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Flash info pour le 6 Sha’ban 1439.

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Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine: au-delà des cris.
Dénoncer l’oppression israélienne est indispensable mais il serait bon de ne pas attendre à chaque fois que les bombes et la mort aient fait leur ouvrage pour se rappeler qu’un peuple est martyrisé. Il est temps d’avoir une attitude à la mesure de la gravité des faits : les Palestiniens ne subissent pas des attaques prétendument motivées mais un véritable massacre installé dans le temps et la froideur comme un cancer. Si l’on ne comprend pas sérieusement ceci, il viendra un jour où nos manifestations se feront à la mémoire d’un peuple disparu.
Les cris d’indignation qui se multiplient dans la blogosphère, relayés par l’élan populaire de solidarité que l’on sent à travers le monde ont évidemment leur vertu mais ne sont-ils pas une réaction a minima ? Le propos qui suit entend accompagner par quelques recommandations la conscience de tout.es ces Français.es, êtres humains tout d’abord, qui battent en ce moment le pavé en soutien au peuple palestinien. L’un des fondamentaux de la pensée humaniste nous enseigne-t-il pas qu’au delà des mots, « être libre, ce n’est pas pouvoir faire ce que l’on veut, mais c’est vouloir ce que l’on peut ».
Une colère froide.
Il convient d’éviter d’exacerber la colère de l’instant car celle-ci se dissipe aussi vite qu’elle est venue. Nos hurlements d’indignation ne viendront jamais seuls à bout du gouvernement « bourreau » d’Israël qui sévit depuis trop longtemps. S’il est naturel d’avoir des sentiments, il faut aussi apprendre à ne pas les laisser dominer l’entendement. Une colère « rouge » qui donne de la voix présente toujours la faiblesse de ressembler à une ébullition émotionnelle pure et passagère. En poussant le raisonnement, peu s’en faut que l’on s’aperçoive combien cette émotivité s’accorde avec de l’indifférence, ceci malgré l’antagonisme des termes. On est ici dans l’attitude de l’indignation de bienséance, du quota de larmes et de slogans, mais sans plus.
Au contraire de cela, une colère « froide » serait mieux appropriée. Ce serait la colère mise au service de l’esprit, c’est-à-dire d’un arsenal de réactions toutes pensées et tendues vers un seul but : mettre fin à l’injustice. La manifestation de la colère ne serait plus ici un trop plein de douleurs que l’on vide en place publique mais une entreprise de réelle information des gens, de mobilisation des consciences, et d’appel solennel aux autorités gouvernantes de notre pays.
Mais, que signifie donc réagir avec l’esprit et quels contenus donner à ces réactions de résistance ? Il est évident qu’au-delà de cette ligne, nous sommes en train de parler d’attitudes beaucoup plus engagées dans le sérieux et la qualité.
Briser l’image médiatique d’un Israël jamais coupable.
« Israël riposte ». Attaquer pour se défendre est une ruse cousue de fil blanc dont l’histoire nous fournit une galerie d’exemples aussi sinistres que variés. On ne compte plus le nombre de casus belli mensongers qui ont servi de prétextes à l’invasion de territoires – généralement civils ou sous-armés – au motif de protéger des frontières ou des groupes humains. Allons-nous remonter jusqu’à l’invasion de la Silésie en 1939 ou celle du Timor en 1975 ? Pourquoi sommes-nous si facilement amnésiques ?
« Regain de tension », « violences », « heurts »… Voilà ce dont s’efforce de nous convaincre un discours médiatique ces dernières semaines dans son traitement de l’actualité sur la manifestation pacifique palestinienne. Abattre de sang-froid des manifestants non-armés serait une riposte « mesurée ». Il s’agirait ainsi d’opérations « préventives » à laquelle Israël recourrait de manière parfaitement « légitime » et « proportionnée » devant une « menace terroriste » latente. « A qui la faute ? », se demandera-t-on. Aux Palestiniens évidemment, Israël ne faisant que se défendre. Face à cette entreprise incessante de désinformation médiatique, notre devoir d’information s’impose et doit être de tous les instants.
Condamner l’amalgame coupable entre antisémitisme et critique légitime de la politique israélienne.
