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Flash info du 18 Rabi al Thani 1439.

Flash info du 18 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Appelez les gens à l’Islam de la meilleure façon.
Ibnou Hibbân a rapporté dans son SaHîH d’après Abôu Dharr, que Allâh l’agrée, qu’il a dit :Retour ligne automatique
« Mon Bien-aimé [MouHammad] m’a recommandé des comportements de bien. Il m’a recommandé de regarder celui qui a moins que moi et de ne pas regarder celui qui a plus que moi. Il m’a recommandé d’aimer les pauvres, de me rapprocher d’eux, et il m’a recommandé de dire la vérité même si elle est amère. Il m’a recommandé de maintenir les liens avec les gens de ma famille proche même s’ils ont pris des distances. ) »
Le bon comportement fait partie des obligations du musulman qui se doit d’emboîter les pas du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam).Retour ligne automatique
‘Aïcha que Allah l’agrée a dit dans la description du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) : « Il n’était pas vulgaire, il n’était pas indécent, il n’était pas de ceux qui levaient la voix dans les marchés et il ne répondait pas au mauvais acte par un mauvais acte mais il pardonnait » .Retour ligne automatique
Le messager de Allâh (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit : « Dieu accorde à ce qui est fait avec douceur ce qu’il n’accorde pas à ce qui est fait avec violence », [rapporté par Mouslim].Retour ligne automatique
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) nous enjoint de faire preuve de modestie, de ne pas être hautains face aux musulmans et non-musulmans. Donner une belle image de l’Islam et des musulmans afin d’éviter d’apporter de l’eau au moulin de nos détracteurs qui souhaitent noircir les cœurs par de fausses paroles.
Quel est donc le bon comportement avec lequel nous devons nous embellir ? Qu’est-ce qu’a dit `Abdou l-Lâh Ibnou Moubârak dans la description du bon comportement ? Il a dit : « C’est d’avoir les traits du visage souriants, de prodiguer du bien et de ne point nuire ».Retour ligne automatique
Une mission qui sera facilité en gardant en mémoire tous les bienfaits que Allah nous a accordés. Concernant les choses de ce bas-monde, portons notre regard sur ceux qui ont moins d’argent que nous, qui n’ont pas d’enfants, qui font face à plus d’épreuves, qui ont une maladie grave.Retour ligne automatique
Ceux qui ne se satisfont pas des bienfaits d’Allah vont œuvrer dans l’interdit pour obtenir plus de biens.
Notre Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) recommande de maintenir les liens avec ses proches même si ceux-ci ont pris leurs distances, car casser ce lien peut entraîner la dislocation de la communauté, en briser les liens fraternels que Allah ta’ala nous a incité de maintenir.Retour ligne automatique
Il convient de faire preuve de patience et d’indulgence envers les autres en encourageant à garder le bon chemin. Car la règle de base en Islam est la suivante : aider au bien est un bien et aider au péché est un péché donc aider à la mécréance est un mécréance.Retour ligne automatique
Allâh ta`âlâ dit : « Aidez-vous pour le bien et la piété et ne vous aider pas pour le péché et l’injustice » [sôurat al-mâ’idah ‘âyah 2].
Le bon comportement est un élément essentiel de l’Islam et un mauvais comportement condamnera irrémédiablement l’Islam à l’échec et reflétera une image négative aux yeux de tous.Retour ligne automatique
« Par la sagesse et la bonne exhortation appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur. Et discute avec eux de la meilleure façon . » (Sourate 16 ‘An-Nahl’ Ayah 125).

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Un faux héros de l’attentat de Manchester admet avoir volé des victimes au sol.
La vérité finit toujours par éclater, tôt ou tard, et c’est ce qui est arrivé à Chris Parker. Ce SDF britannique, épinglé au rang de héros après l’attentat de Manchester en mai 2017, a admis, mercredi 3 janvier devant la justice, avoir volé des victimes au sol.
Alors que la Grande-Bretagne était sous le coup de l’émotion, Chris Parker avait déclaré avoir secouru des personnes blessées par l’attentat survenu en plein concert. Il avait même affirmé qu’une femme avait rendu son dernier souffle dans ses bras.
« J’ai vu une petite fille…. elle n’avait plus de jambes. Je l’ai enveloppée dans un T-shirt et je lui ai demandé « où est ta maman et ton papa ? » Elle a répondu : « Mon papa est au travail et ma maman est là-haut » », racontait-il aussi à l’AP.
Très vite, une campagne de crowdfunding sur GoFundMe avait été lancée afin d’aider Chris Parker à sortir de la rue. Plus de 52 000 livres sterling (près de 60 000 euros) avaient alors été récoltés grâce à quelque 4 000 personnes touchées par son histoire.
Les caméras de surveillance, dont le contenu a été récemment dévoilé, disent autre chose. On y voit le SDF profiter du mauvais état de victimes pour faire leurs poches, sans se soucier de leur sort. Au moins deux femmes ont été victimes de ses agissements. Pour la justice, il a apporté une aide « très limitée » aux victimes mais en a surtout profité pour tirer avantage d’elles et commettre des vols.
Chris Parker, qui a plaidé coupable des chefs d’inculpation de vol et de fraude devant un tribunal de Manchester, a reconnu avoir volé le téléphone d’une victime ainsi que le sac et le portefeuille d’une mère de famille blessée, dont la fille de 14 ans était en train de mourir non loin d’elle. Il a d’ailleurs utilisé la carte bancaire peu après dans un fast-food de la ville.
Le verdict sera rendu le 30 janvier. Il a tout de même été placé en détention. Des donateurs, horrifiés par l’acte de Chris Parker, ont réclamé le remboursement de leurs dons. S’estimant flouée, l’une des personnes à l’origine de la campagne financière en faveur de Chris Parker a estimé auprès de The Independent que l’argent devrait être intégralement rendu aux donateurs. Par chance, les sommes récoltées n’ont jamais été versés au sans-abri.
Nigéria : un attentat contre une mosquée fait 14 morts.
Boko Haram continue de faire couler le sang au Nigéria. Un attentat-suicide contre une mosquée de Gamboru, située près de la frontière avec le Cameroun, a été perpétré mercredi 3 janvier, peu avant la première prière du matin.
L’attaque, attribuée au groupe terroriste, a fait au moins 14 morts et le bilan humain pourrait s’alourdir en découvrant d’éventuels autres corps sous les décombres du lieu de culte, qui a totalement détruit.
Abubakar Shekau, https://www.saphirnews.com/De-l-usage-du-takfir-la-controverse-de-Boko-Haram-avec-l-Etat-Islamique-en-Afrique-de-l-Ouest_a23073.html le chef historique du groupe terroriste a revendiqué l’attentat ainsi que d’autres attaques récentes à Damboa, à Gamboru et à Maiduguri.
Pour ses vœux du Nouvel an, le président nigérian Muhammadu Buhari a indiqué, lundi 1er janvier, que Boko Haram avait été « vaincu ». Le groupe terroriste continue pourtant de sévir dans le pays. Selon l’UNICEF, Boko Haram a forcé au moins 135 enfants à mener des attentats-suicides au Nigeria et au Cameroun, soit près de cinq fois plus qu’en 2016.
France : Des tags antisémites retrouvées devant des commerces de Créteil.
Des croix gammées ont été découvertes, dans la matinée du mercredi 3 janvier, sur la devanture de deux magasins vendant du casher, HyperCacher (à ne pas confondre avec celui de Vincennes, visé par l’attentat de janvier 2015) et Promo & Destock, de Créteil, dans le Val-de-Marne.
« Quand je suis arrivé, il y avait trois croix sur mes grilles et deux sur celles du voisin. C’était choquant », a fait part au Parisien le gérant de l’Hypercacher, qui indique que c’est la première fois qu’un tel acte se produit depuis son installation en 2009.
« Certains veulent créer des polémiques, ou importer le conflit israélo-palestinien. Ce que je constate, c’est que les communautés cohabitent très bien à Créteil. Je suis moi-même musulman et je vends du casher ici depuis bientôt dix ans », signale pour sa part le gérant de Promo & Destock.
Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb s’est exprimé « avec une profonde indignation » pour condamner « fermement » ces actes antisémites dans un communiqué, qui signale également des inscriptions antisémites sur la porte d’accès d’un immeuble du 14e arrondissement de Paris « dans lequel habitent des personnes de confession juive, directement visées ».
Il a adressé « son soutien aux résidents visés par cette attaque ainsi qu’à la communauté juive de France » et a appelé à ce que « que tout soit mis en œuvre pour identifier les auteurs afin qu’ils aient à en rendre compte devant la justice ».

Sur oumma.com, voici les titres, rien de neuf.

