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Flash info pour le 18 Rajab 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les Américains vont collaborer aux projets Vision 2030 du prince héritier.
L’appétit gargantuesque du prince héritier, Mohammed bin Salman attise les convoitises. Ses ambitions démesurées de transformer le pays en un vaste chantier qui donnera naissance à une ville futuriste sur les bords de la Mer rouge, aux confins de la Jordanie et de l’Egypte, intéressent au plus point ses alliés occidentaux.
Les américains, alliés traditionnels des Saoudiens espèrent bien obtenir une part du gâteau en prenant part aux grands travaux qui se préparent.
Dans le cadre de projets conjoints entre américains et saoudiens, Mohammed bin Salman a rencontré 40 dirigeants de plusieurs entreprises américaines. L’objectif de la rencontre était d’entériner des projets conjoints concernant notamment NEOM, la mégapole du futur, mais aussi de plancher sur d’autres projets dont une cinquantaine d’îles de la Mer Rouge transformées en stations balnéaires de luxe.
Depuis le deuxième Forum des PDG saoudiens et américains qui s’est tenu à New York le 27 mars dernier, les deux pays ont émis le souhait d’établir de nouveaux partenariats et de promouvoir le commerce bilatéral, 36 mémorandums ont d’ailleurs été signés pour une valeur de 20 milliards de dollars
Dans un pays où plus de 70 % de la population a moins de 30 ans, le plan Vision 2030 du prince héritier séduit les jeunes Saoudiens.
Ces projets ont pour objectif de sortir le pays de la dépendance à l’or noir mais aussi de permettre au prince héritier de donner une image plus moderne de l’Arabie Saoudite.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Le président Erdogan clashe Netanyahou et traite israel d’état terroriste ! VIDEO.
Le silence des pays occidentaux face au massacre commis ce vendredi à Gaza est assourdissant.
Les gouvernements des pays arabes sont eux aux abonnés absents comme à leur habitude.
C’est dans ce contexte que le président turc Erdogan a tenu à montrer sa différence dans un discours dans lequel il a dénoncé la politique terroriste israélienne envers le peuple palestinien.
Ce massacre israélien a fait 17 morts et des milliers de blessés palestiniens …
Un point de plus gagné pour celui que les rues arabes et musulmanes plébiscitent de plus en plus.
“Ils (les israéliens) sont lâches. [… ].
Vous êtes un état terroriste. [ … ].
(Netanyahou) vous n’avez pas un ami dans le monde !”.
Le message a le mérite d’être clair …
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Chine : un livre blanc du gouvernement recense les religions et ses adeptes .
Politiques et pratiques chinoises en matière de protection de la liberté de croyance religieuse, tel est le titre du livre blanc publié mardi 3 avril par les autorités chinoises. Ce document, édité par le Bureau de l’information du Conseil des affaires d’État, recense les religions officielles du pays et le nombre d’adeptes pour chacun des cultes. Il souligne aussi, selon l’agence de presse chinoise Xinhua, les droits de chaque citoyen à une liberté de croyance religieuse.
Selon le document, la Chine compte presque 200 millions de croyants et 380 000 membres du personnel religieux. Les clergés bouddhiste et taoïste représentent à eux seuls respectivement 222 000 personnes et plus de 40 000 personnes. Le nombre de croyants de ces deux cultes est en revanche non quantifié « en raison du manque de procédures strictes à suivre afin de devenir un pratiquant officiel de ces deux religions ».
Les protestants sont au nombre de 38 millions de personnes, tandis que son clergé s’élève à 57 000 personnes, loin derrière les catholiques qui sont six millions, avec un clergé totalisant 8 000 personnes.
L’islam compte plus de 20 millions de fidèles en Chine, réparties dans dix ethnies minoritaires à majorité musulmane, et compte 57 000 personnes parmi le personnel religieux. Sur les 144 000 lieux de cultes enregistrés en Chine, 35 000 sont des mosquées.
Si le livre blanc insiste sur la nécessité d’indépendance et d’autonomie des organisations religieuses chinoises, il n’implique pas une rupture des relations entre elles et celles basées à l’étranger, insiste-t-on.
« Le gouvernement chinois soutient et encourage toutes les religions dans le pays à développer (…) des échanges avec l’étranger, ainsi qu’à établir, développer et consolider leurs relations amicales avec les milieux religieux étrangers, afin d’accroître la confiance mutuelle, de dissiper les malentendus et de donner une bonne image » mais il « combat fermement et punit (…) les organisations et individus étrangers qui profitent de la religion pour procéder à des infractions à la Constitution, aux lois, aux règlements et aux politiques chinois, contrôler les organisations religieuses chinoises, ainsi qu’intervenir dans les affaires religieuses chinoises, voire même tenter de recourir à la subversion contre le pouvoir et le régime socialiste chinois », fait-on savoir dans le livre blanc.
Le livre blanc entend insister sur l’importance, pour le gouvernement, du respect de la liberté religieuse. Il est ainsi indiqué que « les croyants bénéficient des mêmes droits que les non croyants sur les plans politique, économique, social et culturel ; et leur croyance différente n’aboutit pas à une inégalité en matière de droits », tout en insistant sur le fait que « l’Etat prend des mesures pour restreindre la propagation et le développement de l’extrémisme ». Au nom de cette même lutte contre l’extrémisme, les religions, en particulier le christianisme, l’islam et le bouddhisme tibétain, restent étroitement contrôlées par les autorités.
Bulgarie : une mosquée de l’ère ottomane sera rénovée grâce à la Turquie .
En Bulgarie, la mosquée Ibrahim Pacha, une bâtisse vieille de 500 ans, reste l’une des plus importantes œuvres architecturales ottomanes encore debout à notre époque.
Le gouvernement bulgare a donné le feu vert en mars au projet de rénovation de la plus grande mosquée des Balkans datant de l’époque ottomane présent dans le pays. La restauration financée par la Turquie est estimée à plusieurs milliards de dollars et est le fruit d’une série de négociations entre les deux pays.
La mosquée Ibrahim Pacha, une bâtisse vieille de 500 ans, reste l’une des plus importantes œuvres architecturales ottomanes encore debout à notre époque. Cependant, elle est en piteux état comme plusieurs autres lieux de culte musulmans à travers la Bulgarie.
Grâce à ce projet, ce monument historique et architectural située dans la ville de Razgrad, en Bulgarie, sera restauré et rénové. Une fois les travaux terminée, la mosquée sera ouverte au public.
La Bulgarie compte une vingtaine de mosquées historiques à rénover, le temps et l’usure ayant eu raison d’une ou de plusieurs parties de leurs structures. Le pays renferme également des trésors architecturaux et historiques tels que les bains (hammam) turcs, qui ont besoin d’un bon coup de neuf.
USA : un hôpital du Michigan poursuivi après l’agression d’une femme voilée. vidéo.
Une agression d’une particulière violence a été filmée par une caméra de vidéosurveillance d’un hôpital de Dearborn (Michigan), aux Etats-Unis.
Une jeune femme de 19 ans, de confession musulmane et portant le voile, s’était rendue à l’hôpital Beaumont lorsqu’elle a été frappée plusieurs fois au visage par un homme dans le hall. Il a très vite été maîtrisé par des agents de sécurité mais a laissé des traces sur sa victime, sans compter les séquelles psychologiques.
Les faits se sont produits le 10 février mais n’ont connu une forte médiatisation que ces derniers jours lorsque la jeune femme a décidé de porter plainte contre l’établissement hospitalier. Elle réclame des dommages et intérêts à hauteur de 25 000 dollars (20 000 euros).
Selon son avocat Majed Moughni interrogé par CBS, l’agression était de nature islamophobe. Par ailleurs, il accuse l’hôpital de ne pas avoir suffisamment pris en charge John Deliz alors que son état de santé l’exigeait. L’agresseur, âgé de 57 ans, est bipolaire et schizophrène et errait dans les couloirs de l’hôpital dans l’attente d’un taxi avant l’agression. « Elle ne sera probablement plus jamais la même personne » après cet acte de haine, a-t-il fait valoir.
reportage a voir sur saphirnews.com.
Islamophobie : face à la menace, #LoveAMuslimDay pour refuser de céder à la peur.
Quelques semaines se sont écoulées depuis que la lettre « Punish a Muslim Day » encourageant des violences massives à l’encontre les musulmans pour la journée du 3 avril a fait jour en Grande-Bretagne.
Des appels à la prudence ont été lancés les deux dernières semaines de mars parmi les musulmans, certains allant jusqu’à ne pas sortir le 3 avril ou encore à encourager les femmes musulmanes à rendre moins visibles leurs voiles et à se déplacer en groupe pour chercher leurs enfants à l’école.
Si cette menace a bien suscité une réelle inquiétude au sein des communautés musulmanes britanniques mais aussi américaines, les autorités ont assuré qu’elles mettront tout en oeuvre pour empêcher toute forme de crime de haine. La police antiterroriste a d’ailleurs ouvert une enquête pour connaître l’origine des lettres.
