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Flash info du 5 Joumada At-Thani 1439.

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Sur islam et info.fr, voici les titres.

«Nous aimons tous nos enfants»: Cristiano Ronaldo lance un appel pour aider les Rohingya.
La star du Real Madrid, Cristiano Ronaldo, a appelé le monde à aider les enfants Rohingya vivant dans des camps de réfugiés à la suite de la crise en Birmanie qui a forcé des milliers de personnes à quitter leur foyer.
Sur Twitter, le quadruple vainqueur de la Ligue des Champions a publié deux photos: une montrant son fils entouré de ses quatre enfants, et la seconde représentant un réfugié aux pieds nus tenant un bébé.
Les photos étaient sous-titrées “un monde où nous aimons tous nos enfants. S’il vous plaît, aidez », pour tenter d’attirer l’attention sur les réfugiés Rohingya qui ont été reconnus par les Nations Unies comme l’une des minorités les plus persécutées au monde.
La communauté à prédominance musulmane est restée pendant de nombreuses années comme des migrants apatrides en Birmanie bouddhiste, car le pays ne reconnaît pas la minorité ethnique et refuse la citoyenneté aux Rohingyas.
Selon la Turquie, le YPG et les forces de Bachar combattent ensemble à Afrin.
Le ministre turc des Affaires étrangères a déclaré que les forces syriennes ne pouvaient pas arrêter les avancées de l’armée à Afrin, en réponse aux informations selon lesquelles les forces du régime syrien se battraient aux côtés des combattants YPG kurdes dans la ville frontalière.
S’exprimant lors d’une conférence de presse dans la capitale jordanienne, Amman, Mevlut Cavusoglu a déclaré lundi que la Turquie se félicitait de l’entrée des forces syriennes dans Afrin si elle devait affronter des combattants appartenant aux unités de protection du peuple kurde (YPG).
“Si tel est le cas, il n’y a pas de problème, mais si l’on entre [Afrin] pour protéger YPG / PKK, personne ne peut arrêter l’armée turque”, a-t-il ajouté, faisant référence au groupe armé syrien kurde YPG. Parti des travailleurs du Kurdistan ( PKK ) actif en Turquie.
Ankara considère le Parti de l’Union démocratique kurde (PYD), actif en Syrie , et son aile armée YPG, comme des «groupes terroristes» liés au PKK, qui a mené une rébellion armée sanglante pendant des décennies dans le sud-est de la Turquie.
Le PKK a été désigné «groupe terroriste» par les États-Unis, l’Union européenne et la Turquie.
Palestine : Israël fournira à l’Egypte 15 milliards de dollars de gaz naturel.
La société israélienne Delek Drilling a annoncé qu’elle fournirait à l’Egypte 15 milliards de dollars de gaz naturel dans le plus gros contrat d’exportation à ce jour pour l’industrie israélienne du gaz naturel.
La société égyptienne Dolphinus achètera 64 milliards de mètres cubes de gaz naturel à Delek Drilling et à son partenaire américain Noble pendant une période de dix ans, a annoncé lundi un communiqué.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué l’accord “historique”.
“Cela amènera des milliards dans les coffres du pays”, a-t-il déclaré dans un communiqué.
Netanyahu a déclaré que l’accord “renforcerait [la sécurité d’Israël], notre économie, et renforcerait également nos relations régionales”.
Yossi Abu, PDG de Delek Drilling, a déclaré que l’accord allait «établir le statut de l’Égypte en tant que centre énergétique régional».
Palestine : Gaza : des adolescents palestiniens tués dans des raids aériens israéliens.
Deux adolescents palestiniens ont été retrouvés morts dans la zone sud de la bande de Gaza assiégée , à la suite de deux vagues d’attaques aériennes israéliennes.
Les deux corps des deux garçons de 17 ans ont été retrouvés dans la ville de Rafah dimanche matin, a confirmé Achraf al-Qudra, porte-parole du ministère de la Santé de Gaza.
Au moins deux autres Palestiniens ont été blessés, dont l’un est dans un état critique, et sont actuellement soignés dans un établissement médical à Rafah.
Au cours des dernières 24 heures, Israël a déclaré avoir ciblé 18 positions du Hamas, en réponse à un engin explosif improvisé qui a explosé près de la frontière avec Israël samedi matin, blessant quatre soldats israéliens.
Selon l’armée israélienne, six «attaques à grande échelle» ont été menées contre des positions du Hamas , notamment un tunnel qui s’étend de Gaza à Israël.
Syrie : 77 civils tués dont 20 enfants par les bombardements du régime.
Au moins 77 civils ont été tués près de Damas en moins de 24 heures sous les bombardements massifs des forces gouvernementales syriennes alors qu’ils préparent une opération terrestre pour reconquérir l’enclave tenue par l’opposition, a indiqué un groupe d’observateurs.
Des raids aériens et des tirs d’artillerie sur la Ghouta orientale – une banlieue de la capitale syrienne – ont tué au moins 20 enfants depuis dimanche, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (SOHR) basé au Royaume-Uni . Quelques 300 personnes ont été blessées lors des attaques, selon le moniteur.
“Les bombardements ciblaient principalement tous les quartiers résidentiels de la Ghouta orientale”, a déclaré Rami Abdel Rahman, chef de la SOHR, à l’agence de presse dpa.