TV française: le débat sur l’islam et les musulmans au ras des pâquerettes !
En l’espace de deux décennies, le débat sur l’islam et les musulmans a atteint le niveau zéro, faisant les heures indigentes, propagandistes et pitoyables du petit écran.
Si autrefois, nous prenions plaisir à regarder les prestations d’islamologues de renom, arabisants distingués et dotés d’une immense culture, qui avaient en commun d’avoir consacré leur vie à la recherche, tels J. Berque, L. Massignon Eva de Vitray-Meyerovitch, M. Arkoun, il n’en va pas de même aujourd’hui…
A leur place, c’est un ramassis de propagandistes haineux, d’incultes, d’opportunistes, de carriéristes insignifiants intellectuellement, de marionnettes minables dont l’insondable bêtise fait injure aux citoyens français, d’experts autoproclamés de l’islam brillant par leur méconnaissance crasse du Texte, qui s’invitent dans les foyers en se donnant tristement en spectacle dans la vaste farce médiatique.
Loin de l’érudition et de l’éloquence admirables des grands intellectuels d’hier, qui avaient l’art d’élever le niveau du débat sur l’islam en révélant son vrai visage, les Zemmour, Finkielkraut, Chalghoumi ou encore Lydia Guirous, pour ne citer que ceux-là, ne savent qu’éructer de rage, semer la confusion dans les esprits, attiser l’islamophobie, ânonner de manière inintelligible ce qu’ils ont appris par cœur, et faire trembler dans les chaumières en prédisant l’apocalypse liée au péril vert. Cette vidéo montre l’écart vertigineux entre les débats d’hier et ceux d’aujourd’hui.
reportage a voir sur oumma.com.
Algérie : Alger : la violente répression contre une grève de médecins soulève l’indignation générale.
Une violente répression policière a fait plusieurs blessés graves à Alger, après avoir usé de la manière forte pour briser un sit-in observé par des médecins algériens au Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha Pacha, et contrecarrer leur marche protestataire contre leurs conditions de travail difficiles, affectés dans des régions isolées, sans considération aucune pour leur situation familiale.
Ces contestataires en blouse blanche souhaitaient « faire entendre leur voix » auprès des différents départements ministériels directement concernés par leurs récriminations, avec une détermination d’autant plus grande que la rencontre, mercredi dernier, entre leurs représentants et le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, s’est soldée par un échec.
Dénoncée vigoureusement par le Collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA), par le syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) et des partis politiques, dont le RCD et le FFS, cette démonstration de force désastreuse des forces anti-émeutes a été largement relayée sur les réseaux sociaux, où les images des médecins grévistes, le visage et la tête en sang, ont créé un vif émoi.
Des « blessures graves au niveau de la tête », dont des « traumatismes crâniens majeurs » et des « fractures diverses » ont soulevé l’indignation de plusieurs autres syndicats, praticiens de la santé exerçant dans différentes wilayas, ainsi que de nombreux responsables de partis politiques. Le bureau régional du CAMRA a même appelé à un sit-in dans la wilaya d’Oran, pour « rendre justice à tous ces blessés ».
Les images de ces médecins algériens tabassés sans retenue et se retrouvant aux urgences ont provoqué une forte onde de choc émotionnel, notamment au sein du syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) qui a exprimé sa « profonde inquiétude », accusant les autorités publiques « d’entretenir les conflits ». Le « sang qui a coulé aujourd’hui et entaché les blouses blanches est celui de tous les médecins algériens », se sont émus ses responsables, avant de déplorer vivement une « image honteuse de trop », un « dépassement intolérable et non justifié ».
De son côté, le syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires s’est dit « choqué par les brutalités policières » dont ont été victimes les médecins résidents, appelant les autorités à ce que le dialogue l’emporte sur la violence. Une violence contre le corps médical qui, pour beaucoup, représente une tache de honte sur le drapeau.
Dans un communiqué publié suite à cette répression, le CAMRA avait menacé de « suspendre le service minimum, y compris les services de gardes et des urgences », après l’arrestation de plusieurs grévistes. Ses responsables se sont finalement ravisés à l’annonce de la relaxe des 7 praticiens concernés, exigeant aussitôt de « rencontrer les hautes autorités ».
C’est désormais chose faite. A l’issue de leur réunion avec le ministre Mokhtar Hasbellaoui, ce dernier a indiqué que « les revendications des médecins résidents pour l’amélioration de leurs conditions de travail avaient été prises en compte, à travers la mise en place de mesures incitatives dans le cadre des lois en vigueur ». Peut-être faut-il y voir une sortie de crise qui se dessine dans la douleur…
Honteux : Les pays arabes figurent dans le classement mondial de la consommation d’alcool.
Proscrite par l’islam, rigoureusement interdite par les contrées musulmanes les plus conservatrices et faisant l’objet de réglementations très strictes dans celles qui le sont moins, c’est peu dire que l’on n’attendait pas les pays arabo-musulmans en général, et l’Arabie saoudite en particulier, dans le classement de la consommation d’alcool établi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Et pourtant, selon un état des lieux dressé en 2014, des effluves alcoolisées enivrantes s’échappent bel et bien de cette région du monde, sans doute sous le manteau, et contre toute attente, le royaume wahhabite, aussi rigoriste soit-il, se classe 5ème dans une hiérarchisation par ordre croissant.
Selon le rapport de l’OMS, l’homme moyen âgé de 15 ans ou plus consomme 6,2 litres d’alcool pur par an. Si l’on considère que moins de 40% de la population mondiale consomme effectivement de l’alcool, cela signifie que le buveur moyen consomme environ 17 litres par an.
A la lueur de ces chiffres, il est intéressant d’observer que si la plupart des pays arabes se situent nettement en dessous de la moyenne internationale, les buveurs recensés dans plusieurs d’entre eux se démarquent toutefois en frôlant cette même moyenne, voire en la faisant exploser… Un paradoxe pour le moins saisissant.
reportage a voir sur oumma.com.
France : Non conviée à la cérémonie des vœux du Président de la République, la Grande Mosquée de Paris se retire du CFCM.
C’est parce qu’elle n’a pas été conviée à la traditionnelle cérémonie des vœux du Président de la République aux autorités religieuses, à l’occasion du Nouvel An, que la Grande Mosquée de Paris a annoncé dans un communiqué (voir ci-dessous) son retrait “de toutes les instances du CFCM” et sa décision “de ne plus participer à toute initiative émanant des pouvoirs publics sur l’organisation du culte musulman”. Cette “mise à l’écart” a été qualifiée par la Grande Mosquée de Paris “d’injuste et inexplicable“.
La Grande Mosquée de Paris s’étonne que son Recteur n’ait pas été convié à la traditionnelle cérémonie des vœux du Président de la République aux autorités religieuses, à l’occasion du Nouvel An.
Il est surprenant que l’institution religieuse musulmane la plus emblématique de France, fruit d’une loi d’État pour manifester la reconnaissance de la Nation aux milliers de soldats musulmans morts pour la France durant la Première guerre mondiale, soit ainsi marginalisée voire ostracisée.
La Grande Mosquée de Paris, gardienne vigilante de l’islam du juste milieu depuis sa création en 1926, s’est résolument et activement engagée, malgré les hostilités et les risques encourus, pour l’intégration harmonieuse des citoyens de confession musulmane dans la République et pour leur dignité.
L’édification de l’islam de France, que l’État appelle de tous ses vœux, ne peut raisonnablement se faire sans la participation active et responsable de la Grande Mosquée de Paris qui a notamment contribué à la fondation et à la pérennisation du Conseil français du culte musulman (CFCM) en ne négligeant aucune sensibilité de l’islam en France.
Prenant acte de cette injuste et inexplicable mise à l’écart, la Grande Mosquée de Paris décide, par conséquent, de se retirer de toutes les instances du CFCM et de ne plus participer à toute initiative émanant des pouvoirs publics sur l’organisation du culte musulman.
Dr Dalil BOUBAKEUR.
Recteur de l’Institut Musulman
de la Grande Mosquée de Paris.
L’Iran annonce la fin de la “sédition”.
En Iran, des milliers de personnes ont défilé dans une dizaine de villes. Objectif, soutenir le régime et condamner les “troubles” qui agitent le pays depuis près d’une semaine. Le mouvement de protestation, appelé “troubles” est appuyé par Washington, selon Téhéran, et Donald Trump enfonce le clou dans un tweet : “Tellement de respect pour les Iraniens qui essayent de reprendre le contrôle sur leur gouvernement corrompu. Vous verrez en temps venu un grand soutien des Etats-Unis! ” D’autres manifestations sont prévues jeudi à Ispahan et Mashhad pour soutenir le pouvoir et condamner les violences des derniers jours. Les manifestants d’aujourd’hui crient leur soutien à leur guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei. Un peu plus tard, le chef des Gardiens de la révolution annonce “la fin de la sédition”.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, voici les titres.

Quand Facebook sous-traite la répression israélienne.
Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook, en présence de l’ancien président israélien décédé, Shimon Perès.
Le géant des réseaux sociaux aurait rencontré en septembre 2016 les autorités israéliennes qui sollicitaient une politique de fermeture des comptes de militants palestiniens au prétexte de lutter contre la violence. Un message qui semble avoir été entendu. Zoom.
« Une délégation de Facebook et le gouvernement israélien se sont rencontrés en septembre 2016. L’objectif de cette entrevue : pousser Facebook et les autres réseaux sociaux à censurer les posts incitant à la violence, et avant tout ceux des activistes palestiniens qui protestent contre l’occupation israélienne illégale depuis plusieurs décennies. » Révélée par The Guardian et The Intercept et relayée en France par le Muslim Post, l’information vient confirmer ce que beaucoup d’internautes avaient pu remarquer : les accointances manifestes entre Facebook et les autorités israéliennes, le premier ayant accepté de sous-traiter la censure répressive demandé par Tel Aviv. Dans les faits, cette collaboration s’est traduite par la fermeture nombreuse de comptes de militants ou d’organisation, politique ou informative, pro-palestinienne quand ceux d’internautes israéliens appelant au meurtre ou à la violence de Palestiniens étaient tolérés.
La ministre israélienne de la Justice, Ayelet Shaked, aurait elle-même reconnu avoir soumis 158 demandes à Facebook de fermeture. 95 % d’entre elles ont été validées.
Un simple message de résistance à l’occupation ou aux crimes commis par les soldats israéliens est assimilé à un appel à la violence justifiant la fermeture du compte. Selon les sources précédemment citées, la ministre israélienne de la Justice, Ayelet Shaked, aurait elle-même reconnu avoir soumis 158 demandes à Facebook de fermeture. 95 % d’entre elles ont été validées. D’après le Centre palestinien pour le développement et les libertés des médias (MADA), une vingtaine de comptes de journalistes, de militants ainsi que plusieurs pages ont été fermées. « Israël ne veut pas que l’histoire palestinienne des violations commises dans les territoires occupés atteigne une audience mondiale », a déclaré sur Al Jazeera, Musa Rimawi, le directeur du MADA, cité par le Muslim Post. On apprend également qu’une division militaire israélienne du renseignement a été affecté à la surveillance de ces comptes et de l’activité des réseaux pro-palestiniens.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres, rien de neuf.

Boukhara, cité d’islam.
Située sur la route de la soie en Ouzbékistan, Boukhara est avec ses plus de 2 000 ans l’une des plus vieilles cités du monde. Carrefour commercial sous les perses, elle devient au après conquête par les musulmans l’une des cités les plus reconnues de la civilisation islamique.
Avant que la ville ne s’islamise, Boukhara est d’abord prise par Ubayd Allah ibn Ziyad, gouverneur du Khorasan (vaste région d’Asie centrale) qui un peu plus de 50 ans après le début de l’Hégire (sous le règne de Mu’awiya) soumet la cité la laissant à son chef contre capitation. Mais le pouvoir califale ne se consolide sur Boukhara que sous al Walid ibn Abd al Malik devenu calife en 86 de l’Hégire (705). À ce moment, le fameux gouverneur de l’Iraq, al Hajjaj ibn Yusuf, place à la tête du Khorasan Qutayba ibn Muslim, à qui il est ordonné de reprendre Boukhara à son gouverneur. C’est chose faite en 91H (710). Boukhara tombée, l’autorité ommeyade y place un nommé Tougchada, un local qui se fera plus tard musulman. Qutayba y fait bâtir une première mosquée. Des premiers locaux se convertissent, l’islam se fait sa place.
De 261H à 389H (875-999), la ville devient la capitale de la dynastie persane vassale des Abbassides : les Samanides. La ville se développe sur tous les plans avant d’être prise par les Karakhanides, peuple turc et musulman (lointains cousins des Ouighours) détenteur d’un vaste royaume s’étendant là jusqu’à la Mongolie. Le Dar al Islam en plein trouble, la ville tombe en 635H (1238) dans les mains du conquérant du moment : Gengis Khan. Si l’homme y fait raser la ville et tuer ses gens, quelques édifices résistent à sa fougue, dont le minaret de Kalian. Subjugué par le bâtiment, il n’en touchera pas une brique. Descendant de Gengis Khan, Tamerlan fait plus tard rattacher la cité à son empire. Les Timourides suivants (l’astronome Ulugh Bek en sera l’un des plus fameux émirs) délaissent cependant la ville au profit de Samarkand. En 912H (1506), la dynastie des Chaybanides reprend Boukhara. Moins d’un siècle après, elle redevient un centre politique fort en étant la capitale du Khanat de Boukhara. Ce dernier va durer jusqu’en 1338H (1920), passant un temps sous tutelle perse. Cependant, la ville va peu à peu descendre du pied d’estale qui fut le sien, elle passe même sous protectorat russe en 1285H (1868) avant d’être finalement conquise par l’Armée rouge en 1338H (1920).
Au-delà de son prestige politique et de son activité économique longtemps florissante, Boukhara sera la cité de bien des hommes de sciences au cours de ses beaux siècles. Entre autres citons l’imam Ishaq ibn Rahawih et le poète Rudaki. Ibn Sina (Avicenne) ainsi qu’al Biruni naîtront pas loin et y vivront. Le premier est entre autre connu pour son Canon de la médecine, étudié alors dans les principales universités européennes ; al Biruni sera lui l’un des encyclopédistes majeurs du Moyen âge, excellant tant en physique qu’en pharmacopée. Mais le plus emblématique des doctes de Boukhara restera bien l’imam al Bukhari qui réalisera le recueil de hadiths le plus reconnu de l’Histoire.
Ce qui fait aussi la renommée de Boukhara, ce sont ses innombrables édifices. On en compte plus de 140 (les autres détruits lors de combats). Sous les Karakhanides fut entre autre édifié le minaret de Kalian cité plus haut, haut de 48 mètres et large de 9 mètres au sol, ayant longtemps servi tant à faire l’adhan qu’à y jeter de son sommet certains condamnés. Est au 12ème siècle chrétien aussi bâtie la mosquée Magoki Attari. Faites sur un ancien temple idolâtre, elle est aujourd’hui la plus ancienne mosquée d’Asie centrale encore debout. Aux Chaybanides on doit les ensembles de Poi-Kalyan et de Lyabi-Khauz, les madrasa Kosh et Gaukushon ; ou encore Taki Sarafon (la Coupole des changeurs) et Taki-Tilpak-Furushan (la Coupole des chapeliers). Il y a 4 siècles sort aussi de terre l’imposante madrasa Abdulazziz-Khan, l’un des plus majestueux bâtiment d’Asie centrale.
Les autres cités arabo-musulmanes que furent Bagdad, Courdoue, Kairouan ou Damas lui ayant fait beaucoup d’ombre, elle n’est souvent que peu mentionnée. Elle n’en est pourtant pas moins l’un des carrefours majeurs de la civilisation islamique comme l’une des plus belles villes du monde.
Nigéria : 14 fidèles tués dans un attentat suicide visant une mosquée.
Un homme s’est fait exploser peu avant la prière de l’aube mercredi au milieu des fidèles musulmans dans une mosquée de Gamboru, ville située à la frontière entre le Nigeria et le Cameroun.
Bilan de ce nouveau massacre que certains attribuent au groupe terroriste “Boko Haram” : 14 morts. La mosquée a été totalement détruite par l’explosion. Seul le muezzin a survécu et le bilan pourrait s’alourdir.
L’insurrection, qui ravage le nord-est du Nigeria, a fait plus de 20 000 morts et 2,6 millions de déplacés depuis 2009 et la région fait face à une très grave crise alimentaire et humanitaire.
Palestine : VIDÉO. Musab Tamimi (17 ans), premier martyr palestinien en 2018.
Les adieux émouvants des parents de cet adolescent palestinien assassiné ce mercredi par l’entité sioniste ont fait le tour des réseaux sociaux.
Puisse Allah accorder le paradis à Musab et tous les martyrs de Palestine et d’ailleurs.
reportage a voir sur des domes et des minarets.fr.
“Israël” va expulser tous les migrants Africains non-juifs.
Israël va expulser tous les migrants Africains non-juifs. Avant avril, Israël laisse le choix à 38 000 Africains : quitter le sol israélien pour retourner dans leurs pays en guerre, ou être emprisonnés.
Sachez, et c’est important, qu’Israël n’utilise ni le mot “migrants” et encore moins celui de “réfugiés” mais celui d’”infiltrés” (המסתננים) ou d’”envahisseurs” pour désigner les migrants Africains qui fuient la guerre, la dictature ou l’esclavage.
Si un pays européen faisait ça, cela aurait provoqué un scandale international. Quand la Hongrie applique durement sa politique migratoire, l’ensemble des médias européens de gauche et même de droite la diabolisent pour son traitement inhumain de personnes en situation de détresse. En revanche, le silence est assourdissant lorsqu’il s’agit d’Israël et de sa politique migratoire axée sur la religion et la race. Car en effet, un noir n’a de valeur en Israël que si il est juif. Si il ne l’est pas, il peut retourner se faire fusiller en Érythrée ou se faire vendre au marché d’esclaves en Libye ou dans le Sinaï.

