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Flash info pour le 24 Rajab 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

Pour Donald Trump, “les Saoudiens doivent payer s’ils veulent que les troupes américaines restent en Syrie”.
Le président américain Donald Trump a déclaré que l’ Arabie Saoudite pourrait devoir payer si elle veut maintenir la présence américaine en Syrie.
“Nous avons presque terminé cette tâche [de vaincre ISIL] et nous allons prendre une décision très rapidement, en coordination avec les autres pays dans la région, quant à ce que nous ferons”, a déclaré Trump mardi devant la presse à la Maison Blanche.
“L’Arabie Saoudite est très intéressée par notre décision, et j’ai dit:” Eh bien, vous savez, vous voulez que nous restions, peut-être que vous allez devoir payer “.
Trump a parlé lundi au roi d’Arabie saoudite, Salman bin Abdulaziz Al Saoud, au téléphone pour discuter d’une série de questions régionales, y compris un plan de paix entre Israéliens et Palestiniens et des opportunités pour renforcer le partenariat stratégique américano-saoudien.
Lors de la tournée du Prince Hériter, Muhammed Ben Salman, de nombreux contrats militaires ont été signés ce qui a ravi Donald Trump, fier de montrer la facture devant la presse.
Le Milli Gorus distribue plus de 200 000 roses et brochures sur l’Islam dans 200 lieux en Europe.
La communauté musulmane turque en Europe a lancé samedi un événement pour présenter l’Islam aux peuples européens.
La communauté islamique Milli Gorus (ICMG), un mouvement politico-religieux, a distribué plus de 200 000 roses et brochures décrivant l’islam et les musulmans aux citoyens dans 200 lieux à travers le continent. C’était le quatrième événement annuel «Bonjour, je suis un musulman» organisé par le CIJM.
L’événement a eu lieu simultanément en Allemagne, Autriche, Suisse, Pays-Bas, Belgique, France, Danemark, Suède, Italie et Norvège ainsi qu’en Australie et au Canada.
En Allemagne, l’événement a eu lieu dans 120 places dans 15 régions, a indiqué le groupe. En Autriche, les activités ont été organisées à 25 endroits. Aux Pays-Bas, 27 000 roses et brochures ont été distribuées par 250 volontaires dans 17 villes.
“Nous avions pour objectif de faire tomber les préjugés contre l’islam et les musulmans aux Pays-Bas en donnant des roses aux gens”, a déclaré un volontaire, Idris Erdogan, à l’agence Anadolu.
Petra Warmerdar, un Néerlandais a déclaré: “Il y a des choses qui sont mal comprises. Les gens ne se connaissent généralement pas. Je pense qu’il est important de rapprocher les gens les uns des autres. “
Tunahan Kuzu, le leader de Denk aux Pays-Bas, un parti fondé par des législateurs turcs, a déclaré: “J’ai participé à cet événement pendant quatre ans. En tant que musulmans en Europe, nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour éliminer les stéréotypes”.
Mohammed bin Salman et Emmanuel Macron se rencontrent à Paris pour une nouvelle alliance stratégique.
Le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman a dîné dimanche avec le président français Emmanuel Macron au musée du Louvre, à Paris, après une visite de trois jours.
Le dîner, organisé derrière un cordon de sécurité serré, a donné le ton à la partie officielle de la visite qui a débuté lundi, après une tournée d’une semaine aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Égypte.
La rencontre du prince héritier avec Macron a duré trois heures. Le président français Macron a confirmé que l’Arabie Saoudite est un allié de la France et a convenu avec le prince héritier de publier un document stratégique avant la fin de l’année.
Parmi les transactions conclues en France, il y avait un accord franco-saoudien pour le développement d’Al Ula, une ville saoudienne richement dotée de vestiges archéologiques, qui constituait un point culminant de la visite. L’accord appelle à la création d’une agence dédiée, à l’image de l’agence des musées français à l’origine de la création du musée du Louvre à Abu Dhabi.
En outre, environ 18 mémorandums d’accord sur l’énergie, l’agriculture, le tourisme et la culture devraient être signés mardi lors d’un forum officiel des dirigeants saoudiens, a indiqué à l’AFP une source proche de la délégation du prince héritier.
La tournée du prince Mohammed a pour but de démontrer que “l’Arabie saoudite est ouverte aux affaires”, a déclaré à l’AFP Bernard Haykel, professeur à l’université de Princeton.
“Il fait de l’Arabie saoudite un partenaire stratégique et commercial de l’Occident et une force de stabilité dans la région, par rapport à son rival iranien qu’il présente comme une force déstabilisatrice”, a-t-il déclaré.
Les responsables saoudiens projettent de solides relations entre le prince Mohammed et Macron, les deux jeunes leaders entreprenant des réformes importantes pour transformer leurs pays.
“Les dirigeants des deux pays partagent beaucoup en commun. Ils sont à la fois jeunes, visionnaires et ambitieux” , a déclaré à l’AFP une source proche du gouvernement saoudien.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Yémen : MBS à Paris, Macron appelé à faire pression sur l’Arabie Saoudite .
