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Flash info du 17 Rabi al Thani 1439.

Flash info du 17 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Ces stars du ballon rond que l’on rencontre à La Mecque.
Malgré leurs salaires exorbitants, certains footballeurs restent très proches de leur religion, ou d’autres la rejoignent au terme d’une récente reconversion.
Quelles que soient les circonstances de leur piété, nombreux sont les footballeurs qui accomplissent le pèlerinage afin de s’acquitter d’un important pilier de notre Noble religion, l’Islam.
Il y a quelques années, Franck Ribéry et Karim Benzema ont affirmé leur croyance en Allah soubhanou wa ta’ala, en se laissant photographier lors de leur pèlerinage à la Mecque.
Depuis, d’autres footballeurs n’hésitent pas à faire partager leur joie de se trouver dans la demeure sainte de Notre Créateur soubhanou wa ta’ala.
En 2016, une photographie du footballeur Mesut Özil fait fureur sur le web et dans la presse allemande, sur laquelle on le voit poser drapé de blanc devant la Kaaba, dans la ville sainte islamique de la Mecque.
Puis, cette année en 2017 Paul Pogba a adressé ses voeux pour la fin du Ramadan en postant une photo sur les réseaux sociaux où il posait fièrement à La Mecque.
Encore il y a quelques jours, le joueur allemand d’origine albanaise, Mërgim Mavraj a posté un selfie de lui au beau milieu de Mekkah en ajoutant comme commentaire « A Look more than a Million words #ohlilienohlilienohlilien #makkah #mekka # · The Best Place on Earth ‼ #makkah #mekka #islamispeace #prayforpeace ».
Ces footballeurs musulmans témoignent que la pratique d’un sport à haut niveau ou la célébrité ne sont pas incompatibles avec l’accomplissement des obligations religieuses.
Une donation datant du Prophète (saws) permet la construction d’un hôtel à Médine.
Othman ibn Affan est le troisième Calife de l’Islam, il est l’un des dix compagnons du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) auxquels leur entrée au paradis a été assurée de leur vivant. Riche commerçant mecquois, Othman ibn Affan a régulièrement démontré sa générosité et son amour de l’Islam.
Il dépensa 1.000 dinars d’or pour équiper l’armée que le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) avait mise sur pied contre les Romains lors de la campagne de Tabuk. Une aide qui arrivait à point nommé au moment où les musulmans vivent des conditions très difficiles.
Othman ibn Affan a eu à de nombreuses reprises l’occasion de prouver sa piété à ses frères en Islam. Le puits d’eau connu sous le nom de Bi’r Roma appartenait à un juif qui vendait l’eau au prix fort aux musulmans de Médine. Une situation que déploraient ces derniers qui vinrent s’en plaindre au Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam). Celui-ci déclara : « Qui achètera ce puits et accedera ainsi au Paradis ? »
N’écoutant que sa bonté, Othman se proposa d’acheter le puits, mais vu les sommes dont il tirait de la vente d’eau, le propriétaire refusa de le vendre. Devant l’insistance de Othman, le propriétaire décida de céder la moitié du puits, l’exploitation en revenant alternativement aux deux co-propriétaires : un jour pour Othman et un jour pour le juif. Une transaction conclue pour la somme de 12.000 dirhams d’argent.
Une fois l’accord entériné, Othman annonça qu’il faisait don de sa part d’eau à la communauté musulmane. Le jour affecté à Othman, tous les médinois vinrent puiser gratuitement autant d’eau qu’ils le souhaitaient et personne ne vint le lendemain. Le juif dépité vint alors trouver Othman pour lui proposer de lui vendre l’autre moitié du puits, une offre qu’Othman s’est empressé d’accepter. Bien sûr il fit don de toute l’eau du puits Bi’r Roma aux musulmans.
Après cela, les palmiers dattiers se sont multipliés aux alentours du puits et les dirigeants musulmans successifs se chargèrent de l’entretien de la palmeraie et de la commercialisation des dattes.
Gérée par le ministère de l’Agriculture, la palmeraie engendre d’énormes bénéfices dont la moitié est affectée aux pauvres et aux orphelins, tandis que l’autre moitié est versée sur un compte bancaire au nom d’Othman ibn Affan géré par le ministère des Awqaf. Le Waqf désigne en Islam une donation faite à perpétuité au profit d’une fondation créée dans un but pieux ou d’utilité publique.
Le cumul des sommes versées sur le compte a atteint aujourd’hui un tel niveau que le ministère des Awqaf a décidé d’investir dans un projet hôtelier à proximité de la Mosquée du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) à Médine.
La construction de l’hôtel en est à sa phase finale, le bâtiment doit être loué à l’une des principales entreprises hôtelières 5 étoiles. Il devrait générer des revenus de 50 millions de riyals (10 millions d’euros) par an, dont la moitié sera distribuée aux orphelins et aux pauvres et l’autre moitié recueillie sur le compte bancaire « Othman ibn Affan ».
Le devoir du musulman célibataire en Islam.
Le célibat est un des fléaux de ce monde, il touche aussi bien les hommes que les femmes. Certains musulmans se marient à un âge très avancé alors que le mariage reste l’un des plus grands objectifs de l’Islam.
Les nombreux hadiths à ce sujet nous prouvent que l’union légitime entre un homme et une femme n’est pas seulement conseillée mais elle est une obligation pour tout musulman pratiquant.
A notre époque, le mariage est mis à mal par la mécréance qui s’est propagée à travers le monde, faisant de ce moment important de la vie, un obstacle à une vie faite de débauche.
La propagation du célibat au sein de la Oumma, pousse à l’éloignement de la religion et des valeurs familiales.
Certaines femmes ne recherchent plus que la situation économique du prétendant faisant abstraction de sa foi, de sa fidélité et de sa loyauté. Même constat pour les hommes qui se sont transformés en prédateurs recherchant la proie facile qu’ils pourront aussitôt échanger contre une autre tout aussi fragile dans le seul but d’assouvir leurs bas instincts.
Le mariage est l’un des objectifs les plus importants de l’Islam et notre Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) a fortement insisté à ce propos :
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) dit : « Deux rak‘ah de Prière accomplies par un homme marié valent mieux que toutes les Prières accomplies par un célibataire qui passe la nuit en priant et le jour en jeûnant ». (Makârim al-Akhlâq, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 197).
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) dit : « Il n’est pas une institution établie en Islam, qui soit plus aimée d’Allah que le mariage » et « Quiconque a les moyens de se marier et ne le fait pas, n’est pas des nôtres . »(Makârim al-Akhlâq”, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 196).
Se marier préserve de la fornication comme nous l’a enseigné notre Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) : « O jeune ! Marie-toi, et gare-toi de l’adultère, car elle arrache la foi de ton cœur ! » (Makârim al-Akhlâq”, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 196).
Le musulman célibataire a pour obligation de rester chaste et de baisser le regard sur ce qui pourrait l’inciter aux mauvaises pensées.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit dans un hadith authentique : « Ô jeunes gens ! Quiconque parmi vous possède la capacité physique et les moyens financiers nécessaires au mariage, qu’il se marie.
Certes, le mariage est plus enclin à protéger contre les regards lascifs et à préserver la chasteté.
Quant à celui qui n’en possède pas les moyens, qu’il jeûne, car le jeûne le protégera contre la tentation . » (Rapporté par al-Bukhari n°1905 et Muslim n°1400).
Qu’Allâh nous accorde la réussite et que les prières et le salut soient sur notre Prophète Mohammad, (sallAllahou ’alayhi wa salam) ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Iran : neuf morts dans une nouvelle nuit de manifestations. VIDEO.
Les manifestations en Iran ne faiblissent pas alors que le pouvoir des mollahs promet de dialoguer. De nouvelles victimes sont à déclarer après les nouvelles manifestations qui ont eu lieu dans le pays.
Les principaux canaux d’expression de la jeunesse ont été bloqués par le pouvoir comme Instagram et Telegram. Deux applications qui sont utilisés par la population locale.
Le président a indiqué qu’un dialogue allait être établi afin de répondre aux demandes des manifestants qui se plaignent de l’augmentation des prix. La situation risque à tout moment d’éclater dans un pays qui a déjà connu d’importantes manifestants il y a quelques années pour des questions similaires liées aux libertés et au coût de la vie.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Un tweet de Donald Trump provoque un conflit diplomatique entre Washington et Islamabad.
Les services américains n’ont toujours pas réussi à interdire Twitter à Donald Trump. Le président américain , connu pour ses petites phrases ravageuse sur le réseau social, s’en est pris au Pakistan l’accusant de connivence avec Al Qaïda.
Le torchon brûle entre Islamabad et Washington après que le président américain est accusé le Pakistan ” d’accueillir les terroristes” que les Etats-Unis traquent en Afghanistan. Des accusations qui ont provoqué la colère des dirigeants pakistanais qui ont de suite répondu en convoquant l’ambassadeur américain sur place.
Depuis des décennies, le Pakistan est dans la ligne de mire des Etats-Unis. Après le 11 Septembre 2001 et depuis la guerre en Afghanistan, le Pakistan sert de base logistique à la première armée du monde. Malgré cette coopération, lslamabad est accusé de jouer un double jeu et un numéro d’équilibriste entre les talibans, Al Qaeda et les Etats-Unis.
Le tweet de Donald Trump, visiblement informé par les services de renseignements américains, risque d’entraîner une nouvelle période de trouble entre les deux pays.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Kim Jong-un rappelle aux USA que le “bouton nucléaire est sur son bureau”. VIDEO.
Lors de son discours à l’occasion du nouvel an, Kim Jong-un a appelé son pays à continuer de travailler sur la production d’armes capables de répondre aux menaces des Etats-Unis. Il a indiqué souhaité engager un dialogue avec la Corée du Sud.
Malgré les menaces de Donald Trump, Kim Jong-un continue à tenir un discours anti-américain et à indiqué qu’il est prêt à faire usage de l’arme nucléaire si les USA venaient à attaquer la Corée du Nord.
Depuis plusieurs années, la Corée du Nord travaille sur la création d’une bombe nucléaire et des missiles balistiques capables d’atteindre n’importe quel pays dans le monde. Depuis quelques semaines, les choses se sont accélérées puisque que certains experts occidentaux craignent que Kim Jong-un ait finalement réussi à produire des bombes nucléaires et autres missiles longues portées.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Yémen : après 1000 jours de conflit, la population vit entre les bombardements, la famine et les épidémies. VIDEO.
Les images filmées mardi à Sanaa, la capitale yéménite, montrent la crise humanitaire en cours dans ce pays déchiré par la guerre après 1000 jours de conflit.
Les Yéménites qui ont fui la frontière saoudienne à Sanaa après des frappes aériennes, des pénuries alimentaires et des épidémies sont contraints de vivre dans des conditions déplorables, révèle le reportage.
La coalition dirigée par l’Arabie Saoudite a intensifié ses bombardements suite à la mort de l’ex-président Abdallah Saleh. Les houthis chiites soutenus par l’Iran ont pris le contrôle total de la capitale après de violents combats contre les proches de Saleh.
Plusieurs ONG ont averti d’une crise humanitaire majeure où des épidémies importantes se sont déclarées tuant en premier lieu les enfants et les personnes âgées.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Un homme de ménage indien trouve un sac rempli de bijoux et le remet à la police.
C’était un jour ordinaire, à Dubaï, pour Vinak Motabatolal, quand il trébucha sur un vrai trésor… Attiré par l’éclat de sa trouvaille, l’homme de ménage indien ouvrit le sac rempli de bijoux et diamants étincelants. Emerveillé mais foncièrement intègre, il s’est empressé de remettre sa découverte aux policiers du luxuriant émirat du golfe Persique. D’une valeur de 200 000 dirhams EAU (45 000 euros), ce sac brillant de mille feux a changé la vie de Vinak Motabatolal.Il l’a fait passer de l’ombre à la lumière, en récompense de son honnêteté célébrée par les autorités locales. Félicité par le chef de la police qui lui a offert un cadeau et décerné un certificat de bonne conduite, Vinak Motabatolal est passé du statut de sans-grade à celui de héros ordinaire, au pays du tourisme de luxe.
reportage a voir sur oumma.com.
Trump menace de couper l’aide financière à la Palestine.
Le président américain estime que son pays débourse des millions de dollars par an sans reconnaissance ou respect. Ajoutant que « puisque les Palestiniens n’étaient plus disposés à parler de paix, pourquoi les Etats-Unis devraient-ils leur verser des paiements massifs à l’avenir ? »
Hanan Ashrawi, membre du comité exécutif de l’Organisation de Libération de la Palestine, affirme que les Palestiniens ne céderont pas au chantage de Trump qui ose les accuser des conséquences de ses actes irresponsables. Faisant référence à la décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. En 2016, les Etats-Unis ont versé 319 millions de dollars d’aide aux Palestiniens via leur agence de développement, plus 304 millions donnés au programme de l’ONU dans les territoires palestiniens.
reportage a voir sur oumma.com.
Algérie : l’abandon subi par des femmes atteintes d’un cancer du sein de la part de leur mari.