Si Bernard-Henri Lévi met en avant ses identités israélienne et juive pour revendiquer son implication en Libye – ce qui lui épargne d’avoir à évoquer des intérêts plus bassement liés à l’industrie du pétrole – les gens de bonne volonté doivent éviter absolument d’adopter un discours aussi dangereux et simpliste. Protester contre la barbarie que subit le peuple palestinien au nom de valeurs ethniques ou religieuses serait tomber dans le piège béant de l’amalgame primaire. Contrairement à BHL qui semble tout mélanger – ou plutôt a le droit de le faire – la critique de la politique israélienne ne doit pas se confondre avec une offense aux juifs, comme on l’a reproché dans de récentes manifestations. L’appel à la haine par des cris tels que « Mort aux juifs » est clairement l’une des pires abominations.
Beaucoup de participants aux manifestations, surtout les plus jeunes, ignorent tout des enjeux du conflit et le réduisent trop souvent à une opposition religieuse entre « les musulmans et les juifs ». Ils font ainsi l’impasse sur la réalité politique et ceci est de nature à alimenter l’antisémitisme. Or l’antisémitisme est à la fois un hors-sujet au problème et une des maladies des plus déplorables. Dénoncer la monstruosité de la politique belliqueuse israélienne peut être le fait de personnes juives telles que Rony Brauman, Michel Warschawski, Shlomo Sand, Michèle Sibony ou Ilan Pappé. Il est urgent que les indignés qui manifestent pour la Palestine puisent leurs forces autant dans la connaissance et la culture que dans les faits de pure masse dont ils donnent actuellement l’image. Il me souvient qu’à plusieurs reprises des personnes de retour de Palestine, les unes musulmanes les autres catholiques attachées à la visite de la Terre Sainte m’ont rapporté des témoignages rehaussés d’un point commun très intéressant.
En effet, ces personnes ont fréquemment croisé des Palestiniens de toutes origines et confessions leur ayant spontanément offert des services de guide tant leur culture personnelle était riche. Je n’entends pas ici par « culture » vous parler de choses légères comme des marques de voiture ou des noms de joueurs de foot. Ces Palestiniens sont capables de vous prendre par la main et vous commenter l’histoire de Jérusalem et d’Hébron sur des périodes historiques relevant de l’érudition : de l’antiquité jusqu’à l’époque ottomane. Autant que ces personnes menacées de toute part ont compris la valeur de la résistance par la culture, il faut que nous la comprenions nous aussi. Et bien entendu, il faut ensuite la « pédagogiser » et la transmettre. Au-delà des témoignages verbaux qui me sont parvenus, j’invite les lecteurs les plus courageux à se pencher vers l’excellent témoignage en la matière de l’historien britannique William Dalrymple.
La Palestine, terre ayant connu tant de chagrin à travers les siècles, présente la particularité d’être à la fois la terre des Palestiniens mais aussi une part du patrimoine de l’humanité, une part d’universalisme que tout être humain devrait connaître et aspirer à préserver. Sous l’angle spécifique de la civilisation islamique, la Palestine a également toujours bénéficié de ce statut d’exceptionnalité de terre des prophéties anciennes.
Il ne faut pas oublier que, malgré l’insécurité frappant cette région, la Palestine gagnerait à être visitée par un flot ininterrompu de gens avec leurs cerveaux, leurs yeux et leurs oreilles. Rappelons-nous ici que la première chose dont a besoin une armée génocidaire c’est l’absence de témoin… Il y a ici une réflexion à mener.
Multiplier les prières silencieuses et intimes.
Enfin, que ceux d’entre nous qui ont la foi peuvent ultimement ajouter à leur engagement envers la justice une dimension spirituelle par la voix de la prière et de l’invocation. Sans doute ces mots sont ils plus faciles à poser pour une autorité ecclésiastique que pour l’homme du commun. Il demeure que les congrégations religieuses réunies en églises, synagogues, mosquées ou temples divers, sont également des lieux de force et de revigoration des consciences. La conviction est acquise qu’il vaut mieux approuver les initiatives de prières pour les morts que de leur préférer le silence et l’indifférence.
Aimer, penser, agir, ne jamais s’arrêter. Aimer, penser, agir…. Quand ces mots nous restent à la conscience jusqu’à cadencer notre marche, nous sommes enfin humains. Témoigner de sa solidarité auprès des plus opprimés, il en va de notre conscience citoyenne, morale et humaine. Au-delà même d’une « solidarité pro-palestinienne », il s’agit d’une contribution humaniste au vivre-ensemble auprès de tous les opprimés de cette planète.
