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Flash info du 5 Dhou al Qa’da 1438.

Flash info du 5 Dhou al Qa’da 1438.
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Justin Bieber dément avoir arrêté sa tournée pour dédier sa vie à Jésus.
L’annonce était pour le moins inattendu. L’entourage de Justin Bieber annonçait, lundi 23 juillet, l’annulation de la gigantesque tournée du chanteur qui a débuté il y a deux ans. Le chanteur canadien n’assurera pas les 14 concerts restants. La star de 23 ans avait déjà assuré 150 shows à travers le monde.
Selon son entourage, le chanteur est « épuisé » mais, selon le média américain TMZ, ce serait une tout autre raison qui l’aurait poussé à interrompre sa tournée. Le chanteur aurait décidé de « consacrer sa vie au Christ ».
Justin Bieber fait partie d’une église évangélique, Hillsong Church, et s’est rapproché ces derniers temps de son fondateur et pasteur Carl Lentz. Selon une source cité par TMZ, « l’Eglise n’a pas demandé à Justin d’annuler sa tournée. Il a fondé cette décision sur la recherche de son âme spirituelle et sur sa propre vision du chemin de vie qu’il doit prendre ». Ses croyances sont même gravées dans sa peau puisque sont tatoués le visage de Jésus sur le mollet, la vierge Marie sur le bras et une croix sur le torse.
Toutefois, l’artiste a démenti ces rumeurs, indiquant qu’il a (vraiment) besoin de repos après deux ans d’une tournée mondiale exténuante.
Mercredi soir, filmé au volant de sa voiture à la sortie Saban Theater, à Beverly Hills, il renversait accidentellement un paparazzi. Le jeune homme est descendu de sa voiture et est resté aux cotés du photographe jusqu’à l’arrivée des urgences et de la police. Dans une vidéo, le photographe allongé sur son lit d’hôpital a remercié Justin Bieber pour sa compassion.
saphirnews.com
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Tunisie : une loi historique contre les violences faites aux femmes adoptée.
La Tunisie a franchi, mercredi 26 juillet, une nouvelle étape dans la lutte contre les violences faites aux femmes et pour leurs droits. L’Assemblée des représentants du peuple a voté une loi en ce sens. Le texte a même été qualifié d’« historique » par Naziha Laabidi, ministre de la femme, de la famille et de l’enfance.
La loi, votée à l’unanimité des députés présents (146 sur 217 députés), introduit « la reconnaissance de toutes les violences, physiques, morales, sexuelles, etc. Ce qui se dégage de la philosophie de la loi, c’est que ces violences ne sont plus une question privée. C’est une question qui concerne maintenant l’Etat. La preuve, c’est que le retrait de la plainte n’arrête plus les poursuites », a déclaré la députée Bochra Belhaj Hmida auprès de l’AFP.
Le nouveau texte prévoit ainsi la mise en place de mesures de protection et de prise en charge des victimes de violences, aussi bien physiques que psychologiques, et reconnaît le rôle des médias et de l’éducation dans la prévention des violences et l’assistance juridique et psychologique aux victimes.
Un élément clé du nouveau texte demeure la modification de l’article 227 bis du Code pénal, lequel permettait à l’auteur d’un viol d’épouser sa victime mineur pour éviter des poursuites judiciaires. Cette disposition est désormais abrogée.
« C’est un moment très émouvant et nous sommes fiers en Tunisie (…) d’avoir pu nous réunir autour d’un projet historique », a déclaré Naziha Laabidi. La loi sera opérationnelle six mois après la publication du décret d’application au Journal officiel.
Pour Human Rights Watch (HRW), l’adoption de la loi est « une étape décisive pour les droits des femmes » mais « il faudrait que les autorités tunisiennes s’assurent qu’il existe les fonds suffisants et la volonté politique indispensables pour que la loi entre pleinement en vigueur et que les discriminations envers les femmes soit éliminées ».
saphirnews.com
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Pays-Bas : la justice oblige l’Etat à financer un lycée musulman.