Menant plusieurs opérations de charme en Occident, le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salmane, surnommé MBS, a fait escale à Paris dimanche 8 avril. Après une tournée de trois semaines à travers les États-Unis, ce sont trois jours qu’il passe dans la capitale française où il a été accueilli par le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. Il sera reçu mardi 10 avril par Emmanuel Macron pour un dîner privé en tête-à-tête dans le musée du Louvre. Ce faisant, la France entend amorcer « un nouveau partenariat stratégique » avec l’Arabie Saoudite
Cette visite n’est cependant pas du goût des défenseurs des droits de l’homme. Dix ONG – Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), Action Contre la Faim, Alliance internationale pour la défense des droits et libertés (AIDL), Amnesty International France, la FIDH, Handicap International, Human Rights Watch, Médecins du Monde, Première Urgence Internationale et Reporters Sans Frontières – ont appelé le président français à « placer le Yémen au cœur des discussions » au cours de son entrevue avec le royaume saoudien, rappelant que MBS, fils du roi Salmane, « joue un rôle majeur, en tant que ministre de la Défense, dans la guerre conduite au Yémen ».
Après trois ans d’une guerre sans trêve lancée par l’Arabie Saoudite et ses alliés contre les rebelles houthis soutenus par Téhéran, le Yémen fait face à la pire crise humanitaire dans le monde selon les Nations Unies. « Près de 4 Yéménites sur 5 – 22 millions de personnes – dépendent de l’aide humanitaires et 8,4 millions sont menacés de famine. La diphtérie est de retour au Yémen et le pays a subi en 2017 la pire épidémie de choléra de l’histoire moderne », soulignent les ONG.
La fin des bombardements au Yémen réclamée
Si Emmanuel Macron souhaite une collaboration avec l’Arabie Saoudite « moins axée sur des contrats ponctuels et davantage sur des investissements d’avenir », les ONG réclament qu’il se concentre sur la situation au Yémen. Parmi les revendications qui doivent être mises sur la table, « la fin des bombardements ciblant des civils et le respect du droit humanitaire international » et « la levée inconditionnelle et permanente de toute entrave à l’acheminement de l’aide humanitaire et des biens commerciaux au Yémen ».
Elles n’ont pas manqué de rappeler que la France devrait user de son statut de membre permanent au Conseil de sécurité de l’ONU pour « exiger de l’Arabie Saoudite qu’elle respecte ses obligations internationales ». Dénonçant fermement le partenariat Paris-Riyad en matière d’armement, ce collectif des ONG a également incité l’Hexagone à « se prémunir contre tout risque de complicité dans les graves violations commises par la coalition » à travers une sérieuse remise en question du fait que la France soit le principal fournisseur d’armes de l’Arabie Saoudite.

Sur oumma.com, voici les titres.

Algérie : Le beau parcours académique des Algériennes, plus diplômées que la gent masculine.
Sur les bancs des universités, les étudiantes algériennes peuvent s’enorgueillir de former un vivier de très bonnes élèves, auréolées de succès, plaçant à ce point la barre haute qu’elles dament le pion à la gent masculine.
Selon les conclusions édifiantes du rapport mondial 2018 publié par l’Unesco, elles sont en effet plus nombreuses (63%) que les étudiants algériens à voir, chaque année, leurs efforts récompensés par l’obtention d’un précieux diplôme.
Ce constat, ne manqueront pas de faire observer les spécialistes, reflète une tendance mondiale, selon laquelle le nombre de diplômés de l’enseignement supérieur se féminise de plus en plus. Cela étant, bien que les étudiantes impressionnent par leur capacité à tenir la dragée haute aux étudiants aux quatre coins du globe, elles restent toutefois « sous-représentées dans les filières des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques ».
Toutes les étudiantes ? Hormis les Algériennes qui, là encore, aux côtés des Tunisiennes et des Albanaises, se distinguent par leur présence remarquable (54%) dans les filières qui demeurent des bastions masculins, comme le met en lumière le document de l’Unesco.
Ainsi, de l’autre côté de la rive méditerranéenne, les étudiantes algériennes, dont 63 % d’entre elles décrochent brillamment l’ensemble des diplômes du supérieur et 54 % des filières scientifiques, sont en passe de devenir un modèle d’excellence (si ce n’est déjà fait), dans lequel puiser une source d’inspiration intarissable.
France : L’agresseur islamophobe d’une femme voilée traité de « déséquilibré ».
A en juger par ses propos rapportés par le Parisien, le cinquantenaire qui, jeudi soir dernier, à Vélizy (Yvelines), a agressé verbalement, puis physiquement une passante voilée, semble davantage atteint d’islamophobie aiguë que de bouffées délirantes…
Et pourtant, il a été hâtivement classé dans la catégorie des « déséquilibrés » par les forces de l’ordre et traité comme tel par la presse, et non comme le raciste anti-musulmans primaire qu’il est, déterminé à nuire en ce jeudi 5 avril de triste mémoire pour sa victime encore sous le choc : Sabrina, une mère de famille de 38 ans revêtue d’un hijab, qui marchait tranquillement dans la rue, accompagnée de son fils.
Fulminant à sa vue, ce dangeureux automobiliste, âgé de 51 ans précisément, s’est aussitôt garé, puis s’est précipité vers elle pour lui dire tout le mal qu’il pensait de l’islam et du port du voile. « Vous êtes radicalisée, vous devriez rentrer chez vous ! », s’est-il emporté, terrifiant la malheureuse Sabrina et son fils qui n’étaient absolument pas préparés à une confrontation aussi brutale avec l’islamophobie, plus décomplexée que déséquilibrée…
Après lui avoir arraché des mains le téléphone portable qu’elle avait saisi pour que son mari vienne à son secours, ce dernier l’a bousculée, rudoyée, tout en s’agrippant à ses vêtements. Des badauds, accourus pour s’interposer, mettront fin au calvaire de cette mère de famille et de son enfant.
