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Flash info pour le 6 Sha’ban 1439.

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Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine: au-delà des cris.
Dénoncer l’oppression israélienne est indispensable mais il serait bon de ne pas attendre à chaque fois que les bombes et la mort aient fait leur ouvrage pour se rappeler qu’un peuple est martyrisé. Il est temps d’avoir une attitude à la mesure de la gravité des faits : les Palestiniens ne subissent pas des attaques prétendument motivées mais un véritable massacre installé dans le temps et la froideur comme un cancer. Si l’on ne comprend pas sérieusement ceci, il viendra un jour où nos manifestations se feront à la mémoire d’un peuple disparu.
Les cris d’indignation qui se multiplient dans la blogosphère, relayés par l’élan populaire de solidarité que l’on sent à travers le monde ont évidemment leur vertu mais ne sont-ils pas une réaction a minima ? Le propos qui suit entend accompagner par quelques recommandations la conscience de tout.es ces Français.es, êtres humains tout d’abord, qui battent en ce moment le pavé en soutien au peuple palestinien. L’un des fondamentaux de la pensée humaniste nous enseigne-t-il pas qu’au delà des mots, « être libre, ce n’est pas pouvoir faire ce que l’on veut, mais c’est vouloir ce que l’on peut ».
Une colère froide.
Il convient d’éviter d’exacerber la colère de l’instant car celle-ci se dissipe aussi vite qu’elle est venue. Nos hurlements d’indignation ne viendront jamais seuls à bout du gouvernement « bourreau » d’Israël qui sévit depuis trop longtemps. S’il est naturel d’avoir des sentiments, il faut aussi apprendre à ne pas les laisser dominer l’entendement. Une colère « rouge » qui donne de la voix présente toujours la faiblesse de ressembler à une ébullition émotionnelle pure et passagère. En poussant le raisonnement, peu s’en faut que l’on s’aperçoive combien cette émotivité s’accorde avec de l’indifférence, ceci malgré l’antagonisme des termes. On est ici dans l’attitude de l’indignation de bienséance, du quota de larmes et de slogans, mais sans plus.
Au contraire de cela, une colère « froide » serait mieux appropriée. Ce serait la colère mise au service de l’esprit, c’est-à-dire d’un arsenal de réactions toutes pensées et tendues vers un seul but : mettre fin à l’injustice. La manifestation de la colère ne serait plus ici un trop plein de douleurs que l’on vide en place publique mais une entreprise de réelle information des gens, de mobilisation des consciences, et d’appel solennel aux autorités gouvernantes de notre pays.
Mais, que signifie donc réagir avec l’esprit et quels contenus donner à ces réactions de résistance ? Il est évident qu’au-delà de cette ligne, nous sommes en train de parler d’attitudes beaucoup plus engagées dans le sérieux et la qualité.
Briser l’image médiatique d’un Israël jamais coupable.
« Israël riposte ». Attaquer pour se défendre est une ruse cousue de fil blanc dont l’histoire nous fournit une galerie d’exemples aussi sinistres que variés. On ne compte plus le nombre de casus belli mensongers qui ont servi de prétextes à l’invasion de territoires – généralement civils ou sous-armés – au motif de protéger des frontières ou des groupes humains. Allons-nous remonter jusqu’à l’invasion de la Silésie en 1939 ou celle du Timor en 1975 ? Pourquoi sommes-nous si facilement amnésiques ?
« Regain de tension », « violences », « heurts »… Voilà ce dont s’efforce de nous convaincre un discours médiatique ces dernières semaines dans son traitement de l’actualité sur la manifestation pacifique palestinienne. Abattre de sang-froid des manifestants non-armés serait une riposte « mesurée ». Il s’agirait ainsi d’opérations « préventives » à laquelle Israël recourrait de manière parfaitement « légitime » et « proportionnée » devant une « menace terroriste » latente. « A qui la faute ? », se demandera-t-on. Aux Palestiniens évidemment, Israël ne faisant que se défendre. Face à cette entreprise incessante de désinformation médiatique, notre devoir d’information s’impose et doit être de tous les instants.
Condamner l’amalgame coupable entre antisémitisme et critique légitime de la politique israélienne.
Si Bernard-Henri Lévi met en avant ses identités israélienne et juive pour revendiquer son implication en Libye – ce qui lui épargne d’avoir à évoquer des intérêts plus bassement liés à l’industrie du pétrole – les gens de bonne volonté doivent éviter absolument d’adopter un discours aussi dangereux et simpliste. Protester contre la barbarie que subit le peuple palestinien au nom de valeurs ethniques ou religieuses serait tomber dans le piège béant de l’amalgame primaire. Contrairement à BHL qui semble tout mélanger – ou plutôt a le droit de le faire – la critique de la politique israélienne ne doit pas se confondre avec une offense aux juifs, comme on l’a reproché dans de récentes manifestations. L’appel à la haine par des cris tels que « Mort aux juifs » est clairement l’une des pires abominations.
Beaucoup de participants aux manifestations, surtout les plus jeunes, ignorent tout des enjeux du conflit et le réduisent trop souvent à une opposition religieuse entre « les musulmans et les juifs ». Ils font ainsi l’impasse sur la réalité politique et ceci est de nature à alimenter l’antisémitisme. Or l’antisémitisme est à la fois un hors-sujet au problème et une des maladies des plus déplorables. Dénoncer la monstruosité de la politique belliqueuse israélienne peut être le fait de personnes juives telles que Rony Brauman, Michel Warschawski, Shlomo Sand, Michèle Sibony ou Ilan Pappé. Il est urgent que les indignés qui manifestent pour la Palestine puisent leurs forces autant dans la connaissance et la culture que dans les faits de pure masse dont ils donnent actuellement l’image. Il me souvient qu’à plusieurs reprises des personnes de retour de Palestine, les unes musulmanes les autres catholiques attachées à la visite de la Terre Sainte m’ont rapporté des témoignages rehaussés d’un point commun très intéressant.
En effet, ces personnes ont fréquemment croisé des Palestiniens de toutes origines et confessions leur ayant spontanément offert des services de guide tant leur culture personnelle était riche. Je n’entends pas ici par « culture » vous parler de choses légères comme des marques de voiture ou des noms de joueurs de foot. Ces Palestiniens sont capables de vous prendre par la main et vous commenter l’histoire de Jérusalem et d’Hébron sur des périodes historiques relevant de l’érudition : de l’antiquité jusqu’à l’époque ottomane. Autant que ces personnes menacées de toute part ont compris la valeur de la résistance par la culture, il faut que nous la comprenions nous aussi. Et bien entendu, il faut ensuite la « pédagogiser » et la transmettre. Au-delà des témoignages verbaux qui me sont parvenus, j’invite les lecteurs les plus courageux à se pencher vers l’excellent témoignage en la matière de l’historien britannique William Dalrymple.
La Palestine, terre ayant connu tant de chagrin à travers les siècles, présente la particularité d’être à la fois la terre des Palestiniens mais aussi une part du patrimoine de l’humanité, une part d’universalisme que tout être humain devrait connaître et aspirer à préserver. Sous l’angle spécifique de la civilisation islamique, la Palestine a également toujours bénéficié de ce statut d’exceptionnalité de terre des prophéties anciennes.
Il ne faut pas oublier que, malgré l’insécurité frappant cette région, la Palestine gagnerait à être visitée par un flot ininterrompu de gens avec leurs cerveaux, leurs yeux et leurs oreilles. Rappelons-nous ici que la première chose dont a besoin une armée génocidaire c’est l’absence de témoin… Il y a ici une réflexion à mener.
Multiplier les prières silencieuses et intimes.
Enfin, que ceux d’entre nous qui ont la foi peuvent ultimement ajouter à leur engagement envers la justice une dimension spirituelle par la voix de la prière et de l’invocation. Sans doute ces mots sont ils plus faciles à poser pour une autorité ecclésiastique que pour l’homme du commun. Il demeure que les congrégations religieuses réunies en églises, synagogues, mosquées ou temples divers, sont également des lieux de force et de revigoration des consciences. La conviction est acquise qu’il vaut mieux approuver les initiatives de prières pour les morts que de leur préférer le silence et l’indifférence.
Aimer, penser, agir, ne jamais s’arrêter. Aimer, penser, agir…. Quand ces mots nous restent à la conscience jusqu’à cadencer notre marche, nous sommes enfin humains. Témoigner de sa solidarité auprès des plus opprimés, il en va de notre conscience citoyenne, morale et humaine. Au-delà même d’une « solidarité pro-palestinienne », il s’agit d’une contribution humaniste au vivre-ensemble auprès de tous les opprimés de cette planète.
Attentat Mosquée de Québec: les proches des victimes musulmanes traitent son auteur de “monstre d’inhumanité”.