Les forces gouvernementales se préparent à lancer un important assaut terrestre contre la Ghouta orientale à la suite des bombardements intensifs qui ont débuté dimanche, a annoncé SOHR.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

France : Toulouse veut freiner le développement de « commerces communautaires » halal.
« Soutenir la diversité du commerce de proximité » pour freiner le développement des « commerces communautaires », c’est le nouvel objectif que s’est fixée la municipalité de Toulouse dans plusieurs quartiers de la ville.
Parce que « les commerces communautaristes ne sont pas (sa) tasse de thé », Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire de Toulouse chargé du commerce, a étendu l’opération « Commerce avenir » à des quartiers en cours de réaménagement.
Le dispositif, explique La Dépêche, permet à la ville de racheter les locaux commerciaux en de son droit de préemption lorsqu’un commerce met la clé sous la porte. Une fois rénovés, les locaux sont proposés à la location à des commerçants après un appel d’offre qui favorisera certains projets plutôt que d’autres. Seront écartés par la ville les nouveaux projets de restaurants type kebabs et de boucheries halal au nom de « la diversité ».
« À plus long terme, la mairie souhaite que les commerçants puissent acheter les murs », indique-t-elle, qui s’appuie sur la loi en faveur des PME d’août 2005 qui « donne aux communes de nouvelles dispositions réglementaires pour les aider à préserver leur diversité commerciale ».
Hongrie : Viktor Orban veut une « loi anti-Soros » contre l’immigration et l’islam .
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban compte sur ses diatribes anti-immigration et anti-islam pour se maintenir au pouvoir pour un troisième mandat consécutif.
A l’occasion du lancement, par son parti le Fidesz, de la campagne pour les élections législatives d’avril, Il a appelé, dimanche 18 février à Budapest, à une grande alliance de pays européens contre l’immigration.
« Nous ne pensons pas que la lutte est désespérée. Au contraire, nous allons gagner. Les pays du V4 (le groupe de Visegrad réunissant la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie, ndlr) sont fermes, la Croatie arrive, l’Autriche part dans une direction patriotique, et en Bavière la CSU a créé une résistance intellectuelle et politique. Ce n’est donc pas trop tard », a-t-il affirmé face à ses partisans.
« Le danger auquel nous devons faire face vient de l’Ouest, des politiques de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions leurs politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration, et qui ont amené par là le déclin de la chrétienté et la diffusion de l’islam », a-t-il déclaré, estimant que « la chrétienté est le dernier espoir de l’Europe ».
Viktor Orban s’en est également pris au milliardaire George Soros, lui-même d’origine hongroise, dont les prises de position en faveur des réfugiés irritent. « Nous combattrons et nous utiliserons tous les recours juridiques possibles. Le premier est notre loi anti-Soros », une loi prévoyant que les ONG qui aident les réfugiés et les demandeurs d’asile reversent 25 % de leurs fonds venus de l’étranger sous forme de taxe à l’Etat et qu’elles soient soumises à des contrôles drastiques de la part des autorités.
« Partout, (George Soros) veut qu’on accepte l’immigration. Ça ne marchera pas. Nous ne sommes pas seuls, nous combattrons ensemble (…) et nous vaincrons », a affirmé le Premier ministre, qui ne cesse de lier immigration et islam dans ses discours. Des positions xénophobes qui devraient toutefois mener son parti à une nouvelle victoire.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : 8 jours pour faire libérer Salah Hamouri !
Réuni.e.s vendredi 16 février 2018 à Ivry-sur-Seine lors de la « Nuit de la Liberté », c’est plus de 500 personnes, avocat.e.s, élu.e.s, journalistes, intellectuel.le.s, militant.e.s des droits de l’Homme, responsables associatifs, citoyen.ne.s, qui se sont tenues aux côtés de la famille de Salah Hamouri, jeune avocat franco-palestinien, pour exiger sa libération à 10 jours de la fin écrite de sa période de détention administrative par les autorités israéliennes.
Arrêté dans la nuit du 23 août 2017 à son domicile de Jérusalem-Est et retenu sans la moindre preuve en détention administrative pour 6 mois, sur ordre d’Avigdor Lieberman, figure de l’extrême-droite israélienne et ministre de la Défense, Salah Hamouri est une victime d’un arbitraire absolu de l’Etat d’Israël. En s’attaquant à un avocat, membre de l’association humanitaire « Adameer », qui exerçait légitimement sa profession, Israël fait preuve d’une détermination à entraver les défenseurs du droit, qui luttent contre l’occupation.
Depuis 6 mois, des milliers de personnes de tous horizons ont tenu à exprimer leur soutien à la famille de Salah Hamouri.
Lors de soirées de soutien, à l’occasion de vœux lors d’assemblées délibérantes de plus de 50 collectivités territoriales, via des questions aux médias jusqu’au sein de l’Assemblée Nationale et du Sénat.
Plus de 1600 élu.e.s se sont engagé.e.s dont trois candidats à l’élection Présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon et Philippe Poutou. De nombreuses personnalités françaises et étrangères se sont jointes au mouvement telles que Noam Chomsky, Ken Loach, Angela Davis, Roger Waters, Brian Eno, Christiane Hessel, Vald, Ernest Pignon-Ernest, Michel Warschawsky, Ilan Pappé, Jean Ziegler, Abou Diaby, Robert Guediguian, Michael Mansfield QC ou Susan George.
