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Flash info pour le 2 Ramadan 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Ramadan: évitons le gaspillage alimentaire.
Souvent, pendant le mois béni du Ramadan, la nourriture prend une place trop importante. Emissions culinaires, arrivages de denrées alimentaires très variés, budget alloué à la nourriture à la hausse, sans oublier les heures passées des ménagères dans leur cuisine à préparer d’innombrables plats de l’iftar. En effet, des foyers cuisinent des quantités conséquentes de nourriture surestimant souvent les capacités de l’estomac du jeûneur. Et, dans bien des foyers, ce surplus de nourriture finit malheureusement aux ordures.
C’est le cas par exemple au Bahreïn, où, selon un écologiste, plus de 40% des plats préparés pour le mois de Ramadan seront jetés. Les foyers du Bahreïn ont tendance à cuisiner environ 6 à 7 plats traditionnels pour l’iftar. Ce gaspillage alimentaire a des conséquences néfastes sur l’environnement. Dans un petit pays comme le Bahreïn, ce trop plein de déchets sera difficilement recyclé, et créera donc des émissions nocives.
Outre l’aspect écologique, le gaspillage alimentaire est détestable en islam. Dans le Noble Coran, Notre Seigneur nous dit :
« Ô vous qui croyez ! Ne vous interdisez pas les bonnes choses que Dieu a rendues licites pour vous, en évitant cependant tout excès, car Dieu n’aime pas ceux qui dépassent les limites permises. » (Sourate La Table servie verset 87)
ou encore :
« C’est Lui qui a créé les jardins treillagés et non treillagés, les palmiers et les cultures au goût si varié, l’olivier et le grenadier de même espèce ou d’espèces différentes. Mangez de leurs fruits quand ils ont atteint leur maturité, et acquittez-en la dîme le jour de la récolte ! Mais évitez tout gaspillage, car Dieu n’aime pas ceux qui gaspillent. » (Sourate Les animaux verset 141)
Adoptons donc le meilleur comportement envers la nourriture. A chacun de nous de calculer la quantité de nourriture à préparer afin d’éviter tout gaspillage. Rappelons nous que le Tout-Puissant nous offre ces bienfaits : fruits et légumes divers et variés qui poussent par la grâce d’Allah. Prenons en soin, et ne provoquons pas Sa Colère. Ne gaspillons pas ces trésors que certains jeûneurs n’ont même pas. Réduisons par ailleurs la quantité de nourriture que nous mangeons, car trop manger est aussi néfaste pour la santé.
Soyons prudents, et évitons d’acheter plus que ce que l’on a besoin. En clair, n’ayons pas les yeux plus gros que le ventre, même lorsque parfois, la faim et la gourmandise nous guettent.
Le Ramadan des enfants.
Chaque année, nous préparons tous le mois de Ramadan. Mais qu’en est-il de nos petits trésors ? Comment accueillir Ramadan avec nos enfants ? Faut-il qu’ils accomplissent le jeûne ? Que faire avec eux durant ce mois sacré afin qu’ils en tirent des bénéfices incha Allah ? Voici tant de questions auxquelles nous tenterons de répondre par le biais d’un éclairage psychologique, pédagogique et bien évidemment, islamique incha Allah.
Ne pas obliger à jeûner mais inciter à s’habituer…
Le jeûne n’est pas une obligation pour les enfants. Cela le sera lorsqu’ils auront atteint la puberté considérée comme l’âge de la responsabilité. En effet, ‘Aisha (qu’Allah soit satisfait d’elle) a rapporté que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « La plume est levée pour trois (personnes) : le dormeur jusqu’à ce qu’il se réveille, le jeune enfant jusqu’à ce qu’il atteigne la puberté et le fou jusqu’à ce qu’il retrouve la raison. » Ainsi, les enfants n’ont pas à effectuer le jeûne du mois de Ramadan avant leur puberté. Celle-ci apparaît vers l’âge de quinze ans. Comme le souligne Cheikh Ibn Jibrine, « Dès lors qu’une personne atteint l’âge de quinze ans, elle devient responsable. Cet âge est un signe de la puberté. Celui donc, qui a été négligent vis-à-vis de son jeûne, malgré l’apparition de sa puberté, a certes, délaissé un acte obligatoire. » Cette affirmation souligne le fait que le jeûne n’est pas obligatoire pour l’enfant impubère.
Bien que le jeûne ne soit pas imposé aux enfants, il est préférable qu’ils jeûnent s’ils en ont la capacité. En effet, cela ne peut leur être que bénéfique car c’est une manière de les sensibiliser à l’obéissance envers Allah et à l’adoration que nous devons Lui vouer. Ils comprendront alors que nous sommes tous soumis à un Dieu unique et qu’il faut lui obéir. De plus, cela leur permettra de s’habituer au jeûne qu’ils auront à effectuer quelques années plus tard. C’est ainsi que procédaient les pieux prédécesseurs avec leurs enfants. Ils les incitaient à jeûner et lorsque la faim se faisait ressentir, ils faisaient diversion avec un jouet. Prenons-les comme exemples afin d’apporter une bonne éducation à nos enfants incha Allah. Cependant, il ne faut pas les forcer à jeûner. Cela est une évidence car si nous les obligeons à jeûner, nous irons à l’encontre de l’ordre d’Allah. Ainsi, nous devrions les inciter à jeûner quelques journées durant ce mois sacré incha Allah voire quelques demies-journées pour les petits bambins.
Définir la règle, expliquer le jeûne.
Il est important d’expliquer à nos enfants en quoi consiste le jeûne. Le fait qu’un enfant voit ses parents se priver de nourriture toute la journée peut lui paraître étrange. C’est pourquoi il est primordial de lui faire comprendre ce qu’est le jeûne, de répondre à ses interrogations et d’éclairer ce qui lui semble intrigant.
Le fait d’expliquer les choses à son enfant lui sera bénéfique. En effet, la célèbre psychologue Diana Baumrind a décrit quatre styles d’éducation parentale différents que sont le style autoritaire, le style permissif, le style démocratique et le style désengagé. Celui qui est le plus avantageux pour le bien être et l’équilibre psychologique des enfants est le style démocratique. Ce dernier appartient aux parents qui ont un niveau d’exigence plutôt important et qui édictent des règles claires tout en privilégiant un niveau d’affection et d’attachement élevé. Les parents qui adoptent ce style parental exposent clairement les règles à leurs enfants tout en les expliquant. Ils répondent alors aux questions de leurs enfants et sont très ouverts au dialogue. Cela permet une communication parents/enfants des plus équilibrées, basée sur l’entente, l’échange et la compréhension mutuelle. Les études ont prouvé que les enfants baignant dans ce style parental sont les plus compétents et les plus équilibrés psychologiquement. Ainsi, l’idéal durant ce mois de Ramadan serait d’expliquer la règle qu’est le jeûne à nos enfants de manière claire, tout en répondant à leurs questions incha Allah. Cela leur permettra de saisir un des piliers de l’Islam d’une part, et d’accéder à un équilibre psychologique d’autre part.
Cependant, précisons que donner trop d’explications à un enfant dans certains domaines peut être un inconvénient. À titre d’exemple, le fait de trop lui expliquer un jeu peut entraver ses facultés de découverte et de recherche ainsi que sa curiosité intellectuelle.
Leur apprendre leur religion entre découverte et révisions.
Le mois de Ramadan est également un mois durant lequel nous devons redoubler d’efforts dans l’apprentissage de notre belle religion. Or, nous ne devons pas exclure nos enfants de cet apprentissage mais leur en faire profiter. Ce mois sacré est l’occasion de faire connaître l’Islam à nos enfants, avec des mots simples et des activités ludiques. De plus, nous sommes en vacances d’été donc le moment idéal pour éviter l’ennui de nos bambins. Quoi de mieux pour les occuper intelligemment que de leur apprendre notre religion ?
Afin de ne pas surcharger l’apprentissage de nos petits musulmans, il serait préférable d’effectuer un planning pour ce mois sacré. Ainsi, diviser le mois en quatre semaines où chacune correspondrait à un thème serait intéressant, en proposant apprentissages et activités ludiques. De plus, partager la semaine en deux : un temps d’apprentissage et un temps de révisions et questions/réponses incha Allah semblerait bénéfique.
