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Flash info pour le 11 Sha’ban 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Sport : Les fans des Reds aiment l’Islam, la religion de leur joueur préféré Mohamed Salah.
Les supporters britanniques ne font décidément rien comme les autres. Leur imagination a une fois de plus fais les choux gras de la presse.
Après la victoire des Reds face à Porto (5 a 0) en Ligue des Champions, une vidéo publiée sur Twitter a fait le buzz. On y entend le nouvel hymne dédié en l’honneur de Mohamed Salah la star égyptienne de Liverpool. Et le moins que l’on puisse en dire c’est que les supporters ont une manière bien à eux de célébrer leur joueur préféré.
« S’il met encore quelques buts, je vais me faire musulman aussi/(…) Assis dans une mosquée, c’est là que je veux être ». (« If he scores another few, then I’ll be muslim too/(…) Sitting in a mosque, that’s where I wanna be »).
Voilà une façon unique d’honorer l’international égyptien qui est de confession musulmane. Mohamed Salah affiche déjà un beau palmarès avec 43 buts marqués toutes compétitions confondues, et également sacré meilleur joueur africain 2017 et meilleur joueur de Premier League cette année, autant dire qu’il a la côte auprès de ses fans au point de prétendre vouloir se convertir à l’Islam, la religion de leur joueur préféré.
Une réaction émouvante lorsque l’on connaît les ravages de la discrimination raciale qui sévit dans le pays.
Le footballeur égyptien va-t-il contribué par sa renommée à bouleverser les mentalités et à bannir à jamais le racisme ? Quoiqu’il en soit, Mohamed Salah a réussi à faire aimer l’Islam à Liverpool.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

France : Abdelaziz Chaambi déclare : “On a fait annuler une loi islamophobe après un accord avec Hollande !”
Abdelaziz Chaambi du CRI revient sur son combat contre l’islamophobie.
Il revient ainsi sur la nécessite de l’implication politique pour faire reculer l’islamophobie et l’insuffisance du combat restreint au judiciaire. Un combat de tous les jours aussi bien à travers l’organisation des nôtres que sur le terrain.
“On a fait annuler une loi islamophobe après un accord avec Hollande !”
L’expérience du frère Chaambi a donné sa vie au militantisme et il ne peut que forcer le respect.
Un retour nécessaire donc pour pouvoir comprendre notre passé et construire le futur de notre communauté.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Arabie Saoudite : l’Autorité Générale de la Culture promet d’organiser une centaine de spectacles et concerts.
Turki bin Abdul Mohsen Al-Sheikh, président du Comité technique de l’Autorité générale saoudienne pour la culture, a annoncé un accord avec la société de spectacle Rotana pour organiser une centaine d’activités artistiques et culturelles dans différentes régions du Royaume.
Selon un communiqué publié par l’Autorité de la Culture, l’accord signé lundi avec le PDG de la société, Salem Hindi, comprend la participation de plus de 80 artistes d’Arabie saoudite, arabes et du monde.
Il a souligné que l’événement mettra en valeur l’identité culturelle de l’Arabie saoudite.
Depuis la récente création du Conseil d’administration de l’Autorité générale de la culture, l’Arabie Saoudite organise de nombreux concerts d’artistes saoudiens et internationaux comme le rappeur Nelly ou encore le chanteur algérien Cheb Khaled. De nombreuses salles de cinéma devraient prochainement ouvrir avec la diffusion de films internationaux.
Palestine : Gaza : un journaliste palestinien succombe à ses blessures par balles.
Un journaliste palestinien blessé il y a deux semaines par les forces israéliennes à la frontière de Gaza est mort, ont indiqué mercredi des sources israéliennes et palestiniennes. Il s’agit du deuxième journaliste tué en un mois.
Ahmed Abu Hussein, 25 ans, a été abattu le 13 avril alors qu’il couvrait des manifestations le long de la frontière de Gaza pour une radio locale.
Le ministère de la Santé de Gaza a annoncé qu’il était mort après avoir été hospitalisé en Israël, ce que l’hôpital de Sheba près de Tel Aviv a confirmé. Son frère Diaa a déclaré à l’AFP que la famille se préparait à transférer le corps à Gaza pour les funérailles.
Par ailleurs, lundi, un Palestinien blessé par des tirs israéliens dans la bande de Gaza est mort, a annoncé le ministère de la Santé du territoire contrôlé par le Hamas.
Abdullah Shamali, 20 ans, est décédé la nuit dernière de “blessures par balles au ventre” subies vendredi à Rafah, près de la frontière de l’enclave avec Israël, a indiqué un porte-parole du ministère.
L’armée israélienne continue de tirer sur les palestiniens qui manifestent pacifiquement près de la frontière à Gaza. Plus de 40 manifestants sont déjà morts et plusieurs milliers blessés.
Algérie : L’Algérie condamne à mort un Libérien pour espionnage en faveur d’Israël.
Un tribunal pénal algérien a condamné à mort un ressortissant libérien d’origine libanaise pour une affaire d’espionnage en faveur d’Israël. Le tribunal a également condamné six personnes originaires de Guinée et du Mali à 10 ans de prison dans la même affaire.
Une source légale a déclaré mardi que “le tribunal de Ghardaïa au sud de l’Algérie a condamné sept individus de différentes nationalités africaines sur une affaire liée à l’espionnage pour Israël”.
“L’accusé principal Elm al-Deen Faisal, un ressortissant libérien, a obtenu la peine de mort, tandis que six autres ont été condamnés à 10 ans d’emprisonnement. Chacun d’entre eux paiera également une amende de 8 000 $ “, a ajouté la source.
Les sept accusés ont été arrêtés lors d’une opération de police dans la ville de Ghardaïa, à 600 kilomètres au sud d’Alger, en Janvier 2015. Ils ont été retrouvés avec des documents compromettants.
Un tribunal pénal algérien a condamné à mort un ressortissant libérien d’origine libanaise pour une affaire d’espionnage en faveur d’Israël. Le tribunal a également condamné six personnes originaires de Guinée et du Mali à 10 ans de prison dans la même affaire.
Une source légale a déclaré mardi que “le tribunal de Ghardaïa au sud de l’Algérie a condamné sept individus de différentes nationalités africaines sur une affaire liée à l’espionnage pour Israël”.
“L’accusé principal Elm al-Deen Faisal, un ressortissant libérien, a obtenu la peine de mort, tandis que six autres ont été condamnés à 10 ans d’emprisonnement. Chacun d’entre eux paiera également une amende de 8 000 $ “, a ajouté la source.
Les sept accusés ont été arrêtés lors d’une opération de la police algérienne dans la ville de Ghardaïa, à 600 kilomètres au sud d’Alger, en Janvier 2015. Ils ont été retrouvés avec des équipements de documents et communications, l’accusation étaient liés à espionnage au profit d’Israël.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Nigéria : après l’attaque d’une église, les musulmans victimes de représailles .
L’attaque d’une église mardi 24 avril a fait 18 morts près de Makurdi, au centre du Nigéria. Deux prêtres catholiques et 16 fidèles ont été au cours d’une messe de funérailles dans le village de Mbalom.
Cette odieuse attaque a été attribuée par la police locale à des éleveurs nomades. Au lendemain de cette terrible attaque, une foule de personnes ont investi les rues de Makurdi et leur colère s’est aveuglément tournée vers les musulmans pourtant sans lien avec l’attaque anti-chrétienne.
Elle a battu et torturé à mort 11 musulmans mais ce bilan pourrait être revu à la hausse dans la mesure où certaines victimes de lynchage n’ont pas encore été retrouvées. La plupart d’entre les personnes tuées étaient des commerçants de la ville.
« Nous avons perdu 11 des nôtres dans cette crise, et cinq blessés ont été hospitalisés », a déclaré Rilwanu Adamu, conseiller pour les affaires islamiques auprès du gouvernorat de Benue, au Nigéria. Il a notamment raconté la fin tragique d’un cordonnier attaché à une moto et « traîné par terre jusqu’à ce que mort s’ensuive ». Deux mosquées ont également été détruites au marché de Makurdi et des commerces ont été saccagées.
Egypte : L’autorité du grand mufti d’Egypte condamne l’appel contre « l’antisémitisme musulman » .
Dar al Iftaa, l’institution présidée par le grand mufti d’Egypte Shawki Allam, a condamné, mercredi 25 avril, le manifeste contre « l’antisémitisme musulman » qu’elle qualifie d’« appel dangereux » qui ouvre la voie à « des attaques et des agressions contre les musulmans ».
Pour cette instance, la tribune « renforce le sentiment de marginalisation et de racisme ressenti par les minorités musulmanes » qui nourrit l’extrémisme.
Elle appelle les dirigeants français à mettre en place des mesures effectives contre les « appels racistes ». Cette réaction s’ajoute aux nombreuses autres formulées en France contre le manifeste.
Egypte : Le prix mondial de la liberté de la presse à Shawkan, en prison en Egypte .
Le photojournaliste égyptien Mahmoud Abu Zeid, alias Shawkan, a été désigné, lundi 23 avril, lauréat du Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano.
