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Flash info du 9 Dhou al Qa’da 1438.

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Turquie : l’autorisation des mariages religieux défendue par le gouvernement.
Le gouvernement turc a défendu bec et ongles, dimanche 30 juillet, son projet de loi d’autoriser les muftis à célébrer les mariages religieux dans le pays. Aujourd’hui, la seule union reconnue par l’Etat est le mariage célébré par un officier d’état civil.
La proposition de loi défendue par Ankara, présentée la semaine dernière au Parlement, propose de donner le pouvoir aux religieux de célébrer les mariages. En Turquie, les leaders religieux, dont les muftis, sont employés par le Département des affaires religieuses, le Diyanet.
Le CHP, principal parti d’opposition, dénonce le projet de loi qui ne serait ni plus ni moins à ses yeux qu’une nouvelle initiative de l’AKP, parti du président Recep Tayyip Erdogan, d’« islamiser la Turquie ».
Le vice-Premier ministre et porte-parole du gouvernement Bekir Bozdag a défendu le projet de loi. « Ce changement ne s’attaque pas aux principes de la laïcité. Au contraire, il est dans la droite ligne de la laïcité et de l’Etat de droit », a-t-il fait savoir via Twitter, déclarant que « ce changement va rendre les mariages officiels plus aisés et les accélérer, il va aussi protéger les femmes dans le cadre du droit conjugal ». Par ailleurs, il n’est pas question à ce jour d’imposer les mariages religieux à chaque citoyen, les unions civiles demeureront valides.
saphirnews.com
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Honteux : Hajj 2017 : l’Arabie Saoudite accusée de faire obstacle aux pèlerins qataris.
Alors que la crise diplomatique entre l’Arabie Saoudite et le Qatar continue, ce dernier a accusé publiquement, dimanche 30 juillet, l’Arabie Saoudite de placer des obstacles à la participation des Qataris au grand pèlerinage (Hajj).
Le ministère des Affaires islamiques du Qatar a affirmé que Ryad « a refusé de communiquer au sujet des garanties de sécurité des pèlerins (qataris) et de l’assistance pour leur hajj ». Il ajoute vouloir « connaître les entités haut placées compétentes en Arabie saoudite, capables d’offrir ces garanties (de sécurité) et exprime ses regrets de voir la politique mêlée à l’un des piliers de l’islam, ce qui pourrait empêcher de nombreux musulmans d’accomplir ce devoir sacré ».
Dès le début du blocus lance par l’Arabie Saoudite et ses alliés, le Qatar avait été assuré que ses ressortissants ne seraient pas empêchés de participer au hajj qui se tiendra fin août. Le 20 juillet, le royaume a de nouveau assuré les Qataris seraient les bienvenus, tout en précisant certaines restrictions en cours telles que le refus d’accueillir des avions de la compagnie Qatar Airways.
Un appel à internationaliser le Hajj ?
Dans les pays de la coalition anti-Qatar, le communiqué qatari a été interprété comme un appel à « internationaliser » l’institution du hajj et donc d’en retirer la gestion à l’Etat saoudien. Adel al-Jubeir, ministre saoudien des Affaires étrangères, s’est exprimé sur la chaîne saoudienne Al-Arabiya, expliquant qu’un appel à internationaliser le hajj équivaudrait à « déclarer la guerre » à son pays.
« L’Arabie Saoudite refuse les tentatives du Qatar de politiser l’arrivée des pèlerins qataris dans le royaume. L’Arabie Saoudite accueille les Qataris à effectuer le pèlerinage comme tous les autres pèlerins », ajouta-t-il.
Son homologue qatari, le cheikh Mohamed ben Abderrahmane Al-Thani, a pris la parole sur la chaîne Al-Jazeera pour démentir. « Aucune démarche n’a été faite pour discuter du hajj à un niveau international », a-t-il assuré. Accusant les médias saoudiens d’avoir « fabriqué » et « inventé » cet appel, il précise que « le Qatar n’a jamais politisé le hajj et regrette de dire que la question a été politisée par l’Arabie saoudite ».
saphirnews.com
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Un Egyptien traverse l’Europe en vélo pour la bonne cause et bat un record historique.
Habitué à enclencher le grand braquet dès qu’il enfourche son vélo de course, l’Egyptien Helmy El-Saeed, 27ans, cet expert de la finance mué en cycliste hors pair, vient de traverser l’Europe à vive allure, au point de battre un record historique digne du Guinness World Records.
