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Flash info du 13 Joumada al Awwal 1439.

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AJIB.FRkatibin.frjournaldumusulman.frislametinfo.fr
saphirnews.comoumma.comdesdomesetdesminarets.frC P I, Centre Palestinien D'Information
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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Vidéo : la générosité des turcs vis-à-vis des réfugiés Syriens.
La Turquie a ouvert ses frontières à près de trois millions de réfugiés Syriens qui ont fui les affres de la guerre. Contrairement à l’Europe qui déplore l’afflux de migrants et ne cesse de multiplier les mesures de répression à leur égard, la Turquie est l’un des pays à accueillir le plus de réfugiés Syriens avec le Liban et la Jordanie.
Etrangement ces pays ne se plaignent pas, bien au contraire. Le gouvernement turc a installé des camps pour les migrants qu’il gère totalement, les réfugiés sont tous enregistrés et chacun reçoit une aide financière et une carte de paiement qui lui permet de faire des achats.
Des écoles et des centres de santé ont également été aménagés pour le bien-être des réfugiés. Plusieurs enfants de parents Syriens sont nés dans ces camps qui se sont transformés peu à peu en véritable foyer pour ces personnes qui ont tout perdu durant leur fuite. D’ailleurs, ils se sont intégrés à la population turque et ont fini par quitter les camps pour aller travailler dans les villes.
Une image qui contraste avec la vie des migrants en Europe qui sont quotidiennement chassés ou molestés par la police. Dans cette vidéo qui circule actuellement sur le net, on voit un policier turc acheter une paire de chaussures pour l’offrir à un réfugié Syrien.
Après s’être rendu compte que le Syrien, atteint d’un handicap, vivait dans la rue et portait pour seules chaussures, des claquettes en plein hiver, le fonctionnaire de police au grand cœur lui a offert une bonne paire de chaussures pour réchauffer ses pieds.
Son geste lui semblant encore insuffisant, il lui a aussi offert un repas qu’il a pris en sa compagnie.
Cette belle histoire se passe dans la ville de Sanliurfa au sud-est de la Turquie, elle met en évidence la générosité des musulmans qu’ils soient policiers ou simples citoyens.
reportage a voir sur Ajib.fr,.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Vidéos islamophobes : Donald Trump prêt à s’excuser mais ne le fait pas vraiment.
Donald Trump s’est dit prêt à présenter ses excuses pour ses retweets de vidéos islamophobes en novembre 2017, au cours d’une interview à la chaîne britannique ITV diffusée dimanche 28 janvier et enregistrée trois jours plus tôt en marge du Forum économique mondial de Davos.
Le président américain a assuré face à l’intervieweur Piers Morgan
qu’il ne connaissait pas Britain First, le parti d’extrême droite britannique dont Jayda Fransen, auteure des tweets, est la vice-présidente. Il va jusqu’à affirmer qu’il est « la personne la moins raciste que l’on puisse rencontrer ».
« Si vous me dites que ce sont des gens horribles, des gens racistes, je m’excuserai certainement si vous souhaitez que je le fasse », a déclaré le président américain. Des excuses formelles n’ont pas été faites pour autant lors de l’interview.
Il s’agit pour Donald Trump de sa première interview télévisée accordée à une chaîne étrangère. Piers Morgan, animateur de l’émission matinale Good Morning Britain depuis 2015, est aussi le gagnant de la saison 7 de l’émission américaine The Apprentice en 2008 présentée à l’époque par… Donald Trump.

Sur oumma.com, voici les titres.

La fille du prince Al-Walid ben Talal annonce la libération de son père sur Twitter.
C’est une princesse soulagée et laissant éclater sa joie qui a annoncé dimanche, sur Twitter, la libération de son père bien-aimé, à qui elle voue une admiration sans bornes : le richissime prince Al-Walid ben Talal, enfermé pendant trois mois dans une cage dorée, celle de l’hôtel Ritz Carlton de Riyad, sur ordre du tout-puissant Mohammed ben Salman, le grand réformateur et Monsieur propre saoudien.
Aucune fille ne pouvait être plus heureuse de la remise en liberté de son milliardaire de père, d’autant plus que ce dernier, accusé de corruption comme des dizaines d’autres éminents saoudiens et mis derrière les barreaux d’un palace où, d’ordinaire, tout n’est que luxe, calme et volupté, a été relâché « sans charges ».
« Tu as illuminé le monde, tu es mon monde », a écrit Reem bin Alwaleed en postant une photo montrant un Al-Walid ben Talal visiblement fatigué. Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que son tweet devienne viral et recueille un nombre impressionnant de « Al Hamdoulilah » sur les réseaux sociaux en plein émoi.
Pris dans les filets de la purge spectaculaire orchestrée, en novembre dernier, par MBS, l’omnipotent prince héritier du royaume wahhabite, le nabab saoudien avait déclaré, quelques heures avant sa libération, à Katie Paul, une correspondante de Reuters en Arabie saoudite, que cette vague d’arrestations dans les hautes sphères n’était qu’un « malentendu » le concernant.
« Soyez assurés qu’il s’agit d’une opération de transparence et que nous sommes en discussion avec le gouvernement sur diverses questions que je ne peux pas divulguer en ce moment. La fin de ce mauvais épisode est proche. Je suis très à l’aise parce que je suis dans mon pays, je suis dans ma ville, donc je me sens à la maison. Il n’y a pas de problème du tout », avait-il insisté.
En décembre dernier, le procureur général du Royaume, Saud al-Mojeb, indiquait pour sa part que « la plupart des détenus, confrontés à des accusations de corruption par le comité, ont accepté un accord. Les arrangements nécessaires sont en cours pour conclure de tels accords ».
Trois acteurs indiens musulmans ont boycotté la venue de Netanyahou à New Delhi.
Premier chef de gouvernement israélien à fouler le sol de l’Inde depuis 2003, Benyamin Netanyahou ne pouvait pas rêver plus belle escale sur le tapis rouge déroulé sous ses pieds et meilleur accueil de la part de son homologue indien, le très chaleureux Narendra Modi, visiblement conquis d’avance par son ami ultra-sioniste…
Riches en accolades cordiales, l’idylle israélo-indienne, ébauchée durant ces dernières années, s’est consolidée le 14 janvier dernier, à la faveur des accords signés sur le pétrole, le gaz, l’énergie renouvelable et la cybersécurité, sans oublier des engagements visant à stimuler le commerce bilatéral et l’investissement.
