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Flash info du 29 Rabi al Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Les avis sur les chaînes et récoltes de dons sur internet.
Les récents outils numériques sont omniprésents dans notre quotidien. Nous faisons nos achats et nous remplissons nos obligations administratives sur internet. Mais encore, nous prenons des nouvelles de nos proches via les réseaux sociaux.
Le web a pris tellement d’ampleur, qu’au moment des zakats nous recherchons des gens dans le besoins sur le net. Quelle est la position de l’Islam face aux demandes d’aide de personnes inconnues qui se propagent de manière accrue sur internet ?
Est-il permis de propager les demandes d’aide des personnes dont nous ne connaissons pas la situation réelle? Quant est-il des cagnottes des personnes malades ?
Selon l’avis du Cheikh Abou Abdillah Mohamed Tchalabi Al Djazairy, il est préférable d’éviter les dons au travers du net car les cas d’escroqueries et d’arnaques foisonnent. Le Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) nous a conseillé de verser la zakat à des proches dans le besoin comme le confirme ce moment où il s’adresse à Mouadh (qu’Allah l’agréé) lorsqu’il l’envoya au Yémén: « Et si ils prient, informe les qu’Allah leur a prescrit de verser une aumône à prélever des riches, et à reverser aux pauvres d’entre eux. »
Cependant, la méfiance ne doit pas mener le musulman à ignorer l’aumône. D’après Adi Ibn Hatim (qu’Allah l’agrée), le Prophète a dit: « Protégez-vous du feu, ne serait-ce qu’en donnant la moitié d’une datte. Et si vous ne trouvez pas alors avec une bonne parole. » (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°6539).
D’après Abou Moussa (qu’Allah l’agrée), le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: « Chaque musulman doit faire l’aumône. » Ils ont dit: « Oh messager d’Allah! Et celui qui ne trouve pas ? » Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: « Il travaille de ses mains ainsi celui-ci lui profitera et il pourra faire l’aumône ». Ils ont dit: « Si il ne trouve pas ? » Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: « Tu aides celui qui a besoin et demande de l’aide ». Ils ont dit: « Si il ne trouve pas ? » Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit: « Alors il agit dans le bien et s’abstient du mal, ceci sera pour lui une aumône ». (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°1445 et Mouslim dans son Sahih n°1008).
L’aumône soigne les peines et elle est également un acte essentiel de purification. Ainsi, au lieu de se perdre sur internet à chercher des gens dans le besoin, il est préférable de s’informer autour de nous. Les nécessiteux sont souvent très humbles et discrets sur leur situation…

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Centrafrique : aucun des soldats français accusés de viols ne sera mis en examen .
La justice a prononcé un non-lieu dans l’enquête sur les accusations de viols à l’encontre de militaires français déployés en Centrafrique. Six garçons âgés entre 9 à 13 ans avaient accusé des soldats de l’opération Sangaris d’avoir abusé d’eux, entre décembre 2013 et juin 2014, dans le camp de déplacés de l’aéroport M’Poko de Bangui en échange de rations de nourriture.
Les juges d’instruction ont finalement clos ce dossier sans aucune mise en examen faute d’avoir pu établir leur implication.
« Il ne peut être affirmé à l’issue de l’information qu’aucun abus sexuel n’a été commis », avait affirmé le parquet dans ses réquisitions. Cependant, les incohérences matérielles et « la variation des témoignages ne (permettaient) pas d’établir des faits circonstanciés et étayés à l’encontre des militaires ».
Les soldats accusés ont nié tout abus sexuel envers des enfants face aux enquêteurs. Sur le téléphone d’un des militaires, des dizaines de vidéos pornographiques avaient été retrouvées, dont huit à caractère pédopornographique, mais ce chiffre est jugé trop faible pour caractériser un profil pédophile, avait indiqué une source proche de l’enquête en mars 2017.
L’affaire, qui avait éclaté en avril 2015 par l’entremise du quotidien britannique The Guardian, avaient terni l’image de l’armée française déployée en Centrafrique depuis 2013, théâtre de violences intercommunautaires depuis plusieurs années.

Sur oumma.com, voici les titres.

Palestine : Le village d’Ahed Tamimi : 10 ans de résistance à l’occupation israélienne.
En Cisjordanie occupée, un village peuplé d’irréductibles Palestiniens résiste à l’envahisseur israélien : c’est Nabi Saleh ! En 1976, Israël s’est emparé par la force d’une colline voisine pour y installer, illégalement, plus de 1 200 colons. A seulement 300 mètres de distance, les 550 âmes de Nabi Saleh ont assisté, impuissantes, à la spoliation de plus de 60% de leurs terres.
Privés de leurs terres et d’une source d’eau potable sous la menace des armes, par des soldats israéliens ivres de leur toute-puissance, les valeureux habitants de Nabi Saleh sont entrés en résistance le 9 décembre 2009, 22 ans après la première Intifada. Un Comité de résistance populaire a été créé et, tous les vendredis, après la prière collective, une marche pacifique de protestation a été instituée.
A Nabi Saleh, tous les habitants résistent à l’oppression israélienne, femmes et hommes, jeunes et moins jeunes. Tous les vendredis, les villageois palestiniens crient leur révolte face à une occupation impitoyable. Aux côtés de ses parents, Bassem et Nariman Tamimi, deux résistants de la première heure, la jeune Ahed fut la révélation de la contestation en marche.
Depuis 2016, l’armée d’occupation a interdit tout rassemblement à Nabi Saleh et sur la route qui mène vers la source. Mais le village palestinien refuse de capituler. Nabi Saleh a payé un lourd tribut à sa lutte héroïque : trois habitants ont été tués, des proches d’Ahed Tamimi, plus de 450 ont été blessés dont des enfants, et 150 ont été incarcérés.
Depuis le 19 décembre 2017, Ahed Tamimi et sa mère Nariman manquent à l’appel à Nabi Saleh, après avoir arrachées à leur famille et emprisonnées. Ce lundi 15 janvier, elles doivent à nouveau comparaître devant le tribunal militaire israélien d’Ofer.
Canada : une jeune collégienne musulmane agressée violemment, son voile déchiré à coup de ciseaux.