Le ministère de l’Education néerlandais refusait depuis 2014 de financer un nouvel établissement scolaire musulman à Amsterdam. Le lycée a été mis au ban après qu’un encadrant de l’école ait exprimé son soutien au groupe terroriste Etat islamique.
Le Conseil d’Etat des Pays-Bas, ultime instance judiciaire administrative du pays, a estimé qu’il n’y avait « pas de raison valable pour refuser le financement ». En effet, l’établissement a condamné les propos de l’individu ainsi que toutes sorte d’extrémisme. Par ailleurs, l’homme a été exclu de l’encadrement de l’école.
La justice a ordonné, mercredi 26 juillet, au ministère de trouver une solution de financement avant le 1er août. Deuxième lycée musulman du pays, il doit accueillir 200 étudiants à la prochaine rentrée scolaire à la fin du mois d’août.
Sander Dekker, secrétaire d’Etat à l’Education, a exprimé son mécontentement et son inquiétude suite à la décision du Conseil d’Etat. Remettant en cause « la qualité de l’enseignement » dispensé par le l’établissement, il a déclaré sur la radio publique NOS que « nous devons faire tout notre possible pour que nos enfants obtiennent l’éducation à laquelle ils ont droit, et apprennent ce que cela signifie de faire partie de la société néerlandaise ». Il a appelé les inspecteurs académiques à enquêter sur le lycée.
saphirnews.com
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Belgique : Bruxelles sans dispositif d’abattage pour l’Aïd al-Adha 2017.
Pour la première fois depuis 15 ans, les autorités de la Région bruxelloise ne mettront pas en place de dispositif pour l’abattage de moutons à l’occasion de l’Aïd al-Adha (ou Aïd el-Kébir) qui se tiendra a priori le 1er septembre prochain.
Elles avaient installé un abattoir modulaire pour l’Aïd al-Adha 2016. Mais le dispositif entièrement mécanisé ne permettait pas aux musulmans d’assister au sacrifice et une seule société a répondu à l’appel d’offres lancé par le gouvernement.
En outre, cette entreprise n’a pas été en mesure d’effectuer toutes les livraisons en temps et en heure. La Région avait alors indemnisé les fidèles lésés grâce à une ristourne obtenue auprès de la société défaillante.
Plusieurs communes ont tenté de concevoir un dispositif de remplacement mais n’y sont pas parvenues. « C’était impossible de revenir aux abattoirs temporaires et les modules répondant aux normes européennes coûtent trop cher. Non seulement ils nécessitent beaucoup d’espace mais aussi de la technique : un débit électrique élevé, un système de gestion des eaux usées… Ce n’était pas une piste réaliste », explique au Soir l’échevine molenbeekoise Annalisa Gadaletta.
Elle estime également que « les personnes les plus âgées, les plus attachées à ce rituel, pourront fêter l’Aïd dans leur pays d’origine » pour ceux qui y sont pour les vacances. Certaines communes pousse les musulmans à aller chercher leur viande chez un boucher ou à substituer le sacrifice par un don.
saphirnews.com
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Iran : Azadeh Namdari, présentatrice de TV, ultra-conservatrice, scandalise en apparaissant sans voile et buvant une bière en Suisse.
Trahie par des photos de vacances en famille prises dans les verts alpages helvètes, Azadeh Namdari, une présentatrice vedette de la télévision iranienne, véritable pasionaria du voile intégral, a fait tomber le masque de l’insondable hypocrisie en apparaissant, dimanche 23 juillet 2017, dévoilée et buvant une bière sur la messagerie sécurisée Telegram.
Loin de la République islamique d’Iran où elle est l’incarnation même du rigorisme religieux, se faisant publiquement l’ardente avocate du port du niqab qu’elle a toujours affirmé porter avec fierté, cette célèbre animatrice de la lucarne cathodique est apparue sous un jour nouveau au public iranien, révélant ce qui ressemble fort à une imposture, source d’un profond désenchantement.