Interpellé par une patrouille de police et placé en garde à vue au commissariat de Versailles, cet islamophobe passé à l’acte aurait eu, selon une expertise psychiatrique effectuée le lendemain de son agression infâme, le « discernement altéré ». Altéré certes, mais par sa détestation de l’altérité musulmane !
Relâché depuis, dans l’attente de l’évaluation du traumatisme de sa victime expiatoire, l’assaillant de Sabrina fait un curieux déséquilibré, hurlant un discours haineux parfaitement structuré et se déchaînant contre sa proie facile en totale connaissance de cause.
BHL crie à l’innocence de Sarkozy dans l’affaire libyenne.
Alors que les fins observateurs de la politique nationale sont étrangement silencieux au sujet du rôle joué par BHL dans la funeste « guerre humanitaire » en Libye, le philosophe va-t-en-guerre, dont seule la chemise blanche est immaculée, a pris fait et cause samedi soir pour Nicolas Sarkozy, ce cynique affairiste et chef de guerre de la Ve République.
Invité de l’émission « On n’est pas couché » sur France 2, l’auteur le plus médiatisé du PAF, et paradoxalement le moins lu, était venu promouvoir son dernier livre dans un fauteuil confortable où il prend régulièrement ses aises pour distiller sa propagande.
Interrogé sur l’énorme scandale d’Etat que représente le financement de la campagne de Sarkozy, et son corollaire, l’intervention calamiteuse en Libye, le « botuliste » de la philosophie qui, en 2011, révélait son ardeur belliciste sur les plateaux de télévision, a sans surprise absout de toute faute l’ancien oligarque aujourd’hui dans la tourmente judiciaire…
Se disant « fier d’avoir été aux côtés » de l’ex-locataire de l’Elysée, au point d’avoir totalement éclipsé Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères de l’époque, BHL, ce grand démocrate rangé inconditionnellement du côté de la tyrannie israélienne, a martelé qu’il était « du côté de ceux qui aspirent à la démocratie ». « Ce qui comptait, c’était d’abord de protéger des corps, de faire tomber une dictature et de montrer pour la première fois dans l’histoire à un peuple arabe en révolte que nous n’étions pas systématiquement du côté de ceux qui le tabassaient », a-t-il insisté.
BHL, l’homme d’influence et magnat des affaires connu et redouté pour faire et défaire les carrières sur un simple coup de fil, reste extrêmement prévisible, notamment quand il crie à l’innocence de Sarkozy, plus blanc que la blanche colombe, et affirme de manière péremptoire que la sale guerre en Libye n’a pas été déclarée pour réduire à jamais au silence Mouammar Kadhafi, ce généreux mécène à abattre.
« Cette histoire de déclarer la guerre à un type qui vous tient par les c… avec un chèque de 50 millions de dollars, ça ne tient pas une seule seconde », a-t-il lancé, proclamant : « S’il est innocent, je le suis. Et, comme je pense qu’il l’est… ».
Reste à savoir si les couche-tard du samedi soir se seront laissé abuser par la rhétorique insidieuse, riche en mensonges éhontés, du « seigneur et maître des faussaires », tel que l’a épinglé Pascal Boniface dans son ouvrage délicieusement corrosif « Les Intellectuels faussaires ».
La venue à Paris de Mohammed Ben Salmane est critiquée par des manifestants opposés à la guerre au Yémen.
Ils étaient une vingtaine, au pied de la tour Eiffel, à manifester contre la venue en France du prince saoudien, Mohammed Ben Salmane. Certains sont Yéménites, et ils dénoncent la guerre qui se joue chez eux, à travers les rebelles Houthis, entre l’Iran et l’Arabie Saoudite. Ils veulent que le président français cesse de vendre des armes à Ryad, l’un de ses plus gros clients.
reportage a voir sur oumma.com.
Palestine: il y a 70 ans, le massacre de Deir Yassin.
A Deïr Yassine, village palestinien en Judée, à proximité de Jérusalem, a eu lieu le 9 avril 1948, l’un des crimes les plus horribles de l’Histoire qui, selon ses commanditaires, devait anticiper le départ des Arabes des villes palestiniennes. 250 hommes, femmes et enfants ont été massacrés par les terroristes de l’Irgoun ( “organisation militaire nationale”).
reportage a voir sur oumma.com.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Le projet entre dans le cadre du réaménagement du parc d’attraction de Ben Aknoun : Alger aura son Disneyland.
Demandes de visas vers la France : Finies les interminables attentes ?
Jardin d’essais du Hamma : Vers un classement au patrimoine mondial.
Raouya au sujet de la lutte contre la fraude et l’évasion fiscales : » C’est une priorité « .
Lutte contre la hausse excessive des prix : Boycotter est un acte de civisme.
Hasbellaoui rencontrera » au courant de la semaine » les représentants du CAMRA : Énième round des négociations…
Le CNAPESTE annule sa grève cyclique prévue aujourd’hui : La voie de la sagesse

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Yémen, Raif Badawi, droits des femmes… Macron va-t-il parler à MBS des sujets qui fâchent ?