Depuis ce vendredi 12 janvier terrifiant, la jeune Khawlah Noman, une collégienne musulmane de Toronto, redoute d’emprunter à nouveau le chemin de l’école qui, d’ordinaire, était pavé de petits cailloux et non de dangers, restant traumatisée par celui qui a surgi brusquement sur sa route ce matin-là, à seulement quelques mètres de son établissement scolaire Pauline Johnson.
Accompagnée de son petit frère qui, comme d’habitude, faisait gaiement le trajet à pied à ses côtés, la jeune fille a été violemment agrippée par un homme qui s’est jeté sur elle par derrière, avant de lui arracher son hijab en lui occasionnant une vive douleur.
Figée sur place et en pleurs, Khawlah Noman n’en a pas cru ses yeux lorsque son assaillant a sorti une paire de ciseaux et s’est acharné à mettre son voile en lambeaux.
« Je me sentais terriblement confuse, effrayée, terrifiée », a confié péniblement la jeune fille devant les journalistes locaux qui étaient venus nombreux recueillir sa version des faits, lors d’une conférence de presse organisée dans son école.
« J’ai crié. L’homme s’est enfui. Mais il est revenu et s’est déchaîné de plus belle contre mon voile », a-t-elle poursuivi. Puisant en elle la force d’interpeller directement son agresseur en fuite, qui a la police de Toronto à ses trousses, elle lui a lancé la voix étranglée par l’émotion : « Ce que vous faites est très mal, vous devriez arrêter de faire cela. Je ne suis qu’une enfant ».
Inédite et intolérable, cette agression islamophobe commise à coup de ciseaux contre l’innocence personnifiée, qui survient à l’approche de la commémoration de la fusillade meurtrière qui endeuilla la grande Mosquée de Québec il y a un an, a suscité une forte onde de choc émotionnel à Toronto et dans l’ensemble du pays.
De John Tory, le maire de la cité phare de l’Ontario qui s’est dit «choqué et affligé », martelant avec force « qu’aucun enfant ne devrait avoir peur d’aller à l’école à Toronto à cause de ce qu’il porte », à Kathleen Wynne, la Première ministre de la province, qui a laissé éclater son indignation devant cet « acte lâche de haine », la consternation est générale et a gagné le sommet du pouvoir canadien.
Justin Trudeau, le Premier ministre plein de compassion, a aussitôt réagi sur Twitter en rappelant avec gravité que le pays de l’érable est une terre d’accueil, hospitalière et tolérante.
« Mon coeur va à Khawlah Noman après l’attaque lâche de ce matin sur elle à Toronto. Le Canada est un pays ouvert et accueillant, et des incidents comme celui-ci ne peuvent être tolérés », a-t-il écrit sur Twitter.
Quant à la jeune Khawlah Noman, elle remercie Dieu d’être aussi bien entourée dans cette épreuve, et espère que les nombreux messages de sympathie qui affluent des quatre coins du pays l’aideront à surmonter sa peur paralysante de reprendre le chemin de l’école, l’insouciance de la jeunesse en moins.
Palestine : Manifestation contre Benjamin Netanyahou à Tel Aviv après les frasques de son fils.
D’importantes manifestations contre Benjamin Netanyahou et la corruption ont eu lieu à Tel Aviv après la diffusion d’une vidéo où son fils parle d’un accord entre le Premier ministre et le père d’un de ses amis pour se faire payer une prostitutée.
reportage a voir sur oumma.com.
Le Qatar pour l’art ?
Le secteur artistique, au Qatar, a ses personnalités, ses institutions, ses créations et, en fin de compte, son identité propre, peaufinée depuis une dizaine d’années.
L’art a toujours été un moyen de faire de la politique autrement. Pour faire rayonner une culture, une civilisation, une histoire, même naissantes ; pour exister, tout simplement, dans un monde vaste et pluriel. Il n’y a qu’à regarder du côté du Golfe arabo-persique, aujourd’hui, pour s’en convaincre. Et plus particulièrement du Qatar, ce petit émirat riche en gaz qui s’est imposé, il y a dix ans, comme l’un des acteurs principaux de la région. Grâce, notamment, à une politique culturelle forte, faite d’investissements dans l’existant, mais également – et surtout – dans la quête d’une identité artistique propre.
« Construire notre propre identité »
C’est d’ailleurs cette dernière qui avait conduit Doha à nouer un partenariat avec l’Allemagne, pour une année de projets culturels collaboratifs qui vient de s’achever avec l’exposition Contemporary Art Qatar. Inaugurée début décembre dernier, dans cet espace caverneux et atypique qu’est la galerie Kraftwerk, à Berlin, la manifestation avait pour but de présenter plus de 30 créateurs contemporains, témoignant de la diversité qatarie en matière artistique, grâce à un savant mélange de tradition et d’innovation. Avec une part belle faite à la photographie et au design.
Une femme, couverte d’un voile d’où s’échappent quelques mèches de cheveux, qui tient un grand verre, rouge pétard, d’une marque de soda mondialement connue ; un désert à perte de vue avec, au loin, une rangée de lumières séparant sable et horizon qui se confondraient presque ; des ours en peluche en béton qui, selon leur créatrice, Aisha al-Suwaidi, célèbrent le confort et la nostalgie d’une maison à l’heure des changements urbains galopant. Le choc des temps et le mariage des cultures, c’est ainsi le message que souhaitait faire passer la Qatar Museums Authority, organisatrice de l’événement berlinois.
« Nous ne voulons pas être identiques, nous souhaitons respecter et comprendre chaque culture et chaque diversité et, à côté, construire notre propre identité » s’était ainsi exprimée par le passé Cheika al-Mayassa, la directrice de l’équivalent qatari de la Réunion des musées nationaux en France. La sœur de l’actuel émir, cheikh Tamim al-Thani, régulièrement présentée comme l’une des personnalités les plus influentes du monde de l’art, entendait, grâce au partenariat allemand, couronner une décennie d’offensive culturelle qatarie.
« Dans le cinéma arabe tout n’a pas été dit ».
