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Flash info pour le 30 Rajab 1439.

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Sur Katibin.fr, voici les titres.

Palestine : Gaza : une société et une économie asphyxiées au quotidien.
La sanglante répression des manifestants de Gaza ne doit pas faire oublier le quotidien insoutenable des deux millions de Gazaouis.
Toits colmatés par de la tôle, murs lézardés et branlants entre lesquels on s’entasse car le reste de l’habitation a été détruit. Près de quatre ans après les bombardements de 2014, une partie de la population de cette enclave de l’Etat palestinien continue de vivre dans des décombres ou des logements de fortune. L’électricité et l’eau ne sont nullement « courantes », elles ne parviennent aux deux millions d’habitants que quelques heures par jour. 95 % de l’eau est non potable.
Les pénuries d’électricité et le blocus imposé depuis 2007 par Israël interdisent tout projet industriel. Le chômage touche la moitié de la population et 47% souffrent d’insécurité alimentaire. Autant dire que le défi pour les organisations humanitaires est de taille !
Mettre en place des infrastructures d’assainissement et encourager la résilience économique : l’engagement du Secours Islamique France
Présent à Gaza depuis 2008, le Secours Islamique France (SIF) fait partie des quelques ONG engagées dans la réhabilitation d’habitations aux cotés des organisations onusiennes UNRWA et UNDP. Il intervient également sur les fronts de l’assainissement de l’eau et de la sécurité alimentaire.
Depuis 2017, l’ONG soutient la production d’agriculteurs et de petits éleveurs en s’associant avec l’université d’Al Azhar Gaza. Les premiers se lanceront dans la culture de trois légumes à haute valeur nutritive, peu consommateurs en eau : betterave, brocoli et céleri ; les seconds dans la production de fromage.
Assainir et acheminer une eau potable constitue un autre grand chantier du Secours Islamique France. Les eaux usées contaminent les nappes phréatiques et se déversent sur le rivage, générant entre autres, des maladies de peau. « Le SIF n’a pas les moyens de résoudre tous les problèmes liés à l’eau mais il peut contribuer à diminuer les risques encourus par les habitants de Gaza », estime son chef de mission Adel Kaddum. En 2017, 153 foyers ont été connectés à une station de traitement des eaux usées réhabilitée et autant devraient l’être en 2018.
Le rôle des ONG dans la reconstruction d’infrastructures est d’autant plus crucial, qu’elles sont seules avec l’ONU à être habilitées à importer les matériaux nécessaires.
Pour soutenir les projets du SIF à Gaza, vous pouvez faire un don, sur www.secours-islamique.org .
islam : le Ramadan 2018 : c’est dans 30 jours, innch Allah.
Dans un mois le Ramadan débutera insha Allah, un tournant dans l’année qui représente pour bon nombre d’entre nous un pic pour la foi.
Comment s’y préparer ?
> en jeûnant, les lundis et jeudis de préférence.
> en lisant le Coran quotidiennement.
> en oeuvrant dans des associations.
Cette année, en France, on jeûnera en moyenne 18h par jour. Ainsi concilier travail, vie de famille et obligations religieuses est un véritable défi.
Selon les prévisions astronomiques, les dates des prochains mois de Ramadan seraient :
Ramadan 2018 (1439) : du 16 mai au 14 juin.
Ramadan 2019 (1440) : du 6 mai au 4 juin.
Ramadan 2020 (1441) : du 24 avril au 23 mai.
Le mois de Ramadan est idéal pour prendre de bonnes résolutions, alors pensez-y dès maintenant : que voudriez-vous changer de manière durable dans votre comportement ?

Sur islam et info.fr, voici les titres.

“L’islam va à l’encontre des valeurs démocratiques et n’a pas sa place en Allemagne”, affirme un ex-Ministre allemand.
L’une des figures les plus importantes de la CSU, l’Union chrétienne-sociale, le parti frère bavarois d’Angela Merkel, a déclaré que l’islam n’a pas sa place dans la société allemande et insiste sur le fait que le gouvernement doit rejeter les récentes politiques d’immigration.
“L’islam n’a pas d’ancrage culturel en Allemagne et avec la charia comme système juridique, il n’a rien à voir avec notre héritage judéo-chrétien”, a déclaré à Westdeutsche Allgemeine Zeitung Alexander Dobrindt, chef adjoint du plus grand parti du Bundestag, la CDU / CSU .
“Nos idées de tolérance et de charité, de liberté et d’égalité, ne peuvent être trouvées dans le monde islamique. Ces valeurs sont exactement la raison pour laquelle tant de gens veulent vivre avec nous “, a-t- il ajouté, notant que la migration des pays chrétiens vers les pays musulmans est presque inexistante.
Dobrindt dit que ses idées ne consistent pas à «exclure» les musulmans d’Allemagne, qui sont environ 5 millions, mais plutôt leur système de croyance, qui selon lui, «n’a pas réussi à produire une culture démocratique dans le monde islamique».
“Les musulmans qui veulent s’intégrer dans notre société font partie de notre pays, mais l’islam ne fait pas partie de l’Allemagne”, a déclaré le politicien, qui a occupé le poste de ministre des transports et de l’infrastructure numérique jusqu’à l’année dernière.
La montée de l’islamophobie en Allemagne s’est illustrée par la victoire des partis d’extrême droite. Les positions anti-turcs et islamophobes sont souvent critiquées par la Turquie qui possède une importante diaspora en Allemagne.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, déclare que Le droit européen doit reconnaître l’islamophobie avant que les musulmans soient envoyés dans “des chambres à gaz”.
Le ministre des Affaires étrangères turques, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que les politiciens populistes en Europe, notamment en Allemagne, utilisaient le discours anti-Turquie et l’islamophobie pour gagner des élections.
Le ministre turc des Affaires étrangères a appelé mercredi les pays européens à inclure l’islamophobie dans leur constitution, sans attendre l’avènement d’une situation semblable à l’Holocauste.
“Nous devons veiller à ce que l’islamophobie soit clairement inscrite dans la constitution [européenne]”, a déclaré Mevlut Cavusoglu lors d’un événement organisé à Ankara, capitale du pays, pour dévoiler le dernier rapport européen sur l’islamophobie (EIR).
“Il n’est pas nécessaire de revivre Auschwitz ou d’attendre que les musulmans soient brûlés dans des chambres à gaz comme le peuple juif”, a-t-il dit, se référant aux camps de concentration nazis.
Cavusoglu a déclaré que le discours de haine, qui est un crime en Europe, est toujours utilisé par les politiciens.
Il a déclaré que les politiciens populistes en Europe, en particulier en Allemagne, utilisaient le discours anti-Turquie et l’islamophobie pour gagner des élections.
Le créateur français Jean-Paul Gaultier star de la “Fashion week” en Arabie Saoudite.
Le créateur français de haute couture et de prêt-à-porter Jean-Paul Gaultier a dirigé la première semaine de la mode arabe en Arabie saoudite jeudi soir, rejoignant d’autres créateurs d’Europe et du monde arabe dans cet événement de cinq jours.
Beaucoup de designs de Gaultier étaient basés sur le streetwear, se concentrant sur la culture populaire, tandis que d’autres, en particulier ses collections de haute couture, étaient à la fois formelles mais inhabituelles.
Les médias saoudiens ont fait savoir que Gaultier a su plaire au public saoudien présent lors des défilés. Les mannequins ont été applaudis tout comme le créateur.
Le secteur du luxe français et européen connaît l’importance des consommateurs saoudiens qui ont l’habitude de dévaliser les magasins à Paris, Londres et Milan.
L’Arabie Saoudite accueillera le siège régional d’Interpol.
Les pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) ont voté à l’unanimité en faveur de l’Arabie Saoudite afin que le royaume accueille le siège régional d’Interpol.
Les pays participants ont voté, vendredi, au siège d’Interpol à Lyon, en France, pour accueillir le bureau régional de l’organisation internationale en “reconnaissance du rôle prépondérant que l’Arabie Saoudite prend pour combattre l’extrémisme, le terrorisme et le crime de toutes sortes , régionalement et globalement”.
C’est la capitale saoudienne Riyad qui devrait accueillir les bureaux d’Interpol.
Palestine : L’armée israélienne tue deux Palestiniens alors que les manifestations à Gaza continuent.
Un Palestinien abattu par les forces israéliennes lors d’une manifestation le long de la frontière sud de la bande de Gaza assiégée.
Abdullah Mohammed al-Shuhri, 28 ans, a reçu une balle dans la poitrine à Khuza’a, près de la ville de Khan Younis, jeudi, Ashraf al-Qudra, a déclaré le porte-parole du ministère de la Santé de Gaza, dans un communiqué.
Al-Shuhri est décédé à l’hôpital européen, où il a été transféré pour recevoir un traitement peu de temps après avoir reçu une balle lors d’un sit-in qui fait partie de la Grande marche du retour .
Plus tôt jeudi, Mohammed Abu Hajeela, 31 ans, a été tué dans un raid aérien israélien et a succombé à ses blessures à l’hôpital al-Shifa de Gaza.
Au total, 34 Palestiniens ont été abattus depuis le début des manifestations qui ont commencé le 30 mars, lorsque des dizaines de milliers de personnes se sont rendues dans la zone frontalière avec Israël pour réclamer le droit au retour des réfugiés palestiniens.
France : Violences Policières à Argenteuil, le documentaire choc qui fait froid dans le dos. VIDÉO.
Un collectif d’habitants d’Argenteuil a décidé de témoigner car excédés par les violences policières répétées à l’endroit de personnes ne représentant aucun danger.
Si la France était un état de droit digne de ce nom ce reportage devrait faire la une de tous les médias et susciter une réaction de l’ensemble de la classe politique.
La police n’est que le relai coercitif de ce système … la justice et l’état sont à la source de cette oppression.
En attendant il est du devoir de toute la communauté musulmane de se mobiliser pour dénoncer cette islamophobie systémique permise par l’état et vécue par chacun des nôtres dans notre chaire.
D’autres témoignages suivront bientôt mais n’attendons pas organisons nous pour relever ce défi de l’injustice permanente.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur oumma.com, voici les titres.

