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Flash info pour le 5 Rajab 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

La laïcité s’exporte à la Réunion, les responsables religieux s’insurgent.
Le principe de laïcité a fait son entrée par la grande porte de la République, une véritable arme servant à encenser les uns au détriment des autres.
Une laïcité institutionnalisée qui s’est doucement imposée dans le domaine public.
L’île de la Réunion avait jusqu’ici été épargnée par cette laïcité à outrance, elle coulait des jours heureux au rythme de sa population métissée. Mais dernièrement le Groupe de dialogue interreligieux (GIDR) est sorti de sa réserve pour dénoncer la dernière circulaire du recteur d’académie, Vélayoudom Marimoutou.
Après avoir rappelé les valeurs de la laïcité et la loi de 2004, le recteur demandait aux chefs d’établissements d’interdire aux élèves de porter « de signes ostentatoires d’appartenance religieuse ou communautaire ».
En réaction, les responsables religieux ont adressé une lettre ouverte au recteur pour faire part de leurs inquiétudes après avoir constaté « qu’un certain nombre de faits tendent à nier des particularismes et des traditions auxquels les Réunionnais sont très attachés ».
Ils regrettent notamment « une volonté d’uniformisation qui ne s’embarrasse même plus de précaution » à précisé le président du collectif, Idriss Issop-Banian.
Le GIDR se base sur la récente visite dans l’île d’une inspectrice générale de l’éducation nationale. Lors de sa visite dans un établissement scolaire, l’inspectrice a pointé du doigt la présence d’élèves coiffées d’un kichali, un voile mahorais et en a blâmé les enseignants.
Monsieur Idriss Issop-Banian regrette que madame l’inspectrice s’attarde sur des points sans importance et en n’oublie les réels problèmes de l’île.
« Pour notre part, nous regrettons que des problèmes soient importés à La Réunion alors qu’ils n’existent pas. D’autres sujets plus cruciaux auraient mérité certainement un peu plus d’intérêt tenant au manque de moyens de notre enseignement public pour une éducation de qualité, connaissant par ailleurs la situation inquiétante en matière de violences à l’école, d’échecs scolaires, et d’illettrisme dans notre île . »
Le GIDR assure qu’il « ne s’inscrit pas dans une opposition au respect de la laïcité » mais que sa seule préoccupation est animée « par le souci vital de préserver nos traditions, nos richesses culturelles, notre identité réunionnaise qui est plurielle et tout simplement notre façon d’être ».
Les responsables religieux s’insurgent contre ce rappel à l’ordre à propos d’une situation qui ne les concerne pas.
« Étions-nous en présence d’une situation telle qu’il y aurait eu prosélytisme religieux, trouble au fonctionnement de la communauté éducative, provocation par un signe religieux ostentatoire ? » Ont-ils rappelé, ajoutant que
« La Réunion est souvent louée pour le “Vivre Ensemble” qu’elle s’enorgueillit de présenter et de cultiver », tout en soulignant qu’ « Il faut en rendre grâce sur ce plan à la sagesse de nos aînés qui ont bâti notre société avec un grand sens des valeurs de liberté, de tolérance, de respect de l’Autre et le sentiment partagé d’un avenir commun ».
L’Arabie Saoudite se lance dans la fabrication d’un avion, l’An-132.
L’Arabie Saoudite en collaboration avec le constructeur ukrainien Antonov, se prépare à la production de l’avion multi-rôle An-132. La production annoncée pour 2021 nécessite la construction d’une usine d’assemblage dont les travaux devraient débuter dans un parc technologique dans la ville de Ta’if en 2019.
Les préparations vont bon train, une délégation conduite par le président Antonov Oleksandr Kryvokon s’est rendue début mars en Arabie Saoudite, une rencontre dont l’objectif était la signature d’un protocole d’accord pour la fabrication de l’appareil.
L’accord prévoit l’installation d’un aéroport international, une installation de construction d’aéronefs avec un aérodrome, une usine de panneaux solaires et une ferme solaire.
L’An-132 est la version modernisée de l’An-32 mais sans composants russes. Le premier lot de 20 navires sera assemblé à l’usine Antonov en attendant de former le personnel saoudien. Les avions de ligne devraient être équipés de composants de fabrication occidentale y compris les moteurs Pratt et Whitney Canada, les hélices Dowty Propellers entre autres.
Les essais de vol du prototype An-132D ont débuté au printemps 2017. L’An-132 pourra transporter jusqu’à 75 personnes ou 9.200 kg de fret.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Au Sri Lanka, des moines bouddhistes solidaires des victimes musulmanes .
Des moines bouddhistes, aidés de militaires et de volontaires, ont choisi de prêter main-forte aux musulmans lors du nettoyage des débris laissés par les attaques. De paires de bras bien nécessaires car les dégâts se sont soldés à quelque 450 maisons et commerces détruites et 20 mosquées vandalisées.
Les tensions grandissantes entre la majorité cinghalaise de confession bouddhiste et la minorité musulmane sont à la source de violences intercommunautaires qui ont échappé au contrôle des forces de l’ordre et dégénéré début mars. En réponse, le gouvernement avait instauré le 6 mars l’état d’urgence sur tout le territoire national afin de contenir et de maîtriser les vagues de violences. Le dispositif a pris fin dimanche 18 mars. L’accès aux réseaux sociaux a également été rétabli.
En participant au nettoyage et à la reconstruction des immeubles détruits par leurs coreligionnaires, les moines bouddhistes ont manifesté une solidarité dans l’optique de « progresser vers la réconciliation », selon les termes du moine vénérable Pilhatha Mahanama Thera, qui dirigeait l’équipe de moines bouddhistes et de volontaires dans le disctrict de Kandy, là d’où les récentes violences sont parties.
Questionné sur les faits qui ont conduit au désastre, ce moine se dit « attristé » de la tournure prise par les événements. « Nous sommes profondément préoccupés par ces groupes qui sont venus d’autres régions pour mener ces émeutes », a-t-il indiqué, cité par Ucanews. « En tant que moines bouddhistes, nous assurons de notre solidarité avec les musulmans. »
La peur reste tout de même parmi les musulmans du Sri Lanka, qui craignent de nouvelles violences émanant d’extrémistes cinghalais. Plus de 300 personnes suspectées d’avoir participé aux émeutes ont été arrêtées.
Suède : vers l’interdiction de cours de religion dans les écoles confessionnelles ? .
A six mois des élections législatives, le parti social-démocrate au pouvoir en Suède, a annoncé mi-mars qu’il souhaite l’interdiction des cours de religion dans les écoles confessionnelles sous contrat avec l’Etat.
Les sociaux-démocrates ont motivé ce projet de loi par la crainte de la propagation d’une « ségrégation scolaire » dans un pays qui a accueilli, depuis 2012, plus de 400 000 migrants. Pour Anna Ekström, ministre de l’Education, « ce sont les enseignants et les éducateurs qui doivent être responsables des écoles suédoises, pas les imams et les prêtres ».
Le sort de 71 écoles confessionnelles sous contrat en Suède, dont 59 chrétiens, onze musulmanes et une juive, se place désormais entre les mains des électeurs. Elles représentent 5 % des écoles sous contrat dans le pays.
Jusqu’à présent, le projet de loi n’a pas encore reçu le soutien de la majorité parlementaire, mais le ministre de l’Administration publique, Ardalan Shekarabi, un des principaux leaders du parti, s’est montré confiant, affirmant que le parti réussirait à convaincre l’électorat d’ici aux législatives du 9 septembre.
Le ministre a insisté sur le fait que ce projet de loi ne suggérait pas la fermeture des écoles confessionnelles. Il reste que le retrait probable des cours de religion ne manque pas d’être considéré, par les responsables des écoles visées et des organisations religieuses, comme une atteinte à la liberté de culte et d’enseignement.

Sur oumma.com, voici les titres.

Suède : un responsable de la communauté juive soutient la diffusion de l’Adhan, au nom de la coexistence harmonieuse.
Il aura suffi que les responsables d’une mosquée située à Växjö, une ville suédoise de la province méridionale du Smaland, sollicitent la permission d’appeler à la prière à travers un haut-parleur, non sans avoir préalablement rassuré les autorités locales sur l’intensité du volume sonore, pour que les esprits s’échauffent à droite, et à la droite de la droite.
Vent debout contre la diffusion de l’Adhan sur le territoire national, aussi encadrée et réglementée soit-elle, ces politiciens suédois en colère ont déclenché une polémique bruyante, sans se demander si, outre ses relents nauséeux, elle ne constituait pas une vraie nuisance sonore…
Car, pour l’heure, le vacarme assourdissant provient surtout des cris d’orfraie qu’ils poussent contre l’islam en général, et l’émergence des mosquées dans le paysage en particulier, au point de heurter les oreilles d’un de leurs concitoyens, non pas de confession musulmane mais juive.
Présidant aux destinées de la communauté juive à Stockholm, Aron Verständig en a eu assez de ce tintamarre. Il est sorti de sa réserve pour alerter sur les dangers de succomber aux sirènes stridentes du populisme. A ses yeux inquiets, l’interdiction de l’appel à la prière « porterait atteinte à l’intégration dans le pays », comme il l’a expliqué aux médias, en allant jusqu’à établir un parallèle avec le traitement réservé aux Juifs dans la Suède du 18ème siècle.