Il est emprisonné depuis le 14 août 2013 après son arrestation alors qu’il couvrait, pour le compte d’une agence, une manifestation sur la place Rabia Al-Adawiya, au Caire, lors de laquelle des centaines de personnes ont été tuées.
Poursuivi, entre autres, pour appartenance aux Frères musulmans, mouvement catalogué comme terroriste en Egypte, de possession d’armes à feu et de meurtre, le procureur a requis la peine de mort contre lui en mars.
Un homme honoré pour son courage.
Une campagne internationale de soutien au photojournaliste a été lancée en avril par Reporters sans frontières (RSF) sous le nom de #MyPicForShawkan. Elle vise à recueillir un maximum de photographies sur les réseaux sociaux avec le hashtag, à la manière du portrait de Shawkan mimant la prise d’une photo derrière la cage du banc des accusés au tribunal.
« Face à l’urgence et la gravité de la situation, nous avons décidé de lancer cette campagne de solidarité sur les réseaux sociaux. Nous connaissons la puissance d’un mouvement populaire sur la toile et nous savons son efficacité pour faire bouger les lignes. Si nous parvenons à mobiliser des milliers de personnes autour de la planète, le pouvoir égyptien ne pourra pas ignorer notre appel », déclarait Christophe Deloire de RSF, au lancement de la campagne.
« Nous avons souhaité à travers ce choix pour Mahmoud Abu Zeid honorer son courage, sa résistance et son engagement pour la liberté d’expression », a indiqué la présidente du jury du Prix, Maria Ressa.
Le prix, financé par la Fondation colombienne Guillermo Cano Isaza, du nom d’un journaliste colombien assassiné en 1986, la Fondation finlandaise Helsingin Sanomat et le Namibia Media Trust, est doté de 25 000 dollars (20 000 euros). Il sera décerné le 2 mai dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale de la liberté de la presse, qui se tiendront cette année au Ghana.

Sur oumma.com, voici les titres.

Les Emirats arabes unis au chevet de Mossoul, à hauteur de 50 millions de dollars.
Ravagée par l’Etat islamique, Mossoul, la deuxième cité phare d’Irak, est en passe de renaître de ses cendres, grâce à la manne providentielle de plus de 50 millions de dollars que les Emirats arabes unis, par la voix de son émissaire Noura al-Kaabi, se sont engagés à verser à l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture.
Un partenariat qualifié « d’historique » a été en effet scellé, lundi dernier, lors d’une réunion au sommet qui s’est tenue dans l’enceinte du musée national de Bagdad, en présence de Noura Al Kaabi, ministre de la Culture des Emirats arabes unis, de Fayrad Rawanduzi, son homologue irakien, et de Louise Haxthausen, directrice de l’Unesco dans la capitale irakienne. Tous trois ont conjugué leurs efforts pour aller au chevet de Mossoul, devenu un champ de ruines, et notamment pour panser les plaies de sa mosquée en péril, ce sanctuaire d’une valeur patrimoniale inestimable, et de son minaret emblématique parti en fumée.
Fleuron de la civilisation irakienne depuis 1172, la mosquée Al-Nouri tient son nom de Nur Al-Din Mahmoud Zangi, l’unificateur de la Syrie qui régna également un temps sur Mossoul. Deux ans avant sa mort, il en fut le grand architecte et ordonna sa construction.
Ce lieu de culte chargé d’histoire, plus tristement connu comme l’endroit où, en juillet 2014, Abou Bakr Al-Baghadadi, le leader de l’Etat islamique, prononça son discours « d’investiture » en tant que « calife » autoproclamé, est très prisé pour le façonnage remarquable de son minaret penché qui n’est pas sans évoquer visuellement celui de la tour de Pise, au point d’être surnommé « la Tour de Pise irakienne ».
Flanquée de son minaret emblématique, haut de 45 mètres, imprimé sur les billets de 10.000 dinars irakiens, cette magnifique mosquée datant du 12ème siècle, qui n’est plus que l’ombre d’elle-même, fit retentir l’appel à la prière, au cœur de la vieille ville de Mossoul, pendant près de 900 ans.
A travers ce grand chantier de reconstruction qui devrait s’échelonner sur cinq ans, la ministre émiratie de la Culture, Noura Al Kaabi, aspire à « redonner de l’espoir aux jeunes irakiens ». « La civilisation plusieurs fois millénaire doit être préservée », a-t-elle insisté, avant d’appeler la communauté internationale à « s’unir pour protéger les sites patrimoniaux universels, en particulier ceux dans notre région arabe, théâtre de conflits, de guerres et du terrorisme».
Ce projet d’envergure sera supervisé par deux maîtres d’œuvre : Fayrad Rawanduzi, le ministre irakien de la Culture, et Louise Haxthausen, la responsable de l’UNESCO à Bagdad, qui souhaite ardemment faire « renaître Mossoul ». Ce « projet est ambitieux et hautement symbolique pour la résurrection de Moussoul et de l’Irak », a-t-elle proclamé.
La première année de réhabilitation de la vieille ville de Mossoul sera consacrée à la documentation et au déblayage du site par l’Unesco, qui établira dans un deuxième temps des plans de reconstruction. En plus de la reconstruction et restauration du minaret penché et de la mosquée Al-Nouri, l’Unesco prévoit également l’édification d’un mémorial et d’un musée.
L’art palestinien ouvre son premier musée aux États-Unis.
Le “Palestine Museum US” a accueilli, samedi 22 avril, ses premiers visiteurs à Woodbridge, dans l’État du Connecticut. Il s’agit du premier musée dédié à l’art palestinien à ouvrir ses portes aux États-Unis. Visite guidée d’un établissement visant à offrir aux Américains un regard nouveau sur les Palestiniens .
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

L’appel de Karim Ifrak et du rabbin Hagaï contre « la nouvelle intolérance ».
Karim Ifrak est docteur de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, islamologue, chercheur au CNRS et codicologue spécialisé dans le Codex du Coran. Il vient de publier un ouvrage consacré à la réforme, intitulé « La réforme en islam, quelques clés de lectures » aux éditions Albouraq. Gabriel Hagaï est rabbin et l’une des rares voix juives engagées dans le dialogue judéo-musulman en France. Ils publient tous deux un appel contre « la nouvelle intolérance », en réaction au Manifeste accusateur des 300. Mizane.info republie intégralement le texte de cet appel pétitionnaire.
300 signataires, toutes convictions confondues, viennent de signer un manifeste hors norme qui entend dénoncer ce qu’ils appellent « le nouvel antisémitisme ». Un geste qui demeure, dans le fond, hautement louable, tant il devrait être obligatoire de dénoncer, sans hésitation, toutes formes d’intolérance ou de racisme, encore moins lorsqu’il s’agit de violence. Les citoyens Français de confession juive ont le droit à autant de considération que n’importe quel autre citoyen de notre République « Une et indivisible ». Ni plus ni moins. Et les actes de violence dont certains d’entre eux ont été victimes, parce que juifs, en plus d’êtres unanimement condamnables, imposent, de notre part à tous, de leur exprimer davantage notre soutien. Oui, l’antisémitisme n’est pas l’affaire des juifs seuls, il est celui de nous tous. Cependant, au lieu de se vouloir un manifeste contre l’intolérance, ce dernier promeut, maladroitement, une autre forme d’intolérance. Et au lieu de dénoncer les violences faites à nos concitoyens juifs, il appelle, involontairement, à la violence à l’encontre des musulmans de France. Loin d’être un manifeste humaniste et solidaire, il a choisi d’ouvrir un procès à charge, sans juge, ni témoins, ni pièce à conviction. Une curieuse façon de vouloir résorber un problème en engendrant un autre et d’appeler à protéger les uns en dénonçant arbitrairement les Autres. Une attitude imprudente qui se heurte aux fondements fraternels et inclusifs que promeut notre République.
De l’irresponsabilité des pompiers pyromanes.
En scellant ce manifeste, les 300 signataires ont oublié que le monde entier les regarde et les juge, à la fois eux et la France. Alors quelle image ont-ils réfléchi finalement d’eux et d’elle, si ce n’est celle d’un inconséquent qui réclame du feu afin d’étouffer un autre ? Loin d’être réconciliateur, encore moins réparateur, ce manifeste malheureux stigmatise une communauté en faisant d’elle un coupable tout désigné.
Une épuration ethnique signifie : l’élimination systématique et violente d’un groupe ethnique par un autre groupe. Alors, depuis quand les musulmans de France cherchent-ils à éliminer les juifs de France ou à commettre un tel génocide ? C’est juste sidérant.
Un responsable de tous les maux qui s’abattent sur les juifs de France, avec en tête : « une épuration ethnique à bas bruit ». Cette façon de procéder : accabler l’Autre en déclenchant à son encontre une chasse à la sorcière, l’histoire en a connu bien des cas et les juifs de France, les premiers, en mesurent parfaitement les conséquences. Une épuration ethnique signifie : l’élimination systématique et violente d’un groupe ethnique par un autre groupe. Alors, depuis quand les musulmans de France cherchent-ils à éliminer les juifs de France ou à commettre un tel génocide ? C’est juste sidérant.