Bloqué depuis plusieurs semaines dans l’aéroport de Kuala Lumpur, un Syrien appelle à l’aide sur Twitter.
« Je ne sais pas quoi faire, je n’ai personne pour me conseiller, pour me dire où je peux aller. Je connais des Syriens bloqués dans l’aéroport depuis un an ». C’est un ressortissant syrien en détresse, coincé depuis plus d’un mois dans un terminal de transit d’Asia Airlines au sein de l’aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie, qui multiplie les appels à l’aide sur Twitter et a poussé cette semaine un vibrant SOS sur Sky News, confiant son impuissance à se sortir de la terrible souricière où il est tombé.
Epuisé, tout comme le sont ses économies, par une situation devenue cauchemardesque au fil des jours, Hassan Al Kontar, 36 ans, ce directeur de marketing dont la carrière dans les assurances s’épanouissait sous le ciel radieux d’Abu Dhabi, avant que l’horreur de la guerre ne ravage son pays en 2011, ne sait plus vers qui se tourner pour mettre un terme à son calvaire.
« Son propre purgatoire », comme il le décrit sans la moindre complaisance envers lui-même, reconnaissant avoir préféré rester illégalement aux Emirats arabes Unis (son passeport avait expiré au moment même où la Syrie était à feu et à sang), plutôt que de subir les affres d’un conflit sanglant et d’une tragique complexité qui venait juste d’éclater, et allait déchiqueter sa patrie jusqu’à aujourd’hui.
C’est à partir de cet instant précis que sa vie a totalement basculé. L’heureux cadre supérieur, estimé de tous, qu’il était alors est tombé bien bas, en disgrâce, se retrouvant sans emploi et à la rue du jour au lendemain, après s’être heurté au refus irrévocable des autorités d’Abu Dhabi de renouveler son passeport. Un veto administratif lié au déclenchement de la guerre en Syrie.
« Pendant cinq ans, je me suis constamment caché de la police. J’ai été relégué au rang misérable d’un sans-abri, je sais ce que cela signifie d’avoir faim pendant des jours », a-t-il relaté, visiblement marqué par l’épreuve de sa descente aux enfers, en précisant qu’en 2017, il a fini par être expulsé des EAU. Deux choix s’offraient à lui : retourner chez lui, sur une terre dévastée et lourdement endeuillée par un interminable conflit, ou aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, en Malaisie notamment, l’un des rares pays qui acceptent les Syriens sans visas.
Un cruel dilemme que Hassan Al Kontar admet, en faisant acte de contrition, avoir rapidement tranché. Il a en effet décidé de tenter sa chance sous des cieux malaisiens plus cléments ou, du moins, qui s’annonçaient comme tels. Malheureusement, à l’expiration de son visa trois mois après son arrivée, sa situation personnelle s’est à nouveau extraordinairement complexifiée, jusqu’à redevenir un intrus indésirable sans papiers.
Mais alors vers quel havre de paix partir ? L’Equateur s’est imposé à lui comme la meilleure et plus hospitalière des destinations, s’il n’y avait eu une petite ombre au tableau : sillonner le vaste monde, quand on est un ressortissant syrien sans visa, peut s’avérer être une aventure très hasardeuse…
Hassan Al Kontar l’a appris à ses dépens, puisque Turkish Airlines, la compagnie aérienne qui devait lui permettre, le 28 février dernier, de rallier Kuala Lumpur à Quito, la capitale de l’Equateur, lui a interdit d’embarquer à bord de son appareil, sans autre forme de procès.
Il avait dû puiser dans ses maigres ressources, qui s’amenuisaient petit à petit, la somme substantielle de 1 800 euros pour acheter le billet censé lui ouvrir de nouveaux horizons. Volatilisés à l’air libre les 1 800 euros, tandis que lui, qui rêvait de s’envoler au-dessus des nuages, est resté sur le tarmac de l’aéroport !
Désormais, il n’a pour seul horizon que le terminal de transit d’Asia Airlines, dans l’aéroport international de Kuala Lumpur, où il est pris au piège depuis plusieurs semaines. « Pendant les sept premiers jours, j’ai essayé de me nettoyer d’une manière ou d’une autre en utilisant les toilettes, si petites et si froides que je ne peux pas prendre de douche, je ne peux pas sécher mes vêtements si je les lave. Je n’ai plus d’intimité, de vie privée dans cet aéroport », explique-t-il, en laissant percevoir son profond désarroi.
Un désarroi que les fonctionnaires des Nations Unies, avec lesquels il a pu récemment s’entretenir, n’ont nullement apaisé, ces derniers se disant incapables de résoudre son cas.
Seule fenêtre ouverte sur l’extérieur, Twitter est non seulement un précieux exutoire pour exorciser ses angoisses, cloîtré dans un oppressant no man’s land, mais aussi pour alerter le monde sur sa situation d’enfermement qui s’enlise.
Ses appels au secours ont fini par être entendus de Phil Robertson, le directeur Asie de Human Rights Watch, qui vient d’exhorter la Malaisie « à faire preuve de compassion et à lui fournir une aide humanitaire ». « Le gouvernement malaisien devrait s’assurer que le HCR puisse l’interroger rapidement et efficacement et statuer sur sa demande d’asile », a-t-il déclaré, ajoutant sur un ton pressant : « S’il est reconnu réfugié, il est urgent que la Malaisie lui permette de se réinstaller dans un pays tiers sans entrave ».
Syrie : Salve de missiles dans le ciel de Damas.
C’est fait. Le gang Washington-Paris-Londres vient de bombarder la Syrie. Abdiquant toute pudeur, l’habituel trio expert en coups tordus a expédié ses engins de mort sur un Etat-membre des Nations Unies. A grand renfort de missiles, un Occident déclinant a joué les durs à distance, se gardant bien d’affronter sur le terrain un adversaire qui lui mettrait une bonne fessée. En attaquant l’appareil militaire syrien, cette coalition étriquée conduite par des pantins vaniteux a cru que sa quincaillerie de luxe lui permettrait de s’imposer. Mais c’était oublier que la donne stratégique change à toute vitesse. En matière militaire, il y a loin de la coupe aux lèvres, surtout lorsque l’objectif à atteindre est fantasmatique. Expérimentée sous la présidence de Bill Clinton, la technique des frappes chirurgicales vient de connaître un nouvel avatar, dont il n’est pas sûr qu’il soit le plus réussi.
N’en déplaise à des dirigeants auto-satisfaits, cette opération-éclair a brillé par sa nullité, et sa fourberie politique n’a eu d’égale que son inanité militaire. En réalité, le bilan est proche de zéro. Aucun résultat opérationnel, aucun impact psychologique, aucun intérêt politique. Ce fut tout juste une pluie de pétards mouillés sur Damas, un exercice d’entraînement grandeur nature pour la défense anti-aérienne syrienne, un tir au pigeon où le missile occidental, ce joujou prétentieux, a fini par jouer le rôle du pigeon. Les « beaux missiles » de Trump ont fini en morceaux, pitoyables tas de ferraille destinés au futur musée de l’impérialisme à Damas. Ce résultat est d’autant plus significatif que la DCA syrienne a combattu seule l’agresseur étranger, sans l’aide de ses alliés, même si l’appui technique russe a sans doute joué un rôle décisif.
Même désastre sur le plan de la guerre psychologique. On ne s’imaginait quand même pas, à Washington, Londres et Paris, que le peuple syrien serait tétanisé par cette lâche agression. Elle a plutôt produit l’effet inverse, car la couardise de l’adversaire, en général, consolide le moral des troupes. Les premières images en provenance de Damas furent celles d’une population souriante, brandissant fièrement le drapeau national et le portrait du président Bachar Al-Assad. Les trois pieds nickelés de la géopolitique n’impressionnent pas les Syriens. En détruisant les trois quarts des missiles ennemis, la défense anti-aérienne syrienne a résumé à sa façon la réponse de ce peuple courageux à l’agresseur néo-colonial. La DCA de l’armée arabe syrienne est comme la métaphore d’un peuple qui résiste victorieusement, depuis 2011, à une tentative de destruction multiforme.
Bien entendu, les fauteurs de guerre occidentaux ont fait tourner les rotatives d’une propagande mensongère pour tenter de justifier leur entreprise destructrice. Mais la supercherie a fait long feu. Il s’agissait, dit-on, de punir le régime syrien pour l’emploi de l’arme chimique contre les civils de la Ghouta. Mais où sont les preuves détenues par les trois agresseurs ? On nous répond qu’elles sont accablantes, mais qu’il est impossible de les communiquer, car elles sont « classifiées ». Un enfant de quatre ans comprendrait le stratagème. S’il y a des « preuves », au demeurant, on pourrait les trouver sur place, et c’est pourquoi l’Organisation internationale pour l’interdiction des armes chimiques a accepté l’invitation du gouvernement syrien. Mais le jour même de l’arrivée de ces experts, le trio occidental a bombardé Damas. Inutile de faire un dessin : quand on accuse sans preuves un coupable désigné d’avance, on n’a pas besoin d’enquête.
En réalité, la politique belliciste d’un Occident en mal d’hégémonie pourrit tout ce qu’elle touche. Elle brandit les droits de l’homme, mais c’est pour soutenir les terroristes. Elle chante les louanges du droit international, mais c’est pour mieux l’anéantir. Elle parle de démocratie, mais elle la viole à domicile tout en déniant aux autres nations le droit à l’autodétermination. Quand Macron annonce qu’il va « punir » le président syrien lors d’une conférence conjointe avec le prince héritier d’Arabie saoudite, il se moque du peuple français. La triplette belliciste USA/France/Grande-Bretagne est comme la grenouille qui veut être plus grosse que le bœuf. Elle s’imagine qu’elle est le centre du monde alors qu’elle en est l’appendice. Elle est seulement le club de l’oligarchie occidentale, mais elle se prend pour la « communauté internationale ». Et lorsque le monde assiste médusé à une fanfaronnade où le criminel le dispute au grotesque, elle s’imagine qu’elle a remporté une victoire. Cette salve de missiles sur la Syrie ne changera rien au cours des événements. La Ghouta est libérée, et les autres provinces le seront bientôt. La guerre à distance menée par les ennemis de la Syrie est perdue d’avance.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

