Al-Marrahh », à l’ouest de la bourgade.

…..Des affrontements avec l’armée israélienne près de Jérusalem.

Jérusalem, le 28 août, 2023, WAFA- Des affrontements ont éclaté dans la bourgade de Beit Duqqu, au nord-ouest de Jérusalem occupée, après que les forces d’occupation israéliennes ont pris d’assaut la bourgade cet après-midi.

Les forces d’occupation ont tiré des bombes sonores, des bombes de gaz lacrymogène et des balles recouvertes en caoutchouc sur les habitants et leurs maisons.

Des sources locales ont indiqué que de grandes forces de l’armée d’occupation ont pris d’assaut une maison dans la zone « Al-Wad », située entre la bourgade et la bourgade voisine de Biddu, et l’ont fouillée.

Par ailleurs, les forces d’occupation israéliennes ont arrêté Khaled Halabiya, un étudiant de l’Université Al-Quds, après avoir pris d’assaut sa maison, dans la bourgade d’Abu Dis, à l’est de Jérusalem occupée, et un autre son identité est inconnue, après avoir arrêté son véhicule, qu’il conduisait sur la route liant les bourgades de Hizma et Jaba, au nord-est de Jérusalem occupée.

….. Diplomatie : Israël exploite le double standard international pour légaliser les avant-postes coloniaux.

Ramallah, le 28 août 2023, WAFA- Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a condamné l’installation d’un réseau électrique pour un avant-poste colonial construit sur des terres de la ville de Qusra au sud de Naplouse en Cisjordanie occupée, dans le cadre de la réalisation d’une infrastructure intégrée pour deux avant-postes aléatoires construit sur les terres de la ville.

Dans son communiqué de presse publié aujourd’hui, le ministère a ajouté que cette étape vise à voler davantage de terres palestiniennes et de légaliser ces avant-postes et les transformer en colonies, comme partie intégrante du plan colonial raciste déposé par le Chef du conseil des colonies au nord de la Cisjordanie au Premier ministre israélien afin de construire un immense bloc de colonies dans la zone au sud de Naplouse, ce qui conduit à un approfondissement et à une expansion de la colonisation, séparant les zones de population palestinienne et les gouvernorats les uns des autres.

La Palestine, via son ministère des Affaires étrangères, a tenu le gouvernement d’occupation entièrement et directement responsable de la légitimation d’avant-postes aléatoires et du vol de nouvelles terres de citoyens palestiniens, et a considéré qu’il s’agissait d’une intensification des procédures d’occupation visant à l’annexion progressive et non déclarée de la Cisjordanie occupée.

Le communiqué du ministère a conclu que la légalisation d’avant-postes plus aléatoires méprisent les positions américaines et internationales, des résolutions pertinentes des Nations Unies, en particulier la résolution 2334, et de la volonté internationale de paix, qui rejettent les colonies, ajoutant qu’Israël profite des doubles standards internationaux et de l’échec de la communauté internationale pour défendre et protéger le droit international et ses résolutions et imposer leur respect à l’État occupant.

…..HRW: Hausse du nombre d’enfants palestiniens tués par les forces israéliennes.

Jérusalem, le 28 août 2923, WAFA- L’armée israélienne et les forces de la police des frontières tuent des enfants palestiniens dans un contexte où l’obligation de rendre des comptes est quasi-inexistante, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

L’année 2022 a été l’année la plus meurtrière pour les enfants palestiniens en Cisjordanie depuis 15 ans, et l’année 2023 est en passe d’atteindre ou de dépasser les niveaux de 2022. Au 22 août, les forces israéliennes avaient tué au moins 34 enfants palestiniens en Cisjordanie. Human Rights Watch a enquêté sur quatre cas de tirs mortels par les forces israéliennes, ayant entraîné la mort d’enfants palestiniens entre novembre 2022 et mars 2023.

« Les forces israéliennes abattent de plus en plus fréquemment des enfants palestiniens vivant sous l’occupation », a déclaré Bill Van Esveld, directeur adjoint de la division Droits des enfants à Human Rights Watch. « À moins que les alliés d’Israël, en particulier les États-Unis, ne fassent pression sur ce pays pour qu’il change de cap, des enfants palestiniens continueront d’être tués. »

Pour documenter les quatre meurtres, les chercheurs de Human Rights Watch ont mené des entretiens en personne avec sept témoins, neuf membres des familles de ces enfants, ainsi que d’autres habitants, des avocats, des médecins, des membres du personnel d’organisations palestiniennes et israéliennes de défense des droits humains, dont certains travaillant sur le terrain. Human Rights Watch a également examiné des images de vidéosurveillance et des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, des déclarations des agences de sécurité israéliennes, des dossiers médicaux et des articles de presse.