Attentat Mosquée de Québec: les proches des victimes musulmanes traitent son auteur de “monstre d’inhumanité”.
Plus d’un an s’est écoulé depuis ce dimanche soir funeste du 29 janvier 2017, au cours duquel six fidèles, en plein recueillement dans la Grande Mosquée de Québec, ont été fauchés lâchement par la fureur exterminatrice d’Alexandre Bissonnette, 28 ans, un terroriste canadien chrétien, néo-fascisant et islamophobe, sans que rien n’apaise la douleur de leurs proches.
Que ce soit Megda Belkacemi, 29 ans, à jamais traumatisée par la disparition tragique de son père Khaled Belkacemi, professeur émérite à l’Université Laval, ou sa mère, Safia Hamoudi, hantée par le souvenir de l’attente insoutenable qui a suivi l’annonce de la fusillade, sans oublier Amir Belkacemi, ce frère et fils inconsolable, tous les trois redoutaient l’instant où ils croiseraient le regard, dans le prétoire, du « monstre d’inhumanité » qui leur a arraché un être cher.
La voix tremblante, Megda Belkacemi, dont la nature enjouée a disparu sous l’effet d’une anxiété oppressante, a tenu à témoigner mercredi matin devant le juge François Huot, dans le palais de justice de Québec, afin d’exprimer sa profonde souffrance et celle de sa famille depuis la tragédie qui les a frappés.
« Parce qu’Alexandre Bissonnette avait peur que sa famille soit attaquée, c’est la mienne qui l’a été. Mes parents ont quitté leur Algérie natale pour venir au Québec, précisément pour fuir les attaques terroristes, mais cette violence les a finalement rattrapés ici », a-t-elle lancé avec gravité, les yeux embués de larmes, en faisant allusion aux propos tenus par l’assassin de son père, au lendemain de son arrestation, selon lesquels il justifiait l’atrocité de son acte en se disant convaincu que des « terroristes allaient venir tuer sa famille ».
« Ma vie n’a plus aucun sens. J’ai perdu toute joie de vivre », a confié Safia Hamoudi, sa mère très éprouvée, qui est désormais habitée par une peur irrépressible. Elle ne se remet pas du décès brutal de son regretté époux, un homme qu’elle décrit comme « chaleureux, bienveillant et pacifique » et qui, comble de l’horreur, a péri sous les balles de la haine vengeresse.
« Alexandre Bissonnette a tourné le dos à son humanité. Je crois que les monstres n’ont pas leur place parmi nous car, nous, nous chérissons notre humanité », a clamé son fils, Amir Belkacemi, avant de déclarer, submergé à son tour par l’émotion : « Perdre un parent, on s’y attend un jour. Mais pas comme ça. Pas dans un contexte de violence et de haine ».
Dans les prochains jours, le tribunal de Québec devrait résonner d’autres témoignages déchirants de proches des six victimes musulmanes assassinées froidement, en ce dimanche sanglant de janvier 2017, ainsi que des nombreux blessés, meurtris dans leur chair et leur âme, alors qu’ils priaient dans le havre de paix d’une enceinte sacrée.
A l’issue de ces audiences, Alexandre Bissonnette, qui a été déclaré « coupable de meurtre au premier degré » (ce qui implique qu’il est automatiquement condamné à la prison à vie), et qui a plaidé coupable à tous les chefs d’accusation portés contre lui, saura combien de temps il passera derrière les barreaux, à l’ombre de son crime abominable.
France : Tarn : une buraliste refuse de servir une cliente voilée.
Interdit aux femmes voilées ! A Albi, dans le Tarn, la propriétaire d’un tabac-presse n’a pas craint de prendre quelques libertés avec la circulaire du 2 mars 2011 portant sur « la dissimulation du visage dans l’espace public », pour renouer avec les heures sombres d’une loi d’exception qui ne dit pas son nom, ostracisant les musulmanes dont le minois n’est pas caché, mais entouré d’un hijab.