L’opération séduction fonctionne pour le moment à merveille : devenu un allié incontournable des Etats-Unis, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane compte bien sur son séjour de trois jours en France pour se mettre dans la poche Emmanuel Macron. Paris a promis à Riyad « un nouveau partenariat avec la France. » Et si l’Elysée assure que la France ne veut pas « courir après des contrats », Emmanuel Macron ne semble pas décidé à aborder les sujets qui fâchent. Certes, le président devrait toucher un mot sur le respect des droits humains au prince héritier, mais pas question d’entrer en profondeur dans les détails. Or, ce serait le rôle de la France de parler du sort de Raif Badawi, le blogueur emprisonné depuis juin 2012, des droits des femmes mais surtout du Yémen. La France aurait pu poser des conditions aux ventes d’armes à destination du Royaume. Mais il ne devrait pas être question de ce sujet.
Les élus veulent avoir un œil sur les ventes d’armes.
Pourtant, les voix sont nombreuses à s’élever contre la politique française. Un enfant meurt toutes les dix minutes au Yémen et la coalition emmenée par l’Arabie Saoudite, lourdement armée par les pays occidentaux, viole inlassablement les traités internationaux. Même du côté de la majorité, le partenariat aveugle entre Paris et Riyad exaspère. Le député LREM Sébastien Nadot, qui rappelle que près de sept Français sur dix sont favorables à un renforcement du Parlement dans le contrôle des ventes d’armes, a déposé le 6 avril dernier une demande de commission d’enquête sur le Yémen. Il veut notamment des réponses quant au « respect des engagements internationaux de la France au regard des autorisations d’exportations d’armes, munitions, formations, services et assistance accordées ces trois dernières années aux belligérants du conflit au Yémen. »
1 milliard d’euros d’armes vendues en 2016.
Et à l’occasion de la visite du prince héritier à Paris, dix ONG ont lancé un appel à Emmanuel Macron pour dénoncer la situation humanitaire au Yémen. Ces organisations rappellent que « le Yémen a subi plus de 16 000 raids aériens depuis mars 2015, l’équivalent d’un bombardement toutes les 90 minutes. Plus d’un tiers de ces attaques ont frappé des cibles a priori non-militaires, comme des marchés et des habitations. » Pour ces dix ONG, « il est impératif de mettre un terme aux attaques illégales contre les civils et de lever le blocus qui entrave l’acheminement de l’aide humanitaire. » Amnesty International dénonce la « croissance exponentielle » des livraisons d’armes de guerre françaises à l’Arabie Saoudite. Aurélie Perrier indique qu’« une étude récente menée par des juristes souligne qu’il y a de très fortes chances pour que les ventes d’armes françaises à l’Arabie saoudite soient illégales au regard des engagements internationaux de la France. » Plusieurs pays — Pays-Bas, Allemagne, Norvège — ont annoncé la suspension des exportations d’armes vers l’Arabie Saoudite. Les ONG attendent que Paris prenne ce même chemin.
Mais d’autres sujets inquiètent également les défenseurs des droits humains, comme le sort de Raif Badawi. Ce blogueur est emprisonné depuis près de six ans dans des conditions épouvantables. La France n’a jamais véritablement fait pression sur le royaume saoudien pour sa libération. Et Emmanuel Macron ne devrait pas déroger à la règle. Plutôt que de parler du blogueur, ou même de l’Iran et du Liban, le président français devrait évoquer les réformes symboliques du prince héritier concernant les femmes qui, cependant, ne sont toujours pas libérées de la tutelle des hommes. Bref, la venue du futur roi devrait permettre à Paris et Riyad de nouer de premiers partenariats stratégiques. Mais nul doute que lorsque Mohammed ben Salmane quittera le sol français, Emmanuel Macron n’aura pas évoqué avec lui les sujets qui fâchent.
Palestine : Manifestants de Gaza : tous coupables, selon Avigdor Lieberman.
Samedi, à Gaza, le journaliste palestinien Yasser Mourtaja a été touché par une balle israélienne. Affublé d’un gilet de presse, le jeune homme couvrait la « marche du retour ». Les responsables israéliens ont promis de faire la lumière sur cette affaire, notamment à la demande de Reporters sans frontières qui estime que le journaliste palestinien a été « manifestement victime d’un tir intentionnel. »
Yasser Mourtaja fait partie de la longue liste de morts lors de ce rassemblement à la frontière entre la bande de Gaza et Israël. Vendredi, on a dénombré neuf personnes tuées. Et pour éteindre toute critique, Avigdor Lieberman a trouvé la parade. Le ministre israélien de la Défense, interrogé sur la radio publique, a déclaré que, lors de cette marche, « il n’y a pas d’innocents. » Pour le ministre, l’ensemble des manifestants « est connecté au Hamas. »
Le ministre de la Défense offre à son armée un permis de tuer en déclarant que « tout le monde reçoit un salaire du Hamas et tous les militants qui essaient de nous défier et de franchir la frontière sont des militants de la branche armée du Hamas. »
L’Union européenne s’interroge pourtant sur une utilisation disproportionnée de la violence de la part de l’armée d’occupation. Depuis le 30 mars, plus de trente personnes ont perdu la vie, selon les autorités de Gaza. L’UE ainsi que l’ONU ont demandé l’ouverture d’une enquête indépendante après avoir appris que l’armée tirait à balles réelles.
La presse israélienne, elle, continue de jouer le jeu de son armée. Reprenant la réthorique d’Avigdor Lieberman, Times of Israel indique par exemple que pour le Hamas, « les manifestations sont un moyen idéal de permettre aux résidents de l’enclave côtière de se défouler et d’exprimer leur frustration et leur colère face à leur situation difficile tout en concentrant la fureur de la population sur la frontière, sur Israël, sur ‘l’occupation’. »
La mairie FN de Mantes-la-Ville sert aux écoliers des sandwiches… halal.