Dans leur précipitation, les 3000 signataires du manifeste ont vite oublié que c’est un musulman qui, au mépris de sa propre vie, à tout fait pour sauver celles des otages de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes. Oui, certains de nos concitoyens de confession juive ont été lâchement assassinés par des barbares sanguinaires, des meurtriers sans foi ni loi. Or, ces mêmes assassins, animés par la haine aveugle qu’ils vouent au monde entier, ont également assassiné plusieurs de nos concitoyens de conviction musulmane, chrétienne, athée et autre. Le terrorisme n’a pas de religion, n’a pas de nation et n’a pas de conscience non plus. C’est pourquoi, ces actes barbares hautement condamnables, loin d’être l’affaire de l’islam ou des musulmans de France ou d’ailleurs, sont l’exclusivité de la justice française. Elle ne les a pas laissés impunis que l’on sache et nos concitoyens, toutes obédiences confondues, qui ont dénoncé, d’une seule voix, ces actes terroristes, en sont témoins.
De l’unité de principe contre tous les racismes.
Nous sommes pour la condamnation ferme de tout acte raciste ou terroriste. Il n’est guère possible de faire preuve de tolérance face à l’intolérance. Un principe que nous défendons, avec la même conviction, face à toute forme d’intolérance dont pourrait être victime tout concitoyen, et ce qu’il soit black, blanc ou beur, croyant ou non croyant. Dans le pays d’Émile Zola et de Clemenceau, d’Aimé Césaire, de Gao Xingjian, Zinédine Zidane et de Jamel Debbouzze, nos valeurs républicaines, à savoir l’Égalité, la Fraternité et la Liberté, pierre angulaire de notre France, doivent profiter à tous, sans exception. À nous d’incarner, fièrement, ces valeurs afin d’en faire le ciment d’une société apaisée et riche de sa diversité. À travers ce manifeste, nous demandons que la lutte contre les extrémismes de tout bord, leurs causes et sources en tête, devienne cause nationale, mais pas au dépend des uns ou des autres. Aujourd’hui, un français sur quatre a une grand-mère ou un grand-père d’origine étrangère, des présidents de notre République et des premiers ministres compris. Il nous faut donc agir, nous tous, citoyens de notre République qu’on veut « Une et indivisible », avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Hausse des importations des céréales et laits au 1er trimestre 2018 : La facture alimentaire continue de grimper.
Grogne des pharmaciens : Pas de grève, mais…
Intissar Al-Wazir, veuve du chahid palestinien Abou Djihad : « Jamais sans un Etat de Palestine avec Al Qods pour capitale ».
Lutte contre le phénomène migratoire : Une dynamique de coopération est impérative.
Le CAMRA n’assurera plus les gardes d’urgence à partir du 29 avril : Le point de non retour !.
Territoires sahraouis occupés : Mettre fin à l’impunité marocaine.
Nous apprenons, au moment de mettre sous presse, que la Russie et l’Ethiopie se sont opposés à l’adoption par le conseil de sécurité de la résolution portant renouvèlement du mandat de la Minurso, » bidouillée » par la France au profit exclusif de Rabat.
Le Centre de thalassothérapie de Sidi Fredj se transforme en complexe.
La Syrie compte tirer profit de l’expérience algérienne en matière de discours religieux : » La pensée extrémiste mène vers le terrorisme « .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

48 décapitations en 2018 en Arabie Saoudite : une réforme à deux vitesses.
Son système judiciaire est « connu pour son iniquité ». Et, à première vue, ce ne sont pas les réformes symboliques entamées par le prince héritier qui vont changer les choses. En Arabie Saoudite, les exécutions sont toujours nombreuses. Rien que lors des quatre premiers mois de cette année, dans le royaume wahhabite, près d’une cinquantaine de décapitations ont été recensées. La moitié pour des accusations dans des affaires de drogue, selon Human Rights Watch.
Dans le royaume saoudien, on a le sabre facile : selon l’ONG, c’est en effet l’un des pays qui a le taux d’exécution les plus élevés au monde. Pour être décapité, il suffit d’être reconnu coupable de terrorisme, d’homicide, de viol, de vol à main armée ou de trafic de drogue. Et jusqu’à maintenant, le royaume refuse de mettre fin à la peine de mort qui, selon lui, est dissuasive.
Sarah Leah Whitson, directrice de HRW au Moyen-Orient, trouve « assez grave que l’Arabie Saoudite exécute autant de personnes » mais déplore surtout que « beaucoup d’entre elles n’aient pas commis de crime violent. » Les procès ne sont pas équitables, assure-t-elle. Depuis début 2014, l’Arabie Saoudite a procédé à près de 600 exécutions. Rien que 150 personnes ont été décapitées l’année dernière.
L’année 2018 semble être partie sur les mêmes bases. Si le prince héritier « MBS » a assuré au magazine Time qu’il envisageait de modifier la loi sur la peine de mort, rien n’a encore été amorcé. A l’exception des homicides, indique « MBS », il faut changer les peines de mort en prison à perpétuité.
France : Manifeste contre « le nouvel antisémitisme » : Philippe Val, obsédé par l’Islam.
« On peut parler de tout en France sauf de l’Islam radical. » La phrase est signée Philippe Val. Et par « Islam radical », entendez « Islam », tout simplement. L’ancien patron de Charlie Hebdo ne cesse de se rendre dans les médias pour dire qu’on ne peut plus critiquer l’Islam dans les médias. Logique imparable.
Lors du Sommet de Genève pour les droits de l’Homme et la démocratie, en février 2015, Philippe Val dénonçait par exemple « une partie de la population islamique, en France, qui s’est radicalisée et qui n’hésite pas à tuer pour empêcher les gens de s’exprimer. » « La question de l’islam reste quand même très tabou », continuait-il en novembre de la même année. Philippe Val n’a pas dû ouvrir beaucoup de magazines ni allumé sa télévision ces dernières années.
Philippe Val, après ses passages à Charlie Hebdo puis à la tête de France Inter, semble être devenu spécialiste ès Islam. C’est lui l’auteur du manifeste « contre le nouvel antisémitisme » qui demande notamment que soient « frappés d’obsolescence » par des responsables musulmans certains versets du Coran.
Son obsession pour l’Islam, Philippe Val la cultive depuis plusieurs années. L’été dernier, suite à une tribune publiée par 41 Français musulmans, il enfonçait le clou : « L’Islam connaît en son sein une crise profonde », écrivait-il dans le JDD. Avant de déclarer qu’il existe un « antisémitisme qui cimente une part non négligeable de l’Islam. »
Dans une tribune au Monde, une trentaine d’imams ont dénoncé l’antisémitisme en France, comme il l’exhortait. Ils expliquent notamment qu’ils sont « indignés (…) en tant que Français » par ce fléau, alors que de nombreux responsables du culte musulman, de Dalil Boubakeur à Jean-Pierre Chevènement, se sont offusqués — à très juste titre — de ce procès fait aux musulmans.
Qu’importe, Philippe Val, après avoir réglé le problème de certains versets du Coran, pourrait bientôt s’attaquer au voile. Avec l’écriture d’un prochain manifeste ? Le journaliste, qui se dit « acharné de la laïcité », a déjà un avis sur la question : « Le voile est le signe que contrairement à l’homme, la femme n’est qu’un sexe qu’il faut dissimuler, pour ne pas qu’il éveille la tentation chez l’homme. La femme voilée, c’est le mal qu’on dissimule pour qu’il ne dérègle pas la société. La femme volée n’est pas un être humain mais un élément perturbateur neutralisé. Elle laisse à l’homme son rôle de créateur de civilisation, et se contente de perpétuer l’espèce. Le voile proclame une essence féminine mauvaise », assure-t-il. Vous avez dit obsession ?
Aux Etats-Unis, Emmanuel Macron parle de « tension avec l’Islam » en France.
Que pense Emmanuel Macron de l’Islam ? Ce fut l’une des questions posées au président de la République française ce mercredi 25 avril par des étudiants américains. Dans une salle de basket de l’université George Washington, Emmanuel Macron avait prévenu les étudiants : « Je suis là pour vous, soyez directs ! »
Alors, une étudiante n’a pas hésité à apostropher le président français sur les sujets qui fâchent : l’immigration, au lendemain du vote de la loi asile-immigration — « Vous ne pouvez pas accepter tout le monde », a-t-il simplement dit —, et l’Islam. Sur la religion musulmane, Emmanuel Macron a expliqué que « l’Islam est un défi pour nos sociétés parce que cette religion est nouvelle, originaire d’une autre partie du monde. »
Selon le chef de l’Etat, « maintenant, des millions de personnes y croient et ce sont (les musulmans, ndlr) nos concitoyens, avec les mêmes droits. » Toutefois, a-t-il tenu à préciser, « il existe une tension avec l’Islam parce que nos populations ne sont pas habituées, parfois. La bonne réponse n’est pas de dire que nous devons nous en débarrasser. »
Et Emmanuel Macron de rappeler que « la meilleure réponse est la tolérance et que chacun respecte les règles. Si au nom de votre religion, vous ne respectez pas les lois, je suis contre vous mais vous pouvez croire à ce que vous voulez. »

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

42 morts et plus de 5 000 blessés tracent la « Grande marche du Retour »
.