À Barr en Alsace, le projet de mosquée est sur les rails.
Bonne nouvelle pour la communauté musulmane de Barr (Bas-Rhin). Après vingt ans d’attente et trois projets avortés, l’Association Franco-Turque de Barr (AFTB) a enfin trouver un lieu qui pourrait accueillir les fidèles de la commune et des villages alentours. Depuis le 9 mars, l’association est propriétaire d’un bien situé au 26 rue Paul Degermann; une propriété de 53 ares comprenant une maison de 200 m² habitables sur trois niveaux ainsi qu’un vaste terrain sur lequel pourrait voir le jour la future mosquée, mais rien dans l’immédiat, assurent les responsables de l’AFTB. Pour l’instant, les fidèles Barrois continuent de fréquenter la mosquée de 80 m² de la rue du Général Vandenberg qui existe depuis 1988.
Pour faire découvrir les lieux, l’association a organisé dimanche 25 mars une journée porte ouverte. La communauté musulmane notamment turque représente entre 1300 et 1500 dans cette ville de 6 830 habitants de l’Alsace centrale.
L’Alsace qui compte deux départements abrite au total une centaine de lieux de culte musulmans.
Asifa (8 ans), kidnappée, violée et assassinée dans un temple hindou, parce que musulmane.
Le Cachemire est sous le choc après l’enlèvement, le viol en réunion et le meurtre d’une fillette musulmane de 8 ans dans un temple hindou. Les faits se sont déroulés en janvier dernier. Son corps mutilé avait été découvert en janvier à Kathua, dans le sud du Jammu-et-Cachemire, une zone à majorité hindoue. Elle avait disparu alors qu’elle était partie en forêt chercher des poneys égarés.
Asifa appartenait à une tribu nomade pauvre que le commanditaire de cet acte odieux voulait voir partir de cette région. Selon l’acte d’accusation, Sanji Ram, un officiel à la retraite a ordonné à son neveu et un policier de kidnapper la fillette avant de la droguer puis garder captive pendant cinq jours dans une cabane puis dans un temple hindou. Durant sa détention, plusieurs hommes l’ont violée à tour de rôle. Elle a ensuite été étranglée, la tête fracassée avec une pierre.
Huit hommes ont été arrêtés pour ce meurtre. Des avocats de l’association du barreau local ont essayé de bloquer le chemin des policiers cette semaine alors qu’ils se rendaient au tribunal pour déposer l’acte d’accusation contre les suspects, tous hindous.
Le viol de Kathua a provoqué de vives réactions dans le monde politique et la société civile en Inde, mais le Premier ministre Narendra Modi, un nationaliste hindou, est resté silencieux sur cette affaire.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

4 bulldozers israéliens pénètrent à l’est de Rafah
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Quatre bulldozers militaires israéliens ont pénétré d’environ 50 mètres dans la bande de Gaza, à l’est de Rafah, à partir du site militaire de Sufa.
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Des dizaines de colons extrémistes profanent la mosquée Al-Aqsa
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23 Palestiniens arrêtés en Cisjordanie dont un dirigeant du Hamas
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La délégation de sécurité égyptienne arrive à Ramallah après une courte visite à Gaza
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Les colons sionistes attaquent le village d’al-Tawana au sud d’Hébron
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4 blessés à l’est de Khan Younès à la 16ème journée de la Marche du Retour
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Des peuples arabes brûlent le drapeau israélien pour soutenir Gaza
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Le navire du Retour s’apprête à naviguer vers Gaza
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Le Hamas condamne l’agression américaine contre la Syrie
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Le chef de la délégation de sécurité égyptienne arrive à Gaza
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Abou Marzouk: La demande de désarmer le Hamas est un service gratuit offert à l’occupation
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156 blessés dans des affrontements avec l’occupation en Cisjordanie et à Jérusalem
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Lieberman nomme un ancien fonctionnaire du Mossad comme émissaire dans le monde arabe
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Un mort et 3 soldats sionistes blessés après le chavirement de leur char
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Les camps du Liban se révoltent vendredi pour lever le drapeau palestinien
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Guterich appelle à une enquête indépendante et transparente sur Gaza
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 30 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