Depuis que le parti nationaliste hindou Bharatiya Janata a accédé au pouvoir en 2014, l’Inde s’est lancée dans un vaste programme de modernisation militaire d’une valeur de plus de 100 milliards de dollars dont Israël, son marchand de canons préféré, tire de larges profits. De quoi nouer de solides amitiés…
Le temps où New Delhi se rangeait du côté de l’injustice et de l’opprimé, en défendant inconditionnellement la cause palestinienne, semble désormais appartenir au passé, mais pas pour trois célèbres acteurs indiens de confession musulmane qui se sont chargés de jouer les trouble-fête en le faisant renaître de ses cendres.
Grands absents de la soirée de gala organisée par Bollywood, en l’honneur du criminel de guerre israélien et de son épouse, Shah Rukh Khan, Aamir Khan et Salman Khan ont boycotté les festivités de toutes les compromissions en solidarité avec le peuple palestinien.
Salués en héros sur les réseaux sociaux, ils n’étaient pas encore au bout de leur stupeur ou désillusion, lorsqu’il ont appris que leur Premier ministre, Narenda Modi, après avoir multiplié les ronds de jambe auprès de Netanyahou et été le premier dirigeant indien à se rendre en Israël en juillet dernier, est attendu avec impatience en Cisjordanie le 10 février prochain, dans le cadre d’une visite qualifiée « d’historique » par l’Autorité palestinienne.
« C’est le premier Premier ministre indien à visiter les territoires palestiniens et cela va être historique », s’est enthousiasmé Majdi Khaldi, un conseiller du président Mahmoud Abbas, qui se réjouit manifestement du vaste jeu dupes qui se trame dans la région…
Incroyable ! Trump l’affirme : “J’aime les musulmans et les musulmans m’aiment”.
Ne vous y trompez pas ! Quand l’incendiaire président des Etats-Unis livre à la vindicte les musulmans à toutes les tribunes, en fait des êtres indésirables sur le sol américain en paroles et en actes, et, avec l’inconséquence qui le caractérise, retweete frénétiquement trois vidéos islamophobes, hautement inflammables, postées par la furie Jayden Fransen, la vice-présidente de Britain First, le parti d’extrême droite britannique, il ne faut pas y voir la manifestation de son aversion pour l’islam ou pour la communauté musulmane. Non, pas du tout !
Il faut au contraire y déceler avec un regard perçant (un véritable œil de lynx…), et un sens du discernement particulièrement aiguisé, son « amour pour les musulmans », ainsi qu’il l’a affirmé sans craindre de se couvrir de ridicule à Piers Morgan, le journaliste vedette de la chaîne ITV, qui réveille tous les matins les spectateurs anglais au son de son sonore « Good Mornig Britain ».
C’est peu dire que Donald Trump cache bien son jeu, car il faut faire preuve d’une sacrée sagacité pour discerner, derrière ses violents coups de boutoir et son décret anti-immigration très ciblé, le « respect et l’amour » qu’il assure porter à ceux qu’il adore détester… Une bienveillance qui a même échappé à Theresa May, la Première ministre britannique, laquelle avait blâmé ses retweets délétères en novembre dernier, les jugeant indignes de la fonction suprême qu’il s’évertue à désacraliser.
Il vaudrait mieux être sourd que de l’entendre divaguer davantage, notamment lorsqu’il a prétendu « avoir été soutenu par les musulmans pendant sa campagne présidentielle » et est persuadé qu’il compte de « nombreux sympathisants parmi eux » aujourd’hui, car avec lui « ils se sentent en sécurité ».
On savait son cynisme sans nom, d’aucuns le traitant « d’instable, immature, inculte et colérique », à l’image du journaliste américain Michael Wolff, mais n’est-ce pas plus grave docteur ? Trump, grisé par l’ivresse des cimes dans sa « Maison des fous » à Washington, selon la description peu flatteuse qu’en a faite Wolff, n’aurait-il pas totalement perdu pied avec la réalité ?!

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

France : Une mosquée de la région bordelaise recouverte de tags pro-PKK.
Les profanations des mosquées appartenant à la communauté turque se multiplient en Europe depuis le début de l’offensive turque contre les groupes terroristes au nord de la Syrie. Dernière en date, la nuit dernière dans la région bordelaise à Latresne où un local servant de salle de prière pour la section locale de la Confédération Islamique du Millî Görüş a été tagué.
La porte d’entrée ainsi que la principale façade de la salle de prière sise allée du Bastard ont été recouvertes de tags peints à la bombe sur plusieurs mètres. Des slogans à la gloure du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan), de l’YPG et de Afrin où se déroule actuellement l’offensive turque contre ces mêmes groupes considérés comme terroristes.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Ouyahia invite les membres de l’UA à une conférence pour porter plus loin l’action antiterroriste : L’Algérie veut en tarir les sources de financement.
Les chefs d’Etat ou, de gouvernement africains tiennent depuis hier, leur 30ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine (UA) dans la capitale éthiopienne Addis Abeba. Hormis les questions diplomatiques, l’Afrique est attendue sur la question sécuritaire. Un des points clé de ce sommet que l’Algérie abordera avec la proposition d’accueillir en Mars prochain, une conférence africaine sur le tarissement des nombreuses sources de financement du terrorisme. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, représentant du président de la république a porté à Adis Abeba la disponibilité algérienne d’accueillir les africains autour d’une rencontre qui permette de » porter plus loin l’action » anti- terroriste, un engagement effectif de l’Algérie pour réussir le retour de la paix et le recouvrement de la stabilité dans certaines régions d’Afrique très éprouvées par les différentes formes que prend la violence comme le terrorisme, l’extrémisme et la prise d’otage. » Mon pays est disposé à accueillir, au mois de mars prochain, une conférence africaine sur le sujet « , a indiqué M. Ouyahia dans son intervention à la réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement. Il s’agira, de » mobiliser » l’ensemble de la communauté internationale à travers l’élaboration, par les Nations Unies, » d’un protocole complémentaire à la Convention Internationale pour la répression du terrorisme de 1999 ou à la Convention internationale contre la prise d’otages de 1983 « . Un document élaboré par l’Algérie sera présenté aujourd’hui en plénière, il porte sur les moyens de prévention la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. Ce document est conçu dans le cadre du mandat confié au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, désigné par ses pairs en 2017 comme coordonnateur de l’UA dans la prévention et la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique.