La méthode de cette « culture Queen », telle que la surnomment les anglo-saxons, pour mettre en avant l’art de l’émirat ? Se focaliser sur le local, bien évidemment, en investissant prioritairement dans la population du Qatar et en élargissant ensuite les horizons. Ainsi Cheika al-Mayassa a pu relier les institutions culturelles qataries aux sites patrimoniaux de pays différents. Avant d’attirer de nombreux artistes internationaux, au Qatar, et présenter des artistes locaux et régionaux dans le monde entier. Avec un fort tropisme pour le cinéma.
« Le film fait bien plus que divertir […] Il peut éduquer, inspirer et unir des communautés » déclarait celle qui voulait faire du Qatar un véritable « hub » culturel. Une ambition qui s’est matérialisée, en 2010, par la création du Doha Film Institute, une structure qui contribue au financement d’oeuvres cinématographiques, dont certaines se sont retrouvées en lice à Cannes ou aux Oscars. « Nous avons avant tout l’ambition de créer une nouvelle génération de réalisateurs qataris » affirmait en 2016 Khalil Benkirane, directeur du fonds de soutien au DFI. Le but ? « Mettre en place un cadre qui permette de soutenir des projets […] grâce à différents départements (formation, production et financement). »
Ceci en s’attachant principalement au bénéfice culturel, sans s’attarder sur les sommes engagées. « Notre raison d’être est d’aider à raconter des histoires [car] dans le cinéma arabe, par exemple, […] tout n’a pas été dit. » Contrairement au cinéma occidental, où « d’une certaine manière, tout a été raconté. Les jeunes revisitent donc des histoires déjà contées » estime M. Benkirane. Quid de l’aspect éventuellement politique du septième art ? « En ce qui concerne le soft power, tout le monde l’utilise » bottait-il en touche. « On devrait plutôt célébrer ce pays qui investit dans la culture », selon lui.
Ouverture du Musée national du Qatar.
Difficile, effectivement, de déconnecter la politique culturelle et artistique, dans le Golfe, de la politique en général, ces derniers temps. La région, depuis plus de six mois, est le théâtre de fortes tensions diplomatiques entre, d’un côté, l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis (EAU), surtout, et le Qatar de l’autre. En juin dernier, le petit émirat a été mis sous embargo par Riyad qui, à la tête du Conseil de coopération du Golfe (CCG), a la mainmise sur les faits et gestes de ses voisins. Les Saoudiens reprochaient alors à Doha de s’être rapprochée de l’Iran, leur bête noire au Moyen-Orient.
Coïncidence : en novembre dernier, le Salvador Mundi de Léonard de Vinci était acheté pour la modique somme de 450 millions d’euros par un prince saoudien – dont on apprendra ensuite qu’il s’agissait de Mohamed ben Salman, le prince héritier –, qui en a fait cadeau au Louvre d’Abou Dabi.
Inauguré en grande pompe, en présence du président de la République française, Emmanuel Macron, l’antenne émiratie du musée parisien revendique une vocation « multiculturelle » et « éducative ». Les autorités des Emirats ont également l’ambition, moins frontale, de concurrencer le Qatar sur la scène artistique et culturelle dans la région.
Si la politique, autrefois, était un autre moyen de faire la guerre, l’art est aujourd’hui une arme politique indiscutable – pourquoi mettre près d’un demi-milliard de dollars dans un tableau, sinon ? Arme soft et en apparence inoffensive, elle n’en est pas moins bénéfique, dans la mesure où elle permet à une culture d’exister et de rayonner. Doha est attaquée par ses voisins du Golfe ? Elle rétorque par sa richesse artistique plus que naissante. En décembre prochain, le Musée national du Qatar devrait d’ailleurs ouvrir ses portes au public.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Soutien de l’Algérie à la cause sahraouie : Si Afif présente une série de propositions.
Le président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de la communauté à l’étranger à l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdelhamid Si Afif, et la qui délégation qui l’accompagne ont été reçus par le président de la RASD, Ibrahim Ghali, qui lui a fait part de la grande reconnaissance du peuple sahraoui à l’endroit de l’Algérie pour sa position constante à l’égard de la question sahraouie et son soutien indéfectible à la cause du peuple sahraoui. Tout comme il lui a fait part de sa satisfaction totale pour le rôle joué et le dynamisme du mouvement de solidarité avec le peuple sahraoui. Aussi, le chef de la délégation algérienne, Abdelhamid Si Afif n’a pas manqué de réitérer, la position constante de l’Algérie « en faveur du droit des Sahraouis à l’indépendance et l’autodétermination », indique un communiqué de l’Assemblée. Conduisant la délégation parlementaire, qui poursuit pour la deuxième journée sa visite aux camps des réfugiés sahraouis où elle a pris part à la réunion de la Coordination européenne du soutien au peuple sahraoui (EUCOCO) que préside Pierre Galand, M. Abdelhamid Si Afif a présenté une série de propositions visant à renforcer l’action de solidarité internationale avec le peuple sahraoui, tout en réitérant la position constante de l’Algérie en faveur du droit des Sahraouis à l’indépendance et à l’autodétermination », précise la même source.
Ould Abbès à partir de Ouargla : » L’édification d’un Etat requiert la stabilité « .
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès a estimé que l’édification d’un Etat requiert la stabilité, qui n’est possible qu’au travers les communes, signalant qu’à ce titre, le FLN s’est engagé à prendre en charge les préoccupations des citoyens, un état de fait qui, a-t-il dit, oblige les élus locaux à concrétiser sur le terrain leurs promesses. Lors d’une rencontre régionale des élus locaux de son parti tenue à Ouargla, le SG du FLN, a appelé à s’intéresser aux préoccupations des citoyens et à en assurer une prise en charge en » temps voulu » et de leur ouvrir les portes. » Vous devez mettre à profit les exploits de votre formation politique durant les dernières élections locales, à partir de la commune, en tant que première cellule de développement, et oeuvrer à continuer à appliquer le programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour la réalisation d’un développement local global « , a lancé Ould Abbès en direction des participants à cette rencontre. Pour lui, la consécration de la dignité du citoyen serait une preuve que la confiance accordée au FLN est à « la hauteur de ses aspirations. Le SG du FLN a également mis en avant la réalisation d’un » équilibre régional » entre les collectivités du Sud du pays et celles de Nord, avant de rappeler que la loi de finances 2018 a consacré un montant de 150 milliards DA aux plans communaux de développement (PCD) au profit des régions des hauts plateaux et du Sud du pays. Il a, à ce titre, convié les élus locaux à définir les priorités et besoins de ces régions, notamment en matière d’aménagement des établissements scolaires (le transport et restauration scolaire) et d’alimentation en eau potable. Ould Abbès a plaidé, pour ce faire, pour revivifier le « système de solidarité intercommunale » en impliquant l’ensemble des acteurs, notamment pour les communes de Hassi-Messaoud et Hassi R’mel, aux fins d’atteindre l’équilibre et le développement entre ces deux collectivités. Abordant la constitutionnalisation de la langue amazighe et l’institutionnalisation du 12 janvier, fête du Nouvel An amazigh, journée chômée et payée, le SG du FLN a relevé que le président de la République a, « jouissant d’une grande sagesse et perception, accordé suffisamment de temps pour réunir toutes les conditions à même de promouvoir l’amazighité en Algérie ». Cette rencontre régionale du FLN a regroupé les élus locaux de la région Sud-est du pays (Laghouat, Ghardaïa, Ouargla, El-Oued et Illizi).