Comme si l’épreuve du cancer du sein n’était pas suffisamment traumatisante, le rejet dont sont victimes des centaines de femmes algériennes, frappées durement par la maladie, de la part de leur époux est une source supplémentaire d’accablement, les laissant seules, humiliées et désemparées au moment où elles auraient le plus besoin d’être entourées.
Profondément douloureux, ce phénomène de l’abandon par des conjoints dénués de la moindre empathie à l’égard de leur moitié meurtrie dans leur chair et leur âme, reniant sans l’ombre d’une hésitation les grands principes islamiques de respect, de soutien et assistance que se doivent mutuellement les époux, prend une ampleur aussi inquiétante qu’affligeante en Algérie.
« Des centaines d’Algériennes sont abandonnées par leur mari après un cancer du sein », se désole Samia Gasmi, présidente de l’association Nour doha qui vient en aide aux hommes et aux femmes atteints du mal du siècle. « Elles sont rejetées au moment où elles doivent affronter le traumatisme de l’opération et de lourds traitements, certaines sombrent même dans la dépression. D’autres encore se retrouvent dans des centres d’accueil car elles n’ont nulle part où aller », précise-t-elle sur un ton indigné.
Alors que le sentiment de honte s’ajoute à l’angoisse de subir une ablation du sein, une chimiothérapie pénible, entraînant une perte de cheveux inéluctable, qui sont vécues comme une défiguration de leur féminité, ces épouses sont abandonnées à leur triste sort par des hommes lâches et méprisables, à la consternation de Kamel Chekkat, membre de l’association des oulémas d’Algérie.
Pour ce théologien, de tels comportements indignes ne sont aucunement liés à l’islam mais plutôt à l’éducation. « Ce n’est pas un problème de religion mais d’éducation. La religion exhorte les époux à se soutenir mutuellement, et dans l’islam, l’homme honorable honore sa femme et l’homme vil l’humilie », souligne-t-il.
De son côté, Yamina Rahou, sociologue au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, éclaire l’irrépressible sentiment de honte ressentie par des femmes déjà passablement éprouvées, à la lumière de « la souffrance d’être amputée d’une partie (du corps) qui symbolise la féminité », et par conséquent, de « ne plus être en conformité avec l’image de la femme ».
Parmi les témoignages recueillis par Samia Gasmi, le cas de Saïda, une femme médecin aujourd’hui âgée de 55 ans, dont le mari s’est empressé de demander le divorce, la garde de leur enfant et de vider le compte en banque, alors même qu’elle était alitée sur son lit d’hôpital, fait partie des plus tristement édifiants.
« Chassée de chez elle, elle avait dû “prendre une chambre d’hôtel”. “J’étais à bout”, se souvient-elle. Elle a fini par récupérer son enfant mais, 15 ans après, se dit toujours “détruite” par l’attitude de son ex-mari. “On s’était connus à la fac, nous avions fait un mariage d’amour; il participait même aux manifs pour les droits des femmes, mais n’a pas hésité une seconde à me jeter comme de la merde! ». (source site le360).
Ou quand le cancer, ce mal qui ronge de l’intérieur et à l’extérieur, la société environnante, s’avère être non seulement une souffrance, mais brise aussi bien des illusions, de l’autre côté de la rive méditerranéenne.
Palestine : Manifestation jeudi pour la libération d’Ahed Tamimi et de tous les enfants palestiniens emprisonnés !
Nous vous appelons à vous joindre le plus nombreux possible à une manifestation ce jeudi 4 janvier, à partir de 17 H 30, pour la libération d’Ahed Tamimi, de sa mère, de sa cousine et de tous les enfants emprisonnés par l’occupant israélien.
Chères amies, Chers amis,
L’année 2018, que nous vous souhaitons à toutes et à tous la meilleure possible, commence sous le signe de la résistance. Cette résistance extraordinaire des Palestiniens, y compris très jeunes, qui sont déterminés à défendre leurs droits, comme la jeune Ahed Tamimi, sa famille, mais aussi tous les autres qui risquent leurs vies quotidiennement parce que ni Netanyahou, ni Trump ne peuvent les faire taire.
A leurs manifestations pacifiques, l’occupant israélien répond par toujours plus de terreur, de colonisation, de démolitions de maisons palestiniennes et d’emprisonnement d’enfants. Ces derniers sont plus de 700 à être incarcérés, en toute illégalité dans les geôles de l’occupant.
L’armée israélienne a carte blanche pour tuer, et ne cherche même plus à justifier ses crimes les plus odieux, comme celui d’Ibrahim Abu Thuriya, amputé des deux jambes suite aux bombardements israéliens de 2008-2009, et assassiné le 15 décembre dernier tandis qu’il manifestait à Gaza.
C’est le même jour, que cette même armée a quasiment laissé pour mort le petit cousin d’Ahed, Mohamed Tamimi, lui logeant une balle dans la tête lors d’une manifestation contre les déclarations de Trump. C’est au même moment qu’Ahed Tamimi, 16 ans, a tenté de repousser les soldats qui occupent en permanence sa maison et son village de Nabi Saleh.
La vidéo de sa résistance ayant fait le tour du monde, Israel veut se venger, la maintenant en détention dans des conditions éprouvantes, ainsi que sa mère et sa cousine. Netanyahou prépare contre elles un procès destiné à faire « un exemple », qui doit se dérouler le 8 janvier devant un tribunal militaire.
Les dirigeants israéliens, qui ont appelé à la marquer dans sa chair, à violer Ahed —pour avoir porté atteinte à la « virilité » de leur armée—, doivent savoir que la jeune fille et sa famille ne sont pas isolés, pas plus que les milliers d’enfants palestiniens constamment persécutés, kidnappés, torturés par l’occupant israélien.
La pétition en français lancée sur le site d’Avaaz a dépassé les 250.000 signatures en moins quelques jours seulement. Et nous vous invitons à continuer de la signer et faire signer : https://secure.avaaz.org/campaign/fr/free_ahed_mor_fb1/ .
Mais cela ne suffit pas ! Nous devons manifester dans toutes les villes de France, comme c’est le cas dans le reste du monde pour la libération d’Ahed, de sa famille, et celle des centaines d’enfants palestiniens emprisonnés.
A PARIS, ET AVEC DE NOMBREUSES AUTRES ASSOCIATIONS,
NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS :
CE JEUDI 4 JANVIER, À PARTIR DE 17 H 30.
A LA PLACE DU CHÂTELET, POUR DÉFILER JUSQU’À LA PLACE DE LA RÉPUBLIQUE.
NOUS COMPTONS SUR VOTRE PRÉSENCE MASSIVE !
Premiers signataires : CAPJPO-EuroPalestine, Enfants de Palestine, Droits Devant !! Association Femmes Plurielles, ISM France, Nanterre Palestine, Avec Naplouse, One Justice, Campagne européenne contre le blocus de Gaza, Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, Les Désobéissants, le Collectif Ni Guerre ni Etat de Guerre, Comité Israël Palestine Chateaubriant…

Sur Mizane.info, voici les titres.

Palestine : Manifestation à Paris jeudi 4 janvier pour la libération d’Ahed Tamimi et des enfants palestiniens.
Une manifestation se déroulera ce jeudi 4 janvier 2018 à Paris Place du Châtelet à 17h30 jusqu’à la Place de la République pour réclamer la libération immédiate d’Ahed Tamimi et des enfants palestiniens emprisonnés par le pouvoir israélien et ceci en violation de toutes les conventions internationales de protection de l’enfance. Un communiqué signé par plusieurs associations et publié sur le site Europalestine.
« Chères amies, Chers amis,
L’année 2018, que nous vous souhaitons à toutes et à tous la meilleure possible, commence sous le signe de la résistance. Cette résistance extraordinaire des Palestiniens, y compris très jeunes, qui sont déterminés à défendre leurs droits, comme la jeune Ahed Tamimi, sa famille, mais aussi tous les autres qui risquent leurs vies quotidiennement parce que ni Netanyahou, ni Trump ne peuvent les faire taire.
A leurs manifestations pacifiques, l’occupant israélien répond par toujours plus de terreur, de colonisation, de démolitions de maisons palestiniennes et d’emprisonnement d’enfants. Ces derniers sont plus de 700 à être incarcérés, en toute illégalité dans les geôles de l’occupant.
L’armée israélienne a carte blanche pour tuer, et ne cherche même plus à justifier ses crimes les plus odieux, comme celui d’Ibrahim Abu Thuriya, amputé des deux jambes suite aux bombardements israéliens de 2008-2009, et assassiné le 15 décembre dernier tandis qu’il manifestait à Gaza.
C’est le même jour, que cette même armée a quasiment laissé pour mort le petit cousin d’Ahed, Mohamed Tamimi, lui logeant une balle dans la tête lors d’une manifestation contre les déclarations de Trump. C’est au même moment qu’Ahed Tamimi, 16 ans, a tenté de repousser les soldats qui occupent en permanence sa maison et son village de Nabi Saleh.
La vidéo de sa résistance ayant fait le tour du monde, Israel veut se venger, la maintenant en détention dans des conditions éprouvantes, ainsi que sa mère et sa cousine. Netanyahou prépare contre elles un procès destiné à faire « un exemple », qui doit se dérouler le 8 janvier devant un tribunal militaire.
Les dirigeants israéliens, qui ont appelé à la marquer dans sa chair, à violer Ahed —pour avoir porté atteinte à la « virilité » de leur armée—, doivent savoir que la jeune fille et sa famille ne sont pas isolés, pas plus que les milliers d’enfants palestiniens constamment persécutés, kidnappés, torturés par l’occupant israélien.
La pétition en français lancée sur le site d’Avaaz a dépassé les 250.000 signatures en moins quelques jours seulement. Et nous vous invitons à continuer de la signer et faire signer : https://secure.avaaz.org/campaign/fr/free_ahed_mor_fb1/ .
Mais cela ne suffit pas ! Nous devons manifester dans toutes les villes de France, comme c’est le cas dans le reste du monde pour la libération d’Ahed, de sa famille, et celle des centaines d’enfants palestiniens emprisonnés.
A PARIS, ET AVEC DE NOMBREUSES AUTRES ASSOCIATIONS,
NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS :
CE JEUDI 4 JANVIER, À PARTIR DE 17 H 30.
A LA PLACE DU CHÂTELET, POUR DÉFILER JUSQU’À LA PLACE DE LA RÉPUBLIQUE.
NOUS COMPTONS SUR VOTRE PRÉSENCE MASSIVE !
Premiers signataires : CAPJPO-EuroPalestine, Enfants de Palestine, Droits Devant !! Association Femmes Plurielles, ISM France, Nanterre Palestine, Avec Naplouse, One Justice, Campagne européenne contre le blocus de Gaza, Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, Les Désobéissants, le Collectif Ni Guerre ni Etat de Guerre, Comité Israël Palestine Chateaubriant…
Notre solidarité avec la résistance héroïque du peuple palestinien est notre seule planche de salut contre la barbarie. Car ce qui s’expérimente sous nos yeux, c’est la possibilité de venir à bout des résistances, de toutes les résistances.
Saluons par la même occasion, la résistance des jeunes refuzniks israéliens qui passent des mois en prison pour refus d’être incorporés dans une armée d’occupation, et les 63 lycéens israéliens qui ont publié jeudi dernier dans le quotidien Yedioth Ahronoth une lettre ouverte annonçant qu’ils refuseront de servir « dans une armée aux ordres d’un gouvernement raciste qui viole les droits humains élémentaires .« Nous avons décidé de ne pas participer à l’occupation et à l’oppression du peuple palestinien », ont-ils averti le gouvernement israélien.
Nous vous souhaitons une très bonne année BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) et toute la santé et l’énergie qui vont avec !
Amicalement ».
CAPJPO-EuroPalestine.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, voici les titres, rien de neuf.