Plus d’un an s’est écoulé depuis ce dimanche soir funeste du 29 janvier 2017, au cours duquel six fidèles, en plein recueillement dans la Grande Mosquée de Québec, ont été fauchés lâchement par la fureur exterminatrice d’Alexandre Bissonnette, 28 ans, un terroriste canadien chrétien, néo-fascisant et islamophobe, sans que rien n’apaise la douleur de leurs proches.
Que ce soit Megda Belkacemi, 29 ans, à jamais traumatisée par la disparition tragique de son père Khaled Belkacemi, professeur émérite à l’Université Laval, ou sa mère, Safia Hamoudi, hantée par le souvenir de l’attente insoutenable qui a suivi l’annonce de la fusillade, sans oublier Amir Belkacemi, ce frère et fils inconsolable, tous les trois redoutaient l’instant où ils croiseraient le regard, dans le prétoire, du « monstre d’inhumanité » qui leur a arraché un être cher.
La voix tremblante, Megda Belkacemi, dont la nature enjouée a disparu sous l’effet d’une anxiété oppressante, a tenu à témoigner mercredi matin devant le juge François Huot, dans le palais de justice de Québec, afin d’exprimer sa profonde souffrance et celle de sa famille depuis la tragédie qui les a frappés.
« Parce qu’Alexandre Bissonnette avait peur que sa famille soit attaquée, c’est la mienne qui l’a été. Mes parents ont quitté leur Algérie natale pour venir au Québec, précisément pour fuir les attaques terroristes, mais cette violence les a finalement rattrapés ici », a-t-elle lancé avec gravité, les yeux embués de larmes, en faisant allusion aux propos tenus par l’assassin de son père, au lendemain de son arrestation, selon lesquels il justifiait l’atrocité de son acte en se disant convaincu que des « terroristes allaient venir tuer sa famille ».
« Ma vie n’a plus aucun sens. J’ai perdu toute joie de vivre », a confié Safia Hamoudi, sa mère très éprouvée, qui est désormais habitée par une peur irrépressible. Elle ne se remet pas du décès brutal de son regretté époux, un homme qu’elle décrit comme « chaleureux, bienveillant et pacifique » et qui, comble de l’horreur, a péri sous les balles de la haine vengeresse.
« Alexandre Bissonnette a tourné le dos à son humanité. Je crois que les monstres n’ont pas leur place parmi nous car, nous, nous chérissons notre humanité », a clamé son fils, Amir Belkacemi, avant de déclarer, submergé à son tour par l’émotion : « Perdre un parent, on s’y attend un jour. Mais pas comme ça. Pas dans un contexte de violence et de haine ».
Dans les prochains jours, le tribunal de Québec devrait résonner d’autres témoignages déchirants de proches des six victimes musulmanes assassinées froidement, en ce dimanche sanglant de janvier 2017, ainsi que des nombreux blessés, meurtris dans leur chair et leur âme, alors qu’ils priaient dans le havre de paix d’une enceinte sacrée.
A l’issue de ces audiences, Alexandre Bissonnette, qui a été déclaré « coupable de meurtre au premier degré » (ce qui implique qu’il est automatiquement condamné à la prison à vie), et qui a plaidé coupable à tous les chefs d’accusation portés contre lui, saura combien de temps il passera derrière les barreaux, à l’ombre de son crime abominable.
France : Tarn : une buraliste refuse de servir une cliente voilée.
Interdit aux femmes voilées ! A Albi, dans le Tarn, la propriétaire d’un tabac-presse n’a pas craint de prendre quelques libertés avec la circulaire du 2 mars 2011 portant sur « la dissimulation du visage dans l’espace public », pour renouer avec les heures sombres d’une loi d’exception qui ne dit pas son nom, ostracisant les musulmanes dont le minois n’est pas caché, mais entouré d’un hijab.
Convaincue de son bon droit, son interprétation très liberticide de la circulaire s’affiche sur la devanture de son magasin (voir ci-dessous), accompagnée de trois portraits de femmes illustrant de manière explicite son refus de servir celles qui arborent le couvre-chef honni, sans que cela n’offusque personne. Jusqu’à ce vendredi 13 avril où Anaïs R. a osé franchir le seuil de son commerce, en s’affranchissant de sa mise en garde discriminatoire et parfaitement illégale…
Loin d’imaginer qu’elle subirait une terrible humiliation en venant récupérer un colis dans ce tabac-presse qui fait aussi office de point-relais, la jeune femme voilée a été d’abord interloquée devant le refus cinglant de la servir opposé par la buraliste, puis s’est sentie outragée quand celle-ci lui a intimé l’ordre de se dévoiler pour prouver son identité.
Selon la Dépêche du Midi, elle aurait alors proposé, à contrecœur, de retirer son hijab à l’abri des regards, dans un coin du magasin. Mais la commerçante n’a rien voulu entendre, lui rétorquant méchamment « Ici, on est en France, on est sur un même pied d’égalité ! ».
A ces mots mortifiants et face à son interlocutrice tyrannique, résolue à faire régner sa propre loi derrière son comptoir, Anaïs R., tremblante d’émotion, a fini par fondre en larmes. Elle n’a eu d’autre choix que de donner procuration à un client pour qu’elle puisse enfin récupérer son colis et mettre un terme à son cauchemar.
Après avoir relaté sur sa page Facebook sa mésaventure dans ce tabac-presse d’Albi et l’odieux rejet dont elle a été victime, comme une malpropre, la jeune femme musulmane a annoncé son intention de porter plainte contre la commerçante pour discrimination.
Contacté par La Dépêche du Midi, le procureur de la République du Tarn, Alain Berthomieu, a confirmé qu’une plainte a bien été déposée contre la commerçante et a même indiqué qu’elle était sous le coup de trois autres plaintes pour le même motif, déposées en 2015, 2016, et 2017. Ces affaires seront jugées le 24 mai prochain.
La société Pickup, qui assure la livraison des colis dans ce tabac, a immédiatement réagi sur Twitter. « Nous demandons aux relais de vérifier la cohérence entre le nom du destinataire, la pièce d’identité présentée et la personne qui se présente pour retirer un colis. Bien évidemment, un voile ou un turban ne fait pas obstacle à ce contrôle. Nous avons déjà demandé à ce relais de ne pas exiger des clients venant retirer un colis Pickup qu’ils ôtent leur voile ou turban, un nouveau rappel va être fait dans ce sens ».
De son côté, la buraliste, qui mène une croisade hargneuse contre le voile depuis un certain temps déjà, se dit « choquée, outrée que cette affaire prenne de telles proportions pour une simple question de sécurité ». Mais le pompon, c’est quand elle affirme haut et fort « avoir toujours respecté la loi ». Laquelle ? Celle qui sort allègrement des clous pour s’enfoncer dans l’abîme de l’arbitraire, sans nul doute !

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Sarajevo, la perle des Balkans.
Parmi les cités fondées dès le premier jour sur l’islâm, aux côtés de Bagdad, Kairouan ou Marrakech, il en est une qui reste trop souvent méconnue : Sarajevo.
C’est dans la foulée de la conquête du royaume chrétien de Bosnie par les armées ottomanes, en 1461, que la ville est fondée par le premier gouverneur de la nouvelle province, Isa-Beg Ishakovic – lui-même un Bosniaque converti à l’islâm -, tel un symbole du nouveau départ pris par son peuple. Car, cas presque unique dans l’histoire islamique, la majorité des Bosniaques vont en effet se convertir à l’islâm durant le siècle qui suivra la conquête. Une grande mosquée, un bazar couvert, un hammam et un palais – le Saray – y sont construits, donnant à Sarajevo l’allure d’une véritable cité impériale ottomane. C’est ce dernier qui donnera d’ailleurs son nom originel à la ville : Saraybosna.
Au début du 16ème siècle, un autre gouverneur issu de la région, Gazi Hüsrev Bey, en fait l’une des villes les plus florissantes et modernes d’Europe en y construisant un complexe de mosquées, madrasas et bibliothèques, un système d’alimentation en eau courante et le plus grand marché des Balkans. Une centaine de mosquées viennent agrémenter la skyline de la cité, qui se couvre de dômes et de minarets. Sarajevo est alors, avec une centaine de milliers d’habitants, la deuxième plus grande ville de l’empire ottoman, derrière la capitale Constantinople. Les communautés juive, chrétienne et musulmane qui y cohabitent paisiblement à l’ombre de la sharî’a lui valent le surnom de “Jérusalem d’Europe”, à une époque où les musulmans d’Espagne sont impitoyablement pourchassés.
Sarajevo ne peut toutefois échapper au déclin de l’empire qui l’avait fondée : en 1697, elle est ainsi brûlée et pillée par les Autrichiens. Bien que reconstruite, elle mettra des décennies à retrouver son lustre d’antan et sera finalement annexée par l’empire austro-hongrois en 1878. C’est là que la Première Guerre Mondiale se déclenche, lorsque l’empereur Ferdinand y est assassiné par un nationaliste serbe. Intégrée au nouveau royaume de Yougoslavie en 1918, la cité n’en perd pas pour autant son identité islamique si singulière au cœur de l’Europe : jusque dans les années 40s, Sarajevo restera le bastion du fez et du feredza – la version locale du niqab.