Convaincue de son bon droit, son interprétation très liberticide de la circulaire s’affiche sur la devanture de son magasin (voir ci-dessous), accompagnée de trois portraits de femmes illustrant de manière explicite son refus de servir celles qui arborent le couvre-chef honni, sans que cela n’offusque personne. Jusqu’à ce vendredi 13 avril où Anaïs R. a osé franchir le seuil de son commerce, en s’affranchissant de sa mise en garde discriminatoire et parfaitement illégale…
Loin d’imaginer qu’elle subirait une terrible humiliation en venant récupérer un colis dans ce tabac-presse qui fait aussi office de point-relais, la jeune femme voilée a été d’abord interloquée devant le refus cinglant de la servir opposé par la buraliste, puis s’est sentie outragée quand celle-ci lui a intimé l’ordre de se dévoiler pour prouver son identité.
Selon la Dépêche du Midi, elle aurait alors proposé, à contrecœur, de retirer son hijab à l’abri des regards, dans un coin du magasin. Mais la commerçante n’a rien voulu entendre, lui rétorquant méchamment « Ici, on est en France, on est sur un même pied d’égalité ! ».
A ces mots mortifiants et face à son interlocutrice tyrannique, résolue à faire régner sa propre loi derrière son comptoir, Anaïs R., tremblante d’émotion, a fini par fondre en larmes. Elle n’a eu d’autre choix que de donner procuration à un client pour qu’elle puisse enfin récupérer son colis et mettre un terme à son cauchemar.
Après avoir relaté sur sa page Facebook sa mésaventure dans ce tabac-presse d’Albi et l’odieux rejet dont elle a été victime, comme une malpropre, la jeune femme musulmane a annoncé son intention de porter plainte contre la commerçante pour discrimination.
Contacté par La Dépêche du Midi, le procureur de la République du Tarn, Alain Berthomieu, a confirmé qu’une plainte a bien été déposée contre la commerçante et a même indiqué qu’elle était sous le coup de trois autres plaintes pour le même motif, déposées en 2015, 2016, et 2017. Ces affaires seront jugées le 24 mai prochain.
La société Pickup, qui assure la livraison des colis dans ce tabac, a immédiatement réagi sur Twitter. « Nous demandons aux relais de vérifier la cohérence entre le nom du destinataire, la pièce d’identité présentée et la personne qui se présente pour retirer un colis. Bien évidemment, un voile ou un turban ne fait pas obstacle à ce contrôle. Nous avons déjà demandé à ce relais de ne pas exiger des clients venant retirer un colis Pickup qu’ils ôtent leur voile ou turban, un nouveau rappel va être fait dans ce sens ».
De son côté, la buraliste, qui mène une croisade hargneuse contre le voile depuis un certain temps déjà, se dit « choquée, outrée que cette affaire prenne de telles proportions pour une simple question de sécurité ». Mais le pompon, c’est quand elle affirme haut et fort « avoir toujours respecté la loi ». Laquelle ? Celle qui sort allègrement des clous pour s’enfoncer dans l’abîme de l’arbitraire, sans nul doute !

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Sarajevo, la perle des Balkans.
Parmi les cités fondées dès le premier jour sur l’islâm, aux côtés de Bagdad, Kairouan ou Marrakech, il en est une qui reste trop souvent méconnue : Sarajevo.
C’est dans la foulée de la conquête du royaume chrétien de Bosnie par les armées ottomanes, en 1461, que la ville est fondée par le premier gouverneur de la nouvelle province, Isa-Beg Ishakovic – lui-même un Bosniaque converti à l’islâm -, tel un symbole du nouveau départ pris par son peuple. Car, cas presque unique dans l’histoire islamique, la majorité des Bosniaques vont en effet se convertir à l’islâm durant le siècle qui suivra la conquête. Une grande mosquée, un bazar couvert, un hammam et un palais – le Saray – y sont construits, donnant à Sarajevo l’allure d’une véritable cité impériale ottomane. C’est ce dernier qui donnera d’ailleurs son nom originel à la ville : Saraybosna.
Au début du 16ème siècle, un autre gouverneur issu de la région, Gazi Hüsrev Bey, en fait l’une des villes les plus florissantes et modernes d’Europe en y construisant un complexe de mosquées, madrasas et bibliothèques, un système d’alimentation en eau courante et le plus grand marché des Balkans. Une centaine de mosquées viennent agrémenter la skyline de la cité, qui se couvre de dômes et de minarets. Sarajevo est alors, avec une centaine de milliers d’habitants, la deuxième plus grande ville de l’empire ottoman, derrière la capitale Constantinople. Les communautés juive, chrétienne et musulmane qui y cohabitent paisiblement à l’ombre de la sharî’a lui valent le surnom de “Jérusalem d’Europe”, à une époque où les musulmans d’Espagne sont impitoyablement pourchassés.