Palestine : Pas moins de douze chefs d’inculpation retenus contre l’enfant A’Hed Tamimi : Injustice sioniste en marche…
Arrêtée mi-décembre dernier, A’hed Tamimi est devenue pour les Palestiniens une icône de la lutte contre l’occupation israélienne. Cette enfant palestinienne âgée de 16 ans à peine, apparue dans une vidéo devenue virale en train de frapper des soldats israéliens en Cisjordanie occupée, a été inculpée par un tribunal militaire sioniste qui a prolongé sa garde à vue d’une semaine. Pas moins de douze chefs d’inculpation ont été retenus contre elle, ce qui dénote l’acharnement, la haine et la hargne de l’occupant sioniste. Selon son avocate, le tribunal militaire d’Ofer siégeant en Cisjordanie occupée a également retenu cinq chefs d’inculpation contre Nariman Tamimi, la mère d’Ahed Tamimi impliquée dans le même incident, et prolongé sa garde à vue jusqu’à lundi. Douze chefs d’inculpation ont été retenus contre A’hed. Ils concernent la confrontation survenue le 15 décembre dans le village de Nabi Saleh près de Ramallah et cinq autres incidents dans lesquels A’hed Tamimi a été impliquée l’an dernier. Selon un communiqué de l’armée, elle a été inculpée notamment pour » avoir agressé des forces de sécurité, lancé des pierres, avoir proféré des menaces, avoir participé à des émeutes « . La mère a aussi été inculpée pour sa participation à l’incident à Nabi Saleh, à d’autres confrontations avec des soldats et pour avoir utilisé » Facebook » en vue » d’inciter à commettre des attaques terroristes « . La garde à vue de la cousine d’A’hed, Nour Tamimi âgée de 20 ans, elle aussi protagoniste de la vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux et des médias doit, en revanche, prendre fin mardi après-midi et elle devrait être relâchée, si le procureur ne fait pas appel, après avoir versé une caution de 5.000 Shekels (1.400 dollars), a ajouté l’avocate. Le procureur militaire a demandé le maintien en détention jusqu’au procès de la mère et de la fille. Dans les images filmées avec un téléphone portable, on voit Nour Tamimi s’approcher avec sa cousine Ahed de deux soldats puis leur donner des coups de pied et de poing et des gifles, dans le village de Nabi Saleh. La famille d’Ahed Tamimi affirme que l’incident s’est déroulé dans la cour de leur maison. En 2012 déjà, la fillette s’était distinguée en brandissant le poing sous le nez de soldats israéliens, des images qui avaient fait le tour du monde et qui lui avaient valu d’être reçue par Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre turc. Son père Bassem, souvent à la tête de manifestations contre les colons israéliens, a été emprisonné plusieurs années par Israël. Déçus par l’absence de perspective de règlement de paix avec Israël et exaspérés par la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, les Palestiniens voient en elle une nouvelle héroïne. » Le président palestinien Mahmoud Abbas a appelé le père d’Ahed et salué l’engagement de la famille Tamimi dans la lutte contre l’occupation « , selon l’agence Wafa. Les yeux bleus comme sa fille A’hed, Bassem Tamimi est une figure de la lutte contre la colonisation israélienne et il connaît bien les tribunaux militaires. En effet, ce père de famille a déjà passé quatre ans en détention administrative, sans charges retenues contre lui. Il a transmis son militantisme à sa fille : » S’il y a occupation, alors il y a résistance. Ils nous ont pris notre liberté, ils nous ont pris la justice. Et la liberté ça n’a pas de prix « . Il soutient totalement le geste d’Ahed. » Je suis fier de ma fille. Elle a giflé l’occupation, le symbole de l’occupation « , Bassem Tamimi, père d’Ahed. À Nabi Saleh, le village des Tamimi en Cisjordanie, la captation des ressources en eau par la colonie voisine pousse la famille et les autres habitants à manifester toutes les semaines, caméra au poing, en 2009. » Notre vie à Nabi Saleh est très difficile, il suffit de voir combien de gens du village sont arrêtés « , explique Bissane Tamimi, la cousine d’A’hed et soeur de Nour, elle aussi arrêtée. Selon elle, la présence de cette colonie rend la vie impossible. » Tous les jours, nous avons l’armée devant chez nous. Ils viennent dans nos maisons, il n’y a aucune barrière entre nous et la colonie d’en face. On vit au beau milieu de l’occupation ! » Le tribunal doit décider le 8 janvier s’il suit les réquisitions du procureur.
A.M.
Détérioration du pouvoir d’achat des Algériens : La LADDH tire la sonnette d’alarme.
La ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme(LADDH) a exprimé sa profonde préoccupation face à la hausse croissante des prix à la consommation qui ont une relation vitale avec la vie quotidienne des citoyens, affirmant que le front social connait une période caractérisée par une anarchie sans précédent dans les prix des matières essentielles au début de la nouvelle année 2018. Dans ce contexte, M. Houari Kaddour, président de la ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme a affirmé que l’effondrement du pouvoir d’achat et les politiques populistes consacrées à la marginalisation et à l’appauvrissement et à l’exclusion imposée aux groupes défavorisés et peinant du peuple algérien qui peut provoquer une explosion imminente et poursuivre cette politique menace de catastrophe sociale en Algérie. Dans ce cadre, la LADDH a indiqué que la dégradation du pouvoir d’achat des grandes franges du peuple algérien est toujours en cours, en particulier avec le gouvernement algérien n’a pas proposé des solutions pour éviter la crise provoquée par l’effondrement du prix du pétrole qu’approuver augmente sur les biens de consommation, en tant que citoyens ont reçu un autre coup dur à la fin de Juillet, notamment dans la loi de finances complémentaire pour l’année 2015, suivant le décret n ° 15-01 en date du 23/07/2015 et notamment en ce qui concerne l’instauration sur la valeur ajoutée négative pour le consommateur. En outre, il s’est traduit par l’effondrement du dinar algérien d’une manière négative sur le citoyen et plus étrangement est en train de maudire la dévaluation du dinar pour le citoyen et à la grande bénédiction des commerçants, comme ils se hâtèrent d’augmenter les prix sur tous les produits, qu’ils soient locaux ou importés sous prétexte du déclin et l’effondrement du taux de change de dinar par rapport aux Devises en particulier le dollar et l’euro. À cette occasion , la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme a fait savoir que l’insistance obstinée du gouvernement et des lobbies du commerce de continuer à ternir le pouvoir d’achat de la majorité écrasante des citoyens est un projet d’incitation et de justification de la congestion sociale et de larges catégories de la société algérienne pour protester dans la rue, alors que les responsables , syndicats et les députés de la nation se préoccupaient de leurs propres affaires, ne se souciant pas des intérêts des travailleurs. Dans ce sens, la LADDH tire la sonnette d’alarme face à la détérioration du pouvoir d’achat des algériens, » nous somme déjà confrontes a un problème de survie et le front social algérien sera davantage agité dans les mois à venir, au point de risquer la rupture, les raisons de l’inflation reflètent les dysfonctionnements contenus dans la politique économique du gouvernement et surtout après l’adoption la loi finance 2018 et ses effets sur les conditions de vie du citoyens et particulièrement sur les couches les plus défavorisées » a conclu le communiqué. A travers cette situation catastrophique, il convient de mentionné que le front social sera agité fortement si le gouvernement n’intervient pas pour démolir la situation. Selon les chiffres d’année 2017 un total de 14 000 manifestants ont été enregistrés.
I.M.
Troubles en Iran : La main de l’étranger…
Au total, 21 personnes ont été tuées dont 16 manifestants depuis le début des manifestations qui ont débuté jeudi à Machhad, deuxième ville du pays (nordest). Neuf d’entre elles ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans plusieurs villes de la province d’Ispahan (centre). Ils étaient quelques centaines dans une seule ville jeudi et sont désormais des milliers dans tout le pays. En quatre jours, les manifestations ont pris en Iran une ampleur inédite depuis le mouvement de 2009 contre la réélection du président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad. Sur les réseaux sociaux, à commencer par Telegram, de très nombreuses vidéos circulent montrant des rassemblements à travers tout le pays, dans les petites comme dans les grandes villes, dans le centre comme dans la périphérie qui abrite les minorités ethniques. A Téhéran samedi, la police a dispersé des dizaines d’étudiants, selon l’AFP, devant les grilles de l’université. Dans le centre de la capitale, les forces de l’ordre, lourdement déployées, ont à plusieurs reprises dispersé la foule, lundi, sur l’avenue Enghelab, où les stations de métro demeurées ouvertes continuaient de déverser un flot de passants. Il était difficile de distinguer parmi eux les manifestants et de se faire une idée précise de leur nombre. Toutefois, au moins quelque 450 personnes ont été arrêtées depuis samedi à Téhéran, moins touchée que les petites villes iraniennes par l’actuel mouvement de protestation contre les difficultés économiques et le pouvoir, a indiqué mardi un responsable. Un enfant de 11 ans a été tué et son père blessé par des tirs de manifestants à Khomeinyshahr alors qu’ils passaient près d’un rassemblement, selon la même source. Un jeune membre des Gardiens de la révolution de l’armée d’élite iranienne a par ailleurs été tué et un autre blessé par des tirs de fusil de chasse à Kahriz Sang, selon les médias. Par ailleurs, la réaction du régime iranien à ce mouvement de protestation n’est pas différente par rapport aux des autres gouvernements autoritaires. Pour ce dernier et sans le reconnaitre implicitement, le gouvernement accuse la frange des ultraconservateurs qui s’opposent à la politique d’ouverture initiée par le président Rohani. Sur le terrain,la protestation n’est pas descendu d’un cran, elle s’est même radicalisée face à la répression qui s’est abattue sur les manifestations.D’ailleurs, les slogans les plus employés par les protestataires sont souvent dirigés contre la dictature du pays. Ce que les autorités craignent au-dessus de tous, c’est une insurrection qui vient toucher la capitale Téhéran. Le souvenir des manifestations violentes de 2009 est toujours vivace. Du reste, les autorités Iraniennes espèrent que les manifestations populaires qui sont toujours d’actualité dans le pays ne se transforment pas aux violences dont on ne peut prévoir les conséquences. Des vidéos mises en ligne sur les réseaux sociaux ont montré des centaines de personnes manifestant vendredi dans la ville sainte de Qom en scandant notamment « Mort au dictateur » ou encore « Libérez les prisonniers politiques ». Certains manifestants ont même scandé des slogans en faveur de la monarchie, renversée par la révolution islamique de 1979, alors que d’autres demandaient au pouvoir d’abandonner son soutien aux Palestiniens ou à d’autres mouvements alliés dans la région pour s’occuper du sort de la population. Sur les réseaux sociaux comme Telegram ou Instagram, largement utilisés en Iran, on peut voir des vidéos de manifestants dans les villes de Rasht (nord), Kermanshah (ouest), Hamedan (ouest) ou Qazvin (nord). L’Union européenne a dit lundi « espérer » que le droit de manifester sera « garanti » en Iran, théâtre depuis cinq jours de protestations parfois violentes. « Nous avons suivi les manifestations des citoyens iraniens au cours des derniers jours. Nous avons été en contact avec les autorités iraniennes et nous espérons que le droit à la manifestation pacifique et la liberté d’expression seront garantis, à la suite des déclarations publiques du président Rohani », a déclaré une porteparole de la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini dans un communiqué. « Nous continuerons à suivre les développements », a-telle ajouté. L’UE défend bec et ongles cet accord historique qui permet à ses yeux d’éviter une course à l’armement au Moyen-Orient.
Rabah Karali/Agences.
Le Mali adopte une loi similaire à la Charte pour la paix de Bouteflika : Quand Alger fait école…
A l’instar d’autres pays qui ont déjà pratiqué une démarche similaire, en référence, notamment, à la loi de « concorde civile » en Algérie, le Mali va se doter d’une loi sur l’ »entente nationale » prévoyant l’exonération de poursuites de « tous ceux impliqués dans une rébellion armée » et n’ayant « pas de sang sur les mains », a annoncé le président malien Ibrahim Boubacar Keita. Dans les faits, le président malien s’est inspiré de la Charte pour la paix de Bouteflika . Le « projet de loi sur l’entente nationale » qui va être lancé prévoiera « l’exonération de poursuites de tous ceux impliqués dans une rébellion armée, mais qui n’ont pas de sang sur les mains », a indiqué le président Keita, dans son message de fin d’année, relayé lundi par les médias maliens. Il prévoiera également « des mesures d’apaisement après l’accélération des procédures en cours et les réparations accordées aux victimes reconnues », ainsi qu’un « programme de réinsertion pour tous ceux qui déposeront les armes et s’engageront publiquement à renoncer à la violence », a-t-il affirmé. Pour « conforter la réconciliation nationale », a-t-il rappelé, ce document « propose des mesures spéciales de cessation de poursuite ou d’amnistie en faveur de certains acteurs de la rébellion armée de 2012 ». Dans son message, le président Keïta a dit s’inspirer de la « charte pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale » qui lui a été remise le 20 juin, deux ans après la signature à Bamako de l’accord de paix et de réconciliation entre le gouvernement malien et les mouvements politico-militaires, issu du processus d’Alger. Son message est intervenu peu après la désignation d’un nouveau gouvernement au Mali et le retour dans le pays de l’ancien président malien Amadou Amani Touré (2002- 2012) après cinq ans d’absence. Estimant qu’il n’existait pas de « solutions purement sécuritaires », M. Keïta, a appelé les Maliens à faire preuve « d’objectivité pour comprendre comment certains antagonismes ont prospéré jusqu’à mettre à mal des cohabitations multiséculaires ».
Rabah Karali.
Palestine : L’entité sioniste adopte une loi visant à compliquer le partage de Al-Qods : » Siyassette lihoude « .