Règlement de la crise malienne : Alger reprend la main.
Depuis la nomination de M. Soumeylou Boubèye Maïga au poste de Premier ministre du Mali, les relations algéro-maliennes dans tous les domaines ont commencé à connaitre un nouveau souffle, et pour cause, cette première visite officielle à l’étranger qui vient d’être réservée à l’Algérie. D’abord sur le plan sécuritaire, la déclaration de M. Soumeylou Boubèye Maïga lors de sa récente rencontre avec son homologue algérien confirme d’ailleurs la volonté du Mali de s’appuyer sur l’Algérie pour faire aboutir l’accord de paix et de réconciliation signé à Alger, seule plateforme sérieuse de négociation inter-malienne.
Violence récurrente dans les stades : Des solutions, et vite !
Des violences ont émaillé la rencontre qui a opposé samedi l’US Biskra l’USM El Harrach comptant pour les 1/16èmes de finale de la Coupe d’Algérie qui s’est déroulée au stade du 18 février à Biskra. Si les blessés, au nombre d’une vingtaine, ne présentent pas de gravité, il n’en demeure pas moins que ce phénomène de violence doit cesser et vite ! Après les échauffourées qui ont émaillé la rencontre de football dans un stade de la wilaya de Sétif, d’il y a quelques semaines, des scènes similaires ont eu pour théâtre un stade de Biskra, et les prochaines auront lieu, on ne sait pas quand, mais dans un stade devenu le récipiendaire de toutes les frustrations accumulées par une jeunesse aux horizons opaques. De quoi écoeurer plus d’un amoureux du foot. Face à la multiplication des incidents, le constat est sans appel. Les responsables du football algérien ont de tout temps exigé des mesures exemplaires après ce qu’il s’est passé dans les différents stades du pays. L’on se rappelle même que le vice-président du club algérois attaqué, Rabah Haddad s’est indigné par ces mots : « La bête immonde a encore frappé, c’est inacceptable. C’est une tentative d’homicide volontaire, quand on agresse avec un couteau un joueur ». Résultat : le club hôte du MC Saïda s’est vu interdire de jouer les 8 prochains matches à domicile, il écope de 200 000 dinars d’amende et l’un de ses dirigeants a été suspendu pour 2 ans. » Il s’agit de sanctions légères, qui ne traduisent pas l’enfer que nous avons vécu à Saïda », se sont pourtant plaint les dirigeants de l’USM Alger. Mais pour les autorités l’enjeu est maintenant d’empêcher le retour de telles scènes à l’avenir.
Gaid Salah, lors d’une visite à la 4ème région militaire à Ouargla : » L’armée est un exemple de sérieux et de persévérance «.
Monsieur le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice- Ministre la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire a entamé sa visite de travail et d’inspection en 4ème région militaire à Ouargla par le Secteur Opérationnel Sud-est de Djanet, où il a procédé, en compagnie du Général- Major Cherif Abderrezak, Commandant de la 4ème Région Militaire, à l’inspection de plusieurs unités implantées le long des frontières Sud-est du pays, et a supervisé de près les conditions de travail et de vie des cadres et personnels de ces unités. Cette visite s’inscrit dans le contexte des visites sur le terrain qu’effectue Monsieur le Général de Corps d’Armée, afin de s’enquérir du degré de l’exécution du programme de préparation au combat pour l’exercice 2017- 2018, et à l’effet d’examiner l’état de disponibilité opérationnelle des unités de l’Armée Nationale Populaire implantées le long des frontières. D’autre part, le Général de Corps d’Armée a supervisé un exercice de tirs réels exécuté par l’une des unités du Secteur, ou il a mis l’accent sur la nécessité de procéder aux évaluations réelles de tous les efforts consentis,
Les médecins résidents maintiennent leur grève en dépit des promesses de la tutelle : » On veut du concret ! « .
Vraisemblablement, les choses se sont compliquées concernant le conflit qui oppose depuis quelques jours d’une part les médecins résidents, et d’autre part leur ministère de tutelle. Et pour cause, le refus de ces derniers de mettre fin au mouvement de protestation suite à la réunion avec le ministre de la santé Mokhtar Hasbellaoui avant-hier qui a abouti à un échec des négociations entre les deux parties. En effet, les médecins résidents maintiennent leur mouvement de protestation, ainsi que le boycottes des examens. Le Dr Mohamed Taïleb, membre du bureau national du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) et résident en pneumologie à l’hôpital Mustapha Bacha, a confirmé à » Tribune Des Lecteurs » que la réunion qui s’est tenu avec le ministre de la santé « à huis clos » est la première rencontre « réelle » avec le ministère. Il est à précisé que celle-ci a duré près de deux heures et a permis aux médecins résidents de présenter leur plate-forme de revendications au ministre », ajoutant qu’un accord « a été dégagé sur certaines questions alors que d’autres restent en suspens, dont celle de l’obligation du service civil ». » Quant au ministre, ce dernier a exprimé sa bonne volonté. On le croit mais toutes les décisions ne relèvent pas de son secteur. Il lui faut une carte blanche du gouvernement pour qu’il fasse bien son travail « , explique le Dr Mohamed Taïleb.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Arnaques et prix en hausse: «Les musulmans n’ont pas une bonne visibilité du marché du Hajj en France».