Sous son maillot aux couleurs de l’équipe suédoise « FatestXeurope », il a avalé, avec ses co-équipiers très affûtés et motivés, les 6 175 kilomètres qui séparent la Russie du Portugal, pédalant à fond pour rallier le point le plus occidental du Vieux Continent, en 29 jours, 5 heures et 25 minutes.
Relégué dans les oubliettes de l’histoire, le précédent record a été pulvérisé de 12 heures par cinq cyclistes qui ont roulé la tête dans le guidon, sans jamais faiblir, afin d’atteindre leur objectif suprême. Tous avaient à cœur de se surpasser pour la Fondation Viggo, créée par Mans Möller, et de brûler près de 203 000 calories, assis sur leur selle, en faveur de la belle et noble cause qu’elle soutient depuis des années : permettre aux enfants autistes, souffrant d’un léger retard mental, de s’adonner à la pratique sportive, grâce à de grandes campagnes de sensibilisation et de collecte de fonds.
Au-delà du formidable exploit réalisé collectivement, c’est avant tout une belle victoire sur lui-même qu’a remportée Helmy El-Saeed, plus que jamais avide de challenges et de sensations fortes.
Repousser ses limites toujours plus loin est devenu une seconde nature chez ce jeune égyptien qui force l’admiration des siens et a déjà trouvé un nouveau défi de taille à relever, à sa mesure ou plutôt à sa démesure : traverser toute l’Egypte à pied, de son point situé le plus au nord à son point le plus au sud, tout en rêvant d’être le porte-drapeau de son pays, lors des prochains Jeux Olympiques d’hiver qui auront pour cadre la Corée du Sud, en 2018.
« L’esprit humain est capable de grandes choses, bien plus que nous l’imaginons. Il ne faut jamais s’interdire de rêver plus grand et de défier les limites que nous nous imposons », a préconisé, en parfaite connaissance de cause, ce passionné de sports d’endurance qui aspire constamment au dépassement de soi, dans le cadre d’aventures sportives et humaines d’autant plus exaltantes qu’elles sont utiles et contribuent au bonheur d’autrui.
oumma.com
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Royaume-Uni : un musulman salué en héros pour s’être interposé devant trois individus traquant des “chrétiens et des blancs”.
Inimaginable même dans ses plus sombres prédictions, la scène effroyable à laquelle a assisté, le 20 mars 2016, Edris Nosrati, 35 ans, le dynamique propriétaire d’un fast-food à Liverpool, alors qu’il rentrait tranquillement chez lui à l’issue d’une soirée passée entre amis, l’a plongé dans les ténèbres de la nuit… d’une folle équipée anti-chrétiens et anti-blancs.
Ce chef d’entreprise dans l’âme, d’origine indienne et de confession musulmane, n’en a d’abord pas cru ses yeux en apercevant, sur le trottoir d’en face, trois individus s’en prendre violemment à un couple de passants, avec une rage décuplée contre l’homme blanc ayant avoué son obédience chrétienne sous la contrainte. Mais, très vite, il a dû se rendre à l’évidence : cette expédition nocturne, aussi ahurissante que terrifiante, se déroulait bien devant lui, frappant en plein cœur sa ville natale, au nord-ouest d’un royaume britannique endeuillé par le terrorisme aveugle.
Sa sidération ne fut que de courte durée et bien que redoutant d’avoir affaire à des militants jusqu’au-boutistes de Daech, Edris Nosrati a réussi à vaincre sa peur pour voler à la rescousse de la malheureuse victime, rouée de coups et copieusement insultée.
« Je n’avais qu’une idée en tête : défendre cet homme. C’était plus fort que moi. ls demandaient systématiquement à tous les passants s’ils étaient musulmans ou chrétiens, et dès qu’ils se trouvaient face à un chrétien, les coups pleuvaient. Je n’avais jamais vu ça de ma vie. Alors, je me suis interposé et je leur ai lancé : Pourquoi faites-vous cela ? », a relaté celui qui est aujourd’hui unanimement encensé pour son acte de bravoure de l’autre côté de la Manche.
Et de poursuivre : « Ils m’ont aussitôt demandé si j’étais musulman. Je leur ai dit que cela n’avait pas d’importance. Mais le leader du gang, furieux, m’a sommé de leur répondre ».