Le Parlement sioniste a adopté hier un projet de loi visant à compliquer le passage sous souveraineté palestinienne de certaines zones de Al-Qods dans le cadre d’un futur accord de paix. Le texte, approuvé à 64 voix contre 51, balaie encore plus les espoirs d’une solution à deux Etats dans le conflit israélo-palestinien, moins d’un mois après la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Al-Qods comme capitale de l’entité sioniste. Proposée par une députée du parti nationaliste religieux Foyer juif, cette loi prévoit que toute cession aux Palestiniens de ce qu’Israël considère comme faisant partie de Al-Qods nécessitera un vote à la majorité des deux-tiers des députés. Elle permet également de modifier la définition « municipale » de Al- Qods, certains secteurs de la ville pouvant ainsi « être déclarés comme des entités séparées », selon un communiqué du Parlement. Israël occupe Al- Qods-Est et la Cisjordanie depuis la guerre de 1967. Il a ensuite annexé Al-Qods-Est, partie palestinienne de la ville. Cette annexion n’a jamais été reconnue par la communauté internationale. L’Etat hébreu considère l’ensemble de Al-Qods comme sa capitale tandis que les Palestiniens veulent faire de Al-Qods-Est la capitale de l’Etat auquel ils aspirent. La question de Al-Qods est un des problèmes les plus épineux du conflit israélo-palestinien. « Nous avons garanti l’unité de Al-Qods », a tweeté après le vote le ministre de l’Education Naftali Bennett, chef du Foyer juif. « Le mont des Oliviers, la Vieille ville et la cité de David resterons nôtres à jamais », a-t-il ajouté, faisant référence à des lieux situés dans la partie palestinienne de Al-Qods, dont le quartier de Silwan. Dov Khenin, un député de l’opposition, a estimé que cette nouvelle loi devrait être appelée « la loi pour empêcher la paix » et craint qu’elle ne provoque « un bain de sang ». Annoncée le 6 décembre, la décision de Donald Trump de reconnaître Al-Qods comme capitale d’Israël rompt avec des décennies de diplomatie américaine et internationale et continue à causer l’émoi dans les Territoires palestiniens.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

« Blackface » : le Cran en a assez, « cela ne peut plus durer ».
Après la photo d’un « blackface » d’Antoine Griezmann publiée sur Twitter, suivi de la « nuit des Noirs » à Dunkerque où des hommes se déguisent comme tels, c’est cette fois-ci l’affiche d’un festival réunionnais qui est montrée du doigt par le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran).
Sur cette affiche de la 8e édition du festival international du film fantastique « Même pas peur » (du 21 au 28 février prochain), on y voit deux femmes nues, peintes en noir, les lèvres teintées de rouge et portant des coiffures de paille.
Le blackface de trop pour le Cran, qui a demandé à l’organisation du festival de retirer le visuel. « Après la polémique sur Griezmann et sur le carnaval de Dunkerque, l’organisatrice ne peut guère plaider l’ignorance », écrit le conseil dans un communiqué.
Aurélia Mangin, l’organisatrice, se défend pourtant des accusations du Cran, notamment dans le fait d’être métisse. « Comme si le fait ‘d’être née d’une mère noire et d’un père blanc’ était une sorte de ‘joker’ donnant le droit de faire tout et n’importe quoi », lui a rétorqué le Cran.
« C’est la quinzième affaire de blackface en un an à peine ».
L’organisatrice du festival a fini par retirer l’affiche. Mais elle continue de plaider pour la visée artistique de ce visuel. Elle explique dans Libération que ses précédentes affiches représentaient aussi des femmes nues (le Cran lui reproche entre autres d’associer les Noirs à la nudité, symbole de sauvagerie) et que le noir était un choix purement esthétique.
Quant au Cran, il ne compte pas non plus en rester là, puisqu’il entend « demander des explications aux nombreux sponsors de ce festival » dont le ministère de la culture, Air France et Canal Plus, comme il l’indique dans son communiqué.
« C’est la quinzième affaire de blackface en un an à peine. Nous en avons assez, et nous demandons au gouvernement de faire voter une loi condamnant clairement le blackface. Cela ne peut plus durer », a fait savoir Louis-Georges Tin, président du Cran.
Iran : vent de révolte ou révolution ?
Depuis jeudi dernier, date de la première manifestation à Machhad dans le nord-est de l’Iran, les protestations s’amplifient et ont gagné plusieurs villes. Samedi des dizaines de milliers de personnes sont sortis dans les rues à travers le pays.
Selon un premier bilan, vingt et une personnes sont mortes et 400 personnes ont été arrêtées dont 200 à Téhéran.
Un mouvement important, mais bien loin des manifestations de 2009 contre la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad, soupçonné de fraude électorale. Cette fois-ci, ces manifestations spontanées sont sans mot d’ordre clair ni leader déterminé et seraient davantage portées par les classes populaires et les provinces que les classes aisées. Enfin, les contestations seraient surtout d’ordre économique que politique.
« Ils veulent une révolution iranienne, pas une révolution islamique », commente d’ailleurs pour la Croix Clément Therme, chercheur à l’institut international d’études stratégiques de Londres.
28 % des jeunes touchés par le chômage
En effet, depuis l’accord sur le nucléaire en juillet 2015 et la fin de sanctions économiques en 2016, la situation du pays s’est améliorée, mais pas aussi rapidement que les Iraniens l’espéraient. Si l’inflation est passée de 40 % à 10 %, 12,5 % de la population est encore au chômage, dont 28 % de jeunes selon les chiffres officiels. La croissance est repartie pour l’Iran, mais le développement de l’économie est toujours bloqué par des sanctions internationales qui n’ont été que partiellement levées.
A l’origine donc de ces manifestations, le coût de la vie, bien trop cher en Iran et un quotidien pesant pour les familles les plus pauvres. Les manifestants contestent entre autres le prix des oeufs et de la volaille, qui ont encore augmenté le mois dernier, atteignant une hausse de 50 %. Les manifestants, issus des classes populaires parlent d’ailleurs depuis dimanche de « révolution des oeufs ». Mais ils s’indignent aussi des annonces d’augmentation du prix de l’essence, et des nouvelles mesures réduisant les aides sociales des retraités.
Hassan Rohani, réélu en mai dernier pour un deuxième mandant, avait promis d’améliorer la situation économique du pays. Mais la politique d’austérité émanant du nouveau budget annuel présenté au Parlement le 10 décembre, n’a pas convaincue. D’autant que les subventions pour les fondations religieuses et les salaires des Gardiens de la révolution ont été augmentés.
« Notre économie a besoin d’une grande opération chirurgicale »
«Pas Gaza, pas le Liban, ma vie en Iran !» ont scandé des manifestants, pour protester contre le soutien, notamment financier, au Hezbollah mais aussi contre l’engagement financier et militaire en Syrie au côté de Bachar Al Assad. Les manifestants s’en sont pris à des bâtiments publics, attaquant aussi des centres religieux, des banques et des voitures de police.
Le président Hassan Rohani a réagi dimanche, rejetant « la violence et la destruction de biens publics ». Mais il a assuré que « la population était libre de critiquer le gouvernement et de manifester ». Lundi, il a également soutenu que le gouvernement ferait les efforts nécessaires pour « régler les problèmes de la population ». « Notre économie a besoin d’une grande opération chirurgicale », a t-il également admis. Dès samedi, le porte-parole du gouvernement, a d’ailleurs tenté de calmer la gronde en annonçant que le prix de l’essence n’augmenterait pas comme prévu le 21 mars 2018, date de la nouvelle année iranienne.
Les adversaires de l’Iran complices des manifestations selon les autorités.
Toutefois, le gouvernement a fini par durcir le ton envers les manifestants. Le ministre de l’intérieur, Abdolreza Rahmani-Fazli, a assuré dimanche que ceux qui « causaient la violence et la peur » seraient « écrasés ». L’accès aux réseaux sociaux Telegram et Instagram, utilisés pour appeler à manifester, ont également été restreints.
Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, a affirmé que « les hashtags et les messages à propos de la situation en Iran provenaient des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Arabie saoudite ».
Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, accuse lui aussi les détracteurs de l’Iran d’être à l’origine de ces manifestations. Aujourd’hui, il a assuré sur la télévision d’Etat que « les ennemis de l’Iran s’étaient unis en utilisant leurs moyens, leur argent, leurs armes (…) et leurs services de sécurité pour créer des problèmes au régime islamique ».
Le gouvernement iranien n’a entre autres, pas apprécié les récentes critiques de Donald Trump sur Twitter. «L’Iran échoue à tous les niveaux malgré le terrible accord signé avec eux par l’administration Obama», a posté le président américain. Il a également tweeté : «Le grand peuple iranien est réprimé depuis des années. Ils ont faim de nourriture et de liberté».
Ce à quoi Hassan Rohani a aussitôt répliqué : « Ce monsieur aux Etats-Unis qui veut montrer de la sympathie à l’égard du peuple iranien oublie qu’il l’a traité de terroriste il y a quelque mois. Il n’a pas le droit de compatir avec le peuple iranien. »
Une visite de Jean-Yves le Drian prévue vendredi à Téhéran.
D’autres pays s’inquiètent aussi pour le peuple iranien et craignent une nouvelle révolution. Le ministère turc des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que « le bon sens doit prévaloir pour empêcher toute escalade. » De son côté, l’Union européenne a dit « espérer » que le droit de manifester sera « garanti » en Iran, craignant les violences.
Le gouvernement français a quant à lui exprimé « sa préoccupation face au nombre important des victimes et des arrestations. » Une déclaration plutôt discrète, alors que la France tente de resserrer ses liens avec l’Iran. Vendredi, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian devrait d’ailleurs se rendre à Téhéran, afin de préparer la visite historique d’Emmanuel Macron, prévue probablement avant l’été 2018.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Badran: Il n’y a aucune justification pour désactiver le leadership de l’OLP
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Un membre du Bureau politique du Mouvement de résistance islamique (Hamas), chef du bureau des relations nationales, Hussam Badran a déclaré que les contacts avec le mouvement Fatah continuent de surmonter les obstacles devant la réconciliation palestinienne.
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Un enfant tué par les balles israéliennes au nord de Ramallah
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Hamas: Les menaces de Trump sont un chantage politique lâche
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Livni reconnaît l’échec de l’option de la force contre Gaza
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Les Palestiniens ne céderont pas au chantage de Trump sur l’aide financière américaine
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Gaza: Nouveau projet pour aider les malades et les handicapés
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L’Inde annule un énorme contrat d’armement avec Israël avant la visite de Netanyahu
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Des menaces américaines d’arrêter le financement de l’UNRWA pour mettre la pression sur l’AP
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Le Hamas dénonce la « grave erreur » commise par le Guatemala
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L’occupation condamne Jihene Hashima à 4 ans de prison
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Des Palestiniens kidnappés et des maisons saccagées à l’aube par les forces israéliennes
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Les soldats israéliens attaquent les fidèles palestiniens à Naplouse
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Les raids israéliens à al-Aqsa ont augmenté de 75%
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Alaa Hamoudha libre après 10 ans de prison
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Sauvez Israa !
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La Jordanie condamne la décision de la Knesset sur Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 16 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Palestine : Suite au vote de l’ONU concernant la décision de Trump sur Jérusalem, les USA appliquent des coupures budgétaires.
Alors que le président américain Trump a décidé de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste, contre l’avis de la communauté internationale, l’émissaire américaine, Nikki Haley, a annoncé une réduction de 285 millions de dollars du budget consacré à l’organisation des Nations Unies, qui perçoivent cet acte comme une sorte de chantage.
Ces coupes concernent les dépenses de voyages et de consultants, mais surtout la machine administrative de l’ONU. Ces réductions budgétaires ne toucheront pas seulement les emplois administratifs à Genève. En effet, le Conseil des droits de l’homme et le service du maintien de la paix devraient souffrir de cette baisse financière.
Nikki Haley, l’ambassadrice des Etats-Unis aux Nations Unies, a signifié sa colère devant le vote sans appel des autres membres, concernant la décision du président Trump.
En effet, l’Assemblée générale a approuvé une résolution condamnant la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël par 128 voix pour, 9 contre et 35 abstentions.
Outre l’annonce budgétaire américaine, elle a martelé avec force : « Nous n’accepterons plus qu’on tire profit de la générosité du peuple américain. […] Vous pouvez être certains que nous allons continuer à chercher des manières d’accroître l’efficience de l’ONU tout en protégeant nos intérêts. » Pour Haley, ce vote, qui fut précédé par un vote similaire (14 contre 1) au Conseil de sécurité, est « une insulte que l’Amérique n’oubliera pas ».
Ce vote des Nations Unies démontre d’un côté que la suprématie des Etats-Unis sur les autres pays est fortement affaiblie mais que malheureusement, le gouvernement Trump est prêt à toutes les vengeances pour apporter son soutien à l’entité sioniste.
islam : Le musulman ne doit pas reproduire deux fois les mêmes erreurs.
D’après Hazrat Abou Hourayra (radhiyallâhou ‘anhou), le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « Le croyant ne se fait pas piquer deux fois par le même repaire ». (Boukhari-Mouslim).
Par ce hadith, le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) souligne l’une des grandes qualités du croyant, celle d’être clairvoyant et perspicace.
Par cette image, il nous fait comprendre que celui qui se fait piquer une fois par un animal venimeux sorti de son trou, devra être suffisamment averti pour ne pas se faire piquer une deuxième fois dans les mêmes circonstances. Le croyant doit tirer des leçons après un échec ou un mal qui l’atteint, et s’il se fait avoir une fois, il devra rester prudent pour ne pas se faire avoir une seconde fois.