Commémoration de l’assassinat de Abdelhak Ben Hamouda : Une perte inestimable pour l’UGTA et les travailleurs.
Le 27 janvier 1997, fut un jour noir dans l’histoire du syndicalisme national algérien. En effet l’un des leaders du mouvement syndicaliste national Abdelhak Benhamouda fut assassiné dans des circonstances épouvantables, puisque il est tombé sur les balles assassines d’un groupe terroriste. Pour ne pas oublier cette figure emblématique, hier au siège de la centrale syndicale, sis à la place du 1er Mai, un vibrant hommage lui a été rendu en présence de quelques ministres en l’occurrence M. Abdelghani Zaalane, ministre des transports, M. Mourad Zemali , le ministre du travail , de l’emploi et de la sécurité sociale, le Secrétaire général du FLN Ouled Abbes ainsi que les travailleurs et les syndicalistes. La commémoration de cet anniversaire, a été l’occasion pour le secrétariat national de l’UGTA, les syndicalistes et les travailleurs de se rappeler le riche parcours de ce syndicaliste, martyr du devoir et de la démocratie. De son côté, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Said a mis en avant les qualités du feu Abdelhak Benhamouda en le qualifiant de militant, et une personnalité de valeur tout en précisant que sa vision et son approche syndicales répondaient aux attentes de tous les travailleurs et syndicalistes. Evoquant les rumeurs sur sa maladie, le SG de l’UGTA a indiqué : » Je ne veux pas répondre à ces personnes. Ces rumeurs ne servent pas l’intérêt du pays. Je tiens à préciser que je me porte bien. » Par ailleurs, il a fait savoir qu’entant que syndicalistes ils ont le devoir de défendre les acquis du pays, et ceux des travailleurs. M. Abdelamadjid Sidi Said a laissé entendre que la grande alliance avec le président de la République génère la stabilité sociale, selon lui, c’est la base de l’unité nationale. Le même interlocuteur a évoqué la nouvelle culture liant la présidence, les patronats et les syndicalistes qui est le fruit de la fusion entre le public et le privé. » Cette culture vise à booster et promouvoir l’économie nationale » a-t-il ajouté. Au sujet, de la grève des médecins résidents, le SG de l’UGTA a appelé à l’ouverture du dialogue entre la tutelle et les grévistes en précisant que le règlement de toutes les préoccupations des travailleurs doit passer par le dialogue en soulignant que la violence n’est pas la meilleure solution. M. Abdelmadjid Sidi Said a annoncé l’hommage qui sera rendu à la femme travailleuse et syndicaliste à Oran le 24 février prochain. Pour sa part, Takdjout Amar, membre de la direction de l’UGTA, a évoqué la décennie noire et les pertes engendrées durant cette période. Il a également appelé à la nécessité de préserver l’unité nationale et ses acquis. » Il faut préserver la République et les droits des travailleurs » a-t-il conclu. Secrétaire général de l’UGTA de 1990 à 1997, Benhamouda est né le 12 décembre 1946 dans une famille modeste à Constantine. Après ses études, il exerça le métier d’enseignant pour devenir directeur d’école.
Liste des produits interdits d’importation : Une simple mesure temporaire.
La suspension des produits à l’importation sera levée dans deux ou trois ans pour être remplacée par un dispositif d’encadrement du commerce extérieur basé essentiellement sur les tarifs douaniers, a affirmé dimanche le ministre du Commerce, Mohamed Benmeradi. « Le dispositif de suspension de 851 produits à l’importation a un caractère temporaire (…), probablement pour deux ans, trois ans peut-être, mais nous reviendrons à la levée de ces mesures », a précisé le même responsable qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale. Il a également avancé que les marchandises concernées par la suspension à l’importation feraient l’objet d’un suivi permanent durant la période de la suspension. A ce propos, il a expliqué que la suspension des importations vise fondamentalement à redresser la balance commerciale qui demeure déficitaire et à promouvoir la production nationale : « J’ai entendu dire par ici ou par là que nous voulions priver les Algériens de consommer ce qu’ils veulent. Non, ce n’est pas du tout ça l’objectif (…) Il faut arriver à tout prix à assurer progressivement une intégration de tout ce qui se produit localement pour faire de la substitution à l’importation ». Pour lui, il s’agit d’un « choc » à provoquer dans l’économie nationale où l’ensemble des filières hors hydrocarbures présentent une balance commerciale déficitaire. Citant l’exemple de la filière boissons qui a importé entre 400 et 450 millions de dollars en 2017 contre 12 millions de dollars d’exportations, M. Benmeradi a souligné que le gel des importations visait à assurer les intrants de la production nationale au niveau local en donnant aux entreprises nationales l’opportunité d’émerger. « Les investissement consentis en Algérie depuis des années tournent seulement entre 20% et 25% de leurs capacités du fait que les entreprises, qui interviennent en aval, ne recourent souvent pas aux produits (fabriqués localement) », a-t-il constaté.
Solde d’hiver : » Glacial » accueil.