Sarajevo ne peut toutefois échapper au déclin de l’empire qui l’avait fondée : en 1697, elle est ainsi brûlée et pillée par les Autrichiens. Bien que reconstruite, elle mettra des décennies à retrouver son lustre d’antan et sera finalement annexée par l’empire austro-hongrois en 1878. C’est là que la Première Guerre Mondiale se déclenche, lorsque l’empereur Ferdinand y est assassiné par un nationaliste serbe. Intégrée au nouveau royaume de Yougoslavie en 1918, la cité n’en perd pas pour autant son identité islamique si singulière au cœur de l’Europe : jusque dans les années 40s, Sarajevo restera le bastion du fez et du feredza – la version locale du niqab.
La laïcisation forcée menée par la suite par le régime communiste de Tito en décidera autrement – et ce n’est que de peu que la cité échappera à la destruction complète aux mains des Serbes, après un terrible siège de quatre ans entre 1992 et 1996… Sarajevo reste, quoi qu’il en soit, une plaque tournante incontournable de l’histoire de l’islâm en Europe.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Du henné dangereux sur le marché algérien : Alerte !
Attention, un henné noir hautement toxique sur le marché, contient des substances toxiques qui provoquent des inflammations de la peau. Le ministère du Commerce tire la sonnette d’alarme, contre la commercialisation d’un henné très dangereux pour la santé, au niveau de l’ensemble de ses directions à travers le territoire national.
Disponibilité et prix abordables des fruits et légumes durant le mois de ramadan à Alger : Des promesses, en attendant mieux….
Tayeb Zitouni à propos des réalisations du Président : Les preuves d’une bonne gouvernance.
Le P-DG d’Algérie Télécom en fait la priorité : La qualité de service d’Internet au menu.
L’ambassadeur du Mali à Alger poursuit normalement ses activités : Echec aux comploteurs.
Ressources en Eau : 66% de taux de remplissage des barrages.
Conseil de la Nation : Protection du consommateur et activités commerciales en débat.
Ouyahia sur la lutte contre l’importation de produits prohibés : Plus de 294 millions de DA d’amendes en 2017.
Manque de moyens de médication pour les malades cancéreux : La tumeur, en terrain conquis.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Tariq Ramadan peut-il vraiment être correctement soigné en prison ?
« Le 2 février, Tariq est rentré debout. Aujourd’hui, il vient me voir au parloir en fauteuil roulant. » Fin mars, Iman Ramadan alertait quant à l’état de santé de son mari, actuellement en détention provisoire à Fresnes, où il est soigné. Une nouvelle expertise médicale avait alors été diligentée par la justice. Les conclusions de celle-ci devaient être livrées fin mars, avant que la date ne soit finalement fixée au 15 avril.
L’expertise conclut que Tariq Ramadan souffre bien « d’une sclérose en plaques depuis 2014, diagnostic considéré comme certain. » Pour les médecins, « il n’y a pas eu de poussée de la maladie » ces dernières semaines. Et que Tariq Ramadan se déplace aujourd’hui en fauteuil roulant et soit victime de nombreux maux est, assurent les experts médicaux, dû au stress qui « peut majorer les symptômes. »
La conclusion est donc la même que la précédente : « La prise en charge actuelle de Monsieur Tariq Ramadan n’est pas incompatible avec la détention », peut-on lire dans le rapport. Mais les conclusions sont plus nuancées qu’on a pu le lire un peu partout. « Toutefois les experts insistent sur le fait que Monsieur Tariq Ramadan, s’il restait en détention, devrait continuer à bénéficier de l’accès aux soins, c’est-à-dire au traitement qui lui a été prescrit et à la prise en charge médicale qui lui est associée », peut-on lire.
« Il doit voir un médecin tous les jours, ce qui n’est pas le cas ».