Sur tribune lecteurs.com, voici les titres.

Ould Abbès à propos des interprétations faites autour de sa rencontre avec l’UGTA et le FCE : « Nous ne sommes pas des comploteurs «.
Par Assia Mekhennef :
Présidant sa réunion avec le Secrétaire général de L’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd et le Président du FCE, Ali Haddad ; Le Secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès a indiqué cette rencontre est venue pour débattre le sujet de la privatisation des entreprises. Dans une allocution prononcée, à cette occasion, Ould Abbès a précisé que les trois parties (FLN, UGTA, FCE) ont décidé de se réunir pour clarifier les interprétations faites par certains après l’annonce de la tenue de cette rencontre. Citant l’une de ces interprétations, Ould Abbès a tenu à expliquer qu’il ne s’agit pas d’une tentative de déstabilisation dirigée contre le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Et d’ajouter : » Le gouvernement est désigné par le président de la République et le FLN continuera à être toujours à ses côtés tant qu’il applique le programme du Président ». Djamel Ould Abbès a rassuré : « nous ne sommes pas des comploteurs ni des partisans des coups d’Etat contre le gouvernement ».
algerie : Permis biométrique et à points : C’est parti…
L’opération de délivrance du permis de conduire biométrique devrait être entamée dès la fin janvier en cours, permettant l’entrée en vigueur dès juillet prochain du système du permis à points, a indiqué hier le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), Ahmed Naït El-Hocine. « Nous avons eu un petit contretemps, mais la distribution des permis biométriques devrait avoir lieu dès la fin janvier en cours, alors que l’entrée en vigueur du système du permis à points interviendra à partir de juillet prochain », a affirmé le responsable sur les ondes de la radio nationale. Pour rappel, la confection du permis de conduire biométrique a été entamée en avril dernier alors que la mise en oeuvre de la nouvelle loi relative au permis de conduire à points devait entrer en vigueur fin 2017. Soulignant que le prototype du permis de conduire biométrique « est fin prêt » et que l’opération est en phase d’essais techniques, M. Naït El-Hocine a considéré que vu « l’ampleur de ce projet et sa complexité technique », ce « petit retard » dans sa mise en oeuvre est « insignifiant ».
R.N.
Le ministre des Finances l’affirme : L’argent de l’informel inconnu.
Par Amirouche El Hadi :
Le ministre des Finances est optimiste: Abderahmane Raouiya a affirmé, mardi, que les banques disposeraient de liquidités suffisantes pour alimenter l’Economie nationale. Il a surtout confirmé que le gouvernement, en dépit de la crise des recettes pétrolières et la hausse des importations, escompte un taux de croissance de 4% en 2018, même s’il n’écarte pas des tensions inflationnistes dont le taux sera en moyenne de 5,5%. Un taux assez élevé, même si le représentant du gouvernement ne le relève pas, se contentant d’affirmer, à la radio nationale, que « nous avons tenu compte de l’ensemble des éléments pour déterminer ce taux ». Quant au taux optimiste de 4% de croissance pour 2018, il a estimé qu’il permettrait « de mieux revoir l’année 2018 avec l’ensemble des secteurs, dont les services, qui devraient avoir un taux de croissance assez élevé ».
AEH.
Groupe Saïdal : Mohamed Nouas, nouveau Pdg.
Le ministère de l’Industrie et des mines a nommé Mohamed Nouas au poste de Pdg de Saidal en remplacement de Yacine Tounsi, apprend-on auprès de ce groupe pharmaceutique public. Le choix de M. Nouas, dont la cérémonie d’installation s’est tenue jeudi dernier au siège de Saidal, « a été fait pour assurer la continuité des activités de l’entreprise ainsi que par sa connaissance de son fonctionnement car ayant fait partie de ses cadres », explique la même source.
Solde d’hiver 2018 : Que d’affaires… à faire !
Par Imen Medjek :
La nouvelle année 2018 vient à peine de sonner, la période des ventes en soldes est arrivée, selon un communiqué du ministère du commerce l’ouverture démarrera prochainement à travers l’ensemble des wilayas et se déroulera durant la période allant de janvier à mars de l’année en cours.
La souveraineté de l’entité sioniste sur la Cisjordanie est une chimère : El Qods capitale éternelle de la Palestine.
Encore une fois, l’arrogance de l’entité sioniste fait parler d’elle. La récente adoption par la Knesset de la soi-disant « loi d’unification d’El-Qods » a soulevé le courroux de toute la communauté internationale et particulièrement celle de Palestine, car considérée comme un prolongement de la décision du président des États-Unis, Donald Trump, a déclaré mardi le secrétaire général du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), Saëb Erakat. Dans une déclaration à la radio officielle Voix de la Palestine, M. Erakat a déclaré que le « vote de la Knesset de l’entité sioniste sur cette loi et la décision du Likoud d’imposer une souveraineté israélienne en Cisjordanie sont la conséquence de la décision prise le 6 décembre dernier par M. Trump de considérer Jérusalem comme capitale l’entité sioniste ». Ces décisions s’inscrivent dans le cadre d’une nouvelle collaboration entre Etats-Unis et l’entité sioniste pour dicter leur solution et détruire le principe des deux Etats, a dénoncé M. Erakat, soulignant que le président Mahmoud Abbas avait présenté la stratégie palestinienne face à ces actes visant à liquider la cause palestinienne, ce qui implique la fin des divisions et le retour à l’unité du pays. Le responsable de l’OLP a souligné que cette direction repousserait toutes les tentatives américaines et de l’entité sioniste en s’efforçant d’obtenir une pleine adhésion de la Palestine aux Nations unies et en saisissant le Conseil de sécurité de l’ONU, la Cour de justice internationale et la Cour pénale internationale pour s’opposer à ces plans destinés à liquider le projet national palestinien. « L’actuelle administration des Etats-Unis a repris les positions de l’occupation par l’entité sioniste et adopté une approche différente des positions des administrations américaines précédentes, qui étaient engagées à une solution à deux Etats depuis des dizaines d’années », a souligné M. Erakat. La présidence palestinienne a déclaré aujourd’hui à l’AFP que Jérusalem n’était « pas à vendre », en réaction à la menace de Donald Trump de supprimer l’aide financière américaine de 300 millions de dollars si les Palestiniens refusent de négocier avec l’entité sioniste. « Jérusalem est la capitale éternelle de l’Etat de Palestine et n’est pas à vendre pour de l’or ou des milliards », a affirmé à l’AFP Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence, en référence au refus palestinien de reprendre des négociations après la reconnaissance par Washington de la Ville sainte comme capitale de l’entité sioniste. « El-Qods est la capitale éternelle de l’Etat de Palestine et n’est pas à vendre pour de l’or ou des milliards », a affirmé à l’AFP Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence, en référence au refus palestinien de reprendre des négociations après la reconnaissance par Washington de la Ville sainte comme capitale d’Israël. L’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a promis mardi d’agir contre le vote du Parlement israélien sur le statut d’El-Qods occupée, a rapporté la radio officielle La Voix de la Palestine. « Cela fait partie de la nouvelle entente israéloaméricaine visant à détruire le principe des deux Etats » après que le président américain Donald Trump ait considéré El- Qods comme la capitale de l’entité sioniste, a déclaré Saëb Eraekat, le secrétaire général de l’OLP. Les dirigeants palestiniens sont déterminés à faire face à « toutes les tentatives américaines et de l’entité sioniste en agissant pour obtenir le statut d’Etat membre de l’ONU et pour entrer au Conseil de sécurité des Nations -Unies, à la Cour internationale de justice et à la Cour pénale internationale ». M. Eraekat a également déclaré que le président palestinien Mahmoud Abbas avait défini une stratégie, dont l’élément « le plus important est de mettre fin à la division et de rétablir l’unité de la patrie ». Selon lui, les Palestiniens ont eu 36 réunions avec l’administration américaine dans l’espoir de relancer un processus de paix sérieux. « Mais les Américains ont violé tous leurs engagements » et M. Abbas a réagi en déclarant que l’administration Trump « ne fait plus partie de la solution, mais fait partie du problème », a déclaré Saëb Erakat.
Rabah Karali/Agences.
91 terroristes abattus et 40 arrêtés en 2017 : L’ANP veille au grain.
Les forces de l’Armée nationale populaire (ANP) ont abattu en 2017 quatre- vingt et onze (91) terroristes et arrêté quarante (40) autres, dont 5 femmes, indique mardi un bilan annuel du ministère de la Défense nationale (MDN). Dans le cadre de la lutte antiterroriste, les forces de l’ANP ont abattu au cours de l’année 2017, quatre-vingt et onze (91) terroristes et arrêté quarante (40) autres, dont 5 femmes, précise la même source qui fait état de la découverte de 6 cadavres. Le même bilan révèle la reddition de 30 terroristes durant la même année et l’arrestation de 212 éléments de soutien aux groupes terroristes ainsi que 11 trafiquants d’armes. Par ailleurs, la même source évoque également la destruction de 408 refuges et casemates de groupes terroristes, 9 ateliers de fabrication d’armes, ainsi que la saisie de 42.4 quintaux de matières chimiques destinées à la fabrication d’explosifs. Dans le même contexte, les forces de l’ANP ont récupéré un important arsenal d’armes, constitué de 02 canons SPG-9, 17 canons artificiels, 05 mortiers Hawn, 10 lance-roquettes de type PRG-7 6 roquettes RPG-2, ainsi que de 581 obus. Le bilan fait état aussi de la récupération de 286 armes de type Kalachnikov, 64 fusils semi-automatiques de type Siminov, 25 pistolets automatiques, 08 mitrailleuses calibre 14.5 mm, 08 autres mitrailleuses calibre 12.7 mm, 19 fusils- mitrailleurs FMPK, 4 fusils à lunette, 32 fusils à pompe, 1 fusil de type carabine US et de 114 fusils de fabrication artisanale. Ces opérations se sont soldées en outre par la saisie de 257 chargeurs, 53 caisses de munitions, 38 bandes à munitions et de 179369 balles de différents calibres, ainsi que par la destruction de 160 mines, indique le même bilan.
I.H.
Arabie Saoudite, Etats-Unis et France au banc des accusés : Les réseaux sociaux, nouvelle arme contre l’Iran.
La nuit de mardi à mercredi a connu un calme précaire à Téhéran, toutefois un déploiement policier était aussi moins visible que les jours précédents, ont constaté des journalistes sur place. Mais la tension est toujours perceptible au niveau de plusieurs autres villes iraniennes, suite aux évènements tragiques qui ont secoué ces derniers jours le pays, des dizaines de milliers de manifestants pro-régime se sont rassemblés hier pour condamner les « troubles » qui ont agité le pays ces derniers jours, selon des images diffusées en direct par la télévision d’Etat. Par le truchement de pancartes dénonçant les « fauteurs de troubles », les manifestants ont scandé des slogans en faveur du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, mais aussi « mort à l’Amérique », « mort à Israël » et « mort aux Monafegh », terme qui désigne les Moudjahidines du peuple dans la bouche des autorités. La télévision a diffusé en direct des images de manifestations massives dans les villes d’Ahvaz (sud-ouest), Arak (centre), Ilam (ouest), Gorgan (nord), et Kermanshah (ouest) notamment. Par ailleurs des soupçons pèsent notamment sur des pays qui cherchent par le biais des réseaux sociaux » d’attiser le feu » pour comploter contre le régime en place. Il s’agit bien évidemment de l’entité sioniste, des Etats-Unis, de la France et L’Arabie Saoudite qui sont mis sur le banc des accusés par les autorités Iraniennes. Du coup, le président iranien Hassan Rohani a demandé avant-hier à son homologue français Emmanuel Macron de prendre des mesures contre les activités d’un « groupe terroriste » iranien basé en France et impliqué selon lui dans les récentes manifestations en Iran, a rapporté la télévision d’Etat. » Nous critiquons le fait qu’un groupe terroriste ait une base en France et agisse contre le peuple iranien et encourage la violence. Nous attendons du gouvernement français qu’il agisse contre ce groupuscule terroriste », a déclaré le président iranien lors d’une conversation téléphonique, dans une claire allusion aux Moudjahidine du peuple. Par ailleurs, de son côté le général Rassoul Sanaïrad, l’adjoint politique du chef des Gardiens de la révolution, a affirmé mardi que le groupe Moudjahidine du peuple « avait été chargé par les Al- Saoud (la dynastie qui règne sur l’Arabie saoudite) et certains pays européens de créer de l’insécurité », selon l’agence Tasnim.Enfin, le vice-gouverneur de Téhéran a affirmé qu’aucun incident n’avait été signalé mardi soir à Téhéran, selon l’agence Isna.
Rabah Karali.
Séisme de magnitude 5 à Blida : Nuit de panique dans le centre du pays.
Un tremblement de terre d’une magnitude 5,0 sur l’échelle de Richter a eu lieu mardi soir à 21h59 dans la wilaya de Blida. L’épicentre a été localisé à 4 km au sud-ouest d’Oued-Djer, selon le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG). Ce séisme a été ressenti dans les wilayas voisines (Alger, Boumerdes, Tizi-Ouzou et Aïn Defla). Selon les services de la Protection civile de la wilaya, 02 personnes blessés ont été enregistrées suite à des mouvements de panique après la secousse, traité sur place, puis évacuées vers l’hôpital d’El Afroune. Et Ain Defla, un effondrement partiel d’un faux plafond d’une habitation construite en » toub » à la cité El Nessissa, aucune victime n’est à déplorer. » Après reconnaissance par nos équipes, aucune victime ni dégâts matériels n’ont été enregistrés », a précisé le colonel Achour Farouk, qui a fait état de citoyens paniqués, sortis dans la rue par crainte d’éventuelles répliques.Pour ce qui est du dernier bilan suite à cette secousse, les unités ont enregistrés Par ailleurs, le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) a indiqué dans un communiqué qu’une secousse tellurique de 3,4 degrés sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistrée mercredi à 01H23 dans la wilaya de Blida, l’épicentre de cette secousse a été localisé à 3 km au Sud de Oued-Djer, (wilaya de Blida), précise la même source. La secousse a été suivie par une autre réplique de 3,2 degrés sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistrée à 07H08 dans la même région.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Nigeria : un attentat-suicide dans une mosquée fait au moins 14 morts.
Iran : la fin de la « sédition » selon le régime.
Guerre au Yémen : la Norvège bloque les livraisons d’armes aux Emirats.
L’aide de Facebook à l’occupation israélienne.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres,.