Car la foi, c’est aussi l’intelligence, la clairvoyance, la perspicacité et la prudence.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) nous dit : « Tous les fils d’Adam font des erreurs mais le meilleur d’entre eux est celui qui se repent ». [rapporté par al-Tirmidhi, no. 2499 et par Ibn Majah dans éd. Al Sunan].
Car Allah Soubhana wa ta’ala a dit : « Dis : “Ô mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah, car Allah pardonne tous les péchés. Oui c’est lui le Pardonneur, le Très-Miséricordieux” . » (sourate Les Groupes, verset 53).
Il faut pour cela se repentir sincèrement de ses péchés, car Allah pardonne tous les péchés à la condition de regretter ce que l’on a commis et de se résoudre à ne pas recommencer par vénération pour Allah soubhanou wa ta’ala.
En effet, les bonnes actions effacent les mauvaises ; Allah, gloire et pureté à Lui, a dit : « Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès . » (sourate La Lumière, verset 31).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Après la Turquie, une fatwa contre le Bitcoin par le grand mufti d’Egypte.
Alors que le Bitcoin s’échange en ce début d’année 2018 à 13 500 dollars (11 200 euros), le grand mufti d’Egypte, Shawki Allam, a statué lundi 1er janvier sur cette monnaie digitale, l’estimant non compatible avec les règles de l’économie islamique.
L’achat comme la vente de bitcoins comporte notamment trop des risques de « fraude » pour ce dignitaire religieux. Le mufti égyptien estime que cette cryptomonnaie pouvait faciliter le financement d’activités illégales comme le terrorisme, le bitcoin n’étant sous la surveillance d’aucune autorité centralisée. Un problème qui s’ajoute aux risques induits par la bulle spéculative formée autour du bitcoin. Preuve en est de la chute brutale de sa valeur courant décembre 2017. Après avoir frôlé la barre historique des 20 000 dollars (16 5000 euros), sa valeur a brusquement chuté en quelques jours de 25 % (11 000 dollars).
Avec l’explosion de la valeur du Bitcoin, la Turquie, au travers du Diyanet, le ministère turc des Affaires religieuses, avait émis une fatwa en novembre contre cette cryptomonnaie, estimant son évaluation trop « ouverte à la spéculation » et aux « activités illégales comme le blanchiment d’argent » du fait que l’Etat ne puisse contrôler le Bitcoin.
Les premiers échanges avec le bitcoin égyptien avaient été lancés en août 2017. Cependant, face à l’engouement généré par cette cryptomonnaie, les autorités ont décidé de contre-attaquer en vue de limiter les échanges dans le pays, qui n’ont pas été frappés d’une interdiction totale jusqu’à présent. L’Autorité égyptienne de surveillance financière (EFSA) a fait savoir en décembre que le commerce de bitcoin était « illégal ». Un point de vue aujourd’hui renforcé par l’avis religieux émis par le grand mufti.
Allemagne : une élue d’extrême droite visée par une plainte pour racisme de la police.
La police allemande a annoncé, lundi 1er janvier, avoir déposé plainte contre une élue de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), parti d’extrême droite, en l’accusant d’incitation à la haine après son message sur les réseaux sociaux visant la police lors du Nouvel An.
Beatrix von Storch a dénoncé le fait que la police de Cologne ait publié ses messages de prudence et d’information à la population locale en plusieurs langues dont l’arabe lors de la Saint-Sylvestre.
« Que diable se passe-t-il dans ce pays ? Pourquoi la police publie-t-elle désormais ses messages officiels en arabe ? S’adresse-t-elle par ce biais aux hordes d’hommes barbares, musulmans et violeurs pour chercher à les amadouer ? », a-t-elle écrit, faisant référence explicite aux agressions sexuelles dont avaient été victimes de nombreuses femmes à Cologne lors du Réveillon de la Saint-Sylvestre 2016.
Racisme et amalgames sont au rendez-vous de ce message immonde. Son post a été par la suite supprimé par Twitter et Facebook. Son compte a même été suspendu par Twitter durant 12 heures, estimant que l’élue a enfreint les règles d’utilisation de son réseau social.
USA : une mosquée paye l’amende d’un jeune condamné pour avoir vandalisé le lieu de culte.
Une remarquable histoire comme il en existe peu aujourd’hui nous vient des Etats-Unis. En fin d’année 2017, un homme a reçu l’aide inattendue des responsables d’une mosquée qu’il avait vandalisé un an plus tôt.
La mosquée Al Salam (Paix, en français) de Fort Smith, dans l’Arkansas, a en effet été dégradée en octobre 2016 avec de la peinture en bombe. Des inscriptions comme « Go home » (« Rentrez chez vous ») et des croix gammées avaient été retrouvées sur la façade de l’édifice religieux. L’homme derrière cet acte de vandalisme a été assisté d’un autre, prénommé Abraham Davis, qui avait bêtement accepté de conduire son ami d’antan sur les lieux, contait une contributrice au New York Times en août 2017. Ils ont tous deux été arrêtés plusieurs mois après les faits, grâce aux caméras de vidéosurveillance du lieu de culte.
Le jeune homme, tout juste âgé de 20 ans à l’époque, a rapidement regretté son geste : il risquait jusqu’à six ans de prison. Il a finalement été condamné à des travaux d’intérêt général ainsi qu’à une amende de 3 200 dollars (2 600 euros) à titre de dommages et intérêts.
Cependant, les responsables de la mosquée ont eu vent des difficultés financières que traversait Abraham Davis dont le travail à la station service ne paye pas assez. « Nous avons entendu qu’il avait des problèmes financiers », a déclaré le président de la mosquée Louay Nassri. « S’il ne payait pas son amende, c’est automatiquement six ans de prison… Nous ne voulions pas qu’il aille en prison pour six ans », a-t-il fait savoir auprès de la chaîne locale Kark.
Pardonner à celui qui demande pardon.
Alors avant l’arrivée de la nouvelle année 2018, Louay Nassri a décidé de signer un chèque de 1 700 dollars (1 400 euros) afin d’aider Abraham Davis à payer son amende et ainsi de solder sa dette. Le chèque a été remis par le directeur des affaires sociales de la mosquée au palais de justice.
Pour expliquer ce beau geste de générosité, le président de la mosquée, fidèle au nom que porte son lieu de culte, a fait savoir que l’acte de l’individu condamné, aussi mauvais soit-il, « ne doit pas peser sur lui le reste de sa vie », d’autant qu’Abraham Davis avait présenté ses excuses aux responsables et aux fidèles de la mosquée.
L’argent qui a été donné devait initialement servir à des travaux de rénovation de la mosquée. Mais « comme je lui ai dit, nous voulons qu’il ait un meilleur avenir », précise Louay Nassri. « Nous avons pensé que c’était la bonne chose à faire. (…) Nous n’avions jamais pensé que ce pardon deviendrait une histoire internationale », fait-il part face à la médiatisation de son geste. Un bel acte de miséricorde accompli pendant la période de Noël auquel ne s’attendait surement pas Abraham Davis et sa famille dont les liens avec la mosquée sont plus que jamais solides.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Mesure punitive contre Salah Hamouri !
Dimanche 31 décembre au matin, l’administration pénitentiaire a informé Salah Hamouri de son transfert immédiat de la prison du Néguev (Qeziot) vers celle de Meggido située au sud-est d’Haïfa. Après avoir passé une nuit dans la prison de Ramleh, il est arrivé le 1er janvier à la prison de Meggido, de sinistre réputation.
Une de ses avocates a pu le rencontrer ce mardi 2 janvier. Il va bien et garde le moral, malgré ce transfert pénible ainsi que des conditions de détention encore plus spartiates à Meggido que dans le Néguev.
L’administration pénitentiaire lui a indiqué avoir pris cette décision en guise de mesure punitive suite à l’interview donnée par Salah Hamouri à l’Humanité via l’intermédiaire de ses avocats.
Assez de cet acharnement et de cet arbitraire sans fin que rien ne justifie, sauf des raisons qui sont uniquement politiques ! La justice est foulée aux pieds. La France doit décupler ses efforts concrets pour que notre concitoyen soit rapidement libéré ! Les paroles ne suffisent pas, c’est évident.
Cela fait 133 jours que Salah Hamouri subit dans sa vie une nouvelle fois l’arbitraire, et est l’objet d’un nouvel acharnement.
133 jours qu’il est incarcéré et à travers lui, c’est l’honneur de la diplomatie française qui est également touché !
Le Comité de soutien à Salah Hamouri.
Ecrivez à Salah !
Timbre à 1,30e, ne pas mettre son adresse au verso de l’enveloppe.
Salah Hamouri / Megiddo Prison / Megiddo / P.O. Box 2424 / Palestine.
Russie : Aina Gamzatova, la première candidate musulmane à se lancer dans la course à la présidentielle en Russie.
Depuis son Daghestan natal, Aina Gamzatova, 46 ans, une célèbre journaliste musulmane, cristallise bien des espoirs depuis qu’elle a annoncé son intention de se lancer dans la course à l’élection suprême en mars 2018, prête à se mesurer à l’impressionnant et indétrônable maître du Kremlin : Vladimir Poutine.
Eminente personnalité de cette République russe fédérée, terre d’islam puisque ses préceptes y sont majoritaires, sa décision de se jeter dans le grand bain bouillonnant de la politique, en sa qualité de première candidate musulmane à partir à la conquête des urnes lors de la prochaine présidentielle en Russie, conforte son statut de pionnière aux yeux admiratifs de ses coreligionnaires.
Ayant plusieurs cordes à son arc et l’humanitaire chevillé au coeur, l’épouse du Mufti du Daghestan, Akhmad Abdulaev, préside aux destinées de Islam.ru – le plus grand holding médiatique musulman du pays, composé d’une chaîne de télévision, d’une radio et d’un groupe de presse – tout en s’affirmant comme une auteure prolifique sur l’islam et la directrice bienveillante de plusieurs associations caritatives.
Si l’annonce de sa candidature a fait sensation, à quelques encablures d’un scrutin national sans grand suspense qui semble d’ores et déjà acquis au président russe sortant, elle a surtout le mérite de combler d’aise ses concitoyens du Daghestan qui, loin de croire en son improbable victoire, sont toutefois convaincus qu’elle contribuera à améliorer la visibilité de leur communauté. Il est à noter que l’islam est la deuxième religion en Russie, après le christianisme orthodoxe.
Parmi les axes forts de son programme, l’outsider Aina Gamzatova est résolue à éradiquer le terrorisme aveugle, sans foi ni loi et quel que soit l’étendard dans lequel il se drape pour revendiquer ses crimes, restant à jamais marquée par l’attaque sanglante qui coûta la vie à son premier mari, le dirigeant musulman Said Muhammad Abubakarov.
« Même si elle perd, les gens réaliseront, grâce à elle, qu’une femme revêtue d’un hijab n’est pas seulement une mère ou une femme soumise, mais qu’elle est aussi une personne éduquée, compétente, sage et très respectée », a écrit sur Instagram Gaidarbek Gaidarbekov, l’ancien champion olympique de boxe et ministre adjoint des sports du Daghestan, l’un de ses plus fervents soutiens dans son combat politique titanesque.
Chantre de l’unité nationale et de la tolérance religieuse, Aina Gamzatova est parfaitement consciente qu’elle ne pourra pas rivaliser avec le tout-puissant Vladimir Poutine, assis sur un trône dont il sera difficile de le faire choir, alors que se profile à l’horizon la perspective extraordinairement stimulante d’un 4ème mandat long de six ans.
Bien mieux qu’un OVNI de la présidentielle russe de 2018, la première candidate voilée, qui s’autorise à rêver d’un grand destin, espère conquérir les cœurs de ses concitoyens de confession musulmane et faire un carton plein dans son fief, le Daghestan, afin de devenir une femme politique avec laquelle il faudra désormais compter en Russie.
Palestine : 12 chefs d’inculpation requis contre Ahed Tamimi par la machine israélienne à broyer les Palestiniens.
Les traits marqués par ses douze jours de détention passés dans des cellules sombres et glaciales, isolée du reste du monde et soumise à la question par ses tortionnaires israéliens, sans l’assistance d’un avocat ou d’un parent proche, Ahed Tamimi a toutefois trouvé la force d’esquisser des sourires en pénétrant hier matin, lundi 1er janvier, menottées et les fers aux pieds, dans le tribunal militaire d’Ofer, en Cisjordanie.
Mise en branle depuis la fameuse gifle cinglante administrée, le 15 décembre, à l’un de ses soldats, et à travers lui à une colonisation illégale, forcenée et implacable, l’infernale machine judiciaire d’Israël, qui s’acharne à broyer les vies des Palestiniens, était armée de son glaive pour sceller le sort de l’icône de la résistance palestinienne.
