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Flash info du 16 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les cheminots marocains ont gagné la bataille, la SNCF est condamnée pour discrimination.
Avec courage et détermination, les 832 « Chibanis » discriminés par la SNCF ont porté leur affaire devant la justice. Recrutés dans les années ’70, ils ont été le bouche trou d’une France en manque de main d’œuvre, des petites mains venues assurer le travail dont ne voulait pas le citoyen français.
Et c’est avec satisfaction que ces cheminots musulmans ont accueilli la décision du tribunal qui a condamné en appel ce 31 janvier la compagnie ferroviaire pour « discrimination envers les cheminots marocains ».
La bonne nouvelle a été annoncée par l’avocate des plaignants, Me Clélie de Lesquen-Jonas.
« C’est gagné ! » a-t-elle crié avec une joie non contenue à l’énoncé du jugement car non seulement les « Chibanis » ont obtenu gain de cause mais aussi la reconnaissance d’un « préjudice moral ».
« C’est un grand soulagement, une grande satisfaction » a déclaré leur avocate.
Pourtant le combat a été rude, durant 12 longues années, ces retraités de la SNCF ont bataillé pour que justice soit faite et obtenir les mêmes droits que leurs collègues français de l’époque. Spoliés de leurs droits les plus élémentaires, ils n’ont pas bénéficié du statut réservé aux ressortissants européens.
Surnommés les « indigènes du rail » ou « les déclassés de la SNCF », ils ont été traités comme des ouvriers de seconde main, sans nom ni identité. Mais des années plus tard, ils obtiennent enfin leur revanche.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

“La journée de l’Islam” à l’école primaire de Corton (Royaume-Uni) rencontre un franc-succès.
La semaine dernière, les élèves de l’école primaire Corton (Est de l’Angleterre) ont pris part à une série de pratiques et d’activités associées à la communauté musulmane à l’occasion de la Journée de l’Islam.
Des journées de bouddhisme et de sikhisme ayant également eu lieu à l’école primaire dans le passé, les élèves ont pris part à certaines pratiques islamiques lundi 22 janvier dernier.
Jemma Dalley, enseignante de la petite enfance et responsable de l’éducation religieuse, a déclaré:
«C’était l’une des trois journées de la foi qui se tiennent chaque année. Tous les groupes se réunissent et travaillent dans des groupes d’âge mélangés.
“Ces jours sont toujours spéciaux, car il est le plus gratifiant d’être témoin de l’interaction positive entre les groupes.”
Bien que Corton Primary soit une école de l’Église d’Angleterre, le sujet de l’éducation religieuse du programme scolaire permet l’exploration d’autres croyances.
“Les activités variaient de” Wudu “en se lavant les mains, les bras, la tête et les pieds avec de l’eau et ceci est une partie importante de la pureté rituelle”, a ajouté Mme Dalley.
Les enfants ont également aimé apprendre le Ramadan et le culte, car les élèves ont travaillé ensemble pour créer de «beaux» tapis de prière.
Mme Dalley a ajouté: “La variété des expériences a élargi les expériences des élèves et leur compréhension de l’Islam. Les journées de la foi offrent à nos élèves un ensemble de compétences pour aider les élèves à comprendre et à discuter des différentes religions. “
Parmi les réactions des enfants enthousiastes :
Enya K a déclaré: «J’ai appris que toutes les personnes portant un foulard ne sont pas musulmanes», et pour Oscar B: « J’ai aimé faire le Wudu dans l’eau, c’était très relaxant”.
Kayley C a déclaré: “J’ai aimé apprendre les raisons du Ramadan, je vais essayer de jeûner jusqu’à la nuit.”
“Je ne peux pas croire à quel point les musulmans prient, c’est intéressant comment ils le font”, a déclaré Finlay R.
Birmanie : des preuves d’importants charniers Rohingya découverts.
Des dizaines de villageois rohingyas en Birmanie ont été massacrés et enterrés dans 5 fosses communes, selon une enquête exclusive de l’agence de presse Associated Press.
Le rapport de l’agence de presse de jeudi comprend des témoignages de deux douzaines de survivants et des proches de victimes, ainsi que des séquences de téléphone portable des suites de l’attaque.
Selon les estimations, 400 membres de la minorité persécutée ont été tués par les troupes birmanes.
Lors d’un massacre, un groupe d’hommes choisissait des équipes pour un match de football appelé Chinlone dans le village de Gu Dar Pyin, lorsque les soldats ont commencé à tirer sur eux.
Un survivant nommé Noor Kadir a retrouvé plus tard six de ses amis enterrés dans deux fosses communes séparées. Il a dit que les corps des victimes n’étaient reconnaissables que par la couleur de leurs shorts.
L’assassinat de masse aurait eu lieu le 27 août et les survivants ont déclaré à l’Associated Press que des soldats avaient tenté de dissimuler les preuves de l’atrocité.
La vidéo obtenue par l’agence indique des tentatives d’utilisation d’acide pour détruire les corps.
Les restes contenus dans les tombes peu profondes ont été remontés à la surface après de fortes pluies et les survivants ont pu filmer les preuves.
Phil Robertson de Human Rights a déclaré que le rapport “soulève l’enjeu pour la communauté internationale d’exiger la responsabilité du Myanmar” et a souligné la nécessité d’un embargo sur les armes dirigé par l’ONU contre la Birmanie.
En 2040, l’islam pourrait être la deuxième plus grande religion aux États-Unis.
La population musulmane est en croissance aux Etats-Unis, et dans les deux prochaines décennies, les musulmans pourraient devenir le deuxième plus grand groupe religieux, selon une étude Pew Research.
Cependant, ce n’est pas toute l’histoire. Le Pew Research Center a combiné des études qu’ils ont menées en 2007, 2011 et 2017 avec des données annuelles du recensement américain (qui ne suit pas l’affiliation religieuse) pour dresser un portrait de l’avenir des musulmans en Amérique.
Selon leurs données, la population musulmane croît à un rythme accéléré et fera plus que doubler, passant d’environ 3,45 millions en 2017 à environ 8,1 millions en 2050 . Entre-temps, les musulmans devraient dépasser les juifs en tant que deuxième groupe religieux.
Pourquoi ? Une réponse facile est l’immigration – Les recherches de Pew ont montré un nombre record de musulmans ayant immigré aux États-Unis en 2016 . En fait, selon Pew, les trois quarts des musulmans actuellement aux États-Unis sont des migrants ou des enfants d’immigrés.
Il y a un autre facteur aussi. En moyenne, selon Pew , la population musulmane est plus jeune que les autres groupes religieux , ce qui signifie qu’ils ont un taux de fécondité plus élevé.
Cependant, même si la population musulmane en Amérique devrait doubler au cours des prochaines décennies, elle représentera encore une infime partie de la population américaine , et les changements dans d’autres groupes auront également un impact important sur la composition du pays.
Donald Trump confirme le maintien du camp de détention américain Guantanamo.
Donald Trump a confirmé cette semaine qu’il maintiendrait le centre de détention de Guantanamo Bay , ce qui, selon les experts, n’est pas surprenant, mais signifiera probablement que plusieurs dizaines de détenus ne pourront plus quitter la tristement célèbre prison.
Trump a signé mardi un décret déclarant que la détention dans le camp de prisonniers américain à Cuba se poursuivrait.
“Donald Trump est un crétin s’il pense que Guantanamo devrait rester ouvert parce qu’il nous garde plus en sécurité ou améliore notre position dans le monde”, a déclaré Wells Dixon, un avocat du Center for Constitutional Justice, un groupe de défense juridique américain. “Il fait exactement le contraire.”