Les soldes d’hiver de cette année 2018 ont été lancées mercredi 18 janvier. Du côté du centre commercial et de loisir de Bab Ezzouar, c’est le grand rush. Les clients viennent des quatre coins du pays. Bien qu’une foule soit massée devant les caisses des magasins, les gérants se montrent très » réservés » sur le succès des soldes. Au niveau du centre commercial City Center. Il est 10h du matin. Chez les grandes marques, les soldes ont été préparées une semaine à l’avance et tout le monde travaille d’arrache- pied. Les premiers clients affluent déjà dans le hall, plusieurs sacs à la main. C’est le cas de Khadidja que nous avions rencontrée à Bab Ezzouar, elle a acheté plusieurs articles d’une enseigne turque. Pour lui, » il n y a pas vraiment de soldes, les prix sont les mêmes » mais » je devais acheter pour mes enfants, donc je les fait « , explique- t-il. Un peu plus loin, on rencontre in père de famille qui attend que ses deux filles terminent leurs achats chez un magasin d’habillement pour femmes. Pour lui, il est plus intéressant de faire des emplettes pendant les soldes. Pour un budget de 10.000 dinars » Ma fille est venue acheter un pantalon et des pulls. Tout est cher en ce moment, donc ça vaut le coup d’acheter pendant les soldes « . De son côté, Amina espère revenir avec des articles bien précis. Au dernier étage, la gente féminine semble trouver son bonheur chez d’autres marques. » Les soldes de cette année se déroulent mieux que celles de l’année dernière » nous confie Sara, assistantemanager dans une boutique. C’est le troisième jour des soldes et leur objectif à court terme est déjà atteint. » Malgré l’austérité annoncée pour cette année, beaucoup de personnes sont venues faire leurs achats chez nous. Il y a un monde fou, nous n’avons pas eu une minute de répit » lâchet- elle. Au niveau du centre commercial de Bab Ezzouar, la présence de plusieurs marques a fait de ce lieu une destination privilégiée. L’ensemble des échoppes sont prises d’assaut par des clients à l’affût de la moindre bonne occasion.
Musée de l’Homme de Paris : La restitution des crânes enclenchée.
Le dossier des crânes de résistants algériens, dont le chérif Boubaghla, mais également de simples Algériens, envoyés par l’armée coloniale française et conservés au Muséum d’histoire naturelle de Paris, comme reliques historiques et trophées de guerre, va enfin connaître son dénouement. Après bien des hésitations, des réticences, la France va restituer, entre autres, les restes de résistants, tués et décapités par l’armée coloniale, entre 1850 et 1864. La demande sur la restitution des crânes, elle a été cosignée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, alors que celle concernant les archives a été signée par M. Messahel. Tous les éléments du dossier étant « prêts », le président français Emmanuel Macron devrait accélérer la procédure en envoyant un texte de loi à l’Assemblée nationale française. L’Algérie avait, à la suite de cet engagement du chef de l’Etat français, fait une demande officielle de restitution des crânes de ses résistants. Hier samedi, une nouvelle porte s’est ouverte pour clore définitivement ce dossier, avec les déclarations du président du Muséum national d’histoire naturelle de Paris, Bruno David, qui a affirmé que (le Muséum) se tient « prêt pour accompagner le processus de restitution » des crânes de combattants algériens tués lors de la colonisation de leur pays par la France au XIXe siècle et conservés dans ses collections, affirme-t-il. « Pour notre part, nous sommes prêts. Nous attendons les instructions du gouvernement », a-t-il ajouté. Après la visite de Macron à Alger, « un dialogue bilatéral a été engagé depuis sur ce sujet », a précisé de son côté vendredi le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. « Nous comprenons parfaitement la nécessité de ces restitutions, étant donné le contexte historique », déclare Bruno David, selon lequel « ces restes humains sont entrés dans nos collections d’anthropologie à la fin du XIXe siècle à la suite de différents épisodes liés à la conquête française de l’Algérie ». Sur les 18.000 crânes du monde entier (dont celui du philosophe Descartes) conservés au musée, « une liste de 41 crânes identifiés provenant d’Algérie » a été « transmise à l’Elysée », explique par ailleurs Bruno David, selon lequel il y a parmi eux, « à la fois des résistants, des Algériens ayant combattu avec les Français mais aussi possiblement des « droits communs ». « Pour le moment, nous avons pu établir que sept crânes sont, de manière indubitable, ceux de résistants algériens », indique M. David.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Emmanuel Macron lance sa police : réel besoin ou coup de communication ?
En octobre dernier, Emmanuel Macron, devant des centaines de hauts responsables de la police et de la gendarmerie, défendait sa future « police de sécurité du quotidien. » Rien à voir avec la police de proximité de Lionel Jospin, assurait alors le président de la République, qui voulait que les agents soient « au plus près des habitants. »
Quatre mois après son grand discours sur la sécurité, Emmanuel Macron siffle le début de l’expérimentation. Cette police de sécurité au quotidien (PSQ) sera, comme annoncé, à l’œuvre dans une vingtaine de sites pilotes. Le projet a pris beaucoup de retard, puisqu’il devait initialement être lancé en fin d’année dernière. Mais le test commencera finalement ce 1er février.
« Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme »
Cette nouvelle police va-t-elle révolutionner les choses ? A priori non, puisque, en réalité, il n’y a pas de création d’un nouveau corps de police. Il s’agira plutôt, indiquent les proches du président, d’une nouvelle façon de travailler pour les services existants. « Ce n’est pas seulement en période de crise que la population doit être fière de sa police, c’est tous les jours », expliquait Macron en octobre. C’est finalement le principal objectif de ce projet : rapprocher la population de sa police.
Concrètement, les policiers concernés devraient prendre plus de temps pour aller sur le terrain. Reste cependant un problème : si aujourd’hui les policiers sont si peu sur le terrain, c’est parce qu’ils sont occupés à des tâches administratives. La PSQ, sans budget supplémentaire alloué, ne servira pas à grand-chose. « Une PSQ à effectif et budget constants est une PSQ qui n’est pas viable à long terme », estime Eddy Sid, porte-parole du syndicat Unité SGP Police.
L’idée n’est donc pas inintéressante, puisque l’on verra plus de policiers se rendre dans certains quartiers, qui pourront intervenir auprès de la population. Sauf que les policiers sont dans le flou le plus total et déplorent d’ores et déjà le manque d’effectifs. Huit Français sur dix seraient favorables à la police de sécurité au quotidien. Les citoyens présents dans les villes tests pourront donner leur avis.
« Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires »
Côté politique, c’est autant le flou que pour les policiers. Azzédine Taïbi, maire PCF de Stains, ne sait pas si sa ville pourra bénéficier du programme. Mais il le souhaite. Le maire de la ville de Seine-Saint-Denis assure que le désamour de la population envers la police vient d’un manque d’effectifs. « La défiance résulte du manque de policiers », explique-t-il, ajoutant : « Il faut arrêter de croire qu’il y a un divorce entre la police et les quartiers populaires, c’est de l’instrumentalisation véhiculée par certains politiques ou médias. (…) Il faut recréer du lien et faire en sorte que la police ait une présence sur le terrain utile et quotidienne auprès de tous les habitants, y compris les jeunes. »
Plus qu’un coup de communication, la police de sécurité au quotidien semble donc être un réel besoin. Mais les autorités vont rapidement devoir mettre des moyens financiers et humains pour permettre aux agents de faire du terrain. Mais également réfléchir à une vraie stratégie. Sans quoi ceci n’aura effectivement été qu’un coup d’épée dans l’eau.
Conversions et discriminations : une semaine (presque) normale en Europe.
Une vague de conversions a lieu en Europe, touchant des réfugiés demandeurs d’asile ainsi que les figures politiques qui cherchent à les garder hors de nos frontières, comme c’est le cas en Autriche, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Cette semaine, on a appris qu’Arthur Wagner, membre influent du parti Alternative pour l’Allemagne (AfD), s’est converti à l’Islam. Le 11 janvier, le vice-président du Land de Brandebourg a démissionné du parti d’extrême droite dont l’un des objectifs déclarés était d’interdire les musulmans, les mosquées et les niqabs en Allemagne.
« C’est une affaire privée », a déclaré Wagner à Der Tagesspiegel lorsqu’il a été interrogé sur son départ du parti, ajoutant qu’il s’agissait d’une décision qui lui est propre.
Sa conversion n’est pas la première à faire frémir l’ultra-droite européenne. En 2013, Arnoud van Doorn a également embrassé l’Islam. À l’époque, il était membre du Parti pour la liberté (PVV), une formation nationaliste néerlandaise dirigée par le suprémaciste blanc Geert Wilders.
Depuis les élections de 2017, le PVV est le deuxième parti de la Chambre des représentants. Pendant ce temps-là, alors qu’il aurait pu être un des fers de lance de la haine et de l’intolérance, Van Doorn est maintenant président de la Fondation européenne Da’wah et a accompli le Hajj (pèlerinage à la Mecque).
Il s’agit là de coups durs pour les partis politiques dont les membres et les campagnes aux visées électoralistes insistaient sur la prétendue « islamisation » des nations occidentales.
Mais une autre histoire de conversions émerge, qui reçoit encore moins d’échos.
Des témoignages suggèrent qu’un nombre croissant de réfugiés musulmans en Europe deviennent chrétiens. Au cours des trois premiers mois de 2016, l’Eglise catholique autrichienne a enregistré 300 demandes de baptêmes pour adultes. L’institut pastoral autrichien a estimé que 70 % des personnes converties sont des réfugiés venus de pays musulmans.
A l’église de la Trinité, dans la banlieue de Berlin, le pasteur Gottfried Martens assure que sa congrégation est passée de 150 à près de 700, gonflée par des musulmans convertis au christianisme. De plus, les églises de Berlin et de Hambourg auraient organisé des conversions de masse pour les demandeurs d’asile dans… des piscines municipales.
Rien de très surprenant. Certains réfugiés seront sans aucun doute sincères dans leur nouvelle foi. Mais il y a aussi d’autres facteurs plus complexes qui entrent en jeu tels que la gratitude envers les groupes chrétiens qui offrent leur soutien lors des opérations de départ de régions déchirées par la guerre. Sans parler du fait que la conversion puisse favoriser les demandeurs d’asile dans leurs démarches.
Les conversions ne doivent pas être considérées comme une menace mais comme une histoire de recherche mutuelle et de partage des compréhensions. Alors que l’histoire de la religion dans l’Europe du 21e siècle se déroule, peut-être que cette année, nous verrons Tommy Robinson et Katie Hopkins — tous deux membres de l’ultra-droite britannique— se convertir à l’Islam.
Préjugés.
Il semble que les femmes musulmanes subissent de nombreux préjugés dans les villes occidentales, où nous sommes visibles. Après tout, si un homme avec une barbe peut être considéré comme un hipster, la plupart des femmes portant le hijab sont forcément et uniquement considérées comme des musulmanes.
Mais le hijab nous permet également de nous reconnaître et de nous aider les unes les autres dans la rue. Cela devrait nous encourager à nous saluer et à montrer un bon comportement et de bonnes manières envers tout le monde dans les espaces publics. Cependant, cela peut aussi contribuer à la discrimination.
Le rapport de la Chambre des communes, intitulé « Possibilités d’emploi pour les musulmans au Royaume-Uni (2016) », reconnaît que les femmes musulmanes constituent le groupe le plus défavorisé sur le plan économique en Grande-Bretagne. Et ce pour trois raisons : nous sommes confrontées à des préjugés liés à l’emploi parce que nous sommes des femme, BME — Black and Minority Ethnic — et visiblement musulmanes.
Désormais, nous avons des preuves d’une discrimination des consommateurs musulmans liée à leur nom. Des journalistes ont montré que des compagnies d’assurance automobile facturaient des contrats plus élevés pour les clients s’appelant Mohammed.
« John Smith » qui désire une assurance complète pour une Ford Focus à Leicester, a trouvé en ligne un contrat de 1 333 livres sterling. Mais pour « Mohammed Ali », la couverture d’assurance s’élève à 2 252 livres. 919 livres de différences pour le même produit.
Pour Mohammed Butt, victime de ces discriminations, « c’est du racisme pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont des plus mauvais conducteurs que les John. J’ai reçu un email de la part de mon assureur Bell (une société nommée dans l’enquête) qui dit :
‘Ce n’est pas le cas et nous n’avons jamais utilisé cette information — l’origine du nom — pour fournir un devis à nos clients. Nous sommes désolés si cette histoire vous a causé du tort.’ »
Tout cela me rappelle une blague lue sur les réseaux sociaux :
« Comment appelez-vous un conducteur musulman qui veut une assurance automobile ?