« Hôtel chic 5 étoiles au pied de la Grande Mosquée… Le tout pour 5 000 euros. Tout semblait parfait. Mais dix jours avant le voyage, il se présente à notre domicile et veut récupérer le reste de la somme. » Le début des ennuis pour Nafissa, qui racontait il y a quelques mois sur la radio RMC son expérience du Hajj, qui a viré au cauchemar.
Dès le départ, les dates sont changées et, une fois sur place, elle et son amie sont allées de déconvenues en déconvenues. L’hôtel n’avait plus que 3 étoiles et se trouvait à 5 kilomètres de la Grande Mosquée. L’agence organisatrice de Nîmes ne répondait plus et le groupe n’avait pas de guide agrée. Les deux femmes ont dû aussi payer 800 euros de frais supplémentaires, notamment pour les taxis et les visites.
Alors que de nombreux pèlerins économisent pendant des années pour pouvoir se payer le « voyage de leur vie », bien souvent, les prestations proposées sont loin d’être à la hauteur. Opter pour le séjour le plus cher n’est pas non plus l’assurance d’accomplir un pèlerinage dans les meilleures conditions.
« Un voyage avec un forfait tout compris au bout de la planète n’est pas aussi cher ».
L’ACEF (Association culturelle d’entraide et de fraternité) travaille depuis plusieurs années sur ce sujet et lutte contre les prix exorbitants des petits et grands pèlerinages. « En 2007 le forfait du Hajj coûtait environ 2 500 euros. Aujourd’hui, neuf ans plus tard, il va de 5 500 euros jusqu’à 7 000 euros dans certaines régions de France. Un voyage avec un forfait tout compris au bout de la planète n’est pas aussi cher », dénonce Omar Dakir, le président de l’association.
Ce dernier met en cause entre autres le visa, sur lesquels jouent les agences sous-traitantes en l’incluant dans des frais administratifs qui ne sont pas détaillés, alors même que celui-ci est gratuit. « Les agences de voyages situées en France ont besoin de faire des marges commerciales. Cependant, une règle de raison doit être appliquée sur les frais de services. »
L’ACEF a mis en concurrence plusieurs agences en Europe et en France pour un forfait Hajj au départ de Paris. Une des agences européenne proposait un séjour à 4 500 euros depuis Paris, alors que les agences françaises proposaient des prix avoisinant les 5 500 euros, voire plus. Depuis, l’association a lancé une pétition en ligne « Stop aux prix exorbitants du Hajj », qui a recueilli plus de 9 500 signatures.
Sur 30 000 pèlerins, seulement 3 % disposaient d’un contrat en 2007
Au-delà du prix, l’ACEF dénonce d’autres arnaques : des voyages organisés fictifs, des rabatteurs non agrées et qui partent gratuitement, de nombreux paiements en espèces, mais aussi l’absence de contrat de voyage, dans lesquels doivent normalement figurer le nom de l’assureur. « De nombreux pèlerins sont partis de France faire le Hajj en 2015 sans contrat, alors qu’il y a eu 2 097 morts cette année-là. Cela a recommencé en 2016. Le consommateur doit être protégé. C’est une mise en danger de la vie d’autrui », indique l’association.
Une constatation qui avait déjà été faite il y a dix ans par l’association SOS Pèlerin et qui semble perdurer. « Sur les 36 500 clients partis en 2007, seulement 3 % disposaient d’un contrat de vente en bonne et due forme », rapporte le président Zakaria Nana sur le site de l’organisation.
L’association ACEF a également constaté que de nombreuses agences sous-traitantes « poussent comme des champignons sur le territoire national alors qu’elles n’ont pas l’agrément Hajj. » Des associations de mosquées proposent elles aussi des séjours sans avoir le statut commercial nécessaire et sont régulièrement épinglées sur le site de l’ACEF.
Afin de faire tri parmi les multiples offres, deux étudiants en école d’ingénieur ont récemment lancé une plateforme spécifique : hajj-mecque.com. Un mix entre « TripAdvisor » et « Liligo », apportant à la fois une comparaison entre les prix des différents séjours mais aussi les avis des pèlerins.
« L’idée est que chacun puisse trouver le pèlerinage idéal ».
« Mon copain et moi avons eu la chance d’accomplir la Omra. Mais nous avons été un peu déçus par les prestations de l’agence. Si on avait eu la possibilité de comparer davantage les prestations, notre voyage aurait été meilleur », raconte Sofiane, un des deux étudiants à l’origine du projet, qui souhaite « moderniser le marché français » du Hajj.
Sur leur site, près de 500 offres sont comparées, en fonction de la ville de départ, des dates et de la durée du séjour, du Hajj ou de la Omra, du type de chambre et de la formule (économique, confort ou premium).
« Il y a énormément d’offres actuellement et les musulmans n’ont pas une bonne visibilité du marché du pèlerinage en France. L’idée est que chacun puisse trouver le pèlerinage idéal : celui qui convient à ses besoins et à ses ressources », explique Sofiane.
Pour lui, l’augmentation des prix n’est pas de la seule responsabilité des agences. « L’Arabie Saoudite a entrepris de grands travaux de rénovation à La Mecque (environ 20 milliards d’euros) et cela pèse sur les prix. Face à la demande qui explose, le pays a aussi imposé une taxe sur la Omra d’environ 500 euros supplémentaires. » Une taxe qui s’applique pour toute personne qui a déjà accompli un pèlerinage l’année précédente ou qui se rendrait à La Mecque pour la troisième fois.
600 plaintes auprès de l’association SOS Pèlerin en 2017.
Conscients des arnaques, Sofiane et Ilyass ont réservé une partie de leur site aux témoignages des pèlerins. En 2017, environ 600 plaintes ont encore été rapportées à l’association SOS pèlerin, selon leurs informations.
« A travers la publication des avis, nous voulons rassurer les internautes, les guider dans leurs choix et pointer du doigt les agences malhonnêtes », expliquent-ils.