« Cette hostilité farouche manifestée contre une religion en particulier ne date pas d’aujourd’hui. Hier elle se déchaînait contre les juifs, et à présent contre les musulmans. Ce n’est pas cela qui va contribuer à favoriser l’intégration », a déploré ce chantre de la coexistence harmonieuse.
« Au contraire, ce qui favorise l’intégration, c’est la chaleur de votre accueil. Si vous dites bienvenue en Suède, voici les lois que nous avons, tout le monde doit les suivre, et cela ne fait aucune différence si vous êtes musulmans, chrétiens, juifs, athées, voire d’une tout autre obédience, cela changera tout », préconise vivement le bien avisé Aron Verständig.
« Par ailleurs, ce n’est pas comme s’il y avait des milliers de mosquées qui demandaient l’autorisation de diffuser l’appel à la prière en Suède. Il ne s’agit que d’une seule, mais comme d’habitude, tout est exagéré, noirci et dramatisé à l’extrême », a-t-il souligné, en espérant que la polémique finisse par retomber comme un soufflé.
Comme le dit le vieil adage, à quelque chose malheur est bon. En effet, malgré le bruit et la fureur de cette controverse nordique aux accents islamophobes, une voix pleine de sagesse aura réussi à se faire entendre et, mieux encore, elle a eu une forte résonance auprès de la communauté musulmane de Suède.
Libye : Saïf al-Islam Kadhafi se réjouit de la garde à vue de Sarkozy et annonce sa candidature à la présidentielle en Libye.
S’il y en a un qui ne boude pas son plaisir devant le placement en garde à vue de Nicolas Sarkozy, c’est bien Saïf al-Islam Kadhafi, l’héritier de feu Mouammar Kadhafi. Il a été en effet prompt à « féliciter la justice française » pour ce qu’il qualifie hâtivement, sans doute emporté par la joie, d’ « arrestation » de l’ancien oligarque français, mué en chef de guerre « humanitaire » en Libye.
Le fils du défunt guide libyen, lynché à mort en octobre 2011, se réjouit de cette spectaculaire accélération judiciaire dans l’affaire tentaculaire des financements libyens et du financement occulte de la campagne présidentielle de Sarkozy en 2007, même s’il regrette qu’elle intervienne tardivement. « Elle (la garde à vue de Sarkozy, NDLR) vient en retard et après 7 ans de guerre. Je dis dommage parce que j’avais donné moi-même les preuves sur cette affaire (…) mais la justice, que ce soit en France ou à l’international, n’a pas bougé à l’époque », a-t-il confié à Africanews.
« Je précise que j’ai encore des preuves solides contre Sarkozy. Et je n’ai pas encore été entendu comme témoin dans cette affaire, ni Abdallah Senoussi, l’ex-directeur des services de renseignements libyen, qui détient encore un enregistrement de la première réunion de Sarkozy et Kadhafi à Tripoli avant sa compagne électorale. Il y a aussi Bachir Salah, l’ex PDG de la Libya Investment, qui est prêt à témoigner malgré les menaces de mort », a-t-il martelé.
Sept ans après la fameuse « guerre humanitaire » qui a ravagé son pays et dont BHL, le philosophe d’opérette et petit télégraphiste d’Israël à Benghazi, ne cessait de vanter les vertus sur le perron de l’Elysée et sur les plateaux de télévision, Saïf al-Islam Kadhafi a choisi Tunis pour annoncer officiellement, par le truchement de l’un de ses représentants, sa candidature à l’élection présidentielle libyenne. Un scrutin décisif pour l’avenir de la Libye, tombée depuis en déliquescence, qui se déroulera avant le 30 septembre 2018.
C’est sous les couleurs du Front populaire pour la libération de la Libye (FPLL) qu’il se lancera dans la course au pouvoir suprême, comme l’a indiqué Aymen Bourass au cours de la conférence de presse qui s’est tenue, lundi 19 mars, dans la capitale tunisienne.
« Saïf al-Islam Kadhafi a décidé de se présenter aux prochaines élections présidentielles et n’aspire pas au pouvoir dans son sens traditionnel », a déclaré ce dernier, en précisant que le dauphin du colonel Kadhafi devrait s’adresser prochainement aux Libyens, afin de leur exposer sa vision du futur et de la reconstruction de l’Etat.
Après être passé par la case prison pendant près de six ans, aux mains de la brigade Abou Bakr al-Sadiq, l’un des groupes armés contrôlant la ville de Zenten, au nord-ouest de la Libye, Saïf al-Islam Kadhafi a été remis en liberté le cadre d’une amnistie générale proclamée par le Parlement installé à Tobrouk. Il serait toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité, et aurait trouvé refuge à Tunis, selon différents médias.
Dans l’interview exclusive ci-dessous, réalisée par Riad Muasses à Tripoli, Saïf al-islam Kadhafi demandait expressément à Sarkozy de rembourser l’argent versé par la Libye pour le financement de sa campagne électorale, affirmant catégoriquement : « c’est nous qui avons financé sa campagne et nous en avons la preuve » (à partir de 10’00).
reportage a voir sur oumma.com.
Alexis Corbière s’interroge sur “la volonté farouche d’élimination de Kadhafi”.
Alexis Corbière a réagi ce mardi, sur BFMTV, à la garde à vue de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l’enquête sur un possible financement de sa campagne électorale en 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. Le député de la France insoumise de la Seine-Saint-Denis fait partie de la commission de la défense nationale et des forces armées à l’Assemblée nationale. “Nous demandons lorsqu’il y a une intervention militaire qu’il y ait la possibilité pour le Parlement de vraiment mettre à plat l’ensemble des raisons qui amènent nos interventions militaires”, a-t-il expliqué. Faisant référence à l’affaire de soupçons de financement de campagne de Nicolas Sarkozy, il déclare “là où je fais un lien […] on peut s’interroger, si en plus des interventions militaires en Libye de la France, la volonté farouche d’élimination de monsieur Kadhafi n’était pas liée, peut-être aussi, pour effacer certains éléments du dossier”.
reportage a voir sur oumma.com.
Allemagne : une mosquée turque cible d’une attaque aux cocktails Molotov.
Cible d’une attaque aux cocktails Molotov qui, fort heureusement, n’a fait aucune victime parmi les fidèles, une mosquée implantée à Ulm, dans le sud de l’Allemagne, et gérée par une association turque, a été partiellement endommagée en ce lundi 19 mars, source de sidération mêlée d’effroi.
Alors que ce début d’année aura été marqué par une série d’attaques odieuses visant des lieux de culte, des associations et des magasins essentiellement turcs, à Berlin, Francfort, Hambourg et Aix-la-Chapelle, pour ne citer que ces localités-là, cette nouvelle attaque très ciblée, perpétrée contre une enceinte sacrée musulmane, a augmenté d’un cran l’inquiétude qui gagne les rangs de la diaspora turque en Allemagne.
De l’autre côté du Rhin, les fidèles turcs seraient-il dans le viseur des sympathisants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ? Un groupe armé qui est par ailleurs interdit sur le sol allemand depuis 1993 et est considéré comme terroriste par une grande partie de la communauté internationale, dont la Turquie.
Les organisations turques en sont convaincues, décelant dans ces attaques planifiées de plus en plus violentes la volonté des combattants kurdes d’importer le conflit turco-kurde sur le Vieux Continent en général, et en plein cœur de la locomotive de la zone euro en particulier.
L’agence de presse Anadolu partage cette conviction, et fait observer que cette nouvelle attaque insupportable s’est produite au moment même où les militants du PKK menaçaient de semer la terreur sur le sol allemand, alliés aux partisans du Parti de l’Union démocratique du Kurdistan. Ceux-ci ont d’ailleurs revendiqué la paternité de la plupart des attaques qui ont assombri les premières lueurs de 2018 en Allemagne et terrifié l’ensemble de la communauté turque du pays.
« L’organisation des jeunes du PKK a lancé notamment sur internet un appel à perpétrer des attentats contre tous les établissements turcs en Allemagne, que ce soient des mosquées, des centres culturels, des cafés, des supermarchés ou même le consulat général. Aussi, chaque personne liée d’une manière ou d’une autre à la Turquie a-t-elle toutes les raisons de s’en préoccuper », a indiqué le porte-parole de l’agence de presse turque.

Sur Mizane.info, voici les titres.

A Spokane, la recette féminine d’un dialogue judéo-musulman réussi.
Spokane est une ville américaine de l’État de Washington, située à l’est de Seattle et au nord-est de Portland. Forte d’une population de 600 000 habitants, la ville regroupe également des groupes de dialogue féminins inter-religieux judéo-musulmans. Le zoom de Mizane.info.