“Surfacturé”.Il est temps d’utiliser le pouvoir de la livre sterling verte (musulmane) et de changer d’assureur.
* Lauren Booth est journaliste et éditrice, elle donne des conférences sur l’islamophobie dans les médias. Elle donne régulièrement des conférences dans des facultés à l’échelle mondiale sur les questions sociales et politiques.
Au Royaume-Uni, un assureur facture un Mohammed 1 000 livres de plus qu’un John.
2 252 livres sterling. C’est le prix que paiera un Mohammed Smith à son assurance pour une Ford Focus de 2007. Il n’y aurait rien de choquant si un John Smith, pour le même véhicule, ne payait pas 919 livres de moins.
La discrimination des assurances vient d’être dénoncée par The Sun. Le journal britannique a utilisé un comparateur d’assurances et demandé des devis à plusieurs assureurs. Et le constat est effrayant : quasiment tous les organismes proposent des tarifs plus chers pour un Mohammed que pour un John. L’écart est compris entre 200 et près de 1 000 livres sterling. Et ce aussi bien en ligne qu’en agence.
Pour Mohammed Butt, interrogé par The Sun, la coupe est pleine : « C’est du racisme, pur et simple. Ils ne peuvent pas dire que les Mohammed sont les plus mauvais conducteurs que les John. » En effet, ces différences de prix sont inexplicables. Le géant de l’assurance Admiral est l’organisme qui discrimine le plus. Et si Mohammed ne s’appelle pas Smith mais Alamy, le forfait d’Amiral augmente de 50 livres supplémentaires.
Du « racisme pur et simple », dénonce Mohammad Butt, qui estime qu’il est « présumé coupable » à cause de son prénom. Le patron de l’assurance Admiral a beau nier toute discrimination, les chiffres sont là. L’organisme a assuré qu’il allait étudier les raisons de ces différences de tarifs.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Faites connaissance avec les espions qui injectent de la propagande israélienne dans votre fil d’informations.
Lorsque Sima Vaknin-Gil a pris la direction générale du ministère israélien des Affaires Stratégiques début 2016, un fait essentiel est passé complètement inaperçu.
Pendant des années, elle avait été officier supérieur dans une agence d’espionnage.
Cela signifie que, ces deux dernières années, un ancien officier de renseignement a dirigé la guerre qu’Israël mène mondialement contre BDS, le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions.
Son chef au ministère est Gilad Erdan, un ami précieux du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
On a découvert le mois dernier qu’ils avaient dépensé des sommes énormes pour créer une propagande anti-BDS en direction des média sociaux et des média d’information.
Ce devrait être une forte sonnette d’alarme pour tous les défenseurs de la liberté d’expression et des droits de l’Homme de voir une campagne pacifique de la société civile ciblée par des agences d’espionnage responsables de piratage, de torture, d’enlèvements et de meurtres en Palestine et dans le monde.
Renseignement militaire.
Même s’il n’est pas vraiment secret, le passé de Vaknin-Gil fut à peine évoqué par les média qui couvraient sa nomination, se focalisant davantage sur son rôle précédent en tant que censeur en chef d’Israël.
En cherchant bien, on n’a trouvé qu’un article – une interview de 2015 avec le magazine de l’industrie de l’armement Israel Defense – qui parlait de sa carrière dans le renseignement.
Cette interview a eu lieu la veille de sa nomination en tant que haut fonctionnaire dans ce qui est vraiment le ministère israélien Anti-BDS. Elle y révélait qu’elle avait passé plus de 20 ans comme espionne dans les services de renseignement de l’armée de l’air israélienne, atteignant le grade de général de brigade – position qu’elle a toujours, en parallèle.
Pendant cette période, déclarait le magazine, elle a travaillé « étroitement avec les fonctionnaires américains et les responsables les plus gradés du renseignement israélien ».
En 2005, elle a entamé son parcours, long de dix ans, en tant que censeur militaire en chef, rôle qui requerrait une coordination régulière avec les principaux espions et les chefs militaires d’Israël, dont le directeur du renseignement militaire, le chef du Mossad et le chef d‘Etat-Major des armées.
« Inonder internet ».
« Je veux créer une communauté de combattants », a dit Vaknin-Gil peu après sa nomination au ministère des Affaires Stratégiques.
Précisant qu’elle avait l’intention d’ « inonder internet » avec de la propagande israélienne ; ce qui serait officiellement sans lien avec le gouvernement.
Plus récemment, lors d’une conférence du Jerusalem Post, elle a glissé qu’elle venait « du renseignement dans les FDI », l’armée israélienne.
Transmise en direct sur YouTube, la réunion de décembre 2017 fut un débat sur comment combattre au mieux BDS.
Vaknin-Gil a reconnu que les arguments sur les droits de l’Homme des militants BDS sont si convaincants pour le peuple en Europe et aux Etats-Unis que « là-bas, à moins que nous ne fassions quelque chose, nous serons perdants ».
Elle a reconnu que les défenseurs des droits des Palestiniens « agissaient très, très intelligemment ».
Les militants de la solidarité avec la Palestine « se battent pour conquérir les esprits et les cœurs dans le peuple », a-t-elle dit et d’ajouter : « Nous venons juste de nous réveiller [face à BDS] et nous devons le faire très vite. »
Le cofondateur du mouvement BDS, Omar Barghouti, a dit à The Electronic Intifada qu’Israël n’avait pas réussi à gagner « la bataille pour conquérir les esprits et les cœurs au niveau populaire ».
Selon Barghouti, Israël « essaie désespérément de réprimer la formidable croissance du mouvement BDS pour les droits des Palestiniens, dans le courant dominant, en prenant des mesures draconiennes de répression et en les exportant grâce à ses lobbies vers les gouvernements occidentaux.
Les liens profonds du ministère avec les espions.
L’agenda officiel 2016 du ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan, obtenu par des militants israéliens et retranscrit par The Electronic Intifada, confirme ses liens intimes avec les agences d’espionnage du pays.