Ainsi, nous vous proposons une répartition pour ce mois de Ramadan afin de vous donner des idées, mais d’autres possibilités sont évidemment envisageables incha Allah. Le but est d’initier à l’Islam tout en développant la créativité de nos enfants.
Exemple de planning pour nos enfants :
1ère semaine : Thème : Qui est Allah ?
– Explication simple du monothéisme.
– Sensibilisation à la Création d’Allah : la nature, les animaux…
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
2ème semaine : Thème : Qui sont les Prophètes ?
– Raconter simplement et brièvement l’histoire du Prophète (‘alayhi salat wa salam).
– Raconter simplement et brièvement l’histoire des Prophètes (‘alayhoum salam).
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
3ème semaine : Thème : C’est quoi être musulman ?
-Explication simple des piliers de l’Islam.
– Explication simple de la foi en Islam.
– Apprentissage d’une ou plusieurs sourates courtes.
– Apprentissage d’une ou plusieurs invocations.
Révisions.
Questions/réponses avec les parents, frères et sœurs.
4ème semaine : Thème : Activités ludiques autour de ma religion.
– Apprendre à écrire Allah en arabe, utiliser différentes couleurs et encadrer.
– Confectionner un livret illustré des invocations apprises durant le mois de Ramadan.
– Apprendre à écrire le nom du Prophète en arabe et décorer autour pour encadrer.
– Confectionner une carte de vœux pour l’Aid al fitr…
Qu’Allah permette à nos enfants de suivre le chemin de la piété. Qu’Il fasse d’eux des serviteurs pieux jusqu’au jour dernier.
Palestine : Voici l’histoire de Fadi Abou Salah, un héros que l’on oubliera jamais.
Cette photo a fait le tour du monde. Un Palestinien handicapé muni d’un lance-pierre se bat jusqu’à son dernier souffle contre l’occupant sioniste.
Un héros du nom de Fadi Abou Saleh âgé de 29 ans. Son handicap, il le doit à l’armée israélienne il y a quelques années après un bombardement. Il a perdu ses deux jambes mais n’en a pas pour autant perdu la volonté de recouvrer la liberté après des décennies de colonisation.
Un visage que l’on est pas prêt d’oublier.
La manifestation pour la Marche du Grand Retour le long de la frontière de la bande de Gaza qui devait s’achever le 15 mai, a fait des dizaines de morts et des centaines de blessés.
Parmi les nombreux morts, Fadi Abou Saleh a été abattu par les snipers israéliens qui ont régulièrement pris pour cible les manifestants non armés.
Pourtant, les Palestiniens ne réclament que leur dû, les terres qui leur ont été spoliées après 1948, année de création de l’état sioniste.
Saleh n’est pas le premier handicapé qui a été exécuté de sang froid par « l’armée la plus morale de la région », plusieurs autres handicapés Palestiniens ont malheureusement connu le même sort ces dernières années.
Salah a perdu ses jambes lors d’un bombardement israélien en 2008, il fait partie aujourd’hui des 60 Palestiniens, dont huit enfants et un bébé de 8 mois, qui ont été exécutés par les soldats israéliens.
Son ami Walid Mahmoud Rouk a partagé un hommage sur Twitter tout en confirmant la mort de Salah. Il a déclaré le connaître depuis des années, ils étaient voisins avant de devenir des amis.
Les dirigeants Palestiniens ont déclaré que 2.700 Gazaouis ont été blessés lors des violences déclenchées par les forces occupantes israéliennes.
Les Palestiniens ont manifesté à l’occasion du 70 e anniversaire de la Nakba, jour de la catastrophe, qui marque le déplacement de milliers de Palestiniens pour créer un état israélien.

Sur Katibin.fr, voici les titres.

Palestine : Ahed Tamimi: la Wonder Woman palestinienne.
Depuis décembre dernier, Ahed Tamimi, cette jeune palestinienne de 18 ans, est devenue un véritable symbole de la lutte contre l’occupation des territoires palestiniens par Israël. Retour sur son incroyable destin.
Le courage des enfants palestiniens .
Le courage des enfants palestiniens n’est plus à prouver. Rien que le fait d’être né et de vivre dans un pays en guerre où les injustices sont quotidiennes en font de véritable héros. Ahed Tamimi en fait parti. C’est le 15 décembre 2017 que sa vie bascule. En effet, c’est dans une vidéo, qui est depuis devenue virale, que l’on voit Ahed Tamimi tenir tête à deux soldats israéliens lors d’une manifestation contre la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Plus tôt, ce même jour, le cousin de Ahed, Mohammed al-Tamimi a été touché à la tête par une balle en caoutchouc tirée par un soldat israélien, ce qui explique sa colère. Elle sera arrêtée 4 jours plus tard. Son procès débutera le 13 février 2018 où elle écopera de 8 mois de prison.
Free Ahed Tamimi .
Ahed Tamimi est toujours détenue dans les prisons israèliennes, où elle serait victime de maltraitances. Son seul tort ? S’être défendue contre l’injuste colonisation de ses terres. Son histoire ne laissa pas insensible. Elle attira même l’attention de l’artiste irlandais Jim Fitzpatrick, ce même artiste qui il y a 50 ans dessinait le célèbre portrait du Che Guevara. Selon ses dires, il aurait décidé de joindre la cause et d’illustrer Ahed Tamimi car il sentait que sa vie était menacée et qu’aucun enfant (elle n’avait que 17ans au moment des faits) n’avait à subir ce genre de traitement.
En ce mois béni du Ramadan, nous avons une pensée émue pour Ahed Tamami et tous ces enfants palestiniens dont on a volé, et dont on continue de voler, l’enfance et l’innocence. Qu’Allah leur facilite.

Sur journal du musulman.fr, voici les titres.

France : Mantes-la-Jolie : en chantier, la mosquée ouvre exceptionnellement pour le ramadan.
L’Etat vient d’autoriser l’accueil du public pendant le mois sacré des musulmans. Une procédure qui permet de rassurer élus et habitants.
Les musulmans de Mantes-la-Jolie pourront prier dans des conditions normales pendant le ramadan, qui débute ce mercredi soir et prendra fin le jeudi 14 juin. Jean-Jacques Brot, le préfet des Yvelines, a signé mardi un arrêté d’« ouverture temporaire au public » de la mosquée Othmane située en plein cœur du Val-Fourré. « Le bâtiment […] pourra accueillir les fidèles pendant la période du ramadan », peut-on lire dans l’article 1 de ce document.
La décision a été prise en concertation avec la mairie, le président du conseil départemental Pierre Bédier (LR) et le royaume du Maroc, propriétaire des lieux.
«Le préfet souhaite que le ramadan puisse se dérouler dans des conditions normales», souligne une source préfectorale.
France : 10 fédérations musulmanes de France cosignent un communiqué.
Réunies mercredi 16 mai 2018 à la Grande Mosquée de Paris, dix fédérations musulmanes de France ont cosigné un communiqué sur des sujets tels que l’unité des musulmans de France en ce début du mois de Ramadan, l’Islamophobie et le massacre inqualifiable des Palestiniens.
Communiqué de presse des fédérations musulmanes de France.
Paris, mercredi 16 mai 2018.
En cette veille du 1er jour du mois sacré du Ramadhan 1439/2018, l’ensemble des fédérations musulmanes de France et les responsables du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) se sont réunis ce jour à la Grande Mosquée de Paris.
Dans un esprit d’unité et de fraternité, cette réunion a permis d’échanger sur la préoccupante situation que connaissent les musulmans de France et leur légitime inquiétude.
Unanimement, les responsables musulmans :
Se réjouissent que les musulmans de France commenceront le 1er jour du Ramadhan béni dans l’unité à l’instar de tous les musulmans du monde.
Prient Dieu que ce mois sacré de Ramadhan soit marqué par la piété, la solidarité et le partage.