Sauvé par son islamité, Edris Nosrati, encore sous le choc de ces représailles d’un autre âge, a été épargné par les trois assaillants, particulièrement jeunes et dangereux, qui lui ont confié avoir quitté l’Iran il y a huit ans de cela pour s’installer au Royaume-Uni, avant de lui ordonner de passer son chemin, car « ce qu’ils faisaient ce soir-là, ne le regardait pas ».
Abandonné par ce trio déchaîné qui avait mieux à faire en persécutant six autres passants blancs et présumés chrétiens, Edris Nosrati, resté seul, a composé nerveusement le numéro de la police à 3h30 du matin, afin de lancer un vibrant SOS de détresse.
Déboulant toutes sirènes hurlantes, les forces de l’ordre ont réussi à interpeller Amin Mohmed, 24 ans, et Mohammed Patel, 20 ans, mais pas Faruq Patel, 19 ans, le benjamin de cette horde sauvage qui maniait son smartphone avec une rare désinvolture, sous les yeux médusés du citoyen musulman qui, quelques instants plus tôt, avait tenté vainement de leur barrer la route.
« Je suis persuadé qu’il était en train d’effacer des vidéos compromettantes, mais il faisait cela d’une manière tellement détendue qu’on avait l’impression qu’il jouait avec son téléphone », a précisé Edris Nosrati, lequel, emporté par un élan puissant, s’est subitement lancé à la poursuite du plus jeune des agresseurs, au péril de sa vie.
« J’ai décidé de faire quelque chose par moi-même. Il m’a frappé au visage, mais finalement j’ai eu le dessus et j’ai pu remettre son téléphone à la police », a-t-il raconté avec une humilité qui l’honore dans les colonnes de The Independent, se disant « heureux » d’avoir pris d’énormes risques pour prêter assistance à des victimes de la barbarie à visage humain.
Plus d’un après les faits, à l’heure d’entendre la justice se prononcer dans l’enceinte du tribunal de Liverpool, la juge Louise Brandon a mis en lumière deux choses essentielles : d’une part, que les personnes ciblées par la fureur meurtrière de leurs trois agresseurs l’étaient parce qu’elles étaient blanches et chrétiennes, et d’autre part, que le rôle joué par le vaillant Edris Nosrati dans leur arrestation fut déterminant. Parmi les victimes, à jamais traumatisées, figure notamment Paul Lynch, un élu local, dont l’épouse, pétrifiée, avait essayé courageusement de le protéger.
« Ce sont des idiots absolus mais qui ont fait régner la terreur pendant toute une nuit ! », s’est emporté Edris Nosrati, ce héros musulman, malgré lui, qui croule actuellement sous les compliments dans et dehors de la cybersphère.
« Peu importe si vous êtes musulman, juif, chrétien ou autre chose, les gens horribles sont des gens horribles ! », a-t-il ajouté sur un ton indigné, en refusant de céder à la psychose de la vengeance qui pourrait s’exercer contre lui, comme certains internautes, inquiets, le craignent à présent.
« Je me suis senti responsable, en tant qu’être humain, envers les victimes, envers mes semblables. Je ne pouvais pas rester sans agir. Les trois agresseurs sont issus de ma communauté et si, à nouveau, je vois des musulmans sombrer dans cette violence, je ferai tout pour les en empêcher et sauver leur âme », renchérit de plus belle Edris Nosrati, convaincu d’avoir fait le bon choix face au drame qui s’est noué sous ses yeux, au cours d’une nuit d’horreur à Liverpool dont il n’est pas, lui non plus, ressorti indemne.
oumma.com
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Palestine : New York Times : Une nouvelle guerre est aux portes de Gaza.
Le New York Times a publié un article lundi passant en revue différentes lectures d’une nouvelle guerre sur la bande de Gaza, se demandant s’il est possible de l’éviter.
L’auteur de l’article explique qu’une nouvelle confrontation armée avec l’occupation n’est pas à exclure compte tenu des pressions incessantes imposées sur près d’un million d’habitants vivant dans la plus grande prison à ciel ouvert.
Il estime que malgré les tentatives d’éviter la guerre de la part des Palestiniens, pour prévenir les drames qui l’accompagneront, la hantise est présente en raison de la détérioration constante de leurs conditions de vie et économiques.
Le journal indique que même si aucune des deux parties (Israël et la résistance) n’est désireuse de s’engager dans une nouvelle guerre, cette option reste possible tant que les autres ne sont pas envisagées.
Le journal souligne que si les événements de Jérusalem occupée et la fermeture de la mosquée al-Aqsa perdurent, cela pourrait accélérer l’engagement dans une nouvelle guerre, ce qui serait une conséquence naturelle des développements sur le terrain.