Pas moins de 12 chefs d’inculpation ont été requis contre la jeune Ahed Tamimi (agression, menaces, perturbation du travail des militaires…, certains faits reprochés remontant à plus d’un an sans avoir jamais suscité l’indignation du pouvoir ultra-sioniste), annonciateurs d’un verdict sans appel qui devrait tomber comme un couperet lundi 8 janvier.
Cette énième mascarade de procès, aux conséquences tragiques, a frappé très fort pour envoyer croupir en prison celle dont le martyr va asseoir la légende.
« C’est surprenant qu’elle ait été arrêtée pour une raison spécifique et les procureurs ont fait tout leur possible pour rajouter des chefs d’inculpation, parce qu’elle n’aurait pas dû être inculpée, arrêtée et détenue après cet incident du 15 décembre pour autant de temps. C’est sûr à 100% qu’ils essaient d’en faire un exemple. Mais ils font le contraire : ils en font un exemple de résistance”, a judicieusement pointé du doigt son avocate, Me Gaby Laski, dans une déclaration à la presse.
Pas épargnées non plus, Nour Tamimi, 21 ans, la cousine d’Ahed, a été inculpée « d’agression aggravée d’un soldat israélien et d’atteinte à des soldats » et condamnée au maintien en détention – avant jugement – pendant 100 jours, tandis que Nariman Tamimi, la maman de la jeune héroïne du village de Nabi Saleh, est maintenue sous les verrous, dans des geôles sordides.
Afin que s’amplifie la mobilisation en faveur de la libération d’Ahed Tamimi, des siens et des centaines d’enfants palestiniens privés de liberté, dont la jeune existence et les droits élémentaires sont piétinés avec une cruauté sans nom, il faut continuer de relayer largement la pétition lancée sur Aavaz qui a déjà dépassé la barre des 250 000 signatures en 48 heures.
Nous rediffusons également la vidéo que nous avons dédiée à Ahed Tamimi, extraordinaire de courage, de combativité et de force, symbole de l’enfance palestinienne sacrifiée sur l’autel de l’ultrasionisme, dans l’indifférence de la communauté internationale, à l’humanitarisme si sélectif.
reportage a voir sur oumma.com.
France : Objectif zéro voitures brûlées : à Aulnay, une brigade de mères patrouille pour le Nouvel An.
Dans la cité de l’Europe à Aulnay-sous-Bois, un collectif de mères, nommé «les femmes capables» ont arpenté les rues pour éviter les débordements du Nouvel An. Objectif : zéro voitures brûlées. Les reporters de RT France étaient sur le terrain.
reportage a voir sur oumma.com.
France : 11 vaccins obligatoires dès le 1er janvier : que dit la loi si vous refusez de faire vacciner votre enfant ?
A partir du 1er janvier 2018, 11 vaccins seront obligatoires pour les enfants. Quelles sont les sanctions prévues par la loi pour les parents qui refuseraient de faire vacciner leurs enfants? Réponse avec l’avocat Hosni Maati qui intervient dans l’émission “Les conseils des Docs” réalisée en partenariat avec A2S Avenir Santé Solidarité.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Palestine : Ahed Tamimi, nouvel emblème de la résistance palestinienne.
En retenant contre elle douze chefs d’inculpation, le tribunal militaire israélien a achevé de consacrer Ahed Tamimi, cette jeune Palestinienne de 17 ans, comme l’une des nouvelles figures de la contestation à la politique coloniale de l’Etat hébreu. Portrait.
Son visage n’est pas inconnu du grand public. Ahed Tamimi, une Palestinienne originaire du village de Nabi Saleh au nord de Ramallah, est née dans le creuset de la résistance palestinienne, celle que mène chaque jour ses habitants contre les forces d’occupation israéliennes. Pour se nourrir, s’abreuver, se déplacer, pour tout simplement vivre : les Palestiniens sont quotidiennement confrontés à l’hostilité et à la violence sous toutes ses formes (administrative, politique, policière, militaire) que leur impose le pouvoir colonial israélien. Une violence à laquelle ils font face et qu’ils tentent de dénoncer publiquement dans l’espoir qu’une prise de conscience internationale relaie leurs efforts et les soutiennent. C’est dans ce contexte difficile qu’Ahed Tamimi a grandi et avec elle, le combat de toute une jeunesse palestinienne qui n’a connu que l’occupation et l’humiliation israélienne.
« La résistance n’est pas un choix, c’est une responsabilité ».
Projetée au-devant de la scène palestinienne comme la nouvelle icône de la résistance, Ahed s’est confrontée très tôt aux soldats de l’armée sioniste. N’hésitant pas à braver le danger et le risque d’une réaction brutale, la petite Ahed humiliait déjà des militaires en poste devant son village dans des images qui ont fait le tour du monde. Selon son père, Bassem Tamimi, « Ahed n’a jamais voulu être une icône, mais la situation l’a amenée à le devenir. La résistance n’est pas un choix, c’est une responsabilité. »
L’homme sait de quoi il parle pour avoir « été arrêté près de 10 fois, (…) torturé et vu sa sœur Bassama être assassinée par une employée du tribunal militaire de Ramallah en 1993 » rappelle Paris Match. Pour autant, le père Tamimi ne s’est pas engagé militairement mais a investi avec son épouse Nariman la résistance civile pacifique contre l’occupant israélien. « La caméra fait partie de notre lutte, elle rétablit la vérité, explique au Monde Bassem Tamimi. La diffusion de nos films sur les réseaux sociaux permet de contrer les médias conventionnels qui fournissent une image biaisée de la situation ».
Récompensée par des prix, courtisée par les dirigeants politiques pour avoir su personnifié la résistance palestinienne, Ahed n’est pas dupe pour autant et n’hésites pas à tacler les grands de ce monde. Invitée par le président Erdogan pour avoir défier l’armée israélienne, la jeune femme lâchera ces mots : « Erdogan ne s’intéresse pas vraiment à notre cause. N’importe quel Palestinien vaut deux Erdogan car on se bat pour notre terre. Les leaders ne sont bons que pour les discours. »
Ahed Tamimi risque jusqu’à sept ans de prison.
Ayant le sens de la réparti, Ahed Tamimi a aussi celui de la formule. Interrogée par le juge de la cour martiale sur les raisons qui l’ont poussé à gifler un soldat israélien, elle répondra du tac au tac : « Enlevez-moi les menottes et je vous montrerai ». Mais cette fois, la jeune femme risque lourd : jusqu’à sept ans de prison pour douze chefs d’inculpation. Le communiqué officiel souligne que Ahed est jugée pour « avoir agressé des forces de sécurité, lancé des pierres, avoir proféré des menaces, avoir participé à des émeutes ». Le procureur a demandé le maintien en détention jusqu’au déroulement du procès. Les autorités pourraient vouloir faire payer cher à la courageuse Ahed l’humiliation publique des vidéos diffusées viralement sur les réseaux sociaux.
« D’après mon expérience, elle risque encore six à huit mois de prison » estime son père. Sur les réseaux sociaux, la jeune Palestinienne ne manque pas de soutien. Sa photo, l’évolution de son arrestation, toutes les informations la concernant et, bien sûr, ses vidéos, font le tour. Des pétitions demandant sa libération sont largement diffusées.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, voici les titres, rien de neuf.

Pénurie de plusieurs médicaments pour cancéreux : Le ministère de la Santé » confirme «.
Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a apporté des précisions conséquemment aux informations faisant état de ruptures dans les traitements destinés aux cancéreux, les rassurant sur la disponibilité actuelle ou prochaine de ces produits. Il s’agit de l’acide Ibandronique injectable (6 mg/6ml). Suite aux dernières informations, le ministère affirme que « depuis quelques années, l’avis d’appel d’offres pour ce produit des laboratoires Roche est systématiquement infructueux, d’où son remplacement par un équivalent (l’acide zoledronique) produit par la société algérienne Frater Razes et qui est actuellement disponible ». Quant au Crisantaspase (injectable 10 000 UI), un produit destiné au traitement de la leucémie, la même source fait savoir qu’il fait objet d’ »une tension mondiale » et que l’ »unique laboratoire le fabricant a procédé à son rationnement », rassurant, toutefois, les malades de « l’expédition d’une nouvelle quantité dès janvier 2018 ». Pour le Cytarabine (Inj 100 mg), le ministère précise avoir « procédé à son importation auprès d’un autre laboratoire que le fournisseur de la Pharmacie centrale des Hôpitaux (PCH), les laboratoires Pfizer en l’occurrence », et que « les premières quantités expédiées sont actuellement sous douane et devant assurer une moyenne de plus de 2 mois de couverture ». Le Dacarbazine (Injc 100 MG) est, quant à lui « disponible, grâce à un approvisionnement assuré par deux laboratoires internationaux », a-ton mentionné, tandis que le Melphalan (Comprimés 2 mg) « est en rupture, en raison de changement de titulaire, lequel a demandé une augmentation faramineuse de prix ayant entrainé un scandale à l’international ». Tout en assurant la « disponibilité » du Mesna (Inj), le ministère de la Santé informe les concernés que le Vincristine (Inj 1 mg) « est en rupture, car les laboratoires le produisant ayant fait état d’un problème d’ordre technique sur la ligne de production » et que la livraison est « décalée à février 2018 ». Le Vinblastine (Inj 10 mg) dont la « disponibilité » est assurée, pourrait constituer une « alternative thérapeutique », souligne la même source. S’agissant, en outre, du Lapatinib (250 mg comprimés), « son importation a été retardée par des contraintes administratives exogènes. Une quantité représentant 2,5 mois de stock est en cours de libération par le LNCPP. La prochaine expédition est prévue pour début janvier 2018 », selon le ministère, ajoutant que l’importation du Pazopanib (400 mg comp) a été « retardée par des contraintes administratives exogènes »et que la commande « est en instance de libération » par le Laboratoire national de Contrôle des Produits pharmaceutiques (LNCPP).
I.H
Retard dans la réalisation des logements : Temmar tape sur la table !.
Par Imen Medjek :
Après les protestations des bénéficiaires des logements dans la wilaya de Bouira, le ministre de l’Habitat de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a instruit avant-hier les différents responsables locaux du secteur d’établir un nouveau planning de travail avec des objectifs précis pour rattraper les retards accumulés dans la réalisation des projets de logements notamment de type public-locatif et LPA. Le même responsable a exprimé son mécontentement face au retard qu’enregistrent les chantiers de réalisation de logements LPL et LPA, dont certains projets ont été lancés depuis 2000, qui sont toujours en cours (de construction), il a insisté sur l’impératif -pour tous les responsables du secteur à Bouira comme pour ceux des autres wilayas du pays- de fournir de « nouveaux plannings de travail et tous les chiffres exacts nécessaires » pour pouvoir booster le rythme de réalisation et rattraper les retards qu’il a qualifié d’ »inacceptables ».
Hausses des prix : Bonjour les dégâts collatéraux.
C’est aujourd’hui, 1er janvier 2018, que les hausses des prix de grands produits de consommation vont se mettre en branle. Ces hausses qui iront en cascade devraient toucher les grandes familles de produits de large consommation, allant des denrées alimentaires aux transports, aux demi-produits et autres prestations de services. La loi de Finances 2018 consacre, dans son article 33, la hausse des prix des carburants, validée par l’Autorité de régulation des hydrocarbures (ARH) dans sa décision n°76 du 25 décembre. A partir du moment où les prix à la pompe des carburants augmentent, tous les autres produits devront connaître des hausses, plus ou moins importantes, à l’exception des produits subventionnés.
Bouteflika réaffirme à Mahmoud Abbas le soutien indéfectible de l’Algérie au peuple palestinien : Le serment d’Alger.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message de voeux au président de l’Etat de Palestine, Mahmoud Abbas, président du comité exécutif de l’Organisation de la libération de la Palestine (OLP), à l’occasion du 53e anniversaire du déclenchement de la révolution du 1er janvier dans lequel il a réaffirmé le soutien de l’Algérie à la cause palestinienne et sa solidarité avec le peuple et les dirigeants palestiniens. « Il m’est agréable au moment où le peuple palestinien célèbre le 53e anniversaire du déclenchement de la glorieuse révolution du 1er janvier, de vous adresser, au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel, nos voeux les meilleurs, priant Dieu Tout- Puissant de vous accorder santé et bien-être et de réaliser les aspirations de votre peuple à la liberté et l’indépendance », a écrit le président Bouteflika dans son message. « Je saisis cette occasion pour saluer vos efforts constants ainsi que le courage du peuple palestinien pour relever les défis et défendre ses symboles sacrés et ses droits nationaux », a ajouté le chef de l’Etat. Le Président Bouteflika a réaffirmé « le soutien de l’Algérie à la cause palestinienne ainsi que sa solidarité avec le peuple palestinien et ses dirigeants, jusqu’au recouvrement de ses droits légitimes et l’établissement de son Etat indépendant avec El Qods pour capitale », a conclu le président Bouteflika.
PRIVATISATION DU SECTEUR PUBLIC : Le niet du FLN.