La décision est une rupture avec les positions des prédécesseurs de Trump, Barack Obama et George W. Bush, qui ont tous deux déclaré qu’ils croyaient que la prison devrait être fermée. Toutefois, ni l’un ni l’autre n’a fermé Guantanamo.
Palestine : Le chef du Hamas, Ismail Haniya, ajouté à la “liste du terrorisme” des Etats-Unis.
Les Etats-Unis ont désigné Ismail Haniya , le principal responsable politique du Hamas , comme un “terroriste mondial”.
Le département d’Etat américain a publié un communiqué de presse mercredi indiquant que Haniya “a des liens étroits avec l’aile militaire du Hamas” et “a été un partisan de la lutte armée, y compris contre les civils”.
Le placement de Haniya sur la “liste du terrorisme” signifie qu’il y aura une interdiction de voyager sur lui, et que tous les capitaux financiers basés aux Etats-Unis qu’il peut avoir seront gelés.
Il y aura également une interdiction pour tout citoyen américain ou entreprise de faire affaire avec lui.
Le Hamas, qui gouverne la bande de Gaza, a été fondé en 1987 sur une stratégie de lutte armée contre l’occupation, et dispose d’une aile militaire connue sous le nom de brigades Izz al-Din al-Qassam.
Des avocats britanniques demandent le retrait de l’Arabie saoudite du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Des avocats britanniques ont demandé que l’ Arabie saoudite soit retirée du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, déclarant que le royaume détient sans inculpation des militants politiques et de la liberté d’expression.
Dans un rapport publié mercredi à Londres, Rodney Dixon QC et Lord Kenneth Donald John Macdonald ont déclaré que plus de 60 personnes avaient été arrêtées en septembre l’année dernière, “dont beaucoup seraient des défenseurs des droits humains ou des activistes politiques”.
“Notre principale recommandation est que l’Assemblée générale prenne des mesures pour suspendre le gouvernement de l’Arabie saoudite du Conseil des droits de l’homme”, a déclaré M. Dixon à Al Jazeera.
Il est «complètement contradictoire et ironique qu’un gouvernement ayant des schémas systémiques d’abus – comme nous l’avons souligné dans le rapport – siège au conseil et, en fait, ait auparavant présidé le conseil.
“Cette suspension servira de levier majeur pour que le gouvernement réforme sa loi et prenne un nouveau départ.”
Le rapport, intitulé Enveloppé dans le secret : la situation des droits de l’homme en Arabie saoudite suite à des arrestations en septembre 2017, a été commandé par les proches des détenus et sera transmis aux autorités saoudiennes.
Aceh (province d’Indonésie) invite les hôtesses de l’air musulmanes à porter le voile.
Le gouvernement du territoire semi-autonome indonésien d’Aceh a déclaré que les hôtesses de l’air musulmanes, lorsqu’elles volent à Aceh, doivent porter un hijab conformément aux lois de la région.
Le gouvernement régional a envoyé une lettre au transporteur national Garuda Indonesia et aux transporteurs, tels que AirAsia et Firefly de la Malaisie, concernant le foulard porté par les femmes qui travaillent dans ces compagnies.
“Toutes les femmes hôtesses de l’air doivent porter le jilbab, une tenue musulmane conforme aux règles de la charia”, ont déclaré les autorités dans la lettre.
Dans la culture d’Aceh, le jilbab est un foulard ample qui recouvre les cheveux et la poitrine d’une femme, ne laissant apparaître que le visage, alors qu’en arabe, d’où provient le mot jilbab, un vêtement ample qui couvre le corps de l’épaule à l’autre. les pieds.
L’aéroport international de Banda Aceh, la capitale provinciale, dessert des douzaines de vols domestiques chaque semaine et des liaisons internationales vers la Malaisie et l’ Arabie saoudite voisines.
Les non musulmanes ne sont pas tenues de porter un jilbab, mais le personnel musulman sera prié de les porter sur les vols à destination et en provenance d’Aceh, a déclaré Mawardi Ali, chef de la région d’Aceh Besar où se trouve l’aéroport.
Garuda Indonesia et son bras budgétaire, Citilink, “soutiennent les suggestions” et se conformeront, a déclaré le porte-parole de la compagnie aérienne Ikhsan Rosan.
Firefly en Malaisie a refusé de commenter, citant “la sensibilité de la question”.
En 2015, la Malaisie a lancé sa première compagnie aérienne nationale «conforme à la charia», Rayani Air. La compagnie aérienne n’autorise pas la consommation d’alcool sur ses vols et ne sert que de la nourriture halal.
“Il est obligatoire pour notre équipage de femmes musulmanes de porter le hijab et pour les non-musulmanes de porter un uniforme décent”, a déclaré Jaafar Zamhari, directeur général de Rayani.
En vertu d’un accord de paix de 2001 avec le gouvernement central, Aceh bénéficie d’une plus grande autonomie sur son système juridique qui est basé sur la loi islamique.
Cependant, la plupart du reste de l’Indonésie est dirigée par un système de droit civil mélangé avec le droit coutumier, qui comprend des aspects de la loi islamique, et la loi romaine-néerlandaise.
Yémen : 40 000 réfugiés déplacés à Aden sont laissés à l’abandon (ONU).
Les Nations Unies ont exprimé leur inquiétude face au déplacement de plus de 40 000 Yéménites qui se sont réfugiés à Aden, affirmant qu’ils avaient été incapables de distribuer de l’aide, les séparatistes du sud ayant envahi la majeure partie de la ville ce week-end.
“Nous sommes extrêmement préoccupés par la violence que nous avons vue ces derniers jours, en particulier les affrontements armés entre le soi-disant Conseil de transition du Sud et les forces gouvernementales”, a déclaré le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, à New York.
“Nous avons pu lire de nombreux rapports sur un grand nombre de morts et de blessés”, a-t-il déclaré.
“Nous appelons tous les parties à respecter leurs obligations en vertu du droit international humanitaire … et il est primordial que les civils soient protégés et que les blessés bénéficient de soins médicaux sûrs et que tous les camps facilitent l’accès vital.”
Les combattants des Forces de Résistance du Sud (FRS), branche armée d’un mouvement politique exigeant la sécession du sud du Yémen, ont conquis la majeure partie d’Aden plus tôt cette semaine, avec l’aide des Émirats arabes unis.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Islamophobie : les actes antimusulmans en France en baisse en 2017.
L’heure est au bilan pour l’Observatoire national contre l’islamophobie, lié au Conseil français du culte musulman (CFCM). Du 1er janvier au 31 décembre 2017, 121 actes antimusulmans ont été recensés, contre 185 en 2016, soit 34,6 % d’actes en moins.
« Si globalement on enregistre une baisse de 34,6 %, cela concerne plus les menaces que les actions qui sont traumatisantes et qui ont augmenté de 7,5 % », fait savoir l’Observatoire jeudi 1er février, qui note également une baisse des atteintes aux lieux de culte musulmans (68 en 2017 contre 78 en 2016, soit – 12,8 %) et aux carrés musulmans des cimetières (4 en 2017 contre 7 en 2016, soit – 42,9 %).
« Même si plusieurs responsables de lieux de culte continuent à ne pas porter plainte pour plusieurs raisons », la baisse est expliquée du fait que « la France n’a plus connu, comme lors des années 2015-2016, des attentats qui ; très souvent, favorisent des actes antimusulmans ».
La baisse est aussi attribuée en partie par « la mise en place d’un préfet chargé de la sécurisation des lieux de culte et la surveillance de plus de 1 100 sites musulmans par l’opération Sentinelle ». A ce titre, de nombreuses mosquées ont bénéficié d’une aide pour s’équiper d’un dispositif de sécurité depuis 2015.