Quelles sont exactement les conditions à une poursuite de la détention ? Les experts recommandent « un suivi neurourologique, psychothérapique et kinésithérapique. » Or, selon l’avocat de Tariq Ramadan, ce suivi n’est pas garanti par la détention. « A ce jour, l’administration pénitentiaire de Fresnes n’est pas en mesure de lui procurer l’accès aux soins requis par son état de santé », dit-il aux juges en charge du dossier. Iman Ramadan nous indiquait par exemple, lors d’un entretien téléphonique, que les séances de kinésithérapie sont « sommaires » et « irrégulières », citant par exemple le week-end de Pâques lors duquel son époux n’avait pas pu voir de médecin.
Me Emmanuel Marsigny confirme que, alors que « la kinésithérapeute de Fresnes estime que Monsieur Ramadan a besoin d’une à deux séances par jour en raison de l’état actuel de la mobilité de ses membres inférieurs, avec des crampes et des douleurs constantes », Tariq Ramadan ne bénéficie actuellement que de trois séances par semaine. « Il doit voir un médecin tous les jours, ce qui n’est absolument pas le cas », ajoute l’avocat.
« Apparition de nouveaux symptômes ».
Me Marsigny estime par ailleurs que « le placement à l’isolement (de Tariq Ramadan) ne fait que compliquer encore davantage l’accès aux soins prodigués par ailleurs insuffisants. » L’avocat assure enfin que l’expertise, effectuée il y a quinze jours, et ses conclusions sont « obsolètes », notamment « en raison de l’évolution de la maladie et de l’apparition de nouveaux symptômes ou de l’aggravation de ceux constatés comme la paresthésie des membres supérieurs et inférieurs. »
L’absence d’accès aux soins adéquats et la dégradation de l’état de Tariq Ramadan sont « inacceptable », conclut Me Marsigny qui demande que son client soit soigné « en milieu neurologique et non en milieu carcéral. » L’avocat demande un « complément d’expertise » et que soit scrupuleusement vérifié le fait que la « prise en charge est pratiquement possible en milieu carcéral. »

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

En cette Journée des prisonniers palestiniens, le boycott maintient son défi.
Ramallah occupée, 17 avril 2018 – À l’occasion de la Journée des prisonniers palestiniens, l’association Addameer pour les droits humains et le soutien aux prisonniers salue le combat permanent des plus de 6000 prisonniers politiques palestiniens actuellement retenus dans les prisons israéliennes. Chaque année, Israël arrête des milliers de Palestiniens pour tenter de supprimer la volonté à l’auto-détermination et pour continuer sa colonisation. Le résultat : environ 800 000 Palestiniens arrêtés depuis 1967.
Le 1er mars 2018 il y avait 6050 prisonniers politiques palestiniens retenus dans des prisons israéliennes. Ceci inclut 427 détenus administratifs ; 356 enfants; 62 prisonnières ; et 7 membres du conseil législatif palestinien. La situation des prisonniers continue à se détériorer tandis qu’ils sont confrontés à une campagne continuelle de violations et de suppression. Détenus et prisonniers, y compris les enfants et les femmes, continuent à souffrir de mauvais traitements et de torture de manière systématique. Ces politiques ont entraîné la mort par torture de 72 prisonniers depuis 1967.
À cette occasion, nous, membres d’Addameer, réitérons notre soutien total au boycott en cours de toutes les procédures juridictionnelles concernant la détention administrative. L’engagement des prisonniers et de leurs avocats n’a pas fléchi depuis le début de l’action le 15 février 2018.
Leur déclaration affirme que « le coeur de la résistance à la politique de détention administrative est le boycott du système judiciaire israélien ». Les détenus administratifs déclarent également : « Nous mettons notre foi et notre confiance dans notre peuple, son pouvoir et ses institutions, et dans la société civile qui ne nous laissera pas seuls dans cette lutte. C’est un acte patriotique national auquel aucun individu, aucune institution, ne devrait porter atteinte. À ce titre, nous appelons l’Autorité palestinienne à soumettre à une cour pénale internationale la question de la détention administrative aussi rapidement que possible ».
Les forces d’occupation israéliennes ont tenté d’écraser le boycott. Les détenus ont été menacés, frappés et contraints par la force d’assister aux auditions des cours militaires. En ce qui concerne les avocats, certains ont été menacés d’une sanction financière, ou reçoivent même des plaintes s’ils persistent avec le boycott. Face à de telles mesures, les détenus administratifs ont [d’abord] décidé d’intensifier leur boycott.