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès a exprimé son rejet à la privatisation du secteur public. Evoquant, dans son discours, lors d’un meeting avec les élus de son parti à Souk Ahras, le SG DU FLN a considéré que le secteur public était » stratégique « , encourageant dans ce sens le partenariat dans le cadre des petites et moyennes entreprises. Concernant le dossier relatif au partenariat entre les secteurs public et privé étudié récemment lors de la tripartite (Gouvernement-Union générale des travailleurs algériens UGTA-patronat), Ould Abbès s’est montré ferme, indiquant : » non à la privatisation du secteur public « .
Le président du HCA l’a annoncé à partir de Timimoune : » Des documents officiels en tamazight bientôt émis « .
Le Secrétaire général du Haut-commissariat à l’Amazighité, M. Si El Hachemi Assad, a annoncé dimanche , à partir de Timimoune, que quatre ministères s’apprêtent à émettre des documents officiels incluant la langue amazighe. » Nous avons pris l’initiative pour que des universitaires et traducteurs soient mobilisés sur des projets concrets. Il s’agit de traductions dont le but est l’utilisation de tamazight dans les documents utilisés par les citoyens « , a déclaré M. Si El Hachemi Assad. Les ministères impliqués sont, selon le Secrétaire général du HCA, le ministère des Ressources en eau, le ministère de l’Énergie, le ministère des Transports et le ministère du Tourisme.
Tizi Ouzou : Sit-in de bénéficiaires de logements sociaux.
Par Roza Drik :
Les bénéficiaires de 2180 logements locatifs sociaux ont observé dimanche dernier, un sit-in devant le siège de la wilaya pour exiger leurs logements. Pour rappel la liste de bénéficiaires a été rendu publique en novembre 2016, et les bénéficiaires aujourd’hui s’impatientent d’occuper leurs logements où du moins » ils exigent une présaffectation où une affectation pour être tranquille et attendre encore s’il faut, mais rien n’est fait à ce jour, » ont-ils déploré. Une délégation a été reçue par le wali en présence du chef de daïra de Tizi Ouzou. Ce dernier rencontré en marge de la réunion, a tenu à rassurer les bénéficiaires que » les engagements pris seront respectés et les logements seront distribués progressivement « .
R.D.
Virée avec la gendarmerie nationale à Tipaza la soirée du réveillon : Un maillage sécuritaire plus que parfait….
Par Samia Acher :
En prévision de la soirée de la nouvelle année 2018 , le Commandement de la Gendarmerie Nationale a mobilisé les différentes unités, déployées sur le territoire national, suivant un dispositif sécuritaire dont l’objectif est de sécuriser les personnes et leurs biens, notamment dans les zones touristiques, les hôtels et les lieux de loisir, ainsi que les stations ferroviaires et de transport terrestre, qui connaitront un afflux important, à l’intérieur des villes ou à travers les wilayas. En effet ces mesures sécuritaires visent à garantira la fluidité de la circulation, le contrôle des axes routiers, particulièrement à l’entrée des agglomérations et leurs périphéries, par des opérations de prévention, axées sur la sensibilisation des usagers de la route quant à la nécessité de respecter les règles de la bonne conduite, afin d’éviter des accidents de la circulation pouvant entrainer la perte de vies humaines.
Tarif des transports : Les hausses confirmées.
Par Ferhat Zafane :
De nouvelles augmentations en matière de tarification des transports de voyageurs entreront en application à partir du 10 janvier 2018, a annoncé, samedi, le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane, ajoutant que celles- ci ne seront pas » excessives, mais symboliques « . Lors d’une rencontre avec les représentants des opérateurs des transports urbains et suburbains de voyageurs et des syndicats de taxieurs, M. Zaalane a assuré que ces augmentations » n’auront aucun impact sur le pouvoir d’achat du citoyen « , ajoutant qu’elles tiennent également compte des intérêts des transporteurs.
Montage de véhicules : La liste des entreprises sera révisée.
Par Amirouche El Hadi :
Annoncée il y a quelques jours, la liste des dix entreprises retenues pour le montage de véhicules de tourisme et camions fait déjà débat. Une liste qui pourrait être sujette à modification ou du moins à une révision à la hausse mais qui ne sera pas effective dans l’immédiat. Alors qu’il a été affirmé qu’il ne s’agit pas seulement d’un report mais d’une révision de la liste avec réexamen des dossiers jusque-là non retenus, et sur demande du ministre de l’Industrie et des Mines, le Premier ministre a ordonné cet ajournement sans fixer, pour le moment, un quelconque nouveau délai. Une décision attendue d’autant plus que la liste restrictive des entreprises a fait réagir beaucoup de marques automobiles qui se voyaient exclues du marché algérien au profit de patrons qu’on dit proches des cercles de décision. Ainsi, beaucoup de marques devront disparaître du paysage algérien, en premier, les chinoises, les indiennes et les iraniennes. Les marques américaines sont également concernées par le déclin du marché automobile et leur absence du projet des usines de montage ne fera qu’acter une »périclitation » déjà amorcée ces dernières années avec la restriction des quotas d’importation

Sur le muslim post.com, voici les titres.

France : Pour Le Figaro, l’Islam « est susceptible de menacer la République ».
Alexandre Devecchio a un problème avec l’Islam. Et il profite assez efficacement de la tribune qui lui est offerte par Le Figaro pour régler ses comptes avec la religion musulmane. Le journaliste du quotidien de Dassault, intervieweur officiel de Laurent Bouvet, cofondateur du Printemps Républicain, s’est laissé allé à quelques écarts lors de son papier il y a quelques jours.
Alexandre Devecchio pose en effet à Laurent Bouvet une étonnante question : « Aujourd’hui, c’est l’Islam, et aucune autre religion, qui est susceptible de menacer la République. Pourquoi ne pas le dire clairement plutôt que de continuer à ‘gifler sa grand-mère’ ? », demande-t-il.
Evidemment, Devecchio ne s’appuie sur aucun fait pour affirmer que l’Islam serait une menace pour la République. Même Laurent Bouvet, pourtant pas avare lorsqu’il s’agit de taper sur l’Islam, semble dérouté par la question du journaliste du Figaro. « Je ne suis pas certain que l’Islam en tant que religion menace la République », tempère-t-il.
Alexandre Devecchio est, lui, un habitué des sorties de route islamophobes. Après l’attentat de Londres, il avait écrit, avant de le supprimer, un tweet écœurant : « Le fait d’avoir élu un maire musulman ne protège malheureusement pas les Londoniens », expliquait le journaliste passé par Atlantico, où il était présenté comme « journaliste politique » mais où il n’avait écrit que des articles sur… le cinéma.
islam : Le grand mufti d’Egypte interdit le bitcoin et les cryptomonnaies.
Une fatwa émise par Shawki Allam interdit la possession ou l’échange de bitcoins en Egypte. Pour le grand mufti d’Egypte, plusieurs raisons poussent à se méfier de la célèbre monnaie virtuelle, notamment le fait qu’elle « faciliterait » le financement du terrorisme, selon economíaDigital.
Pour Shawki Allam, le caractère spéculatif du bitcoin et donc de toutes les cryptomonnaies serait également à l’origine de cette fatwa, qui assimile les monnaies virtuelles aux paris et aux jeux de hasard, interdits dans la loi islamique.
Mais le grand mufti semble ici essentiellement vouloir se placer dans la roue d’al-Sissi. Six mois après avoir émis une fatwa autorisant les Egyptiens à donner leur zakat à l’armée égyptienne, le responsable religieux tente de contenir l’engouement des populations pour le bitcoin au moment où son pays a lancé des mesures d’austérité et enregistre une inflation de 30 %.
Selon le communiqué du grand mufti d’Egypte, les cryptomonnaies présentent un « risque élevé » car elles peuvent causer des « dommages financiers directs » aux personnes et aux institutions qui les utilisent, mais aussi à la circulation des devises. En Egypte, le bitcoin n’a pas été interdit par la Banque centrale.
Marcus cumule la circonstance aggravante d’être noir en plus d’être militant.
Depuis la proclamation de l’état d’urgence, les pouvoirs supposément conçus pour lutter contre le terrorisme ont régulièrement été utilisés aux fins de répression des luttes sociales. En mars 2017, le collectif Luttes invisibles recensait déjà plus de 2 000 personnes arrêtées et poursuivies pour fait de grève ou manifestation au cours des 13 mois précédents. Quiconque ayant été impliqué·e dans le mouvement social ou dans des manifestations ces deux dernières années connaît forcément une ou plusieurs personnes dans cette situation. Même Amnesty International s’est fendu d’un rapport qui dénonce les excès de la force publique contre la liberté de réunion et le droit de circuler librement, et mettait en garde contre la spirale sécuritaire vertigineuse dans laquelle la France est en train de s’enfoncer. Ce fut naturellement sans effet, puisqu’après deux ans de dérives policières sous couvert d’un régime présenté comme « exceptionnel », la dernière loi « antiterroriste » a transposé la quasi-totalité des dispositions de l’état d’urgence dans le droit commun, non sans prétendre sortir de l’exception tout en faisant entrer celle-ci dans la norme. Nous voici donc censés être sortis de l’état d’urgence alors qu’émerge l’État policier.
Il semble qu’en conséquence il soit non seulement permis d’interdire des manifestations mais aussi d’envoyer des militants pacifiques en prison. D’abord vous vous voyez plaqué·e au sol par des policiers, et maintenu·e par une clé de bras si vous avez de la chance, sinon par une clé d’étranglement, puis vous êtes placé·e en garde-à-vue avant d’être déféré·e au tribunal pour une comparution immédiate ou convoqué·e ultérieurement si vous parvenez à vous y opposer. Vous aurez automatiquement contre vous une plainte des policiers pour outrage à agent, rébellion et violences, qu’importe que vous n’ayez rien fait, tandis que les vraies violences à votre égard ne seront à l’évidence pas reconnues. Dans le meilleur des cas, le procureur invoquera en guise d’excuse les conditions de travail difficile des policiers en période de menace terroriste et c’est au nom du même argument que votre volonté de manifester passera devant le juge pour une menace à la nation. En tout état de cause, il vous faudra répondre de violences sur agent, et par retournement de la charge de la preuve, ce sera à vous de prouver votre innocence. Inutile de préciser que si vous n’avez pas de preuve vidéo, de témoins solides et d’avocat expérimenté, vos chances sont quasi-nulles: « comment osez-vous réfuter la version policière ? »
En militant exercé et conscient, Marcus n’ignorerait pas ce danger en se rendant le 3 juin 2016 à une manifestation pourtant pacifique devant le siège du groupe Bolloré, mais il arrive un moment du rassemblement où la majorité des manifestants se sont éloignés en laissant un petit groupe seul derrière eux en discussions (très calmes) avec des actionnaires de Bolloré. Ce petit groupe isolé se retrouve rapidement encerclé par la police. Se faisant brutalement interrompre alors qu’il est en pleine conversation avec un actionnaire, Marcus fait remarquer qu’il veut juste finir sa conversation et l’actionnaire en question abonde en ce sens. Cette élémentaire remarque de savoir-vivre est malheureusement prise comme un outrage et très vite plusieurs policiers se dirigent sur Marcus et son interlocuteur. L’un d’eux frappe violemment Marcus au visage, manquant de lui faire tomber ses lunettes. Le petit groupe comprend à ce moment-là que les autres manifestants ont quitté les lieux et Marcus, qui avait laissé ses affaires, aperçoit au loin un militant qui est en train de partir. Désireux de récupérer son matériel, il part dans sa direction. Comme quatre policiers le suivent, Marcus s’arrête et les policiers lui disent qu’il est placé en garde-à-vue. Ne voulant pas être arrêté sans que personne ne le sache, Marcus part en courant pour essayer de rattraper le groupe principal, puis ne le voyant pas, il retourne vers la porte latérale où se trouvaient encore les 3-4 camarades « oubliés ». Là, plusieurs policiers lui sautent dessus, l’insultent, le gazent, cassent ses lunettes et son téléphone. Marcus est arrêté, et plaqué au sol à la limite de l’étouffement. Comme plusieurs policiers sont sur lui, leur chef vient les voir et leur dit «Allez-y doucement car là nous sommes à découvert».
« Un homme noir qui court est nécessairement un coupable ».
S’ensuivent 48 heures de garde-à-vue, un jour de dépôt, deux jours de prison, une perte d’emploi, puis un passage devant le juge et une condamnation à six mois de prison ferme, 1 100 euros de dommages et intérêts et 400 euros d’amende, pour outrage et rébellion et refus de signalétique et de prélèvement ADN.
La dureté de la peine est à l’image de la brutalité de l’arrestation, et l’une et l’autre ne peuvent être totalement indifférentes du fait que Marcus cumule la circonstance aggravante d’être noir en plus d’être militant, et bien que certains aient les plus grandes difficultés à l’admettre, il ne fait désormais aucun doute qu’au regard du couple police-justice en France, un homme noir qui court est nécessairement un coupable. En conséquence, le seul espoir d’obtenir justice pour Marcus face à une version policière sacralisée et jamais mise en doute, c’est de montrer qu’il est soutenu, de clamer sans relâche son innocence, et de ne jamais renoncer à faire connaître au plus grand nombre comment s’exerce la répression contre la liberté d’expression. Des affaires comme celle-ci sont légion par les temps qui courent, et face à leur multiplication, nous n’avons d’autre alternative que de leur opposer une solidarité déterminée et systématique.