Néanmoins, l’Observatoire, constatant que « des plaintes déposées depuis plus d’un an auprès de certains parquets n’ont pas abouti à ce jour », considère toutefois qu’il y a « une justice à deux vitesses ». « Une rencontre prochaine avec la ministre (de la Justice) et Garde des sceaux doit avoir lieu pour lui faire part de nos revendications », indique l’instance présidée par Abdallah Zekri, qui déplore l’existence d’actes antimusulmans « très souvent provoqués ou encouragés par des discours identitaires de certains de nos hommes politiques et autres qui ne se gênent pas de stigmatiser l’islam et les musulmans ».

Sur oumma.com, voici les titres.

Une employée de maison tunisienne “mise en vente” par un Saoudien.
Il semble que le temps moyenâgeux de la vente d’esclaves ne soit pas révolu pour tout le monde en Arabie saoudite…
A l’heure où le vent de la réforme souffle sur la monarchie wahhabite, un sujet saoudien, homme d’affaires de son état, plutôt que d’aller dans le sens du vent, préfère s’enfoncer dans les ténèbres d’un autre âge sans le moindre état d’âme.
Face au refus de son épouse, motivée par la jalousie féminine, d’accueillir une bonne à tout faire tunisienne après l’avoir vue en photo, celui-ci n’a pas hésité une seule seconde à mettre en vente l’employée de 32 ans corvéable à merci, plus soucieux de rentrer dans ses fonds que de savoir si tout cela était bien moral.
Pour la somme de 2 900 euros correspondant, selon lui, aux frais de voyage de la jeune femme, de son contrat passé avec une société intermédiaire à Tunis, de l’obtention de son visa et autres papiers nécessaires pour être autorisée à travailler localement, ce mari saoudien fortuné, qui n’avait pourtant guère besoin d’argent, a purement et simplement revendu ce qu’il considérait être sa « marchandise ».
Sitôt publiée, sitôt décriée, son annonce, effarante et dégradante, a soulevé l’indignation des internautes arabes en général, et tunisiens en particulier, obligeant l’ambassade et le consulat de Tunisie à Riyad à intervenir afin de mettre un terme à cette sordide affaire.
Les rumeurs vont bon train concernant la présence ou non de l’infortunée femme de ménage tunisienne sur le sol saoudien, certaines sources assurant qu’elle s’y trouve déjà, mais privée de son précieux passeport, tandis que d’autres prétendent qu’elle serait sur le point d’y débarquer, à ses risques et périls…
De la haine de l’islam à la prononciation de la “Shahada “.
Que peuvent bien avoir en commun Arnaud Van Doorn, Arthur Wagner et Werner Klawun ? Ces 3 islamophobes repentis ont répondu au même appel : celui du Très-Haut. De la détestation de l’islam à la prononciation de la Shahada, il n’y avait qu’un pas à franchir. Un pas de géant…L’ex-député néerlandais Arnaud Van Doorn a embrassé l’islam, après s’être égaré dans le parti anti-islam de G. Wilders. « Je regrette d’avoir participé à la réalisation du film indigne « Fitna ». J’espère que Dieu me pardonnera. (Arnaud Van Doorn-pèlerinage à la Mecque 2013)
L’Allemand Arthur Wagner a laissé les rênes du parti nationaliste AfD pour n’écouter que son cœur. Loin du bruit et de la « führer », il a révélé son islamité avec une sérénité recouvrée. A 75 ans, l’Allemand Werner Klawum prouve qu’il n’y a pas d’âge pour se convertir à l’islam. L’ex-député du parti anti-immigration NDP s’appelle désormais Ibrahim et fait des dou’as pour les réfugiés.
Autre cas : l’Américain Jason Leger, un ex-biker néofasciste, a changé radicalement d’avis sur l’islam. Il ne bombe plus le torse devant les mosquées de l’Arizona, mais y pénètre pour échanger avec les fidèles. Il s’attelle aujourd’hui à bâtir des passerelles de compréhension et de respect mutuels.
reportage a voir sur oumma.com.
Le président Macron en Tunisie : 8 accords de coopération à la clé.
Arrivé hier, mercredi 31 janvier, à l’aéroport de Tunis-Carthage, dans le cadre d’une escale officielle de deux jours, le président Macron a reçu un accueil très chaleureux de la part du président Béji Caïd Essebsi, augurant de relations franco-tunisiennes au beau fixe, consolidées par la signature de 8 accords de coopération.
C’est dans la somptueuse enceinte du Palais de Carthage que les deux chefs d’Etat ont présidé une cérémonie solennelle de signature d’accords, à laquelle ont pris part leurs ministres concernés respectifs.
A cette occasion, pas moins de 8 accords ont été scellés :
• Déclaration conjointe sur les priorités du partenariat franco-tunisien ;
• Déclaration d’intention entre le gouvernement de la République tunisienne et le gouvernement de la République française concernant la coopération bilatérale dans la lutte contre le terrorisme et le financement de l’extrémisme ;
• Déclaration d’intention entre le gouvernement de la République tunisienne et le gouvernement de la République française relative à une initiative pour la Jeunesse et les jeunes entrepreneurs ;
• Pour la création d’une université franco-tunisienne pour l’Afrique et la Méditerranée IFTAM ;
• Avenant de Protocole financier relatif à l’octroi d’une ligne de financement au profit des PME/ PMI ;
• Avenant à la convention relative à la conversion de dettes en projet de développement ;
• Convention de financement pour le soutien du projet de la réforme de la gouvernance des établissements publics ;
• Convention de financement du programme Profil 2.
Au cours de la conférence de presse qui s’ensuivit, le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, a vivement remercié son homologue français pour cette visite nécessaire et fructueuse, mettant particulièrement l’accent sur l’importance d’une telle rencontre pour pérenniser les liens entre les deux pays.
« Cette visite constitue un nouveau départ pour les relations franco-tunisiennes. Cependant, je voudrais remercier la France pour son appui sérieux, lors de l’épisode de blacklistage de la Tunisie et sa classification parmi les paradis fiscaux », a-t-il déclaré.
A l’unisson, Emmanuel Macron a retourné le compliment au chef d’Etat tunisien. « La relation entre la France et la Tunisie est une relation séculaire. Je tiens à saluer l’expérience exemplaire de la Tunisie et sa transition démocratique », a-t-il insisté, non sans avoir assuré la Tunisie du soutien de la France, notamment dans le contexte régional actuel.
« La réussite de la Tunisie, qui défend ses principes, est aussi notre bataille. […] Actuellement, tout se joue sur le plan économique en Tunisie, des réformes douloureuses s’imposent, pour que la Tunisie soit un véritable pôle d’attractivité », a-t-il souligné.
reportage a voir sur oumma.com.
Palestine : “La Nuit de la liberté”pour Salah Hamouri: à ne pas manquer, le 16 février prochain !
Cela fait maintenant 5 longs mois que Salah Hamouri, après avoir été arrêté chez lui le 23 août dernier, en pleine nuit, a été placé en « détention administrative » sur ordre du ministre israélien de la Défense, l’ultra-sioniste Avigdor Lieberman.
Une mobilisation très large dans notre pays, entraînant une multitude de femmes et d’hommes de professions, de fonctions, d’origines sociale, politique et culturelle et de parcours très différents, s’est réalisée. Grâce à elle, nous sommes parvenus, petit à petit, à faire bouger les lignes.