Examinent la situation des musulmans en France et notamment les dernières polémiques accusant systématiquement et injustement les fondements mêmes de la religion musulmane. À ce sujet, ils saluent les différentes réactions condamnant cet amalgame entre islam et terrorisme et ce prétendu concept du « nouvel antisémitisme musulman ».
Dénoncent toute forme de racisme et rendent hommage à l’attitude responsable et citoyenne des musulmans en France devant la montée préoccupante des actes islamophobes. Ils dénoncent et condamnent l’appel à la haine contre les musulmans véhiculé et alimenté sur les réseaux sociaux de manière extrêmement violente et raciste.
Saluent les initiatives des musulmans de France qui œuvrent à l’apaisement et à la consolidation de la cohésion nationale.
Rappellent l’attachement aux instances représentatives créées pour l’exercice du culte musulman en France dans le respect de la loi de séparation de l’État et de l’Église (Loi du 19 septembre 1905). Ils précisent que les musulmans de France sont profondément attachés à la laïcité et à la neutralité de l’État, garantes du libre exercice du culte.
Rappellent et saluent le rôle capital des responsables de mosquées et des imams aux comportements exemplaires pour transmettre le message d’humanité et de fraternité de l’Islam, seuls remparts contre toutes les formes d’extrémisme et de radicalisme.
Demandent à tous les musulmans en France d’avoir une pieuse pensée pour les peuples en souffrances dans le monde et particulièrement le peuple palestinien qui subit un massacre inqualifiable. Ils appellent l’ensemble des mosquées de France à multiplier ce vendredi 18 mai 2018 des prières pour les victimes palestiniennes et toutes les victimes de la haine et de la violence partout dans le monde.
Les fédérations musulmanes signataires sont :
Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris (FNGMP),
Union de Mosquées de France (UMF),
Fédération Musulmans de France,
Rassemblement des Musulmans de France (RMF),
Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (CCMTF),
Confédération Islamique Milli Görüs (CIMG France),
Fédération Nationale des Musulmans de France (FNMF),
Fédération Française des Associations Islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles (FFAIACA),
Fédération Foi et Pratique,
Grande Mosquée de Saint Denis de la Réunion.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Un restaurant chic parisien accusé de discriminer Arabes et femmes voilées.
L’Avenue est une brasserie très select du 8e arrondissement de Paris. Trop select même au point de discriminer les Arabes et les femmes voilées à l’entrée, selon BuzzFeed. L’adresse du 41 avenue Montaigne, bien connue des stars, est épinglée jeudi 17 mai par le site d’informations, qui a révélé des pratiques discriminatoires du personnel du restaurant, qui auraient été mises en place par la direction. « Un véritable système discriminatoire en plusieurs étapes », précise-t-on, sur la base de témoignages de serveuses et de messages échangés entre des employées.
Parmi les consignes, figurent, selon quatre ex-serveuses interrogées, celle de ne prendre aucune réservation de personnes aux noms à consonance arabe et de touristes venant du Moyen-Orient, en particulier du Qatar, des Émirats arabes unis, du Bahrein et de l’Arabie saoudite, celle de refuser l’entrée du restaurant aux femmes voilées en « prétextant que le restaurant était plein, même s’il ne l’était pas » ou encore, si leur venue était programmée, « de lui faire croire que (leur) réservation n’a pas été enregistrée ».
Un scandale dont les Noirs ne seraient pas épargnés.
« Si la personne au téléphone insiste trop, « on devait proposer les derniers services, par exemple 15h ou 22h » », raconte une des serveuses. « La consigne était claire : il fallait qu’au rez-de-chaussée et en terrasse les clients soient « beaux et présentables » selon le directeur. »
« Les clients du Moyen-Orient étaient les plus discriminés, devant les Asiatiques ou les Noirs, qui peuvent être acceptés « même s’il ne faut pas qu’il y en ait trop » », témoigne une autre.
Alexandre Denis, directeur du restaurant, réfute les accusations. « Ce qui est certain, c’est que je n’ai jamais donné de consigne pour refuser des clients », déclare-t-il. Mais des employées assurent que « ce système bien rodé est toujours à l’œuvre aujourd’hui ».
Pour vérifier ces dires, BuzzFeed a tenté une réservation depuis le Qatar au nom de « Ahmed ». Impossible à plusieurs créneaux proposés… sauf quand c’est « Yann » qui le fait depuis Paris. L’expérience d’amener une femme voilée dans le restaurant, après confirmation de la réservation, tourne aussi au désavantage du restaurant : la réservation aurait soudainement disparu. Après avoir longuement insisté, c’est un oui… mais uniquement à l’étage alors que des places étaient disponibles au rez-de-chaussée.
Ces résultats, qui accréditent les témoignages, font tâche sur la réputation de la « cantine des stars ». Une demi-douzaines d’anciennes serveuses de L’Avenue ont alerté, « de manière anonyme en février dernier », l’inspection du travail sur les méthodes du restaurant. Sans nouvelles pour le moment.
Choc : Coupe du monde 2018 : l’Arabie Saoudite saoulée par une marque de bière allemande.
Une belle bourde de la brasserie allemande Eichbaum. En l’honneur des équipes participantes à la Coupe du monde en Russie, elle a affiché les drapeaux des pays sur les capsules des bières produites par la marque. Une initiative qui n’était pas du tout au goût des autorités saoudiennes qui a mal pris ce coup de com comme une insulte à leur étendard.
Pour l’ambassade saoudienne en Allemagne, il s’agit ni plus ni moins d’une « humiliation du drapeau saoudien » – sur lequel est inscrite la profession de foi reconnaissant Allah comme l’Unique et Muhammad comme son Prophète – et d’une « provocation à l’égard du sentiment des musulmans ».
« L’ambassade a immédiatement pris contact avec le ministère des Affaires étrangères allemand et les autres instances concernées pour arrêter la production (de la bière), et pour obtenir son retrait du marché et la présentation d’excuses pour le comportement de l’entreprise », a-t-il été exigé.
Bien que la brasserie s’est justifiée en expliquant qu’il est « logique et juste » que le drapeau saoudien soit représenté au même titre que ceux des 31 autres pays participants à la Coupe du monde, elle a finalement accepté de retirer du marché les bouteilles en question et a arrêté l’impression du drapeau d’Arabie Saoudite sur les capsules afin de faire cesser « les insultes » à leur encontre.
Les autorités des autres pays musulmans n’ont, en revanche, pas réagi à la présence de leur drapeau sur les capsules de bière Eichbaum.

Sur oumma.com, voici les titres.

Dominique Vidal : « Israël a commis un massacre sans précédent dans la bande de Gaza ».
Devant la caméra d’Oumma, le journaliste et historien Dominique Vidal, qui connaît parfaitement les tenants et les aboutissants du conflit israélo-palestinien pour les avoir décryptés dans de nombreux ouvrages, dénonce avec force le « massacre sans précédent » perpétré par l’armée israélienne d’occupation dans la bande de Gaza, signe de la radicalisation de l’extrême droite au pouvoir à Tel Aviv et du sentiment de toute-puissance qui l’anime.
Cette démesure meurtrière qu’il qualifie « d’hybris » dévastatrice, confortée par le soutien sans faille des Etats-Unis et de l’Arabie saoudite, à travers Donald Trump et MBS, ainsi que par le silence de la communauté internationale, marque, selon lui, un « tournant historique » dans ce combat tragiquement disproportionné du pot de terre contre le pot de fer.
reportage a voir sur oumma.com.
Arabie saoudite : elle n’accepte pas la naissance de sa petite fille et accuse la maternité d’avoir échangé son enfant.
Même dans une société aussi rigoureusement patriarcale que l’est l’Arabie saoudite, le déni, poussé à son paroxysme, dans lequel s’est enfermée une jeune maman saoudienne, refusant obstinément d’accepter la naissance de sa petite fille, en a stupéfié plus d’un dans la province de Hail. Les autorités sanitaires de la région se disant même profondément choquées par cette histoire peu banale, qui a carrément dépassé l’entendement…
Est-ce la forte pression familiale qui aurait conduit cette femme, dont c’était le premier accouchement, à esquiver, puis à nier une réalité insupportable, car ne répondant pas aux attentes fébriles qui s’étaient cristallisées autour de sa personne et de ce premier enfant ? Un nouveau-né dont elle savait pertinemment qu’il serait source d’une amère désillusion, parce que n’étant pas du sexe masculin.