La laïcisation forcée menée par la suite par le régime communiste de Tito en décidera autrement – et ce n’est que de peu que la cité échappera à la destruction complète aux mains des Serbes, après un terrible siège de quatre ans entre 1992 et 1996… Sarajevo reste, quoi qu’il en soit, une plaque tournante incontournable de l’histoire de l’islâm en Europe.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Du henné dangereux sur le marché algérien : Alerte !
Attention, un henné noir hautement toxique sur le marché, contient des substances toxiques qui provoquent des inflammations de la peau. Le ministère du Commerce tire la sonnette d’alarme, contre la commercialisation d’un henné très dangereux pour la santé, au niveau de l’ensemble de ses directions à travers le territoire national.
Disponibilité et prix abordables des fruits et légumes durant le mois de ramadan à Alger : Des promesses, en attendant mieux….
Tayeb Zitouni à propos des réalisations du Président : Les preuves d’une bonne gouvernance.
Le P-DG d’Algérie Télécom en fait la priorité : La qualité de service d’Internet au menu.
L’ambassadeur du Mali à Alger poursuit normalement ses activités : Echec aux comploteurs.
Ressources en Eau : 66% de taux de remplissage des barrages.
Conseil de la Nation : Protection du consommateur et activités commerciales en débat.
Ouyahia sur la lutte contre l’importation de produits prohibés : Plus de 294 millions de DA d’amendes en 2017.
Manque de moyens de médication pour les malades cancéreux : La tumeur, en terrain conquis.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Tariq Ramadan peut-il vraiment être correctement soigné en prison ?
« Le 2 février, Tariq est rentré debout. Aujourd’hui, il vient me voir au parloir en fauteuil roulant. » Fin mars, Iman Ramadan alertait quant à l’état de santé de son mari, actuellement en détention provisoire à Fresnes, où il est soigné. Une nouvelle expertise médicale avait alors été diligentée par la justice. Les conclusions de celle-ci devaient être livrées fin mars, avant que la date ne soit finalement fixée au 15 avril.
L’expertise conclut que Tariq Ramadan souffre bien « d’une sclérose en plaques depuis 2014, diagnostic considéré comme certain. » Pour les médecins, « il n’y a pas eu de poussée de la maladie » ces dernières semaines. Et que Tariq Ramadan se déplace aujourd’hui en fauteuil roulant et soit victime de nombreux maux est, assurent les experts médicaux, dû au stress qui « peut majorer les symptômes. »
La conclusion est donc la même que la précédente : « La prise en charge actuelle de Monsieur Tariq Ramadan n’est pas incompatible avec la détention », peut-on lire dans le rapport. Mais les conclusions sont plus nuancées qu’on a pu le lire un peu partout. « Toutefois les experts insistent sur le fait que Monsieur Tariq Ramadan, s’il restait en détention, devrait continuer à bénéficier de l’accès aux soins, c’est-à-dire au traitement qui lui a été prescrit et à la prise en charge médicale qui lui est associée », peut-on lire.
« Il doit voir un médecin tous les jours, ce qui n’est pas le cas ».
Quelles sont exactement les conditions à une poursuite de la détention ? Les experts recommandent « un suivi neurourologique, psychothérapique et kinésithérapique. » Or, selon l’avocat de Tariq Ramadan, ce suivi n’est pas garanti par la détention. « A ce jour, l’administration pénitentiaire de Fresnes n’est pas en mesure de lui procurer l’accès aux soins requis par son état de santé », dit-il aux juges en charge du dossier. Iman Ramadan nous indiquait par exemple, lors d’un entretien téléphonique, que les séances de kinésithérapie sont « sommaires » et « irrégulières », citant par exemple le week-end de Pâques lors duquel son époux n’avait pas pu voir de médecin.
Me Emmanuel Marsigny confirme que, alors que « la kinésithérapeute de Fresnes estime que Monsieur Ramadan a besoin d’une à deux séances par jour en raison de l’état actuel de la mobilité de ses membres inférieurs, avec des crampes et des douleurs constantes », Tariq Ramadan ne bénéficie actuellement que de trois séances par semaine. « Il doit voir un médecin tous les jours, ce qui n’est absolument pas le cas », ajoute l’avocat.
« Apparition de nouveaux symptômes ».
Me Marsigny estime par ailleurs que « le placement à l’isolement (de Tariq Ramadan) ne fait que compliquer encore davantage l’accès aux soins prodigués par ailleurs insuffisants. » L’avocat assure enfin que l’expertise, effectuée il y a quinze jours, et ses conclusions sont « obsolètes », notamment « en raison de l’évolution de la maladie et de l’apparition de nouveaux symptômes ou de l’aggravation de ceux constatés comme la paresthésie des membres supérieurs et inférieurs. »
L’absence d’accès aux soins adéquats et la dégradation de l’état de Tariq Ramadan sont « inacceptable », conclut Me Marsigny qui demande que son client soit soigné « en milieu neurologique et non en milieu carcéral. » L’avocat demande un « complément d’expertise » et que soit scrupuleusement vérifié le fait que la « prise en charge est pratiquement possible en milieu carcéral. »

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

En cette Journée des prisonniers palestiniens, le boycott maintient son défi.
Ramallah occupée, 17 avril 2018 – À l’occasion de la Journée des prisonniers palestiniens, l’association Addameer pour les droits humains et le soutien aux prisonniers salue le combat permanent des plus de 6000 prisonniers politiques palestiniens actuellement retenus dans les prisons israéliennes. Chaque année, Israël arrête des milliers de Palestiniens pour tenter de supprimer la volonté à l’auto-détermination et pour continuer sa colonisation. Le résultat : environ 800 000 Palestiniens arrêtés depuis 1967.
Le 1er mars 2018 il y avait 6050 prisonniers politiques palestiniens retenus dans des prisons israéliennes. Ceci inclut 427 détenus administratifs ; 356 enfants; 62 prisonnières ; et 7 membres du conseil législatif palestinien. La situation des prisonniers continue à se détériorer tandis qu’ils sont confrontés à une campagne continuelle de violations et de suppression. Détenus et prisonniers, y compris les enfants et les femmes, continuent à souffrir de mauvais traitements et de torture de manière systématique. Ces politiques ont entraîné la mort par torture de 72 prisonniers depuis 1967.
À cette occasion, nous, membres d’Addameer, réitérons notre soutien total au boycott en cours de toutes les procédures juridictionnelles concernant la détention administrative. L’engagement des prisonniers et de leurs avocats n’a pas fléchi depuis le début de l’action le 15 février 2018.
Leur déclaration affirme que « le coeur de la résistance à la politique de détention administrative est le boycott du système judiciaire israélien ». Les détenus administratifs déclarent également : « Nous mettons notre foi et notre confiance dans notre peuple, son pouvoir et ses institutions, et dans la société civile qui ne nous laissera pas seuls dans cette lutte. C’est un acte patriotique national auquel aucun individu, aucune institution, ne devrait porter atteinte. À ce titre, nous appelons l’Autorité palestinienne à soumettre à une cour pénale internationale la question de la détention administrative aussi rapidement que possible ».
Les forces d’occupation israéliennes ont tenté d’écraser le boycott. Les détenus ont été menacés, frappés et contraints par la force d’assister aux auditions des cours militaires. En ce qui concerne les avocats, certains ont été menacés d’une sanction financière, ou reçoivent même des plaintes s’ils persistent avec le boycott. Face à de telles mesures, les détenus administratifs ont [d’abord] décidé d’intensifier leur boycott.
Le 12 avril 2018, une personne du Comité représentatif des détenus administratifs a informé les avocats d’Addameer qu’il avait été décidé de suspendre cette escalade. Celle-ci incluait le rejet des médicaments et le refus de visiter des centres médicaux, à partir du 12 avril 2018. De plus, une grève de la faim était prévue à partir du 14 avril 2018.
La décision [de suspendre l’escalade] a été prise après que le Service israélien des prisons (IPS) a informé les détenus qu’une réunion aurait bientôt lieu entre le Comité représentatif, des représentants des services de renseignements, l’armée et l’IPS, afin de discuter de la politique de la détention administrative.
Le Comité représentatif a souligné que, malgré la désescalade, le boycott des procédures juridictionnelles concernant la détention administrative continuera et que les étapes prévues seraient mises en œuvre si la réunion n’avait pas lieu.
Addameer réaffirme son soutien sans faille aux détenus adminsitratifs et à leurs demandes légitimes. Nous croyons que l’implémentation systématique, sur une large échelle, de la politique israélienne de détention administrative constitue une violation de la Quatrième Convention de Genève. Outre la violation de l’article 78, la détention administrative est aussi une violation de l’article 147 de cette même convention, ce qui signife que cette politique constitue un crime de guerre et un crime contre l’humanité selon les articles 8 and 9 du Statut de Rome.