« Scandale d’Etat », « viol de la loi sur la laïcité »… Lorsque Quick avait décidé de servir de la viande halal dans certains de ses restaurants, en 2011, Marine Le Pen était montée au créneau contre l’abattage rituel musulman. L’année dernière, la présidente du Front National réitérait son désamour du halal, estimant que l’abattage rituel, qu’il soit halal ou casher, « devrait être interdit. »
Ironie du sort, le 22 mars dernier, alors que les personnels de cantine de Mantes-la-Ville faisaient grève, la marie FN a servi aux écoliers de la ville des sandwiches… halal. Le mets, de la marque Réghalal, certifiée par ACMIF, l’organisme de la mosquée d’Evry-Courcouronnes, était un club sandwich , indique Le Parisien.
Une situation qui n’a pas manqué de générer de nombreuses moqueries : la photo du sandwich a largement tourné sur les réseaux sociaux. La ville, qui est à l’origine de la commande des repas froids pour parer à la grève, explique que « la responsabilité en incombe à (son) fournisseur dont l’un des sous-traitants a failli. » La maire adjointe, Monique Führer — ça ne s’invente pas —, assure que « cela ne se reproduira pas. »
Du côté de l’opposition de Mantes, on se moque volontiers du Front National qui, selon Saïd Benmouffok, conseiller municipal socialiste, « se fait une spécialité de dénoncer l’islamisation de la France » et qui « sert des repas halal à la cantine. » L’élu ironise à propos de ce « beau pied de nez à la laïcité. »
Dans son malheur, la mairie de Mantes-la-Ville a servi une marque dont l’organisme labellisateur est pour le moins critiqué : ACMIF est en effet jugé comme laxiste par de nombreux consommateurs musulmans qui lui préfèrent en général le label de la mosquée de Lyon ou AVS. Mais que le FN se rassure sur au moins un point : Réghalal assure que la volaille utilisée dans ses produits est 100 % française.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

La CPI décide de lancer une enquête préliminaire sur le « massacre du Retour »
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Le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Fatu Bensuda, a annoncé sa décision de mener une enquête préliminaire pour examiner les événements en cours à la suite de l’escalade israélienne dans la bande de Gaza..
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Assaf: L’Autorité Palestinienne a porté la question palestinienne à un stade alarmant
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Un colon israélien renverse trois élèves palestiniens à l’entrée de leur école à Qalqilia
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Hamas: le bombardement de Gaza est une preuve de la « crise et confusion » de l’occupation
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Raids et arrestations dont des dirigeants du Hamas en Cisjordanie occupée
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La CPI pourrait juger les auteurs de crimes de guerre à Gaza
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12 blessés à l’est de Gaza, un Palestinien succombe à ses blessures
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent un citoyen et continuent à détenir d’autres
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33 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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La marche du retour .. 8 blessés par balles d’occupation à l’est de la bande de Gaza
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Un garçon renversé par un véhicule militaire israélien au sud d’Hébron
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Les responsables israéliens poursuivent leur incitation contre Gaza
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L’occupation tire sur un palestinien pour avoir prétendument effectué une attaque au couteau à Jérusalem
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La libération du député Mohammed Badr d’Hébron
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Bombardement à l’est de Gaza
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Un Palestinien succombe à ses blessures à Toulkarem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 23 Rajab 1439.

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Sur Katibin.fr, voici les titres.

Des enfants musulmans exterminés dans un total anonymat.
Un Lundi d’horreur en Afghanistan… le 2 Avril 2018.
C’est à cette date qu’a eu lieu un bombardement par l’armée de l’air d’une école coranique du nord-est de l’Afghanistan soupçonnée d’abriter un rassemblement de commandants talibans.
Ce jour là plusieurs centaines d’élèves accompagnés de leurs familles étaient venus assister à une cérémonie de remise de diplômes dont le but était de récompenser les enfants qui avaient mémorisé le Coran.
La Mission de l’ONU en Afghanistan a dépêché dès mardi matin une équipe pour faire la lumière sur cette attaque.
Un témoin interrogé par l’AFP aurait déclaré : “C’était une grande madrasa : les gens étaient assis en rang. Il y avait 1.000 personnes au moins, peut-être 2.000 qui assistaient à la cérémonie de remise des turbans”, qui récompense des jeunes gens ayant mémorisé l’intégralité du Coran.
Des corps décapités jonchaient un sol plein de sang, une vraie scène d’horreur qui totalisait selon certaines sources plus de 50 victimes.
Dans un communiqué paru mardi soir, le chef de l’Etat a présenté ses “condoléances” aux victimes tout en promettant une enquête “minutieuse”.
Nous espérons que la lumière sera faite sur cette catastrophe.

Sur oumma.com, voici les titres.

11 milliards de dollars pour soutenir le Liban.
La communauté internationale est au chevet du Liban. À Paris, 41 pays et une dizaine d’institutions se sont engagés à mobiliser plus de 11 milliards de dollars en dons et en prêts pour relancer l’économie libanaise et soutenir la stabilité du pays après des années de crise, due notamment à la guerre en Syrie.L’Arabie Saoudite a annoncé le renouvellement d’une ligne de crédit d’un milliard de dollars, alors que la Banque mondiale a promis à Beyrouth plus de 4 milliards de dollars pour stimuler la croissance et créer des emplois.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Palestine : Yasser Mourtaja (30 ans), journaliste palestinien exécuté par “Israël”.