L’adolescente Ahed Tamimi pourrait devoir affronter des années dans une prison israélienne.
L’armée israélienne a enregistré 12 chefs d’accusation contre l’adolescente palestinienne Ahed Tamimi.
Cette jeune fille de 16 ans, qui a été filmée le mois dernier dans son village natal dans un affrontement avec des soldats, pourrait rester dans les prisons israéliennes pendant des années si elle était reconnue coupable d’accusations comme avoir jeté des pierres, incitation, et agression et menaces contre un soldat.
Les tribunaux militaires israéliens sont connus pour leur taux de condamnation proche des 100 % envers les Palestiniens.
Dans une interview de la semaine dernière avec The Real News, le père d’Ahed, Bassem Tamimi, a raconté l’arrestation de sa fille le 19 décembre au cours d’un raid nocturne sur la maison de la famille en Cisjordanie occupée.
Il a aussi répété son affirmation comme quoi l’un des soldats, dont on accuse Ahed de l’avoir « agressé », avait auparavant gravement blessé par un tir dans la tête le cousin d’Ahed âgé de 15 ans, Muhammad Fadel Tamimi.
Ahed et sa cousine Nour ont essayé de faire sortir deux soldats israéliens de la propriété familiale.
On a vu aussi dans une vidéo Ahed gifler et repousser légèrement l’un des hommes armés.
Ahed, Nour et la mère d’Ahed, Nariman, ont toutes été arrêtées par l’armée après que la vidéo ait circulé parmi des appels de leaders israéliens réclamant vengeance contre la famille.
Ahed est l’une des plus de 300 enfants palestiniens actuellement en détention dans les prisons militaires israéliennes.
Nariman fait également face à des accusations « d’incitation » pour avoir diffusé l’incident en direct.
Nour, 20 ans, devait être libérée lundi, mais a elle aussi été accusée lundi d’agression aggravée et d’entrave aux devoirs d’un soldat.
D’après son père Naji Tamimi, elle est restée en prison après un appel contre sa relaxe par le procureur militaire israélien.
Dans un post mardi sur Facebook, Naji Tamimi a dit qu’il comptait sur une autre audience sur son cas dans les jours qui viennent.
La famille Tamimi est maintenant bien connue pour son rôle dans la résistance civile de Nabi Saleh contre l’occupation et la colonisation israéliennes, campagne qui a coûté la vie et la liberté à beaucoup de villageois à cause de la violente réaction d’Israël.
La tante d’Ahed, Manal Tamimi, a été arrêtée le 28 décembre alors qu’elle manifestait près d’une prison militaire israélienne :
Selon un membre de la famille, Bilal Tamimi, elle devait être libérée mardi si les procureurs militaires israéliens ne s’y opposaient pas.
Aucune solidarité de la part des féministes occidentaux.
Ahed est devenue le centre de l’attention et de la solidarité internationales et, pour beaucoup, une icône de la résistance, depuis que les forces d’occupation israéliennes l’ont arrachée de chez elle.
Depuis son plus jeune âge, Ahed a participé a la défense de son village et de sa maison contre les soldats israéliens.
Cependant, la solidarité a été sélective. « Il y a eu un curieux manque de soutien de la part des associations féministes occidentales, des défenseurs des droits de l’Homme et des responsables publics qui se présentent par ailleurs comme pourvoyeurs des droits de l’Homme et champions de l’émancipation des filles », fait observer Shenila Khoja-Moolji, chercheuse spécialiste du genre, dans un commentaire pour AlJazeera.
Le silence est d’autant plus frappant depuis que Ben Caspit, éminent journaliste israélien, a déclaré que l’armée devrait « faire payer le prix » aux femmes Tamimi « dans le noir, sans témoins ni caméras ».
Le commentaire de Caspit a été largement interprété comme suggérant que ces femmes devraient être agressées sexuellement, bien qu’il l’ait catégoriquement nié.
Comme la gagnante du prix Nobel militante de l’éducation Malala Yousafzai, Ahed a une longue histoire de lutte contre l’injustice, note Khoja-Moolji, mais, à la différence de Malala, Ahed attend encore de recevoir des invitations à rencontrer les dirigeants mondiaux, dont Barack Obama, ou à s’adresser aux Nations Unies.
Au contraire, l’année dernière, Ahed a été interdite de voyage aux Etats Unis pour parler des injustices subies par les Palestiniens.
Son père Bassem, dont Amnesty International avait précédemment déclaré que c’était un prisonnier de conscience, n’a lui non plus pas eu de visa pour aller parler en Australie.
Punition collective.
Les détentions des Tamimi ont eu lieu dans une vague de presque 600 arrestations de Palestiniens par les forces d’occupation israéliennes depuis que le président américain Donald Trump a reconnu le 6 décembre Jérusalem comme la capitale d’Israël.
Plus de 450 Palestiniens sont actuellement détenus sans charges ni procès – selon la dite détention administrative qui peut être indéfiniment renouvelée.
La semaine dernière, les tribunaux militaires israéliens ont confirmé ou renouvelé des ordres de détention administrative contre 41 détenus palestiniens.
Parmi ceux dont les ordres ont été renouvelés se trouve l’éminente dirigeante de gauche et membre du Conseil Législatif palestinien, Khalida Jarrar, qui a été très récemment arrêtée en juillet.
Les forces d’occupation israéliennes ont arrêté lundi Nasser Abdel-Jawad, autre législateur palestinien, au cours d’un raid en fin de nuit chez lui dans le village de Deir Ballut en Cisjordanie, selon l’association de solidarité avec les prisonniers Samidoun.
Son arrestation a porté à 12 le nombre de législateurs palestiniens détenus par Israël, dont neuf sans charges ni procès.
Les Palestiniens continuent à résister à leur emprisonnement. Rizk Rajoub, 61 ans, a entamé le 23 décembre une grève de la faim illimitée lorsque le tribunal militaire israélien l’a fait choisir entre la détention administrative et un exil au Soudan, selon Samidoun.
Rajoub a passé environ 20 ans dans les prisons israéliennes, dont 10 en détention administrative. Son arrestation la plus récente dans son village de Dura a eu lieu en novembre.
Samidoun a également évoqué le cas de la Palestinienne Israa Jaabis, 32 ans, qui a été condamnée à 11 ans de prison le 7 novembre par un tribunal israélien de Jérusalem.
Jaabis, de Jérusalem Est occupée, a subi de graves brûlures et a perdu presque tous ses doigts après qu’une bonbonne de gaz ait mis le feu à sa voiture en octobre 2015. On l’a alors accusée de vouloir faire exploser sa voiture alors qu’elle était à des centaines de mètres du checkpoint israélien.
Sa famille a démenti cette prétention avec véhémence, déclarant que Jaabis déménageait dans un nouvel appartement et qu’elle transportait des meubles depuis plusieurs jours, dont la bonbonne de gaz lorsqu’elle a explosé.
Les utilisateurs de Twitter se sont servi du hashtag #FreeIsraa pour montrer leur soutien à Jaabis qui, selon Samidoun, ne reçoit pas de traitement médical approprié en prison.
L’enfant détenue de 16 ans, Marah al-Jaidi, a été libérée lundi par Israël.
Elle a passé un an en prison, accusée d’être en possession d’un couteau et d’avoir l’intention de s’en servir contre les soldats d’occupation.
Les médias palestiniens ont fait circuler des photos de la famille de Marah l’accueillant à sa libération :
Après sa libération, Marah a parlé aux médias locaux des difficiles conditions imposées aux femmes et aux filles dans les prisons israéliennes et a exhorté à les soutenir.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : The Electronic Intifada.
 