Le Président français s’est lui aussi positionné contre la détention administrative illégale de Salah Hamouri et a demandé sa libération à Benjamin Netanyahou le 10 décembre dernier, sans résultat.
L’ordre de détention administrative porte les dates du 29 août au 28 février. Il est exclu que l’arbitraire se poursuive encore après cette date. Il nous reste donc aujourd’hui 10 jours pour réclamer plus fortement encore la libération de Salah Hamouri, au plus tard le 28 février 2018 prochain.
Comme le déclarait Elsa Lefort, épouse de Salah et porte-parole du comité de soutien, vendredi soir : « Notre mobilisation doit s’accentuer pendant ces deux dernières semaines. Il est impensable que la diplomatie française n’obtienne pas la libération de notre concitoyen, comme elle a pu par le passé obtenir celle d’autres Français.e.s incarcéré.e.s arbitrairement de par le monde. Si sa détention était renouvelée ce serait dramatique pour Salah et ses proches, mais ce serait également un véritable affront fait à la France. ».
Il en va de l’honneur de la diplomatie française, du respect des droits humains les plus élémentaires et du respect du droit international que notre pays doit défendre sans trembler.
Le Comité de soutien à Salah Hamouri.
France : LCP : la journaliste, qui a porté plainte contre le juif, Frédéric Haziza, pour “agression sexuelle”, a démissionné.
Dans l’univers impitoyable de la télévision, en l’occurrence de la chaîne parlementaire LCP, c’est le plus faible qui bat en retraite devant le plus fort, ou plus précisément la victime présumée d’agression sexuelle qui est acculée à la démission, tandis que son agresseur présumé, soutenu aveuglément par l’incontournable BHL, réapparaît à l’antenne comme si de rien n’était.
Il faut dire qu’entre zélés propagandistes pro-israéliens, l’esprit de corps n’est pas un vain mot, surtout quand il s’agit de sauver le soldat Frédéric Haziza de la tourmente dans laquelle il a failli être emporté, dans le sillage sordide du scandale Weinstein.
Contraste saisissant, à l’heure où il est de bon ton de respecter la parole des femmes qui affirment avoir été harcelées ou abusées sexuellement, dans les coulisses peu reluisantes de LCP, la parole de la journaliste Astrid de Villaines n’a pesé bien lourd face aux puissants réseaux de l’animateur vedette de la chaîne, et à leur indignation très sélective…
Plus grave encore, la décision de réintégrer Frédéric Haziza, après une courte mise à pied de pure forme, prise par Marie-Eve Malouines, la présidente de la chaîne, l’a totalement dévalorisée.
« J’aurais préféré partir dans d’autres circonstances, mais le contexte était trop pesant », a confié vendredi, le cœur serré, Astrid de Villaines, après sept ans de bons et loyaux services.
C’est à croire que lorsque les caméras sont au repos, à l’ombre des projecteurs, la libération de la parole des victimes d’abus sexuels n’est qu’une vaste supercherie au sein de LCP. Un comble pour la chaîne parlementaire par excellence, qui se targue d’être « politique et citoyenne » à la fois !
Une Egyptienne, victime du harcèlement de rue, flanque une raclée à son agresseur. Vidéo.
En Egypte, le fléau du harcèlement sexuel de rue, cette « 11ème plaie » nationale, n’épargne aucune femme, l’écrasante majorité des Egyptiennes (99,3% d’entre elles), voilées et non voilées, affirmant avoir subi, au moins une fois dans leur vie, sa forme la plus courante (les mains baladeuses) par des harceleurs à l’affût, qui les ont poursuivies de leurs assiduités au vu et au su de tous, en plein jour.
Rien ne semble pouvoir enrayer cette violence ordinaire qui frappe le sexe dit faible, d’autant plus que l’omerta qui l’entoure n’a d’égal que le déshonneur qui l’entache, hormis en cette fin d’année 2017, dans le gouvernorat de Qena, où une citoyenne ordinaire, revêtue d’un hijab bleu et d’une abaya noire, s’est muée en héroïne du jour en donnant du fil à retordre à son agresseur.
C’est peu dire que la courageuse Rania F. ne s’est pas laissée faire et a impressionné son monde… Elle a carrément flanqué une sacrée rouste à son assaillant, que l’on imagine déconfit devant une telle adversité insoupçonnée !
Prises sur le vif, les images de l’incident, montrant la farouche résistance opposée par une mère de famille refusant d’être cantonnée dans le rôle de l’éternelle victime, et appelant les passants à l’aide pour arrêter son harceleur, ont mis les réseaux sociaux en effervescence. Nombre d’internautes des deux sexes ont salué sa témérité et son extraordinaire combativité.
Une combativité qui n’a jamais faibli, même sous les menaces proférées contre elle pour qu’elle retire sa plainte, et l’a poussée à poursuivre en justice son agresseur, Islam Sh., car il n’était pas question que son crime reste impuni. Bien a pris Rania F., puisque ce dernier, reconnu coupable de harcèlement sexuel dans l’espace public, a été condamné à trois ans de prison.
A l’annonce du verdict du tribunal, qualifié « d’historique » par des centaines d’activistes égyptiennes luttant pour la défense des droits des femmes, les réseaux sociaux se sont à nouveau emballés. Les commentaires enthousiastes, insistant sur l’importance de résister par tous les moyens à la propagation du fléau du harcèlement de rue, l’ayant emporté sur les critiques cinglantes à caractère sexiste.