L’agenda indique une rencontre le 17 janvier avec le chef du Shin Bet – police intérieure secrète d’Israël. L’agence a une longue histoire de harcèlement, d’enlèvements, de torture et de meurtres de militants palestiniens.
L’agenda montre aussi que, le 16 février 2016, Erdan a déjeuné avec le chef du Mossad, agence israélienne d’outremer pour l’espionnage et l’assassinat.
Et le 20 mars, Erdan a apparemment rencontré le « chef du 8200 » – référence à l’Unité 8200, espions israéliens responsables des efforts pour mener une cyberguerre.
Selon les anciens combattants de l’Unité 8200, ses activités comprennent l’écoute illicite des communications des civils palestiniens qui vivent sous occupation israélienne en vue d’une persécution politique ou pour trouver des informations embarrassantes personnelles ou sexuelles qu’on pourrait utiliser pour les amener à collaborer grâce au chantage.
Acheter la presse.
Le projet de Vaknin-Gil d’ « inonder internet » reprend les efforts secrets précédents pour répandre la propagande pro-Israël.
En 2014, The Electronic Intifada a révélé un complot du site technique Israel21c pour mettre ses pièces montées en ligne et dans les média en utilisant des méthodes trompeuses.
Sous Vaknin-Gil – experte en censure de la presse – le ministère essaie de son côté d’acheter les rédacteurs.
Le chien de garde des média israéliens, Le Septième Œil a rapporté le mois dernier, que le ministère qu’elle dirige a payé à l’éditeur du quotidien le plus vendu d’Israël 100.000 $ pour qu’il publie des articles et des vidéos attaquant BDS en tant qu’ « antisémite ».
Publiés à la fois en hébreu et en anglais par Yediot Ahronot et son site web Ynet, les articles n’ont pas explicitement dévoilé que leur contenu était payé.
Un article anglais a vaguement déclaré que c’était le résultat d’une « association » entre le ministère et l’éditeur, tandis que deux articles hébreux déclaraient qu’ils étaient dus à une « collaboration » avec le ministère.
Guerre de propagande.
Le Septième Œil a expliqué que cette propagande était « faite pour amener les lecteurs à soutenir une campagne qu’Israël conduit contre ses critiques ».
Comme avec Yediot, le ministère a également acheté du faux journalisme afin d’engranger du soutien de la part d’un public mondial, y compris de la part du Times of Israel et du Jerusalem Post.
L’agenda de 2016 d’Erdan y est conforme, notant pour le 18 juillet une « rencontre avec le rédacteur du journal The Jerusalem Post, Yaakov Katz. « L’inscription n’indique pas le sujet de la rencontre. »
Les articles payés faisaient partie d’une plus vaste campagne du ministère des Affaires stratégiques, qui comprenait un budget de 740.000 $ « pour promouvoir le contenu sur les média sociaux et les moteurs de recherche, dont Google, Twitter, Facebook et Instagram », a rapporté Le Septième Œil.
570.000$ supplémentaires ont été dépensés pour construire Act.il, application anti-BDS, et pour produire des vidéos en incitant les supporters à les mettre en ligne.
Selon The Jewish Daily Forward, l’une des « missions » assignées aux fantassins de la propagande israélienne utilisant l’application Act.il, en novembre dernier, « était de laisser un commentaire sur un post spécifique de la page Facebook du site web pro-palestinien Electronic Intifada ».
Les opérateurs des relations publiques d’Israël voulaient contrer l’impact du reportage de The Electronic Intifada sur le soutien du gouvernement néerlandais pour une promotion par la chaîne de supermarchés israéliens Shufersal qui profite de la colonisation.
L’appli. Act.il a été largement financée par le milliardaire des casinos Sheldon Adelson – grand donateur des causes anti-palestiniennes et de la campagne présidentielle de Donald Trump.
Le ministère des Affaires stratégiques a été obligé de révéler au Septième Œil, l’information sur le financement en conformité avec les lois israéliennes sur la liberté de l’information.
Mais cette révélation pourrait bien être l’une des dernières divulgations de ce genre si le ministère obtient ce qu’il veut.
Ministère opaque.
En juillet, le parlement israélien a donné son approbation préliminaire à un projet de loi qui exempte le ministère des Affaires stratégiques de la loi sur la liberté de l’information.
Erdan a défendu le projet de loi, rédigé par son ministère, déclarant que BDS était un « front comme tous les autres » et qu’il était nécessaire de garder « nos modalités d’action secrètes ».
Une note du 7 novembre dans l’agenda 2016 d’Erdan suggère que l’ancienne espionne Vaknin-Gil était directement impliquée dans la rédaction des lois israéliennes contre BDS.
Au sujet de la « loi BDS », la note dit : « Rencontre avec Liat et Sima sur les amendements législatifs à la Loi Boycott. » (Tout au long de l’agenda, on fait référence à l’équipe d’Erdan au ministère par leurs prénoms.)
Si la loi est votée, le ministère d’Erdan se retrouvera dans la même catégorie que le Mossad et le Shin Bet, qui, eux aussi, sont exemptés de la liberté de l’information.
Le ministère d’Erdan fonctionnant de plus en plus comme une agence d’espionnage à l’échelle mondiale, et non comme un département conventionnel du gouvernement, cela ne sera peut-être pas une grande surprise.
Haaretz décrit ce ministère comme « un endroit dont la terminologie interne vient du monde de l’espionnage et de la sécurité ; ses personnages principaux semblent se voir comme un commando des affaires publiques engagé sur de multiple fronts ».
De même qu’il est dirigé par une espionne, le ministère est largement pourvu en anciens espions.
Le prédécesseur de Vaknin-Gil au poste de directeur général était Ram Ben Barak, ancien directeur adjoint du Mossad.
Comme l’a révélé l’année dernière The Electronic Intifada, le directeur de la section « renseignement » du ministère est Shai Har-Zvi, lieutenant colonel dans l’armée d’Israël et probablement un autre ancien revenant.
Sans donner de noms, le journaliste chevronné du renseignement israélien Yossi Melman avait précédemment raconté que ce poste avait été autrefois occupé par « un ancien enquêteur du système de sécurité ».