L’été dernier, un groupe de neuf femmes juives et neuf femmes musulmanes se sont réunies pour créer une section locale de la Sisterhood of Salaam Shalom, une organisation nationale américaine dédiée au rassemblement des femmes appartenant aux deux religions. Bonnie Mandel, co-leader juive du groupe, a déclaré qu’elle voulait initier ce groupe parce qu’elle venait d’une grande ville multiconfessionnelle. « J’ai décidé qu’il était temps pour moi de faire un petit plongeon dans mon coin du monde », a-t-elle déclaré dans les colonnes de The Spokesman-Review. Mandel, membre de la congrégation Emanu-El, une synagogue de la Réforme juive à Spokane, l’a rejointe. « Je ne connaissais aucun musulman », a-t-elle dit. Mandel a approché Saïma Ahmad, un médecin local qu’elle connaissait professionnellement, même si elle n’était pas sûre que Saïma était musulmane. Cette dernière accueillit avec beaucoup d’enthousiasme l’idée de devenir le co-leader musulman du groupe.
Plus de similitudes que de différences.
Les deux femmes ont fait un effort pour recruter des membres représentant une grande variété de pratiques religieuses. Les 18 membres de la Sisterhood of Salaam Shalom réunissent aussi bien de jeunes mères que des grand-mères. « L’idée m’a vraiment intrigué. Je suis contente de m’être impliquée parce que ce fut un voyage fascinant », a poursuivi Saïma. Chaque mois, le groupe se réunit pour discuter d’un sujet spécifique. Ils se rencontrent dans les maisons des unes et des autres, autour d’un repas et compte tenu des différentes restrictions alimentaires, la nourriture est végétarienne.
Cela ouvre simplement votre esprit, pas sur l’autre foi, mais sur votre propre foi.
Les rassemblements ont commencé comme des réunions formelles, mais les choses ont lentement changé. « Nous avons trouvé plus de similitudes que de différences », a déclaré Saïma Ahmad. « Nous, en tant que personnes, sommes plus semblables que différents. Je pense que j’ai grandi spirituellement grâce à cette expérience. C’était marrant. » Mandel est d’accord. « J’ai vraiment apprécié de faire partie d’un groupe de femmes intelligentes, curieuses et attentionnées », a-t-elle déclaré. « Cela a été une expérience positive. Moi aussi, j’ai grandi spirituellement et j’ai réfléchi à de nombreuses et profondes questions spirituelles.
« Je pense que les femmes inspireront les hommes ».
En cours de route, les deux femmes ont appris davantage sur la foi de l’autre, mais aussi sur la leur. « Cela ouvre simplement votre esprit, pas sur l’autre foi, mais sur votre propre foi », a déclaré Saïma Ahmad. Mandel confie avoir beaucoup appris sur les différents types de judaïsme mais aussi sur l’islam. « J’ai vraiment appris tellement de choses sur l’Islam que je ne l’ai jamais su », a-t-elle dit. Pour le moment, le groupe a décidé de ne pas s’agrandir à cause des conditions d’accueil restreintes des domiciles respectifs. Mais aussi pour préserver l’échelle humaine de ce type de dialogue. « Il s’agit de partager et de communiquer les uns avec les autres » confirme Mandel alors que pour Saïma, « Si c’est trop grand, vous ne pouvez pas vraiment avoir une conversation ». Plusieurs femmes juives ont exprimé leur intérêt à créer leur propre section de dialogue en recherchant des femmes musulmanes désireuses de se joindre à elles. Dans cette commune, il n’y a pas encore d’organisations similaires pour les hommes, conclue Mandel. « Je pense que l’espoir est que les femmes inspireront les hommes », a-t-elle déclaré. « Ce serait génial ! ».

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Débat parlementaire autour du projet de loi portant Code de procédure pénale : Des députés insistent sur l’application des textes.
Manuels scolaires : Disponibles avant la prochaine rentrée ?
Les Internes rejoignent les médecins résidents dans leur débrayage : Les hôpitaux risquent la paralysie !
Souscripteurs AADL 2001-2002 de Tizi-Ouzou : Sit-in suivie d’une marche.
Seïf El-Islam Kadhafi officiellement candidat à la présidentielle libyenne : Tout ça pour ça…
Conflits sociaux en Algérie : Les députés du FFS alarmés.
Ould Abbès, chef de file du FLN : » Nous triompherons en 2019 et en 2024 « .
Net recul du déficit commercial durant les 2 premiers mois de 2018 : L’Algérie préserve son » bas de laine « .
Aléjandro Alvargonzales, secrétaire-adjoint de l’OTAN : » L’Algérie est un exemple à suivre « .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Garde-à-vue de Nicolas Sarkozy: tout comprendre sur l’affaire.
Placé en garde-à-vue ce mardi, Nicolas Sarkozy est impliqué dans l’enquête sur un supposé financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Malgré les réactions au sein des Républicains qui fustigent une justice à deux vitesses, il semble que les juges aient assez d’éléments en leur possession pour lier le dictateur libyen Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy.
D’où part cette enquête ?
Alors que Nicolas Sarkozy quitte la présidence française après un quinquennat, Mediapart sort, en 2012, un article qui accuse Nicolas Sarkozy d’avoir touché 50 millions d’euros de la part du dictateur libyen cinq ans plus tôt. Les faits sont étayés : un document prouverait ce versement. En 2013, une information judiciaire est ouverte. L’ex-président français assure que le document de Mediapart est un faux et clame, sur les plateaux de télévision, son innocence.
Fabrice Arfi, journaliste à Mediapart, a développé son enquête dans un livre, « Avec les compliments du guide ». Et il en est persuadé : les faits sont « plus graves que le Watergate. » Pour le journaliste, « il y a des traces bancaires des versements » qui prouvent la véracité de ses informations. Après avoir mis plusieurs personnes de l’entourage de Nicolas Sarkozy en prison, dont Claude Guéant, la justice a donc décidé de mettre en examen à son tour l’ancien président aujourd’hui placé en garde-à-vue.
L’influence de plusieurs hommes.
15 millions d’euros auraient transité grâce à un homme sulfureux : l’homme d’affaire Ziad Takieddine qui a été mis en examen dans le cadre de cette affaire. A Mediapart, Takieddine a assuré avoir versé, en trois fois, 15 millions d’euros à Claude Guéant de la part de… Mouammar Kadhafi, via son ancien patron du renseignement. Un autre homme d’affaires, Alexandre Djouhri, est lui aussi en détention dans le cadre de cette affaire. Arrêté à Londres il y a deux mois, la France attend son extradition. L’homme est de son côté accusé d’avoir été très actif dans l’affaire du versement d’espèces à Claude Guéant.
Nicolas Sarkozy est-il vraiment impliqué ?
Un document de Mediapart prouverait l’implication réelle de l’ancien président de la République française. Un papier signé de la main de Moussa Koussa, qui dirigeait les services de renseignements extérieurs de la Libye sous Kadhafi, prouverait que Nicolas Sarkozy a touché 50 millions d’euros pour, indique le journal d’investigation, « appuyer la campagne électorale du candidat aux élections présidentielles. » L’authenticité de ce document a été débattue et, malgré les dires de Nicolas Sarkozy, ce document serait authentique et officiel. Le fils de l’ex-dictateur libyen, Seif al-Islam, qui va se présenter à la prochaine présidentielle dans son pays, a lui-même accusé Nicolas Sarkozy d’avoir été le bénéficiaire d’un transfert de 5 millions d’euros en 2006. C’est désormais à la justice de déterminer l’exactitude des faits qui sont reprochés à Nicolas Sarkozy.
Belgique : le bourgmestre d’Anvers met dos à dos juifs et musulmans.
Opposer juifs et musulmans, voilà la mauvaise idée de Bart De Wever. Le bourgmestre d’Anvers en Belgique a créé la polémique lors d’une interview à De Zondag. Selon l’élu, les juifs orthodoxes « évitent les conflits » là où les musulmans posent problème. Ces derniers, assure le bourgmestre, « revendiquent une place dans l’espace public, dans l’enseignement, avec leurs signes de croyance extérieurs. » Les juifs orthodoxes, eux, « attachent aussi beaucoup d’importance aux signes extérieurs de la foi. Mais ils en acceptent les conséquences », assure l’élu belge.
L’Union des progressistes juifs de Belgique prévoit une manifestation le 24 mars prochain. Elle reproche que cet « homme politique de premier plan » s’en prenne aux musulmans. Bart De Wever, indique l’UPJB, « s’en prend globalement aux musulmans » et « leur oppose la discrétion des juifs orthodoxes qui ont le bon goût de rester entre eux comme à l’époque des ghettos. » L’Union des progressistes juifs de Belgique déplore que « cela en dit long sur sa conception du ‘vivre-ensemble’. »
« Une forme de racisme un peu sophistiqué ».
L’UPJB se désole surtout que le maire d’Anvers ait décidé d’opposer juifs et musulmans. « Il utilise les premiers pour mieux cibler les seconds, en n’hésitant pas à élargir le fossé qui sépare déjà trop deux catégories de citoyens belges. » L’Union « affirme sa totale solidarité avec ses compatriotes musulmans victimes de l’islamophobie que des personnalités politiques n’hésitent pas à alimenter » et « refuse les cadeaux empoisonnés de certains islamophobes qui utilisent un philosémitisme hypocrite comme alibi. »
« Le racisme est une plaie, qu’il s’agisse de l’antisémitisme, de l’islamophobie, de la négrophobie, du racisme anti-Roms ou de la chasse aux migrants », indique enfin l’Union des progressistes juifs de Belgique. Plusieurs personnalités politiques se sont également offusquées des propos de Bart De Wever. Paul Magnette, bourgmestre socialiste de Charleroi, déplore « une forme de racisme un peu sophistiqué, un peu élaboré » de la part du bourgmestre d’Anvers.