Il faut refuser de céder à la peur. En ce sens, et en réponse aux menaces islamophobes, le mot d’ordre « Love a Muslim Day » a été lancé dont l’association de lutte contre l’islamophobie Muslim Engagement & Development (MEND) est à l’origine. A l’instar d’autres organisations musulmanes, elle « conseille explicitement tous les musulmans britanniques et tous les autres à continuer leurs activités quotidiennes comme d’habitude » tout en faisant preuve de vigilance.
Outre une mobilisation en ligne avec le hashtag #LoveAMuslimDay, des actions locales ainsi que des rassemblements sont également organisées dans plusieurs villes comme Bradford, Wakefield, Sheffield, Leeds et Cardiff pour contrecarrer les messages haineux.

Sur oumma.com, voici les titres.

“Domestique à vendre” : ce trafic neo-esclavagiste sur les réseaux sociaux en Arabie Saoudite.
Les annonces s’affichent sur Snapchat, Instagram ou Twitter, en mettant en avant des “domestiques à vendre” en Arabie Saoudite. La pratique est malheureusement légale, et permet surtout de contourner la loi… Interview exclusive avec une domestique qui a refusé cette situation.
reportage a voir sur oumma.com.
Les maladies mentales des Palestiniens, ces ravages cachés de l’occupation israélienne.
Psychiatre, psychothérapeute et écrivaine palestinienne, le Dr Samah Jabr est l’invitée de l’Esprit d’actu à l’occasion de la parution de son livre “Derrière les fronts. Chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation.” (Ed. Premiers matins de novembre).
Dans ce recueil de chroniques quotidiennes, elle évoque les divers traumatismes psychologiques ainsi que les maladies mentales dont sont atteints les Palestiniens. Ces ravages cachés de la vie sous le joug d’Israël sont la conséquence directe de la répression impitoyable qui les frappe au quotidien. La pratique de la torture dans les prisons où sont incarcérés de nombreux adolescents palestiniens, outre l’horreur qu’elle représente, nuit gravement à leur développement, quand elle ne le stoppe pas violemment.
Le Dr Samah Jabr est également le grand témoin du film-documentaire réalisé par Alexandra Dols “Derrière les fronts : Résistances et Résilience en Palestine“, ou quand le poids des mots s’associe à la force de l’image pour rendre visibles les souffrances invisibles causées par l’occupation israélienne.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

La mobilisation pour la libération préventive de Tariq Ramadan se poursuit.
La 35e Rencontre annuelle des musulmans de France a été l’occasion d’observer l’attention accordée au traitement inégalitaire de l’intellectuel suisse Tariq Ramadan maintenu en détention malgré un état de santé jugé alarmant par ses proches et plusieurs médecins. Si le comité Free Tariq Ramadan était présent, d’autres militants très actifs ont répondu aux questions de Mizane.info pour faire le point sur la mobilisation.
Cette 35e Rencontre annuelle des musulmans de France était incontestablement différente des précédentes. Le traumatisme de la communauté musulmane de France consécutif à l’arrestation et à la détention préventive de Tariq Ramadan pour des accusations de viol, et la détérioration de son état de santé, était perceptible. Une certaine mélancolie teintée de stoïcisme planait dans l’air. Mais sur le stand Free Tariq Ramadan, le calme et la détermination s’affichaient sur les visages. Tracts et initiatives pour la libération de l’intellectuel suisse étaient présents sur le stand. Une lettre adressée au président de la République Emmanuel Macron appelle à « le faire libérer au plus vite, en attente de son jugement », « à veiller à ce que les institutions fassent preuve d’objectivité » et au respect de sa présomption d’innocence. Une pétition a déjà recueilli plus de 130 000 signatures et une seconde cagnotte pour financer les frais de la défense a permis de récolter près de 70 000 euros.
« Briser le silence assassin ».
Mais sur le front de la mobilisation en faveur des droits de Tariq Ramadan, Free Tariq Ramadan n’est plus seul. D’autres comités émergent. Depuis plusieurs semaines, le Collectif la loi de Thémis organise chaque week-ends des rassemblements Place du Trocadéro depuis le 3 mars pour exiger la libération préventive de Tariq Ramadan, le droit à des soins sérieux (l’homme souffre de scléroses en plaques et de neurasthénie) et le respect de sa présomption d’innocence. A sa tête, Khadra Arabya, une quinquagénaire, mère de famille, résolument active sur le terrain des droits, militante contre la guerre en Irak ou pour le droit au logement. S’appuyant sur l’article 9-1 du code de procédure pénale et l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, Khadra dénonce une violation du traitement équitable de Tariq Ramadan par la justice française et une détérioration inquiétante de sa santé.
La loi « donne des droits et des moyens pour permettre aux présumés innocents de récolter des preuves matérielles et des moyens à décharge, et cela n’est pas appliqué ». Le silence médiatique autour de ces conditions d’incarcération a été un facteur déclencheur dans l’engagement de Khadra. « L’objectif était de briser ce silence assassin en donnant une visibilité médiatique à notre revendication de justice ».
Ne pas islamiser l’affaire Ramadan.
« Nous dénonçons la mise en place d’un tribunal médiatique autour d’une seule version de l’affaire ». « L’accusation a porté l’affaire sur la place publique. Il fallait répondre et amener les preuves à décharge », poursuit la militante, dans une allusion critique à la stratégie de l’ancien avocat de Tariq Ramadan, Yassine Bouzrou, qui avait opté pour un silence médiatique.
La partie civile a rétorqué le certificat médical pénitentiaire au prétexte que le médecin s’appelle « Farid ». Une faute grave qui n’a pas été sanctionnée en dépit du fait qu’il s’agit d’une attitude raciste. « Aujourd’hui, c’est Tariq Ramadan, demain ce traitement peut être appliqué pour n’importe quel homme ». « Nous appelons à des rassemblements citoyens car tout le monde est concerné par ce problème de liberté et par l’application de la loi. Il ne faut pas islamiser cette affaire ». Khadra et son collectif ont réalisé une carte postale adressée au président de l’Assemblée nationale, 4e personnage de l’Etat. « Nous avons adressé un courrier à la ministre de la Justice qui ne répond pas », ajoute-t-elle dans la foulée. Pour Khadra Arabya, le prolongement de la détention de Tariq Ramadan est inacceptable au vu de son état de santé (l’intellectuel se déplace en fauteuil roulant), et il y a urgence à agir.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Disponibilité des sachets de lait : Le diktat des distributeurs.
Les distributeurs, à l’origine d’une » pénurie » fabriquée de toutes pièces, avancent des revendications qui servent leurs intérêts propres, au détriment de la filière et de la communauté.
Si Afif reçoit Zwelivelile Mandela, parlementaire et petit-fils du leader sud-africain Nelson Mandela : Les héros ne meurent jamais.
Les ravages de la rougeole : 6.438 cas recensés dans 29 wilayas, dont 9 décès.
Coup de gueule : Les martyrs du retour en Palestine indiquent la voie.
Un massacre de plus perpétré par l’occupant sioniste : 15 martyrs et près de 1500 blessés, c’est le bilan provisoire de la journée de la terre, le 30 mars 2018, proclamée également » marche du retour » par la coordination de la » grande marche du retour « , composée des organisations de la résistance palestinienne.
A la suite d’une rencontre décisive entre Hasbellaoui et les médecins résidents : La » fièvre » baisse enfin.
Le ministre de la Justice plaide pour diversifier la formation : Un programme pour juges et magistrats.
Relations algéro- roumaines : Toujours au beau fixe.
L’ultime réunion du conseil de discipline du FLN reportée au 10 avril : Benzaïm, Ould Hocine et Benaouda croisent les doigts.
Programmation d’une série de rencontres entre Benghabrit et les syndicats : Sur le chemin de l’apaisement…
Le marché informel favorise les produits contrefaits : Une réelle menace pour la santé des Algériens.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Arabie Saoudite : « MBS » fait un pas de plus vers Israël.
La normalisation des relations entre le royaume saoudien et Israël n’est pas encore au menu du roi. Mais en déclarant au journal The Atlantic que « les Israéliens ont droit à leur propre terre » lors de son voyage aux Etats-Unis, le prince héritier Mohammed Ben Salman a fait un pas de plus en direction de l’Etat hébreu. Une phrase qui montre ce que seront les relations israélo-saoudiennes dans les décennies à venir.
En effet, depuis plusieurs mois, l’Arabie Saoudite a adressé à l’Etat hébreu des messages positifs. Des gestes d’ouverture qui sont allés d’une convocation de Mahmoud Abbas pour lui présenter un accord de paix non négociable à l’annonce par la Ligue Arabe du classement du Hezbollah comme parti terroriste.
Reste désormais à savoir jusqu’où peut aller « MBS ». Officiellement, le prince héritier veut « obtenir un accord de paix pour garantir la stabilité de chacun et entretenir des relations normales. » Autrement dit, une fois l’accord signé, l’Arabie Saoudite pourrait bien normaliser ses relations avec Israël. Le futur roi oublie cependant de dire ce qu’il entend par ses déclarations. Selon les fuites, l’accord de paix présenté par le prince héritier à Abbas n’était pas conforme aux résolutions de l’ONU et semblait en défaveur des Palestiniens.