Le 12 avril 2018, une personne du Comité représentatif des détenus administratifs a informé les avocats d’Addameer qu’il avait été décidé de suspendre cette escalade. Celle-ci incluait le rejet des médicaments et le refus de visiter des centres médicaux, à partir du 12 avril 2018. De plus, une grève de la faim était prévue à partir du 14 avril 2018.
La décision [de suspendre l’escalade] a été prise après que le Service israélien des prisons (IPS) a informé les détenus qu’une réunion aurait bientôt lieu entre le Comité représentatif, des représentants des services de renseignements, l’armée et l’IPS, afin de discuter de la politique de la détention administrative.
Le Comité représentatif a souligné que, malgré la désescalade, le boycott des procédures juridictionnelles concernant la détention administrative continuera et que les étapes prévues seraient mises en œuvre si la réunion n’avait pas lieu.
Addameer réaffirme son soutien sans faille aux détenus adminsitratifs et à leurs demandes légitimes. Nous croyons que l’implémentation systématique, sur une large échelle, de la politique israélienne de détention administrative constitue une violation de la Quatrième Convention de Genève. Outre la violation de l’article 78, la détention administrative est aussi une violation de l’article 147 de cette même convention, ce qui signife que cette politique constitue un crime de guerre et un crime contre l’humanité selon les articles 8 and 9 du Statut de Rome.
Addameer appelle toutes les organisations des droits humains palestiniens à adopter un plan clair dont l’objectif est de soutenir les détenus administratifs dans leurs futures étapes afin d’assurer leur succès. Ce soutien nécessite des campagnes de solidarité nationales et internationales pour amplifier la voix des prisonniers. Même s’ils sont, quant à eux, emprisonnés dans des cellules, nous sommes capables de faire en sorte que leur message se répande loin et largement. De plus, nous incitons à l’activation de mesures internationales de reddition de comptes contre les violations du droit humanitaire international par l’occupation israélienne.
Enfin, Addameer appelle à la libération de tous les détenus administratifs et à ce que les forces d’occupation reconnaissent leurs droits, tels qu’ils sont spécifiés par les instruments juridiques internationaux pertinents. Nous demandons aussi à toutes les organisations des droits humains dans le monde entier de soutenir nos détenus administratifs et de leur témoigner leur solidarité. Actuellement, il y a plus de 427 détenus administratifs dans les prisons israéliennes, y inclus 7 membres du Conseil législatif palestinien.
Source : Addameer.
Traduction : PPS pour l’Agence Média Palestine.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Washington supprime le mot « Occupation » de ses rapports annuels sur les violations d’Israël
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Un article de presse a révélé que le ministère des affaires étrangères américain avait complètement cessé d’utiliser le mot «Occupation» dans son dernier rapport annuel sur les conditions des droits de l’homme en «Israël» et dans les territoires palestiniens.
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Assassinat du scientifique palestinien Fadi al-Batsh en Malaisie et la famille accuse le Mossad
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La CNS pour la marche du Retour: l’assassinat des manifestants pacifiques par Israél est un crime de guerre
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Le Hamas endeuillé par l’assassinat du jeune scientifique Fadi al-Batsh
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#Photo du chercheur et ingénieur palestinien Fadi al-Batsh (35 ans) de la bande de #Gaza qui a été assassiné ce matin #Malaisie.
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L’occupation continue à fermer l’entrée d’Azzun, des inscriptions racistes à Naplouse
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Des centaines de milliers affluent à la semaine des martyrs et des captifs… 4 morts et des dizaines de blessés
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Des véhicules palestiniens arrêtés et fouillés à Hébron
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L’ONU appelle à la protection des Palestiniens dans la « Grande marche du Retour »
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Le CSCP affirme l’interdiction de faciliter la propriété de la terre de Palestine aux ennemis
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Hamas : Notre réunion avec le renseignement égyptien était franche et positive
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Des colons écrivent des slogans racistes à l’est de Ramallah
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Les braves femmes de la Palestine enregistrent leur présence distincte dans les « marches du Retour »
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Finkelstein appelle à l’utilisation des médias dans les manifestations à Gaza
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Gaza: Un blessé au début du Vendredi pour les « Martyrs et prisonniers »
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Le Hamas salue la position des experts de l’ONU sur les crimes israéliens
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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