L’article évoque les avertissements adressés par le conseiller en sécurité nationale sous Ariel Sharon, Giora Eiland, selon lesquels la nouvelle politique de l’AP à l’égard de Gaza pousse le Hamas à choisir la seule option qui leur est offerte, en « escaladant les actes de violence contre Israël pour attirer l’attention de la communauté internationale, encore une fois ».
« L’AP veut affaiblir au maximum la situation à Gaza, afin que le Fatah domine le Hamas, pendant qu’Israël et Gaza paieront le prix de ce jeu politique cynique », dit l’article.
Le journal souligne que les mesures de l’AP à l’égard de Gaza n’est pas le seul facteur de toute escalade de violences, la véritable base des problèmes de Gaza réside dans les restrictions imposées par Israël et l’Egypte pour isoler l’enclave côtière.
L’article énumère trois solutions qui pourraient empêcher l’escalade imminente. La première est « entre les mains d’Israël qui refuser de traiter avec le gouvernement dirigé par le Hamas, car elle est en mesure de transférer les recettes des taxes imposées sur les marchandises des Gazaouis, soit par le biais d’une supervision internationale, soit en utilisant les revenus des taxes pour payer la facture d’électricité. »
La deuxième solution serait entre les mains de l’Egypte qui pourrait exporter davantage de marchandises vers Gaza, en réduisant le montant imposé par l’occupation, et en augmentant les taxes imposées directement au gouvernement de Gaza.
La dernière solution serait entre les mains du Hamas qui doit former un nouveau corps administratif à Gaza, et dirigé par une personnalité extérieure au mouvement, avec laquelle Israël et la communauté internationale pourraient négocier directement, afin d’améliorer la vie des Gazaouis et signer une nouvelle trêve à long terme.
En savoir plus sur
https://french.palinfo.com/32562
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CPI Centre Palestinien D'information
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
New York Times : Une nouvelle guerre est aux portes de Gaza
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Le New York Times a publié un article lundi passant en revue différentes lectures d’une nouvelle guerre sur la bande de Gaza, se demandant s’il est possible de l’éviter.
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Le « Printemps de Jérusalem » est une véritable lutte populaire dont l’Autorité Palestinienne et Fatah sont les plus perdants
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L’occupation resserre ses mesures militaires au sud de Qalqilya
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Le ministre israélien des Communications veut fermer al-Jazeera TV
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Jérusalem: Un homme âgé agressé et un ex-détenu arrêté
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Corrupation/Scandale des sous-marins: l’avocat de Netanyahou était censé toucher des millions
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Manifestation à Istanbul contre les restrictions israéliennes à Jérusalem occupée
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Bethléem: Trois jeunes hommes arrêtés lors d’affrontements
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Halte aux crimes sionistes ! Vive la Palestine !
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Netanyahu en faveur d’un recours en Grâce pour le terroriste Azaria
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L’Autorité Palestinienne décide de recourir à la CPI concernant le dossier de la colonisation
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Le prêtre Musallam: la victoire des fidèles d’al-Aqsa a ouvert la voie de la libération
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La Belgique exprime sa préoccupation face à la persistance des tensions à Jérusalem occupée
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L’occupation confisque des voitures palestiniennes lors d’une campagne d’arrestations en Cisjordanie
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Les colons profanent la mosquée al-Aqsa
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Jaffa: Affrontements en marge des funérailles d’un palestinien tué par la police sioniste
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 4 Dhou al Qa’da 1438.

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France : Saint-Etienne-du-Rouvray : « Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas ».
Un hommage national a été rendu au matin du mercredi 26 juillet au Père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
Une messe a d’abord été célébrée à 9h à l’église de Saint-Etienne de Saint-Etienne-du-Rouvray par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen. Le président de la République Emmanuel Macron, son Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb y ont assisté aux côtés de Roselyne Hamel, la sœur du prêtre, de Joachim Moyse, maire de la ville, et du député Hubert Wulfranc.