C’est en tout cas ce que la direction de l’hôpital de Hail et l’équipe médicale qui l’a prise en charge subodorent fortement, non sans cacher leur sidération devant l’extrémité à laquelle cette patiente, en proie à une détresse frisant la crise de délire aigu, a été acculée : elle n’a pas hésité à porter plainte contre eux pour avoir échangé son enfant, s’appuyant sur le fait qu’on lui avait annoncé la naissance d’un bébé, un vocable qui n’a pas de sexe…
Il aura fallu que l’hôpital organise une réunion en cellule de crise pour démentir les allégations fantaisistes portées à son encontre, et faire recouvrer la raison à cette mère qui avait totalement perdu pied avec la réalité.
Alors, comment expliquer le plus rationnellement possible un tel déni et la véritable paranoïa qu’il a entraînée ? Pour Lamis, un travailleur social saoudien interrogé par les médias locaux, il ne fait pas l’ombre d’un doute que cette jeune maman, désespérée de ne pas avoir donné naissance à un petit garçon, a été incapable d’affronter une vérité de mauvais augure, qui ne ferait pas le bonheur des siens.
« Malheureusement, même si nous avons beaucoup progressé ces dernières années, dans de nombreuses familles du royaume, la naissance d’un garçon est toujours mieux accueillie que celle d’une fille, surtout quand il s’agit du premier enfant. C’est parce que nous vivons dans une société patriarcale qui continue d’accorder plus d’importance aux hommes qu’aux femmes », a-t-il déclaré, en insistant toutefois sur le fait que ce cas précis revêt, à ses yeux, un caractère tout à fait exceptionnel.
Ramadan : Comment bien gérer son sommeil durant le mois de Ramadan ?
Dans la chronique bien-être sur OummaTV , le naturopathe Stéphane Tétart, donne quelques conseils pour bien gérer son sommeil durant le mois de Ramadan. Stéphane Tétart est co-auteur avec Vanessa Lopez du livre: «Secrets de Naturopathes» paru aux éditions Leduc.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Palestine : Gaza, terre de résistance.
Fondée il y a plus de 3500 ans, Gaza est une des Cités les plus anciennes du monde. Mentionnée jusque dans la Bible, elle fut successivement dominée par les Égyptiens, Philistins, Assyriens, Babyloniens, fils d’Israël, Perses, Chaldéens, Grecs, Romains et Byzantins. Elle devint au final une partie du Dar al Islam dès le 1er siècle hégirien sous le califat d’Omar ibn al Khattab, second calife de l’histoire. Un temps prise par les Croisés francs au Moyen Age, elle repasse sous drapeau musulman grâce à Salahuddin al Ayubi, avant de devenir ville des Mamelouks, ces Européens convertis à l’islam passés d’esclaves à maîtres, pour ensuite rester aux Turcs qui sous la dynastie ottomane, tiendront la ville pendant 4 siècles.
L’histoire moderne et tragique de Gaza ne démarre qu’en 1917 lorsque les Britanniques obtiennent un mandat sur la Palestine (de Philistine, nom donné par Romains jadis). En 1948, sans aucune concertation avec les premiers concernés, la Palestine est choisie pour accueillir les Juifs d’Europe et d’ailleurs afin qu’ils y établissent une nation nouvelle : Israël. Un plan de partage est décidé, Gaza est sensée restée du côté arabe. Très vite, une guerre menée par l’Egypte voisine éclate afin de mettre en déroute le projet d’occupation. À la fin du conflit, la paix signée, Gaza tombe sous le giron égyptien, des réfugiés par milliers y affluent de l’entité sioniste, la Cité devient une « bande » bientôt peuplée de 300 000 âmes. C’est la fameuse Nakba qui voit la Palestine se vider de ses propres Palestiniens…
En 1956, lors de la crise du Canal de Suez impliquant Français et Anglais contre l’Egypte, les forces israéliennes en profitent pour prendre Gaza. Sous la pression internationale, Gaza est rendue aux Égyptiens ; mais avec la guerre de 6 jours de 1967, voilà que Gaza retombe dans les mains des colons juifs. Rapidement, ils y installent des kibboutz, colonies de peuplement, là même où les ressources énergétiques sont les plus importantes. Les tensions sont au comble, et à défaut de pouvoir ensevelir « sous la mer » la région, comme le souhaita Ytazk Rabin dans une glaçante allocution, l’idée va être de renverser la balance démographique au profit des immigrés juifs. Ils viennent par familles entières y vivrent. En 1979, l’accord de paix signé avec l’Egypte de Saddat intensifie encore la colonisation de la région.
En 1987, la 1ère intifada a lieu dans la bande toute entière. Le sang va y couler pendant des semaines, quand émerge sur la scène internationale une personnalité depuis longtemps active et qui sera son visage durant deux décennies : Yasser Arafat. De luttes en négociations, la bande de Gaza passe finalement sous contrôle de l’Autorité palestinienne nouvellement crée. Des colonies juives sont alors évacuées par les forces de l’ordre israéliennes.
Mais les pressions constantes opérées à l’égard de l’Autorité palestinienne accusée de laisser se créer sur son sol des mouvements islamistes violents exacerbent les tensions. En 2001, une seconde intifada démarre.
D’attentats en bombardements, les explosions vont pendant des années être le lot quotidien à la fois de tous. D’une largeur de 6 km et long de 12, la bande de Gaza accueille à ce moment bientôt près de 2 millions d’habitants, soit près de 6000 habitants au km2. Si la population est dans sa presque quasi-totalité musulmane, plusieurs milliers de Chrétiens y subsistent, alors complètement occultés par la communauté internationale. C’est aussi l’époque où le Hamas se fait connaître, perdant déjà nombre de ses hommes et combattants au travers d’attaques câblées israéliennes occasionnant à chaque fois d’importants « dommages collatéraux », soit des dizaines de victimes civiles. Gaza devient un champ de guerre, les photos et vidéos de jeunes hommes affrontant les chars israéliens à l’aide de pierres font le tour du monde. Observé par le monde entier, le gouvernement israélien dirigé par Ariel Sharon se décide enfin en 2005 à l’évacuation totale des dernières colonies israéliennes présentes à Gaza. 8000 colons sont in extremis renvoyés au-delà des frontières désormais officialisées.
Mais Gaza sombre bientôt dans une nouvelle vague de violences, cette fois interne. C’est le conflit entre le Hamas et le Fatah, les deux entités politiques dominant l’échiquier gazaoui qui démarre en 2006 avec pour issue la victoire des premiers. Avec le Hamas à la tête de toute la bande, la communauté internationale décide alors de frapper d’un embargo les Gazaouis, tandis que l’Etat sioniste fait de Gaza son ennemi numéro un. Alliée à l’Egypte, Israël fait alors interdire à Gaza la plupart des biens de consommation courante, ceci allant du simple shampoing aux médicaments et matériels médicaux les plus indispensables.
Pour se défendre des tirs de roquettes effectués par les militants du Hamas depuis Gaza, l’Etat israélien lance alors de réguliers et meurtriers raids aériens. L’opération « plomb durci » démarrée en décembre 2008 fera en ce sens plus de 1300 morts en 3 semaines. Des convois de l’ONU comme des bâtiments officiels étrangers sont même bombardés par l’armée de Tsahal. Des ONG menacent de porter plainte auprès de la Cour pénale internationale quand le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies annonce son intention d’enquêter sur les crimes de guerre israéliens. Mais l’Etat hébreu ne veut rien savoir, il ferme Gaza aux journalistes comme aux enquêteurs.