France : Le Figaro réinvente l’histoire de l’Andalousie.
En 711, les conquérants musulmans envahissent le royaume wisigoth d’Espagne et le soumettent entièrement. Pendant tout le Moyen Age, la péninsule Ibérique, devenue al-Andalus, vivra sous la loi de l’islam. Le Figaro Histoire consacre son nouveau dossier à ces huit siècles de domination musulmane et à la lutte des souverains chrétiens pour recouvrer l’Espagne «perdue». Les meilleurs spécialistes en font revivre les grandes figures comme Le Cid ou Averroès, décryptent les légendes qui ont entretenu le mythe d’un «paradis andalou» et d’un âge d’or de la tolérance religieuse, vous ouvrent les portes de l’Alhambra de Grenade avec ses mystérieuses inscriptions.
Voilà l’introduction que l’on peut trouver sur le site du figaro.fr qui présente le numéro 36 du bimestriel le Figaro Histoire intitulé « La légende et l’histoire, L’Espagne musulmane d’Al-Andalus à la Reconquista ».
Il va de soi évidemment que l’on ne s’attendait à un portrait mielleux de l’histoire musulmane de l’Espagne vu l’objectivité presque légendaire du Figaro quand il s’agit de notre belle religion (pour vous en convaincre faites une petite recherche avec le tag islam sur le site http://plus.lefigaro.fr/tag/islam). Mais de là à publier un bimestriel révisionniste de 132 pages, cela ne nous enchante guerre, surtout dans une période où l’on cherche plutôt à réconcilier les civilisations et éteindre les flammes des conflits religieux et ethniques.
On doit beaucoup de passages à un certain Dario Fernandez-Morera, un professeur de littérature et de langues à la Northwestern University, dans le département d’espagnol et portugais. Un professeur de langues aux Etats-Unis qui écrit sur 800 ans d’histoire qui nous concerne intimement, alors même que les historiens français ou francophones sont nombreux à avoir écrit sur le sujet, nous chers compatriotes lecteurs du Figaro devraient s’en indigner il me semble. Cela nous rappelle d’ailleurs un autre professeur de langues, ou plutôt pardon de « philologie sémitique », Serafin Fanjul, dont le Figaro a également fait largement la promotion pour son livre « Al Andalus, l’invention d’un mythe ». A croire qu’il n’y a pas assez à faire dans l’étude des langues pour que ces chers professeurs de langue s’attachent à la révision de l’histoire…
Mais passons le problème d’expertise. Venons-en au contenu. Nous n’avons parcouru qu’une partie des articles et vous avons sélectionnés quelques perles :
Sur le soi-disant attrait des musulmans pour les hommes dhimmis : « on ne saurait sous-estimer en effet l’attrait de l’islam médiéval pour les dhimmis bien pourvus en testostérone. »
Sur les muladis : « En définitive, la majorité de la population n’était pas composée d’«immigrés» mais de convertis apparus après la première génération – les muladis. Ce terme, dérivé de l’élevage bovin, qui signifie «bâtard», en dit long sur la manière dont ces convertis étaient considérés dans al-Andalus. De nombreuses révoltes de muladis éclatèrent et furent écrasées sans pitié. »
Sur l’essor du commerce international pendant la période Omeyyade : « Les jihads contre les royaumes chrétiens, l’exploitation des dhimmis et l’exportation d’esclaves constituaient des sources importantes de revenus pour la cour omeyyade de Cordoue. »
Restons-en là vous aurez compris je pense la teneur de la haine et de la violence verbale de ces chers professeurs qui semblent oublier leur passé… En tant que musulmans, nous ne sommes pas non plus utopiques, nous savons que l’islam « éclairé » andalou avait, comme toute civilisation humaine, ses atouts et ses faiblesses. Même en matière de religion et de sciences, il y a eu des avancées majeures, tout comme des écarts à condamner. Mais au-delà de la condamnation ou de l’apologie, la lecture de l’histoire est importante pour comprendre. Comprendre comment le commerce, priorité établie de l’Espagne andalouse, rassemble les peuples et cultive la paix et la tolérance (lire l’article de Claudio Torres à ce sujet). Comprendre aussi, sur un plan plus critique, que cette civilisation qui a été complètement annihilée et déracinée de l’Europe (presque aucune filiation reconnue parmi les habitants de l’Espagne ou du sud de la France qui remonte à la période andalouse, malgré 800 ans de présence musulmane!) a aussi périclité car les nobles et aristocrates se sont laissés aller aux plaisirs mondains. Il faut lire et comprendre l’histoire pour mieux construire notre avenir.
Heureusement, cette publication sur l’Islam Andalou n’est pas la seule. Et il est clair que des voix se sont élevées, et s’élèveront encore pour ne pas utiliser l’histoire à des fins politiques mais simplement pour rapporter les événements passés et éclairer ainsi notre présent.
Citons par exemple pour conclure le magnifique témoignage de Michel del Castillo dans « Je suis un musulman », paru dans Le Monde, le 18 Janvier 2002.
« Je suis un Européen du Sud, pour moitié andalou, autant dire à demi-musulman. Je sais trop ce que notre vieux continent doit à l’islam espagnol, et d’abord le retour à la raison grecque. […] Non seulement les musulmans d’Espagne ouvrirent à la raison un espace où Averroès, Avicenne et Maïmonide s’aventurèrent hardiment, ils furent également médecins, géographes, astronomes, historiens, mathématiciens, alchimistes et physiciens, architectes miraculeux, musiciens raffinés, jardiniers délicats, horticulteurs et artisans subtils. Durant près de cinq siècles, les califes et les émirs ont tenu école de tolérance, défendant les juifs, accueillant les chrétiens, cohabitation sans exemple en ces temps de fanatisme. Cet héritage, je fais plus que l’accepter, j’en tire fierté. »
A notre tour d’être fier de notre histoire, en tant que musulmans et en tant qu’européens, à la mettre en lumière, à encourager nos enfants à se l’approprier, et pourquoi pas, à encourager aussi nos enfants à se spécialiser dans l’étude de ce passé qui peu à peu risque sinon d’être oublié, ou pire, d’être révisé pour des intentions peu louables.
Palestine : La réponse du calife ‘Abdel-Hamid II lorsqu’on lui propose de l’argent en échange de la Palestine.
Aucune personnalité mondiale ne souleva autant de controverses que le sultan ‘Abdel-Hamid II, devenu calife le 31 août 1876 à l’âge de 34 ans. Ce qui explique en partie la campagne de calomnie lancée contre lui pour déformer la réalité en donnant de lui une image négative.
Ces qualités d’homme de commandement lui ont pourtant permis de défendre la cause de l’Islam qui était sa première préoccupation, et de sauvegarder l’Empire ottoman durant ses dernières années d’existence,contre ses ennemis.
Il a dirigé l’Empire ottoman d’une main de maître tout en faisant montre d’une grande sagesse.
Il accéda au trône alors que les ennemis de l’empire étaient à l’affut attendant la moindre faiblesse pour l’exploiter, particulièrement les juifs qui avaient des visées en Palestine. Un empire convoité par les européens aussi qui ont cherché à renverser le califat ottoman et à l’envahir pour le dominer militairement et économiquement.
Mais pas seulement, pressé par les juifs, ils ont projeté de fonder un Etat juif sur les terres de Palestine.
Pourtant à cette époque, les juifs de Palestine jouissaient d’une grande liberté religieuse qu’ils ne possédaient nulle part ailleurs. Le pouvoir ottoman les a protégés et les a laissés vivre en toute sécurité.
Mais cela n’était pas suffisant à leurs yeux et profitant d’une période de troubles au sein de l’empire, ils firent pression sur le sultan ‘Abdel-Hamid pour obtenir son consentement à la création d’un Etat pour les juifs en Palestine.
Pensant que les dettes de l’Empire, s’élevant alors à 252 millions de pièces d’or, seraient un bon moyen de pression, ils ont proposé un prêt pour couvrir les dettes de l’empire, proposition aussitôt refusée par le sultan.
L’initiateur de cette machination est Théodore Herzl un juif hongrois, fondateur du mouvement sioniste qui est le premier à mettre en place l’idée d’un Etat autonome juif.
‘Abdel-Hamid pressenti le danger lorsque des milliers de juifs émigrèrent vers la Palestine, il ordonna que les juifs puissent vivre partout dans le territoire ottoman à l’exception de la Palestine.
Théodore Herzl envoya une lettre au sultan pour lui proposer un prêt de 20 millions de livres sterlings en échange de mesures facilitant l’émigration juive en Palestine ainsi que l’octroi d’une terre où les juifs pourront fonder un pouvoir autonome.
Voici la réponse du Sultan :
« Dr Herzl, ne prenez pas de mesures décisives dans cette affaire, car je ne peux pas sacrifier un seul pouce de la terre de Palestine, elle ne m’appartient pas à moi mais à la nation musulmane.
Mon peuple l’a conquise et l’a irriguée de son sang. Les juifs peuvent garder leurs millions. Si un jour l’Etat musulman est démembré, alors vous pourrez avoir la Palestine pour rien, mais tant que je vivrai, je préférerais être coupé en morceaux plutôt que de voir la Palestine détachée de l’Etat musulman. Je ne peux pas accepter cette dissection de nos corps encore vivants ».