42 manifestants pacifistes palestiniens ont été tués par les tirs prémédités et du sang froid des soldats occupants israéliens au cours des événements civils et pacifiques de la « Grande marche du Retour » sur la frontière orientale de la bande de Gaza, où plus de 5000 civils non armés ont été différement blessés depuis le 30 mars dernier.
.
Les Palestiniens se préparent à faire leurs adieux au scientifique al-Batsh
.
L’Egypte ouvre le passage de Rafah face à 20 Gazaouis bloqués
.
300 enfants Jérusalémites assignés à domicile depuis fin 2015
.
Les députés de Changement et réforme en Cisjordanie boycottent la session du CNP
.
L’occupation empêche les enseignants et les étudiants d’entrer au Collège Al-Aroub
.
Les forces de l’occupation kidnappent un Palestinien de son domicile à Jénine
.
L’occupation ferme l’Université Khadouri et empêche les étudiants et le personnel d’y entrer
.
Un mineur palestinien blessé enlevé par des soldats israéliens à Bethléem
.
Deux blessés au nord d’Hébron et des affrontements nocturnes à l’est de Qalqiliya
.
Le Hamas endeuillé pour les martyrs du camp al-Yarmouk et appelle à épargner les réfugiés palestiniens en Syrie de toutes les tractations
.
Bensalah réitère le soutien constant de l’Algérie au peuple palestinien
.
Un policier condamné à 9 mois de prison pour avoir tué un mineur palestinien
.
Haniyeh menace l’occupation d’une marche encore plus grande pour le Ramadan
.
Le journaliste Ahmed Abu Hassine succombe à ses blessures
.
Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent deux citoyens et convoquent un autre
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 10 Sha’ban 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

islam : Ils sont sourds et muets et ils apprennent à mémoriser le Saint Coran.
Aveugle de naissance, Ibn Um Maktûm était un proche parent de Khadîja, l’épouse du Prophète (Salla Allah alayhi wa salam). Il a été le premier Mecquois à embrasser l’Islam, son infirmité ne l’a pas empêché de fortifier sa foi et sa conviction.
Il était un homme admirable et si Allah lui a fait perdre la vue, Il lui a permis de voir la lumière de la vie et de la certitude, celle qui donne la capacité de percevoir ce que beaucoup de gens aux yeux grands ouverts ne peuvent voir.
Le Coran ne dit-il pas.
« Ce ne sont pas les yeux qui deviennent aveugles ; ce sont les coeurs qui sont dans les poitrines ». (Sourate 22 – Verset 46).:
Dès qu’il connu la vérité de la révélation divine, Ibn Um Maktûm ne vivait que pour elle, il était toujours en quête de nouveaux versets à apprendre de la bouche du Messager d’Allah ne lui laissant aucun répit.
Un jour, alors que le Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) était en train de prêcher à un groupe de notables qurayshites, Ibn Um Maktûm se présenta devant lui et se mit à lui dire :
« Ô Messager de Dieu, récite-moi ce que Dieu t’a appris ». Son intervention eût le don d’agacer l’Envoyé de Dieu qui détourna la tête avant de poursuivre la discussion avec les notables de Quaraysh.
Si Ibn Um Maktûm ne sut rien du comportement du Prophète (Salla Allah alayhi wa salam, Celui à qui rien n’échappe, Celui qui connaît tout ce qu’il y a dans les cieux et la terre, avait tout vu .
Quelques temps après, un versets mettant en cause l’attitude du Prophète fut révélé
:
« Il s’est renfrogné et il s’est détourné parce que l’aveugle est venu à lui. Qui te dit : Peut-être cherche-t-il à se purifier ? Ou à se rappeler en sorte que le rappel lui profite ? Quant à celui qui se complaît dans sa suffisance (pour sa richesse), tu vas avec empressement à sa rencontre. Or, que t’importe qu’il ne se purifie pas. Et quant à celui qui vient à toi avec empressement tout en ayant la crainte, tu ne t’en soucies pas. N’agis plus ainsi. Vraiment, ceci est un rappel. Quiconque veut, donc, s’en rappelle. Consigné dans des feuilles honorées, élevées, purifiées, entre les mains d’ambassadeurs nobles, obéissants . (Sourate 80 – Versets 1 à 16).
Ce verset attrista le Prophète Mohammed (Salla Allah alayhi wa salam), il lui permit cependant de connaitre la valeur d’un homme, car aux yeux de Dieu, celui-ci ne se mesure pas en termes de richesse et de noblesse, mais aux prédispositions de l’être humain à répondre aux appels de la Vérité.
À partir de ce jour-là, le Messager de Dieu témoignera une grande estime à ce pieux compagnon de la première heure. À chaque fois qu’il le verra, il se lèvera pour lui et dira : « Bienvenue à celui pour lequel mon Seigneur m’a réprimandé ! »
A partir de ce jour, Ibn Um Maktûm fut proche du Prophète (Salla Allah alayhi wa salam), il enseigna les préceptes de l’Islam aux habitants de Médine, il appelait les musulmans à la prière en compagnie de Bilâl, il fut même nommé gouverneur de Médine durant les expéditions du Messager de Dieu.
Sa foi était telle qu’il souhaitait combattre aux côtés des autres compagnons pour le triomphe de l’Islam et ceci malgré son infirmité.
Son vœux fut exaucé, il décéda en martyr lors d’une bataille à l’époque du Califat de ‘Umar, on le retrouva mort entourant de ses bras l’étendard de l’Islam.
Des siècles plus tard, des musulmans sourds et muets vouent leur vie à l’Islam comme on peut le voir sur cette vidéo. Ils apprennent le Coran et passent leurs journées à mémoriser le Saint texte.
islam : Le noble Coran traduit en langue poular.
La traduction du Saint Coran est une question épineuse pour la théologie islamique, car l’essence du Coran est réputée intraduisible et ne peut de ce fait être défait de sa forme originelle.
Il a pourtant fallu rendre accessible le texte sacré au non-arabophones.
En règle générale on ne parle pas de « traductions » mais plutôt d’« interprétation ».
Le noble Coran a donc été « traduit » en plusieurs langues.
Désormais, le Saint Livre est aussi disponible en langue poular. Le peul ou poular est la langue maternelle des ethnies peules originaires d’une quinzaine de pays d’Afrique, elles sont majoritairement présentes au Nigéria, au Niger, au Cameroun, au Mali, Sénégal et en Guinée et sont pour la plupart musulmanes.
Cette nouvelle interprétation va permettre aux nombreux musulmans familiers à la langue poular de comprendre les sourates mais aussi les explications détaillées sur les idées et les concepts coraniques.
L’ouvrage dénommé « Fuɗɗorde Firo Al-Ghur’āna Pular » a été réalisé par Mamadou Lamine Bah, un ingénieur en informatique vivant aux Etats-Unis.
Ce livre répond aux nombreuses questions sur l’histoire du Saint Coran, sa définition, sa révélation, il contient aussi une traduction originale et authentique basée sur le Tafsir de Thierno Oumar Perējo et de Thierno Aliou Ɓouɓa N’diyan.
Un travail de longue haleine dont le fils de Thierno Abdourahmane Bah, ancien imam de la grande Mosquée de Karamoko Alpha Mo Labé, a mis des années à achever.
Dès l’âge de 7 ans, Mamadou étudie le Coran avec l’aide de son père. En 1995 il émigre aux Etats-Unis où il fonde le T.A.C.C (Thierno Abdourahmane Centre Pour La Connaissance).
Un centre destiné à préserver la culture peule et surtout à parfaire l’éducation coranique dans les anciens foyers (Doudhé) du Fouta.
L’auteur a dédié son ouvrage à son père décédé en 2013.
« Cet ouvrage est dédié à la mémoire de mon père, Thierno Abdourahmane Bah, éminent guide religieux et poète du Fouta-Djallon. Il est aussi dédié à son grand frère, Thierno Habib Bah ainsi qu’à leur cousin et maître coranique Thierno Oumar Perējo, élève et neveu de Thierno Aliou Ɓouɓa N’diyan ».

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Syrie : le Croissant Rouge turc installe des cours de récréation pour les enfants.
Le Croissant-Rouge turc a inauguré lundi une aire de jeux dans la ville d’Idlib, au nord-ouest de la Syrie.
L’ouverture de la cour de récréation dans le camp Hope du village de Kelbit a marqué les célébrations du 23 avril pour la Souveraineté nationale et la Journée des enfants de la Turquie.
Kadir Akgunduz, coordinateur sur le terrain en Syrie pour l’organisation humanitaire, a déclaré que le terrain de jeu aidera à guérir les blessures psychologiques que des années de guerre ont laissé sur les enfants des villes d’Idlib et de l’ouest de Hama.
Six autres terrains de jeux seront établis dans la région, a ajouté Akgunduz.
Il a déclaré que plus de 900 enfants âgés de 6 à 10 ans vivaient dans le camp.