Un journaliste palestinien, blessé vendredi 6 avril par des tirs de soldats sionistes lors de la “Marche du retour” près de la frontière entre la bande de Gaza et la Palestine occupée, est mort. Yasser Mourtaja qui portait un gilet “Press” au moment où il reçoit une balle en plein estomac travaillait pour l’agence Ain Media, basée à Gaza. Il était spécialisé dans la production documentaire. Samedi, Reporters sans frontières (RSF) a réclamé «une enquête indépendante», affirmant que Yasser Mourtaja avait «manifestement été victime d’un tir intentionnel».
En une semaine, près de 30 palestiniens sont tombés sous les balles des soldats sionistes. Ce n’est pas la première fois que “l’armée la plus morale au monde” cible les journalistes de Gaza. Lors de la guerre de l’été 2014, une vingtaine d’entre avaient été assassinés.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Djamel Ould Abbes, à la réunion, hier, des membres de la commission de coordination : » Les réalisations de Bouteflika seront notre slogan de campagne en avril 2019 « .
France : Macron vire à droite.
La ministre de la Poste, des Télécoms et du Numérique promet : La fibre optique sera reliée partout.
Mouvement de contestation en Algérie : Le FFS craint une explosion sociale.
Enième changement à la tête du secteur touristique : La destination Algérie patine.
Deux Algériens assassinés à Marseille ce vendredi : Le massacre continue.
Bilan du ministère de la Défense Nationale durant la 1ère semaine d’Avril : Reddition de 4 terroristes.
Dix morts et 400 blessés à Gaza : Le massacre se poursuit !.
Renforcement des capacités de traitement du contrôle technique des véhicules : En finir avec ces interminables queues.
Financement du terrorisme en Afrique : Alger abrite une importante réunion.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Algérie : Le FLN appelle Bouteflika à rempiler pour un 5e mandat : la « présidence jusqu’à la mort ».
Pour de nombreux Algériens qui ont très mal vécu un quatrième mandat du président Abdelaziz Bouteflika jugé « hallucinant », un cinquième mandat serait le pire des cauchemars.
Ce «cauchemar » a commencé à prendre forme avec l’appel lancé, le samedi 7 avril, par Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du FLN, au président Bouteflika à se présenter pour un cinquième mandat présidentiel en 2019.
L’appel a suscité immédiatement des commentaires catastrophés sur les réseaux sociaux où l’on perçoit surtout de l’abattement voire de la résignation.
Au pouvoir depuis 1999, victime d’un AVC en 2013, le président Bouteflika avait été élu pour un quatrième mandat, le 17 avril 2014, après une campagne électorale unique au monde où il a été totalement absent. Sa campagne avait été menée par des ministres et des dirigeants de partis pro-pouvoir avec l’appui décisif de l’administration.
Ce quatrième mandat qui entre dans sa cinquième et dernière année, a été vécu comme une humiliation par de nombreux algériens qui n’ont guère apprécié les scènes cruelles d’un président amoindri recevant des hôtes étrangers, histoire de montrer à l’opinion qu’il est toujours actif.
Un pic avait été atteint le 10 avril 2016 à la suite de la publication d’un tweet par Manuel Valls, en visite à Alger, montrant un président algérien dans un très mauvais état.
Depuis les images sont strictement contrôlées par la présidence. Ce qui n’a pas empêché d’autres couacs, comme l’annulation à la dernière minute, le 20 février 2017, d’une visite officielle de la chancelière allemande, Angela Merkel.
Des membres de l’opposition avaient relancé en vain les appelsà la mise en œuvre de l’état d’empêchement pour raison de santé à l’encontre du président qui a bouclé le 2 mars dernier ses 81 ans.
Le cerveau de Bouteflika « fonctionne mieux que nous tous »
La capacité du président Bouteflika à assumer sa charge a été l’objet de polémiques récurrentes au cours du quatrième mandat, cela n’a pas empêché ses partisans de clamer qu’il dirige «effectivement » le pays.
A l’image de Amara Benyounes, ex-ministre et chef du parti MPA (Mouvement populaire algérien), qui a assuré, sans broncher, que le cerveau de Bouteflika « fonctionnait mieux que nous tous ».
La perspective d’un cinquième mandat était dans l’air, ce qui explique qu’aucune candidature ne s’est manifestée jusqu’à présent, tant la conviction est totale que la présence de Bouteflika dans la course est synonyme d’une élection fermée, réglée d’avance.
Le politologue Abed Charef a souligné dans un blog l’inanité de participer à une élection même avec un « candidat unique » de l’opposition face à Bouteflika.
« L’idée de présenter un candidat aux élections suppose qu’il y aura une élection en 2019. Or, dans les conditions actuelles, il est impossible d’organiser un scrutin crédible. Le système en place a une force d’inertie telle qu’il pourra écraser une telle tentative. Et le candidat Bouteflika pourra s’en sortir renforcé en faisant valoir son succès contre un rival crédible. »
Formellement, un appel du FLN, n’engage pas le président. Ainsi que l’a souligné, Djamel Ould Abbès, « c’est lui et lui seul qui détient le pouvoir de décision ». Mais pour l’ensemble des observateurs politiques, la cause est entendue. Djamel Ould Abbès n’aurait pas fait la déclaration sans l’aval de Bouteflika, qui est le président en titre du FLN, ou de son frère Saïd.
Sur les réseaux sociaux, certains notent avec tristesse que l’Algérie n’est pas dans une « présidence à vie » mais dans une « présidence jusqu’à la mort ».