10 % des Français de moins de 30 ans se réclament de l’Islam.
Une grande étude, initiée par la St Mary’s University de Twickenham, en Grande-Bretagne, et l’Institut catholique de Paris, dresse un panorama de la pratique des religions en Europe concernant les jeunes de moins de 30 ans. Et le constat est que, selon les pays, le degré de pratique de la religion est très différent : là où neuf Tchèques sur dix ne s’identifient à aucune confession, moins de deux Polonais sur dix sont athées.
Plus d’une vingtaine de pays européens, ainsi qu’Israël, ont été étudiés. Pour Israël, le degré de religiosité est un des plus importants : seuls 1 % des jeunes de moins de 30 ans ne se réclament d’aucune religion.
Pour le sociologue et théologien Stephen Bullivant, auteur de ce document, il est « remarquable » de se rendre compte que « les six pays les plus chrétiens sont historiquement des pays à majorité catholique. » Il déplore cependant que les ex-pays communistes sont les Etats où la jeunesse est la plus sécularisée.
La France compte environ un jeune sur quatre qui se réclamerait du christianisme. « Parmi les jeunes adultes de ces deux pays (France et Royaume-Uni), on observe des parts à peu près comparables de chrétiens (25 % en France et 22 % au Royaume-Uni), de personnes affiliées à des religions non chrétiennes (11 % et 8 %) et de non-croyants (64 % et 70 %) », peut-on lire dans le document.
L’étude s’est également intéressée à l’Islam. Selon le rapport, 10 % des jeunes Français se réclament de l’Islam — contre 6 % au Royaume-Uni.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Les sanctions sur Gaza vont-elles déclencher la confrontation avec « Israël »?
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Il est tout à fait clair de la nature des sanctions et des menaces proférées contre la bande de Gaza, par le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas qui a les intentions d’un complot visant à amener les Gazaouis à un état où ils souhaiteront la mort, et mettra le Hamas qui porte la bannière de la résistance entre des choix difficiles, le plus meilleur serait la guerre avec « Israël ».
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Abou Halbya: Al-Aqsa est soumis à une attaque sioniste la plus grave
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113 colons israéliens envahissent la mosquée Al-Aqsa
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Un détenu palestinien libéré après 16 ans d’emprisonnement
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Les autorités de l’Autorité Palestinienne arrêtent un universitaire et d’autres toujours détenus
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Les forces d’occupation mènent des exercices militaires dans une zone peuplée près de Naplouse
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Al-Bardawil: al-Hamdallah détient des informations importantes au sujet de l’attentat
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L’occupation arrête 35 citoyens en Cisjordanie et à Jérusalem
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La justice israélienne viole les droits des enfants de Palestine
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3e incursion israélienne à l’est de Gaza en 24 heures
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Un leader du Fatah appelle à la formation d’un front de salut national
.
Pourquoi Israël a-t-il reconnu la destruction d’une installation nucléaire syrienne en 2007?
.
Les forces d’occupation prennent d’assaut la maison d’une prisonnière à la recherche de son téléphone
.
Lancement d’un important projet pour fournir de l’eau potable à Gaza
.
Les colons coupent 30 oliviers près de Bethléem
.
L’occupation prolonge la détention d’un Jérusalémite et libère un prisonnier
.

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
.


Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 5 Joumada At-Thani 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

«Nous aimons tous nos enfants»: Cristiano Ronaldo lance un appel pour aider les Rohingya.
La star du Real Madrid, Cristiano Ronaldo, a appelé le monde à aider les enfants Rohingya vivant dans des camps de réfugiés à la suite de la crise en Birmanie qui a forcé des milliers de personnes à quitter leur foyer.
Sur Twitter, le quadruple vainqueur de la Ligue des Champions a publié deux photos: une montrant son fils entouré de ses quatre enfants, et la seconde représentant un réfugié aux pieds nus tenant un bébé.
Les photos étaient sous-titrées “un monde où nous aimons tous nos enfants. S’il vous plaît, aidez », pour tenter d’attirer l’attention sur les réfugiés Rohingya qui ont été reconnus par les Nations Unies comme l’une des minorités les plus persécutées au monde.
La communauté à prédominance musulmane est restée pendant de nombreuses années comme des migrants apatrides en Birmanie bouddhiste, car le pays ne reconnaît pas la minorité ethnique et refuse la citoyenneté aux Rohingyas.
Selon la Turquie, le YPG et les forces de Bachar combattent ensemble à Afrin.
Le ministre turc des Affaires étrangères a déclaré que les forces syriennes ne pouvaient pas arrêter les avancées de l’armée à Afrin, en réponse aux informations selon lesquelles les forces du régime syrien se battraient aux côtés des combattants YPG kurdes dans la ville frontalière.
S’exprimant lors d’une conférence de presse dans la capitale jordanienne, Amman, Mevlut Cavusoglu a déclaré lundi que la Turquie se félicitait de l’entrée des forces syriennes dans Afrin si elle devait affronter des combattants appartenant aux unités de protection du peuple kurde (YPG).
“Si tel est le cas, il n’y a pas de problème, mais si l’on entre [Afrin] pour protéger YPG / PKK, personne ne peut arrêter l’armée turque”, a-t-il ajouté, faisant référence au groupe armé syrien kurde YPG. Parti des travailleurs du Kurdistan ( PKK ) actif en Turquie.
Ankara considère le Parti de l’Union démocratique kurde (PYD), actif en Syrie , et son aile armée YPG, comme des «groupes terroristes» liés au PKK, qui a mené une rébellion armée sanglante pendant des décennies dans le sud-est de la Turquie.
Le PKK a été désigné «groupe terroriste» par les États-Unis, l’Union européenne et la Turquie.
Palestine : Israël fournira à l’Egypte 15 milliards de dollars de gaz naturel.
La société israélienne Delek Drilling a annoncé qu’elle fournirait à l’Egypte 15 milliards de dollars de gaz naturel dans le plus gros contrat d’exportation à ce jour pour l’industrie israélienne du gaz naturel.
La société égyptienne Dolphinus achètera 64 milliards de mètres cubes de gaz naturel à Delek Drilling et à son partenaire américain Noble pendant une période de dix ans, a annoncé lundi un communiqué.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué l’accord “historique”.
“Cela amènera des milliards dans les coffres du pays”, a-t-il déclaré dans un communiqué.
Netanyahu a déclaré que l’accord “renforcerait [la sécurité d’Israël], notre économie, et renforcerait également nos relations régionales”.
Yossi Abu, PDG de Delek Drilling, a déclaré que l’accord allait «établir le statut de l’Égypte en tant que centre énergétique régional».
Palestine : Gaza : des adolescents palestiniens tués dans des raids aériens israéliens.
Deux adolescents palestiniens ont été retrouvés morts dans la zone sud de la bande de Gaza assiégée , à la suite de deux vagues d’attaques aériennes israéliennes.
Les deux corps des deux garçons de 17 ans ont été retrouvés dans la ville de Rafah dimanche matin, a confirmé Achraf al-Qudra, porte-parole du ministère de la Santé de Gaza.
Au moins deux autres Palestiniens ont été blessés, dont l’un est dans un état critique, et sont actuellement soignés dans un établissement médical à Rafah.
Au cours des dernières 24 heures, Israël a déclaré avoir ciblé 18 positions du Hamas, en réponse à un engin explosif improvisé qui a explosé près de la frontière avec Israël samedi matin, blessant quatre soldats israéliens.
Selon l’armée israélienne, six «attaques à grande échelle» ont été menées contre des positions du Hamas , notamment un tunnel qui s’étend de Gaza à Israël.
Syrie : 77 civils tués dont 20 enfants par les bombardements du régime.
Au moins 77 civils ont été tués près de Damas en moins de 24 heures sous les bombardements massifs des forces gouvernementales syriennes alors qu’ils préparent une opération terrestre pour reconquérir l’enclave tenue par l’opposition, a indiqué un groupe d’observateurs.
Des raids aériens et des tirs d’artillerie sur la Ghouta orientale – une banlieue de la capitale syrienne – ont tué au moins 20 enfants depuis dimanche, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (SOHR) basé au Royaume-Uni . Quelques 300 personnes ont été blessées lors des attaques, selon le moniteur.
“Les bombardements ciblaient principalement tous les quartiers résidentiels de la Ghouta orientale”, a déclaré Rami Abdel Rahman, chef de la SOHR, à l’agence de presse dpa.
Les forces gouvernementales se préparent à lancer un important assaut terrestre contre la Ghouta orientale à la suite des bombardements intensifs qui ont débuté dimanche, a annoncé SOHR.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Toulouse veut freiner le développement de « commerces communautaires » halal.
« Soutenir la diversité du commerce de proximité » pour freiner le développement des « commerces communautaires », c’est le nouvel objectif que s’est fixée la municipalité de Toulouse dans plusieurs quartiers de la ville.