Human Rights Watch a enquêté sur le cas de Mahmoud al-Sadi, 17 ans, tué par les forces israéliennes alors qu’il se rendait à l’école près du camp de réfugiés de Jénine le 21 novembre 2022. Sans évoquer spécifiquement ce meurtre, l’armée israélienne a déclaré que ses forces avaient mené plusieurs raids visant à des arrestations dans ce camp, raids au cours desquels elles ont échangé des tirs avec des combattants palestiniens. Cependant, d’après les déclarations des habitants, l’échange de tirs le plus proche a eu lieu dans l’une des maisons d’un combattant présumé, à environ 320 mètres de l’endroit où Mahmoud a été abattu.

Mahmoud se tenait au bord d’une route, attendant que cessent les bruits de tirs qu’il entendait au loin, et ne tenait aucune arme ni projectile, a déclaré un témoin. C’est ce qu’a aussi montré la vidéo d’une caméra de surveillance que Human Rights Watch a examinée. Après que les tirs distants ont pris fin et que les forces israéliennes se sont retirées, une balle tirée depuis un véhicule militaire israélien situé à 100 mètres environ a touché Mahmoud, selon le même témoin, aucun combattant palestinien ne se trouvait alors dans cette zone, a précisé ce témoin. L’endroit où Mahmoud a été tué était situé non loin de la rue où les forces israéliennes ont tué la journaliste la journaliste Shireen Abu Aqla le 11 mai 2022, à une distance d’un pâté de maisons.

Dans les autres cas examinés par Human Rights Watch, les forces de sécurité ont tué des garçons après qu’ils se soient joints à d’autres jeunes qui affrontaient les forces israéliennes avec des pierres, des cocktails Molotov ou des feux d’artifice. Alors que ces projectiles peuvent gravement blesser ou tuer, les forces israéliennes ont dans ces cas précis tiré à plusieurs reprises au niveau de la poitrine, touchant plusieurs enfants, et ont tué des enfants dans des situations où ces derniers ne semblaient pas représenter de menace de blessure grave ou de mort, ce qui est la règle en vertu des normes internationales en cas d’utilisation de la force létale par des agents chargés de l’application de la loi. Cela conférerait donc une nature illégale à ces tirs mortels.

Mohammed al-Sleem, 17 ans, a reçu une balle dans le dos alors qu’il fuyait devant des soldats israéliens après qu’un groupe d’amis avec lequel il était ont jeté des pierres, et apparemment aussi des cocktails Molotov, sur des véhicules militaires qui étaient entrés dans un village près de sa ville natale d’Azzoun, dans le nord de la Cisjordanie. Trois autres enfants ont été blessés par des tirs d’armes automatiques alors qu’ils s’enfuyaient.

Selon deux témoins, le 25 janvier 2023 vers 22 heures, un officier israélien a tiré dans le dos de Wadea Abou Ramouz, 17 ans, alors qu’il était avec un groupe de jeunes qui lançaient des pierres et des feux d’artifice sur des véhicules de la police des frontières à Jérusalem-Est. Un autre garçon du groupe a été blessé par balle.

Les forces de sécurité ont enchaîné Wadea à son lit d’hôpital, ont frappé ses proches et les ont empêchés de lui rendre visite, ont gardé son corps des mois après sa mort et ont exigé de sa famille qu’elle l’enterre discrètement pendant la nuit.

Dans tous ces cas, les forces israéliennes ont tiré sur la partie supérieure du corps des enfants, sans sommation, et sans faire usage de mesures courantes moins létales, telles que les gaz lacrymogènes, les grenades à concussion ou les balles en caoutchouc, selon des témoins. Adam Ayyad, 15 ans, a été abattu par derrière dans le camp de réfugiés de Deheisheh le 3 janvier, alors qu’il se trouvait avec un groupe de garçons qui lançaient des pierres et au moins un cocktail Molotov sur les forces israéliennes. Le soldat a également tiré sur un garçon de 13 ans et l’a blessé, selon des témoins.