Le Bureau central des cultes du ministère de l’Intérieur s’est également saisi du sujet, alors que de plus en plus de français se rendent à La Mecque chaque année (16 000 visas délivrés en 2014, 30 000 les années précédentes) et que ce marché représenterait en France une centaine de millions d’euros. Ainsi, en 2014, une charte de qualité élaborée par la Coordination agréée Hajj de France (CHF) a été présentée au ministère des affaires étrangères et signée par 43 agences, pour faire face aux abus.
En 2016, le ministère de l’Intérieur a aussi lancé un appel à projet intitulé « Hajj : étude du marché français et enquête de satisfaction des pèlerins. »
« L’étude devra permettre de mieux identifier les acteurs et leurs logiques au sein de ce marché lucratif, en s’attachant à l’ensemble du circuit, depuis les ‘rabatteurs’ qui opèrent au sein des mosquées, jusqu’aux principales agences. De leur côté de nombreux pèlerins protestent notamment contre les tarifs des agences de voyages françaises, largement supérieurs à ceux des agences belges, allemandes et britanniques, les conditions de réceptions et d’hébergement in situ. Il conviendra de faire un point précis sur l’ensemble de ces problématiques », peut-on lire dans cet appel à projet.
Le rapport devait être prêt pour septembre 2017, mais il n’a visiblement toujours pas été publié. En revanche, un guide comportant des conseils pratiques à destination des pèlerins se rendant à La Mecque est disponible sur le site du ministère de l’intérieur.
Autriche : « Nazis dehors », scandent des manifestants anti extrême-droite.
En Autriche, samedi 13 janvier, entre 20 000 (chiffres de la police) et 50 000 personnes (estimation des associations) ont manifesté dans les rues de Vienne, contre la coalition entre la droite et l’extrême-droite, au pouvoir depuis un mois en Autriche.
En octobre dernier, le parti conservateur en Autriche avait en effet remporté les législatives, suivi de près par l’extrême-droite. Les deux partis (qui ont déjà formé une coalition entre 2000 et 2007) avaient alors décidé de s’allier. Le gouvernement du chancelier Sebastian Kurz compte désormais six ministres d’extrême droite nommés à des postes clés.
Mais cette alliance le parti chrétien-démocrate ÖVP et le parti d’extrême-droite FPÖ ne passe pas auprès d’une partie des Autrichiens, qui reproche au gouvernement ses positions sur l’immigration et son programme social. Les deux partis ont également affiché des positions claires sur l’islam, une religion qui n’a pas sa place en Autriche selon eux.
C’est « un gouvernement qui veut diviser la société, diaboliser les minorités, rogner le droit des femmes, dévaloriser la solidarité », témoigne Anna, 23 ans, une manifestante, à l’AFP.
Elle comme d’autres jeunes, des étudiants, mais aussi des familles avec enfants, des retraités et des organisations de gauche ont brandi des pancartes, sur lesquelles ont pouvait lire « Résistance » et « Ne laissons pas les nazis gouverner ».
De nombreux slogans faisaient référence à l’histoire du pays, 80 ans après l’Anschluss, l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne nazie en mars 1938, et la mise en place d’un régime autoritaire fasciste.
Ce sont aussi les propos du ministre de l’Intérieur Herbert Kickl sur les demandeurs d’asile qui ont provoqué un tollé. Celui-ci a suggéré que les réfugiés soient maintenus concentrés à un endroit, utilisant un terme associé aux prisonniers nazis et aux camps de concentration.
Le rassemblement a appelé à un boycott des ministres FPO par les autres gouvernements européens, qui devraient se montrer inquiets. En effet, l’Autriche prendra la présidence tournante de l’Union européenne au second semestre 2018.
Influence saoudienne : la Belgique veut racheter la Grand mosquée de Bruxelles.
C’était l’un des points les plus importants du rapport de l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM), qui indiquait qu’« un nombre croissant de mosquées et de centres islamiques » sont « sous l’emprise du wahhabisme, l’appareil missionnaire salafiste. » Parmi eux, la Grande mosquée de Bruxelles. George Dallemagne, porte-parole de l’OCAM, estimait il y a un an que « la Grande mosquée est au cœur d’un système de financement, notamment en provenance de l’Arabie Saoudite. »
Dans les faits, le membre de l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace a raison : en 1969, un « accord de concession du sol » avait été négocié entre la Belgique et l’Arabie saoudite pour la Grande mosquée. Le roi Baudouin avait alors laissé aux Saoudiens la gestion des lieux pour une période de 99 ans.
La fin de la concession contre un prix « correct ».
Cet accord pourrait ne pas courir jusqu’en 2068. C’est même probable qu’il prenne fin dès cette année, suite à une discussion semble-t-il très avancée entre la Régie belge des bâtiments et les autorités saoudiennes. La Belgique devrait mettre un terme à la concession accordée pour la gestion de la mosquée bruxelloise, en contrepartie d’une somme « correcte », qui prendrait notamment en compte le prix des travaux de rénovation réalisés récemment. L’Arabie Saoudite avait, il y a peu, montré qu’elle n’était pas opposée à cette idée.
« Nous avons bon espoir d’achever la résiliation dans un délai relativement court », a indiqué le cabinet du ministre Jan Jambon, responsable des Affaires intérieures et de la Régie des bâtiments. L’homme politique estime qu’annuler la concession relève de « l’utilité publique. »
Si Jan Jambon assure que les discussions avec l’Arabie Saoudite sont « aussi techniques que possible » et non politiques, la Belgique a enclenché de véritables pourparlers diplomatiques. L’OCAM, ainsi que les ministères des Affaires étrangères et de la Justice ont été mis dans la boucle pour négocier avec le royaume wahhabite. Une fois l’accord entériné, il faudra certainement compter sur un préavis d’un an avant que la Belgique ne récupère définitivement sa Grande mosquée.
A Montpellier, les CRS pensaient démanteler une école coranique clandestine.
La séquence pourrait prêter à rire si elle n’était pas aussi grave. Le 11 décembre dernier, un car de CRS se déploie autour de la grande mosquée de La Paillade, à Montpellier. Les forces de l’ordre ont déployé de nombreux moyens pour pénétrer dans une école coranique clandestine, comme l’indique Midi-Libre. Les suspects, des enfants de 3 à 10 ans et leurs parents, vont alors voir pénétrer les CRS dans leur établissement.