Depuis le 18 janvier, le camp fournit des logements à 4 000 personnes qui ont fui les atrocités perpétrées par le régime d’Assad à Idlib et à Hama.
La Syrie est bloquée dans une guerre civile terrible depuis 2011, lorsque le régime d’Assad a réprimé des manifestations pro-démocratiques avec une férocité inattendue.
Depuis lors, des centaines de milliers de personnes ont été tuées dans le conflit, selon l’ONU.
Palestine : Gaza : 3 Palestiniens blessés par l’armée israélienne à la frontière.
Au moins trois Palestiniens ont été blessés mardi après que les forces militaires israéliennes ont tiré sur la frontière Est entre la bande de Gaza et Israël pendant les “marches pacifiques du retour et de la rupture du siège”.
Selon des médecins, trois Palestiniens ont été blessés à la jambe lorsque l’armée israélienne leur a tiré dessus avec des balles réelles.
Deux des blessés ont été transportés au camp de réfugiés de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, tandis qu’un autre a été emmené à Khan Younis, dans le sud du pays, ont-ils ajouté.
Depuis le 30 mars, date du début des marches pacifiques du retour et de la rupture du siège, au moins 41 Palestiniens ont été tués et près de 4 000 autres blessés par les attaques israéliennes.
Nigéria : 88 000 enfants risquent de mourir de la famine.
Au Nigeria, 88 000 enfants risquent la mort en raison de la malnutrition aiguë dans la région, a indiqué un responsable de l’UNICEF.
Selon le chef de l’UNICEF Geoffrey Ijumba, lors du discours de clôture de la formation nutritionnelle d’urgence de cinq jours à Maiduguri, 940 000 enfants des états de Borno, Adamawa et Yobe sont fortement touchés par la malnutrition, tandis que 88 000 d’entre eux risquent la mort.
“Plus de 1,5 million de personnes n’ont pas accès à l’eau potable dans les états de Borno, Adamawa et Yobe. Cela affecte des milliers d’enfants vulnérables dans la région”, a-t-il dit.
En 2017, l’UNICEF a déclaré que 450 000 enfants de moins de cinq ans étaient exposés à un risque de malnutrition aiguë sévère.
Guerre : “Le Qatar doit payer pour la présence militaire américaine en Syrie” selon le Ministre saoudien des Affaires Etrangères.
Le Qatar devrait payer pour la présence des forces militaires américaines en Syrie, a déclaré le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, dans un communiqué publié par l’agence de presse saoudienne (SPA).
La déclaration de FM Jubeir fait suite des commentaires du président américain Donald Trump lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue français Emmanuel Macron.
Jubeir a déclaré que le Qatar doit envoyer ses forces militaires en Syrie “avant que le président américain annule la protection américaine du Qatar, qui abrite une base militaire (américaine) sur ses terres”.
Dans sa déclaration, le ministre saoudien a également déclaré que si les Etats-Unis retiraient leur protection – sous la forme d’une base militaire – “le régime (qatari) tomberait en moins d’une semaine”.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

La minorité chrétienne des Kachins réclame le renvoi de la Birmanie vers la CPI.
La minorité des Rohingyas n’est malheureusement pas la seule à être opprimée en Birmanie. Les Kachins, via une trentaine d’organisations représentant cette minorité, interpellent le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour les inciter à renvoyer la Birmanie et son armée devant la Cour pénale internationale (CPI).
Ces organisations dénoncent, dans un communiqué daté du 23 avril et relayé par Info Birmanie, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité perpétrés dans les Etats d’Arakan, Kachin et Shan par l’armée birmane qui profite jusqu’ici amplement d’une « culture de l’impunité ».
Depuis la rupture du cessez-le-feu entre l’armée et l’Organisation pour l’indépendance kachin en 2011, la minorité des Kachins, essentiellement chrétienne, a subi diverses formes de violence des autorités birmanes, citant « les exécutions, la torture, les déplacements forcés, le travail forcé, les viols et autres formes de violence sexuelle, la confiscation de propriétés, les arrestations arbitraires et la détention, ainsi que le refus de l’assistance humanitaire ». « Leur existence quotidienne a également été dictée par les vagues successives du conflit armé », forçant « des milliers de civils à fuir leurs villages », font savoir les organisations kachins.
Un appel aux sanctions.
Elles rappellent que ces violences bafouant ouvertement les lois internationales sont coutumières, car le gouvernement birman y a toujours recours pour « susciter la peur et le contrôle dans leurs tentatives de destruction de notre identité ethnique, de destruction de notre religion, de colonisation de nos terres et de pillages de nos ressources naturelles ».
« Nous appelons la communauté internationale à faire en sorte que les auteurs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité répondent de leurs actes », appellent les organisations signataires de l’appel, qui sollicitent, en plus du renvoi de l’affaire devant la CPI, l’intervention d’un envoyé spécial des Nations Unies pour « négocier notamment l’accès humanitaire et le respect de la liberté de mouvement ».
Les Kachins invitent l’Inde, la Chine, les États-Unis et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN) à jouer le rôle de médiateur pour l’adoption de nouvelles résolutions de paix. Insistant sur la prise de mesure radicale contre l’armée birmane, les membres du Conseil de Sécurité sont appelés à « faire face à leurs responsabilités », ajoutant que ceux qui refusent la saisine de la CPI « prennent une décision active permettant à l’armée birmane de continuer à exécuter des populations civiles issues des minorités ethniques ».

Sur oumma.com, voici les titres.

Mohamed Salah dans l’armée d’occupation ? Le tweet plus cynique que drôle du ministre israélien de la Défense….
Sa plaisanterie ne fera certainement rire que lui, car il y a fort à parier qu’elle ne soit pas du goût de Mohamed Salah, le « roi égyptien » du Liverpool FC qui a été impérial, hier soir, face à la AS Roma, lors de la demi-finale de la Ligue des Champions.
« Je téléphone sur le champ au chef d’état-major pour lui dire d’engager Mohamed Salah dans l’armée », a tweeté l’ultra-raciste ministre israélien de la Défense, Avigdor Liberman, avec la subtilité du lourdaud de l’humour qu’il est…
Une perspective qui prêterait à sourire tant elle est improbable, si elle n’était aussi révélatrice du cynisme sans nom de son auteur, moins connu pour ses boutades que pour ses saillies verbales ignominieuses contre les Palestiniens.
« Je propose de transporter les prisonniers palestiniens en autocars jusqu’à la mer Morte pour les noyer » ou encore « Les Arabes Israéliens qui sont contre nous méritent de se faire décapiter à la hache », éructait-il sans une once de dérision, alors qu’il était ministre des Affaires étrangères et l’un des sinistres artisans de l’Etat d’apartheid.
Comme l’imbuvable Avigdor Liberman semble d’humeur badine, rappelons-lui une anecdote qui ne manque pas de sel, histoire de le faire s’étrangler de rire… En 2013, Mohamed Salah, à l’instar du peuple égyptien rangé inconditionnellement du côté de ses frères palestiniens, s’était illustré par son refus de serrer la main des joueurs de l’équipe israélienne du Maccabi Tel Aviv, prétextant un changement de chaussures. Voilà, ça c’est follement drôle !
Santé : Koweït : Nabta Health, la plate-forme qui incite les femmes arabes à faire de leur santé une priorité.
« Vous êtes les piliers de votre famille et de la société. Vous devriez reconnaître votre valeur intrinsèque en donnant la priorité à votre santé ». Ces paroles valorisantes accompagnées d’une recommandation précieuse sont répétées avec insistance à l’attention des femmes arabes par Sophie Smith, une experte britannique des NTIC installée à Dubaï, laquelle a fusionné ses compétences avec celles du médecin koweïtien Mussaad Al-Razouki pour élaborer le grand projet numérique de santé publique : Nabta Health.
De cette synergie fructueuse est née au Koweït, en juillet 2017, une plate-forme de services novatrice, faisant la part belle aux conseils personnalisés et aux consultations virtuelles, entièrement dédiée aux étapes-clés qui rythment la vie des femmes et ont des répercussions sur leur état de santé, de la naissance à la puberté, en passant par la grossesse, le rôle parental jusqu’à la périménopause, voire au-delà.
Composée d’un site Web et de cinq applications mobiles distinctes – Nabta Fertility, Nabta Pregnancy, Nabta Baby, Nabta Care et Nabta Midlife -, la bien nommée plate-forme qui signifie « plante médicinale » en arabe, évocatrice de l’épanouissement de la femme tout au long de son existence, a été aussi et surtout conçue pour inciter la gent féminine à prendre mieux soin d’elle, en adoptant de nouveaux réflexes salutaires : être résolument proactive, car selon le vieil adage « mieux vaut prévenir que guérir », et s’efforcer de dépasser le sentiment persistant de honte qui l’habite, ô combien préjudiciable quand il y va de l’état de ses propres artères.
Après avoir observé sur le terrain les carences en matière d’éducation à la santé et de soins spécifiques destinés aux femmes, Sophie Smith a également mesuré la prégnance de ce qu’elle qualifie de « culture de la honte » dans la galaxie arabo-musulmane et ses conséquences, souvent tragiques, en matière de détection et de prise en charge des maladies.