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Décembre : 4 morts, des milliers de blessés et 700 détenus
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La Cisjordanie et Jérusalem ont été témoins, en Décembre dernier, de nombreuses violations sionistes, y compris des raids et des incursions dans certaines régions, la mort et l’arrestation des centaines de personnes, en plus de la confiscation de la plupart des fonds et des biens et la fermeture des zones, des routes et des institutions.
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909 violations contre les journalistes en 2017
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Les agriculteurs de Salfit craignent de perdre le reste de leurs terres
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60 colons prennent d’assaut Al-Aqsa sous la garde de la police israélienne
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Le Club des Prisonniers : La loi sur l’exécution des prisonniers est un nouveau crime contre les palestiniens
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L’UE condamne la loi de la peine de mort des Palestiniens
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Des civils arrêtés et des maisons saccagées en Cisjordanie par les forces de l’occupation
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Al-Arouri : l’occupant vit en paix en Cisjordanie à cause de l’interdiction de la résistance
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L’OLP invite le Hamas et le Jihad à la réunion de son Comité central
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Egypte: La loi israélienne sur Jérusalem viole la légitimité internationale
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10 blessés lors d’affrontement au camp Dheicheh
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Nasrallah: La décision de Trump signifie la fin d’Israël
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Bombardement aérien israélien sur des terres agricoles à l’est de Rafah
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Nikki Haley réunit les pays ayant soutenu les états Unis lors du vote sur Jérusalem à l’ONU
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Trois roquettes tirées depuis la bande de Gaza s’abat dans le sud des territoires occupés, prétend l’occupation
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L’occupation arrête deux palestiniens de Jénine sur des points de contrôle militaires
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Ces stars du ballon rond que l’on rencontre à La Mecque.
Malgré leurs salaires exorbitants, certains footballeurs restent très proches de leur religion, ou d’autres la rejoignent au terme d’une récente reconversion.
Quelles que soient les circonstances de leur piété, nombreux sont les footballeurs qui accomplissent le pèlerinage afin de s’acquitter d’un important pilier de notre Noble religion, l’Islam.
Il y a quelques années, Franck Ribéry et Karim Benzema ont affirmé leur croyance en Allah soubhanou wa ta’ala, en se laissant photographier lors de leur pèlerinage à la Mecque.
Depuis, d’autres footballeurs n’hésitent pas à faire partager leur joie de se trouver dans la demeure sainte de Notre Créateur soubhanou wa ta’ala.
En 2016, une photographie du footballeur Mesut Özil fait fureur sur le web et dans la presse allemande, sur laquelle on le voit poser drapé de blanc devant la Kaaba, dans la ville sainte islamique de la Mecque.
Puis, cette année en 2017 Paul Pogba a adressé ses voeux pour la fin du Ramadan en postant une photo sur les réseaux sociaux où il posait fièrement à La Mecque.
Encore il y a quelques jours, le joueur allemand d’origine albanaise, Mërgim Mavraj a posté un selfie de lui au beau milieu de Mekkah en ajoutant comme commentaire « A Look more than a Million words #ohlilienohlilienohlilien #makkah #mekka # · The Best Place on Earth ‼ #makkah #mekka #islamispeace #prayforpeace ».
Ces footballeurs musulmans témoignent que la pratique d’un sport à haut niveau ou la célébrité ne sont pas incompatibles avec l’accomplissement des obligations religieuses.
Une donation datant du Prophète (saws) permet la construction d’un hôtel à Médine.
Othman ibn Affan est le troisième Calife de l’Islam, il est l’un des dix compagnons du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) auxquels leur entrée au paradis a été assurée de leur vivant. Riche commerçant mecquois, Othman ibn Affan a régulièrement démontré sa générosité et son amour de l’Islam.
Il dépensa 1.000 dinars d’or pour équiper l’armée que le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) avait mise sur pied contre les Romains lors de la campagne de Tabuk. Une aide qui arrivait à point nommé au moment où les musulmans vivent des conditions très difficiles.
Othman ibn Affan a eu à de nombreuses reprises l’occasion de prouver sa piété à ses frères en Islam. Le puits d’eau connu sous le nom de Bi’r Roma appartenait à un juif qui vendait l’eau au prix fort aux musulmans de Médine. Une situation que déploraient ces derniers qui vinrent s’en plaindre au Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam). Celui-ci déclara : « Qui achètera ce puits et accedera ainsi au Paradis ? »
N’écoutant que sa bonté, Othman se proposa d’acheter le puits, mais vu les sommes dont il tirait de la vente d’eau, le propriétaire refusa de le vendre. Devant l’insistance de Othman, le propriétaire décida de céder la moitié du puits, l’exploitation en revenant alternativement aux deux co-propriétaires : un jour pour Othman et un jour pour le juif. Une transaction conclue pour la somme de 12.000 dirhams d’argent.
Une fois l’accord entériné, Othman annonça qu’il faisait don de sa part d’eau à la communauté musulmane. Le jour affecté à Othman, tous les médinois vinrent puiser gratuitement autant d’eau qu’ils le souhaitaient et personne ne vint le lendemain. Le juif dépité vint alors trouver Othman pour lui proposer de lui vendre l’autre moitié du puits, une offre qu’Othman s’est empressé d’accepter. Bien sûr il fit don de toute l’eau du puits Bi’r Roma aux musulmans.
Après cela, les palmiers dattiers se sont multipliés aux alentours du puits et les dirigeants musulmans successifs se chargèrent de l’entretien de la palmeraie et de la commercialisation des dattes.
Gérée par le ministère de l’Agriculture, la palmeraie engendre d’énormes bénéfices dont la moitié est affectée aux pauvres et aux orphelins, tandis que l’autre moitié est versée sur un compte bancaire au nom d’Othman ibn Affan géré par le ministère des Awqaf. Le Waqf désigne en Islam une donation faite à perpétuité au profit d’une fondation créée dans un but pieux ou d’utilité publique.
Le cumul des sommes versées sur le compte a atteint aujourd’hui un tel niveau que le ministère des Awqaf a décidé d’investir dans un projet hôtelier à proximité de la Mosquée du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) à Médine.
La construction de l’hôtel en est à sa phase finale, le bâtiment doit être loué à l’une des principales entreprises hôtelières 5 étoiles. Il devrait générer des revenus de 50 millions de riyals (10 millions d’euros) par an, dont la moitié sera distribuée aux orphelins et aux pauvres et l’autre moitié recueillie sur le compte bancaire « Othman ibn Affan ».
Le devoir du musulman célibataire en Islam.
Le célibat est un des fléaux de ce monde, il touche aussi bien les hommes que les femmes. Certains musulmans se marient à un âge très avancé alors que le mariage reste l’un des plus grands objectifs de l’Islam.
Les nombreux hadiths à ce sujet nous prouvent que l’union légitime entre un homme et une femme n’est pas seulement conseillée mais elle est une obligation pour tout musulman pratiquant.
A notre époque, le mariage est mis à mal par la mécréance qui s’est propagée à travers le monde, faisant de ce moment important de la vie, un obstacle à une vie faite de débauche.
La propagation du célibat au sein de la Oumma, pousse à l’éloignement de la religion et des valeurs familiales.
Certaines femmes ne recherchent plus que la situation économique du prétendant faisant abstraction de sa foi, de sa fidélité et de sa loyauté. Même constat pour les hommes qui se sont transformés en prédateurs recherchant la proie facile qu’ils pourront aussitôt échanger contre une autre tout aussi fragile dans le seul but d’assouvir leurs bas instincts.
Le mariage est l’un des objectifs les plus importants de l’Islam et notre Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) a fortement insisté à ce propos :
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) dit : « Deux rak‘ah de Prière accomplies par un homme marié valent mieux que toutes les Prières accomplies par un célibataire qui passe la nuit en priant et le jour en jeûnant ». (Makârim al-Akhlâq, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 197).
Le Messager d’Allah (sallAllahou ’alayhi wa salam) dit : « Il n’est pas une institution établie en Islam, qui soit plus aimée d’Allah que le mariage » et « Quiconque a les moyens de se marier et ne le fait pas, n’est pas des nôtres . »(Makârim al-Akhlâq”, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 196).
Se marier préserve de la fornication comme nous l’a enseigné notre Prophète (Salla Allah alayhi wa salam) : « O jeune ! Marie-toi, et gare-toi de l’adultère, car elle arrache la foi de ton cœur ! » (Makârim al-Akhlâq”, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 196).
Le musulman célibataire a pour obligation de rester chaste et de baisser le regard sur ce qui pourrait l’inciter aux mauvaises pensées.
Le Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) a dit dans un hadith authentique : « Ô jeunes gens ! Quiconque parmi vous possède la capacité physique et les moyens financiers nécessaires au mariage, qu’il se marie.
Certes, le mariage est plus enclin à protéger contre les regards lascifs et à préserver la chasteté.
Quant à celui qui n’en possède pas les moyens, qu’il jeûne, car le jeûne le protégera contre la tentation . » (Rapporté par al-Bukhari n°1905 et Muslim n°1400).
Qu’Allâh nous accorde la réussite et que les prières et le salut soient sur notre Prophète Mohammad, (sallAllahou ’alayhi wa salam) ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Iran : neuf morts dans une nouvelle nuit de manifestations. VIDEO.
Les manifestations en Iran ne faiblissent pas alors que le pouvoir des mollahs promet de dialoguer. De nouvelles victimes sont à déclarer après les nouvelles manifestations qui ont eu lieu dans le pays.
Les principaux canaux d’expression de la jeunesse ont été bloqués par le pouvoir comme Instagram et Telegram. Deux applications qui sont utilisés par la population locale.
Le président a indiqué qu’un dialogue allait être établi afin de répondre aux demandes des manifestants qui se plaignent de l’augmentation des prix. La situation risque à tout moment d’éclater dans un pays qui a déjà connu d’importantes manifestants il y a quelques années pour des questions similaires liées aux libertés et au coût de la vie.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Un tweet de Donald Trump provoque un conflit diplomatique entre Washington et Islamabad.
Les services américains n’ont toujours pas réussi à interdire Twitter à Donald Trump. Le président américain , connu pour ses petites phrases ravageuse sur le réseau social, s’en est pris au Pakistan l’accusant de connivence avec Al Qaïda.
Le torchon brûle entre Islamabad et Washington après que le président américain est accusé le Pakistan ” d’accueillir les terroristes” que les Etats-Unis traquent en Afghanistan. Des accusations qui ont provoqué la colère des dirigeants pakistanais qui ont de suite répondu en convoquant l’ambassadeur américain sur place.
Depuis des décennies, le Pakistan est dans la ligne de mire des Etats-Unis. Après le 11 Septembre 2001 et depuis la guerre en Afghanistan, le Pakistan sert de base logistique à la première armée du monde. Malgré cette coopération, lslamabad est accusé de jouer un double jeu et un numéro d’équilibriste entre les talibans, Al Qaeda et les Etats-Unis.
Le tweet de Donald Trump, visiblement informé par les services de renseignements américains, risque d’entraîner une nouvelle période de trouble entre les deux pays.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Kim Jong-un rappelle aux USA que le “bouton nucléaire est sur son bureau”. VIDEO.
Lors de son discours à l’occasion du nouvel an, Kim Jong-un a appelé son pays à continuer de travailler sur la production d’armes capables de répondre aux menaces des Etats-Unis. Il a indiqué souhaité engager un dialogue avec la Corée du Sud.
Malgré les menaces de Donald Trump, Kim Jong-un continue à tenir un discours anti-américain et à indiqué qu’il est prêt à faire usage de l’arme nucléaire si les USA venaient à attaquer la Corée du Nord.
Depuis plusieurs années, la Corée du Nord travaille sur la création d’une bombe nucléaire et des missiles balistiques capables d’atteindre n’importe quel pays dans le monde. Depuis quelques semaines, les choses se sont accélérées puisque que certains experts occidentaux craignent que Kim Jong-un ait finalement réussi à produire des bombes nucléaires et autres missiles longues portées.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Yémen : après 1000 jours de conflit, la population vit entre les bombardements, la famine et les épidémies. VIDEO.
Les images filmées mardi à Sanaa, la capitale yéménite, montrent la crise humanitaire en cours dans ce pays déchiré par la guerre après 1000 jours de conflit.
Les Yéménites qui ont fui la frontière saoudienne à Sanaa après des frappes aériennes, des pénuries alimentaires et des épidémies sont contraints de vivre dans des conditions déplorables, révèle le reportage.
La coalition dirigée par l’Arabie Saoudite a intensifié ses bombardements suite à la mort de l’ex-président Abdallah Saleh. Les houthis chiites soutenus par l’Iran ont pris le contrôle total de la capitale après de violents combats contre les proches de Saleh.
Plusieurs ONG ont averti d’une crise humanitaire majeure où des épidémies importantes se sont déclarées tuant en premier lieu les enfants et les personnes âgées.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Un homme de ménage indien trouve un sac rempli de bijoux et le remet à la police.
C’était un jour ordinaire, à Dubaï, pour Vinak Motabatolal, quand il trébucha sur un vrai trésor… Attiré par l’éclat de sa trouvaille, l’homme de ménage indien ouvrit le sac rempli de bijoux et diamants étincelants. Emerveillé mais foncièrement intègre, il s’est empressé de remettre sa découverte aux policiers du luxuriant émirat du golfe Persique. D’une valeur de 200 000 dirhams EAU (45 000 euros), ce sac brillant de mille feux a changé la vie de Vinak Motabatolal.Il l’a fait passer de l’ombre à la lumière, en récompense de son honnêteté célébrée par les autorités locales. Félicité par le chef de la police qui lui a offert un cadeau et décerné un certificat de bonne conduite, Vinak Motabatolal est passé du statut de sans-grade à celui de héros ordinaire, au pays du tourisme de luxe.
reportage a voir sur oumma.com.
Trump menace de couper l’aide financière à la Palestine.
Le président américain estime que son pays débourse des millions de dollars par an sans reconnaissance ou respect. Ajoutant que « puisque les Palestiniens n’étaient plus disposés à parler de paix, pourquoi les Etats-Unis devraient-ils leur verser des paiements massifs à l’avenir ? »
Hanan Ashrawi, membre du comité exécutif de l’Organisation de Libération de la Palestine, affirme que les Palestiniens ne céderont pas au chantage de Trump qui ose les accuser des conséquences de ses actes irresponsables. Faisant référence à la décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. En 2016, les Etats-Unis ont versé 319 millions de dollars d’aide aux Palestiniens via leur agence de développement, plus 304 millions donnés au programme de l’ONU dans les territoires palestiniens.
reportage a voir sur oumma.com.
Algérie : l’abandon subi par des femmes atteintes d’un cancer du sein de la part de leur mari.
Comme si l’épreuve du cancer du sein n’était pas suffisamment traumatisante, le rejet dont sont victimes des centaines de femmes algériennes, frappées durement par la maladie, de la part de leur époux est une source supplémentaire d’accablement, les laissant seules, humiliées et désemparées au moment où elles auraient le plus besoin d’être entourées.
Profondément douloureux, ce phénomène de l’abandon par des conjoints dénués de la moindre empathie à l’égard de leur moitié meurtrie dans leur chair et leur âme, reniant sans l’ombre d’une hésitation les grands principes islamiques de respect, de soutien et assistance que se doivent mutuellement les époux, prend une ampleur aussi inquiétante qu’affligeante en Algérie.
« Des centaines d’Algériennes sont abandonnées par leur mari après un cancer du sein », se désole Samia Gasmi, présidente de l’association Nour doha qui vient en aide aux hommes et aux femmes atteints du mal du siècle. « Elles sont rejetées au moment où elles doivent affronter le traumatisme de l’opération et de lourds traitements, certaines sombrent même dans la dépression. D’autres encore se retrouvent dans des centres d’accueil car elles n’ont nulle part où aller », précise-t-elle sur un ton indigné.
Alors que le sentiment de honte s’ajoute à l’angoisse de subir une ablation du sein, une chimiothérapie pénible, entraînant une perte de cheveux inéluctable, qui sont vécues comme une défiguration de leur féminité, ces épouses sont abandonnées à leur triste sort par des hommes lâches et méprisables, à la consternation de Kamel Chekkat, membre de l’association des oulémas d’Algérie.
Pour ce théologien, de tels comportements indignes ne sont aucunement liés à l’islam mais plutôt à l’éducation. « Ce n’est pas un problème de religion mais d’éducation. La religion exhorte les époux à se soutenir mutuellement, et dans l’islam, l’homme honorable honore sa femme et l’homme vil l’humilie », souligne-t-il.
De son côté, Yamina Rahou, sociologue au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, éclaire l’irrépressible sentiment de honte ressentie par des femmes déjà passablement éprouvées, à la lumière de « la souffrance d’être amputée d’une partie (du corps) qui symbolise la féminité », et par conséquent, de « ne plus être en conformité avec l’image de la femme ».
Parmi les témoignages recueillis par Samia Gasmi, le cas de Saïda, une femme médecin aujourd’hui âgée de 55 ans, dont le mari s’est empressé de demander le divorce, la garde de leur enfant et de vider le compte en banque, alors même qu’elle était alitée sur son lit d’hôpital, fait partie des plus tristement édifiants.
« Chassée de chez elle, elle avait dû “prendre une chambre d’hôtel”. “J’étais à bout”, se souvient-elle. Elle a fini par récupérer son enfant mais, 15 ans après, se dit toujours “détruite” par l’attitude de son ex-mari. “On s’était connus à la fac, nous avions fait un mariage d’amour; il participait même aux manifs pour les droits des femmes, mais n’a pas hésité une seconde à me jeter comme de la merde! ». (source site le360).
Ou quand le cancer, ce mal qui ronge de l’intérieur et à l’extérieur, la société environnante, s’avère être non seulement une souffrance, mais brise aussi bien des illusions, de l’autre côté de la rive méditerranéenne.
Palestine : Manifestation jeudi pour la libération d’Ahed Tamimi et de tous les enfants palestiniens emprisonnés !
Nous vous appelons à vous joindre le plus nombreux possible à une manifestation ce jeudi 4 janvier, à partir de 17 H 30, pour la libération d’Ahed Tamimi, de sa mère, de sa cousine et de tous les enfants emprisonnés par l’occupant israélien.
Chères amies, Chers amis,
L’année 2018, que nous vous souhaitons à toutes et à tous la meilleure possible, commence sous le signe de la résistance. Cette résistance extraordinaire des Palestiniens, y compris très jeunes, qui sont déterminés à défendre leurs droits, comme la jeune Ahed Tamimi, sa famille, mais aussi tous les autres qui risquent leurs vies quotidiennement parce que ni Netanyahou, ni Trump ne peuvent les faire taire.
A leurs manifestations pacifiques, l’occupant israélien répond par toujours plus de terreur, de colonisation, de démolitions de maisons palestiniennes et d’emprisonnement d’enfants. Ces derniers sont plus de 700 à être incarcérés, en toute illégalité dans les geôles de l’occupant.
L’armée israélienne a carte blanche pour tuer, et ne cherche même plus à justifier ses crimes les plus odieux, comme celui d’Ibrahim Abu Thuriya, amputé des deux jambes suite aux bombardements israéliens de 2008-2009, et assassiné le 15 décembre dernier tandis qu’il manifestait à Gaza.
C’est le même jour, que cette même armée a quasiment laissé pour mort le petit cousin d’Ahed, Mohamed Tamimi, lui logeant une balle dans la tête lors d’une manifestation contre les déclarations de Trump. C’est au même moment qu’Ahed Tamimi, 16 ans, a tenté de repousser les soldats qui occupent en permanence sa maison et son village de Nabi Saleh.
La vidéo de sa résistance ayant fait le tour du monde, Israel veut se venger, la maintenant en détention dans des conditions éprouvantes, ainsi que sa mère et sa cousine. Netanyahou prépare contre elles un procès destiné à faire « un exemple », qui doit se dérouler le 8 janvier devant un tribunal militaire.
Les dirigeants israéliens, qui ont appelé à la marquer dans sa chair, à violer Ahed —pour avoir porté atteinte à la « virilité » de leur armée—, doivent savoir que la jeune fille et sa famille ne sont pas isolés, pas plus que les milliers d’enfants palestiniens constamment persécutés, kidnappés, torturés par l’occupant israélien.
La pétition en français lancée sur le site d’Avaaz a dépassé les 250.000 signatures en moins quelques jours seulement. Et nous vous invitons à continuer de la signer et faire signer : https://secure.avaaz.org/campaign/fr/free_ahed_mor_fb1/ .
Mais cela ne suffit pas ! Nous devons manifester dans toutes les villes de France, comme c’est le cas dans le reste du monde pour la libération d’Ahed, de sa famille, et celle des centaines d’enfants palestiniens emprisonnés.
A PARIS, ET AVEC DE NOMBREUSES AUTRES ASSOCIATIONS,
NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS :
CE JEUDI 4 JANVIER, À PARTIR DE 17 H 30.
A LA PLACE DU CHÂTELET, POUR DÉFILER JUSQU’À LA PLACE DE LA RÉPUBLIQUE.
NOUS COMPTONS SUR VOTRE PRÉSENCE MASSIVE !
Premiers signataires : CAPJPO-EuroPalestine, Enfants de Palestine, Droits Devant !! Association Femmes Plurielles, ISM France, Nanterre Palestine, Avec Naplouse, One Justice, Campagne européenne contre le blocus de Gaza, Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, Les Désobéissants, le Collectif Ni Guerre ni Etat de Guerre, Comité Israël Palestine Chateaubriant…