Gaza devient alors l’une des régions les plus pauvres du monde, et surtout la plus densément peuplée. Le chômage y atteint des chiffres record et la plupart des habitants n’ont même plus accès à l’eau courante. Au côté du Hamas, d’autres mouvements, parfois proche d’Al Qaïda se forment : du côté gazaoui, seule une solution armée semble rencontrer les intérêts de chacun. Partout, dans le monde, les mouvements islamistes annoncent en cœur leur volonté de libérer Gaza. Isolée, telle une prison à ciel ouvert, les quelques tunnels reliant Gaza à l’Egypte sont aussi régulièrement détruits par leurs voisins arabes. Des bateaux, chargés de biens et de civils sont même attaqués par la marine israélienne, qui prétextant leur sécurité, n’hésiteront pas à tantôt tuer des humanitaires désarmés…
De nombreuses opérations militaires sont alors conduites par l’armée israélienne, usant parfois de bombes et munitions pourtant interdites par le droit international. En 2014, la plus meurtrière de ces opérations, baptisée Bordure protectrice, fera en quelques semaines plus de 2000 morts, dont près de 600 enfants… Le Hamas et le Fatah ont tenté depuis de se rapprocher, mais la dissolution de la Palestine et l’impossibilité des différents belligérants arabes à trouver une ligne d’entente commune n’ont depuis pas aider Gaza à se redresser. Si avant les années 2000, les Gazaouis vivaient encore de leurs exportations agricoles ou en travaillant comme main d’œuvre dans des usines et firmes israéliennes, l’économie ne tient à ce moment debout plus que grâce aux dons récupérés par les nombreuses ONG locales.
4 ans plus tard, Israël trouvera dans Donald Trump, nouveau président américain, un allié indéfectible. Déménageant son ambassade à Jérusalem, il officialise une volonté sioniste de longue date : faire de la ville sainte la capitale indivisible d’Israël. La date choisit pour le déménagement tant redouté est alors vu, surtout à Gaza, comme une véritable provocation. Effectuée le 14 mai 2018, ce déménagement se fait jour pour jour 70 ans après la Nakba. Le symbole est fort autant que terrible, assurément, du côté israélien comme américain, l’hypothèse d’une sortie vers la paix est enterrée. Ce seul jour, une manifestation organisée aux abords de la frontière israélienne fera près de 60 morts du côté des Gazaouis, abattus par des snipers et soldats postés de l’autre côté, pour plusieurs milliers de blessés…

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le Premier ministre Hamdallah se rendra à Istanbul pour assister à la réunion d’urgence de l’OCI
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Le Premier ministre palestinien Rami al-Hamdallah se rendra jeudi à Istanbul pour assister, au nom du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, à la réunion d’urgence de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), convoquée par le président turc Recep Tayyip Erdogan, au sujet de la Palestine: principalement Gaza et Jérusalem occupée.
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Un syndicat de journalistes poursuivra Israël devant la CPI
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Erdogan condamne le silence international face à la « tyrannie israélienne »
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UNICEF: Plus de 1000 enfants blessés dans les marches du Retour
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Le Hamas prévient que la tension à Gaza pourrait dégénérer de manière incontrôlable
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Plusieurs écoliers asphyxiés au sud de Bethléem
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Le Croissant rouge koweitien lance une campagne de dons pour Gaza
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Les ministres des Affaires étrangères arabes discutent de l’agression israélienne
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Les colons envahissent Al Aqsa le premier jour de Ramadon
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Après le transfert de son ambassade à Jérusalem, que fait Washington en ce moment?
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Le Canada appelle à une enquête indépendante sur le massacre de Gaza
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Les élites tunisiennes appellent à la fermeture de l’ambassade américaine dans leur pays
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Erdogan mène une action islamique contre Israël
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Sinwar: Israël s’est retiré d’un éventuel échange de prisonniers
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L’occupation arrête cinq jeunes en Cisjordanie
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En une seule nuit: 7 raids israéliens sur la bande de Gaza
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 2 Sha’ban 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Emmanuel Macron : “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. VIDEO.
Dimanche, lors d’une entretien avec Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, Emmanuel Macron a choqué la communauté musulmane en déclarant que “le voile islamique n’est pas conforme à la civilité”. Des déclarations qui ressemblent à celles de Manuel Valls ou encore Marine Le Pen.
Emmanuel Macron, plébiscité par la communauté musulmane lors des dernières élections présidentielles notamment pour son respect de la laïcité et des différents cultes en France, vient de donner un tournant important dans son quinquennat.
En s’en prenant aux femmes musulmanes qui portent le voile, en les accusant de manque de civilité, le président de la République a pour la première fois attaqué la communauté musulmane française. Des déclarations qui sont en total contradiction avec sa position pré-électorale, qui l’avait différencié et opposé à l’islamophobie de Manuel Valls alors Premier Ministre.
“C’est-à-dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays”, “Je veux être sûr qu’une femme voilée l’est par choix”.
Le président de la République a relancé le débat sur le choix des femmes musulmanes à porter le voile, laissant entendre que ces dernières sont obligées de le mettre. Une accusations qui a depuis longtemps été balayée par de nombreuses femmes qui portent le hijab et qui ont déclaré faire ce choix par foi.
Cette prise de position risque de jouer en défaveur d’Emmanuel Macron qui jusqu’à présent avait une bonne côté de popularité dans la communauté musulmane. Depuis lundi, les vidéos et réactions se multiplient dans la blogosphère musulmane accusant le Président de surfer sur l’islamophobie ambiante.
La France reste une exception dans son modèle d’assimilation qui brime les minorités religieuses et ethniques. Au Canada, en Grande Bretagne et même aux Etats-Unis, la différence de culture est une richesse et non un ennemi à combattre.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Inde : 8 personnes devant le tribunal après avoir violé et tué une fillette musulmane de 8 ans dans un temple hindou.
Huit hommes ont plaidé non coupable à la suite du viol et du meurtre d’une fillette musulmane de huit ans en Inde.
Les hommes ont été arrêtés après que le corps de la jeune fille ait été retrouvé dans une forêt en janvier, une semaine après qu’elle ait disparu en paissant les poneys de sa famille.
Les hommes – tous hindous – sont accusés d’avoir planifié l’enlèvement de l’enfant pendant plus d’un mois dans le but d’effrayer sa tribu nomade musulmane, dans l’État du Jammu-et-Cachemire.
La police a déclaré que la jeune fille avait été violée à plusieurs reprises dans un temple hindou, où elle était sous sédation et retenue en captivité. Elle a ensuite été étranglée et matraquée à mort.
L’affaire a suscité des protestations à travers le pays lorsque des milliers de membres du groupe radical hindou Hindu Ekta Manch – ou de la plate-forme de l’unité hindoue – ont manifesté leur soutien aux accusés.
Une femme du Bangladesh qui s’était convertie à l’islam pourra être enterrée 4 ans après sa mort malgré l’avis de sa famille hindoue.
La plus haute cour du pays a statué qu’une femme qui s’est suicidée il y a quatre ans est musulmane et peut être enterrée aux côtés de son mari, mettant fin à une bataille juridique de grande envergure sur le mariage interreligieux.
Le tribunal a jugé la semaine dernière qu’Hosne Ara Lazu s’était convertie à l’islam après avoir épousé Humayun Farid Lazu en 2013, malgré l’insistance de sa famille à retourner à l’hindouisme avant sa mort.
Les familles se sont opposées à l’union entre un musulman et un hindou et les ont forcées à annuler leur union. Le père de la fille est allé jusqu’à déposer des allégations d’enlèvement contre le jeune homme auprès de la police.
Lazu, 21 ans, s’est suicidé en 2014 dans la tourmente.
Mais quand sa femme de 18 ans a avalé du poison moins de deux mois plus tard, l’affaire a fait les manchettes nationales alors que les familles allaient devant les tribunaux pour savoir comment elle serait enterrée.
Les mariages interconfessionnels sont rares et controversés dans le Bangladesh à majorité musulmane et l’affaire a été étroitement surveillée.
La famille de l’épouse a exigé une crémation hindoue tandis que les parents du mari ont demandé qu’elle soit enterrée conformément à la tradition islamique, près de la tombe de son mari.
La querelle amère a atteint la plus haute cour du pays où les juges ont décidé jeudi que la femme s’est convertie à l’Islam et doit être enterrée en conséquence.
Un boxeur mexicain met K.O un boxeur raciste américain portant un short représentant le mur de Trump.