« Il faut faire face à la croyance encore très répandue, selon laquelle les caractères héréditaires ou chroniques d’une pathologie sont honteuses pour elles et leur familles », explique Sophie Smith. « Concrètement, cela enferme les femmes dans un silence qui peut s’avérer lourd de conséquences. Il faut absolument qu’elles se libèrent de cette honte pour parler naturellement de leurs problèmes de santé et qu’elle s’y confrontent avant qu’il ne soit trop tard », ne saurait-elle trop recommander.
En moins d’un an, Nabta Health a fait l’éclatante démonstration de sa nécessité et de son efficacité dans les Emirats arabes unis, ce laboratoire d’essai où la viabilité de son ambitieux projet numérique est testée. Son président et co-fondateur, le Dr Mussaad Al-Razouki, s’autorise déjà à voir grand et loin, au-delà des frontières du golfe Persique, pour essaimer dans l’ensemble du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, fort de deux distinctions prestigieuses qui lui ont été décernées : le prix du public lors des qualifications ArabNet au Koweït, et plus récemment, le prix du meilleur article attribué par Innovation Arabia 2018 .

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Un projet de loi fixant les fêtes légales soumis hier aux députés : Yennayer reprend ses lettres de noblesse.
Etudiants algériens en France : Cette fuite des cerveaux !
Clôture des Assises nationales de l’agriculture: Des acquis à préserver.
Violence dans les stades : La DGSN veille toujours au grain.
Présidentielles de 2019 : Le FFS émet des réserves.
Système de communication adopté pour raffermir le lien solide entre la nation et son armée : Fiabilité, crédibilité et efficacité.
Rassemblement des médecins résidents devant l’APN : Le CAMRA met à exécution ses menaces.
Il a adressé un message aux participants aux assises nationales de l’agriculture : Les orientations du Président.
Le recrutement des jeunes au sud patine : Les entreprises épinglées.
Ramadhan-2018 : Lancement d’un nouveau système d’information.
Dans le cadre de la préparation du mois de ramadhan 2018, le ministère du Commerce, Said Djellab a mis en place un nouveau système d’information relatif au suivi de la tendance des prix au niveau des marchés de gros et de détail, permettant d’intervenir en cas de pics enregistrés.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Affaire Tariq Ramadan : le comité de soutien à l’unisson.
LeMuslimPost : Selon Le Point, Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de Tariq Ramadan, a indiqué que ce dernier « ne conteste pas avoir eu une relation » avec une des plaignantes mais que « ce n’est pas la relation qu’elle a décrite ». Etiez-vous au courant de cette information ?
Yamin Makri : Tariq Ramadan a été accusé de viol. Les éléments qu’apporte Me Marsigny impliquent une relation, certes, mais ils le disculpent de toute relation non consentie. Je pense qu’il faut faire une différence entre le traitement politique, juridique et moral. Au niveau politique, nous dénonçons, et nous continuerons de le faire, la manipulation de certains. Il est évident que, depuis le début de l’affaire, au niveau politique et médiatique, ce n’était pas seulement l’homme qu’on jugeait.
Au niveau juridique, cette affaire apparaît bien plus complexe qu’on le pensait à l’origine. Et on se rend bien compte de la difficulté des juges pour asseoir une décision. Nous leur faisons confiance. Des éléments probants à décharge ont été apportés. Nous espérons que cela permettra de libérer un homme très malade qui doit préparer sa défense face à des accusations lourdes.
Iman Ramadan : Les contacts limités que j’ai avec mon mari depuis son incarcération ne me permettent pas d’avoir une discussion profonde et franche pour le moment. La presse a l’air d’avoir plus d’informations que la famille et continue, comme depuis le début de cette histoire, à colporter des bruits, des mensonges et des rumeurs pour salir mon mari. On ne peut prendre position sur des rumeurs ou même des faits relatés sans entendre le principal intéressé. Malheureusement, depuis le début de cette affaire, le lynchage médiatique a empêché sa voix d’être entendue. Des choses sont dites dans les médias, mais c’est la parole de Tariq qui sera importante. Même l’avocat a demandé au procureur que les médias cessent de diffuser des informations non correctes.
« Tariq Ramadan est mon ami, et il le restera. Ces faits ne concernent que sa famille et la communauté » (Yamin Makri).
Yamin Makri : Sur le plan moral, nous étions habitués aux multiples diffamations des opposants de Tariq Ramadan. Nous n’y avons jamais accordé aucun crédit. Aujourd’hui, c’est son avocat qui nous parle de « relation avec une des plaignantes ». Sur cela, je voudrais être très clair : je ne me prononce pas sur des accusations portant sur la vie privée d’une personne tant que je ne l’ai pas entendue. Tariq Ramadan est mon ami, et il le restera. Par contre, il est évident qu’il devra se positionner sur ces faits. Cela ne concerne que sa famille et la communauté, et je ne vois pas pourquoi cela devrait être sujet à débat public.
Iman Ramadan : Pour moi, l’essentiel aujourd’hui est de dénoncer les accusations mensongères dont il fait l’objet et qu’il conteste. Je demande à tous de respecter cela : mon mari est accusé de viols qu’il n’a pas commis et qu’il nie depuis le début. Notre devoir d’être humain est de prendre la défense de celui qui est accusé à tort et injustement traité.
Aujourd’hui, est-ce que ces dernières informations relayées par la presse ont une incidence sur votre soutien, jusque-là indéfectible, à Tariq Ramadan ?
Yamin Makri : Non, absolument pas. Personnellement, je n’ai défendu que la présomption d’innocence tout en dénonçant un traitement médiatique à charge. Mais je ne trouverais pas anormal que des membres du comité de soutien, au vu de ces éléments, se retirent.
« Mon mari est un homme, il n’est pas parfait. Notre famille le soutient pour un crime qu’il n’a pas commis » (Iman Ramadan).
Iman Ramadan : Nous nous battons pour sa libération, pour son droit à la présomption d’innocence et pour que cesse le traitement dégradant qu’il subit. Mon mari est un homme, il n’est pas un ange, il n’est pas parfait. Il peut commettre des fautes. Notre famille le soutient pour un crime qu’il n’a pas commis. Le reste, c’est entre lui et Dieu, et entre lui et sa famille. Les choses privées se gèrent dans le privé et ce qui est public ne peut être géré qu’en écoutant les principaux intéressés. Et pour finir, il n’appartient qu’à Dieu de juger les hommes et leurs actes.
Ce qui fait tenir Tariq malgré la maladie et l’injustice qu’il subit est de savoir que cette épreuve est voulue par Dieu et qu’elle a un sens. Nous devons être les cœurs qui accueillent le sens et non des inquisiteurs d’un tribunal de moralité ni des observateurs qui jugent les faits au détriment de la présomption d’innocence, donc de la justice.
Il y a d’un côté les trois plaignantes qui mentent et se contredisent, comme cela a été mis en évidence par Me Marsigny et, de l’autre coté, il y a une mise sous silence de la voix de Tariq pour pouvoir le salir. Il a depuis le début réservé sa parole à la justice. Pour rappel, ce sont ces accusations qui ont entraîné sa détention avec toutes les conséquences que l’on sait aujourd’hui sur sa santé et qui l’ont, comme je l’ai mentionné, privé de parole jusqu’à présent.
Fermeture de la cagnotte, soutiens plus discrets… Qu’en est-il aujourd’hui du comité de soutien ?
Yamin Makri : Je pense que le comité de soutien a fait son travail en dénonçant le traitement médiatique de cette affaire. Aujourd’hui, l’avocat de Tariq Ramadan a suffisamment d’éléments pour démontrer que les trois accusations de viol sont infondées. Une demande de libération va être faite. Tariq Ramadan et sa famille pourront ainsi mieux organiser sa défense. Nous devons dorénavant laisser cette affaire être traitée dans la sérénité, sans manipulation aucune. La famille Ramadan qui gère les deux cagnottes devra faire un bilan financier de la manière dont a été utilisé cet argent. Nous avons toujours été transparents, et nous devrons le rester.
« Nous sommes une communauté fidèle à des principes et à un Livre référent qui est le Coran » (Yamin Makri).
Si la demande de liberté aboutit ces prochaines semaines, quel est l’avenir de Tariq Ramadan, que ce soit personnellement et professionnellement, ainsi qu’au sein de la communauté ? Cela n’est-il pas un coup très lourd porté à la communauté musulmane ?
Yamin Makri : C’est à la personne concernée qu’il faudra poser la question. Pour ma part, j’ai toujours été contre la personnification et la surmédiatisation qui ne permettent pas un vrai travail de profondeur sur les enjeux et les défis de la communauté musulmane en France et dans le monde. Le message de l’Islam est bien au-delà d’un homme et de ses défaillances, supposées ou non. La communauté musulmane française regorge de potentialités, d’esprits éclairés, de femmes et d’hommes à la spiritualité rayonnante.
La réaction forte et unitaire, toutes tendances confondues, de la communauté musulmane, face à cet « appel des 300 » qui voudrait abroger certains versets du Coran, est impressionnante. Cela prouve bien que nous sommes une communauté fidèle à des principes et à un Livre référent qui est le Coran. Cette fidélité aux valeurs et à ce Livre nous permet de dépasser toutes les défaillances humaines qui font partie de nos réalités ici bas.