Addameer appelle toutes les organisations des droits humains palestiniens à adopter un plan clair dont l’objectif est de soutenir les détenus administratifs dans leurs futures étapes afin d’assurer leur succès. Ce soutien nécessite des campagnes de solidarité nationales et internationales pour amplifier la voix des prisonniers. Même s’ils sont, quant à eux, emprisonnés dans des cellules, nous sommes capables de faire en sorte que leur message se répande loin et largement. De plus, nous incitons à l’activation de mesures internationales de reddition de comptes contre les violations du droit humanitaire international par l’occupation israélienne.
Enfin, Addameer appelle à la libération de tous les détenus administratifs et à ce que les forces d’occupation reconnaissent leurs droits, tels qu’ils sont spécifiés par les instruments juridiques internationaux pertinents. Nous demandons aussi à toutes les organisations des droits humains dans le monde entier de soutenir nos détenus administratifs et de leur témoigner leur solidarité. Actuellement, il y a plus de 427 détenus administratifs dans les prisons israéliennes, y inclus 7 membres du Conseil législatif palestinien.
Source : Addameer.
Traduction : PPS pour l’Agence Média Palestine.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Washington supprime le mot « Occupation » de ses rapports annuels sur les violations d’Israël
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Un article de presse a révélé que le ministère des affaires étrangères américain avait complètement cessé d’utiliser le mot «Occupation» dans son dernier rapport annuel sur les conditions des droits de l’homme en «Israël» et dans les territoires palestiniens.
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Assassinat du scientifique palestinien Fadi al-Batsh en Malaisie et la famille accuse le Mossad
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La CNS pour la marche du Retour: l’assassinat des manifestants pacifiques par Israél est un crime de guerre
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Le Hamas endeuillé par l’assassinat du jeune scientifique Fadi al-Batsh
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#Photo du chercheur et ingénieur palestinien Fadi al-Batsh (35 ans) de la bande de #Gaza qui a été assassiné ce matin #Malaisie.
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L’occupation continue à fermer l’entrée d’Azzun, des inscriptions racistes à Naplouse
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Des centaines de milliers affluent à la semaine des martyrs et des captifs… 4 morts et des dizaines de blessés
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Des véhicules palestiniens arrêtés et fouillés à Hébron
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L’ONU appelle à la protection des Palestiniens dans la « Grande marche du Retour »
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Le CSCP affirme l’interdiction de faciliter la propriété de la terre de Palestine aux ennemis
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Hamas : Notre réunion avec le renseignement égyptien était franche et positive
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Des colons écrivent des slogans racistes à l’est de Ramallah
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Les braves femmes de la Palestine enregistrent leur présence distincte dans les « marches du Retour »
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Finkelstein appelle à l’utilisation des médias dans les manifestations à Gaza
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Gaza: Un blessé au début du Vendredi pour les « Martyrs et prisonniers »
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Le Hamas salue la position des experts de l’ONU sur les crimes israéliens
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 5 Sha’ban 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Une invention marocaine décroche la médaille d’or au Salon des inventions de Genève.
Le laboratoire de recherche, de développement et d’innovation, « SmartiLab », de l’Ecole marocaine des sciences de l’ingénieur (EMSI) a décroché la médaille d’or lors du 46e Salon international des inventions de Genève (du 11 au 17 avril 2018) pour son invention classée dans la catégorie « Protection de l’environnement-énergie ».
Une invention révolutionnaire dont le but est de dévier automatiquement l’orientation des panneaux photovoltaïques pour éviter que les particules de poussière ou de sable s’accumulent sur leur surface, indique l’ESMI dans un communiqué.
Cette technique performante sur le long terme, permet d’économiser de précieuses réserves d’eau et évite la pollution de l’air.
« L’école prête un fort intérêt pour la recherche, le développement et l’innovation. Elle met tout en œuvre pour porter haut et fort les ambitions et idéaux de notre pays en matière d’invention », a déclaré le président du groupe EMSI, Kamal Daissaoui, cité par le communiqué.
Cette victoire au Salon international des inventions de Genève, témoigne de la qualité de l’enseignement et de la recherche de l’école EMSI marocaine, qui a depuis 1986 axé son projet pédagogique sur l’employabilité de ses lauréats.
L’intégration de l’évolution technologique dans ses cursus a contribué à faire de l’École marocaine des sciences de l’ingénieur (EMSI, une école de référence.
En 2017, le « SmartiLab » a déposé 12 brevets nationaux et internationaux et a récolté 21 distinctions à l’échelle nationale et internationale, a rappelé l’EMSI. La nouvelle médaille d’or récoltée à Genève annonce un avenir prometteur puisque son laboratoire sera présent dans plusieurs manifestations de haute facture scientifique.
Le Salon international des inventions de Genève a été fondé en 1972, il est un rendez-vous annuel incontournable consacré aux inventions et innovations qui attirent des dizaines de milliers de visiteurs et des centaines d’exposants originaires d’une quarantaine de pays.
Palestine : Le bateau norvégien « Le Retour » prêt à naviguer vers Gaza.
Briser le blocus israélien imposé à la bande de Gaza depuis plus de 11 ans, voilà l’objectif que s’est fixé le comité exécutif de la campagne norvégienne « Ship to Gaza-Norway ».
Un bateau de pêche norvégien baptisé « Al-Awda » (le Retour) devrait sous peu se diriger vers les eaux territoriales palestiniennes. Le bateau sera accompagné dans son périple par trois autres navires de la campagne suédoise « Ship to Gaza-Sweden » et un navire de la campagne internationale, « la Flottille de la Liberté ».
Le membre du comité, le Professeur Gerd von der Lippe signale que « Al-Awda » est actuellement en cours de restauration, « dans l’ouest de la Norvège pour remettre à neuf un ancien bateau de pêche norvégien construit en 1963 pour travailler dans des conditions difficiles ».
La traversée symbolique d’Al-Awda marque « le 70e anniversaire de la Nakba (Exode Palestinien de 1948), qualifié par les Palestiniens de « nettoyage ethnique », a ajouté Gerd von der Lippe.
« Nous avons hâte de visiter environ une douzaine de ports européens de la Méditerranée, avant de nous diriger vers Gaza en juillet », a déclaré von der Lippe. « Toutefois, pour atteindre cet objectif, nous comptons sur le soutien des organisations non-gouvernementales en Norvège et dans le monde entier », a-t-il ajouté.
Des appels aux dons ont été lancés à l’adresse des organisations norvégiennes et internationales pour soutenir la campagne baptisée « Pour un futur juste pour les Palestiniens », dont fait partie le périple du navire « Al-Awda ».
Français et Saoudiens ensemble pour valoriser le site antique d’Al-Ula.
La France et l’Arabie saoudite sont sur le point de signer un accord pour le développement touristique et culturel de la région d’Al-Ula située dans le nord-ouest du pays. Une zone riche en vestiges archéologiques dont des sites d’exceptions comme l’ancienne cité nabatéenne d’Hegra (Mada’in Saleh) ou encore celle de Dadab (Al-Khuraybah).
L’accord d’une durée de dix ans prévoit notamment la création d’une agence calquée sur le modèle de l’agence France Museum qui s’est chargée de la mise sur pied du Louvre Abu Dhabi inauguré en novembre 2017.
L’envoyé spécial du président français Emmanuel Macron pour Al-Ula, Gérard Mestrallet est pressenti pour occuper la présidence de la nouvelle agence qui sera entièrement financée par des capitaux saoudiens.
« La région concernée par cet accord a une superficie de près de 22.000 km2 », a souligné le directeur général de la Commission royale pour Al-Ula, Amr Al Madani.
Situé dans le désert au nord de l’Arabie saoudite, le site d’Al-Ula ressemble à la cité de Petra, en Jordanie, une centaine de tombes sont réparties sur 52 hectares. Le site est classé depuis 2008 au patrimoine mondial de l’Unesco.
Grâce à ce projet, la ville espère accueillir les premiers touristes « d’ici 3 à 5 ans » déclare Amr Al Madani.
La région qui dispose déjà d’un aéroport pourrait recevoir jusqu’à 2.5 millions de visiteurs par an.
Au-delà des fouilles archéologiques, la France compte s’investir au niveau culturel, artistique mais aussi en infrastructures, énergie, transport et formation.
« Tout ce que la France peut offrir en termes de valorisation du patrimoine » souligne Gérard Mestrallet qui parle d’un accord « sans précédent .
La visite du prince héritier Mohammed ben Salmane en France a resserré les liens entre les deux pays, une proximité qui se concrétise par la signature d’une série d’accords dans les domaines du tourisme, de l’énergie et des transports.