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Avec la Grande Marche du Retour, les Palestiniens demandent à vivre dans la dignité.
La Nakba n’est pas un simple souvenir, c’est une réalité permanente. Nous acceptons l’idée qu’un jour ou l’autre, nous mourrons ; à Gaza, la tragédie, c’est que nous ne pouvons pas vivre.
Khan Younis—Ces huit derniers jours, des dizaines de milliers de manifestants de Gaza ont animé d’une vie nouvelle un lieu qui était lentement en train de perdre toute trace de vie. Nous nous sommes rassemblés, entonnant et chantant une berceuse qui hantait nos rêves —“Nous reviendrons”—faisant offrande de tout ce qui nous reste, dans notre volonté de réaliser notre droit de vivre dans la liberté et la justice. Malgré nos marches pacifiques, nous nous sommes heurtés à des nuées de gaz lacrymogène et à des balles réelles tirées par des soldats israéliens. Hélas, ce n’est pas une nouveauté pour les Palestiniens de Gaza, qui ont traversé de nombreuses guerres, un blocus et un siège brutal.
La bande de Gaza abrite presque 1,9 million de personnes, dont 1,2 million de réfugiés chassés de leur maison et de leur terre il y a 70 ans, lors de la création d’Israël, événement connu des Palestiniens sous le nom de Nakba (catastrophe). Depuis le début du siège, il y a presque 11 ans, la simple survie quotidienne a représenté un véritable défi. Se réveiller le matin en disposant d’eau salubre et d’électricité constitue aujourd’hui un luxe. Le siège a été particulièrement dur pour les jeunes gens, dont le taux de chômage s’élève à 58 pour cent. Le pire, c’est que tout cela résulte de la politique israélienne, qui pourrait être modifiée. Cette vie pénible et difficile ne devrait pas constituer une réalité incontournable pour la bande de Gaza.
Les pêcheurs ne peuvent pas dépasser les six milles nautiques, et il leur est donc bien difficile de rassembler assez de poisson pour nourrir leur famille. Après les guerres menées contre Gaza par Israël, en 2008-09 puis de nouveau en 2012 et 2014, et tous les homicides commis dans l’intervalle, les gens d’ici ne se voient même pas donner la possibilité de reconstruire, car Israël a renforcé les restrictions imposées à l’entrée des matériaux de construction. L’état des hôpitaux est alarmant, et les patients ne sont que rarement autorisés à recevoir un traitement à l’extérieur de la bande. Ne parlons même pas de l’état d’obscurité perpétuelle dans lequel nous vivons en raison de l’absence quasi totale d’électricité, ou du manque d’eau propre. C’est comme s’il n’avait pas suffi de nous déplacer ; c’est comme s’il fallait endiguer et effacer toute la mémoire des réfugiés palestiniens.
Je suis né dans le camp de réfugiés de Rafah, dans la bande de Gaza. Mes parents viennent de la ville de Ramle, dans ce qu’on appelle aujourd’hui Israël. Comme la plupart des réfugiés palestiniens, j’ai entendu les membres les plus âgés de ma famille raconter la manière dont ils ont été brutalement chassés de chez eux lors de la Nakba. Les décennies ont beau passer, ils font partie des centaines de milliers de personnes qui ne peuvent pas oublier les horreurs dont ils ont été témoins lors de leur dépossession ni les violences et les souffrances subies à cette période.
Je n’ai jamais vu la maison familiale de Ramle, et mes enfants n’ont jamais rien vu au-delà des limites de Gaza assiégée. L’aîné vient d’avoir 7 ans, le plus jeune a 2 ans, et la seule réalité qu’ils connaissent, c’est le bruit des bombes, l’obscurité des nuits qu’aucune électricité n’éclaire, l’incapacité de se déplacer librement—et ils ignorent que rien de tout cela n’est normal. Dans la vie qu’on mène à Gaza, rien n’est normal. La Nakba n’est pas un simple souvenir, c’est une réalité permanente. Nous acceptons l’idée qu’un jour ou l’autre, nous mourrons ; à Gaza, la tragédie, c’est que nous ne pouvons pas vivre.
Si nous tenons bon, c’est en dépit de cette dure réalité. Depuis deux vendredis nous faisons face à toutes les puissances qui nous disent de céder et de mourir en silence, nous avons décidé de marcher pour la vie. C’est la protestation d’un peuple qui ne veut rien de plus que de vivre dans la dignité.
En 2011, des Palestiniens ont marché en se rapprochant des frontières depuis la Syrie, le Liban, la Jordanie, Gaza, et la Cisjordanie. Certains ont été tués, d’autres sont parvenus à franchir les frontières et se sont fait arrêter par des soldats israéliens. Mais bien plus loin dans le temps, en 1976, des Palestiniens ont protesté contre l’expropriation de leurs terres par Israël, ce mouvement ayant pris plus tard le nom de Journée de la Terre. Six Palestiniens ont alors été tués et, 42 ans plus tard, Israël fait encore recours à une violence meurtrière pour empêcher les réfugiés de rentrer, tuant au moins 25 Palestiniens à Gaza depuis vendredi dernier. Ces êtres humains ont osé projeter leurs rêves au-delà des ruelles des camps de réfugiés ; ils ont eu la vision d’un foyer qu’ils n’auraient jamais la possibilité de voir.