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Arabie Saoudite : la St Valentin célébrée après une fatwa diffusée sur Twitter.
Les Saoudiens ont célébré la Saint-Valentin en l’absence de la police religieuse après qu’une fatwa permettant la célébration ait été diffusée via Twitter.
Les boutiques de cadeaux et de fleurs ont ouvert leurs portes sans aucun tracas ni confiscation de la part de la police religieuse, qui interdisait autrefois aux fleuristes de travailler le jour de la Saint-Valentin et surveillait les rues du Royaume en cas de violation. Cela a été confirmé par les visites sur le marché d’un certain nombre de journalistes arabes dans différentes villes saoudiennes.
S’adressant aux médias, Cheikh Ahmed Qasim Al-Ghamdi, ancien président de la Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice à La Mecque, a approuvé la Saint-Valentin comme une célébration sociale similaire à la Fête nationale et la fête des mères.
“Tout cela sont des questions sociales communes partagées par l’humanité et ne sont pas des questions religieuses qui nécessitent l’existence d’une preuve religieuse pour le permettre”, a-t-il dit.
Décrivant l’amour comme un sentiment naturel, le clerc a dit que la Saint-Valentin célébrait «un aspect positif de l’être humain». Al-Ghamdi a dit que la célébration de l’amour ne se limitait pas aux non-musulmans.
“Il y a beaucoup de choses matérielles que nous traitons moralement qui peuvent intéresser les communautés non musulmanes et qui sont devenues plus communes parmi les communautés musulmanes en raison de leur popularité”, a-t-il dit.
Depuis l’arrivée au pouvoir du roi Salman, la police religieuse saoudienne a vu son rôle diminuer au fil des mois. La volonté du Prince Héritier, Mohamed Ben Salman, de faire de l’Arabie Saoudite un royaume plus libéral au niveau des mœurs a poussé de nombreux savants dans les geôles.
Le Maroc adopte une nouvelle loi pour combattre les violences contre les femmes et les mariages forcés.
Le parlement marocain a ratifié une loi mercredi pour combattre les violences contre les femmes après des mois de débats et de discussions entre les partis politiques et la société civile.
Un an et demi après la rédaction de la loi, 168 députés ont voté aujourd’hui en faveur de cette loi, préparée par le ministère de la Famille, de la Solidarité, de l’Égalité et du Développement social, en partenariat avec le ministère de la Justice en échange de 55 voix contre.
Dans son discours aux parlementaires, plus tard sur Facebook, Bassima Al-Hikawi, ministre de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du Développement social, a considéré ce projet comme «une loi normative sur la lutte contre les violences envers les femmes».
Les types de violence qui peuvent être pratiqués contre les femmes; offrir des mesures préventives, un système de contenu sensible au genre qui met l’accent sur le statut de la violence contre les femmes en raison de leur sexe, et même aggraver la punition dans ce cas.
En vertu de la nouvelle loi, des peines plus sévères sont imposées, en particulier si les femmes sont soumises à la violence de leurs proches ou de ceux qui ont autorité sur eux et sont censés les protéger.
La loi criminalise le mariage forcé des femmes avec une peine de six mois à un an d’emprisonnement et une amende de 10 000 à 30 000 dirhams.
Irak : les donateurs promettent 30 milliards de dollars pour la reconstruction du pays.
Les donateurs internationaux ont promis des dizaines de milliards de dollars pour aider l’Irak à se reconstruire après qu’une guerre de quatre ans contre l’ EIIL ait laissé de vastes pans du pays en ruines.
L’Irak a reçu 30 milliards de dollars d’engagements pour financer ses efforts de reconstruction, a confirmé mercredi le gouvernement du Koweït après la conclusion d’une conférence de donateurs de trois jours dans sa capitale.
Le Qatar , l’Arabie saoudite, le Koweït et la Turquie étaient parmi plusieurs pays promettant d’offrir des prêts et des investissements directs pour aider à la reconstruction du pays.
Mais Ibrahim al-Jaafari, ministre irakien des Affaires étrangères, a déclaré mercredi que les fonds ne suffisaient pas.
Le ministre du Plan Qusai Abdelfattah a déclaré plus tôt cette semaine que l’Irak avait besoin d’environ 88,2 milliards de dollars pour atteindre ses objectifs, dont 22 milliards de dollars sont nécessaires “immédiatement”.
Malgré cela, Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, qui était l’un des coorganisateurs du sommet, a qualifié la conférence à Koweït “d’énorme succès”.
La conférence – organisée par le Koweït, l’Irak, l’ Union européenne , l’ONU et la Banque mondiale – a demandé un financement à des acteurs étatiques et non étatiques, ainsi qu’à des investisseurs privés.
Erdogan promet une “gifle ottomane” à l’armée américaine qui soutient le YPG en Syrie.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a critiqué le soutien des Etats-Unis aux combattants des YPG kurdes dans le nord de la Syrie , avertissant que la décision de Washington de financer le groupe influera sur les futures décisions d’Ankara envers son allié de l’OTAN.
“La décision américaine d’apporter un soutien financier au YPG … affectera sûrement les décisions que la Turquie prendra”, a déclaré M. Erdogan mardi.
“Il vaudra mieux pour eux de ne pas soutenir les terroristes qu’ils soutiennent aujourd’hui, j’appelle le peuple des Etats-Unis – cet argent sort du budget des Etats-Unis, il sort des poches des gens”.
Ses commentaires étaient une réponse au nouveau budget de la défense du Pentagone qui alloue 550 millions de dollars aux activités militaires en Syrie.
Paul Funk, le commandant des forces américaines en Syrie et en Irak , s’est rendu récemment à Manbij et a déclaré que les Etats-Unis et leurs partenaires en Syrie riposteraient s’ils étaient attaqués.
“Si vous nous frappez, nous allons réagir agressivement. Nous allons nous défendre”, a déclaré Funk.
Erdogan s’est attaqué à cela en disant :
“Il est évident que ceux qui disent qu’ils vont “donner une réponse brutale” s’ils ont été touchés n’ont pas été touchés par la gifle ottomane.”
La «gifle ottomane» était une technique d’arts martiaux potentiellement fatale utilisée par une infanterie d’élite de l’Empire Ottoman au 17ème siècle.
Le département américain de la Défense a demandé 300 millions de dollars pour les activités syriennes de «formation et équipement» et 250 millions de dollars pour «les exigences de sécurité frontalière liées à la mission contre l’EI», selon une copie du budget .
La Turquie a entamé le mois dernier une incursion militaire dans la région d’Afrin tenue par les Kurdes au nord-ouest de la Syrie pour balayer les combattants YPG kurdes de sa frontière.

Sur saphirnews.com, voici les titres, .

Tariq Ramadan reste en prison, une expertise médicale ordonnée .
Tariq Ramadan, dont l’état de santé s’est dégradée depuis son incarcération à Fleury-Mérogis, ne sortira pas de prison ce jeudi 15 février.
La chambre d’instruction de la Cour d’appel de Paris a demandé une expertise médicale de l’islamologue, placé en détention depuis sa mise en examen pour viols début février. Elle devra être rendue avant le 19 février.
Une nouvelle audience visant à statuer sur sa remise en liberté est fixée pour jeudi 22 février.
Dans un mémoire déposé à la chambre d’instruction de la Cour d’appel de Paris, ses avocats ont proposé, selon l’AFP, la remise de son passeport suisse, un chèque de caution de 50 000 €, une obligation de pointer chaque jour au commissariat, une interdiction d’entrer en contact avec les deux accusatrices et de quitter le territoire contre la remise en liberté de leur client.

Sur oumma.com, voici les titres.