Les fouilles menées à la fois par des archéologues français et saoudiens ont débuté en 2008. Des inscriptions datant du Ve siècle avant notre ère, des outils de taille, une garnison romaine du IIIe siècle et des tombes ont déjà été découverts.
Les objets seront exposés lors d’une exposition à l’institut du Monde arabe au printemps 2019.
Qui sont les musulmans Américains ?
L’islam est la troisième religion aux États-Unis après le christianisme et le judaïsme, et selon un rapport du Centre de recherche Pew Research Center rendu public en janvier 2018, « D’ici à 2050, la population musulmane américaine devrait atteindre 8,1 millions de personnes, soit 2,1% de la population totale de la nation, soit près de deux fois plus qu’aujourd’hui », précise le document.
D’ici 2050, les musulmans devraient être deux fois plus nombreux qu’en 2017, une tendance similaire est à prévoir en Europe où leur nombre devrait exploser d’ici trente ans.
En 2017, le nombre de musulmans américains s’élevait à 3.45 millions de personnes, représentant ainsi 1.1% de la population totale.
Le Centre de recherche estime à 100.000 le nombre de musulmans qui augmente chaque année, un phénomène dû à un taux de fécondité plus élevé chez les musulmans américains et par une immigration continue de musulmans vers les Etats-Unis.
Les premiers musulmans à avoir foulé le sol américain sont deux esclaves d’Afrique de l’Ouest arrivés au XIXe siècle, selon les premiers cas documentés.
Très minoritaire à ses débuts, la population musulmane a fortement augmenté au cours du 20e siècle grâce notamment à la loi sur l’immigration et la nationalité de 1965 qui a permis un afflux de migrants en provenance d’Asie, d’Afrique et d’autres régions.
Beaucoup de musulmans sont nés à l’étranger, mais la hausse des conversions (d’afro-américains pour une grande partie), les descendants d’immigrés musulmans et de convertis nés aux Etats-Unis, estimés à 42% tendent à inverser cette tendance.
Près de la moitié des musulmans américains ont entre 30 et 49 ans, dont deux-tiers d’hommes.Ils habitent à New York, à Chicago, en Californie et au Texas, ils sont en majorité sunnites.
Contrairement aux musulmans d’Europe, la grande majorité de musulmans américains s’en tire à meilleur compte socialement. Ils occupent des postes clés de la société, ingénieurs, chercheurs, analystes, financiers, avocats, médecins etc…
Une étude réalisée en 2004 par l’Organisation Zogby dévoile que 60% des américains musulmans on un niveau d’études plus élevé que celui de la moyenne nationale.
Le The Wall Street Journal a désigné les américains musulmans comme des « individus exemplaires, en tant qu’Américains et en tant que croyants ».
Les musulmans outre-Atlantique sont pratiquants, ils assistent aux offices religieux, mangent halal et jeûnent durant le mois de Ramadan.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Irak : 7 femmes étrangères condamnées à mort ou à la perpétuité pour leur appartenance supposée à l’Etat Islamique israelo-américain.
Le Haut Conseil judiciaire en Irak a déclaré, mardi, que 7 femmes étrangères accusées d’être affiliées à l’EI ont été condamnées à mort et à la réclusion à perpétuité par le Tribunal pénal central de Bagdad.
Le Conseil -plus haut organe judiciaire dans le pays- a indiqué dans un communiqué que le Tribunal pénal a condamné à mort 4 femmes dont 3 azerbaïdjanaises et une kirghize.
“Le tribunal a, par ailleurs, condamné une femme française et deux femmes russes à l’emprisonnement à vie”, ajoute le communiqué.
Le communiqué n’a, toutefois, pas précisé les charges exactes dressées à l’encontre des femmes condamnées. Cependant, la source a fait savoir que toute personne accusée d’appartenir à l’organisation EI devrait être jugée en vertu de l’article 4 de la Loi antiterroriste.
Le pouvoir judiciaire irakien avait rendu des verdicts similaires contre des femmes étrangères, épouses des combattants de l’EI.
Selon des estimations, l’Irak détient environ 1400 femmes et enfants étrangers soupçonnés d’être des membres de l’EI, dans un camp situé dans le nord du pays.
Récemment, Amnesty International a publié une enquête sur les viols à répétition des soldats de l’armée irakienne contre les femmes et enfants sunnites accusés d’avoir un lien supposé avec l’EI.
Palestine occupée : deux palestiniens dont un enfant abattus par des tireurs non-identifiés lors d’un mariage.
Deux Palestiniens dont un enfant ont été abattus, dans la nuit de mardi à mercredi, par des tirs non-identifiés ayant ciblé un rassemblement familial dans la ville d’Umm al-Fahm en Israël, a rapporté, mercredi, le quotidien israélien “Haaretz”.
Selon le journal, un individu non-identifié a ouvert le feu sur des membres de la famille Jabarin rassemblés dans la cour d’une maison pour fêter un mariage.
L’enfant Farsan Jabarin (13 ans) et son oncle Shafik Jabarin (49 ans) ont été mortellement abattus lors de l’attaque armée ayant fait, également, 3 blessés.
Les habitants d’Umm al-Fahm se sont, donc, rassemblés au niveau de l’entrée de la ville et devant le poste de police israélien pour protester contre les meurtres. Une grève générale a été, aussitôt, observée dans la ville.
Des dirigeants palestiniens des Territoires de 1948 accusent, de leur côté, le gouvernement israélien de ne pas assumer sa responsabilité en ce qui concerne les agressions contre les non-juifs, alors que la police admet son incapacité à faire face à de tels incidents dans les régions arabes.
Des éléments non-identifiés avaient déjà tué, début avril, Cheikh Mohammed Saada (45 ans), l’imam de la mosquée “Al-Tawhid”, dans la ville d’Umm al-Fahm, à la sortie de la prière d’al-Fajr (l’aube).
Palestine : Gaza : 5 palestiniens blessés par l’armée israélienne.
Cinq Palestiniens ont été blessés par les tirs israéliens le long de la frontière de Gaza mercredi, a indiqué le ministère de la Santé dans l’enclave palestinienne.
Les cinq hommes ont été blessés par des tirs d’artillerie israéliens à l’est de Khan Yunis, a précisé le ministère.
L’armée israélienne a confirmé qu’elle avait tiré sur cinq Palestiniens qui, selon elle, avaient approché la frontière.
Dans un communiqué, l’armée a déclaré qu’au moins un des hommes était armé sans fournir plus de détails sur le type d’armes utilisées par ses soldats.
La frontière de Gaza a connait des manifestations importantes depuis le 30 mars.
Au moins 34 Palestiniens ont été tués et des centaines blessés par les tirs israéliens depuis le début des manifestations. Il n’y a pas eu de victimes israéliennes.
Chine : des dizaines de milliers de Ouïghours musulmans détenus sans jugement.
Des dizaines de milliers de personnes ont été arrêtées dans la région du Xinjiang en Chine, a déclaré mercredi un haut diplomate du Département d’Etat américain, au milieu d’une répression croissante contre les Ouïghours et d’autres minorités musulmanes en Chine.
Laura Stone, sous-secrétaire adjointe par intérim pour les affaires de l’Asie de l’Est et du Pacifique, a déclaré à la presse que les détentions massives dans les centres de rééducation politique “dressent un tableau inquiétant” et ont appelé les autorités chinoises à un système judiciaire responsable. “
“Nous sommes choqués par les efforts chinois pour réprimer les droits légitimes des Ouïghours et des autres musulmans au Xinjiang”, a-t-elle déclaré.
“Nous continuerons de faire part de nos préoccupations au gouvernement chinois et demandons une procédure légale légitime pour la détention de ses citoyens”.
Des dizaines de milliers de détenus.
M. Stone a déclaré que la rareté des informations provenant du Xinjiang rendait difficile la détermination du nombre de personnes détenues, mais que c’était “au moins dans les dizaines de milliers”.
Au cours des deux dernières années, les autorités locales ont supervisé une escalade dramatique de la sécurité et de la surveillance à travers le Xinjiang dans un effort apparent pour imposer une plus grande autorité centrale.
Les sénateurs doutent des avantages du soutien américain à la guerre de l’Arabie saoudite au Yémen.
Les sénateurs américains ont demandé des réponses à l’administration du président Donald Trump sur son soutien continu à la guerre menée par l’Arabie saoudite au Yémen .
Les sénateurs des deux côtés de l’échiquier politique ont accusé l’administration de ne pas avoir de stratégie cohérente au Yémen lorsqu’ils ont interrogé des représentants du Département d’Etat et du Pentagone lors d’une audition de la commission des affaires étrangères du Sénat mardi.
“Si votre fils sortait son pistolet dans la cour et le faisait sans discernement et mettait en danger vos voisins, lui donneriez-vous plus de balles ou moins?” a demandé le sénateur républicain Rand Paul .
“Notre stratégie est de donner [aux Saoudiens] plus de bombes, pas moins”, a-t-il ajouté.