Le boxeur mexicain Francisco Vargas a écrasé le mur de la frontière jeudi soir.
Son adversaire, le boxeur américain Rod Salka, a enfilé un short indiquant “America 1st” agrémenté d’un mur en briques, une référence évidente au désir du président Trump de construire un formidable mur frontalier entre les Etats-Unis et le Mexique.
Après le combat, le visage de Salka était couvert d’ecchymoses et de coupures. Vargas a subi un gonflement mineur.
Selon la page Wikipédia de Salka , qui inclut son histoire complète de boxe professionnelle, son surnom se lit maintenant “Le raciste”.
Le mur réel de Trump reste dans les limbes. Le président a demandé 18 milliards de dollars pour prolonger le mur au cours de la prochaine décennie. Certains des prototypes du mur atteignent environ 10m de hauteur. Pour l’instant, le Congrès américain n’a pas approuvé ce financement à long terme pour le mur.
La Syrie et la Russie retardent volontairement l’accès à la Douma aux inspecteurs d’armes chimiques.
Les inspecteurs d’armes chimiques n’ont pas encore été autorisés à accéder à la Douma en Syrie, ont déclaré des responsables britanniques alors que l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ( OIAC ) se réunissait pour discuter de “l’utilisation présumée d’armes chimiques” en Syrie.
“La Russie et la Syrie n’ont pas encore autorisé l’accès à la Douma”, a déclaré dimanche la délégation britannique, ajoutant que “l’accès sans restriction [est] essentiel” et “la Russie et la Syrie doivent coopérer”.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, a immédiatement nié les allégations selon lesquelles les inspecteurs n’étaient pas autorisés à y accéder, selon l’agence de presse russe RIA.
Il a ajouté que l’arrivée des inspecteurs avait été retardée à la suite des raids aériens menés par les Etats-Unis samedi.
Les forces gouvernementales syriennes ont repris Douma la semaine dernière, prenant le contrôle total de l’ancienne enclave de la Ghouta, contrôlée par les rebelles, ont annoncé les autorités militaires russes à l’époque.
L’annonce intervient quelques jours après que des dizaines de personnes ont été tuées par des attaques chimiques dans la ville, provoquant des attaques de missiles contre des installations censées être utilisées pour rechercher, développer et stocker des armes chimiques en Syrie.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Syrie : la France annonce le retrait de la Légion d’honneur pour Bachar Al-Assad .
Sept ans après le début de la guerre civile en Syrie, la France se décide à retirer la légion d’honneur de Bachar Al-Assad. L’annonce du retrait de cette distinction a été faite lundi 16 avril par l’Elysée.
Elle intervient deux jours après les frappes occidentales en Syrie visant « le principal centre de recherche » et « deux centres de production » du « programme clandestin chimique » du régime syrien, en réaction à l’attaque chimique perpétrée le 7 avril à Douma, dans la Ghouta orientale.
« L’Elysée confirme qu’une procédure disciplinaire de retrait de la Légion d’honneur à l’endroit de Bachar Al-Assad a bien été engagée », a indiqué la présidence de la République.
Bachar Al-Assad avait été fait grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française, par Jacques Chirac lors d’un voyage officiel en France en 2001, peu après avoir succédé à son père Hafez Al-Assad.
Depuis 2010, un décret permet de déchoir plus facilement un étranger ayant « commis des actes contraires à l’honneur ». Une procédure de retrait a ainsi été engagée en 2017 contre le producteur américain Harvey Weinstein, accusé de viol.

Sur oumma.com, voici les titres.

Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise.
Dans un entretien accordé à l’édition espagnole de Vanity Fair, Karim Benzema a expliqué pourquoi il ne chantait pas la Marseillaise durant les hymnes qui précèdent chaque rencontre de l’équipe de France: «Si on l’écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n’aime pas ça.» a affirmé l’attaquant du Réal de Madrid. Dans ce même entretien, Benzema est revenu sur l’affaire de la sextape et les déclarations de Manuel Valls: Quand un Premier ministre parle de toi, ce n’est plus du football. Je crois qu’il ne faut pas mélanger football et politique, a déclaré l’international français (81 sélections). Dans mon cas, c’est un sujet politique. Avec l’affaire Valbuena, j’ai traversé une mauvaise passe. J’ai passé un jour en prison et je suis rentré triste à Madrid. Maintenant, j’ai trente ans, deux enfants. Je suis tranquille ici. S’ils ont besoin de moi, ils savent où je suis.» (traduction l’Equipe).
Un eurodéputé belge offre une corde à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron s’est s’adressé pour la première fois ce mardi au Parlement européen réuni à Strasbourg. Il entend bien mobiliser les Eurodéputés et lancer un “appel à la responsabilité et à l’engagement européen”. L’occasion d’un échange tendu avec Philippe Lamberts, député européen Verts qui a offert une corde au président de la République. ce à quoi Emmanuel macron lui a répondu de façon plutôt sèche.
reportage a voir sur oumma.com.
Mohamed Salah : la lanterne du ramadan.
Second meilleur buteur européen avec 30 buts en 32 matches, Mohamed Salah, l’attaquant égyptien du club de Liverpool, est une véritable superstar dans son pays. L’international égyptien des Reds constitue une fierté nationale dont les exploits hebdomadaires dans le championnat anglais chavire de bonheur tout un peuple. L’étoile de Liverpool, qui rayonne sur les terrains de football, va désormais flamboyer sur les étagères des échoppes égyptiennes.
En effet, à l’approche du Ramadan, l’Egypte a trouvé une nouvelle façon de célébrer le talent de son prodige en créant des lanternes à son effigie. Ces lanternes à thème représentent pour les Egyptiens un élément décoratif essentiel durant le jeûne du mois de ramadan. Elles scintillent au cours des longues soirées ramadaniennes, aussi bien dans les ruelles que dans les maisons, et servent également de porte-clés ou de jeux pour les enfants.
Après avoir illuminé le cœur de millions d’Egyptiens , Mohamed Salah illumine désormais leurs foyers.
Koweït : une députée crée la polémique pour avoir critiqué une campagne de promotion du hijab.
Première femme à siéger dans le temple législatif du Koweït depuis que ses concitoyennes ont, en 2005, obtenu le droit de vote et d’éligibilité, Safa Al Hashem, 54 ans, a défrayé la chronique pour avoir vivement désapprouvé la campagne promotionnelle en faveur du port du voile qui a fleuri dans le paysage urbain, s’exposant à tous les regards, aux carrefours névralgiques des cités phares de son pays.
« Un pays doté d’une Constitution qui garantit la liberté personnelle ne devrait pas tolérer de telles publicités ! », s’est-elle indignée récemment, en s’interrogeant sur les objectifs poursuivis par le ministère des Awqaf et des Affaires islamiques, le concepteur de cette vaste opération de communication, tout en demandant instamment à ce que soient retirées ces affiches qui, à ses yeux, l’affichent plutôt mal…
« Ce dont nous avons besoin, c’est d’une campagne qui renforce l’unité nationale et ne favorise pas les divisions !!! Je viens de contacter le Ministre des Dotations pour qu’il mette un terme à cette campagne. Il a promis d’agir dans ce sens toutes affaires cessantes ». Très remontée, la députée koweïtienne a laissé éclater sa colère sur Twitter, fustigeant une campagne de la discorde dont le slogan « Mon hijab rend ma vie meilleure », perçu comme lourd de sens, envoie un mauvais signal aux citoyennes qui ne l’arborent pas : il les met d’office au ban de la société.
Loin d’elle l’idée de proscrire le port du voile islamique car, comme elle l’a réaffirmé avec force sous le feu nourri de critiques que ses tweets ont déclenché, le combat qu’elle mène est celui de la préservation du libre choix des femmes de se vêtir comme bon leur semble, au nom de la fragile « unité nationale ».
Stoïque dans la tempête de protestations que ses prises de position ont soulevée, Safa Al Hashem a persisté et signé, insistant sur le devoir qui lui incombe, en tant que première femme à avoir conquis les suffrages au Koweït, de veiller au respect de toutes ses concitoyennes, sans exclusive, et à ce que l’une de leurs libertés individuelles fondamentales ne soit pas bafouée.