C’est ainsi que, le 10 décembre dernier, le Président de la République a exprimé à Benjamin Netanyahou la position française sur la détention administrative, condamnée par notre pays dès lors qu’elle est abusive, systématique et viole le droit à un procès équitable. Il lui a demandé, en conséquence, « la libération de Salah Hamouri ». Emmanuel Macron a précisé par la suite que si Salah Hamouri relevait du droit israélien, compte tenu de son statut de Palestinien de Jérusalem, il n’en restait pas moins un citoyen Français et que la France mettrait toute son énergie nécessaire pour que ses droits soient respectés.
Plus de 5 mois après, force est de constater que Salah est toujours en prison et, pire encore, subit une mesure punitive pour avoir donné une interview à un quotidien français. Rien, ni aucun signe, ne laisse présager sa libération prochaine. La haine et l’acharnement à son endroit sont manifestes et la volonté qu’il quitte sa terre natale est évidente.
Reste que si nous poursuivons nos efforts pour qu’il soit libéré au plus tôt, il convient d’anticiper et de clairement empêcher qu’au bout des 6 mois – qui devraient normalement (mais sans certitude de jour exact) se terminer le 28 février – il soit bien libéré et non pas soumis à une seconde décision israélienne de 6 nouveaux mois de détention administrative.
C’est pourquoi l’exigence de libération de Salah Hamouri au plus tard à la fin de cette détention administrative doit s’exprimer pour avoir les effets nécessaires. La demande du Président, non suivie d’effets, indique clairement que les obstacles sont grands et que les moyens à déployer pour les surmonter doivent l’être plus encore. La France est un grand pays qui ne peut laisser, sans conséquences, ses demandes repoussées abruptement.
Dans ce cadre et dans cet esprit, nous appelons à des prises d’initiatives, les plus diverses et marquantes, vers le gouvernement français, afin que Salah soit libre au plus tard, disons le 28 févier conformément à la décision de « détention administrative » signée par Lieberman.
Une initiative se tiendra le 16 février en ce sens, une initiative importante dont nous vous informons sans attendre, afin que vous puissiez vous dégager pour cette soirée qui se tiendra à l’espace Robespierre, à Ivry-sur-Seine (métro 7 Mairie d’Ivry), à partir de 18h. Ce sera un moment à la fois politique et festif.
L’entrée est libre sous réservation à libertepoursalah@gmail.com. Nous vous donnerons plus de détails sur le contenu de cette soirée d’ici quelques jours.
Nous arrivons à un moment crucial. Il nous faut garantir la libération de Salah. Il doit être libre, il doit retrouver sa famille, sa femme et son enfant, au plus vite. Nous comptons sur vous !
Le Comité de soutien à Salah Hamouri.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

10 tonnes de pain jetées chaque semaine dans la capitale : Criminel gaspillage !
Le pain est l’aliment le plus consommé quotidiennement, notamment au coeur de tous les repas Algériens, mais aussi beaucoup gaspillé. Selon les statistiques des entreprises d’hygiène de la wilaya d’Alger 10 tonnes de pains sont jetés dans les poubelles chaque semaine sans compter les quantités importantes acquises par les éleveurs. A ce propos, le président de la fédération Algérienne des boulangers, M. Youcef Kalafat a déclaré » le gaspillage du pain est due de manque ou l’absence de la culture de consommation chez les Algériens » De son coté, le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a indiqué, que les deux entreprises d’hygiène locales « Netcom » et « Extranet » collectaient chaque semaine plus de 10 tonnes de pain, qualifiant cette situation « d’inconcevable ». Ajoutant lors de la visite de travail et d’inspection de la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima Zohra Zerouati à plusieurs sites, dont le Centre d’enfouissement technique « Khemisti » de Zeralda, les projets des Parcs de Ouled Fayet et Oued Smar ainsi que le Lac de Réghaia. Qualifiant cette situation « d’inconcevable et de comportement étrange à la société algérienne », le wali d’Alger a estimé que le « succès » du tri sélectif des déchets ménagers était tributaire de la contribution du citoyen, affirmant que le jet anarchique du pain au niveau de la capitale « doit interpeller tout un chacun », par ailleurs, le wali a appelé les citoyens à éviter le gaspillage de ce produit vital, fabriqué à base de blé subventionné par l’Etat. Soulignant les efforts consentis par la wilaya pour la mise en oeuvre de projets de protection de l’environnement, le chef de l’exécutif de la wilaya d’Alger a indiqué que le tri sélectif, qui concerne actuellement 34 quartiers de la capitale, ne saurait aboutir aux résultats escomptés que grâce à l’interaction positive du citoyen. A ce propos, il a exhorté les citoyens à respecter les dispositifs du tri sélectif pour contribuer de façon « effective et positive » à la réussite de cette initiative, assurant par la même que la lutte contre la prolifération des dépotoirs anarchiques est une responsabilité collective. L’environnement a été amélioré de manière notable ces dernières années grâce aux moyens matériels et humains mobilisés par l’Etat pour éradiquer les points noirs dans les différentes communes de la wilaya, a relevé le premier responsable exécutif de la wilaya. Au niveau du site de valorisation des déchets inertes relevant du centre d’enfouissement technique catégorie 3 situé à Hamissi, la commune de Maalma (Zéralda), le wali a évoqué la nécessaire exploitation des déchets en les transformant en énergie, appelant lors du déplacement aux chantiers des Parcs de Ouled Fayet et de Oued Smar à l’impératif de d’y assurer toutes les commodités nécessaires, à l’instar des parkings pour accueillir les citoyens.
La tutelle répond favorablement à certaines de leurs principales revendications : La balle est dans le camp des médecins résidents.
Le ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière a répondu favorablement à certaines revendications soulevées par les médecins résidents grévistes, liées essentiellement à l’amélioration des conditions de travail dans le cadre du service civil, selon un responsable du ministère, réitérant l’attachement de la tutelle à poursuivre le dialogue.
Visite de M. Gaid Salah à la Base Centrale Logistique en 1ère région militaire de Blida : Un grand acquis pour l’ANP.
Le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-Ministre de la Défense Nationale, Chef d’État- Major de l’Armée Nationale Populaire a effectué, hier, une visite de travail et d’inspection à la Base Centrale Logistique, Chahid Mohamed Saoudi dit Si Mustapha, à Béni Merad/Blida en 1ère Région Militaire. Cette visite s’inscrit dans le cadre du suivi du degré d’exécution du plan de rénovation et de modernisation du matériel et des équipements développés au niveau de cette grande base. Par ailleurs, après la cérémonie d’accueil, il suivi un exposé global sur les missions et les réalisations de la Base Centrale Logistique, présenté par le Directeur Général de la Base, abordant l’ensemble des actions entreprises dans le domaine de la rénovation et de la modernisation. Par la suite, il a inspecté les différentes chaines de production et a examiné les prototypes des équipements développés au niveau de cette importante Base, qui est un pôle essentiel pour le soutien et le maintien de l’état-prêt des unités de combat, que ce soit en matière de rénovation et de modernisation, où en matière de maintenance du matériel au niveau des unités déployées à travers les six Régions. Dans le cadre du développement et de la modernisation, Monsieur le Général de Corps d’Armée a inspecté un lot de camions et de véhicules construits respectivement par la Société Algérienne de Production du Poids- Lourd à Rouïba et la Société Algérienne de Fabrication des Véhicules à Bouchakif/Tiaret, relevant du Ministère de la Défense Nationale. Ces camions et véhicules ont été modernisés au niveau de la Base Centrale Logistique, en les dotant de systèmes d’armement d’artillerie de campagne, de défense contre aéronefs et d’autres équipements.