Parce que « les commerces communautaristes ne sont pas (sa) tasse de thé », Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire de Toulouse chargé du commerce, a étendu l’opération « Commerce avenir » à des quartiers en cours de réaménagement.
Le dispositif, explique La Dépêche, permet à la ville de racheter les locaux commerciaux en de son droit de préemption lorsqu’un commerce met la clé sous la porte. Une fois rénovés, les locaux sont proposés à la location à des commerçants après un appel d’offre qui favorisera certains projets plutôt que d’autres. Seront écartés par la ville les nouveaux projets de restaurants type kebabs et de boucheries halal au nom de « la diversité ».
« À plus long terme, la mairie souhaite que les commerçants puissent acheter les murs », indique-t-elle, qui s’appuie sur la loi en faveur des PME d’août 2005 qui « donne aux communes de nouvelles dispositions réglementaires pour les aider à préserver leur diversité commerciale ».
Hongrie : Viktor Orban veut une « loi anti-Soros » contre l’immigration et l’islam .
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban compte sur ses diatribes anti-immigration et anti-islam pour se maintenir au pouvoir pour un troisième mandat consécutif.
A l’occasion du lancement, par son parti le Fidesz, de la campagne pour les élections législatives d’avril, Il a appelé, dimanche 18 février à Budapest, à une grande alliance de pays européens contre l’immigration.
« Nous ne pensons pas que la lutte est désespérée. Au contraire, nous allons gagner. Les pays du V4 (le groupe de Visegrad réunissant la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie, ndlr) sont fermes, la Croatie arrive, l’Autriche part dans une direction patriotique, et en Bavière la CSU a créé une résistance intellectuelle et politique. Ce n’est donc pas trop tard », a-t-il affirmé face à ses partisans.
« Le danger auquel nous devons faire face vient de l’Ouest, des politiques de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions leurs politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration, et qui ont amené par là le déclin de la chrétienté et la diffusion de l’islam », a-t-il déclaré, estimant que « la chrétienté est le dernier espoir de l’Europe ».
Viktor Orban s’en est également pris au milliardaire George Soros, lui-même d’origine hongroise, dont les prises de position en faveur des réfugiés irritent. « Nous combattrons et nous utiliserons tous les recours juridiques possibles. Le premier est notre loi anti-Soros », une loi prévoyant que les ONG qui aident les réfugiés et les demandeurs d’asile reversent 25 % de leurs fonds venus de l’étranger sous forme de taxe à l’Etat et qu’elles soient soumises à des contrôles drastiques de la part des autorités.
« Partout, (George Soros) veut qu’on accepte l’immigration. Ça ne marchera pas. Nous ne sommes pas seuls, nous combattrons ensemble (…) et nous vaincrons », a affirmé le Premier ministre, qui ne cesse de lier immigration et islam dans ses discours. Des positions xénophobes qui devraient toutefois mener son parti à une nouvelle victoire.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : 8 jours pour faire libérer Salah Hamouri !
Réuni.e.s vendredi 16 février 2018 à Ivry-sur-Seine lors de la « Nuit de la Liberté », c’est plus de 500 personnes, avocat.e.s, élu.e.s, journalistes, intellectuel.le.s, militant.e.s des droits de l’Homme, responsables associatifs, citoyen.ne.s, qui se sont tenues aux côtés de la famille de Salah Hamouri, jeune avocat franco-palestinien, pour exiger sa libération à 10 jours de la fin écrite de sa période de détention administrative par les autorités israéliennes.
Arrêté dans la nuit du 23 août 2017 à son domicile de Jérusalem-Est et retenu sans la moindre preuve en détention administrative pour 6 mois, sur ordre d’Avigdor Lieberman, figure de l’extrême-droite israélienne et ministre de la Défense, Salah Hamouri est une victime d’un arbitraire absolu de l’Etat d’Israël. En s’attaquant à un avocat, membre de l’association humanitaire « Adameer », qui exerçait légitimement sa profession, Israël fait preuve d’une détermination à entraver les défenseurs du droit, qui luttent contre l’occupation.
Depuis 6 mois, des milliers de personnes de tous horizons ont tenu à exprimer leur soutien à la famille de Salah Hamouri.
Lors de soirées de soutien, à l’occasion de vœux lors d’assemblées délibérantes de plus de 50 collectivités territoriales, via des questions aux médias jusqu’au sein de l’Assemblée Nationale et du Sénat.
Plus de 1600 élu.e.s se sont engagé.e.s dont trois candidats à l’élection Présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon et Philippe Poutou. De nombreuses personnalités françaises et étrangères se sont jointes au mouvement telles que Noam Chomsky, Ken Loach, Angela Davis, Roger Waters, Brian Eno, Christiane Hessel, Vald, Ernest Pignon-Ernest, Michel Warschawsky, Ilan Pappé, Jean Ziegler, Abou Diaby, Robert Guediguian, Michael Mansfield QC ou Susan George.
Le Président français s’est lui aussi positionné contre la détention administrative illégale de Salah Hamouri et a demandé sa libération à Benjamin Netanyahou le 10 décembre dernier, sans résultat.
L’ordre de détention administrative porte les dates du 29 août au 28 février. Il est exclu que l’arbitraire se poursuive encore après cette date. Il nous reste donc aujourd’hui 10 jours pour réclamer plus fortement encore la libération de Salah Hamouri, au plus tard le 28 février 2018 prochain.
Comme le déclarait Elsa Lefort, épouse de Salah et porte-parole du comité de soutien, vendredi soir : « Notre mobilisation doit s’accentuer pendant ces deux dernières semaines. Il est impensable que la diplomatie française n’obtienne pas la libération de notre concitoyen, comme elle a pu par le passé obtenir celle d’autres Français.e.s incarcéré.e.s arbitrairement de par le monde. Si sa détention était renouvelée ce serait dramatique pour Salah et ses proches, mais ce serait également un véritable affront fait à la France. ».
Il en va de l’honneur de la diplomatie française, du respect des droits humains les plus élémentaires et du respect du droit international que notre pays doit défendre sans trembler.
Le Comité de soutien à Salah Hamouri.
France : LCP : la journaliste, qui a porté plainte contre le juif, Frédéric Haziza, pour “agression sexuelle”, a démissionné.
Dans l’univers impitoyable de la télévision, en l’occurrence de la chaîne parlementaire LCP, c’est le plus faible qui bat en retraite devant le plus fort, ou plus précisément la victime présumée d’agression sexuelle qui est acculée à la démission, tandis que son agresseur présumé, soutenu aveuglément par l’incontournable BHL, réapparaît à l’antenne comme si de rien n’était.
Il faut dire qu’entre zélés propagandistes pro-israéliens, l’esprit de corps n’est pas un vain mot, surtout quand il s’agit de sauver le soldat Frédéric Haziza de la tourmente dans laquelle il a failli être emporté, dans le sillage sordide du scandale Weinstein.
Contraste saisissant, à l’heure où il est de bon ton de respecter la parole des femmes qui affirment avoir été harcelées ou abusées sexuellement, dans les coulisses peu reluisantes de LCP, la parole de la journaliste Astrid de Villaines n’a pesé bien lourd face aux puissants réseaux de l’animateur vedette de la chaîne, et à leur indignation très sélective…
Plus grave encore, la décision de réintégrer Frédéric Haziza, après une courte mise à pied de pure forme, prise par Marie-Eve Malouines, la présidente de la chaîne, l’a totalement dévalorisée.
« J’aurais préféré partir dans d’autres circonstances, mais le contexte était trop pesant », a confié vendredi, le cœur serré, Astrid de Villaines, après sept ans de bons et loyaux services.
C’est à croire que lorsque les caméras sont au repos, à l’ombre des projecteurs, la libération de la parole des victimes d’abus sexuels n’est qu’une vaste supercherie au sein de LCP. Un comble pour la chaîne parlementaire par excellence, qui se targue d’être « politique et citoyenne » à la fois !
Une Egyptienne, victime du harcèlement de rue, flanque une raclée à son agresseur. Vidéo.
En Egypte, le fléau du harcèlement sexuel de rue, cette « 11ème plaie » nationale, n’épargne aucune femme, l’écrasante majorité des Egyptiennes (99,3% d’entre elles), voilées et non voilées, affirmant avoir subi, au moins une fois dans leur vie, sa forme la plus courante (les mains baladeuses) par des harceleurs à l’affût, qui les ont poursuivies de leurs assiduités au vu et au su de tous, en plein jour.
Rien ne semble pouvoir enrayer cette violence ordinaire qui frappe le sexe dit faible, d’autant plus que l’omerta qui l’entoure n’a d’égal que le déshonneur qui l’entache, hormis en cette fin d’année 2017, dans le gouvernorat de Qena, où une citoyenne ordinaire, revêtue d’un hijab bleu et d’une abaya noire, s’est muée en héroïne du jour en donnant du fil à retordre à son agresseur.
C’est peu dire que la courageuse Rania F. ne s’est pas laissée faire et a impressionné son monde… Elle a carrément flanqué une sacrée rouste à son assaillant, que l’on imagine déconfit devant une telle adversité insoupçonnée !