Services secrets saoudiens et israéliens se rapprochent
Le royaume wahhabite est-il donc en train de lâcher la Palestine ? Les relations de « MBS » avec l’administration Trump laissent présager le pire : le prince héritier a d’ailleurs indiqué qu’il « partageait beaucoup d’intérêts avec Israël. » Il englobe dans cette convergence d’intérêts les pays du Conseil de coopération du Golfe.
Ce rapprochement entre Saoudiens et Israéliens est surtout l’occasion pour les deux pays d’unir leurs forces contre l’ennemi commun : l’Iran. Israël voit en ce dernier un ennemi de plus en plus dangereux notamment à cause du conflit syrien. L’Iran est également un point de divergence entre l’Arabie Saoudite et le Qatar.
En attendant de voir ce que l’avenir réserves, les relations entre Israël et le royaume saoudien se sont bel et bien réchauffées : Riyad a, pour la première fois, autorisé un vol israélien dans son ciel et, selon Le Figaro, des échanges entre responsables des renseignements israéliens et saoudiens seraient actuellement en cours. « MBS » a beau nuancer ses propos sur Israël en rappelant son attachement à la mosquée de Jérusalem, nul doute que l’avenir entre le royaume et l’Etat hébreu s’éclaircit de jour en jour.
Marseille : islamophobie non sanctionnée au sein de la police municipale.
Il veut une « France sans Islam » et la mise en place d’un « bouclier anti-Islam. » Le directeur de la police municipale de Marseille a tenu, sur son compte Facebook, de nombreux propos antimusulmans. Mais ce n’est pas tout : celui qui était aussi adjoint de Marc Labouz, patron des policiers municipaux de Marseille, faisait la promotion du sénateur d’extrême droite Stéphane Ravier.
Des messages qui, lorsqu’ils ont été découverts par sa hiérarchie, n’ont donné lieu à aucune sanction. Si un proche du dossier affirme au Point que le fonctionnaire de police « a outrepassé et largement son strict devoir de réserve », l’absence de sanction étonne chez les collègues d’Alain Q.
Marc Labouz, patron de la police municipale, est pourtant au courant des publications diffusées par son adjoint sur les réseaux sociaux. Il lui a simplement donné un simple avertissement écrit : Marc Labouz a convoqué Alain Q. le 9 mars des faits « pour des faits manifestement incompatibles avec (ses) fonctions. » Le fonctionnaire a reconnu les faits. « Ces agissements sont totalement inadmissibles qui plus est venant de la part d’un fonctionnaire de votre rang. Votre positionnement hiérarchique et vos fonctions d’encadrement vous imposent un devoir d’exemplarité et de neutralité », écrit Marc Labouz.
Mais comment de tels propos peuvent passer sans être plus durement sanctionnés qu’un simple rappel à l’ordre ? L’association SOS Racisme s’étonne et publie un communiqué dans lequel elle indique que « lutter contre le racisme n’est pas seulement une question de mots » mais aussi « une affaire d’actes. » L’association estime que « les appels à une ‘France sans Islam’ ou à un bouclier ‘anti-Islam’ en provenance de ce responsable de police ne peuvent en aucun cas se solder par un rappel à l’ordre. »
Une ONG britannique appelle à « aimer un musulman ».
Le mois dernier, des extrémistes britanniques lançaient la campagne #PunishAMuslimDay — comprenez « Punir un musulman ». Des brochures circulaient alors dans plusieurs villes d’Angleterre, proférant des menaces à l’encontre des musulmans. « J’exhorte nos communautés à être vigilantes mais pas effrayées », déclarait alors également la police du West Yorkshire.
En réponse aux extrémistes, des activistes ont lancé, sur les réseaux sociaux, le hastag #LoveAMuslimDay. L’objectif : « Aimer un musulman » en ce mardi 3 avril, jour lors duquel étaient prévues les violences antimusulmans. L’initiative est née de l’ONG anti-islamophobie MEND Community. L’association compte apporter une « réponse idéale à la haine et à l’intolérance » avec ce hashtag.
Parce que les initiateurs de la campagne #PunishAMuslimDay voulaient mettre en avant la « race blanche », l’ONG MEND Community a décidé de publier une citation de Martin Luther King : « L’obscurité ne peut pas chasser l’obscurité, seule la lumière peut faire cela. La haine ne peut pas chasser la haine, seul l’amour peut faire cela. »
L’opération peut paraître niaise — les initiateurs de la campagne ont mis en place un système de notation pour les personnes qui, aujourd’hui, souriront à un musulman, inviteront un musulman à boire un café ou feront, dans quelques semaines, le Ramadan —, elle permet de sensibiliser à des causes comme la guerre au Yémen, à la cause des Rohingyas ou encore à la Syrie.
Antisémitisme et banlieues : Non, Yvan Attal n’a pas « recadré » Booder.
Recadrer : verbe qui signifie « situer un projet, une action dans le contexte présent. » Quand, lors de l’émission « Salut les Terriens ! », Yvan Attal a parlé de l’antisémitisme dans les banlieues, la presse à clics s’est jetée sur le sujet pour titrer : « Yvan Attal recadre Booder ».
Retour sur les paroles de l’acteur. Lorsque Booder explique qu’il est « de confes­sion musul­mane » et que « dans (sa) famille, (son) voisin d’en face est juif, en haut il est athé, en bas il est chré­tien », Yvan Attal réplique. « Il y a un moment où les musul­mans de France ne peuvent pas faire comme s’ils ne se rendaient pas compte qu’il y avait des musul­mans de France modé­rés répu­bli­cains mais qu’il y avait une partie d’une popu­la­tion musul­mane qui est extré­miste, qui tient un double discours », a réagi Yvan Attal.
Egalement réalisateur de « Ils sont partout », un film sur l’antisémitisme et les clichés à l’encontre des juifs, Yvan Attal assure alors qu’« il y a un anti­sé­mi­tisme évident dans toutes ces banlieues. On ne peut pas faire comme si ça n’exis­tait pas. » Et l’acteur d’enchaîner : « C’est aussi aux musul­mans de France de descendre dans la rue et d’expri­mer cette chose. De dire : ‘Nous sommes musul­mans de France, notre reli­gion n’est pas incom­pa­tible avec la Répu­blique et nous combat­tons tous les musul­mans qui ne sont pas compa­tibles avec la Répu­blique.’ »
Le discours d’Yvan Attal a été maintes fois entendu : demander aux musulmans de descendre dans la rue pour crier haut et fort qu’ils se dressent contre d’autres musulmans qui les impliqueraient, ce n’est pas vraiment l’idée que l’on peut se faire de la République une et indivisible.
Surtout, Yvan Attal parle une nouvelle fois d’antisémitisme qui serait spécifique aux banlieues et donc, d’après son raisonnement, aux musulmans. Sans s’appuyer sur aucune étude sérieuse. Comme l’indiquait Slate, très peu d’études sont disponibles sur le sujet. Oui, l’antisémitisme existe dans les banlieues, parce qu’il existe en France. « La péjoration du juif, explique le magazine en ligne, retrouve sa classique fonction politique interclassiste. »
Ce week-end, lors de l’émission de Thierry Ardisson, Yvan Attal n’a donc pas « recadré » Booder, mais il a bien stigmatisé les quartiers populaires, faisant fi d’une donnée importante : l’antisémitisme en France est latent, et il concerne toutes les classes, toutes les religions et toutes les origines ethniques.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Palestine : Gaza est Soweto revisité.
La colère dans et en dehors de Soweto était juste et justifiée. La colère dans et en dehors de Gaza est juste et justifiée, elle aussi, écrit Mitrovica (Khalil Hamra/AP)
Je suis en colère.
L’une des conventions de l’écriture d’une rubrique est que vous n’êtes pas censé écrire la « colère ». Des auteurs plus polis, plus aimables, qui écrivent des rubriques polies, aimables, écartent souvent les rubriques « colériques » comme étant des « imprécations ».
Alors, juste un avertissement aux chroniqueurs polis, aimables et à leurs lecteurs serviles : il vaut mieux que vous arrêtiez là la lecture de cette rubrique car vous êtes sur le point de digérer ce qui peut constituer, étant donné vos sensibilités toujours si fragiles, une « imprécation ».
Mais, écoutez bien ceci : cette rubrique n’est pas une « imprécation ». Elle est la vérité. Et, comme moi, d’innombrables personnes, en d’innombrables endroits, ne pourront plus être polis ou aimables pour décrire – en utilisant un langage direct, simple, plutôt qu’une broderie diplomatique mêlée de jargon – la vérité sur la façon dont Israël a transformé Gaza en Soweto – tandis qu’Israël est devenu l’Afrique du Sud – des années 1976.
D’innombrables personnes, en d’innombrables endroits, se souviennent du jour où les policiers sud-africains – devenus les exécuteurs consentants au service d’un régime d’apartheid agonisant – ont abattu des vingtaines d’étudiants noirs non armés qui marchaient avec défi pour défendre leur liberté, leur dignité et leur terre, le 16 juin 1976.
D’innombrables personnes en d’innombrables lieux ont vu des soldats israéliens – devenus les exécuteurs consentants au service d’un autre régime d’apartheid condamné – abattre 17 Palestiniens non armés qui marchaient avec défi pour défendre leur liberté, leur dignité et leur terre, le 30 mars 2018.