L’ambassadeur David M Satterfield, le chargé du Moyen-Orient au Département d’État, a déclaré que le soutien militaire des États-Unis à la coalition dirigée par l’Arabie saoudite soutient d’importants objectifs diplomatiques et de sécurité nationale des États-Unis .
Parmi ceux-ci figuraient la défaite de l’État islamique d’Iraq et du Levant ( EIIL , également connu sous le nom de Daesh) et d’ Al-Qaïda au Yémen, ainsi que l’influence iranienne dans la région.
Mais le sénateur démocrate Bob Menendez a dit qu’il y avait une “absence alarmante de stratégie” quand il s’agissait de l’approche de l’administration américaine au Yémen.
La coalition dirigée par l’ Arabie saoudite combat les rebelles houthis au Yémen depuis 2015, date à laquelle elle a lancé une intervention militaire sous la forme d’une campagne aérienne massive visant à rétablir le gouvernement du président Abd-Rabbu Mansour Hadi .
Depuis, plus de 10 000 personnes ont été tuées et au moins 40 000 blessées, la plupart provenant de raids aériens dirigés par des Saoudiens pendant la guerre.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Natalie Portman renonce au prix Genesis en signe de protestation envers Israël .
Natalie Portman devait se rendre en Israël en juin pour recevoir le prix Genesis, qui récompense chaque année depuis 2014 les engagements et contributions de personnalités inspirantes envers la communauté juive et ses valeurs. Celui-ci est doté d’un million de dollars (813 000 euros), que l’actrice israélo-américaine a prévu de remettre à des associations de défense des droits des femmes.
La comédienne âgée de 36 ans a fait savoir qu’elle n’assistera pas à la cérémonie à la lumière des « événements récents » qu’elle juge « extrêmement pénibles ». Si elle ne précise pas de quels « événements » elle fait référence, il ne fait pas de doute qu’il s’agit de la répression d’Israël dirigée envers les Palestiniens lors de manifestations organisées depuis fin mars dans la bande de Gaza dans le cadre du mouvement baptisé « la Marche du retour ».
Le bilan humain fait état jusqu’à présent d’une trentaine de personnes tuées. Conséquence, « elle ne peut pas prendre part la conscience libre à cette cérémonie », a-t-elle fait savoir.
L’annonce faite jeudi 19 avril, la fondation à l’origine du prix Genesis, souvent qualifié de « Nobel juif », a décidé d’annuler la cérémonie prévue fin juin. Natalie Portman est « une actrice accomplie, une activiste sociale engagée et un être humain merveilleux. Le personnel de la Fondation a aimé apprendre à la connaître au cours des six derniers mois, admire son humanité et respecte son droit d’être en désaccord public avec la politique du gouvernement d’Israël », a indiqué l’organisation dans un communiqué.
« Cependant, nous sommes très attristés qu’elle ait décidé de ne pas assister à la cérémonie (…) à Jérusalem pour des raisons politiques », poursuit-elle, déclarant craindre que la décision de la star « ne politise (leur) initiative philanthropique ».
Le ministre israélien de la Culture a vite fait de la catégoriser parmi les militants du mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Natalie Portman n’a jamais caché son opposition à la politique de Benjamin Netanyahou.
États-Unis : trois hommes reconnus coupables d’avoir fomenté un attentat contre des réfugiés musulmans .
Trois hommes prônant la suprématie blanche ont été reconnus coupables, mercredi 18 avril, d’avoir fomenté un attentat à la bombe contre un immeuble hébergeant des immigrés somaliens à Garden City, dans le Kansas (États-Unis). Cet immeuble abritait également une mosquée.
Curtis Allen, Gavin Wright et Patrick Eugene Stein, âgés de 49 à 50 ans, avaient pu être arrêtés en octobre 2016 par le FBI à temps, après que des agents fédéraux ont infiltré leur milice baptisée « Les Croisés » (« The Crusaders ») durant des mois.
Ils avaient prévu de faire exploser l’immeuble à l’aide de quatre véhicules piégés positionnés aux quatre coins du bâtiment dans le but de « réveiller la population » et de faire savoir aux musulmans qu’« ils ne sont pas les bienvenus à Garden City, dans le Kansas et aux États-Unis ».
Le procureur général a salué la décision rendue au terme d’un procès qui a duré quatre semaine à Wichita, la présentant comme « une victoire significative contre le terrorisme intérieur et les crimes de haine ».
Le verdict sera rendu fin juin. Les trois hommes, qui ont plaidé non coupables, risquent la prison à vie.

Sur oumma.com, voici les titres.

Albert Jacquard: « Les races humaines n’existent pas ».
C’était hier, l’éminent bioligiste/généticien Albert Jacquard, aujourd’hui disparu, affirmait sans équivoque à télévision: les « races humaines n’existent pas ». Mais avant de l‘écouter, regardons deux interventions de Marine Le Pen et Nadine Morano.
Marine Le Pen et Nadine Morano, comme d’autres politiciens repliés dans leurs dangereuses certitudes, auraient bien besoin d’un nouvel Albert Jacquard pour les éclairer à la lueur du savoir, et les renvoyer à leur inculture et leur démagogie de bas étage.
reportage a voir sur oumma.com.
L’avocat de Tariq Ramadan demande que sa “cause soit entendue de manière équitable, sans parti pris”.
« Tariq Ramadan ne demande qu’une chose, c’est que sa cause soit entendue de manière équitable, loyale, sans a priori et sans parti pris ». C’est en ces termes que Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de l’islamologue suisse, a plaidé hier, sur les ondes de Franceinfo, la cause de son client, en dénonçant « le manque d’objectivité et une différence de traitement » dont il pâtit, par rapport, notamment, à « Georges Tron, qui a été ministre de la République » et qui « comparaît devant les assises pour des accusations de viol et n’a pas fait un jour de détention. »
Interrogé sur la conclusion à laquelle aboutit l’expertise médicale réalisée par deux neurologues dont la compétence est reconnue, selon laquelle la sclérose en plaques de Tariq Ramadan ne s’oppose pas à son maintien en détention, Me Marsigny a tenu à apporter une nuance de taille : « C’est une compatibilité sous réserve qu’un protocole médical puisse être suivi. Toute la question est de savoir si l’administration pénitentiaire de Fresnes [dans le Val-de-Marne] va être en mesure de satisfaire à ces exigences ».
A la question de savoir si son client bénéficie actuellement de séances de kiné hebdomadaires, celui-ci a déploré que ce ne soit pas le cas : « Non pas du tout, c’est très compliqué, en plus il est à l’isolement. Il doit voir un médecin plusieurs fois par jour, ce qui n’est pas le cas. ».
Réfutant la notion même de « stratégie de défense », alors que, comme il l’a annoncé lui-même, Tariq Ramadan opère une volte-face en reconnaissant avoir eu une « relation » avec la troisième plaignante, dénommée Marie, après avoir nié catégoriquement toutes relations extraconjugales avec ses trois accusatrices, Me Marsigny a déclaré : « Il n’y aucune stratégie de défense concernant Tariq Ramadan. Il fait l’objet d’accusations. Il s’en défend. Il répond. Monsieur Ramadan n’a strictement rien à cacher en ce qui concerne les accusations dont il fait l’objet. Ce n’est pas une stratégie que de répondre et de contester des faits dont vous êtes accusé alors que vous êtes innocent.»
Et de poursuivre en restant évasif sur la nature de la relation entretenue avec Marie, de son vrai prénom Mounia, ainsi qu’il l’a précisé : mon client « conteste les relations qui sont alléguées concernant les deux plaignantes. Concernant Marie, plus exactement Mounia, bien connue de la justice dans l’affaire du Carlton, il ne conteste pas l’avoir connue. Il a eu une relation avec elle qui n’est pas celle que cette femme a décrite. Tariq Ramadan réservera ses explications aux magistrats instructeurs lorsqu’ils décideront de l’entendre sur ces faits. »
Expertise médicale à l’appui, Me Marsigny s’apprête à déposer une nouvelle demande de remise en liberté de Tariq Ramadan, incarcéré depuis le 2 février dernier : « Elle sera motivée par cette expertise médicale qui vient confirmer sa maladie, contrairement à ce qu’avait dit le médecin de la Cour d’appel qui était allé jusqu’à remettre en cause la réalité de la pathologie dont il est atteint. Le problème se pose de savoir si les soins appropriés vont pouvoir lui être administrés. »
Pointant des contradictions dans le récit des faits des deux premières plaignantes, Henda Ayari et Christelle, Me Marsigny affirme que les « investigations qui ont été menées depuis l’incarcération de Tariq Ramadan sont venues infirmer les accusations des deux premières plaignantes, notamment madame Ayari qui se plaint sur les plateaux de télévision que l’Etat français ne lui apporte aucune protection. Et bien, c’est peut-être parce que les autorités ont pris connaissance des témoins qui ont demandé à être entendus et qui ont démenti les propos qu’elle a tenus. Et concernant Christelle, il y a beaucoup d’éléments qui ont démontré que ce qu’elle racontait n’était pas possible. »
En guise de conclusion, Me Marsigny a de nouveau insisté sur le principe de la présomption d’innocence qui doit prévaloir en tout état de cause : « Tariq Ramadan bénéficie, comme tout le monde, de la présomption d’innocence. Nous ne disons pas que le dossier doit se terminer demain par un non-lieu. Nous disons simplement que monsieur Ramadan peut sortir de prison pour participer à cette enquête qui s’avèrera longue et on ne voit pas pourquoi il serait en détention provisoire ».