A l’heure où la parole des femmes, victimes d’abus sexuels de tous ordres, se libère partout dans le monde, en Egypte, en plus du silence qui se brise autour d’un sujet tabou, c’est une énergie salvatrice qui est en train de libérer les femmes de la honte et de la peur.
reportage a voir sur oumma.com.
Halal: un véritable business!
Le concept halal qui relève principalement de la « morale musulmane » est désormais utilisé comme un véritable « label marketing ». Sa précieuse estampille est apposée sur un large éventail de produits, en vue de conquérir de nouveaux marchés et un nombre croissant de consommateurs et/ou clients, à travers le monde. Une niche économique devenue un vrai business, dont l’essor ne se dément pas !
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Tahar Mahdi : la finance islamique, une finance éthique.
Tahar Mahdi est théologien, spécialiste en jurisprudence islamique et imam. Il est également l’auteur d’une traduction du livre de Abou Hamid Al Ghazali, « L’incohérence des philosophes ». Il nous livre dans un texte exclusif publié par Mizane.info les principales clés de compréhension de la finance islamique. Les notions cardinales, la philosophie économique véhiculée par la finance islamique : voici l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur ce sujet.
La finance islamique, outre son obligation de répondre aux contraintes exigées par les lois en vigueur, est tenue de se conformer à des règles qui trouvent leurs origines dans la loi musulmane. Des principes qui interdisent la spéculation, l’usure et les investissements considérés comme impurs (alcool, jeu, tabac, drogue…). Pour pouvoir comprendre la finance islamique moderne, il faut absolument connaître et maîtriser sa nature et cerner les spécificités du droit des affaires financières propre à l’islam.
Par conséquent, la charia impose une méthodologie caractérisée par la rigueur scientifique si l’on désire aborder les questions modernes de la finance islamique. À ce titre, les spécialistes doivent systématiquement respecter la méthodologie et les règles génériques du droit des affaires financières en islam s’ils veulent être crédibles dans leur enseignement et leur pratique de ce droit très technique et fort compliqué à la fois.
La nature de la finance islamique .
Bien que les termes de la finance islamique moderne n’existent pas dans les classiques du droit des affaires financières islamiques, le concept lui existe incontestablement. L’analyse terminologique spécifique de ce domaine est incontournable. Parmi ces termes techniques de la finance islamique, on peut citer :
-Mu’amalât signifie toutes les transactions couvrant le domaine de la finance islamique.
-Mâliya porte sur tout ce qui a attrait à la finance islamique.
-Mu’asira indique la contemporanéité.
-Qadâya désigne les affaires ou les questions qui se rattachent à la finance d’une manière ou d’une autre.
-Mustajadda explique tout ce qui est nouveau dans la finance et qui n’existait pas auparavant.
-Nawâzil vise les questions évènementielles de type nouveau.
-Fatwâ porte sur l’élaboration d’une disposition juridique constituant une solution d’un quelconque problème.
Définition conventionnelle.
« Mu’amalât mâliyamu’asira » est une notion qui désigne les questions impliquées par les pratiques financières contemporaines n’ayant pas d’équivalent dans le droit classique. Cela comprend également les affaires relevant des circonstances de la vie moderne et impliquant le changement de statut juridique légal, ainsi que toutes les questions relevant d’une transaction de type nouveau. Enfin, à cela il faut ajouter les diverses catégories financières anciennes qui peuvent comporter des solutions modernes et anciennes à la fois. Il existe certaines transactions financières portant des appellations modernes mais qui existent en réalité dans notre patrimoine ancien sous d’autres désignations, tels les intérêts des banques modernes qui constituent de l’usure interdit en islam. Toutes les transactions de placement en général et les titres d’obligations financières relèvent de l’interdit. En effet, en islam la considération relève du concept, pas du nom, sachant que celui-ci peut induire les gens en erreur. Le Prophète a fait allusion à ce genre de fraude en disant : « Certaines personnes de ma communauté oseront consommer le vin en lui donnant d’autres dénominations. » (Ahmad 5/315-320).
Règles générales immuables.
Le droit de la finance islamique se base sur le texte révélé d’une manière générale sans toutefois donner de détails, offrant ainsi aux spécialistes la capacité intellectuelle et expérimentale d’élaborer ce droit dont on a plus que jamais besoin. Il y a cependant des règles immuables : – « ô croyants, ne vous appropriez pas mutuellement vos biens indûment, sauf s’il s’agit d’un négoce relevant d’un accord entre vous. » (Les femmes 92). – « Dieu vous a rendu licite le négoce et illicite l’usure. » (La génisse 275) – « La permission dans les transactions est la base. » – tout jeu de hasard et toute spéculation sont interdits en islam car ils provoquent l’hostilité et la discorde, etc.
Principes fondamentaux de la finance islamique :
Le principe fondamental de la finance islamique repose sur l’intervention directe de la Banque dans les transactions qu’elle finance. La rémunération qu’elle perçoit se justifie soit par sa qualité d’associée aux résultats du projet financé (pertes ou profits) dans le cas d’une Mudhâraba ou d’une Mushâraka مشاركة. Soit par la prestation de commercialisation ou de location de biens qu’elle acquière préalablement. Et ce, dans le cas d’une Murâbaha مرابحة, d’un Ijâr (Leasing / Location-vente), ou d’un Salam السّلم. Soit, enfin par la commande de fabrication / construction de biens ; meubles ou immeubles par ses soins ou par des tiers, dans le cas d’un Istisnâ‘ استصناع. La règle générale est que la monnaie n’est, du point de vue islamique, qu’un simple intermédiaire et instrument de mesure dans les échanges de produits. À ce titre, elle ne peut générer de la monnaie.