« Vous êtes là ce matin, entourés mais encore atterrés, peut-être révoltés ou simplement fatigués, après une année particulièrement difficile », a déclaré Mgr Lebrun. « Aujourd’hui, nous faisons mémoire d’un père qui continue de veiller sur nous. Le père Hamel a été réduit au silence. Non, la haine n’a pas triomphé et elle ne triomphera pas. »
« La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle »
Aux alentours de 10h, une stèle républicaine pour la paix et la fraternité a été dévoilée. « A la mémoire de Jacques Hamel, prêtre catholique », est-il inscrit, accompagné des articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
« La Déclaration rappelle notre attachement aux valeurs républicaines qui sont les nôtres : la liberté, l’égalité et la fraternité », a expliqué le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray, en présence du chef de l’Etat. « La cicatrisation sera longue. Mais le sang versé nous a mobilisé dans notre irréversible volonté de vivre ensemble. Pour qu’à jamais, les Stéphanais et les Stéphanaises demeurent unis dans l’espoir et dans la paix », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron, pour qui « le visage de Jacques Hamel est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort, et ce terrorisme arrogant. », a salué la réaction des catholiques, les remerciant « d’avoir trouvé la force du pardon, d’avoir refusé cette soif de vengeance et de représailles ».
« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme la liberté de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte. La République n’a pas à combattre la religion, ni à se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire, en homme libre », a-t-il indiqué.
« Passons ensemble vers la lumière de l’amour ! »
« Permettez-moi, au nom même du Père Jacques Hamel, de lancer cet appel à ceux qui hésitent encore : quittez l’ombre de la haine, passons ensemble vers la lumière de l’amour ! Quittez l’ombre de la division et passons ensemble à la lumière de l’unité ! Quittez l’ombre des mensonges, des égoïsmes et des égos, passons ensemble à la lumière de la vérité et de la fraternité ! Quittez l’ombre de la guerre, passons ensemble à la lumière de la paix ! », a fait part Mgr Lebrun.
La cérémonie prend fin à 18h avec une prière du soir (vêpres) à la basilique Notre-Dame de Bonsecours, suivie d’un temps de prière sur la tombe du père Jacques Hamel avec la délégation musulmane qui prendra la parole.
saphirnews.com
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France : Calais : la police accusée de gazages routiniers au poivre contre les migrants.
La police française est accusée par un rapport de Human Rights Watch (HRW) d’utiliser régulièrement du gaz de poivre contre les migrants à Calais.
« L’usage de sprays au gaz poivre par la police à Calais est tellement répandu que beaucoup de demandeurs d’asile et de migrants avaient du mal à se rappeler précisément combien de fois ils en avaient été victimes », rapporte l’organisation de défense des droits humains dans le rapport « ‘C’est comme vivre en enfer’ : Abus policiers à Calais contre les migrants, enfants et adultes ».
Entre fin juin et début juillet 2017, HRW a interrogé 61 migrants dont 55 qui se souviennent avoir subi un gazage pendant leur sommeil, quelques jours avant l’entretien. Le rapport explique que ces opérations provoquent « une cécité temporaire, de fortes douleurs oculaires et des difficultés respiratoires, qui durent en général de 30 à 40 minutes ».
« Parfois ils aspergent même de gaz poivre la nourriture et l’eau des migrants – tout cela apparemment dans le but de les pousser à quitter la région », indique également l’ONG. « De tels agissements de la part de la police violent l’interdiction d’infliger un traitement inhumain et dégradant, mais aussi les normes internationales de comportement des forces de l’ordre. »
« On est dans des pratiques qui s’inscrivent dans la routine, sans qu’il y ait de sanctions, alors que ce sont des abus graves », affirme Bénédicte Jeannerod, directrice de HRW France. Waysira, un des adolescents interrogés, témoigne que « chaque jour, la police nous poursuit. Ils utilisent leurs sprays. Ils nous donnent des coups de pied. C’est ça notre vie, tous les jours ».
Fabien Sudry, préfet du Pas-de-Calais a « réfuté catégoriquement les allégations mensongères et calomnieuses » de l’ONG. « Les forces de police agissent bien entendu sur Calais dans le respect des règles de l’État de droit, avec le seul objectif de faire respecter l’ordre et la sécurité publics », a-t-il ajouté.
saphirnews.com
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Leçons vénézuéliennes.
La déstabilisation à grande échelle subie par le Vénézuela – dernier épisode d’une guerre larvée contre cet empêcheur de tourner en rond dans “l’arrière cour” impérialiste – vient administrer quelques leçons que les partisans d’un changement radical – c’est-à-dire tout autre que cosmétique – gagneraient à méditer. La première leçon, c’est qu’on ne peut construire une alternative politique sans prendre le risque d’un affrontement décisif avec les détenteurs du capital, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur des frontières. Par alternative politique, on entendra exactement l’opposé de ce que l’on nomme “alternance”, c’est-à-dire la simple permutation des équipes au pouvoir. C’est un processus beaucoup plus profond, qui ne se contente pas de quelques modifications de surface, mais qui met explicitement en jeu les structures déterminant la répartition des richesses.