Prises sur le vif, les images de l’incident, montrant la farouche résistance opposée par une mère de famille refusant d’être cantonnée dans le rôle de l’éternelle victime, et appelant les passants à l’aide pour arrêter son harceleur, ont mis les réseaux sociaux en effervescence. Nombre d’internautes des deux sexes ont salué sa témérité et son extraordinaire combativité.
Une combativité qui n’a jamais faibli, même sous les menaces proférées contre elle pour qu’elle retire sa plainte, et l’a poussée à poursuivre en justice son agresseur, Islam Sh., car il n’était pas question que son crime reste impuni. Bien a pris Rania F., puisque ce dernier, reconnu coupable de harcèlement sexuel dans l’espace public, a été condamné à trois ans de prison.
A l’annonce du verdict du tribunal, qualifié « d’historique » par des centaines d’activistes égyptiennes luttant pour la défense des droits des femmes, les réseaux sociaux se sont à nouveau emballés. Les commentaires enthousiastes, insistant sur l’importance de résister par tous les moyens à la propagation du fléau du harcèlement de rue, l’ayant emporté sur les critiques cinglantes à caractère sexiste.
A l’heure où la parole des femmes, victimes d’abus sexuels de tous ordres, se libère partout dans le monde, en Egypte, en plus du silence qui se brise autour d’un sujet tabou, c’est une énergie salvatrice qui est en train de libérer les femmes de la honte et de la peur.
reportage a voir sur oumma.com.
Halal: un véritable business!
Le concept halal qui relève principalement de la « morale musulmane » est désormais utilisé comme un véritable « label marketing ». Sa précieuse estampille est apposée sur un large éventail de produits, en vue de conquérir de nouveaux marchés et un nombre croissant de consommateurs et/ou clients, à travers le monde. Une niche économique devenue un vrai business, dont l’essor ne se dément pas !
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Tahar Mahdi : la finance islamique, une finance éthique.
Tahar Mahdi est théologien, spécialiste en jurisprudence islamique et imam. Il est également l’auteur d’une traduction du livre de Abou Hamid Al Ghazali, « L’incohérence des philosophes ». Il nous livre dans un texte exclusif publié par Mizane.info les principales clés de compréhension de la finance islamique. Les notions cardinales, la philosophie économique véhiculée par la finance islamique : voici l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur ce sujet.
La finance islamique, outre son obligation de répondre aux contraintes exigées par les lois en vigueur, est tenue de se conformer à des règles qui trouvent leurs origines dans la loi musulmane. Des principes qui interdisent la spéculation, l’usure et les investissements considérés comme impurs (alcool, jeu, tabac, drogue…). Pour pouvoir comprendre la finance islamique moderne, il faut absolument connaître et maîtriser sa nature et cerner les spécificités du droit des affaires financières propre à l’islam.
Par conséquent, la charia impose une méthodologie caractérisée par la rigueur scientifique si l’on désire aborder les questions modernes de la finance islamique. À ce titre, les spécialistes doivent systématiquement respecter la méthodologie et les règles génériques du droit des affaires financières en islam s’ils veulent être crédibles dans leur enseignement et leur pratique de ce droit très technique et fort compliqué à la fois.
La nature de la finance islamique .
Bien que les termes de la finance islamique moderne n’existent pas dans les classiques du droit des affaires financières islamiques, le concept lui existe incontestablement. L’analyse terminologique spécifique de ce domaine est incontournable. Parmi ces termes techniques de la finance islamique, on peut citer :
-Mu’amalât signifie toutes les transactions couvrant le domaine de la finance islamique.
-Mâliya porte sur tout ce qui a attrait à la finance islamique.
-Mu’asira indique la contemporanéité.
-Qadâya désigne les affaires ou les questions qui se rattachent à la finance d’une manière ou d’une autre.
-Mustajadda explique tout ce qui est nouveau dans la finance et qui n’existait pas auparavant.
-Nawâzil vise les questions évènementielles de type nouveau.
-Fatwâ porte sur l’élaboration d’une disposition juridique constituant une solution d’un quelconque problème.
Définition conventionnelle.
« Mu’amalât mâliyamu’asira » est une notion qui désigne les questions impliquées par les pratiques financières contemporaines n’ayant pas d’équivalent dans le droit classique. Cela comprend également les affaires relevant des circonstances de la vie moderne et impliquant le changement de statut juridique légal, ainsi que toutes les questions relevant d’une transaction de type nouveau. Enfin, à cela il faut ajouter les diverses catégories financières anciennes qui peuvent comporter des solutions modernes et anciennes à la fois. Il existe certaines transactions financières portant des appellations modernes mais qui existent en réalité dans notre patrimoine ancien sous d’autres désignations, tels les intérêts des banques modernes qui constituent de l’usure interdit en islam. Toutes les transactions de placement en général et les titres d’obligations financières relèvent de l’interdit. En effet, en islam la considération relève du concept, pas du nom, sachant que celui-ci peut induire les gens en erreur. Le Prophète a fait allusion à ce genre de fraude en disant : « Certaines personnes de ma communauté oseront consommer le vin en lui donnant d’autres dénominations. » (Ahmad 5/315-320).
Règles générales immuables.
Le droit de la finance islamique se base sur le texte révélé d’une manière générale sans toutefois donner de détails, offrant ainsi aux spécialistes la capacité intellectuelle et expérimentale d’élaborer ce droit dont on a plus que jamais besoin. Il y a cependant des règles immuables : – « ô croyants, ne vous appropriez pas mutuellement vos biens indûment, sauf s’il s’agit d’un négoce relevant d’un accord entre vous. » (Les femmes 92). – « Dieu vous a rendu licite le négoce et illicite l’usure. » (La génisse 275) – « La permission dans les transactions est la base. » – tout jeu de hasard et toute spéculation sont interdits en islam car ils provoquent l’hostilité et la discorde, etc.
Principes fondamentaux de la finance islamique :
Le principe fondamental de la finance islamique repose sur l’intervention directe de la Banque dans les transactions qu’elle finance. La rémunération qu’elle perçoit se justifie soit par sa qualité d’associée aux résultats du projet financé (pertes ou profits) dans le cas d’une Mudhâraba ou d’une Mushâraka مشاركة. Soit par la prestation de commercialisation ou de location de biens qu’elle acquière préalablement. Et ce, dans le cas d’une Murâbaha مرابحة, d’un Ijâr (Leasing / Location-vente), ou d’un Salam السّلم. Soit, enfin par la commande de fabrication / construction de biens ; meubles ou immeubles par ses soins ou par des tiers, dans le cas d’un Istisnâ‘ استصناع. La règle générale est que la monnaie n’est, du point de vue islamique, qu’un simple intermédiaire et instrument de mesure dans les échanges de produits. À ce titre, elle ne peut générer de la monnaie.
Vu l’appartenance morale et éthique, voire même religieuse, des banques islamiques et en respect de leur vocation, les conditions suivantes sont exigées à la lettre : l’objet du contrat doit être conforme aux prescriptions de la charia (pas de financement de produits prohibés par l’islam). L’acquisition préalable des marchandises par la Banque doit être respectée. En effet, le principe de base de la transaction financière est que le gain revenant à la Banque ne se justifie que par le caractère commercial et non financier de la transaction (l’achat et la revente doivent être réels et non fictifs).
Même si, en parallèle, elle assure une fonction de réserve de valeur, elle ne peut produire de surplus que dans la mesure où elle est transformée préalablement en bien réel et non pas virtuel. Donc, la marge bancaire n’est considérée comme licite par la charia que lorsqu’elle est générée par l’une des activités suivantes : Vente, Participation, Location, Fabrication. Les Institutions financières islamiques ont une double vocation ; commerciale et financière. Loin de se cantonner dans la mission classique de médiation financière, elles interviennent dans les activités de création, transformation et commercialisation des richesses en tant que parties prenantes à part entière. Cette double vocation est illustrée sur le plan juridique par l’existence de deux types de clauses dans les contrats de financement régissant la relation entre la Banque islamique et ses partenaires : des clauses financières fixant le montant, la durée et les conditions générales d’utilisation et de renouvellement de la ligne de financement ; des clauses commerciales fixant les modalités de la transaction et/ou opération effectuée dans le cadre de la ligne de financement précitée.
Les conditions de conformité à la charia.
Vu l’appartenance morale et éthique, voire même religieuse, des banques islamiques et en respect de leur vocation, les conditions suivantes sont exigées à la lettre : l’objet du contrat doit être conforme aux prescriptions de la charia (pas de financement de produits prohibés par l’islam). L’acquisition préalable des marchandises par la Banque doit être respectée. En effet, le principe de base de la transaction financière est que le gain revenant à la Banque ne se justifie que par le caractère commercial et non financier de la transaction (l’achat et la revente doivent être réels et non fictifs). À cet égard, il y a lieu de rappeler que si l’opération telle que pratiquée par les Banques islamiques, est une opération de vente ou d’achat, l’opération de crédit n’est qu’un accessoire – à ce titre elle ne peut générer de l’argent ni de profit pour éviter le riba – à la démarche commerciale. Laquelle démarche constitue la seule justification de la rémunération perçue par la Banque même si le paiement différé entre en ligne de compte dans la différence de prix dans certaines pratiques.
Comment se prémunir des préjudices ?