Sur Mizane.info, voici les titres.

Palestine : Manifestation à Paris jeudi 4 janvier pour la libération d’Ahed Tamimi et des enfants palestiniens.
Une manifestation se déroulera ce jeudi 4 janvier 2018 à Paris Place du Châtelet à 17h30 jusqu’à la Place de la République pour réclamer la libération immédiate d’Ahed Tamimi et des enfants palestiniens emprisonnés par le pouvoir israélien et ceci en violation de toutes les conventions internationales de protection de l’enfance. Un communiqué signé par plusieurs associations et publié sur le site Europalestine.
« Chères amies, Chers amis,
L’année 2018, que nous vous souhaitons à toutes et à tous la meilleure possible, commence sous le signe de la résistance. Cette résistance extraordinaire des Palestiniens, y compris très jeunes, qui sont déterminés à défendre leurs droits, comme la jeune Ahed Tamimi, sa famille, mais aussi tous les autres qui risquent leurs vies quotidiennement parce que ni Netanyahou, ni Trump ne peuvent les faire taire.
A leurs manifestations pacifiques, l’occupant israélien répond par toujours plus de terreur, de colonisation, de démolitions de maisons palestiniennes et d’emprisonnement d’enfants. Ces derniers sont plus de 700 à être incarcérés, en toute illégalité dans les geôles de l’occupant.
L’armée israélienne a carte blanche pour tuer, et ne cherche même plus à justifier ses crimes les plus odieux, comme celui d’Ibrahim Abu Thuriya, amputé des deux jambes suite aux bombardements israéliens de 2008-2009, et assassiné le 15 décembre dernier tandis qu’il manifestait à Gaza.
C’est le même jour, que cette même armée a quasiment laissé pour mort le petit cousin d’Ahed, Mohamed Tamimi, lui logeant une balle dans la tête lors d’une manifestation contre les déclarations de Trump. C’est au même moment qu’Ahed Tamimi, 16 ans, a tenté de repousser les soldats qui occupent en permanence sa maison et son village de Nabi Saleh.
La vidéo de sa résistance ayant fait le tour du monde, Israel veut se venger, la maintenant en détention dans des conditions éprouvantes, ainsi que sa mère et sa cousine. Netanyahou prépare contre elles un procès destiné à faire « un exemple », qui doit se dérouler le 8 janvier devant un tribunal militaire.
Les dirigeants israéliens, qui ont appelé à la marquer dans sa chair, à violer Ahed —pour avoir porté atteinte à la « virilité » de leur armée—, doivent savoir que la jeune fille et sa famille ne sont pas isolés, pas plus que les milliers d’enfants palestiniens constamment persécutés, kidnappés, torturés par l’occupant israélien.
La pétition en français lancée sur le site d’Avaaz a dépassé les 250.000 signatures en moins quelques jours seulement. Et nous vous invitons à continuer de la signer et faire signer : https://secure.avaaz.org/campaign/fr/free_ahed_mor_fb1/ .
Mais cela ne suffit pas ! Nous devons manifester dans toutes les villes de France, comme c’est le cas dans le reste du monde pour la libération d’Ahed, de sa famille, et celle des centaines d’enfants palestiniens emprisonnés.
A PARIS, ET AVEC DE NOMBREUSES AUTRES ASSOCIATIONS,
NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS :
CE JEUDI 4 JANVIER, À PARTIR DE 17 H 30.
A LA PLACE DU CHÂTELET, POUR DÉFILER JUSQU’À LA PLACE DE LA RÉPUBLIQUE.
NOUS COMPTONS SUR VOTRE PRÉSENCE MASSIVE !
Premiers signataires : CAPJPO-EuroPalestine, Enfants de Palestine, Droits Devant !! Association Femmes Plurielles, ISM France, Nanterre Palestine, Avec Naplouse, One Justice, Campagne européenne contre le blocus de Gaza, Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, Les Désobéissants, le Collectif Ni Guerre ni Etat de Guerre, Comité Israël Palestine Chateaubriant…
Notre solidarité avec la résistance héroïque du peuple palestinien est notre seule planche de salut contre la barbarie. Car ce qui s’expérimente sous nos yeux, c’est la possibilité de venir à bout des résistances, de toutes les résistances.
Saluons par la même occasion, la résistance des jeunes refuzniks israéliens qui passent des mois en prison pour refus d’être incorporés dans une armée d’occupation, et les 63 lycéens israéliens qui ont publié jeudi dernier dans le quotidien Yedioth Ahronoth une lettre ouverte annonçant qu’ils refuseront de servir « dans une armée aux ordres d’un gouvernement raciste qui viole les droits humains élémentaires .« Nous avons décidé de ne pas participer à l’occupation et à l’oppression du peuple palestinien », ont-ils averti le gouvernement israélien.
Nous vous souhaitons une très bonne année BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) et toute la santé et l’énergie qui vont avec !
Amicalement ».
CAPJPO-EuroPalestine.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, voici les titres, rien de neuf.