Nous sommes en colère parce que des Palestiniens sont assassinés et mutilés, une fois encore, par les mêmes voyous en uniforme qui ont assassiné et mutilé des enfants, des femmes et des hommes palestiniens durant des générations, à Gaza, en Cisjordanie, et au Liban.
Gaza est Soweto revisité. La colère dans et en dehors de Soweto était juste et justifiée. La colère dans et en dehors de Gaza est juste et justifiée, elle aussi.
Pourquoi sommes-nous, en dehors de Gaza, nous qui sommes les témoins de ce qui est arrivé, une fois encore, aux Palestiniens assiégés, emprisonnés à l’intérieur de Gaza, autant en colère ?
Nous sommes en colère parce que des milliers de Palestiniens non armés qui marchaient ensemble, en paix et solidaires, sur ce qui leur reste de la terre palestinienne dans Gaza, ont été abattus et mutilés par des voyous en uniforme.
Nous sommes en colère parce que des Palestiniens sont assassinés et mutilés, une fois encore, par les mêmes voyous en uniforme qui ont assassiné et mutilé des enfants, des femmes et des hommes palestiniens, en toute impunité, pendant des générations à Gaza, en Cisjordanie, et au Liban.
Nous sommes en colère de voir des enfants palestiniens abattus dans le dos par des voyous en uniforme – les mêmes voyous qui, avec une volée de missiles, ont démembré quatre garçons palestiniens qui jouaient au football sur une plage de Gaza il n’y a pas si longtemps.
Nous sommes en colère de voir ces voyous – perchés en haut de collines, derrière une clôture et planant dans le ciel – autorisés, encouragés, et applaudis, une fois encore, par d’autres voyous en costume bien coupé à assassiner et mutiler des milliers de Palestiniens non armés à Gaza, comme un après-midi de sport enivrant.
Nous sommes en colère parce que, au signal, les mêmes médias indolents régurgitent les mêmes mensonges sur la façon dont des Palestiniens non armés « sont morts » lors d’« affrontements » avec des voyous en uniforme entraînés pour tuer avec des armes à grande portée à une distance confortable.
Nous sommes en colère parce que, au signal, les mêmes médias serviles citant les mêmes responsables israéliens, régurgitent les mêmes mensonges que ces milliers de Palestiniens non armés ne sont tout simplement que des « boucliers humains » pour le Hamas et qu’au fond, ils ont recherché leur propre mort.
Nous sommes en colère parce que, au signal, les mêmes médias indolents trouvent et publient toujours cette image d’un jeune Palestinien lançant une pierre ou un pneu, afin de laisser entendre que ce sont les Palestiniens qui en portent la responsabilité ultime quand ils se font massacrer.
Nous sommes en colère parce des vedettes moralisatrices de pop et de rock, comme Radiohead et Nick Cave, font le choix d’ignorer les appels d’autres artistes à ne pas jouer pour un public qui, pour une grande part, défend, encourage et applaudit quand des voyous en uniforme tuent et mutilent des personnes non armées et démembrent quatre garçons qui jouent au ballon sur une plage.
Nous sommes en colère parce que, même devant la preuve irréfutable que des Palestiniens non armés ont été massacrés par des voyous en uniforme, les mêmes bureaucrates européens recyclent les mêmes lignes prévisibles sur la nécessité pour les « deux camps » de renoncer à la « violence ».
Nous sommes en colère parce que les voyous en costume qui ont donné l’ordre aux voyous en uniforme de tirer et de mutiler des milliers de Palestiniens à Gaza savent qu’ils ne seront jamais tenus pour responsables, une fois encore, par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand, pour leurs crimes contre l’humanité.
Nous sommes en colère parce que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, jubile une fois encore, comme un cacatoès aux plumes lissées, sur les cadavres des Palestiniens, sachant que nul dans la « communauté internationale », y compris dans les démocraties occidentales dites « libérales », ne fera quoi que ce soit pour l’arrêter ou le tuer, car ils sont bien trop occupés à lui serrer la main pour des missions commerciales.
Nous sommes en colère parce que nous savons que les centristes et les néo-conservateurs considèrent tous les Palestiniens comme des « terroristes » et par conséquent jetables, ce sont les « libéraux » faussement vertueux qui parlent et écrivent sur l’ « inviolabilité » des droits de l’homme et du droit international qui sont les vrais et ignobles hypocrites.
Nous sommes en colère parce que des libéraux hypocrites qui se pavanent, comme l’exubérant Premier ministre du Canada Justin Trudeau qui insiste que le mouvement BDS est « inacceptable » et qu’ « il n’a pas sa place sur les campus canadiens », restent silencieux quand « nos amis » au Moyen-Orient font feu à volonté sur des Palestiniens non armés.
Nous sommes en colère parce que des libéraux hypocrites qui se pavanent, comme la toute aussi exubérante ministre des Affaires étrangères du Canada Chrystia Freeland ont publié une déclaration cinglante dénonçant un présumé empoisonnement au gaz neurotoxique par la Russie d’un ex-espion et de sa fille sur le sol anglais comme « un acte méprisable, abominable et imprudent (qui) représente une menace claire pour l’ordre international fondé sur des règles », mais, comme son patron, elle se tait quand des Palestiniens non armés sont assassinés sur le sol palestinien par « nos amis » au Moyen-Orient.
Nous sommes en colère parce que, de toute évidence, Trudeau et Freeland ont oublié les leçons instructives sur la façon dont le Canada a échoué, oui, échoué, à réagir à l’assassinat des innocents non armés à Soweto.
Le mythe qui prévaut est que le Canada a tenu tête à l’Afrique du Sud raciste. Pendant longtemps effectivement, il l’a fait. En effet, tout au long des années 1970, le père de Trudeau, le Premier ministre Pierre Trudeau, s’est opposé à la lutte de libération en Afrique du Sud qui était menée par Cuba.
C’est seulement après une pression soutenue de la coalition anti-apartheid composée d’Églises, de syndicats et d’exilés sud-africains – qui ont été diffamés par les médias comme « sympathisants terroristes » – que le Canada a commencé, tardivement en 1986, à se positionner contre le racisme et le « terrorisme » approuvés par l’État d’Afrique du Sud.
Aujourd’hui, comme hier, le Canada reste muet et impassible alors que des innocents sont assassinés à Gaza.
Les Canadiens qui sont en colère en raison du silence complice du Canada seront, sans nul doute, diffamés comme « sympathisants terroristes », et « antisémites ».
Ne pas s’inquiéter. Comme les Palestiniens le savent, le temps, l’histoire et l’arc lent, inévitable de la justice, sont de notre côté.
Andrex Mitrovica est un journaliste d’investigation primé et professeur de journalisme.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source: Al Jazeera..

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Human Rights Watch appelle à l’ouverture d’une enquête internationale sur le « massacre du Retour »
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Amnesty International « Human Rights Watch » a porté les hauts responsables israéliens responsables de la mort de 14 manifestants et avoir blessé des centaines d’autres, qui ont participé vendredi dernier à la Marche du Retour sur les frontières de la bande de Gaza. Amnesty a demandé à la Cour pénale internationale d’ouvrir une enquête officielle sur les crimes commis en Palestine.
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Les colons juifs prennent d’assaut les anciennes
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L’occupation punit Azzun en ajoutant des sections au mur de séparation
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L’ambassadeur américain accomplit des prières talmudiques au Mur des Lamentations
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L’occupation israélienne arrête 16 palestiniens en Cisjordanie et à Jérusalem
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Kiswani suspend sa grève de la faim en raison de la détérioration de sa santé
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4e jour de « la Marche du retour » : 10 blessés au nord de Gaza
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1045 nouveaux logements coloniaux en cours de construction à Jérusalem
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Des jeunes attaquent des autobus de colons au nord d’Hébron
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Un jeune homme assassiné par l’armée israélienne sous prétexte d’une tentative d’attaque
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Une campagne de raids et d’arrestation en Cisjordanie occupée
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Les forces israéliennes tirent sur un jeune Palestinien et l’arrêtent
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Un responsable de l’ONU: L’enquête sur les incidents de Gaza nécessite un mandat du Conseil de sécurité
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Gaza/ »Marche du Retour »: Protestation à Tel-Aviv contre Netanyahou et son armée fasciste
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L’occupation arrête deux palestiniens lors des confrontations à Nabi Saleh et plusieurs blessés
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246 sionistes envahissent la mosquée Al-Aqsa
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 17 Rajab 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Palestine : La marche de désespoir des Palestiniens se transforme en bain de sang.
Le désespoir de voir un jour leur calvaire prendre fin a poussé une nouvelle fois le peuple Palestinien à braver la mort.
Ils étaient des dizaines de milliers à manifester pacifiquement vendredi 30 mars le long du mur de la honte qui les sépare du reste du monde. Entourés de snipers, de véhicules blindés et de centaines de soldats israéliens lourdement armés, ils ont tout de même tenu à participer à la « grande marche du retour ».