Les réactions intelligentes de certaines personnalités, musulmanes ou non, face à cet appel insensé, me donnent un énorme espoir sur l’avenir de notre communauté dans ce pays. Tant que nous resterons tous fidèles aux principes et aux valeurs qui nous réunissent et que nous saurons dépasser toutes les peurs, les craintes, et les haines, un vivre-ensemble sera toujours possible. C’est mon espoir et le sens de mon action.
« Tariq Ramadan prendra la parole sur cette affaire en temps voulu et restera, comme il l’a toujours fait, au service de la communauté » (Iman Ramadan).
Iman Ramadan : On espère que la démarche aboutisse rapidement car il subit aujourd’hui une double peine : celle d’être incarcéré injustement et celle de ne pas pouvoir bénéficier d’un traitement médical approprié. Ce qui est incompréhensible dans un pays comme la France. Son état de santé est chaque jour plus préoccupant sans une prise en charge adéquate. Jusqu’à quand ?
La première chose qu’il fera sera de prendre soin de lui et de sa santé. Au niveau professionnel, l’Université d’Oxford le soutient et attend les conclusions de l’affaire. Au niveau communautaire, Tariq Ramadan prendra la parole sur cette affaire en temps voulu et restera, comme il l’a toujours fait, au service de la communauté. Il prendra le temps de recontacter et de remercier tous ceux qui l’ont soutenu dans cette affaire.
Malika Hamidi : « Je pense que nous allons faire émerger la troisième vague du féminisme ».
LeMuslimPost : Comment est née l’idée de ce colloque sur les afroféminismes et les féminismes musulmans ?
Malika Hamidi : Ce colloque est un évènement à l’initiative du collectif féministe Kahina dont je fais partie, mais aussi soutenu par des universitaires belges comme la docteure en sociologie Sarah Demart et de la professeure de droit Fabienne Brion. L’idée était de faire un colloque hybride, à la fois académique et de terrain.
Je pense que ce colloque était nécessaire car en tant que militante et chercheuse qui a travaillé depuis de longues années sur la question des féminismes musulmans, je me suis rendue compte qu’il y avait des luttes sur lesquelles on pouvait se rejoindre, ou en tout cas des problématiques que nous posions qui étaient similaires au sein du mouvement afroféministe.
Quels sont les points communs entre ces deux mouvements féministes ?
Il faut d’abord dire que le mouvement afroféministe est traversé par des courants divers et variés tout comme le féminisme musulman, qui ont une histoire propre, une mémoire. L’idée était de revenir sur l’actualité de ces mouvements. Tout comme les afroféministes, nous posons la question du sexisme et du racisme ainsi que notre place dans le mouvement féministe mainstream. Notre point commun est la ré-appropriation des espaces de contestation et de la parole : qui parle pour qui ? Nous posons aussi un acte militant et politique qui est de définir notre propre identité.
La sexualité et l’esthétique sont également des thèmes qui nous sont communs. Il y a aujourd’hui une « racialisation de l’esthétique » pour reprendre les termes d’Elsa Dorlin. C’est l’idée qu’on voudrait ériger en norme le physique de la femme blonde aux yeux bleus et à la peau blanche, comme la beauté universelle. On exotise alors le corps de la femme noire et la femme musulmane sous son foulard est toujours l’objet de fantasmes.
Enfin, les afroféministes comme les féministes musulmanes veulent dire qu’elles sont des sujets politiques et qu’elles refusent d’être des objets d’études. Nos luttes sont des luttes en miroir.
La question de l’intersectionnalité durant ce colloque a également été longuement abordée. Est-ce un terme essentiel chez les afroféministes comme chez les féministes musulmanes ?
Aujourd’hui le concept d’intersectionnalité ouvre différents horizons d’espoir, car il met en lumière les systèmes d’oppression que vivent les femmes sur la base de leur appartenance raciale, sexuelle, sociale, ou religieuse. Il faut déconstruire ces grilles de lecture orientalistes, ainsi que ces systèmes de domination engendrés par le patriarcat, le capitalisme etc. L’intersectionnalité remet en question un certain ethno-centrisme au sein du féminisme mainstream, « blanc ». Il ouvre également des fenêtres d’espoir pour des pratiques féministes plus solidaires.
« Il faut que nous ayons le courage d’être auto-critiques ».
Aujourd’hui, qu’est-ce qu’apporte l’afroféminisme au féminisme musulman ? Comment cela se concrétise ?
C’était justement l’objet de ce colloque, qui était le tout premier à réunir les afroféministes, les féministes musulmanes et les afroféministes musulmanes.
Je suis curieuse de voir comment nous pourrons créer des alliances, si nous devons en avoir. Car ce qui a été pointé, ce n’est curieusement pas des problèmes d’ordre féministes, mais le problème de la négrophobie au sein des communautés arabes et également le racisme des noirs envers les Arabes. Cela veut donc dire que si nous voulons avancer vers des alliances il faut d’abord qu’on règle ces différents entre nous et avoir le courage d’être auto-critiques.
En 2004 avec des féministes comme Christine Delphy, nous avons dû mettre à plat la question du foulard. Les féministes mainstream voulaient comprendre pourquoi nous avions se besoin de nous voiler. Ce colloque a été de la même façon, l’occasion d’exprimer des blessures et des différents, sans tabous.
Comment le féminisme musulman a t-il de son côté évolué depuis 2004 et les crispations autour du port du foulard ?
En 2004, la question du port du foulard était la première chose sur laquelle on nous interrogeait toujours. Aujourd’hui on est face à une génération qui porte le foulard de différentes manières (turban, voile à la turque, voile traditionnel etc). Les femmes se sont ré-appropriées la mode. Ce sont aussi des musulmanes qui ont changé. On est face à des femmes éduquées, qui ont les armes théoriques pour définir une émancipation. Elles sont audacieuses et ne sont plus dans la frustration. En France il y a encore des crispations autour du voile, mais c’est en réalité une minorité à qui on donne de la voix.
L’association Lallab a commencé à normaliser la présence des femmes musulmanes dans l’espace public et médiatique. Je pense qu’on est au sortir du crise, mais qui va en engendrer une nouvelle car nous sommes face à une certaine classe politique et intellectuelle qui voit d’un très mauvais oeil la visibilité du religieux dans l’espace public. Le problème c’est que l’on a des femmes de plus en plus diplômées, engagées en politique, donc le rapport de force devient de plus en plus violent.
« Chez les féministes musulmanes, nous avons tendance à oublier que nous sommes aussi des afro-descendantes ».
Vous vous définissez comme « une afroféministe musulmane de la diversité ». Qu’entendez-vous par là ?
Je pense que chez les féministes musulmanes, nous avons tendance à oublier que nous sommes aussi des afro-descendantes. Le fait de se définir et d’assumer ses racines africaines pourrait peut être rassurer les afroféministes, qui ne sont pas définies comme musulmanes si elles ne portent pas le voile. On les renvoie d’abord à leur appartenance africaine, comme Rokhaya Diallo, que l’on dit afroféministe mais qui est aussi musulmane. Il faut essayer de trouver une manière de mettre en liaison ces identités.
Le mot diversité est aussi important, car la féministe intersectionnelle, c’est une féministe victimes de plusieurs discriminations. Mais la diversité pourrait apporter des réponses à cela.
Pour vous, le public du colloque représentait le « féminisme de demain ». Pourquoi ?
C’est un réel espoir car la salle était parfaitement hétérogène. Non seulement d’un point de vue des appartenances raciales mais aussi de l’appartenance générationnelle avec des jeunes filles, des trentenaires et des féministes de la deuxième vague. Je pense que nous allons faire émerger la troisième vague du féminisme.
France : Civitas lance une « armée priante en attendant le retour d’une armée combattante ».
Ils veulent « repousser les envahisseurs islamistes. » Mais en attendant que nos dirigeants arrêtent d’être « les valets du nouvel ordre mondial », Civitas lance une « armée priante. » Le samedi 28 avril prochain, l’association intégriste catholique — qui avait changé il y a deux ans ses statuts pour devenir une formation politique et ainsi tenter de « rechristianiser la France » — participe à la « journée du Rosaire aux Frontières. » Qu’est-ce que le Rosaire aux Frontières ? Pour appuyer son propos, Civitas cite… les paroles de l’archange Saint Michel à Sainte Jeanne d’Arc : « Il y a grande pitié au royaume de France. »
Civitas se demande « où trouver du réconfort dans un pays où chaque année 200 000 enfants sont tués dans le ventre de leur mère, où les cerveaux de nos enfants sont broyés par une éducation nationale qui ne souhaite que les transformer en individus déracinés, coupés de tout déterminisme, où l’avenir pour nos jeunes est au chômage longue durée ou à un emploi avilissant et sous-payé, agrémenté d’une vie sentimentale et familiale chaotique, le tout dans un environnement étranger, hostile et immoral, et où l’avenir pour nos anciens se résume à une capsule qui les enverra doucement ‘ad patres. »
Alors, samedi, l’heure sera à la résistance. Car selon Civitas, il faut agir et vite : « Nous refusons de mettre 700 ans, comme les Espagnols, pour retrouver nos terres et nos églises », assurent les organisateurs du Rosaire aux Frontières qui prévoient une « profession publique de (leur) foi » et de « demander l’aide du ciel dans (leurs) difficultés. » Dans 75 villes de France, Civitas appelle à sortir les chapelets et à rejoindre « l’armée priante comme à Lépante », qui avait été le théâtre d’une bataille navale entre les forces armées de la Sainte Ligue du pape Pie V et celles de l’Empire ottoman.