Bill Gates salue la collaboration établie avec l’Arabie saoudite pour lutter contre la pauvreté.
Milliardaire et philanthrope, Bill Gates, 62 ans, n’est pas de ceux qui restent assis sur leur matelas cousu d’or une fois le succès obtenu et s’être retirés des affaires, en l’occurrence du géant Microsoft.
Il appartient à cette trempe d’entrepreneurs qui, après avoir révolutionné l’industrie des nouvelles technologies, aspire à une retraite active en explorant d’autres secteurs jugés plus prioritaires et en s’illustrant dans des causes plus essentielles : l’humanitaire.
A l’orée de l’an 2000, cette grande figure de l’informatique s’était rapidement imposée comme l’un des acteurs incontournables de l’entrepreneuriat engagé au service de la société, à travers la fondation créée avec son épouse : la Fondation Bill et Melinda Gates.
Dix-huit ans plus tard, Bill Gates se félicite des liens de coopération, étroits et fructueux, qu’il a tissés avec l’Arabie saoudite, et salue plus particulièrement les synergies positives établies avec différentes associations saoudiennes de bienfaisance qui sont impliquées dans des programmes visant à éradiquer la poliomélyte et à lutter contre la pauvreté.
« En Arabie Saoudite, nous avons lancé dernièrement une initiative conjointe avec la fondation du Prince héritier appelée Misk Grand Challenges, placée sous le signe de l’innovation et de l’autonomisation de la jeunesse », s’est-il réjoui récemment.
L’inventeur visionnaire de Microsoft a insisté sur l’importance de consolider des passerelles constructives entre l’Occident et l’Orient, dans la poursuite du même objectif louable et impérieux : agir concrètement pour soulager les maux du monde environnant, en s’appuyant sur des solutions novatrices dont lui seul a le secret.
Tariq Ramadan se rendra à la cour d’appel en ambulance.
Très affaibli, c’est sous escorte médicale que se présentera Tariq Ramadan, ce jour, à 14 heures, devant la chambre d’instruction, afin de faire appel de son placement en détention provisoire.
Souffrant d’une sclérose en plaques qui n’est plus désormais confidentielle, et d’une autre maladie non identifiée, requérant un traitement médical lourd et à respecter rigoureusement, selon Le Parisien, l’état de santé de l’islamologue suisse s’est considérablement détérioré depuis son incarcération, le 2 février dernier, dans une aile spécifique de Fleury-Merogis.
Alors que le juge des libertés et de la détention (JLD) avait initialement estimé qu’il n’y avait aucune incompatibilité majeure à son emprisonnement, la dégradation de son état de santé fera-t-elle pencher la balance de la justice et de quel côté ? Réponse dans le courant de la journée.
Pour le Carême, ils ont décidé de se passer des réseaux sociaux.
Après Mardi gras, le Carême débute ce mercredi. Pendant cette période de jeûne de 40 jours, des catholiques repensent aussi leur mode de vie et se recentrent sur eux et leurs proches. Cette période de sobriété peut aussi se traduire par un mode de vie moins connecté. Les fidèles sont en effet de plus en plus nombreux à opter pour un carême 2.0. C’est notamment le cas de Caroline qui a tout prévu. Ceux qui la suivent sur les réseaux sociaux sont prévenus : elle sera absente sur les réseaux sociaux pendant 40 jours. La nouvelle génération opterait donc plus pour un jeûne d’esprit que du corps.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Tariq Ramadan : la Cour d’appel de Paris statuera le 22 février sur une libération conditionnelle.
La cour d’appel de Paris a demandé une expertise sur la santé de Tariq Ramadan, emprisonné pour des accusations de viol. La cour a annoncé qu’elle se baserait sur ces expertises avant de statuer sur sa remise en liberté. Le recours de cet examen a été annoncé pour le jeudi 22 février. Tariq Ramadan avait contesté sa détention provisoire arguant de son innocence et de sa bonne volonté judiciaire dans cette affaire. Selon ses proches, l’état de santé de l’intellectuel suisse s’est détérioré des suites de problèmes médicaux sévères et chroniques.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres, rien de neuf.