Cette alternative politique s’identifie donc avec la reprise expresse, par le peuple, des attributs de la souveraineté. Elle suppose la rupture des liens qui rattachent le pays au capital étranger dominant et au capital local “compradore” qui en dépend. Mais c’est une tâche colossale. A peine entreprise, la pesanteur objective des structures s’y conjugue avec la guerre acharnée que mènent les nantis pour conserver leurs privilèges de classe. La presse internationale décrit le Vénézuela comme un pays en faillite, mais elle oublie de préciser que cette faillite est celle d’un pays capitaliste latino-américain. Ce pays a accompli des progrès significatifs jusqu’en 2014, mais l’absence de transformation structurelle l’a laissé dans l’ornière de la dépendance économique. Ruiné par la chute des cours du pétrole, il n’a pas su – ou pu – bâtir un modèle alternatif.
Si les nervis de la droite vénézuélienne se déchaînent dans les rues de Caracas sous les vivats de la presse bourgeoise et des chancelleries occidentales, c’est parce que Maduro n’est ni Castro ni Tsipras. S’il était Castro, c’est-à-dire si le Vénézuéla avait pleinement restauré sa souveraineté et s’était engagé dans un processus de développement autonome non capitaliste, il n’y aurait pas de nervis à Caracas. Mais c’est de la politique fiction : Maduro n’est pas Castro, et le Vénézuela n’est pas Cuba. Inversement, Maduro n’est pas non plus de la graine d’un Tsipras. Il n’entend pas rendre les armes et céder à l’opposition malgré la crise économique gravissime que connaît le pays. Résolu – ou résigné – à occuper cet entre-deux, Maduro ne peut ni renier un chavisme dont il est l’héritier ni pousser les feux d’une “révolution bolivarienne” que la paralysie économique du pays et la victoire électorale de l’opposition ont suspendue de facto.
La crise qui sévit depuis 2014 a tendance à le faire oublier, mais le chavisme fut porté par un puissant mouvement social qui est loin d’avoir disparu – comme en témoigne la grande manifestation chaviste du 19 avril 2017 -. Depuis la première élection de Chavez en 1998, il a combattu les préjugés de race et de classe. Il a fait reculer de manière spectaculaire la pauvreté et l’analphabétisme. Nationalisant le pétrole, il a restitué à la nation la maîtrise de ses ressources naturelles. Bouleversant la politique étrangère du pays, il a rompu avec Israël, inventé l’alliance bolivarienne et défié l’Oncle Sam au coeur de son “arrière-cour” sud-américaine. Approuvé par le peuple vénézuélien, le chavisme a bousculé le désordre établi de manière séculaire en Amérique latine au profit des firmes multinationales nord-américaines et de la bourgeoisie raciste qui leur sert de VRP.
Bien sûr, la “révolution bolivarienne” n’a pas supprimé du jour au lendemain tous les maux de la société vénézuélienne, et elle traîna avec elle son lot d’erreurs et d’imperfections. Elle a utilisé la manne pétrolière pour sortir de la misère les couches sociales les plus déshéritées, mais elle a renoncé à transformer les structures sociales profondes du pays. Au Vénézuela, l’économie est toujours entre les mains d’une bourgeoisie réactionnaire qui en organise le sabotage pour exaspérer la crise et chasser Maduro du pouvoir. Ce n’est pas le gouvernement qui crée une inflation à trois chiffres, et l’immobilisme auquel le condamne une majorité parlementaire hostile devrait au moins tempérer les jugements hâtifs portés sur les responsabilités de l’exécutif.
Depuis l’élection de cette majorité réactionnaire, en décembre 2015, la droite vénézuélienne ouvertement appuyée par Washington et relayée par des médias locaux affidés rêve d’abattre Maduro et de liquider le chavisme. La “révolution bolivarienne” eut beau n’avoir de révolution que le nom, elle ne pouvait que déchaîner la haine revancharde des nantis et susciter l’hostilité mortifère des USA. Lorsqu’elle s’indigne des victimes – présumées – de la répression policière plutôt que des sanglantes opérations de l’ultra-droite, la gauche bien-pensante oublie qu’une protestation de rue n’est pas toujours progressiste, qu’une revendication démocratique peut servir de paravent à la réaction, et qu’une grève peut contribuer à la déstabilisation d’un gouvernement de gauche, comme le mouvement des camionneurs chiliens en fit la démonstration en 1973.