Vu l’appartenance morale et éthique, voire même religieuse, des banques islamiques et en respect de leur vocation, les conditions suivantes sont exigées à la lettre : l’objet du contrat doit être conforme aux prescriptions de la charia (pas de financement de produits prohibés par l’islam). L’acquisition préalable des marchandises par la Banque doit être respectée. En effet, le principe de base de la transaction financière est que le gain revenant à la Banque ne se justifie que par le caractère commercial et non financier de la transaction (l’achat et la revente doivent être réels et non fictifs).
Même si, en parallèle, elle assure une fonction de réserve de valeur, elle ne peut produire de surplus que dans la mesure où elle est transformée préalablement en bien réel et non pas virtuel. Donc, la marge bancaire n’est considérée comme licite par la charia que lorsqu’elle est générée par l’une des activités suivantes : Vente, Participation, Location, Fabrication. Les Institutions financières islamiques ont une double vocation ; commerciale et financière. Loin de se cantonner dans la mission classique de médiation financière, elles interviennent dans les activités de création, transformation et commercialisation des richesses en tant que parties prenantes à part entière. Cette double vocation est illustrée sur le plan juridique par l’existence de deux types de clauses dans les contrats de financement régissant la relation entre la Banque islamique et ses partenaires : des clauses financières fixant le montant, la durée et les conditions générales d’utilisation et de renouvellement de la ligne de financement ; des clauses commerciales fixant les modalités de la transaction et/ou opération effectuée dans le cadre de la ligne de financement précitée.
Les conditions de conformité à la charia.
Vu l’appartenance morale et éthique, voire même religieuse, des banques islamiques et en respect de leur vocation, les conditions suivantes sont exigées à la lettre : l’objet du contrat doit être conforme aux prescriptions de la charia (pas de financement de produits prohibés par l’islam). L’acquisition préalable des marchandises par la Banque doit être respectée. En effet, le principe de base de la transaction financière est que le gain revenant à la Banque ne se justifie que par le caractère commercial et non financier de la transaction (l’achat et la revente doivent être réels et non fictifs). À cet égard, il y a lieu de rappeler que si l’opération telle que pratiquée par les Banques islamiques, est une opération de vente ou d’achat, l’opération de crédit n’est qu’un accessoire – à ce titre elle ne peut générer de l’argent ni de profit pour éviter le riba – à la démarche commerciale. Laquelle démarche constitue la seule justification de la rémunération perçue par la Banque même si le paiement différé entre en ligne de compte dans la différence de prix dans certaines pratiques.
Comment se prémunir des préjudices ?
Le prix de revient, et le gain de la Banque et le (s) délai (s) de paiement doivent être préalablement connus et acceptés par les deux parties. Il y a au minimum 2 délais de paiement : celui du vendeur et celui de l’acheteur et du client final. En cas de retard dans le paiement des échéances, la Banque peut appliquer au client défaillant des pénalités de retard qui seront logées dans un compte spécial « Produits à Liquider ». Mais à aucun moment elle ne peut réviser en hausse sa marge bénéficiaire en contrepartie du dépassement de délai, et ce, pour éviter de vendre l’élément temps ce qu’on appelle en fiqhربا النسيئة وهو زيادة الثمن مع زيادة الأجل . En outre, en cas de mauvaise foi du client, la Banque est en droit de réclamer, en sus des pénalités, un dédommagement des échéances non honorées. Auquel cas, il conviendrait d’évaluer le préjudice par rapport à des critères objectifs propres à la Banque et éviter toute référence aux taux d’intérêt. Généralement pour prévenir ce genre de risque les banques exigent l’hypothèque ou l’acompte / urbûn عربون. Après la réalisation du contrat, la marchandise devient la propriété exclusive et définitive de l’acheteur final et le demeurera, quels que soient les incidents qui peuvent survenir par la suite. Toutefois, la Banque peut prendre un gage sur les marchandises vendues en garantie du paiement des prix de vente et mettre en jeu ce gage le cas échéant. De même, elle peut tenir compte des cas de mévente du client (insolvabilité) et accorder à ce dernier un rééchelonnement / réaménagement de son échéancier sans que cela n’entraîne une majoration de prix. Voilà en précis le strict minimum à connaître au sujet de la finance islamique.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Avec 500 milliards de DinAr versés prochainement : L’Etat sauve la CNR.
Enième sit-in des médecins résidents : Total pourrissement.
L’intersyndicale maintient sa grève générale des 20 et 21 février : L’année blanche menace l’école algérienne.
Les cadres de l’UGTA ignorent la grogne sociale pour sauver la peau de Sidi Said : Le culte de la personnalité.
Situation sociale, politique et économique du pays : Talaie El Houriat inquiet.
Montage de véhicules : La facture des importations en hausse.
Deuxième étape de la 23ème opération de relogement dans la wilaya d’Alger : 2 000 familles concernées.
Hamel reçoit l’ambassadeur du japon Masaya Fujiwara : Pour un partenariat profitable.
Malgré un bilan moral et financier positif : L’ONDA a encore du pain sur la planche.