« Je n’ai pas attaqué le port du hijab et je crois toujours que le porter relève d’un choix personnel et d’une liberté individuelle essentielle. Autour de moi, dans ma famille ou parmi mes connaissances, il y a tellement de femmes que je connais qui sont des hijabis !! », a-t-elle clamé haut et fort en conférence de presse.
Mais sa voix, dont la dissonance a heurté bien des oreilles, semble s’être perdue dans le bruit assourdissant de la polémique qui a retenti au Koweït, dans le monde réel comme virtuel.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Asma Lamrabet : «Le voile soulève en France une hystérie politique difficilement compréhensible».
Exclusif. Asma Lamrabet est une chercheuse engagée pour une relecture égalitaire des Textes de l’islam, une réforme de leur interprétation. Démissionnaire il y a peu du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita al Mohamadya des Oulémas du Maroc, Asma Lamrabet nous accordé un entretien dans lequel elle précise sa position sur les raisons de sa démission forcée. L’auteure de «Le Coran et les femmes : une lecture de libération», a également réagi aux déclarations du président la République Emmanuel Macron sur le voile. Focus.
Egérie du féminisme islamique, tête de proue du réformisme islamique sur la question paritaire, Asma Lamrabet avait annoncé en mars sa démission forcée du Centre d’Etudes Féminines en Islam au sein de la Rabita alMohamadya des Oulémas du Maroc qu’elle dirigeait. En cause : ses déclarations critiques sur l’égalité hommes-femmes, et selon plusieurs médias marocains et l’Agence France Presse, ses critiques sur l’héritage. « A l’occasion d’une conférence universitaire de présentation de l’ouvrage collectif sur l’héritage, mes propos, exprimés à titre strictement personnel et rapportés par un organe de presse ont suscité un tollé et une grande polémique lors de la 20ème session du Conseil académique de la Rabita. Devant une telle pression, j’ai été contrainte à présenter ma démission en raison des divergences portant sur l’approche de l’égalité femmes hommes au sein du référentiel religieux », a-t-elle expliqué dans un communiqué publié sur son site internet. « J’ai toujours prôné une lecture progressiste, réformiste et dépolitisée pour opérer une nouvelle approche de la question des femmes dans l’Islam. C’est l’action que j’ai toujours mené à travers la déconstruction des lectures rigoristes et patriarcales, notamment à travers mes différents ouvrages », a-t-elle ajouté.
J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam.
« J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel ».
Trois semaines après cette annonce, quel est l’état d’esprit d’Asma Lamrabet ? Plus que jamais, l’incompréhension. « Concernant l’héritage, on a réduit tout mon travail dessus. J’ai participé durant 10 années à cette commission qui a validé mes travaux. J’ai toujours dit que la priorité était au dialogue et à la réforme de l’ensemble de notre approche sur les Textes. J’ai été la première surprise d’apprendre ces réactions qui ont poussé à ma démission. J’ai pourtant dit au cours de cette conférence ce que j’ai toujours dit. Ma pensée n’a pas changé. J’ai toujours plaidé pour une approche paisible, inclusive, de l’intérieure de l’islam, pour une réforme non pas de l’islam mais de l’interprétation de l’islam, ce qui a toujours été fait tout au long des siècles », a-t-elle confié à la rédaction de Mizane.info. Aujourd’hui, Mme Lamrabet n’hésite plus à le dire : « J’ai été le bouc-émissaire d’un règlement de compte institutionnel. Cette situation a montré les limites d’une approche réformiste appliquée dans les milieux traditionalistes. »
« Nous devons faire notre autocritique »
Cette page refermée, Asma Lamrabet compte bien approfondir ses recherches et consacrer ses prochains travaux à l’éthique musulmane dans une approche inclusive. « Je vais essayer de dépasser la question des femmes en travaillant sur l’éthique dans une approche humaniste ouverte associant hommes et femmes. »
Une réponse à certains discours féministes identitaires postulant la rupture avec les hommes et leur exclusion de la question féminine en islam. « Les femmes peuvent avoir une lecture très conservatrice et patriarcale des Textes. La question n’est donc pas circonscrite aux femmes. »
Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire.
« Cette problématique du voile est devenue trop sensible ».
Interrogée sur les propos d’Emmanuel Macron pour qui « le port du voile n’est pas conforme à la civilité dans notre pays (…) c’est à dire au rapport qu’il y a entre les hommes et les femmes dans notre pays (…) Nous ne comprenons pas qu’il y ait cette différence, cette distance, cette séparation. C’est ça un peu le voile. Et donc c’est ça qui vient un peu bousculer notre philosophie profonde, notre vie ensemble », Asma Lamrabet se veut nuancée. « Cette question est complexe et spécifique à la France, tellement spécifique à ce contexte qu’il est difficile pour moi de porter un jugement. Cette problématique du voile est devenue trop sensible. Je ne veux pas donner de leçons. Il y a des problèmes de part et d’autres. Nous devons faire notre autocritique sur les discours qui ont donné la priorité sur le foulard. Quand on voit qu’il y a des ouvrages entiers qui ne parlent que de cela, on est en droit de se poser des questions. Les islamophobes et tous ceux qui se focalisent sur ce sujet sont par ailleurs obnubilés par lui au point où nous n’arrivons plus à en discuter. » Elle réitère cependant sa position de principe sur le port du voile : un acte de liberté. « Le voile soulève en France une hystérie politique collective difficilement compréhensible. Les propos d’Emmanuel Macron sur le voile sont en décalage avec son très beau discours sur la laïcité aux Bernardins. C’est très triste. On crée des frustrations de part et d’autres. Les femmes musulmanes sont les principales victimes car elles sont culpabilisées. Le voile est une liberté de choix spirituel. L’imposer ou l’interdire relève d’une même logique totalitaire. »

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Nouvelle grille salariale dans le secteur de l’enseignement primaire, moyen et secondaire : Il y en aura pour (presque) tout le monde.
Le phénomène prend de plus en plus d’ampleur : Plus de 50 % des Algériens ont recours à l’automédication.
Projet de la Grande Mosquée d’Alger : Livré fin 2018.
Levée de la suspension à l’importation d’intrants de produits alimentaires : Bonne nouvelle pour l’industrie agroalimentaire.
Clôture de la 29e session du Conseil de la ligue des Etats arabes : Trouver des solutions idoines aux conflits.
Crash de l’avion militaire : Des victimes identifiées, honorées à Aïn Naâdja.
Logement : Ils attendent le paiement de leurs travaux : Des opérateurs du BTPH inquiets.
Séminaire international sur l’économie sociale et solidaire : Pour une meilleure insertion professionnelle des jeunes.
22 wilayas sont concernées : 26 000 logements AADL distribués en mai.
Feu vert de l’UE à l’inclusion du Sahara occidental dans son accord de pêche avec le Maroc : Le Front Polisario condamne.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Syrie : en Algérie, ceux qui n’aiment pas Bachar détestent encore plus l’OTAN.
« L’Algérie ne peut que regretter les frappes qui se sont déroulées cette nuit en Syrie au moment où toute la communauté internationale attendait plutôt l’envoi d’une commission d’enquête pour évaluer où vérifier toutes ces informations relatives à l’usage présumé d’armes chimiques que l’Algérie avait dénoncé ».
Dans une Algérie où le mot « impérialisme » a encore du sens pour une bonne partie de l’opinion, le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a eu une réaction très modérée après les bombardements menés conjointement par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France contre la Syrie.
Les «regrets » du Premier ministre sont en effet très loin de la condamnation quasi-unanime dans les médias algériens qui ne se sont pas privés de rappeler qu’on assiste à un remake de la guerre contre l’Irak au nom des mensonges sur l’existence d’armes de destruction massive.
Les commentaires au vitriol dans les médias, qui correspondent largement aux vues de l’opinion publique, ont amené l’ambassade britannique à Alger à diffuser sur sa page Facebook la déclaration de Theresa May assortie d’une présentation évoquant une «incompréhension » de la presse algérienne sur les raisons qui ont amenées le « Royaume Uni à lancer une opération militaire pour affaiblir les capacités du régime syrien en matière d’armes chimiques ».