Accidents de la route : Baisse encourageante du nombre de morts.
Le centre national de prévention et de sécurité routière a fait état dans son rapport de 2017 de la baisse du nombre de morts et de blessés dans les accidents de la route en Algérie. Selon la même source, les 25.038 accidents de la circulation enregistrés en 2017 ont causé la mort de 3.639 personnes, en baisse de 8,84% par rapport à 2016, selon ce rapport qui relève également une baisse de 17,54 % du nombre de blessés, passant de 44.007 en 2016 à 36.287 blessés en 2017. Par ailleurs, le taux de mortalité routière observé en 2017 est “le plus bas” depuis l’année 1998, période au cours de laquelle il avait été déploré le décès de 3.565 personnes, a précisé la même source, rappelant que le nombre de véhicules en Algérie a été multiplié par 4 durant cette période, passant en 2017 à plus de 8,858 millions unités contre 2,742 millions en 1996, “situation qui, dans des pays comparables au notre, aurait conduit irrémédiablement à une explosion de la sinistralité”, a rapporté le rapport. En ce qui concerne le nombre de personnes blessées, c’est l’indicateur qui a connu la baisse la “plus conséquente” au cours de ces dernières années, a relevé le rapport, ajoutant qu’en effet, après avoir enregistré “un pic” en 2013, avec un nombre de 69.582 blessés, cet indicateur a entamé une “baisse continue” pour atteindre le nombre de 44.007 en 2014, puis 36.287 blessés . Le nombre de 36.287 blessés, recensé en 2017, constitue le “meilleur taux” depuis 1997, année au cours de laquelle il avait été déploré un nombre de 34.534 personnes blessées. Par régions, la wilaya de M’sila a enregistré le plus fort taux de mortalité en 2017, avec 175 personnes décédées sur les routes, suivie par Alger avec 135 décès et Sétif avec 129 morts. Les conducteurs titulaires d’un permis de conduire de moins de deux ans (Permis probatoire) ont été impliqués dans 6.894 accidents corporels de la circulation routière en 2017, soit près de 28% de la totalité des conducteurs impliqués. Cet état de fait peut être expliqué, en grande partie, par le “faible apprentissage” à la conduite et le jeune âge des nouveaux titulaires des permis de conduire, lesquels favorisent les comportements “intempestifs” et les postures “dangereuses et irréfléchies” en circulation. L’autoroute Est- Ouest et la Route nationale n01, en raison de la longueur de leur tracé et de la dangerosité de certains de leurs tronçons, ont comptabilisé le plus grand nombre d’accidents durant l’année 2017, avec respectivement 709 et 559 sinistres. Avec 1.405 accidents corporels enregistrés en, la wilaya d’Alger se positionne dans le peloton de tête des wilayas les plus touchées par “l’hécatombe routière”. Toutefois, cet indicateur de l’accidentalité “doit être relativisé” au regard de la taille du parc automobile de cette wilaya (16,48% du parc national), de l’étendue de son réseau routier (2.364 km), de sa densité démographique et surtout de l’importance de sa population, a expliqué le centre. L’axe M’Sila, Sétif et Biskra, qui constitue un “grand carrefour” desservant les régions Centre–Est et Sud du pays, comptabilise 2.729 accidents corporels, soit 10,90% de la sinistralité routière enregistrée au niveau national.
Seulement 2,2 millions d’abonnés à l’ADSL en 2017 : Algérie Télécom patine….
Durant la fin de l’année 2017, l’opérateur Algérie Télécom a enregistré 134.000 nouveaux clients portant ainsi le nombre total à 2,2 millions abonnés à l’internet haut débit filaire (ADSL), soit une augmentation de 374.000 clients par rapport à 2016. Selon le bilan rendu public mardi soir, lors de la cérémonie de lancement de la nouvelle technologie très haut débit “Idoom fibre” destinée aux clients résidentiels permettant d’améliorer sensiblement le service internet en atteignant des performances pouvant aller jusqu’à 100 Mb/s. La cérémonie de lancement de cette technologie, utilisant la fibre optique, s’est déroulée en présence de la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda-Imane Faraoune, du ministre de la Communication, Djamel Kaouane, et du ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane. L’offre “Idoom fibre” est composée d’un accès internet très haut débit allant de 2 Mb/s à 100 Mb/s et d’une ligne fixe avec forfait d’appels illimités. Cette nouvelle technologie offre une grande aisance dans l’usage d’Internet en termes de navigation et de téléchargement, a-t-on expliqué auprès de l’opérateur, qui ajoute qu’Idoom fibre offre également un meilleur temps de latence qui permet aux clients de visualiser des vidéos en streaming, de regarder la télévision en haute définition (HD) et de passer des appels téléphoniques via internet avec tout le confort et la qualité de service garantis par cette technologie. D’autre part, la 4G LTE fixe (Internet haut débit sans fil fixe) a enregistré durant la même période de référence 134.000 nouveaux clients portant ainsi à 919.000 abonnés à ce service. Le nombre d’abonnés à la téléphonie fixe a, quant à lui, atteint 3,1 millions d’abonnés au 31 décembre 2017, soit 315.000 nouveaux clients par rapport à 2016. Par ailleurs, Algérie Télécom a indiqué, que 1583 entreprises privées et 1131 publiques ont été reliées au réseau internet avec un débit allant entre 2 Méga et 1 Giga (1000 Méga). De son coté, le directeur général d’Algérie Télécom, Adel Khemane a affirmé que cette nouvelle technologie entre dans le cadre du projet du FTTx (Internet en fibre optique), un projet dont la première phase, que nous célébrons aujourd’hui, représente un investissement de 38 milliards de dinars. Depuis le lancement de ce projet, Algérie Télécom a construit un partenariat durable avec de jeunes entrepreneurs, qu’elle encadrés et formés sur l’ingénierie de déploiement standardisée des réseaux de fibre optique à très haut débit, avec la maitrise de la technologie de pointe, a-t-il ajouté. Il a affirmé qu’Algérie Télécom oriente sa stratégie vers un déploiement progressif, mais complet et cohérent, d’un réseau de fibre optique à très haut débit qui peut délivrer des capacités de 100 Mb/s pour les clients résidentiels. Le DG d’Algérie Télécom a indiqué que les nouvelles cités seront toutes dotées de la technologie FTTx, alors que celles existantes verront leurs réseaux de distribution modernisés, ajoutant que 725 communes, réparties sur 48 wilayas regroupant plus de 1,5 million de nouveau logements seront touchés par cette technologie dans un premier temps. Le projet FTTx d’Algérie Télécom vise à garantir la modernisation de la desserte télécom jusqu’aux clients finaux, aujourd’hui assurée par une simple paire de cuivre et dans une moindre mesure par les réseaux câblés.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

‘Radicalisation’ et prison : «Les détenus musulmans se cachent pour pratiquer leur religion».
Le 11 janvier dernier, à Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais), trois surveillants ont été attaqués par un détenu condamné pour l’attentat de Djerba en 2002.
Un incident qui a mis le feu aux poudres, déclenchant une grève quasi générale dans les prisons françaises. Entre 120 et 130 prisons ont été concernées, sur les 188 du pays où travaillent 28 000 surveillants.
« Les prisons françaises sont les pires d’Europe »
Ces derniers ont dénoncé leurs conditions de travail, la pénurie de personnels en milieu carcéral, la surpopulation des prisons ainsi que la gestion des détenus « radicalisés« , devenue trop difficile. Une crise qui n’est pas la première. En 2009, Rachida Dati avait reçu les représentants syndicaux des surveillants, puis François Hollande en avait fait de même en 2015.