Le prix de revient, et le gain de la Banque et le (s) délai (s) de paiement doivent être préalablement connus et acceptés par les deux parties. Il y a au minimum 2 délais de paiement : celui du vendeur et celui de l’acheteur et du client final. En cas de retard dans le paiement des échéances, la Banque peut appliquer au client défaillant des pénalités de retard qui seront logées dans un compte spécial « Produits à Liquider ». Mais à aucun moment elle ne peut réviser en hausse sa marge bénéficiaire en contrepartie du dépassement de délai, et ce, pour éviter de vendre l’élément temps ce qu’on appelle en fiqhربا النسيئة وهو زيادة الثمن مع زيادة الأجل . En outre, en cas de mauvaise foi du client, la Banque est en droit de réclamer, en sus des pénalités, un dédommagement des échéances non honorées. Auquel cas, il conviendrait d’évaluer le préjudice par rapport à des critères objectifs propres à la Banque et éviter toute référence aux taux d’intérêt. Généralement pour prévenir ce genre de risque les banques exigent l’hypothèque ou l’acompte / urbûn عربون. Après la réalisation du contrat, la marchandise devient la propriété exclusive et définitive de l’acheteur final et le demeurera, quels que soient les incidents qui peuvent survenir par la suite. Toutefois, la Banque peut prendre un gage sur les marchandises vendues en garantie du paiement des prix de vente et mettre en jeu ce gage le cas échéant. De même, elle peut tenir compte des cas de mévente du client (insolvabilité) et accorder à ce dernier un rééchelonnement / réaménagement de son échéancier sans que cela n’entraîne une majoration de prix. Voilà en précis le strict minimum à connaître au sujet de la finance islamique.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Avec 500 milliards de DinAr versés prochainement : L’Etat sauve la CNR.
Enième sit-in des médecins résidents : Total pourrissement.
L’intersyndicale maintient sa grève générale des 20 et 21 février : L’année blanche menace l’école algérienne.
Les cadres de l’UGTA ignorent la grogne sociale pour sauver la peau de Sidi Said : Le culte de la personnalité.
Situation sociale, politique et économique du pays : Talaie El Houriat inquiet.
Montage de véhicules : La facture des importations en hausse.
Deuxième étape de la 23ème opération de relogement dans la wilaya d’Alger : 2 000 familles concernées.
Hamel reçoit l’ambassadeur du japon Masaya Fujiwara : Pour un partenariat profitable.
Malgré un bilan moral et financier positif : L’ONDA a encore du pain sur la planche.
Vignette automobile : La vente commence ce 1er mars.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

France : La mairie de Toulouse lance la chasse aux boucheries halal et aux kebabs.
L’affaire du Good Price de Colombes est-elle en train de faire des émules dans d’autres villes de France ? A Toulouse, la mairie veut freiner le développement des épiceries halal et des restaurants de kebab. Et le maire Les Républicains de la ville rose peut se targuer de faire disparaître les commerces communautaires petit à petit : alors que les boucheries halal et les kebabs représentaient, sur la place Arnaud-Bernard, sept commerces sur dix, tout est en train de changer.
Pour refuser l’ouverture de commerces halal, le maire de la Toulouse s’appuie sur la loi qui « permet aux communes d’intervenir lors des transactions de fonds artisanaux, de fonds de commerce ou de bail commercial lorsque la sauvegarde de la diversité commerciale est menacée », peut-on lire sur le site de la mairie. Pour ce faire, la mairie peut exercer un « droit de préemption commercial. »
Ce droit de préemption était, au départ, prévu pour trois quartiers du centre-ville, puis vingt-cinq. En ce début d’année, le conseil municipal a décidé qu’il s’appliquerait désormais à trente-trois quartiers toulousains. Depuis plusieurs mois, une cordonnerie, une crêperie ou encore une épicerie généraliste ont donc remplacé les kebabs et autres commerces halal dans la ville rose.
Jean-Jacques Bolzan, maire adjoint chargé du commerce, estime que mettre un terme au développement des commerces halal est une nécessité : « Tout ce qui va arriver en tant que nouveau kebab ou boucherie halal ne sera pas permis sur cette place », pour que « chaque habitant, quel qu’il soit, puisse trouver ce dont il a besoin pour se nourrir. »
Et la mairie dispose, en plus de son droit de préemption, de plusieurs outils pour faire venir les commerçants : après avoir racheté des commerces en difficulté, la mairie a décidé de supprimer par exemple le droit au bail et en pratique un loyer très modéré. A condition que le repreneur propose une activité éloignée du commerce halal.
Crimée : les musulmans Tatars résistent à la pression russe.
« La Russie tente-t-elle d’effacer la culture musulmane de Crimée ? », s’interroge Al Jazeera dans un article daté du 18 février. En effet, les Tatars s’inquiètent actuellement du sort de la mosquée « Douma Djami », appelée aussi mosquée du Khan tatar, du nom de son fondateur.
Cette mosquée a été construite entre 1552 et 1564 à l’époque de l’empire Ottoman. Elle fait partie du Hansaray, ou palais du Khan, situé dans la ville de Bakhtchyssaraï en Crimée. De part sa taille, elle est la plus grande de Crimée. Elle est actuellement en cours de restauration ainsi que le palais, depuis que les Russes (qui ont annexé la péninsule de Crimée en 2014) ont entrepris des travaux en janvier dernier.
Seulement, des experts, les dirigeants communautaires et des responsables ukrainiens estiment que cette restauration n’est pas faite dans les règles de l’art, tendant plutôt à reconstruire un nouveau bâtiment plutôt qu’à conserver l’authenticité de cet édifice religieux historique.
De nombreuses personnes de la communauté tatare (environ 250 000 personnes en Crimée), y voit de la part du Kremlin, la volonté de remodeler, voire d’effacer l’héritage historique tatar avec ses travaux.
« C’est un plan pour la restauration du palais entier. Le palais sera perdu, ce qu’ils construisent est une imposture », a déclaré à Al Jazeera Edem Dudakov, ingénieur en construction et ancien responsable du gouvernement de pré-annexion en Crimée.
La chaîne de télévision tatare fermée, les cours obligatoires de langue tatare interdits…
Ce « remodelage » du palais et de la mosquée illustre la relation tendue entre les Russes et les Tatars de Crimée. Les Tatars de Crimée considèrent en effet le palais comme le symbole le plus significatif de leur statut d’État perdu.
Les Tatars sont aussi les premiers à s’être opposés à l’annexion de la Crimée (qui était République autonome d’Ukraine) par la Russie.
Depuis plusieurs années déjà, les pressions sur les Tatars sont donc nombreuses avec une volonté sous-jacente d’effacer leur mémoire et les médias contrôlés par les Russes alimentent des sentiments anti-tatars.
Selon Al Jazeera, Moscou aurait notamment introduit des manuels d’histoire qui décrivent les Tatars de Crimée comme des pilleurs de la Russie.
En novembre dernier, le Kremlin aurait également interdit les cours obligatoires de tatar. La chaîne de télévision tatare ATR, a été fermée. Leur assemblée, le Medjlis, qui défendait les droits des tatars et leur langue, a aussi été interdite pour « extrémisme » en 2015.
Mais les Tatars sont aussi l’objet de persécutions en Crimée depuis le printemps 2014, avec l’exil forcé des principaux leaders de cette minorité. Des centaines d’entre eux, pour la plupart des musulmans pratiquants, ont été arrêtés et interrogés, leurs maisons fouillées et leurs livres religieux confisqués, rappelle Al Jazeera.
« Durant les trois années d’occupation de la Crimée par la Russie, les autorités ont réduit au silence l’opposition sur la péninsule. Elles ont agressivement ciblé les personnes critiques en utilisant le harcèlement, l’intimidation et dans certains cas, de fausses inculpations d’extrémisme, dont celles pour « appel au séparatisme ». La plupart des poursuites judiciaires contre des activistes tatars de Crimée, leurs avocats ou d’autres personnes découlaient de leur critique pacifique de l’occupation », écrivait Human Rights Watch dans un rapport en juillet dernier.
De nombreux Tatars arrêtés pour du « terrorisme » présumé.
Au cours des trois dernières années, la justice russe aurait poursuivi 66 personnes dont 36 Tatars pour des motifs politiques. Au moins 26 personnes auraient été condamnées à des peines pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison pour des accusations allant du «séparatisme» au «terrorisme» en passant par «l’organisation d’émeutes de masse».
«En 1944, nous étions une nation de« traîtres » (les Tatars ont été accusés de collaboration avec les nazis et ont été déportés en masse en Asie centrale, attendant la fin de l’URSS en 1991 pour avoir le droit de regagner la Crimée), nous sommes maintenant une nation de« terroristes », a confié à Al Jazeera un militant qui aide les prisonniers politiques et leurs familles.
La chaîne souligne aussi que les Tatars ne sont pas le seul groupe ciblé pour leur position anti-Kremlin. Des activistes pro-ukrainiens, anti-corruption et des Témoins de Jéhovah ont été arrêtés, expulsés, torturés, condamnés à des amendes et jusqu’à 20 ans de prison, selon des groupes de défense des droits humains.
L’Afrique du Sud veut mettre fin à ses relations diplomatiques avec Israël.