Abed Charef, politologue et journaliste respecté en Algérie a partagé le post de l’ambassade britannique en l’assortissant d’un commentaire cinglant : « Il n’y a pas d’incompréhension. Les Algériens considèrent que le gouvernement britannique est menteur, que sa politique est injuste. Irak, Libye et Palestine en témoignent. Pourquoi ce serait différent avec la Syrie? Tiens, ça vous dirait de bombarder une armée qui occupe illégalement un territoire qui n’est pas le sien? On peut vous donner l’adresse ».
Même les islamistes algériens qui, comme tous les islamistes du monde arabe, considèrent que Bachar Al-Assad est un boucher se sentent obligés de tenir compte du rejet instinctif de l’écrasante majorité des Algériens à toute intervention occidentale dans les pays arabes.
Abderrezak Makri, chef du Mouvement de Société de paix (MSP, frères musulmans) a fait une déclaration millimétrée pour condamner les bombardements occidentaux tout en rendant Bachar Al-Assad, responsable du désastre syrien.
Le MSP, écrit-t-il, « condamne l’agression tripartite » contre la Syrie qui « bafoue le droit international » et regrette de voir la Syrie se transformer en « champ de bataille entre des puissances régionales et internationale ». Le MSP considère que « le régime syrien et son président Bachar Al-Assad qui a détruit la Syrie, tué et exilé une grande partie de son peuple sont totalement responsables de ce qui arrive… ». L’exercice d’équilibriste du mouvement islamiste lui vaut d’ailleurs des remarques ironiques sur le mode: « le silence est parfois de la sagesse ».
En Algérie, même si le gouvernement choisit justement le silence par realpolitik pour ne pas distendre les relations avec les partenaires occidentaux, au sein de l’opinion le rejet de l’interventionnisme occidental fait partie de l’héritage «culturel » de la guerre d’indépendance. L’OTAN, avec qui le gouvernement algérien traite et parfois coopère, est très largement considérée comme une menace et un ennemi.
L’OTAN et le printemps arabe.
C’est d’ailleurs l’entrée en action de l’OTAN dans la crise libyenne en 2011 qui a entrainé un changement brusque de l’opinion publique algérienne à l’égard des mouvements dits du printemps arabe. La chute de Ben Ali en Tunisie a été saluée avec ferveur et les débuts de la contestation en Libye également, les Algériens ayant été outrés par les promesses de Kadhafi de liquider ses opposants « zenga zenga, dar bdar » (rue par rue, maison par maison).
La sympathie initiale pour les rebelles libyens a cependant été complètement balayée par l’entrée en lice de l’OTAN et l’activisme de Sarkozy et les poses de Bernard Henry Lévy. L’évolution de la situation de ce pays vers le chaos en Libye a d’ailleurs conforté une partie de l’opinion dans une lecture conspiratrice – encouragée par les médias proches du régime – qui s’est étendue rapidement à la situation en Syrie. La montée de Daech a aussi fait basculer les hésitants qui préfèrent la « dictature de Bachar » à l’oppression absolue des « daéchiens ».
Le discours anti-chiite des saoudiens relayé en Algérie par les salafistes et certains médias n’a pas eu d’impact au-delà des islamistes. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, reste populaire et il est perçu, non comme un religieux chiite mais comme un « résistant ».
« Tous les Algériens ne sont pas des fans de Bachar Al-Assad, beaucoup considèrent que c’est un dictateur largement responsable du désastre, mais ils n’aiment vraiment pas l’OTAN qu’ils continuent de percevoir comme une entité hostile » estime un journaliste. « Même ceux qui n’aiment pas Bachar Al-Assad, n’aiment pas l’OTAN encore plus. Ils ne peuvent approuver une action militaire des occidentaux et encore plus en dehors du cadre de l’Onu, cela fait partie d’une culture politique très ancrée ».
Par notre correspondant en Algérie, Rafik Larbi.
Les « Muslim Talks » : une estrade donnée aux musulmans inspirants.
Les conférences TED (Technology Entertainement Design), créées aux Etats-Unis, ont propulsé des esprits brillants comme Bill Gates, Jane Goodall, Al Gore et bien d’autres. Cette prise de parole d’environ 18 minutes, permet à des intervenants (philosophes, poètes, scientifiques, artistes et autres) de partager « des idées qui valent la peine d’être diffusées » auprès du grand public et d’exposer leurs visions du monde, en vue de l’améliorer.
Un concept qui s’est largement diffusé en Europe et dont l’association The Muslim Think Tanks – organisation qui propose des espaces d’échange sur les questions liées à l’islam et aux musulmans – s’est également inspirée.
Pour la troisième fois, le 5 mai à Paris, l’association organise un évènement appelé « MTalks : Inspirations », où s’exprimeront six personnalités aux idées innovantes, avec un parcours atypique ou possédant une compétence remarquable.
« Les MTalks sont effectivement pensé comme des TED mais sous un prisme musulman. Le but est de donner la parole à des gens experts dans leur domaine mais peu connus. Nous souhaitons mettre en avant des musulmans inspirants, leur donner une estrade », explique Inès, membre active de l’association.
Un évènement qui répond à l’un des objectifs du Muslim Think Tanks, qui est de « sensibiliser à la pluralité intellectuelle et spirituelle des musulman(e)s ».
Les éditions précédentes avaient mis en lumière des profils divers comme Fatoumata Kebe, astronome venue parler des déchets dans l’espace, la sociologue Fatima Khemilat s’exprimant sur le concept d’épistémicide, mais aussi le pianiste Marouan Benabdallah, ou encore Abd Al Karim Steve, spécialiste en développement personnel.
« Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir »
Cette année, les intervenants – dont l’identité ne sera révélée que le jour J – mettront à l’honneur la philosophie, l’anthropologie, les nanosciences ou encore la spiritualité…
Des « speakers » d’excellence qui sont toujours préalablement formés à la prise de parole et à l’éloquence par l’association. Ils n’ont en effet qu’entre 8 et 15 minutes pour partager et vulgariser leurs travaux devant le public.
« Nous accordons aussi beaucoup d’importance à la scénographie, au décor. Cela contribue à rendre les gens fiers de leurs travaux et de faire partie de cette communauté », précise Inès, une des bénévoles chargées des « speakers ».
Ces derniers verront d’ailleurs leur intervention filmée de façon professionnelle, puis mise en ligne sur la chaine Youtube de l’association afin de diffuser plus largement leurs idées.
Pour l’occasion, les « speakers » et le public seront accueillis à l’auditorium de la Bibliothèque Nationale de France, où plus de 350 personnes sont attendues. A la fin des interventions, les spectateurs seront conviés à un cocktail pour un moment d’échange avec les conférenciers. « Le but est que le public ressorte inspiré, avec l’envie d’agir », conclu Inès.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

1 million d’arrestations documentées depuis le début de l’occupation en 1948
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Selon les données palestiniennes sur les droits de l’homme, environ un million de cas d’arrestations ont été documentés depuis le début de l’occupation sioniste en 1948
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Hamas: Nous avons le pouvoir de forcer l’occupation à libérer les prisonniers
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Qalqiliya: 15 dunums agricoles dévastés pour servir un plan colonial
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L’occupation empêche l’entrée du maire de Gennevilliers pour son soutien au BDS
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Les Autorité Palestinienne arrêtent 4 citoyens en Cisjordanie
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Une voiture de colons caillassée à Hébron
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L’occupation ferme le centre Elia à Jérusalem
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59 colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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En Cisjordanie, une nuit d’arrestations et d’attaques de colons
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Le CNP exige la présentation du dossier des prisonniers à la CPI
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Les forces d’occupation arrêtent trois maqdessites sous prétexte d’avoir brûlé le drapeau d’Israel
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Les colons israéliens éclatent de rire alors que les snipers tirent sur les manifestants de Gaza
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Le CLP se réunit à la frontière de Gaza pour célébrer la journée des prisonniers.
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Les colons lèvent des drapeaux israéliens sur la mosquée Ibrahimi
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Un étudiant arrêté à un poste de contrôle militaire à Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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