Depuis des années des ONG pointent du doigt les prisons françaises, jugées comme étant les pires d’Europe, avec un taux d’occupation d’environ 118 % en 2017. Plusieurs rapports ont rendu compte des « traitements inhumains et dégradants », établis notamment par l’Observatoire international des prisons du Conseil de l’Europe et des parlementaires de l’ONU. En 2011, la justice administrative française avait également condamné l’Etat à indemniser des détenus du fait de leurs conditions d’incarcération.
« Une approche ultra-sécuritaire » pour les détenus radicalisés, jugée contreproductive par l’OIP.
Un système pénitentiaire qui semble « à bout de souffle » désormais, selon les mots de l’Observatoire International des prisons (OIP). Dans un communiqué paru le 26 janvier, l’observatoire revient sur cette dizaine de jours de grève, qui s’est finalement soldée par un accord entre le ministère de la Justice et les syndicats. Les surveillants ont entre autres obtenu plus de 30 millions d’euros pour renforcer les indemnités perçues en complément de leur salaire.
Mais l’OPI déplore le choix du gouvernement d’avoir cédé « à certaines revendications les plus répressives des syndicats » et cette « régression (…) attentatoire aux droits de l’homme ».
En effet, il a été annoncé la création de 1 350 places supplémentaires au sein de six quartiers pour détenus violents, « une approche ultra-sécuritaire de la prise en charge des détenus considérés comme radicalisés ou dangereux » écrit l’OPI. Ce dispositif s’accompagnera de fouilles régulières, de changements de cellules, de restriction des effets personnels et des contacts avec les autres détenus.
Mais l’isolement et le renforcement des contrôles de détenus dit « radicalisés » sont-elles des solutions efficaces ? Une approche permettant une réinsertion réussie ? « Si les détenus concernés n’ont plus aucun espoir de réhabilitation (…) le principal risque est de les voir s’ancrer dans le cercle vicieux de la violence », s’inquiète l’OPI.
D’autant que la définition d’un détenu « radicalisé » pose toujours question, comme s’interroge le sociologue Farhad Khosrokhavar, dans une récente tribune pour le Monde :
« Les surveillants surchargés suspectent les « barbus », ou ceux qui ont coupé leur barbe récemment, de radicalisation, alors que la perception des phénomènes de radicalisation en prison nécessite un personnel nombreux et expérimenté ».
De « prosélyte » à « radicalisé », un basculement rapide dans la catégorisation des détenus
L’aumônerie musulmane est chargée depuis plusieurs années de ces questions, suite aux attentats. Pour Gaétan Dehondt, ancien aumônier musulman au centre pénitencier de Laon (02), il reste toujours complexe de définir un individu radicalisé.
« Certains délinquants se mettent à pratiquer davantage, ils comprennent que la religion peut les aider et elle devient plus importante dans leur vie. Mais ils n’ont pas toujours les connaissances nécessaires et cela se ressent dans leur discours un peu maladroit. Sont-ils pour autant dangereux? ».
« Il y a de plus en plus de déclarations d’inquiétudes irréalistes » Samia El Alaoui, aumônière.
Une réalité que Samia El Alaoui, aumônière dans plusieurs établissements de la région de Lille et secrétaire nationale de l’aumônerie musulmane dans les prisons, confirme également. « Auparavant les surveillants chargés de repérer les détenus dangereux disaient que certains étaient prosélytes, désormais ils les déclarent trop facilement comme radicalisés. Selon moi il y a de plus en plus de déclarations d’inquiétudes irréalistes ».
Samia El Alaoui ne nie pas la dangerosité de certains individus, mais elle explique que la violence de détenus envers les gardiens n’est certainement pas directement corrélée à leur religion, prenant l’exemple de Christian Ganczarski, l’homme converti d’origine allemande qui a agressé les trois surveillants :
« Je n’excuse pas ce qu’il a fait. Il est peut être ‘islamiste’ mais il n’a jamais causé de problème en détention et il a une femme enceinte qui l’attend dehors. Au moment des faits il venait d’apprendre qu’il allait être extradé vers les Etats-Unis, donc éloigné de sa famille. Il était anéanti. S’il faisait quelque chose de grave en France alors il allait rester. Quand un homme n’a plus d’espoir, cela peut avoir des conséquences terribles. Il a écrit pour demander pardon aux surveillants », explique l’aumônière.
« Les détenus ont peur d’être fichés S, alors ils rangent leurs calendriers avec les horaires de prières ».
Gaétan Dehondt, aujourd’hui coach en développement personnel, estime lui qu’il y a actuellement un réel problème de communication entre surveillants et prisonniers musulmans.
« Le métier de surveillant est très éprouvant et certains sont au bord du suicide. Mais beaucoup de gardiens n’ont jamais côtoyé de musulmans et ils sont clairement hostiles à l’islam. Cependant j’ai toujours dit aux détenus que c’étaient à eux de montrer une bonne image de leur religion à travers leur comportement », souligne t-il.
Et malgré les apparences, beaucoup de musulmans incarcérés pratiqueraient désormais leur religion de façon isolée, redoutant d’être suspectés de radicalisation.
« Beaucoup de mosquées ne font pas leur travail en amont » Gaétan Dehondt, aumônier.
« Aujourd’hui les tapis sont autorisés, les gens s’inscrivent au jeûne du Ramadan. Mais les détenus ont peur d’être fichés S, alors ils rangent leurs calendriers avec les horaires de prières, qu’ils affichaient avant sur les murs de leur cellule », assure Samia El Alaoui, qui fréquente les prisons depuis une dizaine d’années.
Une suspicion généralisée selon elle, qui porte également sur les familles en visite.
« Des proches venus de loin qui demandent à prier, l’appel à la prière qui se déclenche sur un portable… et rapidement cela est considéré comme du prosélytisme », déplore l’aumônière.
Mais les deux aumôniers ne sous-estiment pas le travail qu’il reste à faire auprès des détenus musulmans, et depuis plusieurs années déjà, ils demandent plus de moyens.
« 1h par semaine pour 150 détenus, c’est de la folie. Il faut créer des vrais postes à temps complets. Pour lutter vraiment contre la radicalisation il faut y mettre les moyens, et rien n’a été mis en place », regrette Gaëtan Dehondt, qui a exercé pendant deux ans au sein des prisons.
Seulement 183 aumôniers musulmans pour environ 18 000 détenus.
Les aumôniers musulmans sont en effet 183 sur le territoire, alors qu’on estime à 18 000 le nombre de musulmans dans les geôles françaises (chiffre officiel de l’administration pénitentiaire en 2013). En 2015, suite aux attentats, la création de 60 postes supplémentaires d’aumôniers avait été annoncée par Manuel Valls, afin de lutter contre la “radicalisation » estimée exacerbée dans le milieu carcéral.
« Nous sommes en 2018, mais la promesse n’a toujours pas été tenue. Nous voulons un vrai statut d’aumônier avec un salaire. Aujourd’hui, les indemnités d’un aumônier (environ 300 euros par mois), couvrent difficilement les frais de déplacements », confie Abdallah Zekri, délégué général du CFCM.
Des mosquées accusent des aumôniers de « radicalisation » pour placer leurs propres candidats.
« Il y a certes eu une augmentation budgétaire pour l’aumônerie du culte musulman, mais alors que l’on mettait avant six mois pour avoir l’agrément d’un aumônier, il faut maintenant un an et demi. Les retours préfectoraux sont longs car de plus en plus de volontaires sont suspectées par les renseignements généraux d’être radicalisées. Le dernier refus concerne une personne de nationalité française qui a été jugée un peu trop pratiquante pour avoir l’agrément », détaille Samia El Alaoui. Mais plus grave encore, elle s’indigne devant les guerres inter-mosquées, certaines n’hésitant pas à déclarer de futurs aumôniers de radicalisés, afin de placer leur propre candidat.