Palestine : Pas moins de douze chefs d’inculpation retenus contre l’enfant A’Hed Tamimi : Injustice sioniste en marche…
Arrêtée mi-décembre dernier, A’hed Tamimi est devenue pour les Palestiniens une icône de la lutte contre l’occupation israélienne. Cette enfant palestinienne âgée de 16 ans à peine, apparue dans une vidéo devenue virale en train de frapper des soldats israéliens en Cisjordanie occupée, a été inculpée par un tribunal militaire sioniste qui a prolongé sa garde à vue d’une semaine. Pas moins de douze chefs d’inculpation ont été retenus contre elle, ce qui dénote l’acharnement, la haine et la hargne de l’occupant sioniste. Selon son avocate, le tribunal militaire d’Ofer siégeant en Cisjordanie occupée a également retenu cinq chefs d’inculpation contre Nariman Tamimi, la mère d’Ahed Tamimi impliquée dans le même incident, et prolongé sa garde à vue jusqu’à lundi. Douze chefs d’inculpation ont été retenus contre A’hed. Ils concernent la confrontation survenue le 15 décembre dans le village de Nabi Saleh près de Ramallah et cinq autres incidents dans lesquels A’hed Tamimi a été impliquée l’an dernier. Selon un communiqué de l’armée, elle a été inculpée notamment pour » avoir agressé des forces de sécurité, lancé des pierres, avoir proféré des menaces, avoir participé à des émeutes « . La mère a aussi été inculpée pour sa participation à l’incident à Nabi Saleh, à d’autres confrontations avec des soldats et pour avoir utilisé » Facebook » en vue » d’inciter à commettre des attaques terroristes « . La garde à vue de la cousine d’A’hed, Nour Tamimi âgée de 20 ans, elle aussi protagoniste de la vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux et des médias doit, en revanche, prendre fin mardi après-midi et elle devrait être relâchée, si le procureur ne fait pas appel, après avoir versé une caution de 5.000 Shekels (1.400 dollars), a ajouté l’avocate. Le procureur militaire a demandé le maintien en détention jusqu’au procès de la mère et de la fille. Dans les images filmées avec un téléphone portable, on voit Nour Tamimi s’approcher avec sa cousine Ahed de deux soldats puis leur donner des coups de pied et de poing et des gifles, dans le village de Nabi Saleh. La famille d’Ahed Tamimi affirme que l’incident s’est déroulé dans la cour de leur maison. En 2012 déjà, la fillette s’était distinguée en brandissant le poing sous le nez de soldats israéliens, des images qui avaient fait le tour du monde et qui lui avaient valu d’être reçue par Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre turc. Son père Bassem, souvent à la tête de manifestations contre les colons israéliens, a été emprisonné plusieurs années par Israël. Déçus par l’absence de perspective de règlement de paix avec Israël et exaspérés par la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, les Palestiniens voient en elle une nouvelle héroïne. » Le président palestinien Mahmoud Abbas a appelé le père d’Ahed et salué l’engagement de la famille Tamimi dans la lutte contre l’occupation « , selon l’agence Wafa. Les yeux bleus comme sa fille A’hed, Bassem Tamimi est une figure de la lutte contre la colonisation israélienne et il connaît bien les tribunaux militaires. En effet, ce père de famille a déjà passé quatre ans en détention administrative, sans charges retenues contre lui. Il a transmis son militantisme à sa fille : » S’il y a occupation, alors il y a résistance. Ils nous ont pris notre liberté, ils nous ont pris la justice. Et la liberté ça n’a pas de prix « . Il soutient totalement le geste d’Ahed. » Je suis fier de ma fille. Elle a giflé l’occupation, le symbole de l’occupation « , Bassem Tamimi, père d’Ahed. À Nabi Saleh, le village des Tamimi en Cisjordanie, la captation des ressources en eau par la colonie voisine pousse la famille et les autres habitants à manifester toutes les semaines, caméra au poing, en 2009. » Notre vie à Nabi Saleh est très difficile, il suffit de voir combien de gens du village sont arrêtés « , explique Bissane Tamimi, la cousine d’A’hed et soeur de Nour, elle aussi arrêtée. Selon elle, la présence de cette colonie rend la vie impossible. » Tous les jours, nous avons l’armée devant chez nous. Ils viennent dans nos maisons, il n’y a aucune barrière entre nous et la colonie d’en face. On vit au beau milieu de l’occupation ! » Le tribunal doit décider le 8 janvier s’il suit les réquisitions du procureur.
A.M.
Détérioration du pouvoir d’achat des Algériens : La LADDH tire la sonnette d’alarme.
La ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme(LADDH) a exprimé sa profonde préoccupation face à la hausse croissante des prix à la consommation qui ont une relation vitale avec la vie quotidienne des citoyens, affirmant que le front social connait une période caractérisée par une anarchie sans précédent dans les prix des matières essentielles au début de la nouvelle année 2018. Dans ce contexte, M. Houari Kaddour, président de la ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme a affirmé que l’effondrement du pouvoir d’achat et les politiques populistes consacrées à la marginalisation et à l’appauvrissement et à l’exclusion imposée aux groupes défavorisés et peinant du peuple algérien qui peut provoquer une explosion imminente et poursuivre cette politique menace de catastrophe sociale en Algérie. Dans ce cadre, la LADDH a indiqué que la dégradation du pouvoir d’achat des grandes franges du peuple algérien est toujours en cours, en particulier avec le gouvernement algérien n’a pas proposé des solutions pour éviter la crise provoquée par l’effondrement du prix du pétrole qu’approuver augmente sur les biens de consommation, en tant que citoyens ont reçu un autre coup dur à la fin de Juillet, notamment dans la loi de finances complémentaire pour l’année 2015, suivant le décret n ° 15-01 en date du 23/07/2015 et notamment en ce qui concerne l’instauration sur la valeur ajoutée négative pour le consommateur. En outre, il s’est traduit par l’effondrement du dinar algérien d’une manière négative sur le citoyen et plus étrangement est en train de maudire la dévaluation du dinar pour le citoyen et à la grande bénédiction des commerçants, comme ils se hâtèrent d’augmenter les prix sur tous les produits, qu’ils soient locaux ou importés sous prétexte du déclin et l’effondrement du taux de change de dinar par rapport aux Devises en particulier le dollar et l’euro. À cette occasion , la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme a fait savoir que l’insistance obstinée du gouvernement et des lobbies du commerce de continuer à ternir le pouvoir d’achat de la majorité écrasante des citoyens est un projet d’incitation et de justification de la congestion sociale et de larges catégories de la société algérienne pour protester dans la rue, alors que les responsables , syndicats et les députés de la nation se préoccupaient de leurs propres affaires, ne se souciant pas des intérêts des travailleurs. Dans ce sens, la LADDH tire la sonnette d’alarme face à la détérioration du pouvoir d’achat des algériens, » nous somme déjà confrontes a un problème de survie et le front social algérien sera davantage agité dans les mois à venir, au point de risquer la rupture, les raisons de l’inflation reflètent les dysfonctionnements contenus dans la politique économique du gouvernement et surtout après l’adoption la loi finance 2018 et ses effets sur les conditions de vie du citoyens et particulièrement sur les couches les plus défavorisées » a conclu le communiqué. A travers cette situation catastrophique, il convient de mentionné que le front social sera agité fortement si le gouvernement n’intervient pas pour démolir la situation. Selon les chiffres d’année 2017 un total de 14 000 manifestants ont été enregistrés.
I.M.
Troubles en Iran : La main de l’étranger…
Au total, 21 personnes ont été tuées dont 16 manifestants depuis le début des manifestations qui ont débuté jeudi à Machhad, deuxième ville du pays (nordest). Neuf d’entre elles ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans plusieurs villes de la province d’Ispahan (centre). Ils étaient quelques centaines dans une seule ville jeudi et sont désormais des milliers dans tout le pays. En quatre jours, les manifestations ont pris en Iran une ampleur inédite depuis le mouvement de 2009 contre la réélection du président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad. Sur les réseaux sociaux, à commencer par Telegram, de très nombreuses vidéos circulent montrant des rassemblements à travers tout le pays, dans les petites comme dans les grandes villes, dans le centre comme dans la périphérie qui abrite les minorités ethniques. A Téhéran samedi, la police a dispersé des dizaines d’étudiants, selon l’AFP, devant les grilles de l’université. Dans le centre de la capitale, les forces de l’ordre, lourdement déployées, ont à plusieurs reprises dispersé la foule, lundi, sur l’avenue Enghelab, où les stations de métro demeurées ouvertes continuaient de déverser un flot de passants. Il était difficile de distinguer parmi eux les manifestants et de se faire une idée précise de leur nombre. Toutefois, au moins quelque 450 personnes ont été arrêtées depuis samedi à Téhéran, moins touchée que les petites villes iraniennes par l’actuel mouvement de protestation contre les difficultés économiques et le pouvoir, a indiqué mardi un responsable. Un enfant de 11 ans a été tué et son père blessé par des tirs de manifestants à Khomeinyshahr alors qu’ils passaient près d’un rassemblement, selon la même source. Un jeune membre des Gardiens de la révolution de l’armée d’élite iranienne a par ailleurs été tué et un autre blessé par des tirs de fusil de chasse à Kahriz Sang, selon les médias. Par ailleurs, la réaction du régime iranien à ce mouvement de protestation n’est pas différente par rapport aux des autres gouvernements autoritaires. Pour ce dernier et sans le reconnaitre implicitement, le gouvernement accuse la frange des ultraconservateurs qui s’opposent à la politique d’ouverture initiée par le président Rohani. Sur le terrain,la protestation n’est pas descendu d’un cran, elle s’est même radicalisée face à la répression qui s’est abattue sur les manifestations.D’ailleurs, les slogans les plus employés par les protestataires sont souvent dirigés contre la dictature du pays. Ce que les autorités craignent au-dessus de tous, c’est une insurrection qui vient toucher la capitale Téhéran. Le souvenir des manifestations violentes de 2009 est toujours vivace. Du reste, les autorités Iraniennes espèrent que les manifestations populaires qui sont toujours d’actualité dans le pays ne se transforment pas aux violences dont on ne peut prévoir les conséquences. Des vidéos mises en ligne sur les réseaux sociaux ont montré des centaines de personnes manifestant vendredi dans la ville sainte de Qom en scandant notamment « Mort au dictateur » ou encore « Libérez les prisonniers politiques ». Certains manifestants ont même scandé des slogans en faveur de la monarchie, renversée par la révolution islamique de 1979, alors que d’autres demandaient au pouvoir d’abandonner son soutien aux Palestiniens ou à d’autres mouvements alliés dans la région pour s’occuper du sort de la population. Sur les réseaux sociaux comme Telegram ou Instagram, largement utilisés en Iran, on peut voir des vidéos de manifestants dans les villes de Rasht (nord), Kermanshah (ouest), Hamedan (ouest) ou Qazvin (nord). L’Union européenne a dit lundi « espérer » que le droit de manifester sera « garanti » en Iran, théâtre depuis cinq jours de protestations parfois violentes. « Nous avons suivi les manifestations des citoyens iraniens au cours des derniers jours. Nous avons été en contact avec les autorités iraniennes et nous espérons que le droit à la manifestation pacifique et la liberté d’expression seront garantis, à la suite des déclarations publiques du président Rohani », a déclaré une porteparole de la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini dans un communiqué. « Nous continuerons à suivre les développements », a-telle ajouté. L’UE défend bec et ongles cet accord historique qui permet à ses yeux d’éviter une course à l’armement au Moyen-Orient.
Rabah Karali/Agences.
Le Mali adopte une loi similaire à la Charte pour la paix de Bouteflika : Quand Alger fait école…
A l’instar d’autres pays qui ont déjà pratiqué une démarche similaire, en référence, notamment, à la loi de « concorde civile » en Algérie, le Mali va se doter d’une loi sur l’ »entente nationale » prévoyant l’exonération de poursuites de « tous ceux impliqués dans une rébellion armée » et n’ayant « pas de sang sur les mains », a annoncé le président malien Ibrahim Boubacar Keita. Dans les faits, le président malien s’est inspiré de la Charte pour la paix de Bouteflika . Le « projet de loi sur l’entente nationale » qui va être lancé prévoiera « l’exonération de poursuites de tous ceux impliqués dans une rébellion armée, mais qui n’ont pas de sang sur les mains », a indiqué le président Keita, dans son message de fin d’année, relayé lundi par les médias maliens. Il prévoiera également « des mesures d’apaisement après l’accélération des procédures en cours et les réparations accordées aux victimes reconnues », ainsi qu’un « programme de réinsertion pour tous ceux qui déposeront les armes et s’engageront publiquement à renoncer à la violence », a-t-il affirmé. Pour « conforter la réconciliation nationale », a-t-il rappelé, ce document « propose des mesures spéciales de cessation de poursuite ou d’amnistie en faveur de certains acteurs de la rébellion armée de 2012 ». Dans son message, le président Keïta a dit s’inspirer de la « charte pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale » qui lui a été remise le 20 juin, deux ans après la signature à Bamako de l’accord de paix et de réconciliation entre le gouvernement malien et les mouvements politico-militaires, issu du processus d’Alger. Son message est intervenu peu après la désignation d’un nouveau gouvernement au Mali et le retour dans le pays de l’ancien président malien Amadou Amani Touré (2002- 2012) après cinq ans d’absence. Estimant qu’il n’existait pas de « solutions purement sécuritaires », M. Keïta, a appelé les Maliens à faire preuve « d’objectivité pour comprendre comment certains antagonismes ont prospéré jusqu’à mettre à mal des cohabitations multiséculaires ».
Rabah Karali.
Palestine : L’entité sioniste adopte une loi visant à compliquer le partage de Al-Qods : » Siyassette lihoude « .
Le Parlement sioniste a adopté hier un projet de loi visant à compliquer le passage sous souveraineté palestinienne de certaines zones de Al-Qods dans le cadre d’un futur accord de paix. Le texte, approuvé à 64 voix contre 51, balaie encore plus les espoirs d’une solution à deux Etats dans le conflit israélo-palestinien, moins d’un mois après la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Al-Qods comme capitale de l’entité sioniste. Proposée par une députée du parti nationaliste religieux Foyer juif, cette loi prévoit que toute cession aux Palestiniens de ce qu’Israël considère comme faisant partie de Al-Qods nécessitera un vote à la majorité des deux-tiers des députés. Elle permet également de modifier la définition « municipale » de Al- Qods, certains secteurs de la ville pouvant ainsi « être déclarés comme des entités séparées », selon un communiqué du Parlement. Israël occupe Al- Qods-Est et la Cisjordanie depuis la guerre de 1967. Il a ensuite annexé Al-Qods-Est, partie palestinienne de la ville. Cette annexion n’a jamais été reconnue par la communauté internationale. L’Etat hébreu considère l’ensemble de Al-Qods comme sa capitale tandis que les Palestiniens veulent faire de Al-Qods-Est la capitale de l’Etat auquel ils aspirent. La question de Al-Qods est un des problèmes les plus épineux du conflit israélo-palestinien. « Nous avons garanti l’unité de Al-Qods », a tweeté après le vote le ministre de l’Education Naftali Bennett, chef du Foyer juif. « Le mont des Oliviers, la Vieille ville et la cité de David resterons nôtres à jamais », a-t-il ajouté, faisant référence à des lieux situés dans la partie palestinienne de Al-Qods, dont le quartier de Silwan. Dov Khenin, un député de l’opposition, a estimé que cette nouvelle loi devrait être appelée « la loi pour empêcher la paix » et craint qu’elle ne provoque « un bain de sang ». Annoncée le 6 décembre, la décision de Donald Trump de reconnaître Al-Qods comme capitale d’Israël rompt avec des décennies de diplomatie américaine et internationale et continue à causer l’émoi dans les Territoires palestiniens.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