Celle qui passait aux yeux de tous, notamment des autorités, pour une femme musulmane exemplaire, et se targuait de l’être, a choqué dans les chaumières, montrant une autre facette de son personnage qui a aussitôt fait voler en éclats sa réputation et, peut-être même, sa carrière télévisuelle au zénith, dont beaucoup lui reprochent aujourd’hui d’avoir été construite sur le mensonge.
Essuyant un feu nourri de critiques sur les réseaux sociaux iraniens, ce n’est pas sa piètre ligne de défense qui va redorer son blason, surtout si elle s’obstine à prétendre que son « voile avait glissé » en s’offusquant que « ses photos publiées dans un espace privé » aient été dévoilées, tout en ne pipant mot au sujet de la bière qu’elle buvait…
Azadeh Namdari, le visage de l’ultra-conservatisme sur le petit écran, serait-elle à court d’arguments pour expliquer comment elle a pu à ce point se compromettre dans l’illicite ? Toujours est-il que son image idéalisée a été irrémédiablement écornée par ces prises de vue qui renvoient le pâle reflet d’une adepte du « Faites ce que je dis et pas ce que je fais », dès qu’elle se trouve en dehors des frontières, à l’abri des regards et lorsque les caméras ne tournent plus…
Pour nombre d’internautes iraniens désillusionnés, c’est un mythe qui s’est brisé, l’un d’entre eux s’indignant particulièrement de sa duplicité dans un tweet traduit par France24 : « Ce qui est intolérable, c’est qu’elle incite les femmes à faire quelque chose en quoi elle-même ne croit pas », à savoir faire du voile intégral l’étendard d’un féminisme islamique dans lequel chaque musulmane serait un parangon de piété et de vertu. Mais comme chacun sait, l’habit ne fait pas le moine…
oumma.com
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Fatima Al Qubaisi, la première femme émiratie diplômée en droit d’Harvard.
Après avoir fait une entrée très remarquée dans la prestigieuse enceinte de la Harvard Law School l’année dernière, en sa qualité de première femme émiratie à étudier sur ses bancs, Fatima Al Qubaisi, 26 ans, en ressort aujourd’hui de manière triomphale, récompensée de ses efforts par de précieuses palmes académiques qui gravent son nom dans l’histoire des émirats du golfe Persique.
Première femme émiratie à être diplômée de l’une des universités de droit les plus réputées au monde, la jeune femme originaire d’Abu Dhabi, rayonnante sous son voile blanc, a indéniablement de qui tenir…
Issue d’une famille qui ne recule devant aucun challenge et estime que les plafonds de verre ne sont faits que pour être brisés, Fatima Al Qubaisi marche allègrement sur les traces de sa tante bien-aimée, Amal Al Qubaisi, dont elle admire l’irrésistible ascension qui l’a propulsée, en 2015, au sommet du Conseil national fédéral (FNC), l’autorité fédérale des Emirats arabes unis.
« J’appartiens à une famille qui aime relever des défis. Ma tante, Amal Al Qubaisi, est l’un de mes modèles. C’est la première femme présidente du Conseil national fédéral ! », s’est-elle exclamée avec fierté, intarissable d’éloges envers sa proche parente qui fait doublement figure de pionnière, en tant que première femme du monde arabe à occuper de si hautes fonctions dans le sérail politique.
Alors que son année passée aux Etats-Unis s’achève en beauté et qu’elle s’apprête à boucler ses valises pour retourner chez elle, Fatima Al Qubaisi, couverte de fleurs par les autorités émiraties, fourmille d’idées quant à la manière de tirer le meilleur profit des connaissances acquises, au service des siens. « Je reviens aux Emirats arabes unis avec une vraie vision et un ensemble d’idées qui feront de cet Etat fédéral, je l’espère, un Etat plus grand et plus fort », a-t-elle confié à Gulf News, en songeant à promouvoir l’aide juridictionnelle Pro bono pour le bien public, notamment en faveur de la population défavorisée.