Gaëtan Dehondt est aussi critique envers les mosquées, trop peu actives devant ce phénomène de “radicalisation ». « Beaucoup de mosquées ne font pas leur travail en amont, elles ne savent pas répondre aux questions des jeunes et à leurs frustrations, et nous retrouvons ces difficultés en prison. Or la religion c’est aussi du social et le problème du radicalisme est un problème sociétal » conclut t-il.
Londres : l’assaillant de la mosquée de Finsbury Park voulait « tuer Jeremy Corbyn ».
En juin 2017, aux abords de la mosquée de Finsbury Park, dans le nord de Londres, un conducteur de van avait fauché les fidèles sortant de la prière. Il avait alors tué Makram Ali, 51 ans. Selon plusieurs témoins, le conducteur avait crié, avant de viser la foule, qu’il voulait « tuer tous les musulmans. » Le principal suspect arrêté comparaît aujourd’hui devant la justice. Il a expliqué que, avant cet acte, il avait voulu tuer de hauts responsables du Parti travailliste, parmi lesquels Jeremy Corbyn.
L’accusé, Darren Osborne, assure que ce n’est pas lui qui conduisait la camionnette le jour du drame de la mosquée de Finsbury Park. L’homme et ses complices voulaient, toujours selon l’accusé, se rendre à Rochdale pour attaquer un homme politique s’appelant Hussain. Les trois hommes auraient décidé au dernier moment de changer de cible pour faire « plus de victimes » en fonçant dans la foule réunie pour la Journée mondiale d’Al-Qods.
« Si Sadiq Khan avait été là, cela aurait été comme gagner à la loterie ».
Ils espéraient alors que Jeremy Corbyn soit présent. « Cela aurait fait un terroriste de moins dans nos rues », explique l’assaillant, qui ajoute que « si Sadiq Khan (le maire de Londres) avait été là, cela aurait été encore mieux. Cela aurait été comme gagner à la loterie. » Mais les hommes sont finalement arrivés trop tard.
Et c’est là qu’ils ont décidé de s’en prendre aux fidèles de la mosquée, même si Darren Osborne assure que c’est un autre homme qui a pris cette initiative. Des témoins ayant rencontré Osborne dans un bar avant l’attaque ont indiqué qu’il leur avait avoué « préparer quelque chose contre les musulmans. »
Comment une femme terrorise les mamans d’élèves voilées devant l’école de leurs enfants.
A Perpignan, en novembre dernier, six femmes portaient plainte pour propos islamophobes et violences physiques en lien avec leur appartenance religieuse à l’islam et leur port du hijab. Ces femmes accusaient une retraitée d’une soixantaine d’année de se rendre régulièrement à la sortie de l’école de leurs enfants, l’établissement Romain Rolland, et d’y exhiber un couteau qu’elle transportait dans son sac à main. La sexagénaire aurait même tenté de percuter des femmes musulmanes avec sa voiture.
Selon La semaine du Roussillon, la garde-à-vue de nombre dernier n’aura pas servi de leçon à la retraitée. « Les insultes devant l’école Romain Rolland, près de la place Cassanyes à Perpignan, ont repris de plus belle », indique le journal. La sexagénaire a été aperçue en train d’interpeller des mères d’élèves musulmanes. Le responsable du CRI 66 Abdelaziz Rhighi explique : « Elle a recommencé verbalement avec véhémence, devant l’école. La porte allait ouvrir, elle s’en est pris à une femme voilée devant ses enfants. »
Suite aux plaintes des mamans d’élèves, la retraitée passera devant la justice le 7 avril prochain. Abdelaziz Rhighi demande, en attendant, que les abords de l’école soient désormais protégés par la police. « Parents et enfants doivent être sereins quand ils vont à l’école », affirme-t-il. Plusieurs mères de familles ont décidé de témoigner de leur quotidien auprès de la radio France Bleu.
reportage a voir sur le muslim post.com.
Palestine : Blocus de Gaza : vers une explosion « violente et meurtrière ».
C’est une véritable catastrophe humanitaire qui s’annonce en Palestine. Et l’on ne pourra pas dire que l’on ne savait pas. L’Organisation des Nations Unies, par l’intermédiaire de son envoyé spécial au Proche-Orient, Nickolay Mladenov, a prévenu mardi dernier que la situation dans la bande de Gaza pourrait devenir plus tragique qu’elle ne l’est déjà.
La bande de Gaza est au bord « d’un effondrement total », prévient l’envoyé spécial de l’ONU, qui pointe du doigt le blocus. Que préconise Nickolay Mladenov ? De restaurer le pouvoir de l’Autorité palestinienne. Sans cela, prévient l’émissaire des Nations Unies, « Gaza risque à nouveau d’exploser, de manière encore plus violente et meurtrière que par le passé. »
Des propos qui paraissent alarmistes. Et pourtant, la réalité semble corroborer l’analyse de l’envoyé spécial de l’ONU. Cette semaine, par exemple, sept centres médicaux ont été fermés à Gaza faute de carburant. Depuis 2008, la bande de Gaza a subi trois guerres avec Israël, et cela pourrait donc empirer. Notamment parce que la situation économique et humanitaire est catastrophique, du fait des blocus israélien et égyptien.
Pour Nickolay Mladenov, nous nous trouvons « au milieu d’une crise humanitaire majeure. » L’envoyé spécial de l’ONU ajoute que « nous sommes au bord d’une faillite totale des systèmes à Gaza, avec un effondrement total de l’économie, avec des implications sécuritaires qui en résultent pour les services sociaux, politiques et humanitaires. »
La Chine durcit sa lutte contre l’Islam, le christianisme et le bouddhisme.
La région autonome du Xinjiang, en Chine, est devenue un véritable laboratoire high-tech de surveillance. Le gouvernement chinois a mis en place des systèmes très pointus pour avoir toujours un œil sur ses Ouïgours, ses citoyens de confession musulmane : espionnage sur les téléphones portables, interdiction des barbes ou des voiles… Tout est fait pour restreindre les libertés des Ouïgours, sous couvert de lutte contre l’extrémisme.
Ce jeudi, de nouvelles règles vont entrer en vigueur, elles aussi censée permettre de renforcer la sécurité en Chine. Les pratiques religieuses non reconnues par l’Etat sont notamment visées par des textes publiés en septembre dernier et qui seront appliqués dès aujourd’hui. Les religions reconnues sont elles aussi dans la ligne de mire des Chinois.
Des croix détruites et un centre bouddhiste menacé.
Dans les grandes largeurs, le Parti communiste chinois demande que les religions se « conforment mieux » aux « réalités chinoises » et à la « société socialiste. » Sont particulièrement visées des religions comme l’Islam, mais aussi le christianisme et le bouddhisme tibétain.
Désormais, les associations religieuses ne pourront plus accepter de dons provenant de l’étranger et devront obtenir des autorisations de la part des autorités pour toute organisation d’événement. En cas de manquement à ces règles, les associations s’exposent à de lourdes amendes. La Chine veut également durcir les règles d’ouverture d’écoles religieuses.
Le gouvernement chinois vise surtout les Ouïgours, mais étend sa répression au christianisme : il a fait décrocher des croix d’églises protestantes et détruit une église évangélique dans le nord du pays. Il a aussi pris le contrôle d’un des plus grands centres monastiques du bouddhisme tibétain du monde.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Dentifrice empoisonné et téléphones explosifs : Israël serait lié à 2 700 assassinats en 70 ans.