En décembre dernier, l’African National Congress (ANC), le parti au pouvoir, demandait l’adoption d’une résolution visant à rétrograder l’ambassade de son pays en Israël en simple « bureau de liaison. » Preuve que les relations entre les deux pays s’effritent mois après mois.
Nouvelle étape dans les relations entre l’Etat hébreu et l’Afrique du Sud : la possible rupture des liens diplomatiques entre les deux pays. L’Afrique du Sud déplore le manque d’initiatives israéliennes en faveur de la paix. C’est ce qu’a annoncé le ministre des Sciences et de la Technologie, Naledi Pandor.
Selon lui, « le gouvernement doit couper les liens diplomatiques avec Israël, étant donné l’absence d’initiatives authentiques d’Israël pour garantir une paix durable et une solution viable à deux Etats qui inclut la liberté et la démocratie pour le peuple palestinien. »
Ce sera maintenant aux parlementaires de prendre une décision : adopter ou non cette proposition. Mais tous ne sont pas de l’avis de Naledi Pandor. Le leader de l’opposition, Kenneth Meshoe, avait montré sa déception après le refus par les autorités sud-africaines de refuser l’aide d’entreprises israéliennes pour endiguer la crise actuelle que traverse le pays.
Le mois dernier, le représentant sud-africain auprès de l’ONU avait déclaré au Conseil des droits de l’Homme qu’Israël était le « seul Etat au monde à pouvoir être qualifié d’Etat d’apartheid », alors que dans le même temps, l’ANC demandait le renforcement des restrictions d’obtention de visa pour les Israéliens. Dans sa liste noire des associations interdites de pénétrer en Israël, l’Etat hébreu avait inscrit des personnalités sud-africaines, trop proches selon lui de BDS.
200 mosquée britanniques ont ouvert leurs portes au public.
Six mois après l’attaque de la mosquée de Finsbury Park au Royaume-Uni et alors que l’homme accusé d’avoir tué un fidèle vient d’être jugé, les mosquées britanniques ont ouvert dimanche leurs portes au grand public. C’est le Conseil des musulmans britanniques (MCB) qui est à l’initiative de l’opération « Visit my mosque day », qui a pour objectif d’« envoyer un message fort sur la tolérance prônée par l’Islam et les musulmans, et faire connaître aux autres communautés les vraies valeurs musulmanes. »
Le MCB veut également montrer la différence entre le traitement médiatique réservé à l’Islam et la réalité : « La communauté musulmane, qui est la cible des médias notamment avec les attentats, a grand besoin de montrer une image loin des clichés véhiculés par la presse et démasquer les préjugés », indique Harun Khan, le secrétaire général de l’organisation.
Du côté de la mosquée de Finsbury Park, l’heure est plutôt aux remerciements : les fidèles du lieu de culte, après l’attaque, avaient reçu beaucoup de messages de soutien. « On voudrait partager cela avec nos amis, pour qu’ils voient comment cet événement tragique nous a rapproché les uns des autres et nous réunit pour lutter contre ceux qui essaient de nous diviser », affirme ainsi Mohammed Kozbar, le directeur de la mosquée.
Dans les deux-cents mosquée qui ouvraient leurs portes, plusieurs manifestations ont eu lieu : des expositions photos, des projections vidéos ou encore des conférences-débats. L’événement a réuni plus de 10 000 personnes, dont Jeremy Corbyn, le leader de la gauche travailliste.
Les déboires d’Al-Arabiya au Royaume-Uni.
Nouvel épisode dans la crise du Golfe qui oppose le Qatar à ses voisins, mais cette fois sur le terrain des médias anglo-saxon. La chaîne d’information Al-Arabiya, basée à Dubaï mais détenue en grande partie par des hommes d’affaires saoudiens, a cédé sa licence de diffusion avec effets immédiats le 15 février au Royaume-Uni pour des raisons plus ou moins obscures. En effet, l’Ofcom (autorité régulatrice des télécommunications au Royaume-Uni, l’équivalent du Conseil supérieur de l’audiovisuel en France) avait annoncé le 06 février l’ouverture d’une enquête concernant le traitement par Al-Arabiya de l’affaire du piratage de la Qatar News Agency (QNA) le 24 mai 2017.
Le piratage de QNA à l’origine de la fin d’Al-Arabiya ?
En effet, la crise entre les pays du Golfe avait été précipité par un piratage informatique, où l’agence de presse qatarie avait diffusé une dépêche où l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al-Thani, dénonçait le climat d’hostilité à l’égard de l’Iran, faisait l’éloge du Hezbollah libanais et prenait la défense de la présence des troupes américaines sur son sol comme une garantie « contre les convoitises de certains de ses voisins », en allusion aux contentieux territoriaux qui l’opposent notamment à l’Arabie saoudite. Malgré l’annonce de Doha du piratage de son agence de presse, les pays du quartet mettaient en place le blocus du Qatar deux semaines plus tard. Aujourd’hui, les enquêtes du FBI semblent arriver à la conclusion que le piratage aurait été d’origine émiratie, selon des informations révélées par le Washington Post.
Néanmoins la chaîne saoudienne avait bien retransmis massivement ces fausses déclarations attribuées à l’émir du Qatar, contribuant à la hausse des tensions entre le Qatar et ses voisins. La QNA avait alors fait appel au cabinet d’avocats Carter-Ruck pour présenter une plainte à l’Ofcom pour le traitement partial et biaisé par Al Arabiya du piratage de QNA. Peu après l’annonce de l’ouverture d’une enquête par l’Ofcom, Al-Arabiya a donc décidé de céder sa licence. Pour Youssef Ibrahim Abdurahman al-Malki, directeur général de QNA, la décision d’Al-Arabiya vient à prouver son comportement criminel, alors que la chaîne n’avait respecté aucun des principes des règles éthiques du journalisme dans cette affaire.
Le pouvoir saoudien et l’usage douteux des médias
Ce n’est pas la première fois qu’Al-Arabiya se fait épingler pour ses pratiques. Au mois de janvier, Al-Arabiya s’était vu sanctionner d’une amende de 120,000 pounds pour avoir difffusé la vidéo de déclarations obtenus sous la torture d’un leader de l’opposition bahreïni, Hassan Mushaïma. Dans cette vidéo de février 2016, cet opposant confesse qu’il a voulu renverser le gouvernement bahreïni afin de mettre en place une gouvernance islamique sur le modèle iranien. Ces aveux constituaient un excellent moyen pour discréditer la dimension populaire et spontanée des soulèvements qui se déroulent au Bahreïn depuis les printemps arabes de 2011. Depuis, cet opposant est toujours en prison.
Al-Arabiya, qui s’est longtemps rêvé à pouvoir concurrencer Al-Jazeera sans succès, n’a jamais réussi à percer comme une grande chaîne internationale reconnue pour son professionnalisme et sa rigueur dans le traitement de l’information à cause de cette inféodation au pouvoir saoudien. Par exemple, lors des printemps arabes de 2011, la chaîne n’avait pas su aborder les manifestations autrement que sous l’angle du terrorisme, de l’islamisme radical et de la manipulation étrangère sans jamais donner vraiment la parole aux manifestants. Alors que le prince héritier Mohammed Ben Salman renforce son contrôle sur les médias saoudiens et arabes (on parle notamment d’une tentative de prise de contrôle du groupe MBC), il est rassurant de voir que l’Ofcom a appliqué son rôle de régulateur à la lettre afin de sanctionner la chaîne saoudienne pour ses écarts éthiques que la profession ne saurait tolérer.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Ministère de l’éducation: Nous n’avons pas reçu un sou de l’Autorité Palestinienne depuis la réconciliation
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Le ministère de l’Education de Gaza a déclaré lundi n’avoir reçu aucun financement du gouvernement de l’Autorité palestinienne (AP) depuis la signature de l’accord de réconciliation entre le Fatah et le Hamas il y a environ quatre mois.
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Al-Hamadallah rencontre le ministre israélien des Finances à Ramallah
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L’occupation invite les Palestiniens à ne plus manifester à la frontière de Gaza
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L’occupation commence à démanteler une colonie sauvage à Bita
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Les forces de l’occupation israélienne prennent d’assaut la prison d’Ofer et transfèrent 120 prisonniers
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Des palestiniens blessés dans des affrontements à Jénine avec l’armée israélienne
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Ambassadeur Qatar : La subvention qatarie pour Gaza vise à atténuer la crise humanitaire
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Des colons se rassemblent pour prendre d’assaut les sanctuaires de Salfit et de Nabi Youssef
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17 palestiniens placés en détention administrative
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Campagnes d’arrestations et de convocations de l’armée d’occupation en Cisjordanie
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Fermeture de l’entrée du camp d’al-Fawar et la maison d’un martyr attaquée à Hébron
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Club du prisonnier: Le boycott des tribunaux de l’occupation vise à mettre un terme à la détention administrative
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Un militant palestinien blessé dans une attaque de colons au sud de Naplouse
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Abbas critique la décision de Trump sur Jérusalem au Conseil de sécurité de l’ONU
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Hamas : Les déclarations d’Al-Hamdallah ne sont que mensonges et tromperies
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Un prisonnier de Tubas libéré des prisons israéliennes et l’AP arrête ses deux frères
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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