Comme à l’habitude, le gouvernement israélien a avancé le prétexte éculé de la sécurité qui lui permet hélas de tirer sans vergogne sur des civils. Et ce vendredi n’a pas fait exception à la règle, seize Palestiniens ont été tués par les soldats israéliens et 1.400 autres blessés par balles réelles pour la plupart.
Tués pour avoir voulu « franchir la frontière », alors que les Palestiniens dont un grand nombre de femmes et d’enfants ont fait le déplacement dans le seul but de manifester leur ras-le-bol de cette situation qui dure depuis des décennies.
Cela n’a pas empêché le général de division Eyal Zamir de dénoncer l’éventualité de prétendues attaques terroristes.
« Nous identifions des tentatives d’attaques terroristes sous le camouflage d’émeutes », a-t-il affirmé sans toutefois prouver ses allégations.
Le droit au retour des Palestiniens sur leurs propres terres perdues en 1948 est la seule raison qui a convaincu les Palestiniens de sortir hors de chez eux pour manifester et scander « On est debout, on existe ».
Un lopin de terre où s’entasse plus de 1.3 millions de réfugiés, la bande de Gaza est au bord de l’implosion dans l’indifférence générale. Les pénuries sont monnaie courante, eau, électricité, produits de première nécessité, soin, médicaments, tout est contrôlé et distillé au compte goutte par l’état hébreu.
« Je n’appartiens pas à une faction, mais à mon peuple », se défend Rawhi Al-Haj Ali, 48 ans, vendeur de matériaux de construction qui dément les rumeurs d’une quelconque manipulation du Hamas.
« C’est mon sang et mon cœur qui m’ont poussé à venir. »
Pour Ghalib Koulab 50 ans arrivé au lieu de rassemblement de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, c’est le même discours : « On veut envoyer un message à l’occupant », résume-t-il en une phrase.
Pour le ministre israélien de la défense Avigdor Lieberman, il s’agit juste de « Provocation » .
Vieillards, gamins, femmes, étudiants, ils ont marché des kilomètres, affluant par milliers dans chacun des cinq lieux de rassemblement situés le long de la frontière.
Un peuple à l’agonie qui tente de survivre tant bien que mal avec les privations et les humiliations quotidiennes imposées par l’occupant israélien.
Le taux de chômage en Palestine occupée est l’un des plus élevé au monde.
« Personne ne travaille » répond Nasser Chrada, 26 ans originaire de Jaffa transformée en cité balnéaire habitée aujourd’hui par de riches israéliens.
Les Palestiniens veulent récupérer leurs terres et leur autonomie comme l’explique l’un des organisateurs de la manifestation, le journaliste Ahmed Abou Irtema.
« On ne veut pas de nourriture ou d’aide, on veut la liberté, le respect de nos droits. C’est aux Israéliens de résoudre ce problème . »
Les Palestiniens se préparent à une mobilisation de masse prévue jusqu’au 15 mai, date à laquelle les américains prévoient de déménager leur ambassade vers Jérusalem.
Un jour à marquer d’une pierre noire qui sera celui de commémoration de la Nakba, la « grande catastrophe » où des centaines de milliers de Palestiniens furent expulsés de leurs terres.
Casablanca, la Mecque à vélo ! Un pari fou que Karim Mosta 63 ans compte bien réaliser.
A cœur vaillant rien d’impossible et Karim Mosta en est la preuve vivante. A l’âge de 63 ans, Karim n’a rien de l’homme usé n’aspirant qu’à couler une paisible retraite, au contraire ce franco-marocain rêve de grands voyages et d’aventure depuis qu’il est enfant.
Contrairement à certains, ce sportif aguerri à décidé de concrétiser ses rêves. Pas un seul marathon n’a lieu dans le monde sans qu’il n’y participe. Depuis 30 ans, il parcourt le monde, et déclare avoir déjà effectué plus de 217. 000 km, soit cinq fois le tour de la terre et traversé 135 pays « Juste en course à pieds ».
Il a fait « la route de la soie, la route des Incas, la route des rois en Egypte », traversé « le Mexique, la Martinique, la Réunion et la Nouvelle Calédonie ».
« J’utilise mon corps pour voyager et j’ai réalisé mes rêves. Tout est possible, il suffit d’un peu de volonté. On ne peut pas vivre sans objectif. Il faut que je reste dans le mouvement. »
Un périple qui lui a permis de gagner deux Coupes du monde en ultra-marathon en participant à 29 éditions du Marathon des sables.
Des rêves, Karim Mosta en a plein la tête. Lorsque son père qui était navigateur partait pour de longs mois, le petit Karim imaginait déjà ce que serait sa vie plus tard .
« Quand il partait, je voyais la mer et les bateaux et je voulais savoir ce qu’il y avait de l’autre côté », se confie Karim sur les ondes de Radion 2M.
Des années plus tard, Karim a gardé son cœur d’enfant et des rêves plein les yeux. Sa dernière lubie ? Réaliser le trajet Casablanca, la Mecque à vélo.
En avril 2019, le marathonien compte se lancer dans ce qui sera certainement le plus grand défi de sa vie, rejoindre la ville Sainte en vélo. Un périple qui lui prendra quatre mois sur une base de 100 km par jour et un jour de repos.
Il partira du Maroc puis traversera l’Espagne, la France, l’Italie, la Slovénie, la Croatie, la Serbie, la Bulgarie, la Turquie, le Liban, la Jordanie pour enfin arriver en Arabie Saoudite.
« Au total, je ferai 7 500 km en traversant 12 pays. Le plus dur, c’est l’Arabie saoudite, ça sera au moins de juillet. Personne ne sort vu qu’il fait près de 55 degrés. Moi je serai en train de pédaler », dit-il se délectant d’avance de son prochain voyage.

Sur Katibin.fr, voici les titres.

Mohamed Salah, futur Président d’Egypte ?
Mohamed Salah, qui fait les beaux jours de Liverpool avec une saison record (36 buts cette saison) et régulièrement élu « player of the month » outre atlantique, a vu sa notoriété s’accroître pour devenir une énorme star dans son pays l’Egypte. En effet, le joueur a été massivement plébiscité à l’élection présidentielle.
Comme il y a quatre ans, Abdel Fattah Al-Sissi a largement dominé les débats avec 92% des voix, celui-ci va être réélu à la tête de l’Egypte. Son unique adversaire, Moussa Mostafa Moussa, s’est contenté de 3% des voix. Mais les deux hommes ont eu un adversaire inattendu…
Comme le rapporte le journal Al-Ahram : environ un million d’électeurs ont préféré rayer les noms des deux candidats sur leur bulletin. Et parmi ceux-ci, beaucoup ont écrit à la place le nom de Mohamed Salah.
L’attaquant a mené en octobre dernier les Pharaons au Mondial pour la première fois depuis 1990 et son pays le lui rend bien.
L’Egypte connaîtra-t-elle un nouveau Président dans 4 ans ?

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Amar Lasfar accusé par Abdel Zahiri de l’avoir donné à la police. #SalonDuBourget #UOIF. VIDÉO.
Amar Lasfar a-t-il fait expulser violemment par la police le militant contre l’islamophobie Abdel Zahiri ?
Abdel Zahiri affirme en effet avoir été expulsé du salon du Bourget de l’UOIF manu-militari par la police. Dans une vidéo qui a déjà fait des milliers de vues sur Facebook, le militant accuse Amar Lasfar, le président de l’UOIF, de l’avoir dénoncé à la police afin que celui-ci soit interdit de salon.
Le militant indique ainsi avoir été malmené par les forces de l’ordre qui l’aurait traité comme une personne dangereuse suite à des accusations mal intentionnées. Son tord serait d’avoir réclamé à l’UOIF, lors de prise de paroles conventionnelles, un soutien plus direct à Tariq Ramadan lors de ce salon.
Abdel Zahiri apparemment très affecté et quasiment en pleurs accuse directement Amar Lasfar de cette expulsion et de ce mauvais traitement des services de police.
Nous avons demandé à Amar Lasfar de l’UOIF de bien vouloir confirmer ou infirmer ces accusions et attendons sa réponse.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Attentats dans l’Aude : imams et aumôniers se recueillent devant le Super U de Trèbes .
Une délégation de l’Union des mosquées de France (UMF), conduite par son président Mohammed Moussaoui et rejoint par des imams et aumôniers de la région de l’Aude, a déposé une gerbe de fleurs devant le Super U de Trèbes en mémoire aux victimes des attentats du 23 mars. © UMF
Près de dix jours après l’assaut terroriste du supermarché de Trèbes, qui a conclu le parcours meurtrier de Redouane Lakdim depuis Carcassonne, les portes du Super U restent closes. Trois personnes y sont mortes, un client, un employé et le gendarme Arnaud Beltrame.
A la mémoire des victimes de Trèbes et Carcassonne, une délégation de l’Union des mosquées de France (UMF) rassemblant des présidents et membres des régions Occitanie et PACA, s’est rendue, samedi 31 mars, au Super U pour y déposer une gerbe. Le groupe comptait aussi dans ses rangs le président de la grande mosquée de Narbonne, des imams et des aumôniers de la région.