Le journal israélien Haaretz a indiqué en janvier que depuis « décembre 2021, les soldats sont autorisés à tirer sur les Palestiniens en fuite s’ils ont précédemment jeté des pierres ou des cocktails Molotov ». Le 7 août, Human Rights Watch a transmis à l’armée et à la police israéliennes des courriers comprenant des questions sur ces quatre affaires, et sur les règles d’engagement des forces israéliennes. Le Bureau du Procureur militaire s’est abstenu de répondre aux questions sur les meurtres à moins que Human Rights Watch ne fournisse une procuration pour chaque affaire, mais a ajouté qu’il répondrait ultérieurement au sujet des règles d’engagement. Une fois que l’armée aura fourni ces informations, Human Rights Watch rajoutera à ce communiqué un lien vers cette réponse, le cas échéant. Quant à la police, les règles d’engagement autorisent l’utilisation d’armes à feu contre des personnes qui lancent des pierres, des cocktails Molotov ou des feux d’artifice uniquement s’il existe un « risque imminent pour la vie ou l’intégrité corporelle ». La police a également déclaré qu’elle ne pouvait pas fournir d’informations sur l’affaire de Wadea Abou Ramouz, celle-ci faisant l’objet d’une enquête.

Depuis des décennies, les autorités israéliennes font un usage excessif de la force à l’encontre des Palestiniens dans le cadre du maintien de l’ordre. Elles ont régulièrement omis de demander des comptes à leurs forces lorsque celles-ci tuaient des Palestiniens, notamment des enfants, dans des circonstances où le recours à la force meurtrière n’était pas justifié au regard des normes internationales. De 2017 à 2021, moins de 1 % des plaintes pour violations commises par les forces militaires israéliennes à l’encontre de Palestiniens, notamment au sujet de meurtres et d’autres abus, ont abouti à des mises en accusation, a indiqué le groupe israélien de défense des droits Yesh Din.

Les forces israéliennes ont tué au moins 614 Palestiniens répertoriés comme civils par l’ONU dans la bande de Gaza et en Cisjordanie au cours de cette période. Mais seuls trois soldats ont été condamnés pour avoir tué des Palestiniens, selon Yesh Din, et n’ont été condamnés qu’à de courtes peines de service militaire d’intérêt général. Le groupe israélien de défense des droits B’Tselem, qui a pendant des décennies déposé des plaintes documentées sur des meurtres auprès de l’armée israélienne, a qualifié le système israélien d’application de la loi de « mécanisme de blanchissement » (« whitewash mechanism »).

En 2021, sur les 4 401 plaintes déposées auprès du Département des enquêtes internes de la police, dont des plaintes déposées par des citoyens israéliens, seules 1,2 % d’entre elles ont abouti à des inculpations, selon le Bureau de Contrôleur de l’Etat. Ces meurtres ont eu lieu dans un contexte où les autorités israéliennes commettent les crimes contre l’humanité que sont l’apartheid et la persécution des Palestiniens, notamment des enfants, comme l’ont signalé Human Rights Watch et d’autres groupes de défense des droits humains.

En 2021, Fatou Bensouda, alors Procureure de la Cour pénale internationale (CPI), a ouvert une enquête officielle sur les crimes graves commis en Palestine.

Le Secrétaire général de l’ONU est mandaté par le Conseil de sécurité pour dresser chaque année la liste des forces militaires et des groupes armés responsables de violations graves à l’encontre des enfants dans les conflits armés. Entre 2015 et 2022, l’ONU a attribué aux forces israéliennes la responsabilité dans des incidents où plus de 8 700 victimes étaient des enfants ; malgré cela, Israël n’a jamais été mentionné dans cette liste du Secrétaire général. Les rapports ont énuméré à plusieurs reprises d’autres forces qui ont tué et blessé beaucoup moins d’enfants que les forces israéliennes.

Le caractère stigmatisant de la « liste de la honte » du Secrétaire général est considérable, et pour pouvoir être retirées de cette liste, les parties citées doivent élaborer et mettre en œuvre un plan d’action pour des réformes visant à mettre fin aux abus. L’ONU a manqué une occasion de protéger les enfants en omettant de mentionner Israël, a déclaré Human Rights Watch. Le Secrétaire général devrait utiliser des critères objectifs pour établir sa liste pour 2023.

« Les enfants palestiniens vivent dans un contexte réel d’apartheid et de violence structurelle, où ils risquent à tout moment d’être abattus, sans aucune perspective sérieuse d’obligation de rendre des comptes », a déclaré Bill Van Esveld. « Face à cette sombre réalité, les alliés d’Israël devraient exercer une véritable pression pour que les responsables de ces abus aient à rendent des comptes. »

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