91% des Marocains rêvent de faire carrière à l’étranger, selon une étude.
En quête d’un nouvel eldorado, ils sont nombreux, leurs diplômes en poche, à envisager d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte, les jeunes talents marocains n’hésitent plus à s’envoler vers d’autres horizons plus prometteurs ou à prendre la route d’un exode professionnel qui s’annonce jalonnée de succès. Mais qui sont ces jeunes cadres dynamiques qui rêvent de faire carrière à l’étranger, sous des cieux plus radieux que ceux du royaume de l’Atlas ?
C’est ce à quoi s’est efforcé de répondre ReKrute, le portail marocain dédié à l’emploi, à travers une enquête étayée menée auprès de 1 882 personnes dont la moyenne d’âge est de 35 ans, de niveau Bac+3 ou plus.
Loin d’être une chimère, cette fuite des cerveaux marocains existe bel et bien, et s’évalue à l’aune d’une estimation chiffrée qui en révèle l’impressionnante ampleur : 91% des Marocains souhaitent quitter leur pays pour mettre leurs compétences à profit ailleurs, notamment au Canada, leur éden préféré, dans des entreprises où elles seront plus facilement reconnues, valorisées et gratifiées.
« Il semblerait que les entreprises marocaines n’engagent pas les efforts nécessaires pour retenir et fidéliser les talents marocains », met en lumière ReKrute.
Selon la hiérarchisation de leurs motivations, l’évolution de carrière est cruciale pour 66% des moins de 35 ans, suivie de la qualité de vie pour 56% d’entre eux et de l’environnement de travail. Si la réussite professionnelle est prioritaire pour les jeunes actifs, les cadres plus aguerris misent davantage sur la « qualité de vie » pour expliquer leurs envies d’exil.
Les vastes étendues du pays de l’érable et des caribous exercent toujours une très forte attraction sur plus de 37% des cadres marocains, lesquels assouviraient bien leur soif de dépaysement en y posant leurs bagages. « Le Canada est toujours dans le top 3 des pays les plus attractifs dans les classements mondiaux, il se démarque d’ailleurs des autres pays comme la France, qui a perdu en attractivité ces dernières années et se retrouve en 2e place », souligne ReKrute.
Si l’envie de sillonner le monde démange les jeunes actifs marocains, la nostalgie du pays finit par envahir 74% de ceux qui se sont aventurés sous d’autres latitudes. Une grande majorité d’entre eux a l’espoir chevillé au corps de revenir un jour au pays pour contribuer à son essor efficacement, soit en y investissant, soit en apportant un savoir-faire et une expertise de qualité.
Ce vif désir de retour aux sources est toutefois tempéré par certaines craintes qui assaillent les expatriés marocains, nombreux étant ceux qui redoutent de stagner en réintégrant la sphère entrepreneuriale au Maroc.
En outre, comme le révèle l’étude réalisée par ReKrute, plus de la moitié des personnes sondées se refusent à rentrer, souvent la mort dans l’âme, non pas en raison de la conjoncture économique du pays ou du niveau des salaires, mais des pressions sociales qui pourraient s’exercer sur elles, dans leur vie de tous les jours.
Algérie : des imams pour éradiquer la violence dans les stades ?
Faut-il y voir le signe de l’incapacité du gouvernement algérien à juguler la violence dans les stades, après un nouveau week-end émaillé d’échauffourées entre supporters particulièrement alarmantes ?
Alors que le ministre de l’Intérieur, déterminé à faire toute la lumière sur ces énièmes « dérapages dangereux » qui ont encore une fois gâché la fête du sport et, en l’occurrence, celle du ballon rond, a annoncé lundi vouloir en « finir » avec cette spirale de la violence, son collègue Mohammed Aïssa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, semble l’avoir quelque peu devancé. Ce dernier a en effet décidé de faire appel à des arbitres inattendus pour siffler la fin des hostilités : des imams !
En plus du prêche du vendredi qu’ils devront consacrer à la sensibilisation aux effets désastreux de la violence dans les stades, ainsi qu’au danger de sa banalisation, en soupesant chacun de leurs mots pour qu’ils aient une forte résonance auprès des plus jeunes, ces guides spirituels seront également amenés à porter la bonne parole en dehors de leur mosquée, en prise directe avec le terrain.
Selon le plan de prévention élaboré par le ministre des Affaires religieuses, il ne sera bientôt plus rare de voir des imams officier autour des vertes pelouses, afin de prodiguer des conseils d’avant-match aux fans de football présents et, le cas échéant, de lancer de vibrants appels à la raison.
L’avenir dira si la proposition de Mohammed Aïssa se traduira en actes et, dans le cas où elle le serait, si l’apport des imams, au demeurant précieux, suffira à enrayer la violence qui mine les stades en Algérie, sans la mise en oeuvre d’un plan gouvernemental plus vaste pour la prévenir et l’éradiquer.
Black Panther: Le film idéal pour relancer le cinéma en Arabie saoudite?
Après une parenthèse d’environ quarante ans, l’Arabie saoudite décide de rallumer les écrans. C’est en plein cœur de la capitale, Riyad, dans le quartier financier “King Abdallah”, que la monarchie saoudienne réaffirme symboliquement sa volonté de développer sa politique d’ouverture.
En plus de l’annonce faite, cette semaine, par la Société saoudienne de développement du divertissement et des investissements d’inaugurer son premier théâtre cinématographique en collaboration avec AMC Theatres, le royaume où souffle le vent de la réforme a également fait part de sa volonté de rouvrir les portes du cinéma à travers tout le pays.
Pour que renaisse officiellement le septième art en Arabie saoudite, le choix filmique du prince Mohamed ben Salmane n’est pas anodin. Il s’est porté sur T’challa, le héros des célèbres studios Marvel Black Panther. Un choix qui a été certainement motivé par les belles valeurs véhiculées par le film, à la fois familiales, éthiques et exaltant de nobles sentiments.
T’challa serait-il l’icône de Mohamed ben Salmane? L’Arabie saoudite semble adhérer aux valeurs du Wakanda, ce pays africain fictif sorti tout droit de l’imagination des studios Marvel, puisque le courage, le sens du sacrifice, l’honneur familial, la loyauté et le patriotisme sont glorifiés dans les deux royaumes. Ce sont précisément ces cinq piliers essentiels que le tout-puissant prince héritier souhaite valoriser sur ses terres, et pas seulement sur grand écran…
Des salles obscures aux réseaux sociaux, il n’y aura que quelques clics à effectuer pour permettre au public saoudien de sélectionner son film préféré et réserver sa place en ligne. Et MBS, le grand réformateur du désert, ne s’arrête pas là, puisque trois grands écrans de cinéma devraient être dévoilés d’ici à la fin de 2018.
Pendant les cinq prochaines années, cette parenthèse cinématographique enchantée devrait favoriser l’éclosion d’une quarantaine de salles de cinéma dans le paysage saoudien.
La ville algérienne de Ksar Tafilelt est un exemple d’écocitoyenneté.
En s’appuyant sur des techniques ancestrales, la ville algérienne de Ksar Tafilelt est un exemple d’écocitoyenneté.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Afnor : un petit tour dans le halal et puis s’en va.
En septembre dernier, l’Association française de normalisation (Afnor) avait créé la polémique avec la mise en place d’une norme halal « expérimentale ». Très critiquée par les instances du culte musulman, particulièrement par la mosquée de Paris et le CFCM, notamment parce que les acteurs actuels du marché n’avaient pas été mis à contribution, elle est finalement abandonnée. Ce jeudi, l’Afnor a décidé de retirer cette norme « volontaire » de son catalogue.
A l’époque, l’Union des mosquées de France (UMF), via un communiqué assassin, faisait part de « sa stupéfaction face à cette démarche de l’Afnor qui s’apparente à une action mercantile incompatible avec la mission d’un organisme de normalisation reconnu d’utilité publique et placé sous la tutelle d’un ministère de la République. »
Du côté de l’Association française de normalisation, on essaie de garder la face en assurant que cette annulation est anodine puisque l’Afnor a supprimé plus de 800 normes l’an dernier. Mais l’organisme n’a en réalité jamais pu s’imposer face aux acteurs du secteur qui s’étaient sentis exclus du projet. L’Afnor assurait de son côté que la commission de normalisation chargée de ce projet était composée d’« industriels de l’agroalimentaire, de fonctionnaires, d’un représentant d’association de consommateurs et de plusieurs représentants des autorités religieuses musulmanes » en France.