Sur place, la délégation, conduite par le président de l’UMF Mohammed Moussaoui, « a exprimé aux gendarmes en charge de la sécurité des lieux, toute sa reconnaissance et sa gratitude pour leur sacrifice, leur courage et leur abnégation au service de notre sécurité et celle notre pays », a-t-on fait savoir dans un communiqué. Elle a également pu échanger avec la directrice du magasin Super U Samia Menassi, à la tête de l’établissement depuis 25 ans, et « lui exprimer son soutien et sa solidarité face à cette épreuve douloureuse ».
Avant cette visite, une rencontre organisée par l’UMF dans le cadre de son programme consacré à la lutte contre la propagande extrémiste et la radicalisation des jeunes avait réuni imams, aumôniers, responsables de mosquées et jeunes « pour traiter et des valeurs communes et de leur promotion en faveur de la cohésion de notre société ». Une rencontre qui a débuté par une minute de silence à la mémoire des victimes des attentats dans l’Aude.
Etats-Unis : l’opération séduction de MBS auprès de l’AIPAC et plusieurs organisations pro-israéliennes.
Dans le vaste jeu de dupes de la géopolitique, il n’y a rien de surprenant à ce que MBS, le prince héritier saoudien dont on nous vante la politique réformatrice menée au pas de charge, fasse des œillades au puissant lobby pro-sioniste de la première puissance mondiale. Le contraire, en revanche, eût été très étonnant, presque déroutant…
En pleine tournée américaine, Mohammed bin Salman qui serait, dit-on, dans les petits papiers de Netanyahou, a choisi de courtiser les plus zélés et richissimes ambassadeurs et autres thuriféraires d’Israël aux Etats-Unis, ces généreux mécènes de la construction illégale de colonies, à coup de millions de dollars, et farouches opposants au mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), qu’ils exhortent à criminaliser. Rien que du beau linge !
Désireux, sans doute, de donner des gages de loyauté à l’hégémonie israélo-américaine au Proche-Orient et à ses sombres desseins ourdis contre la Palestine, MBS entreprend une véritable opération séduction auprès de cibles triées sur le volet. Il adresse ainsi des sourires complices aux influents dirigeants de l’AIPAC, de Stand Up for Israel (ADL) et des Fédérations Juives d’Amérique du Nord (JFNA), ceux-là mêmes qui ont œuvré, sans peine, pour que Trump se plie à leur diktat au sujet du statut de Jérusalem.
Pour Mahjoob Zweiri, directeur du programme d’études du Golfe à l’Université du Qatar, MBS est en train de mener « une campagne de relations publiques destinée à représenter un nouveau visage du Royaume aux Etats-Unis, flexible et prêt à changer ». « Il essaie de courtiser les Etats-Unis, en leur montrant qu’il soutient leur plan pour Israël-Palestine et leur décision de déplacer l’ambassade américaine à Jérusalem », analyse-t-il dans un entretien à Al Jazeera.
Au cours de sa visite longue de deux semaines, le grand réformateur pressé du désert n’a pas perdu de temps pour banqueter avec le gratin pro-sioniste d’Amérique, dont Bill et Hillary Clinton, l’ancien maire de New York Michael Bloomberg, le milliardaire Rupert Murdoch, sans oublier Jared Kusher, le beau-fils de Donald Trump. Un beauf-fils très proche de son président de beau-père, qui s’avère être l’un des principaux donateurs de l’association « Les Amis américains de Beit EI », du nom d’une colonie israélienne située à la sortie de Ramallah, au sein de laquelle est implanté le siège du gouvernement militaire qui gère les Territoires occupés.
De quoi faire grimper en flèche la cote de MBS auprès du gouvernement ultra-sioniste de Netanyahou, qu’il a, dit-on, déjà très haute…
Canada: La mosquée d’Iqaluit accueille musulmans et non musulmans.
Muezzin de la petite mosquée bleu-turquoise, il appelle à la prière au nord du 63e parallèle. Flanquée de son minaret blanc, la mosquée est sortie de neige en 2016, sans la moindre hostilité. Ahmad Abdoul ne regrette rien de son ancienne vie à Montréal, bien qu’il cumule 2 emplois pour pourvoir aux besoins de sa famille.Côtoyant l’église anglicane en forme d’igloo, la mosquée d’Iqaluit accueille tous les habitants, musulmans et non musulmans. Sidakha Ali, Pakistanais d’origine, a été le premier à s’installer localement, il y a plus de 20 ans.« Les gens ici sont très accueillants. Ils nous font sentir que nous sommes chez nous » La mosquée d’Iqaluit se fond dans le paysage, entourée de neige mais aussi de la chaleur humaine de sa population.
reportage a voir sur oumma.com.
L’Union des Mosquées de France dépose une gerbe au magasin Super U de Trèbes à la mémoire des victimes de Trèbes et Carcassonne.
Une délégation, conduite par le président de l’Union des Mosquées de France et rassemblant des présidents et membres des régions Occitanie et PACA ainsi que le président de la grande mosquée de Narbonne, des imams et aumôniers, s’est rendue, samedi le 31 mars, au magasin Super U de Trèbes pour y déposer une gerbe en hommage au Colonel Arnaud Beltrame, Jean Mazières, Christian Medves, Hervé Sosna, victimes des attentats de Trèbes et Carcassonne.
Sur place, la délégation a exprimé aux gendarmes en charge de la sécurité des lieux, toute sa reconnaissance et sa gratitude pour leur sacrifice, leur courage et leur abnégation au service de notre sécurité et celle notre pays. La délégation a pu également échanger avec la directrice du magasin Super U et lui exprimer son soutien et sa solidarité face à cette épreuve douloureuse.
Cette visite intervenait à l’issue de la rencontre, organisée par l’UMF dans le cadre de son programme consacré à la lutte contre la propagande extrémiste et la radicalisation des jeunes.
L’Union des Mosquées de France de la région Occitanie (UMR-Occitanie), en partenariat avec la grande mosquée de Narbonne, a réuni dans la journée de samedi des imams, aumôniers, responsables de mosquées et des jeunes, pour traiter et des valeurs communes et de leur promotion en faveur de la cohésion de notre société. Parmi ces valeurs, le respect de la vie humaine, une et indivisible, le respect de la dignité humaine, la liberté, l’égalité et la fraternité, la préservation de la paix et le rejet de toute forme de violence, le respect de la laïcité, la justice, etc…
Cette rencontre a débuté par une minute de silence à la mémoire des victimes des attentats de Carcassonne et Trèbes.
Le président Erdogan accuse Nétanyahou d’être un “terroriste”.
“Hé Nétanyahou ! Tu es un occupant ! Et c’est en tant qu’occupant que tu es sur ces terres. En même temps, tu es un terroriste”, a déclaré M. Erdogan, dans un discours télévisé devant ses partisans à Adana (sud de la Turquie).
“Ce que tu fais aux Palestiniens opprimés sera inscrit dans l’histoire et nous ne l’oublierons jamais”, a-t-il poursuivi, ajoutant que “le peuple israélien est mal à l’aise avec ce que tu fais”. “Nous, nous ne sommes coupables d’aucun acte d’occupation”, a-t-il également affirmé.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Permis à points : C’est parti…
Enfin, après quelque retard, voilà le permis à points entre dans l’espace électronique. En effet, hier le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales et de l’aménagement du territoire Noureddine Bedoui a donné hier le coup d’envoi du lancement du permis biométrique électronique au centre national de biométrie d’Alger.
Maintenu en détention préventive en France pour plusieurs agressions sexuelles : Les partisans de Tariq Ramadan se mobilisent.
Sécurité énergétique, hydrique et alimentaire : Les grands défis de l’Algérie.
Représentation syndicale : Les lois jugées obsolètes.
Production industrielle publique : Légère hausse des prix.
Ould Abbès à propos du Fonds de développement du Sud : » Il sera renfloué d’une enveloppe supplémentaire « .
Crise du lait en sachet : La grande colère des distributeurs.
Après avoir été pointés du doigt par le ministère du commerce d’en être les auteurs de cette crise du lait en sachets qui perdure depuis des mois, Certains distributeurs en entamé une grève depuis jeudi dernier. En effet, les distributeurs du lait qui sont en grève critiquent les nouvelles mesures exigés par l’administration de la laiterie de Birkhadem,.
Déclaré hier par Zitouni à Tassaft (Tizi-Ouzou) : « Les valeurs défendues par le colonel Amirouche doivent constituer des repères pour le présent et l’avenir de la nation ».
Les stades de football se muent en réceptacles des rancoeurs juvéniles : La violence, un des reflets du malaise social.
La Turquie met en garde contre : Une » invasion » française dans le Nord de la Syrie Une » invasion » antikurde est- elle plus légale qu’une » invasion » anti EI ?

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Gérald Darmanin admet que l’Etat ne comprend pas grand-chose à l’Islam.
Bien qu’il soit très discret à ce sujet, Emmanuel Macron s’intéresse à l’Islam en France. S’il écoute plusieurs personnalités sur le sujet — Hakim El Karoui et Rachid Benzine en tête —, le président de la République a lancé une grande série de consultations. Parmi les personnes reçues à l’Elysée ou rencontrées hors des murs du palais, Sherin Khankan, la Danoise d’origine syrienne devenue imam, l’islamologue Gilles Kepel ou encore le philosophe tunisien Youssef Seddik.