La leçon a été oubliée par les progressistes boboïsés des pays riches, mais les vrais progressistes latino-américains le savent : si l’on veut changer le cours des choses, il faut agir sur les structures. La nationalisation des secteurs-clé, la protection contre la mondialisation libérale, la restauration de l’indépendance nationale, la consolidation d’une alliance internationale des Etats souverains, la mobilisation populaire pour une meilleure répartition des richesses, l’alphabétisation, l’éducation et la santé pour tous sont les différentes facettes d’un même projet progressiste. Contrairement à ce que prétend une idéologie qui recycle les vieilles lunes social-démocrates, ce n’est pas sa radicalité qui condamne un tel projet à la défaite, mais la peur de l’assumer.
Dès qu’il s’attaque aux intérêts géopolitiques et géo-économiques des puissances dominantes, le projet progressiste franchit la ligne rouge. Ce cap une fois passé, toute imprudence peut devenir fatale. L’impérialisme et ses exécutants locaux ne font pas de cadeaux. Pourquoi faudrait-il leur en faire ? Franco n’a laissé aucune chance à la République espagnole (1936), ni la CIA à Mossadegh (1953), ni Mobutu à Lumumba (1961), ni Suharto à Soekarno (1965). Allende commit l’erreur tragique de nommer Pinochet au ministère de la Défense, et Chavez dut son salut en 2002 à la fidélité de la garde présidentielle. Il ne suffit pas d’être du côté du peuple, il faut se donner les moyens de ne pas le perdre en laissant ses ennemis prendre le dessus. Comme disait Pascal, il ne suffit pas que la justice soit juste, il faut aussi qu’elle soit forte.
Comme d’habitude, la majeure partie de la “gauche” occidentale ne comprend rien et elle hurle avec les loups. Comme si sa seule source d’information était “Le Monde”, elle exige de Maduro qu’il renonce au pouvoir pour mettre fin à la crise. Face à la rébellion de quelques milliers de fils de famille et d’une masse de lumpen-prolétaires manipulés, le président élu du Vénézuela devrait aller à Canossa. Capitulant devant la rue, il devrait renoncer à la convocation d’une Assemblée constituante (le 30 juillet) dont le mérite est pourtant, comme son nom l’indique, de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Faute d’avoir pu lui infliger le sort d’Allende, cette gauche “humaniste” se réjouirait, sans doute, de le voir finir comme Tsipras. Ce n’est pas gagné d’avance, et le peuple vénézuélien tranchera.
oumma.com
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Palestine : Jérusalem : crise des portiques ou éruption du chaudron colonial ?
Dans la nuit du 24 juillet, Benyamin Netanyahu a décidé de retirer les portiques de la discorde aux abords de l’Esplanade des mosquées au profit d’un système de surveillance aux contours encore flous mais que l’on sait plus discret. Israël a écouté les recommandations de son service de sécurité intérieur, le Shin Bet, qui martelait depuis plusieurs jours qu’ils ne constituaient pas un outil efficace pour lutter contre l’insécurité rampante sur l’Esplanade, alors que cinq Palestiniens et trois colons ont été tués depuis vendredi. Israël s’est plié aux injonctions de la communauté internationale, appelant courageusement au respect du statu quo de 1967 confiant la gestion de la sécurité du Haram el Sharif (le noble sanctuaire) à la Jordanie. Un retour au calme est annoncé, les passions religieuses des Palestiniens ayant été satisfaites. Ouf. Circulez, il n’y a plus rien à voir.
Voici, en substance, ce que l’on pouvait lire ce matin dans la plupart des grands titres de presse internationaux. Brillaient par leur absence toutes références explicites aux effets de la colonisation forcenée de Jérusalem depuis son annexion en 1967 et de la situation catastrophique à Gaza, que le blocus et la pénurie organisée d’électricité continuent d’asphyxier, comme si rien de tout cela n’était lié. C’est à se demander si le bureau de presse de Netanyahu ne leur a pas mâché le travail…
Commençons par appeler un chat un chat. Ce à quoi nous avons assisté à Jérusalem est un acte massif de désobéissance civile. Les Israéliens ont joué la carte de la sécurité pour s’assurer d’un contrôle plus étroit des abords de l’Esplanade, rompant de fait avec la logique du statu quo et faisant peser comme à son habitude la responsabilité de l’assassinat des policiers israéliens sur l’ensemble de la population palestinienne de Jérusalem. Mais les Palestiniens ont refusé de jouer le jeu de cet humiliant et inutile contrôle de sécurité. La désobéissance civile a ratissé bien plus large que le refus d’islamistes supposés, comme voudrait nous le faire croire l’extrême-droite religieuse et nationaliste israélienne, toujours prompt à instrumentaliser le fait religieux pour mieux dépolitiser l’analyse des mobilisations populaires palestiniennes – et, ainsi, dédouaner la puissance occupante et colonisatrice de toute responsabilité.