Un nouveau livre affirme qu’Israël aurait utilisé un poison radioactif pour tué Yasser Arafat, le chef historique palestinien, ce que les dirigeants israéliens ont toujours nié.
Du dentifrice empoisonné qui met fin à la vie de la cible en un mois. Des drones armés. Des téléphones portables explosifs. Des roues de secours contenant des bombes télécommandées. Assassiner des scientifiques ennemis et découvrir les maîtresses de religieux musulmans.
Un nouveau livre relate ces techniques et affirme qu’Israël aurait perpétré au moins 2 700 assassinats durant les 70 années de son existence. L’ouvrage explique que, bien que nombre d’entre elles aient échoué, Israël en compte bien plus que n’importe quel autre pays occidental.
Ronen Bergman, journaliste d’investigation au journal Yediot Aharonot, a convaincu de nombreux agents du Mossad, du Shin Bet et de l’armée de lui raconter leurs histoires, certains en gardant leurs vrais noms. Il en résulte un premier examen complet du recours aux assassinats par l’Etat Israël.
Basé sur près de mille entretiens et des milliers de documents, “Rise and Kill First” démontre, sur plus de 600 pages, qu’Israël a assassiné pour éviter des guerres, tuant une douzaine de scientifiques nucléaires iraniens, par exemple, plutôt que de lancer une attaque militaire. Le livre suggère aussi clairement qu’Israël a utilisé un poison radioactif pour tuer Yasser Arafat, le chef historique palestinien, ce que les dirigeants israéliens ont toujours nié.
Bergman écrit que la mort d’Arafat en 2004 correspondait à un modèle et avait des partisans. Mais il évite d’affirmer clairement ce qu’il s’est passé, expliquant que la censure militaire israélienne l’empêche de révéler ce qu’il pourrait savoir.
Le titre du livre vient de la recommandation ancestrale du Talmud juif, “Si quelqu’un vient pour te tuer, lève-toi et tue-le en premier” (“If someone comes to kill you, rise up and kill him first”). Bergman raconte qu’une grande partie des personnes qu’il a interviewées ont cité ce passage comme justification de leurs actes. Tout comme le fait l’avocat de l’armée en déclarant que de telles opérations sont des actes de guerre légitimes.
Malgré les nombreux entretiens, y compris ceux avec les anciens premiers ministres Ehud Barak et Ehud Olmert, Bergman, auteur de plusieurs livres, explique que les services secrets israéliens ont cherché à interférer dans son travail. Ils se sont réunis en 2010 pour savoir comment interrompre ses recherches et ont mis en garde les anciens employés du Mossad de lui parler.
Il explique que bien que les Etats-Unis imposent des contraintes plus strictes à ses agents que ne le fait Israël, le président George W. Bush a adopté de nombreuses techniques israéliennes après les attentats terroristes du 11 Septembre 2001, et le président Barack Obama a ordonné plusieurs centaines d’exécutions ciblées.
“Les systèmes de commandement et de contrôle, les centres de crise, les méthodes de collecte d’informations, les technologies d’avion sans pilote ou de drones, qui sont aujourd’hui utilisés par les Américains et leurs alliés, ont tous été largement développés en Israël,” écrit Bergman.
Le livre dessine une histoire à des personnalités et aux stratégies des différents services secrets. Dans les années 1970, un nouveau chef des opérations du Mossad a ouvert des centaines d’entreprises commerciales à l’international avec l’idée qu’elles pourraient un jour être utiles. Par exemple, le Mossad a créé une entreprise de transport maritime au Moyen-Orient qui, des années plus tard, s’avère être utile pour fournir une couverture à une équipe au large du Yemen.
Il y eu beaucoup d’échecs. Après qu’un groupe de terroristes palestiniens ait tué des athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich en 1972, Israël a envoyé ses agents tuer les coupables (ainsi que plusieurs hommes mal identifiés). Il y a également eu des opérations réussies qui ont fait plus de mal que de bien aux objectifs politiques d’Israël, souligne Bergman.
Bergman soulève les préoccupations morales et légales qu’engendrent les exécutions perpétrées par l’Etat, y compris l’existence de systèmes judiciaires séparés pour les agents secrets et les autres citoyens d’Israël. Mais il présente des opérations, qui pour la plupart, atteignent leur objectif. Alors que beaucoup attribuent la fin des attaques sur les citoyens israéliens au mur qu’Israël a construit le long et à l’intérieur de la Cisjordanie au début des années 2000, il explique que ce qui a fait le différence a été “un nombre considérable d’assassinats ciblés d’agents terroristes.”
L’une des sources les plus importantes de Bergman a été Meir Dagan, qui a été récemment directeur du Mossad pendant huit ans, et mort début 2016. Vers la fin de sa carrière, Dagan eu un différent avec le premier ministre Benjamin Netanyahu, en partie sur le fait de lancer une attaque militaire sur l’Iran. Netanyahu pensait que les techniques des services secrets, comme le fait de vendre à l’Iran des pièces défectueuses pour ses réacteurs (ce que faisaient Israël et les Etats-Unis) ne suffisait pas.
Dagan répondit que ces techniques, particulièrement les assassinats, feraient l’affaire. Bergman le cite : “Dans une voiture, il y a en moyenne 25 000 pièces. Imagine qu’il en manque 100. Ca va être très dur de la faire marcher. Mais d’un autre côté, des fois c’est plus efficace de tuer le chauffeur, et c’est tout.”
Traduction: Lauriane G. pour l’Agence Média Palestine.
Source: NationalPost.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Les réfugiés en Cisjordanie protestent contre la réduction des services de l’UNRWA
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Les comités populaires dans les camps de Cisjordanie ont organisé aujourd’hui des rassemblements de protestation contre la réduction des services de l’Agence aux réfugiés et la décision américaine de geler l’aide à l’Agence. ​
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L’occupation expulse une palestinienne de Cisjordanie à Gaza
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Une organisation israélienne des droits de l’homme a annoncé il y a deux semaines que les autorités israéliennes avaient arrêté une Palestinienne de 14 ans vivant en Cisjordanie occupée et l’avaient libéré trois jours plus tard sur le poste frontalier d’Erez sans lui permettre de retourner à sa famille. En Cisjordanie. ​
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Une manifestation à Gaza contre le blocus
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Algérie-Palestine: accord de coopération dans le domaine de la communication et des médias
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« L’accord de partenariat UE-Israël, violé par la mise en garde-à-vue d’enfants palestiniens » (OLP)
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Vidéo : Des protestataires palestiniens chassent les diplomates américains d’une réunion à Bethléem
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Des palestiniens empêchent l’occupation d’achever la démolition d’une maison à Naplouse
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Koweït: Campagne populaire contre la normalisation avec Israël
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Les services de l’Autorité Palestinienne arrêtent 6 palestiniens en Cisjordanie
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ONU: l’Autorité Palestinienne veut organiser un vote sur la reconnaissance d’un Etat palestinien
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Le système antimissile américain protègera-t-il Israël dans une prochaine guerre?
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Nikki Haley/ONU : la liste des entreprises dans les colonies est une perte de temps
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Une association appelle à sauver l’économie de Gaza de l’effondrement
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Les forces israéliennes arrêtent un Gazaoui après s’être introduit en Palestine occupée de 1948
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Des colons déracinent des dizaines d’oliviers au sud de Naplouse
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Sit-in de solidarité avec les prisonniers de Bethléem
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L’occupation libère le député Mohammed Abu Tayer
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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