Une mosaïque de personnalités dont on a du mal à savoir ce qu’elles pourront apporter à Emmanuel Macron. Si, en concertation avec le ministère de l’Intérieur, l’Elysée prépare un « plan d’ensemble » qui doit servir à structurer « l’Islam de France », on a l’impression que les autorités françaises se cherchent sur le sujet.
Il faut dire que l’ignorance a souvent été de mise quant à l’Islam en France : on se souvient par exemple de Sylvie Goy-Chavent, rapporteure d’une mission sénatoriale d’informations sur la filière viande, qui confondait halal et casher lors de l’auditions des représentants du culte musulman ou encore de Manuel Valls qui désire interdire le salafisme en estimant que ce courant est trop politisé.
« Il est extrêmement difficile de fermer des lieux de culte que vous ne connaissez pas ».
Force est de constater que l’Etat patauge. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI ce dimanche, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, a expliqué à demi-mots que les autorités politiques du pays avaient du mal à se prononcer sur une restructuration du culte musulman tant elles ne comprennent pas les enjeux. « Il est difficile de fermer des lieux de culte que vous ne connaissez pas », a-t-il lâché de façon laconique.
Le ministre a estimé qu’il fallait « renforcer » la loi de 1905 tout en avouant que « l’Islam de France n’est pas organisé tel que nous pourrions imaginer qu’il le soit. » Gérald Darmanin indique que « plus de 80% des associations qui gèrent des lieux de culte musulmans sont des lois 1901 » et non des associations cultuelles loi 1905. Le ministre rappelle que « la loi permet de vous réunir sans forme associative » et qu’« il est extrêmement difficile de fermer des lieux de culte que vous ne connaissez pas ou mal. » Un mea culpa qui montre que l’organisation du culte musulman en France pourrait se heurter à un véritable problème de méconnaissance de la part des politiques.
Au Bourget, un soutien sans faille à Tariq Ramadan.
La pensée de Tariq Ramadan « reste intacte. » Malgré son absence lors de la 35e rencontre annuelle des musulmans de France (RAMF), qui se déroulait au Bourget, entre les conférences, il a forcément été question de l’affaire Tariq Ramadan. Lors d’une conférence de presse, le président de Musulmans de France — le nouveau nom de l’UOIF — a tenu à rappeler l’influence qu’avait eue le professeur suisse, qui a régulièrement participé à des conférences depuis 1992 lors des RAMF successives.
Les journalistes présents sur place attendaient nombreux la réaction du patron de l’ex-UOIF. Amar Lasfar a rappelé d’emblée que « personne ne peut remettre en cause ce qu’a fait et ce qu’a apporté Tariq Ramadan. » Du judiciaire, il a également été question lors du jeu de questions-réponses avec la presse. Le président de Musulmans de France a tenu à redire qu’il fallait mettre en avant la « présomption d’innocence » et a estimé que les médias avaient joué un grand rôle depuis plusieurs mois, tout en fustigeant la mauvaise défense de Tariq Ramadan au début de l’affaire.
Dans l’allée centrale, non loin du stand consacré à la Palestine, quatre à cinq militants étaient continuellement présents sur place pour apporter leur soutien à Tariq Ramadan. Bilan après quatre jours : « Un énorme succès, nous confie un bénévole. Il y a eu du monde de 9 heures à 22 heures 30 chaque jour. »
Le succès a effectivement été au rendez-vous : les cinq-cents livres de Tariq Ramadan apportés sur le stand et les six-cents lettres imprimées pour être envoyées à la présidence de la République et au ministère de la Justice ont rapidement été épuisés. « Plusieurs centaines de livres ont été vendus, nous avons dû nous réapprovisionner très vite », indique un militant qui affirme que les bénéfices des ventes « à prix préférentiel » seront reversés à la cagnotte de la campagne Free Tariq Ramadan.
Les courriers, eux, ont permis de s’apercevoir que le soutien ne faiblissait pas après deux mois de détention. « 2 600 courriers ont été envoyés, les gens ont voulu ajouter des mots personnels au président Emmanuel Macron et à la Garde des Sceaux Nicole Belloubet », ajoute un autre bénévole qui raconte avoir vu, depuis le 30 avril dans les allées du parc des expositions du Bourget des personnes « révoltées, en colère et tristes. »
Dans leur courrier-type envoyé à l’Elysée et place Vendôme, les expéditeurs dénoncent le « traitement indigne » dont fait l’objet Tariq Ramadan et demandent « que les institutions fassent preuve d’objectivité. » Ils indiquent également que « l’état de santé de Tariq Ramadan s’est fortement dégradé » et écrivent que la « justice doit respecter Monsieur Ramadan dans ses droits. »
Le prince saoudien, sa maîtresse et le producteur de films X.
Mort en juillet 2015, Saud Al-Faiçal, qui fut ministre des Affaires étrangères saoudien pendant près de quatre décennies, a emporté avec lui un drôle de secret. L’affaire part d’une facture non réglée. Celle-ci est datée de décembre 2015, soit près de six mois après le décès du prince saoudien. La somme en jeu est dérisoire pour le royaume wahhabite : 90 000 euros. Mais son non-paiement donne lieu à une bataille judiciaire qui pourrait écorner un peu plus l’image de l’Arabie Saoudite, dont les discours semblent en décalage total avec les actes.
Retour sur une affaire de mœurs pas comme les autres. Comme le révèle le Journal du Dimanche daté du 1er avril, la société Atyla réclame à la société civile immobilière (SCI) 25 avenue Bugeaud 90 000 euros et, faute de règlement, a décidé de porter l’affaire devant la 7e chambre civile du TGI de Nanterre. Une simple affaire de créances non réglées ? Pas vraiment. L’avocat d’Atyla menace de diffuser des films très compromettants si la SCI saoudienne ne daigne pas régler ses dettes.
Une facture de film X jamais réglée.
Et ces films sont une véritable épine dans le pied de la famille royale : ce sont effectivement des productions pornographiques qui mettent en scène… la maîtresse de Saud Al-Faiça. L’avocat d’Atyla affirme que cette société de « conciergerie privée » a réalisé un film X pour le compte de la SCI 25 avenue Bugeaud. Et « la facture n’a jamais été réglée », indique le requérant, alors que la SCI dément avoir commandé une telle prestation. Une société civile immobilière qui était censée s’occuper de la gestion d’un hôtel particulier situé dans le 16e arrondissement de Paris pour le prince Saud Al-Faiçal et sa famille.
Sauf que l’ancien patron de la diplomatie saoudienne semble avoir utilisé sa société pour des prestations allant bien au-delà de la simple gestion immobilière. Et les Saoudiens ont beau démentir, les faits sont précis : des échanges de courriels relatifs au tournage et au script d’un film X ont même été versés au dossier. L’actrice principale de ce film est marocaine, et serait sans aucun doute la maîtresse de Sauf Al-Faiçal.
Une maîtresse qui hérite d’un appartement de luxe.
Et cette histoire de film n’est peut-être que le début d’un véritable scandale d’Etat. Car la jeune femme marocaine semble avoir profité d’avantages non négligeables de la part de l’ancien ministre des Affaires étrangères. Après le décès du prince, l’actrice d’un jour était par exemple devenue gérante d’une société civile immobilière et donc d’un luxueux appartement qui appartenait à l’époque à Saud Al-Faiçal, assure le JDD. Embêtant au moment où le prince héritier tente de faire croire qu’il lutte activement contre la corruption.
L’omerta autour de cette affaire est totale : ni la maîtresse marocaine, ni la famille royale ne souhaitent réagir. Mais la société qui a facturé le film pourrait bien, si elle livrait le film à la justice, lâcher une véritable bombe, qui ferait tâche. L’affaire doit se plaider mi-novembre, il reste donc quelques mois à la famille royale pour régler cette affaire le plus loin possible des médias. Car à un moment où l’Arabie Saoudite lance une véritable opération de communication pour tenter de faire croire qu’elle avance sur les droits des femmes, une maîtresse qui détient un appartement et qui a joué dans un film X pourrait bien nuire à la communication du royaume.
Racisme dans la publicité : dérapages calculés ou erreurs ?
Un pyjama aux couleurs des camps de la mort ou un jeune garçon noir portant un sweat-shirt indiquant qu’il est « le singe le plus cool de la jungle ». Pas un mois ne passe sans que la publicité tombe dans le racisme. Avec une question-clé : comment, dans un milieu dans lequel des validations sont effectuées par de nombreux départements, de telles erreurs peuvent passer ?
H&M est habitué à la polémique. Et, bien souvent, des excuses suffisent à se faire pardonner. Mais les publicitaires ne feraient-ils pas un peu exprès de verser dans le racisme ? La question, à laquelle répond BBC, peut en effet se poser.