« Tout comme notre père fondateur, Shaikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan, que Dieu lui fasse miséricorde et qu’il repose en paix, était revenu de ses voyages à l’étranger avec une vision plus moderne et lumineuse pour les EAU, je veux extraire les aspects les plus positifs d’autres cultures pour que les miens puissent en bénéficier », a-t-elle insisté, avant de remercier vivement son gouvernement pour son soutien sans faille tout au long d’une année enrichissante et fructueuse, au sein d’un temple du savoir de l’élite américaine et mondiale.
Dans la famille Al Qubaisi habituée à bousculer les mentalités en s’illustrant dans tous les domaines, que ce soit aux cimes du pouvoir ou au volant d’une voiture de course, on demande l’oncle Khaled, un pilote chevronné ayant transmis le virus de la compétition à sa fille, la première femme émiratie à s’essayer à la formule 4…
C’est donc tout naturellement sur les chapeaux de roues que Fatima, fraîche émoulue d’Harvard, fera son grand retour au pays, auréolée de son titre de gloire.
oumma.com
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France : L’agriculteur Cédric Herrou, soutien des migrants, mis en examen.
L’agriculteur du sud-est de la France a été placé sous contrôle judiciaire et risque jusqu’à cinq ans de prison et 30.000 euros d’amende.
Cédric Herrou, agriculteur du sud-est de la France connu pour son soutien aux migrants, a été mis en examen mercredi soir pour aide à l’entrée et à la circulation irrégulière d’étrangers en France, a-t-on appris auprès du parquet de Grasse, dans les Alpes-Maritimes. Il a été placé sous contrôle judiciaire conformément aux réquisitions du parquet et risque jusqu’à cinq ans de prison et 30.000 euros d’amende.
Interpellé en compagnie de 156 migrants. Interpellé lundi en fin de journée à la gare de Cannes en compagnie de 156 migrants, il a été placé en garde à vue tandis que les réfugiés ont été depuis renvoyés en Italie, selon plusieurs sources concordantes. « On lui reproche de les avoir amenés à Cannes alors qu’ils devaient se rendre à Nice pour faire leur demande d’asile comme cela se fait chaque semaine depuis quelque temps en accord avec les autorités », explique son avocat Me Zia Oloumi.
Mais selon lui « un des deux trains qui les transportaient a eu du retard et les bureaux de la plate-forme d’accueil des demandeurs d’asile (Pada) à Nice étaient fermés ». « Certains ont décidé d’aller effectuer la démarche dans d’autres communes et Cédric Herrou a voulu les accompagner pour être sûr notamment qu’ils puissent bien passer les contrôles policiers à Cannes », ajoute-t-il.
Condamné à 3.000 euros d’amende avec sursis. Le 10 février, Cédric Herrou avait été condamné par le tribunal correctionnel de Nice à une peine de principe de 3.000 euros d’amende avec sursis, pour aide au séjour d’étrangers en situation irrégulière dans la vallée franco-italienne de la Roya. À la suite de l’appel du parquet, l’affaire avait été rejugée à Aix-en-Provence en juin. La cour rendra sa nouvelle décision le 8 août. Cédric Herrou s’est notamment fait connaître au niveau national en début d’année 2017 en interpellant, dans L’émission politique de France 2, l’ancien Premier ministre Manuels Valls, alors en pleine campagne pour la primaire du parti socialiste en vue de la présidentielle.
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Palestine : Benjamin Netanyahu veut expulser Al-Jazeera d’Israël .
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi qu’il voulait expulser la chaîne Al-Jazeera, basée au Qatar, qu’il a accusée d’attiser les tensions autour des lieux saints.