Vignette automobile : La vente commence ce 1er mars.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

France : La mairie de Toulouse lance la chasse aux boucheries halal et aux kebabs.
L’affaire du Good Price de Colombes est-elle en train de faire des émules dans d’autres villes de France ? A Toulouse, la mairie veut freiner le développement des épiceries halal et des restaurants de kebab. Et le maire Les Républicains de la ville rose peut se targuer de faire disparaître les commerces communautaires petit à petit : alors que les boucheries halal et les kebabs représentaient, sur la place Arnaud-Bernard, sept commerces sur dix, tout est en train de changer.
Pour refuser l’ouverture de commerces halal, le maire de la Toulouse s’appuie sur la loi qui « permet aux communes d’intervenir lors des transactions de fonds artisanaux, de fonds de commerce ou de bail commercial lorsque la sauvegarde de la diversité commerciale est menacée », peut-on lire sur le site de la mairie. Pour ce faire, la mairie peut exercer un « droit de préemption commercial. »
Ce droit de préemption était, au départ, prévu pour trois quartiers du centre-ville, puis vingt-cinq. En ce début d’année, le conseil municipal a décidé qu’il s’appliquerait désormais à trente-trois quartiers toulousains. Depuis plusieurs mois, une cordonnerie, une crêperie ou encore une épicerie généraliste ont donc remplacé les kebabs et autres commerces halal dans la ville rose.
Jean-Jacques Bolzan, maire adjoint chargé du commerce, estime que mettre un terme au développement des commerces halal est une nécessité : « Tout ce qui va arriver en tant que nouveau kebab ou boucherie halal ne sera pas permis sur cette place », pour que « chaque habitant, quel qu’il soit, puisse trouver ce dont il a besoin pour se nourrir. »
Et la mairie dispose, en plus de son droit de préemption, de plusieurs outils pour faire venir les commerçants : après avoir racheté des commerces en difficulté, la mairie a décidé de supprimer par exemple le droit au bail et en pratique un loyer très modéré. A condition que le repreneur propose une activité éloignée du commerce halal.
Crimée : les musulmans Tatars résistent à la pression russe.
« La Russie tente-t-elle d’effacer la culture musulmane de Crimée ? », s’interroge Al Jazeera dans un article daté du 18 février. En effet, les Tatars s’inquiètent actuellement du sort de la mosquée « Douma Djami », appelée aussi mosquée du Khan tatar, du nom de son fondateur.
Cette mosquée a été construite entre 1552 et 1564 à l’époque de l’empire Ottoman. Elle fait partie du Hansaray, ou palais du Khan, situé dans la ville de Bakhtchyssaraï en Crimée. De part sa taille, elle est la plus grande de Crimée. Elle est actuellement en cours de restauration ainsi que le palais, depuis que les Russes (qui ont annexé la péninsule de Crimée en 2014) ont entrepris des travaux en janvier dernier.
Seulement, des experts, les dirigeants communautaires et des responsables ukrainiens estiment que cette restauration n’est pas faite dans les règles de l’art, tendant plutôt à reconstruire un nouveau bâtiment plutôt qu’à conserver l’authenticité de cet édifice religieux historique.
De nombreuses personnes de la communauté tatare (environ 250 000 personnes en Crimée), y voit de la part du Kremlin, la volonté de remodeler, voire d’effacer l’héritage historique tatar avec ses travaux.
« C’est un plan pour la restauration du palais entier. Le palais sera perdu, ce qu’ils construisent est une imposture », a déclaré à Al Jazeera Edem Dudakov, ingénieur en construction et ancien responsable du gouvernement de pré-annexion en Crimée.
La chaîne de télévision tatare fermée, les cours obligatoires de langue tatare interdits…
Ce « remodelage » du palais et de la mosquée illustre la relation tendue entre les Russes et les Tatars de Crimée. Les Tatars de Crimée considèrent en effet le palais comme le symbole le plus significatif de leur statut d’État perdu.
Les Tatars sont aussi les premiers à s’être opposés à l’annexion de la Crimée (qui était République autonome d’Ukraine) par la Russie.
Depuis plusieurs années déjà, les pressions sur les Tatars sont donc nombreuses avec une volonté sous-jacente d’effacer leur mémoire et les médias contrôlés par les Russes alimentent des sentiments anti-tatars.
Selon Al Jazeera, Moscou aurait notamment introduit des manuels d’histoire qui décrivent les Tatars de Crimée comme des pilleurs de la Russie.
En novembre dernier, le Kremlin aurait également interdit les cours obligatoires de tatar. La chaîne de télévision tatare ATR, a été fermée. Leur assemblée, le Medjlis, qui défendait les droits des tatars et leur langue, a aussi été interdite pour « extrémisme » en 2015.
Mais les Tatars sont aussi l’objet de persécutions en Crimée depuis le printemps 2014, avec l’exil forcé des principaux leaders de cette minorité. Des centaines d’entre eux, pour la plupart des musulmans pratiquants, ont été arrêtés et interrogés, leurs maisons fouillées et leurs livres religieux confisqués, rappelle Al Jazeera.
« Durant les trois années d’occupation de la Crimée par la Russie, les autorités ont réduit au silence l’opposition sur la péninsule. Elles ont agressivement ciblé les personnes critiques en utilisant le harcèlement, l’intimidation et dans certains cas, de fausses inculpations d’extrémisme, dont celles pour « appel au séparatisme ». La plupart des poursuites judiciaires contre des activistes tatars de Crimée, leurs avocats ou d’autres personnes découlaient de leur critique pacifique de l’occupation », écrivait Human Rights Watch dans un rapport en juillet dernier.