Un mois après cette opération, la vérité est en train d’éclater. Et elle n’est pas glorieuse pour les autorités : l’école coranique clandestine serait en réalité… une école de soutien scolaire. L’Association d’enseignement trilingue, qui dirige l’établissement scolaire, a peu goûté à la descente des CRS. A Midi-Libre, l’un des responsables de l’association, Mahfoud Benali, indique qu’il « soutient simplement une cinquantaine de familles qui ont fait le choix de l’instruction en famille », et que « tous les enfants sont inscrits au Cned », le Centre national d’enseignement à distance.
La situation pourrait donc paraître comique. Mais les familles sont aujourd’hui encore choquées. Un père de famille indique que « tous les enfants sont déclarés au rectorat, contrôlés par la mairie, certains ont un an d’avance. » De son côté, le procureur Christophe Barret affirme qu’« une enquête est en cours. » Il veut savoir si l’activité d’enseignement du centre répondait à tous les critères légaux.
Surtout, toujours selon Midi-Libre, le procureur indique que les CRS ont fait preuve de « toute la délicatesse nécessaire » et qu’« il n’y avait aucun policier encagoulé. » Les parents des enfants contestent cette version des faits.
L’Association d’enseignement trilingue rappelle enfin qu’elle est totalement transparente. Outre les déclarations au rectorat, elle assure avoir obtenu un permis de construire pour bâtir ses futurs locaux à Tournezy, pour la rentrée prochaine.
Palestine : Pour Mahmoud Abbas, Israël a mis fin aux accords d’Oslo.
« L’affaire du siècle s’est transformée en claque du siècle ! » Pour le président palestinien Mahmoud Abbas, l’offre de médiation américaine n’a pas lieu d’être suite aux annonces successives de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et de transférer son ambassade de Tel-Aviv à la ville sainte.
Ce dimanche, à l’occasion d’une réunion des dirigeants de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Ramallah, Mahmoud Abbas a exprimé sa désapprobation quant aux actions du président américain. « Nous disons à Trump que nous n’accepterons pas son plan », a expliqué Abbas, alors que la réunion doit ce poursuivre aujourd’hui.
Le plan de Donald Trump n’est pas encore officiel. Mais le président américain envisagerait de proposer aux Palestiniens d’avoir comme capitale Abou Dis, où l’Autorité palestinienne avait installé son siège il y a près de trente ans. Une proposition inacceptable, d’autant que cela signifierait un recul par rapport aux accord d’Oslo de 1993.
1100 nouveaux logements de colons approuvés par Israël.
Pour Mahmoud Abbas, les accords d’Oslo sont d’ailleurs enterrés : « Je dis qu’il n’y a plus d’Oslo, Israël a mis fin à Oslo », a-t-il clamé. Ce lundi, les autorités palestiniennes devraient prendre des décisions fortes et montrer leur opposition à Donald Trump. Une riposte qui s’annonce offensive. Car Abbas ne veut plus que Donald Trump interfère dans les négociations avec Israël.
Israël vient d’approuver plus de 1 100 nouveaux logements de colons en Cisjordanie. Une colonisation qui continue à s’étendre de façon spectaculaire sans que le président américain y trouve à redire. La réponse de l’Autorité palestinienne devrait donc être bruyante. On s’éloigne de plus en plus d’une déjà très hypothétique paix au Proche-Orient.
Pour Gallimard, les musulmans sont antisémites et ne lisent pas.
« Aujourd’hui, l’antisémitisme n’est plus du côté des chrétiens mais des musulmans, et ils ne vont pas lire des textes de Céline. » La phrase est passée presque inaperçue, mais elle a bel et bien été prononcée par Antoine Gallimard, patron de la maison d’éditions du même nom, à un journaliste du Monde.
Visiblement, l’éditeur n’a pas apprécié la fronde née de l’annonce de Gallimard de rééditer les pamphlets antisémites de Céline. Devant la grogne, Gallimard a annoncé un report de cette réédition.
Selon L’Express, le délégué interministériel de la DILCRAH, Frédéric Potier, a rencontré Antoine Gallimard et Pierre Assouline, pressenti pour écrire la préface de cette réédition. Frédéric Potier aurait alors demandé : « Cette publication ne risque-t-elle pas d’alimenter une forme d’antisémitisme chez les jeunes musulmans ? »
Dans La Croix, l’historien Tal Bruttmann indiquait la semaine dernière que la réédition des pamphlets de Céline « est un cadeau que les militants d’extrême droite seront ravis de se faire… » Les sorties de la DILCRAH et de Gallimard sont également de jolis cadeaux faits à la fachosphère.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres, .

Israël arrête un autre adolescent Tamimi.
Muhammad Bulal Tamimi souriant, le bras levé faisant le signe de la « victoire » alors que les soldats de l’occupation israélienne l’enlèvent à son domicile, le 11 janvier. (Manal Tamimi)
Un autre membre de la famille Tamimi a été arrêté par les forces israéliennes qui occupent la Cisjordanie.
Muhammad Bilal Tamimi, 19 ans, a été fait prisonnier lors d’un raid de nuit sur le village de Nabi Saleh, très tôt ce jeudi.
Les forces israéliennes vont garder Muhammad pour enquête jusqu’à dimanche, et elles pourraient prolonger sa détention au-delà, a fait savoir le père de Muhammad, Bilal Tamimi, dans une publication sur facebook.
Bilal indique dans un autre post que les forces israéliennes ont transféré Muhammad au centre de détention de Petah Tikva, près de Tel Aviv.
La mère de Muhammad, Manal Tamimi, a écrit que Petah Tikva est « le pire centre d’interrogatoires de toutes les prisons de l’occupation, où ils torturent les prisonniers ».
Manal, qui elle-même a été arrêtée le 28 décembre alors qu’elle manifestait près d’une prison militaire israélienne, et qui a été relâchée après presque une semaine, a diffusé des photos de l’arrestation de Muhammad sur Twitter.
Dans une vidéo de l’arrestation, on entend Manal dire à Muhammad : « Les soldats israéliens vont te garder pendant des nuits sans dormir, reste fort mon fils », alors qu’ils se disaient au revoir et qu’il était enlevé à son domicile.
Israël terrorise la famille Tamimi.