Solidarité de la police avec les sans-abris de Tizi-Ouzou : Des repas chauds mais surtout, de la chaleur humaine.
Un froid glacial enveloppe les rues quasiment désertes de la ville de Tizi-Ouzou qui ont commencé à se vider vers 18H00. Les « gens de la rue » s’abritent sous les ponts, balcons ou près des magasins. Cette nuit, ils n’auront ni froid ni faim, grâce à la solidarité de ceux qui ne les ont pas oubliés.Sûreté de wilaya, Croissant-Rouge algérien, directions de la santé et de population (DSP), de la protection civile, de la solidarité et de l’action sociale et de la solidarité (DASS), se mobilisent chaque nuit pour leur servir des repas chauds et des couvertures. Empruntant l’avenue Laarbi Ben Mhidi, qui mène vers le siège de la sûreté de wilaya où une action de solidarité était prévue, on constate quelques échoppes, des restaurants notamment, d’où se dégagent d’alléchantes odeurs de poulets rôties et de frites, qui sont encore ouvertes et attendent leurs habitués.A proximité du site de l’ancienne gare routière, un homme, la soixantaine, traîne le pas et marmonne des propos incompréhensibles en narguant les passants, visiblement insouciants du ciel menaçant au dessus de la ville et qui se charge de nuages promettant des averses. Une pluie qui n’en a guerre à se soucier des gens de la rue qui, pour une raison ou une autre, passent la nuit à la belle étoile.A la sûreté de wilaya, les policiers s’assurent que tout est prêt pour la mission prévue à 19H30. Le bureau de la chargée de communication, la Commissaire principale Djamila Temmar, est particulièrement sollicité. Des membres du comité local du CRA s’y présentent, apportant des boites destinées à contenir la soupe à servir aux sans abris, ainsi que des gobelets pour le thé et le café qui leur seront aussi offerts, tandis qu’unpolicier a affirmé qu’il y aura du jus et de l’eau en quantité suffisante.19H30, les participants à cette opération organisée par la sûreté de wilaya, suite à une initiative de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) qui lance régulièrement des actions de proximité et de solidarité avec les citoyens, notamment au profit des franges les plus fragiles, a rappelé le Commissaire Temmar, se rassemblent à l’extérieur prêts à arpenter les rues de la ville.Les autres participants représentant les directions membres de la commission de wilaya chargée de l’opération de solidarité avec les sans abris sont présents. Même pas le temps de prendre une photo souvenir puisque c’est à ce moment là que le ciel a décidé de déverser la première et généreuse ondée de la soirée. On s’engouffre, complètement trempé, dans les véhiculés, direction le centre – ville près de la mosquée Arezki Cherfaoui, où un homme et une femme se sont réfugiés pour s’abriter de la pluie et y passer la nuit. Ils reçoivent couvertures et repas chauds et, avec un sourire de reconnaissance, ils se confondent en remerciements vivement exprimés.Dans ce monde de nocturne, gens de la rue et policiers se connaissent très bien. Au fil des opérations de solidarité organisées régulièrement, des liens se sont tissés et une relation amicale, dans son expression la plus humaine et la plus pure, car libérée de toute considération qui serait liée au statut social de celui qui offre et de celui qui reçoit, s’est tissée.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Les quatre chantiers (ratés) de l’Etat pour façonner un « Islam de France ».
A l’heure où Emmanuel Macron a annoncé son intention de « poser les jalons de toute l’organisation de l’Islam de France », les différentes instances musulmanes sont sorties de leur silence. Pour Ahmet Ogras, président du CFCM, « chacun doit rester dans son rôle. Aujourd’hui le culte musulman est une religion, donc elle gère elle-même sa maison. » Le patron de l’instance musulmane estime qu’« il ne faut surtout pas de tutelle de la part de l’Etat, juste un rôle de facilitateur. » Sauf que depuis un quart de siècle, l’Etat n’a cessé de vouloir façonner le culte musulman à son image. Dans la revue Esprit, Lucile Schmid et Akram Belkaïd rappellent que, depuis plusieurs années, « les autorités françaises ont déployé des efforts, parfois de manière autoritaire, pour obliger les instances religieuses musulmanes à s’organiser. » Au point de vouloir créer un Islam « de » France et réduire les influences extérieures. Sauf que, depuis 1994, toutes les tentatives des gouvernements successifs d’organiser cet « Islam de France » ont donné lieu à des fiascos.
1994 : Charles Pasqua consacre l’Algérie comme principal interlocuteur
Lorsqu’il s’intéresse à l’Islam de ses bureaux du ministère de l’Intérieur au début des années 1990, Charles Pasqua décide de consacrer la Grande mosquée de Paris comme son interlocuteur exclusif. Via cette décision, c’est avec l’Algérie que Charles Pasqua décide de discuter. Moyennant financements, Pasqua charge Dalil Boubakeur de structurer et organiser les associations locales et les mosquées au sein d’une grande fédération. En 1994, Charles Pasqua décide de légiférer sur la labellisation halal. Le ministre octroie, par décret, le pouvoir de certifier halal à la Grande mosquée de Paris. Celle-ci crée le label SFCVH. Alors que cette institution musulmane est la seule habilitée à certifier la viande selon ses propres normes, d’autres mosquées montrent leur agacement.
Devant la pression de deux d’entre elles, deux ans plus tard, le successeur de Charles Pasqua, Jean-Louis Debré, modifie le décret. Désormais, les Grandes mosquées de Lyon et d’Evry-Courcouronnes sont elles aussi habilitées à labelliser la viande halal via leurs labels respectifs, ARGML et ACMIF. Plus de vingt ans plus tard, force est de constater l’échec de ce décret : si les mosquées ont l’aval de l’Etat pour gérer le halal, il n’est pas interdit à d’autres associations et entreprises de labellisée la viande issue de l’abattage rituel.
Pire, le marché du halal est au point mort, la France accusant un gros retard sur les pays étrangers. Les différentes institutions, elles, tentent de se mettre d’accord sur un cahier des charges commun. Sans succès, l’initiative de charte du halal du CFCM n’a jamais rien donné. Aujourd’hui, l’institut Montaigne envisage une taxe sur le halal. Une proposition à laquelle réfléchit également le Conseil français du culte musulman. Mais sur un marché aussi opaque et éparpillé que l’abattage rituel, le chantier de la taxe halal s’annonce là aussi compliqué. Voire impossible.
2003 : Le CFCM, la représentativité au mètre carré
En 2003, Nicolas Sarkozy n’est pas encore président de la République. Alors ministre de l’Intérieur, il décide de créer une organisation qui serait un interlocuteur unique entre la communauté musulmane et l’Etat. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) naît alors. Mais l’institution souffre de grosses faiblesses : les différentes fédérations qui composent le conseil ne cessent de se chamailler — l’UOIF a notamment décidé de boycotter le vote des représentants en 2011 — et la présidence tournante entre Algériens, Marocains et Turcs montre l’influence des pays étrangers au CFCM.
Mais quinze ans après la création du CFCM, c’est surtout le manque de représentativité de l’institution qui est pointé du doigt. Tout d’abord, la gouvernance pose un gros souci d’équité : le nombre de membres du conseil d’administration du CFCM est en effet déterminé en fonction de la surface des lieux de culte. Résultat : les fidèles se sentent éloignés d’un CFCM qui tente de faire plaisir autant à sa base qu’au ministère de l’Intérieur. Aujourd’hui, selon une étude de l’institut Montaigne, seuls 28 % des musulmans connaissant le CFCM déclarent se sentir « représentés par cette structure. » Un échec.
2005 : Une première fondation de l’Islam mort-née
En 2005, deux ans après la création du CFCM, l’Etat se demande comment financer cette dernière institution. Aidé par Serge Dassault, qui met la main à la poche pour sortir 2 millions d’euros, le Premier ministre de l’époque, Dominique de Villepin, décide par décret la constitution de la Fondation des œuvres pour l’islam de France. Celle-ci a pour mission, explique alors Villepin, « la construction et la gestion des lieux de culte, en accord avec les maires des communes concernées. » Une sorte d’instance de dialogue entre le CFCM, l’Etat et les collectivités locales.
Mais devant la réticence et la mésentente des pays d’origine de certaines grandes fédérations musulmanes — Maroc, Algérie et Turquie notamment —, la FOIF est rapidement prise de paralysie aiguë. La présidence, offerte à Dalil Boubakeur, n’arrange rien. Le recteur de la Grande mosquée de Paris fait en effet de la figuration et, cinq ans après la naissance de la fondation, le Sénat dénonce l’immobilisme de cette institution par la voix de… Jean-Pierre Chevènement. La question financière est notamment évoquée : la grande partie des fonds mis par Dassault n’ont pas été utilisés et dorment pendant plusieurs années dans les coffres de la Caisse des dépôts et consignations. En 2016, Manuel Valls pointe l’« échec total » de la FOIF.
2016 : Une Fondation de l’Islam de France qui fonctionne au diesel
L’échec de la FOIF ne refroidit pas les ardeurs de l’Etat. Suite aux différents attentats, Bernard Cazeneuve décide de lancer des sessions de dialogue avec les représentants de l’Islam en France. Après plusieurs mois de discussions, le ministère de l’intérieur décide de lancer une nouvelle fondation. A sa tête, Jean-Pierre Chevènement aura pour objectif de poser les jalons du financement du culte musulman via une association d’utilité publique d’Etat. Sauf que cela contrevient à la loi de 1905, comme le précise officieusement le Conseil d’Etat à Bernard Cazeneuve. La Fondation de l’Islam de France sera donc une association culturelle.
Dotée d’un budget conséquent — plusieurs millions d’euros —, la Fondation de l’Islam de France signe un partenariat avec les Scouts musulmans de France dans le but d’« initier les jeunes aux valeurs républicaines. » Puis… plus rien. Certes, Jean-Pierre Chevènement a suggéré l’ouverture d’une faculté de théologie musulmane à Strasbourg ou prévoit de mettre en place un « campus numérique. » Mais on est bien loin de la réalité du terrain. Un an et demi après sa création, la Fondation de l’Islam de France déçoit déjà, à tel point qu’Emmanuel Macron prévoit un nouveau chantier. Plusieurs options s’offrent à lui : le président de la République pourrait mettre fin aux actions du CFCM ou laisser la Fondation de l’Islam de France agir en roue libre, tout en planchant sur d’autres idées, qu’il devrait dévoiler dans les prochains mois.
Palestine : Une ministre israélienne veut une majorité juive… quitte à violer les droits humains.
« Il y a lieu de maintenir une majorité juive, même au prix de la violation des droits humains. » Cette sortie est signée par une ministre israélienne. Le 12 février, lors d’une conférence, la ministre de la Justice Ayelet Shaked était interrogée sur le projet de loi qui vise à faire d’Israël « l’Etat-nation du peuple juif. »
Comme le rapporte le journal israélien Haaretz, la ministre a tenu à apporter son soutien à ce texte même si ce dernier n’a pas été soutenu par la majorité des parlementaires. « Israël est un Etat juif. Ce n’est pas un état composé de différentes nations », a expliqué Ayelet Shaked, qui estime qu’« il y a des endroits où le caractère juif d’Israël doit être maintenu. » Pour la ministre, cela peut même « parfois se faire au détriment de l’égalité. »
La ministre de la Justice veut donner « du pouvoir au judaïsme », et cela passe selon elle par une réforme des institutions. Ayelet Shaked regrette en effet que, « au cours des vingt dernières années, on a davantage mis l’accent sur les décisions concernant les valeurs universelles et moins sur le caractère juif de l’Etat. »
Italie : l’extrême-droite accuse un musée d’égyptologie d’encourager «l’islamisation».
« Bienheureux celui qui parle arabe ». Tel était le slogan de la publicité affichée dans les rues de Turin par le musée des Antiquités égyptiennes de la ville, et à l’origine du déclenchement d’une polémique politique.
L’extrême-droite italienne s’est en effet offusquée de ce message et a accusé le directeur du musée, de discrimination envers les Italiens. Certains responsables politiques demandent même sa démission.
Pourtant, cette initiative partait d’une bonne intention selon le musée. L’idée était d’accorder aux arabophones une réduction pendant trois mois, soit deux tickets pour le prix d’un, sur présentation d’une pièce d’identité. Le musée visait les « nouveaux Italiens », c’est-à-dire les immigrés de la ville.
Il y aurait à Turin et sa province environ 4 700 citoyens égyptiens et 24 000 arabophones. C’est à eux principalement que s’adressait cette publicité en arabe. « Nous le faisons pour inclure tout le monde, nous ne voulons pas créer de barrières mais des ponts », a déclaré le directeur, Christian Greco.
Il a également expliqué que les tarifs réduits et les promotions proposées par le musée sont courantes. Le 14 février l’entrée est notamment gratuite pour les couples, le jeudi, gratuite pour les étudiants.
Mais l’extrême-droite et notamment la Ligue du Nord (qui a récemment fait parler d’elle lors de la fusillade raciste menée par l’un de leurs sympathisants) se sont immédiatement mobilisées contre cette initiative qu’elles jugent raciste. Matteo Salvini, le leader du parti xénophobe l’a qualifiée de « délirante ».
« Les responsables de cette folie devraient demander pardon et démissionner » a t-il déclaré.
Une manifestation contre ‘l’islamisation’ soi-disant prônée par le musée
Le musée d’égyptologie aurait pourtant déjà adopté cette initiative de discrimination positive l’an dernier. Mais à quelques semaines des élections législatives (le 4 mars), la promotion n’est cette fois-ci pas passée inaperçue.
Le 9 février dernier, une manifestation a même eu lieu devant le musée. Giorgia Meloni, la présidente de Fratelli d’Italia, un autre parti d’extrême-droite, a scandé en tête du cortège : « Non à l’islamisation ».
Ce à quoi le directeur du musée lui a répondu en personne, lui faisant remarquer qu’en Egypte, « il y a quinze millions de Coptes qui sont des chrétiens ».
Les membres du parti se sont également indignés que le musée reçoive des subventions publiques tout en proposant des promotions suivant la nationalité des visiteurs. « Quand nous serons au pouvoir, je veillerai personnellement à la nomination des directeurs de musée », a déclaré Federico Mollicone, le porte-parole de Fratelli d’Italia. Cependant le musée de Turin n’est pas un musée national mais une fondation privée.
Suite à cette polémique qui a pris beaucoup d’ampleur sur les réseaux sociaux, le ministre de la Culture, Dario Franceschini, a pris la défense du directeur. Il a estimé que ce n’était pas à la droite de chasser des directeurs de musée qui ne leur obéissent pas.
Une blogueuse « pas assez américaine » car elle critique la politique des Etats-Unis au Moyen-Orient.
Hoda Katebi, 23 ans, était l’invitée de l’émission matinale WGN News de Chicago pour parler de son livre, Teheran Streetstyle, le 31 janvier dernier.
Interviewée sur son enfance à Oklahoma, puis sur son expérience du port du hijab dans un état plutôt conservateur et à majorité blanche, la jeune femme a raconté entre autres avoir été agressée à cause de son voile.
Mais l’interview a soudain pris un tournant géopolitique. Le co-présentateur de l’émission lui a demandé : « Parlons des armes nucléaires. Certains de nos téléspectateurs pourraient dire que nous ne pouvons pas faire confiance à l’Iran. Qu’en pensez-vous ? »
Ce à quoi Hoda Katebi a répondu, après avoir souri face à cette question plutôt inattendue :
« Je ne pense pas que nous pouvons faire confiance à ce pays (les États-Unis), quand nous voyons le passé de ce pays et la violence qu’il a non seulement créée, mais aussi encouragée. Beaucoup d’armes au Moyen-Orient proviennent des États-Unis. »
Une opinion qui n’était pas vraiment du goût de la présentatrice. Cette dernière lui a alors lancé : « Beaucoup d’Américains pourraient s’offusquer de ce que vous dites. Vous êtes Américaine mais vous ne ressemblez pas à une Américaine quand vous dites ça … vous voyez ce que je veux dire par là. »