« Blackface » : le Cran en a assez, « cela ne peut plus durer ».
Après la photo d’un « blackface » d’Antoine Griezmann publiée sur Twitter, suivi de la « nuit des Noirs » à Dunkerque où des hommes se déguisent comme tels, c’est cette fois-ci l’affiche d’un festival réunionnais qui est montrée du doigt par le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran).
Sur cette affiche de la 8e édition du festival international du film fantastique « Même pas peur » (du 21 au 28 février prochain), on y voit deux femmes nues, peintes en noir, les lèvres teintées de rouge et portant des coiffures de paille.
Le blackface de trop pour le Cran, qui a demandé à l’organisation du festival de retirer le visuel. « Après la polémique sur Griezmann et sur le carnaval de Dunkerque, l’organisatrice ne peut guère plaider l’ignorance », écrit le conseil dans un communiqué.
Aurélia Mangin, l’organisatrice, se défend pourtant des accusations du Cran, notamment dans le fait d’être métisse. « Comme si le fait ‘d’être née d’une mère noire et d’un père blanc’ était une sorte de ‘joker’ donnant le droit de faire tout et n’importe quoi », lui a rétorqué le Cran.
« C’est la quinzième affaire de blackface en un an à peine ».
L’organisatrice du festival a fini par retirer l’affiche. Mais elle continue de plaider pour la visée artistique de ce visuel. Elle explique dans Libération que ses précédentes affiches représentaient aussi des femmes nues (le Cran lui reproche entre autres d’associer les Noirs à la nudité, symbole de sauvagerie) et que le noir était un choix purement esthétique.
Quant au Cran, il ne compte pas non plus en rester là, puisqu’il entend « demander des explications aux nombreux sponsors de ce festival » dont le ministère de la culture, Air France et Canal Plus, comme il l’indique dans son communiqué.
« C’est la quinzième affaire de blackface en un an à peine. Nous en avons assez, et nous demandons au gouvernement de faire voter une loi condamnant clairement le blackface. Cela ne peut plus durer », a fait savoir Louis-Georges Tin, président du Cran.
Iran : vent de révolte ou révolution ?
Depuis jeudi dernier, date de la première manifestation à Machhad dans le nord-est de l’Iran, les protestations s’amplifient et ont gagné plusieurs villes. Samedi des dizaines de milliers de personnes sont sortis dans les rues à travers le pays.
Selon un premier bilan, vingt et une personnes sont mortes et 400 personnes ont été arrêtées dont 200 à Téhéran.
Un mouvement important, mais bien loin des manifestations de 2009 contre la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad, soupçonné de fraude électorale. Cette fois-ci, ces manifestations spontanées sont sans mot d’ordre clair ni leader déterminé et seraient davantage portées par les classes populaires et les provinces que les classes aisées. Enfin, les contestations seraient surtout d’ordre économique que politique.
« Ils veulent une révolution iranienne, pas une révolution islamique », commente d’ailleurs pour la Croix Clément Therme, chercheur à l’institut international d’études stratégiques de Londres.
28 % des jeunes touchés par le chômage
En effet, depuis l’accord sur le nucléaire en juillet 2015 et la fin de sanctions économiques en 2016, la situation du pays s’est améliorée, mais pas aussi rapidement que les Iraniens l’espéraient. Si l’inflation est passée de 40 % à 10 %, 12,5 % de la population est encore au chômage, dont 28 % de jeunes selon les chiffres officiels. La croissance est repartie pour l’Iran, mais le développement de l’économie est toujours bloqué par des sanctions internationales qui n’ont été que partiellement levées.
A l’origine donc de ces manifestations, le coût de la vie, bien trop cher en Iran et un quotidien pesant pour les familles les plus pauvres. Les manifestants contestent entre autres le prix des oeufs et de la volaille, qui ont encore augmenté le mois dernier, atteignant une hausse de 50 %. Les manifestants, issus des classes populaires parlent d’ailleurs depuis dimanche de « révolution des oeufs ». Mais ils s’indignent aussi des annonces d’augmentation du prix de l’essence, et des nouvelles mesures réduisant les aides sociales des retraités.
Hassan Rohani, réélu en mai dernier pour un deuxième mandant, avait promis d’améliorer la situation économique du pays. Mais la politique d’austérité émanant du nouveau budget annuel présenté au Parlement le 10 décembre, n’a pas convaincue. D’autant que les subventions pour les fondations religieuses et les salaires des Gardiens de la révolution ont été augmentés.
« Notre économie a besoin d’une grande opération chirurgicale »
«Pas Gaza, pas le Liban, ma vie en Iran !» ont scandé des manifestants, pour protester contre le soutien, notamment financier, au Hezbollah mais aussi contre l’engagement financier et militaire en Syrie au côté de Bachar Al Assad. Les manifestants s’en sont pris à des bâtiments publics, attaquant aussi des centres religieux, des banques et des voitures de police.
Le président Hassan Rohani a réagi dimanche, rejetant « la violence et la destruction de biens publics ». Mais il a assuré que « la population était libre de critiquer le gouvernement et de manifester ». Lundi, il a également soutenu que le gouvernement ferait les efforts nécessaires pour « régler les problèmes de la population ». « Notre économie a besoin d’une grande opération chirurgicale », a t-il également admis. Dès samedi, le porte-parole du gouvernement, a d’ailleurs tenté de calmer la gronde en annonçant que le prix de l’essence n’augmenterait pas comme prévu le 21 mars 2018, date de la nouvelle année iranienne.
Les adversaires de l’Iran complices des manifestations selon les autorités.
Toutefois, le gouvernement a fini par durcir le ton envers les manifestants. Le ministre de l’intérieur, Abdolreza Rahmani-Fazli, a assuré dimanche que ceux qui « causaient la violence et la peur » seraient « écrasés ». L’accès aux réseaux sociaux Telegram et Instagram, utilisés pour appeler à manifester, ont également été restreints.
Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, a affirmé que « les hashtags et les messages à propos de la situation en Iran provenaient des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Arabie saoudite ».
Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, accuse lui aussi les détracteurs de l’Iran d’être à l’origine de ces manifestations. Aujourd’hui, il a assuré sur la télévision d’Etat que « les ennemis de l’Iran s’étaient unis en utilisant leurs moyens, leur argent, leurs armes (…) et leurs services de sécurité pour créer des problèmes au régime islamique ».
Le gouvernement iranien n’a entre autres, pas apprécié les récentes critiques de Donald Trump sur Twitter. «L’Iran échoue à tous les niveaux malgré le terrible accord signé avec eux par l’administration Obama», a posté le président américain. Il a également tweeté : «Le grand peuple iranien est réprimé depuis des années. Ils ont faim de nourriture et de liberté».
Ce à quoi Hassan Rohani a aussitôt répliqué : « Ce monsieur aux Etats-Unis qui veut montrer de la sympathie à l’égard du peuple iranien oublie qu’il l’a traité de terroriste il y a quelque mois. Il n’a pas le droit de compatir avec le peuple iranien. »
Une visite de Jean-Yves le Drian prévue vendredi à Téhéran.
D’autres pays s’inquiètent aussi pour le peuple iranien et craignent une nouvelle révolution. Le ministère turc des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que « le bon sens doit prévaloir pour empêcher toute escalade. » De son côté, l’Union européenne a dit « espérer » que le droit de manifester sera « garanti » en Iran, craignant les violences.
Le gouvernement français a quant à lui exprimé « sa préoccupation face au nombre important des victimes et des arrestations. » Une déclaration plutôt discrète, alors que la France tente de resserrer ses liens avec l’Iran. Vendredi, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian devrait d’ailleurs se rendre à Téhéran, afin de préparer la visite historique d’Emmanuel Macron, prévue probablement avant l’été 2018.

Sur Actualite islamique de Belgique, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, rien de neuf.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Badran: Il n’y a aucune justification pour désactiver le leadership de l’OLP
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Un membre du Bureau politique du Mouvement de résistance islamique (Hamas), chef du bureau des relations nationales, Hussam Badran a déclaré que les contacts avec le mouvement Fatah continuent de surmonter les obstacles devant la réconciliation palestinienne.
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Un enfant tué par les balles israéliennes au nord de Ramallah
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Hamas: Les menaces de Trump sont un chantage politique lâche
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Livni reconnaît l’échec de l’option de la force contre Gaza
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Les Palestiniens ne céderont pas au chantage de Trump sur l’aide financière américaine
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Gaza: Nouveau projet pour aider les malades et les handicapés
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L’Inde annule un énorme contrat d’armement avec Israël avant la visite de Netanyahu
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Des menaces américaines d’arrêter le financement de l’UNRWA pour mettre la pression sur l’AP
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Le Hamas dénonce la « grave erreur » commise par le Guatemala
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L’occupation condamne Jihene Hashima à 4 ans de prison
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Des Palestiniens kidnappés et des maisons saccagées à l’aube par les forces israéliennes
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Les soldats israéliens attaquent les fidèles palestiniens à Naplouse
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Les raids israéliens à al-Aqsa ont augmenté de 75%
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Alaa Hamoudha libre après 10 ans de prison
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Sauvez Israa !
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La Jordanie condamne la décision de la Knesset sur Jérusalem
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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