« Sources secrètes », activités illégales.
Melman – qui a confirmé le dévoilement par The Electronic Intifada du nom de Har-Zvi – écrit que le rôle de sa section « est de récolter de l’information et des données sur BDS et ses militants auprès de sources et ouvertes et secrètes ».
Melman précise également que le ministère a embauché 25 employés « principalement anciens fonctionnaires du renseignement en Israël » dont les noms sont classifiés.
Quelles sont ces « sources secrètes » sur lesquelles s’appuie le réseau d’espions d’Erdan ? Comprennent-elles des activités illégales ? Et vont-elles à l’encontre de lois d’autres pays dans lesquels il opère ?
« Nous voulons que la majeure partie du travail du ministère soit classifiée », a dit Vaknin-Gil au parlement d’Israël en septembre 2016, lorsqu’elle a reconnu que « une très grande partie de ce que nous faisons échappe à tout contrôle ».
Erdan a également reconnu que son ministère se servait d’associations à l’échelle internationale – outil historique des agences d’espionnage israéliennes. « La plupart des actions du ministère n’appartiennent pas au ministère, mais à des organismes du monde entier qui ne veulent pas que l’on connaisse leur connexion avec l’Etat », a-t-il dit.
Un ministère rival a accusé en 2016 Erdan et son fief de « se servir d’organisations juives britanniques dans le dos de l’ambassade [israélienne] de telle sorte que cela pouvait les mettre en violation avec la législation britannique ».
On a aussi rapporté dans Haaretz que le ministère avait créé une « unité de dénigrement » pour répandre des mensonges sur les militants de BDS.
Menaces de mort et piratage.
Dans un article pour le journal hébreu Maariv, Melman a fait remarquer les attaques contre les sites web du Comité National BDS de Palestine et d’autres associations de défense des droits, suggérant que ces attaques pouvaient être en lien avec le ministère d’Erdan.
Il parle aussi des menaces de mort visant Nada Kiswanson, avocate de l’association de défense des droits de l’Homme Al-Haq, qui avait travaillé à La Haye pour recueillir des preuves des crimes de guerre israéliens pour le Tribunal Criminel International.
Les autorités néerlandaises mènent des investigations sur ces menaces. Melman laissait entendre que celles-ci pouvaient également être en lien avec le ministère.
Parallèlement au harcèlement et au sabotage, les attaques contre les associations palestiniennes ont aussi comporté des campagnes de dénigrement destinées à saper leur soutien politique et financier.
Al-Haq et Al-Mezan, autre association de défense des droits des Palestiniens qui a aussi aidé à réunir des preuves de crimes de guerre, ont dû, ces deux dernières années, faire face à une campagne soutenue de diffamation.
Elles ont comporté, à la fois publiquement de la part de fonctionnaires israéliens, et via des campagnes plus sournoises, de fausses déclarations faites en leur nom et des menaces de mort et autres harcèlements contre leurs équipes.
La guerre secrète d’Israël semble aussi cibler les militants de la solidarité dans les pays occidentaux.
Jeter le masque.
En juillet, les membres d’une délégation interconfessionnelle en route pour la Palestine ont été interdits de vol par le personnel de Lufthansa qui agissait sur ordre des Israéliens.
Le rabbin Alissa Wise de Voix Juives pour la Paix a dit à The Electronic Intifada que le personnel de la compagnie aérienne lisait les noms de militants dont on n’avait jamais annoncé publiquement qu’ils faisaient partie de cette délégation et qui n’avaient pas de billets, cela prouve qu’une liste de personnes, obtenue par la surveillance israëlienne des communications des militants, avait été remise à Lufthansa.
Alors que la campagne secrète d’Israël vise à réprimer les informations négatives sur ses violations des droits des Palestiniens, la campagne elle-même ne fait que ternir un peu plus son image délabrée.
Au vu de ces mesures répressives contre la solidarité avec la Palestine, le cofondateur de BDS Omar Barghouti dit qu’Israël « jette le masque de la démocratie et du libéralisme et dévoile son vrai visage en tant que régime d’occupation et d’apartheid ».
« Israël alloue des centaines de millions de dollars, consacre un ministère tout entier, utilise ses services de renseignement et fait jouer ses muscles politiques dans le monde entier pour combattre ce mouvement », a ajouté Barghouti. « Mais il s’agit là d’un combat sur une pente raide et ardue qu’Israël ne peut que perdre. »
Traduction et enquête par Dena Shunra.
Traduction en français : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Un soldat israélien attaque à la voiture bélier un enfant palestinien
Un enfant palestinien est blessé ce lundi soir suite à une attaque menée par un soldat israélien à la voiture bélier près de la mosquée Ibrahimi à Hebron, au sud de la Cisjordanie occupée.
L’occupation arrête un jeune palestinien à Hébron et un enfant à Jérusalem
Des colons mènent des attaques au sud de Naplouse et l’occupation arrête un étudiant
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Les forces sionistes ont arrêté lundi matin un étudiant de l’école secondaire Al-Sawiya, au sud de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie. ​
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Hamas: les déclarations hostiles de Greenblatt couvrent les crimes de l’occupation
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Un congrès international sur Jérusalem organisé à Istanbul
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Une colonie israélienne menace un village palestinien qui se noie
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Hamas : le gouvernement pousse la bande de Gaza vers le chaos
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L’occupation démolit des maisons à Beit Jala
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Une grève générale des institutions de l’UNRWA à Gaza
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L’hôpital de Beit Hanoun arrête de fonctionner après l’épuisement du carburant
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26 Palestiniens de Gaza visitent leurs fils détenus à Nafha
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Les autorités prennent d’assaut Tulkarem
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Saydam annonce le retour de 1200 fonctionnaires au ministère de l’Éducation
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Israël décide de fermer une association agricole palestinienne
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L’occupation arrête deux jeunes hommes qui ont franchi la barrière de séparation à l’est de Gaza
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18 Palestiniens arrêtés et autres blessés lors d’affrontements nocturnes
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L’Occupation prétend avoir déjoué une attaque près de Naplouse
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Les factions à Gaza appellent l’Egypte à ouvrir le passage de Rafah
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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