De nombreux Tatars arrêtés pour du « terrorisme » présumé.
Au cours des trois dernières années, la justice russe aurait poursuivi 66 personnes dont 36 Tatars pour des motifs politiques. Au moins 26 personnes auraient été condamnées à des peines pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison pour des accusations allant du «séparatisme» au «terrorisme» en passant par «l’organisation d’émeutes de masse».
«En 1944, nous étions une nation de« traîtres » (les Tatars ont été accusés de collaboration avec les nazis et ont été déportés en masse en Asie centrale, attendant la fin de l’URSS en 1991 pour avoir le droit de regagner la Crimée), nous sommes maintenant une nation de« terroristes », a confié à Al Jazeera un militant qui aide les prisonniers politiques et leurs familles.
La chaîne souligne aussi que les Tatars ne sont pas le seul groupe ciblé pour leur position anti-Kremlin. Des activistes pro-ukrainiens, anti-corruption et des Témoins de Jéhovah ont été arrêtés, expulsés, torturés, condamnés à des amendes et jusqu’à 20 ans de prison, selon des groupes de défense des droits humains.
L’Afrique du Sud veut mettre fin à ses relations diplomatiques avec Israël.
En décembre dernier, l’African National Congress (ANC), le parti au pouvoir, demandait l’adoption d’une résolution visant à rétrograder l’ambassade de son pays en Israël en simple « bureau de liaison. » Preuve que les relations entre les deux pays s’effritent mois après mois.
Nouvelle étape dans les relations entre l’Etat hébreu et l’Afrique du Sud : la possible rupture des liens diplomatiques entre les deux pays. L’Afrique du Sud déplore le manque d’initiatives israéliennes en faveur de la paix. C’est ce qu’a annoncé le ministre des Sciences et de la Technologie, Naledi Pandor.
Selon lui, « le gouvernement doit couper les liens diplomatiques avec Israël, étant donné l’absence d’initiatives authentiques d’Israël pour garantir une paix durable et une solution viable à deux Etats qui inclut la liberté et la démocratie pour le peuple palestinien. »
Ce sera maintenant aux parlementaires de prendre une décision : adopter ou non cette proposition. Mais tous ne sont pas de l’avis de Naledi Pandor. Le leader de l’opposition, Kenneth Meshoe, avait montré sa déception après le refus par les autorités sud-africaines de refuser l’aide d’entreprises israéliennes pour endiguer la crise actuelle que traverse le pays.
Le mois dernier, le représentant sud-africain auprès de l’ONU avait déclaré au Conseil des droits de l’Homme qu’Israël était le « seul Etat au monde à pouvoir être qualifié d’Etat d’apartheid », alors que dans le même temps, l’ANC demandait le renforcement des restrictions d’obtention de visa pour les Israéliens. Dans sa liste noire des associations interdites de pénétrer en Israël, l’Etat hébreu avait inscrit des personnalités sud-africaines, trop proches selon lui de BDS.
200 mosquée britanniques ont ouvert leurs portes au public.
Six mois après l’attaque de la mosquée de Finsbury Park au Royaume-Uni et alors que l’homme accusé d’avoir tué un fidèle vient d’être jugé, les mosquées britanniques ont ouvert dimanche leurs portes au grand public. C’est le Conseil des musulmans britanniques (MCB) qui est à l’initiative de l’opération « Visit my mosque day », qui a pour objectif d’« envoyer un message fort sur la tolérance prônée par l’Islam et les musulmans, et faire connaître aux autres communautés les vraies valeurs musulmanes. »
Le MCB veut également montrer la différence entre le traitement médiatique réservé à l’Islam et la réalité : « La communauté musulmane, qui est la cible des médias notamment avec les attentats, a grand besoin de montrer une image loin des clichés véhiculés par la presse et démasquer les préjugés », indique Harun Khan, le secrétaire général de l’organisation.
Du côté de la mosquée de Finsbury Park, l’heure est plutôt aux remerciements : les fidèles du lieu de culte, après l’attaque, avaient reçu beaucoup de messages de soutien. « On voudrait partager cela avec nos amis, pour qu’ils voient comment cet événement tragique nous a rapproché les uns des autres et nous réunit pour lutter contre ceux qui essaient de nous diviser », affirme ainsi Mohammed Kozbar, le directeur de la mosquée.
Dans les deux-cents mosquée qui ouvraient leurs portes, plusieurs manifestations ont eu lieu : des expositions photos, des projections vidéos ou encore des conférences-débats. L’événement a réuni plus de 10 000 personnes, dont Jeremy Corbyn, le leader de la gauche travailliste.
Les déboires d’Al-Arabiya au Royaume-Uni.
Nouvel épisode dans la crise du Golfe qui oppose le Qatar à ses voisins, mais cette fois sur le terrain des médias anglo-saxon. La chaîne d’information Al-Arabiya, basée à Dubaï mais détenue en grande partie par des hommes d’affaires saoudiens, a cédé sa licence de diffusion avec effets immédiats le 15 février au Royaume-Uni pour des raisons plus ou moins obscures. En effet, l’Ofcom (autorité régulatrice des télécommunications au Royaume-Uni, l’équivalent du Conseil supérieur de l’audiovisuel en France) avait annoncé le 06 février l’ouverture d’une enquête concernant le traitement par Al-Arabiya de l’affaire du piratage de la Qatar News Agency (QNA) le 24 mai 2017.