La solidarité active des Palestiniens chrétiens, venus nombreux aux abords de l’Esplanade des mosquées protester contre l’érection des portiques de sécurité, montre bien que la violation de la souveraineté des lieux saints musulmans n’est pas qu’une question strictement religieuse. L’opposition multiconfessionnelle à la provocation intrusive des forces de sécurité israéliennes nous rappelle que c’est d’une lutte de libération nationale dans un contexte colonial qu’il s’agit, d’une lutte contre l’accaparement de la seule partie de la Palestine qui ne soit pas sous contrôle israélien, d’une lutte contre l’effacement de leur présence historique et politique à Jérusalem, d’une lutte contre une étape supplémentaire de la colonisation de leur ville. Mais de tout cela, pas un mot.
Depuis la conquête de la partie orientale de la ville en 1967, Israël a fait de « Jérusalem réunifiée la capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Mesure-t-on la violence raciste de cette déclaration ? Réalise-t-on l’étendue des politiques publiques de dépossession déployées à l’encontre des « résidents permanents » palestiniens qui, pourtant soumis aux mêmes impôts que les Israéliens, ne disposent d’aucun droit politique, d’aucune protection juridique contre la violence des colons et des arrestations arbitraires de la police, d’aucune autorisation pour assurer le bon développement de leur communauté ? Nous contenterons-nous d’une opposition de principe à la colonisation de peuplement de la partie orientale de la ville à chaque annonce de construction de nouveaux blocs de logement, judaïsation de fait visant à rendre impossible la perspective d’en faire un jour la capitale d’un Etat palestinien souverain ?
Mais de tout cela, pas un mot. De la menace proférée par Tzachi Hanegbi, ministre de la coopération régionale et proche de « Bibi », menaçant les Palestiniens d’une troisième Nakba – c’est à dire d’une expulsion massive et donc d’un nettoyage ethnique – s’ils ne rentraient pas dans le rang, là non plus, pas un mot. Emmanuel Macron préfère garder le silence. C’est vrai qu’il avait déjà tout dit en annonçant, l’air grave, en présence de son « cher Bibi », « que l’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme ». L’Union Juive Française pour la Paix tient à apporter tout son soutien aux Palestiniens en lutt e à Jérusalem.
Le Bureau national de l’UJFP, le 25 juillet 2017.
oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
30 Journalistes blessés en deux semaines dans les évènements d’al-Aqsa
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Le Forum des médias palestiniens a fermement condamné les attaques continues de l’occupation contre les journalistes, indiquant que plus de 30 journalistes ont été différemment blessés au cours des deux dernières semaines
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Haniyeh adresse des messages aux dirigeants des pays arabes et islamiques pour soutenir Al-Aqsa
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400 mineurs palestiniens incarcérés dans les geôles de l’occupation
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La Knesset sioniste ratifie une loi consacrant le contrôle de Jérusalem
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Hébron: La Paix maintenant appelle à évacuer la maison volée par les colons
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CJUE: le Hamas retiré de la liste terroriste de l’UE
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Jérusalem occupée: des caméras de surveillance intelligentes installées dans les 6 mois
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Des colons prennent d’assaut une maison pour la confisquer
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Guerre américano-sioniste contre les militants de BDS
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Un Gazaoui arrêté par l’occupant sur les frontières de la Bande de Gaza
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L’occupation transfère le prisonnier gréviste Diab en détention administrative
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L’occupation arrêtent des citoyens à jérusalem
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Jordanie: Funérailles de masse pour un civil assassiné par l’agent de sécurité de l’ambassade sioniste
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Blessés et arrestations dans la répression des fidèles près d’al-Asbat
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Autriche: Un palestinien condamné à la perpétuité pour avoir planifié un attentat contre l’occupation
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Le Hamas appelle à une intervention urgente pour protéger Al-Aqsa des projets sionistes
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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