« La chaîne Al-Jazeera continue d’inciter à la violence à propos du Mont du Temple (l’esplanade des Mosquées pour les Palestiniens, NDLR) », a écrit le dirigeant israélien sur Facebook, et « j’ai demandé plusieurs fois aux agences chargées de l’application de la loi de fermer leur bureau à Jérusalem. Si cela n’est pas possible pour des raisons d’interprétation de la loi, je vais chercher à faire adopter la loi nécessaire pour expulser Al-Jazeera d’Israël », a-t-il ajouté.
Israël accuse depuis des années Al-Jazeera de partialité dans sa couverture du conflit qui l’oppose aux Palestiniens.
Situation toujours tendue à Jérusalem.
L’initiative du Premier ministre israélien intervient alors que la situation restait tendue mercredi entre Israéliens et Palestiniens autour de l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, malgré le retrait de détecteurs de métaux controversés, et elle suscite la crainte d’une éruption de violence lors de la grande prière du vendredi.
Les tensions étaient montées brusquement autour de ce site religieux situé à Jérusalem-Est, partie palestinienne -occupée et annexée par Israël- de la ville, après l’installation le 16 juillet par l’État hébreu de détecteurs de métaux aux entrées de l’esplanade. Les musulmans palestiniens y avaient vu une tentative d’Israël d’augmenter son contrôle sur ce site. Les autorités israéliennes avaient-elles justifié ce dispositif par le fait que les assaillants qui avaient tué deux policiers israéliens le 14 juillet avaient dissimulé des armes sur ce site et en étaient sortis pour mener leur attentat.
Pressions sur Al-Jazeera.
L’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn et l’Égypte, qui ont rompu le 5 juin leurs relations avec le Qatar lui imposant une série de sanctions, demandent également la fermeture de la chaîne, exigeant notamment des autorités qataries qu’elles renoncent à « propager un discours d’extrémisme et de haine ».
Netanyahu s’est efforcé d’améliorer les relations avec les pays de la région où Israël est sévèrement critiqué pour ses 50 années d’occupation du territoire palestinien. L’Égypte et la Jordanie sont les deux seuls pays arabes avec lesquels Israël a signé des traités de paix.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Une campagne d’arrestation en Cisjordanie et l’occupation détruit trois carbonifères à Nassiria
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Les forces israéliennes ont lancé jeudi à l’aube, une compagne d’arrestations et des raids dans plusieurs provinces de la Cisjordanie, tandis que trois carbonifères ont été détruits dans la ville de Nasiriyah à la vallée de Jourdain.
plus
Une campagne d’arrestation en Cisjordanie et l’occupation détruit trois carbonifères à Nassiria
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Haniyeh : les Palestiniens sont les défendeurs d’al-Aqsa
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Victoire d’al-Aqsa
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La Knesset sioniste vote en première lecture une loi d’annexion de Jérusalem occupée
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Funérailles de masse pour les martyrs d’al-Aqsa
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Appels à manifester vendredi pour soutenir Jérusalem et al-Aqsa
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Le Hamas : la bataille d’al-Aqsa n’est pas terminée
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L’occupation réprime la prière du coucher du soleil à l’entrée nord de Bethléem
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La maison de la famille de Khalid Makhamrish menacée de démolition
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Judaïsation: Netanyahu soutient l’annexion des colonies à Jérusalem occupée
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L’occupation installe un portique métallique à l’entrée de Idhna à Hébron
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Le Vietnam soutient la solution à deux États
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L’occupation démonte les nouvelles installations de sécurité de la Mosquée d’al-Aqsa
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Le Hamas appelle à un jour de colère ce vendredi à l’appui d’al-Aqsa
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Jénine: Les commerçants et les ouvriers réclament l’ouverture de la barrière Dotan
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Hébron: L’occupation réprime un sit-in pro-al-Aqsa dans la rue des martyrs
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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