Dans une interview avec Aaron Maté sur The Real News, Manal raconte comment les forces israéliennes l’ont torturée en prison.
« Quand (les soldats israéliens) m’ont conduite à la prison d’Ofer, et alors que nous étions loin des médias et des caméras, ils ont commencé, et elle a commencé, à me frapper, et j’ai saigné de la mâchoire et tout le temps en prison j’ai été très malade et sous une douleur extrême.Puis ils m’ont emmenée pour interrogatoire où ils m’ont gardée toute la nuit, jusqu’à minuit et demi, dans le froid ».
Pendant que Manal était en prison, les soldats israéliens ont abattu son cousin, Musab Tamimi, 17 ans, lors d’une manifestation en Cisjordanie occupée.
Manal dit que cela a été « l’une des plus difficiles expériences que quelqu’un peut vivre – de voir ton cousin et son sang sur un écran de télé alors que tu ne comprends pas ce qui se passe et ce qui arrive ».
Musab est le « troisième membre de ma famille qui est tué pendant la résistance non violente que nous avons commencée en 2009, mais en fait, ce sont 22 membres de la famille Tamimi qui ont été tués depuis 1976 jusqu’à aujourd’hui » ajoute-t-elle.
Depuis que le Président Donald Trump a annoncé, le mois dernier, que les États-Unis souhaitaient reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël, les forces israéliennes ont arrêté cinq membres de toute la famille Tamimi, dont deux adolescents – en plus d’avoir tué Musab et blessé gravement un autre enfant appelé lui aussi Muhammad Fadel Tamimi. Les forces israéliennes ont arrêté Ahed Tamimi, 16 ans, lors d’un raid nocturne sur le village de Nabi Saleh en Cisjordanie, le 19 décembre.
Ahed et sa cousine Nour Tamimi avaient essayé de chasser deux soldats israéliens de la propriété familiale. Ahed a été vue dans une vidéo filmée par sa mère, Nariman, en train de gifler et de pousser l’un de ces hommes lourdement armés.
Ahed, Nour et Nariman ont été placées en détention par l’armée après la diffusion de cette vidéo alors que se multipliaient les appels de dirigeants israéliens à se venger contre la famille.
L’armée israélienne a engagé 12 procédures d’inculpation contre Ahed le 1er janvier. Si elle est reconnue coupable, notamment de jets de pierres, d’incitation, d’agression et de menaces contre un soldat, la jeune fille de 16 ans pourrait rester dans les prisons israéliennes pendant des années.
La mère d’Ahed, Nariman, fait face elle aussi à une inculpation pour « incitation » pour avoir diffusé l’incident sur Internet.
La cousine d’Ahed, Nour, a été libérée le 4 janvier sous caution, après avoir été accusée d’agression grave et d’entrave au devoir d’un soldat.
Ahed est l’un des 350 enfants palestiniens environ qui sont maintenus en détention par l’armée israélienne.
Les soldats israéliens ont également arrêté, en novembre, un enseignant et militant palestinien, Abdallah Abu Rahma, dans le village de Bilin, en Cisjordanie, et l’ont gardé en détention pendant un mois.
Abu Rahma a été présenté dans le film documentaire primé 5 caméras brisées.
Ashraf Abu Rahma, lui aussi de Bilin, a été arrêté par les forces israéliennes en octobre, mais – comme un certain nombre d’autres habitants de ce village – il reste emprisonné.
Une solidarité internationale.
Depuis que l’arrestation d’Ahed fait la une de la presse internationale, des organisations de défense des droits de l’homme dans le monde entier demandent sa libération.
Des manifestants se sont rassemblés à Washington, à l’Union Station de D.C., mercredi, pour exiger la liberté pour Ahed Tamimi et les autres prisonniers palestiniens. La manifestation était organisée par le groupe militant anti-guerre CODEPINK.
Des centaines de manifestants se sont également rassemblées à la Grand Central Station, à New-York, la semaine dernière, pour exiger la liberté pour Ahed Tamimi.
Ariel Gold, de CODEPINK, affirme qu’ils continueront à manifester jusqu’à ce qu’Ahed soit libre.
Les cheminots adhérents à la CGT, l’un des principaux syndicats de France, ont eux aussi organisé une manifestation contre la détention d’Ahed.
Israël a publié une liste noire pour interdire l’entrée sur son territoire aux membres de 20 organisations de défense des droits de l’homme, le 7 janvier.
Les organisations sur cette liste comprennent notamment CODEPINK, Friends of Al-Aqsa, War on Want, American Friends Service Committee (AFSC), Association France Palestine Solidarité, la Campagne de solidarité Royaume-Uni-Palestine, et la campagne de solidarité Irlande-Palestine.
Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine.
Source: Electronic Intifada.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Les forces d’occupation arrêtent 17 palestiniens en Cisjordanie
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Les forces d’occupation israéliennes ont arrêté, lundi, 17 palestiniens dans des campagnes de raids et de recherches lancées dans les provinces de la Cisjordanie, selon une déclaration de l’armée israélienne.
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Abbas: Israël est un projet colonial qui n’a rien à voir avec les Juifs
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Les exercices militaires israéliens commencent au sud de la Palestine occupée
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Une incursion israélienne limitée à l’est de Beit Hanoun
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Lieberman réclame la légalisation de la colonie sauvage Havat Gilad
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L’occupation continue de fermer Karam Abu Salem pour le 2e jour
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Tentative de l’assassinat de Hamdan : Hamas pointe du doigt l’occupant israélien
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Hamas: la médisance d’Abbas contre Zahhar est une diffamation provocatrice
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L’Inde refuse la décision de Trump, Netanyahou est décu
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L’occupation arrête 9 Palestiniens dans une embuscade à l’ouest de Jérusalem
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Naplouse: Cas de suffocation dans des affrontements avec l’occupation dans le village d’al-Lubban orientale
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Près de 300 militants pro-palestiniens crient leur colère
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Le Front de libération: les décisions du CNP ne sont pas contraignantes
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L’occupation ferme le passage de Karem Abou Salem
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Liban: Un membre du Hamas blessé dans l’explosion d’une voiture piégée
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Hamas : les tirs à feu sur les pêcheurs sont injustifiés
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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