Interrogé par la chaîne anglaise, Paul MacKenzie-Cummins, directeur général de ‘Clearly PR Marketing and Communications’, estime qu’il s’agit d’actes volontaires de la part des marques qui permettent de faire parler de ces dernières dans « un marché ultra-concurrentiel. » Mais, ajoute l’ex-publicitaire, « cela peut être finalement beaucoup plus dommageable pour les marques que ce qu’elles pensent. »
Au-delà des simples « bad-buzz », c’est la question plus globale du manque de diversité dans les publicités qui se pose. Kubi Springer, fondatrice de la société de gestion de marques She Builds Brands, explique que ce manque de diversité dans les spots s’explique par un manque de diversité… dans la société. « Vous avez besoin, au niveau de la direction et des cadres supérieurs, de personnes provenant aussi bien des minorités ethniques, que de la communauté LGBT et même aussi des femmes », assure-t-elle.
Et les chiffres vont dans ce sens : selon une étude publiée par l’Institute of Practitioners in Advertising, à peine 13 % des employés de l’industrie publicitaire appartiennent à une minorité, que celle-ci soit noire, maghrébine ou asiatique.
Les « bad-buzz » racistes de H&M ou de Dove pourraient donc être de simples erreurs dues à un manque de diversité et, donc, de points de vue : « Ce n’est pas parce que nous avons peur de nous tromper mais parce que lorsque nous sommes diversifiés, nous obtenons de meilleures idées, des perspectives différentes et le travail s’améliore », indique ainsi Sarah Jenkins, directrice marketing de l’agence de publicité Grey London, interrogée par BBC.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Israël reconnaît, puis dément, sa responsabilité dans les homicides de Gaza.
L’armée israélienne a diffusé samedi via Twitter une déclaration par laquelle elle prenait manifestement la responsabilité entière de la mort de 15 Palestiniens, tués la veille lors de la Grande Marche du retour dans la bande de Gaza, à laquelle ont participé des milliers de personnes.
L’armée s’est hâtée de supprimer cet aveu – alors que d’autres éléments tendant à prouver que ses soldats avaient commis des crimes de guerre étaient rendus publics – mais avant qu’elle n’efface ce tweet, il avait été copié par l’organisation de défense des droits humains B’Tselem.
Le tweet effacé sur le compte officiel @IDFSpokesperson indiquait : “Hier nous avons vu 30 000 personnes ; nous sommes arrivés avec une bonne préparation et des renforts bien calculés. Rien n’a été fait sans contrôle ; tout était précis et mesuré, et nous savions où aboutissait chaque balle.”
Sarit Michaeli, responsable internationale du plaidoyer pour B’Tselem, a souligné que cette déclaration signifiait que “l’armée israélienne assume l’entière responsabilité de toutes les morts violentes de manifestants sans armes et des blessures infligées à balles réelles à des centaines d’autres.”
Il n’est pas très surprenant que l’armée ait effacé ce tweet. Si elle reconnaît que la mise à mort de manifestants était préméditée dans le détail de chaque balle tirée, cela veut dire qu’elle doit assumer la responsabilité d’actes qui ont toute l’apparence de crimes de guerre, notamment le tir fatal qui a tué Abd al-Fattah Abd al-Nabi, 19 ans, pendant qu’il s’éloignait en courant de la clôture frontalière entre Israël et Gaza. Abd al-Nabi aurait reçu une balle dans la tête.
Une vidéo de cet homicide, largement partagée sur les médias sociaux, montre Abd al-Nabi en train de courir en compagnie de deux autres Palestiniens. Ils sont très loin de la clôture frontalière au moment où on entend un coup de feu et où on le voit tomber.
Le journal israélien Haaretz a publié une vidéo des mêmes faits vus sous un autre angle :
Dans une autre vidéo, on voit, selon toute apparence, un homme blessé par balles alors qu’il prie avec un groupe de Palestiniens, la clôture frontalière étant visible dans le lointain.
Jacob Magid, reporter au Times of Israel, indique en commentaire que l’armée israélienne “va avoir du mal à dire que ce type est tombé de son vélo.”
Cette remarque se réfère aux affirmations d’une fausseté évidente émises par l’armée, prétendant que Muhammad Fadel Tamimi, adolescent de 15 ans blessé à la tête au mois de décembre par un de ses soldats en Cisjordanie occupée, avait simplement eu un accident de bicyclette.
Le 29 mars, Sarit Michaeli, de B’Tselem, a remarqué qu’Ofir Gendelman, porte-parole du gouvernement israélien, utilisait pour menacer les habitants de Gaza une vidéo où l’on voit un Palestinien sans arme et immobile recevoir un coup de feu dans la jambe le jour de préparation de la Grande Marche du retour.
Refus d’accès par Israël de Chrétiens de Gaza à Jérusalem pendant Pâques.
Des Palestiniens chrétiens qui vivent dans la bande Gaza sont interdits d’accès à Jérusalem par Israël pendant la Semaine Sainte et le weekend de Pâques.
La prière à l’Église du Saint Sépulcre, dans la Vieille Ville de Jérusalem, tenu pour être le lieu le plus sacré de la chrétienté, revêt une signification particulière pendant la période de Pâques.
À Pâques, des pèlerins chrétiens du monde entier se rendent à l’église du Saint Sépulcre. Or, des dirigeants religieux se sont plaints que des Palestiniens chrétiens de Gaza attendent toujours de recevoir d’Israël des permis de se déplacer.
Christianity Today (La Chrétienté aujourd’hui) rapporte que le Patriarcat Latin de Jérusalem a dit que les autorités ecclésiastiques ont présenté environ 600 demandes de permis de se déplacer pour des fidèles de Gaza, mais n’en ont obtenu aucun.
Dans de précédentes occasions, Israël a donné des permis à des Chrétiens de Gaza âgés de plus de 55 ans, mais même cela ne semble pas être le cas cette année. Le rapport soulève d’autres problèmes sur la sévérité du siège imposé à Gaza par Israël et qui entre maintenant dans sa onzième année.
Des dirigeants religieux ont dénoncé le système des permis appliqué par Israël qui empêche les Palestiniens de se déplacer librement. Le père Ibrahim Shomali, Chancelier du Patriarcat Latin de Jérusalem a dit qu’il ne devrait pas être exigé des fidèles qu’ils obtiennent des permis d’Israël.
« Nous devons avoir libre accès à la Terre Sainte, libre accès à nos sites sacrés » a-t-il insisté. « Nous faisons bien sûr la demande, mais en réalité, il ne devrait pas y avoir à demander de permis pour avoir accès à nos propres sites ».
Selon Days of Palestine (Jours de Palestine), on considère que les dirigeants religieux craignent davantage de restrictions cette année qu’ordinairement, Pâques tombant le même weekend que le début de la fête juive de Pessah.
Certains craignent aussi qu’Israël ait été enhardi par la récente et unilatérale décision de Donal Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État.
« (Israël) fermera tous les checkpoints, et ce sera plus strict que tout autre année à cause de la proclamation de Trump et des effets que nous en avons subis et que nous en subirons » a expliqué Shomali.
Dans la même veine, Youssef Daher, du Centre inter églises de Jérusalem, a dit qu’il pourrait y avoir d’autres pressions israéliennes sur les autorités chrétiennes « parce qu’ils pensent qu’ils ont les mains libres ».
Tandis que les Chrétiens de Gaza disent qu’ils ne perdront pas espoir, il n’est pas certain que des permis soient délivrés à temps. Des critiques verront cela comme un exemple de plus de la forte pression exercée sur les Chrétiens vivant sous occupation israélienne. En février, des dirigeants chrétiens de Jérusalem ont fermé l’église du Saint Sépulcre en signe de protestation contre la politique israélienne.
Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine.
Source : Imemc.org.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

La Malaisie exige l’arrêt immédiat des pratiques d’Israël contre la « Marche du Retour »
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La Malaisie appelle la communauté internationale à agir rapidement pour éviter de nouvelles pertes de vies palestiniennes et exprime sa condamnation de l’agression « israélienne » contre les participants pacifistes aux « Marches du Retour » à la frontière entre la bande de Gaza et les territoires occupés en 1948..
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L’occupation ferme une zone archéologique à Hébron pour y permettre l’assaut des colons
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Les médias du gouvernement: les forces israéliennes prennent délibérément pour cible les journalistes à Gaza
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Les colons prennent d’assaut Dura pour y accomplir des rituels talmudiques
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L’occupation rejette toute enquête indépendante de l’ONU sur ses massacres à Gaza
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Des véhicules de colons attaqués près d ‘Azzun
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Les forces d’occupation arrêtent 14 palestiniens et menacent de démolition la maison d’un martyr
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98 Palestiniens blessés dans des affrontements avec l’occupation à l’est de Jérusalem
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Le BDS exhorte le géant Netflix à supprimer la série israélienne
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Des affrontements éclatent avec les forces de l’occupation israélienne au sud d’Hébron
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L’occupation prolonge la détention du journaliste Bakr Abdul Haq
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La Ligue Arabe se réunira mardi pour discuter des crimes de l’occupation
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Paris confirme le droit des Palestiniens à manifester et appelle à lever le siège de Gaza
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Création d’un comité juridique international chargé de poursuivre les soldats et les dirigeants de l’occupation
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Le Parlement arabe condamne le meurtre de manifestants palestiniens par Israël
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Le peuple palestinien continuera à envoyer au Monde un message de justice et de paix
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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