Sauf que le CFCM et les organismes de certification des mosquées de Paris, Lyon et Evry ont toujours affirmé s’être retirés des travaux menés par l’Afnor deux ans avant l’annonce de cette norme. La raison ? Le fait qu’un organisme public s’ingère dans une norme touchant au domaine religieux.
La Grande mosquée de Paris demande « un guide de bonnes pratiques dans le domaine du halal » mais assure que « c’est aux responsables du culte musulman de le définir et de le mettre en œuvre, en lien avec les industriels concernés et le ministère de l’agriculture. » L’Afnor indiquait, à la publication de cette norme halal, vouloir apporter une « réponse à un besoin. » Visiblement, le marché du halal n’avait pas besoin de l’Afnor.
« D’abord ils ont effacé notre nom » : le premier témoignage d’un réfugié rohingya.
« On nous appelle les ‘kalars’, un terme péjoratif qui désigne avec mépris et dégoût les ethnies à la peau foncée et plus spécifiquement nous, les Rohingyas, les musulmans birmans ».
Ainsi Habiburahman commence son récit. Alors que celui-ci a trois ans, en 1982, le dictateur U Ne Win promulge une nouvelle loi qui raye l’ethnie Rohingya de la citoyenneté birmane. Les persécutions redoublent alors pour le million de Rohingyas vivant sur leurs terres ancestrales, dans l’Etat d’Arakan.
Pour le jeune homme et sa famille, c’est le début de nombreuses souffrances et d’un long exil qui le mènera jusqu’en Australie, où il trouve enfin refuge en 2009.
A travers ce récit, co-écrit par la journaliste Sophie Ansel et paru en mars dernier, Habiburahman raconte son histoire, mais donne aussi à voir et à comprendre les injustices, la torture et les massacres dont sont victimes les Rohingyas au quotidien.
Une réalité depuis longtemps occultée par le régime dictatorial birman et que Habiburahman dénonce comme un « génocide lent » et ignoré du reste du monde.
En effet, les réfugiés rohingyas parti en masse vers le Bangladesh depuis août 2017 ont fait la une des journaux occidentaux ces derniers mois, et leur sort a également été relayé sur internet et les réseaux sociaux.
Mais ce témoignage rare et inédit fait prendre conscience d’une ségrégation orchestrée depuis plusieurs décennies déjà et de « l’histoire secrète et non écrite des Rohingyas », rapportée dans le livre par la grand-mère d’Habiburahman.
« Il faut « birmaniser » et « bouddhiser » l’Arakan. C’est notre apartheid »
Celle-ci raconte les premières attaques dans les villages Rohingyas, dès 1942. S’ensuit alors la liste des multiples opérations menées par les militaires birmans dans leur chasse à ce qu’ils appellent les « parasites de la nation ».
Dès 1959, les militaires baptisent leur opération « Or pur », puis « Davantage de pureté » entre 1967 et 1971, « Purifier et blanchir comme la fleur de jasmin en 1974, ou encore « Belle nation immaculée » en 1991. Déjà cette année là, 260 000 Rohingyas sont contraints de fuir au Bangladesh.
Comme le détaille Habiburahman, les Rohingyas de l’Arakan sont parqués dans des « villes-prisons » qu’ils n’ont pas le droit de quitter, où ils n’ont pas d’identité, n’ont pas le droit de se marier, pas la possibilité d’obtenir un diplôme… où leurs droits les plus élémentaires sont confisqués.
Une situation que l’auteur compare à celle de l’apartheid en Afrique du Sud. « En Arakan du Nord, il existe un système similaire, sans nom, la ségrégation des kalars, officiellement non-citoyens selon la législation mise en place par le précédent dictateur Ne win, allègrement poursuivie par son successeur Than Shwe. La Nasaka (l’armée ndlr) continue de semer la terreur dans les villes concentrationnaires qui nous enferment. Les villages colons, natala, poussent comme des champignons sur les terres confisquées aux Rohingyas. Il faut « birmaniser » et « bouddhiser » l’Arakan. C’est notre apartheid », explique Habiburahman.
Dans ces villages, les Rohingyas sont soumis à des taxes toujours plus extravagantes et pour le moindre déplacement d’un quartier à un autre. Les militaires s’emparent de leurs terres ainsi que de leurs vivres pour nourrir leurs propres camps. Les Rohingyas sont également victimes d’humiliations, d’exécutions arbitraires, condamnés à des travaux forcés, envoyés en prison ou dans des camps.
Un climat nationaliste et extrémiste dans lequel les autorités tentent d’effacer la culture rohingya et son histoire, notamment par la destruction de la mosquée du chef musulman Sandhi Kan construite en 1433.
« Le précieux et séculaire patrimoine musulman des Rohingyas doit disparaître. La Birmanie ne peut souffrir un héritage religieux autre que bouddhiste. Nos mosquées dérangent sur une terre qui se veut étinceler de ses milliers de pagodes dorées », écrit Habiburahman.
Le mot « Rohingya » banni du vocabulaire.
Une identité rohingya qu’ils sont eux-mêmes contraints à taire et à dissimuler afin d’éviter des ennuis ou même la prison. Dès son enfance, le jeune Habiburahman se voit interdire par sa famille de prononcer le mot « rohingya ». « Nous ne l’employons qu’entre nous, dans la hutte. C’est notre identité secrète. Papa insiste pour qu’on emploie le terme ‘musulman’ lorsque nous nous présentons ».
On comprend donc au fil des pages que ce n’est pas seulement la religion musulmane des Rohingyas qui dérange les nationalistes ou les extrémistes bouddhistes, mais surtout leur couleur de peau. Il s’agit donc aussi du rejet de l’ethnie rohingya elle-même, alors que la Birmanie en compte plus de 130 différentes.
Dans cet enfer quotidien, Habiburahman rêve lui de devenir avocat pour défendre les droits de sa communauté. Son père le pousse à étudier et l’envoie dans la même école que les autres Birmans, malgré les injures des autres camarades. Au lycée, seuls quatre jeunes dont Habiburahman sont musulmans, sur des milliers d’élèves.
Une éducation rigoureuse et une détermination à réussir qui aideront le jeune apatride à fuir, en quête d’une vie meilleure. Entre 1994 et 2013, Habiburahman passera par le Laos, la Thaïlande, la Malaisie… Rejeté d’un pays à l’autre, il raconte le calvaire de ses séjours en centres de rétention, du travail illégal sur les chantiers, de ses cachettes dans la forêt pour échapper à la police…
En 2004 il est même fait esclave par des pêcheurs thaïlandais… alors qu’il venait d’obtenir le statut de réfugié de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR).
Depuis 2010 il réside en Australie où il n’a de cesse d’alerter l’opinion publique, les ONG et les journalistes, sur le sort de ses compatriotes. Au mois de février, Habiburahman devait d’ailleurs venir témoigner devant le Parlement européen. Mais, comme une malheureuse répétition de l’histoire, le pays lui a refusé son visa…
« D’abord ils ont effacé notre nom », Habiburahman avec Sophie Ansel. Editions de la Martinière. 240 pages.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’ONU appelle à la protection des Palestiniens dans la « Grande marche du Retour »
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Les Nations Unies ont appelé vendredi à la protection des manifestants palestiniens participant au 4ème vendredi de la « Grande marche du Retour », en conjonction avec des publications « israéliennes » menaçant d’utiliser la force pour réprimer les manifestants pacifiques dans la frontière avec la bande de Gaza.
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Le CSCP affirme l’interdiction de faciliter la propriété de la terre de Palestine aux ennemis
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Hamas : Notre réunion avec le renseignement égyptien était franche et positive
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Des colons écrivent des slogans racistes à l’est de Ramallah
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Les braves femmes de la Palestine enregistrent leur présence distincte dans les « marches du Retour »
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Finkelstein appelle à l’utilisation des médias dans les manifestations à Gaza
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Gaza: Un blessé au début du Vendredi pour les « Martyrs et prisonniers »
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Le Hamas salue la position des experts de l’ONU sur les crimes israéliens
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Le parlement européen demande une levée « immédiate » du blocus imposé à la bande de Gaza
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Un jeune palestinien blessé à la tête par les balles des soldats israéliens
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Des centaines d’employés de l’Autorité Palestinienne à Gaza manifestent pour exiger le paiement de leurs salaires
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Palestine : L’Etat sioniste interdit à « Maqamet » de participer au festival palestinien « Kamanjati »
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250 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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100 colons prennent d’assaut les « Piscines de Salomon » au sud de Bethléem ​
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Des milliers de Palestiniens de 48 commémorent la Nakba palestinienne
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La Jordanie renouvelle son refus de transférer l’ambassade américaine à Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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