Je me suis inquiété pour notre sécurité quand nous nous sommes avancés par milliers dans le secteur qualifié par Israël de “zone d’exclusion”. J’ai réfléchi aux conséquences. Debout avec ma famille près de la place de la Marche du Retour, dans l’est de Khan Younis, nous avons tous reçu du gaz lacrymogène, y compris les enfants. Cela m’a fait de la peine de voir l’innocence de l’enfance souillée par cette expérience traumatisante. Mais il y a un point que beaucoup de gens ne comprennent pas : à Gaza, que nous soyons dans nos maisons ou rassemblés dans les champs pour manifester, nous ne sommes jamais vraiment en sécurité, nous ne sommes jamais vraiment vivants. Tout se passe comme si toute notre existence, avec nos rêves de rejoindre un jour notre foyer et de vivre dans la dignité, devait se cacher dans le noir.
Cette année, après que Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et a estimé possible de réussir ce qu’il a appelé l’“accord du siècle”, les Palestiniens ont eu le sentiment qu’une grave menace pesait sur le droit légal au retour des réfugiés, bien qu’il soit consacré par la résolution 194 des Nations Unies. Nous éprouvons une préoccupation collective quant à nos droits de réfugiés, qui semblent bien compromis, et nous devons résister à cette menace de façon novatrice, unifiée, révolutionnaire—selon une modalité échappant aux paramètres des négociations et des dissensions entre factions, pour faire pression sur Israël en revendiquant nos droits.
Depuis 70 ans, Israël persiste sans relâche à déplacer et à humilier les Palestiniens. Cela s’est passé en 1948, et de nouveau en 1967, et maintenant nous y assistons encore, avec la croissance des colonies. En même temps qu’Israël force les Palestiniens à partir, il fait venir de nouveaux immigrants du monde entier et les installe sur des terres volées aux Palestiniens, violant ainsi le droit international. Mais Israël est enhardi par l’absence de pression de la part de la communauté internationale et par le soutien de l’administration Trump, si bien que les colonies ne cessent de s’étendre inexorablement.
Israël ferait volontiers croire au reste du monde que nous, les Palestiniens, avons choisi de quitter nos foyers et de mener cette vie dégradante, en l’absence des droits humains les plus fondamentaux ; bref, que nous serions responsables de notre propre situation.
Aujourd’hui, nous, Palestiniens de Gaza, nous efforçons de briser les chaînes auxquelles Israël a voulu nous soumettre. Nous sommes des manifestants non armés qui opposent à des soldats lourdement armés leur protestation pacifique. De ce fait, Israël peut difficilement nous diffamer et justifier sa violence sans frein, et le monde constate la réalité : des civils innocents se font tuer uniquement pour avoir exercé leur droit de manifestation pacifique. Les prétextes invoqués par Israël pour justifier sa politique à l’égard des Palestiniens perdent peu à peu de leur efficacité, car les hommes et les femmes du monde entier voient de plus en plus clairement que le vrai visage d’Israël est celui d’un régime brutal d’apartheid.
Malgré la violence calculée et le ciblage de manifestants non armés par Israël, nous, Palestiniens de Gaza, avec notre Grande Marche du Retour, affirmons haut et fort que nous sommes encore ici. Pour Israël, c’est de notre identité que nous sommes coupables, mais nous célébrons précisément cette identité qu’Israël tente de criminaliser. Des personnes de tous les milieux rejoignent la marche. Des artistes contribuent avec la danse traditionnelle, le dabké, des intellectuels organisent des cercles de lecture, des comédiens s’habillent en clowns et jouent avec les enfants. C’est bien là le plus frappant : ces jeunes pleins de vie, joueurs, dont le rire est la plus belle protestation.
L’ONU a lancé une mise en garde, annonçant que la bande de Gaza risque d’être inhabitable d’ici deux ans. Résistant au sort qu’Israël a prévu pour nous, nous ripostons pacifiquement avec nos corps et notre amour de la vie, et nous invoquons ce qu’il reste encore de justice en ce monde.
*L’auteur de cet article, Ahmad Abu Rtemah est un écrivain indépendant et activiste des médias sociaux basé à Gaza, et un des organisateurs de la Grande Marche du Retour.
Source : The Nation.
Traduction : SMesse pour l’Agence Média Palestine.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

28 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem occupées
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Les forces d’occupation israéliennes ont arrêté 28 citoyens dimanche à l’aube lors d’une campagne de raids et de perquisition dans différentes parties de la Cisjordanie et à Jérusalem occupées.
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Appel au boycott du discours de Netanyahou à la commémoration de la Nakba Palestinienne
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L’étau de sécurité resserré à Azzun et une patrouille sioniste ciblée
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Des mesures israéliennes serrées à Jérusalem
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Un enfant parmi 9 blessés par l’occupation à l’est de Gaza au 9ème jour de la marche du Retour
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Notre position sur la normalisation des visites à Jérusalem n’a pas changé, assure l’Eglise Copte en Egypte
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Israël poursuit les « porteurs de pneus » à Gaza
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Washington bloque une déclaration de l’ONU sur les violences à Gaza
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Le journal Haaretz exhorte l’armée israélienne à ne pas tirer sur les manifestants de la marche du retour
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Israël a délibérément ciblé un photographe, s’alarme le syndicat des journalistes
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Offensive israélienne à Madama
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Dix journalistes blessés à Gaza lors des marches du retour
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Bilan meurtrier de la marche de ce vendredi : 8 morts et des centaines de blessés
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Sinwar: Gaza ne mourra pas de faim
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Grande marche de solidarité avec Gaza à Hébron
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Koweït : La Palestine doit être débattue avec inquiétude lors du sommet arabe
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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