Palestine : Comment les Etats-Unis ont gommé les références à l’occupation de la Palestine ?
Ce document montre l’évolution de la diplomatie américaine au Proche-Orient. Dans un rapport publié par l’administration Trump, qui recense notamment les violations des droits humains dans deux-cents pays, dont Israël, le ton est amical envers l’Etat hébreu. Ce rapport parle en effet de « la situation des droits de l’Homme en Israël, dans le plateau du Golan, dans la rive occidentale et dans la bande de Gaza » en n’utilisant quasiment plus le terme de « territoires occupés ». Ce rapport, dénonce Human Rights Watch, « supprime presque entièrement toute référence à l’occupation. ».
Le rapport, continue HRW, cède « au récit du gouvernement israélien sur des questions clés. » En effet, alors que le rapport de 2017 pointait du doigt la « discrimination institutionnelle et sociétale contre les citoyens arabes d’Israël » qui étaient « parmi les problèmes les plus importants des droits de l’Homme », cette discrimination n’apparaît plus dans le nouveau rapport de l’administration américaine.
« Pendant des décennies, les Etats-Unis n’ont pas suffisamment utilisé leur influence pour faire pression sur le gouvernement israélien ».
En septembre dernier, l’ambassadeur des Etats-Unis en Israël, David Friedman, dans une interview au Jerusalem Post, parlait d’« occupation supposée » des territoires palestiniens. Avec ces déclarations et le rapport du département d’Etat américain, certaines personnalités politiques israéliennes y voient une occasion d’enfoncer le clou. Le président du conseil régional de Samarie, Yossi Dagan, estime qu’il s’agit là « d’une occasion historique qu’il ne faut pas rater » de mettre en place une stratégie de colonisation encore plus offensive.
Pour Human Rights Watch, en revanche, ce revirement américain est anormal. « Pendant des décennies, les Etats-Unis n’ont pas suffisamment utilisé leur influence pour faire pression sur le gouvernement israélien afin de mettre fin à des décennies de répression, de discrimination institutionnalisée et d’abus systématiques des droits des Palestiniens », indique l’ONG qui dénonce la disparition des abus israéliens dans le document de l’administration Trump. « Loin de renforcer la position des Etats-Unis, fermer les yeux sur la réalité ne fait qu’isoler les Etats-Unis du consensus international autour des abus d’Israël et rend leur voix moins crédible et pertinente », conclut HRW.
Racisme : Interdits en Angleterre, les identitaires ont pignon sur rue en France.
Ces images ont fait le tour des journaux télévisés ce week-end : des membres de Génération identitaire se sont positionnés en gardes-frontières sur un col des Alpes pour renvoyer des migrants qui tentaient de passer la frontière et leur dire « que la frontière est fermée et qu’ils doivent rentrer chez eux. » Une « mission Alpes » que la préfecture des Hautes-Alpes a laissé faire en indiquant qu’il s’agissait d’une simple « opération de communication » et qu’il n’y avait eu aucun « trouble à l’ordre public. ».
Ironie du sort, pendant ce temps, au Royaume-Uni, trois militants de Génération identitaire étaient refoulés à la frontière. Brittany Pettibone et son petit ami, Martin Sellner — qui avait été à l’origine de la campagne « Defend Europe » l’été dernier, se sont en effet vu refuser l’entrée au Royaume-Uni à leur arrivée à l’aéroport de Luton, vendredi dernier. Le couple a été détenu pendant deux jours avant d’être expulsé. Une autre militante, Lauren Southern, a elle été refoulée par les douanes alors qu’elle était tout près de Calais, ce lundi. Elle devait se rendre au Royaume-Uni pour rencontrer le couple et l’ancien patron de la Ligue de défense anglaise, Tommy Robinson.
Les risques d’un terrorisme d’extrême droite.
Un porte-parole du Home Office a indiqué à la presse qu’il avait « le pouvoir de refuser l’entrée à un individu si l’on considère que sa présence au Royaume-Uni » risque de causer des troubles à l’ordre. Dans une lettre adressée à Brittany Pettibone, les autorités britanniques indiquent qu’elle représente « une menace sérieuse pour les intérêts fondamentaux de la société et sont susceptibles de provoquer chez les communautés locales du Royaume-Uni des tensions. »
Ces renvois à la frontière montrent un durcissement de la politique britannique à l’égard des groupuscules racistes. Notamment avec ceux qui sont très actifs sur les réseaux sociaux, comme les trois militants qui ont été refoulés ce week-end et lundi. Le mois dernier, Mark Rowley, ancien chef de la police antiterroriste du Royaume-Uni, avait mis en garde contre la menace grandissante du terrorisme d’extrême droite. Une extrême droite qui, selon lui, bénéficie d’« une propagande sophistiquée » et qui peut « conduire à des actes de violence et de terrorisme. »
Pendant ce temps, la France laisse les membres de Génération identitaire se regrouper en milices. Des milices qui ont prévu de patrouiller toute la semaine dans les Alpes pour bloquer l’arrivée d’éventuels migrants.
Expulsions de réfugiés : la France collabore-t-elle avec la dictature soudanaise ?
Accusé de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre, le président soudanais Omar el-Béchir est sous le coup de deux mandats d’arrêt internationaux émis par la Cour pénale internationale. Au Soudan, la dictature faire fuir de nombreux opposants politiques.
Amnesty International dénonce « des arrestations arbitraires, des placements en détention et d’autres violations des droits humains perpétrées par les forces de sécurité. » Certains militants ont été, ajoute l’ONG, « soumis à des mauvais traitements au moment de leur arrestation. » La France n’est pas sans savoir ce que risquent les opposant à Omar el-Béchir dans leur pays. Mais elle semble s’en accommoder.
En effet, selon une enquête du New York Times, depuis maintenant quatre ans, la police française collaborerait étroitement avec la dictature soudanaise et favoriserait même le renvoi d’opposants politiques réfugiés en France vers Khartoum.
Des policiers soudanais dans les centres de rétention.
Selon le journal américain, la Belgique, la France, le Royaume-Uni et l’Italie auraient recours à ces pratiques. Comme l’indique le JDD, le Premier ministre belge Charles Michel a reconnu, en septembre dernier devant une commission d’enquête de son Parlement, cette information.
Les faits reprochés à la France sont graves : le pays aurait laissé des policiers soudanais se rendre dans des centres de rétention pour y interroger des demandeurs d’asile. Ce que le ministère français de l’Intérieur ne cache pas : une « mission d’identification du Soudan » vient prêter main-forte à la France pour aider à juger de la viabilité des demandes d’asile, dit-il.
Sauf que les demandeurs renvoyés vers le Soudan sont confrontés à des conditions épouvantables. Plusieurs témoignages font état d’actes de torture — électrocutions et coups — pendant plusieurs jours. Omar el-Béchir nie fermement ces accusations. Si les faits sont avérés, la France pourrait bien être sanctionnée par les autorités européennes.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Haniyeh menace l’occupation d’une marche encore plus grande pour le Ramadan
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Le chef du Bureau politique du Mouvement du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a menacé l’ennemi occupant israélien de ce qu’il a appelé « Oum al-Massirat » (la Mère des marches), au cours du mois de Ramadan prochain
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Une nouvelle colonie sur des terres confisquées à Jérusalem occupée
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Les voyous du gang « Le Prix à payer » incendient deux voitures à Exal
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Commissaire de l’UNRWA: Les écoles ne pourront pas ouvrir à la rentrée prochaine
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Malaisie: Des funérailles solennelles pour al-Batsh avant son rapatriement à Gaza
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La police malaisienne révèle de nouveaux détails sur l’assassinat d’al-Batsh
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Les forces d’occupation font irruption à Issawiya et arrêtent 3 Jérusalémites
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4 000 interventions chirurgicales reportées dans les hôpitaux de Gaza
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Des colons israéliens incitent à des raids massifs au 3ème site le plus sacré de l’Islam
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Campagne israélienne visant les militants et les leaders du Hamas en Cisjordanie
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L’armée israélienne lance une incursion limitée dans la bande de Gaza assiégée
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Des blessés lors d’une attaque des forces israéliennes à Jérusalem
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Les forces de l’occupation israélienne attaquent les villes d’Azzun et Jayyous
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L’Iran présente ses condoléances suite à l’assassinat d’al-Batsh
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Une source de Hamas assure: l’enquête de l’assassinat d’al-Batsh progresse
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14 blessés dans des affrontements avec l’occupation dans le camp de Shufat à Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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