Le piratage de QNA à l’origine de la fin d’Al-Arabiya ?
En effet, la crise entre les pays du Golfe avait été précipité par un piratage informatique, où l’agence de presse qatarie avait diffusé une dépêche où l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al-Thani, dénonçait le climat d’hostilité à l’égard de l’Iran, faisait l’éloge du Hezbollah libanais et prenait la défense de la présence des troupes américaines sur son sol comme une garantie « contre les convoitises de certains de ses voisins », en allusion aux contentieux territoriaux qui l’opposent notamment à l’Arabie saoudite. Malgré l’annonce de Doha du piratage de son agence de presse, les pays du quartet mettaient en place le blocus du Qatar deux semaines plus tard. Aujourd’hui, les enquêtes du FBI semblent arriver à la conclusion que le piratage aurait été d’origine émiratie, selon des informations révélées par le Washington Post.
Néanmoins la chaîne saoudienne avait bien retransmis massivement ces fausses déclarations attribuées à l’émir du Qatar, contribuant à la hausse des tensions entre le Qatar et ses voisins. La QNA avait alors fait appel au cabinet d’avocats Carter-Ruck pour présenter une plainte à l’Ofcom pour le traitement partial et biaisé par Al Arabiya du piratage de QNA. Peu après l’annonce de l’ouverture d’une enquête par l’Ofcom, Al-Arabiya a donc décidé de céder sa licence. Pour Youssef Ibrahim Abdurahman al-Malki, directeur général de QNA, la décision d’Al-Arabiya vient à prouver son comportement criminel, alors que la chaîne n’avait respecté aucun des principes des règles éthiques du journalisme dans cette affaire.
Le pouvoir saoudien et l’usage douteux des médias
Ce n’est pas la première fois qu’Al-Arabiya se fait épingler pour ses pratiques. Au mois de janvier, Al-Arabiya s’était vu sanctionner d’une amende de 120,000 pounds pour avoir difffusé la vidéo de déclarations obtenus sous la torture d’un leader de l’opposition bahreïni, Hassan Mushaïma. Dans cette vidéo de février 2016, cet opposant confesse qu’il a voulu renverser le gouvernement bahreïni afin de mettre en place une gouvernance islamique sur le modèle iranien. Ces aveux constituaient un excellent moyen pour discréditer la dimension populaire et spontanée des soulèvements qui se déroulent au Bahreïn depuis les printemps arabes de 2011. Depuis, cet opposant est toujours en prison.
Al-Arabiya, qui s’est longtemps rêvé à pouvoir concurrencer Al-Jazeera sans succès, n’a jamais réussi à percer comme une grande chaîne internationale reconnue pour son professionnalisme et sa rigueur dans le traitement de l’information à cause de cette inféodation au pouvoir saoudien. Par exemple, lors des printemps arabes de 2011, la chaîne n’avait pas su aborder les manifestations autrement que sous l’angle du terrorisme, de l’islamisme radical et de la manipulation étrangère sans jamais donner vraiment la parole aux manifestants. Alors que le prince héritier Mohammed Ben Salman renforce son contrôle sur les médias saoudiens et arabes (on parle notamment d’une tentative de prise de contrôle du groupe MBC), il est rassurant de voir que l’Ofcom a appliqué son rôle de régulateur à la lettre afin de sanctionner la chaîne saoudienne pour ses écarts éthiques que la profession ne saurait tolérer.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Ministère de l’éducation: Nous n’avons pas reçu un sou de l’Autorité Palestinienne depuis la réconciliation
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Le ministère de l’Education de Gaza a déclaré lundi n’avoir reçu aucun financement du gouvernement de l’Autorité palestinienne (AP) depuis la signature de l’accord de réconciliation entre le Fatah et le Hamas il y a environ quatre mois.
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Al-Hamadallah rencontre le ministre israélien des Finances à Ramallah
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L’occupation invite les Palestiniens à ne plus manifester à la frontière de Gaza
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L’occupation commence à démanteler une colonie sauvage à Bita
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Les forces de l’occupation israélienne prennent d’assaut la prison d’Ofer et transfèrent 120 prisonniers
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Des palestiniens blessés dans des affrontements à Jénine avec l’armée israélienne
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Ambassadeur Qatar : La subvention qatarie pour Gaza vise à atténuer la crise humanitaire
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Des colons se rassemblent pour prendre d’assaut les sanctuaires de Salfit et de Nabi Youssef
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17 palestiniens placés en détention administrative
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Campagnes d’arrestations et de convocations de l’armée d’occupation en Cisjordanie
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Fermeture de l’entrée du camp d’al-Fawar et la maison d’un martyr attaquée à Hébron
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Club du prisonnier: Le boycott des tribunaux de l’occupation vise à mettre un terme à la détention administrative
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Un militant palestinien blessé dans une attaque de colons au sud de Naplouse
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Abbas critique la décision de Trump sur Jérusalem au Conseil de sécurité de l’ONU
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Hamas : Les déclarations d’Al-Hamdallah ne sont que mensonges et tromperies
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Un prisonnier de Tubas libéré des prisons israéliennes et l’AP arrête ses deux frères
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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