Soyons nombreu·x·ses au procès en appel de Marcus, le 23 janvier 2018 à la cour d’appel de Versailles.
Faîtes un don pour aider à payer les frais de justice.
Partagez : #FreeMarcus.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, rien de neuf.

Aide internationale à la Palestine : il est temps de changer de cap.
La dépendance à l’aide à dépouillé les Palestiniens de toute capacité de résister au colonialisme, à l’apartheid et à l’oppression. Il est temps d’enterrer le modèle d’aide inefficace d’Oslo.
Par Alaa Tartir, vendredi 30 Décembre 2017.
Alors que l’administration étatsunienne intensifie ses menaces de couper les subventions à l’Autorité Palestinienne (AP), et que le Danemark et la Norvège semblent poser de plus en plus de conditions à l’obtention de leurs subventions, il est temps pour les responsables politiques de prendre les mesures nécessaires pour changer de cap et enterrer le modèle d’aide des Accords d’Oslo.
Ni le modèle d’aide des Accords d’Oslo, ni les milliards de financement injectés en Palestine n’ont rapproché les Palestiniens de leur liberté, de leur auto-détermination ou de leur état. Cela ne leur a pas non plus apporté un développement durable. C’est plutôt l’exact contraire.
La dépendance à l’aide.
Le flux d’aide pendant ces dernières décennies a eu pour conséquences d’enraciner la dépendance à l’aide et d’aggraver les déficiences et distorsions structurelles dans l’économie palestinienne, ce qui dépouille les Palestiniens de toute capacité à résister au colonialisme, à l’apartheid et à l’oppression.
Malgré l’échec apparent du système d’aide à apporter un changement significatif, positif et durable dans la vie des Palestiniens, les acteurs principaux de l’industrie de l’aide sont réticents à s’attaquer aux causes profondes, et la pensée conventionnelle de l’industrie de l’aide continue de faire loi.
Cette pensée conventionnelle est comme suit : les Etats-Unis décident, la Banque Mondiale dirige, l’Union Européenne paie, l’ONU alimente, et Israël détruit. Enterrer le modèle d’aide des Accords d’Oslo nécessite de créer une nouvelle équation, une formule dans laquelle les Palestiniens tiennent les reines et où la responsabilité, la transparence et l’efficacité sont au centre.
Dans le cas contraire, les milliards de subventions vont continuer de causer des dommages et de faire perdurer le nuisible statu quo qui nie les droits humains et les droits des Palestiniens.
Les principaux bénéficiaires.
Après un quart de siècle de dépendance excessive, il convient par conséquent d’observer certaines des tendances de l’aide et les preuves quantitatives existantes, comme mon collègue Jeremy Wildeman et moi-même l’avons fait dans un récent rapport (cliquez ici pour accéder au rapport entier).
Selon l’Organisation pour la Coopération Economique et le Développement (OCED), plus de 35 milliards de dollars de subventions ont été dépensés en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza entre 1993 et 2016.
Sur les 35 milliards de dollars, environ 24 milliards (70 pourcent de l’aide totale) furent versés entre 2006 et 2016, avec une moyenne de 2,2 milliards de dollars par an, et 560 dollars par personne par an. De tels chiffres classent les Palestiniens parmi les plus importants bénéficiaires au monde de l’aide non-militaire distribuée per capita.
Selon les données de l’OCED, les 12 principaux donneurs apportèrent, ces cinq dernières années, environ 89 pourcents de l’aide globale à la Palestine. Les 6 principaux donneurs sont les Etats-Unis, l’Union Européenne, l’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient), la Norvège, l’Allemagne et la Grande Bretagne. Ils fournirent 70 pourcents de l’aide totale.
Cependant, selon les rapports financiers du ministère des finances de l’AP, entre 2012 et 2016, l’AP reçu approximativement 4,481 milliards de dollars de subventions, dont 39 pourcents provenaient de donneurs arabes et 61 pourcents de donneurs non-arabes.
Selon les chiffres collectés au ministère des finances de l’AP, les quatre plus gros donneurs de l’AP étaient l’UE (981 millions de dollars), l’Arabie Saoudite (908 millions de dollars), les fonds transférés par la Banque Mondiale (872 millions de dollars) et les Etats-Unis (477 millions de dollars).
Les plus gros donneurs.
L’aide de l’UE, mise à part l’aide bilatérale engagée par ses états membres, totalisa 5,964 milliards d’euros de 2000 à 2015. Pendant cette période (2000-2015), 43 pourcents de l’aide des institutions de l’UE fut apportée comme soutien direct au budget de l’AP, 31 pourcents à l’UNRWA et 10 pourcents à l’aide humanitaire.
Selon l’UE, en plus de la Norvège, les cinq principaux donneurs bilatéraux européens à l’AP et aux Palestiniens entre 2012 et 2014 étaient l’Allemagne (378,9 millions de dollars), le Royaume Uni (314,6 millions de dollars), la France (195,5 millions de dollars), la Suède (195,4 million de dollars) et le Danemark (98,5 millions de dollars).
Pour ce qui est des trois pays (les Etats-Unis, le Danemark et la Norvège) menaçant d’utiliser la carte de l’aide internationale pour mettre davantage de pression sur les Palestiniens, c’est leur record.
Selon les statistiques de la NORAD (l’Agence Norvégienne pour le Développement de la Coopération), l’aide de la Norvège aux territoires palestiniens occupés (TPO) représente environ 77 millions de dollars en moyenne par an entre 2011 et 2016.
Près de la moitié de ces subventions furent allouées à l’AP comme appui direct à son budget, et 21 pourcents furent alloués au secteur de la bonne gouvernance. Environ 63 pourcents était gérés par des organisations multilatérales (principalement la Banque Mondiale), et 22 pourcents par des organisations non-gouvernementales norvégiennes (principalement le Norwegian Refugee Council, la Croix Rouge norvégienne et Norwegian People’s Aid).
Selon les statistiques de l’Agence Danoise pour le Développement International (DANAID), l’aide du Danemark aux TPO était d’environ 25 millions de dollars en moyenne par an entre 2012 et 2017.
La totalité de l’aide danoise aux TPO est en diminution depuis 2013, particulièrement en 2016, où seuls 5,5 millions de dollars furent versés. L’aide danoise est principalement transférée par la Banque Mondiale, l’UE et depuis quelques temps par des sociétés internationales de conseil.
Un soutien supplémentaire à Israël.
Enfin, l’assistance financière des Etats-Unis est fondamentalement et intrinsèquement problématique, et l’Agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID) agit comme bras droit de l’occupation coloniale israélienne, directement et indirectement.
D’un point de vue critique, on pourrait dire que le soutien américain aux Palestiniens est véritablement un soutien supplémentaire à Israël et à sa sécurité. Selon les données de l’Assistance Etrangère, l’aide des Etats-Unis aux Palestiniens entre 2012 et 2017 représente environ 1,8 milliards de dollars (alors que le montant prévu était de 2,3 milliards de dollars), avec une moyenne annuelle de 300 millions de dollars (la moyenne annuelle prévue était de 385 millions de dollars).
Indépendamment de la dimension quantitative de l’aide, les faits sur le terrain et les indicateurs socio-économiques mènent à une conclusion évidente : il est temps d’enterrer le modèle d’aide inefficace d’Oslo.
Un quart de siècle est suffisant pour tirer de nombreuses leçons mais l’une d’entre elles est particulièrement pertinente : l’aide internationale, quelle que soit sa quantité, ne sera jamais efficace si elle continue d’être injectée dans le cadre politique et économique biaisé et perverti des Accords d’Oslo.
Le développement en Palestine doit urgemment passé d’un modèle qui considère le développement comme une approche technocratique, apolitique et « neutre » à un modèle qui reconnait les structures du pouvoir, les relations de domination coloniale et réorganise les processus de développement comme liés à la lutte pour les droits, la résistance et l’émancipation.
– Dr Alaa Tartir est le directeur de programme d’Al-Shabaka : The Palestinian Policy Network et associé de recherche au Centre on Conflict, Development and Peacebuilding (CCDP) au Graduate Institute of International and Development Studies (IHEID) à Genève, en Suisse. Suivez Alaa Tartir sur Twitter @alaatartir et lisez ses publications sur www.alaatartir.com .
Traduction : Lauriane G. pour l’Agence Média Palestine.
Source : Middle East Eye.
Israël prolonge la détention d’Ahed Tamimi pour la troisième fois.
Un tribunal militaire israélien a prolongé hier la détention de la jeune Palestinienne, Ahed Tamimi et de sa mère, pour la troisième fois et pour cinq jours, selon le Centre D’information Palestinien.
Tamimi, qui habite Nabi Saleh en Cisjordanie occupée, a été arrêtée après qu’une vidéo les montrant elle et son cousin repoussant les forces d’occupation israéliennes hors de la propriété familiale ait fait le buzz sur les réseaux sociaux. Cela s’est produit un moment après que les forces d’occupation aient tiré dans la tête de son cousin avec des balles métalliques entourées de caoutchouc.
La mère de Tamimi, son père et son cousin ont été arrêtés à la suite de cette action. La libération de son cousin a aussi été annoncée hier, en attente du paiement d’une caution of $1,400 (1 200 €).
L’avocat général militaire a dit qu’il poursuivait Tamimi et sa mère en justice. Elles sont actuellement accusées « d’avoir attaqué un soldat, de nuire à la sécurité de la zone, de provocation et d’autre délits », d’après les documents du tribunal, bien qu’on s’attende à ce que leur implication dans des manifestations contre l’occupation soit aussi à charge contre elles.
Un avocat palestinien, Osama Al-Saadi, et un membre de la Knesset, Ahmed Al-Tibi, qui ont assisté à l’audience ont dit qu’Ahed et sa mère n’ont été arrêtés qu’après que la vidéo de leur manifestation ait fait le buzz, signe qu’Israël est surtout préoccupé de vengeance.
« Les Israéliens sont sortis de leurs gonds à cause d’une gifle au visage d’un soldat. Pour autant, aucun d’eux n’a porté son attention au crime perpétré par les forces de l’armée israélienne qui ont visé la tête de quelqu’un de la famille d’Ahed » ont ajouté l’avocat et le député.
Le cas de Tamimi fait l’objet d’une attention très développée des media et une campagne sur les réseaux sociaux #FreeAhed a été lancée pour la soutenir.
La semaine dernière, des dizaines de députés britanniques ont exprimé une forte préoccupation pour l’arrestation de Tamimi et ont signé une motion appelant à sa libération. Le Grand Imam d’Al-Azhar en Égypte, Sheikh Ahmad Al-Tayeb, a aussi dénoncé son arrestation et loué le courage de l’adolescente.
Traduction SF pour l’Agence Media Palestine.
Source: Middle East Monitor.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Abbas: La nouvelle loi sur Jérusalem est une déclaration de guerre aux Palestiniens
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Le président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud, Abbas a fermement dénoncé mardi la loi israélienne qui a été adoptée plus tôt dans la journée sur Jérusalem occupée, la qualifiant de déclaration de guerre aux Palestiniens.
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L’occupation menace de plus de violations contre deux villages à Ramallah
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Naplouse: l’occupation assiège des fidèles à Salem
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Affrontements avec l’occupation à Jayous
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Le Hamas appelle l’Autorité Palestinienne à prendre quatre mesures en réponse à l’adoption de la loi de Jérusalem
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Le Mouvement de résistance islamique (Hamas) a appelé l’Autorité palestinienne (AP) à prendre quatre mesures concrètes en réponse à l’adoption du projet de résolution israélienne de la Knesset désignant » Jérusalem unifiée » sous la souveraineté de l’occupation.
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La pénurie de médicaments force les hôpitaux de Gaza à suspendre les opérations chirurgicales
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La Knesset israélienne approuve la loi de Jérusalem unifiée
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Trump informe Israël du transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem cette année
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Abbas : l’annexion de la Cisjordanie est une agression brutale
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Naplouse : Des affrontements entre des manifestants palestiniens et les forces d’occupation
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Baher et Berri se mettent d’accord sur une action conjointe pour soutenir Jérusalem
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Ordres israéliens pour appliquer les lois de l’occupation en Cisjordanie occupée
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L’occupation mène des exercices militaires au sud de Jénine
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Plus de 12 palestiniens arrêtés dans des raids à l’aube en Cisjordanie
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Raid aérien israélien sur un site de la résistance palestinienne à Khan Younis
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Appels à la libération de la captive Israa Ja’bis
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Haniyeh salue le soutien du Venezuela envers la cause palestinienne
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Ahed et Nour Tamimi inculpées par l’occupant israélien
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Le Hamas condamne les propos insultants de Friedman sur les Palestiniens
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La visite de Mike Pence au Moyen-Orient reportée sine die
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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