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Le groupe américain « Dream Defenders » soutient Ahed Tamimi et le combat pour la liberté des Palestiniens.
Le 15 décembre 2017, Mohammad Tamimi, 15 ans, a reçu une balle dans la tête, tirée par un soldat israélien, alors qu’il participait à une manifestation non armée contre la déclaration de Trump sur Jérusalem. Quelques minutes plus tard, sa cousine Ahed de 16 ans est intervenue pour protéger sa maison familiale alors que deux soldats armés envahissaient sa cour. Depuis plus de 50 ans, l’armée israélienne s’est installée sur la terre palestinienne afin d’appuyer sa violente occupation militaire de la Cisjordanie. Ahed a tenu tête aux soldats et leur a demandé de partir. Quand ils ont refusé et ont essayé d’utiliser sa propriété comme base de tir sur les manifestants, elle a giflé l’un d’eux.
Ahed a été arrêtée quelques jours plus tard au milieu de la nuit. Sa cousine Nour et sa mère Nariman ont également été arrêtées. Toutes les trois ont été mises en accusation par le tribunal militaire d’Israël, denué de toutes règles essentielles garantissant un procès équitable, et
dont le taux de condamnation s’élève à 99,7 %. On a refusé à Ahed la possibilité d’une caution et son procès débutera le 13 février. Amnesty International ainsi que Human Rights Watch ont appelé à sa libération.
Aux Etats Unis, nous savons tous trop bien ce que cela signifie d’être opprimé simplement parce que vous existez, parce que vous refusez d’abandonner votre combat pour la liberté. L’année dernière, une délégation d’artistes de Défenseurs du Rêve est allée en Palestine pour porter témoignage de la vie sous occupation militaire israélienne et a rencontré la famille Tamimi dans son village de Nabi Saleh. Ils ont partagé des chansons et des histoires de combat, américaines et palestiniennes. Les Tamimi ont parlé de leur vie quotidienne – l’armée israélienne qui patrouille et tire dans les rues où jouent leurs enfants, les colons israéliens qui volent leur eau. La délégation apprenait que, tous les ans, des centaines d’enfants palestiniens de Cisjordanie étaient arrêtés et détenus par les soldats, les policiers israéliens les rouant de coups de pied, de coups de poing etc. La torture est utilisée de façon routinière pour obtenir des aveux signés des enfants, principalement sur des accusations de jets de pierres.
Alors que nos luttes peuvent paraître uniques, on ne peut ignorer le parallèle. Les policiers, ICE, les patrouilles aux frontières et le FBI s’entraînent avec les soldats, la police et les policiers aux frontières israéliens, utilisant des tactiques répressives de profilage similaires pour cibler et harceler nos communautés. Trop nombreux sont nos enfants qui apprennent très vite qu’on peut les emprisonner ou les tuer simplement pour ce qu’ils sont. De Trayvon Martin à Mohammed Abu Khdeir et de Khalif Browder à Ahed Tamimi – le racisme, la violence d’État et l’incarcération de masse ont volé à notre population son enfance et son avenir.
Dans une démarche audacieuse pour protéger les enfants palestiniens comme Ahed d’abus généralisés par les forces israéliennes, la députée Betty McCollum du Minnesota a présenté en novembre dernier un projet de loi sans précédent intitulé : Acte pour Promouvoir les Droits de l’Homme en Mettant Fin à la Détention Militaire Israélienne d’Enfants Palestiniens. Le projet de loi a 22 coauteurs et signataires.
Nous soussignés appelons tous les députés américains à signer ce projet de loi et à protéger la vie et l’enfance palestinienne.
La famille Tamimi résiste à la brutalité d’Israël par ce qu’elle croit que les Palestiniens, comme TOUS les peuples, devraient être libres. Les Défenseurs du Rêve se tiennent à leurs côtés et à ceux de tous les Palestiniens dans leur juste combat. Aujourd’hui, comme toujours, nous nous engageons à construire un monde plus juste et amical pour nous tous.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

France/Boycott : Des étudiants à Lille annulent leur festival consacré à l’occupation
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Un festival intitulé « Escale en Israël » à Lille a été annulé par les étudiants qui l’organisaient dans le cadre d’un projet universitaire, après que des militants de la solidarité avec le peuple palestinien ont manifesté lors d’un premier atelier culturel.
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Gaza: les citoyens protestent contre la détérioration des conditions économiques et sanitaires
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Les forces de sécurité de l’Autorité Palestinienne saccagent le domicile d’un Palestinien à Hébron
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Les détenus administratifs boycottent les tribunaux de l’occupation
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Un tribunal sioniste condamne Mohammed Dweikat à 16 mois de prison
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L’occupation détruit une maison palestinienne à l’ouest d’Hébron
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent trois citoyens et convoquent un autre
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Le député Rajoub appelle l’Autorité Palestinienne à suivre les problèmes de deux grévistes de la faim
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Malgré les accusations de corruption, Netanyahu pourrait remporter les prochaines élections
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent 16 palestiniens en Cisjordanie
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Des colons attaquent des véhicules et écrivent des slogans hostiles à Naplouse
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Tulkarem : Des explosions entendues après l’assaut d’Alar par l’occupation
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​ L’occupation arrête un journaliste de Saer à Hébron
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L’occupation arrête un jeune palestinien lors de l’assaut des villes de Jénine
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Une délégation du Hamas rencontre le ministre égyptien du renseignement
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Les forces israéliennes arrêtent trois Palestiniens à Jénine
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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